October 23rd, 2017
Les voitures australiennes sont tout aussi mauvaises - une voiture hybride émet 400 % de gaz carbonique de plus qu' "annoncé"
L'AAA a testé 30 voitures dans des conditions routières réelles en Australie et a constaté que, comme VW et tant d'autres, les voitures passent des tests de pollution dans le laboratoire, mais échouent dans le monde réel:
- Sydney Morning Herald
Le rapport de l'Australian Automobile Association, dont les membres incluent la NRMA et le RACV et le RACQ, indique que les essais réalisés dans le monde réel révèlent que certaines voitures neuves consomment jusqu'à 59 % de carburant de plus que ce qui est annoncé. Près de six sur dix ont dépassé la limite réglementée pour un ou plusieurs polluants dans les essais de démarrage à froid.
Le rapport a révélé que, en moyenne, la consommation de carburant dans le monde réel était de 23 % supérieure aux résultats de laboratoire, y compris un véhicule diesel qui utilisait 59 % de carburant de plus que les tests de laboratoire indiqués.
Une voiture électrique hybride rechargeable complètement chargée consommait 166 % de carburant de plus que ne le suggèrent les chiffres officiels - ou 337 % de plus quand elle était testée à partir d'une charge faible. Il a également émis quatre fois plus de dioxyde de carbone que prévu.
Sur 12 véhicules diesel testés, 11 dépassaient la limite de laboratoire pour les émissions d'oxydes d'azote ....
Les écologistes ont accusé l'AAA de «chercher à retarder l'introduction de nouvelles normes» et ont exhorté le gouvernement à ignorer la «désinformation».
Pourquoi ne vont-ils pas m'envoyer une Tesla pour faire un essai routier ?
RépondreSupprimerPar Eric Peters
Eric Peters Autos
23 octobre 2017
La preuve, comme on dit, est dans le pudding.
Si, comme l'affirme la machine de relations publiques de Tesla soigneusement entretenue, la question de la portée a été résolue et que la performance fonctionnelle de la voiture (par opposition à la rapidité de son accélération ...) est aussi bonne qu'implicite - pourquoi ne pas le faire ? envoyez-moi un pour tester le lecteur ?
Je fais l'essai de nouvelles voitures chaque semaine. Toutes les grandes compagnies automobiles (sauf GM, dernièrement, pour violation de politiquement correct) m'envoient leurs véhicules pendant une semaine à la fois, pour les conduire et ensuite vous raconter comment ils conduisent - leurs bons et leurs mauvais points, etc. est destiné à vous être utile, l'acheteur potentiel.
Mais pas une seule voiture électrique, jusqu'à présent.
Comment y venir ?
Laissant de côté la possibilité de l'animosité - j'ai écrit de façon peu flatteuse sur Elon et son copain modèle d'affaires capitaliste - les raisons, me semble-t-il, sont les suivantes:
Je vis trop loin des zones de rassemblement de la flotte de la presse; il n'y a pas un EV disponible qui pourrait faire le voyage sans un arrêt de ravitaillement pour recharger pendant la nuit. Pas de chargeurs "rapides" sur l'I-81, l'Interstate principal et unique nord-sud entre les centres de presse pour la région nord-est dans la région de DC et ma redoute dans les bois du sud-ouest de la Virginie rurale. C'est un trajet à sens unique d'environ 250 miles (402 km)- et vous devez conduire à environ 75 en continu (la limite de vitesse est de 70 mph : 112 km/h) si vous ne voulez pas que Kenworths laisse des traces de pneus dans votre dos.
C'est un problème pour les voitures électriques. Ils sont optimisés pour les basses vitesses, pas les hautes. Et pour les courtes rafales, pas d'exercice vigoureux continu.
C'est probablement aussi un problème pour vous - sauf si vous avez un véhicule de poursuite à plat. Ou avez stratégiquement mis en scène des chargeurs "rapides" le long de la route. Le problème est qu'en dehors de (cue Arnold voice) Kulivornia il n'y en a pas. Pas en dehors de l'anneau intérieur de la ville, non plus. Qui rend les voyages au-delà de l'anneau problématique - pour Tesla et pour vous, si vous finissez par en acheter un et l'intention de toujours conduire plus loin que 100 miles de votre ombilical électrique et à plus d'un crawl.
Je voudrais tester la rapidité tant vantée de Tesla - pour voir quel serait l'effet sur la charge de la batterie, car cette gamme d'effets.
RépondreSupprimerJe voudrais savoir si la portée est réduite de manière appréciable par une conduite à haute vitesse soutenue.
Ce serait embarrassant - et plutôt ridicule - s'il s'avère que le mode «fou» du Tesla - le bouton que vous pressez pour mettre la voiture en place pour une accélération maximale de l'effort - n'est bon que pour quelques accélérations rapides. Que si vous utilisez la performance de la voiture rabâcher plus que très occasionnellement, votre temps zéro à 60 ne sera pas de 4 secondes ou moins, mais. . . Stationnaire.
Pendant que vous attendez que la batterie se recharge.
Je voudrais également utiliser le courant alternatif - pleine explosion, pas tiède pour "économiser de l'énergie." Et la chaleur, très chaud. Je voudrais tester la voiture par une journée très chaude ainsi que par une journée très froide. Et voyez quel effet l'utilisation des accessoires nécessaires a sur l'état de charge de la batterie. Parce que si j'achète une voiture de 40 000 $ et plus, je ne veux pas geler en hiver - ou avoir des taches de sueur sous mes aisselles en été.
Je suis prêt à parier de l'argent réel que la gamme vanté de Tesla est la publicité battage médiatique d'une pièce avec des notes qui se pâment avec des affirmations selon lesquelles "vous pourriez gagner un revenu à six chiffres à la maison aujourd'hui !"
Oui, tu pourrais. Mais ne le fera probablement pas.
https://www.lewrockwell.com/2017/10/eric-peters/why-wont-they-send-me-a-tesla-to-test-drive/
La nouvelle responsable de l’environnement de la Maison Blanche, Kathleen Hartnett White, associe réchauffisme et paganisme
RépondreSupprimer21 octobre 2017 15 h 15 min·
Elle est certainement la prochaine tête de Turc de CNN : le média de gauche américain vient d’ouvrir la campagne contre Kathleen Hartnett White, nommée la semaine dernière par Donald Trump présidente du conseil de la Maison Blanche sur la qualité de l’environnement. Une mobilisation avec un objectif clair : la personne choisie pour ce poste doit obtenir la confirmation du Sénat. Et pour Mme Hartnett White, ce n’est pas encore fait. Il paraît clair que CNN cherche à décrédibiliser l’ancien chef de la commission du Texas sur la qualité de l’environnement. Son tort ? Elle a déclaré en 2016 que la croyance au « réchauffement global » relève d’« une sorte de paganisme » des « élites laïcistes ». Réchauffisme et paganisme : on n’a pas le droit de faire le lien !
Il faut croire que Kathleen Hartnett White, en disant cela lors d’une émission conservatrice en ligne, The Right Perspective (« la perspective juste » ou « vu de droite ») en septembre 2016 a véritablement brisé un tabou. Désormais haut responsable du think tank climatosceptique Texas Public Policy Foundation, elle osait alors évoquer le « côté obscur » du discours et des méthodes des tenants du changement climatique d’origine anthropique.
Le paganisme des environnementalistes dénoncé par Kathleen Hartnett White
Mme Hartnett White explique depuis longtemps que des exigences des réchauffistes – imposées à travers le GIEC, les COP successives, les Accords de Paris, les Objectifs du développement durable de l’ONU, ce n’est pas le fait de gens minoritaires et sans pouvoir – aurait pour effet de renvoyer les pays développés et notamment les Etats-Unis vers le XVIIIe siècle en portant atteinte à ce qui assure aujourd’hui la prospérité de nos sociétés : l’énergie.
Lors de son émission de septembre 2016, elle déclarait : « Il y a vraiment un côté obscur dans ce type de paganisme – c’est aujourd’hui la religion des élites laïcistes – que constitue évidemment le réchauffement climatique. »
Un paganisme associé avec le communisme. Dans la même émission, cette femme qui qualifie le gaz carbonique de « gaz de la vie » – il est indispensable à la croissance des végétaux et surtout bénéfique, comme le sait tout jardinier qui fait pousser des plantes en serre – citait abondamment Christiana Figueres, ancien secrétaire exécutif de la Convention cadre des Nations unies sur le changement climatique, dans ses déclarations favorables à la Chine.
Réchauffisme, paganisme, communisme, la nouvelle responsable de l’environnement à la Maison Blanche parle clair
Christiana Figueres, comme d’ailleurs de nombreux responsables d’institutions internationales, ne tarissait pas d’éloges alors à l’égard de la Chine communiste, affirmant que sur le plan de la lutte contre le réchauffement et la réduction de la pollution, la Chine « faisait exactement ce qu’il fallait », ajoutant que ce pays est en mesure de mettre en place des politiques rigoureuses en la matière grâce à son système politique. Dans le même entretien cité par Mme Hartnett White, Christiana Figueres déplorait les divisions du Congrès des Etats-Unis qu’elle jugeait « dommageables » pour la lutte contre le changement climatique.
RépondreSupprimerAutre citation : Mme Figueres a ouvertement prôné la modification délibérée du « modèle de développement économique qui a régné depuis au moins 150 ans, depuis la révolution industrielle ».
CNN n’a pas aimé la conclusion qu’en a tirée Kathleen Hartnett White, à savoir que les sectateurs du changement climatique ont l’intention de créer un « Etat mondial gouverné par des managers planétaires ». Il nous manque la totalité de l’émission de The Right Perspective dans laquelle la nouvelle responsable de l’environnement choisie par Donald Trump expliquait son point de vue. CNN fait tout pour présenter son jugement comme une extrapolation complotiste absurde. Mais le fait est là : la Chine communiste était aux yeux de Figueres le modèle à suivre, et ce type de déclarations, qu’elles émanent du FMI, de l’ONU ou de la Banque mondiale se sont multipliées depuis lors.
