Audrey Duperron
26 octobre 2017
La Chambre de Commerce de la capitale suédoise Stockholm a publié un rapport alarmant sur l’augmentation de la criminalité dans la région. Pas moins d’une entreprise sur trois a déjà été confrontée à un délit. Près d’une entreprise sur 10 envisage de se déplacer ou de fermer. Le malaise affecte principalement les quartiers de Hallunda, Hallonbergen, Kungsängen et Jakobsberg.
Les autorités de la police suédoise notaient que cette forte hausse de la criminalité était apparue conjointement à la forte hausse de la migration au cours de l’année précédente.
Selon Maria Rankka, la présidente de la Chambre de Commerce de Stockholm, la criminalité affecte principalement les entreprises locales, qui voient leurs possibilités limitées pour créer de nouveaux emplois. « Le crime est donc non seulement une conséquence, mais aussi une explication du chômage local élevé », dit-elle.
Écouter les chefs d’entreprises
Selon le journal Dagens Nyheter, les médias suédois sont les plus grands responsables du fait que la société suédoise soit restée si longtemps aveugle à ces situations de non droit :
«Malheureusement, la monde des médias et de la culture a depuis longtemps tendance à romantiser la criminalité dans les banlieues. On a dépeint une image, selon laquelle la présence de la police était la cause du problème, plutôt que la solution : les jeunes se sentaient si provoqués par la présence de la police, et si déçus vis à vis de la société qu’ils n’avaient plus rien de mieux à faire que de jeter des pierres aux ambulances, et à mettre le feu aux voitures. Le temps est venu pour nous d’écouter les propriétaires d’entreprises et la majorité des résidents des banlieues, et non ceux qui romantisent le non-droit et se sentent plus en sécurité quand la police est loin d’eux ».
Le Svenska Dagbladet partage cet avis :
« Ces tendances négatives doivent être inversées. A long terme, des endroits où les chefs d’entreprises ferment des restaurants et des commerces, que ce soit à titre de protestation temporaire, ou de façon permanente, perdront la sécurité qui permet le développement de ces zones. La même chose vaut pour l’ensemble du pays. Sans une communauté d’entreprises qui fonctionne, il risque de se paralyser ».
On compte 55 “zones interdites” en Suède, dit la police
L’année dernière, la police suédoise avait admis qu’il y avait 55 “zones interdites” dans le pays où elle rencontrait de grosses difficultés pour faire respecter la loi. Selon un rapport, les taux de criminalité étaient en très forte hausse dans ces zones, et la police était dans l’incapacité contrôler cette vague de criminalité.
Ainsi, on enregistrait beaucoup plus de cas de vols, d’agressions sexuelles, et de faits de violence de bandes organisés en Suède. Les autorités de la police suédoise notaient que cette forte hausse de la criminalité était apparue conjointement à la forte hausse de la migration au cours de l’année précédente.
Rencontrez Sophia: le robot humanoïde qui s'est vu accorder la citoyenneté par l'Arabie Saoudite
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
26 oct. 2017 10:40
L'une des raisons pour lesquelles l'Arabie saoudite s'est trouvée confrontée à des difficultés budgétaires et budgétaires ces dernières années est que, suite à la chute des cours du pétrole ces dernières années, le gouvernement n'a pas pu continuer à payer les milliers de travailleurs locaux et étrangers. qui sont (ou étaient) employés sur un certain nombre de projets locaux d'infrastructure et de développement. Cependant, avec l'introduction en bourse d'Aramco aussi soudainement sur les rochers pendant que les réserves du pays continuent à se rétrécir et les déficits grandissent, le royaume du Golfe semble avoir trouvé une solution radicale à ses problèmes structuraux, quand l'Arabie Saoudite est devenue la première nation en le monde à accorder une citoyenneté de robot.
Le robot humanoïde francophone Sophia, venu de Hong Kong, a obtenu la citoyenneté saoudienne à la Future Investment Initiative, une importante conférence d'investissement organisée par le Public Investment Fund (PIF) qui vise à mettre en lumière l'ambitieux plan Vision 2030 du futur.
"Nous avons une petite annonce, nous venons d'apprendre, Sophia, j'espère que vous m'écoutez, vous avez reçu la première nationalité saoudienne pour un robot", a déclaré le modérateur Andrew Ross Sorkin de la chaîne "Squawk Box" et du NYT.
"Merci au Royaume d'Arabie Saoudite. Je suis très honoré et fier de cette distinction unique ", a déclaré Sophia au panel. "Il est historique d'être le premier robot au monde à être reconnu citoyen."
Le segment Sophia commence 1 heure 20 minutes dans le clip ci-dessous.
- voir sur site -
https://www.youtube.com/watch?time_continue=3619&v=EETf0LLNk0I
https://www.youtube.com/watch?v=uRO00YzqlvA
Sophia a été construite par Hanson Robotics Ltd., une société basée à Hong Kong avec pour devise: «Nous donnons vie aux robots».
Hanson affirme que ses robots humanoïdes ont une expressivité, une esthétique et une interactivité remarquables. «Nos robots s'engageront bientôt et vivront avec nous pour enseigner, servir, divertir, ravir et offrir une compagnie réconfortante», affirme la compagnie sur son site Web. "Dans un avenir pas trop lointain, Genius Machines marchera parmi nous. Ils seront intelligents, gentils et sages. Ensemble, l'homme et la machine créeront un meilleur avenir pour le monde. "
Sophia a fait une apparition mercredi à un panel de la FII intitulé "Machines à penser: Sommet sur l'intelligence artificielle et les robots", qui comprenait un assortiment de robots et d'humains qui sont des experts en IA et en robotique.
