Par Pierre Lécot
Mondialisation.ca,
05 juillet 2022
Cette vidéo est le quatrième épisode de la série réalisée avec le média Kairos.
Dans le premier épisode, nous avons vu qu’il n’y a eu aucune hécatombe nulle part en Europe, ni en 2020, ni en 2021.
Dans le deuxième épisode nous avons vu qu’il n’y a pas eu la saturation hospitalière annoncée.
Dans le troisième épisode nous avons vu qu’il n’y a pas non plus eu un « déferlement » de malades. Il y a eu bien moins de malades comptabilisés que pendant les épisodes dit « grippaux » du passé.
Nous vivons une épidémie de « cas » entretenue par les fameux « tests » qui n’ont pas de rapport avec la moindre maladie.
Dans ce quatrième épisode nous découvrons le moteur même de la fraude : l’utilisation de codes spécifiques par les hôpitaux de façon à produire les « bonnes » statistiques.
Bac 2022 : la persistance d’un rite archaïque
RépondreSupprimerRite républicain auquel plus personne ne croit, le bac continue d’occuper les marronniers de début juillet. Le score de réussite frôle les 100 %, sans que les vrais problèmes de l’éducation ne soit abordés.
le 6 juillet 2022
Jean-Baptiste Noé
Rite républicain auquel plus personne ne croit, le bac continue d’occuper les marronniers de début juillet. Le score de réussite frôle les 100%, sans que les vrais problèmes de l’éducation ne soit abordés.
Depuis la réforme du lycée de Jean-Michel Blanquer, le bac ne s’est jamais déroulé dans des conditions normales. Cette année encore, certaines épreuves intermédiaires ont été reportées. Le grand oral a pourtant eu lieu, durant lequel l’élève récite cinq minutes durant un texte qu’il a eu plusieurs mois pour préparer. Les scores de réussite sont de plus en plus lénifiants, même si la barre des 100 % d’admis n’est pas encore atteinte.
Les épreuves de spécialités, qui auraient dû avoir lieu en mars, se sont déroulées en mai, soit après la fermeture de Parcoursup. Autant dire que ces épreuves ne servent à rien si elles ne sont pas prises en compte pour le post-bac. Plusieurs professeurs d’histoire ont découvert que leurs notes avaient été automatiquement remontées, et cela avant les fameuses commissions « d’harmonisation ». Un procédé reconnu et assumé par l’Éducation nationale.
Une épreuve inutile
Plus que jamais le bac est vide et n’a aucune utilité, si ce n’est de faire perdre des heures de cours, coûter cher et maintenir un rite de passage désuet auquel plus personne ne croit. Les Terminales savent avant de passer le bac dans quel établissement ils seront affectés : les écoles du supérieur n’ont pas besoin du bac pour faire leurs sélections.
Un drame n’est jamais évoqué, celui des lycéens qui loupent le bac. Cela témoigne d’un niveau très faible de leur part qui aurait dû être traité bien en amont. Dans les années de licence, on retrouve des étudiants qui n’ont aucune maîtrise de la langue française, en orthographe, grammaire et syntaxe. Des étudiants qui, ne sachant pas écrire, ne peuvent pas penser de façon complexe. Le bac est maintenu comme un cache-pot de la misère de l’Éducation nationale et de l’effondrement de l’école d’État. Le maintenir sert à faire encore croire au mythe républicain de l’école. On connaît le célèbre ouvrage de Paul Veyne, Les Grecs ont-ils cru à leurs mythes ?
Au regard de l’existence de cette épreuve archaïque, on peut se demander si les Français croient encore à leur mythe de leur État-providence et de leur école d’État.
https://www.contrepoints.org/2022/07/06/434423-bac-2022-la-persistance-dun-rite-archaique
100 % des petits cons ont aujourd'hui le bac !
SupprimerC'est ainsi que les entreprises qui recrutent des 'têtes' se retrouveront très très vite dans... LA MERDE !
Maman qui a sauvé des fils pendant la fusillade d'Uvalde est maintenant harcelée par les mêmes flics lâches qui ont refusé d'agir
RépondreSupprimermardi 05 juillet 2022
par : JD Heyes
(Natural News) La mère qui s'est rendue à la Robb Elementary School à Uvalde, au Texas, fin mai et qui a été menottée par la police parce qu'elle a tenté de sauver ses enfants alors que des flics lâches ne faisaient rien, est maintenant harcelée par certains de ces mêmes officiers.
Angeli Rose Gomez a déclaré : « La police ne faisait rien. Ils se tenaient juste à l'extérieur de la clôture. Ils n'allaient pas là-bas ni ne couraient nulle part.
À l'époque, The Post Millennial notait :
Alors que les responsables de l'État ont déclaré que la police était à l'école quelques instants seulement après que l'adolescent tireur est entré dans l'école, s'est barricadé dans une salle de classe et a ouvert le feu sur de jeunes élèves, ils ont également déclaré que les agents n'avaient pas pu accéder à la salle de classe.
Gomez a déclaré qu'elle n'était que l'un des nombreux parents de l'école exigeant que les agents cessent d'attendre et entrent dans l'école. C'est alors que "des maréchaux fédéraux l'ont approchée et lui ont passé les menottes".
Finalement, elle a réussi à convaincre la police locale de la libérer, mais elle a également déclaré avoir vu un père aspergé de gaz poivré et un autre plaqué et jeté au sol par les forces de l'ordre alors qu'il tentait de les dépasser et d'entrer dans l'école pour sauver son enfant, une fille de 10 ans qui était l'une des 19 victimes massacrées par le psychopathe de 18 ans.
Après avoir été libérée, Gomez s'est tranquillement éloignée de la foule avant de se lancer dans une course et de sauter une clôture. Elle a ensuite couru à l'intérieur de l'école et a sauvé ses enfants. Après les avoir eues, elle a sprinté hors de l'école avec eux.
Les flics, quant à eux, ont attendu plus de 75 minutes pour engager le tireur de 18 ans alors que l'incident aurait pu être terminé en trois minutes. En fin de compte, 19 enfants de 4e année sont morts avec deux adultes.
Maintenant, Gomez dit qu'elle est harcelée.
Depuis ce jour déchirant, dit-elle à Fox29, elle a fait l'objet d'un examen minutieux de la part des forces de l'ordre, même chez elle, "l'autre soir, nous faisions de l'exercice et nous avions un flic garé au coin de la rue, qui nous faisait clignoter avec ses phares."
À cause de ces incidents, la mère a déclaré qu'elle avait dû se séparer de ses garçons, "juste pour que mes fils n'aient pas l'impression de devoir regarder les flics passer, s'arrêter, se garer".
Fox29 ajoute :
RépondreSupprimerPlus tôt samedi, Gomez s'est rendu sur la place de la ville d'Uvalde pour continuer à manifester avec d'autres membres de la communauté. Avec des pancartes dans les mains indiquant «Fire Pete Arredondo», Gomez a déclaré qu'elle souhaitait voir Arredondo partir sans salaire.
Son objectif à l'avenir est de déposer une plainte.
L'avocat de Gomez, Mark Di Carlo, un avocat de la défense pénale de Corpus Christi, a déclaré: «Le fait qu'il n'ait pas été renvoyé immédiatement sur la base de quoi que ce soit, des heures de vidéo, de témoignages tels que celui d'Angeli; est une indication qu'il y a une sorte de quoi, de la corruption ou des actes répréhensibles.
Di Carlo a déclaré qu'il représentait environ 15 parents d'enfants de l'école élémentaire Robb dans des poursuites en cours. Lorsqu'on lui a demandé quand il prévoyait de déposer le premier de ceux-ci, il a hésité, disant qu'il était toujours en train de rassembler des preuves.
Ce que l'on sait jusqu'à présent de l'incident, cependant, est assez accablant.
Le haut responsable de l'application des lois du Texas a témoigné le mois dernier au sujet d'une affirmation selon laquelle des agents auraient pu s'engager avec le tireur de 18 ans et l'arrêter en quelques "minutes".
Le fait qu'ils ne l'aient pas fait était un "échec lamentable" de leur part, selon le colonel Steve McCraw, chef du département de la sécurité publique du Texas.
"Il existe des preuves irréfutables que la réponse des forces de l'ordre à l'attaque de Robb Elementary a été un échec lamentable et contraire à tout ce que nous avons appris au cours des deux dernières décennies depuis le massacre de Columbine", a déclaré McCraw.
"Trois minutes après que le sujet soit entré dans le bâtiment Ouest, il y avait un nombre suffisant d'officiers armés portant des gilets pare-balles pour isoler, distraire et neutraliser le sujet", a poursuivi McCraw.
"La seule chose qui empêchait le couloir des officiers dévoués d'entrer dans les salles 111 et 112 était le commandant sur place qui a décidé de faire passer la vie des officiers avant celle des enfants", a-t-il ajouté.
« Une erreur ; 14 minutes et huit secondes », a déclaré le directeur à propos des jeunes élèves attendant désespérément dans deux salles de classe que quelqu'un vienne les sauver du fou qui les assassinait.
Les sources comprennent :
FoxSanAntonio.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-05-mom-who-rescued-sons-uvalde-shooting-being-harassed.html
LE LOBBY DES ÉOLIENNES A BIEN INFILTRÉ LE MINISTÈRE DE L’ÉCOLOGIE !
RépondreSupprimerpar LOUIS MARIN
06/07/2022
La production éolienne en Europe a chuté de 27% en 2021.
Réponse à Barbara Pompili aux journalistes du Monde documentés par Greenpeace
C’est un dossier publié par le Monde du 28 juin intitulé « Derrière l’opposition aux éoliennes, une galaxie influente et pronucléaire » qui a mis le feu aux poudres.
Car au-delà de l’enquête fouillée et de bonne qualité des journalistes sur les réseaux des antis éolien dont certains sont effectivement pronucléaire assumés, ce sont bien les propos de l’ancienne Ministre de l’Ecologie et désormais député Barbara Pompili qui ont relancé le débat sur la très forte influence du lobby éolien sur les institutions françaises :
« On entend de la part des pronucléaire que RTE est vendu au lobby des renouvelables, ce qui est faux ».
Cette déclaration venant d’une militante antinucléaire pro-éolienne mérite donc une enquête plus approfondie sur la réalité ou non de l’infiltration par la filière éolienne des institutions publiques ou des entreprises énergétiques.
Commençons par Réseau de Transport d’Electricité (RTE), cité par l’ancienne Ministre. C’est la nomination de François Brottes, ancien député à la tête de RTE qui a entamé l’influence du lobby éolien dans l’entreprise publique. Car François Brottes, n’est pas un député anodin. Après avoir été régulièrement invité d’honneur des colloques du syndicat de promoteur éolien France Energie Eolienne, il porte la loi de libéralisation des éoliennes en 2013 et est rapporteur de la loi pour la croissance verte du 17 août 2015 qui entend réduire la part du nucléaire à 50% du mix électrique et à accélérer les énergies renouvelables en particulier les éoliennes. Il démissionne fin août 2015 juste après la promulgation de la loi et est nommé immédiatement après PDG de l’entreprise RTE chargée justement du raccordement des éoliennes au réseau électrique.
A cette époque François Bayrou, alors député s’insurge de ce véritable pantouflage :
« Cette décision est profondément malsaine. Un député, qui plus est un député président d’une commission [celle des Affaires économiques, N.D.L.R.], un député qui a porté un très grand nombre de textes, d’amendements concernant l’électricité, concernant EDF, va se retrouver à la tête d’une filiale d’EDF. […] Ceci est insupportable. »
Ne pouvant plus être patron en raison de la limite d’âge, François Brottes est remplacé après son départ de RTE le 1 er septembre 2020, par Xavier Piechaczyk, le maître d’oeuvre de la politique énergétique antinucléaire et pro-éolien à Matignon et à l’Élysée sous le mandat de François Hollande et coordinateur de la loi portée justement par le député François Brotte. Le 4 janvier 2021, il nomme comme directrice de cabinet adjointe de RTE, Pauline Le Bertre l’ancienne patronne de France Énergie Éolienne, le syndicat professionnel de lobbying de promotion de l’éolien en France. Dans l’organigramme de mai 2022 de RTE cette représentant de la filière éolienne pendant des années est toujours en poste au sein du cabinet du patron de RTE.
Mais c’est au sein de l’ancien Ministère de l’Ecologie de Barbara Pompili que s’est installé un incroyable lobby allemand pro éolien et antinucléaire dont on a peine à imaginer qu’il puisse encore être présent dans ce Ministère. En France, l’OFATE (Office Franco-Allemand de la transition énergétique), a de quoi interpeller. Cet organisme industriel éolien est une structure de droit allemand dont le siège se trouve à Berlin au sein du ministère fédéral de l’Économie et de l’Énergie et est financée à hauteur de 53 % par la filière éolienne et de 46 % par les gouvernements allemand et français. Ce qui est beaucoup plus inquiétant, c’est que le bureau de représentation en France de ce lobby éolien a pour adresse « MTE DGEC 30.69 Tour Sequoia 92800 La Défense » soit l’adresse des propres locaux de la Direction général de l’Energie et du Climat c’est-à-dire la direction chargée au sien du Ministère de l’Ecologie de la politique énergétique de la France et des choix stratégique dans le domaine électrique.
RépondreSupprimerCette organisation qui comprend tous les acteurs industriels de l’éolien et tous les organismes de lobbying et syndicat professionnel français et allemand sont située dans les locaux même du Ministère de l’Ecologie français où se trouve l’organisme d’Etat décisionnaire en matière d’énergie. C’est donc un véritable agent d’influence allemand dans la mesure où seul ce pays dispose d’une industrie dans ce secteur d’activité, la France n’ayant dans cette opération que le statut de client ou de financeur avec l’argent public consacré aux énergies renouvelables.
Nous avons également découvert que les adresses électroniques des membres de cet organisme de lobbying allemand avaient ni plus ni moins l’indicatif du ministère de l’Écologie. On retrouve cette organisation de la filière éolienne dans une brochure publiée par le Ministère Allemand des affaires étrangères des acteurs clefs de l’Energiwende au côté de WWF et de Greenpeace qui d’après la liste fournis sur son site est bien également membre actif de l’OFATE. Dans cette liste est précisé que l’OFATE est situé dans les locaux des ministères respectifs « concernés, permettant ainsi un échange avec les décideurs politiques » (sic).
Dans la liste des membres de l’OFATE on trouve également l’ADEME (anciennement agence de l’environnement et de la maitrise de l’Energie) devenue Agence de la transition énergétique qui est un établissement public industriel et commercial sous l’égide du Ministère de l’Ecologie. L’ADEME est connue pour ses études minimisant les impacts des éoliennes sur le cadre de vie des riverains. Très récemment l’établissement public a fait parler de lui pour son étude qui minimise totalement l’impact des éoliennes sur la valeur des biens immobiliers installés à proximité.
Dans le comité de suivi de l’étude qui ne comprenait qu’un membre de la filière immobilière on retiendra la présence de 14 représentants de la filière éolienne dont les principaux syndicats France Energie Eolienne FEE ou le Syndicat des Energies Renouvelables SER et bien sur l’inévitable OFATE précédemment évoquée. L’ADEME qui tente par tous les moyens de se donner une image de respectabilité et de neutralité est totalement associée à la filière éolienne. D’ailleurs, les syndicats de promoteurs éoliennes FEE et SER sont tous les deux dirigés par d’ancien cadre dirigeants de l’ADEME Jean-Louis Bal et Michel Gioria. Les liens entre ADEME et filière éolienne sont totalement imbriqués.
L’ADEME se fait régulièrement le relais des discours antinucléaires déjà exprimés par les ONG environnementales. En 2017 par exemple, l’agence va fortement critiquer la filière des réacteurs nucléaires EPR, n’hésitant pas dans un rapport à mettre en avant des arguments économiques et soulignant que « d’un point de vue économique, le développement d’une filière nucléaire de nouvelle génération ne serait pas compétitif pour le système électrique français ».
D’un autre côté, elle se fait militante de la cause des énergies renouvelables en estimant :
RépondreSupprimer« L’optimisation économique de l’évolution du système électrique français conduit à une part d’EnR de 85 % en moyenne en 2050, et de plus de 95 % en 2060 » Ce document suivait celui qui avait fait la promotion en 2016 d’un scénario 100 % d’énergie renouvelable.
L’ADEME milite donc au sein même des institutions publiques pour une sortie du nucléaire progressive et un déploiement massif des énergies renouvelables vers un scénario de 100 % d’énergie renouvelable. Cette simple étude interroge sur la neutralité de l’établissement public, qui sert souvent de courroi de transmission et de crédibilisation des arguments commerciaux des promoteurs éoliens ou des discours militants antinucléaires.
Après enquête on découvre également que l’ADEME est un acteur clef de l’éolien en France. En réponse au député Julien Aubert qui l’avait questionné à ce sujet, le Ministère de l’Écologie devait en juin 2020 bien confirmer la participation capitalistique de l’ADEME dans la centrale éolienne allemande « Merkur », en précisant que des clauses de confidentialité avaient été signées et empêchait une diffusion de l’information concernant l’aboutissement de cette transaction financière qui, selon ce Ministère restait isolée. Il n’en demeure pas moins que l’institution a été propriétaire pendant presque 8 ans et jusqu’au 13 mai 2020, à hauteur de 6,25 %, de la plus grande ferme éolienne en mer d’Allemagne.
Nous avons pu découvrir qu’en réalité l’ADEME avait une « petite soeur » intitulée ADEME Investissement qui opérait depuis 2018 dans le cadre du Programme d’investissements d’avenir (PIA), créé par l’État en 2010 et mis en œuvre par le Secrétariat général pour l’investissement qui a pour objectif d’augmenter la croissance potentielle de la France. Dans le bilan publié par l’ADEME Investissement, il est précisé que c’est environ 4 milliards d’euros de crédits qui lui sont dédiés sur la période 2010-2020 pour financer des projets innovants d’entreprises et développer les filières industrielles de demain, et en particulier les énergies renouvelables marines. Dans ce dossier on découvre que l’ADEME est un investisseur important et régulier de la filière éolienne maritime en particulier.
