Donnés à titre indicatif, les tarifs peuvent varier selon l'âge, le sexe ainsi que le pays d'origine. Que ce soit pour en faire un enfant soldat, une future mariée ou encore une prostituée, les raisons de ce trafic sont multiples.
Il est impossible d'établir une liste exhaustive des prix pratiqués dans le monde entier - mais le site Havocscope qui centralise les informations et les données sur les économies parallèles qui paraissent dans la presse mondiale, offre un intéressant aperçu de ce qu'un être humain peut coûter à un potentiel acheteur.
Ces prix sont donc donnés à titre indicatifs ; ils ne sont représentatifs de rien, et calculer une « moyenne » serait tout à fait absurde. Les connaître permet simplement d'entrapercevoir quelques bouts de monde abandonnés - et, peut-être que certains iront creuser ces prix, déterrer des épouvantails, mettre des visages et des histoires dans les pages de quelques journaux.
Chiffres de juin 2013 Trafic d'êtres humains : Les prix d'un marché juteux.
Un bébé au Nigeria : 4 924 €
Un bébé en Chine : 6 001 €
Un bébé en Malaisie : 5 069 €
Un bébé dans le Nord Caucase (Russie) : 13 465 €
Un enfant en Chine : 4 693 € pour les garçons, 384 € pour les filles
Un enfant au Ghana : 38 € aux parents, puis 230 € au trafiquant
Un enfant en Inde : 34 € (un buffle se vend 269 € en Inde)
Un enfant en Irak : entre 230 € et 4 232 €
Un enfant au Mali : 461 € pour un enfant soldat
Un enfant en Thaïlande : 19 € pour louer un enfant mendiant
Un enfant au Royaume-Uni : 19 236 €
Une fillette en Roumanie : de 2 308 € à 4 616 €
Une fillette au Bangladesh : 192 €
Une fillette au Mozambique : 1,53 €
Un Yéménite : 769 € pour une livraison en Égypte
Un Canadien : 3 754 € (payé par un proxénète à un trafiquant)
Une adolescente irakienne : 3 847 € pour une vierge, 1 923 € pour une non-vierge
Une adolescente québécoise vendue en Ontario : 4 608 €
Une femme du Pakistan : 263 €
Une femme du Mozambique : 515 € depuis l'Afrique du Sud
Une femme du Myanmar pour servir d'épouse à un Chinois : 5 617 €
Une femme du Népal : 750 € à Mumbai
Une femme du Nigeria : de 30 778 € à 60 018 € à un proxénète qui la mettra sur un trottoir italien
Une femme de Corée du Nord : 820 € (lorsqu'elles ont la vingtaine), 585 € (lorsqu'elles ont la trentaine), 351 € (lorsqu'elles ont la quarantaine)
Une femme du Vietnam achetée par un Malaisien pour se marier : 4 750 €
Une femme du Mali : moins de 769 € pour une mariée
- voir tableau sur site -
Trafic d’êtres humains des pays d’origines (en jaune: nombre limité et en rouge : nombre important) et de destinations (en bleu clair : nombre important et en bleu foncé : nombre très important) – Own work – Mai 2011. Depuis le 1er septembre 2014, les États membres de l'UE doivent appliquer une méthode de calcul du PIB similaire : le « Système européen de compte 2010 » (SEC 2010).
Le SEC 2010 prévoit notamment d'intégrer des activités auparavant exclues du calcul du PIB, telles que : Les activités illégales dont : la prostitution... N'est-ce pas cautionner et encourager le trafic d'êtres humains ? Source :
La valeur du métal (dit de référence) est l'or. Mais sont prix est totalement faux (fixé deux fois par jour hors transactions) et ne reflète en rien une valeur légale et honnête (les pays qui n'ont pas d'or dans leur sous-sol doivent être pauvres) ! C'est pourquoi, la SEULE valeur honnête est l'humain.
Face donc aux plus de 4% de surdoués qu'il y a dans le monde (+ de 280 millions de personnes !), il y a ceux qui ont un prix et ceux qui ne valent pas grand chose (évalué au prix du kg de viande sur le marché).
Une nouvelle étude révèle que la population d'insectes volants a diminué de 76 % en moyenne en près de trente ans en Allemagne.
La biomasse des insectes volants, essentiels aux écosystèmes, a diminué de plus de 75 % en près de trente ans en Allemagne, sans que les scientifiques parviennent à en déterminer la cause avec certitude. Les chercheurs, qui ont mené leur étude dans des zones protégées en Allemagne depuis 1989, suspectent que les pesticides agricoles sont responsables de cette hécatombe préoccupante.
Selon leurs conclusions publiées mercredi dans la revue Plos One, ce fort déclin a été observé, quels que soient les changements météorologiques, l'utilisation des sols ou les caractéristiques de l'habitat. Les entomologistes ont avancé que des facteurs à grande échelle devaient être impliqués, nécessitant des recherches supplémentaires pour les identifier. Ils ont également plaidé pour une évaluation géographique de ce déclin et de son impact potentiel sur l'écosystème. Les insectes volants jouent en effet un rôle crucial dans la pollinisation de 80 % des plantes sauvages et dans l'alimentation de 60 % des espèces d'oiseaux.
Des « pièges écologiques » pour les insectes
De précédentes études avaient révélé un déclin inquiétant de la diversité et de la population de certaines espèces (abeilles, papillons, etc.) en Europe et en Amérique du Nord, mais pas de la biomasse des insectes ailés sur une longue période. Les entomologistes de Krefeld, en Allemagne, ont recueilli des données pendant vingt-sept ans dans 63 réserves naturelles disséminées sur le territoire allemand. Ils ont pesé la masse totale des insectes qu'ils piégeaient et ont déterminé qu'elle avait diminué de 76 % en moyenne, et même de 82 % au milieu de l'été.
« La diminution de la biomasse des insectes ailés est suspectée depuis longtemps, mais s'est avérée être plus sévère qu'on ne le pensait », a relevé Caspar Hallmann, entomologiste à l'université Radboud, aux Pays-Bas. « Le fait que la population de ces insectes se réduise dans de telles proportions et sur d'aussi vastes étendues géographiques est encore plus alarmant », a-t-il jugé. Selon lui, la plupart des zones étudiées sont des réserves naturelles protégées, mais, malgré cela, leur masse a été fortement réduite. Avec en majorité une surface petite, ces réserves sont entourées de zones agricoles utilisant des insecticides qui deviennent une sorte de « piège écologique » mettant en péril ces populations animales, a expliqué Caspar Hallmann.
Résultats « représentatifs » pour une partie de l'Europe
La météo pourrait expliquer en grande partie les nombreuses fluctuations de la masse des insectes au cours d'une saison ou d'une année sur l'autre, mais pas ce rapide déclin, ont estimé les scientifiques. Des résultats qui, selon Caspar Hallman, sont probablement représentatifs de ce qui se passe dans une grande partie de l'Europe, et ailleurs dans le monde, où des réserves naturelles sont au milieu de terres agricoles.
« Alors que des écosystèmes entiers dépendent des insectes pour la nourriture et la pollinisation, on peut s'inquiéter d'un déclin des populations d'oiseaux et de mammifères qui s'en nourrissent », a prévenu Hans de Kroon, également de l'université de Radboud. « On peut difficilement imaginer ce qu'il pourrait advenir si ce phénomène de disparition des insectes ailés se poursuivait », s'est inquiété celui qui a dirigé cette étude.
Mais comme les causes de ce déclin ne sont pas clairement établies à ce stade, il est difficile de prendre des mesures concrètes pour l'enrayer, a-t-il ajouté. Ces chercheurs espèrent que leurs conclusions vont servir de signal d'alarme et entraîner rapidement des études supplémentaires pour déterminer l'origine de cette disparition rapide des insectes volants et pour la combattre.
Les SEULS responsables de ce déclin sont les éoliennes qui tuent des milliards d'insectes (et d'oiseaux) par jour dans le monde. Ce n'est dont NULLEMENT la cause aux insecticides qui sont sélectifs (idem pour les bombes anti-mouches et moustiques qui ne tuent ni les araignées, ni les cafards ou papillons).
C'est pourquoi cette analyse a été faite en Allemagne et non en des pays où n'existent pas ces machines de mort !
Le directeur de la CIA évoque sa réaction en cas de «disparition» de Kim Jong-un
09:21 22.10.2017
En cas d’élimination éventuelle de Kim Jong-un, y compris par les services de renseignement américains, le directeur de la CIA préférait de son propre aveu passer ce fait sous silence et le garder pour lui.
D'après la CIA, Kim Jong-un serait un acteur rationnel, qui met l'accent sur le maintien de son pouvoir et tient à «se réveiller dans son propre lit» tous les jours.
Cependant, si le leader nord-coréen ne se présentait pas à son bureau pour une raison quelconque, le directeur des services secrets américain Mike Pompeo préférerait ne pas se prononcer à ce sujet.
«Si Kim Jong-un disparaissait, je n'en parlerais pas, compte tenu de l'histoire de la CIA», a déclaré jeudi Mike Pompeo en réponse à la question de savoir ce qui se passerait si Kim Jong-un mourrait subitement.
«Quelqu'un pourrait penser que c'est une coïncidence. "Vous savez, ce fut un accident". Ce n'est juste pas productif», a-t-il plaisanté lors cette prise de parole à Washington, dans une salle pleine d'agents des services de sécurité.
Ce que l'on sait de la sœur de Kim Jong-un et de sa nomination au gouvernement
La CIA a en effet un sombre passé d'ingérence dans des complots visant à destituer, voire à éliminer, les dirigeants des «pays ennemis», tels que l'Iran, Cuba, le Congo, le Viêt Nam et le Chili. La Corée du Nord a d'ailleurs affirmé plus tôt dans l'année que la CIA, épaulée par les services de renseignement sud-coréens, avait essayé plusieurs fois d'attenter à la vie de Kim Jong-un.
Mike Pompeo a toutefois tenu à souligner que la politique américaine avait pour objectif de «défier le régime nord-coréen sur les plans diplomatiques et économiques» et de convaincre Kim Jong-un de ne plus proférer de menaces envers les États-Unis.
«La mission de Kim Jong-un ne consiste qu'à se maintenir au pouvoir», a-t-il souligné.
Toujours est-il que Pompeo, qui est devenu directeur de la CIA en janvier dernier, a ajouté qu'il était en train de revitaliser les missions de l'agence sur le terrain. «Nous sommes sur le point de devenir une agence beaucoup plus dangereuse», a-t-il conclu.
A savoir que depuis des décennies les pays sont chemtraillés de nanoparticules dites 'poussières intelligentes' qui sont elles-mêmes ingérées sous forme aérienne lors de la respiration des humains et des plantes et font désormais parties intégrantes des sols.
Ainsi, pareillement aux animaux (oiseaux, poissons, etc) retrouvés morts en masse sans en connaître la cause, il est remarquable que ce ne sont pas tous les oiseaux d'un quartier ou région qui sont morts ni toutes les variétés de poissons qui sont touchées !!! Tout dépend donc de la race des oiseaux comme des poissons et non de l'environnement ! Cette différentiabilité est obtenue grâce aux facteurs respiratoires et cardiaque de chacun. Chaque espèce a son rythme qui lui est propre.
La mort est déclenchée par satellite (ondes) comme par technologie scalaire.
La CIA (entr'autres) se trouve donc dans l'embarras d'expliquer le comment-ils-font sans expliquer le pourquoi du l'interdiction des visites de HAARP à Gakona (AK) qui serait un site 'météorologique' !! (Hahahaha !), ni le pourquoi de l'interdiction de l'inspection des avions chemtraillers qui seraient là pour 'lutter contre le réchauffement climatique' !!! Hahahahaha !
Ce serait comme de demander à un ministre ou chef d'État comment un pot de terre (lancé à 10 000 km/h) contre un pot de fer pourrait briser le pot de fer !!! (voit les 'avions' en aluminium du 11 Septembre 2001 qui auraient réussi à couper des piliers d'acier verticaux de 80 cm de large qui soutenaient les tours du WTC et pourquoi ils n'ont même pas été ralentis lors de la collision contre les bâtiments !!!).
"Donald Trump tchèque" remporte la victoire du glissement de terrain
par Tyler Durden 23 oct. 2017 02:00 Auteur de Soeren Kern via The Gatestone Institute,
Le résultat des élections, résultat du mécontentement populaire à l'égard des partis établis, est le dernier d'une récente vague de succès pour les populistes européens, y compris en Autriche et en Allemagne. L'ascendance populiste met en évidence un paysage politique changeant en Europe où le multiculturalisme galopant et le politiquement correct, combinés à un afflux massif de migrants inassimilables d'Afrique, d'Asie et du moyen-orient, ont provoqué une vague de soutien aux partis de protestation anti-establishment.
