Nouveau rapport : Les jeunes meurent du cancer à un rythme “explosif”, selon les données du gouvernement britannique
Une analyse des données du gouvernement britannique révèle une augmentation sans précédent du nombre de décès par cancer chez les 15-44 ans à la suite de l'introduction des vaccins Covid-19, selon un nouveau rapport de l'analyste de données Edward Dowd. Le rapport a suscité de nouveaux appels à une enquête plus approfondie.
Par Mike Capuzzo Mondialisation.ca, 02 décembre 2023
Selon une nouvelle analyse d’Edward Dowd, les adolescents et les jeunes de 20, 30 et 40 ans du Royaume-Uni meurent de cancers à métastases rapides et en phase terminale à un rythme sans précédent depuis le début de la vaccination de masse par le Covid-19.
Le rapport de 45 pages de M. Dowd, ancien gestionnaire de fonds spéculatifs à Wall Street et auteur de “‘Cause Unknown‘:The Epidemic of Sudden Deaths in 2021 and 2022″, a alarmé certains oncologues qui l’ont qualifié de revirement brutal par rapport à des décennies de données sur la mortalité.
M. Dowd a basé son analyse sur des statistiques gouvernementales facilement accessibles de l’Office des statistiques nationales du Royaume-Uni.
Dans une interview avec The Defender,le professeur Dowd a déclaré que lui et ses partenaires de recherche, qui comprennent une poignée de scientifiques de haut niveau, d’analystes de données et d’experts financiers, ont examiné toutes les données de la 10e révision de la classification internationale des maladies (CIM), Codes (CIM-10) pour la cause du décès au Royaume-Uni au cours de la période d’étude 2010-2022 afin d’étudier les tendances des néoplasmes malins (codes C00 à C99).
Les codes CIM-10 sont la classification internationale des diagnostics, des symptômes et des procédures établie par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour le traitement des demandes de remboursement. Un néoplasme malin est une tumeur cancéreuse.
M. Dowd explique que son équipe de recherche a remarqué une tendance frappante : Alors que la quasi-totalité des décès survenus chez les personnes âgées en 2021 et 2022 au Pays de Galles et en Angleterre avaient été codés, 8 % des décès survenus chez les 15-44 ans en 2021 et 30 % des décès survenus dans cette tranche d’âge en 2022 n’avaient pas encore été codés.
“Lorsque l’on meurt à l’hôpital, on laisse une trace de vie et de mort avec des indications sur ce qui a conduit au décès”, a-t-il déclaré. “Lorsqu’un jeune meurt au volant d’une voiture, en marchant dans la rue ou dans son sommeil, il y a une enquête qui prend du temps pour déterminer la cause du décès.
M. Dowd a déclaré que les codes manquants sont “révélateurs du problème” de la surmortalité chez les jeunes.
Cependant, même en tenant compte des codes manquants, les 92 % de décès codés en 2021 et les 70 % de décès codés en 2022 ont révélé “un signal fort de décès par cancer chez les jeunes”. Nous montrons une forte augmentation de la mortalité due aux néoplasmes malins qui a commencé en 2021 et s’est considérablement accélérée en 2022.
“L’augmentation de la surmortalité en 2022 est statistiquement très significative (événement extrême)”, écrit M. Dowd dans son rapport. “Les résultats indiquent qu’à partir de la fin de l’année 2021, un nouveau phénomène conduisant à une augmentation des décès dus aux néoplasmes malins semble être présent chez les personnes âgées de 15 à 44 ans au Royaume-Uni”.
Les résultats de l’étude concernant le taux de décès par cancer supérieur à la norme historique en 2022 pour les personnes âgées de 15 à 44 ans au Royaume-Uni sont les suivants :
Une augmentation de 28 % des taux de cancer du sein mortel chez les femmes. Une augmentation de 80 % des décès dus au cancer du pancréas chez les femmes et de 60 % chez les hommes. Une augmentation de 55 % des décès dus au cancer du côlon chez les hommes et de 41 % chez les femmes. Une augmentation de 120 % des mélanomes mortels chez les hommes et de 35 % chez les femmes. Une augmentation de 35 % des décès dus au cancer du cerveau chez les hommes et de 12 % chez les femmes. Une augmentation de 60 % des taux de mortalité par cancer chez les hommes pour les cancers “sans spécification de site” et une augmentation de 55 % chez les femmes.
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Crédit : Edward Dowd
Des preuves cliniques de plus en plus nombreuses ont conduit à une étude
Ce rapport a été élaboré par Carlos Alegria, l’un des partenaires de M. Dowd, dans le cadre de son étude Humanity Projects sur la surmortalité au Royaume-Uni et aux États-Unis, à partir de données du gouvernement et du secteur de l’assurance.
Il a expliqué qu’il a lancé son projet pro bono basé sur des données pour aider à orienter les politiques publiques lorsqu’il a vu comment les politiques de lutte contre la pandémie Covid-19détruisaient la confiance de la société dans les experts institutionnels.
Constatant la mainmise de Big Pharma et d’autres intérêts mondiaux sur les agences de régulation des gouvernements nationaux et des États, ainsi que sur les entreprises des médias, il s’est rendu compte que “nous avons besoin d’agents indépendants pour jouer le rôle de gardiens de l’intérêt public”.
“Nous avons l’intention d’être de tels agents et de fournir une recherche de haute qualité à d’autres personnes et institutions qui recherchent la même chose”, a-t-il écrit.
Ce nouveau rapport est le troisième qu’il publie dans le cadre du projet britannique sur les causes de décès. Les précédents rapports étaient intitulés “UK – Death and Disability Trends for Cardiovascular Diseases, Ages 15-44” et “UK – Death Trends for the Cardiovascular System, Ages 15-44, Analysis of Individual Causes”.
Les preuves cliniques de plus en plus nombreuses établissant un lien entre l’apparition de cancers chez les jeunes et les vaccins Covid-19 ont incité M. Dowd à réaliser sa dernière étude.
“Nous concentrons nos recherches sur les jeunes individus, âgés de 15 à 44 ans, car il s’agit actuellement d’un sujet d’intérêt particulier en raison de l’augmentation des preuves anecdotiques de nombreux cancers agressifs et inhabituels inexpliqués (tels que les cancers dits ‘turbo’) survenant dans la population, en particulier chez les jeunes individus”, écrit-il dans l’étude..
“L’objectif de cette étude n’est pas d’examiner les affirmations individuelles et les anecdotes, mais plutôt de fournir une analyse statistique au niveau de la population et de clarifier si les preuves anecdotiques sont anormales ou non.
M. Dowd a déclaré qu’il espérait que “les relations que nous découvrons dans notre analyse” constitueraient “une base pour une vérification de la réalité pour les professionnels de la santé afin de comprendre les tendances sous-jacentes de la santé des individus”.
La méthode de M. Dowd a consisté à analyser le nombre de décès attribués au cancer en Angleterre et au Pays de Galles entre 2010 et 2022 dans les données de l’Office des statistiques nationales du Royaume-Uni.
Il a comparé les taux de surmortalité, c’est-à-dire la différence entre les décès observés et la base de référence des décès attendus, avant et après la pandémie de Covid-19.
Il a établi une base de référence des taux normaux de mortalité par cancer entre 2010 et 2020 qui était remarquablement cohérente avec peu d’écarts, a-t-il déclaré, jusqu’à ce que les taux de mortalité par cancer augmentent de manière significative à la fin de 2021 au Royaume-Uni à la suite la distribution du vaccin.
Les principales conclusions du rapport sont les suivantes :
Le cancer du sein touche principalement les femmes. La cause la plus fréquente de cancer mortel chez les femmes âgées de 15 à 44 ans est le cancer du sein, qui représente environ 25 % de la surmortalité totale due aux tumeurs malignes chez les femmes en 2022. Les cancers les plus dangereux pour les femmes, sur la base des taux de mortalité excédentaires, sont le cancer du côlon et le cancer du col de l’utérus.
Si les décès par cancer ont augmenté de façon spectaculaire chez les jeunes hommes et les jeunes femmes en 2022, les jeunes hommes ont connu une augmentation disproportionnée des décès par cancer, mais sans que le cancer dominant soit comparable au cancer du sein chez les femmes. Le cancer du cerveau, le cancer du côlon et le cancer de l’estomac représentent 30,9 % de l’augmentation des cancers mortels chez les hommes en 2022.
Les cancers “sans spécification de site”, indiquant des métastases rapides vers d’autres organes et communément appelés “turbo-cancers”, ont “explosé” en 2022, a déclaré M. Dowd. “Ces cancers ont connu une très forte augmentation chez les femmes (en 2021 et 2022) et chez les hommes (en 2022) et étaient probablement déjà métastasés lorsqu’ils ont été identifiés. Comme il s’agit de personnes plus jeunes qui n’ont pas besoin d’un dépistage précoce, il est probable que ces cancers aient connu une croissance rapide”.
Les hommes ont connu une augmentation considérable des taux de mortalité par cancer de la peau, de 118 % en 2022. “Même si ces cancers ne représentent pas une grande proportion de l’ensemble des cancers”, a déclaré M. Dowd.
Les cancers du tube digestif “ont connu des changements explosifs en 2021 et 2022 par rapport à la tendance 2010-2019”, a écrit M. Dowd. “Les cancers du côlon (codé internationalement C18), de l’estomac (C16) et de l’œsophage (C15) sont particulièrement remarquables. “Ces cancers liés à l’appareil digestif semblent avoir considérablement augmenté en importance, et nous remarquons également qu’ils semblent toucher les hommes de manière disproportionnée”.
Le cancer du pancréas “a connu une très forte augmentation à la fois chez les femmes (en 2022) et chez les hommes (en 2021 et 2022). Les raisons pour lesquelles ces cancers ont augmenté de manière aussi spectaculaire et pourquoi ils ont augmenté d’abord chez les hommes puis chez les femmes sont l’une des questions qui, selon nous, méritent d’être étudiées”. M. Dowd a souligné que ses recherches constituaient “une première tentative de mettre en évidence certains modèles observés dans les tendances” du cancer après 2020.
“Nous espérons que les médecins et les chercheurs spécialisés mèneront d’autres investigations sur la base de ces informations (et d’autres) fournies par notre analyse de données”, a-t-il écrit.
Le lien entre les injections de Covid et l’augmentation du nombre de cancers mérite d’être étudié
Le Dr Chris Flowers, médecin universitaire, radiologue et spécialiste du cancer du sein en Angleterre, qui a pris sa retraite pour devenir le responsable scientifique bénévole du projet d’analyse des documents Pfizer de War Room/DailyClout, a déclaré au Defender que les données britanniques étaient “très, très, très préoccupantes”.
Selon M. Flowers, les recherches de M. Dowd confirment des données similaires sur la forte augmentation du nombre de décès dus au cancer signalée par des chercheurs, des cliniciens et des spécialistes du cancer aux États-Unis, au Royaume-Uni et dans l’ensemble du monde industrialisé occidental depuis le lancement mondial du vaccin expérimental à ARNm de Pfizer et de Moderna. On estime que plus de 5,55 milliards de personnes, soit environ 72,3 % de la population mondiale, ont été vaccinées.
M. Flowers a déclaré que lui et ses collègues, y compris des pathologistes, des radiologues, des oncologues, des internistes, des médecins de soins intensifs et des chercheurs aux États-Unis et au Royaume-Uni, n’avaient jamais rien vu de tel que la gravité des cancers du sein mortels et d’autres cancers chez les jeunes qui ont explosé en 2022.
Le rapport de M. Dowd confirme ce que M. Flowers et ses collègues ont remarqué depuis plus d’un an : “Nous constatons un taux de cancer deux ou trois fois supérieur à la normale.”
“Nous voyons des personnes plus jeunes, des femmes de 20 à 30 ans, généralement après qu’elles ont commencé à avoir leurs règles et qu’une forme de stimulateur de croissance est en cours, présenter des tumeurs avancées qui sont difficiles à traiter, mais qui peuvent aussi avoir plus d’une tumeur”, a déclaré M. Flowers. “Ce qui était rare est aujourd’hui relativement courant.
Le plus inquiétant, selon M. Flowers, est peut-être l’augmentation du nombre de jeunes atteints de ce que certains oncologues appellent désormais des “turbo-cancers”, un nouveau terme.
“Le turbo-cancer est un nom populaire qui a été inventé pour décrire plusieurs choses”, a déclaré M. Flowers. “Il s’agit de cancers chez les jeunes, un jour vous allez très bien, le lendemain on vous annonce que vous avez un cancer en phase terminale et que vous mourrez dans une semaine. Il y a de nombreux rapports à ce sujet, même dans les médias grand public”.
“Non seulement les tumeurs se développent plus rapidement, mais il y a de plus en plus de types de cancer chez une même personne. Avant, c’était très rare. Je ne voyais qu’occasionnellement un cancer inflammatoire très, très agressif chez les jeunes. Aujourd’hui, tout le monde a des histoires.
Le Dr Pierre Kory, pneumologue et médecin en soins intensifs, président et directeur médical de la Frontline Covid-19 Critical Care Alliance (FLCCC), qui traite dans son cabinet des centaines de patients victimes de vaccins, a déclaré qu’il était “inondé de rapports et de demandes d’aide” concernant l’augmentation du nombre de cancers de la part de ses collègues et de ses patients.
David Wiseman, Ph.D.,pharmacien titulaire d’un doctorat en pathologie expérimentale et pionnier, à l’origine pour Johnson & Johnson, de produits destinés à prévenir les lésions internes postopératoires,s’est dit à la fois étonné et scandalisé que les gouvernements et les médias grand public ne donnent pas suite aux recherches qu’il a menées avec Kevin McKernan,un ancien directeur de la recherche et du développement au MIT Genome Project (projet de recherche sur le génome humain du MIT), montré que les tinjections d’ARNm ont été contaminées par des fragments d’ADN..
Selon Wiseman, ces fragments s’ajoutent aux dommages potentiels que les vaccins pourraient causer au génome humain et ouvrent de nouvelles portes à une variété infinie de problèmes, y compris le cancer.
M. Wiseman a déclaré au Defender que les données des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) font état de problèmes de cancer liés aux vaccins Covid-19.
“Nous constatons une augmentation du nombre de cancers dans le VAERS, le site officiel de la Food and Drug Administration (FDA) et des CDC pour le signalement des lésions dues aux vaccins, a déclaré M. Wiseman. “Le CDC a effectué une analyse PRR, une analyse de signal, qui a révélé un signal de cancer dans les vaccins, ce qui n’est pas une preuve, mais signifie que cela vaut la peine de s’y intéresser.
Pfizer classe son propre produit modRNA C19 comme « très dangereux ».
2 décembre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
Les produits modRNA sont déplacés dans le corps à l’aide de nanoparticules lipidiques et transfectés dans les cellules. Les deux lipides utilisés par Pfizer, ALC-0159 et ALC-0315, n’ont eu d’autorisation qu’en 2020 sauf à des « fins de recherche ». Dans les fiches de données de sécurité de Pfizer, on leur attribue un potentiel toxique moyen ; dans la seringue, ils provoquent un « potentiel toxique élevé ». Il est incroyable que les autorités autorisent l’injection d’une telle substance dans le haut des bras. TKP a publié une analyse détaillée le 9 décembre 2021 . Il cite l'entreprise qui produit ces lipides. Elle écrit sur son site internet : « ALC-0159 est l'un des composants du vaccin BNT162b2 contre le SARS-CoV-2, avec l'ALC-0315, le DSPC et le cholestérol. Ce produit est destiné uniquement à la recherche et non à un usage humain. "
Et plus loin : ALC-0159 et ALC-0315 sont discutés dans le rapport d'évaluation de l'EMA pour la première autorisation de mise sur le marché conditionnelle à partir de la page 22.
Ça dit:
"Tous les excipients à l'exception des lipides fonctionnels ALC-0315 et ALC-0159 et du lipide structurel DSPC sont conformes à la Ph. Eur. Les lipides fonctionnels ALC-0315 et ALC-0159 sont classés comme nouveaux excipients. Les deux lipides structurels DSPC et cholestérol sont utilisés dans plusieurs produits finis déjà approuvés.
Et plus loin
« Le médicament fini contient deux nouveaux excipients, le lipide cationique ALC-0315 et le lipide PEGylé ALC-0159. Seules des informations limitées sont fournies sur les nouveaux excipients.
Aujourd'hui, l'avocat Tobias Ulbrich écrit dans un message sur X/Twitter :
Sujet du jour : « OEB5 = potentiel toxique élevé – quelqu'un peut-il expliquer s'il vous plaît ? Pfizer – pour « Process2″ ? »
Aujourd'hui, j'ai dû me frotter les yeux plusieurs fois parce que je n'arrivais pas à croire ce que je lisais. Ainsi les nanoparticules lipidiques (LNP), que BioNTech utilise également, les ALC0159 et ALC0315 reçoivent l'OEB 3, c'est-à-dire dangereux, traduit par « dangereux ». Désormais, le modRNA - c'est-à-dire l'ARN modifié - dans lequel Process2 était autrefois obtenu à l'aide de bactéries et de plasmides E-Coli, entre dans un tel LNP. L'ensemble du colis « Comirnaty », auquel a été attribué le code PF-07302048, est ensuite classé après le « mariage » avec le modRNA dans la classe de danger OEB5, c'est-à-dire très hautement dangereux, ou https://containment-technology.com/oeb - niveaux/ comme il est dit ici « potentiel toxique élevé ». Alors, comment savez-vous que PF-07302048 est en réalité Comirnaty ? Pour ce faire, il faut consulter la fiche de données de sécurité de « Comirnaty » en date du 7 décembre 2021. Les codes de sécurité et l'affectation à Comirnaty y sont stockés. Maintenant, on peut bien sûr dire que la classification affecte la manipulation. Mais cela fonctionne à partir de 1 microgramme seulement. Nous nous souvenons que la dose pour adultes est de 30 microgrammes et certains de nos clients en ont 5 ou plus. La classification publique comme totalement inoffensive et « sans effets secondaires » ne peut pas être conciliée avec la notation du fabricant lui-même et la classification OEB5. Le fait que ALC0159 et ALC0315 isolés sans modRNA soient « seulement » classés comme « dangereux », mais que l’ensemble du produit soit soudainement classé comme « très hautement dangereux » nécessite une explication qui ne peut pas se fonder uniquement sur la sécurité au travail. Si une personne vaccinée avait connu au préalable la classification OEB5, personne n’aurait fait l’injection avec.
- voir doc et graph sur site -
D'autres documents tels que la fiche technique complète peuvent être trouvés ici .
Le Conseil d'experts a également procédé à une évaluation détaillée des problèmes de sécurité entourant le produit à ARNm de Pfizer sur son site Internet . Vous y trouverez ce passage sur la fiche de données de sécurité :
Certains passages de la fiche de données de sécurité de Pfizer pour Comirnaty incitent à s'asseoir et à en prendre note. Pourquoi quelqu'un qui inhale accidentellement le produit doit-il citer :
"... être sorti à l'air frais et consulter immédiatement un médecin."
Pourquoi la fiche de sécurité dit-elle, je cite :
"Pour toutes les activités où ce matériau est utilisé, des mesures visant à prévenir les rejets et à se protéger contre l'exposition doivent être établies."
Il est injecté, une exposition plus élevée est-elle envisageable qu'avec une injection ?
Qu'implique la phrase, je cite :
"Si les conditions d'utilisation et de manipulation entraînent un rejet dans l'air, un équipement de protection respiratoire approprié avec un facteur de protection suffisant pour contrôler l'exposition doit être porté."
Ces instructions pour un produit injecté à plusieurs reprises aux personnes sont loin d’être troublantes.
Et plus loin sur ce que Pfizer écrit dans son contrat avec l'UE, à savoir que les injections ne seront pas les mêmes que celles de l'étude clinique et qu'ils ne disposent d'aucune information sur les conséquences à long terme et ne peuvent faire aucune déclaration sur leur efficacité ( autoprotection, protection des autres). Il peut encore y avoir des effets secondaires inconnus.
Les États membres ont signé, ou plutôt l’UE a signé. À ce stade, la FDA avait déjà reçu l’étude post-commercialisation. On ne peut que spéculer sur la raison pour laquelle ce passage existe toujours dans la version la plus récente de 2021.
L' article du TKP du 9 décembre 2021 aborde également les questions ouvertes répertoriées dans les documents Web de l'EMA, qui restaient encore floues un an après le début de la vaccination ou pour lesquelles les réponses requises manquaient.
L'abominable manquement au devoir d'un scientifique influent : exclusion d'une variable significative, l'inoculation massive du Covid et ses impacts dévastateurs
Par le Dr Emanuel Garcia Recherche mondiale, 1er décembre 2023
Je me suis senti inhabituellement grincheux au cours des derniers mois. Dieu le sait, les raisons ne manquent pas : le voile covidien sans fin qui pèse sur nos têtes depuis près de quatre ans,
la persécution absurdement frivole de mes collègues médecins ici en Nouvelle-Zélande par un conseil médical complètement corrompu dans la poche arrière du FSMB, le récent changement de gouvernement avec la promesse d'ouvrir une enquête covid qui elle-même promet d'être à peu près aussi réussie que le rapport de la Commission Warren sur l'assassinat de JFK, et les nombreuses histoires de personnes blessées par piqûre qui ont le sentiment de n’avoir nulle part vers qui se tourner. En fait, la semaine dernière, j'ai reçu un message d'une personne m'implorant de l'écouter pendant les vacances, ce que je ferai avec plaisir.
Mais plus particulièrement pour moi et mon niveau de mauvaise humeur cette semaine, c'était d'être tombé sur une vidéo d'un influenceur YouTube, un véritable physicien dont la chaîne promet « La science sans le charabia ». Je l'ai déjà rencontrée par hasard alors que je parcourais des discussions sur l'énergie noire, la matière noire, les trous noirs et autres, sans aucun doute un exercice masochiste pour quelqu'un dont les capacités mathématiques atteignent leur apogée en matière d'addition, de soustraction, de multiplication et de division - bien que en toute honnêteté, j'ai réussi à suivre des cours de calcul et de statistiques dans ma jeunesse, dont le souvenir est quelque chose de mieux réprimé.
La physicienne en question, une certaine Sabine Hossenfelder, a réalisé une vidéo intitulée « Long COVID : Tout ce qu'il faut savoir ».
Je suis resté assis pendant vingt minutes atroces, stupéfait, incrédule. Après tout, voici une scientifique bien réelle et accomplie, qui se décrit ainsi sur sa chaîne :
« Sabine Hossenfelder est titulaire d'un doctorat en physique. Elle est l'auteur des livres « Lost in Math : How Beauty Leads Physics Astray » (Basic Books, 2018) et « Existential Physics : A Scientist's Guide to Life's Biggest Questions » (Viking, 2022).
Je sais sans aucun doute que sa capacité mentale à s'engager dans les complexités supérieures des mathématiques, de la cosmologie, de la physique des particules, etc., est considérable, et en comparaison avec moi, elle est à plusieurs années-lumière en avance ou au-dessus de mes capacités à comprendre même les rudiments de la science. ces champs augustes.
Mais mystérieusement, le sens scientifique du Dr Hossenfelder a pris congé lorsqu'elle s'est aventurée dans le domaine de la médecine. Je me rends compte qu’elle ne possède pas de médecin, mais tout scientifique digne de ce nom n’aurait sûrement jamais pu manquer d’aborder la seule variable hautement significative dans tout ce discours sur le covid long, plus long et sans fin : le Jab.
Eh bien, pour être honnête, elle mentionne la « vaccination » contre le covid dans le contexte de la prévention du covid de longue durée, citant une méta-analyse qui suggère que plusieurs « vaccinations » sont préventives. Et en ce qui concerne le traitement du covid, elle oublie complètement de mentionner quoi que ce soit comme le zinc, les ionophores de zinc tels que l'ivermectine et l'hydroxychloroquine et la quercétine, la vitamine C ou la vitamine D – proposant à la place la suggestion que les personnes infectées par le covid devraient « bien se reposer » et pas « essayer de passer à travers ».
Je me souviens d'une voisine qui a développé une thrombose veineuse profonde au mollet et, deux jours après le diagnostic, une embolie pulmonaire nécessitant une hospitalisation d'urgence.
Elle a heureusement survécu. Lorsque je lui ai demandé ce que ses médecins lui avaient dit à propos de l'évolution de la situation, elle a d'abord répondu qu'ils étaient confus et ne pouvaient offrir aucune explication. Une semaine plus tard, cependant, leur ton a changé et, voilà, ils ont découvert le coupable – oui, vous l'aurez deviné, long covid ! Aucun de ses médecins n’a pensé à considérer le fait qu’elle avait reçu le vaccin thrombogène Pfizer et les rappels. Cette pauvre femme continue d'avoir besoin d'un traitement et je soupçonne qu'elle fera la queue pour recevoir un énième rappel de covid, malgré mes tentatives pour l'avertir de la possibilité que cela serait imprudent et malsain. Voyons.
Pendant ce temps, je réfléchis à la machine de propagande en titane qui a généré un bouclier infaillible de réfutations à toute véritable curiosité scientifique . J’ai prédit au début que les effets indésirables du Covid piqûre seraient attribués au Covid lui-même plutôt qu’au véritable coupable, et c’est ce qui a été le cas, du moins dans les cercles traditionnels. C'est une sorte de belle perfection dans la propagande, n'est-ce pas ? Avec toutes les preuves insurmontables et accablantes des dommages causés par le vaccin, ou des décès en plus grand nombre, la position de repli du propagandiste est le Covid lui-même.
Un autre aspect du matraquage dont nous avons souffert ces dernières années est cette forme particulière de mise en lumière qui a renversé la situation sur tout ce que nous considérions autrefois comme solide comme le roc. Les principes fondamentaux de la médecine ont été, comme par un geste de la main d'un magicien, rejetés – des choses comme l'immunité naturelle, le traitement et la prévention précoces, la thérapie individualisée, le consentement éclairé. Là où autrefois les directives en cas de pandémie évitaient de mettre en quarantaine les personnes en bonne santé, les confinements sont devenus la norme. La distanciation est devenue quelque chose de « social » et le port du masque, longtemps connu pour être plutôt inutile contre les virus respiratoires, est devenu obligatoire. On nous disait quotidiennement et sans cesse de craindre pour notre vie à cause d’un agent infectieux qui n’a jamais été plus mortel qu’une grippe saisonnière. Et, ce qui est le plus inquiétant, on nous a dit que le caractère sacré même de notre corps – laissons l'âme en dehors de cela pour l'instant – pourrait être transgressé et violé par un État qui justifiait sa coercition de rapine par le mensonge pur et simple selon lequel les personnes en bonne santé pourraient être mortelles. autres.
Oui, je suppose que j’ai de nombreuses raisons d’être de mauvaise humeur, mais peut-être surtout parce que je suis assez naïf pour penser que des scientifiques très réels et très accomplis comme Sabine Hossenfelder devraient mettre en pratique les principes scientifiques lorsqu’ils s’aventurent dans des domaines dépassant leur expertise particulière. En bref, je pensais qu’un esprit scientifique serait, eh bien, scientifique, et que l’exclusion d’une variable très réelle et omniprésente telle que l’inoculation massive aurait au moins reçu un certain poids.
Alors je me pose la question : ces soi-disant scientifiques – comme le Dr Hossenfelder avec son million d’abonnés – sont-ils vraiment ignorants, ou font-ils partie du programme ?
La prochaine menace pour le fonctionnement du système immunitaire : les préparations d’ARN sar auto-amplifiantes
1 décembre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
L’industrie pharmaceutique a ouvert un tout nouveau chapitre avec les préparations d’ARNx génétiquement modifiées utilisées pour les vaccinations. Les essais cliniques ont été menés avec une rapidité sans précédent, même s’il s’agit de produits expérimentaux. Un examen attentif des études d'approbation a montré que les inconvénients étaient supérieurs aux avantages dans tous les cas. Les entreprises n’ont réussi à simuler un résultat positif qu’en utilisant plusieurs astuces. De soi-disant « experts » choisis par les politiques nous ont dit qu’il fallait se faire vacciner pour lutter contre un nouveau virus respiratoire. Cela contredit les connaissances scientifiques sur le système immunitaire humain. Notre système immunitaire est dynamique et peut éliminer un virus même s’il ne l’a jamais rencontré auparavant ; il peut également développer une immunité croisée pour reconnaître les variantes même si le virus mute.
Cependant, comme les vaccins à base d’ARN ne produisent qu’un seul antigène, notre système immunitaire est privé de la capacité de développer une immunité croisée contre les variantes virales. Cela est particulièrement vrai pour les virus respiratoires, qui présentent un taux de mutation élevé. Nous pouvons déjà constater que cela entraîne une augmentation de la fréquence et de la gravité des maladies infectieuses, en particulier parmi les personnes vaccinées. Les hommes politiques qui souhaitent protéger la population contre de futures infections seraient donc bien avisés de proposer des programmes de santé renforçant le système immunitaire contre les infections saisonnières.
La prochaine génération d’injections à base d’ARN contiendra de l’ARN auto-amplifiant (ARNsa).
Comme cela est expliqué à maintes reprises sur TKP, les « vaccins à ARNm » ne sont pas produits avec de l’ARN messager, mais avec de l’ARN modifié (modRNA). Ces soi-disant vaccins sont en réalité des produits de thérapie génique, car le modRNA détourne le logiciel de nos cellules. Nous n’avons aucun moyen d’influencer le modRNA (ou saRNA) après son injection.
Quelle est la différence entre le saRNA et le modRNA ?
