Grâce à votre WIFI, on peut désormais vous « voir » partout dans votre propre maison. Comment est-ce possible ? Et est-ce que vous le voulez ?
Les box WIFI et tous vos appareils intelligents, y compris votre compteur intelligent, créent un réseau dense d’ondes électromagnétiques dans votre maison. Un scanner situé à l'extérieur de votre habitation peut, grâce à ce réseau d’ondes, détecter tous vos objets, les personnes présentes dans la maison, etc. malgré les murs qui les séparent.
Une équipe de l'Université Carnegie Mellon et de l'Université de Waterloo « a construit l'appareil avec un drone du commerce et du matériel facilement disponible d'une valeur de 20 dollars ». Les technocrates inventent sans conscience, ni éthique ou morale.
Comment cela fonctionne-t-il ?
Le WIFI, ce sont des ondes électromagnétiques dans la bande de fréquence 2,4 et 5 GHz. C'est la même chose que la lumière que vous voyez, sauf qu'elle peut traverser les murs en raison de sa longueur d'onde beaucoup plus grande. Comme la lumière et l'écholocalisation, ces ondes sont réfléchies par différentes surfaces et peuvent être utilisées pour créer une image si elles sont correctement reconstituées.
Le développement de cette technologie remonte au moins à juillet 2005. Au début, seules des formes grossières d'objets pouvaient être détectées. Les applications étaient destinées à des fins militaires et policières. Elles devaient permettre une « meilleure conscience (perception) de la situation ». En 2008, des chercheurs de l'Université de Californie, Santa Barbara, ont développé une première approche de l'imagerie par WIFI. Depuis, on a assisté à une explosion des méthodes d'imagerie Wi-Fi passive.
En février 2019, une équipe de l'Université d'État du Michigan a publié un article dans la revue IEEE Access, dans lequel elle décrit comment elle a pu utiliser des signaux à 5,5 GHz pour créer une image 2D.
Un ancien employé du DARPA, le Dr Ray Liu, a lancé son premier produit commercial en 2019 : WiFi Detection Domain. Bien entendu, dans le but philanthropique de « rendre le monde plus sûr, plus sain et plus intelligent ». L'entreprise affirme que la technologie est si précise qu'elle peut détecter votre respiration à l'aide des seuls signaux Wi-Fi standard.
de mfg. Sources / Liens : Big Brother : avec votre WIFI, on peut désormais "voir" partout dans votre maison https://uncutnews.ch/big-brother-mit-ihrem-wlan-koennen-sie-jetzt-ueberall-in-ihrem-haus-sehen/
Une nouvelle technologie Wi-Fi permet aux chercheurs de voir à travers les murs https://www.youtube.com/watch?v=u-Tv4PKZioI&t=6s
Interview avec le Dr. Ray Liu https://www.originwirelessai.com/insights/inventing-wifi-sensing-an-interview-with-dr-ray-liu/
- "L'intelligence artificielle n'a pu résoudre ce problème." - "C'est donc a nous de faire le travail (?)." - "C'est l'intelligence artificielle qui l'a dit ?" - "NON ! C'est moi !" - "Ce qui veut bien dire que l'intelligence artificielle est pourrie !" - "C'est elle qui l'a dit ?" - "Et c'est chez vous qu'elle est fabriquée ! "
Les non vaccinés étaient le bouc émissaire de l’échec des vaccins COVID, selon une étude Les boucs émissaires et les messages haineux étaient intentionnels et ont brisé des FAMILLES
IGOR TCHOUDOV 10 DÉCEMBRE 2023
Une nouvelle étude scientifique a révélé que les personnes non vaccinées ont été injustement considérées comme des boucs émissaires pendant la pandémie. Rapports Psypost :
Je doute que la « découverte scientifique » du bouc émissaire injustifié et mesquin des non vaccinés surprenne la plupart de mes lecteurs, mais les détails des « découvertes » sont intéressants.
Cependant, cet accent mis sur la vaccination a également donné naissance à un phénomène social complexe : la stigmatisation et les préjugés auxquels sont confrontés ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner contre le COVID-19. Une étude récente publiée dans le Journal of Medical Ethics visait à déterminer si les sentiments négatifs envers les non vaccinés pouvaient être considérés comme une forme de bouc émissaire.
« Mes collègues et moi étudions depuis un certain temps les divisions sociales entourant le COVID-19. Nous avons remarqué qu’une grande partie des recherches existantes à l’époque se concentraient sur les conflits émanant de personnes qui écartaient le COVID-19, croyaient aux théories du complot et sous-estimaient généralement la menace du virus. Nous avons également reproduit bon nombre de ces modèles dans nos propres recherches », a déclaré l'auteur de l'étude Maja Graso, professeur adjoint à l'Université de Groningen.
Les auteurs semblent choqués de découvrir qu’une grande partie des mensonges et de la désinformation provenaient du gouvernement et des médias :
«Cependant, ce qui nous a manqué, c'est une réponse à la désinformation et aux conséquences découlant d'une surestimation de la menace. Considérez, par exemple, qu’en 2020, plus de 30 % des Américains pensaient qu’une infection au COVID entraînait un risque d’hospitalisation de 50 % ; cela ne l’a jamais été, et il n’y a jamais eu de preuve suggérant que cela pourrait être le cas. Les individus de gauche ont tendance à surestimer davantage les méfaits du COVID que les conservateurs.
L'étude scientifique de Maja Graso et al. a examiné les attitudes envers les personnes non vaccinées en présentant un questionnaire avec des personnages fictifs : une personne vaccinée nommée Katy et une personne non vaccinée nommée Mark. Katy et Mark étaient tous deux porteurs du virus COVID-19 et ont infecté une personne vulnérable.
Il s’avère que, bien qu’il se trouve dans la même situation, l’individu non vacciné a été choisi pour être blâmé et visé par des émotions extrêmement négatives :
On pourrait s’attendre à ce que je déclame contre les individus de gauche mentionnés ci-dessus. Au lieu de cela, je voudrais souligner que les « partisans de Trump » étaient également enclins à désigner des boucs émissaires et à haïr les non vaccinés, bien que dans une moindre mesure :
La propagande pandémique était forte !
La vérité, bien sûr, était que le vaccin Covid n’a pas fonctionné et n’a empêché aucune transmission, et après un mois ou deux de vaccinations, il a rendu les vaccinés PLUS susceptibles d’être infectés.
Cependant, l’impact de la campagne alarmiste des médias a été considérable. 35% des adultes estiment que la moitié des infections au Covid nécessitent une hospitalisation ! Les auteurs se sont efforcés de rendre leurs conclusions acceptables pour une revue médicale officielle :
Deuxièmement, désigner un bouc émissaire implique que le blâme soit immérité ou disproportionné. Ainsi, nous encourageons les chercheurs, les praticiens et les communicateurs scientifiques en santé publique à considérer les implications de s’appuyer principalement sur des approches basées sur la peur pour atténuer les dommages causés par le C19.65 Par exemple, si 35 % des adultes américains pensaient qu’au moins la moitié des infections au C19 nécessitent une hospitalisation18, cela suggère un échec important de la communication en matière de santé. Le résultat est que cela peut amener les gens à se retourner contre eux et à se blâmer les uns les autres lorsque cela n'est pas justifié par les faits disponibles, qui n'ont peut-être pas été présentés de manière adéquate au public. Nous estimons qu’une question éthique pertinente sur laquelle les responsables de la santé publique devraient débattre est de savoir s’il est moralement obligatoire pour eux de corriger la désinformation, qu’elle surestime ou sous-estime le risque lié au C19.
Troisièmement, nos résultats montrent également l’impact de l’idéologie politique des citoyens sur la désignation de boucs émissaires. Nous n’avons pas testé les raisons pour lesquelles les libéraux sont plus susceptibles de faire des boucs émissaires les individus non vaccinés, mais nous encourageons une enquête plus approfondie pour déterminer si l’exposition médiatique pourrait être un facteur contributif. Tout comme les médias et les politiciens conservateurs sont coupables de désinformation conduisant les gens à sous-estimer certains risques du C1966,67, il est possible que les médias libéraux aient introduit la désinformation dans la direction opposée. Par exemple, Rachel Maddow de MSNBC, un média à l'audience résolument libérale,68 a déclaré en mars 2021 : « Nous savons désormais que les vaccins fonctionnent suffisamment bien pour que le virus s'arrête avec chaque personne vaccinée. »69 Cependant, cette affirmation n'était pas possible. faire à cette époque70, et ce n’était pas non plus vrai. Les essais cliniques initiaux n’ont pas testé leur efficacité sur la transmission.71 Les premières preuves et les déductions raisonnables de la recherche en vaccinologie et en virologie suggèrent que les vaccins n’arrêteraient pas complètement la transmission. En avril 2021, plus de 10 000 infections vaccinales avaient été officiellement signalées aux États-Unis (un sous-dénombrement considérable), dont 10 % avaient été hospitalisées et 2 % d’entre elles étaient décédées.72 Une enquête sur l’épidémie menée par les Centers for Disease Control et La prévention menée en juillet 2021 a révélé que 74 % des cas liés à un événement estival dans le Massachusetts étaient vaccinés et que la plupart étaient symptomatiques.73 Par conséquent, nous soutenons qu’il est important de corriger les affirmations douteuses formulées par les deux côtés du spectre politique, car les deux peuvent fausser le risque et alimenter la polarisation.
Pire encore, cette désignation de bouc émissaire, basée sur une fiction complète d'experts officiels de la santé et des médias, a brisé de nombreuses familles, comme le décrit ce message très typique de Reddit de 2021 d'une femme enceinte confuse :
Plus de détails sur ce qui est arrivé à cette mère deux ans plus tard et sur la façon dont les vaccinateurs du COVID ont brisé les familles sont ici :
Quel en est le résultat ? De toute façon, presque tout le monde avait le COVID. Heureusement, peu sont morts, même si le COVID-19, une chimère SRAS-VIH fabriquée en laboratoire, et les vaccins contre le COVID-19 ont tué des millions de personnes et miné la santé de milliards de personnes.
Le pire résultat serait des milliers de familles brisées, une dévastation économique parmi les familles de travailleurs licenciés non vaccinés et une aliénation sociale et une division persistantes – le tout créé au nom d’une « science » anti-humaine motivée par le profit et le carriérisme.
Je tiens à remercier Maja Graso pour sa courageuse étude. Je dois également mentionner que Modern Discontent, un ami de ce blog, a également couvert cette histoire.
Je voudrais également remercier mes lecteurs, sceptiques face aux vaccins, quel que soit leur statut vaccinal personnel, pour tout ce que vous avez fait pour lutter contre cette folie.
Quoi que vous ayez fait – manifester, partager des messages ou même devenir mon abonné payant – tout compte et a contribué à mettre fin à la folie du COVID.
J’ai été très touchée par la folle discussion (1 226 messages) qui a suivi mon post « brûler les ponts et réconcilier » qui décrivait des liens familiaux brisés. Malheureusement, j’ai appris que les relations de nombreux commentateurs étaient définitivement rompues.
La culpabilité de ces relations brisées incombe en grande partie à des carriéristes anti-humains tels que les chercheurs de Harvard ci-dessus. Les proches qui ont choisi de rompre les liens avec certains d’entre nous sont également victimes de ces tactiques de psychologie de masse industrialisée, conçues pour être irrésistibles pour la plupart. Alors, même si la réconciliation est peu probable, pardonnez-leur !
L’augmentation de la surmortalité entraîne des pertes dans le secteur de l’assurance
13 décembre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
Les analyses de surmortalité par rapport à avant 2020 ne montrent aucune amélioration de la situation. La raison réside dans les dommages durables causés au système immunitaire par les pics de vaccination, les nanoparticules lipidiques et la contamination massive des préparations d’ARNm. Des pics de vaccination ont désormais été détectés dans l’organisme jusqu’à deux ans après la vaccination et on ne voit pas la fin. Cette surmortalité, non prévue par les tables de mortalité et les mathématiques actuarielles, provoque des troubles dans le secteur des assurances. Les plus jeunes sont particulièrement touchés.
La publication spécialisée Insurance Newsnet rapporte que les experts en assurance-vie et les actuaires considèrent les chiffres comme alarmants et pourraient encore augmenter les rendements et les décès dans les années à venir.
Les assureurs-vie ont payé un nombre record de sinistres en 2021. En 2021, année la plus récente pour laquelle des données sont disponibles, l'industrie a versé un total de 100,28 milliards de dollars en prestations de décès, selon BestLink. Les versements supérieurs à la moyenne ont commencé en 2020, la première année de la pandémie, lorsque les assureurs ont enregistré une augmentation de 15,4 % des prestations de décès – la plus forte augmentation sur une seule année depuis la grippe espagnole de 1918. En 2021, l’augmentation était de 10,8 %, mais est tombé à 74,27 milliards de dollars au cours des neuf premiers mois de 2022. Mais cela représente toujours plus que les 59,18 milliards de dollars versés au cours de la même période en 2019, avant que la pandémie ne frappe, selon BestLink.
Aux États-Unis, la mortalité a également augmenté en 2020 en raison d’interventions massives dans le système de santé, telles que la ventilation invasive et les mesures radicales non pharmaceutiques.
Selon Josh Stirling, fondateur de l'Insurance Collaboration to Save Lives, une organisation à but non lucratif, explique : « Mais si vous utilisez les données qui semblent les plus fiables, il semble que nous soyons généralement à 13,9 décès pour 100 000, ce qui peut être 7 % au-dessus de la valeur qui aurait effectivement dû être atteinte.
Une enquête menée auprès de ses membres par la Society of Actuaries a révélé qu'en août de l'année dernière, 85 % d'entre eux pensaient que le taux de mortalité continuerait d'augmenter jusqu'en 2025. Il y a deux mois, le même sondage révélait que 79 % des sondés pensaient que les taux de mortalité excessifs persisteraient jusqu'en 2026.
Selon le graphique montrant les taux de mortalité par tranches d’âge de 5 ans, en 2023, le taux de mortalité des jeunes adultes augmentera de 20 %.
Les statistiques du Center of Disease Control des États-Unis montrent que les taux de mortalité dans diverses catégories augmentent à un rythme alarmant. Selon le CDC, le taux de mortalité chez les jeunes adultes augmentera de plus de 20 % d’ici 2023. Les données sur les causes de décès montrent une mortalité cardiaque accrue dans tous les groupes d’âge. Les causes de décès telles que les accidents vasculaires cérébraux, le diabète, les maladies rénales et hépatiques sont également en augmentation.
Selon Samantha Chow, leader mondial du secteur vie, rentes et avantages sociaux chez Capgemini, le grand cabinet de conseil multinational basé à Paris, la véritable préoccupation des assureurs-vie est de « se préparer à une vague inattendue de décès et à l'impact sur leurs actifs sous gestion ». Compte tenu des taux de mortalité excessifs, disposent-ils de réserves suffisantes pour absorber ces sorties ? Il ne s'agit pas seulement de mort ou de santé. Il s’agit de la capacité et de la volonté de l’industrie à gérer ces énormes flux sortants.
Capgemini vient de publier son World Life Insurance Report, qui révèle l'imminence du plus grand transfert de richesse intergénérationnel de l'histoire, une sortie massive de près de 40 % des actifs sous gestion (AUM) des assureurs-vie totalisant 7,8 milliards de dollars d'ici 2040.
Surmortalité en Allemagne : comment la faire disparaître
Nouvelle-Zélande : surmortalité 70 % supérieure à l'année dernière
Eurostat : Une surmortalité toujours élevée dans les pays à taux de vaccination élevés
Ils vous ont injecté un mortier de feu d’artifice ! et dans votre organisme c’est le 14 juillet tous les jours…
le 13 décembre 2023 par pgibertie
Les média ont beau se vouloir rassurants, il leur faut reconnaître que la technologie ARNm déconne un peu et pas seulement pour la covid. L’invention nobelisée de la Pseudouridine conduit à la production par l’organisme de bizarreries moléculaires, un vrai feu d’artifice imprévu.
On nous a dit que les vaccins Covid avaient été « largement testés ». Mais il s’avère que la pseudouridine qu’ils contiennent provoque la génération aléatoire de déchets protéiques, exposant notre corps à un danger. C’est ce qu’on appelle le « frameshifting » : la même chose que la perte de bits dans un code informatique !
Le vax à ARNm c/covid utilise la pseudouridine au lieu de l’uridine créant un changement de cadre équivalent à un saut de bits en informatique. La machinerie cellulaire saute un bit génétique par erreur, d’où la confusion des données lues ensuite.
PR JM SABATIER/
C’était prévisible car le dérivé methyl-1-pseudouridine était décrit comme conduisant à des erreurs de traduction des ARN messagers depuis plusieurs années. J’avais déjà alerté sur ce point (ceci est mentionné dans la partie vaccins écrite pour le livre de Jean-Loup Izambert).
Les codons stop (UAA, UAG, UGA) peuvent ne pas être reconnus lorsque l’uridine est substituée par la méthyl-1-pseudouridine. La glycosylation de la protéine Spike peut varier suivant la structure primaire de la molécule finalement produite (Spike ou autres) et le type cellulaire.
La proportion de naissances prématurées a augmenté à partir de 2021/22 . Coincidence? Ils ont poussé à la vacccxxx des femmes enceintes …
le 12 décembre 2023 par pgibertie
Cette hausse régulière depuis la mi 2021 est curieuse , un peu comme si on avait fait bénéficier toute la population à une expérience médicale, mais laquelle?
Heureusement les journalistes nous expliquent que le vxxxxxccin covid réduit le risque d’avoir des morts nés ou des prématurés
- voir graph sur site -
Les mêmes mécanismes qu’une secte qui dirait que le soleil s’est levé ce matin grâce à nos prières d’hier soir
Moins de la moitié des seniors allemands se sont fait vacciner contre la grippe
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 13 DÉCEMBRE 2023 - 08h45
Attraper la grippe peut être un problème pour certains, mais cela peut mettre la vie en danger pour d’autres.
Les jeunes enfants, les personnes souffrant de maladies préexistantes et les personnes âgées courent un risque accru de mourir d'une infection grippale grave. Jusqu’à 650 000 personnes succombent à la maladie chaque année dans le monde. Dans les pays industrialisés, la plupart de ces décès surviennent dans la tranche d’âge de 65 ans et plus.
Cependant, comme le rapporte Katharina Buchholz de Statista, connaissant cette menace, il est surprenant de constater combien peu de personnes âgées sont régulièrement vaccinées contre la maladie, même dans les pays les plus prospères.
En fait, les taux de vaccination varient considérablement à travers le monde. Le Royaume-Uni arrive en tête de liste des meilleurs taux de vaccination parmi les pays de l’OCDE.
- voir graph sur site -
Infographie : Les personnes âgées de certains pays développés ne se font pas vacciner contre la grippe | Statiste Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
La Corée du Sud et les États-Unis, ainsi que le Chili, la Nouvelle-Zélande, les Pays-Bas et le Danemark font également partie du groupe de pays avec des taux de vaccination supérieurs à 70 % chez les seniors.
Seuls 43,3 % des seniors allemands ont décidé de se faire vacciner.
Selon les données de l'OCDE, les pays d'Europe de l'Est et la Turquie ont les taux les plus bas du classement.
On ne peut s’empêcher de se demander si les mensonges et la propagande entourant les vaccins contre la COVID entraîneront une diminution du nombre de vaccins contre la grippe à l’avenir.
Les pays qui vaccinent un grand nombre de personnes âgées le font souvent grâce à des programmes gouvernementaux de vaccination ciblant directement les personnes âgées.
Au Brésil, par exemple, des campagnes de vaccination ont lieu depuis 1999, au cours desquelles des vaccins contre la grippe sont distribués gratuitement.
La FDA rejette la dangereuse contamination de l’ADN des vaccins COVID après avoir autorisé Pfizer à modifier son processus de fabrication
12/12/2023 Lance D Johnson
Lorsqu'une équipe de chercheurs de l'Ontario, au Canada, a découvert des niveaux élevés de contamination de l'ADN dans les vaccins à ARNm monovalents et bivalents Pfizer/BioNTech et Moderna contre la COVID-19, les agences de réglementation du monde entier auraient dû imposer un moratoire sur les vaccins contre la COVID-19 et enquêter sur leur sécurité. signal. Cependant, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a complètement rejeté ces conclusions, ignorant ses propres règles et réglementations concernant la contamination par l'ADN des produits pharmaceutiques.
Dans l’étude, chaque vaccin contenait des milliards, voire des centaines de milliards de fragments d’ADN et dépassait donc la norme de falsification de l’ADN de 10 nanogrammes par dose. Les lots étaient si fortement contaminés qu’ils dépassaient les normes de la FDA de 188 à 509 fois la limite réglementaire. Les chercheurs ont également trouvé des fragments d’ADN de plus de 200 paires de bases (une mesure de la longueur de l’ADN), ce qui dépasse également les directives de la FDA.
La FDA hésite à tirer la sonnette d’alarme sur tout problème grave de sécurité lié aux vaccins contre le COVID-19. Il est absolument terrifiant que les agences de réglementation ne se soucient PAS de la sécurité d’un produit expérimental contaminé qui a blessé et tué d’innombrables personnes dans le monde.
La FDA ignore ses propres directives sur la contamination de l'ADN et le risque de cancer Selon les propres directives de la FDA, l’adultération résiduelle de l’ADN est un problème de sécurité connu avec les vaccins qui peut provoquer une mutagenèse par insertion et augmenter le risque de cancer par l’inhibition des gènes suppresseurs de tumeurs et l’activation des oncogènes.
Les scientifiques de Moderna ont reconnu le risque de contamination de l’ADN dans les vaccins et leur propension à la génotoxicité et au cancer. Dans sa demande de brevet pour les « vaccins HPIV3 », Moderna a écrit :
La vaccination à l'acide désoxyribonucléique (ADN) est une technique utilisée pour stimuler les réponses immunitaires humorales et cellulaires aux antigènes étrangers, tels que les antigènes hMPV et/ou les antigènes PIV et/ou les antigènes RSV. L'injection directe d'ADN génétiquement modifié (par exemple, ADN plasmidique nu) dans un hôte vivant entraîne la production directe par un petit nombre de ses cellules d'un antigène, entraînant une réponse immunologique protectrice. Cette technique pose cependant des problèmes potentiels, notamment la possibilité d'une mutagenèse par insertion, qui pourrait conduire à l'activation d'oncogènes ou à l'inhibition de gènes suppresseurs de tumeurs. En raison de ces risques graves, la FDA a mis en place des lignes directrices pour les produits pharmaceutiques contenant de l’ADN résiduel. Ils conseillent l’industrie pharmaceutique :
L'ADN résiduel peut constituer un risque pour votre produit final en raison de son potentiel oncogène et/ou infectieux. Il existe plusieurs mécanismes potentiels par lesquels l'ADN résiduel pourrait être oncogène, notamment l'intégration et l'expression d'oncogènes codés ou la mutagenèse insertionnelle après l'intégration de l'ADN. La FDA continue de défendre la sécurité des vaccins COVID Les vaccins à ARNm contiennent des nanoparticules lipidiques qui pénètrent à l’intérieur des cellules pour fournir efficacement de nouvelles instructions, forçant les cellules à synthétiser des protéines de pointe étrangères. De par sa conception, cette expérience a le potentiel de nuire à des personnes présentant des niveaux incalculables d’ADN étranger. Les chercheurs qui ont découvert la contamination de l’ADN des vaccins contre la COVID-19 ont également constaté que le taux d’événements indésirables graves était plus élevé dans les lots Pfizer qui contenaient des niveaux plus élevés de fragments d’ADN.