Car il s’agit bien de dire que seul un système communiste est capable de faire tout ce qu’il faut pour éviter le réchauffement climatique et les innombrables catastrophes futures qu’on lui attribue, et qu’il s’agit de changer la manière de faire du commerce dans le cadre de la croissance et de l’industrialisation.
Inutile de dire que cet article de CNN a déjà été très largement repris dans la presse économique, avec des trémolos d’horreur.
Anne Dolhein
http://reinformation.tv/paganisme-kathleen-hatrnett-white-rechauffisme-maison-blanche-environnement-dolhein-76130-2/
Le cadeau de dernière minute de Rudd aux énergies renouvelables - industrie Prolongation de 7 milliards de dollars jusqu'en 2030
RépondreSupprimerOctober 23rd, 2017
Toutes mes excuses aux lecteurs étrangers alors que nous critiquons la politique énergétique la plus stupide sur Terre. Cela prend vraiment le gâteau.
En 2010, Rudd a signé une prolongation des subventions aux générateurs d'énergies renouvelables qui s'appliqueraient de 2020 à 2030, longtemps après qu'il serait parti. En fait, cette décision prendra 300 dollars par Australien au cours de cette décennie - de l'ordre de 1 000 dollars par famille - et un don à l'industrie des énergies renouvelables. Naturellement, dans l'arène publique, une question aussi importante a été décidée avec des major, certains, aucune discussion du tout.
L'ABC a enquêté sur les subtilités de qui savait quoi et quand dans le couteau d'un premier mandat PM, mais des milliards de dollars - qui savait ?
Dennis Shanahan l'a soulevé aujourd'hui dans The Australian
L'extension de Rudd renouvelable a augmenté les factures d'électricité de 7,5 milliards de dollars
Les clients de l'électricité font face à un fardeau supplémentaire de 3,8 milliards à 7,5 milliards de dollars de subventions «inattendues» pour les producteurs d'énergie renouvelable au cours de la prochaine décennie à cause d'un coup de crayon dans les derniers mois du premier ministre Kevin Rudd.
Contre l'avis des consultants, des sociétés d'énergie et de l'Australian Conservation Foundation, le gouvernement Rudd a prolongé en 2010 la suppression progressive des subventions renouvelables pour les opérateurs existants de 2020 à 2030.
La prolongation de 10 ans au-delà de l'élimination de 2020 sous contrat sous le gouvernement Howard est estimée coûter aux ménages et aux entreprises jusqu'à 7,5 milliards de dollars supplémentaires.
Le programme de subvention avait été mis en place par Howard et, en 2003, le MRET (Mandatory Renewables Energy Target) devait être achevé en 2020. Le public australien n'a pas seulement eu l'occasion d'en dire long sur l'extension de ce don à dix autres années, mais aucun n'a apparemment fait le Parlement. En effet, peut-être même pas les ministres du gouvernement à l'époque:
Les anciens ministres du travail ne peuvent pas se rappeler des discussions du cabinet ou du débat parlementaire sur l'extension des subventions à la production d'énergie renouvelable existante jusqu'en 2030, considérée comme une partie mineure des changements massifs apportés à la politique des énergies renouvelables.
RépondreSupprimerIl y a eu un examen du Sénat, et apparemment tout le monde pensait que c'était une mauvaise idée - les conseillers, les grands géants du gaz, la grande industrie, même l'Australian Conservation Foundation (ACF) et Greenpeace. Ce cadeau était une aubaine pour les entreprises qui étaient déjà en cours d'exécution et qui avaient fait leurs investissements en fonction du plan et des conditions actuels:
«Les installations construites entre 1997 et 2007 ne devraient pouvoir bénéficier que d'incitations en vertu de la directive MRET existante», a déclaré l'ACF dans une lettre adressée à l'Autorité chargée des changements climatiques.
Rudd l'a fait quand même - être plus vert que Greenpeace. Quel héros, avec l'argent des autres.
Maintenant Turnbull est laissé avec cette boule-et-chaîne, la meilleure façon d'annuler certains des dommages est de construire une centrale nucléaire. Encore une fois, nous pourrions simplement prendre cet argent du budget ABC à la place. (Lequel ferait croître l'économie plus? Oh le dilemme!)
http://joannenova.com.au/2017/10/rudds-last-minute-gift-to-renewables-industry-7-billion-extension-til-2030/
La réglementation tue l’écologie
RépondreSupprimerpar Jean-Baptiste Boone,
le 19 octobre 2017
La norme, le règlement, les exigences de « qualité » minimale, tuent chaque jour les indépendants, petits commerces ou petits exploitants. Car ils n’ont pas les reins assez solides pour supporter les dépenses supplémentaires induites par ces tracasseries administratives. Combien de commerces, d’exploitations, d’écoles ou d’hôtels ferment parce qu’ils ne peuvent suivre l’inflation réglementaire ?
Non content d’asphyxier toute une partie des indépendants les plus modestes, voilà que l’Etat voudrait s’attaquer au reste de la population à travers son habitat. Le ministre de l’écologie, Nicolas Hulot, souhaite en effet, au nom de l’écologie bien sûr, de la sauvegarde de la planète et par respect pour Gaïa, appliquer des taxes sur les maisons dites « passoires thermiques ». Or il est certain que ce sont les bailleurs les moins fortunés qui vont en faire les frais tandis que les propriétaires plus aisés pourront s’exécuter. Les donations et ventes seraient aussi impactées. Tout ça pour un effet environnemental des plus incertains
Cette proposition découle de la pensée largement répandue que l’impôt peut servir à inciter les contribuables à agir dans un sens ou un autre. Lorsque l’on s’est rendu compte que l’impôt engendrait des effets particuliers influençant l’environnement économique, certains en ont conclu qu’il devait être réduit et simplifié au maximum ; d’autres, qu’il pourrait peut-être être manipulé de manière à orienter ces effets vers des buts louables, définis par eux-mêmes bien entendu. C’est ainsi qu’apparaît le rôle incitatif de l’impôt, complètement antilibéral. Autrement dit, l’impôt en plus de soustraire un bien à l’imposé, vient le forcer ou l’inciter poliment à servir la volonté du législateur.
C’est exactement le principe qui est appliqué ici, copié sur le modèle du bonus-malus automobile qui a remarquablement fonctionné.
Mais il néglige un fait économique premier : celui qui consomme beaucoup a déjà été « sanctionné » puisque ses factures d’électricité ou de chauffage, dans le cas qui nous occupe, étaient plus élevées. Or ces factures comportent déjà une part très importante de taxes, dont certaines au titre de l’écologie, comme la taxe carbone.
Deuxième « oubli », il est possible d’habiter dans une maison que monsieur Hulot considère comme non écolocompatible sans être un criminel au carbone. Tout dépend de la manière dont les ressources sont utilisées. La maison bien isolée et spacieuse d’un célibataire qui aimerait vivre dans une atmosphère chauffée à 25 degrés ne serait pas taxée, tandis que celle d’une famille qui économise pour chauffer à 18 degrés, si ! Pourtant, rapporté par tête, le deuxième cas est plus économe. Vous me direz, avoir une famille, ce n’est pas très écologique.
Qui plus est, cet impôt va peser largement sur les détenteurs de vieilles maisons campagnardes, assez peu réputées pour leurs fenêtres isolantes. L’on va ensuite pleurer sur ces « territoires » qui se vident et s’appauvrissent, ces propriétés qui dépérissent ; et l’on créera une aide pour leur rendre -mais un peu moins- ce que l’on a pris pour satisfaire ces lubies. De même, les ménages modestes vivant dans les lotissements construits au siècle dernier vont devoir s’accrocher.
Le dogme environnemental
RépondreSupprimerAnomalie suivante, courante chez ceux qui pensent le monde de manière statique : considérer les déperditions d’énergie de manière isolée. Croit-on vraiment que ceux qui ont des maisons mal isolées n’ont pas pensé à faire des travaux ? Peut-être ne le peuvent-ils pas ou peut-être n’est-ce pas rentable. Il y a ce que l’on voit et ce que l’on ne voit pas[1] : les pertes énergétiques, c’est ce que M. Hulot voit (si on accepte le présupposé que les taxes ne sont pas l’unique but recherché). La « pollution » inhérente à la fabrication et à la mise en place des solutions d’isolation, il semble ne pas la prendre en considération. Peut-être le propriétaire y a-t-il renoncé parce que le coût en était rédhibitoire et le retour sur investissement incertain – surtout s’il est âgé ? Or on peut directement rattacher ce coût à son « impact environnemental ». Un simple calcul actuariel permet de savoir si les gains éventuels vont compenser le coût des travaux, que ce soit en termes énergétique ou monétaire. Il en va de même pour les voitures que l’on prétend remplacer, voire éradiquer, en envoyant à la casse des engins pouvant encore rouler : économie ou gâchis ? Ou encore pour des éoliennes qui ne sortent pas de terre sans grande dépense d’énergie (fabrication, transport, installation, sans compter la maintenance) et sont censées compenser une production électrique déjà installée et qui plus est totalement décarbonnée ! Il y a une incohérence profonde dans la manière de percevoir l’écologie en France, qui tient plus à l’idéologie qu’à la raison.
Une belle nouvelle administration
Ensuite, n’oublions pas la nécessaire création de l’administration chargée d’homologuer les logements taxables ou non ! Combien d’agents pour se rendre chez vous afin d’homologuer votre maison, de vous administrer la sainte reconnaissance écologique ? Puis viendra « l’évolution » de ces normes qui déjà horribles deviendront kafkaïennes. Cette administration qui reçoit le pouvoir de s’immiscer dans nos vies, à tous les étages, aura sous sa coupe un pan nouveau de notre intimité. Mais qu’est-ce que nos vies face à la toute-puissance de la bonté du législateur qui, finalement, ne souhaite que notre bien à tous ?
