JM (Rikiya Kurokawa), un jeune employé de bureau japonais, mène une existence paisible et solitaire à Tokyo. Il n'a pour seule compagnie que deux serpents rares et rêve de posséder une DS, la Citroën légendaire des années soixante. Grâce à Internet, il entre en contact avec un vendeur potentiel et s'envole pour l'Australie afin de conclure l'affaire. Cependant, à son arrivée à l'aéroport, JM ne trouve personne. Quand il se rend chez son mystérieux interlocuteur, il le voit mort avec son épouse, sans doute après une querelle pour des questions d'argent. Il découvre également une jeune fille aveugle, BG (Rose Byrne), qui surveille un enfant. Celle-ci invite le visiteur à essayer la DS. Ce dernier s'exécute aussitôt et tombe sous le charme. BG lui explique que la voiture n'était pas à vendre par l'homme retrouvé mort et lui propose de l'amener auprès du véritable propriétaire. JM accepte et ces deux âmes isolées se lancent dans un voyage qui les conduira au coeur de la campagne australienne ainsi que de leur propre passé.
BRÈVE : manifestation anti-indépendance à Santa Cruz
RépondreSupprimerle 30 septembre 2017
J’habite dans le centre du centre-ville de Santa Cruz de Tenerife et j’ai capté du balcon de mon modeste logement la manifestation de protestation contre la consultation électorale catalane ce jour 30 septembre 2017 à 12h30. Depuis hier de nombreux commerces arborent la bannera ainsi que des balcons ici et là. S’il a existé par le passé un mouvement indépendantiste aux Canaries celui-ci s’est essoufflé car les habitants ont compris qu’ils avaient tout intérêt à ne pas se séparer de Madrid, bien que pouvant vivre du tourisme, l’archipel drainant à lui seul 25 % de tous les touristes qui viennent en Espagne chaque année.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/09/30/breve-manifestation-anti-independance-a-santa-cruz/
La province espagnole de Catalogne a presque le même nombre d'habitants que la Démocratie helvétique. Son envie d'indépendance, de liberté de parole et surtout de Démocratie, fait qu'aujourd'hui, en Catalogne comme ailleurs, les gens se sentes floués, ruinés par les pouvoirs dictatoriaux et ne profitent nullement du progrès.
SupprimerCe morcellement souhaité est très vivable (voir la Suisse plus les plages) et ne se refuserait en rien de s'associer à d'autres Démocraties s'il y en avait plusieurs.
La Démocratie, c'est le Peuple qui dirige. Les Suisses proposent LEURS propres lois et votent LEURS propres lois. La présidente (Doris Leuthard 1/1/17-31/12/17) est tout-à-fait symbolique et n'a aucun pouvoir sinon de demander au peuple Suisse ce qu'il veut par voie référendaire.
Après le non à la réforme d’Alain Berset, la retraite à 67 ans resurgit de sa boîte
RépondreSupprimerSi la retraite à 67 ans reste un sujet tabou en Suisse, la droite y songe toujours, mais elle doit d’abord faire avaler aux femmes la hausse de 64 à 65 ans.
PHILIPPE CASTELLA
30.09.2017
L'Europe s'y met
La plupart des pays européens sont en train de revoir l’âge de la retraite à la hausse. Avec 64 ans pour les femmes et 65 ans pour les hommes, la Suisse aura bientôt les plus jeunes retraités. Seul le Liechtenstein (64 ans pour tous) n’a pas pris la décision de porter l’âge légal de la retraite à 65 ans au moins.
Mais la retraite à 67 ans est en train
de devenir la nouvelle norme. Elle deviendra réalité dans une majorité de pays européens d’ici à 2030. La Grèce est le premier pays à avoir franchi ce pas. La plupart y courent à raison de quelques mois par an.
La retraite à 67 ans sera ainsi effective en Pologne dès 2020, pour les hommes (femmes en 2040). En 2021, ce sera au tour de l’Italie, de l’Irlande et des Pays-Bas. Suivront la France et le Danemark en 2022, puis l’Estonie en 2026, la Grande-Bretagne entre 2026 et 2028, l’Espagne en 2027 et la Croatie en 2038.
