- ENTREE de SECOURS -



dimanche 29 octobre 2017

VERY COLD TRIP - Pamela Tola, Jussi Vatanen, Timo Lavikainen


  Un film finlandais de Dome Karukoski pour se réchauffer !

https://www.youtube.com/watch?v=hnJACtgtoiQ

35 commentaires:

  1. Trump confirme "Tous les fichiers JFK sont libérés" après le dernier conflit avec les agences d'espionnage


    par Tyler Durden
    28 oct. 2017 23:10


    Mise à jour: Après la publication décevante de certains dossiers restants concernant la mort du président John F. Kennedy, le président Trump vient de confirmer, par tweet, que les autres dossiers sont publiés, bien en avance sur le calendrier ...

    Bien sûr, étant donné que c'est le gouvernement - et que le gouvernement ne travaille pas les fins de semaine - il est peu probable que les dossiers soient publiés sur le site officiel des Archives nationales avant lundi.

    Cela semble être une victoire pour Trump dans sa bataille sans fin avec les agences de renseignement.

    * * *
    Comme nous l'avons expliqué plus haut, la «guerre» entre les États profonds et le président Trump risque de s'effondrer de temps en temps, mais il ne fait aucun doute qu'elle continue à se disperser, bataille après bataille. La sortie retardée, réduite ... et maintenant bientôt terminée du reste des fichiers JKF précédemment classés est encore un autre affrontement avec les agences d'espionnage ... et cette fois, le président Trump a peut-être gagné ...

    Comme l'écrit Zeke Miller de l'AP, ce fut une épreuve de force 25 ans avant que le monde ne prenne le temps de jeter un coup d'œil sur les dossiers d'assassinats de Kennedy et la date limite de leur libération à quelques heures de là. garde leurs secrets. Le président Donald Trump, le seul capable de bloquer la libération, n'a pas apprécié leur persistance. Il n'avait pas l'intention de rendre cela facile.

    Comme beaucoup d'autres choses entourant les enquêtes sur l'assassinat du président John F. Kennedy en 1963, la publication de 2 800 dossiers dans les dossiers de JFK cette semaine était loin d'être facile. Les avocats de la Maison Blanche ont répondu à des demandes d'expurgations supplémentaires dans la matinée et un Trump irrité a continué à résister à la demande, selon un compte rendu de deux responsables de la Maison Blanche. Ils n'ont parlé que sous couvert d'anonymat pour discuter de discussions internes.

    L'histoire des dernières heures avant la date limite de publication de 25 ans imposée par le Congrès jeudi ajoute un nouveau chapitre à l'histoire de la relation troublée de Trump avec ses agences d'espionnage. Il a de nouveau montré son scepticisme et son imprévisibilité face à des organismes habitués depuis longtemps à un certain degré de déférence. Pendant ce temps, les responsables du renseignement se retrouvaient à se creuser la tête au sujet d'un président dont ils ne peuvent prédire les impulsions.

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  2. Et ces fonctionnaires avaient leur propre histoire à raconter, certains rejetant l'idée qu'ils étaient lents à agir sur les attentes de Trump pour les documents. La CIA a commencé à travailler il y a plusieurs mois pour que ses derniers documents liés à l'assassinat soient prêts à être publiés jeudi, selon une personne qui connaît le processus. La personne, qui n'était pas autorisée à discuter publiquement du processus et à parler sous le seul prétexte de l'anonymat, a déclaré que l'objectif était que tous les documents de l'agence soient prêts à être libérés intégralement ou avec des expurgations nationales avant la date limite.

    Depuis son entrée en fonction, Trump a défié l'intégrité des leaders du renseignement, a déplacé pour exercer plus de contrôle sur les agences d'espionnage américaines et a accusé son prédécesseur d'utiliser le spyware du gouvernement pour surveiller sa campagne. Dans la question des fichiers JFK, un responsable de la Maison Blanche a dit, Trump voulait préciser qu'il ne serait pas intimidé par les agences.

    Peu importe ce qui s'est passé avant la date limite, Trump était irrité jeudi que les agences plaident encore pour plus d'expurgations. Plus tôt dans la semaine, le président avait tweeté pour provoquer la publication des documents, accentuant le sens du drame sur un sujet qui a éveillé l'imagination des théoriciens du complot pendant des décennies. En vertu d'une loi de 1992, tous les documents relatifs à l'assassinat devaient être rendus publics, à moins qu'ils ne soient explicitement retenus par le président.

    Juste avant la publication jeudi, Trump a écrit dans un mémorandum qu'il n'avait «pas le choix» mais d'accepter les demandes de la CIA et du FBI de garder des milliers de documents secrets parce que la divulgation de ces informations pourrait nuire à la sécurité nationale. Deux assistants ont déclaré que Trump était contrarié par ce qu'il percevait comme étant des demandes de secret excessivement larges, ajoutant que les agences avaient été explicitement averties de son attente que les expurgations soient réduites au minimum.

    "Le président et la Maison Blanche ont été très clairs avec toutes les agences pendant des semaines: ils doivent être transparents et divulguer toutes les informations possibles", a déclaré vendredi le principal attaché de presse de la Maison Blanche, Raj Shah.

    La semaine dernière, Trump a reçu son premier briefing officiel sur la libération lors d'une réunion du bureau ovale qui comprenait le chef d'état-major John Kelly, l'avocat de la Maison Blanche Don McGahn et le conseiller juridique du Conseil de sécurité nationale John Eisenberg. Trump a précisé qu'il était insatisfait du rythme de la déclassification.

    Les tweets de Trump, a déclaré un officiel, étaient destinés à signaler à la communauté du renseignement qu'il fallait prendre au sérieux ses menaces de publier les documents dans leur intégralité.

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  3. Selon les responsables de la Maison Blanche, Trump a reconnu que certains des documents contenaient des références à des sources et méthodes sensibles utilisées par la communauté du renseignement et de l'application de la loi et que la déclassification pourrait nuire aux intérêts de la politique étrangère américaine. Mais après qu'on lui ait présenté la portée des expurgations, Trump a dit à ses collaborateurs qu'il ne les croyait pas dans l'esprit de la loi.

    Jeudi, les meilleurs assistants de Trump lui ont présenté une alternative au simple acquiescement aux demandes de l'agence: Il pourrait temporairement permettre les expurgations tout en ordonnant aux agences de lancer un nouvel examen complet des dossiers encore cachés ou expurgés en partie.

    Trump a accepté la suggestion, ordonnant que les agences soient «extrêmement circonspectes» sur le fait de garder les documents restants secrets à la fin de l'évaluation de 180 jours.

    "Après une consultation stricte avec le général Kelly, la CIA et d'autres agences, je publierai TOUS les fichiers JFK autres que les noms et adresses de toute personne mentionnée qui vit encore", écrit Trump dans un tweet de vendredi.

    "Je le fais pour des raisons de divulgation complète, de transparence et pour mettre un terme à toutes les théories du complot."

    http://www.zerohedge.com/news/2017-10-28/trump-release-all-jfk-files-after-latest-clash-spy-agencies

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  4. Destruction mutuelle assurée


    par Tyler Durden
    28 oct. 2017 23:00
    Rédigé par Philip Giraldi via The Strategic Culture Foundation,


    Parfois, il est possible de lire ou de voir quelque chose qui change complètement la façon dont on regarde les choses. J'ai eu cette expérience la semaine dernière quand j'ai lu un article de Lobelog intitulé «Plaidoyer pour le bon sens sur la défense antimissile» écrit par Joe Cirincione, un ancien membre du Comité des services armés de la Chambre qui dirige maintenant le Fonds Ploughshares. Fondation mondiale basée sur DC qui cherche à arrêter la propagation des armes nucléaires, chimiques et biologiques.

    L'article démystifie une grande partie du récit mis en avant par la Maison Blanche et le Pentagone concernant la défense antimissile. Certes, il est tout à fait raisonnable de se méfier de tout ce qui ressort du gouvernement fédéral justifiant la guerre compte tenu de ses antécédents remontant à la guerre de 1812. Et la position belliqueuse des États-Unis envers l'Iran et la Corée du Nord peut être condamnée sur ses propres mérites, menaçant la guerre là où il n'y a pas d'intérêts réels en jeu ou où une solution diplomatique a été évitée pour diverses raisons.

    Mais la vraie raison pour laquelle la Maison Blanche s'en tire avec le sabre est historique, que les Etats-Unis continentaux n'ont pas connu les conséquences de la guerre depuis l'invasion de Pancho Villa en 1916. C'est une réalité que l'administration a exploité pour faire ce qu'elle veut quand il s'agit de nations étrangères: quoi qu'il arrive "là-bas" restera "là-bas".

    Par conséquent, les Américains ne connaissent pas la guerre, sauf comme quelque chose qui arrive ailleurs et aux étrangers, exigeant seulement que les États-Unis interviennent à l'occasion et renflouent les choses, ou falsifient les choses selon leur point de vue. C'est pourquoi les faucons comme John McCain, tout en recevant un prix «Liberty» de Joe Biden, peuvent, avec un visage impassible, s'en prendre à dénoncer les Américains qui en ont marre de jouer au policier du monde. Il les décrit comme ayant peur du «monde que nous avons organisé et dirigé pendant trois quarts de siècle, [abandonnant] les idéaux que nous avons avancés dans le monde, [refusant] les obligations du leadership international et notre devoir de rester les derniers». le meilleur espoir de la terre "pour un certain nationalisme à moitié cuit et faux."