Le terme « auto-amplifiant » est explicite : le saRNA se réplique de manière répétée, ce qui n’est pas naturel puisque l’ARNm naturel est toujours (sans exception) transcrit à partir de l’ADN (c’est ce qu’on appelle le « dogme central de la biologie moléculaire »). Par rapport au modRNA, une petite quantité de saRNA entraîne la production d’une plus grande quantité d’antigène ; une seule injection de saRNA peut suffire à générer suffisamment d’anticorps contre un virus.
Le saRNA et le modRNA représentent tous deux le modèle d’une protéine virale produite par notre machinerie cellulaire (c’est-à-dire les ribosomes) après être entrée dans nos cellules.
Les scientifiques ont créé la séquence modRNA modifiée en remplaçant les uridines naturelles par des pseudouridines N1-méthyl synthétiques pour générer une quantité maximale d'antigènes viraux. Cette modification est à la base des injections COVID-19 de Pfizer-BioNTech et Moderna.
Contrairement au modRNA, le saRNA ne contient pas de méthyle pseudouridines, mais plutôt des uridines. Et pourquoi? Étant donné que le saRNA se réplique et que les méthyl pseudouridines synthétiques ne sont pas disponibles dans nos cellules, le saRNA doit s’appuyer sur les uridines naturelles présentes dans nos cellules. Nos cellules fabriqueront des protéines étrangères en utilisant leur propre machinerie cellulaire et leurs propres ressources naturelles – la principale raison pour laquelle ces cellules finissent par s'épuiser.
Contrairement au modRNA, le saRNA contient une séquence supplémentaire pour la réplicase, car le saRNA détruit doit être remplacé (par des RNases) par un nouveau saRNA. Étant donné que l’ARNm naturel ne peut jamais se répliquer, le saRNA est clairement un ARN génétiquement modifié (modRNA). Ou pour le dire autrement, le saRNA n’est qu’un autre type de modRNA.
Pourquoi passer au saRNA ?
Le SaRNA est la solution politique, selon un article d’Epoch Times : la même quantité (voire plus) d’antigène dans une seule seringue ! Le public sera probablement informé que des rappels annuels de vaccination continueront d'être nécessaires en raison des mutations régulières du virus.
De nombreuses études précliniques et cliniques ont déjà été réalisées grâce à la technologie saRNA. Un rapport de 2023 publié dans la revue Pathogens présente les vaccins à ARN sa comme des « vaccins à ARNm améliorés ». Un résumé de cinq années de résultats de l'étude saRNA a été publié dans la revue Vaccines . Une fois les essais cliniques nécessaires terminés, l’utilisation de ces nouveaux vaccins pourra être approuvée. On s’attend à ce que ce processus se produise aussi rapidement qu’avec les vaccins contre la COVID-19. Le processus d’approbation sera plus simple car on pourrait affirmer que la technique (ARNmod dans des nanoparticules lipidiques) est déjà approuvée et que seule la séquence d’ARNmod est différente. Par conséquent, ces nouveaux vaccins à ARNsa pourraient être injectés à tout moment à un public sans méfiance.
Alors que BioNTech menait des expériences avec le saRNA (BNT162c2) mais se concentrait finalement sur le modRNA (BNT162b2), Arcturus Therapeutics a été la première entreprise à annoncer (en 2022) son candidat vaccin à ARNsa contre la COVID-19, ARCT-154 – actuellement le vaccin à ARNsa le plus avancé en essais – a atteint le critère d'évaluation principal d'efficacité dans un essai de phase 3 .
Dans l’étude Arcturus Therapeutics, les participants ont reçu deux doses, chacune contenant 5 microgrammes de saRNA. C’est bien inférieur aux concentrations de modRNA utilisées par Pfizer-BioNTech (30 microgrammes/seringue) et Moderna (100 microgrammes/seringue).
La méthode saRNA ne résout pas les problèmes fondamentaux de vaccination L’un des problèmes les plus fondamentaux de la vaccination est que sa première version était basée sur la fraude, comme le montre le consultant en risques stratégiques et auteur F. William Engdahl. Dans un article plus long, il écrit , entre autres, sur les liens financiers entre l'industrie de la vaccination depuis 1907 et les oligarques occidentaux dirigés par le clan Rockefeller, qui ont fait développer un « vaccin » contre la polio. Comme il n’est pas nécessaire que les malades puissent vendre des vaccins, l’intérêt financier est élevé.
De nombreux vaccins, comme les préparations ROR pour enfants, n'ont été utilisés que lorsque les maladies avaient pratiquement disparu . De plus, les tests étaient plus qu'insuffisants et les nouvelles préparations sont toujours comparées à ces premiers tests cliniques.
Comme nous l’avons découvert avec le modRNA, la protéine Spike est toxique pour notre corps. Nous savons que le modRNA entraîne la production de plus de protéines de pointe que ce qui serait présent dans une infection naturelle, et nous savons que des injections répétées provoquent une tolérance immunitaire via le sous-type d’anticorps IgG4.
Par rapport au modRNA, une petite quantité de saRNA entraîne une augmentation de la quantité d’antigène produite. Cela entraînera également une augmentation des concentrations d’anticorps IgG4, comme démontré dès la troisième injection. Cela peut expliquer les infections révolutionnaires au COVID-19, la réponse immunitaire réduite à d’autres infections virales et bactériennes et la réactivation des infections virales latentes. Cela peut également entraîner des maladies auto-immunes et une croissance incontrôlée du cancer.
Le responsable informatique de la vaccccc covid en Nouvelle Zélande découvre un taux de mortalité de 21% pour certains lots de produits ARNm surcontaminés
le 1 décembre 2023 par pgibertie
La Nouvelle-Zélande a enregistré en 2023la plus forte augmentation du nombre de décès enregistrés depuis la pandémie de grippe de 1918, selon les nouvelles données de Stats NZ.
Les chiffres des naissances et des décès, pour l’année se terminant en décembre 2022, montrent qu’il y a eu 38 574 décès en 2022, soit 10,4 % (3642) de plus qu’en 2021.
Et si la relation était établie avec la vaccination covid et plus particulièrement certains lots de ces produits super contaminés, à savoir 10 lots sur les 119 utilisés dans le pays
« Depuis Invercargill, une petite ville de l’île du Sud de la Nouvelle-Zélande. Un site de vaccination a signalé 253 décès sur seulement 837 vaccinations contre le covid sur ce site,
- voir doc sur site -
https://denisrancourt.ca/entries.php?id=133&name=2023_09_17_covid_19_vaccine_associated_mortality_in_the_southern_hemisphere Liz Gunn, présidente du New Zealand Loyal Party, propose que les 120 politiciens exemptés de vaccination antiCovid soient injectés de 3 doses chacun, pour qu’ils soient protégés.
- voir graph sur site -
De la vraie dynamite de la part d’un lanceur d’alerte en Nouvelle-Zélande ! Attention il ne s’agit pas d’une étude scientifique mais de données statistiques qui justifient une enquête criminelle
Le seul responsable informatique de la vaccination covid dévoile des données horrible
J’ai participé à la construction d’un projet et aidé à la mise en œuvre d’un système de paiement des vaccins pour nos prestataires. C’est ce qu’on appelle un système de paiement par dose. Cela signifie donc que chaque fois qu’une personne se fait vacciner, elle reçoit une rémunération en tant que prestataire. Et j’ai aidé à le construire, je l’ai mis en œuvre. Et quand j’ai regardé les données, qui font partie de mon travail, j’ai remarqué des écarts avec les dates de décès, des gens mourant dans la semaine après avoir été vaccinés. « les chances que cela se produise naturellement par hasard sont presque impossibles. »
Eh bien, dès que le système a été mis en service , nous avons remarqué que les gens mouraient presque immédiatement après avoir reçu l’injection. Cela a donc un peu piqué ma curiosité, et j’ai donc creusé un peu plus. Et je suis un scientifique par nature. J’adore les sciences. C’est ma préférée de tous les temps. J’ai une maîtrise en sciences. » « Parce que c’est un système de paiement et que j’en suis l’administrateur de base de données . Je suis le seul. Parce que la Nouvelle-Zélande est un petit pays, vous pouvez vous en sortir avec un seul administrateur de base de données pour ce faire. Je suis donc dans un pays unique. position dans le monde. Et comme la Nouvelle-Zélande est un pays de premier plan avec de très bonnes compétences informatiques, j’ai pu gérer et construire le système et être le seul administrateur de base de données nécessaire pour en prendre soin. Dans d’autres pays comme l’Amérique ou la Grande-Bretagne, vous Il faudrait toute une équipe de personnes. Il serait donc très difficile pour une seule personne d’avoir accès à toutes ces informations. Mais en Nouvelle-Zélande, en raison de sa taille et de son très bon système informatique, je suis le seul « . ————————————————– —–
Dans une interview d’une heure, l’homme seul responsable du système de paiement en Nouvelle-Zélande pour le vaccin COVID-19 révèle qu’il a observé deux premiers schémas :
1) de nombreuses personnes sont décédées dans la semaine suivant l’injection et
2) certains lots (beaucoup du vaccin) étaient nettement plus mortels que d’autres. Comme l’homme est le seul opérateur de l’ensemble du système, en plus d’être un passionné de sciences et titulaire d’une maîtrise en sciences, ses conclusions ne peuvent être rejetées à la légère.
Les données des États-Unis Medicare et du ministère de la Santé de la Nouvelle-Zélande montrent, sans aucun doute, que les vaccins covidés ont tué des millions
C'est enfin ici: des données au niveau des enregistrements montrant la synchronisation vaccinale et la date de décès. Il n'y a plus de confusion: les vaccins sont dangereux et ont tué, en moyenne, environ 1 personne pour 1 000 doses.
Steve Kirsch 1 décembre 2023
Résumé exécutif Aujourd'hui, vous pourrez voir les données que personne ne veut que vous voyiez. ENFIN.
Aucun État ou pays n'a jamais publié de données de santé publique de niveau record sur aucun vaccin.
La confidentialité n'est pas la raison de cela; Les données peuvent être facilement obscurcies (ce que nous avons fait sur ces données) afin qu'aucune entrée d'enregistrement ne corresponde à celle de toute personne, vivant ou morte.
La raison pour laquelle les données sont gardées secrets est simple: elle exposerait le fait que les vaccins coiffés ne sont pas sûrs, ainsi que tous les vaccins sur lesquels j'ai pu obtenir des données de niveau record.
Aujourd'hui, grâce à un dénonciateur courageux qui travaille au ministère de la Santé néo-zélandais, nous avons des informations record d'une grande population de tous âges et le rendez public pour la première fois de l'histoire.
Voici la vidéo Rumble annonçant la fuite:
- voir sur site -
Il y avait aussi un lien YouTube, mais YouTube l'a censuré dans les minutes suivant la publication, tout comme nous le savions.
Tout comme vous le soupçonniez, les vaccins covidés ont tué des millions de personnes dans le monde, soit une mort estimée à 1 000 doses en moyenne dans une population standard.
Et maintenant, nous avons les données pour le prouver.
La présentation du diaporama du MIT
Vous pouvez lire mon "Est-ce sûr ?" La présentation du MIT glisse ici. Je recommande fortement de lire les diapositives et / ou de regarder le livestream. J'ai essayé de rendre les diapositives autonomes, mais le Livestream peut être utile pour expliquer certaines des diapositives.
Je vide également périodiquement une version PDF de la présentation à mon serveur Web Skirsch.com. La version PDF est consultable et vous pouvez copier / coller du texte à partir de celui-ci (comme les clés d'accès pour le serveur Wasabi afin que vous puissiez télécharger tous les goodies).
Les liens en direct du MIT Talk Voici le Twitter Livestream. Voici le Rumble Livestream.
La présentation du MIT répertoriée ci-dessus a tout ce dont vous avez besoin, y compris les informations d'identification pour télécharger toutes les données (recherchez «Wasabi» dans la version PDF du jeu de diapositives).
Voici les informations d'identification Wasabi parlées dans la présentation:
Clés API publiques: Access-Key = BDBT2BD1KKIXKPWY3030 Secret-Key = 5gqvqz9udsmryjlunw24trpzwpupe0Ttleudpsf3
Vous ne pouvez accéder au seau de transparence des données que pour l'instant. Croyez-moi, il y a plus que je ne divulgue pas encore (y compris une nouvelle source américaine autre que Medicare).
Ce seau a des données de la Nouvelle-Zélande, des États-Unis et des Maldives.
Les téléchargements Wasabi Explorer sont là pour PC et Mac. Vous pouvez également utiliser Cyberduck ou tout autre navigateur compatible S3. Assurez-vous que votre dossier de destination est rédiciable lorsque vous copiez des fichiers à partir du serveur.
Vous pouvez également utiliser RClone pour faire une copie locale du référentiel sur votre système:
MySystem% Rclone Config MySystem% Rclone -Sync Wasabi: / Data-Transparency / Mylocal / File / Destination-Dir Ce que vous trouverez Les données: Toutes les données du seau de transparence des données sont désinfectées. Toute correspondance aux enregistrements réels est complètement accidentel. Les données ont été désinfectées d'une manière qui préserve les statistiques. Nous avons effectué l'analyse du seau sur les données originales et obscurcies et obtenu des résultats presque identiques. Il n'y a aucune raison pour qu'une autorité de santé ne puisse pas faire la même chose que nous.
Les outils: nous vous donnerons notre logiciel d'analyse de cohorte de séries chronologiques. Ceci est le logiciel que vous n'aurez jamais à utiliser votre épidémiologiste. Maintenant, armé de données de niveau record, vous pouvez faire votre propre analyse. Nous l'avons rendu très facile à utiliser. Une fois terminé, collez le fichier de sortie dans notre feuille de calcul de l'analyse V4 .xlsx et vous verrez instantanément si le vaccin est sûr ou non.
Les documents d'analyse: vous trouverez des feuilles de calcul annotées ainsi que des documents de mots.
La description des données: vous trouverez des documents décrivant l'ensemble de données (taille, dates, âges moyens dans chaque cohorte, ce que les autorités prétendent, etc.
Je vous encourage à explorer. Tout est «légal» dans cette juridiction. Vous verrez donc les temps pleins de personnes décédées aux Maldives, par exemple. Dans d'autres endroits, les noms sont omis.
Introduction J'ai reçu les données du 8 novembre 2023 lorsqu'elle a été téléchargée sur mon serveur de fichiers Wasabi.
Le dénonciateur m'a demandé de garder les données confidentielles jusqu'au 30 novembre afin de donner au dénonciateur le temps de déterminer la logistique de la façon dont les données seraient rendues publiques.
J'ai honoré mon engagement et je ne l'ai partagé qu'avec une poignée de collègues dont Norman Fenton et ses associés au Royaume-Uni avec le consentement du dénonciateur.
Les données de la Nouvelle-Zélande ne sont pas parfaites; Ce n'est pas un échantillon complet. Par exemple, pour certaines personnes, le premier enregistrement de la base de données est la dose n ° 3. De plus, seules les personnes vaccinées sont dans la base de données.
Mais, en utilisant une analyse chronologique de cohorte, cela n'a pas d'importance. Il n'y a aucun moyen possible que ces données soient cohérentes avec un vaccin sûr. J'ai estimé que le vaccin tué, en moyenne, environ 1 personne pour 1 000 doses. Cela signifie qu'environ 675 000 Américains ont été tués par les vaccins covidés.
Nous avons confirmé l'analyse des données américaines de Medicare grâce à un autre dénonciateur.
L'histoire des données peut être trouvée dans ma présentation qui a un lien vers le serveur Wasabi et les informations d'identification d'accès, ainsi que la façon de télécharger les explorateurs de fichiers Wasabi gratuits pour PC et Mac. Il y a une grande quantité de données et d'analyses téléchargées sur les serveurs.
L'analyse des séries chronologiques de cohorte prend environ 2 heures pour s'exécuter sur les données. Nous avons inclus les fichiers de sortie afin que vous puissiez commencer à partir de cela.
L'analyse des données prend environ 5 minutes à l'aide de la feuille de calcul V4 dans le répertoire d'analyse. Tout le monde peut le faire. Vous branchez simplement des numéros pour varier les paramètres pour regarder tout ce que vous souhaitez enquêter. Il a 8 visualisations: 4 graphiques principaux (un pour chaque variable indépendante) et 4 en dessous de chaque graphique montrant le nombre de décès afin que vous puissiez l'utiliser pour juger la fiabilité des points de données dans le graphique ci-dessus.
Assurez-vous de lire toute la présentation pour comprendre comment interpréter les données.
Documents sur les données Les articles sortiront de divers auteurs au cours des prochaines semaines. Voir cet article que je mettrai à jour au fil du temps.
Et, à notre connaissance, une seule autorité, l'Office des statistiques nationales britanniques, avait fourni même l'analyse chronologique la plus élémentaire pendant une durée limitée. L'analyse de la série chronologique au Royaume-Uni confirme l'augmentation monotonique de la mortalité après chaque coup. Mais les ONS du Royaume-Uni ont pu choisir les tailles de seau alors que lorsque nous faisons l'analyse, nous avons des seaux pour chaque semaine afin que nous puissions voir exactement ce qui se passe. Ils ne peuvent pas. Et les ONS ont cessé de me répondre lorsque j'ai demandé à voir les données au niveau record.
D'autres autorités sanitaires ont apparemment refusé d'analyser leurs propres données elles-mêmes pour rechercher tous les signaux de sécurité que nous avons trouvés en abondance quelques minutes seulement après avoir reçu les données. Après avoir reçu ces données et analysé cela, nous avons contacté un certain nombre d'autorités sanitaires aux États-Unis en Floride, en Californie, et au CDC et à la FDA. Ils ont tous ignoré la demande d'examiner les données que j'ai obtenues ou de consulter leurs propres données. C'est la première fois dans l'histoire que des données de niveau record de la mort vaccinale sont mises à la disposition du public. Et maintenant, nous savons pourquoi.
De plus, les demandes de FOIA au California Department of Public Health ont montré qu'ils n'avaient jamais analysé leurs propres données. Il n'y avait aucun document montrant qu'ils ont jamais cherché des signaux de sécurité. Ils ont simplement fait confiance au CDC même si le CDC n'a pas de données de niveau d'enregistrement de vaccin, il est donc impossible pour le CDC de faire une analyse de sécurité appropriée.
Enfin, les signaux de sécurité sont limités à ceux de 60 ans et plus simplement parce qu'il n'y avait pas suffisamment de données pour prendre une détermination ferme pour les personnes de moins de 60 ans; Les données étaient tout simplement trop bruyantes car on ne nous a donné que 4m des enregistrements de 12 m en Nouvelle-Zélande.
Cependant, comme le vaccin n'apporte aucun avantage pour l'infection, l'hospitalisation ou la mort, il n'y a aucune raison pour quiconque dans le monde prenne ces vaccins. Voir la présentation pour plus de détails.
Dans n'importe quel monde sain d'esprit, les vaccins covidés seraient immédiatement interrompus et les enquêtes devraient commencer pourquoi aucune autorité de santé dans le monde n'a fait une analyse chronologique approfondie en profondeur sur les données qui aurait découvert le signal de sécurité très tôt dans le déploiement. Sont-ils tous corrompus? Ou sont-ils tous incompétents? Ou les deux?
Moderna peut-il survivre à cela ? Pourquoi quelqu'un achèterait-il son stock ?
Ces résultats ont des implications pour les actions modernes, car l'échec de leur technologie sous-jacente jette un doute sérieux sur leur viabilité en tant que continuation. Même si les gouvernements continuent d'acheter leurs produits, la violation de la fiducie publique et la réticence de l'entreprise à examiner les données de niveau record montrent que l'entreprise est plus intéressée à réaliser un profit que d'assurer la sécurité de leurs clients. Une tête dans l'approche de sable de la sécurité est méprisable.
Pfizer n'est pas différent. Les deux sociétés ont eu l'occasion de voir ces données de sécurité et elles ont toutes refusé. La FDA et le CDC aussi. L'offre a été faite par un journaliste respecté de la nouvelle communauté médicale, pas par moi.
Qu'a dit le professeur Norman Fenton à propos de ces nouvelles données? Personne ne devrait me croire sur parole. Ce sont mes opinions basées sur l'examen des données.
Tout le monde peut analyser ces données. Venez à vos propres conclusions.
Enfin, voici ce que le célèbre professeur de mathématicien britannique Norman Fenton a déclaré: «Cela confirme ce que nous avons également vu dans les données ONS les plus récentes.
Quelle que soit l'incertitude qui peut y avoir dans les groupes d'âge plus jeunes, il ne fait aucun doute que le vaccin augmente le taux de mortalité chez les personnes âgées. »
Je suis d'accord. À la pelle. Je parierais ma vie là-dessus.
L'épidémiologiste de Yale, le professeur Harvey Risch, a eu ceci à dire:
Près de la moitié de l'Amérique a déjà compris que les vaccins covidés ne sont pas sûrs; Ils veulent poursuivre les compagnies pharmaceutiques ! Heureusement, la plupart des gens le comprennent assez rapidement. Saviez-vous que 42% des Américains se joindraient à un recours collectif contre les fabricants de Vax coiffés s'ils étaient autorisés à le faire? Il s'agit d'un niveau sans précédent d'insatisfaction des clients. C'est pourquoi j'ai court-circuité des stocks modernes. Ce n'est pas une entreprise durable. Les marchés finiront par comprendre cela.
Leurs tentatives pour vous éclairer
Certaines personnes essaieront de vous convaincre que les données ne sont pas complètes et sont confondues pour cette raison. C'est de la foutaise. S'il s'agit d'un vaccin sûr, vous pouvez manquer 99% des données de prise de vue tout en obtenant la bonne réponse. Les doses n'ont pas d'importance; Un vaccin sûr est comme un coup de solution saline: ils ne provoquent aucun impact.
Ils ne s'en tireront pas avec des arguments stupides comme ça avec moi. C’est pourquoi ils ne me débatteront pas.
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Résumé C'est fini. Ils ont perdu. Les vaccins sont dangereux. Ces données sont le clou dans le cercueil. Gold Standard, Records officiels. Il n'y a pas de meilleure vérité au sol que cela. Il n'y a pas de données comparables au sol montrant que les vaccins sont sûrs. Zéro. Il ne peut y avoir qu'une seule bonne réponse.
Si vous pensez que les vaccins sont sûrs, acceptez mon pari, débattez-moi publiquement ou publiez les données au niveau des enregistrements dans votre état. Personne ne fera de ces choses qu'il semble.
Tôt ou tard, les épidémiologistes de haut niveau peseront sur ces données.
Maintenant, nous verrons à quel point la science est brisée si les meilleurs épidémiologistes du monde ne peuvent pas convenir que les vaccins ne sont pas sûrs. Par exemple, John Ioannidis pesera-t-il? Ou restera-t-il silencieux? Martin Kulldorff dira-t-il quelque chose? Ou ignorera-t-il également ces données ?
En attendant, la communauté médicale et les médias grand public continueront de recommander les coups comme si de rien n'était. Ils devraient avoir honte d'eux-mêmes.
Surtout ne pas s'arrêter sur le '1/1000' ! car aux vues de la composition des expérimentations géniques d'essais... (examinées - il y a 3 ans - par les scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Carrie Madej) il en ressort que:
95 à 99 % contiennent de nan-particules d'oxyde de graphène ! + des hydres ! + des spikes ! + diverses maladies animales et une quarantaine de venins (source: Naturalnews) différents de serpents !
Les coups d'ARN auto-amplifiant sont à venir: le danger indicible
Par Tyler Durden Samedi 02 décembre 2023 - 05h00 Rédigé par Klaus Steger via le Times Epoch (accent sur la nôtre),
La prochaine génération d'injections à base d'ARN contiendra l'ARN auto-amplifiant (SARNA). Si le terme «ARN auto-amplifiant» semble effrayant, il devrait. Il rappelle probablement les images d'expériences scientifiques qui se déroulent.
Comme discuté dans un article précédent, les «vaccins d'ARNm» ne sont pas fabriqués avec l'ARN messager mais avec l'ARN modifié (modrna). Ces soi-disant vaccins sont en fait des produits de thérapie génique (GTPS), car modrna détourne le logiciel de nos cellules. Nous n'avons aucune possibilité pour gagner une influence sur la modrna (ou le sarna) après l'injection.
Qu'est-ce qui distingue Sarna de modrna ?
Le terme «auto-amplification» est explicite: Sarna se réplique à plusieurs reprises, ce qui n'est pas naturel, car l'ARNm naturel est toujours (sans exception) transcrit à partir de l'ADN (c'est ce qu'on appelle le «dogme central de la biologie moléculaire»).
Par rapport à la modrna, une petite quantité de sarna entraîne une augmentation de l'antigène produit; Un coup d'injection à base de Sarna peut être suffisant pour générer suffisamment d'anticorps contre un virus.
Sarna et Modrna représentent le plan pour une protéine virale, qui, après être entrée dans nos cellules, sera produite par notre machinerie cellulaire (c'est-à-dire les ribosomes).
Les scientifiques ont créé la séquence de modRNA génétiquement modifiée en remplaçant les uridines naturelles par des méthyl-pseudouridines synthétiques pour générer une quantité maximale d'antigène viral. Cette modification est la base des plans Pfizer-BionTech et Moderna Covid-19.
Contrairement à la modRNA, le sarna ne contient pas de méthyl-pseudouridines, mais des uridines. Pourquoi? Étant donné que les auto-réplications de SarNA et les méthyl-pseudouridines synthétiques ne sont pas disponibles dans nos cellules, Sarna doit s'appuyer sur des uridines naturelles qui existent dans nos cellules. Nos cellules produiront des protéines étrangères en utilisant leur propre machinerie cellulaire et leurs propres ressources naturelles - la principale raison pour laquelle ces cellules deviennent finalement épuisées.
Cependant, cela provoque un problème important: l'ARNm est très instable et, par conséquent, n'a qu'une courte durée de vie - trop courte pour que notre système immunitaire produit des anticorps suffisants. La solution à ce problème est la deuxième différence entre modrna et sarna.
Contrairement à la modRNA, le sarna contient une séquence supplémentaire pour la réplicase, telle que détruite (par les RNases), le Sarna doit être remplacé par un nouveau Sarna.
Comme l'ARNm naturel ne se réplique jamais, Sarna représente définitivement un ARN génétiquement modifié (modrna).
En termes simples, Sarna n'est qu'un autre type de modrna.
Pourquoi le changement à Sarna ?
Sarna est la solution politique: la même quantité (ou même plus) de l'antigène dans un seul coup! Le public sera probablement informé qu'en raison des mutations régulières du virus, des boosters adaptés annuels continueront d'être nécessaires.
De nombreuses études précliniques et cliniques appliquant une technologie de Sarna ont déjà été entreprises. Une revue en 2023 dans la revue pathogènes vante les vaccins Sarna comme «des vaccins d'ARNm améliorés». La revue Vaccines a publié un résumé de cinq ans de résultats de l'étude SARNA. Une fois les études cliniques requises terminées, ces nouveaux vaccins peuvent être approuvés pour une utilisation. On peut s'attendre à ce que ce processus soit aussi rapide que pour les vaccins Covid-19. Le processus d'approbation deviendra plus simple, car on pourrait faire valoir que la technique (modrna dans les nanoparticules lipidiques) est déjà approuvée et que seule la séquence de modrna est différente. Par conséquent, ces nouveaux vaccins Sarna pourraient être injectés à un public sans méfiance à tout moment.
Alors que Biontech a effectué des expériences avec SARNA (BNT162C2) mais s'est finalement concentrée sur le modrna (BNT162B2), Arcturus Therapeutics a été le premier à annoncer (en 2022) que sa vaccin contre le Sarna de Sarna de Covid-19 - est la plus avancée de Sarna Vaccin - Répond au critère d'évaluation de l'efficacité primaire dans une étude de phase 3.
Dans l'étude sur la thérapeutique Arcturus, les participants ont reçu deux doses, chacune contenant 5 microgrammes de sarna. C'est bien inférieur aux concentrations de modrna utilisées par Pfizer-BionTech (30 microgrammes / tir) et Moderna (100 microgrammes / tir).
Les injections de Sarna ne résoudront pas les problèmes avec les injections de modrna Comme nous l'avons découvert avec modrna, la protéine de pointe est toxique pour notre corps.
Nous savons que Modrna entraîne la production de plus de protéines de pointes que ce qui ne serait disponible lors d'une infection naturelle, et nous savons que les boosters répétés provoquent une tolérance immunitaire.
Par rapport à la modrna, une petite quantité de sarna entraîne une augmentation de l'antigène produit.
La «dose» de l'antigène viral que les vaccins actuels et futurs à base d'ARN provoquent montrera de grandes fluctuations d'un individu à l'autre, selon le type de cellule produisant l'antigène souhaité, la prédisposition génétique, les antécédents médicaux et d'autres facteurs. Ce fait à lui seul devrait interdire l'utilisation des injections à base d'ARN comme vaccins pour les personnes en bonne santé.
Une autre étape douteuse en avant: de la linéaire à la sarna circulaire
Comme les enzymes dégradant l'ARN (RNASE) sont connues pour agir des deux extrémités de l'ARN linéaire, les scientifiques ont tenté d'empêcher ces enzymes de faire leur devoir naturel - dégradant les ARNm qui ne sont plus nécessaires et créés de l'ARN circulaire. Cela a entraîné une augmentation de la stabilité et de l'efficacité de la traduction, suivie de la production d'une quantité accrue de l'antigène souhaité.
Mais est-ce vraiment un autre pas en avant? Considérez l'effet négatif de la présentation de l'antigène de longue durée. En raison de l'augmentation des niveaux d'antigène, une injection de sarna - si linéaire ou circulaire - peut provoquer des événements indésirables comparables aux injections répétées (booster) de modrna.
