Francis Gruzelle
Journaliste
le 13.07.2022
Légende photo : Agnė Bilotaitė, la ministre lituanienne de l’Intérieur, dit "stop" à l'invasion migratoire et aux délires des juges de la Cour de Justice de l’Union européenne.
Un physique de Viking, un discours de combattante, Agnė Bilotaitė, la ministre lituanienne de l’Intérieur, indique ce jour que "son pays ne laissera pas entrer un seul migrant". Pour préserver la population nordique de ce petit pays balte. Dans ce combat de civilisation engagé depuis plusieurs années par son pays, elle réaffirme ce 13 juillet 2022 "Que la Lituanie ignorera les injonctions de l’UE et continuera à refouler tous les migrants, à leur refuser l’asile, ainsi qu’à les détenir s’ils franchissent la frontière....". Le discours est clair, net, précis, car Agnė Bilotaitė, à la différence de ses homologues des autres pays européens, entend gagner la bataille contre l'invasion migratoire.
Son intervention musclée fait suite à un nouveau dérapage de l'union européenne, et à une décision de la Cour de Justice de l’Union européenne qui vient de condamner la Lituanie. La juridiction "fustige" la législation de la Lituanie et conclu "que la loi lituanienne, qui permet de refuser à une personne demandant une protection internationale le droit d’asile et de la placer en détention automatique au seul motif qu’elle a franchi illégalement la frontière, n’est pas compatible avec la législation de l’UE".
Par la voix de sa ministre de l'intérieur Agnė Bilotaitė le gouvernement lituanien insiste sur le fait que la Lituanie ne changera pas sa politique d’immigration malgré les divergences avec le droit européen.
"La Lituanie doit se défendre et ne reviendra pas sur ses politiques concernant les migrants et les demandeurs d’asile" ajoute la ministre de l’Intérieur du pays Agnė Bilotaitė, à la suite du dernier arrêt rendu de la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), considéré comme une provocation par Vilnius.
Agnė Bilotaitė est ferme et catégorique : “La Lituanie a pris toutes les décisions et mesures importantes pour protéger sa sécurité nationale et la frontière extérieure de l’Union européenne, et à l’heure actuelle, nous ne voyons pas la situation changer de manière significative au point de pouvoir revenir sur nos décisions. La Lituanie se défendra certainement si de telles menaces persistent”.
La Lituanie a connu une crise migratoire l’été dernier lorsque plusieurs milliers de migrants, principalement originaires du Moyen-Orient et d’Afrique, ont traversé illégalement le pays depuis la Biélorussie.
Un peuple nordique avide de liberté, soucieux de préserver sa culture et son identité
Peu d'européens se souviennent que la Lituanie, annexée par l'URSS en 1940, fut la première république soviétique à déclarer son indépendance, le 11 mars 19906, deux années avant la disparition de l'URSS. Le 20 avril 1990, les Soviétiques ont imposé en représailles un blocus économique en cessant de livrer des matières premières (principalement du pétrole) à la Lituanie.
Progressivement, les relations économiques ont ensuite été rétablies. Cependant, les relations se sont dégradées à nouveau en janvier 1991. Des tentatives de coup d'État sont menées par les forces armées soviétiques, et le KGB. Le pouvoir russe pensait que la situation économique dégradée du pays constituait un contexte favorable au succès de ces tentatives et qu'elles obtiendrait un réel soutien populaire.
Des habitants issus de toute la Lituanie ont alors afflué vers Vilnius pour défendre le Conseil suprême de la République de Lituanie et l'indépendance.
Autant dire qu'un peuple, qui s'est opposé à la puissante armée rouge et au KGB, n'a pas l'intention de se laisser "emmerder" par quelques milliers de migrants et une poignée de juges européens à la solde du grand remplacement. Agnė Bilotaitė est là pour le rappeller à une europe décadente et suicidaire.
Francis GRUZELLE
Journaliste et écrivain
Carte de Presse 55411
https://lesobservateurs.ch/2022/07/13/bloquer-linvasion-migratoire-lexemple-de-la-lituanie/
L'invasion étrangère de migrants payés très cher pour venir et rester est faite pour combler les trous faits par la mort de millions de personnes piquées sans consentement éclairé sur l'expérimentation génique d'essai (CRIMINELLEMENT appelée 'vaccin') !
RépondreSupprimerL'ancien vice-président marketing de Pfizer explique comment Big Pharma contrôle l'establishment médical
RépondreSupprimerPremière leçon : Comment transformer une université en une aile de relations publiques d'une multinationale
Commencez avec beaucoup d'argent
July 17th, 2022
Big Pharma achète les critiques des médias avec 15 milliards de dollars par an, et ils achètent également les agences de surveillance du gouvernement. Mais ils entourent également leurs tentacules de poulpe autour des tours académiques. Et tout est (surtout) légal — en effet, les entreprises peuvent se vanter de l'argent qu'elles donnent pour la recherche...
Le Dr Peter Rost explique que les grandes sociétés multinationales achètent de l'influence sous tous les angles. Tout d'abord, ils versent des subventions pour la recherche. Ils aident à développer la recherche avec les universitaires. Ils paient également les individus directement - ils leur versent des frais de conférencier, de 1 000 $ à 2 000 $ par jour.
Vous établissez des amis. Vous les rendez redevables à vous…
Vous leur donnez de l'argent pour des programmes, des programmes éducatifs, ceux dont ils tirent profit.
Ils sont censés être des tiers et indépendants de l'entreprise, mais tout le monde sait que les institutions avec lesquelles Big Pharma est plus généreuse sont les mêmes institutions qui disent les choses dont l'entreprise est heureuse.
Même si vous pouvez officiellement prétendre - c'est sans lien de dépendance - ils peuvent en faire ce qu'ils veulent. La réalité est qu'ils ne continueront pas à recevoir de l'argent s'ils ne disent pas ce que vous voulez qu'ils disent.
Ils le savent, vous le savez, c'est seulement peut-être le public qui ne le sait pas.
- voir clip sur site -
Ainsi, les expériences maladroites ne commencent jamais et les résultats inexplicables restent dans le bureau. Les jeunes chercheurs peuvent même ne pas être conscients du voile qui filtre le travail. Ils proposent une idée géniale, le chercheur principal verse de l'eau froide dessus, car cela semble un peu risqué ou controversé, et les vraies questions ne sont jamais posées. Et dans les salons de thé tout le monde murmure d'accord.
Au mieux, nos institutions publiques publient des communiqués de presse qui ne sont qu'à moitié vrais et surtout pas ce que nous avons vraiment besoin de savoir.
Au pire, ce sont des machines publicitaires déguisées. Ils semblent servir le public alors qu'ils le trahissent. Il est sûr et efficace.
La grande science exige un niveau suprême d'honnêteté.
https://joannenova.com.au/2022/07/former-pfizer-marketing-vice-president-explains-how-big-pharma-controls-the-medical-establishment/
Injection Covid: Cri d’alerte des médecins Nicole et Gérard Delépine. Lettre ouverte à Mesdames les sénatrices et Messieurs sénateurs
RépondreSupprimerPar Dre Nicole Delépine et Dr Gérard Delépine
Mondialisation.ca,
16 juillet 2022
Médecins cancérologues depuis plus de quarante ans, nous venons une nouvelle fois solliciter votre attention, quant au nouveau vote prévu sur la loi anticovid, et en particulier le pass sanitaire et la gravité d’une incitation directe ou indirecte à la vaccination des plus jeunes.
Nous avons été heureux que des députés de différentes mouvances s’unissent pour traduire les remontées du terrain, le vécu de leurs administrés terriblement marqués par l’échec évident du pseudo vaccin et des passes dont ils refusent la prolongation. De nombreux citoyens avaient cédé aux espoirs d’une solution efficace et durable, pour rester dans le groupe des non complotistes tant vilipendés et gagner leur vie (beaucoup de malgré eux..).
Ils sont déçus par l’inefficacité des vaccins, prouvée par la demande répétée de rappels
Avant ces injections ARNm aucun vaccin n’avait nécessité une telle fréquence d’injections. Les vaccinés sont de plus en plus nombreux à s’inquiéter des conséquences néfastes constatées par eux-mêmes et chez leurs proches : grande asthénie, cardiopathies, troubles neurologiques, cutanés, rhumatologiques, reviviscence de maladies chroniques et apparition de cancers rapidement évolutifs et intraitables entre autres. Beaucoup de sites en témoignent et nos anciens patients cancéreux inquiets nous demandent directement par téléphone ou mails de transmettre leurs angoisses à qui de droit, donc à vous tous, nos représentants.
En ce qui concerne les enfants, rappelons qu’ils ne risquent rien du covid et innocents de toute transmission en dépit des assertions inexactes que nous regrettons de Mme La présidente de l’Assemblée nationale et du nouveau ministre de la Santé. Cette bénignité du covid infantile, affirmée depuis 2020 par toutes les revues internationales est confirmées par toutes les sociétés de pédiatrie du monde. Alors pourquoi leur faire courir un risque par une injection ARNm qui mettrait en péril leur avenir médical et leur fertilité pour un risque zero du covid et sans apporter aucune protection des autres humains puisque l’injection n’empêche pas les transmissions ?
En résumé, le covid infantile est une sorte de grippe curable par les traitements précoces (qui ont protégé les pays pauvres non vaccinés) mais qui ont été interdits ici par le pouvoir sans aucun élément scientifique réel.
Les tests PCR répétés qui grèvent le budget de la sécurité sociale ne servent à rien, car non spécifiques comme la FDA l’a récemment avoué, et ne permettent en aucun cas de dire si un cas positif est réellement porteur du virus et contagieux ou non.
Les masques ont démontré leur inefficacité dans le seul essai randomisé publié et par l’analyse de la cinétique de l’épidémie mais augmentent le risque d’infection bactérienne, donc à proscrire.
Les vaccins eux -mêmes ne protègent pas du covid, ni de la transmission ni des formes graves.
Ils fragilisent les sujets qui les reçoivent par une baisse de leur immunité naturelle particulièrement marquée après les rappels, rendant les vaccinés beaucoup plus à risque d’infections opportunistes y compris un nouveau covid (comme les patients le constatent trop souvent) responsable d’un important absentéisme au travail qui handicape les entreprises.
Ils sont la source de très nombreux effets dits indésirables à tous les âges de la vie, de la multiplication des fausses couches, les problèmes menstruels (médiatisés par « où est mon cycle », les myocardites et péricardites particulièrement chez les plus jeunes sources d’arrêt cardiaque à l’effort chez trop de grands sportifs. Les régressions intellectuelles sont plus décrites chez les sujets âgés qui perdent leurs repères. Les sites officiels EudraVigilance pour l’EMA, VAERS pour la FDA et les CDC américains, MHRA pour les anglosaxons permettent à chacun de vérifier que le nombre de morts rapportées après vaccination atteint plusieurs milliers. Rappelons que tout essai conduisant à quelques dizaines de décès était stoppé avant cette triste violation des règles sécuritaires de base : le vaccin contre la grippe aviaire a été stoppé après 53 décès. Le conseil mondial de la santé qui regroupe médecins et scientifiques de différents pays supplient les dirigeants de stopper ces injections encore expérimentales inutiles et toxiques. Les entendrez-vous ?
RépondreSupprimerDans ces conditions, le pass sanitaire n’a évidemment aucune justification médicale.
Chaque point de ce court résumé est étayé par une lourde bibliographie que nous tenons à votre disposition[1]. Ce cri d’alerte n’est là que pour relayer auprès de vous les faits établis et le vécu de nos concitoyens. Notre plus grande inquiétude à tous est la protection des enfants et des sujets jeunes à risque zéro du covid, mais que les injections exposent à des complications précoces parfois graves et des risques tardifs inconnus.
Nous vous remercions de votre attention et restons à votre disposition. Avec nos sentiments reconnaissants et dévoués.
Drs Nicole Delépine pédiatre et cancérologue et Gérard Delépine
https://www.mondialisation.ca/injection-covid-cri-dalerte-des-medecins-nicole-et-gerard-delepine-lettre-ouverte-a-mesdames-les-senatrices-et-messieurs-senateurs/5669850
Covid-19 : L’AFNOR prouve que le masque « grand public » recommandé par le gouvernement est une véritable escroquerie – Claude Janvier
RépondreSupprimerpar Aphadolie
16/07/2022
« Un masque normalisé est un masque revendiquant la conformité à une norme. Il peut s’agir de la norme NF EN 14683 pour un masque à usage médical ou bien la norme NF EN 149 pour un équipement de protection individuel respiratoire », indique le ministère des Solidarités et de la Santé. (1)
Le 29 juillet 2020, le ministère des Solidarités et de la Santé communique que « 50 millions de masques grand public […] sont ainsi envoyés par courrier postal »
En juillet 2022, que ce soit l’organisateur du Tour de France (2), – qui s’est fait faire sur mesure un masque jaune -, les employés des pharmacies, certains ostéopathes, étiopathes, soignants, aides-soignants, médecins, l’inénarrable Brigitte Bourguignon qui en message d’adieu a incité tout le monde à porter le masque, ou encore Élisabeth Borne, tout ce beau monde persiste et signe sur le fait de vivre masqué.
Quelle est la vérité dans tout ce cirque ?
Les masques ne protègent pas de l’infection et de la transmission des virus, contrairement à ce qu’affirme le ministère des Solidarités et de la Santé et les administrations qui en dépendent.
Le Groupe AFNOR (Association française de normalisation), l’un des marques de confiance (NF, AFAQ, l’Écolabel européen) et de la certification de qualité (certifications ISO 9001, etc.) est intervenu dans la certification qualité des masques.
Ce spécialiste de la certification rappelle que « seuls les acteurs fabriquant en série (industriels ou artisans accompagnés) sont en mesure de prouver, en les faisant tester en bonne et due forme, que les modèles confectionnés filtrent correctement ». Or, le maillage des masques bleus chirurgicaux, les masques « maisons » et les masques en tissus est trop gros (trous de 0,3 micron) pour arrêter le coronavirus qui mesure entre 0,06 et 0,14 micron.
N’en déplaise à certains diffusant des théories fumeuses et scabreuses pour prouver le contraire, le port du masque est inutile à part pour s’attirer les faveurs de la doxa gouvernementale et des labos pharmaceutiques. Les fabricants du rectangle bleu s’en mettent plein les poches, tandis que l’abandon des masques dans la nature fait grimper la pollution en flèche dans le silence assourdissant des écolos politiques. Tout ce cirque est alimenté quotidiennement ou presque, dans sa grande majorité, par une haute caste médicale, ultra présente sur les chaînes d’informations et grassement rémunérée pour débiter leurs inepties (3). Conflit d’intérêt oblige, le nouveau ministre de la Santé, François Braun a reçu quelques rétributions de Novartis et Astrazeneca (4).
Lors d’une audition au Sénat en septembre 2020, le ministre de la Santé, Olivier Véran, annonça que le masque ne protège pas de la grippe saisonnière. Or, les virus « grippaux » du genre Influenza virus A, B, C et D ont une taille similaire au virus SARS-CoV-2.
Comment un masque qui ne protégerait pas du virus de la grippe protégerait-il du SARS-CoV-2 ?
RépondreSupprimerUn grand mystère !
Allô, allô, Professeur Delfraissy ?
Une réponse ?
L’OMS est en pleine hypoxie. Elle affirme en novembre 2020 que « l’utilisation prolongée de masques médicaux peut être inconfortable, mais elle n’entraîne ni intoxication au gaz carbonique, ni manque d’oxygène. »
L’OMS elle-même assurait tout le contraire quatre mois plus tôt, le 5 juin 2020, alors qu’elle recensait les « inconvénients potentiels » du port de masque « comme les lésions cutanées du visage, la dermite irritative, ou l’aggravation de l’acné, ou encore les difficultés respiratoires qu’ils peuvent provoquer, ces dernières étant plus fréquentes dans le cas des masques de protection respiratoire. »
Puis cinq jours plus tard, le 10 juin, que « l’efficacité du masque est, en effet, confirmé » et que « le port du masque est recommandé ».
Si vous souhaitez disparaître tranquillement, sachez que le port du masque peut provoquer « la mort heureuse ».
En effet, chez des gens malades, le port du masque peut amener une hypoxie discrète qui mènera, à des niveaux d’oxygène dangereusement faibles sans toutefois que l’augmentation de dioxyde de carbone n’alerte l’organisme comme elle le ferait normalement.
Dans pareil cas, le port du masque peut conduire à la mort, d’autant que le malade ne s’alertera pas de sa difficulté à respirer, pensant que c’est le masque qu’il porte qui en est la cause momentanée. En l’espèce, il ne fait qu’aggraver la maladie.