Enfin tous… Presque tous car on sent bien dans ce plan que sont visés les propriétaires, riches forcément, donc coupables encore plus évidemment. Si des travaux n’ont pas été faits, c’est par radinerie. A tel point que les locataires sont victimes de leur cupidité : ils sont écrasés par la facture énergétique. Si bien que Nicolas Hulot propose de faire supporter celle-ci par le propriétaire à part égale. Quelle idée lumineuse ! Encore une fois, le raisonnement statique prévaut. Il est évident qu’une telle mesure va faire tout simplement augmenter le loyer à moyen terme, voire la consommation puisque le locataire perd la responsabilité de payer. Au pire, le propriétaire récalcitrant verra la donation ou la vente de son bien surtaxée. Une raison de plus de ne pas être propriétaire.
- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerLa taxe : alpha et oméga de la politique française
Source : Eurostat, retraitement IREF
Nous sommes finalement ici dans une situation bien française où toute action politique doit comporter sa taxe, quand toutefois la taxe n’est pas le seul objet de l’action.
Ce plan va introduire une double taxation : celle appelée « carbone » déjà en place en plus des nouvelles.
L’idéal serait sûrement de reconstruire entièrement le parc d’habitation en France, au travers d’un grand plan pensé intégralement par le haut, donc nécessairement mieux organisé. Cela permettrait une belle relance ! Et puis des blocs de béton gris, ça rend probablement certains nostalgiques.
https://fr.irefeurope.org/Publications/Articles/La-reglementation-tue-l-ecologie
A quand les double-vitrages sur les voitures et tous les vêtements munis de 'petits élastiques là' pour empêcher les fuites dites 'de chaleur' !?
SupprimerSoulèvement massif d'un demi-million de personnes contre le plan espagnol de dépassement de la Catalogne
RépondreSupprimerLes Catalans ont afflué dans les rues de Barcelone samedi après l'annonce par le Premier ministre espagnol de son intention de prendre le contrôle de leur région
Par Julia Conley
Rêves communs
23 octobre 2017
Des milliers de Catalans devaient protester samedi après-midi après que le Premier ministre espagnol Mariano Rajoy a annoncé qu'il prendrait le contrôle de la Catalogne en invoquant l'article 155 de la constitution espagnole, semaines après le référendum sur l'indépendance de la région.
Défiant la majorité des électeurs catalans qui ont approuvé la scission de l'Espagne lors du référendum sur l'indépendance de la Catalogne ce mois-ci, Rajoy a parlé lors d'une conférence de presse de son projet de transférer le pouvoir du président de la région, Carles Puigdemont. dans les six prochains mois.
40 % des 5,5 électeurs éligibles de Catalogne ont voté lors du référendum, malgré une démonstration de force de la part de la police espagnole qui a fait près de 900 blessés avant le vote du 1er octobre.
90 % de ceux qui ont voté ont approuvé l'indépendance, selon le gouvernement régional. Les responsables ont déclaré que, en plus de la violence policière, les forces de l'ordre espagnoles ont fait irruption dans les bureaux de vote, entraînant la perte de 770 000 bulletins de vote.
Après le vote, de grandes foules à Barcelone le week-end dernier ont appelé à des négociations pacifiques pour déterminer la prochaine étape, mais Rajoy a rejeté le dialogue au motif que le gouvernement espagnol considère le référendum en Catalogne comme illégal.
Les observateurs et les partisans du mouvement d'indépendance de la Catalogne ont dénoncé la prise de pouvoir prévue de Rajoy sur les médias sociaux.
https://www.lewrockwell.com/2017/10/no_author/half-a-million-march-in-massive-uprising-against-spanish-plan-to-overtake-catalonia/
Cela montre bien la différence entre la dictature qui se fout de la population et la Démocratie qui ne tient compte QUE de la population !
SupprimerMassacre de Las Vegas : les graves incohérences de la version officielle
RépondreSupprimerJoe Quinn
Sott.net
ven., 20 oct. 2017 14:40 UTC
Lundi 9 octobre, la police de Las Vegas a revu la date à laquelle Stephen Paddock s'est enregistré à la réception du Mandalay Bay - affirmant que c'était le 25 septembre, et non le 28, comme on l'avait cru auparavant. Le lendemain, Nicole Rapp, dont la mère a été piétinée par la foule au cours du massacre, a déclaré à l'Associated Press : « J'ai beaucoup de mal à comprendre comment ils ont pu ne découvrir ça qu'une semaine plus tard. Ils ne le savaient pas avant ? Comment c'est possible ? C'est traumatisant pour les victimes et leurs familles de ne pas vraiment savoir ce qui s'est passé. »
Contrairement à ce que nous répète le gouvernement, à savoir que mettre en doute mettre en doute la version officielle d'incidents impliquant de nombreuses victimes ferait « du tort aux familles », ce qui leur fait vraiment du tort, ce sont les comptes-rendus partiels invraisemblables qu'on nous présente comme la vérité. Au contraire, seule la vérité authentique - un récit cohérent, qui colle à la réalité - pourra rendre leur sérénité aux victimes de tels attentats.
L'apparente ignorance de la police et du FBI concernant la date à laquelle Paddock est arrivé au Mandalay Bay n'est qu'un exemple parmi les nombreuses autres incohérences autrement plus graves dont fourmille la version officielle des événements de la nuit du 1er octobre à Las Vegas. D'ailleurs, quiconque doté d'un détecteur de foutaises performant repérera aisément ces incohérences. Ci-dessous, j'énumère les plus flagrantes.
Paddock n'était pas un « loup solitaire »
De nombreux témoins oculaires ont rapporté avoir entendu des tirs au niveau du sol à proximité du festival « Route 91 Harvest ». De nombreuses vidéos semblent étayer ces témoignages : on y entend des bruits de tirs relativement lents, sourds et peu sonores, typiques d'une mitrailleuse militaire automatique à bande de munitions (comme le M240) tirant à une distance identifiable ; à une distance plus rapprochée et souvent en simultané, on entend également des tirs plus aigus et plus rapides ressemblant à des « craquements », et typiques d'une arme de calibre inférieur (comme un AR-15). La plupart des témoins oculaires affirment que ces tirs plus proches provenaient de la zone à l'est du concert, c'est-à-dire de la direction opposée aux tirs provenant du Mandalay Bay.
Les enregistrements des transmissions de la police indiquent clairement que les policiers du LVMPD (Las Vegas Metropolitan Police Department) étaient eux aussi convaincus de la présence d'au moins deux tireurs dans l'enceinte du Mandalay Bay, et qu'ils étaient occupés à répondre à de nombreux signalements de coups de feu dans plusieurs autres hôtels. Corroborant ces transmissions, de nombreux témoins oculaires rapportent (y compris via des séquences vidéo) avoir entendu des tirs et avoir assisté à des mouvements de panique générale dans plusieurs autres hôtels situés en amont du Las Vegas strip, certains à plus de 2,5 km du festival.
RépondreSupprimerCes témoignages ont été systématiquement ignorés ou rejetés par la police de Las Vegas, le FBI et les médias - selon toute apparence, parce qu'ils contredisent la version officielle d'un loup solitaire au Mandalay Bay.
Pour vous faire une idée (preuves à l'appui) de l'étendue de ces fusillades dans d'autres établissements et secteurs de Las Vegas, lisez l'excellent article de Niall Bradley, Las Vegas Terror Attack: Clear Evidence of Multiple Shooters at Multiple Hotels.
Le 27 septembre, quelqu'un a appelé le room service depuis la suite de Paddock, pour commander un plateau repas conséquent ; le reçu (publié par Tony Hernandez Armenta, serveur au Mandalay Bay) mentionne : « clients : 2 ».
- voir photo sur site -
Reçu de la commande passée depuis la chambre de Paddock.
L'enquêteur indépendant « Nick Falco » a séjourné au Mandalay Bay le 14 octobre et a commandé la même quantité de nourriture. Son reçu mentionne : « clients : 1 », ce qui suggère que le room service de l'hôtel est au courant du nombre de clients qu'il sert.
- voir photo sur site -
Reçu de la commande passée par Nick Falco.
Il semble évident que Paddock - ou un tiers - est arrivé dans cette chambre accompagné. Le LVMPD et le FBI semblent ignorer cette information.
Autre témoignage apparemment étouffé : de « nombreux responsables supérieurs des forces de l'ordre briefés sur l'enquête » ont déclaré à NBC News que les registres du garage du Mandalay Bay indiquent qu'à un certain moment, alors que la voiture de Paddock avait quitté le garage, l'une de ses cartes-clés avait été utilisée pour pénétrer dans sa chambre. »
Malgré le témoignage de ces responsables supérieurs, lorsqu'on l'a interrogé sur ce point, Kevin McMahill, shérif adjoint du LVMPD, a répondu : « Je ne suis pas au courant de cela. » Apparemment, de nombreux hauts responsables des forces de l'ordre sont, eux, au courant, mais cette information a été supprimée de la version officielle.
RépondreSupprimerLa chambre 135 du 32e étage du Mandalay Bay témoigne à elle seule de la présence de deux tireurs dans la suite. Deux fenêtres ont été brisées et utilisées comme positions de tir. Pourquoi un loup solitaire prendrait-il le temps et la peine de briser deux fenêtres (éloignées de 18 mètres) et de passer de l'une à l'autre pour tirer, alors que ces deux fenêtres offraient la même vue de la zone de concert ? Ça vous paraît plausible, qu'un tireur isolé dans cette chambre soit capable de tirer en alternance depuis ces deux fenêtres tout en gardant constamment l'œil sur les flux vidéos des caméras installées sur le chariot de room service à l'extérieur de la chambre, ainsi que sur le judas de la porte ?
Une chronologie vraiment très confuse
Dans la chronologie initiale donnée par Joseph Lombardo, shérif de Las Vegas et du comté de Clark, l'agent de sécurité Jesus Campos est arrivé au 32e étage vers 22h15, pour contrôler une « alarme de porte » dans le couloir, non loin de la chambre de Paddock. Toujours d'après Lombardo, au moment où Campos s'approchait de la porte de la chambre de Paddock, « plus de 200 balles ont été tirées à travers la porte », l'une d'elle blessant Campos à la jambe. Ensuite, les tirs ont cessé. Campos a été acclamé comme un héros parce qu'il avait « dérangé » le tireur, mettant alors fin à l'attentat contre les festivaliers, peut-être même sauvant de nombreuses vies. Peu après, 8 officiers de police sont arrivés au 32e étage, mais ce n'est que vers 23h20 - soit plus d'une heure plus tard - qu'une SWAT team (équipe d'intervention d'urgence) a pénétré dans la chambre de Paddock, un retard jugé « excessif » par les médias.