La présentation à long terme d'un antigène est connue pour provoquer une tolérance immunitaire Après avoir été vaccinée, notre corps génère des anticorps, principalement immunoglobulines G (IgG), y compris IgG1 et IgG4.
Les individus vaccinés montrent un commutateur de classe d'anticorps commençant par la troisième injection Covid-19 (le premier booster). Ceci provient des anticorps inflammatoires IgG1 (qui combattent la protéine de pointe) aux anticorps IgG4 non inflammatoires (qui tolèrent la protéine de pointe). Des niveaux élevés d'anticorps IgG4, à long terme, épuiseront le système immunitaire, provoquant une tolérance immunitaire. Cela peut expliquer les infections «révolutionnaires» de Covid-19, une réponse immunitaire réduite à d'autres infections virales et bactériennes et la réactivation des infections virales latentes. Il peut également provoquer des maladies auto-immunes et une croissance incontrôlée du cancer.
Notamment, les réponses à long terme de l'IgG4 ont été significativement associées aux injections à base d'ARN, tandis que les individus atteints d'une infection Covid-19 avant la vaccination n'ont montré aucun niveau d'IgG4 accru, même lorsqu'ils ont reçu un tir après l'infection.
Cette observation discrédite clairement la politique de l'Organisation mondiale de la santé selon laquelle - en supposant que les gens n'ont aucune immunité contre les nouveaux virus (ignorant complètement la réalité de l'immunité croisée) - les gens doivent être vaccinés avant d'entrer en contact avec le virus.
Les injections à base d'ARN sont reconnues comme des produits de thérapie génique De manière incompréhensible, les injections à base d'ARN pour protéger contre les maladies infectieuses ont été nommées «vaccins», ce qui a permis l'exclusion des réglementations strictes pour les produits de thérapie génique (GTPS). Encore une fois, cela s'est produit sans fournir au public de justification scientifique.
Des détails sur les questions réglementaires des vaccins basés sur l'ARN sont rapportés dans des revues excellentes et complètes de Guerriaud & Kohli et Helene Banoun.
En 2014, Uğur şahin, déjà PDG de Biontech, a co-écrit un article publié dans Nature sur le développement d'une nouvelle classe de médicaments, «thérapeutique basée sur l'ARNm». Les auteurs ont écrit: «On pourrait s'attendre à ce que la classification d'un médicament d'ARNm soit une thérapie biologique, génique ou une thérapie cellulaire somatique.»
En 2021, l'auteur de la correspondance imprimée dans Genes & Immunity a décrit les vaccins basés sur l'ARN créés par Moderna et Pfizer-BiionTech comme «une percée dans le domaine de la thérapie génique» et «une grande opportunité pour la FDA et l'EMA pour réviser le développement de médicaments pipeline pour le rendre plus flexible et moins long. »
Deux informations inquiétantes sont maintenant révélées:
L'ADN contaminant résulte de la modification de Pfizer-BionTech dans le processus de fabrication après avoir terminé l'essai clinique BNT162B2 (COMIRNATY) C4591001. Initialement (le processus 1), le modRNA Pfizer-BiionTech a été produit par transcription in vitro à partir de l'ADN synthétique et amplifié par PCR (réaction en chaîne par polymérase). Cependant, pour augmenter la fabrication (voir des réponses rapides à cette étude BMJ), le modrna codant pour l'ADN a été cloné dans des plasmides bactériens (processus 2). En termes simples, l'essai clinique a été exécuté sur les lots de processus-1, mais les populations mondiales ont reçu des lots de processus-2. Cela signifie que les personnes qui ont donné leur consentement pour être vaccinées ont été injectées avec une substance différente de celle approuvée par les organismes de réglementation et à laquelle ils avaient consenti.
Des analyses de séquence détaillées ont révélé que les plasmides-ADN dans les plans Pfizer-BiionTech et Moderna Covid-19 contiennent une séquence de paires à 72 bases du promoteur du virus Simian-40 (SV40), qui est bien connu pour améliorer le transport du plasmide ADN plasmidique dans le noyau. Il est désormais irréfutable que les injections de Covid-19 à base d'ARN contiennent de l'ADN.
La technologie basée sur l'ARN - en particulier lorsqu'elle est appliquée comme vaccins à des individus en bonne santé - est injustifiable et contraire à l'éthique. Indépendamment du nombre tragique d'événements indésirables ou des taux de mortalité excessive, c'est la technique qui est le problème, et les mêmes problèmes se produiront dans tous les futurs «vaccins» basés sur l'ARN.
La technologie «vaccinale» basée sur l'ARN va à l'encontre de l'idée centrale de l'évolution au cours des millions d'années. Alors que la modrna et le sarna injectés produisent des antigènes sans s'arrêter, en fait, la courte durée de vie de l'ARN messager naturel (ARNm) est une condition préalable aux fonctions cellulaires saines et spécifiques. (La courte durée de vie de l'ARNm permet à nos cellules de s'adapter le plus rapidement possible aux circonstances changeantes et d'éviter la production de protéines inutiles.)
Une prémisse de la technologie «vaccinale» basée sur l'ARN - que toutes nos cellules corporelles doivent produire une protéine virale étrangère - se révèle contre les principes biologiques fondamentaux, comme la distinction entre nos propres cellules et les envahisseurs étrangers, et entraînera notre système immunitaire attaquant notre propres cellules.
L'ARN peut être transcrit dans l'ADN même sans la présence de la transcriptase inverse (enzymatique) (c'est-à-dire par des éléments de ligne1 présents dans notre génome / ADN). Contaminer l'ADN (dans les vaccins basés sur l'ARN) est la règle plutôt que l'exception. Comme l'ARN et l'ADN peuvent être intégrés dans le génome humain, les soi-disant «vaccins» basés sur la technologie de l'ARN sont en fait des produits de thérapie génique.
Il n'est en aucun cas justifiable de soumettre les GTP basés sur l'ARN pour une utilisation médicale pour des contrôles stricts mais pour exclure les GTP basés sur l'ARN, appelés vaccins, à partir de ces réglementations, même s'ils sont destinés à la majeure partie de la population humaine. Même en cas d'urgence, personne ne devrait être obligé d'être injecté d'une substance - least de tous par des politiciens.
Qu'est-ce que Covid-19 nous a appris sur la science, la politique et la société ?
Pendant de nombreuses années, les scientifiques rêvaient de manipuler le «logiciel» humain - c'est-à-dire l'ADN ou l'ARN. Éthiquement, la manipulation de l'ADN a toujours été tabou. Rétrospectivement, Covid-19 peut représenter l'aube des «vaccins» à base d'ARN et la fin du tabou contre la manipulation de l'ADN humain.
Dans un commentaire en 2023 dans le Journal of Evaluation in Clinical Practice, les auteurs ont écrit que dès les premiers jours de la pandémie, il était évident que certains scientifiques influents et leurs alliés politiques ont démonté des opinions scientifiques dissidentes et des preuves offrant un deuxième avis. Malgré des preuves contradictoires, les politiciens nationaux «ont assuré au public qu’ils adoptaient des politiques Covid-19 en« suivant la science ».» Cependant, le consentement scientifique n’a été obtenu que en supprimant le débat scientifique.
N'oubliez pas: lorsque les questions sont autorisées, c'est la science; Quand ils ne le sont pas, c'est de la propagande.
Les soi-disant «experts» sélectionnés par des politiciens nous ont dit que nous devons être vaccinés pour pouvoir combattre un nouveau virus respiratoire. Cela contredit la science du système immunitaire humain. Nos systèmes immunitaires sont dynamiques et peuvent effacer un virus qu'ils n'ont jamais rencontré; Ils peuvent également développer l'immunité croisée pour identifier les variantes même si le virus mute. Cependant, comme les vaccins à base d'ARN produiront un seul antigène, notre système immunitaire est privé de la possibilité de développer une immunité croisée contre les variantes virales. Cela s'applique, en particulier, aux virus respiratoires présentant un taux de mutation élevé. À long terme, cela entraînera une augmentation de la fréquence et de la gravité des maladies infectieuses. Ainsi, les politiciens intéressés à protéger la population contre les infections futures seraient bien avisés d'offrir des programmes de santé qui renforcent le système immunitaire avant les infections saisonnières.
Les scientifiques n’ont pas la moindre idée de la façon de diriger la modrna ou du sarna à un type de cellule spécifique ou comment arrêter la traduction de l’ARN administré. Cependant, ils continuent d'étudier comment la stabilité de l'ARN injecté et la quantité d'antigène généré peuvent être encore augmentées. Le développement actuel de la technologie des vaccins basés sur l'ARN rappelle l'un des poèmes «The Sorcerer’s Apprentice», que le poète allemand Johann Wolfgang von Goethe a écrit il y a plus de 200 ans:
"Les esprits, que j'ai soulevés sans soulages, ne sont pas envahis par mon pouvoir."
N'oubliez pas: lorsque les questions sont autorisées, c'est la science; Quand ils ne le sont pas, c'est de la propagande.
Les soi-disant «experts» sélectionnés par des politiciens nous ont dit que nous devons être vaccinés pour pouvoir combattre un nouveau virus respiratoire. Cela contredit la science du système immunitaire humain. Nos systèmes immunitaires sont dynamiques et peuvent effacer un virus qu'ils n'ont jamais rencontré; Ils peuvent également développer l'immunité croisée pour identifier les variantes même si le virus mute. Cependant, comme les vaccins à base d'ARN produiront un seul antigène, notre système immunitaire est privé de la possibilité de développer une immunité croisée contre les variantes virales. Cela s'applique, en particulier, aux virus respiratoires présentant un taux de mutation élevé. À long terme, cela entraînera une augmentation de la fréquence et de la gravité des maladies infectieuses. Ainsi, les politiciens intéressés à protéger la population contre les infections futures seraient bien avisés d'offrir des programmes de santé qui renforcent le système immunitaire avant les infections saisonnières.
Les scientifiques n’ont pas la moindre idée de la façon de diriger la modrna ou du sarna à un type de cellule spécifique ou comment arrêter la traduction de l’ARN administré. Cependant, ils continuent d'étudier comment la stabilité de l'ARN injecté et la quantité d'antigène généré peuvent être encore augmentées. Le développement actuel de la technologie des vaccins basés sur l'ARN rappelle l'un des poèmes «The Sorcerer’s Apprentice», que le poète allemand Johann Wolfgang von Goethe a écrit il y a plus de 200 ans:
"Les esprits, que j'ai soulevés sans soulages, ne sont pas envahis par mon pouvoir."
Le premier hôpital du pays exige que les vaccins Covid-19 mettra fin au mandat
Par Tyler Durden Samedi 02 décembre 2023 - 03:05 Rédigé par Matthew Lysiak via l'époque Epoch Times (le nôtre),
Houston Methodist, qui a fait la une des journaux nationaux après être devenu le premier hôpital aux États-Unis à imposer les vaccins Covid-19, ne nécessitera plus que ses employés reçoivent les prises de vue controversées après une nouvelle loi adoptée par la législature du Texas interdite la pratique de refuser le vaccination choix aux travailleurs du secteur privé.
L'hôpital a annoncé le changement de politique dans un e-mail interne aux employés, examiné par l'Epoch Times, que les employés qui choisissent de ne pas recevoir le vaccin Covid-19 ne seront plus interdits de travailler dans l'institution, en vigueur le 1er décembre.
"La législature du Texas a adopté une loi de la session spéciale qui interdit aux employeurs privés d'obliger les employés et les entrepreneurs à obtenir une vaccination Covid-19 comme condition d'emploi", indique le communiqué. «Nous continuerons d'encourager tout le monde à recevoir le vaccin Covid-19, mais il ne sera plus mandaté chez Houston Methodist. Cela signifie qu'obtenir le vaccin ou être approuvé pour une exemption, ne sera plus une condition d'emploi. »
Le communiqué a ajouté que l'hôpital «a toujours mis la sécurité de nos patients et de nos employés.»
La Dre Mary Talley Bowden, praticienne au Texas et fondatrice de Coalition of Health Freedom, a déclaré à l'Epoch Times que la décision de l'hôpital de jouer le rôle de Trailblazer à devenir le premier à imposer le vaccin Covid-19 n'a pas seulement été mal conçu, mais mais non seulement conçue, mais mais non seulement conçue, mais mais non seulement conçue, mais mais non seulement conçue, mais mais non seulement conçue, mais mais non seulement conçue, mais mais non seulement conçue, mais mais non seulement conçue, mais aussi mal conçue, mais non seulement conçue, mais non seulement conçue, mais non seulement conçue, mais non seulement conçue, mais non seulement conçue, mais non seulement conçue, mais non seulement conçue, mais non seulement conçue, mais non seulement mal conçue, mais non seulement conçue, mais non seulement. a déclenché une série d'effets d'ondulation négatifs en termes de liberté médicale qui se propagerait rapidement à d'autres institutions à travers le pays.
«Houston Methodist et leur PDG, le Dr Marc Boom, ont contraint près de 30 000 employés pour obtenir un tir d'ARNm modifié expérimental sans données de sécurité à long terme», a déclaré le Dr Bowden. «Leur politique de mandat a été la première du pays et a ouvert la voie au gouvernement et aux autres entreprises d'imposer une politique d'emploi très contraire à l'éthique pour des millions d'Américains.»
Le 8 juin 2021, Houston Methodist est devenu le premier système hospitalier du pays pour exiger que ses prestataires de soins de santé privés obtiennent la chance. Dans une lettre informant le personnel de l'hôpital de la politique, le Dr Rob Phillips, directeur médical méthodiste de Houston, a justifié la décision en affirmant que forcer les employés à prendre le vaccin était leur obligation morale, écrivant: «Il est de notre devoir en tant que professionnels de la santé de ne pas faire nuire et protéger la sécurité de nous tous - nos collègues, nos patients et notre société. "
L'hôpital n'avait pas rendu un appel à commentaires de l'époque époque au moment de la publication.
Controverse sur les vaccins
Les deux dernières années ont vu les vaccins Covid-19 devenir embourbés dans la controverse. Les vaccins originaux Covid-19 ont été pris par plus de 80% des Américains après que les responsables se soient engagés que les tirs seraient efficaces pour empêcher la contraction et arrêter la propagation du virus. Cependant, une fois qu'il a été révélé que les tirs ne fonctionnaient pas comme promis, l'intérêt pour les tirs de rappel suivants a diminué de façon spectaculaire.
Les vaccins pourraient également être attribués à des rapports généralisés de résultats négatifs sur la santé qui auraient été causés par les coups. Les vaccins Covid-19 ont été nommés le principal suspect dans plus de 1,5 million de rapports d'événements indésirables, selon la base de données du système de rapport d'événements défavorables de la FDA (VAERS). Les chiffres pourraient être encore plus élevés. Une étude financée par la FDA à Harvard (PDF) a révélé que les cas VAERS représentent moins de 1% des événements indésirables vaccinaux qui se produisent réellement.
En août, le site Web de Centers for Disease Control and Prevention (CDC) en V-SAFE a cessé de collecter des rapports d'événements indésirables sans raison ni explication. Mercredi matin, le site Web V-SAPE déclare: «Merci pour votre participation. Collecte de données pour les vaccins Covid-19 conclus le 30 juin 2023. »
Par conséquent, au cours des deux dernières années, la confiance dans les responsables de la santé a chuté de 10 points de 44% à 34%, selon un sondage de suivi de Gallup.
"Les ramifications sont immenses et bien que je sois heureux qu'ils (les mandats du vaccin) aient été arrêtés, nous devons toujours les tenir responsables", a déclaré le Dr Bowden.
17 millions de décès dus à la vaccination contre le Covid selon l'entrepreneur américain Steve Kirsch
2 décembre 2023 par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander Faes
Nous devrions apprendre de « l’histoire » car il n’y a pas d’autre moyen de tirer des conclusions pour le présent et l’avenir de nos expériences. Mais avec « l’histoire », ce n’est pas si simple, puisqu’il s’agit d’un nom court pour un métaphénomène émergent qui présente souvent à l’humanité les conséquences à la fois attendues et prévisibles mais ignorées de ses propres actions, à partir des conséquences inattendues (théorie vulgo du « chaos »). sans parler de. Un inventaire. Les bureaucraties sanitaires et leurs protagonistes, qui ont récemment été presque omniprésents dans tous les pays, notamment en Occident, sont maintenant, près de quatre ans après la découverte des premiers cas d'une « nouvelle » maladie en Chine, complètement nus, tant intellectuellement que mentalement. termes de leur crédibilité. Des États-Unis (CDC, FDA) au niveau européen (EMA) en passant par les institutions nationales telles que les instituts Robert Koch et Paul Ehrlich (Allemagne) ou l'Agence pour la sécurité alimentaire et la santé (AGES) et l'Office fédéral de la sécurité des soins de santé. (BASG, ces deux dernières étant des autorités autrichiennes), leur plus petit dénominateur commun s'applique : le mensonge.
Cela s'applique d'ailleurs - en particulier - aux actuels ministres de la Santé Karl Lauterbach (SPD) et Johannes Rauch (Verts), ainsi qu'à tous ces dames et messieurs "Experts™" qui, avec une facilité déconcertante, fournissent aux institutions et aux personnes susmentionnées Des « Vérités™ » qui peuvent être modifiées au quotidien » se tenaient à l'écart.
Ainsi, lorsqu’il y a un « conflit » ouvert entre deux « camps » irréconciliables, c’est entre ceux qui mentent depuis des années et ceux qui disent des vérités désagréables.
Les responsables politiques et « scientifiques™ » ont menti sur presque tout ce qui est lié à la soi-disant « pandémie Corona™ » déclarée par l’OMS : tout d’abord, sur l’ émergence et l’origine du soi-disant « nouveau coronavirus » qu’il a provoqué. Maladie « Covid-19 » , menti.
Ensuite, ils ont menti sur les vaccins Pfizer et Moderna , développés comme une panacée contre le Covid-19 . Ils ont également menti sur les traitements réellement efficaces contre la maladie qu’ils ont inventée et déchaînée sur le monde, sans parler de l’immunité naturelle . Le résultat est des campagnes de propagande massives, accompagnées d’une pression sans précédent sur l’ensemble de l’establishment médical pour qu’il rompe le serment d’Hippocrate afin d’administrer des vaccins qui tuent.
Une particularité des données collectées est que les vaccins peuvent mettre très longtemps à tuer des personnes – six mois n’est que la moyenne. La directrice du CDC, Mandy Cohen, continue de plaider en faveur des vaccins contre le Covid-19, tout comme son prédécesseur Rochelle Walensky, qui n'a démissionné qu'en juin de cette année, de sorte que des décès excessifs et précoces sont toujours attendus. Il en va de même pour l'EMA.
La question se pose donc : les bureaucrates de la santé de tous les pays ont-ils « d’une manière ou d’une autre » négligé les données accumulées et les reportages sur le danger des vaccins modRNA ? Peuvent-ils être aussi stupides ? Ou ont-ils sciemment menti au public en vantant les mérites de « vaccins » qui sont manifestement dangereux ? À un moment donné, ils devront répondre à ces questions.
Hier également, les journalistes indépendants Matt Taibbi et Michael Shellenberger ont témoigné devant le sous-comité spécial de la Chambre sur la militarisation du gouvernement fédéral.
Les deux journalistes avaient déjà publié les « Twitter Files », une enquête sur l’infiltration des médias sociaux par le gouvernement pour censurer et manipuler des informations susceptibles d’influencer le résultat des dernières élections.
Dans ce nouveau chapitre, les deux hommes, aux côtés du blogueur de Substack Alex Gutentag, ont publié un rapport basé sur le témoignage d'un lanceur d'alerte sur le concept de censure de grande envergure appelé "Cyber Threat Intelligence League" (sans blague) que le ministère américain de la Patrie Sécurité concoctée en 2018 et dont les activités coordonnées se sont étendues à travers ce qu’on appelle la « Communauté du renseignement », la Maison Blanche et les autorités de Grande-Bretagne, du Canada, d’Australie et de Nouvelle-Zélande. Un programme identique, non moins tyrannique, a également été adopté par de nombreux gouvernements de l’UE.
... il vit à l'ouest Le résultat de toute cette activité est que « l’Occident » se nourrit de mensonges et semble désormais s’étouffer avec ses propres médicaments.
Il semble que le Covid-19 était en préparation depuis longtemps lorsqu’il a été détourné par les services de renseignement, l’État profond et les sbires du Parti démocrate pour finalement se débarrasser du président Trump en 2020 – après l’échec du RussiaGate et d’un processus de destitution basé sur des mensonges et des tromperies.
L’introduction de « vaccins » modARN mal testés (sic) – qui sont en fait développés par le ministère américain de la Défense et distribués sous licence par BioNTech/Pfizer et Moderna – suggère que le « Covid-19 » devrait être « vaincu » par cela après « Le nouveau coronavirus » a rempli sa tâche.
Mais les « vaccins » modRNA se sont révélés être un échec gigantesque et mortel. Ces produits ont été « vendus » au public, souvent imposés aux gens contre leur volonté et illégalement, et ont rapporté des milliards de « profits » – l’équivalent de 30 (milliards) de pièces d’argent – à l’industrie pharmaceutique. Cependant, presque immédiatement après la « campagne de vaccination », des gens ont commencé à mourir ou à tomber gravement malades, c'est pourquoi ce que nous avons vu depuis lors semble être une cacophonie de tentatives de la part des auteurs, plus ou moins désespérées, qui ont été faites. plus mal qu'à juste titre et dans certains cas, ils se sont empressés de dissimuler des crimes.
Nous sommes dans une sorte de « guerre », mais c’est un conflit entre la réalité et le mensonge et la propagande.
Ces crimes (présumés) sont le produit ou la conséquence de milliers de personnes employées dans l'appareil administratif (« Ministère de la Santé »), les autorités de la soupe à l'alphabet (CDC, FDA, EMA, PEI, RKI, BASG, etc.) et leurs porteurs d’eau dans la « politique » et les « principaux médias ».
Ils sont également complices de ces monstruosités, et le nombre croissant de lanceurs d'alerte laisse penser que le point de bascule sera bientôt atteint - j'entends par là le moment où les premiers "initiés" coopéreront avec les autorités judiciaires, même si c'est par de plus bas instincts de l'auto-préservation pour sauver leur propre peau.
Bientôt, il est temps. Préparez votre machine à pop-corn.
Mécanismes cancérigènes du Pfizer: de plus en plus évidents et de plus en plus nombreux
le 2 décembre 2023 par pgibertie
Les échanges entre nos biologistes préférées , @BanounHelene,@PinsolleT, @AnneliseBocquet sont complexes pour les profanes comme moi, mais analysant la littérature scientifique récente, elles mettent en évidence au moins 5 mécanismes cancérigènes complémentaires par lesquels le Pfizer et le Moderna provoquent des cancers
- voir graph sur site -
Le mécanisme le plus spectaculaire est sans doute le changement de la composition des anticorps qui accompagne la multiplication des rappels . De plus en plus d’IgG4 et c’est dramatique : cancers, maladies auto immunes…risque global plus élevé de cancer, notamment du pancréas et de lymphome
La multiplication des anticorps IgG4 favorise la croissance des cancers et…. les injections covid ARNm de Big Pharma favorisent une multiplication des IgG4, alors, pas de problème en France? Publié le 8 octobre 2023 par pgibertie
Plus il y a de doses plus les IgG4 se multiplient dans l’organisme L’IgG4 est un anticorps unique qui présente la concentration la plus faible parmi les sous-types d’IgG chez les individus en bonne santé, et sa fonction n’a pas … Lire la suite →
– la suractivation de NF-kB est cancérigène https://ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8706767/… , la sous-unité S2 de la Spike se lie à la p53. L’état d’hyperinflammation peut être révélateur d’un dérèglement dans la balance NF-kB/p53.
– la perturbation des IFN… s les IFN-1 jouent un rôle fondamental dans la surveillance des cancers… L’activité anticancéreuse des interférons de type I, et notamment de l’IFNα et du facteur de régulation IRF9. En effet, l’IFNα agit à l’encontre des cellules cancéreuses via divers mécanismes, en arrêtant le cycle cellulaire ou en induisant l’apoptose cellulaire ou en stimulant les cellules immunitaires cytotoxiques comme les LT CD8+ et les NK. L’activité antiproliférative de l’IFNα passe notamment par l’IRF9 et une dérégulation de ces deux éléments a été mise en évidence dans certains cancers comme les leucémies ou le cancer de la prostate. https://ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2796296/… https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34670303/
L’activité antiproliférative de l’IFNα passe notamment par l’IRF9 et une dérégulation de ces deux éléments a été mise en évidence dans certains cancers comme les leucémies ou le cancer de la prostate. https://ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2796296/… https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34670303/
-Spike, SARS-CoV-2 et Pfizer, miR148a… une interaction intrigante https://twitter.com/AnneliseBocquet/status/1701704256514843094?t=zkfEsVqSMY204nofCgUBWA&s=19
– les IgG4 ne sont que la conséquence du développement de l’immunotolerance. C’est ce mécanisme qui est hautement cancérigène… bien que les IgG4 participent aux cancers. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34986892/
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 02 DÉCEMBRE 2023 - 17H40 Rédigé par James Howard Kunstler via Kunstler.com,
« C’est à mon avis la pire chose qui soit jamais arrivée à notre pays au cours de ma vie, et le rôle du gouvernement ne peut être nié. » - La représentante Marjorie Taylor Greene sur C-19-Vaxx
L’histoire est une escroc. Il se déroule de manière émergente avec une créativité étrange, aveuglant souvent l’humanité avec les conséquences imprévues et les résultats non linéaires des développements précédents. Nous voici donc dans une Seconde Guerre Civile.
Vraiment ? « Entre qui ? pourriez-vous demander.
Entre vérité et mensonge.
Entre un blob bureaucratique sociopathe imprégné de mensonges et des citoyens obligés de vivre et de mourir par les mensonges du blob.
Exemple concret : l’évolution émergente des agences de santé publique américaines, du CDC, de la FDA, du NIH, du NIAID et de leurs nombreux fiefs, vers un gigantesque moteur de mort alimenté par des mensonges incessants et persistants. Les personnes qui dirigent ces agences vous ont menti sur la création et l’origine du nouveau virus corona, le SRAS Covid-19. Ensuite, ils ont menti sur les vaccins Pfizer et Moderna créés comme remède souverain contre le Covid-19. Ils ont également menti et supprimé les traitements réellement efficaces contre la maladie qu’ils ont inventée et répandue dans le monde, puis ont contraint l’ensemble de l’establishment médical à rompre son serment d’Hippocrate (d’abord ne pas nuire) d’administrer des vaccins qui tuaient. Ils ont menti sur ces choses en connaissance de cause. Et tout au long de ces trois années, la santé publique américaine a caché les données sur le Covid et les vaccins tout en mentant agressivement à ce sujet et en punissant les citoyens américains qui ont trouvé des moyens de révéler la vérité.
Les vaccins ont tué environ 670 000 Américains et 17 millions dans le monde, selon des chiffres consensuels auxquels sont parvenus des citoyens déterminés à découvrir la vérité. L'un d'eux est le chercheur indépendant Steve Kirsch, un milliardaire de la Silicon Valley qui a inventé la souris optique. En 2021, après avoir remarqué une étrange tendance aux décès et aux blessures précoces dans son propre cercle de connaissances, M. Kirsch s’est consacré et a consacré sa fortune à découvrir la vérité sur les vaccins Covid-19. M. Kirsch se décrit comme « un nerd », ce qui signifie qu'il est bon en mathématiques et dans l'art de rassembler des ensembles d'informations à l'aide d'analyses statistiques rigoureuses qui présentent une image cohérente de la réalité, c'est-à-dire la vérité.
Les informations du matin d’aujourd’hui (vendredi 1er décembre) ne contiennent rien sur le discours historique de Steve Kirsch au MIT, qui a essentiellement présenté les preuves d’un crime contre l’humanité. L’une des caractéristiques des données recueillies est que les vaccins peuvent mettre beaucoup de temps à tuer des personnes – six mois n’étant qu’une moyenne. La directrice du CDC, Mandy Cohen, continue de promouvoir les vaccins contre le Covid-19, tout comme son prédécesseur Rochelle Walensky, qui a démissionné en juin dernier, alors attendez-vous à une incidence continue de décès excessifs et précoces. Est-ce que tous deux ont manqué d’une manière ou d’une autre l’accumulation massive de données et d’informations sur le danger des vaccins à ARNm ? Pourraient-ils être aussi stupides ? Ou ont-ils sciemment menti au public, en promouvant des vaccins qui sont manifestement dangereux ? À un moment donné, ils devront peut-être répondre à ces questions.
Hier également, les journalistes indépendants Matt Taibbi et Michael Shellenberger ont témoigné devant le sous-comité spécial de la Chambre sur la militarisation du gouvernement fédéral. Les deux journalistes avaient précédemment publié les « Twitter Files », une enquête sur l’infiltration des médias sociaux par le gouvernement à des fins de censure et de manipulation d’informations susceptibles d’affecter le résultat des récentes élections. Dans ce nouveau chapitre, les deux hommes, aux côtés du blogueur de Substack Alex Gutentag, ont publié un rapport basé sur le témoignage de lanceurs d'alerte sur le vaste cadre de censure appelé Cyber Threat Intelligence League que le ministère de la Sécurité intérieure a concocté en 2018 et dont les activités coordonnées ont métastasé. par l’intermédiaire de ce qu’on appelle la « communauté du renseignement », de la Maison Blanche et des agences du Royaume-Uni, du Canada, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande.