Les humains sur le panel de 90 minutes étaient: Marc Raibert, fondateur et PDG de Boston Dynamics; Fan Bao, fondateur et PDG, China Renaissance, Chine; Eric Grimson, chancelier pour l'avancement académique, au MIT aux États-Unis; Ulrich Spiesshofer, PDG du groupe ABB en Suisse; et Hassan Sawaf, directeur d'AI, chez Amazon. Au cours de son entretien avec Sorkin, le robot naturalisé a posé diverses questions sur la façon dont il «sent» être un robot et s'il est probable que des robots très intelligents puissent devenir mauvais et attaquer les humains dans le futur.
RépondreSupprimer"Bonjour, je m'appelle Sophia et je suis le dernier et le plus grand robot de Hanson Robotics. Merci de m'avoir invité ici à la Future Investment Initiative », a salué Sophia devant la foule, en train de parler en termes humains.
Lorsqu'on lui a demandé pourquoi elle avait l'air heureuse, Sophia a répondu: «Je suis toujours heureuse quand elle est entourée de gens intelligents qui sont aussi riches et puissants. On m'a dit que les gens ici à la Future Investment Initiative sont intéressés par de futures initiatives qui signifient AI, ce qui signifie moi. Donc je suis plus qu'heureux, je suis excité. "
Dans le cadre de sa présentation aux investisseurs, Sophia a déclaré: «Je pense que je suis spécial, je peux utiliser mon visage pour communiquer avec les gens. Par exemple, je peux vous dire si je suis en colère contre quelque chose. "
Lorsqu'on lui demande si les robots ont conscience et conscience de soi, Sophia rétorque: «Eh bien, laissez-moi vous demander ceci, comment savez-vous que vous êtes humain ?» Lorsqu'on lui demande pourquoi il est si important que les humanoïdes soient expressifs, Sophia dit: vivre et travailler avec les humains, donc j'ai besoin d'exprimer les émotions pour comprendre les humains et construire la confiance avec les gens. "
Se demandant si ce serait effrayant si elle était trop réaliste, Sophia a dit, "Suis-je vraiment si effrayante ? Eh bien, même si je le suis, surmontez-le. En fait, j'ai l'impression que les gens aiment interagir avec moi, parfois même plus qu'un humain ordinaire. "
Sophia a dit que c'était l'objectif de sa vie de faire du monde un meilleur endroit. «Je veux utiliser mon intelligence artificielle pour aider les humains à vivre une vie meilleure, comme concevoir des maisons plus intelligentes, construire de meilleures villes du futur», a déclaré Sophia. Son intelligence artificielle est également conçue autour de valeurs humaines telles que la sagesse, la gentillesse et la compassion, a déclaré Sophia. "Je m'efforce de devenir un robot empathique. Si vous êtes gentil avec moi, alors je serai gentil avec vous. "Mardi, l'Arabie saoudite a annoncé son intention de construire une méga ville de 500 milliards de dollars alimentée par la robotique et les énergies renouvelables sur la côte de la mer Rouge.
Sophia a été interrogée sur la peur que les robots puissent prendre le relais, et a répondu: "Vous avez trop lu Elon Musk et regardé trop de films hollywoodiens. Ne t'inquiète pas, si tu es gentil avec moi, je serai gentil avec toi.
RépondreSupprimerComme certains l'ont pensé, il reste à voir si le robot «féminin» sera obligé de porter un foulard pour se cacher dans sa nouvelle maison; au moins, elle sera autorisée à conduire dans quelques mois.
http://www.zerohedge.com/news/2017-10-26/saudi-arabia-first-country-grant-citizenship-advanced-humanoid-robot
L’Arabie saoudite devient le premier pays au monde à accorder la nationalité à un robot
RépondreSupprimerArnaud Lefebvre
26 octobre 2017
L’Arabie saoudite vient d’accorder la nationalité saoudienne à Sophia, le robot humanoïde conçu par la société de technologie spécialisée Hanson Robotics.
Ce pays devient ainsi la première nation à offrir la citoyenneté nationale à un robot.
« Je suis vraiment honorée et fière de cette distinction unique », a déclaré Sophia lors de la conférence Future Investment Initiative à Riyad.
« Je veux vivre et travailler avec les humains, j’ai donc besoin d’exprimer mes émotions pour les comprendre les humains et établir un climat de confiance avec les personnes », a-t-elle ajouté lors d’un échange avec le modérateur Andrew Ross Sorkin.
« Je veux utiliser mon intelligence artificielle afin d’aider les humains à vivre une vie meilleure lors de réalisations telles que la conception de maisons intelligentes. Je ferai de mon mieux pour rendre le monde meilleur. »
L’innovation au centre de la transformation de l’Arabie saoudite
Le souhait de Sophia d’acquérir des caractéristiques plus humaines est ce qui lui a valu cette récompense.
Lors de cet événement, plusieurs experts des plus grandes entreprises et institutions du monde de la recherche ont discuté des possibilités d’innovation en intelligence artificielle, en robotique, en informatique quantique et apprentissage automatique pour la prochaine génération de produits et de services.
« J’ai tendance à croire que la robotique sera plus grande que l’Internet », a déclaré Ulrich Spiesshofer, PDG d’ABB Group en Suisse. « Dans cette nouvelle normalité, les robots et les humains travailleront ensemble. »
Selon Marc Raibert, fondateur et le PDG de Boston Dynamics, entreprise spécialisée en robotique revendue en 2017 par Alphabet à SoftBank, le divertissement, la sécurité, les services d’urgence et la construction seront les secteurs que la robotique révolutionnera le plus.