Certains pays ont déjà prévu d’aller au-delà: l’Irlande à 68 ans en 2028, le Danemark à 68 ans en 2030 et l’Italie à plus de 69 ans à l’horizon 2050.
Précisons que cet âge légal comprend de nombreux régimes d’exception propres à chaque pays.
La retraite pour tous à 67 ans, on y vient en Suisse aussi, mais à pas de loup. Alors que la plupart de nos voisins européens sont en train de franchir ce pas (lire encadré), ici le sujet reste largement tabou. Les Suisses y semblent toutefois résignés, comme le montre le sondage réalisé pour le compte de Tamedia, en marge de la votation populaire de dimanche dernier sur la réforme de la prévoyance vieillesse: 62% des sondés pensent que cette solution s’imposera dans les dix ans à venir. Ils sont pourtant encore plus nombreux à y être opposés (68%). Bienvenue au pays des paradoxes!
Les partisans de la réforme agitaient l’épouvantail de la retraite à 67 ans en cas de non. On y est, mais le camp des vainqueurs ne s’empresse pas de leur donner raison. À une exception près: «J’y suis favorable», clame haut et fort Benoît Genecand. «Je regrette qu’on ait perdu le courage politique de Pascal Couchepin, qui avait mis la question sur le tapis en son temps.» Le libéral-radical explique ainsi les résultats paradoxaux du sondage: «L’opposition à cette idée tient au fait que jusqu’à présent le monde politique n’a pas fait son travail.»
Pour le Genevois, «l’élévation de l’âge de la retraite est la mesure la plus juste pour les jeunes générations, pour autant qu’elle soit mise en vigueur rapidement et de façon très progressive». Et d’imaginer un relèvement de un ou deux mois par année: «On a bien élaboré une Stratégie énergétique 2050. Or il y a beaucoup plus d’inconnues dans ce domaine qu’en matière démographique.» Selon Benoît Genecand, cela serait bien préférable à la stratégie des petits pas sans garantie à long terme.
RépondreSupprimerC’est pourtant bien vers cela qu’on se dirige, même si la droite avance masquée. «La retraite à 67 ans, ce n’est pas un sujet d’actualité», tranche Jean-François Rime (UDC/FR). «Dans un premier temps, on veut une retraite à 65 ans pour les hommes et les femmes. Mais, si l’espérance de vie continue d’augmenter, on devra aborder de nouveau cette question dans dix ou quinze ans», estime le président de l’Union suisse des arts et métiers (USAM).
«JE REGRETTE QU’ON AIT PERDU LE COURAGE POLITIQUE DE PASCAL COUCHEPIN, QUI AVAIT MIS LA QUESTION DE LA RETRAITE À 67 ANS SUR LE TAPIS EN SON TEMPS»
Benoît Genecand, conseiller national (PLR/GE)
Pour Isabelle Moret (PLR/VD), il faut d’abord trouver rapidement une solution pour relever d’un an le départ à la retraite des femmes. Cela passe par des mesures de compensation et une bonne loi sur l’égalité en parallèle. «Mais c’est évident qu’à moyen terme on devra se reposer la question, reconnaît la Vaudoise. Pour moi, plutôt que de parler en termes d’âge, il faut chercher un modèle qui se base sur les années de cotisations, en tenant compte de ceux qui font un travail pénible.»
La question va néanmoins resurgir et très vite. Ce mois-ci déjà, la commission des États va devoir se prononcer sur une motion visant à instaurer un âge AVS de référence lié à l’espérance de vie moyenne. Une solution déjà adoptée aux Pays-Bas et au Danemark notamment. C’est là une variante de l’automatisme que voulaient introduire le PLR et l’UDC dans la réforme précédente en fonction de l’état des finances de l’AVS.
