Covid-19: démissions en cascade des experts en santé des NIH et CDC américains
le 25 juillet 2022 - 17:30
Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies forment ensemble la principale agence fédérale des États-Unis en matière de protection de la santé publique.
Les experts de la santé quittent en masse les institutions médicales et biomédicales gouvernementales aux États-Unis, gênés par ce qu’ils nomment "la mauvaise science" ou la "pseudo-science". Les démissions s’accumulent dans les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) et les National Institutes of Health (NIH) qui connaissent une véritable hémorragie de leurs personnels.
Pourquoi ces démissions soudaines ?
Le 14 juillet 2022, le Daily mail et le New York Post rapportent les propos écrits par les docteurs Marty Markary et Tracy Beth sur le site Common Sense de l’ancien chroniqueur du New York Times, Bari Weiss. Le professeur en santé publique de l’université John Hopkins et la consultante en épidémiologie pour le département de la Santé de l’État de Floride font état de ce phénomène massif et sans précédent que connaissent les CDH et les NIH mais également la FDA depuis quelques mois.
Les raisons de l’inquiétude et de l’exaspération du personnel médical et scientifique sont multiples. D’abord, ces institutions ont suscité plusieurs controverses depuis le début de l’épidémie de Covid-19. Régulièrement critiquées pour leurs messages incohérents, leurs décisions ne semblaient pas toujours conformes aux données de la science.
"Les choses sont devenues tellement politiques, alors à quoi servons-nous ?" aurait confié un haut fonctionnaire tandis qu’un autre scientifique aurait déclaré : « Avant, j’étais fier de dire aux gens que je travaillais au CDC. Maintenant, je suis gêné ».
Scientifiques et médecins sont tous les jours plus nombreux à dénoncer ce qu’ils nomment désormais « la mauvaise science », c’est-à-dire des données faibles ou erronées utilisées pour prendre des décisions de santé publique d’une importance cruciale. Des décisions qui se concentrent sur le seul virus sans jamais tenir compte de la santé globale des personnes et qui, de l’avis de plusieurs scientifiques, "sont motivées par ce qui est politiquement acceptable pour les gens de Washington ou pour l'administration Biden".
Les mesures restrictives dans les institutions scolaires
Parmi les décisions vivement critiquées figurent le soutien au port du masque des enfants dans les écoles et la fermeture des institutions scolaires à certaines périodes de la pandémie.
Des décisions arbitraires qui ne reposaient sur aucune donnée scientifique tandis que plusieurs études montraient que dans les écoles où les enfants avaient l’obligation de porter le masque, la circulation et la transmission du virus n’étaient pas moins élevées que dans celles qui ne l’imposaient pas. Des mesures qui, selon les auteurs, se sont donc révélées inutiles sur le plan virologique et qui ont eu comme conséquences un retard dans l’acquisition du langage et de la sociabilité chez certains jeunes enfants. Or, chacun sait que l’enfant, pour accomplir son développement social et linguistique correctement, a besoin de voir le visage des autres.
La fermeture partielle des écoles aurait également eu un impact négatif profond sur les enfants. Elle serait responsable de retards considérables d’apprentissage qui toucherait particulièrement les enfants des classes sociales défavorisées. Certains indicateurs montrent des pertes importantes d’apprentissage notamment dans le domaine des mathématiques, où il y aurait une chute de 20 % des taux de réussite.
Or, selon les dires de Marty Markary et Tracy Beth, plusieurs scientifiques de ces agences auraient fait part de leurs inquiétudes à ce sujet.
"Le CDC n'a pas réussi à équilibrer les risques du Covid avec les autres risques qui découlent de la fermeture des écoles (…) La perte d'apprentissage et les aggravations des problèmes de santé mentale ont été évidentes dès le début et ont empiré à mesure que les directives insistaient pour que les écoles restent virtuelles. L'orientation du CDC a détérioré l'équité raciale pour les générations à venir. Elle a laissé tomber cette génération d'enfants" aurait déclaré l’une des scientifiques du CDC.
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L’extension de l’obligation vaccinale aux jeunes enfants et aux nourrissons
De toutes les décisions, c’est certainement la politique vaccinale des très jeunes enfants et des nourrissons qui a le plus choqué les scientifiques et les médecins.
"C'est comme un film d'horreur qu'on me force à regarder et je ne peux pas fermer les yeux (…) Les gens reçoivent de mauvais conseils et nous ne pouvons rien dire" déclare un haut fonctionnaire de la FDA.
Selon Marty Markary et Tracy Beth, ce médecin de la FDA fait référence à deux événements au sein de l’agence. Tout d’abord, il aurait été heurté par la manière dont l’agence aurait autorisé les vaccins contre le Sars-CoV-2 pour les nourrissons et les très jeunes enfants, y compris pour ceux qui avaient déjà contracté le covid, sans données cliniques solides. Ensuite, la FDA aurait court-circuité des experts externes afin d’autoriser les injections de rappels pour les enfants.
Ce médecin est loin d’être le seul à déplorer cette situation puisque selon Marty Markary et Tracy Beth, le centre de recherche sur les vaccins des NIH aurait enregistré de très nombreuses démissions de plusieurs de ses scientifiques de haut niveau au cours de l’année précédente, dont le directeur, le directeur adjoint et le médecin en chef.
Pour nombre d’entre eux, les fortes recommandations générales émises pour les vaccins Covid chez les enfants sont incompréhensibles. Si la directrice des CDC, le docteur Rochelle Walensky a déclaré que les vaccins ARNm Covid devraient être administrés à toute personne âgée de six mois ou plus car ils sont sûrs et efficaces, la plupart des médecins et scientifiques savent désormais que cette directive est fondée sur des données extrêmement faibles et non concluantes fournies par les laboratoires Pfizer et Moderna.
"Il semble criminel que nous ayons émis la recommandation d'administrer des vaccins à ARNm Covid aux bébés sans disposer de données solides. Nous ne savons vraiment pas encore quels sont les risques. Alors pourquoi insister autant ? " a déclaré un médecin du CDC.
Un haut fonctionnaire de la FDA est du même avis : "Le public n'a aucune idée de la gravité de ces données. Elles ne devraient pas passer le cap d'une autre autorisation".
La question de la durée de protection est l’autre grande interrogation soulevée par ces scientifiques qui rappellent que si cette protection serait effective pendant quelques mois chez les adultes, il n'existe aucune donnée pour les jeunes enfants.
Ce n'est pas la première fois que des recommandations concernant le vaccin contre le Sars-CoV-2, fondées sur des preuves insuffisantes, sont imposées par ces agences.
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L’autre point soulevé par ces scientifiques est l'immunité naturelle qui a été ignorée. En effet, selon les scientifiques et les médecins, la grande majorité des enfants ont déjà eu le Covid. Pourtant, les autorités n’en ont pas tenu compte puisqu’aucune différence n’a été faite dans les mandats généraux de vaccination pour enfants. Or, en rendant obligatoires les vaccins et les rappels pour les jeunes en bonne santé, sans données solides à l'appui, ces agences ne font qu'éroder davantage la confiance du public. Une confiance qui serait en train de s’effondrer puisque seulement 2 % des parents d'enfants de moins de cinq ans ont choisi de les faire vacciner contre le covid tandis que 40 % des parents qui habitent des zones rurales affirment que leur pédiatre n'a pas recommandé le vaccin contre le covid pour leur enfant.
Enfin, les auteurs rappellent que ces démissions font suite à celles des deux principaux responsables de la réglementation des vaccins à la FDA, le Dr Marion Gruber, directrice du bureau des vaccins de la FDA, et son directeur adjoint, le Dr Philip Krause. Ceux-ci avaient démissionné de l'agence à l’été 2021 en raison des pressions politiques visant à autoriser les rappels de vaccins chez les jeunes. Après leur départ, ils ont écrit des commentaires cinglants expliquant pourquoi les données ne justifiaient pas une large autorisation des rappels. Ils avaient également affirmé dans le Washington Post que "la pression en faveur de rappels pour tout le monde pourrait en fait prolonger la pandémie" et n'avaient pas caché leurs préoccupations par rapport à ces injections supplémentaires, toujours basées sur la souche sauvage du virus disparue depuis plusieurs mois.
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La science a-t-elle été confisquée ?
Pendant les premiers temps de l'épidémie de Sars-CoV-2, il semble que la peur ait confisqué le débat scientifique. Comme l'a confié aux auteurs un scientifique du NIH : "Il y a un silence, une réticence des scientifiques de l'agence à dire quoi que ce soit. Même s'ils savent qu'une partie de ce qui est dit par l'agence est absurde."
Mais la confiscation du débat ne pouvait pas durer éternellement. Et les très nombreuses études sur l’immunité naturelle, sur l’efficacité très médiocre des vaccins et leurs effets secondaires sont venues fragiliser un peu plus chaque jour le dogme vaccinal, révélant des données bien éloignées des effets d'annonce destinées à promouvoir la campagne de vaccination.
Peu à peu, il semble que l’exigence morale des scientifiques et médecins ait pris le pas sur la peur à mesure qu’ils prenaient conscience de la dangerosité de ces politiques sanitaires inefficaces et délétère. Cependant, pour les docteurs Marty Markary et Tracy Beth, le mal est fait et la réponse officielle de la santé publique au Covid pourraient selon eux avoir sapé la confiance du public dans la santé publique et entraîner un rejet global de l’ensemble des vaccins par la population, y compris ceux qui ont prouvé leur innocuité et leur efficacité depuis longtemps.
Le gouvernement allemand admet que les vaccins COVID provoquent de graves effets secondaires
mardi 26 juillet 2022 par : Kevin Hughes
(Natural News) Le gouvernement allemand a publiquement admis mercredi 20 juillet que les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) peuvent provoquer des effets secondaires graves pour une personne sur 5 000 doses.
« Une personne sur 5 000 est touchée par un effet secondaire grave après une #vaccination au COVID19. Si vous soupçonnez des #effets secondaires, consultez un médecin et signalez vos symptômes à @PEI_Germany », a déclaré un tweet du ministère allemand de la Santé.
Il a ensuite tweeté une correction selon laquelle le nombre 5 000 fait référence à des doses plutôt qu'à des individus : « Correction : Selon @PEI_Germany, le taux de notification des réactions graves est de 0,2 rapport pour 1 000 doses de vaccin.
Il s'agit d'un aveu étrange et bienvenu d'un gouvernement sur l'ampleur des blessures causées par les vaccins COVID.
Néanmoins, le chiffre d'une personne pour 5 000 doses est trop faible. Le deuxième tweet expliquait qu'il s'agissait d'un taux de notification de réactions graves, il se réfère donc probablement au taux d'événements indésirables signalés à l'équivalent allemand du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS). Si tel est le cas, il devrait y avoir un facteur de sous-déclaration d'environ 10, ce qui signifie que le nombre réel d'effets secondaires graves peut être 10 fois plus élevé.
L'une des raisons pour lesquelles le chiffre d'une personne sur 5 000 doses est faible est que les décès sont comptés séparément des effets secondaires graves. Les décès sont comptés comme des décès, de sorte que le chiffre d'une personne sur 5 000 doses ne couvre que les personnes qui ont été gravement blessées par les piqûres de COVID et qui ont survécu.
Si une personne est décédée des suites de l'injection, soit instantanément, soit quelques mois plus tard, elle n'a jamais été enregistrée en tant que personne blessée par le vaccin. (Connexe: les données des hôpitaux britanniques choquent le monde: 80 % des décès par COVID sont parmi les vaccinés… Les décès par COVID ont augmenté de 3 000 % après la vague de vaccins.)
Les Allemands sont en fait excellents pour surveiller la sécurité des vaccins. Outre son système de déclaration passif, le régulateur allemand des médicaments, l'Institut Paul Ehrlich ou PEI, gère une application active de surveillance de la sécurité des vaccins appelée SafeVac 2.0. Les données de cet outil de surveillance ont été intégrées dans un rapport européen sur la sécurité des vaccins le mois dernier et ont montré que 0,3 % des vaccinés en Allemagne ont signalé au moins une réaction indésirable grave à la première dose du vaccin.
1 838 participants ont signalé au moins un effet indésirable grave après avoir reçu la première dose du vaccin COVID Le rapport mentionne que sur les 520 076 participants allemands qui ont reçu la première dose d'un vaccin COVID-19, 1 838 (0,3 %) ont déclaré avoir subi au moins un effet indésirable grave.
Ces chiffres allemands sont conformes aux taux globaux en Europe. Il faut cependant noter qu'un taux de 0,3 % est 15 fois plus élevé que le taux de 0,2 pour 1 000 (c'est-à-dire 0,02 %) cité dans le tweet.
La grande question est de savoir pourquoi le gouvernement allemand a utilisé le chiffre de 0,02 % au lieu du chiffre de 0,3 % de son outil avancé de surveillance de la sécurité des vaccins pour attirer l'attention sur les effets secondaires des vaccins.
Des inquiétudes concernant les taux élevés d'effets secondaires graves des vaccins ont déjà été soulevées en Allemagne. En mai, le professeur Harald Matthes, un scientifique à la tête d'une étude indépendante sur la sécurité des vaccins, a déclaré que, d'après ses données, environ 0,8 % des personnes vaccinées en Allemagne avaient subi des effets secondaires graves.
Le chiffre n'est pas surprenant puisqu'il concorde avec ce que l'on sait d'autres pays comme la Suède, Israël et le Canada. Même les fabricants des vaccins l'ont peut-être déjà su au cours de leurs études.
Pendant ce temps, une enquête du gouvernement israélien a révélé que 0,3 % des personnes vaccinées ont déclaré avoir été hospitalisées à la suite de leur vaccination contre le COVID, tandis qu'une enquête des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) a découvert que 0,9 % des personnes vaccinées ont déclaré avoir recherché des soins médicaux en conséquence. de leur vaccination.
Suivez VaccineInjuryNews.com pour plus d'informations sur les blessures et les décès liés aux vaccins causés par les vaccins COVID.
Regardez la vidéo ci-dessous pour savoir pourquoi le plus grand syndicat de médecins d'Allemagne a averti que le vaccin COVID est mortel.
Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.
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Trois jeunes médecins décèdent de façon inattendue dans un petit hôpital quelques jours seulement après le 4e mandat de vax COVID
mardi 26 juillet 2022 par : Lance D. Johnson
(Natural News) Un petit hôpital canadien a perdu trois jeunes médecins en l'espace de trois jours, juste après qu'un 4e mandat de vax COVID a été émis pour les travailleurs de la santé. Trillium Health Partners en Ontario, au Canada, a envoyé trois notes de service à leur personnel à seulement trois jours d'intervalle - pleurant la perte de trois médecins bien-aimés. Les notes de service n'ont pas révélé la cause de ces décès soudains et inattendus, alors que l'hôpital continue de repousser son 4e mandat de vax COVID sur les travailleurs de la santé.
Les PDG, les membres du conseil d'administration et les administrateurs des hôpitaux devraient avoir honte de ne pas avoir défendu les vies innocentes qui ont été perdues à cause des vaccins COVID et tous ceux qui ont été blessés et tués par des protocoles inhumains et mortels. Les systèmes hospitaliers continuent de faciliter des expériences médicales inutiles qui perpétuent un génocide mondial. Ces administrateurs sans scrupule continuent de persécuter leurs collègues soignants qui ne se conforment pas à ces expériences médicales mortelles et destructrices. Les travailleurs de la santé se tuent littéralement à la manière d'une secte. A chaque rappel, ils doivent prouver leur allégeance à ce culte de la vaccination. Booster après booster, ils se détruisent de l'intérieur.
Un petit hôpital pleure la perte inattendue de trois jeunes médecins bien-aimés La première note de service pleure la perte du Dr Lorne Segall, un oto-rhino-laryngologiste qui a été chef de division d'oto-rhino-laryngologie de 2016 à 2017. Il a rejoint les partenaires de santé de Trillium en 2007 et a été oto-rhino-laryngologiste à l'hôpital Credit Valley. Il est décédé le 17 juillet 2022 et laisse derrière lui une femme et trois enfants.
La deuxième note de service pleure la perte du Dr Stephen McKenzie, neurologue à l'hôpital de Mississauga. Le Dr McKenzie a contribué à la formation médicale prédoctorale et postdoctorale chez Trillium Health Partners et à l'Université de Toronto. Il a passé une grande partie de son temps à s'occuper de patients atteints de sclérose en plaques. Il est décédé le 18 juillet 2022.
La troisième note de service pleure la perte du Dr Jakub Sawicki, membre de l'équipe d'assistance chirurgicale de Trillium Health Partners. En 2013, il a terminé sa formation à l'unité d'enseignement en médecine familiale de Credit Valley et a commencé à travailler à Trillium en 2014. Il s'est spécialisé dans la gestion de la douleur et est devenu directeur médical des cliniques de médecine de la douleur de la région, tout en enseignant aux résidents en médecine familiale. Il est décédé le 20 juillet 2022.
La lâcheté des médecins du monde entier est décourageante
Le décès soudain et inattendu de trois jeunes professionnels de la santé à trois jours d'intervalle devrait sonner l'alarme dans tout le système hospitalier et dans tout le Canada, mais Trillium Health Partners continuera d'ignorer le problème évident qui se pose, tout en repoussant une autre série de méfaits médicaux coercitifs dans leur aveugle culte à la « vaccination ».
Les statistiques gouvernementales les plus récentes sur le Canada (du 9 juin au 19 juin) montrent que les vaccinés représentent 92 % des décès liés au covid-19. Au cours de cette période, il y a eu 4 954 décès de covid-19 au Canada, et les vaccinés ont représenté 3 796 de ces décès. A chaque rappel supplémentaire, le pourcentage de décès augmente linéairement. Il y a eu 135 décès pour les personnes qui ont pris un vaccin, 1 174 décès pour les personnes qui ont pris deux vaccins et 2 487 décès pour les personnes qui ont pris trois vaccins.
Pour aggraver les choses, les quadruples vaccinés sont à l'origine de la majorité des nouveaux cas en 2022. Sur les 20 842 cas de COVID-19 signalés au cours de la même période, les quadruples vaccinés représentaient 13 987 d'entre eux. Les vaccinés représentent 93% du nombre total de cas. Non seulement le vaccin ne fonctionne pas pour arrêter la propagation du covid-19, mais il est également le facteur déterminant de nouvelles variantes qui tuent principalement les vaccinés.
Les 1 377 hospitalisations liées au COVID-19 au cours de la même période concernaient également principalement la population vaccinée. Environ 85 % des hospitalisations proviennent de personnes vaccinées et ce sont les quadruples vaccinés (65 %) qui sont à l'origine de la majorité de ces hospitalisations.
La dictature Trudeau exige toujours ces soi-disant vaccins pour que les gens puissent entrer dans le pays, et le gouvernement continue de poursuivre des politiques discriminatoires pour contraindre davantage de personnes à prendre des injections de caillots. Dans la plupart des cas, les PDG et administrateurs d'hôpitaux ont trop peur de dire la vérité et de défendre leurs collègues, leurs patients et leurs familles. Alors qu'ils se soumettent à la tyrannie médicale à chaque tournant, ils continueront de mourir de manière inattendue aux mains de tyrans.
Jeffrey Tucker : Fauci a fait des dégâts incalculables à travers le monde
Mardi 26 juillet 2022 par : Kevin Hughes
(Natural News) Pour le chroniqueur d'Epoch Times Jeffrey Tucker, le Dr Anthony Fauci est la principale raison pour laquelle le coronavirus de Wuhan (COVID-19) est devenu une pandémie mondiale.
"Il a fait des dégâts incalculables à travers le monde", a déclaré Tucker lors d'une récente interview avec le correspondant principal de LifeSite News, Jim Hale.
Tucker, le fondateur et président du Brownstone Institute, a noté que lorsque les États-Unis ont suivi la Chine et l'Italie pour imposer un verrouillage, cela a envoyé un signal au reste du monde que tout le monde devrait faire de même.
Le philosophe, économiste et commentateur social a souligné que Fauci était passé d'une personnalité traditionnelle de la santé publique à un responsable de la santé tyrannique favorisant les verrouillages, les fermetures et les fermetures qui ont fini par devenir incontrôlables.
"Il croyait pouvoir contrôler la propagation par des changements de comportement forcés et a travaillé en étroite collaboration avec Deborah Birx pour y parvenir", a déclaré Tucker, auteur du livre "Liberty or Lockdown".
Le chroniqueur économique quotidien d'Epoch Times a ajouté que le directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) a réussi à convaincre à la fois Big Tech et les médias d'entreprise de soutenir sa campagne qui suscite la peur et l'hystérie.
Tucker a souligné que Fauci avait définitivement menti sur son financement du gain de fonction via Eco Health Alliance et son ami Peter Daszak.
L’organisation à but non lucratif de Daszak a reçu plusieurs subventions du NIAID de Fauci pour financer la recherche sur le gain de fonction sur les coronavirus de chauve-souris à l’Institut de virologie de Wuhan. (Connexe: Fauci et le NIH surpris en train de financer la recherche sur les armes biologiques covid de la Chine)
"Et ce n'est pas seulement qu'il a menti sur tout. Il a menti sur l'immunité naturelle. On lui a posé d'innombrables questions sur l'immunité naturelle [et] à chaque fois, il a dit: "Eh bien, nous examinons cela, nous étudions cela… Nous ne savons tout simplement pas." Mais nous connaissons l'immunité naturelle depuis deux ans et un demi-millier d'années. Et c'était donc ridicule », a déclaré Tucker.
Tucker a mentionné qu'une pandémie se termine par une exposition et une récupération nationales. Il a ajouté que les gens ne peuvent pas se vacciner pour sortir d'une pandémie de coronavirus car ce n'est pas possible et c'est dangereux.
Il a également noté que Fauci a dissimulé tout ce qui concerne le port de masques, les vaccins et les rappels et l'utilisation des médicaments COVID paxlovid et remdesivir.
Fauci également derrière la censure des points de vue alternatifs «Ce que la seule vérité que tout le monde doit avoir, c'est qu'il a travaillé très dur pour supprimer les opinions alternatives, a travaillé très étroitement avec Mark Zuckerberg sur Facebook. Il était donc responsable d'une grande partie de la censure en cours », a déclaré l'économiste et commentateur social à propos de Fauci.
Tucker a noté que beaucoup de choses se sont passées pendant la pandémie. Il y a eu tellement de démoralisation, de toxicomanie, d'alcoolisme, de mauvaise santé et de dépression.
"C'est une crise absolue. Et puis vous ajoutez à cela la crise économique, qui depuis le début des blocages, le dollar a perdu environ 14% de sa valeur », a déclaré Tucker.
Il a souligné que les gens auraient dû être autorisés à vaquer à leurs occupations et à leurs affaires, car le COVID serait comme la grippe qui va et vient.
Tucker a souligné que le gouvernement ne pouvait rien y faire. Il a ajouté que la fermeture des églises, des associations civiques, des réunions et d'autres activités pour s'assurer que les gens ne peuvent pas sortir pour célébrer les fêtes et autres choses était "une décision totalitaire et despotique qui n'aurait pas dû se produire".
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Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur l'héritage honteux du Dr Anthony Fauci.
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L'OMS admet (mais ne le fait pas) que le monkeypox est une "maladie gay"
mardi 26 juillet 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Le New York Times affirme qu'il y a maintenant 16 000 "cas" de monkeypox (pridepox) dans le monde, ce qui a incité le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, à déclarer la "maladie des homosexuels" comme une « urgence de santé publique de portée internationale ».
Ghebreyesus admet que le pridepox se propage principalement parmi les hommes LGBT, mais dans le même souffle, il a exhorté à ne pas le catégoriser comme tel. Selon Ghebreyesus, faire en sorte que les hommes homosexuels et bisexuels se sentent mal à propos de la maladie d'une manière stigmatisante parce que "la stigmatisation et la discrimination peuvent être aussi dangereuses que n'importe quel virus".
En d'autres termes, le pridepox est une maladie gay, mais ce n'est pas non plus une maladie gay. Et tout le monde devrait en avoir peur car Ghebreyesus affirme qu'il se propage dans le monde "rapidement grâce à de nouveaux modes de transmission que nous comprenons trop peu".
"Pour toutes ces raisons", a ajouté Ghebreyesus dans un communiqué, "j'ai décidé que l'épidémie mondiale de monkeypox représente une urgence de santé publique de portée internationale".
L'OMS a voté 9 contre 6 pour ne PAS déclarer une urgence de monkeypox, mais Ghebreyesus a annulé cette décision Monkeypox est apparu pour la première fois en Europe lors d'un festival de sexe LGBT pour "Pride". Depuis lors, les médias et les gouvernements tentent de faire peur aux gens pour inaugurer une autre pandémie.
Ghebreyesus fait sa part, bien sûr, en prétendant que le pridepox est vraiment effrayant et quelque chose dont nous devons tous nous inquiéter parce que les hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes développeraient des lésions massives sur leurs organes génitaux.
"Il s'agit d'une épidémie qui se concentre chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, en particulier ceux qui ont plusieurs partenaires sexuels", a admis Ghebreyesus dans un communiqué.
Il y a aussi maintenant des revendications qu'une poignée d'enfants atteints de pridepox. Ces enfants "remontent à des individus qui viennent de la communauté des hommes homosexuels", selon Rochelle Walensky, responsable des Centers for Disease Control and Prevention (CDC).
Une étude récente publiée dans le New England Journal of Medicine (NEJM) affirme que le pridepox augmente chez les hommes LGBT, dont beaucoup ont également le VIH et probablement d'autres maladies sexuellement transmissibles (MST).
Ghebreyesus appelle les hommes LGBT à "adopter des mesures qui protègent à la fois la santé, les droits humains et la dignité des communautés touchées". Cela semble être une façon très politiquement correcte de dire aux hommes LGBT de cesser d'être des porcs à la promiscuité.
L'affirmation est que pridepox prend environ 20 jours pour incuber et commencer à s'infecter. Sur la base du moment où les premiers cas ont été signalés, cela indique que les festivités de la fierté de juin sont le coupable.
"Avec les outils dont nous disposons actuellement, nous pouvons arrêter la transmission et maîtriser cette épidémie", a ajouté Ghebreyesus dans un communiqué, ne clarifiant pas pleinement ce que sont ces "outils".
Quiconque a un cerveau sait que l'OMS est une division de clown non pertinente des Nations Unies que personne n'a besoin de prendre au sérieux. Ghebreyesus, selon un commentateur est "un parasite apatride assoiffé de pouvoir et de pertinence et RIEN DE PLUS".
"C'est vraiment une urgence mondiale pour les imbéciles les plus à risque", a ajouté un autre. "Le mouvement PC dit que vous ne pouvez pas dire la vérité : que c'est totalement évitable, même pour ces hommes, s'ils prennent des précautions et rappellent leurs tendances - mais ils ne se contrôleront tout simplement pas, et nous paierons tous."
"Les monstres refusent d'arrêter de s'engager dans des risques insensés. Ils sont pathologiques et irresponsables. Vraiment mal développé psychologiquement.
Un autre a souligné que Ghebreyesus n'est guère plus qu'un pion de l'eugéniste milliardaire Bill Gates.
"Il vient d'Ethiopie, qui avait la réputation d'être le pays le plus corrompu d'Afrique", a ajouté cette personne. "C'est un peu comme être la partie la plus chaude de l'enfer."
Les dernières nouvelles sur la variole du singe peuvent être trouvées sur Outbreak.news.
Birx avoue que, malgré les avoir poussés, elle savait que les piqûres de covid "n'allaient pas protéger contre l'infection"
Mardi 26 juillet 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Deborah Birx, l'une des conseillères de Donald Trump sur le coronavirus de Wuhan (Covid-19), obtient certainement ses 15 minutes de gloire ces jours-ci alors qu'elle avoue avoir commis des crimes contre l'humanité avec l'aide de Tony Fauci et des autres mondialistes qui infestent le gouvernement des États-Unis.
Apparaissant sur Fox News l'autre jour avec Neil Cavuto, Birx a admis qu'elle savait depuis le début que les vaccins contre la grippe Fauci "n'allaient pas protéger contre l'infection", mais a choisi de les pousser quand même - ce qu'elle fait encore aujourd'hui, soit dit en passant.
"Eh bien, si vous êtes de l'autre côté du Sud et que vous êtes au milieu de cette vague en ce moment, ce qui va vous sauver, c'est Paxlovid", a déclaré Birx pendant le segment (regarder ci-dessous), shilling encore un autre médicament Pfizer pour les Chinois Virus.
"Mais une fois que nous aurons traversé cette vague, pendant le creux, vous devriez vous faire vacciner et booster parce que nous pensons que cela vous protégera – en particulier si vous avez plus de 70 ans", a poursuivi Birx en bourdonnant d'une voix de "fille de la vallée" similaire à celle de Rochelle Walensky, directrice corrompue des Centers for Disease Control and Prevention (CDC).
"Je savais que ces vaccins n'allaient pas protéger contre l'infection et je pense que nous avons surestimé les vaccins et cela a fait craindre aux gens qu'ils ne protègent pas contre les maladies graves et l'hospitalisation", a poursuivi Birx, ajoutant que 50 % des gens qui sont soi-disant morts de la variante "Omicron" (Moronic) du WuFlu étaient plus âgés et vaccinés.
Deborah Birx doit être tenue responsable d'avoir commis des crimes contre l'humanité La raison pour laquelle nous continuons à entendre parler de Birx est qu'elle est là-bas en train de lire un nouveau livre qu'elle vient d'écrire dans lequel elle admet ouvertement avoir falsifié les données de Fauci Flu sans l'autorisation ou la connaissance de l'administration Trump afin de faire avancer l'agenda de la plandémie.
Birx est une criminelle, en d'autres termes, mais se sent apparemment tellement protégée dans sa tour d'ivoire de protection mondialiste qu'elle n'a pas du tout peur d'avouer ses crimes tout en continuant à en tirer profit sous la forme de ventes de livres.
Parce que l'Amérique est maintenant tellement divisée politiquement - tout cela à dessein, bien sûr - les escrocs et les criminels des deux côtés de l'allée politique semblent s'en tirer avec tout ce qu'ils veulent maintenant parce que 50% de la population, selon le criminel, a le dos dû être « rouge » ou « bleu ».
Birx n'est pas officiellement une bleue, mais son programme pro-pandémique convient à l'agenda du côté bleu. En conséquence, l'armée bleue semble la soutenir, peu importe ce qu'elle dit ou fait.
"Cette femme devrait être jugée pour crimes contre l'humanité", a écrit quelqu'un dans la section des commentaires sur Birx et son comportement criminel.
"Birx devrait être en prison pour son rôle dans toute l'arnaque", a écrit un autre. "Le" vaccin "est l'arnaque et l'arnaque est le vaccin - je le dis depuis le premier jour."
Un autre a écrit qu'il ne faisait plus confiance aux médecins après la pandémie, ni au gouvernement fédéral "qui a volé la liberté des gens et suspendu la Constitution lors d'une" urgence médicale "".
"Les foulards font des merveilles pour cacher la peau reptilienne", a plaisanté un autre à propos de Birx, qui était souvent appelée la "dame au foulard" parce qu'elle portait constamment un foulard chaque fois qu'elle se présentait devant le public.
Les dernières nouvelles sur les injections de virus chinois peuvent être trouvées sur Vaccines.news.
Un scientifique australien révèle que COVID est un virus du rhume
Mardi 26 juillet 2022 par : Mary Villareal
(Natural News) L'immunologiste moléculaire et cellulaire australien, généticien et microbiologiste Edward J. Steele a déclaré que les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) ne fonctionnent pas comme prévu car la maladie qu'ils sont censés prévenir est un "virus du rhume".
"Je dois souligner: c'est un virus du rhume [et] 99,9 % des gens peuvent s'en débarrasser", a déclaré Steele. Selon Steele, le coup dans le bras ne peut pas stimuler une réponse anticorps muqueuse dans le nez, la bouche et le tractus intestinal qui est nécessaire pour neutraliser le virus avant qu'il ne puisse pénétrer dans les cellules et se répliquer.
Les gens demandent maintenant pourquoi on les pousse à se faire injecter quelque chose qui n'empêche pas la transmission virale et ne fait que dégrader le système immunitaire avec le temps.
Le gouvernement et Big Pharma ont essayé de le dissimuler, mais il existe de nombreuses preuves montrant que ces vaccins sont dangereux.
Les immunologistes et les tests PCR ne peuvent pas différencier le rhume du virus SARS-CoV-2. Apparemment, la classe dirigeante avait juste besoin de renommer la grippe et le rhume pour effrayer suffisamment les masses au point qu'elles s'injecteraient volontairement une drogue expérimentale capable de détruire leur corps. (En relation: Qu'est-il arrivé à la «saison de la grippe ?» À l'ère du COVID, «la grippe» a été reclassée comme coronavirus, dit l'épidémiologiste.)
Taux de grippe significativement plus bas en 2020 et 2021 par rapport aux niveaux pré-pandémiques Les taux de grippe sont restés faibles au cours des deux dernières années, effaçant essentiellement les niveaux précédents et soulevant des questions dans le domaine universitaire. Alors, où sont passés les cas de grippe ?
"La grippe a été renommée COVID en grande partie", a déclaré l'épidémiologiste Knut Wittkowski, ancien responsable de la biostatistique, de l'épidémiologie et de la conception de la recherche à l'Université Rockefeller.
"Il peut y avoir un certain nombre de cas de grippe inclus dans la catégorie" présumée COVID "de personnes qui présentent des symptômes de COVID mais qui ne sont pas testées pour l'ARN du SRAS", a-t-il déclaré. Il faut tenir compte du fait que les symptômes de la grippe peuvent également être confondus avec le COVID.