Obliger les gens à porter un masque est donc criminel.
Claude Janvier
Article :
Claude Janvier, écrivain, essayiste. Co-auteur avec Jean-Loup Izambert des livres : « Le virus et le président » et « Covid-19 : le bilan en 40 questions, retour sur deux ans d’infos et d’intox ». IS Édition
Note :
RépondreSupprimerBillet du jour de Claude Janvier.
Référence :
(1) Covid-19. Le bilan en 40 questions. Retour sur deux ans d’infos et d’intox : https://www.is-edition.com/actualites/parution-de-covid-19-le-bilan-en-40-questions-de-jean-loup-izambert-et-claude-janvier/
(2) https://www.ouest-france.fr/tour-de-france/tour-de-france-les-coureurs-doivent-refuser-les-selfies-et-les-autographes-declare-prudhomme-cc207420-f89c-11ec-9ba9-7c7737bde7fe
(3) https://www.francesoir.fr/societe-sante/revenus-verses-par-big-pharma-partir-de-douze-un-foyer-epidemique-de-conflits
(4) https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/politique-de-sante/ce-que-vous-ne-savez-peut-etre-pas-sur-francois-braun-nouveau-ministre-de-la-sante
https://aphadolie.com/2022/07/16/covid-19-afnor-prouve-que-masque-grand-public-recommande-par-gouvernement-veritable-escroquerie-claude-janvier/
Ce n'est pas besoin de s'appeler 'AFNOR' et d'attendre 2 ans ½ pour explikationner qu'il n'existe pas et ne peut exister de masque dit anti virus ou anti microbes !
SupprimerL'écart de mailles des masques dits 'chirurgicaux' est de 150 microns alors que le virus (poussière) ne mesure que 0,1 à 0,5 micron !
😎 Visualisation de la taille relative des particules (comme COVID-19)
mardi 20 octobre 2020
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/visualisation-de-la-taille-relative-des.html
Par contre, par contre il serait bon de s'arrêter et de s'attentionner sur le pourquoi devrait-on le porter ! Faut dire la vérité ! TOUS les masques sont imprégnés de nano-particules d'oxyde de graphène ! (poison mortel violent) pareil que les gels hydroalcoolique, les cotons d'écouvillons pour les faux tests 'RT-PCR' ainsi que les flacons injectables d'expérimentations géniques d'essais (CRIMINELLEMENT appelées 'vaccins') ! qui contiennent de 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène !
Une étude suggère que la Terre pourrait avoir jusqu'à 73 000 espèces d'arbres, dont 9 200 encore non découvertes
RépondreSupprimervendredi 15 juillet 2022
par : Zoey Sky
(Natural News) Selon une étude unique en son genre menée par la Global Forest Biodiversity Initiative (GFBI), la Terre pourrait avoir jusqu'à 73 000 espèces d'arbres, avec 9 200 espèces encore à découvrir.
Les résultats de l'étude ont été publiés dans la revue PNAS.
Les chercheurs ont rapporté que bon nombre de ces espèces non découvertes pourraient être "rares, en très petit nombre et menacées par les changements d'origine humaine dans l'utilisation des terres et le climat".
L'étude suggère que l'Amérique du Sud devrait être au centre des efforts de conservation, avec d'autres forêts tropicales et subtropicales mondiales, qui pourraient également abriter de nombreuses espèces rares et non découvertes.
L'étude a impliqué un projet international de trois ans et une collaboration de près de 150 scientifiques qui ont réussi à identifier environ 40 millions d'arbres appartenant à 64 000 espèces.
La connaissance est la clé de la préservation des écosystèmes
Roberto Cazzolla Gatti, professeur à l'Université de Bologne en Italie et auteur principal de l'étude, a expliqué qu'une connaissance approfondie de "la richesse et de la diversité des arbres" est essentielle pour protéger "la stabilité et la fonctionnalité des écosystèmes".
Avant l'étude, les données existantes sur de vastes zones de la planète étaient plutôt limitées et basées sur des observations de terrain et des listes d'espèces de différentes zones. Cazzolla Gatti a ajouté que ces limitations étaient "préjudiciables à une perspective globale" sur la question.
L'étude a été menée au GFBI, où les chercheurs ont créé des analyses statistiques complexes à l'aide de l'intelligence artificielle (IA) et du supercalculateur du Forest Advanced Computing and Artificial Intelligence Laboratory de l'Université Purdue dans l'Indiana.
Une fois ces analyses et calculs terminés, l'équipe de recherche a prédit que la Terre comptait au moins 73 300 espèces d'arbres, soit 14% de plus que ce qui était actuellement connu. L'ensemble de données mondial est le plus grand connu à ce jour, ont rapporté les chercheurs.
Ils ont ajouté qu'il comprend actuellement plus de 38 millions d'arbres qui peuvent être trouvés dans au moins 90 pays et 100 territoires.
Le professeur Jingjing Liang, co-auteur de l'article, a déclaré que l'équipe de recherche a combiné des ensembles de données individuels. Faisant la lumière sur le processus, Liang a expliqué que les ensembles de données ont été rassemblés par des personnes "se rendant dans un peuplement forestier et mesurant chaque arbre" et rassemblés dans un "ensemble de données mondial massif de données au niveau des arbres".
Liang a ajouté que compter le nombre d'espèces d'arbres dans le monde, c'est comme travailler sur un puzzle dont les pièces se répandent à travers le monde. En travaillant en équipe, le GFBI a pu résoudre le fascinant casse-tête mondial. (Connexe : Rapport IPBES : Des milliards de personnes dépendent des espèces sauvages pour leur survie.)
Liang a déclaré que la diversité des espèces d'arbres joue un rôle important dans le maintien de forêts saines et productives. Il est également crucial pour l'économie et l'environnement.
Pour illustrer, l'Amérique du Sud abrite au moins 43 pour cent des espèces d'arbres de la planète et le plus grand nombre d'espèces rares. Liang a averti qu'avec le temps, ces espèces d'arbres non découvertes pourraient disparaître avant d'être découvertes.
Les résultats de l'étude ont également révélé qu'il existe encore 9 000 espèces inconnues qui pourraient se trouver dans les deux biomes composés de « prairies, savanes et arbustes » et de « forêts tropicales et subtropicales » de l'Amazonie et des Andes.
RépondreSupprimerÇà, çà m'a toujours étonné ! Ils ne l'ont pas encore découvert mais... ils savent combien il y en a ! HAHAHAHAHA !
Çà c'est du style "Je suis intelligent mais mon cerveau ne le sait pas ! C'est pour çà qu'il est con !"
László Kövér : la culture de la mort se répand en Occident et le suicide de l’Europe se déroule sous nos yeux
RépondreSupprimerLa rédaction
le 16.07.2022
"Dans l'histoire de cette ville comme dans celle de la Hongrie, nous pouvons reconnaître la réussite européenne en matière de paix, de sécurité, de liberté et de prospérité après les souffrances infernales de la Seconde Guerre mondiale, une réussite fondée sur la coopération démocratique des États-nations européens. Mais aujourd'hui, tout cela est en grand danger, et nous ne devons pas permettre que notre succès soit gâché, ni ici, ni en Hongrie, ni en Europe", a déclaré le président du Parlement lors des célébrations du jubilé de la petite ville balnéaire de Zalakaros, jeudi soir.
László Kövér, président de l'Assemblée nationale hongroise a déclaré dans son discours :
"Nous devons dire que l'Union européenne et la Hongrie sont menacées par des dangers. Une guerre cruelle est en cours à l'est de nous, qui a bouleversé l'économie mondiale, il n'y a plus assez de matières premières, plus assez d'énergie, l'inflation est galopante."
Pour Kövér, "l'Europe entière va être confrontée à un 'Noël de guerre' comme elle n'en a plus connu depuis la Seconde Guerre mondiale: des maisons froides, des prix exorbitants, des usines qui ferment, des privations à l'échelle de la société, et les troubles et bouleversements qui en résulteront menaceront toutes les sociétés européennes."
"À l'ouest de nous, une guerre idéologique fait rage, une idéologie impie, une culture de la mort se répand et le suicide de l'Europe se déroule sous nos yeux."
La menace la plus sérieuse pour l'Union européenne est que "les bureaucrates de Bruxelles veulent transformer l'Union européenne en un empire dictatorial qui veut absorber et anéantir les pays libres, les nations fières de leur identité et les cultures aux racines chrétiennes afin d'assujettir politiquement, d'humilier culturellement et de piller économiquement les 27 États membres et les 447 millions de citoyens de l'Union européenne."
Source: Vadhajtások
Traduction Albert Coroz
https://lesobservateurs.ch/2022/07/16/laszlo-kover-la-culture-de-la-mort-se-repand-en-occident-et-le-suicide-de-leurope-se-deroule-sous-nos-yeux/
Les énormes objectifs climatiques américains de Biden apparaissent soudainement – laissant les sénateurs sous le choc et les professeurs sanglotant…
RépondreSupprimerJuly 16th, 2022
Les États-Unis ne pourront pas atteindre les objectifs de 2030 sans cette législation (et toutes ces subventions)
Après sept mois de négociations, et le grand plan rejeté puis rasé, tranché et coupé en dés, le sénateur Manchin a rejeté toutes les règles climatiques et énergétiques. L’inflation est trop élevée et trop douloureuse…
Manchin débranche le plan climatique de Biden
Le New York Times
WASHINGTON – Le sénateur Joe Manchin III, démocrate de Virginie-Occidentale, a mis fin jeudi aux négociations pour sauver des éléments clés de l'agenda du président Biden, informant les dirigeants de son parti qu'il ne soutiendrait pas le financement de programmes climatiques ou énergétiques…
Sans action du Congrès, il sera impossible d'atteindre l'objectif de M. Biden de réduire d'environ la moitié les émissions américaines d'ici la fin de cette décennie. Cet objectif visait à maintenir le climat stable à environ 1,5 degrés Celsius de réchauffement par rapport aux niveaux préindustriels.
"Les gros titres politiques n'ont aucune valeur pour les millions d'Américains qui luttent pour s'acheter des produits d'épicerie et de l'essence alors que l'inflation grimpe à 9,1 %", a déclaré Sam Runyon, porte-parole de M. Manchin….
Parce que les démocrates détiennent le Sénat à une simple majorité de 50 contre 50, M. Manchin a pu exercer efficacement un droit de veto sur le paquet de politique intérieure, que le parti avait prévu de proposer dans le cadre d'un processus budgétaire spécial accéléré qui lui permettrait de contourner un flibustier et passer à la majorité simple. Alors que les démocrates se préparent à des pertes lors des élections de mi-mandat cet automne, le paquet pourrait être la dernière chance du parti de promulguer des dépenses substantielles et une législation fiscale alors qu'il détient toujours la Maison Blanche et les deux chambres du Congrès.
Les subventions et les gâchis sont également appelés « investissements fédéraux » :
En rejetant toute disposition sur le climat et l'énergie, M. Manchin semble avoir à lui seul brisé l'ambitieux programme climatique de M. Biden et ce qui aurait été le plus gros investissement fédéral de l'histoire américaine pour faire face au bilan du changement climatique.
Voici les flocons de neige :
… c'était particulièrement dévastateur pour ceux qui avaient défendu les dispositions relatives au climat et à l'énergie. Lors d'appels à divers militants pour le climat jeudi soir, M. Schumer et son équipe ont semblé choqués et ont déclaré qu'ils croyaient jusqu'à quelques heures auparavant qu'un accord était encore possible, a déclaré une personne qui s'est entretenue avec M. Schumer.
Leah Stokes, professeur de politique environnementale à l'Université de Californie à Santa Barbara, qui a conseillé les démocrates du Congrès sur la législation climatique, a sangloté jeudi soir en décrivant les mois de travail qu'elle et d'autres militants, scientifiques et membres du personnel législatif avaient investi dans les négociations. "Les enjeux sont si élevés", a-t-elle déclaré. "C'est juste exaspérant qu'il condamne nos propres enfants."
h/t NetZeroWatch
https://joannenova.com.au/2022/07/bidens-huge-us-climate-goals-suddenly-pop-leaving-senators-shellshocked-and-professors-sobbing/
La Slovénie a commencé à démanteler la clôture frontalière, elle montrera plus de solidarité avec les migrants
RépondreSupprimerle 17.07.2022
Albert Coroz
La Slovénie fait partie des pays européens (Bulgarie, Italie, Slovaquie, etc.) où le Deep State américain a réussi par ses manœuvres à faire élire le premier ministre de son choix, Robert Golob, un faux conservateur formé pour ce rôle aux États-Unis, après la mise en place par ces forces progressistes d'un travail de sape accompagné d'une campagne de calomnies pour destituer le premier ministre Janez Jansa, de la vraie droite souverainiste.
Nous pensons que des forces similaires agissent chez nous en Suisse, à travers les lobbies parlementaires, les spin doctors et les spécialistes en communication de masses, soutenus par l'armada des journalistes qui diffusent à flux continu la propagande néomarxiste du camp de Soros et des déconstructeurs.
***
15 juillet 2022
Comme le nouveau gouvernement l’avait annoncé, la démolition de la clôture à la frontière croato-slovène a commencé vendredi, rapporte MTI suivant le média slovène N1.
"La migration ne s'est pas arrêtée et ne s'arrêtera pas, mais les barbelés sont une mesure totalement disproportionnée"
- a déclaré la ministre de l'Intérieur Tatjana Bobnar au début de la démolition de la clôture. Le temps a montré que la clôture ne peut pas arrêter la migration, mais elle a déjà causé de nombreuses tragédies, car des gens ont tenté de la contourner et plusieurs sont morts dans la rivière Kolpa, a-t-elle ajouté.
Bobnar avait déjà parlé de la Slovénie allait changeant sa politique migratoire et devenant plus solidaire avec les migrants. La clôture a été conçue comme une solution temporaire, il n'est pas permis qu'elle devienne un élément permanent de la protection des frontières, a-t-elle déclaré.
La clôture a été érigée par le gouvernement slovène en 2015 en réponse à la crise des réfugiés, pour empêcher les immigrants illégaux d'atteindre la Slovénie depuis la Croatie.
La démolition de la clôture est une des priorités du nouveau gouvernement de gauche dirigé par Robert Golob.
Une section de 51 kilomètres sera enlevée par l'armée slovène, et les 143 kilomètres restants par une entreprise chargée de cette tâche.
Selon l'opposition de droite, le gouvernement commet une erreur en supprimant la clôture, car la décision n'a pas été précédée d'une analyse de la situation sécuritaire du pays, ni d'une consultation d'experts.
En 2015, la Hongrie avait également érigé sa propre clôture sur sa frontière avec la Serbie et la Croatie.
Selon le Premier ministre Viktor Orbán, des centaines de milliers de migrants assiègent la frontière hongroise, et comme l'Union européenne ne nous aide toujours pas, la Hongrie doit protéger seule sa frontière sud, aussi le gouvernement a-t-il décidé de mettre en place un corps de police des frontières; le programme devrait commencer en septembre.
source: Vadhajtások
traduction: Cenator
https://lesobservateurs.ch/2022/07/17/la-slovenie-a-commence-a-demanteler-la-cloture-frontaliere-elle-montrera-plus-de-solidarite-avec-les-migrants/
Après la Lituanie (au Nord de la Pologne) et qui n'a que 2 795 000 habitants, voici qu' entourée par l'Italie, l'Autriche et l'Hongrie la Slovénie n'a que 2 100 000 habitants et est aussi facile à envahir et à maîtriser par les forces nazies comme celles en Ukraine.
SupprimerLa Banque centrale suisse a-t-elle discrètement déplacé son or
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 17 JUILLET 2022 - 18:30
Par Jan Nieuwenhuijs de Gainesville Coins
En Suisse, c'est un secret d'État où la banque centrale stocke son or au niveau national. De toutes les informations que j'ai pu recueillir, je conclus que la banque centrale suisse stocke principalement son or - et celui des banques centrales étrangères et de la Banque des règlements internationaux - sur la Bundesplatz 1 dans la capitale Berne.
Ce coffre-fort est peut-être l'un des plus grands au monde. Cependant, en raison d'une rénovation, le coffre-fort est maintenant vide. Le métal a été temporairement transféré dans un bunker fédéral près de Kandersteg, au cœur des montagnes suisses.