"Il est impensable que la population indigène européenne s'adapte aux réfugiés, nous devons nous débarrasser de cette rectitude politique absurde: les réfugiés doivent se comporter comme des invités, c'est-à-dire qu'ils doivent être polis, et ils n'ont certainement pas le droit de choisissez ce qu'ils veulent manger ... Il y a un profond fossé entre ce que les gens pensent et ce que les médias leur disent. " - Andrej Babis, dans le quotidien tchèque Pravo, le 16 janvier 2016. En tant que Premier ministre, Babis partagerait le gouvernement avec le président tchèque Milos Zeman, qui a décrit la rectitude politique comme «un euphémisme pour la lâcheté politique».
Le magnat populiste Andrej Babis et son parti politique eurosceptique ont remporté l'élection parlementaire de la République tchèque - par un glissement de terrain - faisant du milliardaire "politiquement incorrect" le principal candidat à devenir premier ministre après les négociations de coalition.
Avec tous les votes comptés, le parti anti-establishment de Babis ANO (qui signifie «Action des citoyens insatisfaits» et aussi le mot tchèque pour «oui») a remporté près de 30% - presque trois fois son plus proche rival - des élections tenues le 20 octobre. Le Parti démocratique civique eurosceptique (ODS), le Parti anti-establishment tchèque des pirates et le parti anti-Union européenne pour la liberté et la démocratie directe (SPD) arrivent respectivement deuxième, troisième et quatrième avec environ 11% chacun.
Les communistes arrivent en cinquième position avec 7,8 %. Les sociaux-démocrates, le parti d'établissement de centre-gauche qui a terminé premier lors des élections précédentes, se sont classés en sixième position avec seulement 7,2 %. Les chrétiens-démocrates, le parti d'établissement de centre-droit, ont gagné 5,8%, juste assez pour se qualifier pour des sièges au parlement. En tout, neuf partis ont participé aux élections.
Le résultat des élections, résultat du mécontentement populaire à l'égard des partis établis, est le dernier d'une récente vague de succès pour les populistes européens, y compris en Autriche et en Allemagne. L'ascendance populiste met en évidence un paysage politique changeant en Europe où le multiculturalisme galopant et le politiquement correct, combinés à un afflux massif de migrants inassimilables d'Afrique, d'Asie et du Moyen-Orient, ont provoqué une vague de soutien aux partis de protestation anti-establishment.
La victoire de Babis renforcera également le rôle du Visegrad Group (V4), une alliance politique de quatre Etats d'Europe centrale - la République tchèque, la Hongrie, la Pologne et la Slovaquie - engagée non seulement à résister aux migrations massives, mais aussi à s'opposer au transfert continu de la souveraineté nationale à l'Union européenne. Un V4 plus fort accentuera les divisions entre les États pro-européens de l'Europe occidentale et les États de plus en plus eurosceptiques d'Europe centrale et orientale. L'Union européenne aura donc du mal à maintenir un semblant d'unité extérieure.
Dans son discours de victoire au siège du parti de l'ANO, Babis, qui a fait campagne en tant que centriste, a refusé de spéculer sur la composition d'un gouvernement de coalition, mais a déclaré qu'il voulait que le cabinet soit mis en place le plus rapidement possible. pour changer notre pays, je voudrais rassembler un gouvernement qui soit du peuple et pour le peuple et qui promeuve des politiques qui leur soient favorables. "
Babis a également essayé de rassurer le public qu'il ne mettrait pas la République tchèque sur la voie de l'autoritarisme, comme certains de ses détracteurs ont accusé:
"Nous sommes un mouvement démocratique, nous sommes une partie solide de l'Union européenne et nous sommes une partie solide de l'OTAN, je ne comprends pas pourquoi certaines personnes disent que nous sommes une menace pour la démocratie. Je suis prêt à me battre pour défendre nos intérêts nationaux et à les promouvoir. "
Babis a vivement critiqué la politique de migration ouverte de la chancelière allemande Angela Merkel et a dénoncé à plusieurs reprises les quotas de migrants imposés par l'UE et d'autres "ingérences de l'UE" dans la politique tchèque. Ces positions ont une résonance en République tchèque, où les citoyens ont la deuxième plus faible confiance dans l'Union européenne des 28 États membres (seuls les Grecs ont moins confiance dans l'UE), selon le dernier sondage Eurobaromètre, publié en août.
Pendant la campagne, Babis, âgé de 63 ans, l'une des personnes les plus riches du pays, s'est présenté comme un réformateur non idéologique axé sur les résultats. Il a promis de diriger la République tchèque comme une entreprise après des années de ce qu'il a appelé la gestion corrompue et inepte. Il a demandé le retour de la souveraineté de l'Union européenne et a rejeté l'adoption par la République tchèque de la monnaie unique de l'euro. Il a également promis de réduire les dépenses publiques, d'empêcher les gens d'être des parasites dans le système de protection sociale et de se battre pour les intérêts tchèques à l'étranger. Babis est souvent appelé "le Donald Trump tchèque".
Babis ne veut pas que la République tchèque quitte l'UE; Il a souligné à maintes reprises que l'accès sans entrave au marché unique européen est essentiel au maintien de la santé de l'économie tchèque, qui affiche le taux de chômage le plus faible de l'UE: «Nous avons six mille entreprises allemandes qui investissent avec nous.
Dans le même temps, Babis s'oppose à l'adoption de l'euro par le pays car cela constituerait, selon lui, une contrainte à la souveraineté nationale et à la compétitivité:
"Pas d'euro, je ne veux pas de l'euro, nous ne voulons pas de l'euro ici, tout le monde sait qu'il est en faillite, c'est notre souveraineté, je veux la couronne tchèque et une banque centrale indépendante. que Bruxelles se mêlerait de. "
Babis a promis de réformer l'Union européenne de l'intérieur, en particulier en ce qui concerne la politique migratoire: "Je veux jouer un rôle plus important en Europe, mais nous devons nous battre pour défendre nos intérêts et faire des propositions." Si j'étais Premier ministre, je dirais : 'Fermez enfin cette frontière européenne extérieure maudite.' "
Babis a exprimé son opposition à la migration de masse: "J'ai cessé de croire à une intégration réussie et au multiculturalisme." Il a également insisté sur le fait que seule la République tchèque devrait décider qui travaillera dans le pays et qui recevra de l'aide humanitaire: "Je ne veux pas de politique migratoire française ou allemande, nous voulons que notre politique migratoire soit complètement différente des autres pays. Chaque Etat a des intérêts, nous devons nous battre pour les intérêts nationaux tchèques, nous ne voulons pas avoir ce modèle multiculturel. "
Babis a rejeté les pressions de la Commission européenne, qui a lancé des procédures d'infraction contre les Tchèques, les Hongrois et les Polonais pour avoir refusé de se conformer à un plan européen de redistribution des migrants:
«Je n'accepterai pas les quotas de réfugiés pour la République tchèque, la situation a changé, nous voyons comment les migrants réagissent en Europe, nous devons réagir aux besoins et aux craintes des citoyens de notre pays, nous devons garantir la sécurité des citoyens tchèques. si nous sommes punis par des sanctions. " En juin 2017, Babis a réitéré que la République tchèque ne recevrait pas d'ordres de bureaucrates non élus à Bruxelles:
«Nous devons nous battre pour ce que nos ancêtres ont bâti ici, s'il y a plus de musulmans que de Belges à Bruxelles, c'est leur problème, je ne le veux pas ici, ils ne nous diront pas qui devrait vivre ici. Dans une interview avec le quotidien tchèque Pravo, Babis a déclaré:
"Il est impensable que la population indigène européenne s'adapte aux réfugiés, nous devons nous débarrasser de cette rectitude politique absurde: les réfugiés doivent se comporter comme des invités, c'est-à-dire qu'ils doivent être polis, et ils n'ont certainement pas le droit de choisissez ce qu'ils veulent manger, l'Europe et l'Allemagne en particulier connaissent une crise d'identité, il y a un fossé profond entre ce que les gens pensent et ce que les médias leur disent.
En tant que Premier ministre, Babis partagerait le gouvernement avec le président tchèque Milos Zeman, qui a décrit la rectitude politique comme «un euphémisme pour la lâcheté politique». Dans une interview avec le Guardian, Zeman, âgé de 71 ans, a relaté une récente conversation avec Angela Merkel: «Ma première phrase lors de la rencontre avec Madame Chancelier était:« Si vous invitez quelqu'un dans votre pays, vous ne les envoyez pas déjeuner chez vos voisins. "
Dans une interview accordée à la radio tchèque, Zeman, qui a qualifié la migration de masse vers l'Europe d '"invasion organisée", a déclaré: "Les Frères musulmans ne peuvent pas déclencher une guerre contre l'Europe, mais ils peuvent préparer un migrant croissant. vague et contrôle progressivement l'Europe. "
Comme Babis, Zeman a également exprimé son scepticisme à l'égard de l'intégration musulmane: «L'expérience des pays d'Europe occidentale qui ont des ghettos et des localités exclues montre que l'intégration de la communauté musulmane est pratiquement impossible.
par Tyler Durden 22 octobre 2017 20h45 Authord de Jason Hirthler via CounterPunch.org,
La grande expérience avec la démocratie occidentale, mal listée grâce aux largages des oligarques profanes, peut finalement échouer sur les rochers du crime de la pensée. Dans le projet inégale Minority Report de Steven Spielberg, mettant en vedette Tom Cruise, scientologue excitable, Cruise joue un policier futuriste qui enquête sur les pré-crimes et les arrête avant qu'ils ne se produisent. La police doit leur capacité à voir évoluer les intrigues criminelles vers des personnages appelés pré-cognitifs ou pré-cogs, sortes de prophètes autistes qui voient l'avenir et dorment dans des bassins d'eau stériles à l'intérieur du département de police. Bien sûr, il s'avère que les précogs peuvent pré-visualiser différents futurs, un défaut caché à la hâte qui menace de compromettre les profits du projet pré-crime. Voici le point crucial de l'histoire: le contrôle de la pensée est motivé par un motif de profit au fond. Comme il s'avère, tout comme la vraie vie.
Maintenant, le gouvernement britannique a décidé de poursuivre le pré-crime mais a supprimé le complot maladroit des pré-crocs, optant plutôt pour compter sur un sens flou de probabilité plus élevée pour justifier le fait de surveiller, d'attraper, de condamner et d'emprisonner les citoyens britanniques. Le crime ? Regard sur le contenu radical sur Internet. Ce qui est considéré comme radical sera naturellement défini par la police d'État qui sera sans aucun doute incitée personnellement par des quotas pré-crime, et institutionnellement conçue pour criminaliser des courants de pensée qui menacent de déstabiliser un statu quo criminel. Vous savez, le régime capitaliste monopoliste non réglementé qui réduit les salaires, les coûts et toutes les autres formes de frais généraux avec une joie psychopathique. Même un désastre Grenfell Towers est considéré plus comme une question de comment retirer l'histoire de la conscience publique que de rectifier ses torts.
Les trois maux
Martin Luther King, Jr. célèbre, ou tristement célèbre, selon que vous êtes un mandarin penthouse ou une variété de jardin-variété, liés les trois maux de la pauvreté, le racisme et le militarisme. Ces maux ne sont pas encore résolus dans notre société, comme nous le montrent tous les jours les porte-parole du capitalisme impérial. Les guerres doivent être menées. Les victimes de l'injustice sociale doivent être incarcérées. La société elle-même doit être rendue pauvre pour assurer des profits plus élevés.
Pourtant, il existe un autre ensemble de maux qui sont principalement utilisés pour masquer le trifecta original décrit par King. En fait, le lien entre la propagande, la surveillance et la censure est clair et inséparable. Prenez comme prémisse initiale que les capitalistes impériaux veulent contrôler le monde. Pas une réclamation injustifiée. En tant que capitaliste impérial, vous faites partie d'une minorité privilégiée dont l'objectif est d'exploiter davantage les personnes privées de leurs droits, dont le seul recours est les ressources que vous pillez. La guerre, que ce soit avec des bombes ou des sanctions ou des forces spéciales ou des procurations, est immensément profitable aux capitalistes. Les fabricants d'armes font de l'argent. Les entreprises chimiques font de l'argent. Les compagnies d'énergie font de l'argent. Les sociétés de médias font de l'argent. Les présidents ne font pas seulement de l'argent, ils font aussi l'histoire. Mais les ouvriers, les pauvres et les opprimés en paient le prix. C'est pourquoi ils ne seront pas heureux d'entendre parler de vos plans. Par conséquent, il faut leur mentir, leur mentir de manière si convaincante et complète qu'ils acceptent, sans réfléchir, les plans que vous avez présentés devant eux.