    Le récit complètement stupide de McCain de l'histoire récente du monde sied à un pilote de la Navy qui était capable d'écraser ses avions et a presque coulé son propre porte-avions. Il a également fait des émissions de radio de propagande pour les Nord-Vietnamiens après sa capture. Le récit de l'exceptionnalisme américano-américain de McCain est aussi, malheureusement, repris par les médias. L'ingestion constante de mensonges et de demi-vérités est la raison pour laquelle le public supporte des demandes incessantes d'augmentation des dépenses de défense, acceptant que le monde extérieur est un endroit dangereux qui doit être maintenu en ligne par la force majeure. Oui, nous sommes les gentils.

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  5. Mais la volonté des citoyens d'accepter que l'establishment militaire encercle le globe avec des bases étrangères pour assurer la sécurité du monde est l'hypothèse que les 48 États sont invulnérables, isolés par de vastes océans et des nations amies au nord et au sud. Et protégés contre les menaces lointaines par la technologie, des systèmes d'interception ont été développés et maintenus à des coûts énormes pour intercepter et abattre les missiles balistiques entrants lancés par les ennemis à l'étranger.

    Dans un récent discours sur la menace nord-coréenne, le président Donald Trump a affirmé que les défenses anti-missiles des Etats-Unis sont efficaces à 97 %, ce qui signifie qu'ils peuvent intercepter et détruire les projectiles entrants 97 fois sur 100. Trump cherchait à assurer le public que quoi qu'il arrive en Corée, il ne peut pas avoir de conséquence indésirable ici aux États-Unis continentaux ni, apparemment, à Hawaï, en Alaska et à l'étranger comme Guam, qui sont tous protégés par la défense antimissile. Trump faisait sans aucun doute référence, même s'il ignorait beaucoup de détails, aux installations de défense à mi-parcours au sol (GMD) en Alaska et à Hawaï, qui font partie du système actuel de défense antimissile de 330 milliards de dollars.

    Il est certainement réconfortant d'apprendre que les États-Unis ne peuvent pas être attaqués physiquement avec des armes nucléaires ou conventionnelles, peu importe ce que notre gouvernement fait à l'étranger, mais est-ce vrai ? Et si les contre-mesures étaient plus proches de 0% d'efficacité ? Cela changerait-il la pensée d'aller en guerre en Corée ? Ou à propos de la confrontation de la Russie en Europe de l'Est ? Et pour ceux qui pensent qu'un échange nucléaire est impensable, il serait sage de considérer les récents commentaires de Jack Keane de l'Institut pour l'étude de la guerre, un ancien général néoconservateur de premier plan qui aurait l'oreille de la Maison Blanche et reflète sa réflexion sur la question. Keane n'hésite pas à employer l'option militaire contre Pyongyang et il décrit un déclencheur probable pour un att de U.S.

    Il est certainement réconfortant d'apprendre que les États-Unis ne peuvent pas être attaqués physiquement avec des armes nucléaires ou conventionnelles, peu importe ce que notre gouvernement fait à l'étranger, mais est-ce vrai ? Et si les contre-mesures étaient plus proches de 0 % d'efficacité ? Cela changerait-il la pensée d'aller en guerre en Corée ? Ou à propos de la confrontation de la Russie en Europe de l'Est ? Et pour ceux qui pensent qu'un échange nucléaire est impensable, il serait sage de considérer les récents commentaires de Jack Keane de l'Institut pour l'étude de la guerre, un ancien général néoconservateur de premier plan qui aurait l'oreille de la Maison Blanche et reflète sa réflexion sur la question. Keane n'hésite pas à utiliser l'option militaire contre Pyongyang et décrit un déclencheur probable d'une attaque américaine pour retirer ses installations nucléaires ou supprimer des «cibles de leadership» comme l'établissement d'un missile balistique en Corée du Nord avec une tête nucléaire montée sur top "visant l'Amérique." Certains observateurs estiment que la Corée du Nord est proche de la capacité de réduire la taille de ses armes nucléaires pour rendre cela possible et, si Keane doit être cru, il serait considéré comme un "acte de guerre" qui déclencherait une attaque immédiate de Washington. Et une contre-attaque de Pyongyang.

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  6. La revendication de 97 % de fiabilité pour les défenses anti-missiles américaines est contestée par Cirincione et d'autres, qui affirment que les Etats-Unis peuvent seulement "abattre quelques ... missiles de temps en temps." Ils font un certain nombre d'arguments sont très convaincants, même pour un profane qui n'a aucune compréhension de la physique en cause. Je vais essayer de garder les choses simples.

    Tout d'abord, un intercepteur antimissile doit frapper sa cible ou presque et il doit frapper la cible ou exploser sa propre ogive à une distance suffisamment proche pour être efficace. Les deux objectifs sont difficiles à atteindre. Un missile balistique intercontinental (ICBM) se déplace à 5 000 mètres par seconde. A titre de comparaison, une balle tirée d'un fusil se déplace à environ un cinquième de cette vitesse. Imaginez deux hommes armés de fusils qui se tiennent à un kilomètre l'un de l'autre et qui tirent leurs armes dans le but de faire se rencontrer les balles. Multipliez la vitesse par cinq si l'on se réfère aux missiles, pas aux balles. Même en utilisant les meilleurs radars et capteurs ainsi que les technologies de guidage les plus avancées, les variables impliquées rendent beaucoup plus probable qu'il y aura un échec qu'un coup. Cirincione observe que "... la seule façon de frapper une balle est si la balle coopère."

    Deuxièmement, les tests effectués par le Pentagone pour déterminer la fiabilité sont essentiellement frauduleux. Contrairement au commentaire de Donald Trump, la précision de 97 % est une extrapolation basée sur le tir de quatre missiles antimissiles sur une cible pour compenser le fait que dans les tests truqués un seul intercepteur s'est avéré plus proche de seulement 56 %, et cela dans des conditions idéales. Cette statistique est basée sur les tests réels effectués depuis 1999 dans lesquels les intercepteurs ont réussi à abattre 10 des 18 cibles. La conclusion que 97 % découlerait de l'hypothèse que plusieurs intercepteurs augmentent la précision mais la plupart des ingénieurs avancent que si un missile ne peut pas atteindre la cible pour un nombre de défauts techniques, il est également probable que tous les quatre manqueront la même raison.

    Les tests eux-mêmes sont soigneusement scriptés pour garantir le succès. Ils se déroulent à la lumière du jour, de préférence au crépuscule pour assurer une visibilité maximale, dans de bonnes conditions météorologiques, et sans que le missile ne tente de confondre l'intercepteur grâce à des contre-mesures électroniques ou à l'éjection de paillettes ou de brouilleurs. être déployé. Les cibles dans les tests ont parfois été chauffés pour les rendre plus faciles à trouver et certains ont eu des transpondeurs attachés pour les rendre presque impossible à manquer. En conséquence, le système d'intercepteur de missiles n'a jamais été testé dans des conditions de champ de bataille réalistes.

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  7. Même les organismes de surveillance du gouvernement fédéral ont conclu que le système d'interception des missiles est rarement efficace. Le Government Accountability Office a conclu que les failles de la technologie, qu'il décrit comme des «modes de défaillance», signifient que l'Amérique a une flotte d'intercepteurs qui pourrait ne pas fonctionner comme prévu, ce qui a incité un député californien, John Garamendi, à absolument clair. Ça ne marchera pas. Néanmoins, l'élan de la peur ... des investissements ... [de] l'élan de l'industrie, il continue. "

    Le Bureau des essais opérationnels et de l'évaluation du Département de la Défense a également été sceptique, signalant que la GMD en Alaska et à Hawaï n'avait qu'une capacité limitée de défendre la patrie américaine contre un petit nombre de menaces de missiles balistiques intercontinentaux ou de portée intermédiaire. Corée du Nord ... la fiabilité et la disponibilité des [intercepteurs] opérationnels sont faibles. "

    La trop grande confiance manifestée par la Maison Blanche quant à la capacité d'intercepter une attaque de missiles nord-coréenne pourrait être en quelque sorte un bluff, conçu pour convaincre Pyongyang que s'il initie une guerre de tir, il sera détruit alors que les États-Unis restent intacts. Mais d'une manière ou d'une autre, avec un président qui ne fait pas très subtilement, je doute que ce soit le cas. Et les Nord-Coréens, capables de construire une arme nucléaire et un ICBM, comprendraient sûrement les défauts de la défense antimissile aussi bien que quiconque.

    Mais le vrai danger est que c'est le peuple américain qui est trompé par l'administration. La guerre est pensable, même la guerre nucléaire, si l'on ne peut en être touché, un truisme qui a permis la «guerre mondiale contre le terrorisme» depuis seize ans. Si tel est le message envoyé par la Maison Blanche, encourager l'aventurisme imprudent de la part de l'État de sécurité nationale. Il vaut mieux prendre au sérieux la menace nord-coréenne et admettre qu'une ville de la côte ouest comme Seattle pourrait bien devenir la cible d'une attaque nucléaire réussie.