Ce qui m'a amené à faire des recherches sur ce sujet est un retard de plusieurs années d'une expédition d'or par la banque centrale autrichienne (OeNB) de Londres vers la Suisse. A la lecture de mon article précédent sur ce sujet, certains pourraient être tentés de penser que l'or d'OeNB a disparu, ou que la Banque d'Angleterre fait obstacle au transfert. Selon mon analyse, cependant, Londres n'est pas le problème. L'expédition d'OeNB était censée être à Berne maintenant, mais en raison d'un retard dans la rénovation du coffre-fort, l'or n'a pas encore été transféré.
Pour aller au fond des choses, nous examinerons les coffres de la banque centrale suisse dans cet article. Dans un article suivant, je présenterai d'autres preuves du report de l'envoi du métal au coffre-fort de Berne par OeNB.
Les deux premiers chapitres servent d'introduction. Si vous manquez de temps, vous pouvez passer au troisième.
Les Suisses creusent des grottes depuis des siècles
S'il y a un pays qui excelle dans la construction de tunnels et de cavernes, c'est bien la Suisse. Berne a été fondée vers 1200 sur une presqu'île de l'Aar. La péninsule a la forme d'une colline en raison de l'usure de l'eau. Enserrée par l'Aar, la Vieille Ville pouvait être facilement défendue par un mur à l'ouest. La sécurité au sein de cette forteresse naturelle a permis à la ville de prospérer.
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Source : Wikimédia. Plan de la vieille ville de Berne, 1635.
Beaucoup des premiers habitants de Berne possédaient des vignobles à l'extérieur de la ville. Déjà au XIIIe siècle, des caves étaient construites sous les bâtiments de la ville, pour plus d'espace et un climat propice à la conservation du vin. Le sol bernois, constitué en grande partie de graviers et de sable déposés par les glaciers lors de la dernière période glaciaire, se prête bien à la construction de caves. Le poids de la glace a provoqué la compression du sol¹. Aujourd'hui, de nombreuses caves sont utilisées comme bars, restaurants, magasins, etc.
RépondreSupprimerDepuis 1983, la vieille ville de Berne est classée au patrimoine mondial de l'UNESCO pour son concept d'urbanisme exceptionnellement cohérent. Berne a toujours conservé son caractère historique, présentant des variations de la fin du baroque et de la fin du Moyen Âge. La vieille ville continue d'être un lieu de vie, de travail et de commerce.
Le premier tunnel de Suisse a été construit en 1707 pour faciliter le passage sur le massif du Gothard dans les Alpes. Depuis, d'autres tunnels routiers, ferroviaires, fluviaux et d'entretien ont été construits, totalisant désormais une longueur étonnante de 2 000 kilomètres.
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Les Alpes sont au sud de la Suisse
Dans les années 1880, les Suisses ont commencé à construire une ligne de fortifications dans les Alpes pour que l'armée se retire et défende leur pays contre une invasion étrangère. Pendant la Seconde Guerre mondiale, un réseau de tunnels et de bunkers militaires a été ajouté.
Pendant la guerre froide, en 1963, la Suisse s'est engagée à fournir des bunkers à tous les citoyens pour qu'ils puissent s'abriter en cas d'attaque nucléaire. À un moment donné, il y avait environ 300 000 abris antiatomiques. Après la guerre froide, de nombreux bunkers des Alpes étaient considérés comme obsolètes. Certains ont été rouverts en hôtels et musées, ou ont trouvé d'autres utilisations.
Le vaste marché de l'or de la Suisse
La Suisse est l'un des plus grands marchés physiques de l'or au monde. On n'en sait pourtant pas grand-chose, car la discrétion fait partie des services qui rendent ce marché attractif.
Avant les années 1930, le secret bancaire était une règle non écrite en Suisse. Cette règle a été inscrite dans la législation de 1935 qui, avec la neutralité politique, a rendu les banques suisses attractives pour les capitaux étrangers : monnaie, dépôts bancaires et or.
Lorsqu'en 1968, le Gold Pool s'est effondré et que le London Bullion Market a fermé pendant deux semaines, les banques suisses ont réagi de manière agressive en essayant de reprendre des parts de marché à Londres. La capacité de raffinage a commencé à se déplacer de Londres vers la Suisse. Actuellement, il n'y a plus de raffineries accréditées par la London Bullion Market Association (LBMA) au Royaume-Uni, tandis qu'en Suisse, il y a quatre géants : Valcambi, PAMP, Argor-Heraeus et Metalor.
Chaque année, environ 2 000 tonnes d'or transitent par les raffineries suisses, mesurées par les importations et les exportations d'or non monétaires.
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Données sur le commerce de l'or en Suisse, 2012–2021
A côté des voûtes des raffineries, on trouve les voûtes des banques commerciales², des sociétés de logistique sécurisée (Brinks, Loomis, Malca-Amit, etc.), et de la banque centrale suisse. De plus, après la guerre froide, plusieurs bunkers militaires dans les Alpes ont été vendus à des sociétés de voûte de niche qui ont construit des salles de stockage pour les métaux précieux et autres objets de valeur dans les cavernes profondes.
Il n'y a pas de bourse de l'or centralisée en Suisse, donc tous les échanges se font de gré à gré. Étant donné que quelques grandes banques suisses de lingots ont leur siège social au centre de Zurich, une référence abrégée souvent utilisée pour désigner le marché suisse de l'or est «Zurich». Cependant, cela peut être trompeur car tous les échanges physiques ne sont pas concentrés à Zurich. Par exemple:
Il existe des raffineries dans l'extrême sud de la Suisse et dans l'ouest.
Brinks possède des coffres d'or à Zurich, Genève et Chiasso. Malca-Amit possède des caves à Zurich et à Genève. Loomis m'a dit qu'il "peut stocker de l'or dans toute la Suisse".
De nombreuses autres voûtes se trouvent dans d'anciens bunkers militaires des Alpes du Sud.
Les détaillants et les coffres-forts sont partout dans le pays.
De nombreux horlogers sont en Occident.
Et, comme nous le verrons plus loin, l'or monétaire est (normalement) stocké à Berne.
Officiellement, les emplacements de stockage d'or nationaux de la Banque centrale suisse (Banque nationale suisse, BNS) sont un secret d'État. En avril 2013, SNB a révélé que 20 % de ses 1 040 tonnes d'or sont entreposées à la Banque d'Angleterre, 10 % à la Banque du Canada et 70 % sont détenues au pays « dans ses propres coffres ». Les questions au parlement sur les lieux de stockage nationaux ne reçoivent pas de réponse pour des raisons de sécurité. Indépendamment de l'emplacement des coffres, la BNS confirme qu'elle stocke de l'or pour les banques centrales étrangères.
Le principal coffre-fort d'or de la Banque centrale suisse se trouve à Berne
Il existe une quantité considérable de preuves que la majeure partie de l'or de la BNS a toujours été stockée à Berne. Une source importante que j'ai utilisée pour mes recherches est un livre publié par SNB en 2012, célébrant le 100e anniversaire de leur siège social à Berne. Le titre du livre est "Die Schweizerische Nationalbank in Bern Eine illustrierte Chronik" (ci-après DSN).
Lors de l'érection de la SNB en 1907, il est décidé de construire deux sièges sociaux pour répartir le rapport de force. Une à Berne, centre politique et capitale de la Suisse, et une à Zurich, la place financière. La SNB était divisée en trois départements dont les départements I et III se sont installés à Zurich. Le département II de Berne était chargé de toutes les questions relatives aux billets de banque, de la gestion des réserves d'or (réception, expédition et stockage des lingots et des pièces d'or) et des relations avec l'administration fédérale.
RépondreSupprimerLe siège social à Berne sur la Bundesplatz 1, avec sa voûte en or au sous-sol, a été achevé en 1912. Il est situé dans la vieille ville à côté du Palais fédéral qui abrite le Parlement fédéral et le Conseil fédéral.
Source : ASNB, GE-BE-BUND-192, Copyright BNS. Siège de la banque centrale suisse à Berne.
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Source : ASNB, GE-BE-BUND-107, Copyright BNS. Dessin de l'architecte Eduard Joos du siège social de la BNS à Bundesplatz 1, Berne, Suisse.
Le bâtiment en rouge, sur la Bundesplatz 1, était le premier bâtiment permanent de la BNS à Berne. SNB louera plus tard des bureaux dans le Bundeshaus Nord (ligne pointillée rouge) et le Kaiserhaus (bleu) sera acheté par SNB en 1971. Le Palais fédéral se trouve sur la Bundesplatz 3.
Après que la BNS se soit établie sur la Bundesplatz, elle a attiré des banques commerciales ayant des intérêts politiques et financiers dans la région. Sur Google Maps, cela montre que la SNB est toujours entourée de banques commerciales. Le fait d'avoir des banques à proximité peut avoir facilité les transactions sur l'or de la BNS à Berne.
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Source : Google Maps Bundesplatz, Berne, juin 2022.
Jusqu'à et pendant la Seconde Guerre mondiale, Berne a conservé son statut de plaque tournante de l'or monétaire. Dans les années 1990, une commission a enquêté sur le rôle de la BNS dans la Seconde Guerre mondiale concernant les transactions sur l'or avec la banque centrale allemande (Reichsbank). Le rapport final révèle que pendant la guerre, de nombreuses banques centrales avaient utilisé le coffre-fort de la BNS. Les tableaux suivants montrent les dépôts de la Reichsbank à la BNS et à quelles entités la Reichsbank a vendu. De toute évidence, ces dépôts et transactions ont été effectués au coffre-fort de la BNS à Berne.
Transactions sur l'or pendant la Seconde Guerre mondiale : examen statistique commenté
Source : Transactions sur l'or pendant la Seconde Guerre mondiale : examen statistique avec commentaire. La Banque des règlements internationaux négociait l'or, entre autres, du coffre-fort de la BNS à Berne.
Pendant et après la Seconde Guerre mondiale, les réserves d'or de la BNS ont considérablement augmenté. Ce qui n'est pas mentionné dans le DNS, c'est que peu de temps après la guerre, le bâtiment principal a subi deux rénovations.
Dans les années 1950 et 1960, non seulement les réserves d'or de la BNS ont explosé, mais aussi celles d'autres banques centrales européennes qui, je suppose, stockaient de l'or à la BNS à cette époque.
RépondreSupprimerEn 1946, le premier sous-sol a été modifié, selon les archives du bâtiment de la ville de Berne. Aucun détail de la rénovation n'est accessible au public, mais étant donné que les réserves d'or de SNB gonflaient et que la voûte se trouvait au sous-sol du bâtiment, nous pouvons supposer que la voûte a été rénovée. En 1951 et 1952, un abri anti-aérien souterrain (luftschutzkeller) a été construit. Le même architecte qui a rénové la voûte en 1946, Otto Brechbühl, a été engagé pour construire l'abri.
Mais a-t-il construit un abri ou ajouté des étages supplémentaires au caveau ?
Les auteurs de DSN State Department II avaient besoin d'espace dans les années 1950. "De nouveaux coffres-forts ont été installés au début des années 1950", écrivent-ils, ce qui pourrait faire référence au travail de Brechbühl. À la fin des années 1950, "la caisse principale a également demandé un bureau souterrain des lingots entre le bâtiment principal et le Bundeshaus Nord [le bâtiment du côté est du bâtiment principal où la SNB louait des bureaux] pour expédier et emballer l'or".
Les auteurs de DSN, bien sûr, ne peuvent pas être entièrement véridiques. Les détails de sécurité et autres informations sur le coffre-fort doivent être masqués.
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Source : ASNB, GE-BE-BUND-112, Copyright SNB, 1960. Tout ce qui était dessiné en noir était neuf (neu). En bleu/noir, le nouveau bureau Bullion, en rouge/noir, une nouvelle salle de conférence.
Ci-dessus, un dessin du bâtiment de 1960 tiré du DNS. Il affiche le bâtiment principal à droite, un segment du Bundeshaus Nord à gauche et (en bleu) le nouveau bureau des lingots. On peut aussi voir l'abri (luftschutzturm) en pointillés.
Dans le dessin, l'abri est étiqueté comme une "tour de raid aérien". Le mot "tour" implique qu'il y a plusieurs étages. Fait intéressant, les compartiments inférieurs de l'abri n'ont pas de plancher, ce qui indique que le dessin est incomplet. Alors pourquoi le dessin ne montre-t-il pas tout l'abri ? Pourquoi l'abri fait-il plus de 15 mètres de profondeur ? Pourquoi seul l'abri est-il dessiné en pointillés ? Quelle est la particularité de cette structure ?
Selon DNS, le bureau des lingots a été construit de 1961 à 1963, une rénovation qui n'est pas enregistrée dans les archives du bâtiment de la ville de Berne. La raison pour laquelle les deux dossiers sont incomplets est le secret. J'ai essayé d'obtenir des plans, des dessins et des permis de construire des rénovations de 1946, 1951-1952, 1961-1963 et de toutes les autres qui ont suivi, à partir des archives du bâtiment et des propres archives de SNB. Sans exception, on m'a dit que tous les documents sont classés comme « SECRET » ou « sensibles » et ne peuvent pas être consultés.
Très probablement, les lignes pointillées dans le dessin ci-dessus ne montrent pas un abri, mais l'entrée du bureau des lingots à une voûte composée de plusieurs étages s'étendant sous l'ancien sous-sol et au-delà.
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Source : ASNB, AS-BE-1963-29, Copyright SNB. Le bureau des lingots, 1963.
RépondreSupprimerEn fait, la voûte est plus grande que ce qui est montré sur le dessin de 1960. En 2018, les journalistes de Bluewin ont réussi à voir les dessins du service de géoinformation de Berne. Ci-dessous, une capture d'écran de la vidéo montrant un plan de la Bundesplatz. Un expert conclut que le sous-sol de SNB s'étend sur environ 10 mètres sous la place. Aucun dossier (public) ne révèle que le sous-sol a été agrandi sous la place. Quoi d'autre a été omis ?
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Source : Bluewin.
Un retraité du nom d'Othmar Dillon, qui travaillait au cadastre de Berne (Amtliche Vermessung), a déclaré au journal Der Bund qu'il s'était trouvé plusieurs fois à l'intérieur du coffre-fort de la Bundesplatz 1 depuis les années 1970. Il a vu l'or là-bas. Selon Dillon, la voûte atteignait le niveau de la rivière Aar, ce qui impliquerait qu'elle a une profondeur totale de 40 mètres. Selon le nombre d'étages construits et l'acuité de la mémoire de Dillon, la voûte en or pourrait atteindre 10 000 mètres carrés.
L'article de 2008 citant Dillon a été perdu sur Internet mais Der Bund m'a donné son accord pour le republier (télécharger ici). J'ai vérifié avec la base de données des habitants de Berne et Dillon existe bel et bien. Malheureusement, je n'ai pas réussi à le contacter.
D'autres sources confirment que le coffre-fort de la Bundesplatz 1 est important. En 2013, un journaliste de la SRF a été autorisé à filmer l'or monétaire de la BNS. Ci-dessous, une capture d'écran de la vidéo qui a été publiée.
Source : FRS. Les carreaux de sol semblent identiques à ceux utilisés dans le bureau des lingots.
La vidéo provient très probablement de l'intérieur du coffre-fort sur la Bundesplatz 1, et non d'un autre coffre-fort. Le photographe Martin Ruetschi a été autorisé à entrer dans le coffre-fort de la BNS à Berne en 2001 (après avoir poussé pendant dix ans). Si l'on compare les photos de Ruetschi (voir ci-dessous) avec la vidéo, elles montrent toutes les deux les mêmes supports pour l'or et les mêmes carreaux de sol. La suppression de plus de doute est une copie de la série de Ruetschi dans DNS.
Ruetschi a déclaré qu'il avait été "conduit à travers un long labyrinthe de couloirs et finalement à travers l'épaisse porte du coffre-fort" avant de pouvoir prendre les photos. Il semble qu'il y ait plus de deux étages au sous-sol.
Source : Martin Ruetschi / Keystone. De l'or dans le coffre de la Banque nationale suisse, photographié le 21 février 2001 à Berne
Source : Martin Ruetschi / Keystone. De l'or dans le coffre de la Banque nationale suisse, photographié le 21 février 2001 à Berne. Le manutentionnaire utilise un appareil à ultrasons pour analyser l'homogénéité du matériau. Cela suggère que les lingots d'or arrivent continuellement et doivent être testés, probablement en raison des transactions sur l'or de la BRI. La BNS n'a pas acheté d'or depuis les années 1960. La quantité de stockage à l'arrière, tout le bois, montre également qu'il s'agit d'un entrepôt actif.