Du reste dans son ouvrage sur le nucléaire « Une affaire d’Etat » l’ancien Président de l’Assemblée Nationale Barnard Accoyer, confirme avec d’autres sources cette véritable immixtion étatique au travers de l’ADEME des militants pro-éolien et antinucléaire. Il n’hésite pas à d’ailleurs à dénoncer avec force un Ministère de l’Ecologie infiltré au travers de l’exemple de l’ADEME.
Il est également intéressant de noter que l’ADEME est un des financeurs de l’association Négawatt ouvertement antinucléaire et pro éolienne qui prône un scénario 100% renouvelable régulièrement cité comme référence par RTE précédemment cité, par certains courants politiques antinucléaire ou par Barbara Pompili alors Ministre. Du reste le financement par la filière éolienne et gazière, par RTE ou par l’ADEME de l’association dont les travaux sont pris en référence par ces acteurs a fait l’objet d’une interpellation du Ministère de l’Ecologie par la sénatrice Anne Catherine Loisier dans une question écrite au Sénat resté à ce jour sans réponse.
Ce scénario 100% est également largement soutenu par les associations Greenpeace (membre de l’OFATE) ou le Global Strategic Communications Council (un réseau international promouvant la transition écologique) les deux structures qui ont justement apportées la documentation aux journalistes du Monde qui devaient avec une pointe de scepticisme préciser dans leur article précité que les antis éoliens dénonçaient qu’un : « puissant lobby éolien » aurait « infiltré » tous les niveaux de l’Etat : l’Agence de la transition écologique (ADEME), le gestionnaire du réseau de transport d’électricité (RTE), la direction générale de l’énergie et du climat et surtout le ministère de la transition écologique. »
RépondreSupprimerEn voici donc les preuves édifiantes et documentés.
Et il est maintenant urgent de mettre un terme à cette infiltration clairement identifiée de la filière éolienne dans nos institutions publiques de l’énergie.
http://www.economiematin.fr/news-lobby-eolienne-ministere-ecologie-infiltration-marin
Ressources et croissance : pourquoi nous ne vivons pas dans un monde fini
RépondreSupprimerComment avoir une croissance infinie dans un monde aux ressources finies ?
le 5 juillet 2022
Philippe Silberzahn
Que nous vivions dans un monde aux ressources finies semble une évidence pour tout le monde. De là naissent toutes sortes de théories qui se ramènent essentiellement à la nécessité de ralentir, voire de stopper notre croissance, car comment avoir une croissance infinie dans un monde aux ressources finies ?
Comme souvent, cette évidence n’en est pas une. Elle constitue un cas classique de sophisme, c’est-à-dire de raisonnement faux malgré une apparence de vérité.
Savez-vous ce qu’est le guano ? C’est un amas d’excréments d’oiseaux marins ou de chauves-souris présent sur différentes îles du Pacifique où il s’est accumulé parfois sur plusieurs mètres d’épaisseur. Il constitue un engrais très efficace, en vertu de sa grande concentration en composés azotés. Le guano a été récolté par des compagnies privées ou publiques pendant des siècles. La production des îles Chincha, par exemple, atteignait 600 000 tonnes par an à la fin des années 1860. Ressource essentielle, elle fut l’objet de toutes les convoitises et de toutes les rivalités, menant à la guerre hispano-sud-américaine, aussi connue sous le nom de guerre du guano lorsqu’en 1863, l’Espagne tenta de s’emparer des îles Chincha. Le Pérou et le Chili repoussèrent les forces navales espagnoles. Cependant, à partir de cette période, divers progrès techniques permettent de créer des engrais à partir de sources radicalement différentes, et la demande de guano décline rapidement.
Un faux problème
L’histoire du guano offre plusieurs leçons pour mieux comprendre pourquoi la finitude de nos ressources naturelles est un faux problème.
Premièrement, la rareté doit être pensée de façon économique et non physique. Autrement dit, la rareté d’une ressource n’a d’intérêt que du point de vue de son utilité. Le silex est rare et fini, mais qui s’en préoccupe ? Personne, car nous n’utilisons plus de silex depuis des milliers d’années. Ressource rare, stratégique et finie en 1860, le guano n’est plus utilisé quarante ans plus tard. La finitude d’une ressource n’a donc d’importance que si celle-ci est utilisée. Aucune n’a de valeur en elle-même.
Deuxièmement, et de façon très liée au point précédent, la rareté d’une ressource dépend de nos connaissances et de l’état de notre développement technologique. L’exploitation intensive du guano à la fin du XIXe siècle a menacé d’épuiser les ressources, mais cela n’a eu aucune importance car au même moment, d’autres procédés prenaient le relais pour produire des engrais. Aujourd’hui, les stocks sont reconstitués mais personne ne s’en préoccupe : le guano est abondant et n’a aucune valeur. La disponibilité physique d’un bien ne compte que s’il y a une demande pour celui-ci.
Troisièmement, l’innovation déjoue les prévisions. Avant la Première Guerre mondiale, les alliés étaient persuadés que l’Allemagne ne pourrait faire la guerre car ils contrôlaient l’accès au guano. Sans accès au nitrate, l’Allemagne ne serait pas en mesure de produire des explosifs ou de se nourrir. Elle déjoue ces calculs en industrialisant le procédé Haber qui permet de fabriquer de l’ammoniaque à partir de l’azote de l’air. L’innovation totalement imprévue a complètement changé les règles du jeu et a rendu inutile une ressource absolument stratégique quelques années auparavant.
RépondreSupprimerLe pétrole, une ressource finie ?
On peut appliquer le raisonnement au pétrole.
Si nous disons que la quantité de pétrole sur la Terre est finie, nous ne faisons qu’affirmer une évidence, qui est cependant une approximation au sens où celui-ci met des millions d’années à être créé naturellement. Un raisonnement de physicien nous amène à penser qu’on va brûler le pétrole et qu’un jour, nous brûlerons notre dernier litre de pétrole. Mais à cela l’économiste répond aussitôt : non, si la demande persiste, et que les réserves disponibles diminuent, le prix va augmenter. Ce prix va diminuer la demande, et la reporter vers des énergies alternatives. Il va rendre plus rentables ces alternatives en incitant les investisseurs et les utilisateurs. Il va modifier les comportements : par exemple, les gens vont rapprocher leur domicile de leur lieu de travail. En retour, la diminution de la demande va faire baisser le prix. Le système va s’adapter. On se souvient que le boom actuel des voitures électriques a démarré en 2007 lorsque le prix du baril a atteint 130 dollars. À l’approche de la limite de réserve, le prix tend vers l’infini, le dernier litre de pétrole ne sera jamais brûlé. Mais cela aura commencé bien avant. Autrement dit, en tant que bien économique, le pétrole est infini. Or c’est la seule considération qui nous intéresse.
Et si nous vivions dans un monde infini ?
Le raisonnement peut être généralisé à toutes les matières premières, et pour l’appliquer il n’est pas nécessaire de croire au « tout marché », simplement de reconnaître que le système de prix est un assez bon régulateur, même s’il peut être complété par d’autres approches.
On le voit, l’erreur consiste à voir les ressources comme des biens physiques, alors que ce sont des biens économiques dont la valeur dépend du rapport entre l’offre et la demande, et la rareté des substituts existants. Évaluer leur finitude ne se ramène donc pas à un calcul de type « une baignoire contient 50 litres d’eau, elle se vide au rythme de 20 cl par minute, quand sera-t-elle vide ? »
Dit autrement, il est absolument impossible de prédire cette finitude et ceux qui prétendent le contraire éludent complètement la nature du problème soit par ignorance, soit pour faire avancer un agenda d’ordre politique.
https://www.contrepoints.org/2022/07/05/434216-ressources-et-croissance-pourquoi-nous-ne-vivons-pas-dans-un-monde-fini
La seule et unique chose qui s'échappe de notre planète est la chaleur qui perd 1 degré aux cent mètres et va se mêler aux zones froides qui entourent notre atmosphère.
SupprimerTOUT ce qui est sur Terre pousse, grandit, se mélange, se casse ou meurt mais se reconstruit à divers autres usages.
La terre que nous foulons tous est composée de milliards de cadavres de mouches, de vers, de chiens, de chats, d'oiseaux, de chevaux, d'êtres humains jusqu'aux dinosaures qui se râtellent, s'étalent, se griffonnent, s'éparpillent pour se retrouver absorbés par les racines d'un plant de tomates, de melons, un cerisier, un platane, puis, l'oiseau qui becquette la cerise et l'emporte à son nid où grandissent ses petits. Et ces oisillons comme tous êtres vivants sont composés eux-mêmes de milliards de milliards de cadavres de tout ce qui existe autour de nous jusqu'aux arbres pourris qui tombent. Nous avons de tout çà, sauf que le terme d'abiotique ne correspond pas à l'être humain qui demain sera dans un chat, un poisson, un moustique. Le terme d'abiotique est réservé aux combustibles qui se consument, se transforment en gaz qui se recyclent pour devenir du carbone (charbon). C'est un cycle parcouru par le pétrole depuis des millions d'années comme le fait l'eau sale des mers & océans qui s'infiltre continuellement dans les planchers des bassins vers le magma qui la chauffe, la brûle, la transforme en vapeurs qui s'échappent en galeries vers les sources de montagnes et nappes phréatiques.
Concentrations de gaz carbonique dans le Jurassique - cinq fois les niveaux d'aujourd'hui.
RépondreSupprimer3 JUILLET 2022
par Kirkland Kurevlev via Spoutnik
Avant de devenir les vertébrés terrestres dominants de la planète au Jurassique, les dinosaures non aviaires étaient dans l'ombre de leurs parents reptiliens - les archosaures - qui régnaient réellement sur un seul supercontinent de la Pangée et après sa scission jusqu'à il y a 201,3 millions d'années, lorsque la masse l'événement d'extinction a mis fin à la période.
Une nouvelle étude publiée dans la revue Science Advances remet en question l'idée que les dinosaures préféraient la chaleur aux premiers stades de leur évolution.
Il offre la première véritable preuve que les espèces de dinosaures du Trias, à l'époque un petit groupe confiné principalement aux zones polaires, y connaissaient souvent des températures glaciales. Selon les recherches, des empreintes de dinosaures et des éclats de roche particuliers qui n'auraient pu être laissés que par la glace sont les signes indéniables de ladite découverte.
Les auteurs de l'équipe internationale ont fait valoir que les coups de froid qui se produisaient déjà aux pôles se sont déplacés vers des latitudes plus basses lors de l'extinction de masse, éradiquant les reptiles à sang froid. Parce qu'ils étaient déjà adaptés, les dinosaures ont échappé au goulot d'étranglement de l'évolution et se sont étendus pour régner sur la terre pendant les 130 millions d'années suivantes.
"Les dinosaures étaient là pendant le Trias sous le radar tout le temps", a déclaré Paul Olsen, géologue à l'observatoire de la Terre Lamont-Doherty de l'Université de Columbia et auteur principal de l'étude, cité dans le rapport Phys.org. « La clé de leur domination éventuelle était très simple. C'étaient des animaux fondamentalement adaptés au froid. Quand il faisait froid partout, ils étaient prêts, et les autres animaux ne l'étaient pas.
La recherche était basée sur des fouilles récentes dans le bassin de Junggar, dans le nord-ouest de la Chine, un désert désolé.
On pense que les dinosaures ont initialement évolué au cours de la période du Trias, il y a environ 231 millions d'années, dans les latitudes méridionales tempérées, lorsque la majorité de la surface de la planète était réunie en un seul et énorme continent, la Pangée.
- voir croquis sur site -
Pangée à 202 Ma (projection Mollweide) montrant l'emplacement du bassin de Junggar (fig. S1) et des dinosaures du Trias. - Spoutnik International, 1920, 03.07.2022Pangea à 202 Ma (projection Mollweide) montrant l'emplacement du bassin de Junggar (fig. S1) et des dinosaures du Trias.
© Photo : Science Advances / Olsen et al.
Il y a environ 214 millions d'années, ils avaient atteint le Grand Nord, selon les scientifiques. Les régions tropicales et subtropicales les plus étendues entre elles étaient dominées par les reptiles, y compris des parents de crocodiles et d'autres animaux terrifiants, jusqu'à la grande extinction il y a environ 202 millions d'années.
RépondreSupprimerLes températures pendant la période du Trias étaient probablement élevées en raison des concentrations atmosphériques de gaz carbonique, car la majorité du Jurassique variait à 2 000 parties par million ou plus, soit cinq fois les niveaux actuels.
Les calottes glaciaires polaires n'étaient pas présentes à cette époque et les fouilles ont révélé que les régions polaires supportaient autrefois des arbres à feuilles caduques. Même avec toute cette quantité de gaz carbonique, les hautes latitudes auraient pu être parfois froides car elles auraient eu peu de soleil pendant une grande partie de l'année et les températures auraient baissé au moins périodiquement.
Mais jusqu'à récemment, personne n'a montré de preuves tangibles qu'ils ont gelé, et c'est là que la nouvelle recherche apporte quelques changements à la théorie.
Mort du monde pangéen et nouveau départ pour les dinosaures
Plus des trois quarts de toutes les espèces terrestres et marines de la planète, y compris tous les grands reptiles et coraux, ont disparu à la fin de la période triasique au cours d'une brève période géologique d'environ un million d'années. Certaines espèces fouisseuses, comme les tortues, ainsi que quelques premiers mammifères, ont survécu. Bien que l'on ne sache pas exactement ce qui s'est passé, de nombreux experts pensent que cela a été causé par une succession d'énormes éruptions volcaniques qui ont pu durer des centaines d'années à la fois.
- voir croquis sur site -
Cladogramme de caractères physiologiquement importants sur le cadre phylogénétique. - Spoutnik International, 1920, 03.07.2022 Cladogramme de caractères physiologiquement importants sur le cadre phylogénétique.
© Photo : Science Advances / Olsen et al.
Autour de cette période, la Pangée a commencé à se fragmenter, créant ce qui est devenu l'océan Atlantique et séparant les Amériques modernes de l'Europe, de l'Afrique et de l'Asie. Les éruptions auraient, entre autres, fait grimper le dioxyde de carbone atmosphérique au-dessus de ses niveaux déjà élevés, faisant grimper les températures sur terre et rendant les eaux océaniques trop acides pour que de nombreux organismes puissent prospérer.
Un troisième élément est mentionné par les auteurs de l'étude. Les phases les plus fortes des éruptions auraient libéré des aérosols de soufre qui réfléchissaient tellement la lumière du soleil qu'ils ont généré à plusieurs reprises des hivers volcaniques mondiaux qui l'emportaient sur les fortes concentrations de gaz à effet de serre. Même les tropiques pourraient avoir connu des conditions de gel prolongées pendant ces hivers, qui auraient pu durer une décennie ou plus.
RépondreSupprimerSelon la recherche, cela a tué des reptiles non isolés tout en permettant aux dinosaures isolés et adaptés au froid de survivre.
Les dépôts de grès et de siltstone à grain fin des anciens fonds de lacs du bassin de Junggar sont devenus la principale source de preuves des chercheurs. La fin du Trias, l'extinction massive et d'autres événements ont tous provoqué la formation des sédiments il y a environ 206 millions d'années.
Le bassin était situé à environ 71 degrés nord, bien au-dessus du cercle polaire arctique, à cette époque, avant que les masses continentales ne commencent à se réorganiser, comme elles le font tout au long de l'histoire de notre planète. Les dinosaures étaient présents le long des rivages, comme en témoigne la découverte par les auteurs et d'autres d'empreintes de dinosaures. Les chercheurs ont découvert des cailloux atteignant 1,5 cm de diamètre parmi les sédiments généralement fins des lacs eux-mêmes.
Comme les cailloux n'avaient rien à faire là-bas puisqu'ils étaient loin de toute plage visible, il a été déterminé qu'il s'agissait de débris de radeaux de glace, ou IRD en abrégé, et c'était la seule explication possible de leur existence, ont soutenu les auteurs.
En un mot, l'IRD est produit lorsque la glace se forme contre une masse continentale côtière et absorbe des morceaux de roche souterraine. La glace finit par se détacher et s'écoule dans le plan d'eau voisin. Les roches tombent au fond et se mélangent aux sédiments fins typiques lors de leur fusion.
Dans les océans, où il est transporté par les icebergs glaciaires, l'ancien IRD a été largement étudié par les géologues, mais les recherches sur les fonds lacustres ont été rares et la découverte du bassin de Junggar comblerait cette lacune. Selon les scientifiques, les cailloux ont probablement été ramassés pendant l'hiver lorsque les eaux du lac le long des rives caillouteuses ont gelé. Lorsque le temps s'est réchauffé, des morceaux de glace se sont éloignés tout en transportant des échantillons de cailloux, où ils les ont ensuite jetés.
"Cela montre que ces zones ont gelé régulièrement et que les dinosaures se sont très bien comportés", a déclaré le co-auteur de la recherche, Dennis Kent, selon Phys.org.
Et il semble que la façon dont les dinosaures ont réussi dans des conditions aussi difficiles ne suscite plus de doutes parmi la grande majorité des paléontologues.
Depuis les années 1990, il y a eu de plus en plus de preuves que de nombreux dinosaures non aviaires, sinon tous, y compris les tyrannosaures, avaient des plumes primitives. Certains revêtements peuvent avoir servi de parades d'accouplement sinon pour voler, mais les chercheurs affirment que l'isolation était leur fonction principale. Il existe des preuves solides que de nombreux dinosaures avaient des systèmes à sang chaud et à métabolisme élevé, contrairement aux reptiles à sang froid. Dans les climats froids, les dinosaures auraient bénéficié des deux caractéristiques.