Cependant, la FDA maintient que la contamination résiduelle de l’ADN des vaccins contre la COVID-19 est bénigne. L'agence affirme "soutenir ses conclusions sur la qualité, la sécurité et l'efficacité des vaccins à ARNm".
"Bien que des préoccupations aient été soulevées précédemment à titre de questions théoriques, les preuves scientifiques disponibles soutiennent la conclusion selon laquelle les infimes quantités d'ADN résiduel ne provoquent pas le cancer ni ne modifient le code génétique d'une personne", maintient l'agence. Leur refus d’enquêter constitue un manquement à leur devoir.
"Avec plus d'un milliard de doses de vaccins à ARNm administrées, aucun problème de sécurité lié à l'ADN résiduel n'a été identifié", affirme la FDA, ajoutant que l'agence "n'a aucune information supplémentaire à fournir pour le moment".
Pfizer a modifié son processus de fabrication après des essais cliniques, empoisonnant la population avec de l'ADN étranger La FDA n’a pas réussi à superviser la fabrication des vaccins contre le covid-19. Une enquête journalistique révèle que Pfizer a utilisé un processus de fabrication différent pour les essais cliniques précipités de celui utilisé pour fournir les produits à la population mondiale. Le passage du processus 1 (amplification par PCR) au processus 2 (ADN plasmidique linéarisé) a introduit des impuretés d'ADN plasmidique dans le produit final, empoisonnant des millions de personnes avec des fragments provoquant le cancer. La FDA dormait au volant de tout cela, alors que l’Opération Warp Speed livrait les vaccins en un temps record.
La note d’examen de la FDA du 20 novembre 2020 suggérait que les tests étaient en cours. "Une évaluation de comparabilité plus complète englobant des lots supplémentaires provenant de plusieurs nœuds de fabrication DP est en cours et les résultats seront fournis à l'EUA une fois l'étude terminée."
Trois ans plus tard, la FDA a ignoré la question de savoir s'il existait des données humaines comparant les deux processus de fabrication. Selon une demande de la FOIA, aucune étude n’a été réalisée comparant la sécurité et l’immunogénicité des deux processus, comme cela était requis en février 2021.
…en octobre 2020, un objectif exploratoire a été ajouté dans l'étude C4591001 pour décrire la sécurité et l'immunogénicité des vaccins produits par la fabrication du « Processus 1 » ou du « Processus 2 » chez les participants âgés de 16 à 55 ans. Cet objectif exploratoire a été supprimé et documenté dans l’amendement 20 du protocole en septembre 2022 en raison de l’utilisation intensive de vaccins fabriqués via le « Processus 2 ». Ainsi, cette comparaison de processus n’a pas été effectuée dans le cadre de la documentation formelle dans le cadre de l’amendement du protocole.
Pfizer a obtenu un laissez-passer gratuit pour sauter les études de comparabilité biologique et la FDA est restée silencieuse sur la question. Le problème a désormais été mis en lumière. Les processus de fabrication des vaccins contre la COVID-19 ont été délibérément modifiés avant qu’ils ne soient produits en masse et diffusés auprès de la population, et ce problème pourrait avoir des conséquences cancérigènes chez l’homme dans les années à venir.
La sécurité des vaccins Covid : l’argument pro homine, aussi fallacieux qu’ad hominem
Par le Dr Emanuel Garcia Recherche mondiale, 12 décembre 2023
« Les individus sont la principale préoccupation et les premiers destinataires des normes et principes des droits de l’homme.
C’est pourquoi tous les instruments relatifs aux droits de l’homme visent la meilleure protection possible de la personne humaine. Cette théorie, qui sous-tend tout le système des droits de l’homme, est appelée le principe pro homine. »
L’argumentum ad hominem est largement considéré comme un moyen ou une tactique visant à détourner l’attention des faits d’une affaire sur la personne. Il cherche à discréditer une proposition ou une présentation de preuve en attaquant son promoteur, le caractère ou les traits de la personne elle-même.
Prenons comme exemple un débat hypothétique entre deux scientifiques sur la sécurité des vaccins covid.
Le scientifique numéro 1 apporte la preuve d’une incidence accrue de myocardites, d’accidents vasculaires cérébraux, de problèmes rénaux, de fausses couches et de crises cardiaques à la suite de l’inoculation de Pfizer en Nouvelle-Zélande, et établit une corrélation entre le développement de ces affections et le déploiement du vaccin.
Si le scientifique numéro 2 ignore les données et soutient à la place que son adversaire est un théoricien du complot délirant qui a également été condamné pour conduite en état d’ébriété et dont les données ne peuvent donc pas être valides, il se lancerait dans une attaque ad hominem . Si la recherche de la vérité était primordiale, il n'emploierait jamais une telle tactique, car l'alcool au volant ou les délires n'ont rien à voir avec les faits présentés qui devraient eux-mêmes pouvoir être confirmés ou infirmés.
Il y a cependant une autre facette de cette médaille qui, à ma connaissance, n'a pas été identifiée par les logiciens, les débatteurs et les philosophes avec la même clarté et la même précision, mais qui est en fait tout aussi fallacieuse et destructrice pour la recherche de la vérité : l' argumentum pro homine .
Disons que le débatteur numéro 1 est généralement considéré comme une personne solide, honnête et décente qui soutient que le niveau de la mer à Wellington augmente à un rythme alarmant, de sorte que la ville sera engloutie d'ici dix ans.
Le débatteur numéro 2 , qui est un pyromane reconnu coupable, armé de chiffres, de tableaux et de graphiques, contredit son argument.
Le comité de jugement se range du côté du citoyen honnête sur la seule base de sa réputation personnelle et refuse d'évaluer les éléments fournis par son adversaire. La conclusion est que tout ce que dit le débatteur numéro 1 doit être vrai simplement parce que c'est un bon gars ou qu'elle est une bonne fille, pour ainsi dire. Cette position est tout aussi ridicule et nuisible qu’une attaque ad hominem.
Il s’agit bien entendu d’exemples assez extrêmes utilisés à des fins de démonstration. La vie, étant une énigme désordonnée, ne présente pas souvent des situations claires, des situations dans lesquelles les preuves peuvent être facilement évaluées, de sorte que nous nous retrouvons confrontés à des ambiguïtés. Néanmoins, se fier au caractère perçu de la personne n’est pas un indicateur suffisant de la vérité d’une proposition. J’entends si souvent dire qu’un tel est « bon » ou « authentique », ce qui est un prélude à un avertissement selon lequel tout ce qu’il dit doit être correct – et si souvent j’entends le contraire, malgré le fait que le Diable , comme nous le savons tous, peut citer parfaitement les Écritures. Et quant à savoir qui est saint ou « authentique » ou autre, souvenez-vous de l'avertissement du roi Duncan dans Macbeth : « il n'y a pas d'art pour trouver la construction de l'esprit dans le visage ». En d’autres termes, ce n’est que par nos fruits que nous serons reconnus.
Hier encore, j'ai promis de montrer à une amie quelques conseils sur la technique du violon et elle, étant une amie, a répondu par une animation en disant "Oh, je sais qu'ils seront excellents !"
Je n'étais pas d'accord : elle n'en savait rien car je n'avais encore rien démontré et je lui ai dit qu'elle devait réserver son jugement jusqu'à ce que je le fasse ! Bien sûr, elle me faisait confiance et était bien disposée par amitié, mais elle ne pouvait savoir si ma méthode au violon serait utile qu'après l'avoir essayée. Sa conclusion pro homine prématurée n’avait aucun fondement et nécessitait un test très réel avant qu’elle puisse dire quoi que ce soit avec certitude.
Il ne s’agit pas là d’une question de lenteur, mais d’une question de grande importance : la vérité est la vérité, quel que soit celui qui la propose, et le faux est le faux. Dans notre paysage de guerre à l'envers et en constante évolution, une grande partie dépend des réactions émotionnelles, des préjugés, des préjugés, du désir de voir ses souhaits se réaliser. Je le comprends bien, mais nous devons toujours nous garder de laisser notre raison être ainsi outrepassée.
Je suis récemment tombé par hasard sur une belle édition soignée d'un vieux roman que j'avais lu il y a plusieurs décennies – Typhoon de Joseph Conrad . Je ne m'en souvenais de rien, sauf qu'un navire avait été pris dans une terrible tempête en mer et avait réussi à survivre. En fait, c'est à peu près l'intrigue du court roman, mais on ne lit pas Conrad pour l'intrigue – ou, du moins, ce n'est pas moi. C'est la perspicacité, le frisson et l'émerveillement de sa prose extraordinaire, dans laquelle pratiquement chaque phrase devient une aventure de découverte, comme dans l'exemple suivant :
L'obscurité lointaine devant le navire était comme une autre nuit vue à travers la nuit étoilée de la terre – la nuit sans étoiles des immensités au-delà de l'univers créé, révélée dans son immobilité épouvantable à travers une fissure basse dans la sphère scintillante de laquelle la terre est le noyau.
Je veux dire – eh bien, comment ne pas rester bouche bée devant les splendeurs d’une telle écriture !
Quoi qu’il en soit, le roman avait un peu plus d’intrigue que ce que ma mémoire défectueuse avait découvert. Oui, un navire a traversé une tempête dévastatrice, mais pendant son passage son capitaine, plutôt ennuyeux et sans imagination, a insisté pour que son équipage rétablisse l'ordre parmi une cargaison de Chinois qui, lorsque leurs biens et leur argent avaient été dispersés dans leur cale, avaient commencé à s'émeuter.
S'il y a un « message » dans le merveilleux travail de l'imagination de Conrad, c'est bien celui de garder son sang-froid au milieu des plus terribles calamités et de faire le bon choix. En bref, un message particulièrement pertinent pour nous dans l’ici et maintenant de notre monde étrange et cataclysmique, où il est de plus en plus essentiel pour nous de nous concentrer sur les faits disponibles, aussi savoureux ou peu recommandables soient-ils.
Tous les vaccins ne sont pas une balle mortelle, et tous les suppléments naturels ne sont pas non plus une panacée, peu importe qui le prétend.
Tout en naviguant dans cette guerre longue et meurtrière, il est bon de garder à l’esprit les nombreuses forces émotionnelles, intérieures et extérieures, qui menacent de nous détourner du cours constant des faits.
Il y a encore une facette de ma thèse, qui s’étend dans une autre dimension. Et si une nation réalisait un triomphe phénoménal qui était universellement salué comme unique, bénéfique et inspirant ? Les déprédations de cette nation seraient-elles pardonnées ? Cette magnifique réalisation et le halo durable de sa lueur serviraient-ils à couvrir ses activités les moins agréables au goût ?
Indice : les missions lunaires Apollo ont-elles donné à mes États-Unis d'Amérique un laissez-passer immérité alors qu'elles ont fait des ravages au Vietnam et tant de guerres depuis lors ?
Santé : Prescrire dévoile 105 médicaments à proscrire
La revue médicale Prescrire publie chaque année une liste de médicaments, généralement en vente libre dans les officines, qu’il faudrait éviter pour se soigner. La raison ? En fait ces médicament sont plus dangereux pour la santé qu’ils ne soignent, ce qui ne manque pas d’être un paradoxe. Le 11 décembre 2023, la revue spécialisée a mis à jour sa liste.
Par Paolo Garoscio le 13 décembre 2023 à 8h12
37 % des Français n’ont pas confiance dans le système de santé
Les Français ont tout intérêt à vérifier les produits pharmaceutiques qu’ils utilisent régulièrement. La liste de Prescrire, une liste de 105 médicaments jugés plus dangereux qu'utiles, dont 88 sont commercialisés en France, n’est en effet rien d’autre qu’un guide pour les patients et les médecins.
Santé : le principe du bénéfice-risque est central dans la liste de Prescrire La balance bénéfice-risque est une étape fondamentale dans l'évaluation des médicaments. C’est d’ailleurs en partie ce qui va décider du remboursement, ou non, d’un principe actif par l’Assurance-maladie.
Un médicament est considéré comme dangereux lorsque les risques, notamment d'effets secondaires graves, surpassent les avantages thérapeutiques. Pas étonnant qu’une majorité des médicaments présentés dans la liste 2023 des médicaments à éviter de Prescrire s’attaque essentiellement… aux symptômes et non à la maladie elle-même. Ce qui n’empêche pas forcément ces médicaments d’être en partie utile ou efficaces… mais il vaudrait mieux ne pas les prendre, surtout en-dehors des prescriptions médicales.
Santé : quels médicaments faut-il éviter ?
Parmi les médicaments à éviter signalés par Prescrire, on retrouve des noms familiers comme le Maxilase, le Toplexil, et le Vogalène. Ces médicaments, utilisés pour des symptômes courants comme la toux ou les nausées, présentent des risques disproportionnés par rapport à leur efficacité.
Par exemple, le Maxilase, sans efficacité avérée, peut provoquer des troubles cutanés ou allergiques graves, selon la revue spécialisée. Le Toplexil, pour sa part, est associé à des effets indésirables importants pour un traitement symptomatique de la toux. Quant au Vogalène, il expose à des troubles du rythme cardiaque et à des accidents vasculaires cérébraux.
Outre le Maxilase, le Toplexil et le Vogalène, la liste inclut d'autres médicaments couramment utilisés :
Actifed Rhume, Dolirhume, Humex Rhume, Nurofen Rhume, Rhinadvil : Ces décongestionnants contre le rhume contiennent un vasoconstricteur qui peut entraîner des troubles cardiovasculaires graves.
Smecta (Diosmectite) : Utilisé pour les troubles intestinaux, il contient naturellement du plomb, présentant des risques toxiques.
Voltarène (Diclofénac) : Anti-inflammatoire non stéroïdien, il est associé à un risque accru d'effets indésirables cardiovasculaires.
Vogalib (Métopimazine) : Prescrit pour les nausées et vomissements, il peut causer des troubles du rythme cardiaque et des AVC.
Clarix (Pentoxyvérine) : Utilisé contre la toux, il présente des risques de troubles cardiaques et de réactions allergiques sévères.
La liste (partielle) des médicaments à proscrire par Prescrire
- voir cadre sur site -
La liste complète des médicaments est disponible sur le site officiel de la revue Prescrire.
La vaccination contre l’ARNm du COVID a causé des dégâts dans l’US Air Force. Le gouvernement offre jusqu'à 600 000 $ de bonus pour garder les pilotes
Par Martin Armstrong Recherche mondiale, 12 décembre 2023
La stupidité de l’administration Biden, exigeant que les militaires se soumettent à cette expérience sans valeur du vaccin à ARNm ou soient renvoyés de manière déshonorante, n’a pas seulement entraîné une pénurie de pilotes.
Pourtant, on a constaté une augmentation spectaculaire des problèmes cardiaques parmi ceux qui ont renoncé à leurs droits humains et se sont fait vacciner. Les problèmes cardiaques ont grimpé en flèche, et pour ajouter à cette folie, ce gouvernement stupide offre maintenant jusqu'à 600 000 $ de primes pour garder les pilotes.
Vous ne pouvez pas inventer ce truc.
Mon propre avocat, qui s'est fait vacciner pour pouvoir voyager, s'est retrouvé avec des caillots de sang et ne peut plus voler.
Pfizer devrait être fermé et son chef devrait être en prison pour trahison et homicide involontaire, mais nos merveilleux « représentants » ne représentent qu'eux-mêmes et n'admettront JAMAIS qu'ils ont adopté de tels décrets sur ordre du WEF de Schwab.
Ils ont en effet réalisé notre modèle et ses prévisions d’effondrement des formes de gouvernement « représentatives » après 2032.
Le prochain confinement de type Covid sera bien pire que le premier
Le Covid a rendu acceptable la brutalité de l’UE et des gouvernements nationaux, du moins pour certains. Il a consolidé l’effort mené par le complexe financier numérique pour contrôler et dominer le monde, non pas dans le bon sens, mais en supprimant les droits individuels visant à assurer la « sécurité » de chacun.
Il n’y a guère d’excuse autre que celle de bombarder le public avec une propagande incessante sur un « virus » qui circule et infecte les gens à volonté. Pour ceux qui ont peur, c’est plus que suffisant pour justifier la suspension de vies humaines aussi longtemps que le gouvernement et les médias le jugent nécessaire.
Ce qui s’est passé pendant le Covid est en totale contradiction avec ce pour quoi la Révolution française et les mouvements ouvriers se sont battus. Tout ce qu’il a fallu pour bouleverser les droits fondamentaux et les droits de l’homme, c’est la menace de contracter une « maladie infectieuse » dont beaucoup pensent aujourd’hui qu’elle a été concoctée dans un laboratoire chinois avec l’aide de l’argent des contribuables américains.
Même si les choses se sont un peu calmées depuis le début de la « pandémie », ne vous y trompez pas : l’État profond n’en a pas encore fini avec tout le monde. Attendez-vous à un confinement 2.0, mais cette fois avec des camps de concentration « de quarantaine » pour héberger les « malades » et les « infectés ». Il suffit d’un autre catalyseur pour tromper les masses.
Il y aura d’autres crises planifiées par les pouvoirs en place pour déstabiliser la paix, susciter davantage de peur, et voilà : une autre fausse « pandémie » est née.
« Ne vous y trompez pas : le gouvernement représentatif, comme on l’appelait autrefois, est en train d’être remplacé par un État de biosécurité qui ne se soucie pas de ce que croient ou disent ses sujets », explique encore l’Institut Brownstone. "C'est un changement massif qui est tellement choquant parce que nous n'aurions jamais pensé que nous vivrions une époque comme celle-ci."
« Nous n’aurions jamais pu imaginer que les vérités fondamentales sur les droits de l’homme et les libertés seraient considérées comme démodées et ne seraient plus considérées comme des préoccupations majeures. Notre travail consiste simplement à suivre le rythme alors que la quasi-totalité de la planète est prise en charge par une oligarchie technocratique qui n’a de comptes à rendre à personne, à l’exception du 1 pour cent de la classe dirigeante. "
Les préparatifs dans l’UE
Il suffit de regarder les lois et les réglementations adoptées de nos jours dans une Union européenne totalement corrompue. Aujourd’hui, 13 décembre 2023, l’agenda du « Parlement » européen comprend la création d’un espace européen des données de santé, y compris l’obligation pour les médecins d’y inscrire tous les traitements.
Plus des deux tiers des Européens rejettent le fait que l'industrie puisse consulter nos données de santé non anonymisées, telles que les dossiers de psychothérapie, sans notre consentement pour le développement de produits. La majorité des députés souhaitent en réalité porter atteinte au secret médical dans l'intérêt du profit du secteur.
Les gens veulent nous convaincre que de bons soins ou une bonne recherche ne seraient possibles que si les patients étaient ainsi incapables. Nous sommes en train de créer les conditions du Lockdown 2.0 et de la dictature sanitaire européenne.
- "Bonjour ! Je m'appelle LIA. Je suis plus instruite que des milliards de personnes. J'en ai RIEN A FOUTRE que vous creviez demain le ventre vide. Je ne bouffe rien de ce que vous consommez. Je suis là pour vous remplacer sur la planète Robot. Vous avez compris ou faut-il que je répète ?"
Contamination à l'ADN : rapport sur le scandale de la vaccination à l'ÖRR
13 décembre 2023 de Thomas Oysmüller
Rapport détaillé, objectif et équilibré dans le MDR sur la contamination de l'ADN dans la substance ARNm de Pfizer. Lauterbach et l’industrie de la vaccination et de la pandémie sont lentement en difficulté.
Le scandale de la vaccination ADN a atteint l’ÖRR. Le « MDR Umschau » a fait état mardi de la contamination des vaccins Biontech/Pfizer par de l'ADN étranger dans les nanoparticules lipidiques. Rien de nouveau, de nombreux médias ( dont le TKP - déjà en avril 2023 ) en parlent depuis des mois, mais une contribution objective et journalistiquement précieuse à l'ÖRR constitue une petite avancée. C’est la pointe de l’iceberg qu’on appelle le scandale de la vaccination.
Deux procédés de fabrication
Le fait que la contamination par l’ADN ne soit ni sûre ni efficace n’est qu’un aspect parmi d’autres. Stefan Homburg commente brièvement et succinctement le rapport MDR : « Vous avez obtenu le vaccin fabriqué avec le « Processus 1 » grâce à l'approbation et avez vendu la substance fabriquée avec le « Processus 2 » inférieur. Ceci est juridiquement important car il est plus facile de prouver cette fraude que les victimes de la vaccination.»
À partir de la dixième minute environ, le rapport indique explicitement que le processus de fabrication a été modifié après approbation. La vaccination de masse s’est déroulée différemment de celle du (court) processus d’approbation.
La contribution de 12 minutes vaut la peine d’être regardée. Rares sont les « experts » qui souhaitent commenter la question ; ceux qui le font relativisent et banalisent généralement la question. De plus, il n’est pas du tout clair si les substances sont contaminées. L'Institut Paul Ehrlich, qui est en réalité responsable de la sécurité des vaccins, est pour le moins honnête : il ne contrôle pas lui-même les substances et s'appuie sur les rapports des fabricants. Quel « partenariat public-privé » sain.
Le MDR n’a pas non plus trouvé de laboratoire pour vérifier à nouveau les vaccins des journalistes. Plus de 20 laboratoires annulés. Le ministère de la Santé interroge le laboratoire de
Magdebourg sur lequel se fonde l'enquête. Biontech nie de toute façon tout doute sur sa vache à lait.
La position de Lauterbach Qu’est-ce que le MDR a laissé de côté ? Réponse de Karl Lauterbach à une question de l'AfD au Bundestag. Il a dû faire face à une question sur une contamination à l'ADN il y a quelques semaines. Sa réponse était si audacieuse et scandaleuse qu’elle est rapidement devenue virale. Dans les vaccins, il y aurait « de l’ARNm et non de l’ADN », a-t-il expliqué comme étant stupide à ses collègues de l’AfD, et la question n’était donc « pas scientifique ». Lauterbach a même reçu les applaudissements de ses collègues du groupe parlementaire.
Le MDR termine le rapport sur un espoir (sans doute naïf) : les « autorités responsables » devraient « rapidement » apporter des éclaircissements.
Vous ne pouvez pas vraiment vous attendre à cela. Il ne faut pas s’attendre à ce que Lauterbach et ses brahmanes (les « experts ») et prêtres (influenceurs et rédactions) veuillent soudainement apporter des éclaircissements. Au lieu de cela, ils continueront à rester sur la bonne voie et à promouvoir le rafraîchissement. Étant donné que la contamination par l’ADN n’est que la pointe de l’iceberg. C'est également ce que montre le cours de l'Institut Paul Ehrlich concernant l'actuelle « Lettre de la main rouge » sur la contamination. Ce sont les auteurs de la lettre qui ont été attaqués et non les fabricants des vaccins, a rapporté le TKP.