RépondreSupprimerLe chariot élévateur dans la vidéo de SRF révèle qu'il doit y avoir un ascenseur robuste jusqu'au coffre-fort. Les chariots élévateurs eux-mêmes peuvent peser jusqu'à plusieurs tonnes car ils utilisent des contrepoids pour la charge qu'ils portent sur la fourche. En observant le dernier dessin de 1960 et des images récentes de Google Street View, je pense qu'il y a un ascenseur près des entrées pour les camions blindés du côté sud du bâtiment, menant au bureau des lingots et aux étages inférieurs. Juste à peu près là où se trouve la "tour d'abri".
Source : Google Street View. Une des deux entrées pour camions blindés sur le côté sud du bâtiment principal de la BNS à Berne. Il se lit sur la porte que la charge de transport pour les camions entrant est jusqu'à 26 tonnes.
Le chariot élévateur confirme également qu'il s'agit d'un grand coffre-fort actif, stockant de l'or non seulement pour la BNS mais aussi pour les banques centrales étrangères et la Banque des règlements internationaux (et les billets de banque suisses).
Sur le site Internet de la Banque des règlements internationaux (BRI), ils déclarent proposer aux banques centrales "l'échange, la garde et le règlement de l'or : loco Londres, Berne ou New York". La référence à un coffre-fort à Berne, que la BRI utilise depuis les années 1930, doit se trouver sur la Bundesplatz 1.
Dans les années 1970, la BNS a continué d'étendre sa présence sur la Bundesplatz. En 1971, elle achète une propriété au nord du bâtiment principal : le Kaiserhaus. En raison des codes d'urbanisme stricts dans la vieille ville, SNB a dû penser à un concept de construction conforme aux besoins esthétiques et fonctionnels de la ville, ainsi qu'aux siens. Il a été décidé que le rez-de-chaussée et le premier étage du Kaiserhaus étaient loués à des magasins. Les étages supérieurs pourraient être utilisés pour des bureaux et à d'autres fins. Un sous-sol a également été construit. "Le travail le plus difficile était au sous-sol", écrivent les auteurs de DNS.
Il y a une photo d'un tunnel reliant le bâtiment principal et Kaiserhaus à la page 90 du DNS. Le sol du tunnel semble cependant être recouvert de plastique souple, ce qui ne convient pas à un chariot élévateur. Je ne pense pas qu'il y ait une voûte en or sous le Kaiserhaus.
Source : ASNB, GE-BE-BUND-180, Copyright BNS. Un tunnel entre la Bundesplatz 1 et le Kaiserhaus
RépondreSupprimerBunker fédéral de Kandersteg
En 1999, des journalistes suisses ont découvert que le gouvernement avait organisé une installation de commandement classée près de Kandersteg dans les Alpes, à 40 miles au sud de Berne, pour se cacher lors d'une attaque nucléaire. Depuis 2004, les coordonnées exactes de l'installation sont connues du public.
Source : Wikimédia. L'entrée du bunker fédéral près de Kandersteg dans les Alpes suisses. De là, un tunnel mène profondément dans les montagnes.
Pendant près de deux décennies, pas un mot n'a été écrit sur l'or stocké dans le bunker surnommé "K20". Puis, en 2018, le journaliste indépendant Henry Habegger a rapporté que K20 intègre également un coffre-fort SNB. Des personnes proches du dossier ont partagé avec Habegger que lorsque K20 a été construit, SNB a profité de l'occasion pour acquérir une chambre forte à l'épreuve des bombes nucléaires pour ses réserves d'or. K20 a de la place pour 6 000 tonnes d'or. Les habitants de Kandersteg ont souvent vu passer des camions blindés, escortés par des véhicules de l'armée en tenue complète, y compris des mitrailleuses.
Selon mon analyse, tout l'or à l'intérieur du coffre-fort de Berne a été transféré à Kandersteg mais reviendra dans quelques années. Voici pourquoi.
En février 2015, un vaste projet de construction a commencé pour rénover le bâtiment principal de la BNS et le Kaiserhaus à Berne. Au moment d'écrire ces lignes, le bâtiment principal est terminé (tout au-dessus du sol), mais la construction du Kaiserhaus est toujours en cours. Vous trouverez ci-dessous des images de la rénovation de Google Street View, Maps et Earth prises en 2017 et 2022.
Source : Google Street View, juillet 2017.
Source : Google Maps, juillet 2022.
Source : Google Earth, mai 2022.
Une clôture blanche est visible autour du Kaiserhaus (à Amthausgasse) et devant l'une des entrées pour les camions blindés sur le côté sud du bâtiment principal. Avec d'autres preuves, cela me dit que le coffre-fort est hors service.
L'un d'eux, un journaliste suisse qui m'a aidé pendant mes recherches – il préfère rester anonyme –, s'est entretenu avec l'un des directeurs de la BNS lors d'un dîner médiatique en 2016. Concernant la rénovation, le directeur lui a dit que « vous pouvez supposer que l'or est à un niveau lieu sécurisé. » On lui a dit que l'or avait été déplacé pour la rénovation.
Deuxièmement, en 2015, la cour des comptes autrichienne a déclaré que l'OeNB, qui stockait alors et maintenant 6 tonnes d'or en Suisse, aurait un accès limité à l'audit de son métal en Suisse en raison des travaux de rénovation du dépôt jusqu'en 2018. Ensuite, les audits de rénovation pourraient prendre placer normalement. Les premières projections de SNB étaient que la rénovation serait terminée fin 2018. (Dans un article suivant, je montrerai plus de preuves que les 6 tonnes d'OeNB en Suisse se trouvent actuellement dans un coffre-fort de la SNB, et 50 autres tonnes sont destinées à un coffre-fort de la SNB.)
RépondreSupprimerConclusion
Ce ne peut pas être une coïncidence si OeNB a un accès limité à son coffre-fort de la BNS en Suisse, la Bundesplatz 1 est rénovée à peu près au même moment et une histoire sur un coffre-fort d'or actif à Kandersteg apparaît dans les médias suisses à peu près au même moment. Normalement, l'or de l'OeNB, l'or des autres banques centrales étrangères, l'or de la BRI et la majeure partie de l'or de la BNS se trouvent sur la Bundesplatz 1, mais en raison de la rénovation, il a été déplacé vers le K20.
J'en conclus que SNB préfère conserver la majeure partie de son or à Berne, car historiquement, c'est le coffre-fort principal. Après la Seconde Guerre mondiale, lorsque les réserves de la BNS ont explosé, des voûtes auraient pu être construites n'importe où en Suisse, mais la BNS a décidé d'agrandir la voûte de la Bundesplatz.
De plus, le fait que l'or d'OeNB à Kandersteg sera restitué à Berne me dit que l'or de la BNS sera également restitué (ou du moins ce qui était stocké à Berne auparavant). Pourquoi rendre l'or d'OeNB mais pas l'or suisse ? Si la voûte de Kandersteg, notez qu'elle peut contenir 6 000 tonnes, était supérieure à celle de Berne, SNB aurait pu dire à OeNB que la voûte a été déplacée définitivement. De nouveaux contrats de garde auraient pu être signés et les Autrichiens auraient pu bénéficier d'un accès complet pour auditer leur or à Kandersteg. Mais ce n'est pas ce qui s'est passé. Pas en 2015 lorsque la rénovation à Berne a commencé, ni en 1999 lorsque K20 a été achevé.
Se pourrait-il que la SNB ait également un coffre-fort à Zurich et ailleurs ? Oui. Il y a juste très peu de preuves que l'un de ces coffres joue un rôle important dans le stockage du métal appartenant à la BNS, aux banques centrales étrangères et à la BRI. Inutile de dire que je ferai un rapport en conséquence si je trouve de nouvelles preuves.
La rénovation à Berne devrait maintenant être achevée en 2024. Ensuite, ou juste avant, l'or pourra être renvoyé sur la Bundesplatz 1. OeNB aura un accès d'audit normal et enverra 50 tonnes supplémentaires en Suisse.
Tous les blancs et questions restants seront abordés dans mon article suivant ("Pourquoi le transfert d'or monétaire de l'Autriche vers la Suisse est retardé") ici sur Gainesville Coins.
Remarques
RépondreSupprimerInformations sur l'histoire des caves de Berne que j'ai principalement basées sur une communication privée avec l'archéologue Armand Baeriswyl, maître de conférences en archéologie médiévale et moderne à l'Université de Berne.
Plusieurs banques commerciales ont des chambres fortes dans le centre de Zurich, comme la Zürcher Kantonalbank et la Bank Julius Baer, qui stockent de l'or pour soutenir les ETF (source : Ronan Manly de Bullionstar). Il existe également de grands coffres d'or près de l'aéroport de Zurich dans un entrepôt sous douane. Deux banques commerciales qui ont leur siège social à Berne, Valiant Bank et Berner Kantonalbank (BEKB), ont révélé avoir des coffres-forts souterrains sous leurs bâtiments sur la Bundesplatz, bien que ceux-ci semblent être principalement utilisés pour les coffres-forts. De Berner Zeitung en 2020 (Google Traduction):
Les deux banques bernoises, Valiant et Berner Kantonalbank, ont également leur siège sur la Bundesplatz au centre-ville de Berne. Les coffres avec les casiers des clients sont situés dans les sous-sols des deux banques, comme le disent le porte-parole de Valiant Marc Andrey et le porte-parole de la BEKB Florian Kurz.
https://www.zerohedge.com/commodities/swiss-central-bank-moved-its-gold-berne-federal-bunker-kandersteg
Les tarifs spot du transport de conteneurs continuent de baisser : quelle sera la nouvelle norme ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 17 JUILLET 2022 - 19:30
Par Greg Miller de FreightWaves
Lequel des deux est le plus heureux ? Quelqu'un qui gagne 3 millions de dollars à la loterie gaspille ensuite 2 millions de dollars à Vegas, ou quelqu'un qui gagne 1 million de dollars à la loterie et le met à la banque ?
Les expéditeurs de fret conteneurisé sont confrontés au scénario émotionnel inverse. Qui est le moins contrarié si les taux au comptant quintuplent ? Un expéditeur qui a l'habitude de payer 1 500 $ l'équivalent quarante pieds et qui voit soudain les tarifs grimper à 7 500 $ ? Ou celui qui paie 1 500 $ par FEU pendant des années, se fait critiquer avec des taux paralysants de 20 000 $ par FEU, y compris les frais de prime, puis obtient un « soulagement » alors que les taux redescendent à 7 500 $ ?
Personne ne croyait que les taux au comptant de 20 000 $ par FEU à l'automne 2021 étaient durables. Si les taux restaient stratosphériques trop longtemps, cela détruirait la demande de transport et obligerait les régulateurs de la concurrence à intervenir. Comme l'a déclaré le PDG de Hapag-Lloyd, Rolf Habben Jansen, lors d'une conférence téléphonique en novembre :”
Ce processus est maintenant en cours. Mais quelle sera la nouvelle normalité ?
Le meilleur scénario pour les compagnies maritimes est que la flambée des taux de COVID ait acclimaté émotionnellement et financièrement les clients à des coûts de fret plus élevés, et que les taux se stabilisent à des niveaux suffisamment élevés pour générer des bénéfices solides et durables pour les transporteurs maritimes, mais pas si élevés que les autorités de la concurrence interviennent. Pour les expéditeurs, cette nouvelle norme pour les tarifs serait beaucoup plus élevée que les niveaux pré-COVID, mais pourrait sembler une bonne affaire par rapport aux pics historiques.
Indices de taux au comptant de Drewry
L'évaluation hebdomadaire de Drewry pour les taux au comptant de Shanghai à Los Angeles s'est établie à 7 480 $ par FEU jeudi. C'est une baisse de 23 % d'une année sur l'autre et de 1 % d'une semaine sur l'autre. Cette évaluation est maintenant inférieure de 40 % à son sommet de 12 424 $ par FEU fin novembre 2021, mais toujours 5,3 fois plus élevée que les taux à cette période de l'année en 2019.
L'évaluation ponctuelle hebdomadaire de Drewry pour Shanghai à New York était de 10 164 $ par FEU, une semaine fixe sur semaine, en baisse de 14 % sur un an, en baisse de 37 % par rapport au sommet de 16 183 $ par FEU à la mi-septembre – mais toujours quadruple les niveaux de 2019.
- voir graph sur site -
D'une part, une forte baisse des tarifs au cours des neuf derniers mois réduit les coûts pour les expéditeurs (du moins par rapport à l'automne dernier) et montre que le marché fonctionne : les transporteurs maritimes se font concurrence sur les prix pour remplir les créneaux. D'autre part, les tarifs sont toujours très avantageux pour les transporteurs maritimes et les coûts de transport pour les expéditeurs sont toujours considérablement plus élevés qu'ils ne l'étaient avant la COVID.
RépondreSupprimerIndices des taux au comptant Freightos
Différents indices montrent des nombres différents mais les mêmes tendances.
L'évaluation du Freightos Baltic Daily Index (FBX) Chine/Asie de l'Est vers la côte ouest de l'Amérique du Nord était de 7 264 $ par FEU jeudi, en baisse de 65 % par rapport au sommet historique de 20 586 $ par FEU en septembre, mais toujours cinq fois plus que les taux à cette période de l'année 2019.
Le taux FBX Chine / Asie de l'Est vers la côte est de l'Amérique du Nord était de 10 020 $ jeudi, soit moins de la moitié de son niveau record de 22 234 $ par FEU en septembre, mais plus du triple des niveaux pré-COVID.
- voir graph sur site -
La baisse par rapport au sommet est beaucoup plus prononcée pour les indices transpacifiques de Freightos que pour Drewry et d'autres fournisseurs d'indices, car Freightos a commencé à inclure les frais de prime dans sa méthodologie d'évaluation à partir du 28 juillet 2021.
L'espace s'est maintenant libéré et les expéditeurs ne paient généralement plus de primes.
Dafna Farkas, associée au marketing d'entreprise chez Freightos, a déclaré à American Shipper: «Au plus fort de la flambée de COVID, nous nous sommes assurés que les tarifs tout compris se reflétaient en incluant les primes. Nous continuons de veiller à ce que les taux tout compris soient reflétés dans l'indice et, à cet égard, nous n'avons pas modifié la méthodologie. Au niveau des prix, étant donné que les primes ont été largement supprimées en raison de la normalisation de l'industrie, elles ne se reflètent pas vraiment dans le prix de l'industrie.
Marché en « mode attentiste »
S&P Global Commodities (anciennement Platts) a évalué jeudi à 7 100 $ par jour les tarifs de fret de l'Asie du Nord vers l'Amérique du Nord West Coast Freight All Kinds (FAK). C'est une baisse de 25% par rapport au sommet, mais toujours 4,3 fois les niveaux de 2019.
S&P Global a fixé les taux FAK de la côte est de l'Asie du Nord à l'Amérique du Nord à 9 700 $ par jour, en baisse de 19 % par rapport au niveau record, mais de 3,5 fois les niveaux de la mi-juillet 2019.
L'équipe d'expédition de conteneurs de S&P Global a signalé une baisse Asie-États-Unis plus faible que prévu. demande depuis la fin des vacances du Nouvel An chinois en février.
La pression à la baisse sur les taux au comptant se poursuit, a déclaré S&P Global cette semaine, compte tenu de la grande disponibilité d'espace en dehors de la Chine et des petits transporteurs dont le tonnage affrété sous-cote les prix du fret des grands transporteurs principaux (en d'autres termes : la concurrence). Certaines offres ponctuelles de l'Asie du Nord à la côte ouest étaient inférieures à 7 000 $ par FEU, a-t-il rapporté.
George Griffiths, rédacteur en chef du fret mondial par conteneurs chez S&P Global Commodity Insights, a déclaré à American Shipper : « Le marché est juste en mode attentiste pour le moment. Il y a des rumeurs d'autres verrouillages à Shanghai à venir, et certaines inquiétudes que les retards sur la côte est des États-Unis recommenceront à se propager à la côte ouest, mais rien de concret.
RépondreSupprimer"Les niveaux de stocks élevés et la hausse du coût de la vie maintiennent un plafond naturel sur la demande à ce stade. Donc, l'atmosphère est plutôt baissière, n'étant aidée que par le vide [annulé] les traversées que les transporteurs apportent pour essayer de protéger les tarifs.
https://www.zerohedge.com/economics/container-shipping-spot-rates-still-falling-what-will-be-new-normal
Le principal régulateur de l'énergie avertit que l'Allemagne ne survivra pas à l'hiver sans le gaz naturel russe
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 17 JUILLET 2022 - 19:00
L'Allemagne est aux prises avec sa pire pénurie d'énergie depuis des décennies, car elle pourrait ne pas atteindre le seuil de réserves de gaz naturel adéquates avant l'hiver.
