par Tyler Durden
25 oct. 2017 05:00
Auteur de Pater Tenebrarum via Acting-Man.com,
Suisse: loin d'être impeccable, mais toujours un pays unique - une interview avec Claudio Grass
Notre ami Claudio Grass a déjà parlé de la Suisse dans ces pages, et à l'une de ces occasions, nous avons ajouté quelques informations sur le système politique vraiment unique du pays (voir «Les gens contre l'establishment» pour les détails). Les gens sont généralement conscients que la démocratie directe sous la forme de référendums fréquents est une caractéristique majeure du système suisse, mais combien de personnes savent que l'exécutif du pays est essentiellement modelé selon le système établi dans les états-villes de la Grèce antique ?
Claudio a récemment été interviewé par Jeff Deist de l'Institut Mises sur ce que nous pouvons apprendre de la Suisse, qui, malgré ses défauts indéniables, continue de se distinguer parmi les nations européennes en tant que phare de la liberté. Comme l'indique l'introduction à l'Institut Mises, la vie politique en Suisse se différencie par son degré de subsidiarité très prononcé et les limites majeures qu'elle impose aux structures de pouvoir politique centrales au niveau fédéral:
La Suisse n'est pas un paradis libertaire. Il a des bureaucrates et une banque centrale capricieuse.
Mais il reste un exemple moderne étonnant des principes du fédéralisme et de la subsidiarité en action. En fait, cela illustre la rêverie de Lew Rockwell: personne ne sait ou ne se soucie de savoir qui est le président.
Son état administratif fédéral démontre l'humilité au lieu de l'orgueil. Et pratiquement toutes les décisions politiques, de l'impôt au bien-être en passant par l'immigration, sont décidées localement.
Historiquement, la subsidiarité suisse peut aussi avoir à voir avec sa géographie, mais quoi qu'il en soit, qui n'aimerait pas vivre dans un pays où «personne ne sait ou ne se soucie beaucoup de qui est le président» ? En effet, le président suisse est un véritable primus inter pares, car son pouvoir ne dépasse pas celui de ses six collègues du Conseil fédéral.
Le principe de concordance qui régit le partage du pouvoir entre les partis politiques au Conseil garantit une certaine inertie délibérative, pour ainsi dire. Il y a peu de risque qu'il prenne des décisions radicales à l'improviste. Les meilleurs politiciens sont généralement ceux qui ne font rien ou très peu. Ce sont les affairistes bien intentionnés qu'il faut craindre le plus; en règle générale, ils ont tendance à être à la fois dangereux et coûteux.
Si l'on doit subir l'ignominie du gouvernement, il ne devrait idéalement s'agir que d'une note de bas de page dans la vie de la plupart des gens. En d'autres termes, le contraire de ce que les gouvernements tentent apparemment de faire partout dans le monde. Il nous semble cependant qu'une contre-tendance est déjà bien engagée. Les planificateurs centraux assortis et les ingénieurs sociaux deviennent désespérés, parce qu'ils peuvent sentir que le pouvoir leur échappe.
Hélas, le voyage d'où nous sommes à l'endroit où nous devrions idéalement être - un monde dans lequel ordonner d'autres personnes autour est considéré comme un anachronisme risible - va impliquer une route longue et sinueuse. De manière réaliste, de petites étapes devront être franchies et un endroit comme la Suisse contient certainement quelques leçons valables qui méritent réflexion.
Jeff Deist parle avec Claudio Grass de la Suisse, de l'évolution historique de sa dispense politique et comment, malgré ses défauts, il peut servir d'exemple précieux pour le reste du monde.
(...) Suisse: loin d'être impeccable, mais toujours un pays unique (...)
RépondreSupprimerA bon ??! Dites-nous ...
(...) Les gens sont généralement conscients que la démocratie directe sous la forme de référendums fréquents est une caractéristique majeure du système suisse, mais combien de personnes savent que l'exécutif du pays est essentiellement modelé selon le système établi dans les états-villes de la Grèce antique ? (...)
Qu'est-ce qu'on en a à foutre de qui à inventer le fil à couper le beurre ?!
(...) ce que nous pouvons apprendre de la Suisse, qui, malgré ses défauts indéniables, continue de se distinguer parmi les nations européennes en tant que phare de la liberté. (...)
'ses défauts indéniables' ? A bon ??! Dites-nous, on attend toujours que vous les décriviez.
(...) La Suisse n'est pas un paradis libertaire. (...)
Effectivement, c'est le contraire de la dictature républicaine ou monarchique. Et cela s'appelle la Démocratie.
(...) le président suisse est un véritable primus inter pares, car son pouvoir ne dépasse pas celui de ses six collègues du Conseil fédéral. (...)
'le président' est LA présidente: Doris Leuthard élue est présidente de la Confédération Suisse du 1er Janvier 2017 au 31 Décembre 2017.
(...) [la Suisse] malgré ses défauts, peut servir d'exemple précieux pour le reste du monde. (...)
'malgré ses défauts' !! A bon ??! Dites-nous, on attend toujours que vous les décriviez si vous n'aviez pas celui d'être con !
Mais pour répondre à sa question du titre "La Suisse peut-elle sauver le monde ?", là, c'est sûr que AUCUNE dictature de va en parler ni la citer en exemple !!!! Et encore moins les 'partis démocrates' dans le monde qui sont ANTI-Démocratie mais çà, ils ne le disent pas !
Ils se contentent de dire 'On est libre ! On est en république' !!! Hahahaha ! 'On est libre ! On est en dictature' devraient-ils dire !
Qui manipule les monnaies et comment
RépondreSupprimer12:30 25.10.2017
Vestifinance.ru
Dossier: Traduction de la presse russe (octobre 2017)
Les médias, de mèche avec les banques et les fonds monétaires, manipulent de manière insolente les marchés financiers. Hier, nous avons assisté à un nouvel exemple flagrant de manipulation de la foule.