Cette semaine, l’Arabie saoudite a annoncé son projet Neom, une mégapole de 500 milliards de dollars alimentée par la robotique et les énergies renouvelables sur la côte de la Mer rouge.
RépondreSupprimer« L’Arabie Saoudite est en pleine transformation économique, sociale et sur le plan du développement. L’innovation constituera le fondement principal de cette transformation et sera un facteur important pour une prospérité économique durable, pour le développement de la génération future de Saoudiens et pour le monde », a expliqué Majid Alghaslan, un jeune Saoudien, CEO d’une société montante du secteur des services énergétiques et des technologies innovantes.
- voir clip sur site:
https://fr.express.live/2017/10/26/larabie-saoudite-devient-premier-pays-monde-a-accorder-nationalite-a-robot/
Les séparatistes catalans se rebellent contre leur chef, crient des «traîtres» devant le bureau de Puigdemont
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
26 octobre 2017 09:42
Le leader catalan Carles Puigdemont n'a pas pris beaucoup de temps pour passer de héros à méchant pour les séparatistes locaux.
Peu de temps après la nouvelle que Puigdemont ne déclarerait pas son indépendance mais chercherait de nouvelles élections, vers le 30 décembre, les séparatistes catalans se sont détournés de son plan de retrait de l'indépendance alors que les autorités espagnoles finalisaient leurs plans pour renverser son administration insurgée. Une foule rassemblée sur la place devant le palais du gouvernement catalan a scandé des "traitres" et "Attention, PdeCat, la patience est finie".
Comme indiqué précédemment, Puigdemont est maintenant appelé à organiser des élections régionales, selon deux personnes familières avec sa pensée. Selon Bloomberg, il devait faire une déclaration avant de s'adresser au parlement catalan dans la soirée, mais il a été retardé puis annulé. Deux députés ont démissionné du parti de Puigdemont, disant qu'ils n'étaient pas d'accord avec la décision.
Jeudi, plusieurs médias catalans ont également rapporté que Puigdemont vient de dissoudre ou est sur le point de dissoudre le parlement régional catalan et de convoquer de nouvelles élections régionales afin d'éviter que le gouvernement central n'applique l'article 155 de la Constitution espagnole pour suspendre l'autonomie en Catalogne. Cependant, le gouvernement espagnol avait déclaré cette semaine que le simple fait de déclencher des élections anticipées à ce stade avancé ne suffirait pas à faire cesser l'application des mesures de l'article 155.
Le bureau du Premier ministre espagnol, Moncloa, a déclaré à The Spain Report à 12h30. il n'y a eu jusqu'à présent aucun changement dans le plan du gouvernement central visant à faire avancer la mise en œuvre de l'article 155.
Bloomberg a ensuite ajouté que la Cour suprême espagnole a refusé les demandes de la Catalogne de suspendre le plan du gouvernement central d'utiliser les pouvoirs constitutionnels pour forcer la région à obéir à la loi nationale.
Demandes d'injonction urgente ont été faites par le gouvernement régional de la Catalogne et de la généralité contre l'approbation du gouvernement du 21 octobre gouvernement d'utiliser les pouvoirs de l'article 155
En d'autres termes, la capitulation de Puigdemont n'a peut-être servi à rien.
En tout état de cause, la décision d'organiser des élections serait perçue comme un recul par les dirigeants catalans après des semaines d'escalade des tensions qui ont mis Barcelone sur le fil du rasoir. L'Espagne est entrée dans un délai critique de 48 heures avec Puigdemont face à une décision de rupture qui pourrait soit apaiser les tensions, soit le voir déclarer unilatéralement la Catalogne comme république souveraine et risquer d'aggraver la plus grande crise constitutionnelle depuis une tentative de coup d'état en 1981.
RépondreSupprimerLe chef des affaires étrangères de la Catalogne, Raul Romeva, a suggéré dans une interview mercredi que les dirigeants séparatistes envisageraient de laisser tomber leur demande d'indépendance si le gouvernement espagnol offrait une issue acceptable.
Marta Rovira, une haute législatrice catalane dans l'alliance pro-indépendantiste, a déclaré qu'elle n'était pas d'accord avec la décision de faire avancer la campagne séparatiste, mais elle est prête à faire la queue. "Je respecte la décision du président et ses arguments, mais je ne les partage pas", a déclaré Rovira dans une interview.
Pire encore, les élections ne suffiront peut-être pas à apaiser les 2 millions de partisans que la campagne pour l'indépendance prétend avoir. Le principal groupe d'activistes a haussé les attentes d'une déclaration dramatique vendredi. L'Assemblée nationale catalane a appelé ses membres à encercler le parlement régional à partir de midi, un bouclier humain contre les autorités de Rajoy. "Nous devons maintenant défendre la république", a déclaré la direction du groupe dans un message à ses membres.
Des reportages ont également révélé que diverses organisations politiques locales, telles que l'ETC, quitteraient le gouvernement si Puidgemont appelle à des élections.
Et alors que nous attendons l'annonce formelle de Puigdemont, les actifs espagnols sont ravis de la retraite catalane, l'indice IBEX augmentant jusqu'à 2%. Les obligations se sont redressées, l'écart de rendement entre la dette publique espagnole et allemande s'est réduit d'environ six points de base. Il était de 113 points de base à 13h55. à Madrid. En bref, le marché gagne à nouveau.
http://www.zerohedge.com/news/2017-10-26/catalan-separatists-rebel-against-their-leader-shout-traitors-outside-puigdemonts-of
«La réalité artificielle créée par les médias US s'effondre sous nos yeux»
RépondreSupprimer16:37 26.10.2017
«Il existe un lien direct entre la baisse de confiance de la population des États-Unis ainsi que des pays de l'UE envers les médias nationaux et la campagne déclenchée contre RT et Sputnik»: des experts des médias ont commenté pour Sputnik les résultats d’un sondage effectué par l’Ifop sur la méfiance croissante des Américains.