- voir photo sur site -
Une reconstruction de la vie d'Ubiraja jubatus représentée par un artiste - Spoutnik International, 1920, 16.12.2020Des scientifiques découvrent un dinosaure avec une crinière de proto-cheveux et des structures en forme de ruban sur les côtés
RépondreSupprimer16 décembre 2020, 04h46 GMT
"Des épisodes hivernaux sévères lors d'éruptions volcaniques peuvent avoir apporté des températures glaciales aux tropiques, où de nombreuses extinctions de grands vertébrés nus et sans plumes semblent s'être produites", a expliqué Kent. "Alors que nos amis à fines plumes acclimatés à des températures plus froides sous des latitudes plus élevées se sont bien comportés."
Selon les commentaires des chercheurs sur leur étude, ils aimeraient voir plus de chercheurs chasser des fossiles dans des régions autrefois polaires comme le bassin de Junggar, afin de mieux comprendre cette période.
"Les archives fossiles sont très mauvaises et personne ne prospecte", a déclaré Olsen. « Ces roches sont grises et noires, et il est beaucoup plus difficile de prospecter [des fossiles] dans ces strates. La plupart des paléontologues sont attirés par le Jurassique supérieur, où l'on sait qu'il existe de nombreux grands squelettes. Le paléoarctique est fondamentalement ignoré.
https://www.algora.com/Algora_blog/2022/07/03/carbon-dioxide-concentrations-in-jurassic-five-times-todays-levels
La Chine va-t-elle décrocher en s’isolant ?
RépondreSupprimerLe danger d’un isolement intellectuel, mâtiné de sentiment de supériorité, peut rejaillir sur le développement économique et mener à des erreurs géopolitiques pour la Chine.
le 5 juillet 2022
Yves Montenay
La Chine se voit bientôt la première puissance économique mondiale et en avance dans de nombreux domaines. Elle semble même penser ne plus avoir besoin du reste du monde pour son développement. C’est probablement une erreur, comme l’a montré l’épisode maoïste.
Pourquoi la Chine choisit d’être seule ?
Dans mes derniers articles, j’évoquais les faiblesses à long terme de la Chine, principalement sa crise démographique ou la démotivation des jeunes qui, n’ayant pas connu la misère de leurs parents, rechignaient à travailler neuf heures par jour six jours par semaine.
J’évoquais aussi le danger d’un isolement intellectuel, mâtiné de sentiment de supériorité, pouvant rejaillir sur le développement économique et mener à des erreurs géopolitiques.
C’est cet isolement que je voudrais analyser de plus près.
Des racines historiques millénaires
Cette tendance à l’isolement se retrouve tout au long de l’histoire chinoise. Au XVe siècle, les expéditions de l’amiral Zheng He sur les côtes asiatiques et africaines ne donnent lieu à aucune expansion coloniale ou même commerciale, contrairement aux expéditions européennes plus tardives. La Chine reste dans ses frontières et tente de réduire les influences extérieures en se limitant à des faibles échanges commerciaux avec l’Inde, le monde arabe et l’Occident par quelques caravanes traversant déserts et montagnes.
Cette approche sino-centriste faisait de la Chine l’unique civilisation, entourée de nations barbares. Cette pensée irrigue encore la société chinoise du XIXe siècle avec la dynastie Qing. Le pays se ferme peu à peu et refuse de prendre part au libre échangisme mené par la Grande-Bretagne. Les pouvoirs étrangers ne pouvaient être qu’inférieurs. Par exemple la reine d’Angleterre était officiellement considérée comme la vassale de l’empereur de Chine.
Le réveil est brutal à partir des deux guerres de l’opium, par lesquelles l’Angleterre, puis les Occidentaux, imposent leurs conditions commerciales, puis une mise en tutelle y compris par le Japon, comme très bien illustré par Hergé dans Tintin et le Lotus bleu, pour lequel l’auteur a étroitement collaboré avec un Chinois, réfugié en France depuis.
Ces défaites déclenchent un très fort ressentiment envers l’Occident, ressentiment largement repris aujourd’hui par la propagande du parti.
Sous Mao, la tentative de créer une société incompatible avec la pensée occidentale entraîne l’isolement total de la Chine.
À titre personnel, je n’arrivais plus à comprendre ce qui se passait dans ce pays, tel que transmis par les nombreux et prestigieux intellectuels maolâtres.
Il faut en effet se souvenir (je vais simplifier) que si mai 68 marque une poussée de gauchisme anticommuniste, avec Daniel Cohn-Bendit traitant le patron de la CGT de « crapule stalinienne », ce gauchisme a pris Mao comme idole en remplacement de Staline ! Ces brillants maolâtres sont repentis aujourd’hui, après avoir vilipendé le livre lucide de Simon Leys, Les habits neufs du président Mao – Chronique de la Révolution culturelle.
Avec la « grande révolution culturelle prolétarienne » qui succède à la catastrophe économique du « grand bond en avant » et à l’exécution ou l’exil de nombreux cadres économiques, la Chine tombe dans les profondeurs du sous-développement et de l’autodestruction. Les « gardes rouges » soutenant Mao détruisent monuments historiques, meubles et œuvres d’art, allant jusqu’à casser la vaisselle traditionnelle de porcelaine des anciens bourgeois ou intellectuels et les pousser au suicide.
RépondreSupprimerMais Mao finit par mourir. Sa veuve et ses partisans, « la bande des quatre », sont éliminés, et Deng Xiaoping prend le pouvoir.
La réussite de l’ouverture au monde
Deng reste un communiste brutal, comme le montrera la répression de Tienanmen. Mais c’est aussi un pragmatique. Il ouvre la Chine au monde à partir de la fin des années 1970, en commençant par la création de « zones économiques spéciales » permettant l’arrivée des entreprises étrangères. On se souvient de sa proclamation : « peu importe la couleur du chat, pourvu qu’il attrape des souris ».
Cette ouverture économique va peu à peu s’étendre à d’autres aspects de la société chinoise. Les échanges deviennent culturels, scientifiques, universitaires… De nombreux étudiants chinois partent étudier dans les universités occidentales à la recherche de diplômes reconnus à l’international, notamment en France, où je me suis occupé pour Centrale Paris de brillants étudiants chinois envoyés par Centrale Pékin.
Les Chinois, longtemps coupés du reste du monde, faute d’argent ou par l’interdiction communiste, vont découvrir les joies du tourisme et partent découvrir massivement les autres pays, permettant alors d’importants échanges culturels.
Ces échanges se font dans les deux sens. Les étudiants occidentaux partent étudier en Chine et le développement de filiales d’entreprises occidentales provoque l’arrivée de nombreux cadres étrangers.
La coopération est aussi scientifique. Elle est très large : « Environ quatre cinquièmes des doctorants en ingénierie électrique et en informatique des universités américaines sont étrangers, et les Chinois sont le plus gros contingent. Nous avons formé une génération de professeurs chinois de classe mondiale« , rappelle David P. Goldman, éditorialiste d’Asia Times, cité par Le Figaro du 11 décembre 2020.
On remarque notamment aujourd’hui le cas très particulier de la coopération entre la Chine et la France dans la création de l’institut de virologie de Wuhan, suspecté d’être à l’origine de la pandémie du covid. Coopération qui a été brutalement interrompue il y a quelques années sans que l’on comprenne pourquoi à l’époque.
Le bilan très positif de cette ouverture au monde
La fin de l’autarcie maoïste a permis de faire sortir de la pauvreté 600 millions de Chinois.
En 20 ans, le PIB a été multiplié par 10, passant de 1300 milliards en 2011 à 14 700 milliards en 2021, la Chine passant de septime puissance économique mondiale à la deuxième place.
À mon avis, cette croissance est un peu surévaluée, et on oublie souvent que la Chine garde un niveau de vie par personne de l’ordre du quart ou du cinquième d’un niveau de vie occidental.
Et cette croissance a bien sûr des contreparties environnementales : la Chine c’est 52 % de la consommation mondiale de charbon en 2020, soit en un jour la consommation annuelle de la France. Et les alertes s’accumulent sur la qualité de l’air, de l’eau et de la nourriture.
Cette politique d’ouverture économique se paracheva avec l’adhésion de la Chine à l’OMC en 2001.
RépondreSupprimerL’apport des capitaux et des savoir-faire occidentaux a été une des causes principales de ce développement.
Dans un premier temps, l’attractivité chinoise fut la faiblesse des salaires dans un pays scolarisé et sécurisé.
Dans un deuxième temps, avec la hausse des salaires, ce qui attira et attire toujours les entreprises occidentales, c’est le gigantesque marché intérieur chinois. Ce dernier a également permis le développement de grands groupes nationaux qui ont ensuite réussi à s’imposer à l’international (Tencent, Alibaba, Huawei…).
Mais pour le président Xi, l’ouverture est allée beaucoup trop loin
L’arrivée au pouvoir de Xi en 2012, l’élection de Trump en 2016 et la pandémie de covid sont à l’origine d’une rupture progressive entre la Chine et l’Occident.
La réussite mondiale des grands groupes chinois a inquiété non seulement le reste du monde, mais surtout, semble-t-il, le président Xi lui-même qui y a vu une menace à la toute-puissance du parti communiste chinois. La « punition » de certains dirigeants et la limitation de leurs activités (jeux vidéo, enseignement privé à distance…) a suivi.
Plus généralement, la politique du « Rêve chinois » initiée par Xi Jinping prône l’autosuffisance de la Chine à l’égard de l’Occident. Pour illustrer que « nous n’avons besoin de personne », le géant chinois CATL, leader mondial des batteries lithium-ion et fournisseur de Tesla a levé 6,4 milliards d’euros.
Ce « Rêve chinois » repose sur l’idée que la Chine est une nation exceptionnelle, à qui seul le régime proposé par le Parti communiste chinois peut convenir, d’où les critiques virulentes envers les démocraties libérales. On se souviendra de la rencontre sino-américaine en mars 2021 où la délégation chinoise a dit aux Américains qu’ils n’étaient plus en mesure de leur donner des leçons.
Anne Cheng, dans son ouvrage Pandémie et mondialisation à la chinoise, écrit que l’on est passé de « la Chine dans le monde » de Deng Xiaoping, à « la Chine est le monde ».
La rupture est aussi culturelle, avec le recul de l’enseignement de langues étrangères, et la quasi-disparition des films américains, alors que Harry Potter et les Avengers faisaient un malheur. Disney est maintenant censuré ou interdit en Chine, même pour Mulan (2020) ou Shang-Chi et la légende des dix anneaux (2021), avec leurs héros confucéens.
Par contre, l’hyper nationaliste La Bataille du lac Changjin a été le deuxième film le plus regardé au monde en 2001, avec 900 millions de dollars de recettes.
Xi est-il en train de scier la branche sur laquelle il est assis ?
On arrive ainsi à un malentendu fondamental.
À mon avis, le développement chinois vient de l’adoption du modèle occidental : liberté d’entreprendre pour les nationaux et les étrangers, ouverture à ces derniers qui apportent le savoir managérial et technique encore plus importante que l’argent.
Le seul apport chinois est d’avoir maintenu un ordre public et notamment un ordre juridique évitant de trop piller les étrangers. Mais cela n’a jamais été totalement vrai et régresse plutôt actuellement.
Par contre, en Chine, on s’est persuadé que ce miracle de la croissance provient du système politique et notamment du rôle du parti communiste.
RépondreSupprimerEst-ce la conséquence d’un raisonnement qui pourrait évoluer, ou une simple question d’hégémonie politique ? Il y a sans doute un grand débat sur ce sujet dans le secret du parti, même si la ligne Xi est donnée gagnante cet automne.
On trouve un reflet de ce débat dans l’attribution des VPN, logiciels qui permettent d’avoir accès à l’Internet mondial, ce qui est interdit à la masse des Chinois. Ceux qui s’en servent sont pistés, mais ces logiciels ne sont pas complètement interdits, car ils sont indispensables à ceux des hommes politiques, acteurs économiques et chercheurs qui ont une activité internationale.
La réaction du reste du monde
Cet orgueil « national-politique » entraîne une réaction qui aggrave le problème : les cadres et étudiants chinois à l’étranger deviennent suspects pour le pays d’accueil, qui ont noté « l’obligation d’espionnage » à laquelle sont soumis les Chinois, tandis que le PCC craint la diffusion d’idées libérales au sein de sa future élite.
Les Occidentaux ont enfin compris qu’il s’agit pour le Parti de resserrer son emprise sur la population, en expliquant que les démocraties libérales sont empêtrées dans un système de valeurs inefficaces, responsable d’un important désordre social.
Cette réaction occidentale a été illustrée par la guerre commerciale lancée par Trump, notamment attentif à l’influence chinoise prise dans le secteur de la défense.
Elle s’est aggravée avec la pandémie, et les mises en quarantaine et interdiction de voyager : plus personne ne veut venir travailler en Chine ! On assiste à une « sinisation forcée » des entreprises étrangères.
Une autre réaction, financière cette fois, d’après Le Monde du 6 décembre 2021 :
« L’autorité américaine de régulation des marchés financiers, la Securities and Exchange Commission (SEC), est désormais autorisée à sortir de la cote les groupes qui ne feraient pas auditer leurs comptes par une société agréée. Or, la Chine, soucieuse de sa souveraineté, interdit à ses entreprises de se soumettre à de tels audits par des puissances étrangères. »
En Europe, on est resté un temps plus ouvert, notamment à la suite du discours à Davos de Xi en 2017 vantant le multilatéralisme, aujourd’hui considéré comme de pure propagande. Depuis a été notée la mainmise croissante de Pékin sur des infrastructures européennes comme le principal port grec, celui du Pirée, et « le piège de la dette » : Portugal et Grèce, comme de nombreux pays africains, doivent livrer le gâge promis en cas de difficultés de remboursement.
Enfin l’Europe prend conscience de sa dépendance envers la Chine pour de multiples produits, notamment dans le domaine sanitaire. D’après le sondage effectué par la Chambre européenne de commerce en Chine, 23 % des entreprises européennes sont en train de « réfléchir à transférer » leurs activités et leurs projets d’investissements hors de Chine en raison de « l’énorme incertitude » liée aux restrictions de la politique sanitaire chinoise, qu’ils ressentent comme un prétexte à un contrôle total des vies individuelles et des entreprises.
RépondreSupprimerApple et Google ont notamment décidé de limiter leur production chinoise, au bénéfice d’autres nations comme l’Inde (10 % des projets), le Bangladesh (8 %), le Vietnam, la Turquie ou le Mexique.
Certes, l’inertie des investissements et des coopérations entre la Chine et l’Occident fera que l’évolution vers l’isolement sera progressive.
En conclusion
Les Occidentaux se demandent tout d’abord ce qu’en pense la population chinoise. D’un côté l’orgueil national est chauffé à blanc, mais d’autre part on semble vivre de plus en plus difficilement les restrictions demandées par le régime.
Il est probable que de nombreux cadres sont conscients de l’importance des apports occidentaux à la société chinoise, notamment dans les idées et les méthodes, mais aussi dans la créativité.
On verra à l’automne si cela remonte jusqu’aux instances suprêmes et si la reconduction de Xi est en péril malgré la main de fer qu’il a imposé tous les étages du parti.
La Chine porte très classiquement son effort vers ce que les communistes ont toujours appelé « le ventre mou de l’Occident » : Afrique, Amérique du Sud, Europe orientale. Lénine pensait déjà qu’il fallait contourner les capitalistes par le sud, d’où son aide aux mouvements d’indépendance pour les orienter vers une hostilité au Nord.
Cependant, au Sud, cette stratégie est contrariée par la peur de la Chine, et notamment de la prise de conscience de la volonté de prise de contrôle des infrastructures et parfois des terres agricoles.
Dans un article publié dans Le Monde David Baverez résume :
« La Chine ne veut pas se démondialiser, elle veut se désoccidentaliser. Le but de la Chine est de bouter les États-Unis hors du Pacifique ».
Cet investisseur français basé à Hong Kong a pourtant longtemps vanté, lui aussi, les charmes de l’Empire céleste…
Il y a dans tout cela un parfum de retour à l’ère maoïste, d’autant qu’à l’isolement se rajoute le culte de la personnalité du président Xi et sa volonté de rester indéfiniment au pouvoir. Reste à espérer que la masse des Chinois se souvienne de la catastrophe qu’a été cette ère maoïste…
https://www.contrepoints.org/2022/07/05/434212-la-chine-va-t-elle-decrocher-en-sisolant
(...) Pourquoi la Chine choisit d’être seule ? (...)
SupprimerCe n'est pas la Chine qui s'isole, qui commerçait avec le monde depuis toujours, mais juste une partie du monde qui la désigne comme... ennemie !! Ennemie car elle a plus que tout autre pays au monde de surdoués qui sont encouragés à s'instruire davantage. Et, quand on regarde l'état de l'Europe et des USA... çà fait pitié ! DES CONS ! DES CONS et encore des cons ! Ils ne savent ni lire ni écrire et ont le 'bac' !!
Comment en est-on arrivé là ? Parce qu'il y a des ministres cons, des chefs d’États cons et qui se montrent... en exemples !!! Regardez un certain chef d’État qui se disait (et se dit toujours) supérieur à tous les scientifiques sans même avoir fait une heure d'études scientifiques !! Un moins que rien, une merde. Une merde cheffe d’État ! Sont-elles les premières transhumaines ? Les premières inoculées à se faire inoculer devant les caméras pour montrer l'exemple du courage que peut avoir un con qui saute par la fenêtre !