«La retraite à 67 ans, c’est ce dont ils rêvent, mais est-ce qu’ils oseront?» se demande Roger Nordmann (VD), prêt à en découdre. Le chef du groupe socialiste attend du PLR et de l’UDC qu’ils formulent une vraie proposition de plan B après leur victoire de dimanche dernier. Pour sa camarade de parti Liliane Maury Pasquier (GE), la réponse est oui mais pas tout de suite: «Pour moi, il a toujours été clair que, si la droite veut avoir une chance d’y parvenir, elle doit démultiplier les projets et ne pas commencer par celui qui suscite le plus d’oppositions, soit la retraite à 67 ans.» Mais le temps joue de toute façon en faveur de la droite. À défaut de solution, les finances de l’AVS vont se détériorer, facilitant l’acceptation de solutions radicales. (Le Matin)
https://www.lematin.ch/navlematindimanche/ouvert/reforme-alain-berset-retraite-67-ans-resurgit-boite/story/20590245
Reste à savoir QUI gère les fonds de retraite ! Car, si c'est pour se retrouver comme aux États-Unis avec les banksters qui ont vidé les comptes...
SupprimerDonc, primo: L'assurance de la garantie de récupérer la totalité de son argent placé.
Secundo, reste libre à chacun de partir à la retraite à l'âge qu'il veut puisque c'est SON argent.
"C'est le fascisme": des séquences choquantes de la police espagnole tirent des balles en caoutchouc, battent brutalement les électeurs pacifiques
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
1 oct. 2017 à 7h47
Dans les scènes qu'on s'attendait à voir en Turquie, ou à une dictature symbolique, le dimanche matin, la police anti-émeutes espagnole a réprimé violemment le référendum de l'indépendance catalan programmé, traversant les bureaux de vote en Catalogne dans une tentative dramatique de fermer a interdit le référendum de l'indépendance catalane, alors qu'ils ont tiré des balles en caoutchouc et ont brutalement battu des personnes pacifiques essayant de voter pour ou contre l'indépendance d'un gouvernement espagnol, ce que de nombreux commentateurs ce matin ont appelé «fasciste».
La police a tiré des balles en caoutchouc dans le centre de Barcelone, a déclaré le journal El Periodico, à l'intersection de deux rues alors que la violence a éclaté lors du vote qui a jeté l'Espagne dans sa pire crise constitutionnelle depuis des décennies.
Selon Reuters, les services d'urgence catalans ont déclaré qu'au moins 38 personnes ont été blessées à la suite d'une action de la police, bien que, comme le montrent ci-dessous, le nombre final sera probablement d'ordre de grandeur.
En tant que créateur de conflits, Gissur Simonarson a déclaré: «En regardant les images de l'Espagne. Il est clair que la politique a obtenu une commande pour rompre cela par tous les moyens. Ils lancent des ppl comme des poupées de chiffon" ajoutant que "Le gouvernement espagnol a réussi à me détourner indifférent / contre #CatalanReferendum à un supporter. "
Je ne l'ai pas bien compris avant aujourd'hui, mais je vois maintenant pourquoi le catalan veut être libre de l'Espagne. # CatalanReferendum
En regardant les images de l'Espagne. Il est clair que la politique a obtenu une commande pour rompre cela par tous les moyens. Ils jettent des ppl comme des poupées de chiffon.
La police a éclaté dans le bureau de vote dans une ville dans la province de Gérone, quelques minutes avant que le chef catalan Carles Puigdemont ne vote. Ils ont écrasé des panneaux de verre pour ouvrir la porte, les électeurs, les poings dans l'air, ont chanté l'hymne catalan.
Des officiers avec des boucliers anti-émeute se sont heurtés avec des centaines d'électeurs en dehors d'une station dans une école de Barcelone alors que la foule chantait «Nous sommes des gens de paix !» Des camionnettes blindées et une ambulance étaient stationnées à proximité.
Le référendum a été déclaré illégal par le gouvernement central espagnol à Madrid, qui affirme que la constitution indique que le pays est indivisible et a rédigé dans des milliers de policiers de l'Espagne vers la Catalogne pour empêcher le vote.
Le gouvernement régional catalan avait prévu le vote pour ouvrir à 9 heures du matin (07 heures GMT) à environ 2 300 stations, mais Madrid a déclaré samedi qu'il avait fermé plus de la moitié d'entre eux. Le vote a débuté sur certains sites de 7,5 millions de personnes, dont la langue et la culture sont un centre industriel avec une économie plus grande que celle du Portugal. Le leader Puigdemont a changé de plan et a voté à une autre station après l'action de la police, a déclaré le gouvernement régional.