La première chronologie donnée par le shériff Lombardo.
Lors d'une conférence de presse ultérieure, le shérif Lombardo a abordé ce « retard excessif », déclarant qu'en réalité, il n'y avait pas eu de retard et qu'au 32e étage, les policiers étaient relativement détendus parce qu'après leur arrivée à 22h17 (deux policiers) et à 22h26 (8 policiers supplémentaires), ils n'avaient plus entendu aucun tir. Ils avaient alors commencé à faire évacuer les chambres longeant le couloir. Lors de cette conférence de presse, Lombardo a affirmé que, tandis que la première équipe de policiers faisait évacuer les chambres, une deuxième « équipe de choc » constituée de deux officiers de la brigade cynophile, d'un inspecteur et d'un membre d'une SWAT team « transportant de grosses valises remplies de matériel technique » est arrivée par l'escalier et s'est approchée de la chambre de Paddock à 22h55. Lorsque cette équipe a vu les caméras installées à l'extérieur de la chambre de Paddock, elle « s'est repliée et a attendu l'arrivée d'une SWAT team au complet » - toujours d'après Lombardo. Au cours de cette même conférence de presse, Lombardo a également déclaré : « Des membres de la SWAT team ont bien déchargé leurs armes au niveau de la chambre », or lorsque les quatre policiers ont été interviewés dans l'émission 60 minutes, ils n'ont pas mentionné avoir fait usage de leurs armes, et le présentateur de l'émission a clairement affirmé qu'à aucun moment, alors qu'ils se trouvaient à proximité de la chambre de Paddock, les policiers n'ont entendu le moindre coup de feu.
RépondreSupprimerDans la version finale des événements, cependant, aucune SWAT team au complet n'est jamais arrivée sur les lieux, et ce sont les quatre policiers qui ont fait sauter la porte et ont pénétré dans la chambre à 23h20. Rappelez-vous, on nous raconte qu'il n'y a eu aucune autre fusillade à Las Vegas cette nuit-là. Les seuls coups de feu tirés provenaient du 32e étage du Mandalay Bay, et ces tirs avaient cessé à 22h15. Une heure et cinq minutes après l'arrêt des tirs en provenance de la chambre de Paddock, aucune SWAT team au complet n'était disponible. Pourquoi donc ? Peut-être parce que toutes les SWAT teams de Las Vegas étaient occupées à gérer les nombreuses autres fusillades signalées dans plusieurs hôtels, comme je l'ai déjà exposé en détail ?
Quelques jours plus tard, la chronologie initiale a été modifiée. L'heure d'arrivée de Campos au 32e étage a été retardée de 16 minutes, passant désormais à 21h59, toujours pour les mêmes raisons : contrôler une porte d'alarme. Quant à l'heure d'arrivée des policiers au 32e étage, elle n'a pas changé : 22h17. Selon Lombardo (qui donne l'impression de lire un script du FBI), c'est à 21h59 que le tireur posté dans la chambre de Paddock a ouvert le feu, tandis que Campos traversait le couloir pour contrôler la porte d'alarme. Conséquence de cette modification de la chronologie : l'infortuné Campos avait perdu son statut de héros, mais plus important : on a commencé à s'interroger sur le laps de temps de six minutes entre le moment où Campos avait été blessé, et celui où le(s) tireur(s) posté(s) dans la chambre 135 (que Campos avait manifestement identifiée) avai(en)t commencé à tirer sur la foule du festival (22h05). Campos avait-il immédiatement informé l'équipe de sécurité de l'hôtel ? Cette dernière avait-elle immédiatement prévenu la police ? Si elle ne l'avait pas fait, l'hôtel risquait-il de se faire traîner en justice par les victimes ? Apparemment, oui. Le lendemain de la diffusion de cette nouvelle chronologie, MGM (propriétaire du Mandalay Bay et du lieu du festival) a publié un communiqué la contestant :
RépondreSupprimer« l'heure mentionnée, 21h59 (HNP), trouve sa source dans un compte-rendu du Mandalay Bay rédigé dans la foulée, alors que nous ne disposions pas des informations que nous possédons aujourd'hui. Nous sommes désormais convaincus que l'heure mentionnée dans ce compte-rendu est inexacte. Nous savons qu'au moment où Jesus Campos a signalé des coups de feu par radio (ou dans les 40 secondes qui ont suivi ce signalement initial), des tirs ont commencé à pleuvoir sur le festival. »
MGM a également déclaré que la police se trouvait dans l'enceinte du Mandalay Bay avec des agents de sécurité armés lorsque Campos a signalé des tirs par radio, et qu'ils s'étaient immédiatment rendus au 32e étage.
Cette déclaration soulève une question cruciale : puisque la chronologie de Lombardo situe l'arrivée des deux premiers policiers au 32e étage à 22h17, qu'est-ce qui explique ce laps de temps de 18 minutes ? Plus précisément, pourquoi ces doutes sur la chronologie des événements, alors que les caméras de surveillance de l'hôtel ont très certainement enregistré - estampille temporelle à l'appui - les déplacements de Campos et des policiers à l'intérieur de l'hôtel ?
Deux jours plus tard, Lombardo a donné une nouvelle conférence de presse, modifiant à nouveau la version des événements. Campos n'avait plus été blessé à 21h59 ; en fait, c'est l'heure à laquelle il était arrivé au 32e étage par l'escalier, sur le palier, au niveau de la première porte (il y en a deux) qui mène au couloir, juste en face de la chambre de Paddock. Découvrant que la première porte était bloquée pour une raison inconnue (à ce moment-là), Campos a redescendu l'escalier jusqu'au 31e étage, a traversé le couloir de cet étage jusqu'aux ascenseurs centraux, et est monté au 32e étage dans l'intention de contrôler la porte menant à l'escalier, côté couloir.
Bruits de marteau-piqueur
RépondreSupprimerCampos a traversé le couloir en direction des portes menant à l'escalier, ces dernières jouxtant les doubles portes de la suite de Paddock. Il a ouvert la première porte et a inspecté la seconde (qu'il n'avait pas réussi à ouvrir depuis l'autre côté, quelques minutes auparavant). Il a compris le problème : la porte avait été bloquée avec un support en métal. Alors qu'il se tenait sur le palier, dans l'espace entre les deux portes, Campos a appelé la maintenance de l'hôtel et l'a informée de la situation. Un ingénieur, Stephen Schuck, a été dépêché sur les lieux. Relatant les événements dans l'émission Ellen Show, Campos a affirmé que tandis qu'il se trouvait entre les deux portes de la cage d'escalier, il a entendu « comme des bruits de perceuse ».
Campos est ensuite revenu dans le couloir, faisant claquer la lourde porte de la cage d'escalier derrière lui. Alors qu'il retraversait le couloir en direction des ascenseurs, une pluie de balles a traversé la porte de la chambre de Paddock. Une balle a frappé Campos à la cuisse (sans doute un miracle, vu qu'une centaine de balles a sans doute traversé la porte, dans un couloir relativement étroit - les balles ont continué à pleuvoir après que Campos s'était mis à l'abri, ainsi que pendant/après l'arrivée de Schuck). Il s'est réfugié dans le recoin de la porte d'une autre chambre, et a immédiatement alerté l'équipe de sécurité de l'hôtel. Il était 22h05 - d'après la nouvelle chronologie.
Comme déjà mentionné, d'après MGM, au moment où Campos a donné l'alerte, ou dans les 40 secondes qui ont suivi, le(s) tireur(s) postés dans la chambre de Paddock a/ont commencé à tirer sur la foule du festival. Rappelez-vous, MGM a déclaré que des policiers se trouvaient dans l'établissement avec des agents de sécurité armés du Mandalay Bay lorsque Campos a donné l'alerte par radio, et qu'ils s'étaient immédiatement rendus au 32e étage. Or d'après le shérif Lombardo, les deux premiers policiers sont arrivés au 32e étage à 22h17. Quelle est la bonne version ? Si les policiers ont réagi immédiatement, comme l'affirme MGM, il est peu probable qu'ils aient mis 12 minutes pour arriver au 32e étage par l'ascenseur. S'ils n'ont pas réagi immédiatement, qu'est-ce qui explique cette absence de réaction ? D'après la chronologie publiée sur Intellihub, un policier se trouvait au 31e étage à 22h11, lorsqu'il a rapporté avoir entendu des tirs d'arme automatique à l'étage au-dessus. Ne devait-il pas déjà être au courant, si la sécurité de l'hôtel et la police travaillaient déjà de concert, et que Campos et Schuck avaient alerté la sécurité à 22h05 ?