Liens TKP sur la contamination par l'ADN de la substance Pfizer :
Les seringues à ARNm contiennent des contaminants d'ADN tels que le virus du singe promoteur du cancer 40
Le régulateur européen confirme : Aucune divulgation de la séquence d’ADN dans le vaccin à ARNm par BioNTech
Biochimiste de renom : les seringues Covid sont criblées d’ADN nocif
Par Peter Koenig Recherche mondiale, 12 décembre 2023
Alors que la COP28 touche à sa fin, le moment est peut-être venu de découvrir l’énorme arnaque que ces COP sont, ont été et seront – si la fraude se poursuit dans un avenir incertain.
Pour ceux qui ne le savent pas encore, COP signifie Conférence des Parties ; 28 signifie qu'il s'agit de la 28 ème Conférence des Parties, faisant référence aux conférences des Nations Unies sur les changements climatiques, tenues chaque année dans le contexte de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC).
La COP28 actuelle est organisée par les Émirats arabes unis (EAU). Elle se déroule à Dubaï du 30 novembre au 12 décembre 2023.
Les COP ont commencé avec le (in)célèbre Sommet de la Terre en 1992 à Rio de Janeiro, au Brésil. C’est à ce moment-là que l’arnaque à plusieurs milliards de dollars a commencé. En fait, le précurseur de cette fraude est le rapport du Club de Rome « Limites à la croissance », qui reste le modèle d'une grande partie de l'Agenda 2030 des Nations Unies et de la Grande Réinitialisation.
Les COP sont une escroquerie mondiale qui s’étend aux 193 pays membres de l’ONU, de la même manière que l’escroquerie COVID qui a commencé à minuit le 31 décembre 2019 – et a marqué le début de l’Agenda 2030 de l’ONU, alias la Grande Réinitialisation du FEM.
Au cas où vous ne le sauriez pas, le Forum économique mondial (WEF), une simple ONG enregistrée dans une banlieue luxuriante de Genève, en Suisse, et l'organisme mondial appelé Nations Unies, ont conclu un accord en 2019, en vertu duquel leurs agendas sont sont couplés et sont censés être mis en œuvre main dans la main.
L'Agenda 2030 de l'ONU et la Grande Réinitialisation du FEM sont 2 en 1, un ensemble de plans monstrueux visant à réduire massivement la population mondiale, à robotiser et à numériser les survivants pour un contrôle total et à utiliser la technologie de géo-ingénierie artificielle aux multiples facettes pour induire un « changement climatique ».
Cela nous ramène au sujet en question – une arnaque aux proportions inouïes, qui maintient encore à ce jour plus de 90 % de la population mondiale envoûtée et endoctrinée par un mensonge monumental lancé sur l’humanité pour un contrôle total et un asservissement par un petit groupe, une élite du « Big Money » complètement malade, incroyablement riche et puissante.
Le président de la COP28 est le sultan Al Jaber des Émirats arabes unis , également PDG de la Compagnie pétrolière nationale d'Abu Dhabi (ADNOC), qui appartient entièrement à l'État des Émirats arabes unis. C'est la 12ème compagnie pétrolière mondiale en termes de production. En 2021, la société disposait d’une capacité de production pétrolière supérieure à 4 millions de b/j (barils par jour) et prévoyait d’augmenter à 5 millions de b/j d’ici 2030.
indéfini
L'entrée de la COP28 avec les drapeaux de toutes les nations (sous licence CC BY-SA 4.0)
La COP28 UAE se déroule du 30 novembre au 12 décembre 2023 à Expo City, Dubaï aux Émirats arabes unis.
En outre, le sultan Al Jaber est également membre du Conseil suprême des affaires financières et économiques d'Abu Dhabi. Il est président de l'Emirates Development Bank et du conseil d'administration de l'Université d'intelligence artificielle Mohamed bin Zayed.
ADNOC est fier d'avoir pris des mesures transformatrices pour rendre l'énergie d'aujourd'hui plus propre tout en investissant dans les « énergies propres de demain ».
En signe de la conscience climatique qui précède des événements tels que la COP28, quelques semaines avant le début de la COP28, l'ADNOC a annoncé l'attribution de contrats pour un vaste projet de production de gaz naturel. La société investira dans les champs gaziers offshore de Hail et Ghasha, au large des Émirats. Les deux contrats valent au total 16,9 milliards de dollars.
Une joint-venture entre Abu Dhabi National Petroleum Construction Company (NPCC) et deux sociétés italiennes est responsable des infrastructures sur le continent. Voilà pour le fanatisme climatique officiel de l’Europe.
Le plan est de produire près de 42,5 millions de mètres cubes de gaz d’ici 2030. Le projet est le premier au monde qui vise à être « climatiquement neutre », selon l’ADNOC.
Question : qu’est-ce qui est « climatiquement neutre » en produisant plus de 40 millions de mètres cubes de gaz ? La neutralité climatique n’est qu’un simple slogan injecté dans la peau des gens ordinaires, ils ne doivent donc plus réfléchir. La réflexion a été faite pour eux. « Climatiquement neutre » signifie que tout va bien .
Soyons réalistes, le sultan Al Jabar ne dirige pas la COP28 pour éliminer progressivement l’utilisation des hydrocarbures énergétiques, comme pourraient le rêver les maniaques du climat. Bien sûr que non.
Alors donnons à tous les fanatiques du climat – y compris ceux qui se collent sur les autoroutes et sur les pistes d’aéroport en Europe et aux États-Unis pour protester contre les voitures et les avions fonctionnant aux combustibles fossiles – une image de ce que la réalité leur réserve.
Imaginez , la COP28, à peu près comme la COP27, qui s'est tenue à Charm el-Cheikh en Égypte en novembre 2022, rassemble quelque 70 000 personnes, ou « participants ». Des milliers de personnes viennent d'ONG et d'entreprises qui profitent de l'événement pour créer des réseaux. Environ 2 000 d’entre eux – peut-être plus – sont des lobbyistes pour des compagnies pétrolières, des gouvernements ou des entreprises qui dépendent des combustibles fossiles pour leur économie, leur production et leur avenir.
Ils ne font pas pression pour éliminer progressivement la source d’énergie la plus importante au monde. Environ 85 % de toute l’énergie utilisée dans le monde provient des hydrocarbures.
Ces lobbyistes sont à Dubaï à la COP28 pour conclure des accords pétroliers et gaziers à but lucratif.
Président de la COP28, Dr Sultan Al Jaber : discours de la plénière inaugurale
Cette année plus que jamais. Et Sultan Al Jabar les mettra en contact avec les négociateurs de l’ADNOC, ainsi qu’avec les directeurs commerciaux d’autres grandes sociétés pétrolières et gazières présentes à la COP28 – et auparavant à la COP27, et auparavant à… eh bien, vous voyez l’image.
Imaginez , depuis le sommet de la Terre en 1992 à Rio, c'est chaque année le même cirque – mais en plus grand – alors que la consommation de combustibles fossiles augmente.
Aujourd'hui comme hier, environ 85 % de la consommation totale d'énergie mondiale provient des combustibles fossiles. Il n’y a eu aucun changement dans la consommation d’énergie des hydrocarbures en 30 ans de promesses de « bonne action » et de réduction de la température et des émissions de gaz carbonique – et que sais-je encore ?
Le nombre de lobbyistes et d'accords commerciaux augmente – et le grand public mondial continue de dormir, et le nombre de participants à la COP augmente chaque année.
Quel niveau d’émission de gaz carbonique générerait un sommet de deux semaines réunissant 70 000 personnes, dont beaucoup de gros bonnets et de gros dépensiers ? Probablement des milliers de tonnes – voire plus – de gaz carbonique.
Il suffit de penser au trafic aérien pour les participants : de nombreux VIP viennent dans leurs jets privés – un peu comme les gros bonnets qui se rendent aux réunions annuelles du WEF à Davos.
Sans oublier la nourriture et les boissons – la production, le transport, la consommation, le confort climatisé des chambres d'hôtel des participants – et bien plus encore. Tu l'as eu.
Ou bien, quelqu’un a-t-il osé calculer les émissions de gaz carbonique des guerres et des conflits actuellement actifs, persistants et sans fin à travers le monde ? Poussé, bien sûr, par les forces obscures derrière la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), appelez-la le complexe financier-militaire-informatique-médias-pharmaceutique (FMIMP) à peine visible ?
Parler des émissions de gaz carbonique et autres « gaz à effet de serre » émanant des guerres est un sujet strictement interdit lors des COP. Sinon, vous pourriez mettre en danger le concept de profit énorme du complexe FMIMP.
Après tout, ce sont eux qui prennent les devants et tirent les ficelles de l’endoctrinement et de l’abrutissement des gens pour croire au changement climatique – qui est si grave, dit-on, qu’il affecte la vie sur terre pendant l’espace d’une vie humaine. environ 80 ans.
Certes, le climat change tout le temps. Mais le soleil est de loin le principal moteur du véritable changement climatique. Les mouvements solaires représentent environ 97 % du climat de la Terre Mère. C'était le cas depuis que la terre existe.
Des changements climatiques majeurs pourraient survenir d’ici 20 000 à 30 000 ans, avec des cycles plus courts entre les deux, mais toujours à un rythme permettant à la vie sur Terre de s’adapter. Cela a été l'histoire jusqu'à présent, et la vraie science nous dit que cette histoire continue son cours pendant les milliards d'années prévisibles qui restent à la Terre Mère.
Prenez ceci : personne ne prête la moindre attention aux événements générant du gaz carbonique et d’autres « gaz à effet de serre » comme ces GOP et les guerres sans fin menées par l’Occident. Mais le gouvernement néerlandais envisage de forcer près de 3 000 fermes, soit un tiers des terres agricoles néerlandaises, à rester inutilisées, à cause – littéralement – des vaches qui pètent et d’autres émissions de méthane à tendance agricole, prétendument affectant notre climat.
La petite Hollande, avec à peine 42 000 km² et environ 18 millions d'habitants, est le deuxième exportateur mondial de produits agricoles, juste après les États-Unis. Se pourrait-il qu’il y ait un autre programme de Bill Gates – la misère et la mort par famine – derrière cette entreprise ridicule ?
A noter également cette petite anecdote innocente sur zoom il y a quelques jours, entre Mary Robinson, ancienne présidente irlandaise, et Sultan Al Jaber, président de la COP28.
« Nous sommes confrontés à une crise absolue qui touche particulièrement les femmes et les enfants… car nous ne nous sommes pas encore engagés à éliminer progressivement les combustibles fossiles…. Vous, en tant que président de la COP28, pourriez désormais dire avec beaucoup de crédibilité puisque vous êtes le PDG de l'ADNOC…. « Nous devons éliminer progressivement les combustibles fossiles et convertir les économies mondiales en énergies abordables, renouvelables et propres. Cela ne se fera pas du jour au lendemain, mais c’est urgent. C'est ce que j'aimerais entendre, votre mot « urgent ».
Le sultan Al Jaber, avec beaucoup de patience, répond :
« Il n’y a aucune science derrière ce que vous me demandez de faire, qui est d’éliminer progressivement les combustibles fossiles, le pétrole, le gaz, le charbon… vous mentez à ce sujet et vous voulez que je mente à ce sujet en votre nom. »
Le président de l'ADNOC ajoute que l'élimination progressive du charbon, du pétrole et du gaz ramènerait le monde « dans des grottes ». Voir la vidéo ci-dessous.
La COP28 se terminera comme toutes les COP précédentes – sans conclusions définitives.
Les « accords » de la COP21 de Paris ne sont toujours pas respectés ; on en parle, mais ils restent insatisfaits.
Les gouvernements des pays continueront de réfléchir aux accords de Paris, d'envisager des solutions, de les présenter et d'en débattre lors de la prochaine COP et de la prochaine…
(...) Les COP sont une escroquerie mondiale qui s’étend aux 193 pays membres de l’ONU, de la même manière que l’escroquerie COVID qui a commencé à minuit le 31 décembre 2019 – et a marqué le début de l’Agenda 2030 de l’ONU, alias la Grande Réinitialisation du FEM. (...)
(...) La petite Hollande, avec à peine 42 000 km² et environ 18 millions d'habitants, est le deuxième exportateur mondial de produits agricoles, juste après les États-Unis. (...)
Hollande: Surface
Totale : 41 526 km² Terre :: 33 883 km² Eau:::::: 7 643 km²
(1 km² = 100 ha)
Ce n'est pas l'intelligence artificielle' qui fait vivre les Pays-Bas mais le nombre se serres montées contre le froid, le vent, la pluie et la neige !
Un ancien ministre allemand prévient que le gouvernement utilise le gaz carbonique « comme le virus » pour créer une tyrannie
Par Jo Nova December 13th, 2023
La pandémie a réveillé beaucoup de gens
NoTricksZoneMerci à Pierre Gosselin de NoTricksZone qui nous fait savoir que Kristina Schröder — ministre du gouvernement d'Angela Merkel pendant quatre ans, a écrit dans Der Pragmaticus, sa crainte que le gouvernement allemand copie le sombre schéma de la pandémie pour créer une nation. où le gouvernement contrôle ce que les gens mangent et portent, et s'ils peuvent voyager.
Cela aurait été utile si elle avait vu cela se produire il y a dix ans, lorsqu’elle était ministre, mais elle dit qu’elle ne croyait pas que les Allemands accepteraient des restrictions drastiques pour le « bien collectif » jusqu’à ce que la pandémie frappe. Elle se demande maintenant pourquoi il y a un aveuglement quant aux coûts de l’action climatique et pourquoi il y a une indifférence face aux pertes de liberté. (De toute évidence, le complexe de censure médiatique et industrielle allemande est comme le reste de l’Occident, et il n’y a aucune indignation autorisée, aucun nœud de protestation sur lequel se rassembler, et un flux constant d’arguments – « les énergies renouvelables sont bon marché », le « monde il fait plus chaud que jamais » et « le changement climatique rend les poissons rouges alcooliques », ce genre de choses).
La bonne nouvelle, c’est que la nouvelle se répand…
Kristina Schröder : (traduction Google)
Les droits fondamentaux en mode crise Le Corona est désormais terminé, il s’agit désormais du changement climatique. Et là encore, on peut observer les deux schémas d’argumentation qui prédominent pendant la pandémie : le refus de peser les choses et une pensée selon laquelle la fin justifie les moyens.
Dans le contexte de l'expérience de la pandémie, il est facile d'imaginer ces futures mesures visant à contenir l'infection, le pardon, l'apparition du gaz carbonique : il existe une menace d'exigences qui affectent notre mode de vie le plus privé. La façon dont nous vivons, nous chauffons, nous déplaçons, voyageons et ce que nous mangeons pourrait bientôt ne plus être une décision individuelle, mais de plus en plus dictée par l'État.
Le directeur de longue date de l'Institut de recherche sur l'impact climatique de Potsdam, Hans Joachim Schellnhuber, considéré dans certains milieux comme le plus important protecteur du climat en Allemagne, a déjà fait une suggestion correspondante : on pourrait fournir à chaque citoyen un budget gaz carbonique de trois tonnes par an. Quiconque sait que les Allemands sont actuellement responsables d'une moyenne d'émissions de onze tonnes de gaz carbonique par habitant et par an peut comprendre ce que cela signifie.
Comme le fait observer Gosselin Schröder « ... jusqu'à présent, de nombreux Allemands ont agi avec complaisance face à des propositions aussi drastiques ». Schröder pose la question à 64 000 milliards de dollars de notre époque : pourquoi les Allemands (comme une grande partie de l’Occident) sont-ils prêts à accepter si facilement ces pertes de droits fondamentaux ?
Schröder, qui contribue régulièrement à Welt, se demande également pourquoi il existe en Allemagne une telle « cécité quant aux coûts » de la réduction du gaz carbonique. « Pourquoi cette indifférence face à la perte de liberté et de prospérité ? Et : « Pourquoi cette aspiration aux interdits, au renoncement et à la pénitence ?
Schröder est désormais conscient (tardivement) que les militants ne se soucient pas de l’environnement mais utilisent le changement climatique pour combattre le système capitaliste maléfique.
Je suis convaincu qu’une grande partie du mouvement pour la protection du climat combat également notre façon de vivre et de faire des affaires, au moins autant qu’elle lutte contre le changement climatique. Ils adhèrent au discours, très puissant dans les mouvements de gauche du monde occidental depuis les années 1970, selon lequel les sociétés d’économie libre et de marché sont structurellement exploitantes et destructrices. Et bien sûr, structurellement discriminatoire et raciste ; C’est à cela que font face les membres du mouvement wakeness.
Les conclusions empiriques évidentes selon lesquelles plus un pays est capitaliste, plus l’eau et l’air sont purs et plus la flore et la faune sont diversifiées, sont largement ignorées dans ces cercles. Avec la protection du climat, les militants ont trouvé un puissant levier pour faire reculer le système capitaliste détesté.
C’est la crise pour le plaisir d’avoir une crise – et par définition elle ne doit jamais être résolue :
Je suis sûr que si une solution technique était trouvée demain qui nous permettrait de rendre le gaz carbonique globalement inoffensif, une grande partie du mouvement radical de protection du climat ne serait pas soulagée, mais plutôt déçue.
Peut-être que Pierre pourrait lui parler de l'énergie nucléaire ?
Le commentaire complet de Kristina Schröder se trouve dans Der Pragmaticus
Nous avons déjà un dictateur en chef : comment le pouvoir absolu a corrompu le président
Par John W. Whitehead et Nisha Whitehead Recherche mondiale, 12 décembre 2023
« Il dit : 'Vous n'allez pas être un dictateur, n'est-ce pas ?' J'ai dit : « Non, non, non, à part le premier jour. Nous fermons la frontière et nous forons, forons, forons. Après, je ne suis pas un dictateur. " -Donald Trump à Sean Hannity après qu'on lui a demandé s'il abuserait du pouvoir après avoir été réélu.
Dictateur un jour, dictateur toujours.
Avide de pouvoir, anarchique et résolu dans sa quête de pouvoirs autoritaires, le gouvernement n’abandonne pas volontairement ces pouvoirs une fois qu’il les acquiert, les utilise et, inévitablement, en abuse.
De même, tout candidat à la présidentielle qui promet d’être un dictateur dès le premier jour , s’il est élu, sera dictateur en chef à vie.
Là encore, le président est déjà un dictateur doté de pouvoirs permanents : impériaux, irresponsables et inconstitutionnels grâce à une directive relativement obscure ( Directive présidentielle de sécurité nationale 51 et Directive présidentielle de sécurité intérieure 20 ), qui fait partie du plan de continuité du gouvernement (COG) du pays, qui donne au président un pouvoir exécutif, législatif et judiciaire illimité en cas d’« urgence nationale ».
Cette urgence nationale peut prendre n’importe quelle forme, peut être manipulée à n’importe quelle fin et peut être utilisée pour justifier n’importe quel objectif final – tout cela selon la volonté du président.
Peu importe la nature de la crise : troubles civils, urgences nationales, « effondrement économique imprévu, perte de l’ordre politique et juridique fonctionnel, résistance ou insurrection intérieure délibérée, urgences de santé publique généralisées et catastrophes naturelles et désastreuses ». catastrophes humaines » – dans la mesure où cela permet au gouvernement de justifier toutes sortes de tyrannie gouvernementale au nom de la soi-disant sécurité nationale.
Le pays serait alors soumis par défaut à la loi martiale, et la Constitution et la Déclaration des droits seraient suspendues.
À toutes fins pratiques, la Constitution est suspendue depuis longtemps et nous opérons depuis un certain temps déjà dans un état de loi martiale.
Les pouvoirs d’urgence que nous connaissons et dont les présidents pourraient revendiquer pendant de tels états d’urgence sont vastes, allant de l’imposition de la loi martiale et de la suspension de l’habeas corpus à la fermeture de toutes les formes de communication, y compris la mise en œuvre d’un coupe-circuit Internet et la restriction des déplacements.
Pourtant, selon des documents obtenus par le Brennan Center , il pourrait exister de nombreux autres pouvoirs secrets que les présidents pourraient instituer en temps de soi-disant crise sans surveillance du Congrès, des tribunaux ou du public.
Déployant la même stratégie qu'il a utilisée lors du 11 septembre pour acquérir de plus grands pouvoirs dans le cadre du USA Patriot Act, l'État policier – alias le gouvernement fantôme, alias l'État profond – planifie et se prépare à de telles crises depuis des années maintenant , assemblant tranquillement un souhait. liste des pouvoirs présidentiels de verrouillage qui pourraient être présentés et approuvés à tout moment.
En effet, l’administration du président Trump a même demandé au Congrès de l’autoriser à suspendre certaines parties de la Constitution chaque fois qu’il le juge nécessaire pendant la crise du COVID-19 et « d’autres » urgences. Le ministère de la Justice (DOJ) est allé jusqu’à tester discrètement une longue liste de pouvoirs terrifiants qui outrepassent la Constitution.
Nous parlons de pouvoirs de confinement (au niveau fédéral comme au niveau des États) : la capacité de suspendre la Constitution , de détenir indéfiniment des citoyens américains, de contourner les tribunaux, de mettre en quarantaine des communautés entières ou des segments de la population, d'outrepasser le premier amendement en interdisant les rassemblements religieux. et des rassemblements de plus de quelques personnes, fermer des industries entières et manipuler l'économie, museler les dissidents, « arrêter et saisir tout avion, train ou automobile pour empêcher la propagation de maladies contagieuses », remodeler les marchés financiers, créer une monnaie numérique (et limitant ainsi davantage l'utilisation de l'argent liquide), déterminent qui doit vivre ou mourir.
Gardez à l’esprit que les pouvoirs que le gouvernement a officiellement demandé au Congrès de reconnaître et d’autoriser ne font qu’effleurer la surface des pouvoirs étendus que le gouvernement s’est déjà unilatéralement revendiqués.
Officieusement , l’État policier, dirigé par le président, bafoue l’État de droit depuis des années maintenant, sans aucune prétention d’être freiné ou limité dans ses prises de pouvoir par le Congrès, les tribunaux ou les citoyens.
Bien que la Constitution confère au président des pouvoirs très spécifiques et limités, ces dernières années, les présidents américains ont revendiqué le pouvoir de modifier complètement et presque unilatéralement le paysage de ce pays, pour le meilleur ou pour le pire.
Les pouvoirs accumulés par chaque président successif grâce à la négligence du Congrès et des tribunaux – pouvoirs qui s’ajoutent à une boîte à outils de terreur pour un dirigeant impérial – permettent à quiconque occupe le Bureau Ovale d’agir en dictateur, au-dessus des lois et au-delà de toute véritable responsabilité.
Comme l’explique le professeur de droit William P. Marshall, « chaque usage extraordinaire du pouvoir par un président augmente la disponibilité du pouvoir exécutif pour les futurs présidents ».
De plus, peu importe que d’autres présidents aient choisi de ne pas profiter d’un pouvoir particulier, car « c’est l’action d’un président en utilisant le pouvoir, plutôt que d’y renoncer, qui a une signification de précédent ».
En d’autres termes, chaque président successif continue d’ajouter à la liste des ordres et directives extraordinaires de son bureau, élargissant la portée et le pouvoir de la présidence et s’accordant des pouvoirs quasi dictatoriaux.