Cette conviction nécessite trois actions décisives: la propagande, la surveillance et la censure. Le premier est le mensonge officiel que vous créez pour les convaincre de vous croire. La seconde est la poussée de l'observation numérique par laquelle vous évaluez si oui ou non ils vous croient. Le troisième est la méthode coercitive par laquelle vous punissez ceux qui ne vous croient pas (justifiée par le conte impérial que vous avez d'abord tissé).
L'interprétation officielle de la réalité est déjà en place: la civilisation occidentale est assaillie de tous côtés par des maniaques qui veulent nous enlever nos libertés. La surveillance est déjà en place grâce à des programmes comme l'alliance Five Eyes et ECHELON, PRISM, Boundless Informant, FISA, Stellar Wind et bien d'autres. Reste à resserrer le nœud de la censure autour du cou de nos sociétés occidentales ouvertes.
Idiots à l'étranger
À cette fin, le ministre britannique de l'Intérieur, Amber Rudd, a récemment annoncé que les citoyens qui voient trop de matériel extrémiste en ligne pourraient être condamnés à 15 ans de prison. Rudd lié,
"Je veux m'assurer que ceux qui considèrent le contenu terroriste ignoble en ligne, y compris les sites web djihadistes, la propagande d'extrême droite et les instructions pour la fabrication de bombes, soient soumis à toute la force de la loi."
Ce chiffrage flaxen du contrôle totalitaire ouvert en totalisant quelque 67 000 tweets par ISIS, avec 44 000 liens vers la propagande de l'EI, avait été généré l'année dernière. Déjà, l'article 58 de la Terrorist Act de 2000 criminalisait la possession d'informations pouvant être utiles à un terroriste. Mais ce n'est pas suffisant pour 10 Downing Street. Rudd prend cette loi de la possession et l'étend en une loi de la perception. Il suffit maintenant de regarder simplement le contenu extrémiste. Vous n'avez pas besoin de le télécharger, de le distribuer ou d'y donner suite. Vous devez seulement le voir plus d'une fois. À ce moment, par les probabilités sûrement impeccablement calculées de Rudd, vous êtes devenu une menace existentielle pour l'état, ou plutôt, pour la sécurité nationale. Vous êtes plus susceptible de commettre des actes de terreur que ceux qui n'ont pas vu le contenu extrémiste. Pré-crime sans les pré-dents.
Mais Rudd était un autre pas dans une longue série d'empiétements colportés par des gouvernements occidentaux fascistes. Theresa May, l'infâme Thatcherite épigone, veut jouer un rôle paternel en empêchant les citoyens d'avoir même la possibilité de voir un contenu extrémiste. Le manifeste conservateur nous dit: «Certaines personnes disent que ce n'est pas au gouvernement de réglementer en matière de technologie et d'Internet. Nous ne sommes pas d'accord. »La Grande-Bretagne projette, assez fièrement, de devenir le« leader mondial »de la régulation d'Internet. Juste avant que ces annonces ne soient faites, la Grande-Bretagne a adopté la loi sur les pouvoirs d'enquête, qui permet au gouvernement de balayer l'historique de navigation des utilisateurs. Ainsi, les autorités de surveillance des données utiliseraient pour mettre en œuvre le plan de Rudd est déjà là. Vous voulez lire cette jérémiade éloquente contre les conservateurs ? Désolé, c'était juste un discours de haine. Vous voulez visiter votre forum gauchiste préféré ? Excuses, mec, mais cela a été considéré comme un "espace sûr" pour les discours extrémistes et fermé. Vous voulez regarder quelques jeunes gens attractifs copuler ? Pas de problème. Il suffit de soumettre une demande à votre ministre local en indiquant les raisons précises pour lesquelles vous souhaitez avoir accès à ce contenu proscrit. Sinon, oublie ça.
Les Allemands ne sont pas loin derrière. On dit que la Network Enforcement Act crée un cadre pour la gestion de l'activité Internet, en particulier dans les médias sociaux. L'acte fait partie de la fausse lutte du pays contre les fausses nouvelles et le discours de haine, ou plutôt son combat réel contre la pensée et l'expression progressistes, gauchistes ou communistes. Cette loi exige, sous peine d'une pénalité de cinquante millions d'euros, que les entreprises avec deux millions de visiteurs ou plus sur le web doivent, à la réception de la plainte, retirer du contenu illégal de leurs sites. Facebook a ouvert un nouveau centre de données en Allemagne pour traiter les demandes de suppression, sûrement envahies par le Bundestag. Comme l'indique le World Socialist Web Site, si vos fausses nouvelles promeuvent la guerre (Irak 2003), dénaturent le coup d'état (Ukraine 2014), ou propagent l'hystérie anti-immigrés (Cologne 2015), alors vous n'avez rien à craindre. Bien sûr, il appartient au gouvernement lui-même de décider ce qui est et ce qui n'est pas un contenu extrémiste, sans doute une pensée réconfortante pour une myriade de loyalistes du Der Spiegel. Et, bien sûr, l'ancienne Commission européenne, destructrice de la Grèce et auteur d'autres maux, a publié des lignes directrices pour aider les Etats membres à supprimer le contenu "illégal". Même les Russes se sont joints à eux pour promouvoir une législation visant à restreindre les libertés numériques.
États-Unis Schlemiels
Rien de tout cela ne serait une nouvelle pour Barack Obama, dont l'héritage d'actes d'habeas corpus froissés, de platitudes d'intimité sans valeur, et de wetwork à haute altitude, est comme un chancre sur le corps politique. Sur le chemin de la porte, à travers le tourniquet du bien public à profit privé, il a fourni des millions de dollars à l'Etat profond en ajoutant la loi contre la désinformation et la propagande à la loi annuelle d'autorisation de défense nationale (NDAA) qui consacre les budgets noirs , les dépassements de coûts, les prix abusifs, et toutes les autres formes d'insécurité pratiquées par le Pentagone et sa communauté d'entrepreneurs en défense parasitaire. Le CDPA, si c'est ainsi que cela sera finalement connu, va effectivement payer les gens pour générer des récits sanctionnés officiellement. Le gouvernement américain se bat contre les faits en les qualifiant de propagande, puis en produisant sa propre propagande et en la qualifiant de fait.
Grâce en partie aux pressions du Comité sénatorial des renseignements du Sénat, et aux efforts infatigables des démocrates Adam Schiff et Mark Warner, de grandes marques ont grimpé sur le tumultueux tumulte de Russiagate, qui roule à travers l'espace numérique, recueillant les cadavres des libres penseurs. Facebook bloque désormais les «fausses nouvelles» de ses publicités. YouTube a commencé à entraver les producteurs de contenu avec un réseau publicitaire plus restrictif et des politiques de révision obscures. Google a modifié son algorithme pour empêcher les «fausses nouvelles» d'apparaître dans les pages de résultats du moteur de recherche, ou SERPS.
Ce qui constitue précisément de fausses nouvelles appartient évidemment aux Zuckerberg et aux Schmidts du monde. Pour Google, cela a définitivement signifié la suppression du contenu progressiste et de gauche, comme l'ont montré les chiffres de trafic en chute libre. Bien sûr, cela ne signifiera pas la suppression des fausses nouvelles produites par la CIA ou Mi5 ou le smorgasbord étouffant étatique des mensonges, des tromperies et des emplois à succès offerts par les médias dits traditionnels.
Le très vif Glen Ford au Black Agenda Report écrit que le FBI a créé une nouvelle structure pour faire face à l'agitation afro-américaine, appelée «Black Identity Extremism», déjà tronquée en un autre acronyme meurtrier, le BIE. (Comme si un acronyme ajoutait juste la note de tenabilité requise pour faire passer une fatuité sur une population mal éduquée.) La politique étrangère, dans une histoire par ailleurs libérale, suggère que la construction risque de raviver le racisme que l'agence a travaillé si dur surpasser. Ford note avec sévérité la question négligée de J. Edgar Hoover ciblant les Noirs depuis les années 1920, pour ne pas mentionner COINTELPRO et les attaques contre les Black Panthers. Peu importe, aux yeux du FBI, les noirs mécontents des abus policiers, des inégalités économiques persistantes et du New Jim Crow, ne sont guère plus que des «extrémistes identitaires», un danger pour la sécurité nationale, notamment la sécurité de la ploutocratie blanche qu'elle sert.
(Fore) Pensées de clôture
Rappelez-vous qu'une grande partie de cet appareil de contrôle de la pensée a été appliquée sous la bannière de la fausse histoire de piratage de la Russie. Cette histoire, créée par le camp Clinton pour détourner l'attention des révélations email de DNC fournies par WikiLeaks, a d'abord accusé la Russie d'avoir piraté "notre démocratie", puis suggéré que Donald Trump se soit associé à la Russie pour lancé une «campagne d'influence» visant à faire basculer les élections, en mettant subtilement l'accent sur le piratage, la collusion et l'influence. À chaque tour, l'évidence prouve dérisoire, les réclamations absurdes, et la vertu signalant nauséabonde. La barre est progressivement abaissée jusqu'à ce qu'elle atteigne un seuil de crédibilité par lequel le Comité sénatorial d'Intel peut poursuivre Donald Trump ou justifier certaines mesures punitives contre la Russie.
L'histoire est si faussement transparente, du détail technique au motif géopolitique, qu'elle n'est soutenue que par les éléments permanents - ou profonds - de la communauté de la politique étrangère qui ont besoin de moyens pour contrôler et diriger l'administration Trump. La collusion avec la Russie a servi de prétexte idéal pour forcer Trump à abandonner les odes de la campagne électorale en faveur de la conciliation et à poursuivre les politiques étrangères hostiles qui ont été facilement mises en avant et avancées par Barack Obama. La comédie de tout cela est que Facebook a trouvé des publicités «incriminantes» qui représentaient moins d'un pour cent du total des achats d'annonces sur Facebook. Le Congrès voudrait interdire RT, qui a des notes de 0,3% de Judge Judy. Et le hack infâme a été montré pour être une fuite. Que restons-nous avec? Une supercherie grandiose basée sur le besoin de soutenir une idéologie brutale d'oppression, d'austérité et de guerre.
Mais c'est ainsi que les impérialistes le font. Ils s'organisent globalement pour opprimer localement. C'est pourquoi ils ont été rebaptisés à juste titre «les mondialistes». Les travailleurs traînent toujours derrière eux, laissés pour faire face à des alliances récemment découvertes de pouvoirs institutionnels collaborant à la clôture dans les perspectives d'égalité économique, de justice sociale et de distribution équitable de la richesse d'une nation. Nous nous trouvons sous le nuage de répression métastasiante, enceinte, conçu et construit sous notre propre regard. Dans son récent roman Purity, l'un des personnages de l'auteur Jonathan Franzen, célèbre exilé de l'Allemagne de l'Est et lanceur d'alerte extraordinaire (un Assange plus charismatique), se retrouve une célébrité mondiale, le sujet d'innombrables interviews où,
"... il avait pris le mot totalitaire. Des intervieweurs plus jeunes, à qui le mot signifiait une surveillance totale, un contrôle total de l'esprit, des armées grises défilant avec des missiles à moyenne portée, avaient compris qu'il disait quelque chose d'injuste à propos d'Internet. En fait, il voulait simplement dire un système impossible à exclure. "
Il est difficile de dire s'il est trop tard pour qu'un monde de gens de la classe ouvrière et les pauvres omniprésents puissent se retirer de l'imperium mondialisé imaginé par nos planificateurs de l'après-guerre. Mais si vous pensez qu'il est encore temps, soyez extrêmement prudent, car la police pré-criminelle est presque omniprésente, et ils pourraient vous entendre citer Marx ou vous voir des idées de redistribution sur les murs d'un passage souterrain abandonné. Imaginez une publicité pour le programme pré-crime, une publicité LCD étincelante flottant entre les gratte-ciels, une famille souriante en jeu, une nation sûre et un narrateur omniscient qui vous rappelle doucement: "N'oubliez pas, c'est la pensée qui compte. "
Cette société japonaise secrète est le moteur du boom mondial dans l'automatisation industrielle
par Tyler Durden 22 octobre 2017 17:45
Comme nous l'avons signalé dans le passé, la hausse vertigineuse des salaires en Chine continentale a entraîné une accélération rapide de l'adoption de robots par les fabricants du pays ces dernières années, consolidant ainsi la position du pays en tant que leader mondial de l'automatisation industrielle.
Bien que cette tendance ait été largement citée et largement connue, d'autant plus que les pièces américaines rattrapent l'un de ses rivaux économiques les plus importants malgré les promesses du président Donald Trump de ramener des emplois manufacturiers, ce que beaucoup ignorent, c'est le boom mondial. l'automatisation industrielle a été en grande partie menée par une société japonaise timide appelée Fanuc.