Et quid de l'ingénieur Stephen Schuck ? D'après son témoignage dans l'émission Ellen Show, après avoir reçu l'appel concernant la porte d'escalier bloquée, il s'est rendu sur les lieux par l'ascenseur de service, qui se trouvait à quelques mètres de lui. Il déclare :
« J'étais à un étage supérieur, je suis arrivé par un autre couloir, par un ascenseur de service ; je suis sorti de l'ascenseur, et j'ai passé l'angle du couloir en direction du couloir 100. C'était calme à cette heure, les portes sont entrouvertes - environ 30 cm - et Jesus était au fond du couloir, mais je l'ignorais à ce moment-là, et j'ai cru voir quelqu'un sortir du recoin ; j'ai continué à traverser le couloir et, arrivé à mi-chemin ou un peu après, j'ai vu Jesus et j'ai entendu des coups de feu. À ce moment-là, je ne savais pas que c'étaient des coups de feu, j'ai cru que c'était un marteau-piqueur, et en tant qu'ingénieur, je me suis dit : on ne fait jamais de travaux ici à une heure pareille, on ne ferait jamais ça. Et je crois que c'était à l'extérieur, ce n'était pas encore dans le couloir ; à ce moment-là, Jesus s'est penché et a dit : « Cachez-vous ! Cachez-vous ! » ; c'était à quelques millisecondes près... s'il n'avait pas dit ça, j'aurais été touché. »
RépondreSupprimerRemarquez son allusion à un bruit de « marteau-piqueur », qui correspond à ce que Campos avait entendu quelques minutes plus tôt, lorsqu'il se trouvait entre les portes de la cage d'escalier. Mais ces quelques minutes sont cruciales. Campos a été touché à 22h05 ; dans les 40 secondes qui ont suivi, le(s) tireur(s) postés dans la chambre a/ont commencé à tirer sur la foule des festivaliers. Dans un scénario réaliste, combien de minutes auraient pu s'écouler entre le moment où Campos a été touché et celui où Schuck est arrivé depuis un étage supérieur et a traversé le couloir en direction de la chambre de Paddock, avant d'être lui aussi visé par des tirs ? Deux minutes ? Trois ? Quatre ? Une minute au minimum ? Même si ce n'était qu'une minute, cela n'en suggère pas moins que, dans la chambre de Paddock, quelqu'un était en train de tirer simultanément sur la foule et sur Schuck à travers la porte.
Stephen Schuck et Jesus Campos dans l'émission Ellen show
La modification de l'heure à laquelle Campos s'est fait tirer dessus (d'abord 21h59, ensuite 22h05) arrange autant la direction de MGM que le LVMPD, car elle met fin aux remarques selon lesquelles la police (qui se trouvait dans l'hôtel au moment où Campos a été touché) aurait pu arriver sur les lieux avant le début de la fusillade (22h05). Reste à savoir pourquoi les policiers et les agents de sécurité qui se trouvaient dans l'hôtel à ce moment-là ne sont pas arrivés au 32e étage avant 22h17.
Lors d'une interview dans l'émission 60 Minutes, l'un des quatre policiers qui ont fait sauter la porte de la chambre de Paddock à 23h20 a déclaré avoir vu « plusieurs perceuses, des forets, et toutes sortes d'outils dans la chambre. » Cela recoupe les témoignages de Campos et de Schuck selon lesquels ils ont entendu des bruits de perceuse ou de marteau-piqueur juste avant de se faire tirer dessus. Au cours d'une conférence de presse, un journaliste a demandé au shérif Lombardo si, dans la chambre, il y avait des preuves indiquant que le tireur avait l'intention de s'en sortir vivant et qu'il avait prévu de s'échapper. Le shérif a répondu par l'affirmative mais a refusé d'en dire davantage. Plus tard, Lombardo a confirmé les déclarations de Campos, de Schuck et des policiers qui sont entrés dans la chambre en premier : il y avait bien des perceuses dans la chambre de Paddock. En outre, il a spontanément déclaré que le mur jouxtant la porte principale de la chambre avait été percé., mais que cette opération « n'avait pas été menée à son terme » (on peut se demander ce qu'il entend par là). Vu que des caméras étaient déjà installées sur le judas et sur un chariot de room service dans le couloir, et que la porte de la cage d'escalier était bloquée, le(s) tireur(s) avai(en)t couvert tous les angles de vue. Par conséquent, il semble peu probable que leur but ait été d'installer une autre caméra, comme l'a pourtant suggéré Lombardo. Il est plus probable qu'ils aient voulu percer le mur pour s'échapper, ce qui leur aurait permis de s'enfuir par l'escalier sans passer par la porte de la suite.
RépondreSupprimerQui a tué Stephen Paddock ?
Après la cessation des tirs à 22h15, Campos se trouvait toujours dans le recoin de la porte de l'une des chambres situées à proximité de la suite de Paddock. Officiellement, les policiers sont arrivés à 22h17 et sont restés dans le couloir jusqu'à l'explosion de la porte à 23h20. À aucun moment durant ce laps de temps, ceux qui se trouvaient dans le couloir n'ont entendu le moindre coup de feu - pas un seul. Cela met à mal l'allégation selon laquelle Stephen Paddock se serait suicidé par balle. La seule explication que le LVMPD a daigné fournir, par la voix du shérif Lombardo, c'est que Paddock a dû choisir le moment exact où la SWAT team improvisée a fait sauter la porte (23h20) pour se suicider - l'explosion couvrant alors le coup de feu. Une coïncidence extraordinaire : après avoir arrêté de tirer, Paddock serait resté assis dans sa chambre pendant plus d'une heure, et aurait choisi à son insu le moment exact où la porte allait exploser pour se tirer une balle. Mais on nous somme de croire cette version, parce que l'alternative, c'est que Stephen Paddock a été abattu par un tiers et que, par conséquent, il y avait plus d'un tireur dans la chambre...
https://fr.sott.net/article/31288-Massacre-de-Las-Vegas-les-graves-incoherences-de-la-version-officielle
Rappelez-vous: "Dans les cendres fumantes de WTC a été retrouvé le passeport de Mohammed Atta" !!
SupprimerAu pied d'une tour a été trouvé un réacteur d'avion dont le modèle n'appartenait pas à l'un des modèles d'avions présentés en hologramme ce jour-là !!
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Stephen Paddock aurait laissé une feuille de papier sur laquelle il avait calculé manuellement et intellectuellement la trajectoire de balles suivant diverses distances alors qu'il aurait pu s'acheter un laser pour connaître au centimètre près la distance entre le concert et la fenêtre de sa suite et un ordinateur pour en décrire xx paramètres supportables.
Ce 'papier laissé là' n'est pas anodin. Il justifierait la graphologie du tireur et donc de son intention de tirer et de son tir. Plutôt bizarre.
Les cryptocurrences sont-elles inflationnistes ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
23 octobre 2017 13:32
Auteur de John Rubino via DollarCollapse.com,
Il y a un débat qui fait rage sur ce que sont, exactement, bitcoin et le millier d'autres cryptocurrences. Certains poids lourds sont en train de peser avec des opinions fortes, sinon toujours cohérentes:
Jamie Dimon appelle Bitcoin une «fraude»
Le PDG de JPMorgan Chase, Jamie Dimon, n'a pas mâché ses mots lorsqu'il a été interrogé sur la popularité du bitcoin de la monnaie virtuelle.
Dimon a déclaré lors d'une conférence d'investissement que la monnaie numérique était une "fraude" et que son entreprise congédierait quiconque dans la banque qui l'a échangé "en une seconde." Dimon a déclaré qu'il soutenait la technologie blockchain pour suivre les paiements, les règles de la banque. Il a ajouté que Bitcoin était "stupide" et "beaucoup trop dangereux".
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Peter Schiff: Même à 4 000 $ bitcoin est toujours une bulle
Peter Schiff, l'un des investisseurs les plus connus, est en train de défendre son argument en termes encore plus forts, expliquant pourquoi le bitcoin s'est de plus en plus avancé sur le territoire des bulles.
Schiff, qui a prédit la crise des prêts hypothécaires en 2008, a fait référence au bitcoin comme l'or du fou numérique et a comparé la crypto-monnaie à la bulle infâme de Beanie Babies.
De plus, la récente montée en puissance de Bitcoin n'a pas adouci le point de vue de Schiff: au contraire, cela renforçait son sentiment de catastrophe imminente.
Schiff a dit à CoinDesk:
"Il y a certainement beaucoup d'optimisme à propos du bitcoin et de la crypto-monnaie, et c'est le cas des bulles en général. La psychologie des bulles l'alimente. Vous devenez simplement plus convaincu que ça va marcher. Et plus le prix est élevé, plus vous devenez convaincu que vous avez raison. Mais ça ne va pas parce que ça va marcher. Ça monte à cause de la spéculation. "
"Ce que ça revient, c'est que Bitcoin n'est pas de l'argent."
"Les fans de crypto à l'esprit libertaire ont vu que c'était une façon de libérer les gens du gouvernement", a-t-il dit, en concluant:
RépondreSupprimer"Je pense que cela aura l'effet inverse. Les gens vont perdre de l'argent. Cela pourrait vraiment se retourner contre eux, en donnant une mauvaise réputation aux idéaux libertaires en faisant en sorte que le fiat soit beau. L'inconvénient peut être vraiment spectaculaire. "
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James Altucher, gestionnaire de fonds spéculatifs: les cryptomonnaies pourraient rapporter 200 billions de dollars par jour
Je n'exagère pas quand je dis que les cryptocurrencies sont la plus grande innovation depuis Internet. Nous sommes au rez-de-chaussée d'une énorme tendance qui va changer le monde.
Cryptocurrencies sont des devises sans gouvernement au milieu. Pas de banque au milieu. Il n'y a pas d'organisations au milieu qui surveillent tous vos paiements ou qui profitent de vos dépenses pour envahir votre vie privée, et ainsi de suite.
Cryptocurrencies résoudre des billions de dollars de problèmes, ce qui explique pourquoi ils vontudront des billions de dollars un jour.
Considérez le potentiel:
Il y a actuellement 200 billions de dollars en espèces, en argent et en métaux précieux utilisés comme monnaie dans le monde. Pendant ce temps, il n'y a que 200 milliards de dollars en crypto-monnaies. Les cryptocurrences finissent par remplacer les devises traditionnelles.
Donc, 200 milliards de dollars finiront par augmenter au niveau des devises. Et probablement plus tôt que nous ne pouvons l'imaginer.
Demandez-vous, pourquoi le monde a besoin de plusieurs devises? Il n'y a vraiment aucune raison réelle. La seule raison pour laquelle nous avons un dollar américain et un dollar canadien, c'est qu'en 1770, les Canadiens ont décidé de ne pas adhérer aux États-Unis. Une frontière artificielle a donc créé deux devises. Tout est dicté par des frontières artificielles.
Dans le passé, une once d'or serait acceptée presque partout dans le monde. En ce sens, les monnaies fiduciaires modernes sans contrepartie sont un pas en arrière.