GAZ ET ÉLECTRICITÉ : UNE AIDE POUR LES ENTREPRISES LES PLUS TOUCHÉES
RépondreSupprimerpar ANTON KUNIN
04/07/2022
Dans le cadre de cette aide, les entreprises des secteurs stratégiques pourront se faire rembourser jusqu'à 50 millions d'euros.
L’État subventionnera les achats d’électricité et de gaz pour les entreprises les plus lourdement touchées par la flambée actuelle des cours.
Bercy souhaite « éviter les arrêts de production des sites » de production
C’est le lundi 4 juillet 2022 que s’ouvre le guichet de l’aide « Gaz et électricité » destinée aux entreprises ayant subi un lourd impact économique suite à la hausse effrénée des prix du gaz et de l’électricité. Pour être éligibles, les entreprises doivent justifier avoir dépensé au moins 3% de leur chiffre d'affaires en achats de gaz et d’électricité. Par ailleurs, en ce qui concerne le gaz, elles doivent avoir subi au moins un doublement des prix d’achat : les périodes prises en compte sont mars-mai 2022 et juin-août 2022, par rapport au prix moyen sur l'année 2021.
Comme l’explique Bercy sur son site, cette aide d’urgence « vise à soutenir la compétitivité des entreprises et à éviter les arrêts de production des sites les plus consommateurs de gaz et d'électricité et, notamment, ceux assurant des productions essentielles ».
Plusieurs critères d’éligibilité et des facilités pour les entreprises des secteurs stratégiques
Les entreprises subissant une baisse d’excédent brut d’exploitation de 30 % par rapport à 2021 ou ayant des pertes d’exploitation toucheront l’équivalent de 30 % des coûts éligibles (mais pas plus de 2 millions d’euros). Si le montant des pertes est au plus égal à deux fois les coûts éligibles, c’est l’équivalent de 50 % des coûts qui sera remboursé (mais pas plus de 25 millions d’euros). Enfin, pour les entreprises appartenant aux « secteurs les plus exposés à la concurrence internationale » (fabrication de vêtements en cuir, fabrication de matières plastiques de base, métallurgie, sidérurgie…), le montant de l’aide sera équivalent à 70% des coûts subis (mais pas plus de 50 millions d’euros).
Le guichet pour la période mars-mai 2022 s’ouvre le 4 juillet 2022, pour une durée de 45 jours. Celui pour la période juin-août 2022 s’ouvrira le 15 septembre 2022, pour 45 jours également. Bercy précise par ailleurs que la mise en place de cette aide avait été souhaitée par le gouvernement dès la mi-mars 2022, son arrivée si tardive s’explique par le fait qu’il a d’abord fallu attendre la validation de la Commission européenne.
http://www.economiematin.fr/news-gaz-electricite-aide-entreprises-touchees-bercy
L'INSÉCURITÉ ALIMENTAIRE CONSÉCUTIVE AU CONFLIT EN UKRAINE FAIT PLANER UN RISQUE DE VOLATILITÉ ACCRUE
RépondreSupprimerpar STÉPHANE MONIER
05/07/2022
La récolte de blé de l'Ukraine sera de 35 %.
Parti de Grèce, le navire Polarstar, immatriculé au Libéria, est arrivé dans le port ukrainien d'Odessa le 16 février 2022 après un voyage de trois jours. Ce vraquier de 177 mètres de long n'en a plus bougé depuis. L'invasion de l'Ukraine par la Russie empêche l'exportation d'un dixième de la récolte mondiale de blé, tandis que les Nations unies tirent la sonnette d'alarme sur le risque de pénurie alimentaire mondiale.
Le Polarstar n'est pas le seul navire piégé dans un port ukrainien. Selon l'Organisation maritime internationale des Nations unies, pas moins de 84 navires et 450 marins marchands restent prisonniers des mines marines posées par l'Ukraine et des blocus navals russes. Cette situation empêche l'Ukraine de livrer sa récolte de céréales au reste du monde. En 2021, le pays pesait 10% des exportations mondiales de blé, selon l'ONU. Aujourd'hui, la guerre a réduit la superficie des terres cultivées et la capacité à recruter de la main-d'œuvre. De surcroît, la hausse des prix des carburants réduit l'offre d'engrais et par conséquent les rendements. La Russie, dont les exportations sont limitées sur de nombreux marchés par les sanctions internationales, a représenté 17% des exportations mondiales de blé.
Autrefois, on qualifiait l'Ukraine de « grenier à blé » de l'Union soviétique. Trois décennies plus tard, l'invasion russe met en lumière l'importance des sols fertiles et des longues saisons agricoles de l'Ukraine pour les chaînes d'approvisionnement mondiales. Le marché mondial du blé est particulièrement concentré: en 2021, sept pays représentaient 89 % des échanges, la Russie et l'Ukraine étant les deuxième et sixième principaux fournisseurs, selon un rapport de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) publié la semaine dernière. La Russie et l'Ukraine ont également fourni à elles seules plus de la moitié des graines de tournesol dans le monde.
Le gouvernement ukrainien affirme que 20 millions de tonnes de céréales et de légumineuses et 5 millions de tonnes d'oléagineux provenant de la récolte de 2021 sont actuellement bloquées. Si ces stocks ne peuvent pas être exportés, la nouvelle récolte de juillet aggravera la situation, le pays manquant d'installations pour entreposer la production additionnelle. Malgré tout, le département de l'Agriculture des États-Unis (USDA) estime que la récolte de blé de l'Ukraine sera de 35%, soit 9 millions de tonnes, inférieure à la récolte de 2021.
Corridors logistiques
RépondreSupprimerDans l'immédiat, les alternatives au transport de céréales par voie maritime ne constituent guère une solution. L'incompatibilité des rails ferroviaires entre l'Union européenne et l'Ukraine ralentit les itinéraires terrestres vers les ports roumains et le Danube. La Turquie a accueilli des pourparlers visant à ouvrir des routes maritimes permettant d'exporter des céréales et éventuellement des engrais russes. Les gouvernements français, néerlandais et turc ont proposé d'escorter les cargaisons avec des navires de guerre. Cependant, la Russie veut échanger les sanctions économiques occidentales contre ses ressources agricoles.
L'augmentation du coût des matières premières se traduit inévitablement par une hausse du prix des denrées alimentaires. Cette année, le monde déboursera 51 milliards de dollars de plus qu'en 2021 pour l'achat de produits alimentaires, selon la FAO. Le blé se négocie à 40% plus cher qu'il y a un an, tandis que le soja est au plus haut depuis dix ans. Selon les dernières prévisions de l'USDA, la production mondiale de blé pourrait atteindre 775 millions de tonnes métriques sur l'année commerciale 2022/2023 de juin à mai, soit 4 millions de tonnes de moins que l'année précédente. Avec une offre totale inférieure à la consommation, les stocks devraient reculer aux niveaux de 2007/2008.
Certains agriculteurs ont réagi aux pénuries alimentaires en cultivant davantage, mais leur calcul est compliqué par la volatilité des prix des récoltes et la hausse des coûts des engrais et du carburant, qui réduisent leurs marges. La pénurie d'engrais en provenance du Belarus pourrait compromettre les hypothèses de rendement des cultures qui sous-tendent les projections de l'USDA et du secteur privé.
La nature de la production agricole signifie que le monde pourrait ressentir jusqu'en 2023, voire plus tard encore, les conséquences de l'invasion russe sur les marchés céréaliers. Le 18 mai, le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, a mis en garde contre « le spectre d'une pénurie alimentaire mondiale dans les mois à venir », générant des problèmes susceptibles de durer des années. Les Nations unies estiment déjà que le nombre de personnes souffrant de famine a doublé en deux ans et atteint désormais 276 millions.
À plus long terme, assurer la sécurité des chaînes de production alimentaire restera une priorité absolue. En effet, la sécurité alimentaire dépend du passage à une production agricole plus soutenable et plus résiliente et offre des opportunités d'investissement. Nous n'investissons pas directement dans les produits agricoles susceptibles d'affecter les prix du maïs, du blé, du soja et du riz, car il s'agit de composantes essentielles de la sécurité alimentaire.
Le coût de la pauvreté
RépondreSupprimerEn sus des problèmes générés par la guerre, les conditions météorologiques extrêmes régnant ailleurs dans le monde péjorent les perspectives pour les céréales. Suite à de graves intempéries, la production de blé de la Chine pourrait atteindre un bas niveau record. L'Inde a interdit les exportations de céréales pour faire face à une vague de chaleur sans précédent, tandis que la sécheresse frappe l'Afrique orientale pour la quatrième saison consécutive, menaçant de famine des millions de personnes en Éthiopie, en Somalie et au Kenya.
L'impact de la hausse des prix des denrées alimentaires se fait sentir de manière inégale, affectant les nations les plus pauvres du monde et les plus dépendantes des importations alimentaires. Dans les pays émergents, les denrées alimentaires représentent entre un tiers et la moitié du panier de biens utilisé pour calculer l'inflation, contre 10 % dans l'Union européenne et 8% aux États-Unis.
En outre, certaines nations pauvres sont très dépendantes de la Russie et de l'Ukraine. En 2021, le Bénin, la Somalie, l'Égypte et le Soudan ont importé la quasi-totalité de leur blé de Russie et d'Ukraine. La Chine, l'Égypte et l'Algérie ont importé de ces deux marchés la quasi-totalité de leur huile de tournesol. L'inflation alimentaire a aggravé les chocs économiques dans des pays comme l'Afghanistan, menacé de famine, et le Sri Lanka, où le manque de nourriture, d'énergie, de médicaments et de carburant a déclenché des violences, une crise politique et la première défaillance d'un gouvernement dans l'histoire du pays.
Les nations les plus pauvres dépenseront 2,4 milliards USD de moins pour leurs achats alimentaires en 2022, estime la FAO, car les consommateurs réagissent à la hausse des prix en achetant moins de produits coûteux comme la viande et les oléagineux, se concentrant plutôt sur les denrées de base comme le riz.
Les conséquences de ces tensions peuvent être considérables. On se souvient des événements du « printemps arabe », en 2010, lorsque la hausse des prix des denrées alimentaires et une croissance économique en berne ont agi comme des catalyseurs pour une vaste série de soulèvements populaires au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. L'inflation alimentaire a le potentiel d'induire des troubles sociaux, déstabilisant des économies ou des régions entières, et déclenchant des migrations massives. Si les troubles s'intensifient, ils peuvent aussi exacerber les inégalités sociales et économiques existantes.
Toute nouvelle crise dans un environnement déjà fragile ne ferait qu'aggraver les perspectives de l'économie mondiale et générer davantage de volatilité sur les marchés financiers. Nous maintenons une approche d'investissement prudente et surveillons de très près les développements internationaux.
http://www.economiematin.fr/news-insecurite-alimentaire-risque-volatilite-marches-monde-monier
(...) les Nations unies tirent la sonnette d'alarme sur le risque de pénurie alimentaire mondiale. (...)
SupprimerHAHAHAHA ! Cherchent-elles à nouveau à effrayer le monde avec ces fadaises trisomiquées ? Parce que DU BLÉ IL Y EN A !! Oui mais... c'est du blé russe !! HOULALA ! Du blé Poutine ! Du blé Roubles ! Bref du pain au gros rouleau, du pain au pistolet !
Confirmé : La CIA dirige le combat de l'Ukraine contre la Russie
RépondreSupprimerLundi 04 juillet 2022
par : JD Heyes
(Natural News) Un rapport publié plus tôt cette semaine fournit de nouvelles preuves que l'État profond américain est fortement investi en Ukraine et met tout en œuvre pour empêcher le pays de tomber aux mains des Russes.
Les lecteurs se souviendront probablement que malgré le fait que les États-Unis et l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN) savaient des mois à l'avance que la Russie renforçait ses forces autour de l'Ukraine en vue d'une invasion, Washington et Bruxelles semblaient ne pas faire grand-chose pour renforcer les défenses de Kyiv. Une fois que la Russie a envoyé ses forces en Ukraine le 24 février, la plupart des observateurs extérieurs ont pensé que l'Armée rouge ferait un travail rapide sur l'armée ukrainienne moins armée et surclassée.
Mais peu de temps après, sorti de nulle part, le régime de Biden a agi rapidement pour fournir à l'Ukraine une aide mortelle même après que les mêmes personnes aient critiqué le président de l'époque, Donald Trump, pour avoir fait la même chose pendant son administration. Ceci, bien sûr, après que des dizaines de millions d'Américains ont appris que le régime Obama s'était immiscé en Ukraine en 2014, provoquant un coup d'État, et que Hunter Biden a conclu des accords commerciaux lucratifs dans le pays corrompu, dont il a été contraint de partager une grande partie avec son père.
Et depuis lors, les mondialistes du Congrès se sont également ralliés, approuvant des milliards d'aide en armement et d'argent à ce qui était l'un des pays les plus corrompus de toute l'Europe.
Nous apprenons maintenant que la Central Intelligence Agency (CIA) a également été fortement impliquée en Ukraine, y menant probablement des opérations comme si la guerre froide n'avait jamais pris fin.
Le New York Times a maintenant confirmé ce que beaucoup soupçonnaient depuis un certain temps.
"Alors que les troupes russes poursuivent une campagne acharnée pour s'emparer de l'est de l'Ukraine, la capacité de la nation à résister à l'assaut dépend plus que jamais de l'aide des États-Unis et de ses alliés - y compris un réseau furtif de commandos et d'espions se précipitant pour fournir des armes, des renseignements et la formation, selon des responsables américains et européens », a rapporté le Times.
« Une grande partie de ce travail se déroule en dehors de l'Ukraine, dans des bases en Allemagne, en France et en Grande-Bretagne, par exemple. Mais même si l'administration Biden a déclaré qu'elle ne déploierait pas de troupes américaines en Ukraine, certains membres du personnel de la CIA ont continué à opérer secrètement dans le pays, principalement dans la capitale, Kyiv, dirigeant une grande partie des vastes quantités de renseignements que les États-Unis partagent avec Les forces ukrainiennes, selon les responsables actuels et anciens.
Pendant ce temps, "quelques dizaines de commandos" d'autres pays membres de l'OTAN tels que la Grande-Bretagne, le Canada, la France et la Lituanie se sont également déployés à l'intérieur de l'Ukraine, bien que les États-Unis auraient retiré quelque 150 instructeurs militaires avant l'invasion russe de février (une autre indication que les États-Unis et l'OTAN étaient au courant de ce qui allait arriver). Cela dit, "les commandos de ces alliés sont restés ou sont entrés et sortis du pays depuis lors, entraînant et conseillant les troupes ukrainiennes et fournissant un conduit sur le terrain pour les armes et autres aides", a ajouté le Times, citant trois personnes anonymes. responsables américains.
Le journal indique qu'il n'y a pas beaucoup plus de détails sur ce que font réellement le personnel de la CIA et les commandos associés. Cependant, le fait qu'ils se trouvent en Ukraine semble suggérer que l'effort pour fournir une assistance létale à l'Ukraine ne se déroulait pas seulement en secret (et sans l'approbation des électeurs américains), mais qu'il avait une portée beaucoup plus grande qu'on ne le savait auparavant.
RépondreSupprimerDe plus, avoir du personnel militaire et du renseignement américain dans le pays comporte d'énormes risques, surtout si l'un d'entre eux est capturé.
La secrétaire de l'armée, Christine E. Wormuth, a donné quelques détails concernant l'opération en mai lors d'un événement sur la sécurité nationale organisé par le Conseil atlantique de gauche. Elle a noté que la cellule d'opérations spéciales fournissait une assistance pour gérer le flux d'armes et d'autres équipements vers l'Ukraine.
"Alors que les Ukrainiens tentent de déplacer cela et d'échapper aux Russes qui tentent potentiellement de cibler des convois, vous savez, nous essayons d'être en mesure d'aider à coordonner le déplacement de tous ces différents types d'expéditions", a-t-elle déclaré.
Les mondialistes qui dirigent le régime de Biden font tout ce qu'ils peuvent pour se battre avec la Russie dotée d'armes nucléaires. Les Américains n'ont pas voté pour cela.
Les sources comprennent :
NYPost.com
NYTimes.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-04-confirmed-cia-running-ukraine-fight-against-russia.html
Les employés de Lunatic Amazon demandent à l'entreprise de cesser toutes ses activités commerciales dans les États «rouges» qui interdisent la boucherie de bébés
RépondreSupprimerLundi 04 juillet 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Des centaines de travailleurs esclaves dans les ateliers clandestins d'Amazon ont signé une lettre ouverte appelant le géant du commerce électronique à cesser immédiatement toutes les opérations commerciales dans les États pro-vie afin que les gens aient "le temps de faire leur deuil".
La lettre appelle le géant de la technologie à prendre "des mesures immédiates et décisives contre la menace pour les droits fondamentaux de l'homme avec le renversement de Roe v. Wade", ce qui inclut apparemment la fermeture de boutique dans chaque État "rouge".
"Dans le cadre des efforts de grande envergure d'Amazon pour une main-d'œuvre plus inclusive et diversifiée, nous pensons qu'Amazon ne peut pas laisser cette décision récente sans réponse", indique la lettre.
"Nous demandons à Amazon, le meilleur employeur du monde, de se défendre activement contre cette atteinte à notre liberté."
Même si bon nombre des propositions faites "comportent un risque commercial plus important que d'autres", les employés mécontents d'Amazon disent que ce sont des "temps sans précédent" puisque de nombreuses femmes ne sont plus en mesure d'assassiner leurs enfants à naître à moins qu'elles ne souhaitent se rendre dans un autre État.
Tout comme ce qui s'est passé avec le coronavirus de Wuhan (Covid-19), les employés d'Amazon pro-avortement "de tous genres" ont soudainement besoin "d'espace et de temps pour faire leur deuil, exprimer leurs frustrations et protester contre cette atteinte à nos droits", la lettre explique.