RépondreSupprimerComme Reuters l'a ajouté, les gens avaient occupé certaines stations dans le but d'empêcher la police de les bloquer. Les organisateurs ont transbordé dans les urnes avant l'aube et ont exhorté les électeurs à utiliser une résistance passive contre la police. Dans une école utilisée comme bureau de vote à Barcelone, les policiers dans les engueils ont effectué des urnes alors que les futurs électeurs chantaient "avec les forces d'occupation!" Et "nous voterons !".
Le gouvernement catalan a déclaré que les électeurs pouvaient imprimer des bulletins de vote à la maison et les loger dans un bureau de scrutin qui ne serait pas fermé par la police.
"Je me suis levé tôt parce que mon pays a besoin de moi", a déclaré Eulalia Espinal, 65 ans, retraité qui a commencé à faire la queue avec environ 100 autres personnes à l'extérieur d'un bureau de vote, une école de Barcelone, à la pluie vers 5 heures du matin. "Nous ne savons pas quoi ? va se passer, mais il faut que nous soyons là ", a t-elle déclaré.
Une minorité d'environ 40 % des Catalans appuient l'indépendance, les sondages montrent, même si une majorité veut tenir un référendum sur la question. Un résultat «oui» est probable dans le référendum, étant donné que la plupart de ceux qui soutiennent l'indépendance devraient émettre des bulletins de vote alors que la plupart de ceux qui ne le sont pas.
En outre, le scrutin n'a pas de statut juridique car il a été bloqué par la Cour constitutionnelle espagnole et Madrid a le pouvoir ultime en vertu de sa charte de 1978 de suspendre le pouvoir du gouvernement régional de statuer s'il déclare son indépendance. En d'autres termes, Madrid aurait pu conduire le passage du référendum, l'a déclaré illégal, et bientôt la plupart l'oublieraient. Au lieu de cela, comme Simonarson ajoute: "Je suis choqué et dégoûté par la façon dont l'Espagne a traité #CatalanReferendum. S'il n'y a pas une réponse violente à cela, je serai choqué".
Les organisateurs avaient demandé aux électeurs de se produire avant l'aube, espérant que les grandes foules soient la première image du monde du scrutin.
"Ceci est une grande opportunité. J'ai attendu 80 ans pour cela ", a déclaré Ramon Jordana, un ancien chauffeur de 92 ans, attendant de voter à Sant Pere de Torello, une ville située au pied des Pyrénées et un bastion pro-indépendance. Il avait enveloppé ses poignets dans les drapeaux catalans, parmi 100-150 personnes qui se sont rassemblées dans une école locale qui avait été classée comme un bureau de scrutin, prêt à empêcher toute police d'entrer. Un tracteur était également gardien, mais aucune police n'était encore arrivée.
Comme indiqué précédemment, avant le référendum, la police espagnole a arrêté des responsables catalans, saisi des dépliants de campagne et occupé le centre de communication du gouvernement catalan. Mais les dirigeants catalans ont incité les électeurs à se manifester dans une expression pacifique de la démocratie. Les familles ont occupé une vingtaine d'écoles destinées à être considérées comme des centres de vote, qui dormaient dans la nuit afin d'éviter que la police ne les scelle.
RépondreSupprimer"Si je ne peux pas voter, je veux sortir dans les rues et dire sincèrement que nous voulons voter", a déclaré Jose Miro, un inspecteur des écoles de 60 ans. Seul la police catalane, ou Mossos d'Esquadra, avait jusqu'ici surveillé les bureaux de vote. Ils sont tenus dans l'affection par les Catalans, surtout après avoir chassé les islamistes accusés d'avoir organisé des attaques mortelles dans la région en août.
Mais la police nationale, qui a été rédigée en Catalogne par milliers, a participé à la prise des urnes et à la fermeture des stations le dimanche une fois qu'il est devenu clair, la police régionale ne desservait pas les sites.