Mais dans le monde de la cryptomonnaie, il y a ce que j'appelle «Utiliser les frontières». Chaque monnaie est définie par son utilisation. Par exemple, Ethereum est comme Bitcoin mais cela facilite les "contrats intelligents". Le droit des contrats est une industrie de plusieurs milliards de dollars donc cela a un énorme cas d'utilisation. Filecoin facilite le stockage. C'est une industrie de 100 milliards de dollars. Et sur.
L'étude des cas «d'utilisation» et l'efficacité de la pièce pour résoudre ces cas d'utilisation peuvent nous aider à prendre des décisions d'investissement avec confiance.
RépondreSupprimerC'est la grande promesse de cryptocurrencies et pourquoi ils vont changer le monde. C'est juste commencé.
N'essayez pas de donner un sens à ce qui précède. Au lieu de cela, supposons simplement que l'univers crypto-monnaie va continuer à se développer pendant un moment et réduire la discussion à une seule question: les crypto-monnaies sont-elles inflationnistes ? Autrement dit, leur diffusion entraînera-t-elle des prix plus élevés ou plus bas pour la personne moyenne et une instabilité financière plus ou moins grande pour les marchés, et qu'est-ce que cela signifie pour les monnaies fiduciaires actuelles ?
Une opinion commune est que cryptocurrencies ne peut pas être inflationniste parce que leurs propriétaires doivent payer pour eux dans les monnaies fiduciaires. Un bitcoin acheté équivaut donc à un dollar, un yen ou un euro vendu, l'effet net sur les prix étant nul.
Cela a un sens intuitif à première vue, mais ne vaut que pour le moment de l'achat. Considérez ce qui s'est passé après que quelqu'un, disons, a échangé des dollars pour des bitcoins en 2014. Les dollars ont tenu la plupart de leur valeur, ce qui signifie que le montant total du pouvoir d'achat du dollar dans le monde est resté constant. Mais ces bitcoins ont augmenté de plusieurs milliers de pour cent, augmentant considérablement le pouvoir d'achat - et donc l'impact inflationniste potentiel - du complexe bitcoin.
Un exemple réel du monde est Julian Assange:
Julian Assange déclare que Wikileaks a réalisé un rendement de 50 000% sur Bitcoin. Voici ce que cela signifie
Wikileaks a vu un retour incroyable sur les investissements dans bitcoin, dit le fondateur Julian Assange, et il "remercie" le gouvernement américain pour avoir forcé l'organisation controversée à entrer dans bitcoin en premier lieu.
Dans un Tweet du samedi, Assange a déclaré que l'investissement du groupe dans la crypto-monnaie a généré un rendement supérieur à 50 000% depuis 2010. Wikileaks a commencé à investir dans bitcoin à l'époque parce que les processeurs de paiement mondiaux comme Visa, Mastercard et Paypal étaient sous pression. bloquer la capacité du groupe à accepter les paiements.
En fait, Bitcoin a enregistré un rendement de plus de 9 millions de dollars sur les dates auxquelles Assange fait référence. À certaines périodes en 2010, le bitcoin se négocie pour seulement quelques centimes. Selon coindesk.com, une unité de bitcoin vaut maintenant un montant record d'environ 5 700 $. Quiconque achetait du bitcoin pendant la majeure partie de 2011 et 2012, alors qu'une unité se négociait parfois à moins de 1 $ et se situait souvent en dessous de 10 $, obtiendrait en effet un retour sur investissement supérieur à 50 000%, en supposant qu'ils ne se vendaient jamais.
RépondreSupprimerLa différence entre le pouvoir d'achat de Wikileak pré et post-bitcoin est immense. Si Assange décide de dépenser son aubaine en biens et services, il aura, à la marge, un impact inflationniste sur les affaires qu'il achètera.
Ainsi, la réponse à la question de l'impact des cryptocurrencies sur les niveaux de prix dépend de la façon dont leurs valeurs changent. Si elles augmentent après que les gens les achètent, elles sont inflationnistes. Si elles augmentent beaucoup, elles sont potentiellement très inflationnistes.
En ce sens, il pourrait être utile de considérer les cryptocurrencies comme des actifs comme des maisons ou des actions plutôt que comme de l'argent. Quand ils augmentent par rapport à des monnaies fiduciaires, ils augmentent le pouvoir d'achat de leurs propriétaires, génèrent un «effet de richesse» dans lequel les propriétaires se sentent plus riches et plus à l'aise avec les ficelles, ce qui fait grimper les prix. Basé sur le tableau suivant, beaucoup d'adopteurs précoces se sentent beaucoup plus riches ces jours-ci.
- voir graphique sur site -
Ce qui mène ensuite à ce qui pourrait être le thème majeur de la crypto-monnaie de l'année à venir: Pourquoi les gouvernements permettraient-ils à une telle supernova inflationniste d'exploser juste devant eux alors qu'ils ont vraisemblablement le pouvoir de l'arrêter? Voici une réponse possible - et bien sûr dérangeante:
Est-ce que les cryptocurrences détruiront l'argent ? Fedcoin pourrait le faire
L'économiste Ed Yardeni de Yardeni Research pose la question évidente: pourquoi les banques centrales - qui dérivent leur pouvoir comme les gardiens centralisés de la création de monnaie fiduciaire, vérifient la compensation et le traitement des paiements - embrassent un mouvement dont la motivation première est d'usurper ce pouvoir dans un contexte décentralisé, façon ?
Selon le président de la Réserve fédérale de St. Louis, James Bullard, une partie de cela est la reconnaissance que la technologie a atteint une masse critique. Ainsi, les fondements de la politique bancaire et monétaire - intermédiation, transferts de fonds, transactions - changent rapidement, à l'instar de la création de titres adossés à des créances hypothécaires et de swaps sur défaillance -2000s.
RépondreSupprimerIl y a un autre but plus intéressé: les banques centrales pourraient utiliser leurs propres cryptos pour mettre la pression sur la monnaie de papier. Pourquoi? Faciliter l'utilisation de la politique de taux d'intérêt négatif, qui a été déployée en Europe et au Japon ces dernières années sous forme semi-cuite. Actuellement, en Suisse, les taux d'intérêt à court terme sont de -0,75%.
Quand une autre récession frappe, surtout si l'on vient bientôt, une plongée vers des taux d'intérêt négatifs encore plus profonds serait entravée par la thésaurisation des liquidités puisque les banques factureraient les dépôts (plutôt que d'absorber le coût des taux négatifs eux-mêmes à présent). Ceci est connu par l'économie cognoscenti comme la «limite inférieure zéro» en ce sens que les taux d'intérêt ne peuvent pas être très inférieurs au négatif avant que les fonctions traditionnelles de dépôts, de prêts et de création de monnaie fractionnée ne s'effondrent. La farce de matelas s'ensuit en masse.
La Fed y pense clairement. Lors d'un témoignage devant le Congrès l'an dernier, la présidente de la Fed, Janet Yellen, a admis que les décideurs "s'attendaient à moins de réductions des taux d'intérêt que par le passé", ajoutant qu'elle n'excluait pas complètement l'utilisation de taux d'intérêt négatifs.
Dans sa dernière revue trimestrielle, la BRI, la banque centrale des banques centrales, a avancé qu'une crypto adossée à la Fed «pourrait réduire la contrainte de la politique monétaire à zéro». Toute distinction entre les dollars réguliers et ce nouveau «Fedcoin» pourrait être supprimé en établissant une évaluation un-à-un fixe. Toute concurrence de la sorte de bitcoin pourrait être écrasée par la réglementation; Ce n'est pas sans rappeler comment la propriété privée de l'or a été interdite dans les années 1930 quand elle menaçait la capacité de la Fed à assouplir les conditions de crédit.
Au risque d'être répétitif, à peu près tout ce qui précède semble bon pour l'or et idéal pour l'argent.
http://www.zerohedge.com/news/2017-10-23/are-cryptocurrencies-inflationary
Le Japon émet une alarme sur une menace "sans précédent, critique et imminente" de la Corée du Nord
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
23 octobre 2017 13:10
Après la victoire écrasante du Premier ministre Abe aux élections du dimanche au Japon, qui a laissé sa coalition au pouvoir avec une majorité qualifiée lui permettant de changer la constitution japonaise, Abe n'a pas perdu de temps pour réitérer son objectif de révision du pacifisme japonais d'après-guerre. Constitution, cependant, comme l'a rapporté Reuters plus tôt, Abe «aurait besoin de convaincre un public divisé pour réussir." Les partis favorables à la modification de la charte rédigée aux États-Unis ont remporté près de 80 % des sièges à la chambre basse de dimanche, laissant le petit nouveau Parti démocratique constitutionnel du Japon (CDPJ) opposer les changements proposés par Abe. Pourtant, Abe a affirmé qu'il voulait faire participer d'autres partis, y compris le nouveau Parti conservateur de l'espoir du gouverneur de Tokyo Yuriko Koike, et n'insistait pas sur une cible de changement de la constitution d'ici 2020 qu'il a lancée cette année.
Pourtant, en dépit de la vision apaisante d'Abe, juste un jour après les élections, le Japon préparait déjà le terrain pour la création de l'homme de paille qui serait nécessaire pour obtenir le soutien du public largement derrière l'entreprise militante d'Abe.
En conséquence, le ministre japonais de la Défense a déclaré lundi que les capacités nucléaires et de missiles balistiques de la Corée du Nord avaient atteint un niveau "sans précédent, critique et imminent", exigeant "des réponses différentes" à la menace.
Le ministre, Itsunori Odonera, cité par AP, a déclaré que cette menace grandissante contraint son pays à soutenir l'opinion américaine selon laquelle "toutes les options" doivent être considérées, ce que le président Donald Trump dit inclut une éventuelle action militaire. Et puisque ce pivot nécessiterait une révision de la constitution, la prochaine étape est déjà en cours.