Ils veulent également qu'Amazon fasse un don et égale les dons "pour renflouer les fonds et les groupes d'assistance travaillant à étendre l'accès à l'avortement pour les femmes et les femmes enceintes touchées dans les États" ne pas aimer).
Puisqu'Amazon est en pleine «réveil», va-t-il enfin faire faillite ?
Amazon vend également actuellement des livres et d'autres documents qui traitent des problèmes liés à l'avortement dans une perspective pro-vie, que ces employés mécontents demandent à retirer immédiatement de la plate-forme de commerce électronique d'Amazon.
La lettre exige qu'Amazon "[a]udit et supprime les offres de produits qui déforment les faits sur l'avortement ou encouragent les discours de haine ou la violence envers les demandeurs d'avortement".
Il exige également un audit de chaque don politique fait par l'entreprise afin que tout ce qui s'oppose à l'avortement puisse être immédiatement retiré du futur bassin de dons des déboursements financiers.
Les employés veulent également qu'Amazon adopte des changements de politique à l'échelle de l'entreprise pour s'assurer qu'aucun sou ne va plus jamais à quoi que ce soit qui tente de préserver la vie humaine à naître plutôt que de la détruire.
La demande la plus ridicule de la lettre d'un point de vue commercial est celle qui demande à Amazon d'arrêter immédiatement toutes les opérations dans les États qui promulguent des lois "qui menacent la vie et la liberté des demandeurs d'avortement, soit en refusant des soins de santé dans des circonstances potentiellement mortelles, soit en criminalisant". les demandeurs d'avortement et les prestataires.
RépondreSupprimerComme de nombreuses autres entreprises ces derniers jours, Amazon a déjà cédé aux demandes de payer pour que ses employées promiscuité se rendent dans d'autres États, si nécessaire, afin de se faire avorter.
"Amazon est devenue la dernière entreprise à couvrir les frais de déplacement des employés pour se faire avorter", a rapporté CNN en mai. "La société a déclaré au personnel qu'elle paierait jusqu'à 4 000 dollars de frais de déplacement par an pour des traitements médicaux, y compris des avortements, selon un message vu par Reuters."
Parmi les autres entreprises qui ont décidé de faire à peu près la même chose, citons Dick’s Sporting Goods, Citigroup, Uber, Yelp, Lyft, Match Group, Bumble et Salesforce.
"Je licencierais les travailleurs responsables de ce comportement perturbateur et rappellerais à tous les autres que nous sommes ici pour travailler et pour garder l'activisme pendant votre temps libre et vos lettres ouvertes hors de mon réseau", a écrit quelqu'un à Breitbart News en réponse à l'Amazonie. lettre.
"Exactement", a répondu un autre. "Si vous voulez célébrer le meurtre de bébés, faites-le pendant votre temps libre."
Les dernières nouvelles sur la folie d'Amazon peuvent être trouvées sur JeffBezosWatch.com.
Les sources comprennent :
Breitbart.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-04-amazon-employees-demand-shutdown-red-states-abortion.html
Amazon ne s'écrira qu'avec la faucille et le marteau.
SupprimerL'empire du toilettage d'enfants, Disney, pousse plus de lavage de cerveau biologique indésirable de notre jeunesse avec des longs métrages d'animation "Baymax"
RépondreSupprimerlundi 04 juillet 2022
par : JD Heyes
(Natural News) Une vidéo récemment divulguée montre à quel point Disney est allé dans le trou LGBTQ et fluide entre les sexes, alors même que la dernière offre de films de la société, mettant en vedette une scène de baiser lesbien sans raison valable, fait irruption au box-office.
Le chercheur Christopher Rufo a posté le clip vidéo troublant sur Twitter avec cette description : « EXCLUSIF : j'ai obtenu une vidéo divulguée de la prochaine émission de Disney « Baymax », qui promeut le drapeau transgenre et l'idée que les hommes peuvent avoir des règles pour des enfants aussi jeunes que deux ans. Tout cela fait partie du plan de Disney pour repenser le discours sur les enfants et la sexualité.
REGARDEZ:
- voir clip sur site -
Le Daily Wire ajoute :
"Dans le clip, Baymax se tenait dans l'allée d'hygiène féminine d'un magasin et regardait l'étagère devant lui. Après un moment, il se tourna vers la femme à côté de lui et lui demanda sa recommandation pour un bon produit. Elle a d'abord répondu avec surprise, puis a immédiatement fait de son mieux pour l'aider – et une foule d'autres personnes se sont rapidement jointes à leurs suggestions également.
Le clip commence avec Baymax demandant à une cliente à côté de lui : « Excusez-moi. Lequel de ces produits recommanderiez-vous ? »
"Oh, euh - eh bien - ce sont les tampons que j'utilise habituellement", répond la femme en lui tendant un paquet de produit d'hygiène.
"Merci", a déclaré Baymax.
"Je préfère les serviettes", a lancé une autre femme. "Ils sont plus confortables pour moi."
"Merci," dit encore Baymax.
"Je reçois toujours ceux avec des ailes", a interrompu une autre personne – dont la chemise était aux couleurs et au motif du drapeau transgenre.
Une foule a commencé à se former autour de Baymax, avec une autre femme ajoutant: "Obtenez sans parfum et sans eau de Javel si vous le pouvez."
« Yo, ma fille adore ça ! » dit un homme qui tendit la main par-dessus l'épaule de Baymax pour lui montrer un autre colis.
"Cela pourrait être plus facile si c'était ses premières règles", a déclaré une autre femme en tendant un colis à Baymax, tandis qu'une autre femme s'est approchée du groupe en disant avec enthousiasme : "Ce sont vraiment respectueux de l'environnement !"
Rufo a suivi et exposé la façon dont Disney a adopté sans vergogne un programme et un thème LGBTQ dans ses programmes et ses films, s'adressant à peut-être 2 à 3 % de la population entière juste pour pousser un programme éveillé qui nuit au résultat net de l'entreprise.
Il a exposé les événements au sein de Disney, y compris un certain nombre de vidéos qui ont révélé «l'agenda gay pas du tout secret» d'un dirigeant ainsi que des plans futurs pour infuser des émissions pour les enfants de tous âges avec des exemples de multiples identités de genre différentes et sexuelles orientations.
"Notre direction là-bas a été si accueillante pour aimer, mon agenda gay pas du tout secret", a déclaré le producteur exécutif LaToya Raveanu dans la vidéo divulguée. "Partout où je pouvais, j'ajoutais essentiellement de l'homosexualité à la série, si vous voyez quelque chose de bizarre dans la série, 'The Proud Family', personne ne m'arrêterait et personne n'essayait de m'arrêter."
RépondreSupprimerLe clip Baymax arrive alors que "Toy Story: Lightyear" de Disney a fait irruption dans les box-offices du monde entier après que les producteurs du film d'animation ont décidé de réinsérer une scène de baiser lesbien après l'avoir initialement supprimée.
"Maintenant que leur long métrage d'animation éveillé Lightyear a fait un plongeon record au box-office, les toiletteurs d'enfants de Walt Disney Co. doivent être vraiment déçus", a écrit John Nolte de Breitbart News, qui rend fréquemment compte de la culture éveillée, a écrit la semaine dernière.
"À part Onward (2020) – qui ne compte pas parce que le coronavirus a déraillé son deuxième week-end – Lightyear détient actuellement le record de la pire plongée au box-office du deuxième week-end dans les 25 ans d'histoire de Pixar", a-t-il écrit. "Après avoir ouvert à un montant désastreux de 51 millions de dollars, lors de son deuxième week-end, Lightyear n'a gagné que 17,7 millions de dollars, soit un crash de 65 %."
Nolte abonda dans les critiques :
Ceci est un film Toy Story. Lightyear fait partie de la franchise animée la plus populaire et la plus emblématique de l'univers, et après dix jours et deux week-ends, elle se situe toujours à 88,8 millions de dollars américains. Dans le monde, il n'a rapporté que 152 millions de dollars.
La production à elle seule a coûté 200 millions de dollars. Ajoutez 100 millions de dollars supplémentaires pour la publicité. Afin d'atteindre le seuil de rentabilité, Disney doit voir une prise mondiale d'au moins 550 à 650 millions de dollars, ce qui n'arrivera pas. Donc Lightyear perdra probablement plus de 100 millions de dollars.
"Félicitations. Excellent travail, Disney. Manière de détruire votre plus grande franchise animée après avoir détruit votre franchise de films Star Wars », a-t-il écrit.
Sources include:
DailyWire.com
Breitbart.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-04-empire-of-child-grooming-disney-pushing-junk-biology-on-youth-baymax.html
Disney pédale dans la merde.
SupprimerL’OTAN prépare désormais une guerre totale de l’Europe contre la Russie – Éric Verhaeghe
RépondreSupprimerpar Aphadolie
04/07/2022
Le sommet de l’OTAN, qui s’est tenu hier à Madrid, a pris un certain nombre de décisions fondamentales que la presse subventionnée n’a pas absolument pas relayées, ou s’est contentée d’édulcorer pour les rendre acceptables par l’opinion. Pourtant, ce qui ressort de ce sommet auquel Emmanuel Macron a participé, c’est la préparation dès maintenant d’une guerre totale sur le sol européen contre la Russie. Combien de Français sont conscients de l’aventure dans laquelle la caste mondialisée et son multilatéralisme nous entraînent ?
Du sommet de l’OTAN, c’est tout juste si l’on a retenu qu’il se tenait à Madrid, et qu’il a validé l’adhésion (sous surveillance turque) de la Suède et de la Finlande. Et pour le reste, rien ou presque n’en a transpiré.
Pourtant, des décisions bien plus importantes y ont été prises, qui, tôt ou tard, exposeront les Européens à un conflit direct, chaud, « de haute intensité », c’est-à-dire destructeur et meurtrier, avec la Russie. Mais les Français ne s’intéressent guère à la question : ils sont tout entiers occupés à savoir qui va présider la Commission des Finances, avec le soutien de qui, et dans le dos de qui.
On a les urgences que l’on peut.
Une déclaration finale du sommet sans aucune ambiguïté
Pour comprendre l’insignifiance des préoccupations françaises, membre pour une durée désormais inconnue (tant la France est rabaissée) du Conseil Permanent de Sécurité, il suffit de lire la déclaration finale du sommet qui n’a suscité en France aucune réaction politique solide, ni même significative :
Dans un environnement de sécurité radicalement bouleversé, ce sommet représente un jalon important dans le renforcement de notre Alliance et l’accélération de son adaptation. (…)
La Fédération de Russie constitue la menace la plus importante et la plus directe pour la sécurité des Alliés et pour la paix et la stabilité dans la zone euro-atlantique. (…)
Nous avons redéfini les fondements de notre posture de dissuasion et de défense. L’OTAN continuera de protéger les populations de ses pays membres et de défendre chaque centimètre carré du territoire de l’Alliance, et ce en permanence. Forts de cette posture récemment améliorée, nous allons renforcer de manière significative notre dispositif de dissuasion et de défense sur le long terme pour assurer la sécurité et la défense de tous les Alliés. Nous le ferons suivant notre approche à 360 degrés, sur terre, dans les airs, en mer, dans le cyber et dans l’espace, afin de pouvoir contrer toutes les menaces et relever tous les défis. (…) Nous nous réjouissons des contributions initiales proposées par des Alliés pour le nouveau modèle de forces de l’OTAN, qui permettront de renforcer et de moderniser sa structure de forces et de faire en sorte que nos plans militaires de nouvelle génération soient pourvus de ressources. Nous allons améliorer nos exercices de défense collective pour nous préparer à des opérations multidomaines de haute intensité et garantir à tous les Alliés un renforcement sur court préavis. Toutes ces mesures renforceront considérablement le dispositif de dissuasion et les défenses avancées de l’OTAN. Elles aideront à éviter toute agression contre le territoire de l’OTAN en empêchant tout adversaire potentiel d’atteindre ses objectifs.
Combien de citoyens appartenant à des pays membres de l’OTAN, combien de Français, savent que l’alliance a décidé de se « renforcer » face à la Russie, en redéfinissant sa « posture de dissuasion et de défense », ce qui passe par des « exercices de défense collective pour nous préparer à des opérations multidomaines de haute intensité » précisées comme étant « sur court préavis » ? Combien de citoyens ordinaires ont compris que ces expressions alambiquées signifient concrètement que nous nous préparons désormais à une guerre directe avec la Russie sur le sol européen ?
RépondreSupprimerEt si l’on parlait de « notre dissuasion » ?
Autre point là encore passé totalement sous silence par la presse subventionnée : la redéfinition du “concept stratégique” de l’OTAN, c’est-à-dire du service rendu par l’OTAN à ses membres, et surtout des cas où l’OTAN invoque son article 5 (du traité de l’Atlantique Nord), celui qui permet de déclarer la guerre à un ennemi.
Là encore, ce point fondamental est resté dans l’ombre, et nul organe de la presse subventionnée ne s’est senti obligé d’alerter l’opinion sur le point des décisions qui ont été prises à Madrid.
Pourtant, le texte proposé au public est désormais sans ambiguïté :
Le Conseil de l’Atlantique Nord pourrait décider d’invoquer cet article en réponse à une attaque armée. Un acte isolé de cybermalveillance, une opération hostile menée en direction de l’espace, depuis l’espace ou dans l’espace, ou une série de tels actes ou opérations, ou une opération hybride visant les Alliés pourrait atteindre le seuil correspondant à une attaque armée et conduire le Conseil de l’Atlantique Nord à invoquer l’article 5. L’Alliance est fondée sur le lien qui unit durablement l’Europe et l’Amérique du Nord par-delà l’Atlantique. L’OTAN reste l’unique forum transatlantique, essentiel et indispensable, pour les consultations, la coordination et l’action sur toutes les questions touchant à la sécurité des Alliés.
Il n’est pas inutile de prendre le temps de lire ce paragraphe qui dit deux choses essentielles.
En commençant par la fin, on comprend que « l’OTAN reste l’unique forum transatlantique » où se décide l’entrée en guerre contre un ennemi. Et comme l’OTAN est contrôlée par l’armée américaine, cette phrase rappelle que c’est l’armée américaine qui décide de déclarer la guerre sur le sol européen en impliquant des troupes européennes.
En outre, on découvre désormais que cette guerre peut être déclarée non seulement pour riposter à une attaque armée ennemie, mais aussi à la suite d’un « acte isolé de cybermalveillance ». Là encore, combien d’Européens ont compris que les généraux américains pourraient décider d’affronter la Russie depuis la Pologne dans l’hypothèse où une cyberattaque bloquerait l’économie américaine, et qui serait attribué à la Russie ?
Qui a bien compris cela en France ?
RépondreSupprimerQui a entendu que Paris pourrait être rasée par un missile russe ripostant à une attaque de l’OTAN décidée par des généraux américains selon qui la Russie bloquerait les ordinateurs de Wall Street ?
Ceux qui se souviennent des armes de destruction massive irakiennes inventées de toutes pièces par la CIA devraient désormais se demander s’ils sont prêts à vivre la même expérience que Bagdad dans des conditions exactement identiques.
La défense de la France livrée aux Américains
Dans les années 60, la France avait eu le courage de s’abstraire de cette terrible mécanique où des généraux américains décider de livrer une guerre « chaude », de « haute intensité » dit-on maintenant, sur notre sol, au besoin sans nous consulter.
Le temps a fait son œuvre et, désormais, le pantin Macron peut non seulement décider seul d’accepter cette situation effrayante, mais il ne trouve sur sa route aucun député, aucun sénateur, aucun journaliste, pour l’interpeler sur sa décision.
Cette solitude du pouvoir n’empêche pas l’OTAN de déclarer :
Grâce au lien et à l’engagement qui nous unissent, nous continuerons de sauvegarder la liberté et la sécurité de tous les pays de l’Alliance ainsi que nos valeurs démocratiques communes, maintenant et pour les générations futures.
https://aphadolie.com/2022/07/04/lotan-prepare-desormais-une-guerre-totale-de-leurope-contre-la-russie-eric-verhaeghe/
L'opposition des dictateurs psychopathes face à la Russie sait qu'elle n'a AUCUNE chance de gagner mais veut la fin du monde pour tous car personne ne s'en sortirait vivant d'une guerre mondiale.
SupprimerUkraine : La Guerre Hybride de l’OTAN – Lucien Cerise, Dr en philosophie
RépondreSupprimerpar Aphadolie
03/07/2022
- voir clip sur site -
Time : 27 mn 08 / [1/1]
L’opération militaire russe lancée le 24 février 2022 en Ukraine a des causes profondes qui remontent au moins à 2013. En effet, que s’est-il passé à Kiev, capitale de l’Ukraine, pendant l’hiver 2013-2014 ?
Nous disposons aujourd’hui du recul suffisant. La révolution de la place Maïdan, présentée tout d’abord comme une insurrection spontanée du peuple ukrainien, s’est avérée finalement n’être qu’une nouvelle opération coloniale anglo-américaine d’ingénierie sociale dirigée contre la Russie.
Or, si l’ingérence étrangère en Ukraine ne fait plus débat pour la « Révolution orange » de 2004, elle relève encore du tabou pour le mouvement « EuroMaïdan » qui s’achevait par un coup d’État en février 2014.
En dix ans, les méthodes putschistes se sont affinées, et surtout radicalisées dans leurs objectifs, de la révolution colorée à la guerre hybride conçue pour durer et se répandre partout. Ce processus de chaos contrôlé lancé par l’OTAN en Ukraine aboutira à une guerre civile menée contre la région du Donbass, obligeant la Russie à intervenir pour ne pas être frappée à son tour, conduisant à une escalade euro-atlantiste qui vient s’ajouter à toutes les menaces planant sur la civilisation européenne et au-delà.