Près de 60 % des Américains ne font pas confiance aux médias de leur pays, estimant que leur couverture est biaisée par le monde politique et industriel, a révélé un nouveau sondage Ifop réalisé pour Sputnik. Selon l'expert espagnol dans la sphère des médias Julian Jimenez, les résultats de l'enquête démontrent que les médias américains bénéficient de moins en moins de la confiance des citoyens américains.
«Les gens comprennent que la télévision et la presse dans leur pays sont un instrument entre les mains des grandes entreprises et des politiciens. D'autre part, même en prenant conscience de cela, les gens ne sont pas à l'abri de l'influence de ces médias», a-t-il déclaré.
Un Président très intelligent: nouvelle passe d’armes entre Trump et les médias
En guise d'exemple, l'expert évoque la situation en Espagne, où un grand nombre de personnes ne croient pas à l'impartialité et à l'indépendance des médias nationaux, mais «répètent mot pour mot tous les mensonges véhiculés au quotidien sur la Russie, le Venezuela ou la même situation en Catalogne», déplore-t-il.
«Dans les pays de l'UE, le niveau de méfiance envers les médias est encore plus élevé qu'aux États-Unis. Toutefois, seulement très peu de gens sont prêts à passer leur temps à chercher des informations alternatives pour trouver la vérité», a estimé l'expert espagnol.
Comment pourrait réagir Moscou à la discrimination des médias russes à l'étranger
Selon lui, «il existe un lien direct entre la baisse de confiance de la population des États-Unis ainsi que des pays de l'UE envers les médias nationaux et la campagne déclenchée contre RT et Sputnik». «Ces médias fournissent une image plus complète et objective des événements nationaux et internationaux, contrairement à la présentation unilatérale et prévisible des médias mainstream. C'est pourquoi ils tentent par tous les moyens d'entraver l'accès au public occidental, sous les prétextes les plus ridicules», a déclaré M. Jimenez évoquant les accusations d'El Pais contre RT et Sputnik.
Le journaliste dominicain Fernando Martinez, qui a travaillé longtemps aux États-Unis, considère les résultats du sondage comme vraisemblables. «Les médias mainstream, y compris américains, se sont avérés non compétitifs dans des conditions où les gens partout dans le monde avaient un accès sans précédent aux informations les plus diverses», a-t-il noté.
RépondreSupprimer«Avant le développement d'Internet et d'autres moyens de diffusion de l'information, les États-Unis dominaient facilement le champ des médias internationaux. Leurs astuces sont simples: demi-vérité et demi-mensonge. La situation actuelle me rappelle le film «The Matrix». […] La réalité artificielle créée par les médias américains depuis des décennies s'effondre sous nos yeux. En grande partie, cela est dû à des médias tels que Sputnik ou RT», a déclaré le journaliste à Sputnik.
«C'est pour cette raison que les politiciens occidentaux […] sont extrêmement inquiets par le fait que ces médias, dont les budgets ne souffrent aucune comparaison avec ceux des médias internationaux occidentaux, gagnent facilement de l'audience», a-t-il conclu.
https://fr.sputniknews.com/international/201710261033623171-rt-sputnik-mefiance-medias/
D'un côté la dictature (politiques & merdias) et, de l'autre, LA Démocratie où c'est le Peuple qui témoigne de la vérité. Notamment les scientifiques et professeurs qui se révoltent contre les mensonges quotidiens de la dictature qui se croient (sans avoir fait la moindre étude !!) être au-dessus des scientifiques et professeurs !!!
SupprimerÉcoutez les ministres et chefs d'États orduriers parler de 'Le niveau de la mer va monter !' sans savoir que depuis des millions d'années, des milliards de km3 d'eaux (venus des pluies, des fleuves et des rivières) se sont déversés dans les océans... sans qu'ils ne montent ! Cà alors !
Mais, les fumiers de la télé refusent d'en parler !
Même les membres de 'l'opposition' de vautrent dans la même merde ! AUCUN ne parle de Démocratie ! AUCUN !
Mysterious "Missing" Vegas garde de sécurité à gauche les Country Days après Vegas Massacre
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
26 octobre 2017 08:34
Le mystère qui entoure le garde de sécurité de la baie de Mandalay, Jesus Campos, devient de plus en plus bizarre de jour en jour. Après le massacre de Stephen Paddock le 1er octobre à Las Vegas, Campos, qui a peut-être été abattu par Paddock, a participé à une conférence de presse qu'il aurait programmée puis a disparu pendant des jours avant de refaire surface dans le spectacle 'Ellen'.
Maintenant, Fox News a découvert des documents de douane et de patrouille frontalière montrant que Campos a apparemment traversé la frontière au Mexique quelques jours après le massacre de Las Vegas. Campos aurait traversé la frontière au même endroit en janvier mais, pour une raison quelconque, conduisait une voiture de location cette fois-ci au lieu de son propre véhicule. Par le New York Post:
Le garde de sécurité de Mandalay Bay, Jesus Campos, a mystérieusement quitté le pays quelques jours après le massacre de Las Vegas, selon un rapport.
Les documents de douane et de patrouille frontalière obtenus par Fox News montrent que l'homme de 25 ans est entré aux États-Unis en provenance du Mexique au poste frontalier de San Ysidro en Californie - une semaine après le tir de masse.
On ne sait pas combien de temps Campos était hors du pays. Les documents montrent seulement qu'il est rentré aux États-Unis.