Le journal national allemand du dimanche Bild am Sonntag a interviewé Klaus Muller, chef de l'Agence fédérale des réseaux, le régulateur gouvernemental des marchés de l'électricité, du gaz, des télécommunications, de la poste et des chemins de fer, qui a averti que les stocks de NatGas sont « remplis à près de 65 % » et « c'est mieux que au cours des semaines précédentes", mais pas assez pour "passer l'hiver sans gaz russe".
- voir graph sur site -
Le gouvernement allemand fixe un objectif annuel de 90 % d'ici novembre pour les stocks de gaz naturel, et avec près de 3,5 mois avant la date cible, les injections se sont transformées en retraits en raison de la maintenance programmée du gazoduc Nord Stream 1 et d'une vague de chaleur menaçante qui a renforcé la demande d'électricité.
Muller a déclaré que la maintenance programmée de 10 jours de Nord Stream se termine le 21 juillet ou jeudi prochain. La situation énergétique pourrait s'aggraver si l'exportateur de gaz naturel russe Gazprom ne reprend pas ses livraisons ou continue de restreindre les flux.
Lorsqu'on lui a demandé combien de temps jusqu'à ce que les prix de l'énergie diminuent, Muller a déclaré qu'"il n'y a pas eu de hausse significative des prix cette semaine, même si le Nord Stream 1 a été coupé". Il a dit que cela pourrait signifier que "les marchés ont déjà internalisé la perte d'approvisionnement en gaz russe, et nous avons atteint un plateau de prix du gaz".
Berlin a déclenché le mois dernier la deuxième étape de son plan d'urgence national NatGas – la prochaine phase est le rationnement de NatGas. Muller a déclaré qu'il y avait une probabilité croissante de rationnement, ce qui ferait des ravages sur l'économie et les chaînes d'approvisionnement.
L'Allemagne reçoit également du NatGas de la Belgique, de la Norvège et des Pays-Bas, mais la chute des approvisionnements russes indique que l'Allemagne est en retard dans le remplissage de ses installations de stockage pour créer des réserves pour l'hiver.
Le gaz néerlandais du premier mois, la référence européenne, s'échangeait autour de 163 euros par mégawattheure la semaine dernière.
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Une note de recherche récente de la Bank of America a décrit comment un scénario "affreux" de ruptures d'approvisionnement pourrait pousser NatGas à plus de 200 euros cette année et en 2023.
RépondreSupprimerLa situation énergétique en Allemagne se détériore, et plus d'informations sur les flux de gazoducs russes seront disponibles après jeudi, lorsque Nord Stream devrait être remis en service. Supposons que Gazprom étrangle les flux et ou même s'arrête après la fin de la période de maintenance prévue. Dans ce cas, cela entraînera une situation qui déclencherait un désastre économique pour l'Allemagne et le continent cet hiver.
Même si Muller a prédit que l'Allemagne serait indépendante du gaz naturel russe d'ici l'été 2024, l'Europe fait face à deux années d'approvisionnement serré qui continueront d'alimenter l'inflation énergétique et d'écraser les ménages et les entreprises.
Enfin, l'économiste principal de la Deutsche Bank, Eric Heymann, a déclaré vendredi à ses clients que les ménages allemands couperont beaucoup de bois cet hiver et utiliseront des cheminées pour se chauffer comme une alternative bon marché au cher NatGas.
https://www.zerohedge.com/commodities/top-energy-regulator-warns-germany-wont-survive-winter-without-russian-natgas
Qui contrôle vraiment les réserves mondiales de pétrole ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 17 JUILLET 2022 - 16:30
Par Irina Slav de OilPrice.com
Les grands groupes pétroliers aux États-Unis se sont retrouvés la cible de nombreuses pressions pour augmenter la production ces derniers temps, alors que les prix s'envolent dans un marché tendu et en train de se resserrer. Dans le même temps, le gouvernement américain, ainsi que l'UE, ont cherché partout dans le monde pour plus d'approvisionnement. Wood Mackenzie vient d'avoir de mauvaises nouvelles pour eux. Selon de nouvelles recherches du cabinet de conseil en énergie, plus de la moitié – 65 %, pour être précis – des réserves mondiales de pétrole et de gaz sont sous le contrôle de compagnies pétrolières nationales.
La raison pour laquelle c'est une mauvaise nouvelle est qu'en plus des NOC comme Saudi Aramco, QatarEnergy et Adnoc d'Abu Dhabi, ces sociétés comprennent également Rosneft et Gazprom de Russie, la National Iranian Oil Company et PDVSA du Venezuela.
Ces sept sociétés, selon les analystes de Wood Mac, peuvent continuer à produire du pétrole et du gaz à leur rythme actuel pendant les 40 à 60 prochaines années, voire plus, si elles exploitent leur capacité de réserve.
Ce sont les compagnies pétrolières nationales qui ont fait 41 % de toutes les nouvelles découvertes de pétrole et de gaz dans les ressources conventionnelles depuis 2011, ont noté les analystes. De plus, la part des NOC dans les nouvelles découvertes est en augmentation depuis 2018, la poussée de la transition énergétique entraînant l'évolution de leurs stratégies d'exploration, selon le rapport.
Au total, les compagnies pétrolières nationales ont découvert plus de 100 milliards de barils d'équivalent pétrole depuis 2011, selon le rapport, soit le double de ce que les majors pétrolières ont découvert. Mais tout n'est pas rose pour les CNO. Contrairement aux majors, les NOC étaient nettement moins performants dans la commercialisation de ces nouvelles découvertes, ont noté les analystes de Wood Mac.
Les deux tiers de ce que Big Oil a découvert depuis 2011 sont considérés comme viables et avantagés. D'autre part, les deux tiers de ce que les CNO ont découvert sont considérés comme contingents.
Cela pourrait, bien sûr, changer avec la bonne incitation. À l'heure actuelle, cependant, il semble que les NOC, en particulier au Moyen-Orient, n'aient pas beaucoup d'incitation, d'autant plus que les prix commencent à baisser sous le poids des craintes de récession.
Il n'en demeure pas moins que la majeure partie du pétrole et du gaz déjà découverts dans le monde, soit les deux tiers, est sous le contrôle de sept sociétés seulement, dont quatre sont soumises à des sanctions de la part de certains des plus grands groupes pétroliers et gaziers du monde. consommateurs.
On pourrait écarter cela au motif que ces gros consommateurs, face à l'Europe et aux Etats-Unis notamment, s'orientent vers un modèle économique beaucoup moins dépendant des énergies fossiles qu'il ne l'a été jusqu'à présent.
On pourrait faire valoir – et cela a été fait par des organisations comme Ember – que ces barils de pétrole et ces mètres cubes de gaz sont de futurs actifs échoués qui deviendront obsolètes avant le milieu du siècle.
RépondreSupprimerLa validité d'un tel refus ou d'un argument est cependant une autre affaire. Les six derniers mois, et surtout les trois derniers mois, ont suscité de sérieux réexamens des priorités dans les capitales européennes et à Washington. Tous deux sont passés de fervents opposants au pétrole et au gaz à des défenseurs prudents, la sécurité énergétique ayant pris le pas sur les craintes en matière d'émissions pour la première fois depuis des années.
Aussi vrai que cela puisse être, les gouvernements européen et américain, deux des plus gros consommateurs mondiaux de pétrole et de gaz, estiment que ce recentrage sur la sécurité énergétique ne sera qu'une affaire à court terme. Le pétrole et le gaz ne seront nécessaires que pendant quelques années encore, selon leur raisonnement, jusqu'à ce que nous construisions suffisamment de parcs éoliens et de parcs solaires. Le charbon aussi.
Le fait que les acheteurs européens signent des contrats à long terme pour le GNL américain suggère cependant autre chose. Cela suggère une reconnaissance du fait que le pétrole et le gaz pourraient très bien continuer à être nécessaires non pas pour des années mais pour des décennies à venir.
Et il n'y a que sept entreprises qui peuvent continuer à fournir ce pétrole et ce gaz pendant des décennies sans pression réglementaire, gouvernementale ou d'investisseurs activistes du type de celle à laquelle Big Oil a été soumise ces dernières années - une pression qui a affecté ses taux de production. L'avenir appartient donc aux compagnies pétrolières nationales.
https://www.zerohedge.com/commodities/who-really-controls-worlds-oil-reserves
La population de l'UE décline pour la deuxième année consécutive
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 17 JUILLET 2022 - 15:55
La population de l'UE a diminué pour la deuxième année consécutive, reflétant les effets dévastateurs du coronavirus, selon Eurostat.
Comme le détaille Anna Fleck de Statista ci-dessous, la population du bloc avait augmenté d'année en année, atteignant un pic pré-pandémique de 447 485 231 personnes le 1er janvier 2020. Là où il y avait 447 000 548 personnes enregistrées dans le bloc de 27 pays en 2021, le nombre a chuté à 446 828 803 au début de cette année.
Bien que Covid soit probablement le principal contributeur à cette baisse, ce n'est pas la seule cause.
- voir graph sur site -
Infographie : La population de l'UE décline pour sa deuxième année | Statistique
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
L'UE a une population vieillissante, avec une personne sur cinq âgée de plus de 65 ans.
Dans le même temps, moins de bébés naissent, le taux étant passé de 10,2 naissances vivantes pour 1 000 habitants en 2001 à 9,1 en 2020, selon le rapport Démographie de l'Europe 2022 d'Eurostat.
Cela signifie que l'évolution naturelle de la population de l'UE est négative. Alors qu'il en est ainsi depuis une dizaine d'années, cette baisse a été masquée par l'impact positif net de la migration, qui a été temporairement gelé en raison des interdictions de voyager liées à la pandémie.
Les données arrivent alors que le monde approche de la barre des 8 milliards. Malgré des déclins naturels en Europe et dans plusieurs autres pays, le monde voit dans l'ensemble des chiffres continuer à grimper, bien qu'au taux de croissance le plus lent depuis 1950. L'Inde devrait devenir le pays le plus peuplé de la planète à partir de 2023, dépasser la Chine, selon l'ONU. Une population croissante signifie qu'il y aura une plus grande demande de nourriture, d'eau et d'énergie, ce qui exercera une pression accrue sur les ressources mondiales.
https://www.zerohedge.com/economics/eu-population-declines-second-straight-year
Si 2 milliards de piqués morts dans le monde combien de piqués dans l'UE ?
SupprimerUn producteur laitier néerlandais doit abattre 95 % de ses vaches
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 17 JUILLET 2022 - 15:20
Écrit par Nathan Worcester via The Epoch Times
Aux Pays-Bas, le producteur laitier Martin Neppelenbroek est proche de la fin de la ligne.
De nouvelles réglementations environnementales l'obligeront à réduire son cheptel de 95 %. Il pense qu'il devra vendre sa ferme familiale.
« Je ne peux pas gérer une ferme à 5 %. Pour moi, c'est fini et fini », a-t-il déclaré dans une interview du 7 juillet avec The Epoch Times.
« Au vu de la réglementation, je ne peux le vendre à personne. Personne ne veut l'acheter. [Mais] le gouvernement veut l'acheter. Et c'est pourquoi ils [ont] ces règlements, je pense.
Neppelenbroek a fait ces remarques lors d'une conversation avec Roman Balmakov, animateur de "Facts Matter" sur EpochTV, lors du récent voyage de Balmakov aux Pays-Bas.
Neppelenbroek a souligné que tous les agriculteurs ne sont pas tenus de se débarrasser d'autant de leur bétail.
Les personnes vivant plus loin des zones protégées par Natura 2000, un accord de l'Union européenne (UE) pour la préservation des espèces et de l'habitat, peuvent posséder plus de bétail.
En effet, les réglementations du gouvernement néerlandais sur les émissions d'oxydes d'azote et d'ammoniac sont liées à la proximité des sites avec ces zones protégées.
Des agriculteurs, des camionneurs et d'autres personnes à travers les Pays-Bas ont mené des manifestations à l'échelle nationale contre cette vision, en partie stimulées par un plan national et régional du 10 juin visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre d'azote.
Il y a une épée de Damoclès suspendue au-dessus d'eux : la possibilité d'une saisie forcée des biens par le gouvernement.
NOS Nieuws a rapporté que Christianne van der Wal, ministre de la nature et de la politique de l'azote du pays, n'a pas exclu l'expropriation des terres des agriculteurs non coopératifs.
Selon un rapport du service de l'agriculture étrangère du département américain de l'Agriculture, le gouvernement néerlandais a déclaré que son approche signifie "qu'il n'y a pas d'avenir pour tous les agriculteurs [néerlandais]".
Pour l'instant, la propriété de plus de 70 acres de Neppelenbroek abrite environ 130 vaches laitières. Il est dans sa famille depuis un demi-siècle.
"Je suis de la deuxième génération", a-t-il déclaré, ajoutant que de nombreuses fermes aux Pays-Bas appartenaient à des familles depuis bien plus longtemps.
Les Pays-Bas pèsent bien au-dessus de leur poids dans l'agriculture. Le petit pays côtier est l'un des 10 premiers exportateurs alimentaires au monde.
"Lorsque vous n'avez pas beaucoup d'espace, vous devez l'utiliser aussi efficacement que possible", a déclaré Neppelenbroek.
« C'est un delta, et le climat n'est ni trop chaud, ni trop froid. C'est un endroit idéal pour grandir. »
Les vaches, a reconnu Neppelenbroek, produisent beaucoup d'ammoniac à travers leurs déchets corporels.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/dutch-dairy-farmer-faces-having-cull-95-percent-his-cows
Désespéré pour les alternatives énergétiques, l'Europe verse des milliards dans la recherche sur l'hydrogène
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 17 JUILLET 2022 - 14:45
Alors que la plupart des pays de l'UE attendent de voir si la Russie rallume le gaz après l'arrêt pour maintenance de Nord Stream 1 ce mois-ci, la Commission européenne a approuvé un paquet de 5,4 milliards d'euros pour la recherche et le développement de l'hydrogène.
L'hydrogène est souvent salué à tort comme la solution au « changement climatique » et aux émissions de carbone (qui ne constituent en aucun cas une menace légitime pour la planète, comme le montrent les propres données de température de la NOAA et la simple augmentation de 1 degré Celsius des températures mondiales dans le siècle passé).
L'hydrogène est une technologie notoirement difficile à produire en termes d'efficacité. Pour que l'hydrogène soit complètement vert, il doit être produit par électrolyse de l'eau, qui se divise en H2 et O dont il est fait au lieu de produire du carbone supplémentaire, tout comme l'essence. Les piles à combustible à hydrogène s'avèrent constamment inférieures aux normes et perdent 30 % de leur énergie lors du processus de séparation du H2 de l'oxygène, en plus de la perte d'énergie de 26 % due au transport de l'eau électrolysée.
Pourquoi les dirigeants de l'UE continuent-ils à rechercher des technologies de conte de fées alors qu'ils ont déjà accès à la production d'énergie verte sous la forme d'énergie nucléaire ? Alors que l'énergie nucléaire est souvent diabolisée par les écologistes, il s'agit d'une véritable source "zéro émission" qui est déjà développée et qui attend d'être utilisée. S'ils se souciaient réellement d'une réduction immédiate de la production de carbone, les gouvernements cesseraient de gaspiller leur temps et leurs impôts sur des parcs éoliens terriblement inefficaces et des technologies de rêve comme l'hydrogène et se concentreraient sur des sources d'énergie «propres» qui ont déjà fait leurs preuves.
Le principal inconvénient de l'énergie nucléaire est son coût, qui est d'environ 15 milliards de dollars par centrale. Mais l'UE a déjà dépensé 232 milliards de dollars de 2014 à 2020 pour des initiatives sur le changement climatique qui ont apparemment été inutiles car elles répandent encore l'hystérie sur le réchauffement climatique à ce jour. Ils auraient pu construire des dizaines de centrales nucléaires à travers l'Europe à cette époque et en finir.
Mais ils ne le feront pas, parce que les mouvements sur le changement climatique ne concernent pas la science, ils concernent l'idéologie, et une partie de leur idéologie consiste à faire tomber l'industrie et à saper le capitalisme. L'énergie nucléaire ne correspond pas à l'image et fonctionne un peu trop bien pour l'industrie, alors ils l'ignorent.
Entre-temps, les nations européennes individuelles commencent à se rendre compte qu'elles sont mises en place pour un désastre en termes de leurs économies et de leur capacité à fournir de la chaleur pendant les mois les plus froids. Certains reviennent à des veilles fiables comme le charbon alors que les questions sur l'approvisionnement en gaz russe persistent.