Il a fait valoir que les patients dont on dit qu'ils ont le COVID peuvent également avoir de l'ARN du SRAS "assis dans leur nez tout en étant infectés par la grippe". Dans ce cas, il serait simplement confirmé comme COVID.
Les Centers for Disease Control and Prevention ont également indiqué dans leurs rapports de suivi de la surveillance de la grippe que le taux cumulatif de tests positifs pour la grippe de fin septembre à la semaine du 19 décembre 2020 n'est que de 0,2%, tel que mesuré par les laboratoires cliniques - une diminution significative par rapport à un cumulatif de 8,7 % par rapport à l'année précédente.
Les comparaisons hebdomadaires sont encore plus frappantes. Le taux clinique positif était de 22% la même semaine en 2019, mais n'était que de 0,1% en 2020.
Ces faibles chiffres se poursuivent alors que les tendances antérieures de l'année montraient que les taux de grippe restaient à des niveaux proches de zéro. La tendance ne se limite pas non plus aux États-Unis, car les autorités sanitaires du monde entier ont toutes signalé une forte baisse des niveaux de grippe tout au long de ce qui est normalement la saison de pointe de la grippe dans l'hémisphère nord. Les taux sont également faibles dans l'hémisphère sud.
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Un groupe international financé par Bill Gates prévient que l'un des 11 nouveaux virus deviendra la "prochaine pandémie".
(...) Un scientifique australien révèle que COVID est un virus du rhume (...)
Le microbe avai une poussière dans l’œil !
STOP ! STOOOOOP ! Le 'virus' EST UNE POUSSIÈRE et à ne PAS CONFONDRE avec un MICROBE qui lui est vivant ! Un microbe se stoppe avec des antibiotiques. Une poussière (là, une poussière empoisonnée) se 'stoppe avec un ANTIDOTE. Or, cet anti dote N'EXISTE PAS à l'heure actuelle. Car il s'agit d'une expérimentation génique d'essais qui comporte des nano-particules d'oxyde de graphène (poison mortel violent).
Les vaccins COVID semblent rendre les gens HYPER sensibles à la POX, aux allergies et aux toxines alimentaires telles que les aflatoxines
mardi 26 juillet 2022 par : Mike Adams
(Natural News) Comme même Tedros du W.H.O. discute maintenant ouvertement, monkeypox frappe principalement les hommes homosexuels qui ont plusieurs partenaires sexuels. Cependant, il y a un aspect de cette épidémie de monkeypox qui n'est pas encore reconnu par la plupart : le fait que 96 % des personnes LGBT ont reçu des vaccins contre le covid. Cela signifie que presque tous les homosexuels souffrant actuellement de monkeypox sont également «vaccinés» - ou, techniquement, injectés avec des concoctions expérimentales d'ARNm modifiant les gènes.
Ces vaccins, à leur tour, sont bien documentés pour supprimer la fonction immunitaire. Sur une période de plusieurs mois - surtout lorsqu'il est renforcé par des "boosters" supplémentaires - le système immunitaire d'une personne se détériore à un point tel qu'elle ne peut plus se protéger de la variété d'agressions chimiques, biologiques et environnementales qui menacent le corps. C'est ce qui amène de nombreuses personnes à souffrir, par exemple, de cas explosifs d'eczéma qui étaient auparavant maîtrisés avant le vaccin.
Cette femme a subi une explosion choquante d'eczéma après avoir pris trois vaccins, et elle réalise maintenant que tout a été causé par le vaccin lui-même :
Les preuves indiquent que le même phénomène se produit avec le monkeypox et les hommes homosexuels qui se livrent à des activités sexuelles homosexuelles avec plusieurs partenaires. Il est maintenant documenté que le monkeypox est transporté par la salive, l'urine et le sperme, selon une étude publiée par l'Institut de santé mondiale de Barcelone (ISGlobal). Voir la description complète sur StudyFinds.org qui indique :
Un nouveau rapport sur la variole du singe fait craindre que le virus puisse infecter d'autres personnes par le biais des fluides corporels d'un patient. Des chercheurs espagnols ont découvert des charges virales élevées dans la salive, le sperme, l'urine et d'autres échantillons provenant de patients confirmés atteints de variole du singe. Les auteurs de l'étude affirment que les premiers cas en Grande-Bretagne, au Portugal et en Espagne ont été principalement découverts chez des hommes ayant des rapports sexuels avec d'autres hommes. Aux États-Unis, il y a eu jusqu'à présent plus de 1 400 cas confirmés.
Cependant, il est important de noter que les orgies de sexe gay n'ont probablement pas soudainement changé dans le type de comportements poursuivis par les participants. En d'autres termes, les hommes homosexuels n'ont pas soudainement commencé à s'engager dans des activités qui entraîneraient le partage de salive, d'urine et de sperme entre leurs participants. Ce type d'activité existe depuis très longtemps. Ce qui a changé, c'est que maintenant ils sont vaccinés contre le covid, ce qui signifie que leur système immunitaire est détruit. Et à cause de cela, leur système immunitaire ne peut pas lutter contre les expositions auxquelles ils se soumettent depuis longtemps (comme les bactéries rectales, les matières fécales, le sang des microdéchirures cutanées, etc.).
Ainsi, la variole du singe doit être comprise non seulement comme une «maladie des orgies sexuelles gays», mais plutôt comme une maladie vaccinée des orgies sexuelles homosexuelles. Il convient également de souligner que les couples homosexuels qui sont monogames et ne se livrent pas à un comportement multipartenaire auraient probablement un risque quasi nul de monkeypox. Il ne s'agit donc pas simplement d'être gay, il s'agit d'une combinaison de vaccination + partenaires sexuels multiples + activités sexuelles gays. Ce combo conduit à un système immunitaire affaibli et à une exposition à une grande variété d'agents pathogènes, dont certains sont enracinés dans la partie inférieure du tube digestif et sont des déchets biologiques.
Notamment, les couples de lesbiennes ne partagent pas ce risque de monkeypox même s'ils partagent plusieurs partenaires sexuels lesbiens. Pourquoi? Parce qu'ils n'adoptent pas les mêmes comportements physiques que les homosexuels qui partagent plusieurs partenaires sexuels. Cela explique pourquoi le monkeypox est diagnostiqué presque exclusivement chez les hommes homosexuels, et non chez les femmes homosexuelles. Parce que, comme vous le savez, les hommes et les femmes ont des organes sexuels différents, même si les grands médias prétendent actuellement que ce n'est pas le cas.
Pourquoi le CDC ne dit-il pas aux homosexuels promiscueux de verrouiller leurs orgies sexuelles pendant 3 semaines pour aplanir la courbe ? Comme l'a déploré un médecin (le Dr Paul Alexander) sur la sous-stack, il est peut-être temps pour le CDC de dire aux hommes homosexuels de "ne pas avoir de relations sexuelles anales pendant 3 semaines" afin d'aplanir la courbe de la variole du singe.
ien sûr, le CDC ne s'engagerait jamais dans une telle commande. C'est bien d'ordonner à toute la population de se confiner, de porter des masques et de se faire vacciner, mais il n'est jamais acceptable dans une société "progressiste" de dire spécifiquement aux homosexuels d'arrêter le comportement qui propage la variole du singe. Comme l'explique le Dr Alexander, "Comment avez-vous pu fermer des entreprises pendant 2 ans en raison de la fraude COVID, amener les propriétaires d'entreprise, les employés licenciés, les enfants à se suicider à cause de la folie du verrouillage, mais vous ne pouvez pas dire à la communauté GAY d'arrêter le contact pendant 3 semaines ?"
Il souligne même qu'il ne s'agit pas d'être gay, mais de cause à effet physique :
Il ne s'agit pas d'être GAY, mais plutôt du type de contact physique qui augmente le risque de transmission des fluides corporels, du contenu des pustules, etc. s'il y a déchirure des tissus (micro déchirures) comme dans les déchirures rectales, les déchirures anales, les déchirures du pénis, même vaginales larmes si le contact sexuel est entre hétérosexuels. Il s'agit de la déchirure des tissus et de la capacité du fluide infecté à pénétrer dans les micro-ouvertures des tissus déchirés. Ne pas être GAY.
Mais pour l'amour de Dieu, il est temps de donner les bons conseils et de mettre fin aux conneries avec le politiquement correct.
Même si vous n'êtes pas un homme gay, les vaccins covid peuvent transformer votre corps en un système de réponse hyperactif déclenché par des toxines environnementales Alors, c'est là que tout cela devient intéressant. Bien au-delà des communautés monkeypox et LGBT, même les individus hétérosexuels et monogames peuvent se retrouver submergés par des postules, des réactions allergiques, des douleurs musculaires, une inflammation neurologique et d'autres problèmes graves simplement en étant exposés à des toxines environnementales de routine, toutes dues à une hypersensibilisation vaccinale / effondrement du système immunitaire.
Cela signifie que les personnes vaccinées peuvent être incapables de nager dans les piscines publiques, par exemple, ou qu'elles peuvent découvrir de nouvelles allergies ou sensibilités alimentaires qu'elles n'ont jamais connues auparavant. Ils peuvent même devenir allergiques à des médicaments tels que les antibiotiques, et s'ils vivent dans des zones où le taux de pollen est élevé, ils peuvent soudainement découvrir que vivre là-bas est insupportable en raison de leurs réactions allergiques.
Ensuite, il y a le problème des aflatoxines dans les aliments, qui sont une classe de produits chimiques extrêmement toxiques produits par des champignons. Ces souches de champignons infectent régulièrement les noix de cajou et autres noix ainsi que les graines et les céréales comme le blé et le maïs. Les aflatoxines sont mortelles pour le bétail, les poulets et autres animaux de ranch, et lorsqu'elles sont ingérées par les humains, elles ont besoin d'un foie qui fonctionne bien pour se détoxifier. (C'est pourquoi c'est une bonne idée d'avoir un approvisionnement prêt de suppléments de NAC à portée de main et de soutenir votre fonction hépatique avec des feuilles et des racines de pissenlit fraîches, entre autres choses. P.S. Je cultive des pissenlits hydroponiques pour cette raison même… plus à ce sujet plus tard …)
Un phénomène qui se produit actuellement est que les approvisionnements alimentaires sont stockés plus longtemps en raison de pannes dans la logistique et le transport, résultant de la pénurie de carburant, des prix du carburant, des pénuries de main-d'œuvre, des grèves des chemins de fer, etc. Cela donne aux approvisionnements alimentaires une plus grande opportunité de faire pousser des champignons producteurs d'aflatoxine, et cela signifie que la nourriture devient de plus en plus toxique en attendant d'être livrée. Tout environnement chaud et humide favorisera la croissance des aflatoxines. (Remarque : le magasin Health Ranger teste déjà toutes les noix et graines pour les aflatoxines, et nous développons un test d'aflatoxine à l'aide d'instruments de spécification de masse - LCMS - à appliquer à d'autres produits alimentaires dans un proche avenir.)
Ainsi, l'approvisionnement alimentaire devient plus toxique parce que les livraisons sont retardées. Pire encore, lorsque les gens sont vaccinés avec les vaccins covid expérimentaux, ils peuvent affaiblir la capacité de leur corps à neutraliser ces puissantes toxines. En fait, bon nombre des symptômes post-vaccinaux que nous observons actuellement chez les personnes semblent fortement ressembler à des symptômes d'empoisonnement à l'aflatoxine.
From MoldPedia.com, aflatoxin symptoms include:
Liver damage Liver cancer Mental impairment Abdominal Pain Vomiting Convulsions Edema Pulmonary Edema Hemorrhaging Disruption of food digestion, absorption or metabolism Coma Death
Notez à quel point ces symptômes ressemblent aux symptômes post-vaccinaux. Il se pourrait très bien que bon nombre de ces expériences ne soient pas directement causées par le vaccin seul, mais plutôt que le vaccin rende les systèmes humains très vulnérables à l'empoisonnement par l'aflatoxine, étant donné que les aflatoxines sont régulièrement présentes dans l'approvisionnement alimentaire en quantités microscopiques. (Le beurre d'arachide, par exemple, peut contenir des aflatoxines en raison de l'utilisation fréquente d'arachides de qualité inférieure qui abritent parfois des moisissures et des champignons.)
Également de MoldPedia.com :
L'Organisation américaine pour l'alimentation et l'agriculture estime que 25 % des cultures vivrières dans le monde sont affectées par les mycotoxines. Parmi ces mycotoxines, les aflatoxines sont le plus gros problème.
Le maïs, le coton et l'arachide sont les cultures les plus susceptibles d'être contaminées par les aflatoxines. Aspergillus pousse aussi couramment sur les haricots, le riz, les noix et le blé. Il pousse moins souvent sur d'autres céréales et noix.
Si les animaux reçoivent des aliments contaminés par des aflatoxines, les mycotoxines aflatoxines peuvent se retrouver dans le lait, les œufs et la viande. Les aflatoxines M1 et M, que l'on trouve souvent dans le lait de vache, sont des métabolites produits par des animaux qui ont mangé des aflatoxines.
Méfiez-vous des vaccins covid qui vous rendent vulnérable à d'autres expositions En résumé, méfiez-vous des effets de la prise de vaccins covid, car ils peuvent rendre votre corps plus vulnérable à d'autres agressions, produits chimiques, toxines, pathogènes, etc. En effet, les vaccins covid vont multiplier les effets toxiques d'autres toxines, et les habitudes alimentaires ( ou habitudes sexuelles) qui ne présentaient auparavant aucun risque réel pour votre santé peuvent soudainement apparaître comme extrêmement graves, accompagnées de symptômes très apparents tels que des éruptions cutanées, des postules, des difficultés respiratoires, etc.
Récemment, lors de la compétition cycliste du Tour de France - que j'ai surnommée Tour de VAX - de nombreux cyclistes se sont plaints de difficultés respiratoires et de douleurs aux jambes, entre autres problèmes. Cela est presque certainement dû aux vaccins covid qui sont nécessaires pour les compétitions cyclistes. D'où le nom Tour de VAX.
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Étude : La quercétine offre des avantages clés pour votre cœur et votre système immunitaire
mardi 26 juillet 2022 par : Zoey Sky
(Natural News) La quercétine est un flavonoïde et un pigment végétal présent dans les fruits et légumes aux couleurs vives. De nombreuses études continuent de prouver sa capacité à aider à prévenir les maladies cardiaques et à promouvoir la santé cardiovasculaire.
Des études de population approfondies ont révélé que les personnes ayant une alimentation riche en quercétine ont un faible taux de cholestérol et une incidence réduite de maladies cardiaques et de décès.
La recherche a également montré que la quercétine ne fait pas que stimuler la santé cardiaque, elle aide également à soulager les allergies et améliore la fonction immunitaire.
La quercétine offre des avantages cardiovasculaires La quercétine est un puissant antioxydant qui aide à réduire le stress oxydatif et l'inflammation, qui sont tous deux liés aux maladies cardiaques. Selon les recherches, la quercétine aide également à réduire les dommages causés par les crises cardiaques induites expérimentalement.
De plus, il a été démontré que les régimes riches en quercétine protègent contre le cholestérol LDL (lipoprotéine de basse densité) nocif en diminuant sa concentration dans le sang. Ceci, à son tour, réduit le risque de crise cardiaque et d'accident vasculaire cérébral car il empêche l'accumulation de plaque d'athérosclérose dans les artères.
La quercétine aide également le système cardiovasculaire en améliorant la circulation et en soutenant une tension artérielle saine. Une étude clinique a révélé que la prise de 200 mg de quercétine chaque jour améliore la production d'oxyde nitrique bénéfique - un produit chimique qui détend les vaisseaux sanguins - et favorise la fonction des cellules endothéliales.
La quercétine protège les plantes contre les dommages causés par les maladies, les températures extrêmes et les toxines chimiques. Dans les études, cela se traduit par la quercétine ayant des capacités potentielles anti-allergiques, antivirales et de stabilisation immunitaire.
La quercétine peut aider à prévenir l'épuisement des antioxydants et à protéger les poumons pendant les périodes de stress. Il aide également à prévenir la propagation des virus. Selon les recherches, la quercétine peut augmenter de manière significative le système de défense respiratoire antioxydant chez les souris exposées au virus de la grippe H1N1.
Des études ont également révélé que la quercétine aide à bloquer la réplication virale, réduisant ainsi la capacité des virus à infecter les cellules saines.
De plus, il a été constaté que la quercétine stimule les défenses immunitaires en aidant à augmenter la production de glutathion, le principal antioxydant du corps et un composant essentiel du système immunitaire.
Les données suggèrent également que la quercétine peut aider à prolonger la vie. Dans une revue d'études publiée en 2010 dans la revue Archives of Biochemistry and Biophysics, les auteurs ont écrit que la quercétine pourrait activer SIRT1, le gène "anti-vieillissement".
La quercétine aide à réduire les réactions allergiques La recherche moderne explore la capacité de la quercétine à combattre les allergies.
La quercétine est un antihistaminique naturel et peut aider à réduire les réactions allergiques en diminuant l'activation des mastocytes qui libèrent de l'histamine et d'autres signaux inflammatoires liés aux allergies, à l'asthme et aux affections cutanées. C'est pourquoi les prestataires de soins de santé intégratifs recommandent souvent la quercétine pour soulager l'urticaire, l'écoulement nasal, la congestion des sinus, les éternuements, le larmoiement et d'autres symptômes du rhume et des allergies.
En raison de la capacité impressionnante de la quercétine à inhiber les mastocytes, les chercheurs étudient son potentiel à bloquer les réactions anaphylactiques mortelles comme celles causées par les allergies aux arachides.
La quercétine est également un traitement potentiel de la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) et de l'asthme, grâce à sa capacité à détendre les muscles des voies respiratoires resserrés.
Améliorez votre santé globale avec des superaliments riches en quercétine Vous pouvez prendre de la quercétine supplémentaire sous forme de pilules, de gélules ou sous forme liposomale. Bien qu'il n'y ait pas de quantité quotidienne recommandée de quercétine, de nombreux guérisseurs naturels conseillent des doses de 500 mg prises deux fois par jour.
Une autre option consiste à suivre un régime alimentaire sain et à manger beaucoup d'aliments riches en quercétine comme des fruits et légumes frais et biologiques. Les aliments riches en quercétine comprennent les pommes non pelées. Une pomme mûre contient environ 50 mg de quercétine.
Les autres superaliments contenant de la quercétine comprennent le thé vert, les oignons rouges, les raisins rouges et violets et le vin rouge. La quercétine se trouve également dans les mûres, les myrtilles, le brocoli, les agrumes, les cerises noires, les framboises et les tomates.
Consommez des aliments riches en quercétine comme les pommes et les raisins ou prenez des suppléments de quercétine pour améliorer votre santé cardiaque et votre immunité et réduire les réactions allergiques.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur la façon dont la quercétine et le zinc peuvent être utilisés pour la prévention des virus.
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Cette vidéo provient de la chaîne YKnot74 sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées : Une étude montre que la combinaison de quercétine et de tocotriénols peut aider à combattre le cancer.
La quercétine peut vous protéger des effets nocifs des pesticides.
Quercétine : Un flavonoïde qui combat le COVID comme l'hydroxychloroquine.
Un membre du House Intelligence Committee met en garde les Américains contre l'utilisation de kits de test ADN
Les échantillons biologiques recueillis par divers services de test ADN pourraient être vendus et utilisés pour développer des armes biologiques spécialement conçues pour cibler certains groupes ou même des individus, ont affirmé les législateurs américains au Aspen Security Forum – faisant écho aux préoccupations exprimées depuis longtemps par les responsables russes.
"Il y a maintenant des armes en cours de développement, et développées, qui sont conçues pour cibler des personnes spécifiques", a déclaré vendredi le représentant américain Jason Crow (D-Colorado), membre du House Intelligence Committee, dans le Colorado. "C'est ce que c'est, où vous pouvez réellement prendre l'ADN de quelqu'un, prendre son profil médical, et vous pouvez cibler une arme biologique qui tuera cette personne ou la retirera du champ de bataille ou la rendra inutilisable."
Compte tenu de cette menace, a ajouté Crow, il est troublant que les attentes en matière de confidentialité des données personnelles aient diminué au cours des 20 dernières années, au point que les jeunes ont "très peu d'attentes en matière de confidentialité" et donnent facilement leurs données à des entreprises privées, telles que DNA prestations de test.
"Les gens cracheront très rapidement dans une tasse et l'enverront à 23andMe et obtiendront des données vraiment intéressantes sur leurs antécédents", a déclaré Crow. "Et devine quoi? Leur ADN appartient désormais à une société privée. Il peut être vendu avec très peu de protection de la propriété intellectuelle ou de protection de la vie privée. »
Il a ajouté que les États-Unis devront créer de nouvelles directives pour la protection des données personnelles de santé, y compris l'ADN, "parce que ces données vont en fait être obtenues et collectées par nos adversaires pour le développement de ces systèmes".
Moscou a mis en garde contre les dangers de la collecte incontrôlée d'échantillons d'ADN depuis des années, le président Vladimir Poutine ayant déclaré en 2017 que, selon les services de renseignement russes, des échantillons biologiques étaient prélevés "délibérément et professionnellement" dans toute la Russie par diverses ONG et autres organisations. à des fins peu claires.
Au cours des dernières années, le Pentagone a "considérablement élargi son potentiel de recherche non seulement dans le domaine de la création d'armes biologiques, mais aussi dans l'obtention d'informations sur la résistance aux antibiotiques et la présence d'anticorps contre certaines maladies dans des populations de régions spécifiques", a déclaré le lieutenant-général Igor. Kirillov, le chef de la Force russe de protection contre les radiations, chimiques et biologiques, a revendiqué en mai.
Dans une série de briefings à partir de mars, l'armée russe a présenté des preuves de l'implication présumée du Pentagone dans le financement de laboratoires biologiques en Ukraine. Selon le comité d'enquête russe, les États-Unis ont investi plus de 224 millions de dollars dans la recherche biologique en Ukraine entre 2005 et début 2022.
Alors que Washington a admis son soutien à 46 installations de recherche biologique en Ukraine au cours des 20 dernières années, il insiste sur le fait que tout cela faisait partie d'un projet pacifique de santé publique. L'armée américaine a accusé la Russie et la Chine de "répandre la désinformation et de semer la méfiance" quant à ses efforts pour débarrasser le monde des armes de destruction massive - tandis que les médias occidentaux ont rejeté ces allégations comme des théories du complot et de la science-fiction.
Selon le sénateur Joni Ernst (R-Iowa), membre du sous-comité sénatorial sur les menaces et capacités émergentes et le comité des services armés, les inquiétudes concernant les armes biologiques personnalisées vont au-delà des données ADN humaines, qui a pris la parole lors d'un panel avec Crow. Les adversaires américains peuvent également diriger des armes biologiques spécifiquement vers le bétail et les cultures américains pour créer une crise de sécurité alimentaire, a-t-elle affirmé.
"Il y a plusieurs façons d'envisager les armes biologiques et la nécessité de s'assurer non seulement que nous sécurisons les êtres humains, mais aussi la nourriture qui nous soutiendra", a ajouté Ernst.
Un rapport publié plus tôt cette année par la Commission d'examen de l'économie et de la sécurité entre les États-Unis et la Chine a suggéré que la Chine pourrait un jour tenter de mener une guerre biologique contre les cultures américaines génétiquement modifiées, compte tenu de son « intérêt accru pour l'agriculture américaine » et la propriété intellectuelle liée aux OGM.
"Alors que le principal intérêt de la Chine à obtenir des semences GM des États-Unis est d'améliorer les rendements de ses cultures, la militarisation potentielle de la propriété intellectuelle agricole est possible", a-t-il déclaré. "Semblable au piratage d'un code informatique, Pékin pourrait facilement pirater le code ou l'ADN des semences GM américaines et mener une guerre biologique en créant un type de fléau qui pourrait détruire les cultures américaines."
Dès lors qu'est fileté une fosse nasale (écouvillonnage déposant des nano-particules d'oxyde de graphène près du cerveau) c'est comme prendre votre n° de sécurité sociale ou votre adresse internet.
Dès lors que vous êtes fiché vous êtes ciblé. Et, comme il y a sur vous (ou près de vous) votre téléphone portable vous pouvez réceptionner un message (ondes basses fréquences) vous foudroyant sur place ! Ou, si vous n'en avez pas et que vous vous êtes fait inoculer l'expérimentation génique d'essais qui se compose de 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène (ou que vous employez un gel hydroalcoolique qui en contient, ou, que vous portez un masque imprégné de ces nano-particules d'oxyde de graphène).
Donc: si vous êtes LA victime de ci-dessus... vos jours sont comptés.
Le rétablissement rapide de Joe Biden de Covid marquera la fin de l'épidémie pour tous sauf les hystériques les plus endurcis.
Si un homme de 79 ans qui peut à peine terminer une phrase peut battre le ro en quelques jours, même Molly Jong-Fast aura du mal à rester effrayée. Oui, une autre variante pourrait changer le calcul. Mais en ce moment, je suis sur un Acela de New York à Washington, dans l'environnement le plus effrayant de Covid qui soit aux États-Unis, et presque personne n'est masqué.
(Pauvre, pauvre New York Times. Personne n'écoute plus :)
—
La fin du masquage obligatoire a marqué la première étape du déclin de Covid en tant que force culturelle ; les masques visaient toujours à instiller la peur. La décision de la Cour suprême annulant les mandats de vaccination sur le lieu de travail a retiré Covid de l'avant-plan politique.
Maintenant, Joe Biden, simplement en survivant, a mis fin à tout débat sur la question de savoir si Covid est une crise médicale. Accordez-lui du crédit. C'est probablement sa plus grande réalisation en plus de rendre l'inflation à nouveau formidable.
Et pourtant le Covid - et les vaccins Covid - font encore des dégâts inestimables dans notre société. L'échec des injections d'ARNm, après le battage médiatique qui les a entourés lors de leur introduction en 2020, est profondément décevant.
Le développement de nouveaux médicaments ne peut pas être précipité, autant que nous pourrions l'espérer. Les régulateurs et les scientifiques éthiques doivent insister sur des essais cliniques correctement conçus et menés avant d'approuver tout nouveau médicament ou vaccin.
Mais l'échec des vaccins est en fait moins corrosif à ce stade que le sombre refus des autorités de santé publique, des politiciens et des médias d'admettre cet échec.
Pratiquement tout le monde connaît la vérité. Comment puis-je être si sûr ? De la manière la plus basique. Personne ne reçoit plus d'injections d'ARNm - ni pour lui-même, ni pour ses enfants. Plus d'un mois après que les régulateurs ont enfreint toutes les directives qu'ils doivent approuver pour les enfants de moins de 5 ans, plus de 97% des enfants de cet âge restent intacts.
L'absorption globale a également cratéré. Même avec 19 millions de jeunes enfants désormais éligibles, les médias et les autorités sanitaires poussant sans cesse des boosters et des reboosters (maintenir, mamie, maintenir !), et certains collèges exigeant incroyablement des boosters de leurs étudiants, les Américains reçoivent moins d'un quart de million de piqûres Covid par journée.
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Donc quel est le problème ?
Le problème est le suivant : le déni incessant d'une vérité évidente par les plus hauts niveaux des médias et du gouvernement est de l'essence pour le feu des théoriciens du complot. S'ils mentent sur les vaccins alors que tout le monde peut voir que les vaccins ne fonctionnent pas, sur quoi d'autre mentiront-ils ? Et pourquoi ont-ils menti en premier lieu ? Deeeeepopulation, c'est une chose.
Eh bien, ils ont menti parce qu'ils voulaient que Covid se termine si mal qu'ils ont ignoré tous les problèmes évidents des essais cliniques. Quant à quoi d'autre ils vont mentir ? Je ne sais pas. Mais - et je n'arrive pas à croire que je doive le dire - je ne pense pas que Bill Gates veuille dépeupler le monde. Il peut simplement acheter Montana s'il veut de l'intimité. Ma théorie du complot : les gens vraiment riches ne se soucient pas assez de vous pour vouloir votre mort !
Quoi qu'il en soit, ce serait vraiment bien si les responsables admettaient la vérité, les vaccins n'ont pas fonctionné comme promis et maintenant nous devons espérer qu'aucune variante plus virulente du Sars-Cov-2 ne vienne faire des dégâts massifs.
D'accord, je suppose que je peux voir le problème avec la vérité. Pourtant, ils ne se font pas - ou le reste d'entre nous - des faveurs. Mais nous obtenons une comédie involontaire de la part de Jacinda Arcern, la première ministre de la Nouvelle-Zélande et héros de la gauche, qui a vraiment perdu l'intrigue et semble maintenant auditionner pour un rôle de cousine moins sympathique de Cersei Lannister :
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Vous m'écouterez mes jolies ! Et seulement moi !
Non, Cruella, nous passerons. Et prendre du soleil, hein ? Ou est-ce interdit non plus parce que le bronzage est un signe que l'on ne prend pas assez au sérieux le réchauffement climatique ?
Une tromperie "très efficace": 3 ans plus tard, il ne reste aucun remède fonctionnel contre un coronavirus Il n'existe pas de vaccin fonctionnel contre le coronavirus et il n'y en a jamais eu.
Jordan Schachtel le 27 juillet 2022
Il existe de nombreux problèmes technologiques et médicaux difficiles qui doivent encore être résolus et conquis par les meilleurs et les plus brillants esprits scientifiques. Malgré les affirmations contraires, avec près de trois ans depuis le premier cas de COVID-19 signalé, un remède contre un coronavirus reste à découvrir.
Au début de COVID Mania, les médecins et les scientifiques étaient très ouverts sur le fait qu'il n'y avait jamais eu de remède contre un coronavirus et qu'il ne serait pas sage d'en attendre un de si tôt. De plus, l'idée que l'on serait développé en quelques mois, voire des années, était en grande partie une chimère, nous a-t-on dit.
Puis soudain, en un instant, la "percée" s'est produite. Le «miracle de l'ARNm» a été trouvé grâce à cette technologie innovante (du moins, selon la version anglaise de l'histoire de la guérison. La Chine, la Russie et d'autres grandes puissances n'ont jamais utilisé l'ARNm, mais elles ont également dit à leurs citoyens que ce qui équivalait à un remède a été découvert).
Avatar Twitter pour @nealrogers Neal Rogers🇺🇦 @nealrogers Le vaccin à ARNm COVID-19 est un miracle moderne 13 novembre 2021
17 Retweets87 J'aime Avatar Twitter pour @NIHDirector Laurent A. Tabak @NIHDirector Un honneur bien mérité ! Ces scientifiques sont des héros pour nous avoir donné le miracle des vaccins à ARNm #COVID19 et développé une technologie qui a transformé la façon dont nous allons prévenir d'autres maladies. Merci @KizzyPhD @BarneyGrahamMD @kkariko @WeissmanLab
Les scientifiques du vaccin sont les héros de l'année 2021 du TIME En donnant au monde une arme contre le COVID-19, ces scientifiques ont construit une défense contre les défis à venir bit.ly 13 décembre 2021
Quelques semaines à peine après le premier décès désigné par COVID-19, Pfizer (via BioNTech) et Moderna ont déclaré qu'ils étaient en possession d'un vaccin fonctionnel, qui, selon la compréhension de l'Américain moyen, équivalait à un remède stérilisant. Il semblait certainement étrange que ces entreprises pharmaceutiques, selon les délais de leur propre entreprise, aient résolu un problème autrefois insoluble en quelques jours et quelques semaines (Moderna et Pfizer ont affirmé avoir développé leurs vaccins COVID en janvier 2020). Encore plus étrange était la réalité que BioNTech et Moderna n'avaient jamais déployé un seul produit sur le marché. Il a donc fallu transformer le langage pour résoudre ces problèmes.
Le dossier Qu'est-il arrivé au «miracle» de l'ARNm ? Avec le déploiement initial du «remède contre le COVID-19», les «experts» nous ont assuré que ces vaccins à ARNm – une première plate-forme du genre développée et distribuée aux masses par Pfizer-BioNTech et Moderna – s'apparentaient à un remède miracle. Le Dossier est une publication assistée par les lecteurs. Pour recevoir de nouveaux messages et soutenir mon travail, envisagez de devenir un… Lire la suite Il y a 6 mois · 166 J'aime · 57 commentaires · Jordan Schachtel Avatar Twitter pour @BostonGlobe Le BostonGlobe @BostonGlobe À l'intérieur de la quête d'un remède contre le COVID-19 : qu'est-ce qu'un vaccin à ARNm ? bos.gl/UmiyU2E 10 novembre 2020
La campagne de messagerie soigneusement conçue nous a informés que la communauté scientifique mondiale a réuni ses meilleurs esprits pour vaincre ce problème. C'était, selon cette histoire de persévérance herculéenne, une percée collective qui équivalait à un miracle scientifique.
C'était tout un tas d'absurdités, mais l'argumentaire de vente a fonctionné.
La percée miracle était là. Maintenant, tout ce que nous avions à faire était de rester enfermés indéfiniment dans nos maisons comme des moutons dociles et de rester à l'écart de nos semblables jusqu'à ce que le remède puisse être déployé auprès des masses. Entrez : Operation Warp Speed.