Pro-indépendance Puigdemont a déclaré à l'origine que si le vote «oui» a gagné, le gouvernement catalan déclarerait son indépendance dans les 48 heures, mais les dirigeants régionaux ont depuis reconnu que la répression de Madrid a miné le vote.
Peut-être qu'il est temps pour la presse libérale d'expliquer comment, parfois, la démocratie meurt aussi en plein jour. Et alors que nous attendons de voir comment cette répression dramatique contre la démocratie se termine, voici quelques vidéos plus choquantes de la répression brutale de l'Espagne contre la démocratie.
- voir une trentaine de clips sur site:
http://www.zerohedge.com/news/2017-10-01/fascism-shocking-footage-spanish-police-shooting-rubber-bullets-brutally-beating-pea
Supprimer(...) Le référendum a été déclaré illégal par le gouvernement central espagnol à Madrid, qui affirme que la constitution indique que le pays est indivisible et a rédigé dans des milliers de policiers de l'Espagne vers la Catalogne pour empêcher le vote. (...)
'Référendum illégal' ? Liberté illégale en Espagne !
Ces 'milliers de policiers' venus d'où ? De Bruxelles ? Du Maroc ? D'Irak ? D'Amérique ?
C'est tout le nouvel ordre mondial rassemblé comme la suggestion de la Démocratie !
Le vote sur l'indépendance de la Catalogne se fera... à mains levées ! Car la Liberté de s'exprimer ne peut pas être illégale !
La Catalogne surprise en train de survivre !
L'énergie renouvelable pollue Londres, mais qu'est-ce qu'un peu de smog si vous économisez le monde ?
RépondreSupprimerOctober 1st, 2017
Gérer le climat global est une chose difficile. Des sacrifices sont nécessaires.
Les 100 dernières années ont été une réussite de l'air plus propre à Londres. Mais la pollution de l'air augmente à nouveau. La peur du carbone est en partie responsable de plus d'un million de personnes qui retournent au «bois renouvelable» brûlant au lieu de gaz propre et tournant autour d'une tendance de siècle. Bienvenue au «progressiste» du 21e siècle. Dommage à propos des poumons poussiéreux et des arbres arrachés.
Un tiers de la pollution des petites particules est due aux feux de bois.
Les fours à bois sont de plus en plus populaires dans les maisons et hôtels de la classe moyenne, avec 1,5 million en Grande-Bretagne et 200 000 vendus chaque année. De vieux foyers ont également été ouverts dans de nombreuses maisons et peuvent causer une pollution accrue que les poêles. La combustion du bois est plus populaire dans le sud-est, où elle se fait dans 16 pour cent des ménages comparativement à moins de 5 pour cent dans le nord de l'Angleterre et de l'Écosse.
Entre le quart et le tiers de la pollution des particules fines à Londres provient de la combustion domestique du bois. Pendant une période de pollution atmosphérique très élevée en janvier, elle a contribué à la moitié des émissions toxiques dans certaines régions de la ville, a déclaré King's College à Londres.
Il est allégué que la pollution de l'air provoque "9 500 décès anticipés par an à Londres et 40 000 à travers la Grande-Bretagne".
Le GWPF a publié un communiqué de presse plus tôt cette année en déclarant que le soutien du gouvernement pour le bris de bois en partie à blâmer pour la menace à la hausse du smog
Communiqué de presse, 24 janvier 2017 - En réponse à l'alerte au smog de Londres, le Global Warming Policy Forum (GWPF) demande au gouvernement d'abolir tout le soutien aux moteurs diesel et aux brûleurs à bois qui posent une menace croissante pour la santé des zones urbaines populations.
Une quantité inhabituellement élevée de bois de chauffage domestique, dont certains sont subventionnés dans le cadre de l'incitation à la chaleur renouvelable, a été partiellement responsable de la dernière alarme de smog.
La lutte contre le bois a été préconisée et les incitations du gouvernement en tant que politique de décarbonisation du secteur résidentiel et ont augmenté rapidement ces dernières années, en grande partie grâce à une combinaison de subventions vertes et de campagnes climatiques.