Fanuc, comme le rapporte Bloomberg Businessweek, fabrique des robots capables d'effectuer toutes sortes de fonctions. De la construction de moteurs complexes à la fabrication de pièces moulées par injection et de composants électriques. Dans les laboratoires pharmaceutiques, les robots de tri de Fanuc classent et conditionnent les pilules. Aux usines d'emballage alimentaire, ils tranchent, giclent et enveloppent les produits comestibles.
Les ventes de robots industriels aux États-Unis ont augmenté au premier trimestre 2017, les fabricants ayant dépensé plus d'un demi-milliard de dollars pour de nouveaux produits destinés aux centres de fabrication automobile de l'Indiana, du Michigan et de l'Ohio. .
Au premier trimestre de 2017, les fabricants nord-américains ont dépensé 516 millions de dollars en robots industriels, un bond de 32 % par rapport à la même période un an plus tôt. Une étude publiée par la Brookings Institution montre que beaucoup d'entre eux se retrouvent dans des centres de fabrication d'acier et d'automobiles tels que l'Indiana, le Michigan et l'Ohio. Selon le rapport, il y a environ neuf robots industriels pour 1 000 travailleurs à Toledo et à Detroit, soit trois fois le chiffre de 2010. Beaucoup de ces robots sont de Fanuc. Ses machines sont également dans Gigafactory de Tesla Inc., dans le Nevada, soulevant des châssis lourds et assemblant délicatement des plateaux de batterie, entre autres tâches. Ses robots de tri, quant à eux, sont omniprésents dans les vastes installations d'entreposage et d'expédition d'Amazon.com Inc.
Mais les ventes aux États-Unis sont éclipsées par les ventes en Chine, qui ont acheté quelque 90 000 unités, soit près d'un tiers des commandes mondiales de robots industriels l'an dernier. Les ventes en Chine ont représenté environ 55% des 5 milliards de dollars générés par l'unité d'automatisation de Fanuc au cours de l'exercice clos en mars 2017.
La Fédération internationale de la robotique estime que d'ici 2019, les commandes annuelles de robots industriels chinois atteindront 160 000 unités, ce qui laisse supposer que Fanuc sera à l'abri de tout ralentissement dans la deuxième économie mondiale. Yoshiharu a déclaré aux investisseurs lors de sa dernière session de questions-réponses en avril que la société s'attendait à ce que la demande en Chine dépasse l'offre même après que Fanuc ait ouvert une usine en août prochain dans la préfecture d'Ibaraki au Japon. L'installation sera dédiée uniquement à suivre la demande chinoise.
Mais parmi les nombreux modèles de machines produits par Fanuc, aucun n'est plus représentatif de la domination de l'entreprise que le Robodrill - une machine utilisée par les fournisseurs Apple Inc. pour fabriquer les boîtiers métalliques qui caractérisent tous les iPhone depuis l'iPhone 4.
Les analystes ont même cité les ventes de Robodrill pour escompter des rumeurs selon lesquelles l'Apple 8 et l'Apple X ne comporteraient pas le boîtier métallique.
Le roi de tous est le Robodrill, qui joue le premier violon dans l'une des grandes symphonies de la production moderne: l'usinage du boîtier métallique pour les iPhones d'Apple Inc. Dans l'année fiscale entourant l'introduction en 2010 de l'iPhone 4, le premier à utiliser un boîtier entièrement métallique, les ventes de Robodrill ont plus que doublé.
Depuis lors, cette relation est devenue si chiante que, sur la seule base des solides ventes de Robodrill au premier trimestre, les analystes ont écarté les premières rumeurs selon lesquelles l'iPhone 8 éviterait le boîtier métallique des panneaux de verre avant et arrière. Au lieu de cela, la sortie récente de l'iPhone 8 et le lancement de l'iPhone X ont stimulé les ventes de Robodrill aux fabricants d'Apple en Chine, dont certains construisent de nouvelles usines pour assembler les téléphones de l'entreprise. Les nouveaux iPhones signifient également une plus grande demande de Robodrills de fabricants de smartphones chinois tels que Xiaomi, Vivo, Oppo Electronics et Huawei Technologies, qui présentent souvent leurs propres modèles plus abordables à la suite de chaque nouvelle offre d'Apple.
En effet, les machines de Fanuc sont directement responsables du retour des travaux de fabrication offshore en Amérique du Nord, les entreprises réalisant qu'elles peuvent réaliser une rationalisation plus efficace et des économies d'échelle moins coûteuses avec des usines «éclairées» équipées de robots.
En effet, les machines de Fanuc sont directement responsables du retour des travaux de fabrication offshore en Amérique du Nord, les entreprises réalisant qu'elles peuvent réaliser une rationalisation plus efficace et des économies d'échelle moins coûteuses avec des usines «éclairées» équipées de robots.
Bien sûr, cette tendance, comme le note Bloomberg, ne sauvera pas les emplois manufacturiers américains - au contraire, elle ne fera que ralentir la baisse. Les entreprises dépensent plus d'argent que jamais sur les robots. Et comme les universitaires et même les investisseurs comme Bill Gross parlent du potentiel de l'automatisation pour remodeler fondamentalement le marché du travail mondial, il y a un argument fort que Fanuc est la plus importante entreprise manufacturière au monde en ce moment.
Que ce statut soit détenu par une société japonaise n'est guère surprenant. La crise démographique imminente du pays, tirée par le taux de natalité le plus bas du monde développé, a stimulé la demande intérieure de machines capables d'augmenter ou de remplacer les travailleurs humains.
Et comme la Chine va, va le reste du monde industriel. Les multinationales qui effectuent des opérations de relocalisation depuis l'Asie de l'Est vers l'Amérique du Nord et l'Europe le font en partie parce que l'automatisation promet des méthodes de production sophistiquées et des économies de main-d'œuvre; eux, et les entreprises qui sont restées en Chine, dépensent plus que jamais en robots industriels. Le schéma global est moins un renversement du boom de la fabrication offshore du 20ème siècle qu'un effondrement, avec des emplois disparaissant des nations en développement et des pays développés.
Au milieu du tumulte, il y a un gagnant clair: la société de 50 milliards de dollars qui contrôle la plus grande partie du marché mondial de l'automatisation industrielle et de la robotique industrielle. En fait, Fanuc pourrait bien être la plus importante entreprise manufacturière au monde en ce moment, car tout ce que fait Fanuc est conçu pour faire partie de ce que font tous les autres fabricants. Fanuc a franchi une étape importante dans sa conquête du marché américain au début des années 1980 lorsque le PDG de GM a acheté les premiers robots Fanuc pour travailler sur les chaînes d'assemblage de GM.
La couverture médiatique qui en a résulté a attiré l'attention de Roger Smith, récemment devenu président et chef de la direction de General Motors Corp. Smith avait rejoint la division de comptabilité de GM 30 ans plus tôt, après avoir passé les deux dernières années de la Seconde Guerre mondiale. Il avait progressé lentement dans les rangs de l'entreprise, gagnant de l'importance alors que GM naviguait adroitement dans la crise de l'essence des années 1970 pour devenir le plus grand constructeur automobile américain.
Lorsque Smith a pris le relais, GM détenait 46% du marché automobile américain, mais l'industrie déclinait et la plupart des entreprises cherchaient à réduire leurs coûts et à améliorer leur efficacité pour concurrencer les constructeurs automobiles japonais. GM était dans la position enviable d'être plein d'argent, et Smith avait des idées, dont la plupart cherchaient à restaurer l'accent mis par l'entreprise sur l'innovation technologique. Comme Fanuc, GM a été le pionnier des premiers développements dans le domaine du contrôle numérique, y compris l'utilisation d'un système de stockage pour enregistrer les mouvements d'un machiniste humain, puis les imiter à la demande. De telles expériences avaient conduit Smith à imaginer ce qu'il appelait une «usine du futur sans lumière», ce qui limiterait le recours aux travailleurs de l'assemblage dans les usines GM pour que les lumières et la climatisation ne soient pas nécessaires. La société n'a toutefois pas réussi à aller très loin dans cette direction, choisissant plutôt de se concentrer sur les méthodes de fabrication traditionnelles qui l'aidaient à dominer le marché automobile américain.
Les robots de Fanuc ne ressemblaient à rien de ce que Smith avait vu en dehors de ses propres rêves, et il décida bientôt qu'il avait trouvé la voie à suivre pour GM. Un an après son arrivée au poste de PDG, un après-midi humide de juin à Troy, au Michigan, un robot jaune s'inclina devant Smith puis Inaba avant de balancer son bras pour couper le ruban d'une coentreprise appelée GMFanuc Robotics Corp.
Au fur et à mesure que les progrès de l'automatisation et de l'apprentissage automatique continuent de s'accumuler, les travailleurs humains dans toutes les professions, à l'exception des plus qualifiées, verront lentement leurs emplois perdus devant une armée de robots. Mais comme le souligne Bloomberg, si un optimiste peut espérer que les conséquences de l'automatisation se limiteront aux travailleurs qui profitent de leur temps libre, l'automatisation conduira-t-elle à un niveau de vie plus élevé - ou plutôt un déséquilibre accru ? ça reste à voir.
La Chine vient de lancer le chantier d'un port de croisières au Panama, premier projet depuis l'établissement de relations diplomatiques avec ce pays centraméricain en juin dernier. C’est une démarche politique très forte de Pékin sur fond d’aggravation du conflit entre le Panama et les États-Unis, ont indiqué des experts à Sputnik.
Ce projet confirme le principe d'une seule Chine et contribue à la promotion des liens entre la Chine et le Panama, a déclaré dans un entretien accordé à Sputnik le directeur du Centre d'étude de la mondialisation et de la modernisation de la Chine, Wang Zhiming.
«De longues années durant, le problème taïwanais ne permettait pas au Panama de profiter des avantages que lui promettait la coopération avec le continent [la Chine continentale, ndlr]», a relevé l'interlocuteur de l'agence.
Et d'ajouter que Panama pourrait par ailleurs participer au projet la nouvelle route de la soie.
Les observateurs constatent qu'un nouveau précédent vient d'être créé au Panama quand Washington ne pourra tout simplement plus ne pas compter avec le renforcement du rôle de la Chine dans le monde et des positions du capital chinois en Amérique latine.
Le Président panaméen Juan Carlos Varela, qui se prépare à se rendre sous peu en Chine, a souligné lors du lancement du chantier que l'établissement de relations diplomatiques avec la Chine avait ouvert de belles perspectives de coopération.
Panama avait si longtemps entretenu des liens officiels avec Taïwan au lieu de coopérer avec Pékin, parce que telle était tout simplement la volonté des États-Unis qui avaient auparavant interdit à Panama d'avoir des rapports avec l'URSS, a expliqué à Sputnik Alexandre Kharlamenko, de l'Institut russe de l'Amérique latine.
«Le fait que Panama a bravé cette fois l'interdiction américaine témoigne, d'une part, de l'influence croissante de la Chine dans le monde et, de l'autre, du renforcement des positions du Panama après la rénovation du canal et suite au redressement général de l'Amérique latine ces 15 dernières années», a retenu le politologue.
Et de conclure que le conflit entre le Panama et les États-Unis était déjà allé si loin que le gouvernement panaméen n'avait tout bonnement rien à perdre dans ses relations avec Washington.
Le futur port sera situé à Amador, à l'entrée côté Pacifique du canal de Panama. En vue de ce chantier qui devrait coûter 165 millions de dollars (140 M EUR) et être bouclé dans un an et demi, un consortium lie le groupe China Harbour Engineering Company (CHEC) et la société belge Jan de Nul. Ce chantier est le premier depuis l'établissement en juin 2017 de relations diplomatiques entre Pékin et le Panama qui avait alors rompu ses relations avec Taïwan.
La Chine est le deuxième plus important utilisateur du canal de Panama après les États-Unis.
Combien coûte un être humain sur le marché noir ?
RépondreSupprimerAphadolie
mar., 10 oct. 2017 20:01 UTC
Donnés à titre indicatif, les tarifs peuvent varier selon l'âge, le sexe ainsi que le pays d'origine. Que ce soit pour en faire un enfant soldat, une future mariée ou encore une prostituée, les raisons de ce trafic sont multiples.
Il est impossible d'établir une liste exhaustive des prix pratiqués dans le monde entier - mais le site Havocscope qui centralise les informations et les données sur les économies parallèles qui paraissent dans la presse mondiale, offre un intéressant aperçu de ce qu'un être humain peut coûter à un potentiel acheteur.
Ces prix sont donc donnés à titre indicatifs ; ils ne sont représentatifs de rien, et calculer une « moyenne » serait tout à fait absurde. Les connaître permet simplement d'entrapercevoir quelques bouts de monde abandonnés - et, peut-être que certains iront creuser ces prix, déterrer des épouvantails, mettre des visages et des histoires dans les pages de quelques journaux.
Chiffres de juin 2013
Trafic d'êtres humains : Les prix d'un marché juteux.