    Cela démontrerait que la guerre a des conséquences réelles et que la dose d'honnêteté inhabituelle aboutirait peut-être à une demande publique de négocier sérieusement avec Pyongyang au lieu de lancer des menaces dans les discours aux Nations Unies et au Capitole.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-10-28/mutual-assured-destruction

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    1. Le plus grand mal que peut subir le monde en cas de guerre est que seuls les pays d'accueil de bases US seront pilonnés pour répondre aux attaques d'elles. Mais là de dire que la Corée du Nord est désormais le 'gendarme du monde', là, c'est un peu fort !

      Que la guerre 'nucléaire' soit totale, là j'en doute. Car, il faut se rappeler ce qui s'est passé à l'après 11 Mars 2011 à Fukushima: Les particules radioactives qui devaient (avec le jet-stream) traverser le Pacifique... n'arrivaient plus en Californie !! Çà alors ! Elles avaient été détournés (au scalaire) vers le pôle Nord. (Particules qui sont néanmoins revenus sur les States lors de la levée du vortex polaire !!).

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  8. Une attaque électromagnétique de Pyongyang pourrait anéantir 90 % de la population US


    15:09 28.10.2017


    Pyongyang n’a pas besoin de missiles balistiques intercontinentaux pour représenter une menace pour les Etats-Unis. Il peut tout simplement amener une bombe nucléaire à l’aide de ses lanceurs au-dessus du territoire américain et l’y faire exploser, ce qui provoquera la mort de 90 % de la population, indique le Congrès dans un rapport.
    Un reportage sur un essai d'une bombe à hydrogène effectué par la Corée du Nord

    L’impulsion électromagnétique provoquée par une explosion nucléaire pourrait conduire à la mort de 90 % de la population américaine, rapporte le portail Business Insider, se référant à un rapport du Congrès.

    Comme l’indique l’édition, la bombe atomique crée une impulsion électromagnétique qui fait dysfonctionner les systèmes électriques et électroniques. Une puissante explosion nucléaire produite en dehors de l'atmosphère au-dessus du territoire des États-Unis peut priver de courant le continent entier et provoquer des accidents aériens.

    «La Corée du Nord n’a pas besoin de missiles balistiques intercontinentaux pour représenter une menace. Pyongyang peut se servir de ses lanceurs pour transporter ses armes nucléaires au-dessus du pôle Sud, puis les faire exploser au-dessus des États-Unis. Cela produira une impulsion électromagnétique à haute fréquence. En conséquence, le système électro-énergétique sera coupé pour une durée indéterminée et entraînera au cours d’un an la mort de jusqu’à 90% de la population des États-Unis», ont annoncé les auteurs du rapport.

    L’explosion pourrait en outre endommager les satellites qui se trouveraient à proximité.

    Toutefois, comme l’indique l’édition, l’idée que la Corée du Nord puisse avoir recours à ce genre d’attaque est absurde. Pour créer une impulsion électromagnétique, il faudra quelque chose de plus puissant qu’une bombe nucléaire. L’action des champs électromagnétiques étant imprévisible, il est peu probable que Pyongyang y ait recours.

    Or, le scénario qui paraît plus réaliste, c’est que le pays du Juche effectue une frappe sur n’importe quelle ville américaine, estime Justin Bronk, expert en technologies militaires du Royal United Services Institute for Defence and Security Studies cité par Business Insider.

    Les tensions ne cessent de monter autour de la péninsule coréenne ces derniers mois, durant lesquels Pyongyang a réalisé une série inédite de tests de missiles et procédé à l'essai d'une bombe à hydrogène (bombe H). Washington et Pyongyang procèdent à un échange régulier de menaces et d'intimidations. Donald Trump a menacé mi-septembre de «détruire totalement» la Corée du Nord en cas d'attaque initiale de Pyongyang. Pour sa part, le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a promis de prendre les mesures les plus cruelles de l'histoire contre l'agression américaine.

    Toujours est-il que la situation qui s'est nouée autour de la Corée du Nord doit être résolue par le dialogue, et non par des menaces et des injures envers Pyongyang, a déclaré le Président russe Vladimir Poutine au cours du discours qu'il a prononcé au Club de Discussion Valdaï 2017 réuni à Sotchi. «Il est certainement nécessaire de résoudre ce problème par le dialogue, de ne pas mettre la Corée du Nord au pied du mur, de ne pas la menacer de recourir à la force, de ne pas sombrer dans la grossièreté ou les injures», a indiqué le Président.

    https://fr.sputniknews.com/international/201710281033647571-attaque-electromagnetique-coree-nord-usa/

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    1. En quoi la bombe 'propre' (EMP) est-elle dangereuse ? L'attaque par Impulsion ElectroMagnétique fermerait TOUT ce qui utilise l'électricité par ligne ou batterie, piles, accus. Donc: zéro téléphone, ordi, voitures, bateau à moteur, avions (!) etc. Mais, dans cet 'etc' il y a les centrales nucléaire qui fonctionnent à l'aide d'ordinateurs non-couvert par Faraday et donc... 'Fukushima II' aux USA !

      Si PERSONNE ne peut communiquer, PERSONNE ne pourra se servir de compteur Geiger contre la radioactivité qui ne se voit pas, ne s'entend pas, ne se sent pas.

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  9. Le scandale du calage des notes s'accélère: Un mémo sur le PDG des écoles de Baltimore en réponse aux enquêtes


    par Tyler Durden
    28 oct. 2017 17:45


    Ces derniers temps, nous avons couvert un scandale de calage de qualité à Baltimore, Maryland, qui mérite qu'on s'y attarde. Les écoles de la ville de Baltimore pourraient être sur le point d'attirer l'attention nationale, en tant que premier exemple du système éducatif brisé de l'Amérique.

    Le projet Baltimore, une initiative de reportage d'investigation, par Sinclair Broadcast Group Inc, le plus grand diffuseur américain, a mené la charge par l'investigateur principal Chris Papst en découvrant des preuves, ce qui suggère que les responsables scolaires de Baltimore traitent le système scolaire public.

    Dans un rapport daté du mois d'août, l'équipe de Chris Papst a découvert des documents suggérant qu'une école de Baltimore a le taux d'obtention de diplôme le plus élevé de la région, aucun élève n'étant compétent en mathématiques. Tout au long de l'année 2017, le projet Baltimore a fait la preuve avec des preuves - la manipulation de grade est répandue.

    Évolution de la preuve du projet Baltimore:

    Retour en mai, l'équipe de Chris Papst a trouvé "6 écoles de Baltimore, aucun étudiant compétent dans les tests d'Etat"

    6 écoles de Baltimore, aucun étudiant compétent dans les tests d'état, rapports @chrispapst: http://foxbaltimore.com/news/project-baltimore/6-baltimore-schools-no-students-proficient-in-state-tests ... #ProjectBaltimore
    17h45 - 18 mai 2017

    6 écoles de Baltimore, aucun étudiant compétent dans les tests d'état
    BALTIMORE (WBFF) - Une étude du projet Baltimore a révélé que cinq écoles secondaires de la ville de Baltimore et une école intermédiaire ne disposent pas d'un seul étudiant compétent dans les matières contrôlées ...
    foxbaltimore.com

    Le projet Baltimore dévoile de graves allégations de changement de grade à Baltimore City H.S

    Les éducateurs disent que «Shut It Down» change d'allégation à l'école de la ville
    BALTIMORE, Md. (WBFF) - Une enquête du projet Baltimore a révélé de graves allégations de changement de notes dans une école de la ville de Baltimore. Fox45 s'est assis avec des éducateurs de Northwood Appold Community ...
    foxbaltimore.com

    Baltimore City Schools panic-> lance une enquête interne sur le gréement

    Les écoles de la ville lancent une enquête après le rapport du projet Baltimore
    BALTIMORE (WBFF) - Le district scolaire de la ville de Baltimore a officiellement ouvert une enquête sur l'un des siens, deux jours après que le projet Baltimore a rapporté des allégations de changement de classe ...
    foxbaltimore.com

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  10. Comment un lycée avec zéro élèves maîtrisant les mathématiques peut-il avoir le plus haut taux de diplomation?

    "Comment est-ce possible ?" Zéro compétence avec des taux élevés d'obtention du diplôme. #ProjectBaltimore étudie. @FOXBaltimore http://foxbaltimore.com/news/project-baltimore/teachers-stunned-by-project-baltimore-discovery-i-dont-think-its-possible ...