Comme l'indique le portail Vestifinance, la réunion de la Banque centrale européenne (BCE) et l'allocution de son président Mario Draghi sont considérées à juste titre comme l'événement de la semaine. Étant donné que le programme d'assouplissement quantitatif de la BCE expire prochainement, les acteurs du marché sont persuadés que le régulateur annoncera les paramètres de sa fermeture demain.
De cette décision dépend la dynamique de la paire monétaire principale — euro/dollar (EUR/USD) — et de bien d'autres actifs.
Parlons d'abord du Forex. Toute la semaine, le taux euro/dollar varie d'un côté ou de l'autre, comme si les opérateurs du marché avaient du mal à déterminer la direction à prendre. Bref, le marché affiche une tension.
Toutefois, il est clair que les grands acteurs savent parfaitement de quel côté penchera le taux car ils sont la principale force motrice dans ce jeu. La tâche principale consiste à prendre le plus d'argent possible aux acteurs mineurs avant le mouvement principal.
En l'absence de toile de fond médiatique, pour que cela ne ressemble pas à une flagrante manipulation, les financiers recourent aux médias. En règle générale, une publication fait paraître des nouvelles se référant le plus souvent à des sources anonymes
En apparence, le lecteur lambda pense donc que le marché réagit aux fils d'actualité. Mais hier, toute cette équipe a décidé d'adopter une approche originale et en l'espace de quelques minutes, des communiqués contradictoires ont été publiés.
La CNBC a d'abord rapporté qu'un groupe de trois républicains ou plus ferait son apparition au Sénat américain pour bloquer la réforme fiscale de Trump. Cette information a provoqué un sursaut de l'euro par rapport au dollar pendant exactement 15 minutes.
L'euro grimpe face à un dollar déprimé par les inquiétudes géopolitiques
Quand il semblait que tous les acteurs mineurs avaient cru à la hausse de l'euro et ont commencé à l'acheter, un autre média est entré en jeu: l'agence de presse Bloomberg, qui a annoncé que le président américain Donald Trump avait demandé aux sénateurs de donner leur avis sur les candidats au poste de directeur de la Réserve fédérale (Fed). D'après Bloomberg, il était question de John Taylor et de Jerome Powell, et un sénateur s'est dit persuadé que Taylor, connu pour ses opinions de «faucon», s'imposerait.
RépondreSupprimerLa paire EUR/USD s'est immédiatement inversée. Ainsi, en seulement 20-30 minutes, les grands acteurs faisant bouger le marché ont détruit un grand nombre de positions spéculatives, ont obtenu des ordres «stop loss» et ont semé la confusion, sachant que rien n'a vraiment changé en apparence et que l'eurodollar a retrouvé son taux initial.
https://fr.sputniknews.com/presse/201710251033601901-marches-financiers-fonds-monetaires/
La Banque Mondiale veut imposer aux pays en développement les énergies renouvelables – et les condamne à la dépendance
RépondreSupprimer24 octobre 2017
La Banque Mondiale mène dans les pays en développement une politique d’éco-impérialisme, en y forçant les énergies renouvelables onéreuses au détriment des énergies fossiles, en particulier du charbon. C’est un journaliste du Spectator de Londres, James Delingpole, accessoirement rédacteur en chef de Breitbart London, qui nous rappelle la réalité de cette politique globale menée désormais par la grande instance de répartition des richesses.
Une volonté de sauver la planète, en dépit de ses objectifs initiaux ?! En apparence seulement.
Les énergies renouvelables imposées
James Delingpole revient sur cette vénérable institution fondée en 1944, aux côtés du Fonds monétaire international lors de la Conférence de Bretton Woods. La Banque Mondiale se chargea d’aider des pays comme la France à se relever de la guerre, et plus tard, donna à la plupart des pays du tiers monde les fonds de départ nécessaires pour attirer les investisseurs.
Encore aujourd’hui, ses deux objectifs affichés sont de « mettre fin à l’extrême pauvreté » et de « promouvoir une prospérité partagée ».
Sauf que le changement de paradigme est majeur : depuis trois ans, elle refuse de financer les nouveaux projets utilisant du charbon, au motif que l’énergie qui en ressort n’est ni propre, ni verte… Elle impose ainsi l’adoption de ces énergie renouvelables essentiellement intermittentes et coûteuses, comme l’éolien ou le solaire. Et pour les pays pauvres, la facture n’est évidemment pas la même.
« D’une manière générale, le monde doit cesser d’utiliser du charbon », la vice-présidente de la Banque mondiale, en 2015
James Delingpole prend l’exemple emblématique du Nigeria. Le pays le plus peuplé d’Afrique possède un réseau d’électricité qui produit si peu de puissance que l’économie fonctionne principalement sur des générateurs diesel privés… Les pannes d’électricité et les baisses de tension sont courantes, comme dans toute l’Afrique subsaharienne, et les coûts pour l’économie sont énormes : la compagnie locale de téléphonie mobile MTM consacre 70 % de ses dépenses d’exploitation au diesel pour maintenir son réseau sous tension… L’Autorité nationale de l’énergie électrique du Nigeria (NEPA) est connue sous le nom de « Never Expect Power Always, Please Light a Candle »… 60 % de ses 177 millions d’habitants, tout simplement, sont privés d’électricité.
Le ministre des Finances, Kemi Adeosun, le dit lui-même « Nous voulons construire une centrale à charbon parce que nous sommes un pays béni avec du charbon et que nous avons un problème d’énergie, mais nous sommes bloqués parce que ce n’est pas vert (…) Ce n’est pas juste, car ils ont toute une industrialisation occidentale qui a été construite à partir d’une énergie alimentée au charbon. »
RépondreSupprimer« Bloqués » parce que ce monde en développement dépend en grande partie des subventions et donc des décisions des grandes firmes mondialistes : c’est donc contraint et forcé qu’il doit tenter d’adopter un comportement « vert », tout particulièrement à rebours de sa situation économique et industrielle. Car, « Selon les chiffres de l’ONU, le coût de l’accès universel à l’énergie n’est que de 50 milliards de dollars par an. Mais c’est si ça vient du combustible fossile. Si vous insistez sur l’utilisation des énergies renouvelables, la facture est au moins dix fois plus élevée… »
Il suffit de regarder l’Allemagne, tête de file de l’énergie verte en Europe : son programme de transition énergétique ruineux, « Energiewende », culmine à 650 milliards d’euros selon la toute récente étude publiée par l’économiste Judith Sloan, dans The Australian, le 9 octobre dernier.