Un bébé au Nigeria : 4 924 €
Un bébé en Chine : 6 001 €
Un bébé en Malaisie : 5 069 €
Un bébé dans le Nord Caucase (Russie) : 13 465 €
Un enfant en Chine : 4 693 € pour les garçons, 384 € pour les filles
Un enfant au Ghana : 38 € aux parents, puis 230 € au trafiquant
Un enfant en Inde : 34 € (un buffle se vend 269 € en Inde)
Un enfant en Irak : entre 230 € et 4 232 €
Un enfant au Mali : 461 € pour un enfant soldat
Un enfant en Thaïlande : 19 € pour louer un enfant mendiant
Un enfant au Royaume-Uni : 19 236 €
Une fillette en Roumanie : de 2 308 € à 4 616 €
Une fillette au Bangladesh : 192 €
Une fillette au Mozambique : 1,53 €
Un Yéménite : 769 € pour une livraison en Égypte
Un Canadien : 3 754 € (payé par un proxénète à un trafiquant)
Une adolescente irakienne : 3 847 € pour une vierge, 1 923 € pour une non-vierge
Une adolescente québécoise vendue en Ontario : 4 608 €
Une femme du Pakistan : 263 €
Une femme du Mozambique : 515 € depuis l'Afrique du Sud
Une femme du Myanmar pour servir d'épouse à un Chinois : 5 617 €
Une femme du Népal : 750 € à Mumbai
Une femme du Nigeria : de 30 778 € à 60 018 € à un proxénète qui la mettra sur un trottoir italien
Une femme de Corée du Nord : 820 € (lorsqu'elles ont la vingtaine), 585 € (lorsqu'elles ont la trentaine), 351 € (lorsqu'elles ont la quarantaine)
Une femme du Vietnam achetée par un Malaisien pour se marier : 4 750 €
Une femme du Mali : moins de 769 € pour une mariée
- voir tableau sur site -
Trafic d’êtres humains des pays d’origines (en jaune: nombre limité et en rouge : nombre important) et de destinations (en bleu clair : nombre important et en bleu foncé : nombre très important) – Own work – Mai 2011.
Depuis le 1er septembre 2014, les États membres de l'UE doivent appliquer une méthode de calcul du PIB similaire : le « Système européen de compte 2010 » (SEC 2010).
Le SEC 2010 prévoit notamment d'intégrer des activités auparavant exclues du calcul du PIB, telles que : Les activités illégales dont : la prostitution... N'est-ce pas cautionner et encourager le trafic d'êtres humains ?
Source :
https://csiworld.org/
http://contrelatraite.org/
http://www.havocscope.com/
https://fr.wikipedia.org/wiki/Traite_des_êtres_humains
http://www.unodc.org/unodc/data-and-analysis/glotip.html
http://christopherchriv.blog.lemonde.fr/2012/11/01/combien-coute-un-etre-humain-prix/
http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/le-trafic-d-etres-humains-en-193563
https://fasozinfo.wordpress.com/2013/06/02/trafic-detres-humains-les-prix-dun-marche-juteux/
http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1013530/ampleur-traite-personnes-esclavage-monde-carte
http://www.charentelibre.fr/2013/06/02/trafic-d-etres-humains-les-prix-d-un-marche-juteux,1838537.php
https://fr.sott.net/article/31283-Combien-coute-un-etre-humain-sur-le-marche-noir
La valeur du métal (dit de référence) est l'or. Mais sont prix est totalement faux (fixé deux fois par jour hors transactions) et ne reflète en rien une valeur légale et honnête (les pays qui n'ont pas d'or dans leur sous-sol doivent être pauvres) !
SupprimerC'est pourquoi, la SEULE valeur honnête est l'humain.
Face donc aux plus de 4% de surdoués qu'il y a dans le monde (+ de 280 millions de personnes !), il y a ceux qui ont un prix et ceux qui ne valent pas grand chose (évalué au prix du kg de viande sur le marché).
Le déclin des insectes en 5 chiffres
RépondreSupprimerLe Point
sam., 21 oct. 2017 19:46 UTC
Une nouvelle étude révèle que la population d'insectes volants a diminué de 76 % en moyenne en près de trente ans en Allemagne.
La biomasse des insectes volants, essentiels aux écosystèmes, a diminué de plus de 75 % en près de trente ans en Allemagne, sans que les scientifiques parviennent à en déterminer la cause avec certitude. Les chercheurs, qui ont mené leur étude dans des zones protégées en Allemagne depuis 1989, suspectent que les pesticides agricoles sont responsables de cette hécatombe préoccupante.
Selon leurs conclusions publiées mercredi dans la revue Plos One, ce fort déclin a été observé, quels que soient les changements météorologiques, l'utilisation des sols ou les caractéristiques de l'habitat. Les entomologistes ont avancé que des facteurs à grande échelle devaient être impliqués, nécessitant des recherches supplémentaires pour les identifier. Ils ont également plaidé pour une évaluation géographique de ce déclin et de son impact potentiel sur l'écosystème. Les insectes volants jouent en effet un rôle crucial dans la pollinisation de 80 % des plantes sauvages et dans l'alimentation de 60 % des espèces d'oiseaux.
Des « pièges écologiques » pour les insectes
De précédentes études avaient révélé un déclin inquiétant de la diversité et de la population de certaines espèces (abeilles, papillons, etc.) en Europe et en Amérique du Nord, mais pas de la biomasse des insectes ailés sur une longue période. Les entomologistes de Krefeld, en Allemagne, ont recueilli des données pendant vingt-sept ans dans 63 réserves naturelles disséminées sur le territoire allemand. Ils ont pesé la masse totale des insectes qu'ils piégeaient et ont déterminé qu'elle avait diminué de 76 % en moyenne, et même de 82 % au milieu de l'été.
« La diminution de la biomasse des insectes ailés est suspectée depuis longtemps, mais s'est avérée être plus sévère qu'on ne le pensait », a relevé Caspar Hallmann, entomologiste à l'université Radboud, aux Pays-Bas. « Le fait que la population de ces insectes se réduise dans de telles proportions et sur d'aussi vastes étendues géographiques est encore plus alarmant », a-t-il jugé. Selon lui, la plupart des zones étudiées sont des réserves naturelles protégées, mais, malgré cela, leur masse a été fortement réduite. Avec en majorité une surface petite, ces réserves sont entourées de zones agricoles utilisant des insecticides qui deviennent une sorte de « piège écologique » mettant en péril ces populations animales, a expliqué Caspar Hallmann.
RépondreSupprimerRésultats « représentatifs » pour une partie de l'Europe
La météo pourrait expliquer en grande partie les nombreuses fluctuations de la masse des insectes au cours d'une saison ou d'une année sur l'autre, mais pas ce rapide déclin, ont estimé les scientifiques. Des résultats qui, selon Caspar Hallman, sont probablement représentatifs de ce qui se passe dans une grande partie de l'Europe, et ailleurs dans le monde, où des réserves naturelles sont au milieu de terres agricoles.
« Alors que des écosystèmes entiers dépendent des insectes pour la nourriture et la pollinisation, on peut s'inquiéter d'un déclin des populations d'oiseaux et de mammifères qui s'en nourrissent », a prévenu Hans de Kroon, également de l'université de Radboud. « On peut difficilement imaginer ce qu'il pourrait advenir si ce phénomène de disparition des insectes ailés se poursuivait », s'est inquiété celui qui a dirigé cette étude.
Mais comme les causes de ce déclin ne sont pas clairement établies à ce stade, il est difficile de prendre des mesures concrètes pour l'enrayer, a-t-il ajouté. Ces chercheurs espèrent que leurs conclusions vont servir de signal d'alarme et entraîner rapidement des études supplémentaires pour déterminer l'origine de cette disparition rapide des insectes volants et pour la combattre.
https://fr.sott.net/article/31282-Le-declin-des-insectes-en-5-chiffres
Les SEULS responsables de ce déclin sont les éoliennes qui tuent des milliards d'insectes (et d'oiseaux) par jour dans le monde.
SupprimerCe n'est dont NULLEMENT la cause aux insecticides qui sont sélectifs (idem pour les bombes anti-mouches et moustiques qui ne tuent ni les araignées, ni les cafards ou papillons).
C'est pourquoi cette analyse a été faite en Allemagne et non en des pays où n'existent pas ces machines de mort !
Le directeur de la CIA évoque sa réaction en cas de «disparition» de Kim Jong-un
RépondreSupprimer09:21 22.10.2017
En cas d’élimination éventuelle de Kim Jong-un, y compris par les services de renseignement américains, le directeur de la CIA préférait de son propre aveu passer ce fait sous silence et le garder pour lui.
D'après la CIA, Kim Jong-un serait un acteur rationnel, qui met l'accent sur le maintien de son pouvoir et tient à «se réveiller dans son propre lit» tous les jours.
Cependant, si le leader nord-coréen ne se présentait pas à son bureau pour une raison quelconque, le directeur des services secrets américain Mike Pompeo préférerait ne pas se prononcer à ce sujet.
«Si Kim Jong-un disparaissait, je n'en parlerais pas, compte tenu de l'histoire de la CIA», a déclaré jeudi Mike Pompeo en réponse à la question de savoir ce qui se passerait si Kim Jong-un mourrait subitement.
«Quelqu'un pourrait penser que c'est une coïncidence. "Vous savez, ce fut un accident". Ce n'est juste pas productif», a-t-il plaisanté lors cette prise de parole à Washington, dans une salle pleine d'agents des services de sécurité.
Ce que l'on sait de la sœur de Kim Jong-un et de sa nomination au gouvernement
La CIA a en effet un sombre passé d'ingérence dans des complots visant à destituer, voire à éliminer, les dirigeants des «pays ennemis», tels que l'Iran, Cuba, le Congo, le Viêt Nam et le Chili. La Corée du Nord a d'ailleurs affirmé plus tôt dans l'année que la CIA, épaulée par les services de renseignement sud-coréens, avait essayé plusieurs fois d'attenter à la vie de Kim Jong-un.
Mike Pompeo a toutefois tenu à souligner que la politique américaine avait pour objectif de «défier le régime nord-coréen sur les plans diplomatiques et économiques» et de convaincre Kim Jong-un de ne plus proférer de menaces envers les États-Unis.
«La mission de Kim Jong-un ne consiste qu'à se maintenir au pouvoir», a-t-il souligné.
Toujours est-il que Pompeo, qui est devenu directeur de la CIA en janvier dernier, a ajouté qu'il était en train de revitaliser les missions de l'agence sur le terrain. «Nous sommes sur le point de devenir une agence beaucoup plus dangereuse», a-t-il conclu.
https://fr.sputniknews.com/international/201710221033554626-cia-kim-jong-un-commentaire/
A savoir que depuis des décennies les pays sont chemtraillés de nanoparticules dites 'poussières intelligentes' qui sont elles-mêmes ingérées sous forme aérienne lors de la respiration des humains et des plantes et font désormais parties intégrantes des sols.
SupprimerAinsi, pareillement aux animaux (oiseaux, poissons, etc) retrouvés morts en masse sans en connaître la cause, il est remarquable que ce ne sont pas tous les oiseaux d'un quartier ou région qui sont morts ni toutes les variétés de poissons qui sont touchées !!! Tout dépend donc de la race des oiseaux comme des poissons et non de l'environnement ! Cette différentiabilité est obtenue grâce aux facteurs respiratoires et cardiaque de chacun. Chaque espèce a son rythme qui lui est propre.
La mort est déclenchée par satellite (ondes) comme par technologie scalaire.
La CIA (entr'autres) se trouve donc dans l'embarras d'expliquer le comment-ils-font sans expliquer le pourquoi du l'interdiction des visites de HAARP à Gakona (AK) qui serait un site 'météorologique' !! (Hahahaha !), ni le pourquoi de l'interdiction de l'inspection des avions chemtraillers qui seraient là pour 'lutter contre le réchauffement climatique' !!! Hahahahaha !
Ce serait comme de demander à un ministre ou chef d'État comment un pot de terre (lancé à 10 000 km/h) contre un pot de fer pourrait briser le pot de fer !!! (voit les 'avions' en aluminium du 11 Septembre 2001 qui auraient réussi à couper des piliers d'acier verticaux de 80 cm de large qui soutenaient les tours du WTC et pourquoi ils n'ont même pas été ralentis lors de la collision contre les bâtiments !!!).
https://rudy2.wordpress.com
http://educate-yourself.org/mc/
"Donald Trump tchèque" remporte la victoire du glissement de terrain
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
23 oct. 2017 02:00
Auteur de Soeren Kern via The Gatestone Institute,
Le résultat des élections, résultat du mécontentement populaire à l'égard des partis établis, est le dernier d'une récente vague de succès pour les populistes européens, y compris en Autriche et en Allemagne. L'ascendance populiste met en évidence un paysage politique changeant en Europe où le multiculturalisme galopant et le politiquement correct, combinés à un afflux massif de migrants inassimilables d'Afrique, d'Asie et du moyen-orient, ont provoqué une vague de soutien aux partis de protestation anti-establishment.