Tous les pouvoirs impériaux rassemblés par les présidents précédents – pour tuer des citoyens américains sans procédure régulière, pour détenir des suspects indéfiniment, pour priver les Américains de leurs droits de citoyenneté, pour exercer une surveillance de masse sur les Américains sans raison valable, pour suspendre les lois en temps de guerre, pour ignorer lois avec lesquelles il pourrait être en désaccord, pour mener des guerres secrètes et convoquer des tribunaux secrets, pour sanctionner la torture, pour contourner les législatures et les tribunaux avec des décrets et des déclarations de signature, pour ordonner à l'armée d'opérer au-delà de la portée de la loi, pour opérer une ombre gouvernement, et agir en dictateur et en tyran, au-dessus des lois et au-delà de toute véritable responsabilité – ont été transmises de Clinton à Bush en passant par Obama, Trump et Biden et seront transmises au prochain président.
Ces pouvoirs présidentiels – acquis au moyen de décrets, de décrets, de mémorandums, de proclamations, de directives de sécurité nationale et de déclarations de signature législatives et qui peuvent être activés par n'importe quel président en exercice – permettent aux présidents passés, présidents et futurs d'opérer au-dessus de la loi et au-delà des limites. portée de la Constitution.
Ce sont ces pouvoirs qui continuent d’être transmis à chaque héritier successif du Bureau Ovale, au diable la Constitution.
La guerre contre la désinformation, la guerre contre la corruption électorale, la guerre contre le COVID-19, la guerre contre le terrorisme, la guerre contre la drogue, la guerre contre l'immigration clandestine : toutes ces contre-mesures sont devenues des armes de conformité et de contrôle entre les mains de l'État policier.
C’est ce que l’on pourrait appeler un coup d’État furtif, rampant, silencieux et au ralenti.
Nous perdons progressivement nos libertés depuis si longtemps – vendues au nom de la sécurité nationale et de la paix mondiale, maintenues au moyen d'une loi martiale déguisée en loi et ordre, et appliquées par une armée permanente de police militarisée et un pouvoir politique. l'élite est déterminée à maintenir son pouvoir à tout prix – qu'il est difficile de déterminer exactement quand tout a commencé à se détériorer, mais « nous, le peuple », en payons le prix maintenant.
Nous payons le prix chaque jour lorsque nous permettons au gouvernement de continuer à mener sa guerre contre le peuple américain, une guerre qui se déroule sur de nombreux fronts : avec des balles et des Tasers, avec des caméras de surveillance et des lecteurs de permis, avec des intimidations et de la propagande, avec les décisions de justice et la législation, avec la connivence de tous les bureaucrates qui dansent au rythme des aumônes des entreprises tout en étant payés par le gouvernement, et le plus efficace de tous, avec la complicité du peuple américain, qui continue de se laisser facilement manipuler par leurs politiques, distraits par leurs passe-temps et acclimatés à un monde dans lequel la corruption gouvernementale est la norme.
Si nous poursuivons dans cette voie, il n’y aura aucune surprise quant à ce qui nous attend à la fin.
Après tout, c’est une histoire qui a été racontée à maintes reprises tout au long de l’histoire sur la facilité avec laquelle la liberté s’effondre et la tyrannie s’élève.
Ce dont nous avons désespérément besoin, c'est d'un engagement concerté et collectif en faveur des principes de gouvernement limité énoncés dans la Constitution, d'un système de freins et contrepoids, et d'une reconnaissance du fait qu'eux - le président, le Congrès, les tribunaux, l'armée, la police, les technocrates et les ploutocrates et les bureaucrates – répondent et sont responsables devant « nous, le peuple ».
Commencez localement – dans vos propres communautés, dans vos écoles, lors des réunions de votre conseil municipal, dans les éditoriaux des journaux, lors des manifestations – en vous opposant aux lois qui sont injustes, aux services de police qui vont trop loin, aux politiciens qui n'écoutent pas leurs électeurs et un système de gouvernement qui devient de jour en jour plus tyrannique.
Nous devons recalibrer l’équilibre des pouvoirs.
Le Congrès doit également mettre fin à l’utilisation de décrets présidentiels, de décrets, de mémorandums, de proclamations, de directives de sécurité nationale et de déclarations de signature législatives comme moyen de contourner le Congrès et les tribunaux.
Comme je l’explique clairement dans mon livre Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictif The Erik Blair Diaries , le pouvoir corrompt, et le pouvoir absolu corrompt absolument, quel que soit le parti au pouvoir.
Le processus visant à renverser un dictateur et à limiter les pouvoirs de la présidence est loin d’être simple, mais il doit au minimum commencer par « nous, le peuple ».
Faire en sorte que le gouvernement respecte les règles de la Constitution.
S'il existe une 'intelligence artificielle' qui se dit être plus instruite que 8 milliards d'habitants et qui ne résout pas les problèmes c'est que l''intelligence artificielle' EST UNE MERDE !
Enfin disons que... il ne faut pas lui poser n'importe quelle question qui n'est pas dans son programme ! Si elle est programmée pour dire qu'un rond est carré et qu'un carré est un rond...
Après l'arrivée de la viande artificielle (c-à-d viande qui n'existe pas), voici qu'arrive la vie artificielle ! "VOUS N'AUREZ RIEN ET VOUS SEREZ HEUREUX ! COMPRIS ??!"
La BBC diffuse de la propagande sur l'agriculture biologique et les pauvres du monde entier souffrent
13 Décembre 2023 Henry I. Miller et Kathleen L. Hefferon, ACSH*
Le radiodiffuseur britannique fait partie d'une collaboration anti-science cynique.
- voir carte sur site -
Combien de personnes dans le monde vivent actuellement dans la pauvreté ? Selon la Banque Mondiale, un peu plus de 9 %, soit environ 720 millions de personnes, subsistent avec moins de 2,15 dollars par jour.
Aux États-Unis, où la pauvreté est mesurée différemment, un pourcentage stupéfiant de 10 % de la population, soit près de 40 millions de personnes, vit sous le seuil de pauvreté.
Qu'en est-il au Royaume-Uni ? Environ 20 % de la population, soit 14 millions de citoyens, sont en situation de pauvreté. Cela fait beaucoup de personnes en situation d'insécurité alimentaire dans l'un des pays les plus riches du monde. Mais alors que de nombreux membres des communautés agricoles et scientifiques comprennent les relations entre les pratiques agricoles, le coût des denrées alimentaires et la sécurité alimentaire, le personnel de la BBC (British Broadcasting Corporation) ne semble pas en avoir la moindre idée.
Le groupe de réflexion Science for a Sustainable Agriculture (SSA) a reproché à la chaîne gouvernementale d'avoir publié des déclarations trompeuses et favorables à l'agriculture biologique dans ses guides de révision en ligne « Bitesize », qui s'adressent spécifiquement aux étudiants. Le SSA a mis en cause la BBC pour des affirmations telles que « le lait et le bœuf biologiques sont produits sans antibiotiques », « les agriculteurs biologiques ... n'appliquent pas de pesticides sur leurs cultures » et « de nombreux agriculteurs se tournent vers l'agriculture biologique car les consommateurs choisissent d'acheter des aliments exempts de produits chimiques ».
La BBC doit être à court de vérificateurs de faits. En fait, les agriculteurs biologiques utilisent des pesticides, ainsi que d'autres produits chimiques. Selon l'USDA, des dizaines de « substances de synthèse » sont autorisées par les règles de l'agriculture biologique aux États-Unis et sont couramment utilisées dans la culture et la transformation des produits biologiques. Nombre de ces pesticides biologiques sont plus toxiques et causent des dommages environnementaux plus importants que leurs équivalents dans l'agriculture conventionnelle (c'est-à-dire non biologique), en particulier les fongicides comme le sulfate de cuivre, qui peuvent tuer les insectes et les animaux utiles. En outre, un article emblématique de Bruce Ames, professeur à l'Université de Californie à Berkeley, et de ses collègues a démontré que 99,99 % des substances pesticides présentes dans l'alimentation humaine sont des substances présentes naturellement dans les plantes pour les protéger des insectes.
Le site web de la BBC poursuit en affirmant que, comparée à l'agriculture biologique, l'agriculture conventionnelle réduit la biodiversité. Il s'agit là d'une autre affirmation erronée de la « Beeb ». En raison de l'interdiction des technologies de pointe, l'agriculture biologique produit des rendements réduits, en moyenne de 20 à 40 % inférieurs à ceux des cultures conventionnelles. Cela signifie qu'il faut plus de terres (et d'eau) pour compenser ces faibles rendements, et l'utilisation accrue des terres pour l'agriculture biologique réduira à son tour les espaces sauvages qui subsistent encore.
L'infographie de la BBC intitulée « Organic Farming and Genetically Modified Food » (agriculture biologique et aliments génétiquement modifiés) contient plusieurs fausses informations. On peut y lire que la modification génétique « implique que les agriculteurs utilisent des semences qui ont été modifiées par des techniques scientifiques. Dans le passé, les plantes étaient améliorées en les croisant avec des plantes plus performantes. Cela permettait aux agriculteurs de cultiver des plantes fortes qui produisaient de grandes quantités de récoltes à vendre. »
En fait, depuis environ un siècle, de nombreuses nouvelles variétés de plantes ont été créées par mutagenèse (traitement des semences avec des produits chimiques ou des radiations pour créer des mutations) et par des croisements avec des parents éloignés, qui utilisent des moyens artificiels pour surmonter les barrières naturelles de la reproduction. Les plantes créées de cette manière comprennent le pamplemousse Ruby Red et le blé dur italien (mutagénèse), ainsi que des fraises, des bananiers et des manguiers (hybridation interspécifique).
En résumé, toutes les cultures ont été « génétiquement modifiées » d'une manière ou d'une autre au cours des millénaires, les techniques les plus récentes – la technologie de l'ADN recombinant, l'interférence ARN et l'édition de gènes – étant les plus précises et les plus prévisibles et, par conséquent, plus sûres que la sélection traditionnelle.
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Mais les connaissances scientifiques ne semblent pas être le point fort de la BBC. Elle est convaincue des avantages supposés des méthodes biologiques, comme elle le montre sur son site web :
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Ces affirmations sur les « avantages » sont d'autant plus flagrantes qu'elles ne tiennent pas compte des faits. Comme nous l'avons vu plus haut, l'agriculture biologique utilise des produits chimiques, dont beaucoup sont toxiques, et le recours à la culture sans labour dans l'agriculture conventionnelle entraîne moins d'érosion des sols et moins d'écoulement de produits chimiques dans les cours d'eau et les nappes phréatiques, ainsi que moins de rejets de dioxyde de carbone dans l'air que l'agriculture biologique.
En résumé, les pratiques rudimentaires et primitives de l'agriculture biologique imposent des contraintes environnementales plus importantes que celles de l'agriculture conventionnelle.
Le reportage de la BBC est d'une négligence inexcusable, voire mensonger. Alors que la propagande en faveur de l'agriculture biologique, qui promeut une approche inférieure et primitive de l'agriculture, est adoptée par les groupes de plaidoyer et la filière biologique, on s'attendrait à ce que l'un des organismes d'information les plus réputés au monde fasse preuve d'une plus grande rigueur dans la collecte des faits.
Une étude réalisée par des chercheurs de l'Université de Californie à Davis, publiée récemment dans le European Journal of Agricultural Economics, a ajouté d'autres préoccupations. Ils ont constaté que, pour de nombreuses raisons, les politiques publiques qui soutiennent l'expansion de l'agriculture biologique en tant que moyen soi-disant réalisable de produire des aliments tout en préservant la durabilité environnementale désavantagent les ménages les plus pauvres.
La production et la commercialisation d'aliments biologiques « sont associées à des coûts unitaires plus élevés et/ou à des rendements réduits par rapport à l'alternative conventionnelle, et ils sont produits et consommés principalement dans les pays riches ». En d'autres termes, ce sont principalement les consommateurs des pays riches disposant d'un revenu disponible plus élevé qui peuvent s'offrir des aliments plus coûteux.
Pour quatre céréales et oléagineux majeurs (le blé, le riz, le maïs et le soja, qui représentent une part importante des calories consommées dans le monde), une augmentation de 3 à 15 % des terres cultivées en agriculture biologique entraînerait une hausse des prix des denrées alimentaires pour les consommateurs des pays pauvres pouvant aller jusqu'à 6,3 %.
Au fur et à mesure que la part des terres cultivées en agriculture biologique augmente dans les pays riches, les prix des principales cultures de base dans les pays pauvres augmentent au point de « représenter une perte globale substantielle pour les consommateurs ».
En résumé, l'agriculture biologique rend l'approvisionnement alimentaire plus coûteux et plus fragile et, lorsqu'elle est pratiquée dans les sociétés pauvres, elle met en danger les populations vulnérables.
La BBC n'est pas obligée d'avaler la propagande biologique
L'affirmation des défenseurs de l'agriculture biologique, reprise par la BBC, selon laquelle l'agriculture biologique profite aux pauvres est non seulement erronée mais cruelle. Promulguée à grande échelle, elle pourrait favoriser la transition vers une agriculture plus biologique, augmentant ainsi la superficie nécessaire à l'agriculture. Cela nuirait à la capacité de maintenir des espaces sauvages, de préserver la biodiversité et de recycler le carbone.
Les prix des denrées alimentaires augmenteraient également en raison des rendements plus faibles de l'agriculture biologique et de son incapacité à produire des cultures génétiquement modifiées à plus haut rendement (qui sont aussi parfois plus nutritives et plus durables).
Il ne s'agit pas d'une éventualité, mais d'une réalité. Prenons par exemple les conclusions révélatrices d'une étude désormais emblématique réalisée en 2019 sur l'impact des émissions de carbone si l'Angleterre et le Pays de Galles passaient à une agriculture biologique à 100 % [voir aussi ici et ici]. En se basant sur des données publiques facilement accessibles, ils ont prédit une baisse de 40 % de la production alimentaire par rapport à l'agriculture conventionnelle, ce qui précipiterait une série d'événements troublants.
« La superficie des terres nécessaires pour compenser les déficits de la production nationale est près de cinq fois supérieure à la superficie des terres d'outre-mer actuellement utilisées pour l'alimentation de l'Angleterre et du Pays de Galles ». Les importations monteraient en flèche, notamment en provenance d'Amérique latine, où la coupe à blanc des forêts pour répondre à la demande de production entraînerait encore plus d'émissions de gaz à effet de serre.
En raison de l'inefficacité relative de la production biologique, notamment par rapport aux cultures génétiquement modifiées (dont beaucoup ne nécessitent pas de labour qui libère du carbone), les perturbations climatiques s'envoleraient. De nombreuses études ont montré que l'instabilité climatique pèse de manière disproportionnée sur les épaules des pauvres.
Tous ces facteurs auront un impact négatif sur le bien-être des consommateurs parmi les plus pauvres du monde, même dans les enclaves riches du Royaume-Uni, de l'Europe et de l'Amérique du Nord.
L'agriculture et la production alimentaire biologiques, sans parler des absurdités comme les draps et les oreillers biologiques, sont une supercherie colossale et coûteuse.
À la suite des plaintes déposées par le SSA et nous-mêmes, la BBC a fait marche arrière, supprimant certaines des erreurs les plus flagrantes de son guide Bitesize, mais son explication n'était pas sincère. À la suite d'un examen interne auquel ont également participé des consultants indépendants, la chaîne a expliqué, dans une lettre de Mme Helen Foulkes, responsable de l'éducation à la BBC, que de nombreuses déclarations étaient en effet « trompeuses » et « ne reflètent pas l'évolution de la science et des opinions sur les impacts de l'agriculture biologique depuis que ce contenu a été initialement commandé ».
Des déclarations qui « ne reflètent pas l'évolution de la science et des opinions sur les impacts de l'agriculture biologique depuis que ce contenu a été initialement commandé » ? Ah bon ? Quand a-t-il été commandé ? En 1970 ?
Il est déjà assez pénible de voir une telle désinformation infligée aux riches, mais il est grotesque que les consommateurs des pays pauvres portent le fardeau le plus lourd de ces politiques narcissiques. Des sources d'information influentes comme la BBC devraient repenser leur collaboration à cette tromperie.
Modification de la législation sur le génie génétique : le droit des brevets empêche un compromis
13 Décembre 2023
Les ministres de l'agriculture de l'UE n'ont pas trouvé de position commune aujourd'hui (11 décembre) sur la réglementation du génie génétique vert et des techniques de sélection modernes comme Crispr/Cas9.
Une fois de plus, les ministres de l'agriculture de l'UE ne parviennent pas à se mettre d'accord sur un mandat de négociation pour la nouvelle réglementation du génie génétique vert et des méthodes de sélection modernes comme Crispr/Cas9.
La modification de la législation européenne sur le génie génétique continue de traîner en longueur. Les ministres de l'agriculture de l'UE n'ont à nouveau pas réussi à se mettre d'accord sur une position commune de négociation lors de leur réunion à Bruxelles lundi, 11 décembre 2023. Déjà lors de la réunion d'octobre, aucune majorité n'avait pu être trouvée. Mais on s'en rapproche désormais un peu plus.
L'association des agriculteurs bio Bioland et l'Arbeitsgemeinschaft bäuerliche Landwirtschaft (AbL – communauté de travail de l'agriculture paysanne) ont salué le fait qu'un compromis n'ait pas été trouvé. « C'est une première victoire d'étape importante pour l'agriculture et la production alimentaire conventionnelle et biologique sans OGM », s'est réjouie Mme Annemarie Volling, experte en OGM chez AbL. De son point de vue, la modification de la législation de l'UE saperait le principe de précaution.
La présidence espagnole de l'UE met en garde contre les inconvénients pour les agriculteurs
Un accord est à portée de main, mais il manque encore la majorité nécessaire, a constaté le président du Conseil de l'UE Luis Planas à la fin du point de l'ordre du jour concerné. La présidence du Conseil avait tenté de présenter un nouveau compromis après la dernière réunion du Comité des Représentants Permanents (Coreper) mercredi dernier (6 décembre 2023), mais n'avait pas réussi à obtenir une évolution de la majorité.
M. Planas a appelé les États membres et la Commission à continuer à travailler pour progresser. La proposition de loi est d'une importance fondamentale, a souligné le ministre espagnol de l'Agriculture. Les agriculteurs européens ne doivent pas être laissés pour compte.
Si aucun accord n'est trouvé au cours de la législature actuelle, un nouveau cadre juridique ne pourra pas entrer en vigueur avant 2025. Le président du Conseil estime que la Commission a également un devoir à remplir. M. Planas espère qu'elle donnera l'impulsion nécessaire pour répondre aux préoccupations de plusieurs États membres sur la question des brevets.
M. Özdemir considère que des questions importantes ne sont pas encore résolues
Le compromis de la présidence du Conseil a été soutenu entre autres par la France, l'Italie, les Pays-Bas et le Danemark. L'Allemagne a annoncé qu'elle s'abstiendrait. [Ma note : ont voté contre : Autriche, Croatie, Hongrie, Luxembourg, Pologne, Roumanie, Slovaquie, Slovénie (8) ; se sont abstenus : Allemagne, Bulgarie (2).]
« Malheureusement, en raison notamment de la courte durée des débats, des questions importantes sont encore en suspens », a déclaré le ministre allemand de l'Agriculture Cem Özdemir. Il a cité dans ce contexte la transparence, la précaution et la coexistence.
Il est important, selon lui, de trouver un large consensus au sein de la société. Outre les intérêts de la science, ceux de l'agriculture, des consommateurs et de l'industrie alimentaire doivent être préservés.
Bioland : on n'est pas encore tiré d'affaire
Pour le président de Bioland, Jan Plagge, « la vache n'est donc pas encore sortie de la glace ». Il exige une prise de position claire de l'ensemble du gouvernement fédéral. Le chancelier Olaf Scholz (SPD), en particulier, doit tenir les promesses qu'il a faites pendant la campagne électorale : le principe de précaution doit également s'appliquer sans restriction aux nouvelles techniques génétiques.
« Il s'agit maintenant de continuer à veiller à tous les niveaux à ce que la coexistence, l'évaluation des risques et l'étiquetage soient garantis », a déclaré le président de Bioland.
Les pays d'Europe de l'Est et du Sud ont également des doutes
Le compromis actuellement discuté au Conseil a été clairement rejeté par la Pologne, la Roumanie, la Croatie et la Hongrie, entre autres. La délégation de Varsovie estime par exemple que le problème des brevets n'est pas encore résolu de manière satisfaisante. En outre, la Pologne estime que l'agriculture biologique n'est pas suffisamment protégée.
La Croatie estime que le principe de précaution n'est pas suffisamment respecté. La Hongrie continue apparemment de considérer la proposition de la Commission comme une atteinte à la souveraineté nationale. Le gouvernement critique entre autres le fait que la Commission puisse à tout moment modifier les critères de classification en deux catégories des plantes produites avec les nouvelles méthodes.
La Commission de l'Agriculture du Parlement Européen doit également voter aujourd'hui sur la proposition de la Commission. [Ma note : elle a rendu un avis favorable.]
Ma note : La proposition a recueilli 17 voix pour (il en faut au minimum 15), représentant 60,35 % de la population (il en faut au minimum 65 %). Une proposition pourrait être adoptée si la Pologne changeait de camp (8,41 %), ou la Roumanie (4,25 %) et un autre pays parmi la Bulgarie, la Croatie, la Hongrie, la Slovaquie.
Il est illusoire, sauf énorme surprise que des pays comme l'Allemagne, l'Autriche et le Luxembourg changent de camp.
Pour la question des brevets, je ne comprends pas le problème.
WIFI : Big Brother vous surveille !
RépondreSupprimer12.12.2023
www.kla.tv/27655
Grâce à votre WIFI, on peut désormais vous « voir » partout dans votre propre maison.
Comment est-ce possible ? Et est-ce que vous le voulez ?
Les box WIFI et tous vos appareils intelligents, y compris votre compteur intelligent, créent un réseau dense d’ondes électromagnétiques dans votre maison. Un scanner situé à l'extérieur de votre habitation peut, grâce à ce réseau d’ondes, détecter tous vos objets, les personnes présentes dans la maison, etc. malgré les murs qui les séparent.
Une équipe de l'Université Carnegie Mellon et de l'Université de Waterloo « a construit l'appareil avec un drone du commerce et du matériel facilement disponible d'une valeur de 20 dollars ». Les technocrates inventent sans conscience, ni éthique ou morale.
Comment cela fonctionne-t-il ?
Le WIFI, ce sont des ondes électromagnétiques dans la bande de fréquence 2,4 et 5 GHz. C'est la même chose que la lumière que vous voyez, sauf qu'elle peut traverser les murs en raison de sa longueur d'onde beaucoup plus grande. Comme la lumière et l'écholocalisation, ces ondes sont réfléchies par différentes surfaces et peuvent être utilisées pour créer une image si elles sont correctement reconstituées.
Le développement de cette technologie remonte au moins à juillet 2005. Au début, seules des formes grossières d'objets pouvaient être détectées. Les applications étaient destinées à des fins militaires et policières. Elles devaient permettre une « meilleure conscience (perception) de la situation ».
En 2008, des chercheurs de l'Université de Californie, Santa Barbara, ont développé une première approche de l'imagerie par WIFI. Depuis, on a assisté à une explosion des méthodes d'imagerie Wi-Fi passive.