Cultivant le pluralisme de l’information et puisant à des sources occidentales mais aussi ukrainiennes et russes, cet ouvrage essaye avant tout de répondre à une question : « Pourquoi les médias occidentaux nous demandent-ils avec tant d’insistance de soutenir l’Ukraine et de haïr la Russie ? », et reconstitue, ce faisant, la toile de fond historique et géopolitique de la situation.
A propos de Lucien Cerise :
Né en 1972, nom de plume Lucas Degryse. Lucien Cerise a une formation en sciences humaines et sociales, avec une spécialisation dans le langage et l’épistémologie. Il est également Docteur en philosophie, écrivain et conférencier. Il participe à la revue « Philosophoire ».
Venant de l’extrême gauche de l’échiquier politique, Lucien Cerise vote « Non » en 2005 au référendum sur le Traité établissant une Constitution pour l’Europe, comme 55% des votants.
Poussant sa réflexion plus loin, il s’intéresse aux notions de frontière et de limite, aussi bien dans le champ politique que dans les domaines psychologiques, éthiques et comportementaux. Il comprend que la question de la souveraineté nationale est essentielle.
Quand il voit au cours des années 2006 et 2007 ce que le Pouvoir fait du scrutin, cela le décide à s’engager dans les mouvements anti-Union européenne et antimondialistes, donc nationalistes et localistes.
L’autogestion signifie pour lui « liberté des peuples à disposer d’eux-mêmes » ainsi que « souveraineté » dans tous les sens du terme : alimentaire, énergétique, économique, politique et cognitive.
Au fil du temps et des rencontres, il s’est rendu compte que le clivage politique droite/gauche est en fait complètement bidon.
RépondreSupprimer« Archiviste de l’actualité de la géopolitique », selon Jean-Michel Vernochet, géopolitologue et journaliste.
A chacun de se faire sa propre opinion.
Source :
https://lephilosophoire.wordpress.com/
https://www.tvlibertes.com/zoom-lucien-cerise-ukraine-la-guerre-hybride-de-lotan
Livre :
« UKRAINE, la guerre hybride de l’OTAN » | Auteur : Lucien Cerise | Editeur : Culture Et Racines | Date de parution : 8 juin 2022
Note personnelle :
J’ai lu « Neuro-Pirates – Réflexions sur l’ingénierie sociale » et « La société de l’indécence : Publicité et genèse de la société de consommation » de Lucien Cerise ; et si je peux me permettre, je vous recommande ces deux livres.
Vidéo :
[1] Ukraine : la guerre hybride de l’OTAN – Le Zoom – Lucien Cerise – TVL – Chaîne officielle TVLibertés / YouTube
https://aphadolie.com/2022/07/03/ukraine-la-guerre-hybride-de-lotan-lucien-cerise-dr-en-philosophie/
L’Occident inquiet de la montée en puissance des BRICS
RépondreSupprimerPar Mikhail Gamandiy-Egorov
Mondialisation.ca,
04 juillet 2022
Longtemps stigmatisée par les prétendus experts occidentaux, l’organisation des BRICS inquiète vivement désormais les divers analystes issus de l’espace occidental qui la voient comme un bloc plus que jamais ouvertement opposé à l’Occident collectif.
«Un bloc anti-occidental émerge, plus puissant que jamais», titre Die Welt, l’un des principaux quotidiens allemands. L’auteur dudit article, Stefan Aust, affirme que si beaucoup en Allemagne pensent que la plupart des pays du monde soutiennent l’Ukraine, la vérité est pourtant toute autre: l’alliance anti-occidentale devient de plus en plus puissante, politiquement et économiquement – et continue de s’étendre à travers le monde.
Pour lui, le bloc anti-occidental est en train d’émerger, plus puissant qu’à n’importe quel moment de l’histoire. A ce titre, il serait fort juste effectivement de reprendre la piqure de rappel de Lijian Zhao – porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères qui dans sa publication récente indique justement à très juste titre que si la population totale des pays composant le G7 est d’un peu plus que 770 millions de personnes, celle des BRICS représente plus de 3 milliards d’habitants de la planète.
Le haut représentant chinois ne manque d’ailleurs pas d’ajouter que «la prochaine fois qu’ils parleront de communauté internationale – vous saurez ce que cela signifie». En effet, les événements en cours, y compris la propagande occidentale largement russophobe autour de l’Ukraine, ont le mérite d’avoir remis amplement les points sur les «i». A savoir que l’Occident collectif, bien que faisant bloc commun (en qualité des nostalgiques de l’unipolarité) représente dans les faits une infime partie de l’humanité, avec tout ce que cela implique.
Les Occidentaux remarquent aussi avec stupéfaction que malgré les sanctions occidentales visant la Russie, y compris à travers les systèmes de paiement comme Visa ou MasterCard – les Russes peuvent désormais utiliser le système chinois UnionPay (accepté dans 180 pays du monde), que le nombre de voitures et d’autres produits fabriqués en Chine augmente largement sur le marché russe, et que même l’Inde – que les Occidentaux voulaient à tout prix voir dans leur bloc – non seulement n’a pas condamné l’opération militaire spéciale de la Russie, mais au contraire augmente fort considérablement ses échanges avec Moscou. Y compris dans la sphère énergétique, comme Observateur Continental l’avait déjà abordé.
Aussi, les analystes occidentaux sont aujourd’hui forcés de reconnaitre, avec amertume bien évidemment, que leur suzerain en la qualité des USA – perd progressivement son influence sur les autres continents également. Y compris dans ce que Washington considérait comme son arrière-cour, à savoir l’Amérique latine, fait qu’Observateur Continental avait également abordé.
Les Occidentaux reconnaissent également qu’aucun pays d’Amérique latine et d’Afrique n’a soutenu les sanctions occidentales contre la Russie. Tandis qu’en Asie, ils peuvent se comptent sur les doigts d’une seule main: Japon, Corée du Sud, régime séparatiste de Taïwan.
Les analystes occidentaux commencent également à reconnaitre, alors que cela était prédit depuis de longues années, que les grandes organisations internationales non-occidentales telles que les BRICS ou encore l’Organisation de coopération de Shanghai, malgré leurs diversités culturelles et politiques – sont unis dans le rejet face la prétendue supériorité occidentale et des pseudo-valeurs que tente d’exporter l’establishment de l’Occident.
Il faudrait certainement également rappeler que l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS) et les BRICS – abritent ensemble 4 des 10 principales économies mondiales en termes de PIB à parité du pouvoir d’achat (Chine – 1ère, Inde – 3ème, Russie – 6ème, Brésil – 9ème) et quatre puissances nucléaires par la même occasion (Russie, Chine, Inde, Pakistan). Tout en représentant à eux seuls de-facto la moitié de la population terrestre et plus d’un quart du PIB mondial.
RépondreSupprimerCela alors que la seule et véritable communauté internationale garde les portes ouvertes pour d’autres nations. A ce titre l’Iran et l’Argentine ont annoncé leurs ambitions de rejoindre les BRICS. Dans le cas de l’Iran, il faudrait rappeler que son adhésion a été déjà validée à l’OCS en qualité de membre de plein droit. Et cela en tenant compte aussi que les présidents Vladimir Poutine et Xi Jinping souhaitent augmenter l’interaction entre les BRICS, l’OCS ou encore l’Union économique eurasiatique. Sans oublier les grands ensembles régionaux et continentaux, notamment africains et latino-américains.
Pour conclure, résumons. L’Occident comprend de plus en plus que l’ère de son extrême arrogance est bel et bien terminée. Et si avant il y avait encore une porte ouverte à devenir pour cet Occident collectif un membre responsable de la véritable communauté internationale, désormais c’est vraisemblablement trop tard. Le monde ne sera plus seulement multipolaire – il l’est déjà – mais bel et bien multipolaire post-occidental.
Car au-delà d’être effectivement une évidente minorité planétaire sur le plan démographique, sur le plan économique l’Occident ne cesse également de perdre sa position de dominant (dans le Top 10 mondial, désormais moins de la moitié sont des économies occidentales et dans un avenir assez proche elles seront encore moins représentées). Les technologies occidentales deviennent de plus en plus remplaçables, et mêmes perdent de l’importance face aux alternatives chinoises et indiennes pour ne citer qu’elles. Quant aux ressources naturelles – l’Occident n’en possède comme au Moyen-Age tout simplement pas, mis à part celles qu’il pille encore à nombre d’endroits de la planète.
Et dans cette réalité résumée – oui, l’Occident devra effectivement apprendre à faire profil bas face à l’écrasante majorité de la planète et de l’humanité.
https://www.mondialisation.ca/loccident-inquiet-de-la-montee-en-puissance-des-brics/5669515
Visualisation des hausses de taux d'intérêt par rapport au taux d'inflation, par pays
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 03 JUILLET 2022 - 22:35
Imaginez l'inflation élevée d'aujourd'hui comme une voiture dévalant une colline. Pour le ralentir, vous devez appuyer sur les freins. Dans ce cas, les « freins » sont des hausses de taux d'intérêt destinées à ralentir les dépenses. Cependant, comme l'explique Jenna Ross de Visual Capitalist, certaines banques centrales freinent plus rapidement que d'autres.
Ce graphique utilise les données des banques centrales et des sites Web du gouvernement pour montrer comment les taux d'intérêt directeurs et les taux d'inflation ont changé depuis le début de l'année. Il a été inspiré par un graphique créé par Macrobond.
- voir graph sur site -
Comment les hausses de taux d'intérêt combattent-elles l'inflation ?
Pour comprendre comment les taux d'intérêt influencent l'inflation, nous devons comprendre comment fonctionne l'inflation. L'inflation est le résultat de trop d'argent pour trop peu de biens. Au cours des derniers mois, cela s'est produit dans un contexte de forte augmentation de la demande et de perturbations de la chaîne d'approvisionnement, aggravées par l'invasion de l'Ukraine par la Russie.
Afin de lutter contre l'inflation, les banques centrales augmenteront leur taux directeur. Il s'agit du taux qu'ils facturent aux banques commerciales pour les prêts ou versent aux banques commerciales les dépôts. Les banques commerciales répercutent une partie de ces taux plus élevés sur leurs clients, ce qui réduit le pouvoir d'achat des entreprises et des consommateurs. Par exemple, il devient plus coûteux d'emprunter de l'argent pour une maison ou une voiture.
En fin de compte, les hausses de taux d'intérêt ralentissent les dépenses et encouragent l'épargne. Cela incite les entreprises à augmenter les prix à un rythme plus lent, ou à baisser les prix, pour stimuler la demande.
Hausse des taux d'intérêt et inflation
Alors que les taux d'inflation atteignent des sommets depuis plusieurs décennies dans certains pays, de nombreuses banques centrales ont annoncé des hausses de taux d'intérêt. Ci-dessous, nous montrons comment le taux d'inflation et le taux d'intérêt directeur ont changé pour certains pays et régions depuis janvier 2022. Les juridictions sont classées du taux d'inflation actuel le plus élevé au plus bas.
- voir liste sur site -
La zone euro a 3 taux directeurs ; les données ci-dessus représentent le taux des opérations principales de refinancement. Les données d'inflation datent de mai 2022, sauf pour la Nouvelle-Zélande et l'Australie, où les dernières données trimestrielles datent de mars 2022.
La Réserve fédérale américaine a été la plus agressive avec ses hausses de taux d'intérêt. Il a relevé son taux directeur de 1,5 % depuis janvier, la moitié de cette augmentation ayant eu lieu lors de la réunion de juin 2022. Jerome Powell, le président de la Réserve fédérale, a déclaré que le comité aimerait "faire un peu plus de chargement initial" pour ramener les taux directeurs à des niveaux normaux. L'action intervient alors que les États-Unis font face à leur taux d'inflation le plus élevé en 40 ans.
En revanche, l'Union européenne connaît une inflation de 8,1 % mais n'a pas encore relevé son taux directeur. La Banque centrale européenne a toutefois fourni des orientations claires. Il a l'intention d'augmenter les taux de 0,25 % en juillet, d'un incrément peut-être plus important en septembre, et avec des augmentations graduelles mais soutenues par la suite. Des orientations prospectives claires visent à aider les gens à prendre des décisions en matière de dépenses et d'investissement et à éviter les surprises qui pourraient perturber les marchés.
RépondreSupprimerStimuler les hausses de taux d'intérêt
Augmenter les taux d'intérêt est un exercice d'équilibre délicat. Si les banques centrales augmentent les taux trop rapidement, c'est comme serrer les freins d'une voiture qui dévale la pente : l'économie pourrait s'arrêter. Cela s'est produit aux États-Unis dans les années 1980 lorsque la Réserve fédérale, dirigée par le président Paul Volcker, a relevé le taux directeur à 20 %. L'économie est entrée en récession, bien que la politique monétaire agressive ait finalement maîtrisé l'inflation à deux chiffres.
Cependant, si les taux sont relevés trop lentement, l'inflation pourrait s'accélérer suffisamment pour qu'il devienne difficile de l'arrêter. Plus les hausses de prix élevées se prolongent, plus les anticipations d'inflation futures augmentent. Cela peut amener les gens à acheter plus en prévision d'une nouvelle hausse des prix, perpétuant ainsi une forte demande.
"Il y a toujours un risque d'aller trop loin ou de ne pas aller assez loin, et ça va être un jugement très difficile à porter."
- JEROME POWELL, PRÉSIDENT DE LA RÉSERVE FÉDÉRALE AMÉRICAINE
Il convient de noter que si les banques centrales peuvent influencer la demande par le biais des taux directeurs, ce n'est qu'un côté de l'équation. L'inflation est également causée par des problèmes de chaîne d'approvisionnement, un problème qui échappe plus ou moins au contrôle des banques centrales.
https://www.zerohedge.com/economics/visualizing-interest-rate-hikes-vs-inflation-rate-country
Un rapport divulgué révèle que la tour Eiffel est criblée de rouille et a désespérément besoin de réparations
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 05 JUILLET 2022 - 10:22
Le magazine français Marianne cite des rapports confidentiels qui montrent que la tour Eiffel se détériore et est criblée de rouille. La tour a désespérément besoin d'une réparation complète, pas seulement d'une rénovation esthétique.
"Si Gustave Eiffel visitait l'endroit, il aurait une crise cardiaque", a déclaré un responsable de la tour anonyme à Marianne.
La tour Eiffel, surnommée "La dame de fer" (français pour "Iron Lady"), a été construite de 1887 à 1889 comme pièce maîtresse de l'Exposition universelle de 1889. L'ingénieur Gustave Eiffel, dont l'entreprise a conçu et construit la tour, s'attendait à ce que la structure en treillis en fer forgé ne dure que deux décennies.
La tour est toujours debout plus de 130 ans plus tard, grâce à un entretien de routine et à une peinture fraîche. Mais maintenant, la structure de 7 300 tonnes avec plus de 2,5 m de rivets est en mauvais état et nécessite une restauration complète.
Un projet de 60 millions d'euros pour repeindre la tour est en cours avant les Jeux olympiques de 2024. Ce sera la 20e fois que la structure est repeinte depuis sa création.
"La peinture est l'ingrédient essentiel pour protéger une structure métallique et le soin avec lequel elle est réalisée est la seule garantie de sa longévité", écrivait alors Eiffel. "Le plus important est d'empêcher le début de la rouille."
Les experts ont dit à Marianne que le travail actuel n'est qu'un lifting cosmétique - ajoutant que certaines pièces métalliques doivent être remplacées.
Un rapport de 2014 des experts en peinture Expiris a révélé que la tour présentait des fissures et des problèmes de rouille.
"Même si l'état général de la protection anti-corrosion semble bon à l'œil, cela peut être trompeur", a déclaré Expiris à l'époque. "Il n'est pas envisageable d'envisager l'application d'une nouvelle couche de peinture qui ne peut qu'augmenter le risque d'un manque total d'adhérence."
- voir photo sur site -
Bernard Giovannoni, le responsable d'Expiris, a déclaré à Marianne : "Cela fait plusieurs années que je travaille sur la tour. En 2014, j'ai considéré qu'il y avait une extrême urgence à traiter la corrosion."
Un autre rapport de 2016 a révélé que la tour avait 884 défauts, dont 68 qui pourraient affecter "la durabilité" de la structure.
https://www.zerohedge.com/markets/leaked-report-reveals-eiffel-tower-riddled-rust-desperate-need-repair
Des manifestants néerlandais versent du fumier sur les bureaux du gouvernement au sujet des réglementations qui tuent l'industrie
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 05 JUILLET 2022 - 10:44
Les agriculteurs néerlandais qui protestent depuis des semaines contre le plan radical du gouvernement visant à réduire les émissions d'azote de 50 % - 95 % d'ici 2030 ont fait passer les choses au niveau supérieur - versant du fumier sur les bureaux du gouvernement en réponse au plan qui provoquerait un chaos généralisé - y compris la mort d'1/3 des fermes hollandaises.
Les manifestants énervés sont devenus agressifs avec la police la semaine dernière, les agriculteurs en colère exigeant que La Haye revienne sur son programme «vert».
Bloomberg a également rapporté la semaine dernière que plusieurs agriculteurs se sont présentés au parlement avec des vaches en remorque pour protester contre la politique – certains menaçant de les abattre sur place.
« Si les mesures d'azote sont adoptées, l'une de ces deux dames [vaches] ne rentrera pas chez elle mais recevra un billet aller simple pour l'abattoir », a déclaré l'agriculteur Koos Cromwijk dans une déclaration à l'agence de presse néerlandaise ANP devant le parlement (via The Signal de compteur).
La semaine dernière, des agriculteurs néerlandais ont également bloqué la frontière entre les Pays-Bas et l'Allemagne, tandis que des manifestations encore plus importantes sont prévues pour le 4 juillet.
Pendant ce temps, les agriculteurs espagnols se prononcent contre l'inflation du carburant et des biens essentiels.