Le dossier Miracle ou mirage ? ARNm, Moderna, BioNtech et COVID-19 Avant la pandémie de COVID-19, Moderna et BioNtech n'avaient jamais produit un seul produit. Les équipes de biotechnologie ont été fondées respectivement en 2008 et 2010, avec l'objectif déclaré d'être les pionniers des thérapies par ARN messager (ARNm) dans le monde de la santé. Moderna et BioNtech partagent une histoire pleine de secret, de battage spéculatif, de bienfaits de l'effet réseau… Lire la suite
il y a un an · 51 J'aime · 13 commentaires · Jordan Schachtel Je n'ai pas besoin d'élaborer beaucoup sur ce qui s'est passé au cours des deux prochaines années, car nous avons tous vécu cette expérience avec la règle COVID Mania. Bref, presque tout le monde s'exécuta, sous l'impression qu'ils s'étaient injecté le remède dans leurs bras, et furent par la suite déclarés "entièrement vaccinés".
Avatar Twitter pour @peterschack Peter Schacknow @peterschack Le vaccin n°2 dans les livres ! (Et le bras......). Merci à Moderna pour ce miracle de la médecine moderne et à @Walgreens pour avoir rendu le processus si simple. $MRNA $WBA Drogues Essendon GIF 26 mars 2021
Grâce à des données et des statistiques manipulées, le gouvernement corrompu et trompeur et les entreprises privées de « santé publique » ont maintenu le récit de la guérison aussi longtemps que possible. Cependant, il est rapidement devenu impossible de continuer à affirmer que les vaccins étaient efficaces pour prévenir le COVID-19, ils ont donc contesté la définition communément comprise d'un vaccin et réorienté le message pour affirmer qu'il vous empêcherait d'aller à l'hôpital. Avance rapide jusqu'à aujourd'hui et les poteaux de but sont passés à quelque chose comme "quatre injections d'ARNm vous rendront plus susceptible de mourir avec COVID-19 plus paisiblement".
L'ARNm (ou la version du "vaccin" que vous avez prise) n'a rien fait pour résoudre le problème du virus, mais il est important de garder ce récit vivant. Pour Pfizer et Moderna, entre autres, y compris la réputation des superpuissances mondiales, la poursuite du récit de la "percée miracle"
est essentiel à la fois au résultat net et à l'ego politique. Si la vérité devait être révélée à un trop grand nombre de personnes, les gouvernements devraient être tenus pour responsables et ils cesseraient très certainement d'acheter de l'huile de serpent à ARNm, ce qui entraînerait des centaines de milliards de dollars de bénéfices qui disparaîtraient du jour au lendemain. Pire encore, il pourrait y avoir des répercussions criminelles et politiques pour leurs fausses déclarations en série et leur tromperie pure et simple.
Nous avons été dupés et carrément canulars par une mafia pharmaceutique et gouvernementale de la santé, qui a mobilisé des hordes de médecins et de scientifiques pour commettre un seppuku de réputation en approuvant le récit du «remède miracle» aux masses.
Nous n'avons pas de remède miracle. Il n'y a jamais eu de percée dans la lutte contre un coronavirus. Ce n'était qu'une campagne intelligente de marketing et de coercition. Près de trois ans après le début de cette affaire, nous ne sommes pas plus proches du remède contre un coronavirus que nous ne l'étions fin 2019.
La revue PANDA WHO Et pourquoi c'est important pour vous
Robert W Malone MD, MS 26 juil. 2022
« L'examen de l'OMS et pourquoi est-ce important pour vous ? » a été écrit par Abir Ballan et publié par PANDA. C'est une lecture incontournable pour quiconque s'intéresse à la santé publique, aux politiques mondiales de l'OMS sur le COVID-19 - que presque toutes les nations ont suivies, et à toute l'étendue de la corruption de l'OMS/des dirigeants mondiaux et les gouvernements. L'examen énumère également ce qui aurait dû être fait à la place. Le document complet est accessible via le lien ci-dessous :
Le lien est ICI
Cet examen vous fournit des informations clés pour vous aider à évaluer la candidature de l'OMS en tant qu'organisation mondiale de santé publique faisant autorité. Il fournit des informations générales sur la santé publique et les principes de gestion de la pandémie tels qu'ils ont été précédemment convenus par cette branche des Nations Unies. L'analyse PANDA vous permettra d'évaluer le bien-fondé de la réponse recommandée par l'OMS à Covid-19 et MonkeyPox, et de déterminer dans quelle mesure l'OMS a suivi fidèlement ses propres recommandations précédemment développées. Il résume ensuite les hypothèses sous-jacentes à leurs recommandations sur le Covid-19, suivi d'un résumé des recommandations finales.
Qui est Robert Malone est une publication soutenue par les lecteurs. Pour recevoir de nouveaux messages et soutenir mon travail, envisagez de devenir un abonné gratuit ou payant.
Enfin, il examine les influences possibles sur les décisions et l'orientation de l'OMS et suggère des mesures que vous pouvez prendre pour protéger votre propre souveraineté sanitaire personnelle et nationale du pouvoir que cette organisation internationale a développé et exerce sur nous tous.
Mon bref synopsis / compilation est ci-dessous:
L'OMS a été fondée en 1946 et avait quelques principes fondamentaux de base, qui ont été complètement ignorés pendant l'épidémie de COVID. Cette image est une compilation de la constitution de l'OMS :
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L'image suivante (ci-dessous) est tirée des documents de planification pour la grippe et les maladies pandémiques associées en 2019. Ces recommandations étaient basées sur une analyse de la littérature scientifique. Les actions que l'OMS a choisi de recommander pendant la COVID étaient presque une déviation complète des plans de développement de la pandémie précédents qu'elle avait élaborés et approuvés. Bien sûr, les questions qui viennent à l'esprit de tous ceux qui sont confrontés au renversement presque complet des politiques précédemment recommandées sont « Pourquoi ? » et "Qui était derrière ce renversement remarquable?"
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De toute évidence, les interventions non pharmaceutiques (NPI) déployées pendant la pandémie de Covid-19 ne sont pas conformes aux recommandations antérieures de l'OMS pour la gestion de la pandémie de 2019.
Cet examen passe ensuite en revue toutes les « nouvelles » données qui montrent que les confinements, les masques, la vaccination universelle, les fermetures d'écoles, etc. sont tous basés sur des études fabriquées de mauvaise qualité ou sur des recherches inexistantes. Ces sections sont détaillées et bien résumées.
La question de la létalité du virus et de la façon dont l'OMS a faussement fait croire que le virus est plus mortel qu'il ne l'était en réalité, même avec la souche d'origine - est également discutée en détail.
En utilisant des images et des tweets du site Web de l'OMS - l'examen démontre que l'OMS a été corrompue, mais le fait sans porter une seule accusation spécifique. Les images laissent parler les paroles et les actes de l'OMS. Le facteur d'impact de ces images est important. Un tel exemple est ci-dessous:
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La conclusion du document énumère ce qui aurait pu être fait différemment.
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Le document est complet, bien référencé et mérite d'être lu. Pensez à le faire et à partager avec des amis, des collègues et même des politiciens.
Le Petit Docteur dit maintenant que «des mesures beaucoup plus strictes» auraient dû être imposées aux «personnes asymptomatiques» – ce qui signifie bien sûr à tout le monde – en 2020. C'est, comme le disait M. Spock, absolument fascinant – venant d'un homme qui est lui-même un propagateur « asymptomatique ».
Un réel - par opposition à un affirmé.
En ce sens qu'il a en fait, de son propre aveu, attrapé le "virus" - malgré le port de plusieurs "masques" et la réception (dit-il) de plusieurs "vaccins", aucune de ces "mesures" ne l'ayant empêché d'attraper et de propager le très la maladie, insiste-t-il, nécessitait «des mesures beaucoup plus strictes».
Le fait que cet homme soit diplômé de l'école de médecine en dit long sur la valeur de l'école de médecine - du moins, si cet homme est un exemple des résultats d'une telle scolarité. Car il est soit un imbécile - tel que défini à l'époque pré-politiquement correct comme une personne ayant un QI très bas et une fonction cognitive médiocre - soit il est mauvais.
Il ne peut y avoir d'autre explication, si ce n'est qu'il est à la fois imbécile et méchant.
Comment peut-on l'expliquer autrement ?
S'il y avait des preuves que porter un morceau de tissu fabriqué en Chine sur votre visage pendant des heures empêchait ou même réduisait les risques qu'une personne soit infectée par un virus - puis transmette le virus à d'autres - on pourrait être en mesure de faire un étui pour porter les choses. Il n'y a pas de preuve. Aucun. Les personnes sans «masque» n'ont pas plus attrapé le «virus» - et pas pire - que celles qui «se sont masquées».
Un fait.
Il y a simplement cette affirmation continue et imbécile qu'ils « travaillent » - par des imbéciles diaboliques tels que cet interminable petit bureaucrate au visage de rat qui s'est trompé sur littéralement tout ce qu'il a dit.
Mais alors, les «masques» font du «travail» - en ce sens qu'ils sèment la division parmi nous, suscitent la peur et le dégoût, perpétuent le mensonge selon lequel se promener avec ces choses est une sorte d'obligation publique et que ne pas en porter est une sorte de défaillance morale.
Seule une personne mauvaise chercherait à promouvoir une telle chose alors qu'il est bien connu que c'est la seule chose que le port favorise.
Comme la poussée de ces «vaccins» qui n'ont pas empêché les personnes qui ont pris plusieurs doses – et qui portent plusieurs «masques» – d'obtenir exactement ce que les gens qui les poussent (comme Fauci) ont juré qu'ils feraient pas obtenir. Qui a ensuite redéfini le sens de « vaccin » pour signifier quelque chose qui « provoque une réponse immunitaire » plutôt qu'immunise.
Quel autre mot y a-t-il pour définir cela à part le mal ?
"Si je savais en 2020, ce que je sais maintenant, nous ferions beaucoup différemment car à l'époque nous n'étions pas sûrs d'un certain nombre de choses", a déclaré lundi le petit fluage.
Qu'est-ce que "nous" ferions exactement ?
« Si nous avions su cela alors, la nature insidieuse de la propagation dans la communauté aurait été beaucoup plus alarmante et il y aurait eu des restrictions beaucoup, beaucoup plus strictes dans le sens de très, très lourdes, encourageant les gens à porter des masques, physiques distanciation ou quoi que ce soit.
"Encouragement" ? Il veut dire, bien sûr, des exigences – sans aucun doute brutalement appliquées, comme à Chyna et en Nouvelle-Zélande, par exemple. Vous pouvez presque l'entendre lécher ses babines.
Fauci a également déclaré: «Nous savons maintenant, deux ans et demi plus tard, que 50 à 60% de la transmission provient d'une personne sans symptômes, soit quelqu'un qui n'aura jamais de symptômes, soit quelqu'un qui est au stade pré-symptomatique. ”
Comme lui-même ?
Comme l'affaire Biden? Tous deux « asymptomatiques » – et se propagent. Combien de mamies sont mortes à cause d'eux ? Pourtant, aucun opprobre ne leur est adressé. Contrairement à l'opprobre qu'ils ont dirigé contre toute personne qui s'interrogeait sur l'ordre de "masquer" - peu importe l'absence de toute preuve de maladie. Ou était "hésitant" à se soumettre à l'injection d'un supposé "vaccin" qui s'est avéré inutile pour empêcher les gens de contracter - à savoir, "vacciné" mais "positif" Fauci - et ainsi propager également la maladie qui est devenue l'ululation pour l'imposition de «mesures» imbéciles et mauvaises, que ces imbéciles mauvais ne lâcheront jamais.
Fox News a déclaré que Fauci "a fait valoir que les efforts actuels pour ramener les mandats de masque pourraient être efficaces".
Et donc pourrait sauter de haut en bas sur un pied. Vous ne savez jamais ce qui « pourrait » être efficace – même si chaque élément de preuve indique le contraire.
Mais le méchant imbécile ne fait qu'offrir. . . suggestions.
«Le CDC n'impose rien. Ce qu'ils font, c'est qu'ils font des recommandations parce qu'au niveau local, vous pouvez avoir une situation très différente dans une région du pays ou un comté ou une ville ou un état très différent d'une autre région, ville ou état. Et c'est la raison pour laquelle le CDC sert d'analyse de la situation sur le terrain et de recommandation. Que quelque chose devienne une exigence est quelque chose qui est décidé au niveau local.
Juste des "recommandations". Avec la force et l'effet de la loi.
Attendez-vous à ce que d'autres reviennent cet automne. Tant que des imbéciles diaboliques comme cet homme ont le pouvoir de . . . les recommander.
Par le Dr Joseph Mercola Mercola.com 27 juillet 202
« Pourquoi la ruée vers les vaccins pour les tout-petits ? » demande Allysia Finley, membre du comité de rédaction du Wall Street Journal, dans un éditorial du 4 juillet 20221. En effet, beaucoup posent la même question, et je suis heureux que le WSJ des médias traditionnels ait eu le courage de l'imprimer.
Dans les derniers jours de juin 2022, les États-Unis sont devenus le premier pays au monde à accorder une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) pour les jabs COVID de Pfizer et Moderna pour les tout-petits dès l'âge de 6 mois.
La Food and Drug Administration a émis l'EUA le 17 juin2 et dès le lendemain, les Centers for Disease Control and Prevention ont recommandé à tous les tout-petits de se faire vacciner dès que possible.3 Le président Biden l'a qualifié de « étape très historique, une étape monumentale vers l'avant. »4 Mais l'est-il ?
"COVID était clairement une urgence sanitaire pour les adultes en 2020. En revanche, l'urgence semble maintenant politique", écrit Finley.5 "En fait, nous ne savons pas si les vaccins sont sûrs et efficaces. L'action précipitée de la FDA était basée sur des preuves extrêmement faibles.
C'est une chose de faire preuve de souplesse réglementaire en cas d'urgence. Mais pour les enfants, le COVID n'est pas une urgence. La FDA a plié ses normes à un degré inhabituel et a écarté des preuves troublantes qui justifient une enquête plus approfondie.
Une autre personne qui pense que l'EUA du COVID tourné pour les nourrissons fait partie du théâtre politique est Toby Rogers, Ph.D. Dans la vidéo ci-dessus, il discute du processus d'autorisation – qu'il a regardé en direct – avec l'animateur de "Against the Wind" Paul Thomas. Rogers révèle comment la FDA et le CDC "ont piétiné les normes scientifiques, ont bafoué les méthodes appropriées et abandonné la science". Il dit à Thomas :
«Ce que vous attendez d'un processus comme celui-ci, c'est de la bonne science – avoir des conversations difficiles et passer au crible les preuves de signaux et de bruits afin de prendre de bonnes décisions au nom du pays. Ce que vous obtenez à la place, c'est de la politique - faire passer les produits sur toute la ligne, quoi qu'il arrive.
COVID est sans conséquence pour les jeunes enfants
Finley souligne que seuls 209 enfants âgés de 6 mois à 4 ans sont morts du COVID, selon les données du CDC.6 Elle utilise le mot « de », mais les preuves suggèrent que la plupart des enfants meurent « avec » le COVID et d'autres problèmes de santé graves. conditions telles que le cancer.7,8,9
Cela dit, Finley note que les deux enfants de l'essai pédiatrique de Pfizer qui ont développé les infections les plus graves "ont également été testés positifs pour d'autres virus", donc "il est possible que de nombreuses hospitalisations attribuées au COVID cet hiver aient en fait été provoquées ou exacerbées par d'autres virus. ”
Une autre statistique révélatrice est que le nombre de tout-petits hospitalisés pour COVID entre octobre 2020 et septembre 2021 représentait environ la moitié du nombre total de tout-petits hospitalisés pour la grippe l'hiver précédent.10 Ces données, encore une fois, proviennent du CDC, donc clairement, ils sont pleinement conscients de la façon dont le risque COVID se compare à d'autres infections courantes.
Les injections ne fonctionnent pas bien chez les jeunes enfants
Finley poursuit ensuite en discutant de l'efficacité, notant que si les injections semblaient initialement offrir une protection solide aux adultes, on ne peut pas en dire autant des enfants. Le vaccin Moderna n'était efficace qu'à 51 % contre l'infection symptomatique à Omicron chez les enfants de 6 mois à 2 ans, et à seulement 37 % chez les enfants de 2 à 5 ans.
C'est moins que ce que nous acceptons normalement pour les vaccins, ce qui rend l'autorisation encore plus irrationnelle. Pourquoi utiliser une injection aussi expérimentale avec une efficacité aussi médiocre chez les enfants qui ne courent pas un risque grave de décès par infection en premier lieu ? Pfizer, quant à lui, a affirmé que son injection était efficace à 80 %, « mais c'est trompeur », dit Finley, et poursuit en expliquant :
« D'une part, Pfizer a enfreint de nombreuses conventions d'essais cliniques. Son protocole initial impliquait seulement deux doses, mais cela n'a pas réussi à générer les niveaux d'anticorps requis pour l'approbation de la FDA. Pfizer a donc ajouté une troisième dose, ce que la FDA a généreusement autorisé. Habituellement, l'agence ne laissera pas les fabricants de médicaments corriger leur trajectoire lorsqu'un essai se solde par un échec.
Pfizer a ensuite prévu de suivre au moins 21 cas pour établir une mesure simple de l'efficacité. En comparaison, Moderna a suivi plus de 250 cas. Pourtant, Pfizer a tronqué sa collecte de données le 29 avril… même si seulement 10 cas avaient été enregistrés après la troisième dose.
Il est difficile de ne pas conclure que Pfizer a pris des raccourcis pour éviter d'être battu par Moderna. Mais en conséquence, trop peu de cas ont été documentés pour mesurer avec un quelconque degré de confiance l'efficacité du vaccin de Pfizer...
Plus troublant, les tout-petits vaccinés dans l'essai de Pfizer étaient plus susceptibles de tomber gravement malades avec COVID que ceux qui ont reçu un placebo. Pfizer a affirmé que les cas les plus graves n'étaient pas «cliniquement significatifs», quoi que cela signifie, mais c'était une raison de plus pour que la FDA aurait dû exiger un suivi plus long avant d'autoriser le vaccin.
Aussi inquiétant : la plupart des enfants qui ont développé plusieurs infections au cours de l'essai ont été vaccinés. Cela justifiait une enquête plus approfondie, car les vaccins expérimentaux pour d'autres maladies augmentent parfois la sensibilité à l'infection.
Les scientifiques découvrent également que les adultes triplement vaccinés qui ont été précédemment infectés par la variante de Wuhan ont une réponse immunitaire plus faible à Omicron, ce qui les rend plus sensibles à la réinfection. Ce phénomène, appelé « empreinte immunologique », pourrait expliquer pourquoi les enfants qui ont reçu trois injections de Pfizer étaient plus susceptibles d'être réinfectés.
Le CDC et la FDA jettent imprudemment la prudence au vent
Fondamentalement, le CDC et la FDA parient que donner le coup COVID n'atténuera pas les réponses immunitaires des tout-petits à d'autres infections, que ce soit une variante du SRAS-CoV-2 ou autre chose. C'est imprudent à l'extrême, vu que le système immunitaire des jeunes enfants est encore immature et fait face quotidiennement à d'innombrables ennemis potentiels.
Cette "formation" continue que subit le système immunitaire au cours des premières années de la vie d'un enfant est ce qui lui permet de développer un système immunitaire qui fonctionne bien au fil du temps. L'empreinte immunologique pourrait jeter un énorme coup dur dans les travaux, rendant les enfants moins capables de combattre les infections.
Les jeunes enfants sont exceptionnellement « résistants » et peuvent se remettre de la plupart des infections. Cependant, c'est à condition que quelque chose n'ait pas été fait qui empêche leur système immunitaire de fonctionner normalement. Bien sûr, nous savons également que les injections sont associées à des effets encore plus graves, notamment une inflammation cardiaque, des troubles neurologiques et le cancer.
«La norme de la FDA pour l'approbation des vaccins chez les personnes par ailleurs en bonne santé, en particulier les enfants, est censée être plus élevée que pour les médicaments qui traitent les malades. Mais la FDA a visiblement abaissé ses normes pour approuver les vaccins COVID pour les tout-petits. Pourquoi?" Finley demande.11 Pourquoi en effet ? A quoi pensent-ils ?
Malheureusement, ils ne pensent probablement pas du tout à la santé des enfants, mais plutôt aux bénéfices de Big Pharma. L'autorisation EUA du jab COVID pour les tout-petits élimine toutes les questions quant à savoir si la FDA et le CDC sont capturés par l'industrie pharmaceutique ou non. Elles sont.
C'est maintenant au-delà de la clarté, et les conséquences de cette capture flagrante sont susceptibles d'être considérables. Cela pourrait même détruire le programme de vaccination des enfants dans son ensemble, car les parents comprennent maintenant que ces agences sont profondément corrompues et fonctionnent essentiellement comme des agences de promotion secrètes pour Big Pharma.
Le CDC rompt la confiance dans la vaccination des enfants
Leslie Bienen et Tracy Beth Hoeg ont abordé l'autodestruction auto-imposée du CDC dans un article du magazine Tablet du 5 juillet 202212, dans lequel elles ont noté que couverture vaccinale pour des maladies plus importantes.
Le duo cite des données de sondage13 montrant qu'une majorité de parents sont sceptiques quant à la recommandation du CDC de piquer leurs jeunes enfants. Seuls 18% des répondants ont déclaré qu'ils étaient impatients de faire vacciner leurs bébés et leurs tout-petits, tandis que 38% ont déclaré qu'ils attendraient de voir s'il y avait des effets secondaires; 27% ont déclaré qu'ils ne feraient "certainement pas" piquer leur enfant.
Selon un sondage Hart de janvier 2022, seuls 44% des Américains croient ce que dit le CDC. À titre de comparaison, la prise du « vaccin » COVID chez les enfants américains de 5 à 11 ans au 22 juin 2022 était de 29 % pour deux doses et de 36 % pour une dose.14 À mon avis, même 18 % des parents de nourrissons - près de 1 sur 5 - est trop élevé, et un signe que beaucoup n'ont toujours pas accès aux informations qui pourraient les sauver d'un monde de chagrin.
Parmi les autres sondages intéressants cités par Bienen et Hoeg, citons un sondage Hart de janvier 202215, qui a révélé que seulement 44 % des Américains croient ce que dit le CDC. Cela n'augure rien de bon pour le CDC, et pas seulement en ce qui concerne le COVID, mais aussi pour d'autres vaccinations.
En effet, l'une des rares doublures argentées de COVID est que les gens commencent à se réveiller en masse, réalisant que l'ensemble du programme de vaccination des enfants a été déformé, tout comme les vaccins COVID sont déformés. Par exemple, j'ai récemment interviewé le Dr Robert Malone, qui a déclaré :
«Je suis maintenant complètement dans le même camp que Bobby Kennedy, en ce sens que je pense que toute l'entreprise de vaccins doit être revisitée, et c'est sans équivoque. Nous ne disposons pas de données pour étayer l'innocuité et l'efficacité du calendrier vaccinal pédiatrique actuel, et tous les composants du calendrier vaccinal pédiatrique doivent être réévalués pour le rapport risque-bénéfice. À la fois en tant que produits individuels et en tant que produits combinés.
Cette interview n'a pas encore été publiée, mais sortira sous peu. Lui aussi a remarqué que beaucoup commencent maintenant à remettre en question TOUS les vaccins, grâce à l'approche irrationnelle et non scientifique de la FDA et du CDC vis-à-vis des piqûres COVID. Comme l'ont noté Bienen et Hoeg :16
"Parler en absolu de la sécurité et de l'efficacité des vaccins, quelles que soient les normes d'essai, peut se retourner contre eux... De plus, si l'identification des signaux de sécurité n'est pas rapidement reconnue, il devient encore plus difficile de rétablir la confiance."
À l'heure actuelle, environ 18 mois après le déploiement du vaccin COVID, il est clair que la FDA et le CDC ne prêtent aucune attention aux signaux de sécurité, et s'ils changent de cap et reconnaissent que plus de 2,2 millions de rapports d'événements indésirables,17 dont plus de 29 000 décès , sont un problème, il sera bien trop tard pour qu'ils s'en remettent. Ils sont essentiellement foutus. Il n'y a pas de retour d'une trahison comme celle-ci.
Pourquoi les deux tiers des tout-petits ont-ils abandonné l'essai de Pfizer ?
Quand on considère à quel point les essais pédiatriques étaient de mauvaise qualité, je ne vois pas comment un parent risquerait de donner le coup COVID à son enfant. Comme l'expliquent Bienen et Hoeg :18
«L'approbation des vaccins COVID chez les nourrissons et les tout-petits est basée sur deux essais qui ont utilisé des changements dans les niveaux d'anticorps comme estimation de l'efficacité, mais n'ont pas évalué la protection contre les maladies graves, l'hospitalisation ou le syndrome inflammatoire multisystémique chez les enfants (MIS-C), important résultats qui inquiètent les parents.
Lors d'une réunion de la Food and Drug Administration (FDA) le 28 juin, le vice-président de Pfizer pour les vaccins viraux, Kena Swanson, a même reconnu19 qu'« il n'y a pas de corrélation établie » entre les niveaux d'anticorps et la protection contre la maladie.
Dans l'essai Pfizer, l'intervalle de confiance - qui montre la plage possible de niveau de protection - était d'une largeur alarmante, la limite inférieure suggérant la possibilité d'une augmentation de 380% du risque d'infection après la troisième dose.
De plus, aucun des deux essais n'a satisfait à l'exigence d'efficacité de 50 % établie par la FDA pour l'approbation des vaccins COVID pour adultes. Peter Marks, le plus haut responsable des vaccins de la FDA, a déclaré au 20 Congrès en mai que l'exigence d'efficacité serait abaissée pour le vaccin pédiatrique simplement parce que l'efficacité du vaccin contre la variante omicron était généralement inférieure.
Dans « How Vaccine Trials Routinely Rig the Results », j’ai également évoqué d’autres signaux d’alarme, comme le fait que 3 000 des 4 526 enfants (âgés de 6 mois à 4 ans) inscrits à l’essai pédiatrique COVID de Pfizer ont été exclus, sans explication.21
Souvent, les participants à l'essai abandonnent ou sont exclus en raison d'effets secondaires graves. Ici, nous ne savons pas pourquoi les deux tiers des participants ont été éliminés, et selon le Dr Clare Craig, pathologiste diagnostique, un taux d'abandon de 66% aurait dû être suffisant pour déclarer l'essai nul et non avenu (voir vidéo ci-dessous) .
Avec si peu de participants, il devient non seulement impossible de déterminer l'efficacité par rapport à des paramètres réels tels qu'une infection grave et une hospitalisation, mais vous ne pouvez pas non plus déterminer s'il existe des effets secondaires rares.
Il s'agit d'obtenir une indemnisation
La dure vérité à laquelle nous sommes maintenant confrontés est que la FDA et le CDC ne sont plus chargés de protéger la santé publique. Ils assurent des profits pour l'industrie pharmaceutique, et l'obtention d'EUA pour les nourrissons et les jeunes enfants est une étape cruciale vers l'obtention d'une indemnité légale permanente pour les fabricants de médicaments.
Comme l'explique Robert F. Kennedy Jr., dans le court clip vidéo ci-dessus, ils ont besoin que ce dernier groupe d'âge restant soit inclus dans l'EUA, car une fois que l'urgence est finalement déclarée "terminée", la prochaine phase de protection de la responsabilité exige que les injections reçoivent l'approbation du Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) du CDC.
C'est le groupe qui décide quels vaccins doivent être ajoutés au calendrier de vaccination des enfants. Une fois que le vaccin est sur le calendrier de vaccination des enfants, les fabricants de vaccins sont en permanence protégés de toute responsabilité pour les blessures et les décès qui surviennent dans n'importe quel groupe d'âge, y compris les adultes.
Vous pouvez en savoir plus sur ce processus d'indemnisation dans "La vraie raison pour laquelle ils veulent donner des piqûres COVID aux enfants", qui présente mon entretien avec Alix Mayer, présidente du conseil d'administration de la section californienne de Children's Health Defence.
Ainsi, la raison pour laquelle la FDA et le CDC agissent de manière si irrationnelle et ignorent les signaux de sécurité est qu'ils ne travaillent pas pour vous protéger. Ils travaillent pour l'industrie pharmaceutique et ils viennent de vendre nos enfants.
L'objectif final est de donner aux sociétés pharmaceutiques une immunité permanente contre la responsabilité en cas de blessures et de décès dus aux injections de COVID dans tous les groupes d'âge, et pour y parvenir, elles ont d'abord besoin de l'EUA pour couvrir tous les enfants.
Après cela, l'approbation ACIP devient plus ou moins une question d'approbation. C'est ce qu'ils sont devenus, et je ne vois pas d'avenir dans lequel ces deux agences survivent. Tout ce dont nous avons besoin, c'est d'un nombre suffisant de personnes pour comprendre ce qu'elles ont fait, et ce jour viendra.
Sources and References
1, 4, 5, 11 WSJ July 4, 2022 2 FDA June 17, 2022 3, 12, 14, 16, 18 Tablet July 5, 2022 6 CDC Provisional COVID-19 Death Counts 7 Medpage Today September 15, 2020 8 Science Based Medicine November 5, 2021 9 NBC September 15, 2020 10 CDC COVID-19 Epidemiology in Children Ages 6 Months-4 Years 13 KFF May 4, 2022 15 Hart Poll January 2022 17 OpenVAERS Reports through July 1, 2022 19 Twitter Technical Judicial June 28, 2022 20 Endpoints May 9, 2022 21 Rumble June 17, 2022
La dépression n'est pas causée par des déséquilibres chimiques dans le cerveau, selon une étude
Mardi 26 juillet 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Se pourrait-il que la dépression ne soit qu'une réponse naturelle à de mauvaises circonstances et à un monde pervers qui ne cesse de s'aggraver ? C'est beaucoup plus susceptible d'être le cas que la théorie dite du "déséquilibre chimique", qui vient d'être démystifiée par un nouvel examen complet.
L'idée que la dépression est une forme de lésion cérébrale qui peut être traitée chimiquement avec des produits pharmaceutiques est née de l'industrie pharmaceutique elle-même dans les années 1960 - le but étant de vendre de nouveaux médicaments sous la forme d'inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, également connus sous le nom de ISRS. (Connexe : la prise d'ISRS pendant la grossesse est liée à des lésions cérébrales chez les enfants).
Alors que les sociétés occidentales autrefois libres comme les États-Unis ont poursuivi leur descente vers une tyrannie mondialiste abjecte, de plus en plus de personnes se sentent naturellement déprimées. Le complexe médico-industriel leur dit régulièrement d'ignorer les choses qui causent la dépression et de rester drogués à tout moment pour rester « normaux ».
Plus de 60 ans de cette approche ont créé une population toxicomane où un adulte sur six en Angleterre, par exemple, prend maintenant des médicaments sur ordonnance pour la dépression juste pour rester « sain d'esprit ». Ce n'est pas la bonne approche, selon la nouvelle recherche, et cause probablement plus de mal que de bien - si quelque chose de bon se produit même.
"La théorie de la dépression sur la sérotonine a été l'une des théories biologiques les plus influentes et les plus étudiées sur les origines de la dépression", rapporte The Conversation. « Notre étude montre que ce point de vue n'est pas étayé par des preuves scientifiques. Cela remet également en cause le fondement de l'utilisation des antidépresseurs.
"Il n'y a pas d'autre mécanisme pharmacologique accepté pour expliquer comment les antidépresseurs pourraient affecter la dépression. Si les antidépresseurs exercent leurs effets en tant que placebos ou en engourdissant les émotions, il n'est pas certain qu'ils fassent plus de bien que de mal.
Beaucoup de gens sont déprimés pour des raisons légitimes, et la solution n'est pas les produits pharmaceutiques Big Pharma a vraiment tiré un coup rapide sur les Occidentaux en les convainquant que la dépression qu'ils ressentaient à propos d'une société en constante évolution était anormale et quelque chose qui devait être «réparé» par la drogue.
Plutôt que de travailler ensemble pour essayer de réparer la société et de se débarrasser des mondialistes qui ont transformé la vie quotidienne en un champ de mines de perversions infernales et de destruction sociale, les gens ont accepté la théorie du "déséquilibre chimique" de Big Pharma comme un fait et nous voici plus de 60 ans plus tard : une Amérique toxicomane consommée par les produits pharmaceutiques.
Dans la section des commentaires de The Conversation, de nombreuses personnes conscientes ont noté que la dépression "est une réponse parfaitement rationnelle au monde d'aujourd'hui et si vous n'êtes pas déprimé, vous ne faites pas attention!" pour citer l'un d'eux.
"Un avenir meilleur est peut-être la pilule dont nous avons besoin", a ajouté cette même personne.
Un autre a souligné une étude menée sur des babouins qui a révélé que ceux qui étaient vaincus dans des combats ou autrement intimidés par d'autres babouins, se retrouvant au bas de la hiérarchie, se comportaient d'une manière qui indiquait la dépression.
"A première vue, la dépression est une réponse normale et même adaptative à la défaite sociale", a expliqué cette personne. "Le problème chez les gens est que dans le monde moderne, le comportement dépressif n'est pas adaptatif. Vous devez continuer à être productif et joyeux, sinon les choses empireront.
Plus la société devient antisociale en raison d'une invasion incessante d'étrangers illégaux, par exemple, ou d'un manque d'opportunités de plus en plus réduit, en particulier pour les jeunes, "suffisant pour déprimer n'importe qui", a ajouté un autre.
"Médicamenter l'individu semble être une réponse néolibérale classique pour faire face aux problèmes sociaux et mondiaux", a ajouté cette personne, notant en outre que toute l'idée de "thérapie" dépend également du fait qu'il y a quelque chose qui ne va pas avec un individu plutôt que la société perverse qui afflige constamment cet individu.