En février 2019, une équipe de l'Université d'État du Michigan a publié un article dans la revue IEEE Access, dans lequel elle décrit comment elle a pu utiliser des signaux à 5,5 GHz pour créer une image 2D.
Un ancien employé du DARPA, le Dr Ray Liu, a lancé son premier produit commercial en 2019 : WiFi Detection Domain. Bien entendu, dans le but philanthropique de « rendre le monde plus sûr, plus sain et plus intelligent ». L'entreprise affirme que la technologie est si précise qu'elle peut détecter votre respiration à l'aide des seuls signaux Wi-Fi standard.
de mfg.
RépondreSupprimerSources / Liens :
Big Brother : avec votre WIFI, on peut désormais "voir" partout dans votre maison
https://uncutnews.ch/big-brother-mit-ihrem-wlan-koennen-sie-jetzt-ueberall-in-ihrem-haus-sehen/
Une nouvelle technologie Wi-Fi permet aux chercheurs de voir à travers les murs
https://www.youtube.com/watch?v=u-Tv4PKZioI&t=6s
Interview avec le Dr. Ray Liu
https://www.originwirelessai.com/insights/inventing-wifi-sensing-an-interview-with-dr-ray-liu/
https://www.kla.tv/fr
- "L'intelligence artificielle n'a pu résoudre ce problème."
Supprimer- "C'est donc a nous de faire le travail (?)."
- "C'est l'intelligence artificielle qui l'a dit ?"
- "NON ! C'est moi !"
- "Ce qui veut bien dire que l'intelligence artificielle est pourrie !"
- "C'est elle qui l'a dit ?"
- "Et c'est chez vous qu'elle est fabriquée ! "
Les non vaccinés étaient le bouc émissaire de l’échec des vaccins COVID, selon une étude
RépondreSupprimerLes boucs émissaires et les messages haineux étaient intentionnels et ont brisé des FAMILLES
IGOR TCHOUDOV
10 DÉCEMBRE 2023
Une nouvelle étude scientifique a révélé que les personnes non vaccinées ont été injustement considérées comme des boucs émissaires pendant la pandémie. Rapports Psypost :
https://www.psypost.org/2023/11/the-covid-19-blame-game-unvaccinated-individuals-disproportionately-scapegoated-study-suggests-214419
Je doute que la « découverte scientifique » du bouc émissaire injustifié et mesquin des non vaccinés surprenne la plupart de mes lecteurs, mais les détails des « découvertes » sont intéressants.
Cependant, cet accent mis sur la vaccination a également donné naissance à un phénomène social complexe : la stigmatisation et les préjugés auxquels sont confrontés ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner contre le COVID-19. Une étude récente publiée dans le Journal of Medical Ethics visait à déterminer si les sentiments négatifs envers les non vaccinés pouvaient être considérés comme une forme de bouc émissaire.
« Mes collègues et moi étudions depuis un certain temps les divisions sociales entourant le COVID-19. Nous avons remarqué qu’une grande partie des recherches existantes à l’époque se concentraient sur les conflits émanant de personnes qui écartaient le COVID-19, croyaient aux théories du complot et sous-estimaient généralement la menace du virus. Nous avons également reproduit bon nombre de ces modèles dans nos propres recherches », a déclaré l'auteur de l'étude Maja Graso, professeur adjoint à l'Université de Groningen.
Les auteurs semblent choqués de découvrir qu’une grande partie des mensonges et de la désinformation provenaient du gouvernement et des médias :
«Cependant, ce qui nous a manqué, c'est une réponse à la désinformation et aux conséquences découlant d'une surestimation de la menace. Considérez, par exemple, qu’en 2020, plus de 30 % des Américains pensaient qu’une infection au COVID entraînait un risque d’hospitalisation de 50 % ; cela ne l’a jamais été, et il n’y a jamais eu de preuve suggérant que cela pourrait être le cas. Les individus de gauche ont tendance à surestimer davantage les méfaits du COVID que les conservateurs.
L'étude scientifique de Maja Graso et al. a examiné les attitudes envers les personnes non vaccinées en présentant un questionnaire avec des personnages fictifs : une personne vaccinée nommée Katy et une personne non vaccinée nommée Mark. Katy et Mark étaient tous deux porteurs du virus COVID-19 et ont infecté une personne vulnérable.
RépondreSupprimerIl s’avère que, bien qu’il se trouve dans la même situation, l’individu non vacciné a été choisi pour être blâmé et visé par des émotions extrêmement négatives :
On pourrait s’attendre à ce que je déclame contre les individus de gauche mentionnés ci-dessus. Au lieu de cela, je voudrais souligner que les « partisans de Trump » étaient également enclins à désigner des boucs émissaires et à haïr les non vaccinés, bien que dans une moindre mesure :
La propagande pandémique était forte !
La vérité, bien sûr, était que le vaccin Covid n’a pas fonctionné et n’a empêché aucune transmission, et après un mois ou deux de vaccinations, il a rendu les vaccinés PLUS susceptibles d’être infectés.
Cependant, l’impact de la campagne alarmiste des médias a été considérable. 35% des adultes estiment que la moitié des infections au Covid nécessitent une hospitalisation ! Les auteurs se sont efforcés de rendre leurs conclusions acceptables pour une revue médicale officielle :
Deuxièmement, désigner un bouc émissaire implique que le blâme soit immérité ou disproportionné. Ainsi, nous encourageons les chercheurs, les praticiens et les communicateurs scientifiques en santé publique à considérer les implications de s’appuyer principalement sur des approches basées sur la peur pour atténuer les dommages causés par le C19.65 Par exemple, si 35 % des adultes américains pensaient qu’au moins la moitié des infections au C19 nécessitent une hospitalisation18, cela suggère un échec important de la communication en matière de santé. Le résultat est que cela peut amener les gens à se retourner contre eux et à se blâmer les uns les autres lorsque cela n'est pas justifié par les faits disponibles, qui n'ont peut-être pas été présentés de manière adéquate au public. Nous estimons qu’une question éthique pertinente sur laquelle les responsables de la santé publique devraient débattre est de savoir s’il est moralement obligatoire pour eux de corriger la désinformation, qu’elle surestime ou sous-estime le risque lié au C19.
Troisièmement, nos résultats montrent également l’impact de l’idéologie politique des citoyens sur la désignation de boucs émissaires. Nous n’avons pas testé les raisons pour lesquelles les libéraux sont plus susceptibles de faire des boucs émissaires les individus non vaccinés, mais nous encourageons une enquête plus approfondie pour déterminer si l’exposition médiatique pourrait être un facteur contributif. Tout comme les médias et les politiciens conservateurs sont coupables de désinformation conduisant les gens à sous-estimer certains risques du C1966,67, il est possible que les médias libéraux aient introduit la désinformation dans la direction opposée. Par exemple, Rachel Maddow de MSNBC, un média à l'audience résolument libérale,68 a déclaré en mars 2021 : « Nous savons désormais que les vaccins fonctionnent suffisamment bien pour que le virus s'arrête avec chaque personne vaccinée. »69 Cependant, cette affirmation n'était pas possible. faire à cette époque70, et ce n’était pas non plus vrai. Les essais cliniques initiaux n’ont pas testé leur efficacité sur la transmission.71 Les premières preuves et les déductions raisonnables de la recherche en vaccinologie et en virologie suggèrent que les vaccins n’arrêteraient pas complètement la transmission. En avril 2021, plus de 10 000 infections vaccinales avaient été officiellement signalées aux États-Unis (un sous-dénombrement considérable), dont 10 % avaient été hospitalisées et 2 % d’entre elles étaient décédées.72 Une enquête sur l’épidémie menée par les Centers for Disease Control et La prévention menée en juillet 2021 a révélé que 74 % des cas liés à un événement estival dans le Massachusetts étaient vaccinés et que la plupart étaient symptomatiques.73 Par conséquent, nous soutenons qu’il est important de corriger les affirmations douteuses formulées par les deux côtés du spectre politique, car les deux peuvent fausser le risque et alimenter la polarisation.
RépondreSupprimerPire encore, cette désignation de bouc émissaire, basée sur une fiction complète d'experts officiels de la santé et des médias, a brisé de nombreuses familles, comme le décrit ce message très typique de Reddit de 2021 d'une femme enceinte confuse :
Plus de détails sur ce qui est arrivé à cette mère deux ans plus tard et sur la façon dont les vaccinateurs du COVID ont brisé les familles sont ici :
La haine et la division étaient intentionnelles !
La haine et la division étaient implacables :
RépondreSupprimerQuel en est le résultat ? De toute façon, presque tout le monde avait le COVID. Heureusement, peu sont morts, même si le COVID-19, une chimère SRAS-VIH fabriquée en laboratoire, et les vaccins contre le COVID-19 ont tué des millions de personnes et miné la santé de milliards de personnes.
Le pire résultat serait des milliers de familles brisées, une dévastation économique parmi les familles de travailleurs licenciés non vaccinés et une aliénation sociale et une division persistantes – le tout créé au nom d’une « science » anti-humaine motivée par le profit et le carriérisme.
Je tiens à remercier Maja Graso pour sa courageuse étude. Je dois également mentionner que Modern Discontent, un ami de ce blog, a également couvert cette histoire.
Je voudrais également remercier mes lecteurs, sceptiques face aux vaccins, quel que soit leur statut vaccinal personnel, pour tout ce que vous avez fait pour lutter contre cette folie.
Quoi que vous ayez fait – manifester, partager des messages ou même devenir mon abonné payant – tout compte et a contribué à mettre fin à la folie du COVID.
J’ai été très touchée par la folle discussion (1 226 messages) qui a suivi mon post « brûler les ponts et réconcilier » qui décrivait des liens familiaux brisés. Malheureusement, j’ai appris que les relations de nombreux commentateurs étaient définitivement rompues.
La culpabilité de ces relations brisées incombe en grande partie à des carriéristes anti-humains tels que les chercheurs de Harvard ci-dessus. Les proches qui ont choisi de rompre les liens avec certains d’entre nous sont également victimes de ces tactiques de psychologie de masse industrialisée, conçues pour être irrésistibles pour la plupart. Alors, même si la réconciliation est peu probable, pardonnez-leur !
Merci et dites-nous ce que vous en pensez !
https://www.igor-chudov.com/p/the-unvaccinated-were-unfairly-scapegoated
L’augmentation de la surmortalité entraîne des pertes dans le secteur de l’assurance
RépondreSupprimer13 décembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Les analyses de surmortalité par rapport à avant 2020 ne montrent aucune amélioration de la situation. La raison réside dans les dommages durables causés au système immunitaire par les pics de vaccination, les nanoparticules lipidiques et la contamination massive des préparations d’ARNm. Des pics de vaccination ont désormais été détectés dans l’organisme jusqu’à deux ans après la vaccination et on ne voit pas la fin. Cette surmortalité, non prévue par les tables de mortalité et les mathématiques actuarielles, provoque des troubles dans le secteur des assurances. Les plus jeunes sont particulièrement touchés.
La publication spécialisée Insurance Newsnet rapporte que les experts en assurance-vie et les actuaires considèrent les chiffres comme alarmants et pourraient encore augmenter les rendements et les décès dans les années à venir.
Les assureurs-vie ont payé un nombre record de sinistres en 2021. En 2021, année la plus récente pour laquelle des données sont disponibles, l'industrie a versé un total de 100,28 milliards de dollars en prestations de décès, selon BestLink. Les versements supérieurs à la moyenne ont commencé en 2020, la première année de la pandémie, lorsque les assureurs ont enregistré une augmentation de 15,4 % des prestations de décès – la plus forte augmentation sur une seule année depuis la grippe espagnole de 1918. En 2021, l’augmentation était de 10,8 %, mais est tombé à 74,27 milliards de dollars au cours des neuf premiers mois de 2022. Mais cela représente toujours plus que les 59,18 milliards de dollars versés au cours de la même période en 2019, avant que la pandémie ne frappe, selon BestLink.
Aux États-Unis, la mortalité a également augmenté en 2020 en raison d’interventions massives dans le système de santé, telles que la ventilation invasive et les mesures radicales non pharmaceutiques.
Selon Josh Stirling, fondateur de l'Insurance Collaboration to Save Lives, une organisation à but non lucratif, explique : « Mais si vous utilisez les données qui semblent les plus fiables, il semble que nous soyons généralement à 13,9 décès pour 100 000, ce qui peut être 7 % au-dessus de la valeur qui aurait effectivement dû être atteinte.
RépondreSupprimerUne enquête menée auprès de ses membres par la Society of Actuaries a révélé qu'en août de l'année dernière, 85 % d'entre eux pensaient que le taux de mortalité continuerait d'augmenter jusqu'en 2025. Il y a deux mois, le même sondage révélait que 79 % des sondés pensaient que les taux de mortalité excessifs persisteraient jusqu'en 2026.
Selon le graphique montrant les taux de mortalité par tranches d’âge de 5 ans, en 2023, le taux de mortalité des jeunes adultes augmentera de 20 %.
Les statistiques du Center of Disease Control des États-Unis montrent que les taux de mortalité dans diverses catégories augmentent à un rythme alarmant. Selon le CDC, le taux de mortalité chez les jeunes adultes augmentera de plus de 20 % d’ici 2023. Les données sur les causes de décès montrent une mortalité cardiaque accrue dans tous les groupes d’âge. Les causes de décès telles que les accidents vasculaires cérébraux, le diabète, les maladies rénales et hépatiques sont également en augmentation.
Selon Samantha Chow, leader mondial du secteur vie, rentes et avantages sociaux chez Capgemini, le grand cabinet de conseil multinational basé à Paris, la véritable préoccupation des assureurs-vie est de « se préparer à une vague inattendue de décès et à l'impact sur leurs actifs sous gestion ». Compte tenu des taux de mortalité excessifs, disposent-ils de réserves suffisantes pour absorber ces sorties ? Il ne s'agit pas seulement de mort ou de santé. Il s’agit de la capacité et de la volonté de l’industrie à gérer ces énormes flux sortants.
Capgemini vient de publier son World Life Insurance Report, qui révèle l'imminence du plus grand transfert de richesse intergénérationnel de l'histoire, une sortie massive de près de 40 % des actifs sous gestion (AUM) des assureurs-vie totalisant 7,8 milliards de dollars d'ici 2040.
Surmortalité en Allemagne : comment la faire disparaître
Nouvelle-Zélande : surmortalité 70 % supérieure à l'année dernière
Eurostat : Une surmortalité toujours élevée dans les pays à taux de vaccination élevés
https://
Ils vous ont injecté un mortier de feu d’artifice ! et dans votre organisme c’est le 14 juillet tous les jours…
RépondreSupprimerle 13 décembre 2023
par pgibertie
Les média ont beau se vouloir rassurants, il leur faut reconnaître que la technologie ARNm déconne un peu et pas seulement pour la covid. L’invention nobelisée de la Pseudouridine conduit à la production par l’organisme de bizarreries moléculaires, un vrai feu d’artifice imprévu.
On nous a dit que les vaccins Covid avaient été « largement testés ». Mais il s’avère que la pseudouridine qu’ils contiennent provoque la génération aléatoire de déchets protéiques, exposant notre corps à un danger. C’est ce qu’on appelle le « frameshifting » : la même chose que la perte de bits dans un code informatique !
Le vax à ARNm c/covid utilise la pseudouridine au lieu de l’uridine créant un changement de cadre équivalent à un saut de bits en informatique. La machinerie cellulaire saute un bit génétique par erreur, d’où la confusion des données lues ensuite.
PR JM SABATIER/
C’était prévisible car le dérivé methyl-1-pseudouridine était décrit comme conduisant à des erreurs de traduction des ARN messagers depuis plusieurs années. J’avais déjà alerté sur ce point (ceci est mentionné dans la partie vaccins écrite pour le livre de Jean-Loup Izambert).
Les codons stop (UAA, UAG, UGA) peuvent ne pas être reconnus lorsque l’uridine est substituée par la méthyl-1-pseudouridine. La glycosylation de la protéine Spike peut varier suivant la structure primaire de la molécule finalement produite (Spike ou autres) et le type cellulaire.
- voir schéma sur site -
RépondreSupprimerLa proportion de naissances prématurées a augmenté à partir de 2021/22 . Coincidence? Ils ont poussé à la vacccxxx des femmes enceintes …
le 12 décembre 2023
par pgibertie
Cette hausse régulière depuis la mi 2021 est curieuse , un peu comme si on avait fait bénéficier toute la population à une expérience médicale, mais laquelle?
Heureusement les journalistes nous expliquent que le vxxxxxccin covid réduit le risque d’avoir des morts nés ou des prématurés
- voir graph sur site -
Les mêmes mécanismes qu’une secte qui dirait que le soleil s’est levé ce matin grâce à nos prières d’hier soir
https://pgibertie.com/2023/12/12/la-proportion-de-naissances-prematurees-a-augmente-a-partir-de-2021-22-coincidence-ils-ont-pousse-a-la-vacccxxx-des-femmes-enceintes/
Moins de la moitié des seniors allemands se sont fait vacciner contre la grippe
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 13 DÉCEMBRE 2023 - 08h45
Attraper la grippe peut être un problème pour certains, mais cela peut mettre la vie en danger pour d’autres.
Les jeunes enfants, les personnes souffrant de maladies préexistantes et les personnes âgées courent un risque accru de mourir d'une infection grippale grave. Jusqu’à 650 000 personnes succombent à la maladie chaque année dans le monde. Dans les pays industrialisés, la plupart de ces décès surviennent dans la tranche d’âge de 65 ans et plus.
Cependant, comme le rapporte Katharina Buchholz de Statista, connaissant cette menace, il est surprenant de constater combien peu de personnes âgées sont régulièrement vaccinées contre la maladie, même dans les pays les plus prospères.
En fait, les taux de vaccination varient considérablement à travers le monde. Le Royaume-Uni arrive en tête de liste des meilleurs taux de vaccination parmi les pays de l’OCDE.
- voir graph sur site -
Infographie : Les personnes âgées de certains pays développés ne se font pas vacciner contre la grippe | Statiste
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
La Corée du Sud et les États-Unis, ainsi que le Chili, la Nouvelle-Zélande, les Pays-Bas et le Danemark font également partie du groupe de pays avec des taux de vaccination supérieurs à 70 % chez les seniors.
Seuls 43,3 % des seniors allemands ont décidé de se faire vacciner.
RépondreSupprimerSelon les données de l'OCDE, les pays d'Europe de l'Est et la Turquie ont les taux les plus bas du classement.
On ne peut s’empêcher de se demander si les mensonges et la propagande entourant les vaccins contre la COVID entraîneront une diminution du nombre de vaccins contre la grippe à l’avenir.
Les pays qui vaccinent un grand nombre de personnes âgées le font souvent grâce à des programmes gouvernementaux de vaccination ciblant directement les personnes âgées.
Au Brésil, par exemple, des campagnes de vaccination ont lieu depuis 1999, au cours desquelles des vaccins contre la grippe sont distribués gratuitement.
https://www.zerohedge.com/medical/less-half-german-seniors-took-flu-shot
La FDA rejette la dangereuse contamination de l’ADN des vaccins COVID après avoir autorisé Pfizer à modifier son processus de fabrication
RépondreSupprimer12/12/2023
Lance D Johnson
Lorsqu'une équipe de chercheurs de l'Ontario, au Canada, a découvert des niveaux élevés de contamination de l'ADN dans les vaccins à ARNm monovalents et bivalents Pfizer/BioNTech et Moderna contre la COVID-19, les agences de réglementation du monde entier auraient dû imposer un moratoire sur les vaccins contre la COVID-19 et enquêter sur leur sécurité. signal.
Cependant, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a complètement rejeté ces conclusions, ignorant ses propres règles et réglementations concernant la contamination par l'ADN des produits pharmaceutiques.
Dans l’étude, chaque vaccin contenait des milliards, voire des centaines de milliards de fragments d’ADN et dépassait donc la norme de falsification de l’ADN de 10 nanogrammes par dose. Les lots étaient si fortement contaminés qu’ils dépassaient les normes de la FDA de 188 à 509 fois la limite réglementaire. Les chercheurs ont également trouvé des fragments d’ADN de plus de 200 paires de bases (une mesure de la longueur de l’ADN), ce qui dépasse également les directives de la FDA.
La FDA hésite à tirer la sonnette d’alarme sur tout problème grave de sécurité lié aux vaccins contre le COVID-19. Il est absolument terrifiant que les agences de réglementation ne se soucient PAS de la sécurité d’un produit expérimental contaminé qui a blessé et tué d’innombrables personnes dans le monde.
La FDA ignore ses propres directives sur la contamination de l'ADN et le risque de cancer
Selon les propres directives de la FDA, l’adultération résiduelle de l’ADN est un problème de sécurité connu avec les vaccins qui peut provoquer une mutagenèse par insertion et augmenter le risque de cancer par l’inhibition des gènes suppresseurs de tumeurs et l’activation des oncogènes.
Les scientifiques de Moderna ont reconnu le risque de contamination de l’ADN dans les vaccins et leur propension à la génotoxicité et au cancer. Dans sa demande de brevet pour les « vaccins HPIV3 », Moderna a écrit :
La vaccination à l'acide désoxyribonucléique (ADN) est une technique utilisée pour stimuler les réponses immunitaires humorales et cellulaires aux antigènes étrangers, tels que les antigènes hMPV et/ou les antigènes PIV et/ou les antigènes RSV. L'injection directe d'ADN génétiquement modifié (par exemple, ADN plasmidique nu) dans un hôte vivant entraîne la production directe par un petit nombre de ses cellules d'un antigène, entraînant une réponse immunologique protectrice. Cette technique pose cependant des problèmes potentiels, notamment la possibilité d'une mutagenèse par insertion, qui pourrait conduire à l'activation d'oncogènes ou à l'inhibition de gènes suppresseurs de tumeurs.
RépondreSupprimerEn raison de ces risques graves, la FDA a mis en place des lignes directrices pour les produits pharmaceutiques contenant de l’ADN résiduel. Ils conseillent l’industrie pharmaceutique :
L'ADN résiduel peut constituer un risque pour votre produit final en raison de son potentiel oncogène et/ou infectieux. Il existe plusieurs mécanismes potentiels par lesquels l'ADN résiduel pourrait être oncogène, notamment l'intégration et l'expression d'oncogènes codés ou la mutagenèse insertionnelle après l'intégration de l'ADN.
La FDA continue de défendre la sécurité des vaccins COVID
Les vaccins à ARNm contiennent des nanoparticules lipidiques qui pénètrent à l’intérieur des cellules pour fournir efficacement de nouvelles instructions, forçant les cellules à synthétiser des protéines de pointe étrangères. De par sa conception, cette expérience a le potentiel de nuire à des personnes présentant des niveaux incalculables d’ADN étranger. Les chercheurs qui ont découvert la contamination de l’ADN des vaccins contre la COVID-19 ont également constaté que le taux d’événements indésirables graves était plus élevé dans les lots Pfizer qui contenaient des niveaux plus élevés de fragments d’ADN.
Cependant, la FDA maintient que la contamination résiduelle de l’ADN des vaccins contre la COVID-19 est bénigne. L'agence affirme "soutenir ses conclusions sur la qualité, la sécurité et l'efficacité des vaccins à ARNm".