En conséquence, il y a eu une détérioration de la qualité de l'air dans de nombreuses villes qui a contribué au risque actuel de pollution par le smog à Londres. À l'instar des poêles à bois, les moteurs diesel ont également été spécifiquement encouragés par les politiques de l'UE et du Royaume-Uni, dans l'intérêt de la réduction des émissions de gaz carbonique.
Dans un rapport récent, le Collège royal des médecins a prévenu que «la popularité croissante du bois brûlant pour le chauffage, en partie à cause des politiques visant à réduire les émissions de gaz carbonique, risque de défaire certaines des améliorations apportées à la qualité de l'air résultant de l'adoption généralisée de gaz pour les produits domestiques chauffage.'
RépondreSupprimer"Le gouvernement a la responsabilité de réduire l'impact négatif de la combustion du bois sur la santé et devrait maintenant supprimer tout soutien qui augmente le risque pour la santé et le bien-être des populations urbaines", a déclaré le Dr Benny Peiser, directeur du GWPF.
http://joannenova.com.au/2017/10/renewable-energy-pollutes-london-but-whats-a-bit-of-smog-if-youre-saving-the-world/#more-55333
Voilà maintenant que les boulangeries affichant 'Cuit au feu de bois' seront interdites comme les cheminées sur les toits présentent depuis les débuts de l'humanité !!!
SupprimerPolitique merdique de la dictature monarchique qui veut mélanger le diesel mortel avec ses particules cancérigènes au gaz carbonique émis par toutes les personnes qui respirent et la combustion de matériaux divers !
Jamais personne ne remet en cause les urbanistes (maires y compris) qui forcent les villes à s'accroitre sans fixer un seuil d'habitants comme un seuil pour les tours gigantesques où résident maintenant des milliers de personnes ! Ces gratte-ciel empêchent les vents de circuler et de nettoyer naturellement la pollution concentrée/enfermée en des rues, des places et des impasses !
C'est cette politique hégémonique qui doit être remise en cause et non la fonction naturelle de tous les humains de respirer en rejetant du gaz carbonique !
Madagascar : Une épidémie de peste a déjà fait 19 morts
RépondreSupprimerMick Van Loon
29 septembre 2017
Depuis la fin du mois d’août, une épidémie de peste s’est déclarée à Madagascar. 19 personnes en sont décédées. Les victimes sont mortes de la peste pneumonique, la variante la plus contagieuse. Le ministre de la Santé a déclaré que la maladie avait été détectée sur près de 104 personnes sur l’île. Selon l’OMS, au cours de la première semaine, elle avait déjà fait cinq victimes.
Madagascar est l’un des rares pays du monde où la peste frappe encore chaque année. Depuis 2010, près de 500 habitants ont succombé à la maladie, montrent des chiffres de l’Organisation mondiale de la Santé. Dans quasi la totalité des cas, il s’agit d’une transmission de la maladie par les rats.
Cette année, c’est surtout la peste pneumonique qui s’avère être très dangereuse. Cette forme de peste se transmet par l’inhalation d’infimes gouttelettes d’humidité contenant la bactérie Yersinia pestis. Cette bactérie se propage donc très facilement par la toux ou les éternuements d’un patient infecté. L’inhalation de la bactérie conduit à son installation dans les poumons.
La peste pneumonique a une période d’incubation très courte (de 3 heures à 3 jours), et ses symptômes sont généralement fatals au patient 48h après leur première apparition. Les premiers symptômes sont la fièvre, des maux de tête sévères, des difficultés respiratoires et une toux. L’infection provoque la formation d’un œdème pulmonaire et le patient crache du sang. Au fur et à mesure que l’oxygène se raréfie dans le sang, une coloration bleue des lèvres et des ongles commence à apparaître.
La peste se propage par les rats et d’autres petits mammifères.
La cérémonie de famadihana
Chaque année, l’île de Madagascar est frappée par une épidémie de peste, mais cette année elle est arrivée plus tôt et s’est avérée beaucoup plus dangereuse que d’habitude. Parmi les victimes, on trouve une petite fille qui aurait participé à la cérémonie de famadihana, ou le “retournement des morts”. Il s’agit d’une tradition malgache au cours de laquelle les proches des défunts récupèrent les corps des membres de la famille décédés, les emballent et dansent avec les dépouilles.