    Les enseignants stupéfaits par la découverte du projet Baltimore: "Je ne pense pas que ce soit possible."
    BALTIMORE, Md. (WBFF) - Comment un lycée avec zéro élèves en mathématiques peut-il avoir l'un des taux d'obtention du diplôme les plus élevés de la ville de Baltimore ?
    foxbaltimore.com

    Balt. City Teacher dit au projet Baltimore: "Nous avons des enfants diplômés qui ne peuvent pas lire le diplôme"

    Balt. City Teacher dit à #ProjectBaltimore: "Nous avons des enfants diplômés qui ne peuvent pas lire le diplôme." @FOXBaltimore http://foxbaltimore.com/news/project-baltimore/city-teacher-calls-for-total-revolution ...
    22h06 - 31 août 2017

    Un enseignant de la ville appelle à une "révolution totale"

    BALTIMORE (WBFF) - Un professeur expérimenté de la ville de Baltimore a dit à Fox45 que la seule chose qui peut sauver les écoles de la ville est la révolution totale. Cela vient dans le sillage d'une enquête du projet Baltimore sur la ...
    foxbaltimore.com

    L'enquête sur la manipulation des notes se développe dans les écoles de la ville

    . @ L'enquête de FOXBaltimore sur le changement de grade présumé dans City Schools se développe. #ProjectBaltimore http://foxbaltimore.com/news/project-baltimore/report-cards-appear-to-show-grade-changing-at-another-baltimore-city-school ...
    14h44 - 28 septembre 2017

    Fiches de rapport A

    Les bulletins de notes semblent montrer le changement de notes dans une autre école de la ville de Baltimore
    Le projet Baltimore a obtenu des cartes de notes d'une deuxième école de la ville de Baltimore qui semble montrer des changements de notes. Un administrateur de district scolaire de haut niveau, qui travaille dans les écoles de la ville de Baltimore ...
    foxbaltimore.com

    Balt. L'administrateur de l'école explique au projet Baltimore que 70% des écoles de la ville ont changé de grade.

    Administrateur de North Avenue: 70% des notes de changement d'école de la ville de Baltimore
    Le changement de note est un problème systémique. Cette allégation provient d'un employé de haut niveau des écoles publiques de la ville de Baltimore qui travaille à l'intérieur du quartier général du district de North Avenue. Cette allégation vient ...

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  11. Baltimore City Schools # 1 en Amérique pour les coûts d'administration
    Baltimore City Public Schools est le numéro un dans le pays. Mais pas pour ce qu'il veut.Projet Baltimore a analysé les données récentes du gouvernement fédéral et a constaté que la ville de Baltimore dépense 1630 $ par élève ...
    foxbaltimore.com

    Projet Baltimore: un message texte demande aux enseignants de la ville de changer de niveau

    PROJET BALTIMORE: Un message texte ordonne aux enseignants de la ville de changer de niveau
    BALTIMORE (WBFF) - Une enquête interne des écoles publiques de la ville de Baltimore sur les allégations de changement de classe a été étendue à une autre école. Premièrement, c'était NACA II au nord-est de Baltimore. À présent,...

    Maintenant, le gouverneur du Maryland répond au scandale de manipulation de grade à Baltimore

    Le gouverneur répond à l'enquête du projet Baltimore sur les coûts de l'administration scolaire
    Le gouverneur Larry Hogan réagit vivement après qu'une enquête du projet Baltimore a révélé que les écoles du Maryland dirigent le pays lorsqu'il s'agit de payer les administrateurs des écoles publiques. L'argent qui va à ...
    foxbaltimore.com

    Comme le démontre le témoignage de Project Baltimore, la Dre Sonja Santelises, PDG de City Schools, répond enfin aux allégations de truquages ??...

    Par projet Baltimore,

    Dans le mémo, le Dr Santelises dit que le changement de grade est un «mauvais service pour nos étudiants».

    Elle a ensuite décrit les mesures correctives que le district a prises. En plus de lancer des enquêtes internes dans deux écoles de la ville, le système central de notation est en cours d'analyse, les chefs d'établissement ont reçu des directives de notation et une formation obligatoire a été commandée pour ceux qui entrent des notes. Santelises conclut en qualifiant nos enquêtes de "décourageantes".

    Elle conclut sur une note positive en disant: «Je sais que chaque jour il y a d'innombrables histoires positives d'apprentissage, de leadership et de professionnalisme dans nos écoles.

    Mémo complet:

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  12. Chers collègues,

    Alors que nous finalisons les rapports d'étape du premier trimestre pour distribution aux étudiants et aux familles, beaucoup d'entre vous sont sans aucun doute préoccupés par les récents rapports de presse qui allèguent des changements de qualité généralisés au cours des périodes de rapport précédentes. Je suis également préoccupé et je veux que vous sachiez que nous prenons les rapports très au sérieux. En août, nous avons commencé une analyse des données de qualité conservées dans nos systèmes centraux. Nous avons également fourni aux chefs d'établissement des conseils détaillés sur les pratiques et les processus requis en matière de changement de notes et nous avons institué une formation obligatoire pour les rapporteurs.

    Notre responsabilité de respecter les normes les plus élevées en matière d'intégrité professionnelle consiste notamment à assurer l'exactitude des rapports sur le rendement des élèves. Quoi que ce soit de moins ébranle notre professionnalisme et, surtout, rend un profond service à nos étudiants. Bien sûr, il y a des raisons légitimes pour changer de note: omission involontaire d'une note dans une affectation, soumission tardive d'un travail de rattrapage, erreurs typographiques simples qui doivent être corrigées. Mais il est impératif que les enseignants prennent le plus grand soin d'entrer les notes, et que tout le personnel impliqué dans la notation des notes suit les procédures établies pour l'examen et la finalisation des notes.

    Si vous avez des questions sur les politiques de notation, veuillez en parler avec le responsable de votre école ou communiquer avec le Bureau des études au 410-396-8810. J'encourage également tout membre du personnel ayant des connaissances ou des soupçons de comportement inapproprié ou contraire à l'éthique de le signaler, afin qu'il puisse être enquêté de manière appropriée. Les rapports, qui peuvent être anonymes, peuvent être soumis en ligne ou en composant le 1-800-679-0185.

    La gravité de ce problème et le ton sensationnel des reportages à ce sujet sont décourageants. Mais je sais que chaque jour il y a d'innombrables histoires positives d'apprentissage, de leadership et de professionnalisme dans nos écoles.

    Je vous encourage à garder ces histoires à l'esprit et à les partager avec vos collègues, les communautés scolaires et les réseaux sociaux comme un rappel quotidien du travail important que les élèves, les enseignants et le personnel accomplissent ensemble.

    Sincèrement, Sonja Brookins Santelises. Directeur Général

    http://www.zerohedge.com/news/2017-10-28/grade-rigging-scandal-escalates-baltimore-schools-ceo-issue-memo-response-investigat

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    1. (...) Comment un lycée avec zéro élèves maîtrisant les mathématiques peut-il avoir le plus haut taux de diplomation? (...)

      HAHAHAHA !

      Le classement universitaire n'est fait que pour récompenser les cons qui payent pour être des ânes.

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  13. Les attentes irréalistes envers la démocratie.


    27 octobre 2017
    par Minarchiste



    Il y a quelques années, j’avais écrit un billet expliquant pourquoi la démocratie ne devait pas tout décider dans la société car ce système comporte des failles importantes. Dans leur livre “Democracy for Realists”, Christopher Achen et Larry Bartels font une revue exhaustive de toute la littérature académique sur la démocratie depuis plus d’un siècle. Leurs constats sont très alarmants.

    La démocratie du peuple

    La définition de démocratie est un gouvernement « du peuple, par le peuple et pour le peuple », mais qu’en est-il en réalité ? En fait, le système politique actuel est basé sur une théorie que les auteurs nomment la théorie de la “démocratie du peuple” (folk theory of democracy). Cette théorie stipule que les électeurs ont des opinions sur les divers enjeux politiques, qu’ils font de leur mieux pour se renseigner sur ces enjeux et sur les positions des partis politiques, et qu’ils votent pour le parti politique qui les représentera le mieux de façon à ce que leurs avis influencent la société.

    Pour que cette théorie soit valide, on devrait observer un certain de niveau de connaissance chez les électeurs, des opinions idéologiques bien ancrées et comportement rationnel de leur part lors du scrutin.

    Des électeurs mal renseignés

    Les travaux de Carpini et Keeter demontrent qu’en 1952, seulement 44 % des Americains pouvaient nommer l’une des trois branches du gouvernement des États-Unis (présidence, cour judiciaire, congrès). En 1972, seulement 22 % des gens savaient ce qu’était le Watergate. En 1985, seulement 59 % savaient si le gouverneur de leur état était un Démocrate ou un Républicain. En 1986, 49 % des gens pouvaient nommer la nation qui a utilisé l’arme nucléaire.

    De plus, l’étude de 1996 publiée par Carpini et Keeter ne montre aucune augmentation du niveau de connaissances politiques de la population au cours des 50 années précédentes.

    Les chercheurs Richard Lau et David Redlawsk ont utilisé un sondage pour analyser les préférences politiques d’un groupe d’électeurs et leur ont ensuite attribué un candidat « favoris » en fonction de leurs préférences. Ils ont découvert que ces gens ont voté pour le candidat qui représente le mieux leurs préférences dans seulement 70 % des cas. Cela implique que les gens ne s’informe pas vraiment sur les positions des partis politiques avant de voter.