L’incohérence de la « durabilité environnementale sur la réduction de la pauvreté »
Tout est parti de la nomination à la présidence de la Banque Mondiale de James Wolfensohn, avocat et banquier d’affaires américano-australien, et surtout protégé du milliardaire canadien Maurice Strong, grand promoteur de la dictature climatique, ami de Mao, à l’origine du fameux « Agenda 21 » signé au Sommet de la Terre de Rio par les Nations Unies, outil parfait de subversion des États nations, sous le sacro-saint principe de « durabilité ».
De fait, James Wolfensohn a très nettement « progressisé » les objectifs de la Banque Mondiale. Au lieu de croissance effective, il est maintenant question de soutien à l’environnement, des droits des femmes, des droits du travail et d’encouragement des ONG – une détérioration qui s’est accélérée avec la nomination en 2012, par Obama, de Jim Young Kim.
Le nouveau rapport de la « Global Warming Policy Foundation », publié le 13 octobre, sous la plume de l’ancien conseiller du Trésor, Rupert Darwell et intitulé « La Banque anti-développement : les politiques énergétiques régressives de la Banque mondiale » dénonce cet état de fait : en faisant adopter des énergies renouvelables à coût élevé et à faible fiabilité et en limitant le financement du charbon propre, la Banque mondiale est coupable d’une « tentative inhumaine et insensée d’essayer de sauver la planète sur le dos des pauvres du monde ».
RépondreSupprimerCes pays en développement qu’on gardera dépendants
« Insensée » ? Elle serait moins condamnable si elle l’était. En réalité, c’est un outil de contrôle. En contraignant (par ses subventions et autres moyens transversaux) les pays pauvres à baser leur développement et leur croissance sur une énergie non fiable et onéreuse, elle les condamne à la dépendance financière à l’égard des grands outils mondialistes.
Ce faisant, la Banque Mondiale poursuit toujours la répartition des richesses, mais à sa façon : les pays pauvres ne doivent pas être aidés à créer leur propre richesse, mais seulement profiter de la manne.
Un système au goût marxiste, d’autant plus que du côté développé, ce sont les contribuables qui finissent par payer les surcoûts considérables engendrés par cette grande escroquerie mondiale que constituent les subventions accordées aux énergies renouvelables. Donnant, recevant…
La répartition des richesses est toujours en cours, qu’on vous dit.
Clémentine Jallais
http://reinformation.tv/banque-mondiale-pays-developpement-energies-renouvelables-dependance-jallais-76268-2/
Si nous suivons ce raisonnement de débile que de vouloir imposer l'éolienne et panneaux solaires ruineux aux pays pauvres et futurs pauvres, les pays dits 'ensoleillés' pourraient bientôt subir une taxation sur le privilège d'avoir de l'éclairage toute l'année !
SupprimerIntense lobbying de l’industrie du transport maritime pour échapper à la réduction des émissions de gaz carbonique
RépondreSupprimer24 octobre 2017
La pression des armateurs sur l’ONU a permis à ce secteur d’échapper à toute mesure de réduction des émissions de dioxyde de carbone, selon l’organisme britannique à but non lucratif InfluenceMap qui traque les volumes d’émissions des différentes industries à travers le monde.
L’organisation internationale maritime de l’ONU a fait l’objet d’une sorte de hold-up de la part des sociétés, selon l’association, alors même que le secteur du transport maritime est responsable de près de 3 % des émissions globales de gaz à effet de serre.
Sans régulation, affirme un rapport du Parlement européen publie en 2015, le transport maritime pourrait être responsable de 17 % des émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2050, réduisant éventuellement à néant les efforts demandés aux termes de l’accord de Paris.
Pouvoir, intensité du lobbying, intérêts corporatistes : les actions menées par les principales associations professionnelles représentées à l’OIM ont été couronnées de succès.
Il faut dire que le libre-échangisme est probablement plus haut sur la liste des véritables priorités de l’ONU que l’illusoire « lutte contre le changement climatique », et donc aussi de le maintien d’un intense trafic maritime qui permet de maintenir le flux de produits bon marché depuis le sud-est asiatique vers les pays développés.
http://reinformation.tv/intense-lobbying-industrie-transport-maritime-reduction-emissions-co2-vite-76291-2/
Supprimer16 porte-containers polluent plus que toutes les voitures du monde !
James Corbett, de l'Université du Delaware
DIMANCHE 13 DÉCEMBRE 2009
http://huemaurice7.blogspot.fr/2009/12/16-porte-containers-polluent-plus-que.html
Leader séparatiste catalan: "L'Espagne ne laisse pas d'autre choix que de proclamer une nouvelle république"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
25 oct. 2017 13:11
Mise à jour: Quelques heures à peine après que Puigdemont eut annulé sa visite au Sénat pour discuter de l'imposition de l'article 155, le Premier ministre adjoint Oriol Junqueras déclara à AP que le gouvernement espagnol n'avait laissé à la Catalogne "qu'une autre option".
M. Junqueras a déclaré à l'AP qu'il commentait en tant que dirigeant de son parti, la gauche républicaine catalane, et non en tant que membre du gouvernement régional.
En outre, Puigdemont a affiché un message Instagram défiant: "Nous ne perdrons pas de temps avec ceux qui ont déjà décidé d'écraser l'autonomie gouvernementale catalane.
La situation s'intensifie rapidement.
* * *
Comme nous l'avons détaillé plus haut, dans un changement de dernière minute et peut-être inquiétant, le Premier ministre catalan, Carles Puigdemont, ne se rendra pas à Madrid jeudi soir pour comparaître devant le Sénat et a présenté la séance plénière du Parlement catalan voter sur une réponse à l'application de l'article 155 par Madrid.