Et qu'est-ce que le gouvernement néerlandais avait à dire sur la nouvelle loi ?
"Le message honnête … est que tous les agriculteurs ne peuvent pas continuer leur activité."
https://www.zerohedge.com/commodities/dutch-protesters-pour-manure-government-offices-over-industry-killing-regulations
Un couple de San Francisco écope d'une amende de 1 500 $ pour s'être garé dans sa propre allée
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 04 JUILLET 2022 - 23:45
Les choses semblent vraiment aller "en montée" à San Francisco. Un couple de la ville, qui s'est garé au même endroit "tous les jours depuis 36 ans", a reçu une contravention de 1 542 $ pour se garer dans sa propre allée ce mois-ci.
Comme beaucoup de gens, le couple vit sur une colline dans une ville où le stationnement est toujours rare. Le couple se gare dans le carpad devant leur maison - qui, selon eux, est là depuis la construction de la maison en 1910.
Mais maintenant, le service d'urbanisme dit qu'il est "illégal de se garer dans la cour avant d'une maison" et menace d'autres contraventions si le couple - Judy et Ed Craine - continue de se garer là où ils se trouvaient.
"Nous utilisons toujours le carport", a déclaré Judy à ABC 7 San Francisco. "Garé dans cette allée tous les jours et toutes les nuits", a ajouté Ed. "Nous avons reçu cet e-mail disant que nous ne pouvons plus nous garer dans le parking. J'ai dit quoi, c'est fou."
Judy a poursuivi: "C'était très surprenant, c'est le moins qu'on puisse dire. Je leur ai répondu en disant que je pensais que c'était une erreur."
Mais le service d'urbanisme a confirmé le billet. "Et si on nous retrouvait à stationner là-bas, ce serait une amende de 1 500 dollars", a ajouté Judy.
Ed a demandé: "Pourquoi retirez-vous quelque chose qui a une grande utilité ? Tout à coup, on vous dit que vous ne pouvez pas utiliser quelque chose que nous pourrions utiliser pendant des années. C'est, c'est surprenant. Inexplicable."
Le comité d'urbanisme a alors demandé au couple de prouver que le stationnement était une utilisation historique sur le terrain, alors le couple a commencé à creuser. "Nous pourrions bénéficier de droits acquis. Si nous leur montrons une photo historique montrant une voiture … ou un buggy tiré par des chevaux dans le carport", a déclaré Judy.
Et le couple a trouvé une photo de 1938 qui montre une voiture ou un buggy entrant dans son allée. Mais le service de planification leur a dit que la photo était trop floue et qu'elle ne pouvait pas être utilisée comme preuve.
Aujourd'hui, leur carpad est vide et le couple est obligé de se garer sur la colline. "Il nous incombe de prouver que nous sommes innocents... même si je ne me sens pas coupable", a conclu Judy.
https://www.zerohedge.com/markets/san-francisco-couple-gets-1500-fine-parking-their-own-driveway
Passer sa retraite au Vietnam : VISA, coût, avantages et inconvénients
RépondreSupprimerdimanche, 03 juillet 2022 04:11
Il y a deux ans, je vous partageais un article sur la retraite en Asie du Sud Est et en particulier comment cela fonctionne en Thaïlande, Cambodge et Vietnam.
Aujourd'hui, je reviens avec un nouvel épisode ou je discute avec un expatrié retraité au Vietnam. Cela fait 15 ans que J.R est en Asie, 9 ans au Vietnam et on echange ensemble sur les avantages et inconvénients de choisir le Vietnam comme pays ou s'installer pour y passer sa retraite.
- voir sur site -
(vidéo en anglais - sous-titrée en français)
Dans cette vidéo, nous discutons des problématiques et réalité d'une expatriation au Vietnam. En particulier, on fait le point sur les solutions et mises à jour en 2022 qu'il faut souligner. Pour dresser un état de la situation, nous échangeons sur :
les meilleures villes ou habiter au Vietnam,
la situation du visa retraite au Vietnam,
le coût de la vie et budget à prévoir,
assurances santé et fiscalité des pensions de retraite
Bref, à travers cette vidéo, vous aurez les idées précises sur la manière dont vous devez envisager la retraite au Vietnam en 2022 et les tendances qui se dessinent.
https://www.objectifeco.com/expatriation/mode-demploi/debuter-choisir-son-pays/retraite-vietnam.html
Shades of insane: Une monnaie carbone alimente la corruption, les banquiers et les bureaucrates
RépondreSupprimerJuly 5th, 2022
L'idée que nous pourrions faire fonctionner « une monnaie carbone » comme une norme monétaire internationale, et réparer notre climat en même temps, est un piège. Un bourbier scientifique épouse une fée économique et nous obtenons le marais pour mettre fin à tous les marais. Il ne donne pas de pouvoir au peuple, ni ne produit un mode d'échange honnête, ni n'arrête les tempêtes non plus. Une monnaie carbone ne fait qu'alimenter la corruption et des comités centralisés non élus et non responsables. Il sert les banquiers mondiaux qui négocient les transactions. C'est le papier-monnaie de l'enfer.
Où allons-nous commencer ? Un lingot de « crédits » carbone n'est pas un lingot d'or
Comment pèse-t-on un « crédit » ?. C'est souvent juste une nullité atmosphérique, une émission quelque chose qui aurait pu arriver mais ne s'est pas produit - selon quelqu'un en ligne pour gagner à le dire. Une monnaie mondiale du carbone serait instantanément sujette à des rortings massifs, à la corruption et à des caprices politiques. Le plus grand producteur de crédits carbone est l'océan Pacifique par temps froid. Doit-on lui ouvrir un compte à Genève ? Les eaux autour d'une nation produisent-elles ou consomment-elles des crédits carbone ? Qu'en est-il des récifs coralliens, des arbres, de l'écorce, des bactéries ? Dit qui? Nous ne pouvons pas le mesurer, donc tout est modélisation. Que les plus grands tricheurs gagnent et gouvernent le monde.
L'or, en revanche, est le dispositif anti-triche ultime. Les gouvernements ne peuvent pas l'imprimer, le falsifier, en changer la définition ou se disputer pour savoir s'il existe. Logiquement, nos papiers-monnaies sont tout simplement de la contrefaçon légalisée. Le marché mondial du carbone fiduciaire ne serait aussi sûr que son maillon le plus faible – pensez au Zimbabwe. Au moins certaines monnaies papier sont soutenues par le pouvoir fiscal des démocraties, ce qui ralentit la descente des monnaies papier à leur véritable valeur à long terme – zéro (pensez au MMT).
Ne vous méprenez pas - le marché du carbone est une monnaie fiduciaire, pas une marchandise
Bien que le nom ressemble exactement à un élément du tableau périodique, le marché du carbone ne compte pas le carbone, ni même le gaz carbonique. Il ne s'agit que d'une sous-partie fractionnaire, quelques pour cent de celle-ci, telle que définie par un comité de bureaucrates qui contrôlerait des milliards de dollars sur un coup de tête - et serait acheté pour seulement des millions ou des promesses d'un glorieux ambassadeur en or à New York ou à Pékin. Le marché du carbone n'inviterait pas seulement des échappatoires, il en serait une. Le vrai gaz carbonique fait tourner le monde, produit ou consommé par tous les êtres vivants sur Terre. Ce n'est qu'un petit acteur dans le contrôleur climatique mondial - largement dépassé par le Soleil, par les nuages, les cycles océaniques et qui sait quoi. Le carbone (sous forme de gaz carbonique) est la seule « marchandise » sur Terre pour laquelle aucun humain ne peut dire si le porte-conteneurs est plein ou vide. Ce certificat est-il authentique ? Cette intention était-elle légitime ? Est-ce que ce gaz carbonique est resté stocké dans les arbres ou sous la mer ? Bien sûr, si vous le dites, mais j'ai besoin d'une part de ce que vous obtenez ou je vais rendre public…
Il existe des obstacles majeurs à l'entrée sur le marché
RépondreSupprimerDans un marché efficace, il ne devrait y avoir aucun obstacle à l'entrée ou à la sortie. Pourtant, les plus grands acteurs d'un marché mondial du carbone ne peuvent pas jouer parce qu'ils n'ont pas de cerveau - comme les océans. Lesquels de ces acteurs les nations possèdent-elles avec un contrôle souverain, et lesquels ne les possèdent-elles pas ? Les jeux de pouvoir de l'ONU sur la définition des parties de la nature qui pourraient être incluses seront la lutte monétaire internationale du siècle, et elle ne finira jamais. Nous sommes des formes de vie carbonées. Allons-nous faire payer plus cher les personnes grasses pour leur droit de respirer ? Bien évidemment.
Tous les droits carbone sont-ils égaux ?
Qu'est-ce qu'une sécurité liée au carbone soutenue par le droit d'émettre une unité de gaz carbonique ?
Un Inuit gelé a-t-il le même droit d'émettre du carbone qu'une personne vivant sous les tropiques ? Les pays à forte croissance démographique gagnent-ils plus de droits à émettre ? Cela encouragerait-il la production de bébés dans un monde où certains affirment que plus de personnes signifie plus de pollution ? Ou allons-nous dans l'autre sens, où les humains ne comptent pas en soi, mais c'est le droit d'une nation par rapport aux émissions passées, ce qui décourage et punit les nations qui augmentent leur population ou autorisent l'immigration de masse. Devrions-nous évaluer le « droit » en fonction de la distance par rapport aux centres de population mondiaux, de la densité de population, de la latitude, de la note de « développement » proclamée par un indice quasi-modo de l'ONU, rorté dans le kazoo par des nations qui gagnent des votes via des pots-de-vin Belt-N-Road ou un effet de levier, ou devrions-nous simplement vendre aux enchères les droits des plus gros pots-de-vin ? Qu'est ce qui pourrait aller mal ? Et à qui appartient ce « nous » magique qui décide ? Je parie que ça ne m'inclut ni toi ni moi.
Est-ce un marché géré par Dieu…
Que se passe-t-il lorsqu'un incendie détruit une forêt ? Était-ce un acte de Dieu, ou un incendie criminel, ou un investissement ? Était-ce la guerre ? Les acteurs étrangers pourraient trouver toutes sortes de moyens pour détruire un compte national. La gestion des devises pourrait être un mégot de cigarette jeté par la fenêtre un jour d'été. Dans un autre pays, cela ressemble à un travail pour la CIA.
L'hypothèse du marché efficace suggère que les acheteurs et les vendeurs agissent sur toutes les informations disponibles. Mais quand les humains ne font que 4 % des émissions mondiales totales, et que 96 % de ce marché est contrôlé par le Soleil, ou le phytoplancton, ou les rayons cosmiques, ou qui diable sait ?
Les incitations perverses sont partout
Ce crédit carbone existe-t-il vraiment - cette usine n'a-t-elle pas été construite ou fermée, uniquement pour réclamer les crédits, ou a-t-elle créé plus de pollution afin de gagner plus en fermant qu'elle ne l'a fait pendant son fonctionnement ? Ces fraudes environnementales se sont déjà produites – voir HFC-23, demandez au président Xi.
Et puis il y a l'état déplorable de la comptabilité carbone. En 2015, le monde a trouvé 2,6 billions d'arbres non découverts. Malgré les satellites, 83 % des arbres de la Terre n'étaient ni comptés ni connus. Le monde entier devait des crédits carbone au reste du monde. C'est une mauvaise blague. Chaque année, de nouveaux « oopsies » de compte carbone apparaissent.
RépondreSupprimerEnsuite, il y a l'échec du modèle climatique, et même l'absence d'une bonne réponse à la question coûts-avantages d'« une unité d'émissions ». Les émissions de carbone augmentent la croissance des cultures, aident les plantes des zones arides à pousser et verdissent le monde. N'est-ce pas avantageux ? Les pays froids profitent du réchauffement. Vingt fois plus de personnes meurent dans le froid que dans la chaleur. Rien ne tue autant de personnes qu'un froid modéré. Le réchauffement climatique sauve 166 000 vies par an. Est-ce que ça vaut quelque chose ou est-ce que la mort est une bonne chose ? Les pays humides bénéficient du soleil et les pays secs bénéficient de la pluie, et aucun modèle climatique au monde ne peut prédire avec succès quoi que ce soit, sauf par hasard.
Une théorie de la monnaie carbone
Résumé
Nous proposons un nouveau système monétaire international basé sur la monnaie carbone (la norme carbone) pour lutter contre deux externalités pressantes dans le contexte économique et politique mondial actuel : les effets dangereux et irréversibles causés par les émissions de gaz à effet de serre sans contraintes et le coût pour le reste de la du monde en raison du fait que le dollar américain est la monnaie mondiale dominante et que la Réserve fédérale américaine met de plus en plus en œuvre des politiques monétaires non alignées sur l'intérêt commun mondial. Nous définissons la monnaie carbone comme des titres normalisés liés au carbone soutenus par le droit d'une unité d'émissions de carbone. Il peut être utilisé comme nouvelle monnaie de réserve mondiale et fonctionne comme une unité de compte internationale. Grâce au commerce de la monnaie carbone, des prix efficaces du carbone sont établis. En intégrant le coût des émissions de carbone dans la prise de décision, la tarification du carbone incite les pays à poursuivre une croissance à faible émission de carbone, ce qui contribue à atteindre l'objectif mondial de zéro émission nette fixé dans le cadre de l'Accord de Paris de 2015. Dans le cadre de la norme carbone, les chocs externes sur le système financier international proviendraient des variations des émissions de carbone plutôt que des politiques monétaires américaines. Ainsi, l’engagement des autorités monétaires à maintenir des taux de change stables s’accompagne de politiques monétaires visant à poursuivre une croissance sobre en carbone. Le nouveau système pose potentiellement une solution plausible au trilemme mundellien classique car les objectifs de maintien d'un taux de change fixe et de mise en œuvre de la politique monétaire ne font plus qu'un. Bien que plusieurs obstacles limitent le lancement immédiat de la monnaie carbone, la norme carbone pose un système monétaire international réalisable à mesure que la campagne mondiale pour atteindre la neutralité carbone progresse.
Table, Carbon Currency, base monetary systems.
….
Utilisons un moyen d'échange qui n'est pas destiné à être un moyen d'échange, il est "destiné" à contrôler la météo ?
RépondreSupprimer3.4. Autres avantages : la monnaie carbone comme moyen d'échange et réserve de valeur
Comme discuté précédemment, nous n'insistons pas beaucoup sur la fonction de la monnaie carbone en tant que moyen d'échange car ce n'est pas la principale motivation de l'introduction de la monnaie carbone dans le système monétaire international. Comme la monnaie de facturation s'est avérée importante, nous soutenons que la monnaie carbone pourrait également être utilisée dans le commerce international. Le système commercial actuel a le dollar américain comme monnaie de facturation dominante, et des études théoriques et empiriques [2] ont montré qu'une appréciation du dollar américain entraînerait une baisse du volume des échanges du reste du monde.
Et par définition, l'appréciation du « dollar » du crédit carbone entraînerait une baisse du volume des échanges dans toutes les nations de la Terre. Les émissions de dioxyde de carbone sont liées au PIB. Plus les nations émettent, plus elles sont riches.
- voir graph sur site -
Émissions de gaz carbonique par habitant par rapport au PIB par habitant, 2018
OWID |
Rien dans une monnaie carbone n'a de sens, sauf pour les banquiers et les bureaucrates mondiaux. Certains partis vont s'enrichir et devenir puissants en utilisant une monnaie carbone, mais ils ne nous incluent pas.
REFERENCE
Liu et al (2022) A theory of carbon currency, https://doi.org/10.1016/j.fmre.2022.02.007
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2667325822001182
https://joannenova.com.au/2022/07/shades-of-insane-a-carbon-currency-feeds-corruption-bankers-and-bureaucrats/
Biden vise à fermer le plus grand champ pétrolifère des États-Unis dans un contexte de prix du gaz record
RépondreSupprimerMardi 05 juillet 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) En représailles contre la récente décision de la Cour suprême d'empêcher l'Agence de protection de l'environnement (EPA) de fermer de force l'industrie américaine des combustibles fossiles - au moins au degré et au rythme auxquels cela se produit actuellement - le régime Biden menace maintenant fermer le plus grand gisement de pétrole du pays.
Selon des rapports, l'EPA se prépare à citer le champ pétrolifère basé au Texas, connu sous le nom de bassin permien, pour avoir soi-disant violé les «normes de pollution à l'ozone». Cette citation pourrait être la décision qui enfonce un dernier clou dans le cercueil des dernières traces d'indépendance énergétique de l'Amérique, ce qui est exactement ce que le régime Biden veut faire.
"Selon le bureau du gouverneur du Texas, les réglementations proposées affecteront directement le bassin permien, le plus grand champ pétrolifère des États-Unis, représentant 95 000 000 de gallons d'essence par jour ou 40 % du pétrole produit dans le pays", explique un rapport sur le situation.
"Ce ne serait qu'un mouvement de plus de l'administration de Biden pour avoir un impact sur la vie de chaque Américain en réduisant l'approvisionnement en carburant et en faisant grimper les prix de l'essence bien au-delà du record de Biden de 5 dollars le gallon."
L'ancien chef d'état-major de l'EPA, Mandy Gunasekara, a déclaré aux journalistes cette semaine que même si les Américains paient les prix du gaz les plus élevés de l'histoire de notre pays, à la mort de beaucoup d'entre eux et de leurs familles, "l'équipe Biden continue de doubler ses engagements politiques pour 'mettre fin à tous les combustibles fossiles.'
Biden a promis un hiver froid et sombre – et il arrive bientôt
Une grande partie de l'Amérique semble endormie au volant en reconnaissant que nos vies et nos moyens de subsistance sont maintenant utilisés comme fourrage politique par la gauche épris de « vert » pour revenir à la Cour suprême pour avoir visé l'agenda du changement climatique.