Les habitants de Madagascar croient que leurs morts ne peuvent pas passer dans l’au-delà sans ce rituel. Donc après un certain temps, ils exhument les corps, les emballent dans une belle étoffe et dansent autour de la sépulture. Souvent, le rite est accompagné de musique. Ces cérémonies ont lieu tous les 7 ans.
L’épidémie de la peste qui a été la plus meurtrière est celle qui a décimé l’Europe au 14è siècle. Des cas ont été recensés jusqu’au 19è siècle. On estime que la peste noire a tué un Européen sur trois entre 1347 et 1351.
https://fr.express.live/2017/09/29/madagascar-epidemie-peste/
Supprimer(...) Dans quasi la totalité des cas, il s’agit d’une transmission de la maladie par les rats. (...)
Des rats il y en a dans tous les pays et toutes les villes.
(...) Cette année, c’est surtout la peste pneumonique qui s’avère être très dangereuse. Cette forme de peste se transmet par l’inhalation d’infimes gouttelettes d’humidité contenant la bactérie Yersinia pestis. (...)
Gouttelettes facilement projetables par avions (chemtrails), voire par drones.
Faut dire qu'en période de conflits de partout dans l'hémisphère Nord (où habite plus de 90 % de la population mondiale !!), certains penseraient/envisageraient de déménager vers une île assez peuplée pour avoir les services indispensables et nourriture abondante sur place.
Pourquoi Rajoy est en panique - Le sondage de dernière minute montre une forte montée de 80 % pour l'indépendance catalane
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
1 oct. 2017 10:21
Nous avons noté hier que "si la Catalogne part de l'Espagne ... en termes de paramètres de durabilité de la dette définis par le Traité de Maastricht, ce serait la crise de la dette de la zone euro 2.0 ..." et il est clair par la brutalité de Thuggish La police espagnole, que Rajoy fera tout pour s'assurer que ce vote ne se poursuit pas car les dernières données de sondage montrent une poussée massive en faveur de l'indépendance, car le fascisme du gouvernement a clairement déclenché des conséquences involontaires qui semblent être hors de contrôle.
Comme le note Mike Shedlock de MishTalk.com, de nombreux sites continuent à afficher des statistiques qui demandent une majorité en Catalogne veulent voter mais ne supportent pas l'indépendance. J'ai déclaré que ces sondages sont anciens et probablement faux grâce à la tactique pitoyable du Premier ministre Mariano Rajoy. Un nouveau sondage de dernière minute suggère que je l'ai bien fait.
S'il vous plaît, considérer une énorme augmentation du soutien à l'indépendance est révélée dans le sondage final catalan exclusif mondial.
Un nouveau sondage SENSATIONAL que The National publie à la veille du référendum d'indépendance catalan montre une recrudescence du soutien à l'indépendance qui varie considérablement selon que le gouvernement central espagnol boote ou non le vote.
Le sondage téléphonique a été réalisé au cours des trois dernières semaines et a été achevé jeudi, mais les résultats n'ont pas été publiés en Catalogne. Ils ont été diffusés hier à The National.
Deux scénarios ont été évalués à près de 3300 électeurs: «Avec la situation actuelle en Catalogne, le gouvernement espagnol et les principaux partis politiques espagnols demandant un boycott du référendum», et «un référendum d'accord avec les autorités espagnoles».
Jordi Sanchez, président du Congrès national catalan, a salué les résultats et a déclaré à The National: "Ce sondage confirme qu'il y a une majorité de personnes qui veulent voter et voteront, et cela ne pourra pas être arrêté par une police ou un état d'urgence.
Ok, Rajoy, qu'allez-vous faire ?
En cas de vote, les résultats attendus sont assez clairs.
Le gouvernement espagnol affirme que la plupart des bureaux de scrutin sont fermés ?
Le gouvernement de Catalogne dit que le vote aura lieu et des millions apparaîtront.
Quel côté est correct ?
Nous les identifierons en quelques heures. Le jour du scrutin est arrivé en Espagne.
http://www.zerohedge.com/news/2017-10-01/why-rajoy-panicking-last-minute-poll-shows-huge-80-surge-catalan-independence