Les commentaires d'Odonera sont survenus au début d'une réunion trilatérale aux Philippines (où le week-end dernier, la Russie livrait des armes au régime Duterte, avec le secrétaire américain à la Défense Jim Mattis et le ministre sud-coréen de la Défense, Song Young -meuglement. Chacun a fait des déclarations sur la Corée du Nord devant un groupe de reporters et de caméras de télévision, mais aucun n'a répondu aux questions d'AP.
Mattis était aux Philippines pour participer à une réunion de deux jours des ministres de la Défense de l'Association des nations de l'Asie du Sud-Est. Il a profité de l'occasion pour organiser une réunion à trois avec ses homologues du Japon et de la Corée du Sud. Il est prévu plus tard dans la semaine de se rendre à Séoul pour assister à des discussions consultatives annuelles avec le gouvernement sud-coréen, qui devrait se concentrer principalement sur la Corée du Nord.
Odonera a déclaré que le plus récent essai nucléaire souterrain de la Corée du Nord aurait pu être une bombe à hydrogène, qui est beaucoup plus puissante qu'une bombe atomique.
RépondreSupprimer"Le pays a résolument amélioré ses capacités nucléaires et de missiles", a déclaré M. Onodera. Il a ajouté: "La menace posée par la Corée du Nord a atteint un niveau sans précédent, critique et imminent".
"Par conséquent, nous devons prendre des réponses calibrées et différentes pour répondre à ce niveau de menace", a-t-il dit, sans préciser quelles réponses "différentes" le Japon préfère.
Trump a déclaré qu'il résoudrait seul le problème de la Corée du Nord si nécessaire, afin d'empêcher le Nord d'acquérir la capacité d'attaquer les Etats-Unis avec un missile à l'arme nucléaire.
Comme d'habitude, Mattis, qui n'a pas de programme de révision de la constitution, était beaucoup plus réservé dans ses remarques qu'Onodera, bien qu'il ait critiqué Pyongyang pour avoir défié les résolutions du Conseil de sécurité contre ses programmes de missiles nucléaires et balistiques. Mais le secrétaire américain à la Défense n'a mentionné aucune action militaire potentielle. Mattis a plutôt mis l'accent sur une position unifiée entre les États-Unis, le Japon et la Corée du Sud en faisant pression sur le Nord pour qu'il abandonne son programme nucléaire.
"Les provocations de la Corée du Nord menacent la sécurité régionale et mondiale", a-t-il dit.
Dans le même temps, le ministre sud-coréen de la Défense, Song, a déclaré que le comportement de la Corée du Nord devenait de plus en pire. Dans de brèves remarques aux journalistes, lundi matin, Song a été interrogé sur le risque de guerre contre la Corée du Nord.
"Je tiens à souligner que la guerre n'est pas aussi facile que le font les journalistes dans la presse et les médias", a-t-il déclaré. "En tant que ministres de la défense chargés de la défense nationale et d'autres armes de haute technologie telles que les missiles balistiques, nous comprenons le poids même de la guerre et nous ferons tous les efforts nécessaires pour résoudre le problème dans un cadre diplomatique et économique. manière que possible. "
Il a ajouté: "Cependant, si nous sommes attaqués, nous devrons prendre des mesures fermes."
Le plus important, cependant, est que cela fait un mois que la Corée du Nord s'est engagée dans des actions provocatrices, et contrairement aux attentes qu'elle lancerait un missile balistique au début et à la mi-octobre, Pyongyang a - jusqu'à présent - at Trump - gardé un profil bas. Le fait de considérer qu'il est maintenant dans l'intérêt du Japon d'avoir un voisin provocateur qui va verdir les changements constitutionnels souhaités changera probablement dans un proche avenir.
RépondreSupprimerhttp://www.zerohedge.com/news/2017-10-23/japan-sounds-alarm-unprecedented-critical-and-imminent”-threat-north-korea
SupprimerIl y a presque 1286 km de Pyongyang à Tokyo et 9567 jusqu'à Los Angeles. Si les pays visés n'ont 'pas le temps de répliquer avec leur DCA, autant qu'ils ferment leur gueule d'avoir les armes 'sophistiquées' dernier cri ! Hahahaha !
Que dire alors de la Chine ou de la Russie...!
Le nombre d’Ukrainiens soutenant le Président Porochenko s’approche de zéro
RépondreSupprimer19:12 23.10.2017
Une très large majorité des Ukrainiens ne soutiennent pas le Président Piotr Porochenko, annonce le centre des études sociales Sofia. Ainsi seulement 1,6% des personnes interrogées approuvent pleinement la politique présidentielle, selon le sondage.
«Pas un ultimatum», mais «un conseil»: Saakachvili invite Porochenko à prendre congé
Une majorité écrasante des Ukrainiens n'approuvent pas les actions du Président du pays Piotr Porochenko, selon un sondage réalisé par le centre ukrainien des études sociales Sofia.
Selon les sondeurs, 79 % des Ukrainiens n'approuvent pas à divers degrés la présidence de Porochenko. En septembre, ce chiffre était de 74,6 %.
Cela étant, seulement 1,6 % des personnes interrogées approuvent pleinement les actions du chef d'État.
Le sondage a été mené en Ukraine du 5 au 13 octobre.
Qui, selon les radicaux ukrainiens, deviendra «la force motrice d'un nouveau Maïdan»?
En plein baisse de popularité du Président, l'opposition manifeste devant le parlement à Kiev.
La semaine dernière, quelques milliers de personnes soutenant l'ancien Président géorgien et ex-gouverneur de la région ukrainienne d'Odessa, Mikhaïl Saakachvili, se sont rassemblées devant la Rada suprême (parlement ukrainien) en exigeant d'annuler l'immunité parlementaire, de modifier la législation électorale et de créer un tribunal anti-corruption. Selon M.Saakachvili, si les revendications de l'opposition ne sont pas entendues, les manifestants insisteraient pour obtenir la destitution du Président Porochenko.
Au début d'octobre, une pétition pour déposer une motion de censure et demander la destitution du Président ukrainien Piotr Porochenko, publiée sur le site du Conseil municipal de Kiev, a franchi la barre des 5.000 signatures nécessaires pour la remettre aux autorités.
Une pétition pour destituer Porochenko suffisamment soutenue pour être soumise aux députés
Fin juin, le Conseil régional de Kiev a adressé à la Rada une demande de légitimation de la procédure de destitution du Président. Selon les députés régionaux, la destitution serait la seule façon d'invoquer la responsabilité constitutionnelle des chefs d'État dans le cas où leurs actions à ce poste relèveraient du pénal.
La Constitution de l'Ukraine prévoit la possibilité de destituer le Président, mais la loi fixant la procédure exacte n'a jamais été votée en 25 ans d'indépendance du pays.
https://fr.sputniknews.com/international/201710231033577348-president-Porochenko-Ukraine-sondage/
Supprimer(...) Le nombre d’Ukrainiens soutenant le Président Porochenko s’approche de zéro (...)
C'est le chiffre qui l'a élu au pouvoir dans ce pays qui se veut russe.
Pauvres villes et économies plus pauvres
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
23 octobre 2017 17:41
Rédigé par Carmen Elena Dorobat via The Mises Institute,
La nouvelle couverture de The Economist déplore la situation des villes des pays développés qui sont laissées pour compte en termes de développement économique par l'économie numérisée et mondialisée. L'un d'entre eux est celui de Scranton, en Pennsylvanie, où, depuis 2007, le gouvernement local a dépensé plus de 6 milliards de dollars en subventions aux entreprises dans le but d'encourager le réaménagement et de renforcer les infrastructures locales. Ces lieux et leurs travailleurs désengagés et mécontents alimentent également la montée de la rhétorique anti-mondialisation qui a propulsé plusieurs nouveaux visages dans l'arène politique aux États-Unis, en France et en Grande-Bretagne, et a produit des résultats électoraux inattendus.
The Economist suggère trois nouvelles voies pour relancer ces villes économiquement à la traîne, qui impliquent toutes des politiques gouvernementales lourdes: (1) répandre le savoir-faire pour mieux aider les entreprises locales, (2) aider les collèges à former les entreprises locales à maîtriser les nouvelles technologies, et (3) utiliser des incitations fiscales et des subventions pour encourager l'investissement local.
Mais la prémisse sur laquelle ces suggestions reposent est entièrement erronée: ce n'est pas la mondialisation qui a maintenu ces villes derrière, mais les politiques gouvernementales.
La mondialisation a en effet supprimé des industries prospères de ces régions et les a relocalisées dans des régions plus performantes. Ces changements sont inévitables dans l'économie: l'avantage comparatif change à mesure que les préférences des consommateurs changent, rapidement et de manière significative; des régions entières peuvent voir le capital et le travail passer d'une industrie locale en plein essor à d'autres domaines, d'autres industries, ou même à l'étranger. C'est une loi inévitable de l'économie et de la nature du marché.
Mais il existe une autre loi inhérente au marché et au réseau de spécialisation qui unit les communautés économiques: aucune personne ou région ne se retrouve sans avantage comparatif. La spécialisation est bénéfique parce que et seulement si les ressources sont allouées en fonction de la productivité relative, et le libre échange est autorisé en conséquence.
Ainsi, d'autres industries sont assurées de prospérer là où régnait l'exploitation du charbon, si seulement le marché était autorisé à réaffecter des ressources aux processus de production les plus efficaces et les plus productifs. Les périodes de transition peuvent être difficiles et le mouvement du capital et du travail coûte cher, à la fois financièrement et personnellement. Mais si le changement est vers une production plus efficace, tout le monde s'en portera mieux: les prix auront tendance à baisser et les salaires réels à augmenter.
Cependant, rien de tout cela ne peut se produire si les gouvernements détournent ces ressources vers des subventions aux entreprises, restreignent le libre-échange et promeuvent leur propre «mondialisation dirigée»; si les politiques monétaires détruisent les moyens et les incitations à épargner pour de futurs investissements; ou si les nouvelles politiques gouvernementales gaspillent ces ressources en diffusant du savoir-faire ou en interférant encore plus dans l'éducation. Certes, les allégements fiscaux sont toujours les bienvenus, mais s'ils visent uniquement les industries moribondes, et que les nouvelles industries susceptibles de relancer ces régions à la traîne sont plus lourdement taxées, le réaménagement risque de ne jamais prendre racine. Les politiques gouvernementales, même si elles sont bien intentionnées, ne peuvent jamais s'inverser, mais retardent seulement un changement déjà difficile et inévitable.