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  14. D’autre part, si les électeurs étaient bien informés, on s’attendrait à ce qu’ils votent pour le parti au pouvoir lorsque l’économie a été en croissance durant son mandat et vice-versa. Pourtant, les électeurs semblent punir les présidents sortants suite à une mauvaise performance économique seulement durant la dernière année de leur terme, mais ignorent complètement la tenue de l’économie durant les trois premières années. En revanche, si la croissance du revenu disponible a été bonne durant les mois précédant l’élection, le président sortant a de bonnes chances d’être réélu.

    Cette tendance semble avoir été remarquée par les politiciens puisque ceux-ci semblent faire en sorte de maximiser la croissance du revenu disponible lors de cette dernière année de leur terme, soit en réduisant les impôts, soit en augmentant les dépenses et les transferts. Ainsi, la croissance du revenu disponible durant les années électorales excède la croissance du PIB de 40 % en moyenne. D’ailleurs, la croissance économique est généralement inférieure à la moyenne durant l’année suivant l’élection.

    Lors de la Grande Dépression, dans les pays où des gouvernements plus à droite étaient au pouvoir, ils furent remplacés par des partis de gauche (États-Unis, Suède), et vice-versa (en Angleterre et en Australie les libéraux furent évincés du pouvoir par les conservateurs). Dans les pays où siégeaient des gouvernements de coalition, les électeurs se tournèrent vers des partis marginaux. En somme, la réponse idéologique des électeurs face à la Dépression ne fut pas cohésive d’un pays a l’autre, outre le fait que le parti au pouvoir a été puni, même s’il n’avait pas grand-chose à y voir.

    Pire encore, selon des études effectuées par les auteurs, les électeurs américains du 20e siècle ont généralement puni les présidents sortants aux urnes suite à des sécheresses et inondations sévères et mêmes lors d’attaques de requins (lesquelles ont failli coûter la réélection de Woodrow Wilson)!

    Quand on demande aux gens si l’inflation a diminué ou empiré sous le règne du président Reagan, seulement 8 % des gens affirmant être des supporteurs du Parti Démocrate affirment que oui. Plus de la moitié répondent qu’elle s’est détériorée. Cette étude fut menée en 2002.

    Dans un sondage mené en 1996, une majorité de gens affirmant être Républicains ont répondu que le déficit budgétaire avait augmenté sous Bill Clinton.

    Ces graphiques montrent les faits quant à ces deux questions:

    - voir graphique sur site -

    Ce graphique montre le taux d’inflation aux États-Unis. La flèche rouge illustre la présidence de Reagan.

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  15. Ce graphique montre le surplus/déficit budgétaire du gouvernement fédéral américain en pourcentage du PIB. La flèche rouge montre que la balance du budget s’est améliorée sous la présidence de Clinton (i.e. le déficit a diminué et est même tourné en surplus budgétaire).

    Ainsi, le problème n’est pas juste que les électeurs sont irrationnels, mais aussi qu’ils sont passablement ignorants et fondent leurs convictions politiques sur des anecdotes, des idées reçues et, surtout, sur la vision inculquée par le parti qu’ils supportent.

    De nombreuses études ont démontré que la plupart des résidents de pays démocratiques ont peu d’intérêt envers la politique et ne suivent pas les nouvelles d’affaires publiques outre qu’un survol des grands titres. Ils ne connaissent pas les détails même des débats les plus intenses et saillants de l’heure. Ils ne comprennent pas vraiment les positions des partis politiques sur les principaux enjeux et ils votent souvent pour des partis qui ont des positions différentes d’eux sur ces enjeux.

    Non seulement l’électorat dans son ensemble est très peu et mal informé, mais en plus il semble que ce soient les électeurs les moins bien informés qui détiennent la balance du pouvoir, ce qui est assez troublant.

    L’appartenance à un groupe social

    Pour les auteurs, le principal déterminant du vote d’un électeur est son appartenance à un groupe social. Le parti soutenu par ces groupes peut changer au fil du temps, mais les membres du groupe continueront de voter de la même manière, comme s’ils étaient loyaux envers le groupe.

    Le groupe peut être déterminé par l’origine ethnique, le genre, le type d’emploi, le niveau de richesse, le niveau d’éducation, le milieu familial, etc.

    En fait, les électeurs, mêmes les plus informés, font typiquement des choix en fonction de leur appartenance à un groupe social plutôt que par idéologie. Les gens adoptent des croyances, attitudes et valeurs qui renforcent et rationalisent leurs loyautés partisanes.

    En 1960, 83 % des électeurs catholiques supportaient le parti démocrate alors mené par le catholique Kennedy, contre seulement 39 % pour les non-catholiques. Une étude effectuée en 1976 suite au scandale du Watergate, lequel a significativement entaché la réputation des républicains, a démontré que les positions politiques des gens ont dérivé vers les positions démocrates, s’éloignant des positions républicaines. Si les électeurs étaient rationnels, le Watergate n’aurait pas changé leur opinion sur l’avortement ou sur l’importance de réduire les impôts. Notez que cette étude s’est concentrée sur les gens les mieux informés (premier quartile).

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  16. En 2014-15, à la Chambre des Représentants des États-Unis, 98 % des districts à majorité noire ont élu un représentant de race noire contre seulement 5 % pour les districts où la population est à majorité blanche.

    Une étude de Gabriel Lentz lors de la campagne presidentielle de 2000 démontre que la corrélation entre l’opinion des gens sur la privatisation de la sécurité sociale et leur choix de candidat (W. Bush ou Gore) a plus que doublé durant la campagne. L’analyse des sondages et statistiques démontre que les gens ont adapté leur opinion sur cet enjeu en fonction de leur candidat de prédilection. Autrement dit, les gens ont laissé le candidat issu du parti politique qu’ils supportent les convaincre de la politique appropriée durant la campagne.

    De nombreuses études démontrent que les gens changent très souvent d’opinion sur un sujet en fonction de la position de leur parti politique favoris, mais changent très rarement de parti favoris en fonction de leurs propres opinions sur ces enjeux (i.e. ce que la théorie de la démocratie du peuple infère). Les électeurs se comportent en véritable partisans, et non en citoyens critiques, consciencieux et rationnels.

    Pour ce qui est de l’Allemagne Nazie, possiblement la plus grande catastrophe démocratique de l’histoire, les électeurs allemands ont d’abord décidé qu’Hitler ferait un bon leader pour le pays et ont ensuite adopté ses vues politiques, incluant la « Question juive », Hitler parlait de nationalisme durant une période d’humiliation pour l’Allemagne d’après-guerre. En 1932, les partis de droite ont obtenu la même proportion du vote qu’en 1924. La différence est qu’en 1932, le vote droitiste s’est consolidé avec les Nazis. Il n’y a donc pas vraiment eu de montée de la droite ou même de changement idéologique significatif menant à l’élection d’Hitler. Il n’y a eu qu’un ralliement de la droite derrière Hitler.

    Les gens qui ont supporté et voté pour Donald Trump étaient ravis de voir un blanc chrétien défendre fermement leurs valeurs et se dresser agressivement contre leurs pseudo-ennemis. Qu’il mente, se trompe ou ait des idées désastreuses importe peu pour ces gens. Trump s’est accaparé le soutien d’un groupe social et ce groupe social a adopté ses positions politiques et ses « faits alternatifs ».

    Lors des primaires, plusieurs pensent que Bernie Sanders a connu un certain succès en raison d’une montée de socialisme au sein de la population. En fait, Sanders n’a obtenu que 9 points de plus auprès des gauchistes comparativement aux modérés. Mais il a obtenu 11 points de plus auprès des hommes versus les femmes, 18 points de plus auprès des blancs versus les non-blancs et 28 points de plus auprès des indépendants comparé aux démocrates. Ces écarts ne résultent pas de différences politiques entre Clinton et Sanders, ils découlent de l’identification à des groupes sociaux distincts. Ce qui est encore plus sidérant est que des sondages révèlent que ceux qui ont voté Sanders sont moins enclins à supporter ses idées que ceux qui ont voté Clinton, telles qu’un salaire minimum plus élevé, des dépenses gouvernementales accrues en soins de santé et des augmentations d’impôts! Autrement dit, ces gens supportaient l’homme et ce qu’il représente, et non pas ses idées!

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  17. Conclusion

    Le message central de ce livre est qu’on en demande nettement trop au système démocratique et, surtout, aux electeurs qui l’animent. Les taux de participation électoraux généralement très faibles démontrent d’ailleurs qu’une bonne partie de la population ne sait pas vraiment quoi faire avec son vote et préfère sagement s’abstenir de voter.

    Évidemment, les auteurs ne sont pas contre la démocratie. Les élections ont l’avantage de décider de manière relativement pacifique de qui va mener un gouvernement. En ce sens, la démocratie est le pire système politique, outre tous ceux qui ont été essayés avant.

    Les auteurs déplorent l’influence de l’argent dans la politique et particulièrement aux États-Unis, où ils considèrent que de catégoriser le financement de campagnes électorales comme de la liberté d’expression est carrément naïf (voir ceci).