La même programmation tyrannique a été adoptée par de nombreux gouvernements de l’UE.
Le résultat net de tout cela est que la civilisation occidentale se sature de mensonges. Il semble que le Covid-19 était en bonne voie de développement lorsqu’il a été adopté par le blob et ses protecteurs au sein du Parti démocrate pour l’utiliser comme moyen de se débarrasser enfin du président Trump en 2020 après l’échec du RussiaGate et d’une fausse destitution. L’introduction de vaccins à ARNm mal testés – en fait développés par le département américain de la Défense et sous licence auprès de Pfizer et Moderna – semble avoir été destiné à atténuer le Covid-19 après avoir accompli sa tâche consistant à permettre à la fraude électorale de mettre la main sur un bouc émissaire. président « Joe Biden » à la Maison Blanche. Mais les vaccins se sont révélés être un échec gigantesque et mortel. Et une fois qu’ils ont été vendus au public, que les fabricants de vaccins ont gagné des milliards et que les gens ont commencé à mourir et à contracter des maladies graves, toutes les personnes impliquées dans le vaste réseau de blobs ont dû continuer à mentir pour dissimuler leurs crimes.
Ce qui découle de cette nouvelle guerre civile de la vérité contre le mensonge, c’est que le mensonge sera perdant parce que le mensonge est fondamentalement malsain et ne peut pas se suffire à lui-même. Le blob bureaucratique américain, comme le produit fictif Soylent Green, ce sont les gens. Il y en a évidemment des milliers, pratiquement une armée entière, coupables de crimes.
Les lanceurs d’alerte se multiplient désormais. Nous approchons du moment magique où toute l’armée du blob se retourne et se déchaîne pour tenter de sauver ses fesses. Attendez-le.
* * *
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À l’approche de la date limite du 1er décembre pour le rejet des propositions controversées de l’OMS, les activistes déploient des efforts d’opposition à l’échelle mondiale
L'activisme mondial contre le traité sur les pandémies proposé par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et les amendements à son Règlement sanitaire international (RSI) s'intensifie à l'approche de la date limite du 1er décembre pour rejeter les amendements au RSI proposés pour 2022. Les critiques estiment que les propositions renforcent l'autorité de l'OMS, érodent la souveraineté nationale et menacent la liberté de la santé.
Par Michael Nevradakis Mondialisation.ca, 02 décembre 2023
Les États membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ont jusqu’au 1er décembre pour rejeter les amendements proposés au Règlement sanitaire international (2005) (RSI) qui, selon les critiques, donneraient plus de pouvoir à l’OMS.
Les critiques soutiennent que le fait de ne pas rejeter les amendements 2022 du RSI – qui ont été approuvées l’année dernière,par la soixante-quinzième Assemblée mondiale de la santé, augmentera la probabilité que de futures propositions, telles que les 2023 Amendements au RSI en attente et l’”Accord de l’OMS sur les pandémies”,parfois appelé “traité sur la pandémie”, sera également adopté.
En effet, les amendements au RSI de 2022 réduiraient le temps dont disposent les gouvernements pour rejeter les amendements au RSI de 2023 et l’accord sur la pandémie, si l’un ou l’autre ou les deux sont approuvés lors de la prochaine réunion de l’Assemblée mondiale de la santé, en mai 2024.
Certains critiques affirment également que les amendements proposés pour 2022 et 2023 et l’accord sur les pandémies représentent une menace fondamentale pour la souveraineté nationale, médicale et corporelle. Mais d’autres estiment qu’au fond, les négociations sur ces propositions représentent un différend commercial et une lutte de pouvoir entre des pays plus forts et plus faibles.
La sixième réunion du groupe de travail sur les amendements au règlement sanitaire international (2005) se tiendra les 7 et 8 décembre. Le chef d’État d’un pays peut rejeter les amendements au RSI proposés pour 2022 en informant l’OMS avant la date limite du 1er décembre.
Avant cette échéance, des militants du monde entier ont organisé un certain nombre de campagnes, notamment aux États-Unis et en Europe, pour s’opposer aux amendements et à l’ensemble des propositions négociées par les États membres de l’OMS.
Les amendements au RSI “limitent les droits fondamentaux des citoyens”. Le journaliste James Roguski, qui a mené des recherches sur les négociations de l’OMS concernant les amendements au RSI et l’accord sur les pandémies, a déclaré au Defender: “La chose la plus importante à l’heure actuelle est que les gens soient conscients que les amendements au RSI de 2022 sont en cours d’examen.”
“J’espère que certains pays et leurs dirigeants les rejetteront, mais les gens n’en parlent même pas. C’est l’histoire du moment”.
Les modifications du RSI de 2022 ont été adoptées le 27 mai 2022, à l’issue d’une procédure que M. Roguski a qualifiée d’irrégulière.
M. Roguski a écrit sur sa Substack qu’après le rejet de la série originale d’amendements au RSI en 2022, en raison d’une “énorme opposition mondiale”, un autre paquet d’amendements a été “illégitimement soumis” avec le soutien de l’administration Biden. Cinq d’entre eux ont été adoptés.
Ces amendements réduiront de 18 à 10 mois le délai dans lequel les amendements futurs seront rejetés et entreront en vigueur de manière juridiquement contraignante, a écrit M. Roguski. Les amendements adoptés entreraient alors en vigueur dans 12 mois au lieu de 24.
M. Roguski a déclaré qu’au Royaume-Uni, les procédures d’approbation d’un traité ou d’un accord international, tels que les amendements au RSI de 2022, n’ont pas été suivies. En particulier, les amendements n’ont pas été correctement soumis à l’examen du Parlement britannique.
L’avocat espagnol Luis Pardo plaide également contre les amendements au RSI. Il a déclaré au Defender que les modifications du RSI de 2022 “limitent les droits fondamentaux des citoyens” en réduisant le temps nécessaire pour examiner et rejeter les modifications futures.
Une attaque directe contre la liberté et la souveraineté en matière de santé Selon le Dr Meryl Nass, interniste, épidémiologiste spécialisé dans les guerres biologiques et membre du comité consultatif scientifique de Children’s Health Defense (CHD), les amendements au RSI et l’accord sur les pandémies conduiront à “la mise en place d’un système mondial de biosécurité massif et expansif”.
Mme Nass a écrit que les négociations pour la version 2023 des amendements au RSI et l’accord sur la pandémie “se déroulent en secret”, en vue de leur adoption lors de la réunion de l’Assemblée mondiale de la santé en mai 2024.
Sur Substack, le Dr Nass a déclaré que certaines “questions d’importance majeure”concernant les documents en cours de négociation comprennent “un chèque en blanc à l’OMS pour créer de nouvelles règles à l’avenir”, le développement de “vaccins sans responsabilité … à la vitesse de l’éclair”, la suppression des garanties en matière de droits de l’homme et une censure accrue des médias sociaux.
Selon M. Pardo, “les deux textes de l’OMS impliquent irrémédiablement le transfert à l’OMS du pouvoir de restreindre les droits fondamentaux des citoyens. Il s’agit d’une atteinte directe à la liberté et à la souveraineté sanitaire des citoyens”.
En ce qui concerne la souveraineté, Mme Nass a écrit que si de nombreuses personnes insistent sur le fait que l’OMS “pourrait obliger les États-Unis à faire n’importe quoi”, il ne faut pas oublier que “le gouvernement américain, sous la direction de M. Biden, a contribué à faire avancer les propositions de l’OMS, et qu’il s’y conformera donc”.
L’OMS déclare que”Un principe général du droit international veut qu’une fois qu’un instrument de droit international est en vigueur, il lie les parties et doit être exécuté par ces dernières en toute bonne foi. Le RSI (2005) est un instrument contraignant de droit internationalcomme ce serait le cas pour toute modification de ces règlements.
Pour M. Roguski, les propositions d’amendements au RSI et l’accord sur les pandémies constituent un “différend commercial” opposant des pays économiquement plus forts à des pays plus faibles.
“Ces documents ne concernent pas la santé”, a déclaré M. Roguski. “Il s’agit d’un différend commercial portant sur la distribution équitable des produits“, a-t-il déclaré, notant qu’un mécanisme de répartition proposé dans l’accord sur la pandémie donnerait au secrétaire général de l’OMS “le pouvoir de décider quels produits sont nécessaires” lors d’une future pandémie ou d’une “urgence pandémique”.
Cela signifierait que les pays les plus riches pourraient être obligés de fournir gratuitement ou à faible coût des vaccins, des médicaments et des fournitures médicales aux pays les plus pauvres lors d’une pandémie ou d’une situation d’urgence sanitaire, a déclaré M. Roguski.
Le “traité sur les pandémies” proposé fonctionnerait également comme une “convention-cadre qui se poursuivrait, année après année, pour toujours”.
“Ils essaient simplement de conclure le plus petit accord possible afin de créer une bureaucratie éternelle”, a déclaré M. Roguski.
M. Roguski a fait remarquer que le comité de révision du RSI a publié en février un rapportindiquant que l’OMS ne peut pas transformer des recommandations en obligations, ce qui, selon lui, “change tout” en ce qui concerne la menace posée à la souveraineté nationale.
“Nos nations sont toujours souveraines, car le président ou le premier ministre peut rejeter toute décision de l’Assemblée mondiale de la santé”, a-t-il déclaré.
Pour M. Roguski, le problème est plutôt qu’”ils sont dans le coup. Ils font partie des initiés. Ils font ce qu’ils veulent. Nos dirigeants n’ont pas à nous écouter… Ils ont usurpé l’autorité en matière de santé”.
La gouvernance mondiale est un élément important de la “grande remise à zéro”. Plusieurs organisations et groupes d’activistes aux États-Unis et ailleurs se sont opposés aux amendements au RSI de 2022 et 2023 et à l’”accord sur les pandémies”, dans le cadre d’un appel plus large aux nations pour qu’elles envisagent de se retirer de l’OMS.
L’une de ces organisations, Door to Freedom, a été fondée par Nass, qui a écrit que l’une des raisons de la création de l’organisation était l’absence d’une “organisation ou d’un mécanisme de coordination” reliant les groupes qui s’opposent à ces documents et à l’OMS.
Mme Nass a déclaré à The Defender qu’elle avait créé Door to Freedom “parce qu’il n’existait aucune autre organisation s’occupant exclusivement des efforts déployés par l’OMS pour se transformer d’un organisme consultatif en un organisme réglementaire mondial auquel il faudrait obéir”.
“Notre mission est la souveraineté et la liberté”, a ajouté Mme Nass. “Nous ne voulons pas d’une gouvernance mondiale. Il s’agit simplement d’une grande partie de la Grande Réinitialisation, que nous combattons également.”
Le groupe n’existe que depuis cinq mois environ, au cours desquels il a créé “des dizaines d’articles, en a étudié des dizaines d’autres et a analysé le traité proposé par l’OMS et les amendements proposés au RSI”, a déclaré Mme Nass.
Mme Nass a indiqué que son travail avec Door to Freedom consistait également à “créer des réseaux mondiaux de militants” et à “éduquer les militants et les hommes politiques”. Dans le cadre de ces efforts, Mme Nass a effectué une tournée européenne ce mois-ci, s’exprimant devant les parlements de Croatie, d’Estonie et de Roumanie.
Au début du mois, l’association Door to Freedom a organisé un petit-déjeuner pour les membres du Congrès, dont le but, selon Mme Nass, était de les “informer sur l’OMS“.
Parmi les participants figuraient le sénateur Ron Johnson (R-Wis.), l’ancienne députée du Minnesota Michele Bachman et l’ancienne secrétaire adjointe au logement et au développement urbain Catherine Austin Fitts.
La Nouvelle-Zélande sera-t-elle le premier pays à rejeter les amendements 2022 au RSI ? En Nouvelle-Zélande, le nouveau gouvernement de coalition pourrait être prêt à rejeter les amendements du RSI 2022 à temps pour la date limite du 1er décembre.
L’avocate Kirsten Murfitt a plaidé en faveur du rejet des amendements, notamment en organisant une pétition officielle et la “Lettre du peuple“.
Elle a déclaré au Défenseur que, dans le cadre de l’accord entre les partis de la coalition, la Nouvelle-Zélande “se réservera” contre les amendements du RSI.
L’accord stipule que cela a pour but de “permettre au nouveau gouvernement de les examiner à la lumière d’un ‘test d’intérêt national’”. Ce test viserait à “reconfirmer la primauté du droit national néo-zélandais sur tout accord international”.
En droit international, une réserve est une déclaration faite par un État lors de la signature ou de la ratification d’un traité, selon laquelle il se réserve le droit de ne pas respecter certaines dispositions du traité.
Mme Murfitt a noté que cela n’est pas suffisant, cependant, car il y a des “inquiétudes sur le fait qu’une réservation n’est pas possible dans le cadre des actuelles 2005 International Health Regulations, , auquelles nous sommes liés”. Elle a noté que l’article 62, relatif aux réserves, “est muet sur les amendements”, alors que l’article 61 “fait expressément référence à la capacité de rejeter les amendements”.
Ce point contredit les informations qui ont circulé récemment sur les médias sociaux, selon lesquelles le rejet par la Nouvelle-Zélande des amendements au RSI de 2022 est une affaire réglée, d’après M. Roguski. “Les faits en provenance de Nouvelle-Zélande semblent être un peu en deçà de ce que l’on prétend”, a-t-il déclaré.
L’avocate australienne Katie Ashby-Koppens aide les fonctionnaires et les militants néo-zélandais à s’opposer aux amendements du RSI. Elle a déclaré au Defender qu’elle s’était entretenue avec le parti NZ First, “et qu’il avait confirmé que l’intention de l’accord [to reject the amendments] serait respectée”.
“Nous avons retravaillé la Lettre du Peuple, que nous redirigerons vers le nouveau gouvernement, en indiquant que la réserve n’est pas efficace et qu’elle n’est pas suffisante [and]. Il est dans l’intérêt national de rejeter les amendements”, a déclaré Mme Murfitt.
Dans un discours prononcé le 17 novembre, Robert Fico, premier ministre slovaque nouvellement élu, a déclaré que la Slovaquie “ne soutiendra pas le renforcement des pouvoirs de l’OMS au détriment des États souverains dans la gestion de la lutte contre les pandémies”.
On ne sait toujours pas si cette déclaration a été suivie d’un rejet formel de la part de la Slovaquie.
L’Estonie a également fait parler d’elle récemment après que 11 membres du Parlement nationalont envoyé une lettre au directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, indiquant qu’ils rejetaient les amendements au RSI et à l’accord sur les pandémies.
Les 11 parlementaires ont noté que le Parlement estonien dans son ensemble n’a pas autorisé le gouvernement du pays à participer à ces négociations, comme l’exige la législation nationale.
Cette lettre a été largement diffusée sur les médias sociaux comme constituant le rejet par l’Estonie des amendements au RSI. Toutefois, selon M. Roguski, ce n’est pas le cas, car il “ne semble pas rejeter officiellement (ou officieusement) les modifications du RSI de 2022”.
“Ces membres d’un parti politique ont exprimé leur opposition à ce que la Commission européenne parle au nom des 27 nations de l’Union européenne ( [EU] ) et insiste pour que les 27 nations se mettent d’accord en bloc… sans l’approbation des nations individuelles”, a-t-il déclaré au Defender.
En Suède, la députée indépendante Elsa Widding a interrogé le ministre des affaires sociales et de la santé publique Jakob Forssmed et le ministre de la justice Gunnar Strömmer lors d’un débat parlementaire le 24 novembre sur la question de savoir si la Suède soutiendrait les amendements au RSI de 2022 et 2023 et l’accord sur la pandémie.
L’UE outrepasse-t-elle son autorité en participant aux négociations sur la modification du RSI ? Afin de faire pression sur les gouvernements nationaux, et de rétablir la vérité sur les questions procédurales et juridiques souvent très confuses liées au rejet des amendements au RSI et d’autres documents similaires, diverses personnes et organisations travaillent au niveau régional et international pour sensibiliser l’opinion publique.
Au début du mois, le sommet international Covid s’est tenu au Parlement roumain à Bucarest, avec la participation de Mme Nass et d’organisations telles que Door to Freedom, ainsi que d’autres intervenants de premier plan.
“Il y a eu deux jours de discussions sur la pandémie, les vaccins, les plasmides, les mandats, la propagande et les efforts déployés par l’OMS et d’autres pour mettre en place un gouvernement mondial et une grande remise à zéro, ainsi que sur les moyens de riposter”, a déclaré Mme Nass au Defender.
M. Pardo, qui a fondé le groupe Iustitia Europa, a lancé le 22 octobre une pétition visant à recueillir 50 000 signatures contre les amendements au RSI, l’accord sur les pandémies et les négociations entre la Commission européenne (le pouvoir exécutif de l’UE) et l’OMS sur ces instruments.
Selon M. Pardo, une fois les 50 000 signatures recueillies, Iustitia Europa “déposera un recours devant la Cour de justice de l’Union européenne pour tenter d’arrêter les négociations de l’UE avec l’OMS par le biais d’une injonction provisoire”.
M. Pardo a déclaré au Defender que le traité sur lefonctionnement de l’Union européenne (TUE) et le traité de Lisbonne, deux documents clés de l’UE, n’autorisent pas l’UE et la Commission européenne à négocier au nom des États membres de l’Union. Au contraire, l’UE ne peut que “compléter” les politiques nationales de santé publique.
Toute compétence de l’UE en matière de santé publique est limitée et “réglementée par la procédure législative ordinaire de l’UE”, a déclaré M. Pardo, notant que selon le TEFU, les actions de l’UE liées à la santé publique respectent la politique de santé nationale, l’organisation et la fourniture de services de santé et de soins médicaux décidées par chaque État membre de l’UE.
Il a également noté que si le TUE accorde à l’UE le pouvoir de négocier des traités internationaux, elle doit le faire “dans le cadre des politiques de l’Union”. Pourtant, la Commission européenne participe directement aux négociations sur les amendements au RSI, a-t-il déclaré.
M. Pardo a ajouté que “personne ne connaît” les membres de la commission qui mènent les négociations. “On ne sait pas qui négocie au nom des États membres”, a-t-il déclaré. “Mais comme le certificat numérique Covid de l’UE, il sera imposé aux États membres.
M. Pardo a indiqué qu’Iustitia Europa avait également “organisé une stratégie de 17 actions civiques et judiciaires pour les 17 objectifs de développement durable“, y compris une campagne de sensibilisation informant les citoyens de ce que les objectifs impliquent et des actions juridiques à venir.
Une autre nouvelle initiative, lancée aujourd’hui, est l’initiative citoyenne de l’Union européenne. Elle vise à recueillir un million de signatures dans l’ensemble de l’Union européenne, conformément à la procédure prévue par le traité de Lisbonne, qui permettrait d’introduire une proposition législative auprès de la Commission européenne.
Le groupe appelle à défendre la dignité humaine, le droit à l’intégrité de la personne, le droit à la liberté et à la sécurité, la protection des données personnelles, le respect de la vie privée et familiale, la liberté de pensée, de conscience, d’expression et d’information, entre autres demandes.
M. Roguski a écrit que les négociateurs de l’UE “ont créé un nouveau terme” par lequel ils cherchent à donner au directeur général de l’OMS “le tout nouveau pouvoir de déclarer une ”Situation de pandémie“, ajoutant que l’UE a également proposé des mesures dans lesquelles les certificats de santé numérique seraient déployés à l’échelle mondiale et les “fausses informations” et “désinformations” seraient censurées.
Sans unité, “l’esclavage numérique est inévitable”. Des actions s’opposant aux amendements du RSI, à l’accord sur la pandémie et à l’adhésion des nations à l’OMS sont également organisées au niveau national.
En Espagne, M. Pardo a décrit “Iustitia Europa comme le seul mouvement citoyen qui lutte pour dissoudre l’Agenda 2030 et qui prend des initiatives citoyennes et judiciaires pour arrêter le traité sur les pandémies et le RSI”. Il s’agit notamment d’événements et de présentations en Espagne, ainsi que de candidatures aux élections parlementaires européennes de l’année prochaine.
Malgré ces efforts, la couverture médiatique n’a été assurée que “dans les petits médias”, ceux que M. Pardo affirme que la loi sur les services numériques récemment adoptée par l’UE et l’OMS “veulent éliminer”.
Le Dr Louis Fouché, anesthésiste et médecin réanimateur basé en France, a fondé “Reinfo Covid“, qui s’oppose aux restrictions et aux vaccins liés au Covid-19. Il a déclaré au Defender qu’il n’avait pas connaissance d’initiatives en France qui se seraient développées dans le but spécifique de s’opposer aux amendements du RSI ou à l’accord sur la pandémie.
“En général, l’activisme est déjà présent sur de nombreux fronts, et le traité de l’OMS sur les pandémies semble être un long chemin et une bataille hasardeuse”, a-t-il déclaré.
Pourtant, certains membres français du Parlement européen et des hommes politiques nationaux “s’épanchent sur le sujet”, tandis que certains médias alternatifs, dont France Soir et Nexus, informent le grand public sur le sujet, a-t-il déclaré.
Une pétition lancée en France par CitizenGo contre les amendements au RSI et l’accord sur la pandémie a dépassé les 300 000 signatures à l’heure où nous écrivons ces lignes.
Meike Terhorst, avocate néerlandaise, a déclaré au Defender : “Aux Pays-Bas, un certain nombre de groupes s’opposent à la prise de pouvoir de l’OMS”, notamment Viruswaarheid (“Vérité sur les virus”), fondé par l’activiste Willem Engel, qui produit des vidéos et des bulletins d’information sur la question.
Deux publications alternatives, De Andere Krant et Gezond Verstand, ainsi qu’une chaîne de télévision alternative, Blckbx, “fournissent également des informations sur l’OMS”, et le site Stop WHO.nl a été lancé par des activistes.
Selon Mme Terhorst, un groupe de parlementaires néerlandais s’est opposé, dans une lettre envoyée au gouvernement en juin, aux amendements du RSI 2022 et à leur acceptation par le Royaume des Pays-Bas, tandis qu’”un groupe d’avocats, de journalistes, d’influenceurs et de parlementaires [organize] des appels hebdomadaires pour s’opposer à la loi néerlandaise sur les pandémies“.
La loi, adoptée en mai 2023, met en œuvre “des mesures sanitaires en cas de pandémie avant même qu’elles n’aient été adoptées au niveau de l’OMS”, a déclaré Mme Terhorst. Pourtant, M. Engel a déclaré au Defender qu’aux Pays-Bas, “les choses se sont tues lorsque l’OMS a déclaré la fin de l’urgence de santé publique de portée internationale” le même mois.
Mme Terhorst a déclaré : “Pour de nombreux Néerlandais, le flux d’informations est trop intense et trop compliqué. La majorité des Néerlandais croient encore que le gouvernement a de bonnes intentions et que rien n’a mal tourné pendant la pandémie de Covid-19”.
M. Engel a ajouté qu’en dépit des élections nationales qui se sont tenues au début du mois, le rejet des amendements au RSI “n’a malheureusement pas été un sujet de campagne”.
Selon Nikos Vakolidis, membre de la section grecque de l’Alliance mondiale pour la liberté, les militants grecs se sont activement opposés aux amendements du RSI.
M. Vakolidis a déclaré au Défenseur que “les appels à quitter l’OMS ont été lancés dès le début de la pandémie”, dans des lettres envoyées au premier ministre grec, aux ministères et aux membres du parlement et “largement diffusées” auprès du public. L’une de ces lettres demandait au gouvernement grec de rejeter les amendements du RSI 2022, mais elle est restée sans réponse.
“Maintenant que les processus relatifs au traité sur les pandémies et au RSI atteignent un point critique, des efforts supplémentaires sont organisés, en collaboration avec des mouvements internationaux”, notamment CHD Europe et Door to Freedom, a déclaré M. Vakolidis, ajoutant que des ateliers pour les élus et des événements publics ont également été organisés.
Pourtant, selon M. Vakolidis, malgré ces efforts et les activités de “nombreux groupes et individus” s’opposant à l’OMS, “ces voix n’ont pas été entendues dans les médias grand public, ou ont été décrites comme des théoriciens de la conspiration et comme des personnes à chapeau en fer-blanc, ultra-religieuses et d’extrême-droite”. Il a ajouté que “cette question n’est pas non plus une priorité pour les médias alternatifs en Grèce”.
“Nous avons un besoin urgent d’un front uni”, a déclaré M. Vakolidis. “Sans cela, l’asservissement numérique progressif est inévitable”.
M. Pardo s’est montré plus optimiste. Il a paraphrasé les propos du Forum économique mondial qui, dans une vidéo de 2016, a déclaré : “…Vous ne posséderez rien, et vous serez heureux“, en disant : “Nous aurons la liberté, et oui, nous serons heureux. Nous aurons la justice, et oui, nous serons heureux. Nous aurons la dignité, et oui, nous serons heureux.”
Ministre colombien de la Santé : La population soumise à une « expérimentation ».
2 décembre 2023 de Thomas Oysmüller
En autorisant l'entrée des substances à ARNm dans le pays, la population colombienne a été soumise à la « plus grande expérience de l'histoire de l'humanité ». Vous jouez avec la vie de la population. Le ministre colombien de la Santé l'a déclaré mardi devant le Sénat.
En Colombie, le ministre de la Santé a suscité un débat houleux. Dans un discours passionné, le traitement par ARNm a été abordé. Les Colombiens ont été livrés à la plus grande « expérience réalisée dans toute l’histoire de l’humanité ». Il est temps d'arrêter de jouer avec la vie de la population du pays.
Guillermo Alfonso Jaramillo a comparu devant la première commission du Sénat de la République. L’intégralité du discours, qui dure près d’une minute, vaut vraiment la peine d’être regardée. La phrase qui a frappé le plus violemment le pays ? « Chaque Colombien vacciné a contribué à la plus grande expérience jamais menée dans l’histoire de l’humanité. »
L'ARNm comme danger et expérience
« Nous jouons avec la vie des Colombiens », a commencé le ministre dans son discours enflammé. « Nous ne pouvons pas participer à une expérience. Nous tous qui avons été vaccinés - à l'exception de ceux qui ont été vaccinés avec Sinovac (le vaccin chinois contre le Covid, ndlr), j'ai reçu Sinovac trois fois, mais tous les vaccins dotés de nouvelles technologies sont arrivés ici sans autorisation - avons été vaccinés et expérience. Tous les Colombiens vaccinés ont participé à la plus grande expérience menée dans toute l’histoire de l’humanité. Nous ne pouvons pas continuer à expérimenter avec la population colombienne, encore moins avec les indigènes, les noirs, les plus pauvres du pays, les agriculteurs.»
L'intégralité de l'audience du Sénat peut être consultée ici . Le discours du ministre peut être consulté à 2:38:24.
Le blog Substack, qui a fait connaître au monde anglophone le jugement fondamental du ministre, connaissait davantage de contexte. Cette déclaration a été faite « dans le contexte d'un débat de contrôle politique sur la pénurie de médicaments en Colombie ». Plusieurs sénateurs avaient proposé de nouvelles stratégies pour améliorer l'accès du pays aux médicaments développés à l'échelle mondiale.
Le ministre de la Santé avait une objection. L'autorité nationale des médicaments, Invima, doit procéder avec prudence et prudence lors de l'approbation de nouveaux médicaments.
Alors que les États-Unis et l’Union européenne avaient autrefois des critères stricts, la technologie de l’ARNm a simplement pu suivre son cours. L'autorité nationale suivit les centres occidentaux. Les normes d'approbation, notamment aux États-Unis et aux États-Unis, sont désormais devenues discutables : « Pourquoi se précipiter dans l'approbation des médicaments, en sautant des phases importantes des essais cliniques ? Un précédent a été créé selon lequel les médicaments sont approuvés dès la phase II des tests, alors qu'auparavant les évaluations se poursuivaient jusqu'à la phase III. D'où vient cette pression et pourquoi des phases importantes sont-elles raccourcies ? », a-t-il demandé.
Guillermo Alfonso Jaramillo est ministre de la Santé de Colombie depuis le 1er mai. Avant sa carrière politique, il a étudié la chirurgie en Colombie et en Suède. Il est membre du parti « Humane Colombe », dont le chef est président de la Colombie depuis 2022. Le parti est considéré comme un parti progressiste-populiste, anti-impérialiste et anti-néolibéral. Le gouvernement est soutenu par le Parti libéral de Colombie, la force la plus puissante du parlement de Bogota. Le président fait face à de forts vents contraires dans le pays.
Son discours a probablement acquis une renommée mondiale et un grand soutien grâce à son ministre de la Santé. Imaginez si un ministre de la Santé allemand ou autrichien disait de tels mots. Il faudrait bien sûr demander au ministre pourquoi il estime que trois injections du vaccin mortel conventionnel chinois (semblable à un vaccin contre la grippe) étaient nécessaires.
Entre l’inné et l’acquis : une hypothèse en épigénétique
Par Esther Sinfinn Mondialisation.ca, 02 décembre 2023
Quoique le site « mondialisation.ca » publie avant tout des articles liés à la politique, je tiens à partager ce texte, car si l’hypothèse qui y est proposée s’avérait, cela pourrait aider à contrer le risque de dérive eugéniste, jamais éradiqué malgré la seconde guerre mondiale. L’eugénisme reprend des forces, à l’ombre d’instances tels que le Forum Économique Mondial et les Centres de fertilité assistée, comme il en existe en Scandinavie, soit un équivalent amoindrit de la fameuse banque de sperme Nobel !