"Bien que des préoccupations aient été soulevées précédemment à titre de questions théoriques, les preuves scientifiques disponibles soutiennent la conclusion selon laquelle les infimes quantités d'ADN résiduel ne provoquent pas le cancer ni ne modifient le code génétique d'une personne", maintient l'agence. Leur refus d’enquêter constitue un manquement à leur devoir.
RépondreSupprimer"Avec plus d'un milliard de doses de vaccins à ARNm administrées, aucun problème de sécurité lié à l'ADN résiduel n'a été identifié", affirme la FDA, ajoutant que l'agence "n'a aucune information supplémentaire à fournir pour le moment".
Pfizer a modifié son processus de fabrication après des essais cliniques, empoisonnant la population avec de l'ADN étranger
La FDA n’a pas réussi à superviser la fabrication des vaccins contre le covid-19. Une enquête journalistique révèle que Pfizer a utilisé un processus de fabrication différent pour les essais cliniques précipités de celui utilisé pour fournir les produits à la population mondiale. Le passage du processus 1 (amplification par PCR) au processus 2 (ADN plasmidique linéarisé) a introduit des impuretés d'ADN plasmidique dans le produit final, empoisonnant des millions de personnes avec des fragments provoquant le cancer. La FDA dormait au volant de tout cela, alors que l’Opération Warp Speed livrait les vaccins en un temps record.
La note d’examen de la FDA du 20 novembre 2020 suggérait que les tests étaient en cours. "Une évaluation de comparabilité plus complète englobant des lots supplémentaires provenant de plusieurs nœuds de fabrication DP est en cours et les résultats seront fournis à l'EUA une fois l'étude terminée."
Trois ans plus tard, la FDA a ignoré la question de savoir s'il existait des données humaines comparant les deux processus de fabrication. Selon une demande de la FOIA, aucune étude n’a été réalisée comparant la sécurité et l’immunogénicité des deux processus, comme cela était requis en février 2021.
La FOI a déclaré :
RépondreSupprimer…en octobre 2020, un objectif exploratoire a été ajouté dans l'étude C4591001 pour décrire la sécurité et l'immunogénicité des vaccins produits par la fabrication du « Processus 1 » ou du « Processus 2 » chez les participants âgés de 16 à 55 ans. Cet objectif exploratoire a été supprimé et documenté dans l’amendement 20 du protocole en septembre 2022 en raison de l’utilisation intensive de vaccins fabriqués via le « Processus 2 ». Ainsi, cette comparaison de processus n’a pas été effectuée dans le cadre de la documentation formelle dans le cadre de l’amendement du protocole.
Pfizer a obtenu un laissez-passer gratuit pour sauter les études de comparabilité biologique et la FDA est restée silencieuse sur la question. Le problème a désormais été mis en lumière. Les processus de fabrication des vaccins contre la COVID-19 ont été délibérément modifiés avant qu’ils ne soient produits en masse et diffusés auprès de la population, et ce problème pourrait avoir des conséquences cancérigènes chez l’homme dans les années à venir.
Sources include:
OSF.io
Brownstone.org
RWMaloneMD.substack.com
FDA.gov
Brownstone.org
TGA.gov.au [PDF]
FDA.gov
https://www.naturalnews.com/2023-12-12-fda-dismisses-dna-contamination-of-covid-vaccines.html
La sécurité des vaccins Covid : l’argument pro homine, aussi fallacieux qu’ad hominem
RépondreSupprimerPar le Dr Emanuel Garcia
Recherche mondiale,
12 décembre 2023
« Les individus sont la principale préoccupation et les premiers destinataires des normes et principes des droits de l’homme.
C’est pourquoi tous les instruments relatifs aux droits de l’homme visent la meilleure protection possible de la personne humaine. Cette théorie, qui sous-tend tout le système des droits de l’homme, est appelée le principe pro homine. »
L’argumentum ad hominem est largement considéré comme un moyen ou une tactique visant à détourner l’attention des faits d’une affaire sur la personne. Il cherche à discréditer une proposition ou une présentation de preuve en attaquant son promoteur, le caractère ou les traits de la personne elle-même.
Prenons comme exemple un débat hypothétique entre deux scientifiques sur la sécurité des vaccins covid.
Le scientifique numéro 1 apporte la preuve d’une incidence accrue de myocardites, d’accidents vasculaires cérébraux, de problèmes rénaux, de fausses couches et de crises cardiaques à la suite de l’inoculation de Pfizer en Nouvelle-Zélande, et établit une corrélation entre le développement de ces affections et le déploiement du vaccin.
Si le scientifique numéro 2 ignore les données et soutient à la place que son adversaire est un théoricien du complot délirant qui a également été condamné pour conduite en état d’ébriété et dont les données ne peuvent donc pas être valides, il se lancerait dans une attaque ad hominem . Si la recherche de la vérité était primordiale, il n'emploierait jamais une telle tactique, car l'alcool au volant ou les délires n'ont rien à voir avec les faits présentés qui devraient eux-mêmes pouvoir être confirmés ou infirmés.
Il y a cependant une autre facette de cette médaille qui, à ma connaissance, n'a pas été identifiée par les logiciens, les débatteurs et les philosophes avec la même clarté et la même précision, mais qui est en fait tout aussi fallacieuse et destructrice pour la recherche de la vérité : l' argumentum pro homine .
Disons que le débatteur numéro 1 est généralement considéré comme une personne solide, honnête et décente qui soutient que le niveau de la mer à Wellington augmente à un rythme alarmant, de sorte que la ville sera engloutie d'ici dix ans.
RépondreSupprimerLe débatteur numéro 2 , qui est un pyromane reconnu coupable, armé de chiffres, de tableaux et de graphiques, contredit son argument.
Le comité de jugement se range du côté du citoyen honnête sur la seule base de sa réputation personnelle et refuse d'évaluer les éléments fournis par son adversaire. La conclusion est que tout ce que dit le débatteur numéro 1 doit être vrai simplement parce que c'est un bon gars ou qu'elle est une bonne fille, pour ainsi dire. Cette position est tout aussi ridicule et nuisible qu’une attaque ad hominem.
Il s’agit bien entendu d’exemples assez extrêmes utilisés à des fins de démonstration. La vie, étant une énigme désordonnée, ne présente pas souvent des situations claires, des situations dans lesquelles les preuves peuvent être facilement évaluées, de sorte que nous nous retrouvons confrontés à des ambiguïtés. Néanmoins, se fier au caractère perçu de la personne n’est pas un indicateur suffisant de la vérité d’une proposition. J’entends si souvent dire qu’un tel est « bon » ou « authentique », ce qui est un prélude à un avertissement selon lequel tout ce qu’il dit doit être correct – et si souvent j’entends le contraire, malgré le fait que le Diable , comme nous le savons tous, peut citer parfaitement les Écritures. Et quant à savoir qui est saint ou « authentique » ou autre, souvenez-vous de l'avertissement du roi Duncan dans Macbeth : « il n'y a pas d'art pour trouver la construction de l'esprit dans le visage ». En d’autres termes, ce n’est que par nos fruits que nous serons reconnus.
Hier encore, j'ai promis de montrer à une amie quelques conseils sur la technique du violon et elle, étant une amie, a répondu par une animation en disant "Oh, je sais qu'ils seront excellents !"
Je n'étais pas d'accord : elle n'en savait rien car je n'avais encore rien démontré et je lui ai dit qu'elle devait réserver son jugement jusqu'à ce que je le fasse ! Bien sûr, elle me faisait confiance et était bien disposée par amitié, mais elle ne pouvait savoir si ma méthode au violon serait utile qu'après l'avoir essayée. Sa conclusion pro homine prématurée n’avait aucun fondement et nécessitait un test très réel avant qu’elle puisse dire quoi que ce soit avec certitude.
Il ne s’agit pas là d’une question de lenteur, mais d’une question de grande importance : la vérité est la vérité, quel que soit celui qui la propose, et le faux est le faux. Dans notre paysage de guerre à l'envers et en constante évolution, une grande partie dépend des réactions émotionnelles, des préjugés, des préjugés, du désir de voir ses souhaits se réaliser. Je le comprends bien, mais nous devons toujours nous garder de laisser notre raison être ainsi outrepassée.
RépondreSupprimerJe suis récemment tombé par hasard sur une belle édition soignée d'un vieux roman que j'avais lu il y a plusieurs décennies – Typhoon de Joseph Conrad . Je ne m'en souvenais de rien, sauf qu'un navire avait été pris dans une terrible tempête en mer et avait réussi à survivre. En fait, c'est à peu près l'intrigue du court roman, mais on ne lit pas Conrad pour l'intrigue – ou, du moins, ce n'est pas moi. C'est la perspicacité, le frisson et l'émerveillement de sa prose extraordinaire, dans laquelle pratiquement chaque phrase devient une aventure de découverte, comme dans l'exemple suivant :
L'obscurité lointaine devant le navire était comme une autre nuit vue à travers la nuit étoilée de la terre – la nuit sans étoiles des immensités au-delà de l'univers créé, révélée dans son immobilité épouvantable à travers une fissure basse dans la sphère scintillante de laquelle la terre est le noyau.
Je veux dire – eh bien, comment ne pas rester bouche bée devant les splendeurs d’une telle écriture !
Quoi qu’il en soit, le roman avait un peu plus d’intrigue que ce que ma mémoire défectueuse avait découvert. Oui, un navire a traversé une tempête dévastatrice, mais pendant son passage son capitaine, plutôt ennuyeux et sans imagination, a insisté pour que son équipage rétablisse l'ordre parmi une cargaison de Chinois qui, lorsque leurs biens et leur argent avaient été dispersés dans leur cale, avaient commencé à s'émeuter.
S'il y a un « message » dans le merveilleux travail de l'imagination de Conrad, c'est bien celui de garder son sang-froid au milieu des plus terribles calamités et de faire le bon choix. En bref, un message particulièrement pertinent pour nous dans l’ici et maintenant de notre monde étrange et cataclysmique, où il est de plus en plus essentiel pour nous de nous concentrer sur les faits disponibles, aussi savoureux ou peu recommandables soient-ils.
RépondreSupprimerTous les vaccins ne sont pas une balle mortelle, et tous les suppléments naturels ne sont pas non plus une panacée, peu importe qui le prétend.
Tout en naviguant dans cette guerre longue et meurtrière, il est bon de garder à l’esprit les nombreuses forces émotionnelles, intérieures et extérieures, qui menacent de nous détourner du cours constant des faits.
Il y a encore une facette de ma thèse, qui s’étend dans une autre dimension. Et si une nation réalisait un triomphe phénoménal qui était universellement salué comme unique, bénéfique et inspirant ? Les déprédations de cette nation seraient-elles pardonnées ? Cette magnifique réalisation et le halo durable de sa lueur serviraient-ils à couvrir ses activités les moins agréables au goût ?
Indice : les missions lunaires Apollo ont-elles donné à mes États-Unis d'Amérique un laissez-passer immérité alors qu'elles ont fait des ravages au Vietnam et tant de guerres depuis lors ?
https://www.globalresearch.ca/pro-homine-argument-fallacious-ad-hominem/5842926
Santé : Prescrire dévoile 105 médicaments à proscrire
RépondreSupprimerLa revue médicale Prescrire publie chaque année une liste de médicaments, généralement en vente libre dans les officines, qu’il faudrait éviter pour se soigner. La raison ? En fait ces médicament sont plus dangereux pour la santé qu’ils ne soignent, ce qui ne manque pas d’être un paradoxe. Le 11 décembre 2023, la revue spécialisée a mis à jour sa liste.
Par Paolo Garoscio
le 13 décembre 2023 à 8h12
37 % des Français n’ont pas confiance dans le système de santé
Les Français ont tout intérêt à vérifier les produits pharmaceutiques qu’ils utilisent régulièrement. La liste de Prescrire, une liste de 105 médicaments jugés plus dangereux qu'utiles, dont 88 sont commercialisés en France, n’est en effet rien d’autre qu’un guide pour les patients et les médecins.
Santé : le principe du bénéfice-risque est central dans la liste de Prescrire
La balance bénéfice-risque est une étape fondamentale dans l'évaluation des médicaments. C’est d’ailleurs en partie ce qui va décider du remboursement, ou non, d’un principe actif par l’Assurance-maladie.
Un médicament est considéré comme dangereux lorsque les risques, notamment d'effets secondaires graves, surpassent les avantages thérapeutiques. Pas étonnant qu’une majorité des médicaments présentés dans la liste 2023 des médicaments à éviter de Prescrire s’attaque essentiellement… aux symptômes et non à la maladie elle-même. Ce qui n’empêche pas forcément ces médicaments d’être en partie utile ou efficaces… mais il vaudrait mieux ne pas les prendre, surtout en-dehors des prescriptions médicales.
Santé : quels médicaments faut-il éviter ?
Parmi les médicaments à éviter signalés par Prescrire, on retrouve des noms familiers comme le Maxilase, le Toplexil, et le Vogalène. Ces médicaments, utilisés pour des symptômes courants comme la toux ou les nausées, présentent des risques disproportionnés par rapport à leur efficacité.
Par exemple, le Maxilase, sans efficacité avérée, peut provoquer des troubles cutanés ou allergiques graves, selon la revue spécialisée. Le Toplexil, pour sa part, est associé à des effets indésirables importants pour un traitement symptomatique de la toux. Quant au Vogalène, il expose à des troubles du rythme cardiaque et à des accidents vasculaires cérébraux.
Outre le Maxilase, le Toplexil et le Vogalène, la liste inclut d'autres médicaments couramment utilisés :
RépondreSupprimerActifed Rhume, Dolirhume, Humex Rhume, Nurofen Rhume, Rhinadvil : Ces décongestionnants contre le rhume contiennent un vasoconstricteur qui peut entraîner des troubles cardiovasculaires graves.
Smecta (Diosmectite) : Utilisé pour les troubles intestinaux, il contient naturellement du plomb, présentant des risques toxiques.
Voltarène (Diclofénac) : Anti-inflammatoire non stéroïdien, il est associé à un risque accru d'effets indésirables cardiovasculaires.
Vogalib (Métopimazine) : Prescrit pour les nausées et vomissements, il peut causer des troubles du rythme cardiaque et des AVC.
Clarix (Pentoxyvérine) : Utilisé contre la toux, il présente des risques de troubles cardiaques et de réactions allergiques sévères.
La liste (partielle) des médicaments à proscrire par Prescrire
- voir cadre sur site -
La liste complète des médicaments est disponible sur le site officiel de la revue Prescrire.
https://www.economiematin.fr/sante-medicament-prescrire-liste-danger-2023
La vaccination contre l’ARNm du COVID a causé des dégâts dans l’US Air Force. Le gouvernement offre jusqu'à 600 000 $ de bonus pour garder les pilotes
RépondreSupprimerPar Martin Armstrong
Recherche mondiale,
12 décembre 2023
La stupidité de l’administration Biden, exigeant que les militaires se soumettent à cette expérience sans valeur du vaccin à ARNm ou soient renvoyés de manière déshonorante, n’a pas seulement entraîné une pénurie de pilotes.
Pourtant, on a constaté une augmentation spectaculaire des problèmes cardiaques parmi ceux qui ont renoncé à leurs droits humains et se sont fait vacciner. Les problèmes cardiaques ont grimpé en flèche, et pour ajouter à cette folie, ce gouvernement stupide offre maintenant jusqu'à 600 000 $ de primes pour garder les pilotes.
Vous ne pouvez pas inventer ce truc.
Mon propre avocat, qui s'est fait vacciner pour pouvoir voyager, s'est retrouvé avec des caillots de sang et ne peut plus voler.
Pfizer devrait être fermé et son chef devrait être en prison pour trahison et homicide involontaire, mais nos merveilleux « représentants » ne représentent qu'eux-mêmes et n'admettront JAMAIS qu'ils ont adopté de tels décrets sur ordre du WEF de Schwab.
Ils ont en effet réalisé notre modèle et ses prévisions d’effondrement des formes de gouvernement « représentatives » après 2032.
https://www.globalresearch.ca/covid-mrna-vaccination-has-caused-damage-in-us-air-force-government-offers-up-to-600000-bonus-to-keep-pilots/5842972
Le prochain confinement de type Covid sera bien pire que le premier
RépondreSupprimerLe Covid a rendu acceptable la brutalité de l’UE et des gouvernements nationaux, du moins pour certains. Il a consolidé l’effort mené par le complexe financier numérique pour contrôler et dominer le monde, non pas dans le bon sens, mais en supprimant les droits individuels visant à assurer la « sécurité » de chacun.
Il n’y a guère d’excuse autre que celle de bombarder le public avec une propagande incessante sur un « virus » qui circule et infecte les gens à volonté. Pour ceux qui ont peur, c’est plus que suffisant pour justifier la suspension de vies humaines aussi longtemps que le gouvernement et les médias le jugent nécessaire.
Ce qui s’est passé pendant le Covid est en totale contradiction avec ce pour quoi la Révolution française et les mouvements ouvriers se sont battus. Tout ce qu’il a fallu pour bouleverser les droits fondamentaux et les droits de l’homme, c’est la menace de contracter une « maladie infectieuse » dont beaucoup pensent aujourd’hui qu’elle a été concoctée dans un laboratoire chinois avec l’aide de l’argent des contribuables américains.
Même si les choses se sont un peu calmées depuis le début de la « pandémie », ne vous y trompez pas : l’État profond n’en a pas encore fini avec tout le monde. Attendez-vous à un confinement 2.0, mais cette fois avec des camps de concentration « de quarantaine » pour héberger les « malades » et les « infectés ». Il suffit d’un autre catalyseur pour tromper les masses.
Il y aura d’autres crises planifiées par les pouvoirs en place pour déstabiliser la paix, susciter davantage de peur, et voilà : une autre fausse « pandémie » est née.
« Ne vous y trompez pas : le gouvernement représentatif, comme on l’appelait autrefois, est en train d’être remplacé par un État de biosécurité qui ne se soucie pas de ce que croient ou disent ses sujets », explique encore l’Institut Brownstone. "C'est un changement massif qui est tellement choquant parce que nous n'aurions jamais pensé que nous vivrions une époque comme celle-ci."
« Nous n’aurions jamais pu imaginer que les vérités fondamentales sur les droits de l’homme et les libertés seraient considérées comme démodées et ne seraient plus considérées comme des préoccupations majeures. Notre travail consiste simplement à suivre le rythme alors que la quasi-totalité de la planète est prise en charge par une oligarchie technocratique qui n’a de comptes à rendre à personne, à l’exception du 1 pour cent de la classe dirigeante. "
RépondreSupprimerLes préparatifs dans l’UE
Il suffit de regarder les lois et les réglementations adoptées de nos jours dans une Union européenne totalement corrompue. Aujourd’hui, 13 décembre 2023, l’agenda du « Parlement » européen comprend la création d’un espace européen des données de santé, y compris l’obligation pour les médecins d’y inscrire tous les traitements.
Plus des deux tiers des Européens rejettent le fait que l'industrie puisse consulter nos données de santé non anonymisées, telles que les dossiers de psychothérapie, sans notre consentement pour le développement de produits. La majorité des députés souhaitent en réalité porter atteinte au secret médical dans l'intérêt du profit du secteur.
Les gens veulent nous convaincre que de bons soins ou une bonne recherche ne seraient possibles que si les patients étaient ainsi incapables. Nous sommes en train de créer les conditions du Lockdown 2.0 et de la dictature sanitaire européenne.
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- "Bonjour ! Je m'appelle LIA. Je suis plus instruite que des milliards de personnes. J'en ai RIEN A FOUTRE que vous creviez demain le ventre vide. Je ne bouffe rien de ce que vous consommez. Je suis là pour vous remplacer sur la planète Robot. Vous avez compris ou faut-il que je répète ?"
SupprimerContamination à l'ADN : rapport sur le scandale de la vaccination à l'ÖRR
RépondreSupprimer13 décembre 2023
de Thomas Oysmüller
Rapport détaillé, objectif et équilibré dans le MDR sur la contamination de l'ADN dans la substance ARNm de Pfizer. Lauterbach et l’industrie de la vaccination et de la pandémie sont lentement en difficulté.
Le scandale de la vaccination ADN a atteint l’ÖRR. Le « MDR Umschau » a fait état mardi de la contamination des vaccins Biontech/Pfizer par de l'ADN étranger dans les nanoparticules lipidiques. Rien de nouveau, de nombreux médias ( dont le TKP - déjà en avril 2023 ) en parlent depuis des mois, mais une contribution objective et journalistiquement précieuse à l'ÖRR constitue une petite avancée. C’est la pointe de l’iceberg qu’on appelle le scandale de la vaccination.
Deux procédés de fabrication
Le fait que la contamination par l’ADN ne soit ni sûre ni efficace n’est qu’un aspect parmi d’autres. Stefan Homburg commente brièvement et succinctement le rapport MDR : « Vous avez obtenu le vaccin fabriqué avec le « Processus 1 » grâce à l'approbation et avez vendu la substance fabriquée avec le « Processus 2 » inférieur. Ceci est juridiquement important car il est plus facile de prouver cette fraude que les victimes de la vaccination.»
À partir de la dixième minute environ, le rapport indique explicitement que le processus de fabrication a été modifié après approbation. La vaccination de masse s’est déroulée différemment de celle du (court) processus d’approbation.
La contribution de 12 minutes vaut la peine d’être regardée. Rares sont les « experts » qui souhaitent commenter la question ; ceux qui le font relativisent et banalisent généralement la question. De plus, il n’est pas du tout clair si les substances sont contaminées. L'Institut Paul Ehrlich, qui est en réalité responsable de la sécurité des vaccins, est pour le moins honnête : il ne contrôle pas lui-même les substances et s'appuie sur les rapports des fabricants. Quel « partenariat public-privé » sain.
Le MDR n’a pas non plus trouvé de laboratoire pour vérifier à nouveau les vaccins des journalistes. Plus de 20 laboratoires annulés. Le ministère de la Santé interroge le laboratoire de
Magdebourg sur lequel se fonde l'enquête. Biontech nie de toute façon tout doute sur sa vache à lait.
RépondreSupprimerLa position de Lauterbach
Qu’est-ce que le MDR a laissé de côté ? Réponse de Karl Lauterbach à une question de l'AfD au Bundestag. Il a dû faire face à une question sur une contamination à l'ADN il y a quelques semaines. Sa réponse était si audacieuse et scandaleuse qu’elle est rapidement devenue virale. Dans les vaccins, il y aurait « de l’ARNm et non de l’ADN », a-t-il expliqué comme étant stupide à ses collègues de l’AfD, et la question n’était donc « pas scientifique ». Lauterbach a même reçu les applaudissements de ses collègues du groupe parlementaire.
Le MDR termine le rapport sur un espoir (sans doute naïf) : les « autorités responsables » devraient « rapidement » apporter des éclaircissements.
Vous ne pouvez pas vraiment vous attendre à cela. Il ne faut pas s’attendre à ce que Lauterbach et ses brahmanes (les « experts ») et prêtres (influenceurs et rédactions) veuillent soudainement apporter des éclaircissements. Au lieu de cela, ils continueront à rester sur la bonne voie et à promouvoir le rafraîchissement. Étant donné que la contamination par l’ADN n’est que la pointe de l’iceberg. C'est également ce que montre le cours de l'Institut Paul Ehrlich concernant l'actuelle « Lettre de la main rouge » sur la contamination. Ce sont les auteurs de la lettre qui ont été attaqués et non les fabricants des vaccins, a rapporté le TKP.