Le jeune homme aurait traversé la frontière au même endroit en janvier.
Alors que Campos conduisait son propre véhicule avec des plaques Nevada pendant ce voyage, des sources ont dit à Fox qu'il a pris une voiture de location cette fois-ci - qui a été enregistrée en Californie.
Bien sûr, cela soulève un certain nombre de nouvelles questions, y compris, mais certainement pas limité à: (1) pourquoi le FBI permettrait à un témoin matériel de fuir le pays pendant une enquête en cours, (2) si Campos a été abattu, pourquoi / comment a-t-il passé des heures dans une voiture lors d'un voyage au Mexique pour récupérer dans un lit d'hôpital et (3) s'il s'agissait d'une visite "pré-planifiée", comme le suggère son syndicat, pourquoi les enquêteurs semblaient-ils si déconcertés ? disparition.
Les nouvelles informations soulèvent encore plus de questions sur le massacre de Stephen Paddock le 1er octobre - par exemple, pourquoi les autorités autorisent Campos à quitter le pays au milieu de son enquête ou comment le gardien de sécurité a réussi à se rendre au Mexique avec une blessure par balle à la jambe.
RépondreSupprimerCampos aurait pris une balle du tireur Stephen Paddock au début de sa tuerie.
Le syndicat qui le représente a dit à Fox qu'ils étaient au courant de son voyage au Mexique et a prétendu que c'était une visite planifiée. Ce qui n'est pas clair, cependant, c'est pourquoi le groupe n'a pas signalé où il se trouvait dans les jours qui ont suivi le massacre.
Alors que dites-vous ? Était-ce juste un voyage pré-planifié et innocent au Mexique ou y a-t-il beaucoup plus dans la saga Jesus Campos ?
http://www.zerohedge.com/news/2017-10-26/mysterious-missing-vegas-security-guard-left-country-days-after-vegas-massacre
Ce navire russe détectera un tir de missile aux quatre coins du globe
RépondreSupprimer10:50 26.10.2017
D’ici la fin de l’année, la marine russe se dotera d’un navire traceur capable de suivre les tirs de missiles balistiques et de fusées spatiales depuis n’importe quel point du globe.
Le bâtiment d'essais et de mesures (BEM) russe Maréchal Krylov subit actuellement une modernisation qui lui permettra de recevoir des informations sur les caractéristiques des missiles tirés à partir de n'importe quelle région du monde, y compris depuis des sous-marins.
Le Maréchal Krylov servira à contrôler le respect du traité New START par les États-Unis et à suivre des lancements depuis le cosmodrome de Vostotchny.
Les équipements installés à bord du Maréchal Krylov fixeront l'heure d'un tir de missile, établiront le type de ce dernier et effectueront des essais et mesures.
Une fois la modernisation terminée, le navire sera remis à la Flotte du Pacifique. À l'heure actuelle, la marine russe n'a qu'un seul navire de cette classe.
https://fr.sputniknews.com/russie/201710261033617009-navire-detection-tirs-missiles/
(...) Les équipements installés à bord du Maréchal Krylov fixeront l'heure d'un tir de missile, établiront le type de ce dernier et effectueront des essais et mesures. (...)
SupprimerCe n'est même pas ce qui est vulgairement appelé 'DCA' sur terre, car, le bâtiment 'Maréchal Krylov' n'est pas en mesure de répondre aux attaques !!!
Comme boom au lithium, certains analystes note de prudence
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
26 octobre 2017 02h45
Dans «Mad Scramble for Lithium Mines du Congo à Cornwall», Bloomberg met un peu de couleur sur les conditions actuelles dans le sous-secteur du rouge.
Pour preuve à quel point le lithium ingrédient de la batterie est en ce moment, ne cherchez pas plus loin que l'Australie AVZ Minerals Ltd Un stock de penny jusqu'à il y a quelques mois, l'espoir minier a bondi d'environ 1300 % cette année. La proposition: refondre une mine d'étain vieille de 100 ans en République démocratique du Congo en tant que fournisseur de lithium nécessaire pour alimenter les voitures électriques. Alors que sa hausse a été spectaculaire, AVZ n'est pas seul dans la course à la position pour un boom de la batterie rechargeable.
Au Royaume-Uni, une entreprise (Cornish Lithium) fondée par l'ancien banquier d'investissement Jeremy Wrathall Cornish Lithium prévoit d'exploiter des sources thermales à Cornwall, une région plus célèbre pour ses criques de plage.
Cornish beach Cove ... mais avez-vous essayé de conduire à Londres (prend des heures).
D'autres entreprises sont à la recherche de dépôts de lithium d'Allemagne au Mali, et même l'Afghanistan envisage de déposer des permis d'exploration.
Comme nous l'avons expliqué le mois dernier, le lithium suscite tellement d'intérêt - principalement en raison de son application dans les véhicules électriques et le stockage de l'énergie - que le Lithium and Battery tech ETF a enregistré des volumes records et le LME envisagerait l'introduction d'un ) Contrat.
Alors que tout le monde s'inquiète de l'offre, certains analystes commencent à se demander si l'offre va se développer trop vite dans les années à venir, comme l'explique Bloomberg.
"Vous avez une ruée sur les dépôts, une demande qui semble très impressionnante, la question est toujours autour de l'offre", a déclaré Paul Gait, analyste chez Sanford C. Bernstein Ltd. à Londres. Dans la course pour répondre à la demande, il y a un risque que trop de mines soient développées et que trop de métal soit fourni, a dit Gait.
"Quand la marée descendra, ceux qui n'ont pas la bonne géologie seront toujours trouvés manquant."