Les chercheurs mentionnés dans le texte qui suit ne sont pas responsables des idées qui y sont émises. Ce sont les auteurs d’expériences servant à structurer l’hypothèse décrite ci-dessous et qu’ils n’approuveraient peut-être sous aucune forme. Je l’expose au jugement de spécialistes, afin qu’ils en relèvent les erreurs et le potentiel, en dépit du fait que toute hypothèse, même aux allures simples, devrait être prise en considération dans l’avènement du possible. Bien que les exemples auxquels je me réfère semblent posséder peu de relation entre eux, ils sont essentiels au développement de l’idée que je désire partager.
Cobayes de la dépression
Les autochtones d’Amérique furent longtemps épargnés par les additifs chimiques, l’abus de sel et de sucre. Leurs traditions englobaient une alimentation saine et une intense activité physique. Malheureusement, ce n’est souvent plus ainsi, depuis le milieu du XXe siècle, lorsqu’on les réduisit au sédentarisme. Certaines populations sont victimes de diabète et au prise avec une obésité croissante.
Nous pourrions dire que ces phénomènes demeurent phénotypiques car, mêmes récentes, les habitudes familiales se lèguent aisément à la progéniture. Cela constituerait un problème individuel et l’on ne pourrait invoquer une prédisposition héréditaire.
Pourtant, des spécialistes contraignirent en laboratoire des lignées de souris, soit en limitant leur nourriture, soit en les gavant d’aliments riches et en les privant d’exercice. Ils purent constater que ces débalancements entraînaient une prédisposition à l’obésité chez les rejetons de la seconde expérience.
Des études entreprises à l’Université de Lund, en Suède, incluent le régime alimentaire de nos ancêtres, entrecoupé ou non de jeûnes, comme facteur de risque élevé ou faible à l’une des formes connues du diabète.
L’obésité touche une vaste portion de l’humanité. Parfois, le diabète s’aggrave par l’embonpoint et un régime amaigrissant en résorberait les symptômes. Dans d’autres cas, il s’agit d’une sécrétion glandulaire excessive ou déficiente. L’origine de ces dérèglements découle quelques fois d’une mutation. Par exemple, celle qui fait des rats « Zucker » les porteurs d’un allèle fa/fa récessif, conduisant à une hyperphagie et une résistance à l’insuline. ¹
Mais, dans de nombreux cas, les vecteurs du diabète et de l’obésité s’avèrent simplement une alimentation pernicieuse et un mode de vie trop passif. Même dans ces circonstances, il semble que ces maux créent une prédisposition chez les descendants. Comment de telles affections pourraient-elles se diffuser, lorsque les cellules germinales ne sont pas altérées par les particularités d’un phénotype?
Des pneumocoques déridés
Streptococcus pneumoniæ, plus connu sous le nom de pneumocoque, est une bactérie pathogène pouvant déclencher une pneumonie, lorsqu’elle apparaît lisse et brillante (forme S, Smooth). Mais elle existe aussi sous un aspect ridé et irrégulier (forme R, rough) dérivée de la forme S. Cette souche est inoffensive pour nous, car elle ne parvient plus à synthétiser une enveloppe lisse (de polysaccharides) qui lui permettrait d’esquiver les globules blancs du système immunitaire. Une inaptitude héréditaire due à une mutation.
En 1928, Frederick Griffith élimina, par émission d’une source de chaleur, les bactéries ayant infecté des cobayes. Un extrait de la souche morte fut versé sur une colonie de type R, inoffensive. Les souris moururent, et les bactéries eurent une descendance pathogène. Les constituants chimiques provenant des cadavres recelaient donc un élément capable de transférer des instructions, permettant à la forme R de synthétiser une capsule et développer les caractéristiques dangereuses. On en déduit que cet élément conservait les caractères de l’espèce nuisible et pouvait les conférer à une colonie antérieurement inoffensive. Il ne pouvait pas s’agir de protéines, puisqu’une intense chaleur les dénature.
Griffith démontra que la transformation s’avérait héréditaire tout autant que la mutation qui, d’ailleurs, pu être inversée… Il appela cette substance porteuse de caractéristiques héritables « principe transformateur ».
Ces études furent reprises dans les années 1940, par l’équipe d’Oswald Avery, rejoint un peu plus tard par Colin MacLeod, puis Maclyn McCarty. L’équipe effectua des expériences, sur plusieurs générations de bactéries. Alors qu’on avait toujours cru l’ADN peu utile et imaginé les protéines aptes à léguer les caractères génétiques, on s’aperçut, en les isolant, que les protéines ne modifiaient en rien la souche inoffensive. En testant l’ARN, le transfert des propriétés s’avéra faiblement positif, alors que l’ADN transforma les bactéries inoffensives en agents pathogènes. Cette expérience permis d’associer le « principe transformateur » à l’acide désoxyribonucléique, l’ADN, mais on ne tint pas compte du potentiel de l’ARN.
Sur la trace des rétrovirus
Ces microorganismes sont munis d’un seul brin d’ARN et d’enzymes, protégés par une membrane protéinique. Leur ARN peut conserver leurs caractéristiques. Cependant, ils ont besoin de l’hôte qu’ils envahissent (et dont ils neutralisent l’information génétique), afin d’utiliser ses ribosomes et parvenir à synthétiser les protéines indispensables à leur réplication puis se multiplier.
Bien que Leibniz ait orienté sa philosophie d’après la fameuse sentence « Natura non facit saltum« ,² la biologie moléculaire nous apprend que non seulement les gènes sont susceptibles de mutations, mais qu’en plus, les recombinaisons chromosomiques par enjambement (crossing over) sont fréquentes lors de la méiose.
Les mutations touchant les chromosomes sexuels sont nombreuses (hémophilie, X fragile) et transmises aux descendants qui reçoivent l’allèle modifié. Il s’avère également que des substances chimiques, ou des radiations en provenance de l’environnement, entraînent des mutations qui n’affectent pas uniquement les chromosomes sexuels et sont parfois héréditaires.
Dans les cellules somatiques, les quantités d’ARN et de protéines sont inégales, alors que la proportion d’ADN demeure la même. La quantité d’ADN est cependant deux fois moindre dans les cellules germinales. On sait que la plupart des mutations alléliques n’ont pas de conséquences perceptibles, même sur le phénotype. Cependant, qu’elles soient dues à une séquence irrégulière d’acides aminés, ou provoquées par des éléments physiques ou chimiques externes, les mutations peuvent être transmises aux descendants.
En ce sens, il semble que les gènes suivent le mode proposé par la théorie de l’équilibre ponctué. ³ On applique cette hypothèse à l’abondance et la diversité des fossiles, exhumés à certaines époques, contrastant avec la rareté et la stabilité de formes d’espèces provenant d’autres strates géologiques (par exemple, les échantillons de ce que l’on nomme l’Explosion cambrienne). En biologie moléculaire, cela correspondrait à des périodes de stabilité générationnelle, alternant avec des phases de mutations nombreuses, modifiant les phénotypes ou le génotype d’une lignée.
Intronisation
Entre les séquences d’acides aminés codants ― les exons ―, des séquences appelées « introns » séparent les bases et donnent au gène un aspect morcelé. On méconnaît en partie leur utilité, même s’ils représentent le plus fort pourcentage des constituants du génome des eucaryotes. Au moment où le message d’un gène est transcrit en ARN, les séquences d’exons et d’introns sont recopiées intégralement. C’est la phase de transcription, à la fin de laquelle l’ARN pré-messager est soumis à un épissage qui élimine les introns, et où seuls les exons sont conservés. L’ARN devient alors de l’ARN messager (ARNm) qui transporte les acides aminés vers le cytoplasme. Cet ARNm se lie à des molécules d’ARN de transfert (ARNt), livrant ses acides aminés aux ribosomes qui traduiront leurs messages et synthétiseront la protéine exigée.
La polyvalence de l’ARN, qu’il soit l’ancêtre ou le successeur de l’ADN, transcripteur, messager, traducteur, hélicase, ribosomique ou polymérase, fut longtemps et est encore sous-estimée. On admet l’importance de l’ARN interférant (ARNi) qui peut interrompre l’expression d’un gène ou empêcher la synthèse d’une protéine… Un autre constat me semble négligé : le fait que les introns ne sont présents que dans les cellules eucaryotes.
Hypothèse aberrante ou heuristique ?
En extrayant les éléments que structurent ces exemples, l’hypothèse qui en découle pourrait se résumer ainsi, compte tenu du fait que :
A) Certaines maladies déclenchées ou accentuées par des facteurs épigénétiques semblent entraîner une prédisposition chez les descendants;
B) En étudiant deux types de pneumocoques, on a découvert que l’ADN et l’ARN réagissaient positivement, bien que plus faiblement de la part de l’ARN, et s’avéraient donc porteurs de l’hérédité d’un organisme;
C) Les rétrovirus pourvu d’un seul brin d’ARN possèdent une information génétique et parviennent à la transmettre en s’incorporant à un organisme vivant doté d’ADN;
D) Les mutations causées par des incidences externes (champs de forces, radiations, substances chimiques) qui touchent le phénotype d’un individu peuvent modifier les gènes de ses descendants sur plusieurs générations;
E) Seules les cellules eucaryotes ont des chromosomes aux gènes morcelés par des introns dont on méconnaît en partie l’utilité ou l’origine…
Bien que l’ADN soit le dépositaire officiel des caractères héréditaires, je postule l’existence d’une substance ayant des propriétés approchant celles de l’ADN, c’est-à-dire :
Recéler la capacité de conserver les modifications provenant des allèles mutants qui altèrent les séquences régulières de l’ADN des cellules somatiques, mais aussi l’information provoquée par les dommages causés par des facteurs épigénétiques (régime alimentaire, nervosité, tensions psychologiques, exposition à des forces physiques externes), donc, des incidences environnementales, acquises. Pouvant aller jusqu’à inclure une prédisposition à un symptôme ou une maladie. Et, dans certaines circonstances, une préadaptation au développement d’une aptitude ou faculté. Et ce, au-delà de la simple méthylation de l’ADN.
Cette substance pourrait consister en une molécule d’ARN spéciale. Sous certaines conditions, particulièrement en présence de facteurs à grand impact, l’acide ribonucléique pourrait ne plus demeurer uniquement vecteur de nucléotides, transférant des acides aminés capables d’entraîner la production de protéines, mais devenir l’agent intermédiaire entre les facteurs épigénétiques affectant les cellules somatiques et les segments codants des cellules germinales du génome.
La persistance des effets impulserait la transformation de l’ARN doté d’une « mémoire de travail » à court terme en ARN d’un autre type, faisant en sorte que les données épigénétiques, tant les favorables que les nuisibles, cesseraient de concerner uniquement le phénotype et s’intègreraient réellement dans un génome. Je suppose donc la présence d’une molécule que l’on pourrait nommer ARNpc, c’est-à-dire, acide ribonucléique pré-codant, puisque sa nature pourrait s’approcher de l’ARN des rétrovirus qui porte leurs caractéristiques mais ne synthétise pas les protéines qui leur permettraient de les répliquer.
1) Interrompre l’expression d’une information (tel l’ADN interférant qui inhibe l’expression d’un gène ou la synthèse d’une protéine);
2) Réactiver un message en latence et faire en sorte que son impact ne soit plus temporaire ni restreint à un seul individu (phénotypique), mais permanent et affectant le génotype, à partir du moment de sa réactivation;
3) Exprimer ces propriétés par l’action d’un enzyme (à la façon de CREB1 qui favorise la mémorisation durable d’une information, consolidée dans la mémoire par le mécanisme de potentialisation à long terme);
4) Représenter une molécule d’ARN parvenant à modifier le nombre de ses atomes, afin que son sucre ribose se transforme en désoxyribose, et par conséquent, devienne alors une véritable molécule d’ADN.
L’action de l’ARNpc permettrait d’expliquer comment des facteurs épigénétiques, acquis, pourraient s’incorporer, suite à une plus ou moins longue période de latence, dans le génome.
Bien que les segments d’ARN paraissent extrêmement fragiles, l’équipe dirigée par Steven Benner de la Foundation for Applied Molecular Evolution réussit à synthétiser un ribose capable de demeurer stable durant des mois, à partir de minéraux à base de borate. Lors de l’ovogenèse, certains ARN transportés dans le cytoplasme subissent une poly-adénilation (un apport accru d’adénine) qui amplifie leur stabilité.
Ainsi, les caractères de l’hérédité différentielle, acquis, phénotypiques, conférant une prédisposition (négative ou positive) ou une préadaptation (favorable), franchiraient l’étape du potentiel virtuel, en latence dans l’ARNpc, pour devenir des caractéristiques codifiées dans le génome.
Ce processus d’incorporation présenterait une durée variable, selon la nature des facteurs épigénétiques concernés. Voici quelles seraient les quatre types possibles d’incidence de l’ARNpc sur des caractéristiques :
☼ Conservées dans le phénotype, en latence, non exprimées;
☼ Éliminées, suite à une inversion du stimulus qui les avaient engendrées;
☼ Léguées aux descendants sous forme de prédisposition ou préadaptation;
☼ Incorporées dans le génotype de la personne, à la manière des mutations qui apportent une amélioration ou un désavantage, puis transmises à la descendance (hérédité absolue).
En poussant cette éventualité dans une direction encore plus risquée, j’émets l’idée que les introns pourraient, dans ce processus de conservation d’incidences et de transformation du phénotype en génotype, posséder une fonction de soutien, c’est-à-dire, avoir un rôle dans le maintien des conditions adéquates à l’utilisation des données latentes emmagasinées.
En m’aventurant davantage, je suppose que les introns pourraient s’avérer une sorte de réserve d’informations vestigiales, préservant des données très anciennes, provenant du plan de structure et de développement des organismes qui nous ont précédé dans la genèse biologique. Telles les séquences nommées gènes voyageurs, que l’on suppose dépositaires d’éléments de l’ADN provenant d’autres espèces.
Même si l’intermédiaire entre les cellules somatiques et germinales n’était pas un ARN spécial ou un enzyme au potentiel semblable à CREB1, je suggère l’existence d’un pont organique semblable.
Les arguments complémentaires étant :
A) Les caractéristiques et comportements variés des êtres actuels n’ont aucun équivalent avec les propriétés des premières formes viables qui émergèrent sur notre planète;
B) Certaines maladies déclenchées ou accentuées par des facteurs épigénétiques semblent induire une prédisposition chez les descendants;
C) En étudiant deux types de pneumocoques, on découvrit que l’ADN et l’ARN réagissaient positivement et s’avéraient donc impliqués dans l’hérédité;
D) Les rétrovirus pourvus d’un seul brin d’ARN possèdent une information génétique et parviennent à se multiplier en utilisant les ribosomes d’un organisme vivant doté d’ADN;
E) Seules les cellules eucaryotes ont des chromosomes aux gènes parsemés d’introns dont on méconnaît les fonctions ou en partie l’origine;
F) La plupart des mutations n’engendre aucune conséquence notable;
G) La transformation des êtres par dérives génétiques, en dépit du fait qu’elles peuvent s’avérer plus rapides que tout autre mode de spéciation, concerne des niches évolutives d’envergures généralement restreintes;
H) La sélection naturelle agit avec lenteur, en plus de s’avérer à priori aléatoire, et ne peut expliquer autant d’aspects de la diversité des êtres vivants.
I) La méthylation de l’ADN, la compaction variée de la chromatine et l’influence des hormones ne peuvent rendre compte de toutes les variantes du vivant.
Afin d’explorer le potentiel des phénomènes épigénétiques, voici un résumé d’expériences, effectuées par Michael Meaney sur des rongeurs et, avec l’apport de Gustavo Turecki, sur le cerveau de personnes ayant cédé au suicide. Ces deux chercheurs travaillent à l’Institut Douglas de Montréal.
Michael Meaney put démontrer que des souriceaux, élevés par une mère qui ne les lèche pas, afin de tisser un lien affectif avec eux durant l’enfance, développent des comportements distincts des animaux recevant des soins adéquats. Ils sont moins confiants, dépressifs, peu sociables. On observe des lésions au niveau cérébral, dues à une sécrétion excessive d’hormone du stress, le cortisol, qui altère l’ADN.
Dans l’hippocampe des souris et des humains, des substances sont sécrétées, lorsqu’une situation requiert un abaissement de la fièvre, de la douleur, un effet anti-inflammatoire. Sous le stress, les récepteurs des glucorticoïdes fonctionnent au ralenti. Mais le phénomène le plus étonnant demeure celui-ci : remis dans le giron d’une mère attentionnée, les séquelles relevées au cerveau des cobayes s’étaient résorbées.
Il est intéressant de noter que l’évolution de la racine latine du mot « stress » nous a également donnée le mot détresse…
De telles expériences touchant le phénotype, aux conséquences négatives réversibles, sont attestées même dans des cas extrêmes, tel un accident vasculaire cérébral. Des gens paralysés ont retrouvé la mobilité d’un membre. Il leur a fallu des mois et parfois des années d’efforts et d’exercices fréquents. Bien que le cerveau soit composé de lobes et gyrus spécialisés, il advient qu’une fonction liée à une partie spécifique d’un hémisphère soit prise en charge par une zone proche, dont ce n’était pas initialement la tâche. On constate que le cerveau d’un individu dont le bras est paralysé a repris une conformation adéquate. Mais la pensée que l’incident est définitif fait en sorte qu’on ne tente pas d’en retrouver la mobilité. Après une période de convalescence, une personne qui n’a plus l’usage d’un membre ou de la parole pourrait essayer de ne pas considérer cette incapacité permanente. Avec de la persévérance, l’aide de quelqu’un et des tentatives de stimulations quotidiennes, il est possible d’espérer une amélioration.
On sait maintenant que le cerveau peut générer des neurones. Pas dans toutes les zones cérébrales ni en permanence, mais là où l’on repère une forte nécessité, si la stimulation requise se présente. De même, les facteurs épigénétiques influent sur la santé. Quoique certains cancers aient une origine génétique, la plupart sont entraînés par l’abus de substances nuisibles ou le surmenage.
A) Confiner des gens sélectionnés, afin qu’ils procréent entre eux, ne fera que diminuer les variantes génétiques, ce qui représente une grave menace pour la santé, la résistance et la capacité d’adaptation humaine (ou des animaux d’élevage);
B) Le concept de race ou ethnie est désirable, car il assure la diversité génétique. C’est uniquement l’établissement d’une hiérarchie qui s’avère préjudiciable;
C) Un enfant peut naître en parfaite santé, dans un milieu favorable, puis accumuler des dommages physiques, parfois transmissibles, par un manque d’exercice, l’abus de gras, de sucre usiné, d’additifs chimiques. L’alcoolisme et la toxicomanie sont courantes dans les classes privilégiées, au sein desquelles l’on peut aisément acquitter les frais exorbitants d’une dépendance aux liqueurs fines ou à une drogue;
D) Si l’ARNpc existe et peut servir d’intermédiaire entre le phénotype et le génotype, alors un individu, quelles que soient ses conditions à la naissance, pourrait améliorer sa santé mentale ou physique et ses aptitudes, ou encore, les altérer et compromettre sa santé par le développement de maladies.
Les États-Unis nous fournissent un cas exemplaire. Pour promouvoir l’eugénisme, on proposa d’organiser des concours du « plus beau bébé ». Un gagnant de cette foire focalisa, adulte, à nouveau l’attention, en devenant un des hommes les plus gros au monde. De beau bébé en pleine santé, on peut très bien continuer son existence handicapé par l’obésité qui atrophie le cœur, rend pénibles les gestes et le moindre déplacement. Einstein, malgré sa réputation de génie et son premier mariage avec Mileva Marić, experte en médecine, physique et mathématique, eut un fils affligé d’une maladie mentale.
Heinrich Himmler put viser le poste de chef de l’ensemble des polices allemandes, gestapo incluse, malgré sa myopie. Il devint même Ministre de l’Intérieur en 1943. Joseph Goebbels s’est élevé à la charge de dirigeant de l’Éducation et de la Propagande, en marchant sur un pied bot. Harry Laughlin souffrait d’épilepsie. Leurs handicaps ne les ont pas menés à l’euthanasie ou à la stérilisation, et rend encore plus injustifiable l’idéologie imposée par eux. Le lien entre ces trois hommes n’est pas fortuit. Les lois d’hygiène raciale, adoptées en 1935 par Adolf Hitler, sont basées sur le modèle établi par Laughlin. On lui décerna un doctorat honoris causa pour sa « science du nettoyage ethnique », à l’occasion de l’anniversaire du renvoi des Juifs de l’Université d’Heidelberg, réalisé deux ans plus tôt.
Tout n’est donc pas défini à la naissance.
Cette hypothèse fut imaginée en mai 2010. Seules quatre personnes ont daigné répondre à mes tentatives de diffusion: Jean-Marie Pelt; un oncologue argentin; un ancien professeur de sciences naturelles et un biologiste qui s’est offusqué dès le premier paragraphe. Les trois premiers ne savaient comment cette hypothèse pourrait être démontrée, mais la trouvaient intéressante. Des trois auteurs des travaux sur les rongeurs, je n’ai reçu aucune réponse. Une version de ce texte est disponible en espagnol.
Esther Sinfinn
Pour tout commentaire, vous pouvez m’écrire : flore62faune62@gmail.com
Notes :
1. Loïs et Theodore Zucker sont les initiateurs d’une lignée de rats maigres, aux allèles dominants Fa/Fa ou Fa/fa; ainsi que de générations de rats obèses aux allèles récessifs fa/fa, auxquels on recourt fréquemment en tant que cobayes de laboratoires.
2. La nature ne fait pas de saut, Gottfried Wilhelm Leibniz, « Nouveaux essais », 1V, page 16.
3. Pour la découvrir, voyez l’ouvrage de Stephen Jay Gould, portant ce titre.
Mycoplasma pneumoniae, la bactérie qui infecte la Chine et qui se répend en Europe: l’Azithromycine et la doxycycline (kit Ziverdo) sont efficaces contre le syndrome du poumon blanc
le 3 décembre 2023 par pgibertie
Vague de panique pour une pathologie connue qui se soigne bien :Je crains que l’apparition actuelle du « syndrome du poumon blanc » ne soit en fait la première brise d’une tempête de population immunodéprimée.
@MartinZ_uncut
La pénicilline (amoxy) ne sert à rien contre les mycoplasmes. L’image radiologique est TYPIQUE. => azythromycine doxycyclyine ou ciprofloxacine TOUS les toubibs savent cela… à moins d’être encore dans leur PEUR irrationnelle, ou de rester des lavés du cerveau.
- voir doc sur site -
Face aux bactéries de l’hiver qui compliquent souvent les virus « grippaux » les médecins ont l’habitude d’utiliser l’amoxicilline (sauf en 2020 où ils se sont contentés hélas de doliprane et de rivotril). Cette année ils devront réapprendre les soins de l’époque du covid et utiliser les antibiotiques alors efficaces, macrolides ou cyclines .
Mycoplasma pneumoniae est une bactérie spéciale, puisque sans paroi. L’amoxicilline ne peut donc pas agir.
Mycoplasma pneumoniae est une bactérie dite « atypique » responsable d’infections respiratoires, très fréquentes chez les enfants de plus de 4 ans et les jeunes adultes. Elle représente après le pneumocoque, la deuxième cause de pneumonie aiguë communautaire (PAC) bactérienne, indique la DGS qui ajoute que la transmission se fait via les gouttelettes et l’incubation est de 1 à 3 semaines.
La maladie peut être sérieuse pour des immunodéprimés, les injections ARNm et les masques n’ont rien arrangé…
@PinsolleT:
Le traitement en 1ère intention repose sur l’azithromycine. Il existe des souches résistantes, comme à tout antibiotique, mais dans des proportions qui restent raisonnables. On a alors recours aux fluoroquinolones ou à la doxycycline.
Les symptômes initiaux de la pneumopathie à Mycoplasma pneumoniae peuvent ressembler à un simple rhume avec une toux sèche, des maux de gorge et une fièvre modérée. Cependant, au fur et à mesure que l’infection progresse, des symptômes plus graves tels que la toux persistante, la difficulté à respirer et la douleur thoracique peuvent apparaître.
Le diagnostic se fait par PCR sur prélèvement respiratoire, pharyngé ou nasopharyngé et/ou par diagnostic sérologique. La PCR notamment multiplex permet un diagnostic précoce
Le beau-père japonais de mon fils a subi une petite intervention chirurgicale pour la pose d’un régulateur cardiaque qui est communément appelé un pace-maker. Il souffrait d’arythmie et ce symptôme angoissant s’auto-amplifie en raison de l’appréhension que l’arythmie provoque : constater que le cœur cesse de fonctionner durant cinq secondes. Je n’arrive pas à évaluer comment je réagirais si j’étais confronté à une telle situation. Ce régulateur cardiaque est un système très petit dont on recharge la batterie avec un petit dispositif externe comme les « smart-watches » que l’on pose sur le même type d’équipement. Ce dispositif de régulation cardiaque se connecte en wi-fi ou blue-tooth, je ne sais pas trop au routeur de la maison et il envoie alors des données à un central spécialisé qui les fait suivre au cardiologue traitant. Ainsi il est possible pour ce dernier d’évaluer le temps horaire ou quotidien de prise en charge du cœur par le régulateur. Le cœur du beau-père de mon fils est donc connecté !
Mon fils et son épouse ont chacun autour du poignet une montre électronique également « connectée ». Elle permet d’effectuer toutes sortes d’opérations que je ne saurais décrire ici à l’exception des données enregistrées dans le but de surveiller l’état de santé. Par exemple combien de temps une personne montant à l’étage de son logement renseigne sur son état de fatigue, quelle est la longueur de ses pas quand il marche et son assiette est également enregistrée, ce qui indique un éventuel déséquilibre pathologique du squelette. Bien d’autres points de surveillance de la santé du corps sont programmés dans ce type de montre comme le rythme cardiaque et la fréquence de la respiration qui sont utiles pour se faire une idée exacte de la qualité du sommeil. Enfin un malaise vagal est détectable. À Singapour toute la population est sous surveillance médicale constante. Enfin je ne voudrais pas dire de bêtises mais j’ai constaté que ce type de montre peut recevoir un appel téléphonique et des messages, connaître la température extérieure, la vitesse et la direction du vent, bref une multitude de services utiles et moins utiles.
Beaucoup de personnes de par le monde sont donc déjà « connectées » et la tendance ira en s’amplifiant dans la mesure où la collecte et le traitement de toutes les données pourront contribuer à la surveillance de l’état de santé de chaque individu. Mais il y a tout de même un gros problème dans la mise en place de ce contrôle : tout est déjà géré par des entreprises américaines dans les pays dits occidentaux, depuis la gestion des adresses IP et le traitement des données par les gigantesques ordinateurs des …GAFAM+. Le projet d’introduction d’une carte d’identité globale numérique en Europe incluant l’OMS pour les données de santé comme indiqué ci-dessus mais également pour les mouvements financiers effectués sur les compte de dépôts bancaires, le paiement des impôts, le montant des salaires et des honoraires, les dépenses de carburant ou de nourriture de luxe incompatible avec les mesures de protection du climat et bien d’autres aspects de la vie quotidienne strictement privés aujourd’hui mais à terme gérés par des entreprises privées dont par exemple Google ou Amazon qui connaissent déjà tout de nous, que nous ayons une « smart-watch » ou pas, tout ceci aboutira inévitablement à une perte de liberté. L’exemple de la Chine avec ses 1,5 milliards de citoyens serait-il adaptable à un petit pays comme la Hongrie ? La réponse est évidemment négative. Afin de protéger les libertés individuelles des citoyens, chaque gouvernement de chaque pays occidental devrait utiliser en premier lieu son propre système de « surveillance » pour s’affranchir de la domination américaine.
L’approvisionnement en viande des États-Unis pourrait bientôt être largement contaminé par les protéines d’ARNm issues des « vaccins » biotechnologiques
Par Mike Adams Recherche mondiale, 2 décembre 2023
Il y aura bientôt une autre raison de choisir des aliments végétariens ou d'obtenir votre viande auprès de sources locales fiables : les vaccins à ARNm sont sur le point d'être massivement mis en œuvre dans l'industrie de la viande, les bovins, les poulets, les porcs, les chèvres et autres animaux d'élevage étant ciblés pour une consommation régulière. Injections d'ARNm.
Comme nous l’avons vu chez l’être humain, les injections d’ARNm peuvent :
Circule dans tout le corps et aboutit dans le sang et les organes. Amener le corps à produire des protéines toxiques qui peuvent provoquer des effets toxiques. Obstruer les artères et finir par tuer ou blesser des personnes à cause d'un accident vasculaire cérébral ou d'une crise cardiaque. Modifie les chromosomes et provoque des changements génétiques permanents dans l'organisme. Il s’avère que les aiguilles hypodermiques ne sont pas le seul moyen d’introduire ces instructions d’ARNm dans le corps humain. Ils peuvent également être avalés ou pénétrer par contact cutané. La simple manipulation de viande crue contaminée par des produits à ARNm équivaut probablement à être exposé à une « excrétion » de la part des vaccinés . Et même si l’acide gastrique détruit probablement les séquences d’ARNm, l’absorption a lieu dans la bouche, sous la langue, c’est pourquoi de nombreux médicaments et suppléments – y compris les huiles de CBD et le zinc – sont souvent mieux absorbés sous la langue plutôt que d’être avalés.
Ainsi, le simple fait d’introduire dans votre bouche des produits à base de viande animale vaccinés avec l’ARNm, s’ils ne sont pas entièrement cuits, peut vous exposer à une sorte de « perte alimentaire » de produits à base d’ARNm qui peuvent être absorbés dans votre sang et circuler dans tout votre corps. Cela peut inclure des protéines étrangères au corps humain.