Quelques heures après qu'un porte-parole du PP a confirmé que les élections ne suffisaient plus pour empêcher le processus de suspendre l'autonomie en Catalogne, rapporte El Pais, le président catalan Carles Puigdemont ne comparaîtra pas jeudi devant le Sénat, citant des personnes non identifiées au PDCAT. Congrès.
La session plénière du Parlement catalan débutera jeudi et votera la réponse à l'application de l'article 155 de la Constitution espagnole.
Bloomberg rapporte également que les séparatistes catalans disent aux partisans que "le moment est venu" de "défendre la république".
http://www.zerohedge.com/news/2017-10-25/catalan-separatists-warn-moment-has-come-puigdemont-suddenly-cancels-parliament-appe
(...) les séparatistes catalans disent aux partisans que "le moment est venu" de "défendre la république".(...)
Supprimer!!! 'les séparatistes' ?? S'ils remplacent la monarchie par la république ils ne feraient que changer de dictature !
Pourquoi aucun 'leader' catalan ou simple séparatiste n'évoque l'option Démocratie ? Parce que c'est une affaire cousue de fil blanc ! Fake news ! 'L'UE' de Bruxelles est remplie de dictatures républicaines ou monarchique, alors, une de plus ou de moins... pfft !
Laurent recevra 6000 euros de plus l’année prochaine
RépondreSupprimerBaptiste Lambert
25 octobre 2017
Comme tous les citoyens, la famille royale va avoir droit à une augmentation l’année prochaine en raison de l’indexation. Quatre personnes ont droit à des dotations chez les Saxe-Cobourg: le Roi Philippe, Albert, Astrid et Laurent. En tout, la monarchie va coûter 36.406.000 d’euros à l’Etat belge.
La Liste Civile du Roi sera de 12.021.000 d’euros en 2018, rapporte La Capitale. C’est 235.000 euros de plus qu’en 2017. Cette dotation prend le nom de “liste” car elle dépasse le simple salaire du monarque. Cette liste comprend tous les frais inhérents à la fonction.
Ensuite, il y a le Roi Albert II qui a abdiqué en 2013 déjà. On peut certainement parler de retraite dorée puisqu’il touchera encore 943.000 euros en 2018, soit une augmentation de 19.000 euros par rapport à 2017. Vient ensuite Astrid avec 327.000 euros et enfin, l’enfant terrible de la famille royale, le Prince Laurent.
Plus de 5 millions d’euros pour Laurent
Si Laurent est apprécié par plus de la moitié des Belges pour son côté rebelle, le douzième dans l’ordre de succession donne quelques boutons à Charles Michel. Dernièrement, c’est une visite à titre privé à l’ambassade de Chine qui a posé problème. Si le prince n’a pas été sanctionné financièrement, il a reçu une belle remontrance de la part de Charles Michel, par l’intermédiaire de son avocat.
Le prince Laurent bénéficiera de 314.000 euros en 2018, soit une augmentation de 6.000 euros comme pour la princesse Astrid. Cela équivaut à plus de 26.000 euros par mois. Mais cette dotation est divisée en deux parties: l’une qui est comprise comme un salaire de haut-fonctionnaire et l’autre qui a trait aux dépenses de fonctionnement et du personnel.
Pour cette deuxième partie, les héritiers de la couronne doivent donner des justificatifs. Cela avait d’ailleurs posé problème à Laurent en 2015, note encore La Capitale. Celui-ci avait dû rembourser 16.000 euros mal-justifiés. En tout, depuis qu’il touche une dotation, le Prince Laurent a reçu 5.254.881 d’euros. Il faut toutefois noter que leur salaire est soumis à l’impôt.
Une enveloppe par ministère
Les dotations ne représentent qu’une partie de la dépense publique. Chaque ministère dispose aussi d’une enveloppe destinée à la famille royale. Elle sert souvent à financer des voyages diplomatiques ou économiques. En conséquence, la famille royale coûtera 36.406.000 d’euros au total en 2018.
Mais pour relativiser un peu, rien que le budget de l’Élysée est plafonné à 100 millions d’euros. Et il n’empêche pas les excès. De plus, si les dotations combinées augmentent de 0,57 %, l’inflation est de 1,4 %.
https://fr.express.live/2017/10/25/dotations-famille-royale/
SupprimerL'argent ne provient pas de dons mais de vols !
Mais où est donc le beurre ?
RépondreSupprimerepochtimes.fr
mer., 25 oct. 2017 11:39 UTC
Un coup dur pour les Français, champions de la consommation de beurre avec 8,2 kg de beurre par an et par habitant, suivis sur le podium mondial des Danois (6,4 kg/an) et des Allemands (6,1 kg), selon la Fédération internationale du lait.
À l'origine de cette pénurie, une hausse de la demande dans les pays développés comme dans les pays en développement, après 30 ans de dédain des nutritionnistes pour le beurre, mais aussi l'appétit général pour les croissants et autres gourmandises au beurre, notamment en Chine.
« Avec la réhabilitation des matières grasses animales, la demande pour le beurre a explosé un peu partout dans le monde », commente Gérard Calbrix, directeur des affaires économiques à l'Association de transformation laitière française ( Atla ).
Or parallèlement à cette explosion de la demande, la Nouvelle-Zélande, plus gros exportateur mondial de lait, enregistre une baisse de sa production, tout comme l'Europe, où la fin des quotas laitiers il y a deux ans avait provoqué surproduction et chute des cours, poussant les éleveurs à réduire leurs tonnages.
En conséquence, les prix ont explosé : payé 2.500 euros la tonne en avril 2016, les cours du beurre ont atteint 7.000 euros la tonne l'été dernier.
" En raison d'une pénurie de lait français, nos fournisseurs ne sont pas en mesure d'honorer nos commandes de beurre ", annonce une affichette dans un supermarché français
Les professionnels ont dû s'adapter
« J'ai déjà augmenté les prix avant l'été de 5 centimes sur les croissants. Là je pense qu'on va encore augmenter, les clients comprennent, on diminuera après », explique Thierry Lucas, gérant de la boulangerie des Plomarc'h, en Bretagne ( ouest ), qui emploie 14 salariés.