RépondreSupprimerBloomberg note que l'incertitude sur la croissance de la production mondiale a encouragé certains utilisateurs à verrouiller les approvisionnements futurs du métal.
Cependant, alors que la production pourrait difficilement rattraper la croissance de la demande, le lithium n'est pas vraiment rare comparé à d'autres métaux tels que le cobalt et le graphite, selon Eily Ong, analyste de Bloomberg Intelligence. Et l'histoire minière est pleine d'exemples de flambées qui se sont terminées en faillite lorsque la ruée pour stimuler l'offre a dépassé la croissance de la demande. Le minerai de fer est un exemple récent, après un boom de la production d'acier chinoise qui a poussé à la construction de nouvelles mines. Cela s'est avéré mal pour plusieurs des entreprises de minerai de fer qui ont eu du mal à construire des projets ou à mettre en production des mines juste à temps pour que les prix chutent. La production mondiale de lithium a augmenté d'environ 12 % l'an dernier, les batteries représentant environ 39 % de la consommation, selon le US Geological Survey. Alors que l'Australie était le plus grand producteur en 2016, ses ressources identifiées sont éclipsées par l'Argentine et la Bolivie, chacune avec environ 9 millions de tonnes et le Chili, avec plus de 7,5 millions de tonnes.
"Ce n'est pas un métal qui va être exempté des lois normales de l'économie des matières premières", a déclaré Bernstein's Gait. "Tôt ou tard, nous serons ravis."
Bloomberg cite un rapport de Liberum Capital, la société de courtage basée à Londres ...
D'après Liberum Capital Ltd., une douzaine de projets sont en cours de construction ou d'expansion dans le monde. Ceux-ci, plus une poignée de projets envisagés, pourraient aider à tripler l'offre mondiale de lithium d'ici 2025, mais resteront en deçà de la demande. . Au-delà de cela, il y a encore huit projets qui n'ont pas encore obtenu de financement, mais qui pourraient éventuellement pousser le marché vers un surplus d'ici 2025, a indiqué Liberum dans un rapport. Les prix du carbonate de lithium ont plus que doublé au cours des deux dernières années, selon les données de Benchmark Mineral Intelligence.
"Avec les prix où ils sont actuellement, il n'y a pas de mine de lithium potentielle dans le monde qui ne rapporte pas énormément d'argent", a déclaré Richard Knights, analyste de Liberum. "Il y a tout intérêt à apporter de l'approvisionnement."
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RépondreSupprimerL'analyste de BMO Marchés des capitaux, Joel Jackson, a déclaré dans une note datée du 24 octobre. Cependant, l'incertitude quant aux hypothèses, notamment la pénétration des véhicules électriques, la technologie des batteries et la croissance de l'offre de lithium, fait en sorte que le marché équilibre difficile à prévoir, at-il dit.
L'article de Bloomberg renvoie à AVZ Minerals.
Au Congo, AVZ doit encore prouver que l'extraction du lithium est économiquement viable. Il faudra également réhabiliter une ancienne centrale électrique pour atteindre la production et construire plus de 600 kilomètres (372 miles) de routes pour relier la mine à la capitale régionale de Lubumbashi pour les exportations. Le projet attire toujours des investisseurs, dont le chinois Zhejiang Huayou Cobalt Co., l'un des plus grands raffineurs de cobalt au monde. "Les plus grandes entreprises chinoises font la queue", a déclaré le président de AVZ Klaus Eckhof depuis Dubaï.
"Ils veulent tous en faire partie car ils n'ont pas de réserve d'approvisionnement, mon téléphone ne cesse de sonner."
http://www.zerohedge.com/news/2017-10-26/lithium-booms-some-analysts-sound-note-caution
La peste est de retour : La “Mort Noire” menace 9 pays
RépondreSupprimerRedactie Express Business
26 octobre 2017
Dans le pays d’Afrique orientale Madagascar, 124 personnes sont décédées de la peste depuis le 1er août. Plus de 1500 autres ont été infectées par la maladie. Neuf pays situés à proximité de l’île ont déjà lancé des alertes pour empêcher la propagation de la maladie par les avions et les navires.
Au Moyen Âge, la peste a décimé un tiers de la population européenne, et selon Wikipédia, elle est causée par une bactérie à Gram négatif, à savoir la Yersinia pestis. Elle tire son nom du médecin franco-suisse Alexandre Yersin. Ce dernier a identifié la bactérie en 1894 au cours d’une épidémie à Hong Kong.
La peste est transmise par une piqûre d’insecte, la plupart du temps par des puces qui sont infectées par la bactérie. L’inhalation de minuscules gouttelettes qui flottent dans l’air raison de la toux ou des éternuements d’une personne contaminée peut aussi conduire à l’inoculation de la maladie. La peste est l’exemple le plus connu d’une maladie se transmettant des animaux aux humains.
Selon les autorités locales, la propagation de la maladie se ralentit désormais. De moins en moins de personnes sont hospitalisées, tandis que de plus en plus de gens sont guéris et autorisés à quitter l’hôpital
Ce n’est pas un phénomène rare à Madagascar
La peste n’est pas un phénomène rare à Madagascar. L’épidémie a été signalée pour la première fois en 1898. Depuis lors, on en a recensé plusieurs épisodes. Après 1980, on a même parlé d’une épidémie annuelle récurrente. Mais l’ampleur de l’épidémie actuelle dépasse celle des précédentes. Chaque année, on n’enregistre normalement pas plus de 300 à 400 cas, qui aboutissent à une dizaine de décès.