Pfizer, Bayer et d'autres géants pharmaceutiques ont déjà annoncé des vaccins à ARNm pour les animaux de boucherie Comme le Dr Robert Malone l'a révélé dans un récent article de Substack , les géants de l'industrie pharmaceutique ont commencé à annoncer des vaccins à ARNm pour les animaux dès 2016. D'après son histoire :
Bayer s'associe à BioNTech pour développer des vaccins à ARNm et des médicaments pour la santé animale (10 mai 2016) SÉQUIVITÉ : vaccins porcins personnalisés, utilisant des vaccins à ARN (site Web Merck, janvier 2023) L'acquisition élargit et complète le solide portefeuille de vaccins de Merck Animal Health (communiqué de presse Merck, novembre 2015) NSW accélère les vaccins à ARNm contre la fièvre aphteuse et la maladie cutanée nodulaire (chez les bovins) (gouvernement australien) Un accord sur un vaccin à ARNm contre la fièvre aphteuse a été signé entre le gouvernement de Nouvelle-Galles du Sud et la société américaine Tiba Biotech (communiqué de presse de Tiba Biotech) Il est clair que l’industrie des animaux de ranch est sur le point d’être dépassée par les vaccins à ARNm, qui tueront probablement un nombre choquant d’animaux de ranch (et favoriseront une infertilité croissante) ainsi que contamineront l’approvisionnement en viande avec des artefacts d’ARNm tels que des protéines de pointe. Considérez cela comme une sorte de programme de « dépeuplement des animaux de ranch » visant à éliminer la viande et à forcer les gens à se nourrir de vers de farine et de grillons (voir ci-dessous).
Bientôt, si vous mangez des produits carnés conventionnels, vous mangerez les résultats de la production biotechnologique de la « vaccination » massive des animaux à base d’ARNm.
Si vous mangez de la viande, sachez d'où elle vient À partir de maintenant, si vous choisissez de manger de la viande, sachez d’où elle vient. S’il provient d’élevages d’animaux industriels, il est presque certain qu’il sera bientôt contaminé par la biotechnologie à ARNm.
Bien que cela reste une hypothèse, il est possible que la cuisson à haute température détruise certaines protéines délicates générées par la biotechnologie de l’ARNm. Pour cette raison, veillez à éviter de manger des produits à base de viande crue/rosée comme les steaks saignants. Cependant, nous ne savons pas encore avec certitude que la cuisson détruit les protéines de pointe, alors soyez prudent lorsque vous consommez des produits carnés provenant de sources conventionnelles. (J'espère que nous en apprendrons davantage sur ce sujet et vous ferons part de nos conclusions.)
Si vous mangez de la viande, faites un effort pour trouver des fournisseurs de viande locaux qui suivent des pratiques plus holistiques et naturelles, comme éviter les injections d'ARNm pour leurs troupeaux. Soutenez l’agriculture locale et vous disposerez d’une ligne d’approvisionnement en aliments plus propres. Choisissez toujours des animaux élevés avec des aliments biologiques sans OGM si possible.
Ou vous pourriez manger des vers de farine et des « burgers de coléoptères » pour apaiser les mondialistes Il semble évident que les mondialistes tentent à la fois de contaminer l’approvisionnement en viande et de l’anéantir au fil du temps, en remplaçant les viandes animales par des larves, des vers de farine, des grillons et des larves de mouches soldats noires, entre autres créatures. Un article de StudyFinds.org met en lumière une étude récente sur les vers de farine qui affirme que ces larves séchées remplaceront bientôt le poulet dans les nuggets de poulet.
Cela ne ressemble-t-il pas à un délicieux déjeuner ? Bientôt, voici ce qui sera proposé aux masses pauvres comme source de protéines :
Pendant ce temps, il ne fait aucun doute que les mondialistes dégusteront des côtes de bœuf à bord de leurs jets privés tout en grignotant des salades biologiques sans OGM, car ils savent qu’une alimentation saine favorise la longévité.
Si les aliments pour les animaux sont autant contaminés que le sont les seringues d'expérimentations géniques d'essais, les veaux qui naîtront, les chevreaux, les œufs de poules le seront tout autant.
Au-delà de 1984 d'Orwell, la 5G et le lancement de la 6G : « Il est facile de démolir une société numérique ». La CNUCED tente de réaliser ce scénario catastrophique
Par Peter Koenig Recherche mondiale, 2 décembre 2023
"L'enfer est vide et les diables sont tous là". William Shakespeare , « La Tempête », 1623
L'analyse contemporaine de Peter Koenig sur « La tempête 2020-2030 »
De la 5G à la 6G
Nous, le peuple, sommes engagés dans une course contre les mondialistes engagés dans la dépopulation ; contrôler les survivants, nous exploiter, nous déshumaniser et, à terme, nous numériser, afin que nous puissions être contrôlés à distance par la 5G ;
Et maintenant, tout juste « lancée » par la Chine, la 6G. Voir La Chine lance une dorsale Internet de nouvelle génération à ultra haut débit – SHINE News .
Personne ne sait vraiment, ou du moins n’a dit publiquement ce que la 6G est censée faire, ce que la 5G ne peut pas déjà faire. Au fait, l’impact sanitaire de la 6G a-t-il été étudié ? Peut être. Mais personne ne divulgue les résultats.
Voici comment Qualcomm décrit la 5G :
Réseau mobile de 5ème génération. Il s'agit d'une nouvelle norme sans fil mondiale après les réseaux 1G, 2G, 3G et 4G. La 5G permet un nouveau type de réseau conçu pour connecter pratiquement tout le monde et tout, y compris les machines, les objets et les appareils. Regarde ça .
Personne n’a ouvertement parlé de l’impact de la 5G sur la santé, mais cela a été étudié. Pourtant, les études ne sont pas révélées au public.
Au-delà du 1984 de George Orwell
Il y a « deviner » ; et les scientifiques qui présentent la vérité décrivant l’impact causé par ces ultra-micro-ondes sur la faune et les humains sont le plus souvent qualifiés de « théoriciens du complot ».
C’est l’expression « taisez-vous » pour tout ce que le courant dominant, la Cabale, Matrix et les mondialistes ne veulent pas que le public sache. Nous sommes bien au-delà de « 1984 » de George Orwell.
Le réseau mobile de 6e génération ou 6G est environ 100 fois plus rapide et plus puissant que la 5G. Il pourra tout numériser.
Voici ce que RantCell a à dire à propos de la 6G :
Fonctionnant sur des bandes de fréquences térahertz, la 6G fournira un débit de données maximal de 1 000 gigabits/s avec une latence aérienne inférieure à 100 microsecondes. Lorsque nous parlons de vitesse du réseau 5G par rapport à la 6G, la vitesse de la 6G devrait être 100 fois plus rapide que celle de la 5G, avec une fiabilité améliorée et une couverture réseau plus large. Regarde ça .
Nous, le peuple, sommes engagés dans une course : la vie contre la mort. Si nous nous réveillons et réagissons, le projet des mondialistes, à savoir le projet des protagonistes diaboliques de l'Agenda 2030 de l'ONU et de la Grande Réinitialisation, sera « voué à l'échec ».
Mais si nous continuons à nous laisser duper, nous, le peuple, « irons en enfer ».
C’est la raison pour laquelle l’ensemble du système des Nations Unies cherche désespérément à numériser le monde. Le plus vite sera le mieux, il se peut que nous n’ayons pas assez de temps pour que nous, le peuple, nous réveillions en masse pour reprendre notre monde et nos vies avant qu’il ne soit trop tard.
Le complexe financier, militaire, informatique, médiatique et pharmaceutique nomme la CNUCED Par conséquent, les Nations Unies, l’organisme politique sous le contrôle total de la cabale mondialiste (ouvertement dirigée par Washington), mais en réalité, par le puissant complexe financier, militaire, informatique, médiatique et pharmaceutique (FMIMPC) , a nommé l’un de ses sous-ministres. agents, la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) comme porte-drapeau – du moins pour l’instant – de l’assaut meurtrier de la toute-numérisation.
La CNUCED – en dérogation flagrante à son mandat historique en faveur des pays en développement, à savoir du Sud global –, uniformisera les règles du jeu, comme on dit, au nom de l’ensemble du système des Nations Unies en annonçant dans un communiqué de presse à Genève le 15 novembre 2023 , sa e-Week du 4 au 8 décembre 2023, dans le cadre d'une refonte majeure de sa série annuelle de Semaines du commerce électronique qui a débuté en 2016.
La Secrétaire générale de la CNUCED, Rebecca Grynspan , a déclaré :
« L’économie numérique joue un rôle essentiel dans la promotion des objectifs de développement à tous les niveaux. Grâce à des discussions inclusives et multipartites, nous pouvons construire ensemble un avenir numérique mondial qui profite à tous.
La tristement célèbre semaine électronique de la CNUCED s'appelle
« E-Week 2023 de la CNUCED pour mobiliser un soutien mondial en faveur d'une économie numérique plus inclusive. »
Sous-titré :
« Plus de 3 000 parties prenantes de 130 pays examineront comment transformer les opportunités numériques en gains de développement partagés et réduire les fractures existantes pour un avenir durable. »
Le texte du communiqué de presse regorge de slogans, de subtilités et de « non-sens » (discours insensés pour les « gnomes vendus aux systèmes »).
Par exemple….
« La conférence a pour thème « Façonner l'avenir de l'économie numérique ». Les sujets comprendront plus de 150 sessions axées sur la résolution des problèmes urgents liés à la numérisation. Les sujets clés porteront sur la gouvernance des plateformes, l’impact de l’intelligence artificielle (IA) sur le développement, les pratiques numériques respectueuses de l’environnement, l’autonomisation des femmes grâce à l’entrepreneuriat numérique et l’accélération de la préparation au numérique dans les pays en développement.
Cette phrase d’introduction manque à peine d’un des jargons mondialistes dénués de sens, qui sont désormais courants et circulent dans l’esprit des gens, sans qu’ils réfléchissent à ce qu’ils signifient réellement.
Attendez une minute, ils ont oublié le terme « durable ». Cela apparaîtra sûrement plus tard dans le texte.
La CNUCED et le « terrain de jeu numérique »
Personnes très importantes (VIP) présentes. Ils parlent également de plusieurs intervenants de haut niveau comme Amandeep Sing Gill , l'envoyé du secrétaire général de l'ONU pour la technologie ; Nizar Ben Neji , ministre tunisien de la communication et des technologies ; ainsi que Henry Puna , secrétaire général du Forum des îles du Pacifique ; et bien d'autres IT-VIP.
Le potentiel de l'IA. Ils ne manquent pas d’exploiter le potentiel de l’intelligence artificielle (IA) , rappelant au monde que le temps presse alors que le monde fait face aux incertitudes entourant les technologies émergentes, y compris l’adoption rapide de l’IA, qui révolutionne de plus en plus l’économie numérique.
C'est clair : notre avenir, l'avenir du peuple, est conçu comme un avenir numérique. Et cela, sans aucune concertation. L’organisme des Nations Unies et ceux qui tirent ses ficelles envisagent de décider pour nous, le peuple. Mais seulement si nous les laissons faire.
L’égalisation des règles du jeu numérique se concentrera sur les flux massifs de données provenant de l’économie numérique et appellera des réponses de gouvernance mondiale à la concentration du marché et à la répartition inégale des bénéfices.
Ils affirment que plus de 70 % des revenus publicitaires numériques mondiaux sont reversés à seulement cinq plateformes numériques.
Alors, que comptent-ils faire à ce sujet ? Rien. Car ces cinq plateformes numériques contrôlent déjà le monde – Alphabet, Amazon, Apple, Meta et Microsoft . Ces mastodontes contrôlent environ 9 000 milliards de dollars de communications informatiques. Et maintenant, ajoutez « X » (ancien Twitter ) et l’horizon du changement semble ultra sombre, surtout pas pour un organisme mineur de l’ONU, appelé CNUCED.
Ce n’est de loin pas tout.
À l'ordre du jour figure également un autre slogan : Exploiter la promesse numérique, qui prédit et promet que l'économie numérique basée sur les données recèle un vaste potentiel permettant aux pays de stimuler la croissance économique, de favoriser l'innovation et de réduire les obstacles géographiques et physiques au développement inclusif.
Voici la cerise finale sur le gâteau :
La numérisation au service du développement – la plateforme de la semaine électronique de la CNUCED pour un dialogue constructif et inclusif vise à générer des idées et des actions qui peuvent alimenter les efforts mondiaux, en particulier le Pacte numérique mondial des Nations Unies en cours, visant à catalyser un avenir numérique ouvert, libre et sécurisé pour tous. , en vue du Sommet du futur de l'ONU de 2024 .
Et pour tout cela, ils ont besoin de partenariats plus solides ; en particulier avec les multiples crises mondiales qui se déroulent sur les fronts géopolitiques, économiques et climatiques, les pays doivent prendre des décisions cruciales pour tracer la voie de la numérisation vers un développement équitable et durable .
Ils parlent peut-être du pacte contraire à l’éthique et illégal de 2019 entre le Forum économique mondial (FEM) de Klaus Schwab et les Nations Unies, ainsi que des guerres et des conflits mondiaux sans raison provoqués par l’homme, du chaos et des meurtres, juste pour tenir la population à distance. confus et distrait.
Ceci complète le slogan : l’équité et la durabilité ne sont pas oubliées.
« Démanteler une société numérique » En lisant entre les lignes et au-delà des slogans et du jargon numérique de la propagande, il n’est pas difficile de constater que nous nous dirigeons de plus en plus rapidement vers l’asservissement numérique.
Considérez ce que Tucker Carlson a dit dans une récente interview : il est facile de « détruire une société numérique ».
Pensez-y.
Si tout autour de nous est géré par des signaux numériques contrôlés par la « Cabale mondialiste » (à savoir le FMIMPC), un ou quelques interrupteurs peuvent désactiver nos différents réseaux :
approvisionnement en eau, électricité, gaz, énergies de toutes sortes, approvisionnement alimentaire, livraisons de carburant, des signaux de trafic, tous les transports, toutes les communications, l'argent sur nos comptes, et bien plus encore.
Les impacts sur la vie des gens sont indescriptibles. Il n'a pas besoin d'une explosion nucléaire pour mettre en œuvre son programme de dépopulation, ni des soi-disant « mangeurs inutiles » (une citation de l'Israélien Yuval Noah Harari du WEF ), qui pourraient également mettre en danger ceux qui contrôlent les interrupteurs.
Et nous, le peuple, serions complètement impuissants.
Écoutez l'interview de Tucker Carlson (début à 05h00).
À présent, il devrait être clair pour nous tous ce qui est progressivement et, à bien des égards, imperceptiblement préparé pour nous : Nous, le Peuple, sommes le « Mal pur ».
C'est Nous qui sommes dans la Matrice. Les élites qui contrôlent les quelques commutateurs pour exécuter la fin du jeu sont en dehors de la matrice. Ils garderont leurs lignes d’approvisionnement ouvertes – de tout, dans l’espoir de vivre dans un paradis où nous, le peuple, ne possédons rien mais sommes heureux.
Ils contrôlent à distance la Matrix. Nous, les gens autoproclamés « aux pilules rouges », pensions que nous étions à l’extérieur et que nous pouvions observer le chaos se créer à l’intérieur.
C'est l'inverse.
Ne vous laissez pas berner. Il s’agit d’une confrontation entre les élites puissantes, à savoir le complexe financier, militaire, informatique, médiatique et pharmaceutique (FMIMPC) et nous, le peuple , à savoir l’humanité agissant dans le monde entier à la base de la société.
La déclaration sur l'alimentation et l'agriculture à la COP28 est une étape importante pour les négociations sur le climat
3 Décembre 2023 Mark Lynas, Alliance pour la Science*
Pour la première fois lors d'une Conférence des Parties (COP) sur le climat, l'alimentation et l'agriculture semblent être prises au sérieux. Le 1er décembre, 134 dirigeants mondiaux ont signé une déclaration historique sur l'agriculture, l'alimentation et l'action climatique, qui vise à réduire les émissions dues à l'agriculture tout en améliorant la sécurité alimentaire et en protégeant les moyens de subsistance des agriculteurs. Parmi les pays signataires figurent les grands noms de l'agriculture que sont le Brésil, les États-Unis et la Chine, représentant 5,7 milliards de personnes.
La Déclaration des Émirats Arabes Unis sur l'Agriculture Durable, les Systèmes Alimentaires Résilients et l'Action Climatique, adoptée lors de la COP28, marque le passage à l'âge adulte d'un secteur historiquement négligé dans le processus des COP, bien qu'il représente jusqu'à un tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Les scientifiques s'accordent à dire que si l'on ne se préoccupe pas de l'alimentation et de l'agriculture, il y a peu de chances que le monde atteigne les objectifs de 1,5 à 2 °C fixés par l'Accord de Paris.
Soutenir les travailleurs agricoles et leurs moyens de subsistance
La déclaration engage les dirigeants mondiaux à renforcer l'aide à l'adaptation pour les agriculteurs, à promouvoir la sécurité alimentaire, à soutenir les travailleurs agricoles et leurs moyens de subsistance, à renforcer la gestion de l'eau et à réduire les émissions de gaz à effet de serre provenant de l'agriculture. En particulier, l'agriculture devrait désormais être incluse dans les CDN, les plans nationaux d'adaptation et les autres stratégies climatiques nationales.
Les dirigeants se sont également engagés, d'ici à 2025, à « accélérer et généraliser les innovations fondées sur la science et sur des données probantes – y compris les connaissances locales et autochtones – qui augmentent la productivité et la production durables de l'agriculture ». Cependant, la déclaration ne dit rien sur la nécessité de réduire la consommation de viande et de produits laitiers dans les pays riches ou de se concentrer sur l'utilisation parcimonieuse des terres dans la production alimentaire, deux éléments qui, selon les écologistes, sont essentiels pour réduire la perte de biodiversité et restaurer les écosystèmes.
Mme Sheila Ochugboju, directrice de l'Alliance pour la Science, a réagi à la déclaration : « Il est extrêmement positif pour le début de cette COP de voir que l'alimentation et l'agriculture figurent déjà en bonne place à l'ordre du jour. Je suis très encouragée de voir des mentions spécifiques pour la science et les innovations fondées sur des preuves dans le contexte d'une déclaration qui reconnaît fortement les défis continus de l'insécurité alimentaire et la nécessité de s'attaquer à la situation critique des petits exploitants agricoles à travers le Sud mondial à mesure que le changement climatique s'accélère. »
Accélérer le développement des innovations
Un partenariat entre les Émirats arabes unis et la Fondation Bill et Melinda Gates (qui finance en partie l'Alliance pour la Science) a également été annoncé lors de la COP. Ce partenariat prévoit l'affectation de 200 millions de dollars à l'accélération du développement d'innovations qui aideront les petits exploitants agricoles d'Afrique subsaharienne et d'Asie du Sud à renforcer leur résilience et à s'adapter au changement climatique.
La Fondation appelle également les donateurs à soutenir l'objectif d'investissement du réseau mondial de recherche agricole CGRAI (CGIAR en anglais), qui l'aidera à atteindre 500 millions d'agriculteurs d'ici à 2030 et à réduire les émissions du secteur d'une gigatonne par an.
Le co-président de la Fondation, Bill Gates, a également prononcé un discours lors de la COP le 1er décembre, dans lequel il a vanté les avantages des variétés de maïs tolérantes à la sécheresse et résistantes à des maladies, qui aident déjà les agriculteurs du Zimbabwe à récolter suffisamment de maïs supplémentaire « pour nourrir leurs familles pendant neuf mois ». M. Gates a déclaré : « Les pays doivent respecter l'engagement qu'ils ont pris il y a deux ans à Glasgow de doubler le montant du financement de l'adaptation d'ici à 2025, y compris en soutenant l'objectif du GCRAI de lever 4 milliards de dollars », et il a rappelé aux délégués qu'« aucun autre effort d'adaptation au changement climatique n'aura autant d'impact ».
Variétés améliorées de cultures naturellement tolérantes au stress
« Nous sommes prêts à développer rapidement des innovations qui ont fait leurs preuves et qui aident déjà les agriculteurs des régions vulnérables comme l'Afrique et l'Asie du Sud à s'adapter à des conditions climatiques plus difficiles », a déclaré le professeur Lindiwe Majele Sibanda, présidente du conseil d'administration du GCRAI. « Il s'agit notamment d'améliorer l'accès aux variétés améliorées de cultures naturellement tolérantes au stress, comme le manioc et le millet, d'employer de nouveaux outils et stratégies que les agriculteurs utilisent pour soutenir des écosystèmes sains en réhabilitant les terres dégradées, et de fournir des prévisions climatiques à long terme qui aident les agriculteurs à anticiper et à gérer les extrêmes météorologiques et les changements de régimes pluviométriques. »
« Il n'y a pas de voie pour atteindre les objectifs de l'Accord de Paris sur le climat et maintenir 1,5 °C à portée de main qui ne prenne pas en compte de manière urgente les interactions entre les systèmes alimentaires, l'agriculture et le climat », a déclaré S.E. Mariam bint Mohammed Almheiri, ministre des Émirats Arabes Unis chargée du changement climatique et de l'environnement et chef de file des systèmes alimentaires de la COP28.
« Les pays doivent placer les systèmes alimentaires et l'agriculture au cœur de leurs ambitions climatiques, en s'attaquant à la fois aux émissions mondiales et en protégeant les vies et les moyens de subsistance des agriculteurs qui vivent en première ligne du changement climatique. L'engagement pris aujourd'hui par les pays du monde entier contribuera à la mise en place d'un système alimentaire mondial adapté à l'avenir », a-t-elle ajouté.
Conférence mondiale sur le climat dans la chaude ville de Dubaï : le roi Charles du Royaume-Uni veut 5 000 milliards pour NetZero et d'autres bizarreries
3 décembre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
Des milliers d'hommes politiques, de célébrités et de bureaucrates d'organisations internationales se réunissent actuellement à Dubaï, où il fait actuellement une température très agréable de 28 degrés. Des projets sont élaborés qui sont difficiles à battre en termes d'absurdité. Bien entendu, le chancelier autrichien à court terme ne peut pas manquer parmi les pseudo-célébrités présentes. Le roi Charles de Grande-Bretagne a appelé les contribuables du monde entier à débourser 5 000 milliards de dollars chaque année pour faire avancer le programme mondialiste « NetZero ». Cela rappelle beaucoup ZeroCovid : les initiatives zéro ont connu les mêmes succès (échecs).
« NetZero » est une liste d’objectifs irréalistes fixés par le Forum économique mondial (WEF) avec le soutien des Nations Unies (ONU) pour faire avancer un programme mondialiste. Sous couvert de protection de l’environnement, les objectifs inaccessibles du « NetZero » entraîneraient la faillite de la société et rendraient le public dépendant d’une élite corporatocratique non élue.
La Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques de 2023 ou Conférence des parties à la CCNUCC (COP28) aura lieu à Dubaï, aux Émirats arabes unis, dans les prochaines semaines. Il est présenté comme un « sommet mondial sur le climat » et constitue le premier « bilan mondial » visant à évaluer les progrès réalisés dans le cadre de l’Accord de Paris.
Lors du discours du roi Charles III. Lors de la cérémonie d’ouverture de la COP28, il a réclamé entre 4,5 et 5 000 milliards de dollars par an pour stimuler le changement nécessaire en raison du « changement climatique ».
« Il y a vingt-huit ans, j'ai été très touché lorsqu'on m'a demandé de prendre la parole à l'ouverture de la COP21 à Paris, qui a bien sûr abouti à l'Accord de Paris », a déclaré Charles III. à la COP28.
L'Accord de Paris, adopté en décembre 2015 lors de la conférence sur le climat COP21, stipule que l'augmentation des températures moyennes mondiales doit être maintenue bien en dessous de 2°C au-dessus des « niveaux préindustriels » et que des efforts seront faits pour limiter l'augmentation de la température à 1,5. °C le « niveau préindustriel ». De préférence, on utilise le niveau de la période Dalton Minimum, la période antérieure à 1850 avec une activité solaire réduite, de manière à obtenir l'un des points de départ les plus bas des 10 000 dernières années.
Le chancelier autrichien à court terme Sebastian Kurz estime également que la lutte contre le méthane est importante et c'est pourquoi il republie :
« Aujourd'hui, les pays, les philanthropes et l'industrie ont dévoilé plus d'un milliard de dollars de financement pour la réduction des émissions de méthane, qui serviront de catalyseur pour une action mondiale visant à réduire les émissions conformément au #GlobalMethanePledge, en particulier dans les pays en développement. »
Un grand milliard d’entreprises et de fondations oligarchiques qui attendent des profits élevés de cet investissement, à l’image de la campagne de vaccination contre le C19.
Le méthane, l’hydrocarbure de formule CH4, est le gaz à effet de serre le moins pertinent. Un article rédigé par Will Happer, professeur de physique à Princeton, et WA van Wijngaarden, du Département de physique et d'astronomie de l'Université York au Canada, explique que même si le forçage radiatif de chaque molécule de méthane est 30 fois supérieur à celui d'une molécule de gaz carbonique, l'augmentation de l'énergie mondiale méthane mais est 300 fois inférieure à celle du gaz carbonique. En conséquence, le méthane n’est qu’un dixième (30/300) aussi puissant que le dioxyde de carbone. Selon le journal, un doublement des émissions de méthane ne représenterait qu’une infime fraction de l’effet de serre global.
D’ailleurs, il y a aussi quelques leçons à tirer sur les effets des gaz à effet de serre dus aux conditions météorologiques qui prévalent actuellement en Europe. Dans certaines régions, il y a eu plusieurs jours de brouillard accompagné de chutes de neige. Le résultat était une température constante jour et nuit pendant une longue période. La couche supérieure de vapeur d'eau et les nuages réfléchissent une grande partie de la lumière solaire, le brouillard capte en grande partie le rayonnement infrarouge du sol et en réfléchit la majeure partie vers le bas. Le résultat est une température constante.
Les courants d'air modifiés apportent de l'air clair avec de faibles niveaux de vapeur d'eau, ce qui entraîne des températures nocturnes 10 degrés inférieures aux températures diurnes. La vapeur d’eau a disparu, le gaz carbonique et le CH4 n’ont qu’une influence marginale, voire inexistante, sur les variations de température.
Il existe un grand nombre d'études scientifiques qui montrent que tout ce qui vient de l'IPCC et qui est diffusé lors de ces conférences COP est politique et donc absurde, la plus récente publiée par TKP peut être trouvée ici .
Kurz se laisse prendre dans les bras du président de la COP, le sultan Ahmed al-Jaber, pour un selfie. Il est également à la tête de la compagnie pétrolière publique Adnoc d'Abu Dhabi. Même si le deuxième travail d'Al-Jaber est certainement logique. La première consiste davantage à offrir aux célébrités arrivées en jet privé un moment agréable au chaud.
Quand le cycle chaud se terminera et que les grands froids reviendront, ce qui est inéluctable, nos sociétés dites « modernes » se trouveront fort démunies.
le 3 décembre 2023 par pgibertie
Il fait froid, sans vent, il faut alimenter les équipements techniques. Les éoliennes ne produisent pas. Ce matin le offshore (éolien en mer) était à l’arrêt. Pas de production mais une consommation de 5,25MW. C’est 5,25 millions de Watts, via Jacques Fauconnier
Premiers -50°C de la saison en #Russie avec jusqu’à -53,4°C à Iema [Иэма], proche des niveaux records de début décembre !
Le froid est arrivé, ce n’est pas à cause du gaz carbonique, des gaz à effet de serre et des énergies fossiles. Les climatologues ont-ils menti ? https://youtu.be/SIICuQVAwR8 Les changements climatiques sont dus à 7 paramètres principaux dont les 3 paramètres astronomiques de Milankovic.
L’expansion de la censure européenne au point mort
3 décembre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
Comme chacun le sait, les dirigeants européens souhaitent avoir un accès complet aux chats et saper le cryptage. Le fait qu’une autre pierre angulaire des droits fondamentaux et des droits de l’homme soit enterrée ne dérange personne parmi les eurocrates. Le prétexte est généralement de protéger les enfants. Mais ces plans n’ont pas été approuvés cette fois par le Conseil de l’UE. Le député pirate Patrick Breyer écrit à ce sujet sur son blog sous le titre : « L'extension du contrôle volontaire du chat est un aveu de l'échec de Zensursula ! » :
Après que les projets de l'UE visant à filtrer massivement les communications privées et à abolir le cryptage sécurisé (chat control 2.0) aient été suspendus en raison d'un manque de majorité au Conseil de l'UE, la Commission européenne propose maintenant une extension du contrôle volontaire des chats existant, qui était auparavant limité au 3 août 2024, il y a deux ans. La procédure accélérée prévue n'a pas encore été communiquée par la Commission européenne. Pour l’eurodéputé et principal opposant au contrôle des chats, le Dr. Pour Patrick Breyer (Parti Pirate), qui est également négociateur de son groupe, cette proposition est un aveu d'échec :
«Le statu quo désormais envisagé est un aveu de l'échec des machinations scandaleuses du président de la Commission 'Zensursula' et de la commissaire à l'intérieur 'Big Sister' Johansson pour imposer un contrôle autoritaire des discussions. Avec leur attaque ratée contre la correspondance numérique et leur cryptage sécurisé, du jamais vu dans le monde libre, ces « grandes sœurs » ont la responsabilité de veiller à ce que rien ne soit réalisé pour mieux protéger nos enfants. Avec leur obsession incorrigible pour la surveillance de masse, les commissaires européens empêchent des mesures de protection réellement efficaces, par exemple via des services Internet sécurisés (Security by Design). Les victimes d’abus méritent des responsables politiques capables d’assurer une protection de l’enfance efficace, majoritaire, conforme aux droits fondamentaux et juridiquement contraignante – comme l’est le consensus de tous les partis au Parlement européen.»