Dans certaines entreprises, la matière première vient réellement à manquer. Ainsi, les 10 salariés de la PME française Pâte Feuilletée François, qui fabrique des pâtes à tarte fraîches en gros, sont au chômage technique à 70 % de leur temps depuis près de trois semaines.
Les producteurs laitiers français, eux, ne bénéficient que très peu de cette envolée des tarifs du beurre, qui ne contribue pas à une hausse significative des prix du lait. Pire, en augmentant le volume de lait produit pour fabriquer plus de beurre avec la matière grasse, il risque de leur rester sur les bras une grande quantité de poudre de lait, déjà en surproduction dans l'Union européenne.
-- Commentaire : Le manque de beurre serait-il le présage d'une grave crise alimentaire mondiale ?
Voir aussi :
Trois raisons de s'inquiéter de la pénurie de beurre qui touche la France
Crise du beurre : « La pénurie est peut-être organisée par les industriels » --
https://fr.sott.net/article/31299-Mais-ou-est-donc-le-beurre
La montée des faux sceptiques qui "changent d'avis" sur le changement climatique
RépondreSupprimerOctober 26th, 2017
Pauvre Nick Kilvert à l'ABC encore, trouve le yéti de climat partout - cette créature imaginaire, le sceptique converti. C'est un chaînon manquant important dans le récit fictif - évidemment si la preuve est trop sanglante, il y aura un flot de personnes qui s'éveilleront graduellement. Hélas, Kilvert ne se rend pas compte que le trafic est tout le contraire, un exode, et il n'y a pas un seul sceptique franc qui a changé de façon convaincante dans l'autre sens. Le mieux qu'il puisse faire est d'extirper Richard Muller, le converti autoproclamé, qui s'est enfui avec sa façade sceptique jusqu'à ce que des citations embarrassantes surgissent de ses jours sceptiques où il déclarait que les combustibles fossiles étaient le «plus grand polluant de l'histoire humaine». Il a été sorti il y a cinq ans, mais hélas, Kilvert apparemment n'a toujours pas de connexion internet et n'a pas pensé à regarder. Si seulement Kilvert pouvait m'avoir envoyé un mail ?
Le titre:
"Une fois étaient sceptiques: Qu'est-ce qui a convaincu ces scientifiques que le changement climatique est réel ? "
A quoi je pourrais dire: "Une fois les journalistes: Pourquoi ces écrivains ne font-ils plus de recherches ?"
C'est aussi bon que ça. Muller est la "star" convertie. Lui et toute son équipe doutaient des sceptiques:
En 2010, le professeur Muller de l'Université de Berkeley a été financé pour mener une étude approfondie par un groupe de personnes qui doutaient des données du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC). Ils pensaient que les îlots de chaleur urbains, le biais de sélection des données et les modèles climatiques inexacts étaient dissimulés par les scientifiques. Le professeur Muller et son équipe - qui doutaient tous du changement climatique ou de l'origine du gaz carbonique - ont été choqués de constater une corrélation entre les émissions de gaz carbonique et le réchauffement.
Muller n'était pas seulement un croyant passionnément peu avisé (voir les citations ci-dessous), mais l'équipe de Muller à Berkley comprenait sa fille Elizabeth Muller (qui n'était pas moins qu'un directeur de BEST). A quel point était-elle sceptique ? Si sceptique qu'en 2008, elle a dirigé une société de conseil appelée GreenGov ™ qui a aidé les gens à comprendre comment «réduire les empreintes carbone». Elizabeth Muller vendait des conseils sur la réduction des émissions de gaz carbonique, mais a apparemment été «choquée» en 2012 de constater que le gaz carbonique pourrait avoir de l'importance. Pas très bien pour elle d'une façon ou d'une autre.
Ces citations de Richard Muller sont connues depuis des années:
Richard Muller, 2003. "... le gaz carbonique provenant de la combustion des combustibles fossiles s'avérera être le plus grand polluant de l'histoire humaine. Il est susceptible d'avoir des effets graves et préjudiciables sur le climat mondial. "
RépondreSupprimerRichard Muller, 2008: "Il y a un consensus sur le fait que le réchauffement climatique est réel. ... ça va devenir beaucoup, bien pire. "
Compte tenu de ce que le professeur Muller a dit en 2003 et 2008, vous penseriez qu'il aurait déjà entendu dire que la hausse des températures est liée à l'augmentation du gaz carbonique ? Même les sceptiques le savent. Mais alors il est seulement un professeur.
Il doit y avoir un sceptique converti quelque part ...
Le deuxième supposé converti est un homme appelé Dr Anthony Purcell. Purcell explique post hoc qu'il avait quelques "doutes" sur la haute sensibilité (ressemble à un scientifique pour moi) mais a été converti, "secoué" quand il a lu que le professeur Frank Fenner, le célèbre virologue, prédit que les humains seraient éteints, peut-être moins de 100 années. Eh bien, alors, hein ? Étrange qu'il ait fait son doctorat sur le changement du niveau de la mer en 1997, mais il est resté un sceptique silencieux jusqu'à ce qu'il lise l'OpEd dans The Australian 13 ans plus tard.
Purcell affirme que les sédiments d'il y a 55 millions d'années durant le PETM «ont prouvé que la prédiction du professeur Fenner avait un précédent historique.» Pourtant, même un sceptique débutant stupide dans leur 7ème post était capable de supposer que la résolution de 50 millions d'années être trop décisif et google recherche pour trouver des documents comme Sluijs 2007. (Qui a suggéré que le gaz carbonique a augmenté 3 000 ans après le réchauffement.) Purcell n'a pas pu trouver de preuves de cause à effet définitives de 1998, mais seulement dans les données de 50 millions BC.
Pour authentifier la douleur de la conversion, nous recevons des histoires sanglantes. Purcell qualifie son père de «négationniste du climat profondément ancré» et affirme que son acceptation de la catastrophe provoquée par l'homme a «gravement érodé» ses relations personnelles. Sans blague. Peut-être qu'il pourrait essayer de ne pas appeler les noms des gens ?