Plus d'informations sur le racket de la drogue contre la dépression et sur la façon de se sentir mieux naturellement peuvent être trouvées sur DepressionSymptoms.news.
L'explosion de l'enfant Monkeypox révélera l'étendue de l'épidémie de pédophilie en Amérique
mercredi 27 juillet 2022 par : Rédacteurs en chef
(Natural News) Les démocrates et les médias de l'establishment tentent désespérément de dissimuler l'épidémie de pédophilie et de toilettage qui sévit en Amérique. Malheureusement pour les négationnistes, le monkeypox - une maladie sexuellement transmissible qui provoque des éruptions cutanées, des plaies et des pustules - ne peut être nié ni caché.
(Article de Baxter Dmitry republié de NewsPunch.com)
L'Organisation mondiale de la santé a averti que les festivals de la fierté gay et autres rassemblements de masse pourraient accélérer la propagation du monkeypox, Andy Seale de l'OMS déclarant que les défilés de la fierté gay devraient se dérouler normalement malgré le fait que le virus peut se propager par contact sexuel.
Le résultat a été une explosion de cas de monkeypox dans la communauté gay. Il y a deux mois, le premier patient atteint de monkeypox à être rendu public a révélé qu'il avait attrapé le virus après avoir eu des relations sexuelles homosexuelles avec "environ 10 nouveaux partenaires" après avoir été expulsé de Dubaï pour avoir été testé positif au VIH.
Depuis lors, le virus a fait le saut des homosexuels aux enfants.
La directrice du CDC, le Dr Rochelle P. Walesnky, a admis que deux cas chez des enfants connus du CDC ont été «remontés à la communauté des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, la communauté des hommes homosexuels, et donc lorsque nous avons vu ces cas chez des enfants, ils ont généralement été ce que j'appelle adjacent à la communauté la plus à risque.
Waouh, tiens bon. La communauté « la plus à risque » ? Le Dr Walensky fait évidemment référence à la communauté gaie. Mais il semble que les enfants soient en réalité les plus à risque. Après tout, ils ne peuvent pas légalement consentir à des relations sexuelles. C'est ce qu'on appelle la loi statutaire. Comme d'habitude, la gauche pense à ses précieux groupes minoritaires et ne tient pas compte des enfants.
L'explosion de la variole du singe chez les enfants révèle le sale petit secret de l'Amérique.
Des centaines de milliers d'enfants aux États-Unis disparaissent chaque année, nombre d'entre eux tombant entre les mains de prédateurs qui trafiquent les enfants par le biais de réseaux pédophiles où les enfants subissent des horreurs inimaginables.
Des enfants, des jeunes garçons et des filles - dont certains n'ont que 9 ans - sont achetés et vendus pour le sexe en Amérique. L'âge moyen d'une jeune femme vendue pour le sexe est maintenant de 13 ans.
Le trafic sexuel - en particulier lorsqu'il s'agit d'acheter et de vendre de jeunes enfants - est devenu un gros business en Amérique. En 2011, il s'agissait de l'activité la plus dynamique du crime organisé et de la deuxième marchandise la plus lucrative faisant l'objet d'un commerce illégal après la drogue et les armes à feu.
Comme le note la journaliste d'investigation Amy Fine Collins, « il est devenu plus lucratif et beaucoup plus sûr de vendre des adolescents malléables que de la drogue ou des armes à feu. Une livre d'héroïne ou un AK-47 peut être vendu au détail une fois, mais une jeune fille peut être vendue 10 à 15 fois par jour - et un proxénète « juste » confisque 100 % de ses gains. »
Rutherford.org rapporte que toutes les deux minutes, un enfant est exploité dans l'industrie du sexe.
Selon USA Today, les adultes achètent des enfants pour le sexe au moins 2,5 millions de fois par an aux États-Unis.
Qui achète un enfant pour le sexe ? Sinon des hommes ordinaires de tous horizons.
"Ils pourraient être votre collègue, votre médecin, votre pasteur ou votre conjoint", écrit le journaliste Tim Swarens, qui a passé plus d'un an à enquêter sur le commerce du sexe en Amérique.
Rien qu'en Géorgie, on estime que 7 200 hommes (dont la moitié dans la trentaine) cherchent à acheter des services sexuels avec des adolescentes chaque mois, soit une moyenne d'environ 300 par jour.
En moyenne, un enfant peut être violé par 6 000 hommes au cours d'une période de servitude de cinq ans.
On estime qu'au moins 100 000 enfants - filles et garçons - sont achetés et vendus à des fins sexuelles aux États-Unis chaque année, avec jusqu'à 300 000 enfants en danger d'être victimes de la traite chaque année. Certains de ces enfants sont enlevés de force, d'autres sont en fugue et d'autres encore sont vendus au système par des parents et des connaissances.
"La traite des êtres humains - l'exploitation sexuelle commerciale d'enfants et de femmes américains, via Internet, les clubs de strip-tease, les services d'escorte ou la prostitution de rue - est en passe de devenir l'un des pires crimes aux États-Unis", a déclaré le procureur Krishna Patel.
Il s'agit d'une industrie qui tourne autour du sexe bon marché à la volée, avec des jeunes filles et des femmes qui sont vendues à 50 hommes chaque jour pour 25 $ pièce, tandis que leurs maîtres-chiens gagnent 150 000 $ à 200 000 $ par enfant chaque année.
Ce n'est pas un problème rencontré uniquement dans les grandes villes.
Cela se passe partout, juste sous notre nez, dans les banlieues, les villes et les villages à travers le pays.
Comme le souligne Ernie Allen du National Center for Missing and Exploited Children, « la seule façon de ne pas trouver cela dans une ville américaine est tout simplement de ne pas le chercher ».
Ne vous trompez pas en pensant qu'il ne s'agit que d'une préoccupation pour les communautés à faible revenu ou les immigrants.
On estime qu'il y a 100 000 à 150 000 enfants travailleurs du sexe mineurs aux États-Unis. Ces filles ne se portent pas volontaires pour être des esclaves sexuelles. Ils y sont attirés – forcés – trafiqués. Dans la plupart des cas, ils n'ont pas le choix.
Afin d'éviter d'être découverts (dans certains cas, aidés et encouragés par la police) et de répondre à la demande des acheteurs masculins pour des relations sexuelles avec différentes femmes, les proxénètes et les gangs et syndicats du crime pour lesquels ils travaillent ont transformé le trafic sexuel en une entreprise très mobile, avec les filles, les garçons et les femmes victimes de la traite sont constamment déplacés de ville en ville, d'état en état et de pays en pays.
Par exemple, la région de Baltimore-Washington, appelée The Circuit, avec son corridor I-95 parsemé d'aires de repos, de gares routières et d'arrêts de camion, est une plaque tournante pour le commerce du sexe.
Aucun doute là-dessus : il s'agit d'une entreprise de trafic sexuel hautement rentable, hautement organisée et hautement sophistiquée qui opère dans les villes, grandes et petites, rapportant plus de 9,5 milliards de dollars par an rien qu'aux États-Unis en enlevant et en vendant des jeunes filles à des fins sexuelles.
Chaque année, les filles achetées et vendues deviennent de plus en plus jeunes.
L'âge moyen des personnes victimes de la traite est de 13 ans. Pourtant, comme l'a souligné le chef d'un groupe qui lutte contre la traite, « réfléchissons à ce que signifie la moyenne. Cela signifie qu'il y a des enfants de moins de 13 ans. Cela signifie des enfants de 8, 9, 10 ans.“
« Pour 10 femmes secourues, il y a 50 à 100 femmes de plus qui sont amenées par les trafiquants. Malheureusement, ils n'ont plus 18 ou 20 ans », constate une victime de la traite de 25 ans. «Ce sont des mineurs d'à peine 13 ans qui sont victimes de la traite. Ce sont des petites filles.
D'où vient cet appétit pour les jeunes filles ?
Regarde autour de toi.
Les jeunes filles sont sexualisées depuis des années dans des vidéoclips, sur des panneaux d'affichage, dans des publicités télévisées et dans des magasins de vêtements. Les commerçants ont créé une demande de chair jeune et une offre immédiate d'enfants hypersexualisés.
"Il suffit de jeter un coup d'œil aux photos MySpace d'adolescents pour voir des exemples. S'ils n'imitent pas le porno qu'ils ont réellement vu, ils imitent les images et les poses inspirées du porno qu'ils ont absorbées ailleurs", écrit Jessica Bennett. pour Newsweek. "Le latex, les corsets et les talons décapants, autrefois à la mode des stars du porno, ont fait leur chemin au collège et au lycée."
C'est ce que Bennett appelle la «pornification d'une génération».
"Dans un marché qui vend des talons hauts pour les bébés et des tongs pour les préadolescents, il ne faut pas être un génie pour voir que le sexe, sinon le porno, a envahi nos vies", conclut Bennett. « Que nous l'apprécions ou non, la télévision l'apporte dans nos salons et le Web l'apporte dans nos chambres. Selon une étude de 2007 de l'Université de l'Alberta, jusqu'à 90 % des garçons et 70 % des filles âgés de 13 à 14 ans ont accédé au moins une fois à du contenu sexuellement explicite.
En d'autres termes, la culture prépare ces jeunes à être la proie des prédateurs sexuels. Et puis nous nous demandons pourquoi nos jeunes femmes sont la proie, la traite et la maltraitance ?
Les médias sociaux rendent tout cela trop facile. Comme l'a rapporté un centre d'information : « Trouver des filles est facile pour les proxénètes. Ils regardent sur MySpace, Facebook et d'autres réseaux sociaux. Eux et leurs assistants croisent les centres commerciaux, les lycées et les collèges. Ils les récupèrent aux arrêts de bus. Sur le chariot. Le recrutement de fille à fille se produit parfois. Les foyers d'accueil et les refuges pour jeunes sont également devenus des cibles privilégiées pour les trafiquants.
Ces filles entrent rarement dans la prostitution volontairement. Beaucoup commencent comme fugueurs ou jetables, pour être happés par des proxénètes ou des réseaux sexuels plus importants. D'autres, persuadés de rencontrer un inconnu après avoir interagi en ligne via l'un des nombreux sites de réseaux sociaux, se retrouvent rapidement initiés à leur nouvelle vie d'esclaves sexuels.
Debbie, une étudiante hétéro qui appartenait à une famille très unie de l'Air Force vivant à Phoenix, en Arizona, est un exemple de ce commerce de chair. Debbie avait 15 ans lorsqu'elle a été enlevée de son allée par un ami de sa connaissance. Forcée de monter dans une voiture, Debbie a été ligotée et emmenée dans un lieu inconnu, tenue sous la menace d'une arme et violée par plusieurs hommes. Elle a ensuite été entassée dans un petit chenil et forcée de manger des biscuits pour chiens. Les ravisseurs de Debbie ont annoncé ses services sur Craigslist. Ceux qui ont répondu étaient souvent mariés avec des enfants, et l'argent que Debbie « gagnait » pour le sexe était donné à ses ravisseurs. Les viols collectifs ont continué. Après avoir fouillé l'appartement où Debbie était retenue captive, la police a finalement trouvé Debbie fourrée dans un tiroir sous un lit. Son calvaire a duré 40 jours.
Alors que Debbie a eu la chance d'être secourue, d'autres n'ont pas cette chance. Selon le National Center for Missing and Exploited Children, près de 800 000 enfants disparaissent chaque année (environ 2 185 enfants par jour).
Avec une demande croissante d'esclavage sexuel et une offre inépuisable de filles et de femmes pouvant être la cible d'enlèvements, ce n'est pas un problème qui va disparaître de sitôt.
Pour les victimes de la traite, c'est un cauchemar du début à la fin.
Ceux qui sont vendus pour le sexe ont une espérance de vie moyenne de sept ans, et ces années sont un cauchemar vivant de viols sans fin, de drogues forcées, d'humiliations, de dégradations, de menaces, de maladies, de grossesses, d'avortements, de fausses couches, de torture, de douleur et toujours de la constante peur d'être tué ou, pire, que ceux que vous aimez soient blessés ou tués.
Peter Landesman dépeint toutes les horreurs de la vie des victimes du commerce du sexe dans son article du New York Times « The Girls Next Door » :
Andrea m'a dit qu'elle et les autres enfants avec qui elle était détenue étaient fréquemment battus pour les maintenir déséquilibrés et obéissants. Parfois, ils étaient filmés alors qu'ils étaient forcés d'avoir des relations sexuelles avec des adultes ou entre eux. Souvent, dit-elle, on lui demandait de jouer des rôles : la patiente thérapeute ou la fille obéissante. Sa cellule de trafiquants sexuels proposait trois tranches d'âge de partenaires sexuels - des tout-petits à 4 ans, de 5 à 12 ans et des adolescents - ainsi que ce qu'elle appelait un «groupe de dommages». "Dans le groupe des dégâts, ils peuvent vous frapper ou faire tout ce qu'ils veulent", a-t-elle expliqué. "Bien que le sexe fasse toujours mal quand on est petit, donc c'est toujours violent, tout était beaucoup plus douloureux une fois qu'on était placé dans le groupe des dégâts."
Ce qu'Andrea décrit ensuite montre à quel point certaines parties de la société américaine sont devenues dépravées. "Ils te donneraient faim alors pour t'entraîner" à avoir des relations sexuelles orales. « Ils ont mis du miel sur un homme. Pour les plus petits, il fallait apprendre à ne pas bâillonner. Et ils poussaient des choses en vous pour que vous vous ouvriez mieux. Nous avons appris les réponses. Comme s'ils voulaient que nous soyons sensuels ou sexy ou effrayés. La plupart d'entre eux voulaient vous faire peur. Quand je serais plus grand, j'apprendrais aux plus jeunes à flotter pour que les choses ne fassent pas mal.
Les agents de l'immigration et des douanes du Cyber Crimes Center de Fairfax, en Virginie, rapportent qu'en matière de sexe, l'appétit de nombreux Américains a maintenant changé. Ce qui était autrefois considéré comme anormal est maintenant la norme. Ces agents suivent une nette augmentation de la demande de pornographie plus dure sur Internet. Comme l'a noté un agent, « Nous sommes devenus insensibles aux choses molles ; maintenant, nous avons besoin d'un coup de plus en plus dur.
Cette tendance se reflète dans le traitement que beaucoup de filles reçoivent de la part des trafiquants de drogue et des hommes qui les achètent. Peter Landesman a interviewé Rosario, une femme mexicaine qui avait été victime de la traite à New York et détenue en captivité pendant plusieurs années. Elle a déclaré: «En Amérique, nous avions des« emplois spéciaux ». Sexe oral, sexe anal, souvent avec de nombreux hommes. Le sexe est maintenant plus aventureux, plus dur.
Un fil conducteur tissé à travers les expériences de la plupart des survivants est d'être obligés de se passer de sommeil ou de nourriture jusqu'à ce qu'ils aient atteint leur quota sexuel d'au moins 40 hommes. Une femme raconte comment son trafiquant l'a obligée à s'allonger face contre terre lorsqu'elle était enceinte, puis lui a littéralement sauté sur le dos, la forçant à faire une fausse couche.
Holly Austin Smith a été enlevée à l'âge de 14 ans, violée puis forcée de se prostituer. Son proxénète, lorsqu'il a été traduit en justice, n'a été condamné qu'à un an de prison.
Barbara Amaya a été vendue à plusieurs reprises entre trafiquants, maltraitée, abattue, poignardée, violée, kidnappée, trafiquée, battue et emprisonnée avant l'âge de 18 ans. "J'avais un quota que je devais remplir tous les soirs. Et si je n'avais pas cette somme d'argent, je serais battu, jeté dans les escaliers. Il m'a battu une fois avec des cintres en fil de fer, le genre de vêtements qu'on suspend, il l'a redressé et tout mon dos saignait.
Comme le raconte David McSwane dans un article effrayant pour le Herald-Tribune : « À Oakland Park, une banlieue industrielle de Fort Lauderdale, des agents fédéraux ont rencontré en 2011 un bordel exploité par un couple marié. À l'intérieur de "The Boom Boom Room", comme on l'appelait, les clients payaient des frais et recevaient un préservatif et une minuterie et restaient seuls avec l'un des huit adolescents du bordel, des enfants aussi jeunes que 13 ans. Un enfant adoptif de 16 ans a témoigné qu'il agissait comme agent de sécurité, tandis qu'une jeune fille de 17 ans a déclaré à un juge fédéral qu'elle avait été forcée d'avoir des relations sexuelles avec jusqu'à 20 hommes par nuit.
Un réseau particulier de trafic sexuel s'adressait spécifiquement aux travailleurs migrants employés de manière saisonnière dans des fermes des États du sud-est, en particulier les Carolines et la Géorgie, bien que ce soit une activité florissante dans tous les États du pays. Les trafiquants transportent les femmes de ferme en ferme, où les travailleurs migrants faisaient la queue à l'extérieur des cabanes, jusqu'à 30 à la fois, pour avoir des relations sexuelles avec elles avant qu'elles ne soient transportées dans une autre ferme où le processus recommencerait.
Ce mal croissant est, à toutes fins utiles, à découvert.
Les femmes et les enfants victimes de la traite sont annoncés sur Internet, transportés sur l'autoroute et achetés et vendus dans des hôtels huppés.
En effet, comme je l'explique clairement dans mon livre Battlefield America: The War on the American People, la guerre du gouvernement contre le trafic sexuel - tout comme la guerre du gouvernement contre le terrorisme, la drogue et le crime - est devenue une excuse parfaite pour infliger davantage de tactiques d'État policier ( postes de contrôle de police, fouilles, surveillance et sécurité accrue) sur un public vulnérable, tout en faisant peu pour rendre nos communautés plus sûres.
Alors, qu'est-ce que tu peux faire?
Renseignez-vous et éduquez vos enfants sur cette menace croissante dans nos communautés.
Arrêtez de nourrir le monstre : le trafic sexuel fait partie d'un continuum plus large en Amérique qui couvre toute la gamme des problèmes d'itinérance, de pauvreté et d'estime de soi à la télévision sexualisée, la glorification d'une culture proxénète/ho - ce que l'on appelle souvent la pornification d'Amérique - et une industrie du sexe d'un milliard de dollars construite sur le dos de la pornographie, de la musique, du divertissement, etc.
Cette épidémie est en grande partie l'une de nos propres créations, en particulier à l'ère des entreprises où la valeur accordée à la vie humaine prend le pas sur le profit. On estime que l'industrie du porno rapporte plus d'argent qu'Amazon, Microsoft, Google, Apple et Yahoo.
Appelez vos conseils municipaux, élus et services de police à faire de la lutte contre le trafic sexuel une priorité absolue, plus encore que la soi-disant guerre contre le terrorisme et la drogue et la militarisation des forces de l'ordre.
Arrêtez de poursuivre les adultes pour des « crimes » sans victime, comme faire pousser de la laitue dans leur cour avant, et concentrez-vous sur le fait d'enfermer les proxénètes et les acheteurs qui victimisent ces jeunes femmes.
Enfin, la police doit faire un meilleur travail de formation, d'identification et de réponse à ces problèmes ; les communautés et les services sociaux doivent mieux protéger les fugueurs, qui sont les premières cibles des trafiquants ; les législateurs doivent adopter une législation visant à poursuivre les trafiquants et les « clients », les acheteurs qui stimulent la demande d'esclaves sexuels ; et les hôtels doivent cesser de donner des moyens à ces trafiquants, en leur fournissant des chambres et une couverture pour leurs sales actions.
Si tant de femmes et d'enfants continuent d'être victimisés, brutalisés et traités comme une cargaison humaine, c'est dû à trois choses : premièrement, une demande des consommateurs de plus en plus lucrative pour toutes les personnes impliquées, à l'exception des victimes ; deuxièmement, un niveau de corruption si envahissant à la fois à l'échelle locale et internationale qu'il y a peu d'espoir de travailler à travers les canaux établis pour le changement ; et troisièmement, un silence étrange de la part d'individus qui ne s'expriment pas contre de telles atrocités.
Mais la vérité est que nous sommes tous coupables de contribuer à cette souffrance humaine. Les trafiquants sont coupables. Les consommateurs sont coupables. Les responsables de l'application des lois corrompus sont coupables. Les groupes de femmes qui ne font rien sont coupables. Les casques bleus étrangers et les travailleurs humanitaires qui contribuent à la demande d'esclaves sexuels sont coupables. Surtout, chaque individu qui ne crie pas aux atrocités commises contre les femmes et les enfants dans presque tous les pays du monde, y compris les États-Unis, est coupable
VACCIDENTS : les décès sur les routes aux États-Unis ont explosé à tous les niveaux en 2020 et 2021 - atteignant le plus haut niveau depuis des décennies, selon l'Agence fédérale
Wednesday, July 27, 2022 by: S.D. Wells
(Natural News) La grande question est pourquoi ? Pourquoi les accidents de la circulation augmentent-ils à des niveaux insensés juste depuis le début de la pandémie ? La National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) l'a même prédit pour 2021 lorsqu'elle a estimé qu'au moins 44 États américains verraient "une augmentation des décès sur les routes". Comment auraient-ils pu le savoir à l'avance ?
Le nombre de décès dans des collisions impliquant plusieurs véhicules dans les villes et sur les routes urbaines a bondi de 16 %. Pour les personnes de 65 ans et plus, les décès liés aux véhicules ont augmenté de 14 %. Pour les décès de piétons, ceux-ci ont grimpé en flèche de 13%, y compris les décès pendant la journée. Même les décès à moto ont augmenté de 9 % et les décès de cyclistes ont augmenté de 5 %.
270 millions d'Américains recevant des injections de caillots coïncident avec une augmentation massive de deux ans des décès liés à la circulation Par coïncidence, alors que 270 millions d'Américains voient leur sang infesté de milliards de protéines de pointe collantes et de nanoparticules de métaux lourds qui provoquent des caillots sanguins, une myocardite et le syndrome de mort subite de l'adulte (SADS), les communistes de Washington, D.C. blâment commodément l'infrastructure. La sécurité d'abord! Sauf qu'il n'y a rien de "sûr" dans les injections expérimentales de thérapie génique qui n'ont jamais passé les essais cliniques ou obtenu l'approbation complète de la Food and Drug Administration (FDA).
L'administration Biden blâme les problèmes d'infrastructure, ce qui signifie que tout à coup les nids-de-poule et les vieux ponts tuent les gens en masse ? Ce sont les pires statistiques d'accidents depuis 2005 et la plus forte augmentation annuelle en pourcentage JAMAIS enregistrée dans l'histoire du Fatality Analysis Reporting System.
Voici la piètre excuse pour les morts massives, de la bouche du secrétaire américain aux Transports, Pete Buttigieg : « Avec notre stratégie nationale de sécurité routière et la loi présidentielle bipartite sur l'infrastructure, nous prenons des mesures essentielles pour aider à inverser cette tendance dévastatrice et sauver des vies sur nos routes.”
43 000 Américains sont morts sur les routes américaines en 2021, atteignant un sommet de 16 ans En hausse de dix pour cent par rapport à 2020, les « accidents » automobiles se produisent à droite et à gauche, augmentant maintenant chaque année pendant l'arnaque de la grippe de Wuhan. Pour 2022, on prévoit maintenant que jusqu'à 50 000 Américains mourront dans des accidents de voiture, mais les raisons de ces accidents ne s'additionnent tout simplement pas.
La NHTSA n'a même pas tenté d'expliquer POURQUOI elle soupçonne que tous ces accidents ont atteint un sommet en 16 ans depuis le début de la pandémie. La Californie, le Texas et la Floride représentent les plus grands nombres de décès liés à la circulation, ainsi qu'à Washington D.C., où le résident Biden ne semble même pas pouvoir sortir d'une pièce après une conférence.
Oh, mais la Governors Highway Safety Association (GHSA) accuse les excès de vitesse, l'alcool, les drogues et la distraction au volant d'être responsables de l'augmentation massive des décès sur les routes. C'est la faute à tout sauf au temps narratif des injections de caillots, et cela continuera alors que de plus en plus d'Américains reçoivent des "boosters" qui exacerbent ces "vaccidents" (accidents induits par les vaccins) où les gens s'évanouissent, ont des crises de panique ou meurent en conduisant, et le gouvernement blâme tout le reste, y compris les nids-de-poule et les textos.
Les injections de caillots pour COVID-19 ont anéanti une décennie et demie de progrès en matière de réduction des accidents de la route, des blessures et des décès, mais personne n'est autorisé à en parler ou à imprimer des statistiques à ce sujet.
Les "Vaccidents" sont déguisés par les MSM et les agences gouvernementales en personnes fonctionnant de manière plus aléatoire sur des routes criblées de nids-de-poule Est-ce l'événement « cygne noir » dont les médias indépendants ont mis en garde depuis le début de la campagne de vaccination de masse contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) ? Devrions-nous plutôt blâmer la rage au volant et les nids-de-poule pour l'augmentation massive des décès liés aux véhicules ? Qu'en est-il de tous ces pilotes, athlètes et militaires qui meurent soudainement à l'improviste, peu de temps après avoir reçu une injection de milliards de protéines de pointe ou de « technologie » d'ARNm ?
Il est peut-être temps de faire des autopsies sur tous ces "accidents" présumés qui se produisent sur les routes d'Amérique, et de voir si les conducteurs ont de mystérieux caillots sanguins qui ne contiennent pas beaucoup de sang, mais plutôt des matériaux caoutchouteux, élastiques et des métaux lourds qui se rassemblent dans le système vasculaire, provoquant le syndrome de mort subite de l'adulte. Peut-être que la prochaine fois, ils blâmeront simplement le réchauffement climatique.
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Les données gouvernementales montrent que le total vaxxed représente plus de 90 % des DÉCÈS COVID au Royaume-Uni
Mercredi 27 juillet 2022 par : Ramon Tomey
(Natural News) Les propres données du Royaume-Uni ont révélé que les personnes entièrement vaccinées représentaient plus de 90 % des décès dus au coronavirus de Wuhan (COVID-19) dans le pays.
Un rapport de l'Office for National Statistics (ONS) du Royaume-Uni reflète cette tendance, selon le Daily Expose. Le Royaume-Uni a enregistré un total de 15 113 décès dus au COVID-19 entre le 1er janvier et le 31 mai, avec 13 666 décès – 90% – ayant reçu au moins une dose de vaccin. Une répartition mensuelle des décès reflète également cette tendance.
En janvier, il y a eu 4 607 décès dus au COVID-19 dont 3 914 (85 %) vaccinés. En février, il y a eu 2 711 décès dus au COVID-19 dont 2 447 (90 %) vaccinés. En mars, il y a eu 2 860 décès dus au COVID-19 dont 2 658 (93 %) vaccinés. En avril, il y a eu 3 571 décès dus au COVID-19 dont 3 365 (94 %) vaccinés. En mai, il y a eu 1 364 décès dus au COVID-19 dont 1 282 (94 %) vaccinés.
The Expose a également mentionné que sur les 13 666 personnes vaccinées décédées du COVID-19, 91% – 12 442 décès – ont reçu au moins une ou deux doses de rappel de vaccin.
"Sur la base des données qui ont été discrètement publiées par le gouvernement [britannique] [alors que les gens] étaient distraits par la démission de Boris Johnson et le soleil apocalyptique, des milliers et des milliers de personnes triplement [ou] quadruplement vaccinées meurent encore du COVID-19, " Ça disait. (Connexe: alors que Boris Johnson a démissionné, les responsables britanniques ont discrètement publié des données montrant que le taux de mortalité par covid est le plus élevé parmi les personnes entièrement vaccinées.)
Les experts britanniques insistent toujours sur les vaccins COVID nocifs
Le rapport de l'ONS et l'article d'Expose à ce sujet sont arrivés au milieu du Royaume-Uni enregistrant un total de 200 000 décès dus au COVID-19. Cependant, le décompte des décès n'a servi qu'à alimenter les appels au retour de la loi martiale médicale - sous la forme de masques faciaux et de vaccination obligatoire.
Jim McManus, président de l'Association des directeurs de la santé publique du Royaume-Uni, a qualifié les 200 000 décès dus au COVID-19 de "tragiques". Il a également appelé les gens à recevoir leurs coups de rappel au plus tôt.
McManus a trouvé un allié dans le professeur Adam Finn, membre du Comité mixte britannique sur la vaccination et l'immunisation (JCVI), qui a suggéré une cinquième dose de vaccin COVID-19 pour la population.
«La protection de rappel [du vaccin COVID-19] s'estompe - en particulier contre les infections plus bénignes et, après un certain temps, contre les infections graves également. C'est donc une déception pour nous tous en ce qui concerne ces vaccins, qui ont par ailleurs été très précieux en termes de pandémie », a-t-il déclaré à BBC Radio 4 en juin.
"Mais nous allons devoir fournir des rappels, en particulier aux personnes qui risquent de tomber très gravement malades si elles l'attrapent plus tard dans l'année", a ajouté Finn. "Nous allons devoir nous concentrer sur les personnes âgées, les personnes souffrant de maladies sous-jacentes et, potentiellement, également les agents de santé en première ligne."
Le membre du JCVI a suggéré que le déploiement du rappel COVID-19 commence en septembre, parallèlement au déploiement des vaccins contre la grippe par le National Health Service.
« Les vaccins que nous avons sont réactogènes – ce qui signifie que les gens se sentent un peu pourris après – donc si nous avons à l'avenir des vaccins qui font moins cela, cela pourrait aider », a fait remarquer le membre du JCVI.
The Expose a mis en garde le public contre ces soi-disant experts dans le même article qui abordait le rapport de l'ONS.
"La définition de la folie est de faire la même chose encore et encore et de s'attendre à un résultat différent. À en juger par les derniers appels pour qu'un cinquième coup soit administré d'ici l'automne, il semble que les "experts" du Royaume-Uni aient vraiment perdu la tête", a-t-il déclaré. "Nous allons voir des milliers de morts parmi les triples, quadruples et quintuples vaccinés."
Visitez VaccineDeaths.com pour plus d'histoires sur les décès liés au vaccin COVID.
Regardez Owen Shroyer d'InfoWars parler de la façon dont les personnes entièrement vaccinées représentent la majorité des décès dus au COVID-19 au Canada.
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Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées : La population vaccinée représente 86% des décès de Covid-19 au Canada, mais le gouvernement continue de pousser les rappels.
COUPS DE MORT : les données canadiennes montrent que les « vaccins » COVID AUGMENTENT le risque de décès par covid.
Une étude néo-zélandaise révèle une augmentation de 10% des décès excessifs parmi les groupes d'âge qui ont pris des rappels.
Près de 8 000 décès excédentaires non COVID au Royaume-Uni sont dus aux vaccins COVID-19 et aux injections de rappel.
Des milliers de décès excédentaires non COVID au Royaume-Uni probablement causés par les vaccins COVID-19.
Covid-19: démissions en cascade des experts en santé des NIH et CDC américains
RépondreSupprimerle 25 juillet 2022 - 17:30
Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies forment ensemble la principale agence fédérale des États-Unis en matière de protection de la santé publique.
Les experts de la santé quittent en masse les institutions médicales et biomédicales gouvernementales aux États-Unis, gênés par ce qu’ils nomment "la mauvaise science" ou la "pseudo-science". Les démissions s’accumulent dans les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) et les National Institutes of Health (NIH) qui connaissent une véritable hémorragie de leurs personnels.
Pourquoi ces démissions soudaines ?
Le 14 juillet 2022, le Daily mail et le New York Post rapportent les propos écrits par les docteurs Marty Markary et Tracy Beth sur le site Common Sense de l’ancien chroniqueur du New York Times, Bari Weiss. Le professeur en santé publique de l’université John Hopkins et la consultante en épidémiologie pour le département de la Santé de l’État de Floride font état de ce phénomène massif et sans précédent que connaissent les CDH et les NIH mais également la FDA depuis quelques mois.
Les raisons de l’inquiétude et de l’exaspération du personnel médical et scientifique sont multiples. D’abord, ces institutions ont suscité plusieurs controverses depuis le début de l’épidémie de Covid-19. Régulièrement critiquées pour leurs messages incohérents, leurs décisions ne semblaient pas toujours conformes aux données de la science.
"Les choses sont devenues tellement politiques, alors à quoi servons-nous ?" aurait confié un haut fonctionnaire tandis qu’un autre scientifique aurait déclaré : « Avant, j’étais fier de dire aux gens que je travaillais au CDC. Maintenant, je suis gêné ».
Scientifiques et médecins sont tous les jours plus nombreux à dénoncer ce qu’ils nomment désormais « la mauvaise science », c’est-à-dire des données faibles ou erronées utilisées pour prendre des décisions de santé publique d’une importance cruciale. Des décisions qui se concentrent sur le seul virus sans jamais tenir compte de la santé globale des personnes et qui, de l’avis de plusieurs scientifiques, "sont motivées par ce qui est politiquement acceptable pour les gens de Washington ou pour l'administration Biden".
Les mesures restrictives dans les institutions scolaires
Parmi les décisions vivement critiquées figurent le soutien au port du masque des enfants dans les écoles et la fermeture des institutions scolaires à certaines périodes de la pandémie.
Des décisions arbitraires qui ne reposaient sur aucune donnée scientifique tandis que plusieurs études montraient que dans les écoles où les enfants avaient l’obligation de porter le masque, la circulation et la transmission du virus n’étaient pas moins élevées que dans celles qui ne l’imposaient pas. Des mesures qui, selon les auteurs, se sont donc révélées inutiles sur le plan virologique et qui ont eu comme conséquences un retard dans l’acquisition du langage et de la sociabilité chez certains jeunes enfants. Or, chacun sait que l’enfant, pour accomplir son développement social et linguistique correctement, a besoin de voir le visage des autres.