    D’ailleurs, si l’argent a autant d’influence, c’est bien parce que les électeurs ne votent pas en fonctions de leurs opinions sur les principaux enjeux politiques de la société, mais votent en fonction de leur appartenance à un groupe social. Les publicités électorales des partis tentent de les convaincre que leur groupe social devrait s’associer à leur parti et voter pour eux.

    Pour les auteurs, un pas de géant a été effectué vers la démocratie lorsque les peuples ont abandonné la notion selon laquelle le roi a été choisi par Dieu pour régner. Le prochain pas consiste à abandonner la théorie de la « démocratie du peuple ». Cela consiste à considérer de manière plus explicite les limites des citoyens et les limites de ce que peut accomplir la démocratie à travers un vote populaire.

    Pour moi, il est clair que la démocratie et les représentants politiques qu’elle permet d’élire doivent décider du moins de choses possible. Il est nettement préférable de mettre le pouvoir entre les mains des marchés et, conséquemment, des individus, lesquels sont imparfaits et font régulièrement des erreurs, mais au moins ces erreurs leur sont directement imputables.

    Les gens font d’ailleurs davantage d’efforts pour se renseigner et reflechir lorsqu’ils concluent une transaction de marché que lorsqu’ils votent. Ce mode de cooperation est nettement préférable à la centralisation des décisions au sein d’un gouvernement, même si démocratiquement élu.

    https://minarchiste.wordpress.com/2017/10/27/les-attentes-irrealistes-envers-la-democratie/

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    1. (...) Les travaux de Carpini et Keeter demontrent qu’en 1952, seulement 44 % des Americains pouvaient nommer l’une des trois branches du gouvernement des États-Unis (présidence, cour judiciaire, congrès). En 1972, seulement 22 % des gens savaient ce qu’était le Watergate. En 1985, seulement 59 % savaient si le gouverneur de leur état était un Démocrate ou un Républicain. En 1986, 49 % des gens pouvaient nommer la nation qui a utilisé l’arme nucléaire (...)

      Cela montre bien que la dictature au pouvoir depuis la création des États-Unis d'Amérique étouffe le peuple depuis toujours dans le mensonge et l'escroquerie au travers des prostitués merdiatique.

      (...) De nombreuses études ont démontré que la plupart des résidents de pays démocratiques ont peu d’intérêt envers la politique et ne suivent pas les nouvelles d’affaires publiques outre qu’un survol des grands titres. (...)

      'des résidents de pays démocratiques' ??! 'des' ??! Où SONT-ILS ??! IL N'Y A QU'UN PAYS EN DÉMOCRATIE DANS LE MONDE, C'EST LA SUISSE. Cela montre bien que le 'Minarchiste' ne connait pas son sujet et qu'il est un agent de la dictature en place !
      Le 'minarchisme' étant une politique anti-Démocratie, défendant la dictature quelle qu'elle soit.

      (...) Les gens qui ont supporté et voté pour Donald Trump étaient ravis de voir un blanc chrétien défendre fermement leurs valeurs et se dresser agressivement contre leurs pseudo-ennemis. (...)

      'blanc chrétien' !! Les Américains n'en ont RIEN A FOUTRE de 'blanc chrétien', ce qu'ils voulaient c'est chasser le kenyan hors de la Maison Blanche et accéder à la Démocratie (même si peu de gens savent définir ce qu'est la Démocratie !).

      Pas une fois cet anonyme (se faisant appeler 'le minarchiste') ne cite la Suisse comme exemple ! C'est-à-dire qu'il ne connaît RIEN du monde et ne veut surtout pas parler de la vérité qui dérange !

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  18. L’Académie française s’oppose à l’écriture dite inclusive


    28 octobre 2017



    Une « aberration », un « péril mortel » pour la langue française. C’est en ces termes vigoureux que les Immortels ont dénoncé jeudi la mode inclusive, défendue par les féministes, et gobée par des Français déjà passablement déboussolés.

    L’Académie française a donc adressé une « solennelle mise en garde » contre cette graphie qui prétend donner plus de visibilité aux femmes en incluant toujours le féminin. Ainsi écrivent-ils « ami·e·s »…

    Qui ne voit que, par ce moyen, le féminin se trouve bien plus à la traîne encore du masculin, puisqu’il est obligé de s’afficher pour s’affirmer.

    Mais, surtout, ce procédé nuit à la grandeur de notre langue. « La démultiplication des marques orthographiques et syntaxiques qu’elle induit aboutit à une langue désunie, disparate dans son expression, créant une confusion qui confine à l’illisibilité », observe encore l’Académie.

    http://reinformation.tv/academie-francaise-ecriture-inclusive-vite-76505-2/

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    1. Faut dire aussi qu'à la dénomination d'asexué-e (excisé-e) s'est substituée la nouvelle dénomination de 'transgenre' comme si une homme qui se les ferait couper pourrait devenir une femme !!
      Un bipède qui n'a pas de sexe d'origine ne peut ni être considéré comme un homme ni être considéré comme une femme.

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  19. J'ai tenté un truc fou aujourd'hui. Me relaxer sans vin rouge, sexe, copains ni massage. A l'ancienne... Putain, pas facile !


    Charles Dereeper
    samedi, 28 octobre 2017 21:12


    Oui je sais... par les temps qui courent, faut être un brin cinglé pour se lancer ce genre de défi... ca me chiffonnait en fait.

    La récupération nerveuse est la clef...

    J'étudie depuis un certain temps la productivité pour le groupe STRATEGIE DE VIE PRO et PERSO et je suis parvenu à la conclusion que c'est une illusion de croire qu'on peut produire plus en quantité en se focalisant sur ... apprendre à être productif !

    Pourquoi ?

    Ba tout simplement parce qu'on a tous besoin de récupérer et que cela augmente avec l'âge.

    Donc si on tire sur la corde pendant 2 à 4 semaines, derrière, on paye cash la facture. Ceux qui tirent plus longtemps finissent souvent malades, rappelés à l'ordre par leur corps et pour les sourds... généralement, au bout de la piste de décollage, y a un beau petit cancer et un lit d'hôpital avec.

    Ce que je me suis aperçu au final, c'est que l'on produise beaucoup pendant 2 à 3 jours de la semaine ou moyennement 5 jours ou énormément 7 jours sur 7 pendant 3 semaines, le temps de récup physique et nerveuse ne varie pas. Il reste proportionnel à la dépense d'énergie nerveuse et physique déjà enregistrée.

    Donc si on ne peut pas étendre sa capacité de travail, le vrai enjeu de productivité réside dans le choix des tâches qui produisent ou non de la valeur et l'art de la sous traitance. En un mot, la productivité humaine n'a pas pour objectif de produire plus en volume de travail à titre perso, mais plutôt de produire plus qualitatif en fonction de ses objectifs perso. Plus on a de la déperdition par rapport à ce qui compte, plus on rate sa vie. Vu que c'est borné, l'optimisation ne peut produire de la valeur qu'en ciblant le plus finement possible.

    C'est tout un art j'en conviens.

    Qui plus est, cet art n'évite pas l'idée d'apprendre à se relaxer.

    En ce qui me concerne, je suis mauvais et je pars de loin. J'ai pris des sales habitudes...

    Pas de femme. Pas d'enfant. Pas de contraintes. Pas de fonctionnaires sur le dos pour me réglementer la life...

    La liberté totale.

    Pas facile dans ces conditions de pousser droit...

    Et vu qu'à la base, je ne suis pas droit... au final, mon édifice de relaxation est très loin de pencher aussi peu que la tour de Pise... mes fondations sont très très instables, à base de femmes, de sexe, de copains, de vin rouge ou de massages (sans happy ending, quoique le combo ne soit pas désagréable...)

    De retour dans la jungle du Costa Rica, totalement seul, je me suis dit ce matin.

    Chiche Charles que tu te détends la couille à l'ancienne...

    Bon déjà, vous lisez cet édito, donc vous savez déjà que j'ai échoué. J'ai ouvert l'ordi...

    La première étape du protocole suivi a consisté à partir dans une autre de mes maisons... sans internet !

    6h sans internet. La punition ! Ce fut dur...

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  20. Les 2 premières heures, tel est un drogué, frénétiquement, mon cerveau me suggérait des idées à checker ou des trucs à faire sur le net... (béni le jour où on aura notre cerveau câblé directement par ondes au net hein ?... hahahaha)

    Ensuite, la troisième heure, ayant pris connaissance de mon état gravement avancé dans la maladie de notre époque, j'ai commencé à réfléchir à ce que je pourrais faire ou être pour me relaxer un peu chaque jour sans utiliser mes béquilles habituelles.

    Bon la vérité ? La troisième heure, mon cerveau n'était pas très motivé pour réfléchir sur la question... Mon attention se barrait en couille toutes les 2 minutes, pour être au plus loin de la possibilité de regarder en face le sujet...

    Quatrième heure... j'ai commencé à me détendre !

    Evidemment, s'il faut 4h à chaque fois que je veux sentir un relâchement, ca va pas le faire comme technique de relaxation !

    Cinquième heure nickel !

    Connecté au présent. J'ai regardé les oiseaux. Mes plantations. Les meubles et la maison. J'ai écouté aussi car la jungle a cette caractéristique d'être très bruyante.