Creuser profondément, le troisième converti est Prof-Catastrophe-Karoly lui-même. Apparemment, il y a 31 ans, il avait l'esprit ouvert assez longtemps pour écrire un résumé pour une conférence qui favorisait les causes naturelles, mais il a changé d'avis au moment où il l'a présenté. C'est tout.
RépondreSupprimerDepuis lors, il s'est converti en quelqu'un qui croit aux "consensus", malgré les radiosondes, les bouées océaniques, les satellites et les carottes de glace et toute la philosophie de la science.
Il pourrait être un converti, mais s'il était un scientifique, il s'est converti à autre chose.
Sceptiques, s'il vous plaît, l'ABC veut savoir si vous avez changé d'avis. Aidez-les, et prenez une capture d'écran au cas où ils le perdraient. : -)
RÉFÉRENCE
Sluijs 2007, Environmental precursors to rapid light carbon injection at the Palaeocene/Eocene boundary, Nature 450, 1218-1221 (20 December 2007) doi:10.1038/nature06400 [Abstract]
http://joannenova.com.au/2017/10/the-rise-of-fake-skeptics-who-change-their-minds-about-climate-change/
CDC et IBM annoncent un partenariat de recherche axé sur la blockchain et l'intelligence artificielle
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
26 oct. 2017 00:30
Dans ce que nous imaginons devenir l'un des cas d'utilisation les plus rapides de la technologie blockchain, le CDC et IBM se sont associés pour rechercher comment le premier peut développer un système basé sur blockchain pour permettre aux prestataires de soins de partager plus facilement des informations individuelles. patients et des données sur les pandémies naissantes.
Depuis que la recherche de nouvelles applications possibles pour blockchain est devenue l'obsession d'une légion d'entrepreneurs et de chefs de technologie d'entreprise ces dernières années, son potentiel à révolutionner le stockage et la diffusion des dossiers de santé a reçu beaucoup d'attention.
Alors que le partenariat se concentrera sur le développement de la technologie à utiliser par le gouvernement fédéral, la recherche aidera à la création de solutions de soins de santé pour le marché privé, a déclaré le directeur scientifique d'IBM, Shahram Ebadollahi. Ebadollahi a fait cette annonce aux côtés du directeur de la santé d'IBM, Kyu Rhee, lors de la table ronde de Watson Health au Fast Company Innovation Festival.
Et en combinant la technologie blockchain avec des percées dans l'intelligence artificielle, la création d'unités de domicile qui effectuent des fonctions de diagnostic au lieu d'un médecin n'est peut-être pas loin.
M. Rhee a déclaré qu'il croyait que les applications de l'IA dans les soins de santé permettront éventuellement aux consommateurs d'acheter un système de santé à domicile aussi facilement qu'ils peuvent maintenant acquérir un système de sécurité à la maison. "Pensez à où nous étions avec Internet en 1993", a-t-il déclaré. "C'est à peu près où nous sommes aujourd'hui avec l'IA."
Rhee et Ebadollahi ont expliqué ce que de nombreux assureurs santé et prestataires de soins de santé ont déjà reconnu: Cette blockchain est particulièrement bien adaptée pour partager les dossiers médicaux sensibles d'un patient entre plusieurs fournisseurs. Considérant que la plupart des pratiques médicales stockent toujours des informations sur les patients dans une carte papier qui n'est pas facilement partagée, beaucoup ont identifié les dossiers médicaux comme un domaine mûr pour la perturbation de la chaîne de blocs.
"Blockchain est très utile quand il y a tant d'acteurs dans le système", a déclaré Ebadollahi. "Cela permet à l'écosystème des données dans les soins de santé d'avoir plus de fluidité, et l'intelligence artificielle nous permet d'extraire des informations à partir des données. Tout le monde parle de Big Data dans les soins de santé, mais je pense que la chose la plus importante est les données longues. "
Comme Rhee, qui a commencé sa carrière en médecine pédiatrique, a déclaré que les professionnels de la santé sont submergés par les données. "Il y a plus de 8 000 publications sur les soins de santé chaque jour", a-t-il déclaré.
RépondreSupprimer"Personne ne peut suivre. Nous avons besoin d'un système pour traduire toutes les données en idées clés qui peuvent être appliquées à un patient, et c'est là que les systèmes d'IA peuvent soutenir un clinicien. "
Et les caractéristiques de sécurité de la technologie blockchain le rendent particulièrement bien adapté pour stocker des dossiers de santé sensibles.
"La vie privée et la sécurité passent en premier", a déclaré Rhee. "Les patients possèdent leurs données, et vous ne pouvez pas partager des données avec des personnes en qui vous n'avez pas confiance."
Bien sûr, le potentiel d'AI s'étend bien au-delà de l'industrie des soins de santé.
"Quand un groupe de physiciens a collaboré et créé cette chose appelée le World Wide Web il y a quelques décennies, personne n'a imaginé Facebook et Google et Amazon", a-t-il dit. «Avec la blockchain, nous pouvons collecter des données et extraire des informations grâce à l'IA, et l'avenir aura une économie que nous ne pouvons même pas imaginer en ce moment.
Cependant, toute personne qui s'attend à ce que ces percées arrivent à court terme devrait probablement reconsidérer. Comme nous l'avons récemment rapporté, certains experts croient que le battage autour de l'IA et des apprentissages machine approche rapidement le "pic des attentes gonflées ..."
- voir tableau sur site -
... Et comme les évangélistes de l'IA reconnaissent que la technologie pourrait prendre des décennies à se développer, les attentes du public vont bientôt évoluer vers le «creux de la désillusion».
http://www.zerohedge.com/news/2017-10-25/cdc-ibm-announce-research-partnership-focused-blockchain-artificial-intelligence
Les États-Unis des toxines
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
25 octobre 2017 23h00
Via Priceonomics.com,
Chaque année, l'Environmental Protection Agency (EPA) des États-Unis exige que la plupart des grandes installations industrielles signalent le volume de produits chimiques toxiques qu'elles rejettent dans l'environnement.