"Il est impensable que la population indigène européenne s'adapte aux réfugiés, nous devons nous débarrasser de cette rectitude politique absurde: les réfugiés doivent se comporter comme des invités, c'est-à-dire qu'ils doivent être polis, et ils n'ont certainement pas le droit de choisissez ce qu'ils veulent manger ... Il y a un profond fossé entre ce que les gens pensent et ce que les médias leur disent. " - Andrej Babis, dans le quotidien tchèque Pravo, le 16 janvier 2016.
En tant que Premier ministre, Babis partagerait le gouvernement avec le président tchèque Milos Zeman, qui a décrit la rectitude politique comme «un euphémisme pour la lâcheté politique».
Le magnat populiste Andrej Babis et son parti politique eurosceptique ont remporté l'élection parlementaire de la République tchèque - par un glissement de terrain - faisant du milliardaire "politiquement incorrect" le principal candidat à devenir premier ministre après les négociations de coalition.
Avec tous les votes comptés, le parti anti-establishment de Babis ANO (qui signifie «Action des citoyens insatisfaits» et aussi le mot tchèque pour «oui») a remporté près de 30% - presque trois fois son plus proche rival - des élections tenues le 20 octobre. Le Parti démocratique civique eurosceptique (ODS), le Parti anti-establishment tchèque des pirates et le parti anti-Union européenne pour la liberté et la démocratie directe (SPD) arrivent respectivement deuxième, troisième et quatrième avec environ 11% chacun.
Les communistes arrivent en cinquième position avec 7,8 %. Les sociaux-démocrates, le parti d'établissement de centre-gauche qui a terminé premier lors des élections précédentes, se sont classés en sixième position avec seulement 7,2 %. Les chrétiens-démocrates, le parti d'établissement de centre-droit, ont gagné 5,8%, juste assez pour se qualifier pour des sièges au parlement. En tout, neuf partis ont participé aux élections.
Le résultat des élections, résultat du mécontentement populaire à l'égard des partis établis, est le dernier d'une récente vague de succès pour les populistes européens, y compris en Autriche et en Allemagne. L'ascendance populiste met en évidence un paysage politique changeant en Europe où le multiculturalisme galopant et le politiquement correct, combinés à un afflux massif de migrants inassimilables d'Afrique, d'Asie et du Moyen-Orient, ont provoqué une vague de soutien aux partis de protestation anti-establishment.
RépondreSupprimerLa victoire de Babis renforcera également le rôle du Visegrad Group (V4), une alliance politique de quatre Etats d'Europe centrale - la République tchèque, la Hongrie, la Pologne et la Slovaquie - engagée non seulement à résister aux migrations massives, mais aussi à s'opposer au transfert continu de la souveraineté nationale à l'Union européenne. Un V4 plus fort accentuera les divisions entre les États pro-européens de l'Europe occidentale et les États de plus en plus eurosceptiques d'Europe centrale et orientale. L'Union européenne aura donc du mal à maintenir un semblant d'unité extérieure.
Dans son discours de victoire au siège du parti de l'ANO, Babis, qui a fait campagne en tant que centriste, a refusé de spéculer sur la composition d'un gouvernement de coalition, mais a déclaré qu'il voulait que le cabinet soit mis en place le plus rapidement possible. pour changer notre pays, je voudrais rassembler un gouvernement qui soit du peuple et pour le peuple et qui promeuve des politiques qui leur soient favorables. "
Babis a également essayé de rassurer le public qu'il ne mettrait pas la République tchèque sur la voie de l'autoritarisme, comme certains de ses détracteurs ont accusé:
"Nous sommes un mouvement démocratique, nous sommes une partie solide de l'Union européenne et nous sommes une partie solide de l'OTAN, je ne comprends pas pourquoi certaines personnes disent que nous sommes une menace pour la démocratie. Je suis prêt à me battre pour défendre nos intérêts nationaux et à les promouvoir. "
Babis a vivement critiqué la politique de migration ouverte de la chancelière allemande Angela Merkel et a dénoncé à plusieurs reprises les quotas de migrants imposés par l'UE et d'autres "ingérences de l'UE" dans la politique tchèque. Ces positions ont une résonance en République tchèque, où les citoyens ont la deuxième plus faible confiance dans l'Union européenne des 28 États membres (seuls les Grecs ont moins confiance dans l'UE), selon le dernier sondage Eurobaromètre, publié en août.
Pendant la campagne, Babis, âgé de 63 ans, l'une des personnes les plus riches du pays, s'est présenté comme un réformateur non idéologique axé sur les résultats. Il a promis de diriger la République tchèque comme une entreprise après des années de ce qu'il a appelé la gestion corrompue et inepte. Il a demandé le retour de la souveraineté de l'Union européenne et a rejeté l'adoption par la République tchèque de la monnaie unique de l'euro. Il a également promis de réduire les dépenses publiques, d'empêcher les gens d'être des parasites dans le système de protection sociale et de se battre pour les intérêts tchèques à l'étranger. Babis est souvent appelé "le Donald Trump tchèque".
Babis ne veut pas que la République tchèque quitte l'UE; Il a souligné à maintes reprises que l'accès sans entrave au marché unique européen est essentiel au maintien de la santé de l'économie tchèque, qui affiche le taux de chômage le plus faible de l'UE: «Nous avons six mille entreprises allemandes qui investissent avec nous.
RépondreSupprimerDans le même temps, Babis s'oppose à l'adoption de l'euro par le pays car cela constituerait, selon lui, une contrainte à la souveraineté nationale et à la compétitivité:
"Pas d'euro, je ne veux pas de l'euro, nous ne voulons pas de l'euro ici, tout le monde sait qu'il est en faillite, c'est notre souveraineté, je veux la couronne tchèque et une banque centrale indépendante. que Bruxelles se mêlerait de. "
Babis a promis de réformer l'Union européenne de l'intérieur, en particulier en ce qui concerne la politique migratoire: "Je veux jouer un rôle plus important en Europe, mais nous devons nous battre pour défendre nos intérêts et faire des propositions." Si j'étais Premier ministre, je dirais : 'Fermez enfin cette frontière européenne extérieure maudite.' "
Babis a exprimé son opposition à la migration de masse: "J'ai cessé de croire à une intégration réussie et au multiculturalisme." Il a également insisté sur le fait que seule la République tchèque devrait décider qui travaillera dans le pays et qui recevra de l'aide humanitaire: "Je ne veux pas de politique migratoire française ou allemande, nous voulons que notre politique migratoire soit complètement différente des autres pays. Chaque Etat a des intérêts, nous devons nous battre pour les intérêts nationaux tchèques, nous ne voulons pas avoir ce modèle multiculturel. "
Babis a rejeté les pressions de la Commission européenne, qui a lancé des procédures d'infraction contre les Tchèques, les Hongrois et les Polonais pour avoir refusé de se conformer à un plan européen de redistribution des migrants:
«Je n'accepterai pas les quotas de réfugiés pour la République tchèque, la situation a changé, nous voyons comment les migrants réagissent en Europe, nous devons réagir aux besoins et aux craintes des citoyens de notre pays, nous devons garantir la sécurité des citoyens tchèques. si nous sommes punis par des sanctions. "
En juin 2017, Babis a réitéré que la République tchèque ne recevrait pas d'ordres de bureaucrates non élus à Bruxelles:
«Nous devons nous battre pour ce que nos ancêtres ont bâti ici, s'il y a plus de musulmans que de Belges à Bruxelles, c'est leur problème, je ne le veux pas ici, ils ne nous diront pas qui devrait vivre ici.
RépondreSupprimerDans une interview avec le quotidien tchèque Pravo, Babis a déclaré:
"Il est impensable que la population indigène européenne s'adapte aux réfugiés, nous devons nous débarrasser de cette rectitude politique absurde: les réfugiés doivent se comporter comme des invités, c'est-à-dire qu'ils doivent être polis, et ils n'ont certainement pas le droit de choisissez ce qu'ils veulent manger, l'Europe et l'Allemagne en particulier connaissent une crise d'identité, il y a un fossé profond entre ce que les gens pensent et ce que les médias leur disent.
En tant que Premier ministre, Babis partagerait le gouvernement avec le président tchèque Milos Zeman, qui a décrit la rectitude politique comme «un euphémisme pour la lâcheté politique». Dans une interview avec le Guardian, Zeman, âgé de 71 ans, a relaté une récente conversation avec Angela Merkel: «Ma première phrase lors de la rencontre avec Madame Chancelier était:« Si vous invitez quelqu'un dans votre pays, vous ne les envoyez pas déjeuner chez vos voisins. "
Dans une interview accordée à la radio tchèque, Zeman, qui a qualifié la migration de masse vers l'Europe d '"invasion organisée", a déclaré: "Les Frères musulmans ne peuvent pas déclencher une guerre contre l'Europe, mais ils peuvent préparer un migrant croissant. vague et contrôle progressivement l'Europe. "
Comme Babis, Zeman a également exprimé son scepticisme à l'égard de l'intégration musulmane: «L'expérience des pays d'Europe occidentale qui ont des ghettos et des localités exclues montre que l'intégration de la communauté musulmane est pratiquement impossible.
http://www.zerohedge.com/news/2017-10-22/czech-donald-trump-wins-landslide-victory
La censure à l'ère numérique
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
22 octobre 2017 20h45
Authord de Jason Hirthler via CounterPunch.org,
La grande expérience avec la démocratie occidentale, mal listée grâce aux largages des oligarques profanes, peut finalement échouer sur les rochers du crime de la pensée. Dans le projet inégale Minority Report de Steven Spielberg, mettant en vedette Tom Cruise, scientologue excitable, Cruise joue un policier futuriste qui enquête sur les pré-crimes et les arrête avant qu'ils ne se produisent. La police doit leur capacité à voir évoluer les intrigues criminelles vers des personnages appelés pré-cognitifs ou pré-cogs, sortes de prophètes autistes qui voient l'avenir et dorment dans des bassins d'eau stériles à l'intérieur du département de police. Bien sûr, il s'avère que les précogs peuvent pré-visualiser différents futurs, un défaut caché à la hâte qui menace de compromettre les profits du projet pré-crime. Voici le point crucial de l'histoire: le contrôle de la pensée est motivé par un motif de profit au fond. Comme il s'avère, tout comme la vraie vie.
Maintenant, le gouvernement britannique a décidé de poursuivre le pré-crime mais a supprimé le complot maladroit des pré-crocs, optant plutôt pour compter sur un sens flou de probabilité plus élevée pour justifier le fait de surveiller, d'attraper, de condamner et d'emprisonner les citoyens britanniques. Le crime ? Regard sur le contenu radical sur Internet. Ce qui est considéré comme radical sera naturellement défini par la police d'État qui sera sans aucun doute incitée personnellement par des quotas pré-crime, et institutionnellement conçue pour criminaliser des courants de pensée qui menacent de déstabiliser un statu quo criminel. Vous savez, le régime capitaliste monopoliste non réglementé qui réduit les salaires, les coûts et toutes les autres formes de frais généraux avec une joie psychopathique. Même un désastre Grenfell Towers est considéré plus comme une question de comment retirer l'histoire de la conscience publique que de rectifier ses torts.
Les trois maux
Martin Luther King, Jr. célèbre, ou tristement célèbre, selon que vous êtes un mandarin penthouse ou une variété de jardin-variété, liés les trois maux de la pauvreté, le racisme et le militarisme. Ces maux ne sont pas encore résolus dans notre société, comme nous le montrent tous les jours les porte-parole du capitalisme impérial. Les guerres doivent être menées. Les victimes de l'injustice sociale doivent être incarcérées. La société elle-même doit être rendue pauvre pour assurer des profits plus élevés.
Pourtant, il existe un autre ensemble de maux qui sont principalement utilisés pour masquer le trifecta original décrit par King. En fait, le lien entre la propagande, la surveillance et la censure est clair et inséparable. Prenez comme prémisse initiale que les capitalistes impériaux veulent contrôler le monde. Pas une réclamation injustifiée. En tant que capitaliste impérial, vous faites partie d'une minorité privilégiée dont l'objectif est d'exploiter davantage les personnes privées de leurs droits, dont le seul recours est les ressources que vous pillez. La guerre, que ce soit avec des bombes ou des sanctions ou des forces spéciales ou des procurations, est immensément profitable aux capitalistes. Les fabricants d'armes font de l'argent. Les entreprises chimiques font de l'argent. Les compagnies d'énergie font de l'argent. Les sociétés de médias font de l'argent. Les présidents ne font pas seulement de l'argent, ils font aussi l'histoire. Mais les ouvriers, les pauvres et les opprimés en paient le prix. C'est pourquoi ils ne seront pas heureux d'entendre parler de vos plans. Par conséquent, il faut leur mentir, leur mentir de manière si convaincante et complète qu'ils acceptent, sans réfléchir, les plans que vous avez présentés devant eux.