RépondreSupprimerIl semble que l'UE est sur le point d'être humiliée et qu'elle va devoir réapprendre la nature des priorités. La plus grande priorité de toutes est la survie, et presque personne dans la population ne se souciera des émissions de carbone ou de la recherche sur l'hydrogène au milieu d'une crise énergétique en plein hiver.
https://www.zerohedge.com/energy/desperate-energy-alternatives-europe-pours-billions-hydrogen-research
Alors qu'après la guerre ont été abandonnées ces 'bombes à roulettes' (en cas d'accident y a plus de vitre à 1 km à la ronde !), revoici l'immigration choisie !
SupprimerPrix des carburants : la bonne idée des LR
RépondreSupprimerLes Républicains suggèrent de ramener le prix du litre entre 1,8 euro et 1,5 euro en jouant à la fois sur la TVA et la TICPE.
Philippe Charlez
le 18 juillet 2022
Lors de son allocution du 14 Juillet, le Président de la République fût comme à l’accoutumée excellent dans son analyse. En déclarant que « la France essuie les conséquences de la guerre en Ukraine, notamment sur les prix de l’énergie », on peut toutefois lui reprocher de ne pas avoir suffisamment insisté sur les causes profondes de la crise énergétique apparue à l’été 2021. Cette dernière repose principalement sur une rupture structurelle offre/demande dont les sources remontent à 2015. Un problème évident dès 2018 et sur lequel je me suis exprimé à de nombreuses reprises dans Contrepoints. La crise ukrainienne ne fût qu’un révélateur de la crise énergétique sous-jacente.
En revanche, on peut se montrer beaucoup plus critique sur les solutions proposées pour alléger la facture des Français.
Un problème de taxes
En choisissant comme principal palliatif un « système qui ciblera davantage les foyers les plus modestes et les classes moyennes », le chef de l’État reste fidèle à l’obsession égalitariste française. Si la mesure est votée au Parlement, il en résultera une usine à gaz truffée d’effets de seuil sur les revenus et les kilomètres parcourus. En agissant de la sorte, Bercy n’apaisera pas la colère des Français. Il alimentera au contraire l’amertume de ceux qui en seront exclus.
Source
Mais surtout, le président de la République a passé sous silence que l’État était le principal bénéficiaire de cette situation. Avec une TICPE frôlant les 70 centimes et une TVA de 20 % s’appliquant à la fois sur le prix HT mais aussi sur la TICPE (la fameuse taxe sur la taxe !), l’État français est l’incontesté champion européen de la taxation sur les carburants. Sur les 2,15 euros que vous payez à la pompe, la moitié se retrouve dans les caisses de Bercy. Face à la gourmandise de l’État français, les compagnies pétrolières pourtant vilipendées par les médias et l’opinion publique apparaissent comme de bien piètres joueurs ! Si en lieu et place d’un inefficace saupoudrage qui ne contente personne (il aura coûté sur l’année la bagatelle de 60 milliards d’euros), le gouvernement avait décidé de ramener la taxe sur les carburants à la moyenne européenne, le prix du litre aurait diminué de 30 centimes. En se calquant sur les taxes imposées outre-Rhin, Bercy aurait fait économiser au citoyen français près de 50 centimes par litre.
Face à un gouvernement borné dans ses certitudes (chacun le sait, un politique ne se trompe jamais) l’opposition essaye d’exister en proposant des solutions diverses et variées.
Ne nous étendons pas sur l’idée folle de la Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale qui propose de bloquer les prix des carburants à leur niveau de début 2021 en faisant payer (lutte des classes oblige) les distributeurs et les compagnies pétrolières. Quel industriel accepterait de vendre à perte ? Dès la promulgation de la loi, les pompes à essence se videraient instantanément. La réponse serait la pénurie généralisée.
RépondreSupprimerUne baisse de la TVA bienvenue pour réduire les prix des carburants
En revanche les propositions du Rassemblement national (ramener la TVA de 20 % à 5,5 %) mais surtout de LR iraient dans le bon sens. Les Républicains suggèrent de ramener le prix du litre entre 1,8 euro et 1,5 euro en jouant à la fois sur la TVA et la TICPE. Leur proposition est de supprimer totalement la TVA sur la TICPE (« la taxe sur la taxe » est moralement inacceptable) puis de moduler périodiquement la TICPE (TICPE flottante) pour ramener le prix du litre de carburant entre 1,8 euro (fourchette haute) et 1,5 euro (fourchette basse). La mesure est simple à mettre en œuvre puisqu’elle s’applique à tous de façon indifférenciée. Elle a l’avantage décisif de fixer un prix protégeant le consommateur des aléas du marché.
Compte tenu des prix actuels, cela reviendrait à concéder une réduction comprise entre 0,3 euro et 0,6 euro par litre (sur base d’un prix actuel de 2,1 euros/litre). L’option à 1,80 euro consisterait à ramener la fiscalité française dans la moyenne européenne alors que les options à 1,70 euro et surtout à 1,50 euro placeraient la France dans la fourchette basse de la taxation européenne. Le manque à gagner est certes significatif pour l’État (en référence à l’année fiscale 2021) : 22,8 milliards d’euros (pour 1,50 euro) et 8,8 milliards d’euros (pour 1,80 euro). Loin des 60 milliards d’euros (one shot) dilapidés par l’État cette année.
Forte de son opposition « constructive », LR semble décidé à négocier cette mesure pertinente en échange de son vote pour le package pouvoir d’achat proposé par le gouvernement. Piégé par sa majorité relative, ce dernier risque de ne pas avoir le choix. Dans cette situation parlementaire inédite pour la Cinquième République, la droite française pourrait-elle enfin faire une cure de vrai libéralisme. Moins d’impôts mais moins de dépenses publiques. Peut-on encore en rêver ?
https://www.contrepoints.org/2022/07/18/435214-prix-des-carburants-la-bonne-idee-des-lr
L'escroquerie est le droit de s’arroger la part des autres pour dire 'on vous le rendra ! (quand les poules auront des dents ! puisqu'on est en république et que cette dictature est contre la Démocratie).
SupprimerMais au lieu de regarder les dictateurs les plus proches, qu'en est-il des autres pays lointains ?
Voici les réformes prioritaires pour sauver la France
RépondreSupprimerCopier les politiques de ceux qui ont réussi, c’est non seulement une façon de se tirer d’un mauvais pas mais c’est construire l’Europe.
le 18 juillet 2022
Xavier Fontanet
Aux dernières rencontres d’Aix, notre ministre de l’Économie Bruno le Maire expliquait à juste titre qu’il n’y avait rien de plus choquant que tant d’entreprises cherchent des salariés et au même moment toujours autant de chômage. Pour lui cette inadéquation était le deuxième sujet à traiter après la priorité du pouvoir d’achat.
Et si ces deux maux étaient tout simplement les deux conséquences d’un problème plus profond à régler ?
Le poison du keynésianisme à long terme
Appliqué trop longtemps le keynésianisme n’est-il pas plus un poison qu’un remède ? Et plus fondamentalement fonctionne-t-il en économie ouverte ?
Sans nous en rendre bien compte, nous payons aujourd’hui toute une série de décisions prises depuis une cinquantaine d’années.
1973 a vu coïncider la première crise de l’énergie et l’arrivée de nouveaux dirigeants politiques, Valéry Giscard d’Estaing succédant à Georges Pompidou. Ce n’était pas seulement une affaire de personnes mais une évolution très profonde de la philosophie économique. Le keynésianisme a alors été introduit par Lionel Stoleru et a succédé à la vision de Jacques Rueff qui suggérait au Général de Gaulle un État léger (30 % du PIB était la norme à tenir). Le mot d’ordre étant que dans un monde concurrentiel il faut être compétitif. Cela valait pour la sphère privée comme pour la sphère publique.
Lionel Stoléru vantait au contraire les effets positifs de la dépense publique comme stimulant de l’économie, fut-ce au prix d’un déficit public significatif. En 1973 se posait un problème réel de croissance avec le quadruplement du prix du pétrole. À cette époque, tous les pays ont adopté un gonflement conjoncturel des dépenses publiques mais y ont rapidement mis fin. La France est le seul pays à avoir accepté des déficits publics durant cinquante années. Le micro a été généreusement donné aux économistes keynésiens, les politiques n’étant par ailleurs pas mécontents de trouver une justification intellectuelle à un laxisme financier finalement assez commode.
Le problème c’est que 50 ans de déficit font grimper la dépense publique qui frôle aujourd’hui les 60 % du PIB. Cet écart par rapport à nos voisins, dont les sphères publique et sociale se situent autour de 40% du PIB, se retrouve dans le prix de revient de nos entreprises, il freine les exportations et est assurément une des raisons expliquant la désindustrialisation du pays.
Les prédictions de Jacques Rueff se sont donc réalisées.
RépondreSupprimerLa segmentation rapide de l’économie
Un détour sur la nature profonde de l’économie n’est pas inutile. Elle s’est profondément transformée. Combien d’entreprises dans l’économie moderne ? entre 3 et 4 millions, un chiffre considérable. Curieusement, l’économie s’est peu intéressée à cette problématique qui s’apparente à un grouillement de métiers interagissant les uns avec les autres. Si on considère qu’il existe 10 entreprises par créneau, cela équivaut à plusieurs centaines de milliers de créneaux. Le phénomène s’accélère actuellement avec Internet qui substitue ou fait éclater les anciens métiers.
Prenons l’exemple d’un seul créneau, le café soluble.
On est proprement stupéfait devant toutes ces techniques auquel ce métier fait appel : la production du café pour laquelle des régions entières, depuis des milliers d’années, se sont livrées une farouche concurrence pour produire les meilleurs cafés ; la transformation du café (torréfaction, production de la poudre…) ; et toutes les technologies utilisées dans les machines qui se sont succédé. Ce seul métier est un univers rempli de savoir-faire complexes et changeants.
Pour que cette économie fonctionne bien, il faut assurer une fluidité entre les créneaux qui décroissent et ceux qui les remplacent. Il faut donc pour cela un marché du travail fluide et des fiscalités raisonnables sur les dividendes et l’investissement, faute de quoi la croissance est freinée. Des progrès ont été récemment enregistrés avec le Prélèvement forfaitaire unique et une baisse des impôts de production est annoncée, mais sur 50 ans l’économie privée a souffert. C’est une des causes évidentes du chômage français, plus important que celui observé chez nos voisins.
L’apprentissage en entreprise
Il doit être la pierre angulaire de l’Éducation nationale.
Se pose alors la question : comment préparer nos jeunes à trouver leur place dans un monde si changeant ? Il ne peut pas y avoir une école pour chaque métier. Il faut réfléchir en termes de tronc commun, mais lequel ? Ce travail demande à l’évidence des échanges harmonieux confiants et réguliers entre l’école et l’entreprise.
Contrairement à ce qui se passe dans beaucoup de pays, notamment en Suisse, trop de méfiance règne encore même si les progrès depuis quelques temps sont évidents. Nombre d’enseignants considèrent encore l’entreprise comme un monde brutal, égoïste et rapace dont il faut protéger les élèves le plus longtemps possible. C’est un énorme handicap qu’il va falloir progressivement combler. Ce n’est pas si difficile, il suffit d’aller regarder de l’autre coté de nos frontières.
Tous ceux qui ont voyagé vous diront que le modèle mondial à copier est la Suisse qui a développé des systèmes d’apprentissage dans lesquels on permet aux enfants dès l’âge de 12 ans de travailler en entreprise.
RépondreSupprimerLes Suisses ont installé deux filières : une filière générale et une filière technique, un système dual pour montrer qu’il n’y a pas de hiérarchie entre elles ; les ponts sont constants, c’est-à-dire qu’un enfant peut repasser de la filière technique à la filière générale quand il le souhaite. Les Suisses ont constaté et démontré que certains enfants avaient un sens concret naturellement plus développé, et d’autres étaient davantage portés sur l’abstraction. Contraindre les premiers à suivre une filière générale leur fait perdre leur temps et diminue l’efficacité de leur classe en freinant les seconds.
Il existe en fait un consensus mondial sur le tronc commun : apprendre à s’exprimer, avoir une bonne orthographe, savoir calculer, connaître l’histoire, la géographie, les grandes civilisations, une autre langue que la langue maternelle, des idées simples sur le bilan et le compte d’exploitation d’une entreprise. Peut-être plus important que tout, apprendre à apprendre car ils auront à le faire tout au long de leur vie.
Le conseil le plus important à donner aux responsables de l’Éducation nationale est de se rendre aux Pays-Bas et à Singapour pour constater comment les systèmes éducatifs se sont adaptés. Tous ces pays ont pour caractéristiques d’avoir un taux de chômage extrêmement faible ; de son côté, la Suisse a recours aux transfrontaliers pour satisfaire sa demande d’emplois.
L’apprentissage se développe en France, c’est une bonne nouvelle. Il faut évidemment aller beaucoup plus loin pour combler le retard évident qui la sépare des meilleurs.
Harmoniser les indemnités chômage avec l’Europe du Nord
Un voyage en Allemagne est utile, ainsi qu’un retour au début des années 2000.
À l’époque, la France fonctionnait bien, elle était faiblement endettée, les dépenses publiques se situaient en dessous des 50 % du PIB. L’Allemagne était l’enfant malade de l’Europe avec des dépenses publiques à 57 % du PIB et un chômage dépassant les 10 %, difficultés liées à la réunification (l’État avait injecté 1500 milliards d’euros à l’Est).
C’est à cette époque qu’on a assisté à des réformes que l’on peut qualifier de structurelles. La priorité du couple Schroeder/Hartz n’a pas été la défense du pouvoir d’achat mais la lutte contre le chômage qui, selon les mots de Schroeder, détruit la société en isolant les citoyens privés de travail. Le chômage est donc le mal absolu. Malgré les difficultés financières de l’État, à l’époque déficitaire et endetté, le principe de solidarité a été maintenu comme ciment de la société. Mais cette solidarité a été combinée avec une forte dose d’exigence. « Nous sommes prêts à aider mais en échange il faut faire un effort », le fameux « fördern und fordern ».
Le mot d’ordre a été la solidarité exigeante, ou « il vaut mieux un job pas tout à fait satisfaisant que l’horreur du chômage même bien payé à la maison ». Les indemnités chômage ont été conçues et calées dans cet esprit, les chômeurs trop difficiles sur les offres proposées perdaient leurs allocations. Cette philosophie associée à une réforme du temps partiel a permis de ramener en cinq ans le chômage sous la barre des 5 %, niveau qui est aujourd’hui la norme dans toute l’Europe du Nord.
RépondreSupprimerÀ l’époque où l’Allemagne prenait ces décisions courageuses, Lionel Jospin était Premier ministre. Denis Olivennes, normalien, énarque et conseiller de Bérégovoy disait que la France avait fait le choix d’un chômage bien rémunéré.
Toucher aux indemnités chômage est un sujet très sensible car évidemment, certains souffrent et ont du mal à se recaser malgré de réels efforts. Mais la tricherie existe aussi, une partie de la population au chômage ne cherche pas de travail tout simplement parce qu’elle n’y a pas intérêt. En accumulant les aides de toutes sortes, on peut très bien rester sans emploi et avoir ponctuellement un travail non déclaré.
L’urgent ne doit pas chasser l’important
Pouvoir d’achat ou chômage ? Où mettre la priorité ? La situation est compliquée, il faut rester unis et ne jeter la pierre à personne… mais éviter que l’urgent ne chasse l’important.
Le pouvoir d’achat est faible à cause des erreurs décrites plus haut. Les économistes n’ont pas assez dit qu’il y a cinquante ans, le le PIB par tête de la Suisse était le même que le nôtre. Il est aujourd’hui 2,25 fois plus élevé. C’est la preuve que les théories keynésiennes ne fonctionnent pas. Les tickets et boucliers concoctés actuellement sont dérisoires au regard de l’écart de pouvoir d’achat avec la Suisse. Il faut donc s’attaquer aux racines des problèmes en calant les indemnités chômage sur ce que font nos voisins et en installant un système performant d’apprentissage.
Copier les politiques de ceux qui ont réussi, c’est non seulement une façon de se tirer d’un mauvais pas mais c’est construire l’Europe.