RépondreSupprimerLa fermeture partielle des écoles aurait également eu un impact négatif profond sur les enfants. Elle serait responsable de retards considérables d’apprentissage qui toucherait particulièrement les enfants des classes sociales défavorisées. Certains indicateurs montrent des pertes importantes d’apprentissage notamment dans le domaine des mathématiques, où il y aurait une chute de 20 % des taux de réussite.
Or, selon les dires de Marty Markary et Tracy Beth, plusieurs scientifiques de ces agences auraient fait part de leurs inquiétudes à ce sujet.
"Le CDC n'a pas réussi à équilibrer les risques du Covid avec les autres risques qui découlent de la fermeture des écoles (…) La perte d'apprentissage et les aggravations des problèmes de santé mentale ont été évidentes dès le début et ont empiré à mesure que les directives insistaient pour que les écoles restent virtuelles. L'orientation du CDC a détérioré l'équité raciale pour les générations à venir. Elle a laissé tomber cette génération d'enfants" aurait déclaré l’une des scientifiques du CDC.
Lire aussi: Masque à l'école, "maltraitance": pour les enfants, la mobilisation continue
L’extension de l’obligation vaccinale aux jeunes enfants et aux nourrissons
De toutes les décisions, c’est certainement la politique vaccinale des très jeunes enfants et des nourrissons qui a le plus choqué les scientifiques et les médecins.
"C'est comme un film d'horreur qu'on me force à regarder et je ne peux pas fermer les yeux (…) Les gens reçoivent de mauvais conseils et nous ne pouvons rien dire" déclare un haut fonctionnaire de la FDA.
Selon Marty Markary et Tracy Beth, ce médecin de la FDA fait référence à deux événements au sein de l’agence. Tout d’abord, il aurait été heurté par la manière dont l’agence aurait autorisé les vaccins contre le Sars-CoV-2 pour les nourrissons et les très jeunes enfants, y compris pour ceux qui avaient déjà contracté le covid, sans données cliniques solides. Ensuite, la FDA aurait court-circuité des experts externes afin d’autoriser les injections de rappels pour les enfants.
Ce médecin est loin d’être le seul à déplorer cette situation puisque selon Marty Markary et Tracy Beth, le centre de recherche sur les vaccins des NIH aurait enregistré de très nombreuses démissions de plusieurs de ses scientifiques de haut niveau au cours de l’année précédente, dont le directeur, le directeur adjoint et le médecin en chef.
RépondreSupprimerPour nombre d’entre eux, les fortes recommandations générales émises pour les vaccins Covid chez les enfants sont incompréhensibles. Si la directrice des CDC, le docteur Rochelle Walensky a déclaré que les vaccins ARNm Covid devraient être administrés à toute personne âgée de six mois ou plus car ils sont sûrs et efficaces, la plupart des médecins et scientifiques savent désormais que cette directive est fondée sur des données extrêmement faibles et non concluantes fournies par les laboratoires Pfizer et Moderna.
"Il semble criminel que nous ayons émis la recommandation d'administrer des vaccins à ARNm Covid aux bébés sans disposer de données solides. Nous ne savons vraiment pas encore quels sont les risques. Alors pourquoi insister autant ? " a déclaré un médecin du CDC.
Un haut fonctionnaire de la FDA est du même avis : "Le public n'a aucune idée de la gravité de ces données. Elles ne devraient pas passer le cap d'une autre autorisation".
La question de la durée de protection est l’autre grande interrogation soulevée par ces scientifiques qui rappellent que si cette protection serait effective pendant quelques mois chez les adultes, il n'existe aucune donnée pour les jeunes enfants.
Ce n'est pas la première fois que des recommandations concernant le vaccin contre le Sars-CoV-2, fondées sur des preuves insuffisantes, sont imposées par ces agences.
Lire aussi: Essais Pfizer sur le vaccin anti-covid: le rapport explosif de Christine Cotton
L’autre point soulevé par ces scientifiques est l'immunité naturelle qui a été ignorée. En effet, selon les scientifiques et les médecins, la grande majorité des enfants ont déjà eu le Covid. Pourtant, les autorités n’en ont pas tenu compte puisqu’aucune différence n’a été faite dans les mandats généraux de vaccination pour enfants. Or, en rendant obligatoires les vaccins et les rappels pour les jeunes en bonne santé, sans données solides à l'appui, ces agences ne font qu'éroder davantage la confiance du public. Une confiance qui serait en train de s’effondrer puisque seulement 2 % des parents d'enfants de moins de cinq ans ont choisi de les faire vacciner contre le covid tandis que 40 % des parents qui habitent des zones rurales affirment que leur pédiatre n'a pas recommandé le vaccin contre le covid pour leur enfant.
Enfin, les auteurs rappellent que ces démissions font suite à celles des deux principaux responsables de la réglementation des vaccins à la FDA, le Dr Marion Gruber, directrice du bureau des vaccins de la FDA, et son directeur adjoint, le Dr Philip Krause. Ceux-ci avaient démissionné de l'agence à l’été 2021 en raison des pressions politiques visant à autoriser les rappels de vaccins chez les jeunes. Après leur départ, ils ont écrit des commentaires cinglants expliquant pourquoi les données ne justifiaient pas une large autorisation des rappels. Ils avaient également affirmé dans le Washington Post que "la pression en faveur de rappels pour tout le monde pourrait en fait prolonger la pandémie" et n'avaient pas caché leurs préoccupations par rapport à ces injections supplémentaires, toujours basées sur la souche sauvage du virus disparue depuis plusieurs mois.
Lire aussi: Nouvelles démissions à la FDA: les principaux responsables des vaccins jettent l'éponge
RépondreSupprimerLa science a-t-elle été confisquée ?
Pendant les premiers temps de l'épidémie de Sars-CoV-2, il semble que la peur ait confisqué le débat scientifique. Comme l'a confié aux auteurs un scientifique du NIH : "Il y a un silence, une réticence des scientifiques de l'agence à dire quoi que ce soit. Même s'ils savent qu'une partie de ce qui est dit par l'agence est absurde."
Mais la confiscation du débat ne pouvait pas durer éternellement. Et les très nombreuses études sur l’immunité naturelle, sur l’efficacité très médiocre des vaccins et leurs effets secondaires sont venues fragiliser un peu plus chaque jour le dogme vaccinal, révélant des données bien éloignées des effets d'annonce destinées à promouvoir la campagne de vaccination.
Peu à peu, il semble que l’exigence morale des scientifiques et médecins ait pris le pas sur la peur à mesure qu’ils prenaient conscience de la dangerosité de ces politiques sanitaires inefficaces et délétère. Cependant, pour les docteurs Marty Markary et Tracy Beth, le mal est fait et la réponse officielle de la santé publique au Covid pourraient selon eux avoir sapé la confiance du public dans la santé publique et entraîner un rejet global de l’ensemble des vaccins par la population, y compris ceux qui ont prouvé leur innocuité et leur efficacité depuis longtemps.
https://www.francesoir.fr/politique-monde/covid-19-demissions-en-cascade-des-experts-en-sante-des-nih-et-des-cdc-americains
Le gouvernement allemand admet que les vaccins COVID provoquent de graves effets secondaires
RépondreSupprimermardi 26 juillet 2022
par : Kevin Hughes
(Natural News) Le gouvernement allemand a publiquement admis mercredi 20 juillet que les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) peuvent provoquer des effets secondaires graves pour une personne sur 5 000 doses.
« Une personne sur 5 000 est touchée par un effet secondaire grave après une #vaccination au COVID19. Si vous soupçonnez des #effets secondaires, consultez un médecin et signalez vos symptômes à @PEI_Germany », a déclaré un tweet du ministère allemand de la Santé.
Il a ensuite tweeté une correction selon laquelle le nombre 5 000 fait référence à des doses plutôt qu'à des individus : « Correction : Selon @PEI_Germany, le taux de notification des réactions graves est de 0,2 rapport pour 1 000 doses de vaccin.
Il s'agit d'un aveu étrange et bienvenu d'un gouvernement sur l'ampleur des blessures causées par les vaccins COVID.
Néanmoins, le chiffre d'une personne pour 5 000 doses est trop faible. Le deuxième tweet expliquait qu'il s'agissait d'un taux de notification de réactions graves, il se réfère donc probablement au taux d'événements indésirables signalés à l'équivalent allemand du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS). Si tel est le cas, il devrait y avoir un facteur de sous-déclaration d'environ 10, ce qui signifie que le nombre réel d'effets secondaires graves peut être 10 fois plus élevé.
L'une des raisons pour lesquelles le chiffre d'une personne sur 5 000 doses est faible est que les décès sont comptés séparément des effets secondaires graves. Les décès sont comptés comme des décès, de sorte que le chiffre d'une personne sur 5 000 doses ne couvre que les personnes qui ont été gravement blessées par les piqûres de COVID et qui ont survécu.
Si une personne est décédée des suites de l'injection, soit instantanément, soit quelques mois plus tard, elle n'a jamais été enregistrée en tant que personne blessée par le vaccin. (Connexe: les données des hôpitaux britanniques choquent le monde: 80 % des décès par COVID sont parmi les vaccinés… Les décès par COVID ont augmenté de 3 000 % après la vague de vaccins.)
Les Allemands sont en fait excellents pour surveiller la sécurité des vaccins. Outre son système de déclaration passif, le régulateur allemand des médicaments, l'Institut Paul Ehrlich ou PEI, gère une application active de surveillance de la sécurité des vaccins appelée SafeVac 2.0. Les données de cet outil de surveillance ont été intégrées dans un rapport européen sur la sécurité des vaccins le mois dernier et ont montré que 0,3 % des vaccinés en Allemagne ont signalé au moins une réaction indésirable grave à la première dose du vaccin.
RépondreSupprimer1 838 participants ont signalé au moins un effet indésirable grave après avoir reçu la première dose du vaccin COVID
Le rapport mentionne que sur les 520 076 participants allemands qui ont reçu la première dose d'un vaccin COVID-19, 1 838 (0,3 %) ont déclaré avoir subi au moins un effet indésirable grave.
Ces chiffres allemands sont conformes aux taux globaux en Europe. Il faut cependant noter qu'un taux de 0,3 % est 15 fois plus élevé que le taux de 0,2 pour 1 000 (c'est-à-dire 0,02 %) cité dans le tweet.
La grande question est de savoir pourquoi le gouvernement allemand a utilisé le chiffre de 0,02 % au lieu du chiffre de 0,3 % de son outil avancé de surveillance de la sécurité des vaccins pour attirer l'attention sur les effets secondaires des vaccins.
Des inquiétudes concernant les taux élevés d'effets secondaires graves des vaccins ont déjà été soulevées en Allemagne. En mai, le professeur Harald Matthes, un scientifique à la tête d'une étude indépendante sur la sécurité des vaccins, a déclaré que, d'après ses données, environ 0,8 % des personnes vaccinées en Allemagne avaient subi des effets secondaires graves.
Le chiffre n'est pas surprenant puisqu'il concorde avec ce que l'on sait d'autres pays comme la Suède, Israël et le Canada. Même les fabricants des vaccins l'ont peut-être déjà su au cours de leurs études.
Pendant ce temps, une enquête du gouvernement israélien a révélé que 0,3 % des personnes vaccinées ont déclaré avoir été hospitalisées à la suite de leur vaccination contre le COVID, tandis qu'une enquête des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) a découvert que 0,9 % des personnes vaccinées ont déclaré avoir recherché des soins médicaux en conséquence. de leur vaccination.
Suivez VaccineInjuryNews.com pour plus d'informations sur les blessures et les décès liés aux vaccins causés par les vaccins COVID.
Regardez la vidéo ci-dessous pour savoir pourquoi le plus grand syndicat de médecins d'Allemagne a averti que le vaccin COVID est mortel.
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Plus d'histoires liées :
Alors que Boris Johnson a démissionné, les responsables britanniques ont discrètement publié des données montrant que le taux de mortalité par covid est le plus élevé parmi les personnes entièrement vaccinées.
Les données officielles du gouvernement allemand suggèrent que les personnes complètement vaccinées développeront le SIDA.
Une vague massive de COVID en Allemagne et en Europe centrale malgré une vaccination élevée.
Sources include:
InfoWars.com
AmericanLibertyReportNews.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-26-germany-admits-covid-vaccines-cause-severe-injury.html
Trois jeunes médecins décèdent de façon inattendue dans un petit hôpital quelques jours seulement après le 4e mandat de vax COVID
RépondreSupprimermardi 26 juillet 2022
par : Lance D. Johnson
(Natural News) Un petit hôpital canadien a perdu trois jeunes médecins en l'espace de trois jours, juste après qu'un 4e mandat de vax COVID a été émis pour les travailleurs de la santé. Trillium Health Partners en Ontario, au Canada, a envoyé trois notes de service à leur personnel à seulement trois jours d'intervalle - pleurant la perte de trois médecins bien-aimés. Les notes de service n'ont pas révélé la cause de ces décès soudains et inattendus, alors que l'hôpital continue de repousser son 4e mandat de vax COVID sur les travailleurs de la santé.
Les PDG, les membres du conseil d'administration et les administrateurs des hôpitaux devraient avoir honte de ne pas avoir défendu les vies innocentes qui ont été perdues à cause des vaccins COVID et tous ceux qui ont été blessés et tués par des protocoles inhumains et mortels. Les systèmes hospitaliers continuent de faciliter des expériences médicales inutiles qui perpétuent un génocide mondial. Ces administrateurs sans scrupule continuent de persécuter leurs collègues soignants qui ne se conforment pas à ces expériences médicales mortelles et destructrices. Les travailleurs de la santé se tuent littéralement à la manière d'une secte. A chaque rappel, ils doivent prouver leur allégeance à ce culte de la vaccination. Booster après booster, ils se détruisent de l'intérieur.
Un petit hôpital pleure la perte inattendue de trois jeunes médecins bien-aimés
La première note de service pleure la perte du Dr Lorne Segall, un oto-rhino-laryngologiste qui a été chef de division d'oto-rhino-laryngologie de 2016 à 2017. Il a rejoint les partenaires de santé de Trillium en 2007 et a été oto-rhino-laryngologiste à l'hôpital Credit Valley. Il est décédé le 17 juillet 2022 et laisse derrière lui une femme et trois enfants.
La deuxième note de service pleure la perte du Dr Stephen McKenzie, neurologue à l'hôpital de Mississauga. Le Dr McKenzie a contribué à la formation médicale prédoctorale et postdoctorale chez Trillium Health Partners et à l'Université de Toronto. Il a passé une grande partie de son temps à s'occuper de patients atteints de sclérose en plaques. Il est décédé le 18 juillet 2022.
La troisième note de service pleure la perte du Dr Jakub Sawicki, membre de l'équipe d'assistance chirurgicale de Trillium Health Partners. En 2013, il a terminé sa formation à l'unité d'enseignement en médecine familiale de Credit Valley et a commencé à travailler à Trillium en 2014. Il s'est spécialisé dans la gestion de la douleur et est devenu directeur médical des cliniques de médecine de la douleur de la région, tout en enseignant aux résidents en médecine familiale. Il est décédé le 20 juillet 2022.
RépondreSupprimerLa lâcheté des médecins du monde entier est décourageante
Le décès soudain et inattendu de trois jeunes professionnels de la santé à trois jours d'intervalle devrait sonner l'alarme dans tout le système hospitalier et dans tout le Canada, mais Trillium Health Partners continuera d'ignorer le problème évident qui se pose, tout en repoussant une autre série de méfaits médicaux coercitifs dans leur aveugle culte à la « vaccination ».
Les statistiques gouvernementales les plus récentes sur le Canada (du 9 juin au 19 juin) montrent que les vaccinés représentent 92 % des décès liés au covid-19. Au cours de cette période, il y a eu 4 954 décès de covid-19 au Canada, et les vaccinés ont représenté 3 796 de ces décès. A chaque rappel supplémentaire, le pourcentage de décès augmente linéairement. Il y a eu 135 décès pour les personnes qui ont pris un vaccin, 1 174 décès pour les personnes qui ont pris deux vaccins et 2 487 décès pour les personnes qui ont pris trois vaccins.
Pour aggraver les choses, les quadruples vaccinés sont à l'origine de la majorité des nouveaux cas en 2022. Sur les 20 842 cas de COVID-19 signalés au cours de la même période, les quadruples vaccinés représentaient 13 987 d'entre eux. Les vaccinés représentent 93% du nombre total de cas. Non seulement le vaccin ne fonctionne pas pour arrêter la propagation du covid-19, mais il est également le facteur déterminant de nouvelles variantes qui tuent principalement les vaccinés.
Les 1 377 hospitalisations liées au COVID-19 au cours de la même période concernaient également principalement la population vaccinée. Environ 85 % des hospitalisations proviennent de personnes vaccinées et ce sont les quadruples vaccinés (65 %) qui sont à l'origine de la majorité de ces hospitalisations.
La dictature Trudeau exige toujours ces soi-disant vaccins pour que les gens puissent entrer dans le pays, et le gouvernement continue de poursuivre des politiques discriminatoires pour contraindre davantage de personnes à prendre des injections de caillots. Dans la plupart des cas, les PDG et administrateurs d'hôpitaux ont trop peur de dire la vérité et de défendre leurs collègues, leurs patients et leurs familles. Alors qu'ils se soumettent à la tyrannie médicale à chaque tournant, ils continueront de mourir de manière inattendue aux mains de tyrans.
Sources include:
SteveKirsch.substack.com
ExposeNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-26-three-doctors-die-unexpectedly-covid-vax-mandate.html
Jeffrey Tucker : Fauci a fait des dégâts incalculables à travers le monde
RépondreSupprimerMardi 26 juillet 2022
par : Kevin Hughes
(Natural News) Pour le chroniqueur d'Epoch Times Jeffrey Tucker, le Dr Anthony Fauci est la principale raison pour laquelle le coronavirus de Wuhan (COVID-19) est devenu une pandémie mondiale.
"Il a fait des dégâts incalculables à travers le monde", a déclaré Tucker lors d'une récente interview avec le correspondant principal de LifeSite News, Jim Hale.
Tucker, le fondateur et président du Brownstone Institute, a noté que lorsque les États-Unis ont suivi la Chine et l'Italie pour imposer un verrouillage, cela a envoyé un signal au reste du monde que tout le monde devrait faire de même.
Le philosophe, économiste et commentateur social a souligné que Fauci était passé d'une personnalité traditionnelle de la santé publique à un responsable de la santé tyrannique favorisant les verrouillages, les fermetures et les fermetures qui ont fini par devenir incontrôlables.
"Il croyait pouvoir contrôler la propagation par des changements de comportement forcés et a travaillé en étroite collaboration avec Deborah Birx pour y parvenir", a déclaré Tucker, auteur du livre "Liberty or Lockdown".
Le chroniqueur économique quotidien d'Epoch Times a ajouté que le directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) a réussi à convaincre à la fois Big Tech et les médias d'entreprise de soutenir sa campagne qui suscite la peur et l'hystérie.
Tucker a souligné que Fauci avait définitivement menti sur son financement du gain de fonction via Eco Health Alliance et son ami Peter Daszak.
L’organisation à but non lucratif de Daszak a reçu plusieurs subventions du NIAID de Fauci pour financer la recherche sur le gain de fonction sur les coronavirus de chauve-souris à l’Institut de virologie de Wuhan. (Connexe: Fauci et le NIH surpris en train de financer la recherche sur les armes biologiques covid de la Chine)
"Et ce n'est pas seulement qu'il a menti sur tout. Il a menti sur l'immunité naturelle. On lui a posé d'innombrables questions sur l'immunité naturelle [et] à chaque fois, il a dit: "Eh bien, nous examinons cela, nous étudions cela… Nous ne savons tout simplement pas." Mais nous connaissons l'immunité naturelle depuis deux ans et un demi-millier d'années. Et c'était donc ridicule », a déclaré Tucker.
Tucker a mentionné qu'une pandémie se termine par une exposition et une récupération nationales. Il a ajouté que les gens ne peuvent pas se vacciner pour sortir d'une pandémie de coronavirus car ce n'est pas possible et c'est dangereux.
Il a également noté que Fauci a dissimulé tout ce qui concerne le port de masques, les vaccins et les rappels et l'utilisation des médicaments COVID paxlovid et remdesivir.
RépondreSupprimerFauci également derrière la censure des points de vue alternatifs
«Ce que la seule vérité que tout le monde doit avoir, c'est qu'il a travaillé très dur pour supprimer les opinions alternatives, a travaillé très étroitement avec Mark Zuckerberg sur Facebook. Il était donc responsable d'une grande partie de la censure en cours », a déclaré l'économiste et commentateur social à propos de Fauci.
Tucker a noté que beaucoup de choses se sont passées pendant la pandémie. Il y a eu tellement de démoralisation, de toxicomanie, d'alcoolisme, de mauvaise santé et de dépression.
"C'est une crise absolue. Et puis vous ajoutez à cela la crise économique, qui depuis le début des blocages, le dollar a perdu environ 14% de sa valeur », a déclaré Tucker.
Il a souligné que les gens auraient dû être autorisés à vaquer à leurs occupations et à leurs affaires, car le COVID serait comme la grippe qui va et vient.
Tucker a souligné que le gouvernement ne pouvait rien y faire. Il a ajouté que la fermeture des églises, des associations civiques, des réunions et d'autres activités pour s'assurer que les gens ne peuvent pas sortir pour célébrer les fêtes et autres choses était "une décision totalitaire et despotique qui n'aurait pas dû se produire".
Suivez FauciTruth.com pour plus d'informations sur le Dr Anthony Fauci.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur l'héritage honteux du Dr Anthony Fauci.
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Cette vidéo provient de la chaîne LSNTV sur Brighteon.com.
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Plus de 3 000 médecins sont d'accord : Fauci et d'autres décideurs covid ont commis des « crimes contre l'humanité ».
Le tyran médical Anthony Fauci dit aux Américains de s'attendre à des boosters COVID ANNUELS.
De plus en plus de preuves indiquent les efforts de Fauci pour dissimuler le rôle de Wuhan dans COVID.
Les verrouillages de COVID-19 ont échoué : Fauci et toute l'équipe de verrouillage accusent le public de "ne pas suivre suffisamment les règles".
Fauci dit que le but des verrouillages est de «faire vacciner les gens».
Les sources comprennent :
Brighteon.com
Brownstone.org
https://www.naturalnews.com/2022-07-26-fauci-has-done-incalculable-damage-throughout-world.html
L'OMS admet (mais ne le fait pas) que le monkeypox est une "maladie gay"
RépondreSupprimermardi 26 juillet 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Le New York Times affirme qu'il y a maintenant 16 000 "cas" de monkeypox (pridepox) dans le monde, ce qui a incité le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, à déclarer la "maladie des homosexuels" comme une « urgence de santé publique de portée internationale ».
Ghebreyesus admet que le pridepox se propage principalement parmi les hommes LGBT, mais dans le même souffle, il a exhorté à ne pas le catégoriser comme tel. Selon Ghebreyesus, faire en sorte que les hommes homosexuels et bisexuels se sentent mal à propos de la maladie d'une manière stigmatisante parce que "la stigmatisation et la discrimination peuvent être aussi dangereuses que n'importe quel virus".
En d'autres termes, le pridepox est une maladie gay, mais ce n'est pas non plus une maladie gay. Et tout le monde devrait en avoir peur car Ghebreyesus affirme qu'il se propage dans le monde "rapidement grâce à de nouveaux modes de transmission que nous comprenons trop peu".
"Pour toutes ces raisons", a ajouté Ghebreyesus dans un communiqué, "j'ai décidé que l'épidémie mondiale de monkeypox représente une urgence de santé publique de portée internationale".
L'OMS a voté 9 contre 6 pour ne PAS déclarer une urgence de monkeypox, mais Ghebreyesus a annulé cette décision
Monkeypox est apparu pour la première fois en Europe lors d'un festival de sexe LGBT pour "Pride". Depuis lors, les médias et les gouvernements tentent de faire peur aux gens pour inaugurer une autre pandémie.
Ghebreyesus fait sa part, bien sûr, en prétendant que le pridepox est vraiment effrayant et quelque chose dont nous devons tous nous inquiéter parce que les hommes qui ont des rapports sexuels avec des hommes développeraient des lésions massives sur leurs organes génitaux.
"Il s'agit d'une épidémie qui se concentre chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, en particulier ceux qui ont plusieurs partenaires sexuels", a admis Ghebreyesus dans un communiqué.
Il y a aussi maintenant des revendications qu'une poignée d'enfants atteints de pridepox. Ces enfants "remontent à des individus qui viennent de la communauté des hommes homosexuels", selon Rochelle Walensky, responsable des Centers for Disease Control and Prevention (CDC).
RépondreSupprimerUne étude récente publiée dans le New England Journal of Medicine (NEJM) affirme que le pridepox augmente chez les hommes LGBT, dont beaucoup ont également le VIH et probablement d'autres maladies sexuellement transmissibles (MST).
Ghebreyesus appelle les hommes LGBT à "adopter des mesures qui protègent à la fois la santé, les droits humains et la dignité des communautés touchées". Cela semble être une façon très politiquement correcte de dire aux hommes LGBT de cesser d'être des porcs à la promiscuité.
L'affirmation est que pridepox prend environ 20 jours pour incuber et commencer à s'infecter. Sur la base du moment où les premiers cas ont été signalés, cela indique que les festivités de la fierté de juin sont le coupable.
"Avec les outils dont nous disposons actuellement, nous pouvons arrêter la transmission et maîtriser cette épidémie", a ajouté Ghebreyesus dans un communiqué, ne clarifiant pas pleinement ce que sont ces "outils".
Quiconque a un cerveau sait que l'OMS est une division de clown non pertinente des Nations Unies que personne n'a besoin de prendre au sérieux. Ghebreyesus, selon un commentateur est "un parasite apatride assoiffé de pouvoir et de pertinence et RIEN DE PLUS".
"C'est vraiment une urgence mondiale pour les imbéciles les plus à risque", a ajouté un autre. "Le mouvement PC dit que vous ne pouvez pas dire la vérité : que c'est totalement évitable, même pour ces hommes, s'ils prennent des précautions et rappellent leurs tendances - mais ils ne se contrôleront tout simplement pas, et nous paierons tous."
"Les monstres refusent d'arrêter de s'engager dans des risques insensés. Ils sont pathologiques et irresponsables. Vraiment mal développé psychologiquement.
Un autre a souligné que Ghebreyesus n'est guère plus qu'un pion de l'eugéniste milliardaire Bill Gates.
"Il vient d'Ethiopie, qui avait la réputation d'être le pays le plus corrompu d'Afrique", a ajouté cette personne. "C'est un peu comme être la partie la plus chaude de l'enfer."
Les dernières nouvelles sur la variole du singe peuvent être trouvées sur Outbreak.news.
Les sources comprennent :
ZeroHedge.com
Twitter.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-26-who-admits-but-doesnt-monkeypox-gay-disease.html
Birx avoue que, malgré les avoir poussés, elle savait que les piqûres de covid "n'allaient pas protéger contre l'infection"
RépondreSupprimerMardi 26 juillet 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Deborah Birx, l'une des conseillères de Donald Trump sur le coronavirus de Wuhan (Covid-19), obtient certainement ses 15 minutes de gloire ces jours-ci alors qu'elle avoue avoir commis des crimes contre l'humanité avec l'aide de Tony Fauci et des autres mondialistes qui infestent le gouvernement des États-Unis.
Apparaissant sur Fox News l'autre jour avec Neil Cavuto, Birx a admis qu'elle savait depuis le début que les vaccins contre la grippe Fauci "n'allaient pas protéger contre l'infection", mais a choisi de les pousser quand même - ce qu'elle fait encore aujourd'hui, soit dit en passant.
"Eh bien, si vous êtes de l'autre côté du Sud et que vous êtes au milieu de cette vague en ce moment, ce qui va vous sauver, c'est Paxlovid", a déclaré Birx pendant le segment (regarder ci-dessous), shilling encore un autre médicament Pfizer pour les Chinois Virus.
"Mais une fois que nous aurons traversé cette vague, pendant le creux, vous devriez vous faire vacciner et booster parce que nous pensons que cela vous protégera – en particulier si vous avez plus de 70 ans", a poursuivi Birx en bourdonnant d'une voix de "fille de la vallée" similaire à celle de Rochelle Walensky, directrice corrompue des Centers for Disease Control and Prevention (CDC).
"Je savais que ces vaccins n'allaient pas protéger contre l'infection et je pense que nous avons surestimé les vaccins et cela a fait craindre aux gens qu'ils ne protègent pas contre les maladies graves et l'hospitalisation", a poursuivi Birx, ajoutant que 50 % des gens qui sont soi-disant morts de la variante "Omicron" (Moronic) du WuFlu étaient plus âgés et vaccinés.
Deborah Birx doit être tenue responsable d'avoir commis des crimes contre l'humanité
La raison pour laquelle nous continuons à entendre parler de Birx est qu'elle est là-bas en train de lire un nouveau livre qu'elle vient d'écrire dans lequel elle admet ouvertement avoir falsifié les données de Fauci Flu sans l'autorisation ou la connaissance de l'administration Trump afin de faire avancer l'agenda de la plandémie.
RépondreSupprimerBirx est une criminelle, en d'autres termes, mais se sent apparemment tellement protégée dans sa tour d'ivoire de protection mondialiste qu'elle n'a pas du tout peur d'avouer ses crimes tout en continuant à en tirer profit sous la forme de ventes de livres.
Parce que l'Amérique est maintenant tellement divisée politiquement - tout cela à dessein, bien sûr - les escrocs et les criminels des deux côtés de l'allée politique semblent s'en tirer avec tout ce qu'ils veulent maintenant parce que 50% de la population, selon le criminel, a le dos dû être « rouge » ou « bleu ».
Birx n'est pas officiellement une bleue, mais son programme pro-pandémique convient à l'agenda du côté bleu. En conséquence, l'armée bleue semble la soutenir, peu importe ce qu'elle dit ou fait.
"Cette femme devrait être jugée pour crimes contre l'humanité", a écrit quelqu'un dans la section des commentaires sur Birx et son comportement criminel.
"Birx devrait être en prison pour son rôle dans toute l'arnaque", a écrit un autre. "Le" vaccin "est l'arnaque et l'arnaque est le vaccin - je le dis depuis le premier jour."
Un autre a écrit qu'il ne faisait plus confiance aux médecins après la pandémie, ni au gouvernement fédéral "qui a volé la liberté des gens et suspendu la Constitution lors d'une" urgence médicale "".
"Les foulards font des merveilles pour cacher la peau reptilienne", a plaisanté un autre à propos de Birx, qui était souvent appelée la "dame au foulard" parce qu'elle portait constamment un foulard chaque fois qu'elle se présentait devant le public.
Les dernières nouvelles sur les injections de virus chinois peuvent être trouvées sur Vaccines.news.
Les sources de cet article incluent :
Twitter.com
NaturalNews.com
CitizenFreePress.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-26-birx-confesses-covid-jabs-failure-protect-health.html
Un scientifique australien révèle que COVID est un virus du rhume
RépondreSupprimerMardi 26 juillet 2022
par : Mary Villareal
(Natural News) L'immunologiste moléculaire et cellulaire australien, généticien et microbiologiste Edward J. Steele a déclaré que les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) ne fonctionnent pas comme prévu car la maladie qu'ils sont censés prévenir est un "virus du rhume".
"Je dois souligner: c'est un virus du rhume [et] 99,9 % des gens peuvent s'en débarrasser", a déclaré Steele. Selon Steele, le coup dans le bras ne peut pas stimuler une réponse anticorps muqueuse dans le nez, la bouche et le tractus intestinal qui est nécessaire pour neutraliser le virus avant qu'il ne puisse pénétrer dans les cellules et se répliquer.
Les gens demandent maintenant pourquoi on les pousse à se faire injecter quelque chose qui n'empêche pas la transmission virale et ne fait que dégrader le système immunitaire avec le temps.
Le gouvernement et Big Pharma ont essayé de le dissimuler, mais il existe de nombreuses preuves montrant que ces vaccins sont dangereux.
Les immunologistes et les tests PCR ne peuvent pas différencier le rhume du virus SARS-CoV-2. Apparemment, la classe dirigeante avait juste besoin de renommer la grippe et le rhume pour effrayer suffisamment les masses au point qu'elles s'injecteraient volontairement une drogue expérimentale capable de détruire leur corps. (En relation: Qu'est-il arrivé à la «saison de la grippe ?» À l'ère du COVID, «la grippe» a été reclassée comme coronavirus, dit l'épidémiologiste.)
Taux de grippe significativement plus bas en 2020 et 2021 par rapport aux niveaux pré-pandémiques
Les taux de grippe sont restés faibles au cours des deux dernières années, effaçant essentiellement les niveaux précédents et soulevant des questions dans le domaine universitaire. Alors, où sont passés les cas de grippe ?
"La grippe a été renommée COVID en grande partie", a déclaré l'épidémiologiste Knut Wittkowski, ancien responsable de la biostatistique, de l'épidémiologie et de la conception de la recherche à l'Université Rockefeller.
"Il peut y avoir un certain nombre de cas de grippe inclus dans la catégorie" présumée COVID "de personnes qui présentent des symptômes de COVID mais qui ne sont pas testées pour l'ARN du SRAS", a-t-il déclaré. Il faut tenir compte du fait que les symptômes de la grippe peuvent également être confondus avec le COVID.