    Au milieu de la jungle, à l'improviste, on tombe toujours sur des couleurs tel ce papillon que j'ai attrapé en vidéo (une sortie de téléphone non connecté à internet, ca compte pas !)

    - voir sur site -

    J'ai cherché à comprendre cette impossibilité de me détendre en mode autonome... qui puise ses racines dans la peur bleue verte et rouge de mon enfance de la solitude. J'ai une nouvelle fois vérifié que j'avais peur d'un fantôme. J'ai affronté le fantôme...

    Sixième heure : la paix sereine ! Enfin ! Budha est là dans mes hormones et régule la machine ! Merci Budha ! Ca y est, je plane à l'ancienne...

    Septième heure, je suis rentré dans ma première maison... j'ai tenu 30 minutes... et j'ai ouvert l'ordi...

    Putain de nature humaine de merde...

    Charles

    http://www.objectifeco.com/entreprendre/excellence-humaine/j-ai-tente-un-truc-fou-aujourd-hui-me-relaxer-sans-vin-rouge-sexe-copains-ni-massage-a-l-ancienne-putain-pas-facile.html

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  21. Au bout de la folie: un Japonais dessine trop réellement et fait peur au monde


    20:33 26.10.2017


    Les peintures de ce jeune artiste japonais Kohei Ohmori incitent les internautes à s'interroger: peut-on être une «peintre fou» comme on peut être un «savant fou» ? Avant de tirer vos propres conclusions, découvrez ses œuvres ci-dessous.

    Cet Japonais dessine au crayon, mais vous ne le diriez jamais en regardant ces tableaux tant ils ressemblent à des photos. Reproduire la réalité avec cette précision extrême lui demande des centaines d'heures d'application.
    Sa sœur aînée l'a observé dessiner et a été terrifiée par son assiduité et sa dévotion à son art:

    «Mon petit frère est très fort pour faire des dessins très précis au crayon. Il a dessiné ce boulon et cet écrou sans s'arrêter et j'ai senti une légère folie dans ses actions. Ce dessin lui a pris 240 heures (et il n'est pas encore fini). Ce n'est pas une photo.»

    A examiner de près le dessin, un seul détail trahit le fait que ces objets ne sont pas photographiés mais dessinés: c'est la partie manquante de l'écrou.

    Les Twittos japonais partagent les sentiments de la sœur de l'artiste: «Ce n'est pas de la folie, c'est de la démence. Et dis-lui surtout que ses dessins pourraient lui rapporter gros», estiment certains utilisateurs.

    https://www.instagram.com/kohei6620/

    «Etre obsédé au point de dessiner sans s'arrêter jusqu'à la folie est une histoire connue des peintres qui tentent de se perfectionner. C'est ce que les "génies fous" font», font remarquer d'autres, leurs réactions entremêlées de «vraiment excellent» des admirateurs.

    Ceux qui ne sont toujours pas persuadés que ce sont des images au crayon peuvent consulter la page Instagram du peintre sur laquelle il publie entre autres des œuvres en cours de création, avec des parties qui manquent.

    https://fr.sputniknews.com/culture/201710261033629322-dessins-reels-peur/

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  22. La confiance du président Trump dans la défense antimissile est une illusion dangereuse


    par Tyler Durden
    29 octobre 2017 22h30
    Rédigé par Andrei Akulov via The Strategic Culture Foundation,


    Les États-Unis poursuivent l'expansion de la défense antimissile balistique (BMD) du pays. L'effort jouit d'un fort soutien bipartisan au Congrès et parmi les experts. De nombreux alliés accordent une grande importance à la coopération en matière de défense antimissile balistique avec les États-Unis. Cependant, il existe de nombreuses raisons de s'interroger sur l'efficacité des systèmes de défense antimissile américains, en particulier sur la capacité de protection contre les missiles balistiques intercontinentaux (ICBM).

    "Nous avons des missiles qui peuvent assommer un missile dans l'air 97 % du temps", a déclaré le président Donald Trump dans son interview à Fox News le 11 octobre, ajoutant "et si vous envoyez deux d'entre eux, ils seront renversés. Il parlait de la menace venant de la Corée du Nord pour être repoussée par la défense au sol à mi-parcours (GMD) en Alaska et en Californie - le projet de 40 milliards de dollars administré par la Missile Defence Agency (MDA).

    L'armée américaine a mené le premier test de défense antimissile impliquant une attaque simulée par un missile balistique intercontinental en mai. La cible de type ICBM a été tirée de l'atoll de Kwajalein dans les îles Marshall vers les eaux au sud de l'Alaska. La mission consistait à se préparer à contrer un missile intercontinental lancé par la Corée du Nord. L'Agence de défense antimissile (MDA) a qualifié le test d '«accomplissement incroyable». Selon le vice-amiral Jim Syring, directeur de l'agence, «ce système est d'une importance vitale pour la défense de notre patrie, et ce test démontre que nous avons un moyen de dissuasion efficace et crédible contre une menace très réelle.» L'évaluation semble exagérée comme le test n'a pas été effectué dans un environnement réaliste.

    Le prochain test du système GMD est prévu pour la fin de 2018 et, pour la première fois, impliquera le lancement de deux intercepteurs contre une cible ICBM. Cela ne corrobore pas l'affirmation du président selon laquelle deux intercepteurs sont suffisants pour faire tomber un missile nord-coréen car aucun test de ce type n'a été effectué jusqu'à présent.

    Les États-Unis déploient actuellement 36 intercepteurs - 32 à Fort Greely, en Alaska, et quatre à la base aérienne de Vandenberg, en Californie. D'ici la fin de 2017, il y aura 44 GBI déployés. La majorité des intercepteurs utilisent la variante CE-I du véhicule de destruction qui n'a obtenu que deux succès dans quatre tests. Au moins dix intercepteurs doivent être équipés du véhicule CE-II Block I, qui a réussi deux essais d'interception en trois essais.

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  23. On croit généralement qu'il faut au moins quatre ou cinq intercepteurs pour atteindre la cible. Cela signifie que le président Trump est hors de la base en disant que la probabilité de toucher est de 97 %. Avant le test ICBM, le système GMD avait réussi à atteindre sa cible dans seulement dix tests sur dix-huit depuis 1999. Le taux de réussite est d'environ 56 % et non de 97 %. Mais même 56 % est presque certainement une surestimation, étant donné le caractère peu réaliste des tests.

    Un taux de réussite de quatre-cinq intercepteurs par cible peut être de 97 % mais la possibilité que chaque intercepteur successeur ait des chances de succès pourrait ne pas être indépendante du précédent, en raison de facteurs corrélés tels que des défauts de conception. . Néanmoins, le président Trump estime que chaque intercepteur a une probabilité de tir unique (SSPK) pour un intercepteur donné de 97 % (plutôt que 56 %).

    Selon le Washington Post, "Aucun intercepteur unique pour les ICBM n'a démontré un taux de réussite de 97 %, et il n'y a aucune garantie d'utiliser deux intercepteurs avec un taux de réussite de 100 %. De plus, la suggestion de l'armée selon laquelle il pourrait atteindre un taux de réussite de 97 % avec quatre intercepteurs semble fondée sur des hypothèses erronées et des calculs trop enthousiastes. Les chances de succès dans les conditions les plus idéales ne sont pas meilleures que 50-50, et probablement pire, comme documenté dans l'évaluation détaillée du gouvernement. "

    Joe Cirincione, président de Ploughshares Fund et auteur de Nuclear Nightmares: Sécuriser le monde avant qu'il ne soit trop tard, a enquêté sur des programmes antimissiles pendant près de dix ans en tant que professionnels des comités des services armés et des opérations gouvernementales. Il croit que «si les gens examinaient de près un seul de ces tests d'intercepteurs, ils concluraient probablement, comme je l'ai fait, que les tests ne ressemblent guère aux conditions du monde réel».

    Si la Corée du Nord a lancé un ICBM - ou plusieurs ICBM - aux États-Unis, la GMD avec ses intercepteurs au sol (GBI) est un système qui pourrait tenter d'intercepter et de détruire l'ogive hors de l'atmosphère terrestre en vol à mi-course. D'autres systèmes de défense antimissile tels que THAAD et Aegis ne sont pas en mesure de frapper les ICBM car ils sont conçus pour d'autres classes de cibles.

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  24. Avec un seul test contre un ICBM, le MDA n'est même pas près de démontrer que le système fonctionne dans un environnement réel. Les systèmes GMD n'ont pas encore été testés dans la gamme des conditions dans lesquelles ils sont censés fonctionner. Aucun test n'a été effectué la nuit ou contre des contre-mesures complexes, telles que des contre-mesures électroniques et des leurres. Les tests sont toujours truqués parce que l'équipe d'interception connaît le moment et la trajectoire du missile entrant. Mais même les tests scriptés ont souvent échoué. Ce qui a été fait jusqu'à présent est insuffisant pour démontrer qu'une capacité opérationnelle de BMD existe réellement.