Sans oublier que la meilleure façon d’aider les Ukrainiens c’est de retrouver rapidement des excédents budgétaires et une compétitivité qui permettront de les soutenir économiquement.
https://www.contrepoints.org/2022/07/18/435333-voici-les-reformes-prioritaires-pour-sauver-la-france
La meilleure des politiques est de laisser le Peuple s'exprimer. Le Peuple, lui il en sait plus que 10 000 ministres ou chefs d’États ! Le Peuple lui il sait où il va et comment faire. Les dictateurs ignorent tout de cela. Il mènent des politiques trisomiques d'attardés mentaux sortis de grandes écoles de foutoirs. Ils parlent d'employer de l'argent (des milliards) dans des éoliennes ! des panneaux solaires !! de l'hydrogène ! condamner le gaz carbonique !! l'azote et demain l'oxygène !! Voilà où on en est ! On est dans la merde gouvernementale.
SupprimerLa merde qui illumine le monde !
A COURT DE GAZ - LES TENSIONS AUTOUR DE L'ÉNERGIE RUSSE S'INTENSIFIENT
RépondreSupprimerpar STÉPHANE MONIER
18/07/2022
Les cours du pétrole ont chuté de 15% entre début juin et début juillet 2022.
L'Europe est confrontée à une nouvelle pénurie de gaz et risque de souffrir encore de ruptures d’approvisionnement. La crise énergétique et les efforts déployés par l'Occident pour plafonner les revenus du gaz et du pétrole russes attisent les craintes de récession, et les pays recherchent des sources alternatives. Ces craintes ont fait reculer les cours des matières premières. Dans un marché où l'offre est limitée, nous pensons que les chances sont faibles de les voir baisser davantage.
Les livraisons de gaz russe à l'Allemagne ont reculé de plus de 40% en juin comparativement au mois de mai. Elles sont désormais sur le point de s'interrompre. À partir du 11 juillet, le gazoduc Nord Stream 1 fera l’objet d’une maintenance annuelle de routine. L'Allemagne craint que les livraisons ne reprennent pas comme prévu dix jours plus tard. Les flux via le gazoduc russe sont nécessaires pour remplir les réserves du continent durant les mois d'été. Moscou ayant réduit les flux gaziers acheminés vers l'Europe, la Russie livre désormais 53 % de gaz en moins vers le continent relativement à sa moyenne d’avant le début de la guerre, selon les estimations de J.P. Morgan. En raison de ces ruptures d'approvisionnement, l’Europe pourrait entrer dans l'hiver – au moment où la demande en chauffage est à son maximum – avec des niveaux de stockage très inférieurs à son objectif de 80%. En Europe, les prix du gaz ont plus que doublé depuis début juin. Un rationnement pourrait être imposé, ce qui pourrait faire basculer le continent dans la récession.
La guerre en Ukraine redessine les réseaux énergétiques mondiaux. Le G7 discute d’un éventuel plafonnement des prix du pétrole et du gaz russes. L'Europe veut se sevrer de sa dépendance au gaz russe et a réduit ses importations de 40 % à 24 % de son approvisionnement total. À court terme, trouver des sources d'approvisionnement alternatives n’est pas aisé, et la mise en place de nouvelles sources d’énergies renouvelables prend du temps. Depuis l'invasion de l'Ukraine, les États-Unis ont augmenté leurs livraisons de gaz naturel liquéfié (GNL) vers l'Europe, triplant leur part par rapport à 2021, pour atteindre en mai 15 % du total des approvisionnements. Cependant, le mois dernier, la capacité de production américaine a été affectée par l’incendie d’une usine au Texas. Les autres sources de GNL sont confrontées à une demande extrêmement élevée, et les terminaux d'importation européens fonctionnent déjà à plein régime. Avec la réouverture de son économie, la Chine se profile comme une concurrente sérieuse de l’Europe sur ce terrain.
La pénurie de gaz ne sera pas ressentie de manière uniforme de part et d’autre du continent. L'Allemagne, l'Italie et la Finlande comptent parmi les pays les plus dépendants des importations russes, alors que les Pays-Bas, la Roumanie et l'Irlande sont moins concernés. L'Allemagne ne dispose d'aucun terminal GNL sur son sol et prévoit d’en construire deux. Par ailleurs, elle doit interrompre la fermeture de ses centrales électriques au charbon. La Belgique a reporté son projet d'abandon progressif de l'énergie nucléaire. Le commerce du gaz entre les pays a permis d'amortir les chocs passés. Mais on craint désormais que le nationalisme ne triomphe: le Royaume-Uni parle déjà de couper l'approvisionnement à l'Europe en cas d'urgence. Les fabricants d'engrais, de produits chimiques, d'acier et d'aluminium sont inquiets, car les autorités prévoient de donner la priorité à l'approvisionnement des ménages, des hôpitaux et des écoles si nécessaire.
RépondreSupprimerMauvaises nouvelles pour l'inflation, une fois encore
Le resserrement de l'approvisionnement en gaz pourrait accroître les pressions inflationnistes. Dans la zone euro, les prix à la consommation ont connu en mai une hausse record de 8,1% par rapport à l'année précédente, et devraient atteindre 8,6% en juin, selon la Commission européenne. D’après ses calculs, les prix de l'énergie représenteront près de 42% de cette hausse.
Les prix élevés de l'énergie tempèrent déjà la demande, même aux États-Unis. Nous estimons que l’enlisement de la guerre en Ukraine et les ruptures d'approvisionnement qui en découlent amputeront la croissance mondiale de 1% cette année, même si la croissance de la zone euro pourrait rester solide à 2,5 %, grâce au rebond post-pandémie. Si l’acheminement de gaz via Nord Stream 1 devait ne pas redémarrer, les conséquences économiques seraient plus graves. Il convient toutefois de noter que, malgré une certaine capacité à augmenter le flux chinois, la Russie a peu d'acheteurs de remplacement pour son gaz transporté par gazoducs, du fait que ces derniers pointent principalement vers l'ouest.
Pétrole alternatif
Les cours du pétrole, baromètre de la croissance mondiale, ont chuté de 15 % depuis le pic du 8 juin, les marchés anticipant le risque accru d'une récession aux Etats-Unis et en Europe en 2023. Que se passera-t-il dans les mois à venir? L'offre pétrolière apparaît limitée. La libération des réserves stratégiques offre une solution à court terme, mais elles devraient reculer au troisième trimestre. Bien qu’historiquement, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) ait bien géré la demande ainsi que toute une série de chocs d’offre, sa capacité à accroître sa production est restreinte. En effet, bon nombre de ses membres peinent à atteindre les objectifs de production actuels. Il est peu probable que le schiste américain comble le déficit. Le secteur n'a toujours pas renoué avec ses niveaux de production d’avant la pandémie et les installations de raffinage sont en difficulté.
Nos analyses suggèrent également qu’il faudrait une récession majeure aux États-Unis pour compenser la perte de pétrole russe. Tant que nous restons dans un scénario de récession américaine modérée (notre scénario de base pour 2023), la demande ne devrait pas baisser suffisamment pour impacter sérieusement l'équilibre du marché pétrolier. La réouverture de l’économie chinoise contribuera à stimuler la demande. Le tourisme européen a retrouvé son niveau d’avant la pandémie tandis qu’il décolle en Chine, même si les indicateurs de mobilité aux États-Unis et en Europe ont faibli ces dernières semaines. Tant que nous éviterons une récession sévère, nous pensons que le pétrole continuera à se négocier au-dessus de 100 USD/baril jusqu’à fin 2022, avant de baisser progressivement en 2023.
RépondreSupprimerQuels effets auront les efforts occidentaux pour réduire les revenus pétroliers de la Russie? Les dirigeants européens ont déjà convenu de mettre fin, d'ici la fin de l'année, aux importations de pétrole russe qui pesaient 69 milliards USD en 2021 selon la Banque mondiale. Le plafonnement des prix des exportations russes de pétrole envisagé par le G7 sera difficile à mettre en œuvre. Contrairement aux marchés du gaz, il est plus aisé pour les producteurs et les acheteurs de pétrole de trouver d'autres clients, sources et voies de distribution.
L'impact des sanctions américaines et européennes a été décevant jusqu’à présent. L'approvisionnement russe s’est détourné vers d'autres pays comme la Chine, l'Inde et la Turquie. Un hypothétique plafonnement des prix à environ 50 USD le baril semble attrayant en théorie. L'interdiction de l'assurance maritime pour les expéditions peut représenter un moyen pour essayer d'empêcher la circulation du pétrole russe, mais l'expérience iranienne démontre qu'il existe des moyens pour contourner les embargos. Les assureurs russes et ceux des pays acheteurs, dont l'Inde, couvrent déjà les navires pétroliers.
Perspectives pour les matières premières
Même après les récentes baisses, les prix des matières premières (mesurés par l'indice S&P GSCI) sont en hausse de 22 % depuis le début de l'année. Depuis le début de la guerre en Ukraine, nous avons investi dans un panier diversifié de matières premières, notamment l'énergie, les métaux industriels et l'or. Nous maintenons cette surpondération à titre de couverture contre l'inflation et les risques géopolitiques, notamment le risque que les mesures de représailles russes à toute nouvelle sanction occidentale ne se traduisent par une flambée des cours du pétrole.
En dépit des inquiétudes liées à la croissance cyclique, les métaux industriels bénéficient des moteurs de croissance structurels comme les projets d'infrastructure et la production de batteries dans le cadre de la transition énergétique. Nos perspectives pour les prix du pétrole, de l'or et du cuivre sont plus positives que celles du consensus, compte tenu des marchés tendus, d’une offre restreinte et de la faiblesse des stocks. Bien entendu, historiquement, les cours des matières premières ont baissé en période de ralentissement économique et si le risque d'une récession sévère aux Etats-Unis augmente – un scénario auquel nous attribuons une probabilité non négligeable de 30% – nous ajusterons notre positionnement. Cela pourrait inclure le remplacement de notre exposition aux matières premières au sens large par une allocation à l'or, actif refuge traditionnel, une fois que les taux d'intérêt seront plus proches de leur pic.
RépondreSupprimerhttps://economiematin.fr/news-gaz-tensions-energie-conflit-ukraine-russie-monier
FIN DU TICKET DE CAISSE : CRÉEZ-VOUS UNE « ADRESSE MAIL POUBELLE »
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
13/07/2022
Le prix d'une caisse enregistreuse classique s'estime entre 100 et 700 euros.
La fin du ticket de caisse est annoncée pour 2023 en France. Une mesure plus symbolique qu’autre chose pour soi-disant lutter contre le réchauffement climatique (bien que cette thèse soit critiquée). Mais ce sera surtout une aubaine pour la grande distribution qui va collecter des millions de données personnelles. Les Français ont donc tout intérêt à prendre des mesures pour éviter de se faire harceler de publicités.
Le ticket de caisse envoyé par mail ou par téléphone
L’inquiétude grandit, chez les associations de consommateurs. Interrogé par BFMTV à ce sujet, Ralph Roggenbuck, juriste au Centre européen de la consommation, estime que la fin du ticket de caisse papier pourrait permettre aux distributeurs de faire du « ciblage ». Car la loi est claire : le magasin doit toujours éditer un ticket de caisse, il sera juste dématérialisé. Le changement surviendra le 1er janvier 2023.
Dans les faits, les consommateurs auront le choix : soit ils demandent explicitement le ticket de caisse papier au moment du passage en caisse (et l’impression ne peut pas leur être refusée), soit ils donnent une adresse mail ou un numéro de téléphone et reçoivent le ticket de caisse de manière dématérialisée. Mais pour ce faire, il faudra aussi donner, aux entreprises, d’autres informations personnelles comme le nom ou encore l’adresse personnelle.
Pour les enseignes, c’est une véritable mine d’or que ces données : elles pourront les utiliser pour envoyer de la publicité, comme des prospectus dématérialisés, des promotions…
Une « adresse mail poubelle » pour ne pas être submergé par les spams
Les consommateurs qui ne voudraient pas risquer de recevoir des dizaines de mails inutiles avec des promotions qu’ils ne regarderont même pas, des jeux-concours ou tout simplement des publicités, peuvent facilement contourner le problème. Il suffit simplement de créer une adresse mail qui ne sera utilisée que pour recevoir les tickets de caisse.
Créer une adresse est simple, rapide et gratuit. Et ce système aura un double avantage : d’un côté, les entreprises ne pourront pas noyer les mails importants de votre boîte principale avec des publicités inutiles ; de l’autre, tous les tickets de caisse seront rassemblés sur une même adresse mail, ce qui les rendra facilement consultables. Mais attention à ne pas en perdre les code d'accès.
Et, de plus, il est possible de s’amuser lors de la création de l'adresse mail poubelle pour les tickets de caisse. Peut-être pour faire passer un message ?
https://economiematin.fr/news-ticket-caisse-fin-adresse-mail-poubelle-solution
Comment voler la clientèle ? Annoncer en gros u prix très bas et, passage à la caisse payer le prix plafond ! (bien sûr là ils vous diront que l'article n'était pas au bon endroit dans le rayon et que vous avez cru que...)? Çà, c'est TOUS LES JOURS que çà se passe ! TOUS LES JOURS !
SupprimerAlors, la fin des tickets de caisse c'est un peu comme la posologie qui OBLIGATOIREMENT doit accompagner tous vaccins. Oui mais là comme il ne s'agit pas d'un vaccin mais d'une PIQÛRE LÉTALE appelée expérimentation génique d'essai...
(...) Le prix d'une caisse enregistreuse classique s'estime entre 100 et 700 euros. (...)
Le prix d'un putain d'employé de banque à la con est cent fois plus cher !
Non aux banques ! Gardez votre pognon chez vous vous serez sûr de le retrouver !
Le Premier ministre japonais met en garde contre la pénurie d'énergie et ordonne l'activation de jusqu'à neuf réacteurs nucléaires cet hiver
RépondreSupprimerDimanche 17 juillet 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Le Premier ministre japonais Fumio Kishida a demandé à son ministre de l'Industrie d'avoir jusqu'à neuf réacteurs nucléaires opérationnels cet hiver alors qu'il mettait en garde contre une crise énergétique potentielle.
Kishida a annoncé cette décision le jeudi 14 juillet lors d'une conférence de presse dans le cadre de mesures visant à faire face à la hausse des prix de l'énergie dans le monde.
"Il y a des inquiétudes concernant une pénurie d'électricité cet hiver", a déclaré Kishida. "Nous devons empêcher cette situation."
Le ministère japonais de l'Économie, du Commerce et de l'Industrie a déclaré qu'il ferait tout son possible pour que neuf réacteurs nucléaires soient opérationnels d'ici l'hiver. Ces réacteurs couvriront environ 10% de la consommation électrique du Japon et contribueront à renforcer l'approvisionnement énergétique du pays pendant les heures de pointe.
Le Japon est actuellement aux prises avec des approvisionnements en électricité limités en raison de la mise hors service de centrales électriques plus anciennes et de conditions météorologiques extrêmes. Le ministère a émis au moins deux avertissements énergétiques cette année, une fois en mars et une autre le 27 juin. L'avertissement le plus récent concernait le manque d'électricité du pays pendant la vague de chaleur.
En plus des neuf réacteurs nucléaires, Kishida a également ordonné que 10 centrales thermiques supplémentaires soient en service pour l'hiver.
"Si ces mesures sont réalisées, nous serons en mesure de garantir la plus grande capacité d'approvisionnement en électricité que nous ayons eue par rapport aux trois dernières années", a déclaré Kishida.
Il reste encore beaucoup de chemin à parcourir avant que d'autres réacteurs nucléaires ne redémarrent et produisent de l'électricité pour le Japon
Depuis la catastrophe nucléaire de Fukushima en 2011, le Japon n'a autorisé que 10 de ses 33 réacteurs nucléaires opérationnels à redémarrer. Mais la hausse des prix de l'énergie et la menace de pénuries d'énergie lors de conditions météorologiques extrêmes, y compris la vague de chaleur actuelle que connaît le Japon, ont poussé le gouvernement à en réactiver davantage. (En relation: Le point zéro nucléaire de Fukushima reste largement abandonné dix ans plus tard.)
Kishida a renforcé sa rhétorique concernant l'utilisation de l'énergie nucléaire par le pays. Il a demandé au ministère d'accélérer ses redémarrages pour les installations qui ont approuvé les examens de sécurité. Malheureusement, le gouvernement central de Tokyo n'a pas vraiment beaucoup d'autorité quant au moment où les réacteurs nucléaires peuvent reprendre leurs activités, car il existe un processus réglementaire rigoureux qui doit être suivi avant de pouvoir redémarrer les opérations.
RépondreSupprimerSur les 10 réacteurs autorisés à redémarrer, seuls cinq alimentent réellement le pays en électricité, l'un devant être mis hors ligne pendant l'hiver pour subir les examens de sécurité nécessaires.