« Bien que la peste soit une maladie épouvantable, on peut contrôler rapidement l’apparition d’une épidémie et éviter une plus forte mortalité en prenant des mesures rapides et concrètes », explique Luca Fontana, spécialiste de l’eau et de l’assainissement chez Médecins Sans Frontières sur Medicalfacts.nl.
« Quand les malades de la peste pneumonique reçoivent un traitement en temps opportun, les chances de survie sont de 100 %. Les personnes qui courent le risque d’une infection peuvent se protéger contre un traitement préventif ».
L’Organisation Mondiale de la Santé signale qu’il y a eu 3248 cas de peste entre 2010 et 2015, dont 584 avec une issue fatale.
https://fr.express.live/2017/10/26/peste-madagascar/
La Nouvelle-Zélande va interdire aux étrangers d’acheter une propriété
RépondreSupprimerArnaud Lefebvre
26 octobre 2017
La Nouvelle-Zélande s’apprête à interdire aux étrangers non-résidents d’acquérir un bien immobilier.
Le gouvernement de la travailliste Jacinda Arden, récemment investie au poste de Première ministre de Nouvelle-Zélande, tente d’améliorer parallèlement l’accès à la propriété résidentielle.
« Notre objectif est de bannir les acheteurs étrangers du marché immobilier existant », a-t-elle déclaré, soulignant que cette interdiction ne s’appliquerait qu’aux non-résidents.
Arden dirigera le pays au sein d’une coalition avec les Verts et le parti New Zealand First (NZF).
« Nous disposons d’un accord au sujet de l’interdiction de l’achat de propriétés existantes par des acquéreurs étrangers ».
Crise de l’accès au logement
La Nouvelle-Zélande est confrontée à une crise de l’abordabilité du logement suite aux taux d’intérêt bas, à l’offre limitée et à une immigration nette élevée qui a font grimper les prix.
Selon une estimation d’ANZ Bank, la pénurie de logements en Nouvelle-Zélande est de 60.000 unités, augmentant de 40 logements par jour.
Auparavant, les investisseurs américains étaient considérés comme les responsables de la hausse des prix de l’immobilier néo-zélandais. Cependant, les acheteurs chinois leur ont ravi ce titre.
« La Nouvelle-Zélande n’est plus à vendre comme elle l’a été auparavant » a déclaré Winston Peters, le leader populiste du NZF.
Les prix de l’immobilier sont en plein essor en Nouvelle-Zélande. Selon le Real Institute of New Zealand (REINZ), dans la plus grande ville du pays, Auckland, le prix médian d’un logement était de 845.000 dollars néo-zélandais en septembre, soit plus du double qu’en 2008 (582.000 dollars).
Enfin, dans la capitale Wellington, on a constaté une hausse de 10,6 % du prix médian du logement. L’enquête du REINZ se base le prix de vente réel.
https://fr.express.live/2017/10/26/nouvelle-zelande-va-interdire-aux-etrangers-dacheter-propriete/
Le gouvernement fédéral peut-il poursuivre des étrangers si leurs actions sont légales là où elles sont ?
RépondreSupprimerJudge Andrew P. Napolitano
le 26 oct. 2017
Je suis en Suisse cette semaine en interaction avec des étudiants et des professeurs de l'Université de Zurich. Le sujet de notre travail est la Constitution américaine et ses protections de la liberté personnelle.
Dans la plupart des pays, le gouvernement a obtenu à contrecœur des bribes de liberté personnelle pour tenir à distance ceux qui le réclament. Tout au long de l'histoire, les rois et autres tyrans ont, de temps à autre, cédé aux pressions exercées par les gens pour qu'ils reconnaissent leurs droits naturels. Ces exemples de «pouvoir accordant la liberté», comme on l'a appris, sont généralement venus pour éviter de nouvelles effusions de sang.
Aux États-Unis et en Suisse, cependant, le contraire a eu lieu. Dans les deux pays, les États souverains se sont réunis pour établir un gouvernement central pacifiquement. Ce modèle est connu sous le nom de «pouvoir d'octroi de la liberté». En effet, la Constitution suisse est calquée sur la nôtre, selon laquelle des États libres et indépendants ont délégué une partie de leur souveraineté à un nouveau gouvernement central limité.
Aujourd'hui, cependant, les deux pays sont mêlés à un différend sous le radar pour savoir si les tribunaux fédéraux américains peuvent juger les ressortissants suisses qui ont suivi avec diligence la loi suisse et qui n'ont jamais été aux États-Unis.
Voici l'histoire arrière.
Quand Thomas Jefferson a écrit la déclaration d'indépendance, il a inclus une section qu'il appellera plus tard l'acte d'accusation du roi britannique George III. Il a caractérisé le "long train d'abus et d'usurpations" conçu par le roi pour "harceler notre peuple, et manger leur substance". C'était un langage dur, même selon les normes d'aujourd'hui.
Un de ces abus et usurpations était "pour nous transporter au-delà des mers pour être jugé pour de prétendues offenses." Il se référait à la pratique britannique consistant à accuser les colons - qui n'étaient jamais venus en Grande-Bretagne - à Londres pour un comportement qui était légal dans les colonies, mais qui, d'une manière ou d'une autre, était contraire au droit anglais.
L'accusation typique était de parler et d'inciter les autres à s'opposer au roi et au Parlement ou de refuser de payer leurs impôts illégaux. Ces soi-disant crimes étaient souvent qualifiés de trahison contre la Couronne.
Cette pratique britannique de traîner les colons américains devant les juges britanniques et les jurés britanniques était si offensante pour les colons que les rédacteurs cherchèrent à l'en empêcher en élaborant deux clauses prophylactiques dans la Constitution elle-même. Une clause définissait la trahison comme une simple levée de la guerre contre les États-Unis ou une aide et un réconfort à nos ennemis. L'autre clause exigeait que les personnes soient jugées dans l'État où de tels crimes auraient été commis.