RépondreSupprimerCette conviction nécessite trois actions décisives: la propagande, la surveillance et la censure. Le premier est le mensonge officiel que vous créez pour les convaincre de vous croire. La seconde est la poussée de l'observation numérique par laquelle vous évaluez si oui ou non ils vous croient. Le troisième est la méthode coercitive par laquelle vous punissez ceux qui ne vous croient pas (justifiée par le conte impérial que vous avez d'abord tissé).
L'interprétation officielle de la réalité est déjà en place: la civilisation occidentale est assaillie de tous côtés par des maniaques qui veulent nous enlever nos libertés. La surveillance est déjà en place grâce à des programmes comme l'alliance Five Eyes et ECHELON, PRISM, Boundless Informant, FISA, Stellar Wind et bien d'autres. Reste à resserrer le nœud de la censure autour du cou de nos sociétés occidentales ouvertes.
Idiots à l'étranger
À cette fin, le ministre britannique de l'Intérieur, Amber Rudd, a récemment annoncé que les citoyens qui voient trop de matériel extrémiste en ligne pourraient être condamnés à 15 ans de prison. Rudd lié,
"Je veux m'assurer que ceux qui considèrent le contenu terroriste ignoble en ligne, y compris les sites web djihadistes, la propagande d'extrême droite et les instructions pour la fabrication de bombes, soient soumis à toute la force de la loi."
Ce chiffrage flaxen du contrôle totalitaire ouvert en totalisant quelque 67 000 tweets par ISIS, avec 44 000 liens vers la propagande de l'EI, avait été généré l'année dernière. Déjà, l'article 58 de la Terrorist Act de 2000 criminalisait la possession d'informations pouvant être utiles à un terroriste. Mais ce n'est pas suffisant pour 10 Downing Street. Rudd prend cette loi de la possession et l'étend en une loi de la perception. Il suffit maintenant de regarder simplement le contenu extrémiste. Vous n'avez pas besoin de le télécharger, de le distribuer ou d'y donner suite. Vous devez seulement le voir plus d'une fois. À ce moment, par les probabilités sûrement impeccablement calculées de Rudd, vous êtes devenu une menace existentielle pour l'état, ou plutôt, pour la sécurité nationale. Vous êtes plus susceptible de commettre des actes de terreur que ceux qui n'ont pas vu le contenu extrémiste. Pré-crime sans les pré-dents.
RépondreSupprimerMais Rudd était un autre pas dans une longue série d'empiétements colportés par des gouvernements occidentaux fascistes. Theresa May, l'infâme Thatcherite épigone, veut jouer un rôle paternel en empêchant les citoyens d'avoir même la possibilité de voir un contenu extrémiste. Le manifeste conservateur nous dit: «Certaines personnes disent que ce n'est pas au gouvernement de réglementer en matière de technologie et d'Internet. Nous ne sommes pas d'accord. »La Grande-Bretagne projette, assez fièrement, de devenir le« leader mondial »de la régulation d'Internet. Juste avant que ces annonces ne soient faites, la Grande-Bretagne a adopté la loi sur les pouvoirs d'enquête, qui permet au gouvernement de balayer l'historique de navigation des utilisateurs. Ainsi, les autorités de surveillance des données utiliseraient pour mettre en œuvre le plan de Rudd est déjà là. Vous voulez lire cette jérémiade éloquente contre les conservateurs ? Désolé, c'était juste un discours de haine. Vous voulez visiter votre forum gauchiste préféré ? Excuses, mec, mais cela a été considéré comme un "espace sûr" pour les discours extrémistes et fermé. Vous voulez regarder quelques jeunes gens attractifs copuler ? Pas de problème. Il suffit de soumettre une demande à votre ministre local en indiquant les raisons précises pour lesquelles vous souhaitez avoir accès à ce contenu proscrit. Sinon, oublie ça.
Les Allemands ne sont pas loin derrière. On dit que la Network Enforcement Act crée un cadre pour la gestion de l'activité Internet, en particulier dans les médias sociaux. L'acte fait partie de la fausse lutte du pays contre les fausses nouvelles et le discours de haine, ou plutôt son combat réel contre la pensée et l'expression progressistes, gauchistes ou communistes. Cette loi exige, sous peine d'une pénalité de cinquante millions d'euros, que les entreprises avec deux millions de visiteurs ou plus sur le web doivent, à la réception de la plainte, retirer du contenu illégal de leurs sites. Facebook a ouvert un nouveau centre de données en Allemagne pour traiter les demandes de suppression, sûrement envahies par le Bundestag. Comme l'indique le World Socialist Web Site, si vos fausses nouvelles promeuvent la guerre (Irak 2003), dénaturent le coup d'état (Ukraine 2014), ou propagent l'hystérie anti-immigrés (Cologne 2015), alors vous n'avez rien à craindre. Bien sûr, il appartient au gouvernement lui-même de décider ce qui est et ce qui n'est pas un contenu extrémiste, sans doute une pensée réconfortante pour une myriade de loyalistes du Der Spiegel. Et, bien sûr, l'ancienne Commission européenne, destructrice de la Grèce et auteur d'autres maux, a publié des lignes directrices pour aider les Etats membres à supprimer le contenu "illégal". Même les Russes se sont joints à eux pour promouvoir une législation visant à restreindre les libertés numériques.
RépondreSupprimerÉtats-Unis Schlemiels
Rien de tout cela ne serait une nouvelle pour Barack Obama, dont l'héritage d'actes d'habeas corpus froissés, de platitudes d'intimité sans valeur, et de wetwork à haute altitude, est comme un chancre sur le corps politique. Sur le chemin de la porte, à travers le tourniquet du bien public à profit privé, il a fourni des millions de dollars à l'Etat profond en ajoutant la loi contre la désinformation et la propagande à la loi annuelle d'autorisation de défense nationale (NDAA) qui consacre les budgets noirs , les dépassements de coûts, les prix abusifs, et toutes les autres formes d'insécurité pratiquées par le Pentagone et sa communauté d'entrepreneurs en défense parasitaire. Le CDPA, si c'est ainsi que cela sera finalement connu, va effectivement payer les gens pour générer des récits sanctionnés officiellement. Le gouvernement américain se bat contre les faits en les qualifiant de propagande, puis en produisant sa propre propagande et en la qualifiant de fait.
Grâce en partie aux pressions du Comité sénatorial des renseignements du Sénat, et aux efforts infatigables des démocrates Adam Schiff et Mark Warner, de grandes marques ont grimpé sur le tumultueux tumulte de Russiagate, qui roule à travers l'espace numérique, recueillant les cadavres des libres penseurs. Facebook bloque désormais les «fausses nouvelles» de ses publicités. YouTube a commencé à entraver les producteurs de contenu avec un réseau publicitaire plus restrictif et des politiques de révision obscures. Google a modifié son algorithme pour empêcher les «fausses nouvelles» d'apparaître dans les pages de résultats du moteur de recherche, ou SERPS.
Ce qui constitue précisément de fausses nouvelles appartient évidemment aux Zuckerberg et aux Schmidts du monde. Pour Google, cela a définitivement signifié la suppression du contenu progressiste et de gauche, comme l'ont montré les chiffres de trafic en chute libre. Bien sûr, cela ne signifiera pas la suppression des fausses nouvelles produites par la CIA ou Mi5 ou le smorgasbord étouffant étatique des mensonges, des tromperies et des emplois à succès offerts par les médias dits traditionnels.
RépondreSupprimerLe très vif Glen Ford au Black Agenda Report écrit que le FBI a créé une nouvelle structure pour faire face à l'agitation afro-américaine, appelée «Black Identity Extremism», déjà tronquée en un autre acronyme meurtrier, le BIE. (Comme si un acronyme ajoutait juste la note de tenabilité requise pour faire passer une fatuité sur une population mal éduquée.) La politique étrangère, dans une histoire par ailleurs libérale, suggère que la construction risque de raviver le racisme que l'agence a travaillé si dur surpasser. Ford note avec sévérité la question négligée de J. Edgar Hoover ciblant les Noirs depuis les années 1920, pour ne pas mentionner COINTELPRO et les attaques contre les Black Panthers. Peu importe, aux yeux du FBI, les noirs mécontents des abus policiers, des inégalités économiques persistantes et du New Jim Crow, ne sont guère plus que des «extrémistes identitaires», un danger pour la sécurité nationale, notamment la sécurité de la ploutocratie blanche qu'elle sert.
(Fore) Pensées de clôture
Rappelez-vous qu'une grande partie de cet appareil de contrôle de la pensée a été appliquée sous la bannière de la fausse histoire de piratage de la Russie. Cette histoire, créée par le camp Clinton pour détourner l'attention des révélations email de DNC fournies par WikiLeaks, a d'abord accusé la Russie d'avoir piraté "notre démocratie", puis suggéré que Donald Trump se soit associé à la Russie pour lancé une «campagne d'influence» visant à faire basculer les élections, en mettant subtilement l'accent sur le piratage, la collusion et l'influence. À chaque tour, l'évidence prouve dérisoire, les réclamations absurdes, et la vertu signalant nauséabonde. La barre est progressivement abaissée jusqu'à ce qu'elle atteigne un seuil de crédibilité par lequel le Comité sénatorial d'Intel peut poursuivre Donald Trump ou justifier certaines mesures punitives contre la Russie.
L'histoire est si faussement transparente, du détail technique au motif géopolitique, qu'elle n'est soutenue que par les éléments permanents - ou profonds - de la communauté de la politique étrangère qui ont besoin de moyens pour contrôler et diriger l'administration Trump. La collusion avec la Russie a servi de prétexte idéal pour forcer Trump à abandonner les odes de la campagne électorale en faveur de la conciliation et à poursuivre les politiques étrangères hostiles qui ont été facilement mises en avant et avancées par Barack Obama. La comédie de tout cela est que Facebook a trouvé des publicités «incriminantes» qui représentaient moins d'un pour cent du total des achats d'annonces sur Facebook. Le Congrès voudrait interdire RT, qui a des notes de 0,3% de Judge Judy. Et le hack infâme a été montré pour être une fuite. Que restons-nous avec? Une supercherie grandiose basée sur le besoin de soutenir une idéologie brutale d'oppression, d'austérité et de guerre.
RépondreSupprimerMais c'est ainsi que les impérialistes le font. Ils s'organisent globalement pour opprimer localement. C'est pourquoi ils ont été rebaptisés à juste titre «les mondialistes». Les travailleurs traînent toujours derrière eux, laissés pour faire face à des alliances récemment découvertes de pouvoirs institutionnels collaborant à la clôture dans les perspectives d'égalité économique, de justice sociale et de distribution équitable de la richesse d'une nation. Nous nous trouvons sous le nuage de répression métastasiante, enceinte, conçu et construit sous notre propre regard. Dans son récent roman Purity, l'un des personnages de l'auteur Jonathan Franzen, célèbre exilé de l'Allemagne de l'Est et lanceur d'alerte extraordinaire (un Assange plus charismatique), se retrouve une célébrité mondiale, le sujet d'innombrables interviews où,
"... il avait pris le mot totalitaire. Des intervieweurs plus jeunes, à qui le mot signifiait une surveillance totale, un contrôle total de l'esprit, des armées grises défilant avec des missiles à moyenne portée, avaient compris qu'il disait quelque chose d'injuste à propos d'Internet. En fait, il voulait simplement dire un système impossible à exclure. "
Il est difficile de dire s'il est trop tard pour qu'un monde de gens de la classe ouvrière et les pauvres omniprésents puissent se retirer de l'imperium mondialisé imaginé par nos planificateurs de l'après-guerre. Mais si vous pensez qu'il est encore temps, soyez extrêmement prudent, car la police pré-criminelle est presque omniprésente, et ils pourraient vous entendre citer Marx ou vous voir des idées de redistribution sur les murs d'un passage souterrain abandonné. Imaginez une publicité pour le programme pré-crime, une publicité LCD étincelante flottant entre les gratte-ciels, une famille souriante en jeu, une nation sûre et un narrateur omniscient qui vous rappelle doucement: "N'oubliez pas, c'est la pensée qui compte. "
http://www.zerohedge.com/news/2017-10-22/censorship-digital-age
Cette société japonaise secrète est le moteur du boom mondial dans l'automatisation industrielle
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
22 octobre 2017 17:45
Comme nous l'avons signalé dans le passé, la hausse vertigineuse des salaires en Chine continentale a entraîné une accélération rapide de l'adoption de robots par les fabricants du pays ces dernières années, consolidant ainsi la position du pays en tant que leader mondial de l'automatisation industrielle.