Le ministre de l'Économie et de l'Industrie, Koichi Hagiuda, a indiqué qu'il prévoyait d'atteindre l'objectif du Premier ministre d'avoir neuf réacteurs en ligne et de produire de l'électricité pour l'hiver en révisant leurs plans de construction actuels. Ces réacteurs sont en cours de restauration pour répondre aux nouvelles normes de sécurité requises avant le redémarrage des opérations.
Hagiuda a ajouté qu'il examinera également leurs plans pour des périodes d'inspection régulières, qui arrêtent les réacteurs pendant des semaines à la fois. "Nous accorderons la plus haute priorité à la sécurité", a-t-il déclaré. "Si l'Autorité de régulation nucléaire approuve leur redémarrage, nous continuerons."
Le ministre a ajouté que le gouvernement central entamera des consultations avec les communautés locales pour obtenir leur approbation pour les redémarrages.
En savoir plus sur les crises énergétiques dans le monde sur NewEnergyReport.com.
Regardez cette vidéo du "Health Ranger Report" alors que Mike Adams, le Health Ranger, parle de la crise énergétique en Europe.
- voir clip sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.
Articles plus connexes :
En prévision de pénuries généralisées de gaz, l'Allemagne annonce des "espaces de réchauffement" pour les citoyens gelés.
Des factures d'énergie « cataclysmiques » à venir : un économiste britannique prévient que les citoyens seront confrontés à des pénuries cet hiver grâce aux politiques insensées du Royaume-Uni en matière d'énergie verte.
INCROYABLEMENT VULNÉRABLE : Si la Russie coupe l'approvisionnement en uranium enrichi des compagnies d'électricité américaines, les réacteurs nucléaires américains fermeront d'ici un an.
RépondreSupprimerUne autre centrale nucléaire a fermé ses portes dans le Michigan alors que le réseau énergétique américain est systématiquement démantelé.
Les sources comprennent :
TheEpochTimes.com
Bloomberg.com
JapanTimes.co.jp
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-17-japan-nuclear-reactors-restart-energy-shortage.html
Onze (11 !) ans pour mettre les tuyaux (chargés de l'approvisionnement en eaux des réacteurs) sur vérins !! ONZE ANS ! HAHAHAHAHA !
SupprimerY a pas a dire ! La putain de dictature impériale japonaise est au sommet !
Quoi que, bien sûr vous me direz qu'ailleurs... C'EST PAREIL ! Oui mais ailleurs... faut pas l'dire !
Le vol de voiture a été effectivement dépénalisé à Londres, car moins de 1 % des voleurs de voitures à Londres sont confrontés à des répercussions juridiques.
RépondreSupprimerdimanche 17 juillet 2022
par : Cassie B.
(Natural News) Le crime de vol de véhicules est si mal géré par la police de Londres qu'il a effectivement été dépénalisé, selon des informations.
Une analyse des données du ministère de l'Intérieur réalisée par The Telegraph a révélé que Scotland Yard n'a résolu que 271 vols sur 55 000 dans la ville l'année dernière, ce qui signifie que leur taux de réussite n'est que de 0,5 %. Seules deux grandes forces de police du pays ont fait pire, les forces de police du Surrey et des West Midlands enregistrant un taux de 0,4% d'accusations de voleurs de voitures.
En comparaison, des forces telles que la police de Dyfed-Powys au Pays de Galles avaient un taux d'enregistrement de 5,6 %, soit 10 fois le taux de Scotland Yard.
Londres est connue pour avoir le taux le plus élevé au Royaume-Uni de vols d'effets personnels dans les véhicules, à 687,51 pour 100 000, selon l'analyse des données. La ville a également fait la une des journaux récemment pour être la pire région du Royaume-Uni pour le vol de voitures, avec 68 voitures volées chaque jour, en moyenne.
Le directeur du groupe de réflexion britannique indépendant sur la police The Police Foundation, le Dr Rick Muir, a déclaré que Londres avait connu une « décriminalisation efficace » des vols de voitures. Il a ajouté que cet échec enhardit davantage de voleurs car ils pensent qu'il est peu probable qu'ils soient appréhendés.
Bien qu'il ait noté que les victimes de tels crimes ne s'attendent naturellement pas à ce que leurs cas soient prioritaires par rapport aux infractions plus graves, le public s'attend à ce qu'elles enquêtent au moins sur les «crimes de pain et de beurre».
«Les services de police vont devoir examiner ces niveaux et décider s'ils ont bien fait les choses. Lorsque les taux d'accusation sont à ce niveau, il n'y a aucune dissuasion de commettre ce type d'infractions et cela pourrait encourager les gens à les commettre à l'avenir », a-t-il commenté.
Un commissaire de police controversé a démissionné au milieu de la controverse et de la hausse des taux de criminalité
Quelques jours avant la publication du rapport, il a été annoncé que la commissaire controversée de la police métropolitaine Dame Cressida Dick serait remplacée par Sir Mark Rowley. On dit que Sir Mark est un partisan de la philosophie des « fenêtres brisées » du maintien de l'ordre rendue célèbre par l'ancien maire de New York, Rudy Giuliani.
Au cœur de l'approche se trouve l'idée que l'application vigoureuse de crimes qui peuvent sembler mineurs, tels que des vandales brisant des fenêtres, envoie un message fort aux criminels qu'un comportement pire ne sera pas accepté. On pense généralement qu'il réduit la criminalité globale, ce que Giuliani a démontré pendant son mandat à la tête de la ville.
RépondreSupprimerEn 1998, il expliquait : « De toute évidence, le meurtre et les graffitis sont deux crimes très différents. Mais ils font partie du même continuum, et un climat qui tolère l'un est plus susceptible de tolérer l'autre.
Le mois dernier, le service de police métropolitain de Londres a été placé sous "mesures spéciales" après avoir échoué à enregistrer environ 70 000 crimes et avoir laissé s'accumuler un arriéré persistant et important d'affaires de maltraitance d'enfants en ligne. Ils seront désormais soumis à une surveillance stricte de la part de l'Inspection HM de la gendarmerie et des services d'incendie et de sauvetage.
Dick a démissionné après que le maire de Londres, Sadiq Khan, lui ait dit qu'il n'était pas satisfait de la façon dont elle avait répondu à un ultimatum pour s'améliorer. Elle a été la première femme commissaire de la force, ainsi que sa première commissaire ouvertement gay. Son mandat a été marqué par des taux croissants d'homicides et de crimes au couteau endémiques.
Au cours de l'année précédant les verrouillages de Covid, Londres a enregistré son plus grand nombre d'homicides en une décennie à 150. En 2020, alors que la ville était sous l'un des verrouillages les plus stricts du pays, ils ont encore vu 126 homicides, dont 15 étaient des adolescents. Les infractions avec des couteaux ou des lames tranchantes, quant à elles, étaient au nombre de 15 600 en 2019-2020 avant le verrouillage ; le chiffre pour 2014-15 n'était que de 9 700.
Les sources de cet article incluent :
InfoWars.com
Express.co.uk
Breitbart.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-17-car-theft-decriminalized-london.html
Le fiasco de Fauci trahit Phake Pharma et Phrauds à venir
RépondreSupprimerPar le capitaine Randall
18 juillet 2022
Notre monopole pharmaceutique et médical doit garder l'origine de la maladie confuse. Ils ont retenu des pratiques efficaces de prévention et de guérison sûres pendant au moins 100 ans pour maintenir leur richesse stratosphérique et leur position clé dans un sombre programme mondial. Les médecins sont liés par des normes de pratique basées sur «La science», dont parle le Dr Fauci et la fausse prémisse selon laquelle «seuls les médicaments peuvent guérir la maladie». Pharmacare est basé sur un méli-mélo d'étiologies en aval (causes) et de traitements coûteux tout en se faisant passer pour l'autorité finale sur tout ce qui est scientifique. « La science » est une religion établie de longue date, source de la « Parole de dieu » et de la conformité covid de la nouvelle/maintenant Inquisition. Je ne dis pas qu'il faut éviter les urgences pour les blessures et les interventions aiguës ; cela peut être une seconde chance en or de s'informer et d'assumer personnellement la responsabilité de votre santé. Parfois, un médicament est la bonne réponse, mais il existe généralement de meilleures réponses plus sûres.
Outre la guerre et le suicide; Les maladies cardiaques, les cancers, les accidents vasculaires cérébraux, la septicémie, la pneumonie et la MPOC (maladie pulmonaire obstructive chronique) sont répertoriés comme les principales causes de décès… avec le diabète qui attend dans le couloir. Heureusement, la plupart sont évitables et traitables si vous connaissez les secrets que l'industrie pharmaceutique protège si chèrement.
Étant donné que plus de maladies signifient plus d'affaires/plus de pouvoir ; l'establishment médical a lancé de nombreux mensonges. Celles-ci incluent la «théorie des germes de la maladie», la plupart du temps fausse, la mythologie du cholestérol / des statines, les vaccinations comme «seul moyen d'immunité», la phobie du soleil et dernièrement avec l'engouement pour les tests génétiques, l'idée boiteuse que vos gènes, avec des millions d'années de survie expérience, sont en quelque sorte responsables de toutes les maladies lorsque l'expression génétique est généralement le problème. Les statistiques réelles montrent que nous avons à peu près la pire santé au monde au prix le plus élevé. Plus de la moitié des Américains sont en proie à une véritable « pandémie » de maladies chroniques évitables et portent un sac d'épicerie rempli d'ordonnances. Le système médical peut vous dire d'arrêter de fumer, de manger plus de légumes et de faire de l'exercice tout en cachant les informations essentielles qu'ils détiennent. C'est drôle comme la pratique clinique de la médecine est standardisée en opposition directe avec des millions de leurs propres études ? Quelques médecins courageux ignorent les normes de pratique, font ce qui fonctionne et sauvent des vies. Je sais très bien qu'il existe des alternatives sûres à "The Science".
Jamais le faux côté de la médecine n'a été aussi évident qu'avec la création criminelle du covid 19. Les mensonges flagrants de « aucun traitement » de Fauci & Co, les verrouillages ineptes, l'étouffement par masque et la pression incessante pour se faire Pfizerized ont été suivis par de « nouveaux médicaments » qui ne fonctionnent pas non plus. Des billions de dollars ont quitté notre trésorerie imaginaire pour le plus gros paiement jamais réalisé pour les shakedowns semestriels de Fauci. Les origines de l'attaque virale armée ont été niées et confuses. Non seulement les données ont été préparées, mais d'horribles pratiques hospitalières ont coûté la vie à de nombreuses personnes lorsque de dangereux vaxxines protéiques à pic d'ARNm ont vu les infections et les décès augmenter ! Les démentis officiels ont également augmenté. Des célébrités, des lecteurs de nouvelles de la CIA et des connards riches comme Bill Gates ont exhorté à la vaccination de masse tout en annulant les anti-vaccins, voire en les faisant virer. L'Amérique a été écrasée par nos "experts" en santé publique qui se sont trompés depuis le début. Vous souvenez-vous d'une escroquerie si énorme, si absurde et si préjudiciable à notre nation ?
RépondreSupprimerLa vraie science n'est pas si compliquée. LA VIE FONCTIONNE EN ÉNERGIE ! La vie existe dans une gamme très étroite de conditions. Il nécessite de l'oxygène O2, de l'eau H2O et des niveaux stricts de nutriments/minéraux/pH. Toutes ces conditions doivent être réunies pour que la vie existe. Comprenez que le pH n'est pas seulement une mesure de l'acidité par rapport à l'alcalinité, mais un reflet du potentiel électrique ou "ORP" ; Potentiel d'oxydoréduction. Le pH/ORP détermine les attractions et les répulsions dans le monde des molécules et des cellules. Les activités, les comportements et l'intégrité des fragiles mégamolécules de la vie, de la locomotion à la force immunitaire et l'expression génétique à la protection des enzymes, des hormones et de l'intégrité de l'ADN dépendent de leur environnement de charge !
Toutes les structures complexes du corps humain ne peuvent persister qu'à environ pH 7,4-7,45, ce qui équivaut à environ 0,40 volts, ce qui indique un "terrain de charge" sain. Lorsque la tension tombe en dessous de ce niveau, l'oxygène est attaqué par des protons acides, l'oxydation réclame des électrons des liaisons moléculaires qui les détruisent, la réplication cellulaire s'arrête et ce qui était autrefois vivant retourne à ses composants élémentaires ; la poussière à la poussière. Pour maintenir la tension, le corps génère des électrons ATP à partir d'aliments carbonés en présence d'oxygène. Il absorbe également les électrons des plantes antioxydantes, le potentiel électrique de la chaleur/lumière/son et les ions négatifs de l'air et de la Terre elle-même. Il maintient le pH du système en inspirant et en expirant grâce à une « batterie » d'électrolytes dans le sang et les fluides corporels. Toutes les fonctions vitales et l'intégrité cellulaire sont maintenues via la génération ou l'absorption d'énergie électronique ! Ainsi, lorsque nous disons « terrain de charge », nous décrivons le potentiel électrique de notre environnement interne où une biochimie complexe doit se dérouler efficacement.
C'est la vie en un mot. C'est électrique ! La vie vacille dans l'équilibre entre le vol d'électrons brisant les liaisons via l'oxydation (comme la rouille/la combustion) et un environnement riche en électrons essentiel à la construction et à la protection des molécules de la vie... Lorsque l'oxydation prédomine, on parle d'"inflammation" ; l'essence de la maladie, alias «stress oxydatif», où la biochimie normale est paralysée. C'est là que réside la cause fondamentale et le dénominateur commun de la maladie au niveau atomique et peut être facilement influencé là-bas.
Toutes les maladies mortelles susmentionnées commencent par une perturbation de l'énergie des électrons. Le peroxyde d'hydrogène/H2O2 est généré via une réponse inflammatoire pour oxyder et « brûler » les agents pathogènes envahissants, les cancers et les débris cellulaires lorsqu'un organisme est menacé. Cette destruction doit être contenue par des électrons antioxydants. L'inflammation est également le résultat de la soupe industrielle énergivore de la malbouffe, des métaux, des produits chimiques inorganiques et des poisons organiques dans lesquels nous nageons. Nous sommes alimentés par des électrons/énergie électrique et inversement utilisons l'oxydation/extraction des électrons pour détruire les molécules envahissantes. Étant donné que les électrons en circulation créent des champs magnétiques, la conscience elle-même et même les phénomènes extrasensoriels dépendent de la tension. Nous savons ce qui constitue une batterie corporelle, nous savons ce qui l'affaiblit ou la court-circuite, nous savons que c'est de la chimie et de la physique établies, pourtant la médecine moderne pense qu'elle peut vous soigner avec une pilule ?
RépondreSupprimerD'un point de vue électrique, le diagnostic est toujours le même. Il en va de même pour les options de prévention et de traitement. L'équilibre électrique doit être restauré en corrigeant les niveaux de nutriments, de minéraux et les états émotionnels tout en réduisant les insultes d'origine. Ces faits impliquent une approche totalement différente de la médecine. Remplacez simplement les conditions défavorables par des exigences physiologiques normales… Duh. Cela signifie une amélioration de l'alimentation, un équilibre minéral, une désintoxication, une évaluation du lieu de travail et du mode de vie ; tous conduisant à l'amélioration de LIFE ENERGY. La médecine conventionnelle ne parvient pas à accuser les mauvais aliments, les toxines environnementales et le stress émotionnel, et promeut à la place des médicaments dangereux, des huiles végétales insaturées mortelles, des aliments vides, l'évitement du soleil et l'idée erronée que la maladie est inévitable... alors prenez une assurance ! »
Le plus important est peut-être de rester libre, sans peur et heureux dans sa tête. Notre empire opère sous une construction artificielle formée par le langage qui installe des mots qui engendrent des pensées qui deviennent des choses,… pas de bonnes choses.
Vous vous demandez pourquoi l'AMA, la FDA et le CDC ont mis en garde contre les traitements à l'ivermectine et à l'HCQ pour le covid 19, ou leur rejet de la vitamine D, des infusions de vitamine C, de l'oxygène hyperbare et même du NAC, du H2O2 et des suppléments minéraux ? C'est leur modèle de tromperie qui remonte à des générations ! C'est parce qu'ils savent que ces substances peu coûteuses fonctionnent réellement pour traiter et prévenir. Les médecins ne sont pas entièrement à blâmer, étant imprégnés de «La science» dans des collèges pharmaceutiques. Les patients ne sont pas non plus entièrement responsables, car des informations précises sur la prévention étaient et sont cachées par le système.
Reste au moins en bonne santé. Il y a de plus grands défis en mouvement.
https://www.lewrockwell.com/2022/07/no_author/faucis-fiasco-betrays-phake-pharma-and-phrauds-to-come/