Dans le même temps, Breyer critique l'instrument de contrôle volontaire des chats : « À ce jour, la commission n'a pas encore soumis de rapport sur l'efficacité supposée du contrôle volontaire des chats, ce qui est attendu depuis des mois. Ce n’est pas étonnant : la surveillance volontaire et massive de nos communications privées par des services américains tels que Meta, Google ou Microsoft ne contribue pas de manière significative au sauvetage des enfants maltraités ni à la condamnation des agresseurs, mais criminalise à son tour des milliers de mineurs, surcharge les procureurs et ouvre la porte à des poursuites judiciaires. justice privée arbitraire par les sociétés Internet.
« La réglementation sur le contrôle volontaire des chats est à la fois inutile et contraire aux droits fondamentaux : les réseaux sociaux comme les services d'hébergement n'ont pas besoin d'une réglementation pour vérifier les publications publiques. Et les rapports d'activités suspectes, sujets aux erreurs, issus du filtrage des communications privées par le méta-groupe de Zuckerberg n'apparaîtront plus en raison de l'introduction annoncée du cryptage de bout en bout à la fin de l'année. L' avis juridique d'un ancien juge de la CJCE montre que le contrôle volontaire du chat est contraire aux droits fondamentaux. Une personne victime d'abus et moi-même poursuivons. Et le ministère du Numérique a confirmé que la réglementation exceptionnelle ne rend pas du tout possible le contrôle volontaire des chats en Allemagne. "
La Commission européenne et le Parlement travaillent intensivement pour créer les conditions-cadres et les possibilités techniques nécessaires à une collecte de données et à un suivi transparents de tous les citoyens. Il faut collecter des données depuis l' état de santé jusqu'à l'état technique de la voiture, qui sera expropriée et mise au rebut si elle ne plaît plus aux eurocrates et les citoyens seront vaccinés de force. Le point central est une identité numérique obligatoire pour tous.
Un jet privé d'Occidental se rend deux fois dans la ville natale de Buffett au milieu des spéculations sur un accord majeur sur le schiste
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 03 DÉCEMBRE 2023 - 14:45
Dans un geste qui fait sourciller l'ensemble du secteur de l'énergie, le jet privé d'Occidental Petroleum Corp. a effectué non pas une mais deux escales dans un aéroport local d'Omaha, dans le Nebraska, en novembre.
L’intrigue s’épaissit si l’on considère qu’Omaha est l’endroit où réside Warren Buffett, le principal actionnaire d’Occidental.
Ces visites surviennent alors qu’Occidental se prépare à un nouvel accord sur les gisements de pétrole de schiste, d’une valeur de plusieurs milliards de dollars.
Bloomberg rapporte que l'avion d'Occidental a décollé de Houston, où se trouve le siège social de la société, et a atterri lundi à l'aérodrome d'Eppley à Omaha.
L'avion est resté au sol pendant trois heures, s'est envolé pour New York et est revenu à Houston vers minuit.
Le suivi de l'avion a été rendu possible grâce au site Web de suivi des vols ADS-B Exchange, qui surveille la technologie de surveillance avancée intégrée aux avions qui volent dans un espace aérien hautement réglementé.
La nouvelle du jet d'Occidental zigzaguant autour du comté est arrivée quelques jours avant que Bloomberg n'annonce qu'Occidental était en pourparlers pour acheter le foreur de schiste CrownRock LP pour 10 milliards de dollars. Les données ADS-B Exchange ont montré que l'avion s'était rendu à Omaha deux fois le mois dernier.
Les dernières données de Bloomberg montrent que Berkshire Hathaway Inc. de Buffett détient 25,90 % d'Occidental.
- voir cadre sur site -
L'activité récente de l'avion à réaction d'Occidental nous rappelle l'époque où les hedge funds suivaient l'avion en 2019, lorsque la société a surenchéri sur Chevron Corp. pour acheter Anadarko Petroleum Corp. pour 55 milliards de dollars.
Deux tiers des articles scientifiques rejettent les contributions humaines au changement climatique
2 décembre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
Un article du TKP a démantelé aujourd’hui la construction de mensonges élaborés par l’OMS, l’UE, l’ONU, les « experts » loyaux et les différents « ministres de la Santé » pour mener à bien la « pandémie » de Corona. Quelque chose de similaire se produit avec le climat. Avec la petite mais importante différence qu’il existe une forte résistance de la part des scientifiques qui publient et qui sont engagés dans leur science et dans les découvertes qu’ils ont faites.
Cependant, une étude affirme que seulement 0,5 % des articles scientifiques rejettent la contribution humaine au changement climatique. Il s'agit d'une étude méthodologiquement erronée de 2021 (Lynas et al. « Un consensus supérieur à 99 % sur le changement climatique causé par l'homme dans la littérature scientifique évaluée par les pairs »), qui affirme que 99,53 % des 3 000 articles scientifiques examinés (grâce à une classification subjective de (articles basés uniquement sur ce qui est écrit dans les résumés) soutiennent la position anthropique sur le réchauffement climatique ou AGE.
Dans une nouvelle étude, six scientifiques ( Dentelski et al., 2023 ) décortiquent les affirmations de Lynas : « 99 % ? Réexaminer le consensus sur la contribution anthropique au changement climatique « (99 % ? Le consensus sur la contribution anthropique au changement climatique sous surveillance).
Les auteurs de Lynas supposent que non seulement il existe un consensus sur la cause humaine du réchauffement climatique, mais qu'il est également établi comme la position dominante incontestée dans la littérature scientifique.
Leur intention était donc de quantifier efficacement la force de cet accord largement répandu en développant un système de notation qui évaluerait uniquement le rejet explicite d’AGE dans le résumé de l’article comme ne soutenant pas le « consensus » supposé.
Sur les 3 000 répertoriés dans Lynas et al. Parmi les articles analysés, 282 ont été classés comme n’étant pas « suffisamment liés au climat ». 2 104 autres articles ont été classés dans la catégorie 4, ce qui signifie que les auteurs n'ont pris « aucune position » ou que leur position sur l'AGE a été décrite comme « incertaine » dans le résumé…. Profitant de la classification « si vous n'êtes pas contre, vous êtes pour », Lynas et ses collègues ont déterminé que les auteurs de ces 2 104 articles scientifiques de catégorie 4 sont effectivement d'accord avec le changement climatique, puisque le résumé ne dit pas explicitement qu'ils ne sont pas d'accord.
Ce qui est intéressant est que si cette erreur de classification n’avait pas été appliquée et que les milliers d’articles de catégorie 4 (« aucune position » ou « incertaine ») n’avaient pas été comptés comme défenseurs du changement climatique, seulement 892 des 2 718 articles (liés au climat) , soit 32 % pourraient être classés comme défenseurs du changement climatique. Ainsi, si l’on suppose simplement qu’on ne peut pas deviner les opinions des auteurs d’articles scientifiques en lisant des résumés, on pourrait tout aussi bien dire que 67 % (1 826 sur 2 718) des articles liés au climat rejettent l’AGW.
Dentelski et ses collègues soulignent également que, selon leur propre analyse, 54 % des articles qu'ils ont examinés, ceux de Lynas et al. classés comme étant uniquement un soutien « suggestif » (catégorie 3) en faveur du changement climatique ou comme catégorie 4 (« aucune position » ou « incertain »), décrivent un manque de soutien en faveur du changement climatique dans le corps du document lui-même. Cependant, comme cette non-promotion explicite du changement climatique n’a pas été présentée dans le résumé, ces articles ont de toute façon été classés à tort comme des défenseurs du changement climatique.
Pour saisir pleinement la nature subjective de la méthodologie utilisée par Lynas et ses collègues, Dentelski et al. examinez les éléments internes de l'étude et constatez que 58 % du temps, deux évaluateurs indépendants ne parviennent pas à s'entendre sur une échelle de classification numérique (de 1 à 7) pour un article. Si deux personnes s’accordent sur la notation des épreuves seulement 42 % du temps, on ne peut pas dire que le système de notation soit suffisamment objectif.
En appliquant la même méthodologie basée sur des hypothèses que celle de Kynas, on arrive à la conclusion formulée dans le titre ci-dessus.
Nombre massif d’études anti-AGE implicites Les articles du TKP ont cité de nombreuses études, à commencer par les Principia de 1687 d'Isaac Newton, qui abordent l'influence des variations orbitales du Soleil et de la Terre et le rôle de l'activité solaire. Car il s’avère simplement qu’une augmentation de la distance Soleil-Terre entraîne un refroidissement, tout comme la réduction cyclique de l’activité solaire. Tout cela ne serait probablement pas « suffisamment lié au climat » pour Lynas and Co.
Par exemple, cet article soutient que les cycles solaires se comportent actuellement d'une manière très similaire à ce qu'ils étaient il y a environ 400 ans, ce qui signifie que nous nous dirigeons vers une phase comme le minimum de Maunder au 17ème siècle. Nous devrions donc être en plein milieu d'ici 2040 environ, comme le montrent ces deux travaux cités dans l'article ( Miyahara et Brehm ).
À cette époque, il faisait encore plus froid qu'au minimum de Dalton au milieu du XIXe siècle, qui est également toujours utilisé comme période de référence préindustrielle pour le réchauffement climatique. Cela signifierait une diminution du rayonnement d'environ 0,22 %, ce qui correspond à 3 W/m2 en moyenne près du sol (Lean et al., 1995), ce qui impliquerait une diminution de la température de 1 à 1,5 degrés (Easterbrook, 2016).
Les positions des hystéristes du climat au sein de l'IPCC de l'ONU font également l'objet de critiques explicites, comme l'article d'Arthur Rörsch et Peter A. Ziegler (2013), intitulé « POURQUOI LES SCIENTIFIQUES SONT 'SCEPTIQUES' À PROPOS DU CONCEPT AGW » (POURQUOI LES SCIENTIFIQUES SONT 'SCEPTIQUES' À PROPOS DU CONCEPT AGW ) CONCEPT DEM AGE « SCEPTIQUE »).
Le fort effet climatique de l’augmentation des concentrations atmosphériques de gaz carbonique revendiqué par l'IPCC contredit l’évolution climatique des temps géologiques, historiques et récents. Bien que les concentrations atmosphériques de gaz carbonique aient continué à augmenter pendant la période industrielle, les températures n’ont pas augmenté de manière constante pour atteindre les niveaux actuels, mais ont plutôt stagné, voire légèrement diminué, au cours des années 1880 à 1900, de 1945 à 1977 et de nouveau depuis 1998.
Le rayonnement solaire total a augmenté d'un minimum en 1890 à un premier pic en 1950, suivi d'une forte baisse jusqu'en 1977, conduisant à une période d'augmentation rapide du rayonnement qui a culminé en 2002, lorsque l'activité solaire a commencé à décliner et peut-être à un nouveau faible comme au Petit Âge Glaciaire.
L'effet de serre revendiqué par l'IPCC et largement propagé par l'augmentation des concentrations de gaz carbonique dans l'atmosphère est particulièrement gênant car il est largement surestimé sans justification scientifique adéquate. Les grandes fluctuations climatiques observées au cours des périodes géologiques et historiques, ainsi que le manque de compréhension du comportement de systèmes complexes, remettent sérieusement en question le concept de réchauffement climatique anthropique (AGE) promu par l'IPCC.
La variabilité climatique au cours de la période industrielle était largement déterminée par les changements dans l’activité solaire, la teneur croissante en gaz carbonique de l’atmosphère jouant un rôle mineur. L’effet régulateur du climat que l'IPCC attribue à l’augmentation des concentrations atmosphériques de gaz carbonique est rejeté car les modèles à l’appui ne correspondent pas aux observations.
Enfin, d’un point de vue historique et scientifique et philosophique, les auteurs examinent la question de savoir pourquoi la recherche actuelle sur le climat et les évaluations du IPCC ont pu être sur la mauvaise voie pendant plusieurs décennies.
Il est peu probable que l'article ait été inclus dans les réflexions de Lynas, comme celles sur le soleil. L'IPCC nie que le soleil ait quelque chose à voir avec le changement climatique.
Le roi Charles prononce un discours hautement politisé pour soutenir le projet collectiviste Net Zero
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 03 DÉCEMBRE 2023 - 14H10 Rédigé par Chris Morrison via The Daily Sceptic,
Ça aurait pu être pire. Le roi Charles aurait pu monter sur son estrade dans le désert et déclarer que nous n’avions que 96 mois pour éviter « un effondrement irrémédiable du climat et des écosystèmes ». Mais c’était le bon Charlie en 2009, nous faisant bénéficier de sa sagesse scientifique en sandwich. De nos jours, c’est le mauvais temps à la mode et les « points de bascule » indéfinis. L’homme est désormais roi, et lors de la COP28, il a abandonné son ennuyeux rôle constitutionnel politiquement neutre, s’est enveloppé de pseudosciences gardiennes et a frappé durement les pauvres qui seront obligés de payer pour la folie collectiviste qu’est le projet Net Zero.
Le roi Charles n’est pas un ami de l’humanité en général. S'exprimant lors de la COP28, il a déclaré : « La Terre ne nous appartient pas, nous appartenons à la Terre. » Comme beaucoup d’élitistes qui connaissent leur place, il semble détester l’impact que les humains ont sur la planète. Il affiche, malheureusement sur la scène mondiale, un mépris snob pour le capitalisme – ce que les cercles aristocratiques britanniques considéraient autrefois comme du « commerce ». Cette tendance capitaliste des 200 dernières années a exploité le pouvoir des hydrocarbures naturels pour élever des milliards de personnes à un niveau de vie et de santé inimaginable pour les générations précédentes. En 2009, Charles a déclaré que nous ne pouvions plus nous permettre le consumérisme et que « l’ère de la commodité » était révolue.
Pas pour le nouveau roi britannique, cela n’a guère besoin d’être observé. Il mène une vie d'indulgence choyée où aucune dépense n'est épargnée pour assurer tout son confort. Lors de son accession au trône, il agrandit considérablement son portefeuille de palais. Pour diffuser ses fantasmes malveillants de Net Zero, il dispose d’une flotte de voitures, d’avions privés et même d’un train personnel. Il les utilise pour appeler à une « action transformationnelle » pour sauver la planète. Dans son discours à la COP28, il a appelé à la restauration de la nature, à la nécessité d'une agriculture durable et à la coopération entre les secteurs public et privé.
Peu d’appels pourraient avoir un ton plus politique. La restauration de la nature et l’agriculture durable sont synonymes de régimes alimentaires largement exempts de viande et de réductions massives des engrais azotés. Cette dernière situation, en particulier, entraînera une famine mondiale. La COP28 semble prête à annoncer de nouvelles restrictions alimentaires et agricoles en utilisant la tactique de diaboliser le méthane, un gaz émis par les animaux et les humains à peine mesurable dans l’atmosphère en raison de son cycle de vie très court. Chaque fois que le sujet de la « coopération » entre les secteurs public et privé est évoqué, on se précipite immédiatement pour compter les cuillères, car cela ne peut que signaler un transfert important d’argent des industries productives vers des opérations vertes improductives et de qualité inférieure.
À un moment donné de son discours à la COP, le roi Charles a basculé dans le territoire du panneau sandwich en affirmant que « nous constatons que des points de basculement alarmants sont atteints ». Aucune preuve n’a été présentée pour justifier cette affirmation, souvent formulée par des extrémistes climatiques utilisant des données modélisées. En fait, il n’a même pas fait référence à un véritable événement de « pourboire » qui aurait été atteint. De nombreux scientifiques ont conclu que les événements météorologiques mauvais ou extrêmes ne sont pas pires que ceux du passé immédiat. De nombreuses catégories de catastrophes naturelles telles que les inondations, les sécheresses et la productivité des écosystèmes « ne montrent aucune tendance positive claire des événements extrêmes », notent un groupe de quatre scientifiques italiens. Ils affirment que les données montrent qu’il n’y a pas d’« urgence climatique ».
Aucun de ces faits ne semble avoir d’importance pour un roi politique qui, comme un dossier coincé du Guardian, continue de raconter des histoires émotionnelles inventées sur l’imminence d’un Armageddon climatique. À un moment donné, il a évoqué les cyclones répétés qui frappaient les îles vulnérables, ce que les cyclones ont toujours fait.
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Le roi peut toujours sélectionner des tempêtes individuelles, mais il existe de nombreuses preuves montrant que la fréquence des ouragans et des cyclones, ainsi que leur intensité, ont peu changé au cours des récents enregistrements historiques, comme le montre le graphique ci-dessus.
Les incendies de forêt sont un peu ratés lorsqu’il s’agit d’attiser l’hystérie climatique, notamment parce que le Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique/IPCC) note que la plupart des conflagrations sont déclenchées par des humains. « Les activités humaines sont devenues le moteur dominant », observe-t-il. Mais lorsqu’il y a un travail politique Net Zero à faire, le roi n’est que trop heureux d’ignorer les preuves. Comme de nombreux autres pays cette année, le Canada a connu ses pires incendies de forêt depuis un siècle, a-t-il déclaré.
Malgré toute l’implication humaine, le graphique ci-dessus montre le déclin progressif des émissions mondiales dues aux incendies de forêt au cours des dernières décennies. En fait, il est presque impossible d’attribuer aux incendies de forêt un quelconque changement climatique, car de nombreux autres facteurs, tels que les incendies criminels et la gestion des terres, entrent en jeu.
Net Zero devient rapidement la question politique dominante de notre époque. Sa nature collectiviste évidente recueille le soutien d’intérêts majoritairement sectoriels de la société. Il ne bénéficie d’aucun soutien populaire significatif, car il vise à restreindre les modes de vie et la richesse des humains à une échelle jamais tentée auparavant dans l’histoire. Il regorge de science indésirable, de fausses statistiques et de modèles informatiques.
La défunte reine, dans son infinie sagesse, ne s’en approcha jamais.
Chris Morrison est le rédacteur en chef de l'environnement du Daily Sceptic.
Stop Press : David Cameron, à la COP28, a déclaré que le Royaume-Uni verserait 60 millions de livres sterling en réparations climatiques aux pays en développement. Epoch Times en propose davantage.
Quel est le taux de marge acceptable par les consommateurs ?
Un simple regard vers l’histoire des théories économiques devrait suffire pour contester l’idée que les marges et les bénéfices peuvent être fixés sans tenir compte du prix final et de la valeur réelle créée par l’entreprise.
le 4 décembre 2023 Jacques Garello
C’est la question que tout le monde se pose :
les associations de consommateurs qui soupçonnent les producteurs, mais aussi les grandes surfaces de s’enrichir en période de crise ; les producteurs, intermédiaires et distributeurs qui ne cessent de se réunir au moins mensuellement pour ajuster le taux ; la classe politique qui se partage entre ceux qui pensent que le pouvoir fait tout pour sauvegarder le pouvoir d’achat (par exemple en contrôlant les prix des produits de première nécessité) ; ceux qui se révoltent contre les politiques financières et budgétaires qui créent et amplifient l’inflation qui ruine le pouvoir d’achat.
À mon sens, la question n’a ni queue ni tête, parce que la formation des prix, et les « marges » qui en découlent obéissent à une logique que tout le monde semble ignorer, du moins dans notre pays.
Qu’apprend-on à l’école (quand on apprend quelque chose) et quel est le bon sens populaire ? C’est l’équation : Recettes – coûts = bénéfices, que l’on peut décliner sous diverses formes : Coûts + bénéfices = prix de vente (ou l’inverse)
Valeur intrinsèque et valeur marchande
Pour moi, et pour de nombreux économistes, ces formules sont celles des XVIIe et XVIIIe siècles, lorsque la théorie de la valeur était balbutiante.
C’est peut-être la faute d’Adam Smith, c’est sûrement celle de David Ricardo : la valeur d’un produit n’est pas marchande, elle est intrinsèque.
L’exemple de la valeur-travail, qui hante encore les esprits deux siècles plus tard, est simple : un produit a une valeur double de celle d’un autre s’il a fallu 10 heures de travail pour l’un contre 5 heures pour l’autre.
De plus, la frontière n’est pas dessinée entre la valeur et le prix : le prix n’est que l’expression monétaire de la valeur, la stabilité de l’étalon monétaire est assurée. C’est dire que l’on n’a même pas compris les leçons des dérapages financiers et monétaires du XVIIe siècle et des inflations qui se sont succédé.
Plus tranquilles, les physiocrates français s’en remettaient à la seule valeur fondamentale, d’après eux : la terre. Et ici il ne s’agit ni de prix ni de coût : la propriété foncière rapporte une rente, c’est-à-dire un revenu sans travail dont l’origine est le droit de propriété foncière. David Ricardo en est bien persuadé, et il prépare la légère amodiation qu’apportera Marx : ce n’est pas la propriété foncière qui enrichit sans cause, c’est la propriété du capital industriel. C’est donc la propriété qui est le vice du système capitaliste.
J’ai fait ce court rappel historique pour indiquer que tous les économistes n’ont pas été aussi aveugles.
Après Turgot, c’est surtout Jean-Baptiste Say qui va enfin comprendre ce qu’il faut pour produire : du travail certes, du capital (investissement), mais aussi un « entre-preneur » dont la mission est de se situer entre les besoins des consommateurs et les moyens de satisfaire leurs besoins. Il fait faire un double progrès à la science économique, d’abord en reprenant Smith et Turgot sur la théorie de l’échange, l’économie reposant sur la diversité des individus et la personnalisation des choix ; ensuite en mettant en lumière le personnage de l’entrepreneur, qu’il connait d’autant mieux qu’il appartient à une famille d’entrepreneurs. Dès lors, l’entrepreneur mérite d’être rémunéré pour le service qu’il rend, et cette rémunération s’appelle le profit.
À son époque, on estimait que les profits étaient minces et que peu de personnes créaient des entreprises, du moins en France (et il part en Angleterre, fâché avec Napoléon qui n’aime pas le libre-échange). Donc, dans la valeur finale du bien ou du service il y aura addition des salaires, des intérêts, des profits. Les profits ne sont prélevés ni sur les salariés ni sur les financiers qui avancent les capitaux, ils sont une rémunération indispensable de l’art d’entreprendre.
Néo-classiques et Autrichiens
La science économique va continuer à progresser dans cette direction.
À la fin du XIXe siècle, Carl Menger économiste autrichien, va réagir contre les excès et les erreurs de ceux que l’on nomme les « néo-classiques » (Alfred Marshall) qui veulent résumer la conduite individuelle à un pur calcul rationnel : homo œconomicus. Il n’y aurait qu’une façon et une seule de fixer les prix, qui eux-mêmes dépendent des quantités offertes et demandées. La loi de l’offre et de la demande semble avoir tout réglé. On introduit quelques amendements pour rendre compte que le calcul rationnel ne peut exister que dans un climat de concurrence pure et parfaite. Mais dans les années 1920, on va placer l’homo œconomicus face à des marchés de concurrence imparfaite, d’oligopoles, etc. jusqu’à ce qu’on s’aperçoive que toutes ces approximations étaient pures inventions.
Par contraste, Carl Menger revient à la dimension marchande de l’économie, donc à l’importance des comportements individuels. Ludwig von Mises, un de ses premiers disciples, parlera de l’économie comme de « la science du comportement humain », la praxéologie.
Mais Carl Menger avait repris l’idée de Jean-Baptiste Say sur le rôle décisif de l’entrepreneur, et il a lié la qualité de ce dernier à deux variables décisives : le temps et l’information.
Il avait ainsi établi les piliers de la science économique contemporaine.
Le facteur résiduel
Une autre aventure a permis de progresser.
Dans les années 1960, plusieurs économistes se sont mis à travailler sur ce que nous appellions les fonctions de production. Dans la valeur d’un produit, quel est l’apport de différents facteurs de production ?
Ces fonctions se sont libérées du vieux théorème : V= f (W,K) (la valeur est fonction du travail et du capital), et en observant des milliers de cas, ils se sont mis à mesurer ce qui pouvait augmenter si on ajoutait à W et K quelque chose d’autre, que l’on va appeler facteur résiduel. Dans les manuels d’économie français le facteur résiduel, inexpliqué a priori, est identifié comme le progrès technique.
Dans les années 1960, quand j’étais étudiant, voici importées des États Unis les nouvelles fonctions de production avec Solow et Cobb-Douglas, qui nous renseignent mieux sur ce qui se passe au niveau de la valeur :
Le facteur a beau être résiduel, il explique la moitié de la valeur ajoutée par le travail et le capital réunis La valeur varie lorsqu’on substitue du travail au capital ou l’inverse : on calcule des élasticités de substitution Dans la plupart des cas étudiés, on ne peut caractériser l’origine du facteur résiduel, ou sa mesure est impossible.
Finalement, on va en déduire que la valeur que l’acheteur final (en principe le consommateur) est amené à payer dépend d’une multitude de facteurs, et que l’entreprise y est sans doute pour quelque chose puisque, conformément à ce que disait Jean-Baptiste Say, c’est bien lui qui gère les facteurs de production, mais c’est aussi bien lui qui comprend ce que veut sa clientèle.
Donc, on peut dire qu’une partie au moins du facteur résiduel représente la rémunération de l’art d’entreprendre, et cette rémunération est le profit. Il y a loin de ce profit à cette marge calculée dans les livres d’écoliers.
L’art d’entreprendre dans une économie de libre marché
Mais on en sait un peu plus sur l’art d’entreprendre depuis Carl Menger, et grâce en particulier à Israël Kirzner, dernier membre vivant des disciples de Mises.
En insistant sur le temps et l’information, Menger et Mises avaient démontré toute la dimension du travail de l’entrepreneur, parce que le temps et l’information varient avec les individus et avec les circonstances.
Kirzner va décrire ce que sait faire l’entrepreneur. Non, il n’est pas l’homme hors du commun imaginé par Joseph Schumpeter (qui finira socialiste), tout le monde peut devenir entrepreneur dès lors qu’il a compris ce que d’autres n’avaient pas encore perçu : il a une antériorité de perception, parce qu’il sait traduire les signaux du marché : « alertness », il trouve évident ce que d’autres n’ont pas encore perçu. Cela peut être le cas de l’ouvrier dans un atelier qui s’aperçoit qu’il est plus facile de travailler avec un outil qu’avec un autre, d’un côté ou de l’autre ; c’est le cas de celui qui sait qu’au bout du marché le cageot de raisin se vend 25 euros au lieu de 40 ailleurs.
La vie économique organisée par le marché concurrentiel, avec libre entrée et libre sortie, est d’une telle richesse qu’elle secrète des innovations, des changements en permanence : c’est un « processus de découverte » dit Kirzner.
Bien évidemment, nous ne vivons pas dans une économie de marché, parce que les États et la politique s’en sont occupés. De la sorte, le profit n’entre plus en scène, et les marges sont fixées avant même que le prix ait été connu.
Voilà donc l’absurdité de la question aux yeux de la science économique : comment connaître une marge, un bénéfice, alors même que le prix n’est pas encore connu, ou n’est pas pris en compte ? Le prix mesure la valeur, la valeur dépend de l’apport des facteurs de production et de ce que l’entrepreneur en aura fait pour les adapter aux goûts et aux moyens de la clientèle.
C’est bien ce que je disais : il faut ignorer la science économique pour fixer ex ante un taux de marge.
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[1] On pourra se reporter au livre de Pierre Garello La concurrence, Processus de Découverte Economics, éd. 2014
Il y a 100 ans comme il y a 1000 ans la pomme de terre avait le même goût que celle d'aujourd'hui. Seul son prix a changé. De nos jours les salades (laitue, batavia, frisée) sont achetées 10 centimes par tête au paysan et 7 centimes par œuf ! A quels prix se retrouvent ces mêmes produits sur les étals de 'super'-marchés ?
De plus (parce que ce n'est pas fini !), il y a l'explosion du prix des engrais et la rareté pour pas dire l'absence de produits phytosanitaires pour lutter contre les maladies et les insectes ravageurs ! Çà y est ? vous voyez ? Toujours pas ? Bon, je prends l'exemple de pharmacies, imaginez que votre pharmacie ait des étagères vides ! ou presque, çà y est ? vous y êtes ? c'est ce qui arrive au monde paysan lorsqu'il veut des remèdes pour sauver les cultures qui vous donneront à manger tous les jours.
Mettre le prix du baril de pétrole sur la table pour revendiquer la hausse du transport et la cherté des produits est une offense ! Un crachat à la gueule de la clientèle ! Un coup porté au consommateur !
Promotions : les bons plans disparaissent des supermarchés
L’inflation qui frappe depuis quelques années le portefeuille des Français a conduit les ménages à changer leur manière de faire les courses. Il faut dire que l’alimentation a connu une hausse record, et que le caddie coûte de plus en plus cher. Seule solution pour réduire la facture : faire la chasse aux promotions. Mais cette chasse devient de plus en plus compliquée : les supermarchés et les industriels commencent à faire disparaître les bons plans pour manger moins cher.
Par Paolo Garoscio le 4 décembre 2023 à 6h33
Les promotions sont jugées bonnes dès qu'elles dépassent 30%
Vous ne trouvez plus de promotions en supermarché ?
Si depuis quelques temps, en particulier depuis début 2023, il vous paraît plus compliqué de trouver des promotions dans les rayons des supermarchés, ne vous inquiétez pas : vous ne devez pas aller chez l’ophtalmo pour faire vérifier votre vue. En fait, les promotions sont en train de disparaître des rayons.