    Les États-Unis n'ont pas effectué de tests publics pour voir si les radars de défense antimissile pouvaient distinguer un missile de l'ivraie. Même les ballons gonflables bon marché peuvent faire tous les efforts d'interception aller dans le drain. Sans résistance à l'air (ou traînée) dans l'espace, un leurre comme un ballon en forme d'ogive nucléaire pourrait voyager de la même façon que la véritable ogive, ce qui rendrait difficile pour un missile de distinguer le réel du leurre. Les ballons sont assez légers pour permettre à une lance sophistiquée de lancer 20 ou 30 ballons leurres pour obscurcir le chemin de l'ogive, submergeant le système de défense avec de faux signaux.

    En février et avril 2016, le Government Accountability Office (GAO) a estimé que le MDA n'avait pas «démontré par des essais en vol qu'il pouvait défendre la patrie américaine contre la menace actuelle de la défense antimissile», en s'appuyant sur «un calendrier hautement optimiste». mettre à niveau le système.

    Les États-Unis ont abandonné le Traité sur les missiles antibalistiques (ABM) en 2002, ce qui a grandement entravé le processus de contrôle des armements. Efficace ou non, la capacité BMD actuelle et potentielle des États-Unis est prise en considération pour influencer la planification militaire de la Russie. Il incite Moscou à prendre des contre-mesures pour répondre aux projets de défense antimissile balistique et a un impact négatif sur les perspectives de futurs accords de contrôle des armements entre la Russie et les États-Unis. Avec les incertitudes soulevées au sujet de l'équilibre des armes strict convenu dans le nouveau START, une réaction en chaîne est déclenchée conduisant à la course aux armements.

    Philip Giraldi, un expert très respecté et le directeur exécutif du Conseil pour l'intérêt national, estime que le peuple américain est trompé par l'administration, qui essaie de leur faire croire qu'une guerre nucléaire est pensable. Selon lui, «si tel est le message envoyé par la Maison Blanche, cela encouragerait l'aventurisme imprudent de la part de l'Etat de sécurité nationale». M. Giraldi a mis le doigt sur la tête. L'effort de GMD crée une illusion dangereuse qu'une victoire dans un conflit nucléaire est réalisable et aucun argent ne devrait être épargné pour stimuler la mise en application des plans de MDA. En réalité, l'industrie américaine de la défense est le seul bienfaiteur alors que les contribuables jettent de l'argent dans les égouts. Le résultat: poursuite de l'érosion du contrôle des armes et réduction de la sécurité.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-10-29/president-trumps-confidence-missile-defense-dangerous-illusion

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    1. 'Captain America' ? Suffit qu'un passe au travers pour...

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    2. La guerre 'nucléaire' peut-elle exister ? Oui et non. Non, par ce que les fusées/missiles qui la supportent peuvent être détruits à leurs fûts-même de lancement comme être interceptés par une DCA quelconque, et oui, parce qu'elle peut être aussi larguée depuis un avion commercial qui l'aurait chargé en soute.

      Là, de toutes façons, cela se contient dans un 'Nagasaki/Hiroshima II'.

      Le plus grave n'est pas là. Le plus grave s'appelle aujourd'hui 'bombe propre', ou, 'EMP' pour les intimes (!). L'Impulsion ElectroMagnétique est une arme commune à ce jour dans pratiquement tous les pays du monde !! Elle peut - de par son explosion - condamner TOUS les réseaux électrique locaux, régionaux, nationaux comme internationaux suivant sa puissance et l'altitude où elle a explosé.(Destruction de satellites).

      De se retrouver soudainement au 19è siècle à marcher à pieds, ou à cheval/charrette ou à vélo n'est pas mortel. Certes. Mais là où l'EMP devient grave est, pour les centrales nucléaire.

      J'explique. Comme son explosion supprime TOUTES les transmissions électrique du monde (zéro téléphone, radio, ordi, voiture, avion, bateau à moteur, etc), ne peuvent fonctionner QUE les moteurs démarrant à la manivelle. (Tondeuses à gazon, petits motoculteurs, tronçonneuses, vieilles voitures, etc). Donc: zéro possibilité pour les centrales nucléaire d'être approvisionnées en eaux de par un moteur-pompe électrique !

      D'où, la possibilité d'un 'Fukushima II' dans les 4 h qui suivent. Les réacteurs étant en surchauffe par le manque d'eau passent de 300°C à 3000°C !! et TOUT fond ! Les réacteurs explosent (hydrogène) et en se déchapeautant répandent autour d'eux les particules radioactives emportées par les vents et courants marins.

      C'est-à-dire que, si cela devait arriver, (plus d'électricité, ni téléphone, ni voiture qui démarre), vous avez donc 4 h pour: partir en courant !

      A pieds, à bicyclette ou à cheval ou, mieux: en barque. Le canot pneumatique, le voilier apporté (à pieds !) jusqu'au fleuve ou rivière, permet de gagner la mer et, courants marins porteurs, vous éloigner au plus vite de cet environnement. 'Sans oublier d'emporter: brassières de sécurité, gilets de sauvetage, rames, réserve d'essence (pour les petits bateaux à moteur démarrant à la tirette), cannes à pêche, couteaux, chapeaux, boussole, imper, bouffe, etc.

      Pour ce qui est du dessalement de l'eau de mer et pour éviter toutes maladies d'eaux sales: réchaud à gaz pour faire bouillir l'eau avant de la boire et/ou grand couvercle pour récupérer la condensation d'eau non-salée. Prendre une poêle posée sur le feu, mettre une casserole sans manche remplie d'eau au milieu et couvrir d'un couvercle cloche. L'eau propre, bouillie, saine est sans danger (à partir d'eau de mer ou d'urine) récupérée dans la poêle peut donc être bue.

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  25. Vendanges 2017 catastrophiques en Europe


    le 30 octobre 2017


    En raison du « réchauffement climatique d’origine humaine » (c’est de l’humour …) de nombreux vignobles européens et en particulier français ont souffert de gelées tardives en ce millésime 2017 qui accuse une diminution de la production européenne de 8,2 % pour atteindre seulement 246 millions d’hectolitres de vin ou encore 3 milliards de bouteilles de vin. C’est l’Office International du Vin basé à Paris qui l’affirme et le chiffre d’affaire global du vin européen atteindra seulement 75 milliards d’euros ! L’Italie, pays qui a le plus souffert de gels tardifs passe donc en cette année 2017 leader mondial de la production de vin malgré une diminution de la récolte de 23 %. En Espagne la production a chuté de 15 % et en France de 19 %. Mais le réchauffement climatique d’origine humaine n’est pas aussi global qu’on pourrait le penser puisqu’il n’a pas affecté l’Argentine, le Chili ou encore l’Afrique du Sud, pays qui ont tous bénéficié de récoltes en progression. L’Australie est maintenant cinquième producteur mondial de vin, belle embellie pour ces vins goûteux et de qualité, alors que la production de vin argentin a progressé de 25 %. Les vignerons européens ont aussi souffert de la sécheresse au moment de la croissance des grappes de raisin – toujours à cause du réchauffement climatique – peut-être vont-ils réclamer un peu de subsides auprès des gouvernements au nom de ce réchauffement climatique, allez savoir …

    Source : Bloomberg

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/10/30/vendanges-2017-catastrophiques-en-europe/

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  26. FRANCE - MANIFESTATION CONTRE LES VIOLENCES SEXUELLES

    Des centaines de personnes ont défilé dimanche dans plusieurs villes françaises contre le harcèlement et les violences contre les femmes.

    29.10.2017

    Des centaines de personnes se sont réunies dimanche à Paris et dans plusieurs grandes villes de France pour dénoncer le harcèlement, les agressions et les violences sexuelles. La mobilisation s'inscrit dans le sillage des témoignages publiés sur les réseaux sociaux.

    «Justice pour les femmes», «Ensemble, brisons le silence», ou «Harcelée c'est non», pouvait-on lire sur les pancartes des participants, principalement des femmes. Ces rassemblements répondaient à un appel lancé notamment sur Facebook par Carol Galand, journaliste au magazine de «voyage utile» QOA.

    La démarche a pour but de «montrer à ceux qui ne sont pas sur Facebook» ou d'autres réseaux sociaux «l'ampleur de ce phénomène injustement minimisé», qui fait «des milliers» de victimes. «Il faut qu'on grignote peu à peu notre droit à exister dans l'espace public», a-t-elle déclaré à Reuters TV lors du rassemblement organisé place de la République à Paris.

    Après les accusations de harcèlement et d'agressions sexuelles portées par des actrices contre le magnat d'Hollywood Harvey Weinstein, de nombreuses femmes ont révélé sur les réseaux sociaux, les violences sexistes qu'elles subissaient dans leur vie privée ou sur leur lieu de travail. Des déclarations accompagnées notamment des mots d'ordre #metoo (moi aussi) et #balancetonporc.

    Selon Carol Galand, «aujourd'hui, oui, les femmes, parce qu'elles sont ensemble (...) se sentent prêtes à témoigner, se sentent prêtes à se mobiliser ensemble autour de cette question-là.»

    Le gouvernement a lancé mi-octobre une consultation citoyenne dans la perspective d'un projet de loi contre les violences sexistes et sexuelles qui sera présenté l'an prochain. (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/monde/manifestation-violences-sexuelles/story/23833177

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