Bien que cette tendance ait été largement citée et largement connue, d'autant plus que les pièces américaines rattrapent l'un de ses rivaux économiques les plus importants malgré les promesses du président Donald Trump de ramener des emplois manufacturiers, ce que beaucoup ignorent, c'est le boom mondial. l'automatisation industrielle a été en grande partie menée par une société japonaise timide appelée Fanuc.
Fanuc, comme le rapporte Bloomberg Businessweek, fabrique des robots capables d'effectuer toutes sortes de fonctions. De la construction de moteurs complexes à la fabrication de pièces moulées par injection et de composants électriques. Dans les laboratoires pharmaceutiques, les robots de tri de Fanuc classent et conditionnent les pilules. Aux usines d'emballage alimentaire, ils tranchent, giclent et enveloppent les produits comestibles.
Les ventes de robots industriels aux États-Unis ont augmenté au premier trimestre 2017, les fabricants ayant dépensé plus d'un demi-milliard de dollars pour de nouveaux produits destinés aux centres de fabrication automobile de l'Indiana, du Michigan et de l'Ohio. .
Au premier trimestre de 2017, les fabricants nord-américains ont dépensé 516 millions de dollars en robots industriels, un bond de 32 % par rapport à la même période un an plus tôt. Une étude publiée par la Brookings Institution montre que beaucoup d'entre eux se retrouvent dans des centres de fabrication d'acier et d'automobiles tels que l'Indiana, le Michigan et l'Ohio. Selon le rapport, il y a environ neuf robots industriels pour 1 000 travailleurs à Toledo et à Detroit, soit trois fois le chiffre de 2010. Beaucoup de ces robots sont de Fanuc. Ses machines sont également dans Gigafactory de Tesla Inc., dans le Nevada, soulevant des châssis lourds et assemblant délicatement des plateaux de batterie, entre autres tâches. Ses robots de tri, quant à eux, sont omniprésents dans les vastes installations d'entreposage et d'expédition d'Amazon.com Inc.
Mais les ventes aux États-Unis sont éclipsées par les ventes en Chine, qui ont acheté quelque 90 000 unités, soit près d'un tiers des commandes mondiales de robots industriels l'an dernier. Les ventes en Chine ont représenté environ 55% des 5 milliards de dollars générés par l'unité d'automatisation de Fanuc au cours de l'exercice clos en mars 2017.
La Fédération internationale de la robotique estime que d'ici 2019, les commandes annuelles de robots industriels chinois atteindront 160 000 unités, ce qui laisse supposer que Fanuc sera à l'abri de tout ralentissement dans la deuxième économie mondiale. Yoshiharu a déclaré aux investisseurs lors de sa dernière session de questions-réponses en avril que la société s'attendait à ce que la demande en Chine dépasse l'offre même après que Fanuc ait ouvert une usine en août prochain dans la préfecture d'Ibaraki au Japon. L'installation sera dédiée uniquement à suivre la demande chinoise.
RépondreSupprimerMais parmi les nombreux modèles de machines produits par Fanuc, aucun n'est plus représentatif de la domination de l'entreprise que le Robodrill - une machine utilisée par les fournisseurs Apple Inc. pour fabriquer les boîtiers métalliques qui caractérisent tous les iPhone depuis l'iPhone 4.
Les analystes ont même cité les ventes de Robodrill pour escompter des rumeurs selon lesquelles l'Apple 8 et l'Apple X ne comporteraient pas le boîtier métallique.
Le roi de tous est le Robodrill, qui joue le premier violon dans l'une des grandes symphonies de la production moderne: l'usinage du boîtier métallique pour les iPhones d'Apple Inc. Dans l'année fiscale entourant l'introduction en 2010 de l'iPhone 4, le premier à utiliser un boîtier entièrement métallique, les ventes de Robodrill ont plus que doublé.
Depuis lors, cette relation est devenue si chiante que, sur la seule base des solides ventes de Robodrill au premier trimestre, les analystes ont écarté les premières rumeurs selon lesquelles l'iPhone 8 éviterait le boîtier métallique des panneaux de verre avant et arrière. Au lieu de cela, la sortie récente de l'iPhone 8 et le lancement de l'iPhone X ont stimulé les ventes de Robodrill aux fabricants d'Apple en Chine, dont certains construisent de nouvelles usines pour assembler les téléphones de l'entreprise. Les nouveaux iPhones signifient également une plus grande demande de Robodrills de fabricants de smartphones chinois tels que Xiaomi, Vivo, Oppo Electronics et Huawei Technologies, qui présentent souvent leurs propres modèles plus abordables à la suite de chaque nouvelle offre d'Apple.
En effet, les machines de Fanuc sont directement responsables du retour des travaux de fabrication offshore en Amérique du Nord, les entreprises réalisant qu'elles peuvent réaliser une rationalisation plus efficace et des économies d'échelle moins coûteuses avec des usines «éclairées» équipées de robots.
En effet, les machines de Fanuc sont directement responsables du retour des travaux de fabrication offshore en Amérique du Nord, les entreprises réalisant qu'elles peuvent réaliser une rationalisation plus efficace et des économies d'échelle moins coûteuses avec des usines «éclairées» équipées de robots.
Le Robodrill
RépondreSupprimerBien sûr, cette tendance, comme le note Bloomberg, ne sauvera pas les emplois manufacturiers américains - au contraire, elle ne fera que ralentir la baisse. Les entreprises dépensent plus d'argent que jamais sur les robots. Et comme les universitaires et même les investisseurs comme Bill Gross parlent du potentiel de l'automatisation pour remodeler fondamentalement le marché du travail mondial, il y a un argument fort que Fanuc est la plus importante entreprise manufacturière au monde en ce moment.
Que ce statut soit détenu par une société japonaise n'est guère surprenant. La crise démographique imminente du pays, tirée par le taux de natalité le plus bas du monde développé, a stimulé la demande intérieure de machines capables d'augmenter ou de remplacer les travailleurs humains.
Et comme la Chine va, va le reste du monde industriel. Les multinationales qui effectuent des opérations de relocalisation depuis l'Asie de l'Est vers l'Amérique du Nord et l'Europe le font en partie parce que l'automatisation promet des méthodes de production sophistiquées et des économies de main-d'œuvre; eux, et les entreprises qui sont restées en Chine, dépensent plus que jamais en robots industriels. Le schéma global est moins un renversement du boom de la fabrication offshore du 20ème siècle qu'un effondrement, avec des emplois disparaissant des nations en développement et des pays développés.
Au milieu du tumulte, il y a un gagnant clair: la société de 50 milliards de dollars qui contrôle la plus grande partie du marché mondial de l'automatisation industrielle et de la robotique industrielle. En fait, Fanuc pourrait bien être la plus importante entreprise manufacturière au monde en ce moment, car tout ce que fait Fanuc est conçu pour faire partie de ce que font tous les autres fabricants.
Fanuc a franchi une étape importante dans sa conquête du marché américain au début des années 1980 lorsque le PDG de GM a acheté les premiers robots Fanuc pour travailler sur les chaînes d'assemblage de GM.
La couverture médiatique qui en a résulté a attiré l'attention de Roger Smith, récemment devenu président et chef de la direction de General Motors Corp. Smith avait rejoint la division de comptabilité de GM 30 ans plus tôt, après avoir passé les deux dernières années de la Seconde Guerre mondiale. Il avait progressé lentement dans les rangs de l'entreprise, gagnant de l'importance alors que GM naviguait adroitement dans la crise de l'essence des années 1970 pour devenir le plus grand constructeur automobile américain.
Lorsque Smith a pris le relais, GM détenait 46% du marché automobile américain, mais l'industrie déclinait et la plupart des entreprises cherchaient à réduire leurs coûts et à améliorer leur efficacité pour concurrencer les constructeurs automobiles japonais. GM était dans la position enviable d'être plein d'argent, et Smith avait des idées, dont la plupart cherchaient à restaurer l'accent mis par l'entreprise sur l'innovation technologique. Comme Fanuc, GM a été le pionnier des premiers développements dans le domaine du contrôle numérique, y compris l'utilisation d'un système de stockage pour enregistrer les mouvements d'un machiniste humain, puis les imiter à la demande. De telles expériences avaient conduit Smith à imaginer ce qu'il appelait une «usine du futur sans lumière», ce qui limiterait le recours aux travailleurs de l'assemblage dans les usines GM pour que les lumières et la climatisation ne soient pas nécessaires. La société n'a toutefois pas réussi à aller très loin dans cette direction, choisissant plutôt de se concentrer sur les méthodes de fabrication traditionnelles qui l'aidaient à dominer le marché automobile américain.
RépondreSupprimerLes robots de Fanuc ne ressemblaient à rien de ce que Smith avait vu en dehors de ses propres rêves, et il décida bientôt qu'il avait trouvé la voie à suivre pour GM. Un an après son arrivée au poste de PDG, un après-midi humide de juin à Troy, au Michigan, un robot jaune s'inclina devant Smith puis Inaba avant de balancer son bras pour couper le ruban d'une coentreprise appelée GMFanuc Robotics Corp.
Au fur et à mesure que les progrès de l'automatisation et de l'apprentissage automatique continuent de s'accumuler, les travailleurs humains dans toutes les professions, à l'exception des plus qualifiées, verront lentement leurs emplois perdus devant une armée de robots. Mais comme le souligne Bloomberg, si un optimiste peut espérer que les conséquences de l'automatisation se limiteront aux travailleurs qui profitent de leur temps libre, l'automatisation conduira-t-elle à un niveau de vie plus élevé - ou plutôt un déséquilibre accru ? ça reste à voir.
http://www.zerohedge.com/news/2017-10-22/secretive-japanese-company-driving-global-boom-industrial-automation
Canal de Panama: la Chine défie les USA
RépondreSupprimer19:03 22.10.2017
La Chine vient de lancer le chantier d'un port de croisières au Panama, premier projet depuis l'établissement de relations diplomatiques avec ce pays centraméricain en juin dernier. C’est une démarche politique très forte de Pékin sur fond d’aggravation du conflit entre le Panama et les États-Unis, ont indiqué des experts à Sputnik.
Ce projet confirme le principe d'une seule Chine et contribue à la promotion des liens entre la Chine et le Panama, a déclaré dans un entretien accordé à Sputnik le directeur du Centre d'étude de la mondialisation et de la modernisation de la Chine, Wang Zhiming.
«De longues années durant, le problème taïwanais ne permettait pas au Panama de profiter des avantages que lui promettait la coopération avec le continent [la Chine continentale, ndlr]», a relevé l'interlocuteur de l'agence.
Et d'ajouter que Panama pourrait par ailleurs participer au projet la nouvelle route de la soie.
Les observateurs constatent qu'un nouveau précédent vient d'être créé au Panama quand Washington ne pourra tout simplement plus ne pas compter avec le renforcement du rôle de la Chine dans le monde et des positions du capital chinois en Amérique latine.
Le Président panaméen Juan Carlos Varela, qui se prépare à se rendre sous peu en Chine, a souligné lors du lancement du chantier que l'établissement de relations diplomatiques avec la Chine avait ouvert de belles perspectives de coopération.
Panama avait si longtemps entretenu des liens officiels avec Taïwan au lieu de coopérer avec Pékin, parce que telle était tout simplement la volonté des États-Unis qui avaient auparavant interdit à Panama d'avoir des rapports avec l'URSS, a expliqué à Sputnik Alexandre Kharlamenko, de l'Institut russe de l'Amérique latine.
«Le fait que Panama a bravé cette fois l'interdiction américaine témoigne, d'une part, de l'influence croissante de la Chine dans le monde et, de l'autre, du renforcement des positions du Panama après la rénovation du canal et suite au redressement général de l'Amérique latine ces 15 dernières années», a retenu le politologue.
Et de conclure que le conflit entre le Panama et les États-Unis était déjà allé si loin que le gouvernement panaméen n'avait tout bonnement rien à perdre dans ses relations avec Washington.
Le futur port sera situé à Amador, à l'entrée côté Pacifique du canal de Panama. En vue de ce chantier qui devrait coûter 165 millions de dollars (140 M EUR) et être bouclé dans un an et demi, un consortium lie le groupe China Harbour Engineering Company (CHEC) et la société belge Jan de Nul. Ce chantier est le premier depuis l'établissement en juin 2017 de relations diplomatiques entre Pékin et le Panama qui avait alors rompu ses relations avec Taïwan.
La Chine est le deuxième plus important utilisateur du canal de Panama après les États-Unis.
https://fr.sputniknews.com/international/201710221033561380-canal-panama-chine-taiwan-usa-chantier-port/