L'EPA prend ces données et les consolide dans le Toxic Releases Inventory (TRI), qui est ensuite utilisé pour mettre en place des politiques environnementales.
Nous avons analysé ces données avec Ode, une entreprise qui crée des produits de nettoyage respectueux de l'environnement. Donc, nous nous sommes intéressés à l'information enfouie dans ces rapports massifs, difficiles à comprendre. Quelles sont les toxines les plus communément libérées ? Dans quels États et quelles villes sont les produits chimiques les plus émis ? Quelles industries contribuent le plus à cette pollution ?
Résumé des résultats:
En tant qu'État, l'Alaska produit le plus de toxines (834 millions de livres)
Le zinc et les composés de plomb (produits courants de l'industrie minière) sont les toxines les plus courantes
Les mines de métaux représentent 1,5 milliard de livres de toxines, tandis que les produits chimiques (515 millions) se classent au deuxième rang
Au niveau du comté, le nord-ouest de l'Arctique de l'Alaska mène la liste, mais de nombreux comtés du Nevada complètent le top 5
Kotzebue, AK produit le plus de toxines en tant que ville (756 millions de livres), et Indianapolis, IN (10,9 millions) produit le plus parmi les 100 villes les plus peuplées
Une note sur la méthodologie
Pour cette analyse, nous avons examiné le rapport TRI le plus récent de l'EPA, en examinant les données de 2016.
Cela comprend des données provenant de plus de 18 000 installations aux États-Unis, couvrant des industries importantes comme la fabrication, l'exploitation minière, les produits chimiques et les services publics. Elle comprend les rejets totaux (en livres) d'environ 650 toxines différentes dont on sait qu'elles ont un effet nocif significatif sur les humains et / ou l'environnement. Et dans ce rapport, le terme «rejet» signifie qu'un produit chimique «a été émis dans l'air ou dans l'eau, ou placé dans un certain type de décharge terrestre».
Plus d'informations sur le rapport et la méthodologie utilisée par l'EPA peuvent être trouvés ici.
Les États-Unis de Toxins
Nous avons commencé par comptabiliser les rejets de toxines totales par état. Cela inclut toutes les toxines dans toutes les industries. Dans la carte ci-dessous, des couleurs plus foncées indiquent un volume total plus élevé de toxines (en livres).
Source d'origine: Ode
RépondreSupprimerSur le continent, nous pouvons voir que les installations du Nevada et de l'Utah sont particulièrement nuisibles à l'environnement - mais une bande d'États dans la ceinture de Rust (Illinois, Indiana et Ohio), avec le Texas et la Louisiane, sont aussi des acteurs majeurs.
Alaska, cependant, surclasse facilement tous les autres États de près de 3x.
Source d'origine: Ode
Un examen plus attentif, au niveau du comté, révèle que 91 % des rejets de toxines de l'Alaska proviennent d'un comté: Northwest Arctic, AK:
Source d'origine: Ode
En fait, en allant un peu plus loin, nous voyons que presque toutes ces toxines proviennent d'une seule ville: Kotzebue, AK - une petite ville qui compte 7 500 habitants.
Source d'origine: Ode
Pourquoi ? À seulement 90 milles de Kotzebue, la mine Red Dog, la plus grande source de zinc au monde, est une importante source de plomb pour l'Amérique. En opération depuis 1987, on estime que la mine contient 77,5 millions de tonnes de zinc, de plomb et d'argent - et chaque année, ses activités libèrent 756 millions de livres de toxines dans l'environnement.
Mais ces listes de comté et de ville ont d'autres histoires à raconter.
Trois des cinq premières villes - Humboldt, Lander et Eureka - se trouvent au Nevada. Tous sont connus pour contenir plusieurs mines d'or actives qui libèrent collectivement des centaines de millions de livres de toxines.
Les 50 villes les plus peuplées
Il est probable que vous n'ayez pas entendu parler de beaucoup de villes sur ces listes - et c'est parce que la plupart des grandes installations industrielles des États-Unis sont établies en dehors des limites de la plupart des grandes villes, loin des grandes populations.
Jetons un coup d'œil aux 100 villes les plus peuplées des États-Unis (selon les données du recensement). La liste ci-dessous est triée par taille de population.
Source d'origine: Ode
Fait intéressant, vous verrez que deux des plus grandes villes des États-Unis - New York et San Francisco - n'ont aucune donnée répertoriée. Seules certaines installations «éligibles» sont requises pour soumettre des données (celles qui libèrent un certain seuil de toxines particulières), donc nous supposons que c'est parce que: A) Ces villes n'ont pas d'installations admissibles dans les limites de la ville, puisque les biens immobiliers B) Les installations qui y existent ne répondent tout simplement pas aux émissions minimales requises pour la déclaration des données.
En tout cas, sur les 50 villes les plus peuplées, Indianapolis, IN est en tête avec 10,9 millions de livres. La ville a longtemps été citée pour sa mauvaise qualité de l'air, résultat des aciéries, des usines automobiles et de nombreuses centrales alimentées au charbon qui crachent de l'arsenic, du plomb et du mercure à des taux alarmants.
RépondreSupprimerMais certaines de ces villes sont plus grandes que d'autres, il est donc logique qu'elles produisent plus de toxines. Rester avec les 100 villes les plus peuplées, regardons les toxines par mile carré.
Source d'origine: Ode
Baton Rouge, en Louisiane, est en tête de liste, en partie grâce à l'énorme raffinerie de pétrole d'Exxon Mobile, la deuxième plus grande du pays, et à l'une des dizaines de plantes qui bordent les limites de la ville.
Henderson, Nevada, qui se classe deuxième ici, était autrefois une décharge d'eaux usées qui a pris 18 ans et plus de 500 000 tests environnementaux pour obtenir l'approbation du bâtiment.
Par habitant, nous voyons les mêmes villes en tête de liste, avec quelques ajouts supplémentaires (Cleveland, Wichita).
Source d'origine: Ode
Les plus gros agresseurs
En parcourant les listes ci-dessus, vous remarquerez que la plupart des principales villes et comtés se trouvent dans des zones connues pour l'exploitation minière. Il n'est donc pas surprenant que l'industrie minière soit responsable du pourcentage le plus élevé de toxines libérées aux États-Unis.