Liens TKP sur la contamination par l'ADN de la substance Pfizer :
Les seringues à ARNm contiennent des contaminants d'ADN tels que le virus du singe promoteur du cancer 40
Le régulateur européen confirme : Aucune divulgation de la séquence d’ADN dans le vaccin à ARNm par BioNTech
Biochimiste de renom : les seringues Covid sont criblées d’ADN nocif
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L’arnaque climatique révélée par la COP28
RépondreSupprimerPar Peter Koenig
Recherche mondiale,
12 décembre 2023
Alors que la COP28 touche à sa fin, le moment est peut-être venu de découvrir l’énorme arnaque que ces COP sont, ont été et seront – si la fraude se poursuit dans un avenir incertain.
Pour ceux qui ne le savent pas encore, COP signifie Conférence des Parties ; 28 signifie qu'il s'agit de la 28 ème Conférence des Parties, faisant référence aux conférences des Nations Unies sur les changements climatiques, tenues chaque année dans le contexte de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC).
La COP28 actuelle est organisée par les Émirats arabes unis (EAU). Elle se déroule à Dubaï du 30 novembre au 12 décembre 2023.
Les COP ont commencé avec le (in)célèbre Sommet de la Terre en 1992 à Rio de Janeiro, au Brésil. C’est à ce moment-là que l’arnaque à plusieurs milliards de dollars a commencé. En fait, le précurseur de cette fraude est le rapport du Club de Rome « Limites à la croissance », qui reste le modèle d'une grande partie de l'Agenda 2030 des Nations Unies et de la Grande Réinitialisation.
Les COP sont une escroquerie mondiale qui s’étend aux 193 pays membres de l’ONU, de la même manière que l’escroquerie COVID qui a commencé à minuit le 31 décembre 2019 – et a marqué le début de l’Agenda 2030 de l’ONU, alias la Grande Réinitialisation du FEM.
Au cas où vous ne le sauriez pas, le Forum économique mondial (WEF), une simple ONG enregistrée dans une banlieue luxuriante de Genève, en Suisse, et l'organisme mondial appelé Nations Unies, ont conclu un accord en 2019, en vertu duquel leurs agendas sont sont couplés et sont censés être mis en œuvre main dans la main.
L'Agenda 2030 de l'ONU et la Grande Réinitialisation du FEM sont 2 en 1, un ensemble de plans monstrueux visant à réduire massivement la population mondiale, à robotiser et à numériser les survivants pour un contrôle total et à utiliser la technologie de géo-ingénierie artificielle aux multiples facettes pour induire un « changement climatique ».
Cela nous ramène au sujet en question – une arnaque aux proportions inouïes, qui maintient encore à ce jour plus de 90 % de la population mondiale envoûtée et endoctrinée par un mensonge monumental lancé sur l’humanité pour un contrôle total et un asservissement par un petit groupe, une élite du « Big Money » complètement malade, incroyablement riche et puissante.
RépondreSupprimerLe président de la COP28 est le sultan Al Jaber des Émirats arabes unis , également PDG de la Compagnie pétrolière nationale d'Abu Dhabi (ADNOC), qui appartient entièrement à l'État des Émirats arabes unis. C'est la 12ème compagnie pétrolière mondiale en termes de production. En 2021, la société disposait d’une capacité de production pétrolière supérieure à 4 millions de b/j (barils par jour) et prévoyait d’augmenter à 5 millions de b/j d’ici 2030.
indéfini
L'entrée de la COP28 avec les drapeaux de toutes les nations (sous licence CC BY-SA 4.0)
La COP28 UAE se déroule du 30 novembre au 12 décembre 2023 à Expo City, Dubaï aux Émirats arabes unis.
En outre, le sultan Al Jaber est également membre du Conseil suprême des affaires financières et économiques d'Abu Dhabi. Il est président de l'Emirates Development Bank et du conseil d'administration de l'Université d'intelligence artificielle Mohamed bin Zayed.
ADNOC est fier d'avoir pris des mesures transformatrices pour rendre l'énergie d'aujourd'hui plus propre tout en investissant dans les « énergies propres de demain ».
En signe de la conscience climatique qui précède des événements tels que la COP28, quelques semaines avant le début de la COP28, l'ADNOC a annoncé l'attribution de contrats pour un vaste projet de production de gaz naturel. La société investira dans les champs gaziers offshore de Hail et Ghasha, au large des Émirats. Les deux contrats valent au total 16,9 milliards de dollars.
Une joint-venture entre Abu Dhabi National Petroleum Construction Company (NPCC) et deux sociétés italiennes est responsable des infrastructures sur le continent. Voilà pour le fanatisme climatique officiel de l’Europe.
Le plan est de produire près de 42,5 millions de mètres cubes de gaz d’ici 2030. Le projet est le premier au monde qui vise à être « climatiquement neutre », selon l’ADNOC.
RépondreSupprimerQuestion : qu’est-ce qui est « climatiquement neutre » en produisant plus de 40 millions de mètres cubes de gaz ? La neutralité climatique n’est qu’un simple slogan injecté dans la peau des gens ordinaires, ils ne doivent donc plus réfléchir. La réflexion a été faite pour eux. « Climatiquement neutre » signifie que tout va bien .
Soyons réalistes, le sultan Al Jabar ne dirige pas la COP28 pour éliminer progressivement l’utilisation des hydrocarbures énergétiques, comme pourraient le rêver les maniaques du climat. Bien sûr que non.
Alors donnons à tous les fanatiques du climat – y compris ceux qui se collent sur les autoroutes et sur les pistes d’aéroport en Europe et aux États-Unis pour protester contre les voitures et les avions fonctionnant aux combustibles fossiles – une image de ce que la réalité leur réserve.
Imaginez , la COP28, à peu près comme la COP27, qui s'est tenue à Charm el-Cheikh en Égypte en novembre 2022, rassemble quelque 70 000 personnes, ou « participants ». Des milliers de personnes viennent d'ONG et d'entreprises qui profitent de l'événement pour créer des réseaux. Environ 2 000 d’entre eux – peut-être plus – sont des lobbyistes pour des compagnies pétrolières, des gouvernements ou des entreprises qui dépendent des combustibles fossiles pour leur économie, leur production et leur avenir.
Ils ne font pas pression pour éliminer progressivement la source d’énergie la plus importante au monde. Environ 85 % de toute l’énergie utilisée dans le monde provient des hydrocarbures.
Ces lobbyistes sont à Dubaï à la COP28 pour conclure des accords pétroliers et gaziers à but lucratif.
Président de la COP28, Dr Sultan Al Jaber : discours de la plénière inaugurale
Cette année plus que jamais. Et Sultan Al Jabar les mettra en contact avec les négociateurs de l’ADNOC, ainsi qu’avec les directeurs commerciaux d’autres grandes sociétés pétrolières et gazières présentes à la COP28 – et auparavant à la COP27, et auparavant à… eh bien, vous voyez l’image.
Imaginez , depuis le sommet de la Terre en 1992 à Rio, c'est chaque année le même cirque – mais en plus grand – alors que la consommation de combustibles fossiles augmente.
RépondreSupprimerAujourd'hui comme hier, environ 85 % de la consommation totale d'énergie mondiale provient des combustibles fossiles. Il n’y a eu aucun changement dans la consommation d’énergie des hydrocarbures en 30 ans de promesses de « bonne action » et de réduction de la température et des émissions de gaz carbonique – et que sais-je encore ?
Le nombre de lobbyistes et d'accords commerciaux augmente – et le grand public mondial continue de dormir, et le nombre de participants à la COP augmente chaque année.
Quel niveau d’émission de gaz carbonique générerait un sommet de deux semaines réunissant 70 000 personnes, dont beaucoup de gros bonnets et de gros dépensiers ? Probablement des milliers de tonnes – voire plus – de gaz carbonique.
Il suffit de penser au trafic aérien pour les participants : de nombreux VIP viennent dans leurs jets privés – un peu comme les gros bonnets qui se rendent aux réunions annuelles du WEF à Davos.
Sans oublier la nourriture et les boissons – la production, le transport, la consommation, le confort climatisé des chambres d'hôtel des participants – et bien plus encore. Tu l'as eu.
Ou bien, quelqu’un a-t-il osé calculer les émissions de gaz carbonique des guerres et des conflits actuellement actifs, persistants et sans fin à travers le monde ? Poussé, bien sûr, par les forces obscures derrière la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), appelez-la le complexe financier-militaire-informatique-médias-pharmaceutique (FMIMP) à peine visible ?
Parler des émissions de gaz carbonique et autres « gaz à effet de serre » émanant des guerres est un sujet strictement interdit lors des COP. Sinon, vous pourriez mettre en danger le concept de profit énorme du complexe FMIMP.
Après tout, ce sont eux qui prennent les devants et tirent les ficelles de l’endoctrinement et de l’abrutissement des gens pour croire au changement climatique – qui est si grave, dit-on, qu’il affecte la vie sur terre pendant l’espace d’une vie humaine. environ 80 ans.
RépondreSupprimerCertes, le climat change tout le temps. Mais le soleil est de loin le principal moteur du véritable changement climatique. Les mouvements solaires représentent environ 97 % du climat de la Terre Mère. C'était le cas depuis que la terre existe.
Des changements climatiques majeurs pourraient survenir d’ici 20 000 à 30 000 ans, avec des cycles plus courts entre les deux, mais toujours à un rythme permettant à la vie sur Terre de s’adapter. Cela a été l'histoire jusqu'à présent, et la vraie science nous dit que cette histoire continue son cours pendant les milliards d'années prévisibles qui restent à la Terre Mère.
Prenez ceci : personne ne prête la moindre attention aux événements générant du gaz carbonique et d’autres « gaz à effet de serre » comme ces GOP et les guerres sans fin menées par l’Occident. Mais le gouvernement néerlandais envisage de forcer près de 3 000 fermes, soit un tiers des terres agricoles néerlandaises, à rester inutilisées, à cause – littéralement – des vaches qui pètent et d’autres émissions de méthane à tendance agricole, prétendument affectant notre climat.
La petite Hollande, avec à peine 42 000 km² et environ 18 millions d'habitants, est le deuxième exportateur mondial de produits agricoles, juste après les États-Unis. Se pourrait-il qu’il y ait un autre programme de Bill Gates – la misère et la mort par famine – derrière cette entreprise ridicule ?
A noter également cette petite anecdote innocente sur zoom il y a quelques jours, entre Mary Robinson, ancienne présidente irlandaise, et Sultan Al Jaber, président de la COP28.
Mme Robinson dit au sultan :
RépondreSupprimer« Nous sommes confrontés à une crise absolue qui touche particulièrement les femmes et les enfants… car nous ne nous sommes pas encore engagés à éliminer progressivement les combustibles fossiles…. Vous, en tant que président de la COP28, pourriez désormais dire avec beaucoup de crédibilité puisque vous êtes le PDG de l'ADNOC…. « Nous devons éliminer progressivement les combustibles fossiles et convertir les économies mondiales en énergies abordables, renouvelables et propres. Cela ne se fera pas du jour au lendemain, mais c’est urgent. C'est ce que j'aimerais entendre, votre mot « urgent ».
Le sultan Al Jaber, avec beaucoup de patience, répond :
« Il n’y a aucune science derrière ce que vous me demandez de faire, qui est d’éliminer progressivement les combustibles fossiles, le pétrole, le gaz, le charbon… vous mentez à ce sujet et vous voulez que je mente à ce sujet en votre nom. »
Le président de l'ADNOC ajoute que l'élimination progressive du charbon, du pétrole et du gaz ramènerait le monde « dans des grottes ». Voir la vidéo ci-dessous.
La COP28 se terminera comme toutes les COP précédentes – sans conclusions définitives.
Les « accords » de la COP21 de Paris ne sont toujours pas respectés ; on en parle, mais ils restent insatisfaits.
Les gouvernements des pays continueront de réfléchir aux accords de Paris, d'envisager des solutions, de les présenter et d'en débattre lors de la prochaine COP et de la prochaine…
Amen.
https://www.globalresearch.ca/climate-scam-revealed-cop28/5842976
(...) Les COP sont une escroquerie mondiale qui s’étend aux 193 pays membres de l’ONU, de la même manière que l’escroquerie COVID qui a commencé à minuit le 31 décembre 2019 – et a marqué le début de l’Agenda 2030 de l’ONU, alias la Grande Réinitialisation du FEM. (...)
Supprimer(...) La petite Hollande, avec à peine 42 000 km² et environ 18 millions d'habitants, est le deuxième exportateur mondial de produits agricoles, juste après les États-Unis. (...)
Hollande:
Surface
Totale : 41 526 km²
Terre :: 33 883 km²
Eau:::::: 7 643 km²
(1 km² = 100 ha)
Ce n'est pas l'intelligence artificielle' qui fait vivre les Pays-Bas mais le nombre se serres montées contre le froid, le vent, la pluie et la neige !
Un ancien ministre allemand prévient que le gouvernement utilise le gaz carbonique « comme le virus » pour créer une tyrannie
RépondreSupprimerPar Jo Nova
December 13th, 2023
La pandémie a réveillé beaucoup de gens
NoTricksZoneMerci à Pierre Gosselin de NoTricksZone qui nous fait savoir que Kristina Schröder — ministre du gouvernement d'Angela Merkel pendant quatre ans, a écrit dans Der Pragmaticus, sa crainte que le gouvernement allemand copie le sombre schéma de la pandémie pour créer une nation. où le gouvernement contrôle ce que les gens mangent et portent, et s'ils peuvent voyager.
Cela aurait été utile si elle avait vu cela se produire il y a dix ans, lorsqu’elle était ministre, mais elle dit qu’elle ne croyait pas que les Allemands accepteraient des restrictions drastiques pour le « bien collectif » jusqu’à ce que la pandémie frappe. Elle se demande maintenant pourquoi il y a un aveuglement quant aux coûts de l’action climatique et pourquoi il y a une indifférence face aux pertes de liberté. (De toute évidence, le complexe de censure médiatique et industrielle allemande est comme le reste de l’Occident, et il n’y a aucune indignation autorisée, aucun nœud de protestation sur lequel se rassembler, et un flux constant d’arguments – « les énergies renouvelables sont bon marché », le « monde il fait plus chaud que jamais » et « le changement climatique rend les poissons rouges alcooliques », ce genre de choses).
La bonne nouvelle, c’est que la nouvelle se répand…
Kristina Schröder : (traduction Google)
Les droits fondamentaux en mode crise
Le Corona est désormais terminé, il s’agit désormais du changement climatique. Et là encore, on peut observer les deux schémas d’argumentation qui prédominent pendant la pandémie : le refus de peser les choses et une pensée selon laquelle la fin justifie les moyens.
Dans le contexte de l'expérience de la pandémie, il est facile d'imaginer ces futures mesures visant à contenir l'infection, le pardon, l'apparition du gaz carbonique : il existe une menace d'exigences qui affectent notre mode de vie le plus privé. La façon dont nous vivons, nous chauffons, nous déplaçons, voyageons et ce que nous mangeons pourrait bientôt ne plus être une décision individuelle, mais de plus en plus dictée par l'État.
RépondreSupprimerLe directeur de longue date de l'Institut de recherche sur l'impact climatique de Potsdam, Hans Joachim Schellnhuber, considéré dans certains milieux comme le plus important protecteur du climat en Allemagne, a déjà fait une suggestion correspondante : on pourrait fournir à chaque citoyen un budget gaz carbonique de trois tonnes par an. Quiconque sait que les Allemands sont actuellement responsables d'une moyenne d'émissions de onze tonnes de gaz carbonique par habitant et par an peut comprendre ce que cela signifie.
Comme le fait observer Gosselin Schröder « ... jusqu'à présent, de nombreux Allemands ont agi avec complaisance face à des propositions aussi drastiques ». Schröder pose la question à 64 000 milliards de dollars de notre époque : pourquoi les Allemands (comme une grande partie de l’Occident) sont-ils prêts à accepter si facilement ces pertes de droits fondamentaux ?
Schröder, qui contribue régulièrement à Welt, se demande également pourquoi il existe en Allemagne une telle « cécité quant aux coûts » de la réduction du gaz carbonique. « Pourquoi cette indifférence face à la perte de liberté et de prospérité ? Et : « Pourquoi cette aspiration aux interdits, au renoncement et à la pénitence ?
Schröder est désormais conscient (tardivement) que les militants ne se soucient pas de l’environnement mais utilisent le changement climatique pour combattre le système capitaliste maléfique.
Lutte contre le système
RépondreSupprimerJe suis convaincu qu’une grande partie du mouvement pour la protection du climat combat également notre façon de vivre et de faire des affaires, au moins autant qu’elle lutte contre le changement climatique. Ils adhèrent au discours, très puissant dans les mouvements de gauche du monde occidental depuis les années 1970, selon lequel les sociétés d’économie libre et de marché sont structurellement exploitantes et destructrices. Et bien sûr, structurellement discriminatoire et raciste ; C’est à cela que font face les membres du mouvement wakeness.
Les conclusions empiriques évidentes selon lesquelles plus un pays est capitaliste, plus l’eau et l’air sont purs et plus la flore et la faune sont diversifiées, sont largement ignorées dans ces cercles. Avec la protection du climat, les militants ont trouvé un puissant levier pour faire reculer le système capitaliste détesté.
C’est la crise pour le plaisir d’avoir une crise – et par définition elle ne doit jamais être résolue :
Je suis sûr que si une solution technique était trouvée demain qui nous permettrait de rendre le gaz carbonique globalement inoffensif, une grande partie du mouvement radical de protection du climat ne serait pas soulagée, mais plutôt déçue.
Peut-être que Pierre pourrait lui parler de l'énergie nucléaire ?
Le commentaire complet de Kristina Schröder se trouve dans Der Pragmaticus
https://joannenova.com.au/2023/12/former-german-minister-warns-government-is-using-co2-like-the-virus-to-create-a-tyranny/
SupprimerBientôt arrivée du vaccin anti-gaz carbonique !!
Nous avons déjà un dictateur en chef : comment le pouvoir absolu a corrompu le président
RépondreSupprimerPar John W. Whitehead et Nisha Whitehead
Recherche mondiale,
12 décembre 2023
« Il dit : 'Vous n'allez pas être un dictateur, n'est-ce pas ?' J'ai dit : « Non, non, non, à part le premier jour. Nous fermons la frontière et nous forons, forons, forons. Après, je ne suis pas un dictateur. " -Donald Trump à Sean Hannity après qu'on lui a demandé s'il abuserait du pouvoir après avoir été réélu.
Dictateur un jour, dictateur toujours.
Avide de pouvoir, anarchique et résolu dans sa quête de pouvoirs autoritaires, le gouvernement n’abandonne pas volontairement ces pouvoirs une fois qu’il les acquiert, les utilise et, inévitablement, en abuse.
De même, tout candidat à la présidentielle qui promet d’être un dictateur dès le premier jour , s’il est élu, sera dictateur en chef à vie.
Là encore, le président est déjà un dictateur doté de pouvoirs permanents : impériaux, irresponsables et inconstitutionnels grâce à une directive relativement obscure ( Directive présidentielle de sécurité nationale 51 et Directive présidentielle de sécurité intérieure 20 ), qui fait partie du plan de continuité du gouvernement (COG) du pays, qui donne au président un pouvoir exécutif, législatif et judiciaire illimité en cas d’« urgence nationale ».
Cette urgence nationale peut prendre n’importe quelle forme, peut être manipulée à n’importe quelle fin et peut être utilisée pour justifier n’importe quel objectif final – tout cela selon la volonté du président.
Peu importe la nature de la crise : troubles civils, urgences nationales, « effondrement économique imprévu, perte de l’ordre politique et juridique fonctionnel, résistance ou insurrection intérieure délibérée, urgences de santé publique généralisées et catastrophes naturelles et désastreuses ». catastrophes humaines » – dans la mesure où cela permet au gouvernement de justifier toutes sortes de tyrannie gouvernementale au nom de la soi-disant sécurité nationale.
Le pays serait alors soumis par défaut à la loi martiale, et la Constitution et la Déclaration des droits seraient suspendues.
RépondreSupprimerÀ toutes fins pratiques, la Constitution est suspendue depuis longtemps et nous opérons depuis un certain temps déjà dans un état de loi martiale.
Les pouvoirs d’urgence que nous connaissons et dont les présidents pourraient revendiquer pendant de tels états d’urgence sont vastes, allant de l’imposition de la loi martiale et de la suspension de l’habeas corpus à la fermeture de toutes les formes de communication, y compris la mise en œuvre d’un coupe-circuit Internet et la restriction des déplacements.
Pourtant, selon des documents obtenus par le Brennan Center , il pourrait exister de nombreux autres pouvoirs secrets que les présidents pourraient instituer en temps de soi-disant crise sans surveillance du Congrès, des tribunaux ou du public.
Déployant la même stratégie qu'il a utilisée lors du 11 septembre pour acquérir de plus grands pouvoirs dans le cadre du USA Patriot Act, l'État policier – alias le gouvernement fantôme, alias l'État profond – planifie et se prépare à de telles crises depuis des années maintenant , assemblant tranquillement un souhait. liste des pouvoirs présidentiels de verrouillage qui pourraient être présentés et approuvés à tout moment.
En effet, l’administration du président Trump a même demandé au Congrès de l’autoriser à suspendre certaines parties de la Constitution chaque fois qu’il le juge nécessaire pendant la crise du COVID-19 et « d’autres » urgences. Le ministère de la Justice (DOJ) est allé jusqu’à tester discrètement une longue liste de pouvoirs terrifiants qui outrepassent la Constitution.
Nous parlons de pouvoirs de confinement (au niveau fédéral comme au niveau des États) : la capacité de suspendre la Constitution , de détenir indéfiniment des citoyens américains, de contourner les tribunaux, de mettre en quarantaine des communautés entières ou des segments de la population, d'outrepasser le premier amendement en interdisant les rassemblements religieux. et des rassemblements de plus de quelques personnes, fermer des industries entières et manipuler l'économie, museler les dissidents, « arrêter et saisir tout avion, train ou automobile pour empêcher la propagation de maladies contagieuses », remodeler les marchés financiers, créer une monnaie numérique (et limitant ainsi davantage l'utilisation de l'argent liquide), déterminent qui doit vivre ou mourir.
RépondreSupprimerGardez à l’esprit que les pouvoirs que le gouvernement a officiellement demandé au Congrès de reconnaître et d’autoriser ne font qu’effleurer la surface des pouvoirs étendus que le gouvernement s’est déjà unilatéralement revendiqués.
Officieusement , l’État policier, dirigé par le président, bafoue l’État de droit depuis des années maintenant, sans aucune prétention d’être freiné ou limité dans ses prises de pouvoir par le Congrès, les tribunaux ou les citoyens.
Bien que la Constitution confère au président des pouvoirs très spécifiques et limités, ces dernières années, les présidents américains ont revendiqué le pouvoir de modifier complètement et presque unilatéralement le paysage de ce pays, pour le meilleur ou pour le pire.