Il a fait valoir que les patients dont on dit qu'ils ont le COVID peuvent également avoir de l'ARN du SRAS "assis dans leur nez tout en étant infectés par la grippe". Dans ce cas, il serait simplement confirmé comme COVID.
RépondreSupprimerLes Centers for Disease Control and Prevention ont également indiqué dans leurs rapports de suivi de la surveillance de la grippe que le taux cumulatif de tests positifs pour la grippe de fin septembre à la semaine du 19 décembre 2020 n'est que de 0,2%, tel que mesuré par les laboratoires cliniques - une diminution significative par rapport à un cumulatif de 8,7 % par rapport à l'année précédente.
Les comparaisons hebdomadaires sont encore plus frappantes. Le taux clinique positif était de 22% la même semaine en 2019, mais n'était que de 0,1% en 2020.
Ces faibles chiffres se poursuivent alors que les tendances antérieures de l'année montraient que les taux de grippe restaient à des niveaux proches de zéro. La tendance ne se limite pas non plus aux États-Unis, car les autorités sanitaires du monde entier ont toutes signalé une forte baisse des niveaux de grippe tout au long de ce qui est normalement la saison de pointe de la grippe dans l'hémisphère nord. Les taux sont également faibles dans l'hémisphère sud.
Visitez Pandemic.news pour plus de nouvelles et d'informations liées à la pandémie de COVID-19.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur la relation entre le COVID et la grippe.
- voir clip sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne Search for Truth de Suzie sur Brighteon.com.
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LES VACCINS TUENT : Une étude révèle une corrélation positive entre les décès par COVID-19 et les taux de vaccination contre la grippe chez les personnes âgées dans le monde.
CDC : Coronavirus 5 fois plus mortel que la grippe pour les patients hospitalisés.
Un groupe international financé par Bill Gates prévient que l'un des 11 nouveaux virus deviendra la "prochaine pandémie".
Les sources comprennent :
SHTFPlan.com
JustTheNews.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-26-australian-scientist-covid-is-common-cold-virus.html
(...) Un scientifique australien révèle que COVID est un virus du rhume (...)
SupprimerLe microbe avai une poussière dans l’œil !
STOP ! STOOOOOP ! Le 'virus' EST UNE POUSSIÈRE et à ne PAS CONFONDRE avec un MICROBE qui lui est vivant ! Un microbe se stoppe avec des antibiotiques. Une poussière (là, une poussière empoisonnée) se 'stoppe avec un ANTIDOTE. Or, cet anti dote N'EXISTE PAS à l'heure actuelle. Car il s'agit d'une expérimentation génique d'essais qui comporte des nano-particules d'oxyde de graphène (poison mortel violent).
Les vaccins COVID semblent rendre les gens HYPER sensibles à la POX, aux allergies et aux toxines alimentaires telles que les aflatoxines
RépondreSupprimermardi 26 juillet 2022
par : Mike Adams
(Natural News) Comme même Tedros du W.H.O. discute maintenant ouvertement, monkeypox frappe principalement les hommes homosexuels qui ont plusieurs partenaires sexuels. Cependant, il y a un aspect de cette épidémie de monkeypox qui n'est pas encore reconnu par la plupart : le fait que 96 % des personnes LGBT ont reçu des vaccins contre le covid. Cela signifie que presque tous les homosexuels souffrant actuellement de monkeypox sont également «vaccinés» - ou, techniquement, injectés avec des concoctions expérimentales d'ARNm modifiant les gènes.
Ces vaccins, à leur tour, sont bien documentés pour supprimer la fonction immunitaire. Sur une période de plusieurs mois - surtout lorsqu'il est renforcé par des "boosters" supplémentaires - le système immunitaire d'une personne se détériore à un point tel qu'elle ne peut plus se protéger de la variété d'agressions chimiques, biologiques et environnementales qui menacent le corps. C'est ce qui amène de nombreuses personnes à souffrir, par exemple, de cas explosifs d'eczéma qui étaient auparavant maîtrisés avant le vaccin.
Cette femme a subi une explosion choquante d'eczéma après avoir pris trois vaccins, et elle réalise maintenant que tout a été causé par le vaccin lui-même :
Les preuves indiquent que le même phénomène se produit avec le monkeypox et les hommes homosexuels qui se livrent à des activités sexuelles homosexuelles avec plusieurs partenaires. Il est maintenant documenté que le monkeypox est transporté par la salive, l'urine et le sperme, selon une étude publiée par l'Institut de santé mondiale de Barcelone (ISGlobal). Voir la description complète sur StudyFinds.org qui indique :
Un nouveau rapport sur la variole du singe fait craindre que le virus puisse infecter d'autres personnes par le biais des fluides corporels d'un patient. Des chercheurs espagnols ont découvert des charges virales élevées dans la salive, le sperme, l'urine et d'autres échantillons provenant de patients confirmés atteints de variole du singe.
Les auteurs de l'étude affirment que les premiers cas en Grande-Bretagne, au Portugal et en Espagne ont été principalement découverts chez des hommes ayant des rapports sexuels avec d'autres hommes. Aux États-Unis, il y a eu jusqu'à présent plus de 1 400 cas confirmés.
Cependant, il est important de noter que les orgies de sexe gay n'ont probablement pas soudainement changé dans le type de comportements poursuivis par les participants. En d'autres termes, les hommes homosexuels n'ont pas soudainement commencé à s'engager dans des activités qui entraîneraient le partage de salive, d'urine et de sperme entre leurs participants. Ce type d'activité existe depuis très longtemps. Ce qui a changé, c'est que maintenant ils sont vaccinés contre le covid, ce qui signifie que leur système immunitaire est détruit. Et à cause de cela, leur système immunitaire ne peut pas lutter contre les expositions auxquelles ils se soumettent depuis longtemps (comme les bactéries rectales, les matières fécales, le sang des microdéchirures cutanées, etc.).
RépondreSupprimerAinsi, la variole du singe doit être comprise non seulement comme une «maladie des orgies sexuelles gays», mais plutôt comme une maladie vaccinée des orgies sexuelles homosexuelles. Il convient également de souligner que les couples homosexuels qui sont monogames et ne se livrent pas à un comportement multipartenaire auraient probablement un risque quasi nul de monkeypox. Il ne s'agit donc pas simplement d'être gay, il s'agit d'une combinaison de vaccination + partenaires sexuels multiples + activités sexuelles gays. Ce combo conduit à un système immunitaire affaibli et à une exposition à une grande variété d'agents pathogènes, dont certains sont enracinés dans la partie inférieure du tube digestif et sont des déchets biologiques.
Notamment, les couples de lesbiennes ne partagent pas ce risque de monkeypox même s'ils partagent plusieurs partenaires sexuels lesbiens. Pourquoi? Parce qu'ils n'adoptent pas les mêmes comportements physiques que les homosexuels qui partagent plusieurs partenaires sexuels. Cela explique pourquoi le monkeypox est diagnostiqué presque exclusivement chez les hommes homosexuels, et non chez les femmes homosexuelles. Parce que, comme vous le savez, les hommes et les femmes ont des organes sexuels différents, même si les grands médias prétendent actuellement que ce n'est pas le cas.
Pourquoi le CDC ne dit-il pas aux homosexuels promiscueux de verrouiller leurs orgies sexuelles pendant 3 semaines pour aplanir la courbe ?
Comme l'a déploré un médecin (le Dr Paul Alexander) sur la sous-stack, il est peut-être temps pour le CDC de dire aux hommes homosexuels de "ne pas avoir de relations sexuelles anales pendant 3 semaines" afin d'aplanir la courbe de la variole du singe.
ien sûr, le CDC ne s'engagerait jamais dans une telle commande. C'est bien d'ordonner à toute la population de se confiner, de porter des masques et de se faire vacciner, mais il n'est jamais acceptable dans une société "progressiste" de dire spécifiquement aux homosexuels d'arrêter le comportement qui propage la variole du singe. Comme l'explique le Dr Alexander, "Comment avez-vous pu fermer des entreprises pendant 2 ans en raison de la fraude COVID, amener les propriétaires d'entreprise, les employés licenciés, les enfants à se suicider à cause de la folie du verrouillage, mais vous ne pouvez pas dire à la communauté GAY d'arrêter le contact pendant 3 semaines ?"
RépondreSupprimerIl souligne même qu'il ne s'agit pas d'être gay, mais de cause à effet physique :
Il ne s'agit pas d'être GAY, mais plutôt du type de contact physique qui augmente le risque de transmission des fluides corporels, du contenu des pustules, etc. s'il y a déchirure des tissus (micro déchirures) comme dans les déchirures rectales, les déchirures anales, les déchirures du pénis, même vaginales larmes si le contact sexuel est entre hétérosexuels. Il s'agit de la déchirure des tissus et de la capacité du fluide infecté à pénétrer dans les micro-ouvertures des tissus déchirés. Ne pas être GAY.
Mais pour l'amour de Dieu, il est temps de donner les bons conseils et de mettre fin aux conneries avec le politiquement correct.
Même si vous n'êtes pas un homme gay, les vaccins covid peuvent transformer votre corps en un système de réponse hyperactif déclenché par des toxines environnementales
Alors, c'est là que tout cela devient intéressant. Bien au-delà des communautés monkeypox et LGBT, même les individus hétérosexuels et monogames peuvent se retrouver submergés par des postules, des réactions allergiques, des douleurs musculaires, une inflammation neurologique et d'autres problèmes graves simplement en étant exposés à des toxines environnementales de routine, toutes dues à une hypersensibilisation vaccinale / effondrement du système immunitaire.
Cela signifie que les personnes vaccinées peuvent être incapables de nager dans les piscines publiques, par exemple, ou qu'elles peuvent découvrir de nouvelles allergies ou sensibilités alimentaires qu'elles n'ont jamais connues auparavant. Ils peuvent même devenir allergiques à des médicaments tels que les antibiotiques, et s'ils vivent dans des zones où le taux de pollen est élevé, ils peuvent soudainement découvrir que vivre là-bas est insupportable en raison de leurs réactions allergiques.
RépondreSupprimerEnsuite, il y a le problème des aflatoxines dans les aliments, qui sont une classe de produits chimiques extrêmement toxiques produits par des champignons. Ces souches de champignons infectent régulièrement les noix de cajou et autres noix ainsi que les graines et les céréales comme le blé et le maïs. Les aflatoxines sont mortelles pour le bétail, les poulets et autres animaux de ranch, et lorsqu'elles sont ingérées par les humains, elles ont besoin d'un foie qui fonctionne bien pour se détoxifier. (C'est pourquoi c'est une bonne idée d'avoir un approvisionnement prêt de suppléments de NAC à portée de main et de soutenir votre fonction hépatique avec des feuilles et des racines de pissenlit fraîches, entre autres choses. P.S. Je cultive des pissenlits hydroponiques pour cette raison même… plus à ce sujet plus tard …)
Un phénomène qui se produit actuellement est que les approvisionnements alimentaires sont stockés plus longtemps en raison de pannes dans la logistique et le transport, résultant de la pénurie de carburant, des prix du carburant, des pénuries de main-d'œuvre, des grèves des chemins de fer, etc. Cela donne aux approvisionnements alimentaires une plus grande opportunité de faire pousser des champignons producteurs d'aflatoxine, et cela signifie que la nourriture devient de plus en plus toxique en attendant d'être livrée. Tout environnement chaud et humide favorisera la croissance des aflatoxines. (Remarque : le magasin Health Ranger teste déjà toutes les noix et graines pour les aflatoxines, et nous développons un test d'aflatoxine à l'aide d'instruments de spécification de masse - LCMS - à appliquer à d'autres produits alimentaires dans un proche avenir.)
Ainsi, l'approvisionnement alimentaire devient plus toxique parce que les livraisons sont retardées. Pire encore, lorsque les gens sont vaccinés avec les vaccins covid expérimentaux, ils peuvent affaiblir la capacité de leur corps à neutraliser ces puissantes toxines. En fait, bon nombre des symptômes post-vaccinaux que nous observons actuellement chez les personnes semblent fortement ressembler à des symptômes d'empoisonnement à l'aflatoxine.
From MoldPedia.com, aflatoxin symptoms include:
Liver damage
Liver cancer
Mental impairment
Abdominal Pain
Vomiting
Convulsions
Edema
Pulmonary Edema
Hemorrhaging
Disruption of food digestion, absorption or metabolism
Coma
Death
Notez à quel point ces symptômes ressemblent aux symptômes post-vaccinaux. Il se pourrait très bien que bon nombre de ces expériences ne soient pas directement causées par le vaccin seul, mais plutôt que le vaccin rende les systèmes humains très vulnérables à l'empoisonnement par l'aflatoxine, étant donné que les aflatoxines sont régulièrement présentes dans l'approvisionnement alimentaire en quantités microscopiques. (Le beurre d'arachide, par exemple, peut contenir des aflatoxines en raison de l'utilisation fréquente d'arachides de qualité inférieure qui abritent parfois des moisissures et des champignons.)
RépondreSupprimerÉgalement de MoldPedia.com :
L'Organisation américaine pour l'alimentation et l'agriculture estime que 25 % des cultures vivrières dans le monde sont affectées par les mycotoxines. Parmi ces mycotoxines, les aflatoxines sont le plus gros problème.
Le maïs, le coton et l'arachide sont les cultures les plus susceptibles d'être contaminées par les aflatoxines. Aspergillus pousse aussi couramment sur les haricots, le riz, les noix et le blé. Il pousse moins souvent sur d'autres céréales et noix.
Si les animaux reçoivent des aliments contaminés par des aflatoxines, les mycotoxines aflatoxines peuvent se retrouver dans le lait, les œufs et la viande. Les aflatoxines M1 et M, que l'on trouve souvent dans le lait de vache, sont des métabolites produits par des animaux qui ont mangé des aflatoxines.
Méfiez-vous des vaccins covid qui vous rendent vulnérable à d'autres expositions
En résumé, méfiez-vous des effets de la prise de vaccins covid, car ils peuvent rendre votre corps plus vulnérable à d'autres agressions, produits chimiques, toxines, pathogènes, etc. En effet, les vaccins covid vont multiplier les effets toxiques d'autres toxines, et les habitudes alimentaires ( ou habitudes sexuelles) qui ne présentaient auparavant aucun risque réel pour votre santé peuvent soudainement apparaître comme extrêmement graves, accompagnées de symptômes très apparents tels que des éruptions cutanées, des postules, des difficultés respiratoires, etc.
Récemment, lors de la compétition cycliste du Tour de France - que j'ai surnommée Tour de VAX - de nombreux cyclistes se sont plaints de difficultés respiratoires et de douleurs aux jambes, entre autres problèmes. Cela est presque certainement dû aux vaccins covid qui sont nécessaires pour les compétitions cyclistes. D'où le nom Tour de VAX.
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https://www.naturalnews.com/2022-07-26-covid-vaccines-are-making-people-hyper-sensitive-to-pox-allergies-food-toxins-aflatoxins.html
Étude : La quercétine offre des avantages clés pour votre cœur et votre système immunitaire
RépondreSupprimermardi 26 juillet 2022
par : Zoey Sky
(Natural News) La quercétine est un flavonoïde et un pigment végétal présent dans les fruits et légumes aux couleurs vives. De nombreuses études continuent de prouver sa capacité à aider à prévenir les maladies cardiaques et à promouvoir la santé cardiovasculaire.
Des études de population approfondies ont révélé que les personnes ayant une alimentation riche en quercétine ont un faible taux de cholestérol et une incidence réduite de maladies cardiaques et de décès.
La recherche a également montré que la quercétine ne fait pas que stimuler la santé cardiaque, elle aide également à soulager les allergies et améliore la fonction immunitaire.
La quercétine offre des avantages cardiovasculaires
La quercétine est un puissant antioxydant qui aide à réduire le stress oxydatif et l'inflammation, qui sont tous deux liés aux maladies cardiaques. Selon les recherches, la quercétine aide également à réduire les dommages causés par les crises cardiaques induites expérimentalement.
De plus, il a été démontré que les régimes riches en quercétine protègent contre le cholestérol LDL (lipoprotéine de basse densité) nocif en diminuant sa concentration dans le sang. Ceci, à son tour, réduit le risque de crise cardiaque et d'accident vasculaire cérébral car il empêche l'accumulation de plaque d'athérosclérose dans les artères.
La quercétine aide également le système cardiovasculaire en améliorant la circulation et en soutenant une tension artérielle saine. Une étude clinique a révélé que la prise de 200 mg de quercétine chaque jour améliore la production d'oxyde nitrique bénéfique - un produit chimique qui détend les vaisseaux sanguins - et favorise la fonction des cellules endothéliales.
La quercétine renforce votre système immunitaire
RépondreSupprimerLa quercétine protège les plantes contre les dommages causés par les maladies, les températures extrêmes et les toxines chimiques. Dans les études, cela se traduit par la quercétine ayant des capacités potentielles anti-allergiques, antivirales et de stabilisation immunitaire.
La quercétine peut aider à prévenir l'épuisement des antioxydants et à protéger les poumons pendant les périodes de stress. Il aide également à prévenir la propagation des virus. Selon les recherches, la quercétine peut augmenter de manière significative le système de défense respiratoire antioxydant chez les souris exposées au virus de la grippe H1N1.
Des études ont également révélé que la quercétine aide à bloquer la réplication virale, réduisant ainsi la capacité des virus à infecter les cellules saines.
De plus, il a été constaté que la quercétine stimule les défenses immunitaires en aidant à augmenter la production de glutathion, le principal antioxydant du corps et un composant essentiel du système immunitaire.
Les données suggèrent également que la quercétine peut aider à prolonger la vie. Dans une revue d'études publiée en 2010 dans la revue Archives of Biochemistry and Biophysics, les auteurs ont écrit que la quercétine pourrait activer SIRT1, le gène "anti-vieillissement".
La quercétine aide à réduire les réactions allergiques
La recherche moderne explore la capacité de la quercétine à combattre les allergies.
La quercétine est un antihistaminique naturel et peut aider à réduire les réactions allergiques en diminuant l'activation des mastocytes qui libèrent de l'histamine et d'autres signaux inflammatoires liés aux allergies, à l'asthme et aux affections cutanées. C'est pourquoi les prestataires de soins de santé intégratifs recommandent souvent la quercétine pour soulager l'urticaire, l'écoulement nasal, la congestion des sinus, les éternuements, le larmoiement et d'autres symptômes du rhume et des allergies.
En raison de la capacité impressionnante de la quercétine à inhiber les mastocytes, les chercheurs étudient son potentiel à bloquer les réactions anaphylactiques mortelles comme celles causées par les allergies aux arachides.
La quercétine est également un traitement potentiel de la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) et de l'asthme, grâce à sa capacité à détendre les muscles des voies respiratoires resserrés.
Améliorez votre santé globale avec des superaliments riches en quercétine
Vous pouvez prendre de la quercétine supplémentaire sous forme de pilules, de gélules ou sous forme liposomale. Bien qu'il n'y ait pas de quantité quotidienne recommandée de quercétine, de nombreux guérisseurs naturels conseillent des doses de 500 mg prises deux fois par jour.
Une autre option consiste à suivre un régime alimentaire sain et à manger beaucoup d'aliments riches en quercétine comme des fruits et légumes frais et biologiques. Les aliments riches en quercétine comprennent les pommes non pelées. Une pomme mûre contient environ 50 mg de quercétine.
Les autres superaliments contenant de la quercétine comprennent le thé vert, les oignons rouges, les raisins rouges et violets et le vin rouge. La quercétine se trouve également dans les mûres, les myrtilles, le brocoli, les agrumes, les cerises noires, les framboises et les tomates.
Consommez des aliments riches en quercétine comme les pommes et les raisins ou prenez des suppléments de quercétine pour améliorer votre santé cardiaque et votre immunité et réduire les réactions allergiques.
RépondreSupprimerRegardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur la façon dont la quercétine et le zinc peuvent être utilisés pour la prévention des virus.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne YKnot74 sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Une étude montre que la combinaison de quercétine et de tocotriénols peut aider à combattre le cancer.
La quercétine peut vous protéger des effets nocifs des pesticides.
Quercétine : Un flavonoïde qui combat le COVID comme l'hydroxychloroquine.
Sources:
NaturalHealth365.com
Healthline.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-26-quercetin-offers-benefits-for-heart-immune-system.html
C'est officiel : votre ADN est militarisé
RépondreSupprimer25 JUILLET 2022
BLOG ALGORA
Un membre du House Intelligence Committee met en garde les Américains contre l'utilisation de kits de test ADN
Les échantillons biologiques recueillis par divers services de test ADN pourraient être vendus et utilisés pour développer des armes biologiques spécialement conçues pour cibler certains groupes ou même des individus, ont affirmé les législateurs américains au Aspen Security Forum – faisant écho aux préoccupations exprimées depuis longtemps par les responsables russes.
"Il y a maintenant des armes en cours de développement, et développées, qui sont conçues pour cibler des personnes spécifiques", a déclaré vendredi le représentant américain Jason Crow (D-Colorado), membre du House Intelligence Committee, dans le Colorado. "C'est ce que c'est, où vous pouvez réellement prendre l'ADN de quelqu'un, prendre son profil médical, et vous pouvez cibler une arme biologique qui tuera cette personne ou la retirera du champ de bataille ou la rendra inutilisable."
Compte tenu de cette menace, a ajouté Crow, il est troublant que les attentes en matière de confidentialité des données personnelles aient diminué au cours des 20 dernières années, au point que les jeunes ont "très peu d'attentes en matière de confidentialité" et donnent facilement leurs données à des entreprises privées, telles que DNA prestations de test.
"Les gens cracheront très rapidement dans une tasse et l'enverront à 23andMe et obtiendront des données vraiment intéressantes sur leurs antécédents", a déclaré Crow. "Et devine quoi? Leur ADN appartient désormais à une société privée. Il peut être vendu avec très peu de protection de la propriété intellectuelle ou de protection de la vie privée. »
Il a ajouté que les États-Unis devront créer de nouvelles directives pour la protection des données personnelles de santé, y compris l'ADN, "parce que ces données vont en fait être obtenues et collectées par nos adversaires pour le développement de ces systèmes".
Moscou a mis en garde contre les dangers de la collecte incontrôlée d'échantillons d'ADN depuis des années, le président Vladimir Poutine ayant déclaré en 2017 que, selon les services de renseignement russes, des échantillons biologiques étaient prélevés "délibérément et professionnellement" dans toute la Russie par diverses ONG et autres organisations. à des fins peu claires.
Au cours des dernières années, le Pentagone a "considérablement élargi son potentiel de recherche non seulement dans le domaine de la création d'armes biologiques, mais aussi dans l'obtention d'informations sur la résistance aux antibiotiques et la présence d'anticorps contre certaines maladies dans des populations de régions spécifiques", a déclaré le lieutenant-général Igor. Kirillov, le chef de la Force russe de protection contre les radiations, chimiques et biologiques, a revendiqué en mai.
RépondreSupprimerDans une série de briefings à partir de mars, l'armée russe a présenté des preuves de l'implication présumée du Pentagone dans le financement de laboratoires biologiques en Ukraine. Selon le comité d'enquête russe, les États-Unis ont investi plus de 224 millions de dollars dans la recherche biologique en Ukraine entre 2005 et début 2022.
Alors que Washington a admis son soutien à 46 installations de recherche biologique en Ukraine au cours des 20 dernières années, il insiste sur le fait que tout cela faisait partie d'un projet pacifique de santé publique. L'armée américaine a accusé la Russie et la Chine de "répandre la désinformation et de semer la méfiance" quant à ses efforts pour débarrasser le monde des armes de destruction massive - tandis que les médias occidentaux ont rejeté ces allégations comme des théories du complot et de la science-fiction.
Selon le sénateur Joni Ernst (R-Iowa), membre du sous-comité sénatorial sur les menaces et capacités émergentes et le comité des services armés, les inquiétudes concernant les armes biologiques personnalisées vont au-delà des données ADN humaines, qui a pris la parole lors d'un panel avec Crow. Les adversaires américains peuvent également diriger des armes biologiques spécifiquement vers le bétail et les cultures américains pour créer une crise de sécurité alimentaire, a-t-elle affirmé.
"Il y a plusieurs façons d'envisager les armes biologiques et la nécessité de s'assurer non seulement que nous sécurisons les êtres humains, mais aussi la nourriture qui nous soutiendra", a ajouté Ernst.
Un rapport publié plus tôt cette année par la Commission d'examen de l'économie et de la sécurité entre les États-Unis et la Chine a suggéré que la Chine pourrait un jour tenter de mener une guerre biologique contre les cultures américaines génétiquement modifiées, compte tenu de son « intérêt accru pour l'agriculture américaine » et la propriété intellectuelle liée aux OGM.
"Alors que le principal intérêt de la Chine à obtenir des semences GM des États-Unis est d'améliorer les rendements de ses cultures, la militarisation potentielle de la propriété intellectuelle agricole est possible", a-t-il déclaré. "Semblable au piratage d'un code informatique, Pékin pourrait facilement pirater le code ou l'ADN des semences GM américaines et mener une guerre biologique en créant un type de fléau qui pourrait détruire les cultures américaines."
RépondreSupprimerhttps://www.algora.com/Algora_blog/2022/07/25/its-official-your-dna-is-weaponized
Dès lors qu'est fileté une fosse nasale (écouvillonnage déposant des nano-particules d'oxyde de graphène près du cerveau) c'est comme prendre votre n° de sécurité sociale ou votre adresse internet.
SupprimerDès lors que vous êtes fiché vous êtes ciblé. Et, comme il y a sur vous (ou près de vous) votre téléphone portable vous pouvez réceptionner un message (ondes basses fréquences) vous foudroyant sur place ! Ou, si vous n'en avez pas et que vous vous êtes fait inoculer l'expérimentation génique d'essais qui se compose de 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène (ou que vous employez un gel hydroalcoolique qui en contient, ou, que vous portez un masque imprégné de ces nano-particules d'oxyde de graphène).
Donc: si vous êtes LA victime de ci-dessus... vos jours sont comptés.
Le danger de mentir sur l'échec du vaccin à ARNm
RépondreSupprimerCe n'est pas exactement ce que vous pensez
Alex Berenson
27 juillet 2022
Le rétablissement rapide de Joe Biden de Covid marquera la fin de l'épidémie pour tous sauf les hystériques les plus endurcis.
Si un homme de 79 ans qui peut à peine terminer une phrase peut battre le ro en quelques jours, même Molly Jong-Fast aura du mal à rester effrayée. Oui, une autre variante pourrait changer le calcul. Mais en ce moment, je suis sur un Acela de New York à Washington, dans l'environnement le plus effrayant de Covid qui soit aux États-Unis, et presque personne n'est masqué.
(Pauvre, pauvre New York Times. Personne n'écoute plus :)
—
La fin du masquage obligatoire a marqué la première étape du déclin de Covid en tant que force culturelle ; les masques visaient toujours à instiller la peur. La décision de la Cour suprême annulant les mandats de vaccination sur le lieu de travail a retiré Covid de l'avant-plan politique.
Maintenant, Joe Biden, simplement en survivant, a mis fin à tout débat sur la question de savoir si Covid est une crise médicale. Accordez-lui du crédit. C'est probablement sa plus grande réalisation en plus de rendre l'inflation à nouveau formidable.
Et pourtant le Covid - et les vaccins Covid - font encore des dégâts inestimables dans notre société. L'échec des injections d'ARNm, après le battage médiatique qui les a entourés lors de leur introduction en 2020, est profondément décevant.
Le développement de nouveaux médicaments ne peut pas être précipité, autant que nous pourrions l'espérer. Les régulateurs et les scientifiques éthiques doivent insister sur des essais cliniques correctement conçus et menés avant d'approuver tout nouveau médicament ou vaccin.
Mais l'échec des vaccins est en fait moins corrosif à ce stade que le sombre refus des autorités de santé publique, des politiciens et des médias d'admettre cet échec.
Pratiquement tout le monde connaît la vérité. Comment puis-je être si sûr ? De la manière la plus basique. Personne ne reçoit plus d'injections d'ARNm - ni pour lui-même, ni pour ses enfants. Plus d'un mois après que les régulateurs ont enfreint toutes les directives qu'ils doivent approuver pour les enfants de moins de 5 ans, plus de 97% des enfants de cet âge restent intacts.
L'absorption globale a également cratéré. Même avec 19 millions de jeunes enfants désormais éligibles, les médias et les autorités sanitaires poussant sans cesse des boosters et des reboosters (maintenir, mamie, maintenir !), et certains collèges exigeant incroyablement des boosters de leurs étudiants, les Américains reçoivent moins d'un quart de million de piqûres Covid par journée.
—
Donc quel est le problème ?
Le problème est le suivant : le déni incessant d'une vérité évidente par les plus hauts niveaux des médias et du gouvernement est de l'essence pour le feu des théoriciens du complot. S'ils mentent sur les vaccins alors que tout le monde peut voir que les vaccins ne fonctionnent pas, sur quoi d'autre mentiront-ils ? Et pourquoi ont-ils menti en premier lieu ? Deeeeepopulation, c'est une chose.
Eh bien, ils ont menti parce qu'ils voulaient que Covid se termine si mal qu'ils ont ignoré tous les problèmes évidents des essais cliniques. Quant à quoi d'autre ils vont mentir ? Je ne sais pas. Mais - et je n'arrive pas à croire que je doive le dire - je ne pense pas que Bill Gates veuille dépeupler le monde. Il peut simplement acheter Montana s'il veut de l'intimité. Ma théorie du complot : les gens vraiment riches ne se soucient pas assez de vous pour vouloir votre mort !
RépondreSupprimerQuoi qu'il en soit, ce serait vraiment bien si les responsables admettaient la vérité, les vaccins n'ont pas fonctionné comme promis et maintenant nous devons espérer qu'aucune variante plus virulente du Sars-Cov-2 ne vienne faire des dégâts massifs.
D'accord, je suppose que je peux voir le problème avec la vérité. Pourtant, ils ne se font pas - ou le reste d'entre nous - des faveurs. Mais nous obtenons une comédie involontaire de la part de Jacinda Arcern, la première ministre de la Nouvelle-Zélande et héros de la gauche, qui a vraiment perdu l'intrigue et semble maintenant auditionner pour un rôle de cousine moins sympathique de Cersei Lannister :
—
Vous m'écouterez mes jolies ! Et seulement moi !
Non, Cruella, nous passerons. Et prendre du soleil, hein ? Ou est-ce interdit non plus parce que le bronzage est un signe que l'on ne prend pas assez au sérieux le réchauffement climatique ?
Ces gens.
https://alexberenson.substack.com/p/the-danger-of-lying-about-mrna-vaccine?utm_source=substack&utm_medium=email
Une tromperie "très efficace": 3 ans plus tard, il ne reste aucun remède fonctionnel contre un coronavirus
RépondreSupprimerIl n'existe pas de vaccin fonctionnel contre le coronavirus et il n'y en a jamais eu.
Jordan Schachtel
le 27 juillet 2022
Il existe de nombreux problèmes technologiques et médicaux difficiles qui doivent encore être résolus et conquis par les meilleurs et les plus brillants esprits scientifiques. Malgré les affirmations contraires, avec près de trois ans depuis le premier cas de COVID-19 signalé, un remède contre un coronavirus reste à découvrir.
Au début de COVID Mania, les médecins et les scientifiques étaient très ouverts sur le fait qu'il n'y avait jamais eu de remède contre un coronavirus et qu'il ne serait pas sage d'en attendre un de si tôt. De plus, l'idée que l'on serait développé en quelques mois, voire des années, était en grande partie une chimère, nous a-t-on dit.
Puis soudain, en un instant, la "percée" s'est produite. Le «miracle de l'ARNm» a été trouvé grâce à cette technologie innovante (du moins, selon la version anglaise de l'histoire de la guérison. La Chine, la Russie et d'autres grandes puissances n'ont jamais utilisé l'ARNm, mais elles ont également dit à leurs citoyens que ce qui équivalait à un remède a été découvert).
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Neal Rogers🇺🇦
@nealrogers
Le vaccin à ARNm COVID-19 est un miracle moderne
13 novembre 2021
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Laurent A. Tabak
@NIHDirector
Un honneur bien mérité ! Ces scientifiques sont des héros pour nous avoir donné le miracle des vaccins à ARNm #COVID19 et développé une technologie qui a transformé la façon dont nous allons prévenir d'autres maladies. Merci @KizzyPhD @BarneyGrahamMD @kkariko @WeissmanLab
Les scientifiques du vaccin sont les héros de l'année 2021 du TIME
En donnant au monde une arme contre le COVID-19, ces scientifiques ont construit une défense contre les défis à venir
bit.ly
13 décembre 2021
RépondreSupprimerQuelques semaines à peine après le premier décès désigné par COVID-19, Pfizer (via BioNTech) et Moderna ont déclaré qu'ils étaient en possession d'un vaccin fonctionnel, qui, selon la compréhension de l'Américain moyen, équivalait à un remède stérilisant. Il semblait certainement étrange que ces entreprises pharmaceutiques, selon les délais de leur propre entreprise, aient résolu un problème autrefois insoluble en quelques jours et quelques semaines (Moderna et Pfizer ont affirmé avoir développé leurs vaccins COVID en janvier 2020). Encore plus étrange était la réalité que BioNTech et Moderna n'avaient jamais déployé un seul produit sur le marché. Il a donc fallu transformer le langage pour résoudre ces problèmes.
Le dossier
Qu'est-il arrivé au «miracle» de l'ARNm ?