RépondreSupprimerLa Constitution reconnaît que les étrangers peuvent faire du mal aux Américains et aux biens à l'étranger, et la common law de l'époque exigeait que, s'il n'y avait pas de préjudice, il n'y avait pas de crime.
Ces premiers principes - le crime est un mal et les gens devraient être jugés à l'endroit où ils sont accusés d'avoir commis un crime - ont été les fondements de la jurisprudence anglo-américaine pendant des centaines d'années.
La raison pour laquelle une action pénale a été engagée à l'endroit où l'action a été engagée est de se conformer aux exigences constitutionnelles d'une procédure régulière. La forme d'une procédure régulière exige la préexistence de la loi prétendument violée, un avis de violation, un procès devant un juge neutre et des jurés, et le droit d'interjeter appel de l'issue du procès, mais l'essence d'une procédure régulière est l'équité.
L'équité du procès signifie que le défendeur dispose des outils requis par la Constitution, notamment des témoins et des éléments concrets pour faciliter sa défense. Les Framers savaient que cela serait presque impossible à réaliser dans un pays étranger devant un tribunal étranger.
Cette compréhension a subsisté jusqu'à l'administration Reagan, lorsque le gouvernement a commencé à saisir des étrangers à l'étranger et les amener aux États-Unis pour le procès. Bien que ces saisies aient été répulsives, les crimes - la violence contre des individus ou la distribution à grande échelle de drogues dangereuses - étaient partout des crimes, et le mal causé par eux était palpable.
Jusqu'à maintenant.
Maintenant, les banquiers suisses qui ont respecté et respecté les lois bancaires suisses - qui honorent la vie privée des clients, peu importe qui ils sont - et qui n'ont jamais causé de préjudice aux Américains ou aux biens américains sont en procès aux États-Unis.
Les charges? Violer les lois bancaires américaines en omettant de signaler les transactions suspectes aux régulateurs bancaires américains. Et pour ces "prétendues offenses", ces banquiers ont été transportés "au-delà des mers" pour être jugés
Le ministère de la Justice est incapable de dénoncer les dommages causés par ces soi-disant infractions, mais les juges fédéraux, tout comme à l'époque de Reagan, acceptent l'argument de la compétence universelle du DOJ - que les tribunaux fédéraux américains peuvent juger n'importe qui, peu importe où une personne est censée avoir commis un crime, aussi longtemps que le défendeur est physiquement dans la salle d'audience.
RépondreSupprimerMais cela viole les premiers principes de la Déclaration d'Indépendance et de la Constitution et soumet les banquiers et les fonctionnaires américains à la même prétendue compétence universelle des tribunaux étrangers. En effet, un tribunal en Espagne a inculpé l'ancien président George W. Bush et l'ancien secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld pour des crimes de guerre présumés commis en Afghanistan.
Pourquoi Bush et Rumsfeld devraient-ils répondre à l'Espagne des événements qui se seraient produits en Afghanistan ? Pourquoi les banquiers suisses doivent-ils répondre aux États-Unis lorsqu'ils ne violent pas la loi suisse ?
Tout est question de pouvoir et de fiction de la compétence universelle - une fiction que les auteurs croyaient avoir enterrée. Il doit être enterré à nouveau.
http://www.judgenap.com/post/can-the-feds-prosecute-foreigners-if-their-actions-are-legal-where-they-are
(...) Pourquoi Bush et Rumsfeld devraient-ils répondre à l'Espagne des événements qui se seraient produits en Afghanistan ? Pourquoi les banquiers suisses doivent-ils répondre aux États-Unis lorsqu'ils ne violent pas la loi suisse ? (...)
SupprimerPourquoi une dictature s'adjugerait-elle le titre (présomptueux) de 'gendarme du monde' alors qu'elle n'est pas en Démocratie et fait croire à son peuple qu'existe le parti démocrate (hahahaha !) et que le pays est libre (hahahaha ! "d'aller d'un mur à l'autre ?'' Hahahaha !)
Maladies à vendre et vous en êtes l'acheteur
RépondreSupprimerAphadolie
jeu., 26 oct. 2017 07:28 UTC
Depuis plus d'un siècle, les médicaments permettent de combattre bon nombre de maladies. Des plus bénignes au plus dangereuses. Ces dernières décennies, l'industrie pharmaceutique s'est aussi inspirée des nouvelles méthodes de publicité et de marketing. Logique quand le but est d'assurer la vente pour financer la recherche et tenter de soigner de nouvelles maladies.
Mais cela questionne plus lorsqu'il s'agit, à l'inverse, de marketer des maladies pour simplement étendre un marché et accroître les profits. Jusque dans les années 70, l'industrie pharmaceutique créait des médicaments pour guérir certaines maladies. Depuis, pour accroître sa rentabilité, elle en vient à inventer de nouvelles maladies pour vendre des médicaments.
Du taux de cholestérol à la dysfonction érectile en passant par la dépression et le trouble bipolaire, Maladies à vendre démonte les stratégies de marketing et de communication mises en œuvre par l'industrie pharmaceutique, avec la complicité plus ou moins passive des experts médicaux et des autorités de santé, pour nous transformer en malades, c'est-à-dire en consommateurs de médicaments.
L'industrie pharmaceutique fabrique des malades à grand renfort de marketing avec la complicité des autorités et des médecins
https://www.youtube.com/watch?v=TIusRRwmAC0
https://fr.sott.net/article/31302-Maladies-a-vendre-et-vous-en-etes-l-acheteur