Les pouvoirs accumulés par chaque président successif grâce à la négligence du Congrès et des tribunaux – pouvoirs qui s’ajoutent à une boîte à outils de terreur pour un dirigeant impérial – permettent à quiconque occupe le Bureau Ovale d’agir en dictateur, au-dessus des lois et au-delà de toute véritable responsabilité.
Comme l’explique le professeur de droit William P. Marshall, « chaque usage extraordinaire du pouvoir par un président augmente la disponibilité du pouvoir exécutif pour les futurs présidents ».
De plus, peu importe que d’autres présidents aient choisi de ne pas profiter d’un pouvoir particulier, car « c’est l’action d’un président en utilisant le pouvoir, plutôt que d’y renoncer, qui a une signification de précédent ».
RépondreSupprimerEn d’autres termes, chaque président successif continue d’ajouter à la liste des ordres et directives extraordinaires de son bureau, élargissant la portée et le pouvoir de la présidence et s’accordant des pouvoirs quasi dictatoriaux.
Tous les pouvoirs impériaux rassemblés par les présidents précédents – pour tuer des citoyens américains sans procédure régulière, pour détenir des suspects indéfiniment, pour priver les Américains de leurs droits de citoyenneté, pour exercer une surveillance de masse sur les Américains sans raison valable, pour suspendre les lois en temps de guerre, pour ignorer lois avec lesquelles il pourrait être en désaccord, pour mener des guerres secrètes et convoquer des tribunaux secrets, pour sanctionner la torture, pour contourner les législatures et les tribunaux avec des décrets et des déclarations de signature, pour ordonner à l'armée d'opérer au-delà de la portée de la loi, pour opérer une ombre gouvernement, et agir en dictateur et en tyran, au-dessus des lois et au-delà de toute véritable responsabilité – ont été transmises de Clinton à Bush en passant par Obama, Trump et Biden et seront transmises au prochain président.
Ces pouvoirs présidentiels – acquis au moyen de décrets, de décrets, de mémorandums, de proclamations, de directives de sécurité nationale et de déclarations de signature législatives et qui peuvent être activés par n'importe quel président en exercice – permettent aux présidents passés, présidents et futurs d'opérer au-dessus de la loi et au-delà des limites. portée de la Constitution.
Ce sont ces pouvoirs qui continuent d’être transmis à chaque héritier successif du Bureau Ovale, au diable la Constitution.
La guerre contre la désinformation, la guerre contre la corruption électorale, la guerre contre le COVID-19, la guerre contre le terrorisme, la guerre contre la drogue, la guerre contre l'immigration clandestine : toutes ces contre-mesures sont devenues des armes de conformité et de contrôle entre les mains de l'État policier.
C’est ce que l’on pourrait appeler un coup d’État furtif, rampant, silencieux et au ralenti.
RépondreSupprimerNous perdons progressivement nos libertés depuis si longtemps – vendues au nom de la sécurité nationale et de la paix mondiale, maintenues au moyen d'une loi martiale déguisée en loi et ordre, et appliquées par une armée permanente de police militarisée et un pouvoir politique. l'élite est déterminée à maintenir son pouvoir à tout prix – qu'il est difficile de déterminer exactement quand tout a commencé à se détériorer, mais « nous, le peuple », en payons le prix maintenant.
Nous payons le prix chaque jour lorsque nous permettons au gouvernement de continuer à mener sa guerre contre le peuple américain, une guerre qui se déroule sur de nombreux fronts : avec des balles et des Tasers, avec des caméras de surveillance et des lecteurs de permis, avec des intimidations et de la propagande, avec les décisions de justice et la législation, avec la connivence de tous les bureaucrates qui dansent au rythme des aumônes des entreprises tout en étant payés par le gouvernement, et le plus efficace de tous, avec la complicité du peuple américain, qui continue de se laisser facilement manipuler par leurs politiques, distraits par leurs passe-temps et acclimatés à un monde dans lequel la corruption gouvernementale est la norme.
Si nous poursuivons dans cette voie, il n’y aura aucune surprise quant à ce qui nous attend à la fin.
Après tout, c’est une histoire qui a été racontée à maintes reprises tout au long de l’histoire sur la facilité avec laquelle la liberté s’effondre et la tyrannie s’élève.
Ce dont nous avons désespérément besoin, c'est d'un engagement concerté et collectif en faveur des principes de gouvernement limité énoncés dans la Constitution, d'un système de freins et contrepoids, et d'une reconnaissance du fait qu'eux - le président, le Congrès, les tribunaux, l'armée, la police, les technocrates et les ploutocrates et les bureaucrates – répondent et sont responsables devant « nous, le peuple ».
Commencez localement – dans vos propres communautés, dans vos écoles, lors des réunions de votre conseil municipal, dans les éditoriaux des journaux, lors des manifestations – en vous opposant aux lois qui sont injustes, aux services de police qui vont trop loin, aux politiciens qui n'écoutent pas leurs électeurs et un système de gouvernement qui devient de jour en jour plus tyrannique.
RépondreSupprimerNous devons recalibrer l’équilibre des pouvoirs.
Le Congrès doit également mettre fin à l’utilisation de décrets présidentiels, de décrets, de mémorandums, de proclamations, de directives de sécurité nationale et de déclarations de signature législatives comme moyen de contourner le Congrès et les tribunaux.
Comme je l’explique clairement dans mon livre Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictif The Erik Blair Diaries , le pouvoir corrompt, et le pouvoir absolu corrompt absolument, quel que soit le parti au pouvoir.
Le processus visant à renverser un dictateur et à limiter les pouvoirs de la présidence est loin d’être simple, mais il doit au minimum commencer par « nous, le peuple ».
Faire en sorte que le gouvernement respecte les règles de la Constitution.
https://www.globalresearch.ca/dictator-chief-how-absolute-power-corrupted-president/5842996
S'il existe une 'intelligence artificielle' qui se dit être plus instruite que 8 milliards d'habitants et qui ne résout pas les problèmes c'est que l''intelligence artificielle' EST UNE MERDE !
SupprimerEnfin disons que... il ne faut pas lui poser n'importe quelle question qui n'est pas dans son programme ! Si elle est programmée pour dire qu'un rond est carré et qu'un carré est un rond...
Après l'arrivée de la viande artificielle (c-à-d viande qui n'existe pas), voici qu'arrive la vie artificielle ! "VOUS N'AUREZ RIEN ET VOUS SEREZ HEUREUX ! COMPRIS ??!"
La BBC diffuse de la propagande sur l'agriculture biologique et les pauvres du monde entier souffrent
RépondreSupprimer13 Décembre 2023
Henry I. Miller et Kathleen L. Hefferon, ACSH*
Le radiodiffuseur britannique fait partie d'une collaboration anti-science cynique.
- voir carte sur site -
Combien de personnes dans le monde vivent actuellement dans la pauvreté ? Selon la Banque Mondiale, un peu plus de 9 %, soit environ 720 millions de personnes, subsistent avec moins de 2,15 dollars par jour.
Aux États-Unis, où la pauvreté est mesurée différemment, un pourcentage stupéfiant de 10 % de la population, soit près de 40 millions de personnes, vit sous le seuil de pauvreté.
Qu'en est-il au Royaume-Uni ? Environ 20 % de la population, soit 14 millions de citoyens, sont en situation de pauvreté. Cela fait beaucoup de personnes en situation d'insécurité alimentaire dans l'un des pays les plus riches du monde. Mais alors que de nombreux membres des communautés agricoles et scientifiques comprennent les relations entre les pratiques agricoles, le coût des denrées alimentaires et la sécurité alimentaire, le personnel de la BBC (British Broadcasting Corporation) ne semble pas en avoir la moindre idée.
Le groupe de réflexion Science for a Sustainable Agriculture (SSA) a reproché à la chaîne gouvernementale d'avoir publié des déclarations trompeuses et favorables à l'agriculture biologique dans ses guides de révision en ligne « Bitesize », qui s'adressent spécifiquement aux étudiants. Le SSA a mis en cause la BBC pour des affirmations telles que « le lait et le bœuf biologiques sont produits sans antibiotiques », « les agriculteurs biologiques ... n'appliquent pas de pesticides sur leurs cultures » et « de nombreux agriculteurs se tournent vers l'agriculture biologique car les consommateurs choisissent d'acheter des aliments exempts de produits chimiques ».
La BBC doit être à court de vérificateurs de faits. En fait, les agriculteurs biologiques utilisent des pesticides, ainsi que d'autres produits chimiques. Selon l'USDA, des dizaines de « substances de synthèse » sont autorisées par les règles de l'agriculture biologique aux États-Unis et sont couramment utilisées dans la culture et la transformation des produits biologiques. Nombre de ces pesticides biologiques sont plus toxiques et causent des dommages environnementaux plus importants que leurs équivalents dans l'agriculture conventionnelle (c'est-à-dire non biologique), en particulier les fongicides comme le sulfate de cuivre, qui peuvent tuer les insectes et les animaux utiles. En outre, un article emblématique de Bruce Ames, professeur à l'Université de Californie à Berkeley, et de ses collègues a démontré que 99,99 % des substances pesticides présentes dans l'alimentation humaine sont des substances présentes naturellement dans les plantes pour les protéger des insectes.
RépondreSupprimerLe site web de la BBC poursuit en affirmant que, comparée à l'agriculture biologique, l'agriculture conventionnelle réduit la biodiversité. Il s'agit là d'une autre affirmation erronée de la « Beeb ». En raison de l'interdiction des technologies de pointe, l'agriculture biologique produit des rendements réduits, en moyenne de 20 à 40 % inférieurs à ceux des cultures conventionnelles. Cela signifie qu'il faut plus de terres (et d'eau) pour compenser ces faibles rendements, et l'utilisation accrue des terres pour l'agriculture biologique réduira à son tour les espaces sauvages qui subsistent encore.
L'infographie de la BBC intitulée « Organic Farming and Genetically Modified Food » (agriculture biologique et aliments génétiquement modifiés) contient plusieurs fausses informations. On peut y lire que la modification génétique « implique que les agriculteurs utilisent des semences qui ont été modifiées par des techniques scientifiques. Dans le passé, les plantes étaient améliorées en les croisant avec des plantes plus performantes. Cela permettait aux agriculteurs de cultiver des plantes fortes qui produisaient de grandes quantités de récoltes à vendre. »
En fait, depuis environ un siècle, de nombreuses nouvelles variétés de plantes ont été créées par mutagenèse (traitement des semences avec des produits chimiques ou des radiations pour créer des mutations) et par des croisements avec des parents éloignés, qui utilisent des moyens artificiels pour surmonter les barrières naturelles de la reproduction. Les plantes créées de cette manière comprennent le pamplemousse Ruby Red et le blé dur italien (mutagénèse), ainsi que des fraises, des bananiers et des manguiers (hybridation interspécifique).
RépondreSupprimerEn résumé, toutes les cultures ont été « génétiquement modifiées » d'une manière ou d'une autre au cours des millénaires, les techniques les plus récentes – la technologie de l'ADN recombinant, l'interférence ARN et l'édition de gènes – étant les plus précises et les plus prévisibles et, par conséquent, plus sûres que la sélection traditionnelle.
- voir cadre sur site -
Mais les connaissances scientifiques ne semblent pas être le point fort de la BBC. Elle est convaincue des avantages supposés des méthodes biologiques, comme elle le montre sur son site web :
- voir cadre sur site -
Ces affirmations sur les « avantages » sont d'autant plus flagrantes qu'elles ne tiennent pas compte des faits. Comme nous l'avons vu plus haut, l'agriculture biologique utilise des produits chimiques, dont beaucoup sont toxiques, et le recours à la culture sans labour dans l'agriculture conventionnelle entraîne moins d'érosion des sols et moins d'écoulement de produits chimiques dans les cours d'eau et les nappes phréatiques, ainsi que moins de rejets de dioxyde de carbone dans l'air que l'agriculture biologique.
En résumé, les pratiques rudimentaires et primitives de l'agriculture biologique imposent des contraintes environnementales plus importantes que celles de l'agriculture conventionnelle.
Le reportage de la BBC est d'une négligence inexcusable, voire mensonger. Alors que la propagande en faveur de l'agriculture biologique, qui promeut une approche inférieure et primitive de l'agriculture, est adoptée par les groupes de plaidoyer et la filière biologique, on s'attendrait à ce que l'un des organismes d'information les plus réputés au monde fasse preuve d'une plus grande rigueur dans la collecte des faits.
Une étude réalisée par des chercheurs de l'Université de Californie à Davis, publiée récemment dans le European Journal of Agricultural Economics, a ajouté d'autres préoccupations. Ils ont constaté que, pour de nombreuses raisons, les politiques publiques qui soutiennent l'expansion de l'agriculture biologique en tant que moyen soi-disant réalisable de produire des aliments tout en préservant la durabilité environnementale désavantagent les ménages les plus pauvres.
RépondreSupprimerLa production et la commercialisation d'aliments biologiques « sont associées à des coûts unitaires plus élevés et/ou à des rendements réduits par rapport à l'alternative conventionnelle, et ils sont produits et consommés principalement dans les pays riches ». En d'autres termes, ce sont principalement les consommateurs des pays riches disposant d'un revenu disponible plus élevé qui peuvent s'offrir des aliments plus coûteux.
Pour quatre céréales et oléagineux majeurs (le blé, le riz, le maïs et le soja, qui représentent une part importante des calories consommées dans le monde), une augmentation de 3 à 15 % des terres cultivées en agriculture biologique entraînerait une hausse des prix des denrées alimentaires pour les consommateurs des pays pauvres pouvant aller jusqu'à 6,3 %.
Au fur et à mesure que la part des terres cultivées en agriculture biologique augmente dans les pays riches, les prix des principales cultures de base dans les pays pauvres augmentent au point de « représenter une perte globale substantielle pour les consommateurs ».
En résumé, l'agriculture biologique rend l'approvisionnement alimentaire plus coûteux et plus fragile et, lorsqu'elle est pratiquée dans les sociétés pauvres, elle met en danger les populations vulnérables.
La BBC n'est pas obligée d'avaler la propagande biologique
L'affirmation des défenseurs de l'agriculture biologique, reprise par la BBC, selon laquelle l'agriculture biologique profite aux pauvres est non seulement erronée mais cruelle. Promulguée à grande échelle, elle pourrait favoriser la transition vers une agriculture plus biologique, augmentant ainsi la superficie nécessaire à l'agriculture. Cela nuirait à la capacité de maintenir des espaces sauvages, de préserver la biodiversité et de recycler le carbone.
Les prix des denrées alimentaires augmenteraient également en raison des rendements plus faibles de l'agriculture biologique et de son incapacité à produire des cultures génétiquement modifiées à plus haut rendement (qui sont aussi parfois plus nutritives et plus durables).
RépondreSupprimerIl ne s'agit pas d'une éventualité, mais d'une réalité. Prenons par exemple les conclusions révélatrices d'une étude désormais emblématique réalisée en 2019 sur l'impact des émissions de carbone si l'Angleterre et le Pays de Galles passaient à une agriculture biologique à 100 % [voir aussi ici et ici]. En se basant sur des données publiques facilement accessibles, ils ont prédit une baisse de 40 % de la production alimentaire par rapport à l'agriculture conventionnelle, ce qui précipiterait une série d'événements troublants.
« La superficie des terres nécessaires pour compenser les déficits de la production nationale est près de cinq fois supérieure à la superficie des terres d'outre-mer actuellement utilisées pour l'alimentation de l'Angleterre et du Pays de Galles ». Les importations monteraient en flèche, notamment en provenance d'Amérique latine, où la coupe à blanc des forêts pour répondre à la demande de production entraînerait encore plus d'émissions de gaz à effet de serre.
En raison de l'inefficacité relative de la production biologique, notamment par rapport aux cultures génétiquement modifiées (dont beaucoup ne nécessitent pas de labour qui libère du carbone), les perturbations climatiques s'envoleraient. De nombreuses études ont montré que l'instabilité climatique pèse de manière disproportionnée sur les épaules des pauvres.
Tous ces facteurs auront un impact négatif sur le bien-être des consommateurs parmi les plus pauvres du monde, même dans les enclaves riches du Royaume-Uni, de l'Europe et de l'Amérique du Nord.
RépondreSupprimerL'agriculture et la production alimentaire biologiques, sans parler des absurdités comme les draps et les oreillers biologiques, sont une supercherie colossale et coûteuse.
À la suite des plaintes déposées par le SSA et nous-mêmes, la BBC a fait marche arrière, supprimant certaines des erreurs les plus flagrantes de son guide Bitesize, mais son explication n'était pas sincère. À la suite d'un examen interne auquel ont également participé des consultants indépendants, la chaîne a expliqué, dans une lettre de Mme Helen Foulkes, responsable de l'éducation à la BBC, que de nombreuses déclarations étaient en effet « trompeuses » et « ne reflètent pas l'évolution de la science et des opinions sur les impacts de l'agriculture biologique depuis que ce contenu a été initialement commandé ».
Des déclarations qui « ne reflètent pas l'évolution de la science et des opinions sur les impacts de l'agriculture biologique depuis que ce contenu a été initialement commandé » ? Ah bon ? Quand a-t-il été commandé ? En 1970 ?
Il est déjà assez pénible de voir une telle désinformation infligée aux riches, mais il est grotesque que les consommateurs des pays pauvres portent le fardeau le plus lourd de ces politiques narcissiques. Des sources d'information influentes comme la BBC devraient repenser leur collaboration à cette tromperie.
https://seppi.over-blog.com/2023/12/la-bbc-diffuse-de-la-propagande-sur-l-agriculture-biologique-et-les-pauvres-du-monde-entier-souffrent.html
Modification de la législation sur le génie génétique : le droit des brevets empêche un compromis
RépondreSupprimer13 Décembre 2023
Les ministres de l'agriculture de l'UE n'ont pas trouvé de position commune aujourd'hui (11 décembre) sur la réglementation du génie génétique vert et des techniques de sélection modernes comme Crispr/Cas9.
Une fois de plus, les ministres de l'agriculture de l'UE ne parviennent pas à se mettre d'accord sur un mandat de négociation pour la nouvelle réglementation du génie génétique vert et des méthodes de sélection modernes comme Crispr/Cas9.
La modification de la législation européenne sur le génie génétique continue de traîner en longueur. Les ministres de l'agriculture de l'UE n'ont à nouveau pas réussi à se mettre d'accord sur une position commune de négociation lors de leur réunion à Bruxelles lundi, 11 décembre 2023. Déjà lors de la réunion d'octobre, aucune majorité n'avait pu être trouvée. Mais on s'en rapproche désormais un peu plus.
L'association des agriculteurs bio Bioland et l'Arbeitsgemeinschaft bäuerliche Landwirtschaft (AbL – communauté de travail de l'agriculture paysanne) ont salué le fait qu'un compromis n'ait pas été trouvé. « C'est une première victoire d'étape importante pour l'agriculture et la production alimentaire conventionnelle et biologique sans OGM », s'est réjouie Mme Annemarie Volling, experte en OGM chez AbL. De son point de vue, la modification de la législation de l'UE saperait le principe de précaution.
La présidence espagnole de l'UE met en garde contre les inconvénients pour les agriculteurs
RépondreSupprimerUn accord est à portée de main, mais il manque encore la majorité nécessaire, a constaté le président du Conseil de l'UE Luis Planas à la fin du point de l'ordre du jour concerné. La présidence du Conseil avait tenté de présenter un nouveau compromis après la dernière réunion du Comité des Représentants Permanents (Coreper) mercredi dernier (6 décembre 2023), mais n'avait pas réussi à obtenir une évolution de la majorité.
M. Planas a appelé les États membres et la Commission à continuer à travailler pour progresser. La proposition de loi est d'une importance fondamentale, a souligné le ministre espagnol de l'Agriculture. Les agriculteurs européens ne doivent pas être laissés pour compte.
Si aucun accord n'est trouvé au cours de la législature actuelle, un nouveau cadre juridique ne pourra pas entrer en vigueur avant 2025. Le président du Conseil estime que la Commission a également un devoir à remplir. M. Planas espère qu'elle donnera l'impulsion nécessaire pour répondre aux préoccupations de plusieurs États membres sur la question des brevets.
M. Özdemir considère que des questions importantes ne sont pas encore résolues
Le compromis de la présidence du Conseil a été soutenu entre autres par la France, l'Italie, les Pays-Bas et le Danemark. L'Allemagne a annoncé qu'elle s'abstiendrait. [Ma note : ont voté contre : Autriche, Croatie, Hongrie, Luxembourg, Pologne, Roumanie, Slovaquie, Slovénie (8) ; se sont abstenus : Allemagne, Bulgarie (2).]
« Malheureusement, en raison notamment de la courte durée des débats, des questions importantes sont encore en suspens », a déclaré le ministre allemand de l'Agriculture Cem Özdemir. Il a cité dans ce contexte la transparence, la précaution et la coexistence.
Il est important, selon lui, de trouver un large consensus au sein de la société. Outre les intérêts de la science, ceux de l'agriculture, des consommateurs et de l'industrie alimentaire doivent être préservés.
RépondreSupprimerBioland : on n'est pas encore tiré d'affaire
Pour le président de Bioland, Jan Plagge, « la vache n'est donc pas encore sortie de la glace ». Il exige une prise de position claire de l'ensemble du gouvernement fédéral. Le chancelier Olaf Scholz (SPD), en particulier, doit tenir les promesses qu'il a faites pendant la campagne électorale : le principe de précaution doit également s'appliquer sans restriction aux nouvelles techniques génétiques.
« Il s'agit maintenant de continuer à veiller à tous les niveaux à ce que la coexistence, l'évaluation des risques et l'étiquetage soient garantis », a déclaré le président de Bioland.
Les pays d'Europe de l'Est et du Sud ont également des doutes
Le compromis actuellement discuté au Conseil a été clairement rejeté par la Pologne, la Roumanie, la Croatie et la Hongrie, entre autres. La délégation de Varsovie estime par exemple que le problème des brevets n'est pas encore résolu de manière satisfaisante. En outre, la Pologne estime que l'agriculture biologique n'est pas suffisamment protégée.
La Croatie estime que le principe de précaution n'est pas suffisamment respecté. La Hongrie continue apparemment de considérer la proposition de la Commission comme une atteinte à la souveraineté nationale. Le gouvernement critique entre autres le fait que la Commission puisse à tout moment modifier les critères de classification en deux catégories des plantes produites avec les nouvelles méthodes.
La Commission de l'Agriculture du Parlement Européen doit également voter aujourd'hui sur la proposition de la Commission. [Ma note : elle a rendu un avis favorable.]
Avec du matériel de AgE
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* Source : Gentechnik-Novelle: Patentrecht verhindert Kompromiss | agrarheute.com
Ma note : La proposition a recueilli 17 voix pour (il en faut au minimum 15), représentant 60,35 % de la population (il en faut au minimum 65 %). Une proposition pourrait être adoptée si la Pologne changeait de camp (8,41 %), ou la Roumanie (4,25 %) et un autre pays parmi la Bulgarie, la Croatie, la Hongrie, la Slovaquie.
Il est illusoire, sauf énorme surprise que des pays comme l'Allemagne, l'Autriche et le Luxembourg changent de camp.
Pour la question des brevets, je ne comprends pas le problème.
https://seppi.over-blog.com/2023/12/modification-de-la-legislation-sur-le-genie-genetique-le-droit-des-brevets-empeche-un-compromis.html