Avec le déploiement initial du «remède contre le COVID-19», les «experts» nous ont assuré que ces vaccins à ARNm – une première plate-forme du genre développée et distribuée aux masses par Pfizer-BioNTech et Moderna – s'apparentaient à un remède miracle. Le Dossier est une publication assistée par les lecteurs. Pour recevoir de nouveaux messages et soutenir mon travail, envisagez de devenir un…
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Il y a 6 mois · 166 J'aime · 57 commentaires · Jordan Schachtel
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Le BostonGlobe
@BostonGlobe
À l'intérieur de la quête d'un remède contre le COVID-19 : qu'est-ce qu'un vaccin à ARNm ?
bos.gl/UmiyU2E
10 novembre 2020
La campagne de messagerie soigneusement conçue nous a informés que la communauté scientifique mondiale a réuni ses meilleurs esprits pour vaincre ce problème. C'était, selon cette histoire de persévérance herculéenne, une percée collective qui équivalait à un miracle scientifique.
C'était tout un tas d'absurdités, mais l'argumentaire de vente a fonctionné.
La percée miracle était là. Maintenant, tout ce que nous avions à faire était de rester enfermés indéfiniment dans nos maisons comme des moutons dociles et de rester à l'écart de nos semblables jusqu'à ce que le remède puisse être déployé auprès des masses. Entrez : Operation Warp Speed.
Le dossier
Miracle ou mirage ? ARNm, Moderna, BioNtech et COVID-19
Avant la pandémie de COVID-19, Moderna et BioNtech n'avaient jamais produit un seul produit. Les équipes de biotechnologie ont été fondées respectivement en 2008 et 2010, avec l'objectif déclaré d'être les pionniers des thérapies par ARN messager (ARNm) dans le monde de la santé. Moderna et BioNtech partagent une histoire pleine de secret, de battage spéculatif, de bienfaits de l'effet réseau…
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il y a un an · 51 J'aime · 13 commentaires · Jordan Schachtel
RépondreSupprimerJe n'ai pas besoin d'élaborer beaucoup sur ce qui s'est passé au cours des deux prochaines années, car nous avons tous vécu cette expérience avec la règle COVID Mania. Bref, presque tout le monde s'exécuta, sous l'impression qu'ils s'étaient injecté le remède dans leurs bras, et furent par la suite déclarés "entièrement vaccinés".
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Peter Schacknow
@peterschack
Le vaccin n°2 dans les livres ! (Et le bras......). Merci à Moderna pour ce miracle de la médecine moderne et à @Walgreens pour avoir rendu le processus si simple. $MRNA $WBA
Drogues Essendon GIF
26 mars 2021
Grâce à des données et des statistiques manipulées, le gouvernement corrompu et trompeur et les entreprises privées de « santé publique » ont maintenu le récit de la guérison aussi longtemps que possible. Cependant, il est rapidement devenu impossible de continuer à affirmer que les vaccins étaient efficaces pour prévenir le COVID-19, ils ont donc contesté la définition communément comprise d'un vaccin et réorienté le message pour affirmer qu'il vous empêcherait d'aller à l'hôpital. Avance rapide jusqu'à aujourd'hui et les poteaux de but sont passés à quelque chose comme "quatre injections d'ARNm vous rendront plus susceptible de mourir avec COVID-19 plus paisiblement".
L'ARNm (ou la version du "vaccin" que vous avez prise) n'a rien fait pour résoudre le problème du virus, mais il est important de garder ce récit vivant. Pour Pfizer et Moderna, entre autres, y compris la réputation des superpuissances mondiales, la poursuite du récit de la "percée miracle"
est essentiel à la fois au résultat net et à l'ego politique. Si la vérité devait être révélée à un trop grand nombre de personnes, les gouvernements devraient être tenus pour responsables et ils cesseraient très certainement d'acheter de l'huile de serpent à ARNm, ce qui entraînerait des centaines de milliards de dollars de bénéfices qui disparaîtraient du jour au lendemain. Pire encore, il pourrait y avoir des répercussions criminelles et politiques pour leurs fausses déclarations en série et leur tromperie pure et simple.
Nous avons été dupés et carrément canulars par une mafia pharmaceutique et gouvernementale de la santé, qui a mobilisé des hordes de médecins et de scientifiques pour commettre un seppuku de réputation en approuvant le récit du «remède miracle» aux masses.
Nous n'avons pas de remède miracle. Il n'y a jamais eu de percée dans la lutte contre un coronavirus. Ce n'était qu'une campagne intelligente de marketing et de coercition. Près de trois ans après le début de cette affaire, nous ne sommes pas plus proches du remède contre un coronavirus que nous ne l'étions fin 2019.
https://dossier.substack.com/p/a-highly-effective-hoodwink-3-years?utm_source=substack&utm_medium=email
La revue PANDA WHO
RépondreSupprimerEt pourquoi c'est important pour vous
Robert W Malone MD, MS
26 juil. 2022
« L'examen de l'OMS et pourquoi est-ce important pour vous ? » a été écrit par Abir Ballan et publié par PANDA. C'est une lecture incontournable pour quiconque s'intéresse à la santé publique, aux politiques mondiales de l'OMS sur le COVID-19 - que presque toutes les nations ont suivies, et à toute l'étendue de la corruption de l'OMS/des dirigeants mondiaux et les gouvernements. L'examen énumère également ce qui aurait dû être fait à la place. Le document complet est accessible via le lien ci-dessous :
Le lien est ICI
Cet examen vous fournit des informations clés pour vous aider à évaluer la candidature de l'OMS en tant qu'organisation mondiale de santé publique faisant autorité. Il fournit des informations générales sur la santé publique et les principes de gestion de la pandémie tels qu'ils ont été précédemment convenus par cette branche des Nations Unies. L'analyse PANDA vous permettra d'évaluer le bien-fondé de la réponse recommandée par l'OMS à Covid-19 et MonkeyPox, et de déterminer dans quelle mesure l'OMS a suivi fidèlement ses propres recommandations précédemment développées. Il résume ensuite les hypothèses sous-jacentes à leurs recommandations sur le Covid-19, suivi d'un résumé des recommandations finales.
Qui est Robert Malone est une publication soutenue par les lecteurs. Pour recevoir de nouveaux messages et soutenir mon travail, envisagez de devenir un abonné gratuit ou payant.
Enfin, il examine les influences possibles sur les décisions et l'orientation de l'OMS et suggère des mesures que vous pouvez prendre pour protéger votre propre souveraineté sanitaire personnelle et nationale du pouvoir que cette organisation internationale a développé et exerce sur nous tous.
Mon bref synopsis / compilation est ci-dessous:
L'OMS a été fondée en 1946 et avait quelques principes fondamentaux de base, qui ont été complètement ignorés pendant l'épidémie de COVID. Cette image est une compilation de la constitution de l'OMS :
- voir cadre sur site -
L'image suivante (ci-dessous) est tirée des documents de planification pour la grippe et les maladies pandémiques associées en 2019. Ces recommandations étaient basées sur une analyse de la littérature scientifique. Les actions que l'OMS a choisi de recommander pendant la COVID étaient presque une déviation complète des plans de développement de la pandémie précédents qu'elle avait élaborés et approuvés. Bien sûr, les questions qui viennent à l'esprit de tous ceux qui sont confrontés au renversement presque complet des politiques précédemment recommandées sont « Pourquoi ? » et "Qui était derrière ce renversement remarquable?"
- voir cadre sur site -
De toute évidence, les interventions non pharmaceutiques (NPI) déployées pendant la pandémie de Covid-19 ne sont pas conformes aux recommandations antérieures de l'OMS pour la gestion de la pandémie de 2019.
Cet examen passe ensuite en revue toutes les « nouvelles » données qui montrent que les confinements, les masques, la vaccination universelle, les fermetures d'écoles, etc. sont tous basés sur des études fabriquées de mauvaise qualité ou sur des recherches inexistantes. Ces sections sont détaillées et bien résumées.
La question de la létalité du virus et de la façon dont l'OMS a faussement fait croire que le virus est plus mortel qu'il ne l'était en réalité, même avec la souche d'origine - est également discutée en détail.
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RépondreSupprimerEn utilisant des images et des tweets du site Web de l'OMS - l'examen démontre que l'OMS a été corrompue, mais le fait sans porter une seule accusation spécifique. Les images laissent parler les paroles et les actes de l'OMS. Le facteur d'impact de ces images est important. Un tel exemple est ci-dessous:
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La conclusion du document énumère ce qui aurait pu être fait différemment.
- voir cadre sur site -
Le document est complet, bien référencé et mérite d'être lu. Pensez à le faire et à partager avec des amis, des collègues et même des politiciens.
https://rwmalonemd.substack.com/p/the-panda-who-review
RépondreSupprimer"Des mesures plus strictes"
Eric Peters
26 juillet 2022
Le Petit Docteur dit maintenant que «des mesures beaucoup plus strictes» auraient dû être imposées aux «personnes asymptomatiques» – ce qui signifie bien sûr à tout le monde – en 2020. C'est, comme le disait M. Spock, absolument fascinant – venant d'un homme qui est lui-même un propagateur « asymptomatique ».
Un réel - par opposition à un affirmé.
En ce sens qu'il a en fait, de son propre aveu, attrapé le "virus" - malgré le port de plusieurs "masques" et la réception (dit-il) de plusieurs "vaccins", aucune de ces "mesures" ne l'ayant empêché d'attraper et de propager le très la maladie, insiste-t-il, nécessitait «des mesures beaucoup plus strictes».
Le fait que cet homme soit diplômé de l'école de médecine en dit long sur la valeur de l'école de médecine - du moins, si cet homme est un exemple des résultats d'une telle scolarité. Car il est soit un imbécile - tel que défini à l'époque pré-politiquement correct comme une personne ayant un QI très bas et une fonction cognitive médiocre - soit il est mauvais.
Il ne peut y avoir d'autre explication, si ce n'est qu'il est à la fois imbécile et méchant.
Comment peut-on l'expliquer autrement ?
S'il y avait des preuves que porter un morceau de tissu fabriqué en Chine sur votre visage pendant des heures empêchait ou même réduisait les risques qu'une personne soit infectée par un virus - puis transmette le virus à d'autres - on pourrait être en mesure de faire un étui pour porter les choses. Il n'y a pas de preuve. Aucun. Les personnes sans «masque» n'ont pas plus attrapé le «virus» - et pas pire - que celles qui «se sont masquées».
Un fait.
Il y a simplement cette affirmation continue et imbécile qu'ils « travaillent » - par des imbéciles diaboliques tels que cet interminable petit bureaucrate au visage de rat qui s'est trompé sur littéralement tout ce qu'il a dit.
Mais alors, les «masques» font du «travail» - en ce sens qu'ils sèment la division parmi nous, suscitent la peur et le dégoût, perpétuent le mensonge selon lequel se promener avec ces choses est une sorte d'obligation publique et que ne pas en porter est une sorte de défaillance morale.
Seule une personne mauvaise chercherait à promouvoir une telle chose alors qu'il est bien connu que c'est la seule chose que le port favorise.
Comme la poussée de ces «vaccins» qui n'ont pas empêché les personnes qui ont pris plusieurs doses – et qui portent plusieurs «masques» – d'obtenir exactement ce que les gens qui les poussent (comme Fauci) ont juré qu'ils feraient pas obtenir. Qui a ensuite redéfini le sens de « vaccin » pour signifier quelque chose qui « provoque une réponse immunitaire » plutôt qu'immunise.
Quel autre mot y a-t-il pour définir cela à part le mal ?
"Si je savais en 2020, ce que je sais maintenant, nous ferions beaucoup différemment car à l'époque nous n'étions pas sûrs d'un certain nombre de choses", a déclaré lundi le petit fluage.
Qu'est-ce que "nous" ferions exactement ?
« Si nous avions su cela alors, la nature insidieuse de la propagation dans la communauté aurait été beaucoup plus alarmante et il y aurait eu des restrictions beaucoup, beaucoup plus strictes dans le sens de très, très lourdes, encourageant les gens à porter des masques, physiques distanciation ou quoi que ce soit.
"Encouragement" ? Il veut dire, bien sûr, des exigences – sans aucun doute brutalement appliquées, comme à Chyna et en Nouvelle-Zélande, par exemple. Vous pouvez presque l'entendre lécher ses babines.
RépondreSupprimerFauci a également déclaré: «Nous savons maintenant, deux ans et demi plus tard, que 50 à 60% de la transmission provient d'une personne sans symptômes, soit quelqu'un qui n'aura jamais de symptômes, soit quelqu'un qui est au stade pré-symptomatique. ”
Comme lui-même ?
Comme l'affaire Biden? Tous deux « asymptomatiques » – et se propagent. Combien de mamies sont mortes à cause d'eux ? Pourtant, aucun opprobre ne leur est adressé. Contrairement à l'opprobre qu'ils ont dirigé contre toute personne qui s'interrogeait sur l'ordre de "masquer" - peu importe l'absence de toute preuve de maladie. Ou était "hésitant" à se soumettre à l'injection d'un supposé "vaccin" qui s'est avéré inutile pour empêcher les gens de contracter - à savoir, "vacciné" mais "positif" Fauci - et ainsi propager également la maladie qui est devenue l'ululation pour l'imposition de «mesures» imbéciles et mauvaises, que ces imbéciles mauvais ne lâcheront jamais.
Fox News a déclaré que Fauci "a fait valoir que les efforts actuels pour ramener les mandats de masque pourraient être efficaces".
Et donc pourrait sauter de haut en bas sur un pied. Vous ne savez jamais ce qui « pourrait » être efficace – même si chaque élément de preuve indique le contraire.
Mais le méchant imbécile ne fait qu'offrir. . . suggestions.
«Le CDC n'impose rien. Ce qu'ils font, c'est qu'ils font des recommandations parce qu'au niveau local, vous pouvez avoir une situation très différente dans une région du pays ou un comté ou une ville ou un état très différent d'une autre région, ville ou état. Et c'est la raison pour laquelle le CDC sert d'analyse de la situation sur le terrain et de recommandation. Que quelque chose devienne une exigence est quelque chose qui est décidé au niveau local.
Juste des "recommandations". Avec la force et l'effet de la loi.
Attendez-vous à ce que d'autres reviennent cet automne. Tant que des imbéciles diaboliques comme cet homme ont le pouvoir de . . . les recommander.
https://www.ericpetersautos.com/2022/07/26/more-stringent-measures/
Le CDC sacrifie des enfants pour Big Pharma
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
27 juillet 202
« Pourquoi la ruée vers les vaccins pour les tout-petits ? » demande Allysia Finley, membre du comité de rédaction du Wall Street Journal, dans un éditorial du 4 juillet 20221. En effet, beaucoup posent la même question, et je suis heureux que le WSJ des médias traditionnels ait eu le courage de l'imprimer.
Dans les derniers jours de juin 2022, les États-Unis sont devenus le premier pays au monde à accorder une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA) pour les jabs COVID de Pfizer et Moderna pour les tout-petits dès l'âge de 6 mois.
La Food and Drug Administration a émis l'EUA le 17 juin2 et dès le lendemain, les Centers for Disease Control and Prevention ont recommandé à tous les tout-petits de se faire vacciner dès que possible.3 Le président Biden l'a qualifié de « étape très historique, une étape monumentale vers l'avant. »4 Mais l'est-il ?
"COVID était clairement une urgence sanitaire pour les adultes en 2020. En revanche, l'urgence semble maintenant politique", écrit Finley.5 "En fait, nous ne savons pas si les vaccins sont sûrs et efficaces. L'action précipitée de la FDA était basée sur des preuves extrêmement faibles.
C'est une chose de faire preuve de souplesse réglementaire en cas d'urgence. Mais pour les enfants, le COVID n'est pas une urgence. La FDA a plié ses normes à un degré inhabituel et a écarté des preuves troublantes qui justifient une enquête plus approfondie.
Une autre personne qui pense que l'EUA du COVID tourné pour les nourrissons fait partie du théâtre politique est Toby Rogers, Ph.D. Dans la vidéo ci-dessus, il discute du processus d'autorisation – qu'il a regardé en direct – avec l'animateur de "Against the Wind" Paul Thomas. Rogers révèle comment la FDA et le CDC "ont piétiné les normes scientifiques, ont bafoué les méthodes appropriées et abandonné la science". Il dit à Thomas :
«Ce que vous attendez d'un processus comme celui-ci, c'est de la bonne science – avoir des conversations difficiles et passer au crible les preuves de signaux et de bruits afin de prendre de bonnes décisions au nom du pays. Ce que vous obtenez à la place, c'est de la politique - faire passer les produits sur toute la ligne, quoi qu'il arrive.
RépondreSupprimerCOVID est sans conséquence pour les jeunes enfants
Finley souligne que seuls 209 enfants âgés de 6 mois à 4 ans sont morts du COVID, selon les données du CDC.6 Elle utilise le mot « de », mais les preuves suggèrent que la plupart des enfants meurent « avec » le COVID et d'autres problèmes de santé graves. conditions telles que le cancer.7,8,9
Cela dit, Finley note que les deux enfants de l'essai pédiatrique de Pfizer qui ont développé les infections les plus graves "ont également été testés positifs pour d'autres virus", donc "il est possible que de nombreuses hospitalisations attribuées au COVID cet hiver aient en fait été provoquées ou exacerbées par d'autres virus. ”
Une autre statistique révélatrice est que le nombre de tout-petits hospitalisés pour COVID entre octobre 2020 et septembre 2021 représentait environ la moitié du nombre total de tout-petits hospitalisés pour la grippe l'hiver précédent.10 Ces données, encore une fois, proviennent du CDC, donc clairement, ils sont pleinement conscients de la façon dont le risque COVID se compare à d'autres infections courantes.
Les injections ne fonctionnent pas bien chez les jeunes enfants
Finley poursuit ensuite en discutant de l'efficacité, notant que si les injections semblaient initialement offrir une protection solide aux adultes, on ne peut pas en dire autant des enfants. Le vaccin Moderna n'était efficace qu'à 51 % contre l'infection symptomatique à Omicron chez les enfants de 6 mois à 2 ans, et à seulement 37 % chez les enfants de 2 à 5 ans.
C'est moins que ce que nous acceptons normalement pour les vaccins, ce qui rend l'autorisation encore plus irrationnelle. Pourquoi utiliser une injection aussi expérimentale avec une efficacité aussi médiocre chez les enfants qui ne courent pas un risque grave de décès par infection en premier lieu ? Pfizer, quant à lui, a affirmé que son injection était efficace à 80 %, « mais c'est trompeur », dit Finley, et poursuit en expliquant :
« D'une part, Pfizer a enfreint de nombreuses conventions d'essais cliniques. Son protocole initial impliquait seulement deux doses, mais cela n'a pas réussi à générer les niveaux d'anticorps requis pour l'approbation de la FDA. Pfizer a donc ajouté une troisième dose, ce que la FDA a généreusement autorisé. Habituellement, l'agence ne laissera pas les fabricants de médicaments corriger leur trajectoire lorsqu'un essai se solde par un échec.
Pfizer a ensuite prévu de suivre au moins 21 cas pour établir une mesure simple de l'efficacité. En comparaison, Moderna a suivi plus de 250 cas. Pourtant, Pfizer a tronqué sa collecte de données le 29 avril… même si seulement 10 cas avaient été enregistrés après la troisième dose.
RépondreSupprimerIl est difficile de ne pas conclure que Pfizer a pris des raccourcis pour éviter d'être battu par Moderna. Mais en conséquence, trop peu de cas ont été documentés pour mesurer avec un quelconque degré de confiance l'efficacité du vaccin de Pfizer...
Plus troublant, les tout-petits vaccinés dans l'essai de Pfizer étaient plus susceptibles de tomber gravement malades avec COVID que ceux qui ont reçu un placebo. Pfizer a affirmé que les cas les plus graves n'étaient pas «cliniquement significatifs», quoi que cela signifie, mais c'était une raison de plus pour que la FDA aurait dû exiger un suivi plus long avant d'autoriser le vaccin.
Aussi inquiétant : la plupart des enfants qui ont développé plusieurs infections au cours de l'essai ont été vaccinés. Cela justifiait une enquête plus approfondie, car les vaccins expérimentaux pour d'autres maladies augmentent parfois la sensibilité à l'infection.
Les scientifiques découvrent également que les adultes triplement vaccinés qui ont été précédemment infectés par la variante de Wuhan ont une réponse immunitaire plus faible à Omicron, ce qui les rend plus sensibles à la réinfection. Ce phénomène, appelé « empreinte immunologique », pourrait expliquer pourquoi les enfants qui ont reçu trois injections de Pfizer étaient plus susceptibles d'être réinfectés.
Le CDC et la FDA jettent imprudemment la prudence au vent
Fondamentalement, le CDC et la FDA parient que donner le coup COVID n'atténuera pas les réponses immunitaires des tout-petits à d'autres infections, que ce soit une variante du SRAS-CoV-2 ou autre chose. C'est imprudent à l'extrême, vu que le système immunitaire des jeunes enfants est encore immature et fait face quotidiennement à d'innombrables ennemis potentiels.
Cette "formation" continue que subit le système immunitaire au cours des premières années de la vie d'un enfant est ce qui lui permet de développer un système immunitaire qui fonctionne bien au fil du temps. L'empreinte immunologique pourrait jeter un énorme coup dur dans les travaux, rendant les enfants moins capables de combattre les infections.
Les jeunes enfants sont exceptionnellement « résistants » et peuvent se remettre de la plupart des infections. Cependant, c'est à condition que quelque chose n'ait pas été fait qui empêche leur système immunitaire de fonctionner normalement. Bien sûr, nous savons également que les injections sont associées à des effets encore plus graves, notamment une inflammation cardiaque, des troubles neurologiques et le cancer.
«La norme de la FDA pour l'approbation des vaccins chez les personnes par ailleurs en bonne santé, en particulier les enfants, est censée être plus élevée que pour les médicaments qui traitent les malades. Mais la FDA a visiblement abaissé ses normes pour approuver les vaccins COVID pour les tout-petits. Pourquoi?" Finley demande.11 Pourquoi en effet ? A quoi pensent-ils ?
Malheureusement, ils ne pensent probablement pas du tout à la santé des enfants, mais plutôt aux bénéfices de Big Pharma. L'autorisation EUA du jab COVID pour les tout-petits élimine toutes les questions quant à savoir si la FDA et le CDC sont capturés par l'industrie pharmaceutique ou non. Elles sont.
RépondreSupprimerC'est maintenant au-delà de la clarté, et les conséquences de cette capture flagrante sont susceptibles d'être considérables. Cela pourrait même détruire le programme de vaccination des enfants dans son ensemble, car les parents comprennent maintenant que ces agences sont profondément corrompues et fonctionnent essentiellement comme des agences de promotion secrètes pour Big Pharma.
Le CDC rompt la confiance dans la vaccination des enfants
Leslie Bienen et Tracy Beth Hoeg ont abordé l'autodestruction auto-imposée du CDC dans un article du magazine Tablet du 5 juillet 202212, dans lequel elles ont noté que couverture vaccinale pour des maladies plus importantes.
Le duo cite des données de sondage13 montrant qu'une majorité de parents sont sceptiques quant à la recommandation du CDC de piquer leurs jeunes enfants. Seuls 18% des répondants ont déclaré qu'ils étaient impatients de faire vacciner leurs bébés et leurs tout-petits, tandis que 38% ont déclaré qu'ils attendraient de voir s'il y avait des effets secondaires; 27% ont déclaré qu'ils ne feraient "certainement pas" piquer leur enfant.
Selon un sondage Hart de janvier 2022, seuls 44% des Américains croient ce que dit le CDC.
À titre de comparaison, la prise du « vaccin » COVID chez les enfants américains de 5 à 11 ans au 22 juin 2022 était de 29 % pour deux doses et de 36 % pour une dose.14 À mon avis, même 18 % des parents de nourrissons - près de 1 sur 5 - est trop élevé, et un signe que beaucoup n'ont toujours pas accès aux informations qui pourraient les sauver d'un monde de chagrin.
Parmi les autres sondages intéressants cités par Bienen et Hoeg, citons un sondage Hart de janvier 202215, qui a révélé que seulement 44 % des Américains croient ce que dit le CDC. Cela n'augure rien de bon pour le CDC, et pas seulement en ce qui concerne le COVID, mais aussi pour d'autres vaccinations.
En effet, l'une des rares doublures argentées de COVID est que les gens commencent à se réveiller en masse, réalisant que l'ensemble du programme de vaccination des enfants a été déformé, tout comme les vaccins COVID sont déformés. Par exemple, j'ai récemment interviewé le Dr Robert Malone, qui a déclaré :
«Je suis maintenant complètement dans le même camp que Bobby Kennedy, en ce sens que je pense que toute l'entreprise de vaccins doit être revisitée, et c'est sans équivoque. Nous ne disposons pas de données pour étayer l'innocuité et l'efficacité du calendrier vaccinal pédiatrique actuel, et tous les composants du calendrier vaccinal pédiatrique doivent être réévalués pour le rapport risque-bénéfice. À la fois en tant que produits individuels et en tant que produits combinés.
Cette interview n'a pas encore été publiée, mais sortira sous peu. Lui aussi a remarqué que beaucoup commencent maintenant à remettre en question TOUS les vaccins, grâce à l'approche irrationnelle et non scientifique de la FDA et du CDC vis-à-vis des piqûres COVID. Comme l'ont noté Bienen et Hoeg :16
"Parler en absolu de la sécurité et de l'efficacité des vaccins, quelles que soient les normes d'essai, peut se retourner contre eux... De plus, si l'identification des signaux de sécurité n'est pas rapidement reconnue, il devient encore plus difficile de rétablir la confiance."
À l'heure actuelle, environ 18 mois après le déploiement du vaccin COVID, il est clair que la FDA et le CDC ne prêtent aucune attention aux signaux de sécurité, et s'ils changent de cap et reconnaissent que plus de 2,2 millions de rapports d'événements indésirables,17 dont plus de 29 000 décès , sont un problème, il sera bien trop tard pour qu'ils s'en remettent. Ils sont essentiellement foutus. Il n'y a pas de retour d'une trahison comme celle-ci.
Pourquoi les deux tiers des tout-petits ont-ils abandonné l'essai de Pfizer ?
RépondreSupprimerQuand on considère à quel point les essais pédiatriques étaient de mauvaise qualité, je ne vois pas comment un parent risquerait de donner le coup COVID à son enfant. Comme l'expliquent Bienen et Hoeg :18
«L'approbation des vaccins COVID chez les nourrissons et les tout-petits est basée sur deux essais qui ont utilisé des changements dans les niveaux d'anticorps comme estimation de l'efficacité, mais n'ont pas évalué la protection contre les maladies graves, l'hospitalisation ou le syndrome inflammatoire multisystémique chez les enfants (MIS-C), important résultats qui inquiètent les parents.
Lors d'une réunion de la Food and Drug Administration (FDA) le 28 juin, le vice-président de Pfizer pour les vaccins viraux, Kena Swanson, a même reconnu19 qu'« il n'y a pas de corrélation établie » entre les niveaux d'anticorps et la protection contre la maladie.
Dans l'essai Pfizer, l'intervalle de confiance - qui montre la plage possible de niveau de protection - était d'une largeur alarmante, la limite inférieure suggérant la possibilité d'une augmentation de 380% du risque d'infection après la troisième dose.
De plus, aucun des deux essais n'a satisfait à l'exigence d'efficacité de 50 % établie par la FDA pour l'approbation des vaccins COVID pour adultes. Peter Marks, le plus haut responsable des vaccins de la FDA, a déclaré au 20 Congrès en mai que l'exigence d'efficacité serait abaissée pour le vaccin pédiatrique simplement parce que l'efficacité du vaccin contre la variante omicron était généralement inférieure.
Dans « How Vaccine Trials Routinely Rig the Results », j’ai également évoqué d’autres signaux d’alarme, comme le fait que 3 000 des 4 526 enfants (âgés de 6 mois à 4 ans) inscrits à l’essai pédiatrique COVID de Pfizer ont été exclus, sans explication.21
Souvent, les participants à l'essai abandonnent ou sont exclus en raison d'effets secondaires graves. Ici, nous ne savons pas pourquoi les deux tiers des participants ont été éliminés, et selon le Dr Clare Craig, pathologiste diagnostique, un taux d'abandon de 66% aurait dû être suffisant pour déclarer l'essai nul et non avenu (voir vidéo ci-dessous) .
Avec si peu de participants, il devient non seulement impossible de déterminer l'efficacité par rapport à des paramètres réels tels qu'une infection grave et une hospitalisation, mais vous ne pouvez pas non plus déterminer s'il existe des effets secondaires rares.
Il s'agit d'obtenir une indemnisation
La dure vérité à laquelle nous sommes maintenant confrontés est que la FDA et le CDC ne sont plus chargés de protéger la santé publique. Ils assurent des profits pour l'industrie pharmaceutique, et l'obtention d'EUA pour les nourrissons et les jeunes enfants est une étape cruciale vers l'obtention d'une indemnité légale permanente pour les fabricants de médicaments.
Comme l'explique Robert F. Kennedy Jr., dans le court clip vidéo ci-dessus, ils ont besoin que ce dernier groupe d'âge restant soit inclus dans l'EUA, car une fois que l'urgence est finalement déclarée "terminée", la prochaine phase de protection de la responsabilité exige que les injections reçoivent l'approbation du Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) du CDC.
C'est le groupe qui décide quels vaccins doivent être ajoutés au calendrier de vaccination des enfants. Une fois que le vaccin est sur le calendrier de vaccination des enfants, les fabricants de vaccins sont en permanence protégés de toute responsabilité pour les blessures et les décès qui surviennent dans n'importe quel groupe d'âge, y compris les adultes.
RépondreSupprimerVous pouvez en savoir plus sur ce processus d'indemnisation dans "La vraie raison pour laquelle ils veulent donner des piqûres COVID aux enfants", qui présente mon entretien avec Alix Mayer, présidente du conseil d'administration de la section californienne de Children's Health Defence.
Ainsi, la raison pour laquelle la FDA et le CDC agissent de manière si irrationnelle et ignorent les signaux de sécurité est qu'ils ne travaillent pas pour vous protéger. Ils travaillent pour l'industrie pharmaceutique et ils viennent de vendre nos enfants.
L'objectif final est de donner aux sociétés pharmaceutiques une immunité permanente contre la responsabilité en cas de blessures et de décès dus aux injections de COVID dans tous les groupes d'âge, et pour y parvenir, elles ont d'abord besoin de l'EUA pour couvrir tous les enfants.
Après cela, l'approbation ACIP devient plus ou moins une question d'approbation. C'est ce qu'ils sont devenus, et je ne vois pas d'avenir dans lequel ces deux agences survivent. Tout ce dont nous avons besoin, c'est d'un nombre suffisant de personnes pour comprendre ce qu'elles ont fait, et ce jour viendra.
Sources and References
1, 4, 5, 11 WSJ July 4, 2022
2 FDA June 17, 2022
3, 12, 14, 16, 18 Tablet July 5, 2022
6 CDC Provisional COVID-19 Death Counts
7 Medpage Today September 15, 2020
8 Science Based Medicine November 5, 2021
9 NBC September 15, 2020
10 CDC COVID-19 Epidemiology in Children Ages 6 Months-4 Years
13 KFF May 4, 2022
15 Hart Poll January 2022
17 OpenVAERS Reports through July 1, 2022
19 Twitter Technical Judicial June 28, 2022
20 Endpoints May 9, 2022
21 Rumble June 17, 2022
https://www.lewrockwell.com/2022/07/joseph-mercola/the-cdc-is-sacrificing-kids-for-big-pharma/
La dépression n'est pas causée par des déséquilibres chimiques dans le cerveau, selon une étude
RépondreSupprimerMardi 26 juillet 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Se pourrait-il que la dépression ne soit qu'une réponse naturelle à de mauvaises circonstances et à un monde pervers qui ne cesse de s'aggraver ? C'est beaucoup plus susceptible d'être le cas que la théorie dite du "déséquilibre chimique", qui vient d'être démystifiée par un nouvel examen complet.
L'idée que la dépression est une forme de lésion cérébrale qui peut être traitée chimiquement avec des produits pharmaceutiques est née de l'industrie pharmaceutique elle-même dans les années 1960 - le but étant de vendre de nouveaux médicaments sous la forme d'inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, également connus sous le nom de ISRS. (Connexe : la prise d'ISRS pendant la grossesse est liée à des lésions cérébrales chez les enfants).
Alors que les sociétés occidentales autrefois libres comme les États-Unis ont poursuivi leur descente vers une tyrannie mondialiste abjecte, de plus en plus de personnes se sentent naturellement déprimées. Le complexe médico-industriel leur dit régulièrement d'ignorer les choses qui causent la dépression et de rester drogués à tout moment pour rester « normaux ».
Plus de 60 ans de cette approche ont créé une population toxicomane où un adulte sur six en Angleterre, par exemple, prend maintenant des médicaments sur ordonnance pour la dépression juste pour rester « sain d'esprit ». Ce n'est pas la bonne approche, selon la nouvelle recherche, et cause probablement plus de mal que de bien - si quelque chose de bon se produit même.
"La théorie de la dépression sur la sérotonine a été l'une des théories biologiques les plus influentes et les plus étudiées sur les origines de la dépression", rapporte The Conversation. « Notre étude montre que ce point de vue n'est pas étayé par des preuves scientifiques. Cela remet également en cause le fondement de l'utilisation des antidépresseurs.
"Il n'y a pas d'autre mécanisme pharmacologique accepté pour expliquer comment les antidépresseurs pourraient affecter la dépression. Si les antidépresseurs exercent leurs effets en tant que placebos ou en engourdissant les émotions, il n'est pas certain qu'ils fassent plus de bien que de mal.