Source d'origine: Ode
Avec 1,52 milliard de livres sterling, l'extraction des métaux produit trois fois plus que la catégorie suivante, les «produits chimiques» largement définis, qui comprennent des toxines telles que l'acide sulfurique, le propylène et le carbonate de sodium. (L'EPA énumère exhaustivement ses classifications d'industrie ici).
Les services publics d'électricité (368 millions de livres), le papier (170 millions) et les déchets dangereux (146 millions) contribuent également à la production de grandes quantités de toxines à l'échelle de l'industrie.
Mais comment cela se décompose-t-il sur une échelle plus spécifique ?
Source d'origine: Ode
Les composés de zinc (739 millions de livres) et les composés de plomb (650 millions) - les deux produits de l'exploitation minière - dominent la liste des principales toxines individuelles libérées. Les composés nitrés, qui sont un sous-produit courant des engrais et des excréments humains, se situent à 193 millions de livres, et un autre polluant de l'eau, l'ammoniac (163 millions), occupe également une place importante.
Certaines entreprises, nous trouvons, sont également en grande partie à blâmer pour les pourcentages massifs des toxines libérées aux Etats-Unis.
RépondreSupprimerSource d'origine: Ode
Les sociétés minières métallurgiques dominent cette liste, mais nous y voyons aussi un certain nombre de grands groupes (Koch Industries, Berkshire Hathaway), ainsi que des opérations gouvernementales (US Department of Defense, US Tennessee Valley Authority).
* * *
Collectivement, les industries des États-Unis ont rejeté plus de 3,54 milliards de livres de toxines dans l'environnement en 2016. Cela représente le poids équivalent d'environ 25,3 millions d'adultes américains - soit environ 8 % de la population américaine entière. Près de la moitié des Américains vivent dans un comté où la pollution de l'air est insalubre et 46 % des lacs américains sont trop pollués pour pêcher ou nager.
http://www.zerohedge.com/news/2017-10-25/united-states-toxins
Même si ces centres de rejets et de quantités ne représentent qu'un millionième de ce que recrachent les volcans (et malgré tout... l'homme est apparu sur Terre ! Çà alors !) et que tout ce qui est de la Terre retourne à la Terre, c'est le temps que les particules restent en l'air qu'il est intéressant de constater ainsi que les plantes & animaux qui en consomment.
SupprimerRussiagate : la désinformation continue aux USA et … en Europe
RépondreSupprimerle 26 octobre 2017
Le gigantesque scandale, une véritable bombe à fragmentation, qui commence à secouer les USA n’a pas fini de faire couler de l’encre. Brièvement il s’agit de l’affaire mêlant Uranium One, la Russie, le comité démocrate (DNC), Hillary Clinton et même Obama qui pourrait aussi être éclaboussé. Lorsque Madame Clinton était en poste comme Secrétaire d’Etat aux affaires étrangères durant le premier mandat d’Obama, elle eut en charge le dossier de rachat d’Uranium One par la société d’état russe Rosatom. Elle en profita, toute secrétaire d’Etat qu’elle était, il fallait le souligner, pour corrompre les autorités russes et faire pression afin que la Fondation familiale Clinton soit dûment rémunérée à hauteur, toutes sommes confondues, de 145 millions de dollars plus un demi-million de dollars dans la poche de Bill qui effectua une prestation à Moscou pour mettre de l’huile dans les rouages de Rosatom. L’affaire remonte à 2010. Malgré le fait que le FBI et le département de la justice américaine se soient intéressés à cette transaction permettant à la Russie de contrôler 20 % de l’activité liée à l’uranium au sein même des USA l’affaire n’a pas eu l’air d’inquiéter Obama outre mesure. Il a même tout simplement gardé le silence, de même que James Comey alors directeur du FBI, remercié il y a quelques mois par Trump.
De toute évidence Hillary Clinton a menti dans l’affaire appelée maintenant le « Russiagate ». Elle a financé une entreprise privée en liaison avec un ancien agent du MI6 pour monter de toute pièce la soi-disant interférence de la Russie dans les élections présidentielles de novembre 2016. Pour que FoxNews reconnaisse ses erreurs au sujet du rôle jamais prouvé de la Russie dans ces élections et que le Washington Post se sente pour le moins gêné est révélateur de l’aspect nauséabond de la politique politicienne de Capitol Hills : tous les membres de la Chambre des Représentants sont mouillés que ce soient les Démocrates comme les Républicains qui ont reproché à Trump d’avoir limogé James Comey car un grand nombre d’entre eux « savaient ». D’autres têtes vont bientôt tomber et le couple Clinton pourrait se retrouver sous les verrous si naturellement la justice fait correctement son travail, ce qui n’est pas encore acquis pour l’instant.
Apparemment ce tsunami politique américain n’a pas l’air d’intéresser les médias européens qui, comme l’a fait l’AFP, ignorent ou feignent d’ignorer ce qui se passe en ce moment même à Washington. Pas un mot sur la corruption d’Hillary Clinton lors des transactions avec Rosatom, seulement la mention d’un fait très secondaire : la mission confiée à l’entreprise Fusion GPS, basée à Washington chargée d’enquêter sur les liens entre Trump et la Russie qui remit un rapport totalement mensonger au DNC afin d’alimenter le « Russiagate ». Pas un mot de la corruption active d’Hillary Clinton, c’est l’Omerta ! Il faut dire que tous les médias européens, sous l’influence de la CIA, ont carrément daubé au sujet de Donald Trump. Ils vont s’en mordre les doigts car cette affaire va aussi avoir de lourdes répercussions en Europe, le chien-chien de l’Amérique. Quelle attitude vont adopter Merkel, Junker et bien d’autres éminents hommes politiques, seulement éminents dans leur degré de corruption et d’avilissement
RépondreSupprimerLa politique c’est complètement pourri … À suivre.
Source : ZeroHedge et The Hill
https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/10/26/russiagate-la-desinformation-continue-aux-usa-et-en-europe/