RépondreSupprimerLa «boîte» anti-mondialisation contient donc deux types d'arguments différents: l'un contre les changements économiques en général, qui est entièrement futile, et l'autre contre les transitions économiques difficiles, qui sont souvent provoquées et prolongées par les dépenses gouvernementales et règlements. Tant que les deux arguments survivront, la rhétorique altermondialiste et les opportunités de capitaliser dans la sphère politique le seront aussi.
C'est une économie pauvre qui maintient ces régions pauvres. Et il n'est pas dans l'intérêt de la politique de promouvoir de bonnes idées économiques. Seul le marché peut rendre les économies et l'économie plus riches.
http://www.zerohedge.com/news/2017-10-23/poor-cities-and-poorer-economics
Les conséquences inattendues de la paupérisation des Américains
RépondreSupprimerle 24 octobre 2017
Dans une grande ville comme San Diego (Californie du Sud) les autorités sanitaires et les personnels hospitaliers sont débordés par une épidémie d’hépatite A survenue au sein de la communauté de sans-logis. Quatre-cent-quatre-vingt-dix cas ont été répertoriés entre juillet et fin septembre 2017 nécessitant 342 hospitalisations et 17 personnes sont mortes. Ce genre d’information serait classé dans les faits divers dans n’importe quel pays mais aux USA, le pays le plus puissant et le plus riche du monde, dans l’Etat le plus emblématique de ce pays ça fait vraiment désordre. Nul ne sait combien de misérables sans logis vivent dans la ville de San Diego. Si vous connaissez cet endroit dites-vous bien que quand vous n’avez pas un centime de dollar pour manger le climat toujours au beau-fixe ou presque n’atténue pas la misère de tous les jours. En raison de cette illusion un cinquième des sans-logis américains vivent en Californie, soit 115738 pour tout l’Etat. Ce sont naturellement les statistiques officielles qu’il faut prendre avec des pincettes comme toutes les statistiques de ce pays.
Les sans-logis dans des villages de tentes installés sur des terrain du comté, donc publics, vivent littéralement avec les rats, ils se libèrent de leurs besoins vitaux dans des bidons de 25 litres car il n’y a pas de toilettes publiques. Dans ces amas de taudis de toile ces laissés-pour-compte de la high tech côtoient des chiens errants, le sol est jonché de seringues et de détritus variés, de bouteilles de plastique qui ont été utilisées pour uriner, de garnitures périodiques, d’animaux morts, bref un véritable cloaque favorable à l’apparition de n’importe quel type d’épidémie.
Le gouverneur de Californie a décrété l’état d’urgence sanitaire – il faut bien protéger les populations qui ont encore quelques dollars pour payer les traites hypothécaires de leur logement – et la ville de San Diego a commencé à javelliser les rues de la ville et pas seulement les villages de tentes fleurissant dans les lieux publics. Dans les comtés de Los Angeles et de Santa Cruz, la même situation est apparue quelques mois après le début de l’épidémie du comté de San Diego pour les mêmes raisons. Voilà où en est l’Amérique, la face cachée du rêve américain, de l’exemple mondial de la démocratie et du bien-être.
Il est opportun d’ajouter que les médias américains ne sont pas allés promener leurs caméras dans ces camps du désespoir. Ils préfèrent consacrer leurs unes au « russiagate » ou aux extravagances à connotation sexuelle d’Hollywood qui ont toujours existé ou encore aux supposées utilisations de gaz létaux par l’armée syrienne qui viennent d’être reconnues comme de fausses informations. Et on veut croire encore que les USA sont le pays de tous les espoirs, du grand n’importe quoi !
Source : ZeroHedge
https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/10/24/les-consequences-inattendues-de-la-pauperisation-des-americains/
Avec 1.000 dollars d’annonces en ligne, n’importe qui peut vous suivre vos mouvements
RépondreSupprimerArnaud Lefebvre
23 octobre 2017
Avec un budget d’environ 1.000 dollars, n’importe qui peut acheter des annonces en ligne et tracer les applications qu’une personne utilise, où elle dépense son argent mais également où elle se trouve, indique une nouvelle recherche.
Actuellement, il est possible d’avoir recours à la publicité mobile pour savoir où vous allez prendre votre café, écrit Quartz. Un cambrioleur peut très bien créer une société factice afin d’envoyer des publicités sur votre smartphone pour savoir lorsque vous quittez votre domicile. De la même manière, un employeur est en mesure de savoir si vous utilisez des applications d’achats en ligne durant votre temps de travail, explique Quartz.
Cartographier votre comportement
Les chercheurs ont établi une cartographie du trajet quotidien d’une personne et ont suivi ces mouvements via la diffusion d’annonces géolocalisées. Ils ont pu ainsi déterminer les endroits où se trouvait la personne : chez elle, dans un café, à un arrêt de bus ou encore au bureau. Pour réussir cette opération, la cible doit rester au même endroit pendant environ quatre minutes.
« Toute personne, un agent des renseignements ou un conjoint jaloux, peut facilement souscrire aux services d’une société importante d’annonces en ligne et avec un petit budget, utiliser ces écosystèmes pour tracer le comportement d’une autre personne », explique Paul Vines, doctorant de l’École d’informatique et d’ingénierie de l’Université de Washington.
« Ce que nous avons fait est si facile à faire que nous pensons qu’il s’agit d’un problème auquel l’industrie de la publicité en ligne devrait s’attaquer . »
Les chercheurs ont encore découvert qu’une personne qui achètent des publicités en ligne peut également voir quand une autre visite un lieu sensible prédéterminé comme un endroit pour un rendez-vous d’affaire, le bureau d’une entreprise ou encore un hôpital. Il a également possible de déterminer le trajet d’une personne durant une matinée en se servant des annonces en ligne géolocalisées sur son téléphone.
L’achat et la diffusion d’annonces en ligne permet également de voir le type d’applications utilisées par la personne, ce qui pourrait aboutir à la divulgation de ses intérêts, de ses rencontres, de son obédience religieuse, de ses conditions de santé, de ses tendances politiques et d’autres informations sensibles ou privées.
Enfin, il n’est pas nécessaire que la cible clique sur l’annonce, l’acheteur peut voir simplement où l’annonce est diffusée et utiliser cette information pour suivre la personne dans l’espace. Durant leurs expériences, les scientifiques ont pu déterminer l’emplacement de la cible avec huit mètres de précision.
https://fr.express.live/2017/10/23/1-000-dollars-dannonces-ligne-nimporte-suivre-vos-mouvements/
SupprimerSauf si cette personne perd/oubli (ou n'a jamais eu) son téléphone et/ou son voleur se fait pister !
MÉTÉO LA SUISSE DANS LE FROID ET SOUS LA NEIGE PAR ENDROITS
RépondreSupprimer23.10.2017, 11h29
Plusieurs cols ont été fermés lundi, en raison des chutes de neige de la nuit. A 2000 mètres, il est tombé jusqu'à 20 centimètres d'or blanc.
La Suisse s'est réveillée lundi dans la fraîcheur et en partie sous la neige. Il est tombé localement jusqu'à 50 centimètres d'or blanc, notamment dans les Alpes bernoises et les Préalpes du Chablais et du Bas-Valais, indique MétéoSuisse. De nombreux cols sont fermés.
L'office fédéral de météorologie a mesuré lundi des cumuls de nouvelle neige jusqu'à 50 cm localement, à l'image de la région de Gstaad (BE), lit-on sur son site. C'est au nord des Alpes que les précipitations ont été les plus abondantes. Le vent de nord-ouest a créé un effet de barrage, explique MétéoSuisse.
C'est dans l'est de la Suisse que la limite de la neige était la plus basse lundi: certains endroits à moins de 1000 mètres ont été saupoudrés, selon MeteoNews. A environ 1500 mètres, on mesurait déjà entre 10 et 15 centimètres de neige au petit matin. Une couche qui atteignait jusqu'à 20 centimètres à 2000 mètres. Il devrait en tomber 20 de plus d'ici mardi matin.
Pneus d'hiver
Pour le passage de cols et la conduite en montagne, les pneus d'hiver sont conseillés, avertit MeteoNews. Plusieurs cols alpins comme celui du Saint-Gothard, du Susten et de la Furka, du Nufenen, du Klausen, Grimsel et du Marchairuz étaient fermés à la circulation lundi.
La route d'autres cols, dont ceux du Julier, de l'Oberalp et du Grand Saint-Bernard, est enneigée, signale le TCS. Le col du Simplon est bloqué aux poids lourds avec remorques en raison des chutes de neige.
Cet air froid et humide est amené par un courant du nord-ouest. Une dépression centrée sur l'Irlande entraîne une masse d'air polaire sur l'Europe, expliquait MétéoSuisse dimanche sur son site. Le temps devrait par la suite redevenir plus sec et doux.
Tessin épargné
RépondreSupprimerSeul le Tessin, qui affiche des températures jusqu'à 20 degrés, est épargné par cette dépression. Sous l'influence de l'anticyclone venant de la Méditerranée, le canton n'a pas vu de pluie depuis quatre semaines.
Résultat, la concentration de particules a grimpé et l'administration tessinoise a émis des recommandations jeudi: baisser le chauffage au maximum, privilégier les transports publics ou le vélo. Les véhicules diesel en particulier doivent rouler le moins possible.
Lundi, l'office de l'environnement du canton a levé certaines mesures: dès midi, les poids lourds peuvent à nouveau circuler à plus de 80 km/h sur l'A2 entre le pont Diga di Melide et Chiasso. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/suisse-froid-neige-endroits/story/17602091
Supprimerhttps://www.ventusky.com/?p=31.4;-68.8;3&l=temperature&m=icon