Beaucoup de gens sont déprimés pour des raisons légitimes, et la solution n'est pas les produits pharmaceutiques
RépondreSupprimerBig Pharma a vraiment tiré un coup rapide sur les Occidentaux en les convainquant que la dépression qu'ils ressentaient à propos d'une société en constante évolution était anormale et quelque chose qui devait être «réparé» par la drogue.
Plutôt que de travailler ensemble pour essayer de réparer la société et de se débarrasser des mondialistes qui ont transformé la vie quotidienne en un champ de mines de perversions infernales et de destruction sociale, les gens ont accepté la théorie du "déséquilibre chimique" de Big Pharma comme un fait et nous voici plus de 60 ans plus tard : une Amérique toxicomane consommée par les produits pharmaceutiques.
Dans la section des commentaires de The Conversation, de nombreuses personnes conscientes ont noté que la dépression "est une réponse parfaitement rationnelle au monde d'aujourd'hui et si vous n'êtes pas déprimé, vous ne faites pas attention!" pour citer l'un d'eux.
"Un avenir meilleur est peut-être la pilule dont nous avons besoin", a ajouté cette même personne.
Un autre a souligné une étude menée sur des babouins qui a révélé que ceux qui étaient vaincus dans des combats ou autrement intimidés par d'autres babouins, se retrouvant au bas de la hiérarchie, se comportaient d'une manière qui indiquait la dépression.
"A première vue, la dépression est une réponse normale et même adaptative à la défaite sociale", a expliqué cette personne. "Le problème chez les gens est que dans le monde moderne, le comportement dépressif n'est pas adaptatif. Vous devez continuer à être productif et joyeux, sinon les choses empireront.
Plus la société devient antisociale en raison d'une invasion incessante d'étrangers illégaux, par exemple, ou d'un manque d'opportunités de plus en plus réduit, en particulier pour les jeunes, "suffisant pour déprimer n'importe qui", a ajouté un autre.
"Médicamenter l'individu semble être une réponse néolibérale classique pour faire face aux problèmes sociaux et mondiaux", a ajouté cette personne, notant en outre que toute l'idée de "thérapie" dépend également du fait qu'il y a quelque chose qui ne va pas avec un individu plutôt que la société perverse qui afflige constamment cet individu.
Plus d'informations sur le racket de la drogue contre la dépression et sur la façon de se sentir mieux naturellement peuvent être trouvées sur DepressionSymptoms.news.
RépondreSupprimerLes sources de cet article incluent :
TheConversation.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-26-depression-not-caused-chemical-imbalances-study-finds.html
L'explosion de l'enfant Monkeypox révélera l'étendue de l'épidémie de pédophilie en Amérique
RépondreSupprimermercredi 27 juillet 2022
par : Rédacteurs en chef
(Natural News) Les démocrates et les médias de l'establishment tentent désespérément de dissimuler l'épidémie de pédophilie et de toilettage qui sévit en Amérique. Malheureusement pour les négationnistes, le monkeypox - une maladie sexuellement transmissible qui provoque des éruptions cutanées, des plaies et des pustules - ne peut être nié ni caché.
(Article de Baxter Dmitry republié de NewsPunch.com)
L'Organisation mondiale de la santé a averti que les festivals de la fierté gay et autres rassemblements de masse pourraient accélérer la propagation du monkeypox, Andy Seale de l'OMS déclarant que les défilés de la fierté gay devraient se dérouler normalement malgré le fait que le virus peut se propager par contact sexuel.
Le résultat a été une explosion de cas de monkeypox dans la communauté gay. Il y a deux mois, le premier patient atteint de monkeypox à être rendu public a révélé qu'il avait attrapé le virus après avoir eu des relations sexuelles homosexuelles avec "environ 10 nouveaux partenaires" après avoir été expulsé de Dubaï pour avoir été testé positif au VIH.
Depuis lors, le virus a fait le saut des homosexuels aux enfants.
La directrice du CDC, le Dr Rochelle P. Walesnky, a admis que deux cas chez des enfants connus du CDC ont été «remontés à la communauté des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, la communauté des hommes homosexuels, et donc lorsque nous avons vu ces cas chez des enfants, ils ont généralement été ce que j'appelle adjacent à la communauté la plus à risque.
Waouh, tiens bon. La communauté « la plus à risque » ? Le Dr Walensky fait évidemment référence à la communauté gaie. Mais il semble que les enfants soient en réalité les plus à risque. Après tout, ils ne peuvent pas légalement consentir à des relations sexuelles. C'est ce qu'on appelle la loi statutaire. Comme d'habitude, la gauche pense à ses précieux groupes minoritaires et ne tient pas compte des enfants.
L'explosion de la variole du singe chez les enfants révèle le sale petit secret de l'Amérique.
Des centaines de milliers d'enfants aux États-Unis disparaissent chaque année, nombre d'entre eux tombant entre les mains de prédateurs qui trafiquent les enfants par le biais de réseaux pédophiles où les enfants subissent des horreurs inimaginables.
Des enfants, des jeunes garçons et des filles - dont certains n'ont que 9 ans - sont achetés et vendus pour le sexe en Amérique. L'âge moyen d'une jeune femme vendue pour le sexe est maintenant de 13 ans.
Le trafic sexuel - en particulier lorsqu'il s'agit d'acheter et de vendre de jeunes enfants - est devenu un gros business en Amérique. En 2011, il s'agissait de l'activité la plus dynamique du crime organisé et de la deuxième marchandise la plus lucrative faisant l'objet d'un commerce illégal après la drogue et les armes à feu.
Comme le note la journaliste d'investigation Amy Fine Collins, « il est devenu plus lucratif et beaucoup plus sûr de vendre des adolescents malléables que de la drogue ou des armes à feu. Une livre d'héroïne ou un AK-47 peut être vendu au détail une fois, mais une jeune fille peut être vendue 10 à 15 fois par jour - et un proxénète « juste » confisque 100 % de ses gains. »
RépondreSupprimerRutherford.org rapporte que toutes les deux minutes, un enfant est exploité dans l'industrie du sexe.
Selon USA Today, les adultes achètent des enfants pour le sexe au moins 2,5 millions de fois par an aux États-Unis.
Qui achète un enfant pour le sexe ? Sinon des hommes ordinaires de tous horizons.
"Ils pourraient être votre collègue, votre médecin, votre pasteur ou votre conjoint", écrit le journaliste Tim Swarens, qui a passé plus d'un an à enquêter sur le commerce du sexe en Amérique.
Rien qu'en Géorgie, on estime que 7 200 hommes (dont la moitié dans la trentaine) cherchent à acheter des services sexuels avec des adolescentes chaque mois, soit une moyenne d'environ 300 par jour.
En moyenne, un enfant peut être violé par 6 000 hommes au cours d'une période de servitude de cinq ans.
On estime qu'au moins 100 000 enfants - filles et garçons - sont achetés et vendus à des fins sexuelles aux États-Unis chaque année, avec jusqu'à 300 000 enfants en danger d'être victimes de la traite chaque année. Certains de ces enfants sont enlevés de force, d'autres sont en fugue et d'autres encore sont vendus au système par des parents et des connaissances.
"La traite des êtres humains - l'exploitation sexuelle commerciale d'enfants et de femmes américains, via Internet, les clubs de strip-tease, les services d'escorte ou la prostitution de rue - est en passe de devenir l'un des pires crimes aux États-Unis", a déclaré le procureur Krishna Patel.
Il s'agit d'une industrie qui tourne autour du sexe bon marché à la volée, avec des jeunes filles et des femmes qui sont vendues à 50 hommes chaque jour pour 25 $ pièce, tandis que leurs maîtres-chiens gagnent 150 000 $ à 200 000 $ par enfant chaque année.
Ce n'est pas un problème rencontré uniquement dans les grandes villes.
Cela se passe partout, juste sous notre nez, dans les banlieues, les villes et les villages à travers le pays.
Comme le souligne Ernie Allen du National Center for Missing and Exploited Children, « la seule façon de ne pas trouver cela dans une ville américaine est tout simplement de ne pas le chercher ».
Ne vous trompez pas en pensant qu'il ne s'agit que d'une préoccupation pour les communautés à faible revenu ou les immigrants.
Ce n'est pas.
On estime qu'il y a 100 000 à 150 000 enfants travailleurs du sexe mineurs aux États-Unis. Ces filles ne se portent pas volontaires pour être des esclaves sexuelles. Ils y sont attirés – forcés – trafiqués. Dans la plupart des cas, ils n'ont pas le choix.
RépondreSupprimerAfin d'éviter d'être découverts (dans certains cas, aidés et encouragés par la police) et de répondre à la demande des acheteurs masculins pour des relations sexuelles avec différentes femmes, les proxénètes et les gangs et syndicats du crime pour lesquels ils travaillent ont transformé le trafic sexuel en une entreprise très mobile, avec les filles, les garçons et les femmes victimes de la traite sont constamment déplacés de ville en ville, d'état en état et de pays en pays.
Par exemple, la région de Baltimore-Washington, appelée The Circuit, avec son corridor I-95 parsemé d'aires de repos, de gares routières et d'arrêts de camion, est une plaque tournante pour le commerce du sexe.
Aucun doute là-dessus : il s'agit d'une entreprise de trafic sexuel hautement rentable, hautement organisée et hautement sophistiquée qui opère dans les villes, grandes et petites, rapportant plus de 9,5 milliards de dollars par an rien qu'aux États-Unis en enlevant et en vendant des jeunes filles à des fins sexuelles.
Chaque année, les filles achetées et vendues deviennent de plus en plus jeunes.
L'âge moyen des personnes victimes de la traite est de 13 ans. Pourtant, comme l'a souligné le chef d'un groupe qui lutte contre la traite, « réfléchissons à ce que signifie la moyenne. Cela signifie qu'il y a des enfants de moins de 13 ans. Cela signifie des enfants de 8, 9, 10 ans.“
« Pour 10 femmes secourues, il y a 50 à 100 femmes de plus qui sont amenées par les trafiquants. Malheureusement, ils n'ont plus 18 ou 20 ans », constate une victime de la traite de 25 ans. «Ce sont des mineurs d'à peine 13 ans qui sont victimes de la traite. Ce sont des petites filles.
D'où vient cet appétit pour les jeunes filles ?
Regarde autour de toi.
Les jeunes filles sont sexualisées depuis des années dans des vidéoclips, sur des panneaux d'affichage, dans des publicités télévisées et dans des magasins de vêtements. Les commerçants ont créé une demande de chair jeune et une offre immédiate d'enfants hypersexualisés.
"Il suffit de jeter un coup d'œil aux photos MySpace d'adolescents pour voir des exemples. S'ils n'imitent pas le porno qu'ils ont réellement vu, ils imitent les images et les poses inspirées du porno qu'ils ont absorbées ailleurs", écrit Jessica Bennett. pour Newsweek. "Le latex, les corsets et les talons décapants, autrefois à la mode des stars du porno, ont fait leur chemin au collège et au lycée."
C'est ce que Bennett appelle la «pornification d'une génération».
RépondreSupprimer"Dans un marché qui vend des talons hauts pour les bébés et des tongs pour les préadolescents, il ne faut pas être un génie pour voir que le sexe, sinon le porno, a envahi nos vies", conclut Bennett. « Que nous l'apprécions ou non, la télévision l'apporte dans nos salons et le Web l'apporte dans nos chambres. Selon une étude de 2007 de l'Université de l'Alberta, jusqu'à 90 % des garçons et 70 % des filles âgés de 13 à 14 ans ont accédé au moins une fois à du contenu sexuellement explicite.
En d'autres termes, la culture prépare ces jeunes à être la proie des prédateurs sexuels. Et puis nous nous demandons pourquoi nos jeunes femmes sont la proie, la traite et la maltraitance ?
Les médias sociaux rendent tout cela trop facile. Comme l'a rapporté un centre d'information : « Trouver des filles est facile pour les proxénètes. Ils regardent sur MySpace, Facebook et d'autres réseaux sociaux. Eux et leurs assistants croisent les centres commerciaux, les lycées et les collèges. Ils les récupèrent aux arrêts de bus. Sur le chariot. Le recrutement de fille à fille se produit parfois. Les foyers d'accueil et les refuges pour jeunes sont également devenus des cibles privilégiées pour les trafiquants.
Ces filles entrent rarement dans la prostitution volontairement. Beaucoup commencent comme fugueurs ou jetables, pour être happés par des proxénètes ou des réseaux sexuels plus importants. D'autres, persuadés de rencontrer un inconnu après avoir interagi en ligne via l'un des nombreux sites de réseaux sociaux, se retrouvent rapidement initiés à leur nouvelle vie d'esclaves sexuels.
Debbie, une étudiante hétéro qui appartenait à une famille très unie de l'Air Force vivant à Phoenix, en Arizona, est un exemple de ce commerce de chair. Debbie avait 15 ans lorsqu'elle a été enlevée de son allée par un ami de sa connaissance. Forcée de monter dans une voiture, Debbie a été ligotée et emmenée dans un lieu inconnu, tenue sous la menace d'une arme et violée par plusieurs hommes. Elle a ensuite été entassée dans un petit chenil et forcée de manger des biscuits pour chiens. Les ravisseurs de Debbie ont annoncé ses services sur Craigslist. Ceux qui ont répondu étaient souvent mariés avec des enfants, et l'argent que Debbie « gagnait » pour le sexe était donné à ses ravisseurs. Les viols collectifs ont continué. Après avoir fouillé l'appartement où Debbie était retenue captive, la police a finalement trouvé Debbie fourrée dans un tiroir sous un lit. Son calvaire a duré 40 jours.
Alors que Debbie a eu la chance d'être secourue, d'autres n'ont pas cette chance. Selon le National Center for Missing and Exploited Children, près de 800 000 enfants disparaissent chaque année (environ 2 185 enfants par jour).
Avec une demande croissante d'esclavage sexuel et une offre inépuisable de filles et de femmes pouvant être la cible d'enlèvements, ce n'est pas un problème qui va disparaître de sitôt.
Pour les victimes de la traite, c'est un cauchemar du début à la fin.
Ceux qui sont vendus pour le sexe ont une espérance de vie moyenne de sept ans, et ces années sont un cauchemar vivant de viols sans fin, de drogues forcées, d'humiliations, de dégradations, de menaces, de maladies, de grossesses, d'avortements, de fausses couches, de torture, de douleur et toujours de la constante peur d'être tué ou, pire, que ceux que vous aimez soient blessés ou tués.
Peter Landesman dépeint toutes les horreurs de la vie des victimes du commerce du sexe dans son article du New York Times « The Girls Next Door » :
RépondreSupprimerAndrea m'a dit qu'elle et les autres enfants avec qui elle était détenue étaient fréquemment battus pour les maintenir déséquilibrés et obéissants. Parfois, ils étaient filmés alors qu'ils étaient forcés d'avoir des relations sexuelles avec des adultes ou entre eux. Souvent, dit-elle, on lui demandait de jouer des rôles : la patiente thérapeute ou la fille obéissante. Sa cellule de trafiquants sexuels proposait trois tranches d'âge de partenaires sexuels - des tout-petits à 4 ans, de 5 à 12 ans et des adolescents - ainsi que ce qu'elle appelait un «groupe de dommages». "Dans le groupe des dégâts, ils peuvent vous frapper ou faire tout ce qu'ils veulent", a-t-elle expliqué. "Bien que le sexe fasse toujours mal quand on est petit, donc c'est toujours violent, tout était beaucoup plus douloureux une fois qu'on était placé dans le groupe des dégâts."
Ce qu'Andrea décrit ensuite montre à quel point certaines parties de la société américaine sont devenues dépravées. "Ils te donneraient faim alors pour t'entraîner" à avoir des relations sexuelles orales. « Ils ont mis du miel sur un homme. Pour les plus petits, il fallait apprendre à ne pas bâillonner. Et ils poussaient des choses en vous pour que vous vous ouvriez mieux. Nous avons appris les réponses. Comme s'ils voulaient que nous soyons sensuels ou sexy ou effrayés. La plupart d'entre eux voulaient vous faire peur. Quand je serais plus grand, j'apprendrais aux plus jeunes à flotter pour que les choses ne fassent pas mal.
Les agents de l'immigration et des douanes du Cyber Crimes Center de Fairfax, en Virginie, rapportent qu'en matière de sexe, l'appétit de nombreux Américains a maintenant changé. Ce qui était autrefois considéré comme anormal est maintenant la norme. Ces agents suivent une nette augmentation de la demande de pornographie plus dure sur Internet. Comme l'a noté un agent, « Nous sommes devenus insensibles aux choses molles ; maintenant, nous avons besoin d'un coup de plus en plus dur.
Cette tendance se reflète dans le traitement que beaucoup de filles reçoivent de la part des trafiquants de drogue et des hommes qui les achètent. Peter Landesman a interviewé Rosario, une femme mexicaine qui avait été victime de la traite à New York et détenue en captivité pendant plusieurs années. Elle a déclaré: «En Amérique, nous avions des« emplois spéciaux ». Sexe oral, sexe anal, souvent avec de nombreux hommes. Le sexe est maintenant plus aventureux, plus dur.
Un fil conducteur tissé à travers les expériences de la plupart des survivants est d'être obligés de se passer de sommeil ou de nourriture jusqu'à ce qu'ils aient atteint leur quota sexuel d'au moins 40 hommes. Une femme raconte comment son trafiquant l'a obligée à s'allonger face contre terre lorsqu'elle était enceinte, puis lui a littéralement sauté sur le dos, la forçant à faire une fausse couche.
Holly Austin Smith a été enlevée à l'âge de 14 ans, violée puis forcée de se prostituer. Son proxénète, lorsqu'il a été traduit en justice, n'a été condamné qu'à un an de prison.
Barbara Amaya a été vendue à plusieurs reprises entre trafiquants, maltraitée, abattue, poignardée, violée, kidnappée, trafiquée, battue et emprisonnée avant l'âge de 18 ans. "J'avais un quota que je devais remplir tous les soirs. Et si je n'avais pas cette somme d'argent, je serais battu, jeté dans les escaliers. Il m'a battu une fois avec des cintres en fil de fer, le genre de vêtements qu'on suspend, il l'a redressé et tout mon dos saignait.
RépondreSupprimerComme le raconte David McSwane dans un article effrayant pour le Herald-Tribune : « À Oakland Park, une banlieue industrielle de Fort Lauderdale, des agents fédéraux ont rencontré en 2011 un bordel exploité par un couple marié. À l'intérieur de "The Boom Boom Room", comme on l'appelait, les clients payaient des frais et recevaient un préservatif et une minuterie et restaient seuls avec l'un des huit adolescents du bordel, des enfants aussi jeunes que 13 ans. Un enfant adoptif de 16 ans a témoigné qu'il agissait comme agent de sécurité, tandis qu'une jeune fille de 17 ans a déclaré à un juge fédéral qu'elle avait été forcée d'avoir des relations sexuelles avec jusqu'à 20 hommes par nuit.
Un réseau particulier de trafic sexuel s'adressait spécifiquement aux travailleurs migrants employés de manière saisonnière dans des fermes des États du sud-est, en particulier les Carolines et la Géorgie, bien que ce soit une activité florissante dans tous les États du pays. Les trafiquants transportent les femmes de ferme en ferme, où les travailleurs migrants faisaient la queue à l'extérieur des cabanes, jusqu'à 30 à la fois, pour avoir des relations sexuelles avec elles avant qu'elles ne soient transportées dans une autre ferme où le processus recommencerait.
Ce mal croissant est, à toutes fins utiles, à découvert.
Les femmes et les enfants victimes de la traite sont annoncés sur Internet, transportés sur l'autoroute et achetés et vendus dans des hôtels huppés.
En effet, comme je l'explique clairement dans mon livre Battlefield America: The War on the American People, la guerre du gouvernement contre le trafic sexuel - tout comme la guerre du gouvernement contre le terrorisme, la drogue et le crime - est devenue une excuse parfaite pour infliger davantage de tactiques d'État policier ( postes de contrôle de police, fouilles, surveillance et sécurité accrue) sur un public vulnérable, tout en faisant peu pour rendre nos communautés plus sûres.
Alors, qu'est-ce que tu peux faire?
Renseignez-vous et éduquez vos enfants sur cette menace croissante dans nos communautés.
Arrêtez de nourrir le monstre : le trafic sexuel fait partie d'un continuum plus large en Amérique qui couvre toute la gamme des problèmes d'itinérance, de pauvreté et d'estime de soi à la télévision sexualisée, la glorification d'une culture proxénète/ho - ce que l'on appelle souvent la pornification d'Amérique - et une industrie du sexe d'un milliard de dollars construite sur le dos de la pornographie, de la musique, du divertissement, etc.
Cette épidémie est en grande partie l'une de nos propres créations, en particulier à l'ère des entreprises où la valeur accordée à la vie humaine prend le pas sur le profit. On estime que l'industrie du porno rapporte plus d'argent qu'Amazon, Microsoft, Google, Apple et Yahoo.
RépondreSupprimerAppelez vos conseils municipaux, élus et services de police à faire de la lutte contre le trafic sexuel une priorité absolue, plus encore que la soi-disant guerre contre le terrorisme et la drogue et la militarisation des forces de l'ordre.
Arrêtez de poursuivre les adultes pour des « crimes » sans victime, comme faire pousser de la laitue dans leur cour avant, et concentrez-vous sur le fait d'enfermer les proxénètes et les acheteurs qui victimisent ces jeunes femmes.
Enfin, la police doit faire un meilleur travail de formation, d'identification et de réponse à ces problèmes ; les communautés et les services sociaux doivent mieux protéger les fugueurs, qui sont les premières cibles des trafiquants ; les législateurs doivent adopter une législation visant à poursuivre les trafiquants et les « clients », les acheteurs qui stimulent la demande d'esclaves sexuels ; et les hôtels doivent cesser de donner des moyens à ces trafiquants, en leur fournissant des chambres et une couverture pour leurs sales actions.
Si tant de femmes et d'enfants continuent d'être victimisés, brutalisés et traités comme une cargaison humaine, c'est dû à trois choses : premièrement, une demande des consommateurs de plus en plus lucrative pour toutes les personnes impliquées, à l'exception des victimes ; deuxièmement, un niveau de corruption si envahissant à la fois à l'échelle locale et internationale qu'il y a peu d'espoir de travailler à travers les canaux établis pour le changement ; et troisièmement, un silence étrange de la part d'individus qui ne s'expriment pas contre de telles atrocités.
Mais la vérité est que nous sommes tous coupables de contribuer à cette souffrance humaine. Les trafiquants sont coupables. Les consommateurs sont coupables. Les responsables de l'application des lois corrompus sont coupables. Les groupes de femmes qui ne font rien sont coupables. Les casques bleus étrangers et les travailleurs humanitaires qui contribuent à la demande d'esclaves sexuels sont coupables. Surtout, chaque individu qui ne crie pas aux atrocités commises contre les femmes et les enfants dans presque tous les pays du monde, y compris les États-Unis, est coupable
https://www.naturalnews.com/2022-07-27-child-monkeypox-explosion-reveals-american-pedophilia-epidemic.html
VACCIDENTS : les décès sur les routes aux États-Unis ont explosé à tous les niveaux en 2020 et 2021 - atteignant le plus haut niveau depuis des décennies, selon l'Agence fédérale
RépondreSupprimerWednesday, July 27, 2022
by: S.D. Wells
(Natural News) La grande question est pourquoi ? Pourquoi les accidents de la circulation augmentent-ils à des niveaux insensés juste depuis le début de la pandémie ? La National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) l'a même prédit pour 2021 lorsqu'elle a estimé qu'au moins 44 États américains verraient "une augmentation des décès sur les routes". Comment auraient-ils pu le savoir à l'avance ?
Le nombre de décès dans des collisions impliquant plusieurs véhicules dans les villes et sur les routes urbaines a bondi de 16 %. Pour les personnes de 65 ans et plus, les décès liés aux véhicules ont augmenté de 14 %. Pour les décès de piétons, ceux-ci ont grimpé en flèche de 13%, y compris les décès pendant la journée. Même les décès à moto ont augmenté de 9 % et les décès de cyclistes ont augmenté de 5 %.
270 millions d'Américains recevant des injections de caillots coïncident avec une augmentation massive de deux ans des décès liés à la circulation
Par coïncidence, alors que 270 millions d'Américains voient leur sang infesté de milliards de protéines de pointe collantes et de nanoparticules de métaux lourds qui provoquent des caillots sanguins, une myocardite et le syndrome de mort subite de l'adulte (SADS), les communistes de Washington, D.C. blâment commodément l'infrastructure. La sécurité d'abord! Sauf qu'il n'y a rien de "sûr" dans les injections expérimentales de thérapie génique qui n'ont jamais passé les essais cliniques ou obtenu l'approbation complète de la Food and Drug Administration (FDA).
L'administration Biden blâme les problèmes d'infrastructure, ce qui signifie que tout à coup les nids-de-poule et les vieux ponts tuent les gens en masse ? Ce sont les pires statistiques d'accidents depuis 2005 et la plus forte augmentation annuelle en pourcentage JAMAIS enregistrée dans l'histoire du Fatality Analysis Reporting System.
Voici la piètre excuse pour les morts massives, de la bouche du secrétaire américain aux Transports, Pete Buttigieg : « Avec notre stratégie nationale de sécurité routière et la loi présidentielle bipartite sur l'infrastructure, nous prenons des mesures essentielles pour aider à inverser cette tendance dévastatrice et sauver des vies sur nos routes.”
43 000 Américains sont morts sur les routes américaines en 2021, atteignant un sommet de 16 ans
En hausse de dix pour cent par rapport à 2020, les « accidents » automobiles se produisent à droite et à gauche, augmentant maintenant chaque année pendant l'arnaque de la grippe de Wuhan. Pour 2022, on prévoit maintenant que jusqu'à 50 000 Américains mourront dans des accidents de voiture, mais les raisons de ces accidents ne s'additionnent tout simplement pas.
La NHTSA n'a même pas tenté d'expliquer POURQUOI elle soupçonne que tous ces accidents ont atteint un sommet en 16 ans depuis le début de la pandémie. La Californie, le Texas et la Floride représentent les plus grands nombres de décès liés à la circulation, ainsi qu'à Washington D.C., où le résident Biden ne semble même pas pouvoir sortir d'une pièce après une conférence.
RépondreSupprimerOh, mais la Governors Highway Safety Association (GHSA) accuse les excès de vitesse, l'alcool, les drogues et la distraction au volant d'être responsables de l'augmentation massive des décès sur les routes. C'est la faute à tout sauf au temps narratif des injections de caillots, et cela continuera alors que de plus en plus d'Américains reçoivent des "boosters" qui exacerbent ces "vaccidents" (accidents induits par les vaccins) où les gens s'évanouissent, ont des crises de panique ou meurent en conduisant, et le gouvernement blâme tout le reste, y compris les nids-de-poule et les textos.
Les injections de caillots pour COVID-19 ont anéanti une décennie et demie de progrès en matière de réduction des accidents de la route, des blessures et des décès, mais personne n'est autorisé à en parler ou à imprimer des statistiques à ce sujet.
Les "Vaccidents" sont déguisés par les MSM et les agences gouvernementales en personnes fonctionnant de manière plus aléatoire sur des routes criblées de nids-de-poule
Est-ce l'événement « cygne noir » dont les médias indépendants ont mis en garde depuis le début de la campagne de vaccination de masse contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) ? Devrions-nous plutôt blâmer la rage au volant et les nids-de-poule pour l'augmentation massive des décès liés aux véhicules ? Qu'en est-il de tous ces pilotes, athlètes et militaires qui meurent soudainement à l'improviste, peu de temps après avoir reçu une injection de milliards de protéines de pointe ou de « technologie » d'ARNm ?
Il est peut-être temps de faire des autopsies sur tous ces "accidents" présumés qui se produisent sur les routes d'Amérique, et de voir si les conducteurs ont de mystérieux caillots sanguins qui ne contiennent pas beaucoup de sang, mais plutôt des matériaux caoutchouteux, élastiques et des métaux lourds qui se rassemblent dans le système vasculaire, provoquant le syndrome de mort subite de l'adulte. Peut-être que la prochaine fois, ils blâmeront simplement le réchauffement climatique.
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Sources include:
NHSTA.gov
NaturalNews.com
TheEpochTimes.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-27-vaccidents-us-traffic-fatalities-skyrocketed-in-2020-2021.html
Les données gouvernementales montrent que le total vaxxed représente plus de 90 % des DÉCÈS COVID au Royaume-Uni
RépondreSupprimerMercredi 27 juillet 2022
par : Ramon Tomey
(Natural News) Les propres données du Royaume-Uni ont révélé que les personnes entièrement vaccinées représentaient plus de 90 % des décès dus au coronavirus de Wuhan (COVID-19) dans le pays.
Un rapport de l'Office for National Statistics (ONS) du Royaume-Uni reflète cette tendance, selon le Daily Expose. Le Royaume-Uni a enregistré un total de 15 113 décès dus au COVID-19 entre le 1er janvier et le 31 mai, avec 13 666 décès – 90% – ayant reçu au moins une dose de vaccin. Une répartition mensuelle des décès reflète également cette tendance.
En janvier, il y a eu 4 607 décès dus au COVID-19 dont 3 914 (85 %) vaccinés.
En février, il y a eu 2 711 décès dus au COVID-19 dont 2 447 (90 %) vaccinés.
En mars, il y a eu 2 860 décès dus au COVID-19 dont 2 658 (93 %) vaccinés.
En avril, il y a eu 3 571 décès dus au COVID-19 dont 3 365 (94 %) vaccinés.
En mai, il y a eu 1 364 décès dus au COVID-19 dont 1 282 (94 %) vaccinés.
The Expose a également mentionné que sur les 13 666 personnes vaccinées décédées du COVID-19, 91% – 12 442 décès – ont reçu au moins une ou deux doses de rappel de vaccin.
"Sur la base des données qui ont été discrètement publiées par le gouvernement [britannique] [alors que les gens] étaient distraits par la démission de Boris Johnson et le soleil apocalyptique, des milliers et des milliers de personnes triplement [ou] quadruplement vaccinées meurent encore du COVID-19, " Ça disait. (Connexe: alors que Boris Johnson a démissionné, les responsables britanniques ont discrètement publié des données montrant que le taux de mortalité par covid est le plus élevé parmi les personnes entièrement vaccinées.)
Les experts britanniques insistent toujours sur les vaccins COVID nocifs
Le rapport de l'ONS et l'article d'Expose à ce sujet sont arrivés au milieu du Royaume-Uni enregistrant un total de 200 000 décès dus au COVID-19. Cependant, le décompte des décès n'a servi qu'à alimenter les appels au retour de la loi martiale médicale - sous la forme de masques faciaux et de vaccination obligatoire.
Jim McManus, président de l'Association des directeurs de la santé publique du Royaume-Uni, a qualifié les 200 000 décès dus au COVID-19 de "tragiques". Il a également appelé les gens à recevoir leurs coups de rappel au plus tôt.
McManus a trouvé un allié dans le professeur Adam Finn, membre du Comité mixte britannique sur la vaccination et l'immunisation (JCVI), qui a suggéré une cinquième dose de vaccin COVID-19 pour la population.
RépondreSupprimer«La protection de rappel [du vaccin COVID-19] s'estompe - en particulier contre les infections plus bénignes et, après un certain temps, contre les infections graves également. C'est donc une déception pour nous tous en ce qui concerne ces vaccins, qui ont par ailleurs été très précieux en termes de pandémie », a-t-il déclaré à BBC Radio 4 en juin.
"Mais nous allons devoir fournir des rappels, en particulier aux personnes qui risquent de tomber très gravement malades si elles l'attrapent plus tard dans l'année", a ajouté Finn. "Nous allons devoir nous concentrer sur les personnes âgées, les personnes souffrant de maladies sous-jacentes et, potentiellement, également les agents de santé en première ligne."
Le membre du JCVI a suggéré que le déploiement du rappel COVID-19 commence en septembre, parallèlement au déploiement des vaccins contre la grippe par le National Health Service.
« Les vaccins que nous avons sont réactogènes – ce qui signifie que les gens se sentent un peu pourris après – donc si nous avons à l'avenir des vaccins qui font moins cela, cela pourrait aider », a fait remarquer le membre du JCVI.
The Expose a mis en garde le public contre ces soi-disant experts dans le même article qui abordait le rapport de l'ONS.
"La définition de la folie est de faire la même chose encore et encore et de s'attendre à un résultat différent. À en juger par les derniers appels pour qu'un cinquième coup soit administré d'ici l'automne, il semble que les "experts" du Royaume-Uni aient vraiment perdu la tête", a-t-il déclaré. "Nous allons voir des milliers de morts parmi les triples, quadruples et quintuples vaccinés."
Visitez VaccineDeaths.com pour plus d'histoires sur les décès liés au vaccin COVID.
Regardez Owen Shroyer d'InfoWars parler de la façon dont les personnes entièrement vaccinées représentent la majorité des décès dus au COVID-19 au Canada.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.
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Près de 8 000 décès excédentaires non COVID au Royaume-Uni sont dus aux vaccins COVID-19 et aux injections de rappel.
Des milliers de décès excédentaires non COVID au Royaume-Uni probablement causés par les vaccins COVID-19.
Sources include:
WND.com
Expose-News.com
TheGuardian.com
Independent.co.uk
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-27-uk-data-fully-vaxxed-majority-covid-deaths.html