Si le bassin permien est fermé par Biden et ses copains, vous pouvez être sûr que les prix de l'énergie ressembleront à une bonne affaire plus tard, surtout en hiver, lorsque tout le monde commencera à faire fonctionner ses appareils de chauffage.
"Ce sera un hiver froid et mortel aux États-Unis", a écrit un commentateur sur 100percentfedup.com.
RépondreSupprimerSi vous pensez que l'inflation est mauvaise maintenant, a ajouté un autre, attendez simplement parce que vous n'avez encore rien vu.
"Ils veulent ça pour nous et je n'exagère pas : une vie de subsistance !" cette personne a ajouté. « Biden a également fait campagne pour augmenter les impôts ! Qui l'arrête ?"
La réponse, bien sûr, est personne. Personne n'arrête le régime de Biden parce que l'Amérique est devenue trop divisée (et émotive) et trop distraite pour faire quoi que ce soit, sauf une descente continue dans le totalitarisme absolu.
Quelqu'un d'autre a déclaré qu'il aimait beaucoup plus le président russe Vladimir Poutine qu'il ne pourrait jamais aimer Biden, même si ce dernier est censé être notre président.
"Les deux parties sont des ordures", a ajouté cette personne. « Biden est un fou total. J'aimerais lui demander face à face ce que ça fait d'être le pire président que ce pays ait jamais eu.
D'autres ont souligné que les démocrates achètent de l'essence tout comme les républicains, et qu'il est choquant de voir la gauche ignorer la plupart du temps notre destruction à tous aux mains du régime Biden.
"Les gens n'ont-ils pas cru Biden lorsqu'il a promis de mettre fin au pétrole?" a demandé quelqu'un d'autre rhétoriquement. « Pensiez-vous vraiment qu'il n'essaierait pas de prendre votre AR-15 ? Bienvenue à la fin, Amérique.
"Combien de temps cela va-t-il encore durer ?" a demandé à un autre le règne méchant de Biden sur le pays. "Ce vieil homme dément, cadavérique et faible d'esprit est une menace pour notre pays."
Vous trouverez plus d'informations sur la guerre du régime de Biden contre un carburant bon marché et abondant sur GreenTyranny.news.
Les sources de cet article incluent :
100percentfedup.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-05-biden-to-shutter-largest-oil-field-gas-prices.html
Conseiller de Biden sur les prix scandaleux de l'essence : "Il s'agit de l'avenir de l'ordre mondial libéral et nous devons rester fermes" [VIDEO]
RépondreSupprimerMardi 05 juillet 2022
par : Rédacteurs en chef
(Natural News) (Article de Jesse Martin republié de 100PercentFedUp.com)
L'administration Biden s'est continuellement montrée insensible aux familles de la classe ouvrière. Joe Biden lui-même semble souvent agacé lorsqu'il est confronté à l'impact négatif que ses politiques ont eu sur les Américains ordinaires, et toute son administration tente de le couvrir.
Vendredi, le conseiller de Biden et directeur du Conseil économique national, Brian Deese, est allé plus loin dans une gifle au visage de l'Amérique ouvrière.
Lorsqu'on lui a demandé ce qu'il dirait aux familles qui ont du mal à payer 4,85 $ ou plus à la pompe pendant des mois, voire des années, voici sa réponse :
"Il s'agit de l'avenir de l'ordre mondial libéral, et nous devons rester fermes." Quel que soit « l'ordre mondial libéral », Deese précise qu'il ne s'agit pas d'aider la classe ouvrière. Il ne s'agit pas d'aider les Américains. Et ce n'est pas une question d'abordabilité pour l'un ou l'autre groupe.
Cela survient après que Biden a déclaré que les conducteurs américains paieraient une prime à la pompe pour "aussi longtemps qu'il le faudra". Tant que ça prend, justement ? Tuer les combustibles fossiles pour mettre en œuvre un programme vert, très probablement.
L'administration Biden ne se soucie pas moins des problèmes de l'Américain moyen, des problèmes mêmes qu'ils ont eux-mêmes causés. Au lieu de cela, leur programme est axé sur le service de l'avenir de « l'ordre mondial libéral ». Écraser la résistance et étendre leur propre pouvoir tout en manipulant le pays avec une forte inflation pour tuer les combustibles fossiles. Ce régime ne se soucie pas de qui ça fait mal ou comment ça leur fait mal.
Cependant, qu'ils demandent aux Américains qu'ils blessent avec leur programme de « rester fermes » pour faire avancer un programme destiné à leur faire du mal est aussi surréaliste que rageant. De plus, les électeurs libéraux blessés par cela blâment toujours tout le monde sauf le parti au pouvoir alors qu'ils attendent avec impatience ce nouvel ordre mondial auquel Deese fait référence.
En savoir plus sur : 100PercentFedUp.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-05-biden-advisor-on-outrageous-gas-prices.html
"TruckPOCALYPSE" commence en Californie cette semaine alors que 70 000 camionneurs sont forcés de quitter les routes en raison de l'idiocratie démocrate
RépondreSupprimermardi 05 juillet 2022
par : Mike Adams
(Natural News) La California Truckers Association avertit que 70 000 propriétaires-exploitants de camions indépendants seront retirés des routes de Californie plus tard cette semaine alors qu'une nouvelle loi draconienne, "AB-5", entre en vigueur : (c'est nous qui soulignons)
En plus de l'impact direct sur les 70 000 propriétaires-exploitants de Californie qui ont sept jours pour mettre fin à des entreprises indépendantes de longue date, l'impact du retrait de dizaines de milliers de camionneurs de la route aura des répercussions dévastatrices sur une chaîne d'approvisionnement déjà fragile, augmentant les coûts et aggravation de l'inflation galopante.
La nouvelle loi, adoptée et signée par les démocrates, interdit essentiellement aux entrepreneurs indépendants d'exploiter des camions de transport dans l'État de Californie. Lorsqu'il entrera en vigueur plus tard cette semaine – après que la Cour suprême des États-Unis a refusé d'intervenir la semaine dernière – la Californie sera frappée par une fermeture «truckpocalypse» de la capacité de transport.
Alors que certaines entreprises de transport maintiennent des employés à temps plein pour exploiter des plates-formes longue distance, de nombreux conducteurs sont des «propriétaires-exploitants» qui possèdent leurs propres camions et qui décrochent des emplois contractuels auprès des centaines d'entreprises d'expédition et de transport qui opèrent en Californie. Ces propriétaires-exploitants paient leurs propres impôts, achètent leur propre assurance maladie et couvrent leurs propres frais de carburant. Les démocrates de Californie, cependant, pensent que la liberté indépendante des camionneurs devrait être criminalisée, car ils veulent que tous les chauffeurs soient des travailleurs syndiqués dans des organisations syndicales corrompues que les démocrates utilisent régulièrement pour des opérations de blanchiment d'argent (les démocrates votent pour attribuer des fonds publics aux syndicats, et les syndicats accepter de rembourser les dons de campagne aux démocrates).
Ils ont donc interdit les entrepreneurs indépendants dans l'industrie du camionnage. La nouvelle loi entre en vigueur cette semaine et devrait entraîner des embouteillages généralisés, des augmentations de coûts et des retards dans les transports à travers l'Amérique. Dites bonjour à l'inflation alimentaire accélérée...
Effondrement catastrophique du camionnage et du transport en Californie
Comme le rapporte FreightWaves.com, les implications de cette loi seront tout simplement catastrophiques pour les infrastructures de transport à l'intérieur et à l'extérieur de la Californie :
Matt Schrap, PDG de la Harbour Trucking Association, qui représente les entreprises de camionnage, a publié une déclaration brève mais sévère en réponse à la décision de la Haute Cour.
"Il est extrêmement regrettable que cette Cour n'ait pas pu voir à travers son propre programme politique pour identifier la préemption évidente qui existe dans le cadre du F4A", a-t-il écrit dans un e-mail à FreightWaves. "Cette décision aura des impacts considérables qui bouleverseront l'industrie telle que nous la connaissons. Des dizaines de milliers de camionneurs seront chassés de relations d'affaires établies d'ici une semaine. Sans aucun doute, cela mettra encore plus à rude épreuve la chaîne d'approvisionnement.
Non seulement les camions de transport transportent de la nourriture et des biens de consommation à destination et en provenance de la Californie, mais ils distribuent régulièrement des conteneurs de fret maritime des ports californiens vers des destinations intérieures. Les conteneurs passent des navires aux camions, et ces camions les amènent aux centres de distribution de détail ou aux fabricants nationaux pour le déchargement.
RépondreSupprimerEn vertu de la nouvelle loi californienne AB5, le défi logistique de la réception de marchandises transportées par route va être un cauchemar. À cela s'ajoute le fait que le chemin de fer Union Pacific réduit déjà le nombre de wagons qu'il transporte pour ses clients existants (tels que CF Industries, un fabricant d'engrais), ce qui signifie que les chemins de fer n'ont pas de capacité excédentaire pour prendre le relais du camionnage.
L'infrastructure logistique américaine s'effondre. Et avec une pénurie d'additifs pour l'huile de moteur diesel et qui devrait s'épuiser dans environ 7 semaines, une énorme question plane sur l'Amérique : comment la nourriture, le charbon, les pièces détachées et les biens de consommation seront-ils livrés n'importe où ? Si les camionneurs sont bloqués sur les autoroutes de Californie et que l'huile pour moteur diesel s'épuise, que les chemins de fer réduisent les wagons et que le carburant diesel lui-même s'épuise dans certaines régions, le scénario pour la seconde moitié de 2022 ne semble pas très rose. ce point.
Les élections volées ont des conséquences catastrophiques.
Et les Preppers sont les nouveaux génies.
Obtenez plus de détails sur tout cela et bien plus encore dans le podcast Situation Update d'aujourd'hui :
Brighteon.com/5b129bb4-9a37-4451-868f-a8453d16dd10
Découvrez chaque jour plus de podcasts riches en informations, de rapports d'informations brutes et d'interviews :
https://www.brighteon.com/channels/HRreport
Suivez-moi sur:
Brighteon.social : Brighteon.social/@HealthRanger (mes dernières nouvelles
https://www.naturalnews.com/2022-07-05-truckpocalypse-begins-in-california-truckers-forced-off-the-roads.html
Contournement des sanctions : les expéditeurs de pétrole cachent le brut russe en « s'assombrissant » pour éviter les réactions négatives
RépondreSupprimerMardi 05 juillet 2022
par : JD Heyes
(Natural News) Celui qui dirige la politique étrangère de Joe Biden est un amateur qui n'a aucune idée du fonctionnement du monde réel.
Cette personne ne serait pas le secrétaire d'État Antony Blinken, qui est probablement l'une des personnes les moins compétentes à avoir été nommée à ce poste. Il s'agit plus probablement de Susan Rice, l'ancienne conseillère à la sécurité nationale du président Obama, qui travaille toujours pour lui et met essentiellement en œuvre ses politiques par l'intermédiaire de notre président fantoche sur la démence.
Cela expliquerait pourquoi les États-Unis et leurs laquais occidentaux ont imposé des "sanctions économiques" à la Russie après son invasion de l'Ukraine sans disposer de véritables mécanismes d'application.
Le plus gros produit d'exportation de Moscou, le pétrole, est inclus dans un panier de biens, de services et de produits de base russes prétendument sanctionnés par l'Occident. Seulement, le rusé président russe Vladimir Poutine et son équipe de politique étrangère extrêmement mondaine ont trouvé un moyen de contourner les sanctions.
Selon Business Insider, les expéditeurs de pétrole continuent de s'attaquer au brut russe en « se rendant sombre », notamment en payant le pétrole en devise chinoise, le yuan, et en échangeant des armes contre du brut russe :
Les expéditeurs de pétrole utilisent plusieurs tactiques pour dissimuler que leurs cargaisons de brut proviennent de Russie, ont déclaré des sources au Guardian, alors que l'Europe et les États-Unis tentent d'endiguer les importations.
Dans le même temps, les inquiétudes grandissent quant au fait que l'Inde, qui s'est emparée du pétrole russe à des prix réduits, pourrait être utilisée comme une "porte dérobée" pour que ces approvisionnements entrent en Europe, a rapporté dimanche le Guardian.
Une solution de contournement utilisée pour masquer l'origine du pétrole russe consiste à payer en yuan chinois plutôt qu'en dollar américain, la monnaie standard pour le commerce, ont indiqué des sources au journal. Alternativement, les vendeurs échangeront du pétrole russe contre des biens comme de l'or, de la nourriture ou des armes au lieu d'une devise.
Le commerce entre le yuan et la monnaie russe, le rouble, a monté en flèche de près de 1 100 % depuis que la Russie a envahi l'Ukraine le 24 février. Cela est principalement considéré comme un moyen pour les deux grandes puissances de renforcer leur alliance et de renforcer leurs liens comme un moyen d'affaiblir les États-Unis et Influence mondiale occidentale.
"Un autre stratagème de masquage consiste à effectuer des transferts de navire à navire de pétrole russe en haute mer, ce qui implique généralement qu'un navire russe décharge du pétrole sur un autre navire d'une partie neutre", a rapporté Business Insider, citant une vieille tactique anti-sanctions qui est utilisé depuis des décennies. "Cela devient de plus en plus une pratique courante comme moyen d'entraver le suivi et alors que les acheteurs essaient de garder le silence sur toute affiliation à Moscou, frappée par des sanctions."
Afin d'effectuer de tels transferts, les navires « deviennent sombres », ce qui signifie que les expéditeurs désactivent les systèmes d'identification des pétroliers afin de rendre plus difficile le suivi de leurs mouvements.
RépondreSupprimer"Si un pays ou un opérateur pétrolier veut cacher la source du brut ou des produits pétroliers, il peut très facilement le faire", a déclaré au Guardian Ajay Parmar, analyste du marché pétrolier chez ICIS.
Il n'est pas illégal de faire le commerce du pétrole russe, mais cela sape les efforts de l'Occident pour nuire financièrement à Moscou, de sorte qu'il est plus difficile de financer la guerre en cours en Ukraine. L'Union européenne avait précédemment accepté d'interdire les importations maritimes de pétrole russe d'ici la fin de l'année, tandis que les États-Unis et le Royaume-Uni ont également imposé leurs propres régimes de sanctions.
Cependant, la Grèce, Malte et Chypre ont doublé la quantité de pétrole russe qu'ils expédient depuis le début du conflit. En outre, les produits pétroliers russes se retrouvent très probablement aux États-Unis après avoir été raffinés en Inde, notent les rapports.
On craint de plus en plus que la même chose se produise en Europe, car l'Inde est utilisée par Moscou comme une porte dérobée. L'Inde et la Chine ont également augmenté leurs achats de brut russe à des prix avantageux au cours des derniers mois et représentent désormais, ensemble, près de 50 % des exportations de pétrole russe par voie maritime.
Nirmala Sitharaman, ministre des Finances de l'Inde, a défendu le nombre massif d'achats de pétrole russes. Il a déclaré que son gouvernement agissait simplement dans l'intérêt de l'économie indienne, selon le Wall Street Journal.
Les sources comprennent :
WSJ.com
BusinessInsider.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-05-oil-shippers-hiding-russian-crude-going-dark-avoid-backlash-sanctions.html
Terrible nouvelle pour l’Occident : la Suisse refuse que l’argent russe gelé soit utilisé pour reconstruire l’Ukraine
RépondreSupprimerBy Cheikh Dieng
6 juillet 2022
En marge de la Conférence sur la reconstruction de l’Ukraine qui s’est ouverte ce 04 juillet à Lugano en Suisse, le président suisse Ignazio Cassis s’est fermement opposé à l’idée de financer la reconstruction de l’Ukraine avec de l’argent russe confisqué par l’Occident et gelé dans des banques européennes et américaines. Pour le président suisse, ce serait une violation totale des droits à la propriété
Une douche froide. Si en Occident, de grandes démocraties ne se sont pas gênées à geler des avoirs russes détenus dans leurs banques, l’idée de reverser cet argent à l’Ukraine est tout de même loin de faire l’unanimité. C’est du moins ce que nous apprend le média The Guardian ce 05 juillet.
En effet, d’après ce média anglais, le président suisse, Ignazio Cassis qui a présidé ce 05 juillet la Conférence sur la reconstruction de l’Ukraine à Lugano, s’est catégoriquement opposé à l’idée de transférer les avoirs russes gelés dans des banques occidentales dans les caisses de l’Etat d’Ukrainien.
Pour lui, ce serait une violation flagrante du droit à la propriété, très cher à l’Occident. “Le droit à la propriété est un droit fondamental, un droit de l’homme”, a-t-il martelé. Il faut dire que l’idée de financer la reconstruction de l’Ukraine par l’argent russe a longtemps été défendue par l’élite ukrainienne pro-Occidentale.
D’ailleurs, la dernière suggestion allant dans ce sens a été formulée par Denys Schmygal, premier ministre ukrainienne. “Nous croyons que la source principale de la reconstruction devrait provenir des biens confisqués à la Russie et à l’oligarchie russe. Les autorités russes ont déclenché cette guerre sanglante et devront être tenues pour responsables”, a déclaré Schmygal.
La position susse sur cette question devrait faire plaisir à la Russie dont le porte-parole du gouvernement, Dmitry Peskov, a déjà fait savoir que le gel des biens russes “tordent toutes les normes légales”. Pour Serguei Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères, cette confiscation des biens russes n’est rien d’autre que du “vol”.
Pour rappel, entre 300 et 500 milliards de dollars d’avoirs russes ont été confisqués dans le monde depuis le début de l’invasion de l’Ukraine par l’armée russe survenue le 24 février 2022.
https://lecourrier-du-soir.com/terrible-nouvelle-pour-loccident-la-suisse-refuse-que-largent-russe-gele-soit-utilise-pour-reconstruire-lukraine/