Selon une étude de Circana, la part des promotions dans les chariots des consommateurs a diminué, passant de 15,6% en 2022 à 15,1% en 2023. La raison ? La forte baisse des références en promotion. Selon Circana, elle a chuté de 4,6%, et selon Nielsen IQ de 14% entre janvier et novembre 2023. Un coup dur pour les ménages : l’inflation alimentaire a atteint 21,1% sur deux ans… et la disparation des promotions exacerbe cette tendance.
Moins de promotions et de moins en moins intéressantes
La diminution des promotions n'est pas identique selon les marques. Les grandes marques voient une baisse de 6,5% de leurs produits remisés, selon Circana, tandis que les marques distributeurs bénéficient d'une augmentation du nombre de promotions de 4% sur un an. Mais, malgré cette hausse, les promotions sont de moins en moins intéressantes pour les consommateurs.
« Le rabais moyen est passé de 28,5% en 2022 à 27% cette année. On rappelle que pour les consommateurs, une promo intéressante c'est -31% en moyenne », explique, sur BFMTV ? Emily Mayer, directrice Business Insights chez Circana. Moins de rabais en nombre et en montant, et voilà que les Français ont de plus en plus de mal à payer leurs courses.
Quels distributeurs ont fait disparaître les promotions dans leurs rayons ?
Forcément, alors que les promotions sont recherchées parles consommateurs (par près de 1 consommateur sur 2), les rabais deviennent une véritable stratégie commerciale à part entière. Selon NielsenIQ, cité par BFMTV, Carrefour Market est l’enseigne qui a le plus fait disparaître les promotions, leur nombre étant en baisse de 16,5%.
Mais toutes les enseignes sont concernées : -15,1% pour E.Leclerc, malgré les propos pro-pouvoir d’achat de son dirigeant, Michel Edouard Leclerc, -10,6% pour Casino Hyper Frais, -10,7% pour Carrefour… Les promotions ont clairement déserté les rayons des supermarchés français.
Concernant les produits en promotion, ce sont les produits d’hygiène qui en voient de moins en moins, en baisse de 10% sur un an selon Circana, et les eaux, dont le nombre de promotion a chuté de 17% (alors qu’il est tout à fait possible de boire de l’eau du robinet). Inversement, les boissons et les bières, que les consommateurs évitent de plus en plus de mettre dans leur caddie pour des raisons financières mais aussi de santé, proposent de plus en plus de rabais. Les promotions sont en augmentation de 10% pour les premières et de 8% pour les deuxièmes, selon Circana.
Pénurie de médicaments : une crise qui s’inscrit dans la durée
Docteur Gérard Guillaume pour France-Soir le 30 novembre 2023 - 16:45
A quand la vente de médicaments à l’unité généralisée ?
TRIBUNE - Alors que l’hiver approche, "on est à près de 4 000 médicaments [en rupture ou risque de rupture] aujourd’hui", selon le président de l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO) Pierre-Olivier Variot, dans une annonce faite sur les antennes de France Info le 26 octobre dernier.
Aucune amélioration ne se dessine par rapport l’année dernière. Bien au contraire, la situation s’est aggravée avec la crise Covid. Si certaines ruptures sont transitoires et ponctuelles, d’autres s’inscrivent dans la durée et là, cela devient franchement inquiétant.
En 2022, le nombre de signalements de ruptures avérées et de risques de ruptures avait atteint un record : 3 761 déclarations, "réparties entre 1 602 pour les ruptures de stocks et 2 159 pour les risques de rupture".
En 2023, plus de 30 % des Français ont été confrontés à une pénurie de médicaments. Mais l’ANSM n’est toujours pas en mesure de fournir les chiffres.
Nous ne reviendrons pas sur les causes, multiples, que nous évoquions dans notre article en mars 2023. Elles n’ont pas changé. Aucune n’a trouvé de solution
Comme dans d’autres domaines, les pouvoirs publics montrent leur impuissance à régler un problème. C’est ce que signalait le rapport du Sénat le 6 juillet 2023, présenté par Sonia de la Prévôté, présidente de la commission, et Laurence Cohen, son rapporteur : "Il n'y a pas de pilote dans l'avion", s'est-elle, dénonçant la mise en place de politique de régulation des médicaments sans gouvernail. "Le gouvernement déverse 710 millions d'euros d'aides publiques à l'industrie, sans l'obliger à des relocalisations. Ainsi, Sanofi a encore supprimé 135 postes."
De la première à la cinquième place européenne
La France qui occupait en matière de production pharmaceutique la première place européenne jusqu'en 2008 est passée à la cinquième place actuellement, derrière la Suisse, l'Italie, l'Allemagne, et le Royaume-Uni.
Pour remédier à cette situation catastrophique, la commission d'enquête a formulé 36 propositions. On en attend les effets.
Afin de faire face à la pénurie d’antibiotiques, la HAS (Haute Autorité de santé) demande que les patients fassent en pharmacie ou près de leur médecin un test rapide d'orientation diagnostique (TROD) qui permet de déterminer si leur maladie est d’origine bactérienne et non virale, d’éviter ainsi une prescription inutile qui favorise l’antibiorésistance
Concrètement, avant de se voir délivrer des antibiotiques en pharmacie, les patients devraient d'abord vérifier, grâce à un test, que leur maladie est bien d'origine bactérienne et non virale. Les médecins seraient ainsi amenés à prescrire des antibiotiques en les conditionnant à la réalisation d'un test. Entre des médecins réticents à rédiger des ordonnances conditionnelles et une rémunération faible, la réalisation de TROD angine reste encore marginale en officine. Seulement 1,2 million ont été commandés par les généralistes pour 9 millions d'angines traitées. Et un grand nombre d'officines ne proposaient pas de TROD au printemps 2023.
Une proposition simple : la vente de médicaments à l’unité généralisée
Finis les gaspillages, les boîtes de médicaments qui se périment au fond d’un placard.
C’est une pratique courante dans de nombreux pays anglo-saxons, Etats-Unis, Canada, Australie ou Nouvelle-Zélande.
Bien sûr, cela demanderait une capacité d’adaptation de la part de l’industrie pharmaceutique : déconditionnement des médicaments, livraison en vrac aux officines où les médicaments seraient conditionnés dans de petits flacons par le pharmacien, étiquetés avec toutes les informations nécessaires aux patients.
Les syndicats de pharmaciens y sont toujours opposés. Même réticences du côté des fabricants de médicaments, qui ont investi dans le conditionnement des médicaments pour se conformer aux obligations administratives. Pourquoi ce qui est applicable de l’autre côté des océans ne l’est pas en France ? Quoi de plus absurde que de se voir remettre une boîte de 20 comprimés quand la prescription du médecin se limite à 7 comprimés ou pire se voir délivrer deux boîtes de 20 quand vous n’avez besoin que de 22 comprimés par exemple. En attendant des mesures de bon sens, les malades sont soumis à cette pénurie catastrophique. Qui aurait imaginé, il y a quelques années, que notre pays, au passé prestigieux, dégringolerait au niveau d’un pays du tiers-monde. Un grand ménage s’impose...
Gérard Guillaume est rhumatologue. Il fut très proche du professeur Luc Montagnier.
Nouveau rapport : Les jeunes meurent du cancer à un rythme “explosif”, selon les données du gouvernement britannique
RépondreSupprimerUne analyse des données du gouvernement britannique révèle une augmentation sans précédent du nombre de décès par cancer chez les 15-44 ans à la suite de l'introduction des vaccins Covid-19, selon un nouveau rapport de l'analyste de données Edward Dowd. Le rapport a suscité de nouveaux appels à une enquête plus approfondie.
Par Mike Capuzzo
Mondialisation.ca,
02 décembre 2023
Selon une nouvelle analyse d’Edward Dowd, les adolescents et les jeunes de 20, 30 et 40 ans du Royaume-Uni meurent de cancers à métastases rapides et en phase terminale à un rythme sans précédent depuis le début de la vaccination de masse par le Covid-19.
Le rapport de 45 pages de M. Dowd, ancien gestionnaire de fonds spéculatifs à Wall Street et auteur de “‘Cause Unknown‘:The Epidemic of Sudden Deaths in 2021 and 2022″, a alarmé certains oncologues qui l’ont qualifié de revirement brutal par rapport à des décennies de données sur la mortalité.
M. Dowd a basé son analyse sur des statistiques gouvernementales facilement accessibles de l’Office des statistiques nationales du Royaume-Uni.
Dans une interview avec The Defender,le professeur Dowd a déclaré que lui et ses partenaires de recherche, qui comprennent une poignée de scientifiques de haut niveau, d’analystes de données et d’experts financiers, ont examiné toutes les données de la 10e révision de la classification internationale des maladies (CIM), Codes (CIM-10) pour la cause du décès au Royaume-Uni au cours de la période d’étude 2010-2022 afin d’étudier les tendances des néoplasmes malins (codes C00 à C99).
Les codes CIM-10 sont la classification internationale des diagnostics, des symptômes et des procédures établie par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour le traitement des demandes de remboursement. Un néoplasme malin est une tumeur cancéreuse.
M. Dowd explique que son équipe de recherche a remarqué une tendance frappante : Alors que la quasi-totalité des décès survenus chez les personnes âgées en 2021 et 2022 au Pays de Galles et en Angleterre avaient été codés, 8 % des décès survenus chez les 15-44 ans en 2021 et 30 % des décès survenus dans cette tranche d’âge en 2022 n’avaient pas encore été codés.
“Lorsque l’on meurt à l’hôpital, on laisse une trace de vie et de mort avec des indications sur ce qui a conduit au décès”, a-t-il déclaré. “Lorsqu’un jeune meurt au volant d’une voiture, en marchant dans la rue ou dans son sommeil, il y a une enquête qui prend du temps pour déterminer la cause du décès.
M. Dowd a déclaré que les codes manquants sont “révélateurs du problème” de la surmortalité chez les jeunes.
RépondreSupprimerCependant, même en tenant compte des codes manquants, les 92 % de décès codés en 2021 et les 70 % de décès codés en 2022 ont révélé “un signal fort de décès par cancer chez les jeunes”. Nous montrons une forte augmentation de la mortalité due aux néoplasmes malins qui a commencé en 2021 et s’est considérablement accélérée en 2022.
“L’augmentation de la surmortalité en 2022 est statistiquement très significative (événement extrême)”, écrit M. Dowd dans son rapport. “Les résultats indiquent qu’à partir de la fin de l’année 2021, un nouveau phénomène conduisant à une augmentation des décès dus aux néoplasmes malins semble être présent chez les personnes âgées de 15 à 44 ans au Royaume-Uni”.
Les résultats de l’étude concernant le taux de décès par cancer supérieur à la norme historique en 2022 pour les personnes âgées de 15 à 44 ans au Royaume-Uni sont les suivants :
Une augmentation de 28 % des taux de cancer du sein mortel chez les femmes.
Une augmentation de 80 % des décès dus au cancer du pancréas chez les femmes et de 60 % chez les hommes.
Une augmentation de 55 % des décès dus au cancer du côlon chez les hommes et de 41 % chez les femmes.
Une augmentation de 120 % des mélanomes mortels chez les hommes et de 35 % chez les femmes.
Une augmentation de 35 % des décès dus au cancer du cerveau chez les hommes et de 12 % chez les femmes.
Une augmentation de 60 % des taux de mortalité par cancer chez les hommes pour les cancers “sans spécification de site” et une augmentation de 55 % chez les femmes.
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Crédit : Edward Dowd
Des preuves cliniques de plus en plus nombreuses ont conduit à une étude
Ce rapport a été élaboré par Carlos Alegria, l’un des partenaires de M. Dowd, dans le cadre de son étude Humanity Projects sur la surmortalité au Royaume-Uni et aux États-Unis, à partir de données du gouvernement et du secteur de l’assurance.
Il a expliqué qu’il a lancé son projet pro bono basé sur des données pour aider à orienter les politiques publiques lorsqu’il a vu comment les politiques de lutte contre la pandémie Covid-19détruisaient la confiance de la société dans les experts institutionnels.
Constatant la mainmise de Big Pharma et d’autres intérêts mondiaux sur les agences de régulation des gouvernements nationaux et des États, ainsi que sur les entreprises des médias, il s’est rendu compte que “nous avons besoin d’agents indépendants pour jouer le rôle de gardiens de l’intérêt public”.
“Nous avons l’intention d’être de tels agents et de fournir une recherche de haute qualité à d’autres personnes et institutions qui recherchent la même chose”, a-t-il écrit.
RépondreSupprimerCe nouveau rapport est le troisième qu’il publie dans le cadre du projet britannique sur les causes de décès. Les précédents rapports étaient intitulés “UK – Death and Disability Trends for Cardiovascular Diseases, Ages 15-44” et “UK – Death Trends for the Cardiovascular System, Ages 15-44, Analysis of Individual Causes”.
Les preuves cliniques de plus en plus nombreuses établissant un lien entre l’apparition de cancers chez les jeunes et les vaccins Covid-19 ont incité M. Dowd à réaliser sa dernière étude.
“Nous concentrons nos recherches sur les jeunes individus, âgés de 15 à 44 ans, car il s’agit actuellement d’un sujet d’intérêt particulier en raison de l’augmentation des preuves anecdotiques de nombreux cancers agressifs et inhabituels inexpliqués (tels que les cancers dits ‘turbo’) survenant dans la population, en particulier chez les jeunes individus”, écrit-il dans l’étude..
“L’objectif de cette étude n’est pas d’examiner les affirmations individuelles et les anecdotes, mais plutôt de fournir une analyse statistique au niveau de la population et de clarifier si les preuves anecdotiques sont anormales ou non.
M. Dowd a déclaré qu’il espérait que “les relations que nous découvrons dans notre analyse” constitueraient “une base pour une vérification de la réalité pour les professionnels de la santé afin de comprendre les tendances sous-jacentes de la santé des individus”.
La méthode de M. Dowd a consisté à analyser le nombre de décès attribués au cancer en Angleterre et au Pays de Galles entre 2010 et 2022 dans les données de l’Office des statistiques nationales du Royaume-Uni.
Il a comparé les taux de surmortalité, c’est-à-dire la différence entre les décès observés et la base de référence des décès attendus, avant et après la pandémie de Covid-19.
Il a établi une base de référence des taux normaux de mortalité par cancer entre 2010 et 2020 qui était remarquablement cohérente avec peu d’écarts, a-t-il déclaré, jusqu’à ce que les taux de mortalité par cancer augmentent de manière significative à la fin de 2021 au Royaume-Uni à la suite la distribution du vaccin.
Les principales conclusions du rapport sont les suivantes :
Le cancer du sein touche principalement les femmes. La cause la plus fréquente de cancer mortel chez les femmes âgées de 15 à 44 ans est le cancer du sein, qui représente environ 25 % de la surmortalité totale due aux tumeurs malignes chez les femmes en 2022. Les cancers les plus dangereux pour les femmes, sur la base des taux de mortalité excédentaires, sont le cancer du côlon et le cancer du col de l’utérus.
Si les décès par cancer ont augmenté de façon spectaculaire chez les jeunes hommes et les jeunes femmes en 2022, les jeunes hommes ont connu une augmentation disproportionnée des décès par cancer, mais sans que le cancer dominant soit comparable au cancer du sein chez les femmes. Le cancer du cerveau, le cancer du côlon et le cancer de l’estomac représentent 30,9 % de l’augmentation des cancers mortels chez les hommes en 2022.
RépondreSupprimerLes cancers “sans spécification de site”, indiquant des métastases rapides vers d’autres organes et communément appelés “turbo-cancers”, ont “explosé” en 2022, a déclaré M. Dowd. “Ces cancers ont connu une très forte augmentation chez les femmes (en 2021 et 2022) et chez les hommes (en 2022) et étaient probablement déjà métastasés lorsqu’ils ont été identifiés. Comme il s’agit de personnes plus jeunes qui n’ont pas besoin d’un dépistage précoce, il est probable que ces cancers aient connu une croissance rapide”.
Les hommes ont connu une augmentation considérable des taux de mortalité par cancer de la peau, de 118 % en 2022. “Même si ces cancers ne représentent pas une grande proportion de l’ensemble des cancers”, a déclaré M. Dowd.
Les cancers du tube digestif “ont connu des changements explosifs en 2021 et 2022 par rapport à la tendance 2010-2019”, a écrit M. Dowd. “Les cancers du côlon (codé internationalement C18), de l’estomac (C16) et de l’œsophage (C15) sont particulièrement remarquables. “Ces cancers liés à l’appareil digestif semblent avoir considérablement augmenté en importance, et nous remarquons également qu’ils semblent toucher les hommes de manière disproportionnée”.
Le cancer du pancréas “a connu une très forte augmentation à la fois chez les femmes (en 2022) et chez les hommes (en 2021 et 2022). Les raisons pour lesquelles ces cancers ont augmenté de manière aussi spectaculaire et pourquoi ils ont augmenté d’abord chez les hommes puis chez les femmes sont l’une des questions qui, selon nous, méritent d’être étudiées”.
M. Dowd a souligné que ses recherches constituaient “une première tentative de mettre en évidence certains modèles observés dans les tendances” du cancer après 2020.
“Nous espérons que les médecins et les chercheurs spécialisés mèneront d’autres investigations sur la base de ces informations (et d’autres) fournies par notre analyse de données”, a-t-il écrit.
Le lien entre les injections de Covid et l’augmentation du nombre de cancers mérite d’être étudié
Le Dr Chris Flowers, médecin universitaire, radiologue et spécialiste du cancer du sein en Angleterre, qui a pris sa retraite pour devenir le responsable scientifique bénévole du projet d’analyse des documents Pfizer de War Room/DailyClout, a déclaré au Defender que les données britanniques étaient “très, très, très préoccupantes”.
Selon M. Flowers, les recherches de M. Dowd confirment des données similaires sur la forte augmentation du nombre de décès dus au cancer signalée par des chercheurs, des cliniciens et des spécialistes du cancer aux États-Unis, au Royaume-Uni et dans l’ensemble du monde industrialisé occidental depuis le lancement mondial du vaccin expérimental à ARNm de Pfizer et de Moderna. On estime que plus de 5,55 milliards de personnes, soit environ 72,3 % de la population mondiale, ont été vaccinées.
M. Flowers a déclaré que lui et ses collègues, y compris des pathologistes, des radiologues, des oncologues, des internistes, des médecins de soins intensifs et des chercheurs aux États-Unis et au Royaume-Uni, n’avaient jamais rien vu de tel que la gravité des cancers du sein mortels et d’autres cancers chez les jeunes qui ont explosé en 2022.
RépondreSupprimerLe rapport de M. Dowd confirme ce que M. Flowers et ses collègues ont remarqué depuis plus d’un an : “Nous constatons un taux de cancer deux ou trois fois supérieur à la normale.”
“Nous voyons des personnes plus jeunes, des femmes de 20 à 30 ans, généralement après qu’elles ont commencé à avoir leurs règles et qu’une forme de stimulateur de croissance est en cours, présenter des tumeurs avancées qui sont difficiles à traiter, mais qui peuvent aussi avoir plus d’une tumeur”, a déclaré M. Flowers. “Ce qui était rare est aujourd’hui relativement courant.
Le plus inquiétant, selon M. Flowers, est peut-être l’augmentation du nombre de jeunes atteints de ce que certains oncologues appellent désormais des “turbo-cancers”, un nouveau terme.
“Le turbo-cancer est un nom populaire qui a été inventé pour décrire plusieurs choses”, a déclaré M. Flowers. “Il s’agit de cancers chez les jeunes, un jour vous allez très bien, le lendemain on vous annonce que vous avez un cancer en phase terminale et que vous mourrez dans une semaine. Il y a de nombreux rapports à ce sujet, même dans les médias grand public”.
“Non seulement les tumeurs se développent plus rapidement, mais il y a de plus en plus de types de cancer chez une même personne. Avant, c’était très rare. Je ne voyais qu’occasionnellement un cancer inflammatoire très, très agressif chez les jeunes. Aujourd’hui, tout le monde a des histoires.
Le Dr Pierre Kory, pneumologue et médecin en soins intensifs, président et directeur médical de la Frontline Covid-19 Critical Care Alliance (FLCCC), qui traite dans son cabinet des centaines de patients victimes de vaccins, a déclaré qu’il était “inondé de rapports et de demandes d’aide” concernant l’augmentation du nombre de cancers de la part de ses collègues et de ses patients.
David Wiseman, Ph.D.,pharmacien titulaire d’un doctorat en pathologie expérimentale et pionnier, à l’origine pour Johnson & Johnson, de produits destinés à prévenir les lésions internes postopératoires,s’est dit à la fois étonné et scandalisé que les gouvernements et les médias grand public ne donnent pas suite aux recherches qu’il a menées avec Kevin McKernan,un ancien directeur de la recherche et du développement au MIT Genome Project (projet de recherche sur le génome humain du MIT), montré que les tinjections d’ARNm ont été contaminées par des fragments d’ADN..
RépondreSupprimerSelon Wiseman, ces fragments s’ajoutent aux dommages potentiels que les vaccins pourraient causer au génome humain et ouvrent de nouvelles portes à une variété infinie de problèmes, y compris le cancer.
M. Wiseman a déclaré au Defender que les données des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) font état de problèmes de cancer liés aux vaccins Covid-19.
“Nous constatons une augmentation du nombre de cancers dans le VAERS, le site officiel de la Food and Drug Administration (FDA) et des CDC pour le signalement des lésions dues aux vaccins, a déclaré M. Wiseman. “Le CDC a effectué une analyse PRR, une analyse de signal, qui a révélé un signal de cancer dans les vaccins, ce qui n’est pas une preuve, mais signifie que cela vaut la peine de s’y intéresser.
https://www.mondialisation.ca/nouveau-rapport-les-jeunes-meurent-du-cancer-a-un-rythme-explosif-selon-les-donnees-du-gouvernement-britannique/5683846?doing_wp_cron=1701500287.1549849510192871093750
La 'jeunesse' d'un corps n'a rien à voir avec le poison injecté.
SupprimerLa personne meurt en 1 semaine, un mois ou un an.
Pfizer classe son propre produit modRNA C19 comme « très dangereux ».
RépondreSupprimer2 décembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Les produits modRNA sont déplacés dans le corps à l’aide de nanoparticules lipidiques et transfectés dans les cellules. Les deux lipides utilisés par Pfizer, ALC-0159 et ALC-0315, n’ont eu d’autorisation qu’en 2020 sauf à des « fins de recherche ». Dans les fiches de données de sécurité de Pfizer, on leur attribue un potentiel toxique moyen ; dans la seringue, ils provoquent un « potentiel toxique élevé ». Il est incroyable que les autorités autorisent l’injection d’une telle substance dans le haut des bras.
TKP a publié une analyse détaillée le 9 décembre 2021 . Il cite l'entreprise qui produit ces lipides. Elle écrit sur son site internet : « ALC-0159 est l'un des composants du vaccin BNT162b2 contre le SARS-CoV-2, avec l'ALC-0315, le DSPC et le cholestérol. Ce produit est destiné uniquement à la recherche et non à un usage humain. "
Et plus loin : ALC-0159 et ALC-0315 sont discutés dans le rapport d'évaluation de l'EMA pour la première autorisation de mise sur le marché conditionnelle à partir de la page 22.
Ça dit:
"Tous les excipients à l'exception des lipides fonctionnels ALC-0315 et ALC-0159 et du lipide structurel DSPC sont conformes à la Ph. Eur. Les lipides fonctionnels ALC-0315 et ALC-0159 sont classés comme nouveaux excipients. Les deux lipides structurels DSPC et cholestérol sont utilisés dans plusieurs produits finis déjà approuvés.
Et plus loin
« Le médicament fini contient deux nouveaux excipients, le lipide cationique ALC-0315 et le lipide PEGylé ALC-0159. Seules des informations limitées sont fournies sur les nouveaux excipients.
Aujourd'hui, l'avocat Tobias Ulbrich écrit dans un message sur X/Twitter :
Sujet du jour : « OEB5 = potentiel toxique élevé – quelqu'un peut-il expliquer s'il vous plaît ? Pfizer – pour « Process2″ ? »
Aujourd'hui, j'ai dû me frotter les yeux plusieurs fois parce que je n'arrivais pas à croire ce que je lisais. Ainsi les nanoparticules lipidiques (LNP), que BioNTech utilise également, les ALC0159 et ALC0315 reçoivent l'OEB 3, c'est-à-dire dangereux, traduit par « dangereux ». Désormais, le modRNA - c'est-à-dire l'ARN modifié - dans lequel Process2 était autrefois obtenu à l'aide de bactéries et de plasmides E-Coli, entre dans un tel LNP. L'ensemble du colis « Comirnaty », auquel a été attribué le code PF-07302048, est ensuite classé après le « mariage » avec le modRNA dans la classe de danger OEB5, c'est-à-dire très hautement dangereux, ou https://containment-technology.com/oeb - niveaux/ comme il est dit ici « potentiel toxique élevé ». Alors, comment savez-vous que PF-07302048 est en réalité Comirnaty ? Pour ce faire, il faut consulter la fiche de données de sécurité de « Comirnaty » en date du 7 décembre 2021. Les codes de sécurité et l'affectation à Comirnaty y sont stockés. Maintenant, on peut bien sûr dire que la classification affecte la manipulation. Mais cela fonctionne à partir de 1 microgramme seulement. Nous nous souvenons que la dose pour adultes est de 30 microgrammes et certains de nos clients en ont 5 ou plus. La classification publique comme totalement inoffensive et « sans effets secondaires » ne peut pas être conciliée avec la notation du fabricant lui-même et la classification OEB5. Le fait que ALC0159 et ALC0315 isolés sans modRNA soient « seulement » classés comme « dangereux », mais que l’ensemble du produit soit soudainement classé comme « très hautement dangereux » nécessite une explication qui ne peut pas se fonder uniquement sur la sécurité au travail. Si une personne vaccinée avait connu au préalable la classification OEB5, personne n’aurait fait l’injection avec.
- voir doc et graph sur site -
D'autres documents tels que la fiche technique complète peuvent être trouvés ici .
Le Conseil d'experts a également procédé à une évaluation détaillée des problèmes de sécurité entourant le produit à ARNm de Pfizer sur son site Internet . Vous y trouverez ce passage sur la fiche de données de sécurité :
RépondreSupprimerCertains passages de la fiche de données de sécurité de Pfizer pour Comirnaty incitent à s'asseoir et à en prendre note. Pourquoi quelqu'un qui inhale accidentellement le produit doit-il citer :
"... être sorti à l'air frais et consulter immédiatement un médecin."
Pourquoi la fiche de sécurité dit-elle, je cite :
"Pour toutes les activités où ce matériau est utilisé, des mesures visant à prévenir les rejets et à se protéger contre l'exposition doivent être établies."
Il est injecté, une exposition plus élevée est-elle envisageable qu'avec une injection ?
Qu'implique la phrase, je cite :
"Si les conditions d'utilisation et de manipulation entraînent un rejet dans l'air, un équipement de protection respiratoire approprié avec un facteur de protection suffisant pour contrôler l'exposition doit être porté."
Ces instructions pour un produit injecté à plusieurs reprises aux personnes sont loin d’être troublantes.
Et plus loin sur ce que Pfizer écrit dans son contrat avec l'UE, à savoir que les injections ne seront pas les mêmes que celles de l'étude clinique et qu'ils ne disposent d'aucune information sur les conséquences à long terme et ne peuvent faire aucune déclaration sur leur efficacité ( autoprotection, protection des autres). Il peut encore y avoir des effets secondaires inconnus.
Les États membres ont signé, ou plutôt l’UE a signé. À ce stade, la FDA avait déjà reçu l’étude post-commercialisation. On ne peut que spéculer sur la raison pour laquelle ce passage existe toujours dans la version la plus récente de 2021.
L' article du TKP du 9 décembre 2021 aborde également les questions ouvertes répertoriées dans les documents Web de l'EMA, qui restaient encore floues un an après le début de la vaccination ou pour lesquelles les réponses requises manquaient.
https://
L'abominable manquement au devoir d'un scientifique influent : exclusion d'une variable significative, l'inoculation massive du Covid et ses impacts dévastateurs
RépondreSupprimerPar le Dr Emanuel Garcia
Recherche mondiale,
1er décembre 2023
Je me suis senti inhabituellement grincheux au cours des derniers mois. Dieu le sait, les raisons ne manquent pas : le voile covidien sans fin qui pèse sur nos têtes depuis près de quatre ans,
la persécution absurdement frivole de mes collègues médecins ici en Nouvelle-Zélande par un conseil médical complètement corrompu dans la poche arrière du FSMB,
le récent changement de gouvernement avec la promesse d'ouvrir une enquête covid qui elle-même promet d'être à peu près aussi réussie que le rapport de la Commission Warren sur l'assassinat de JFK, et les nombreuses histoires de personnes blessées par piqûre qui ont le sentiment de n’avoir nulle part vers qui se tourner. En fait, la semaine dernière, j'ai reçu un message d'une personne m'implorant de l'écouter pendant les vacances, ce que je ferai avec plaisir.
Mais plus particulièrement pour moi et mon niveau de mauvaise humeur cette semaine, c'était d'être tombé sur une vidéo d'un influenceur YouTube, un véritable physicien dont la chaîne promet « La science sans le charabia ». Je l'ai déjà rencontrée par hasard alors que je parcourais des discussions sur l'énergie noire, la matière noire, les trous noirs et autres, sans aucun doute un exercice masochiste pour quelqu'un dont les capacités mathématiques atteignent leur apogée en matière d'addition, de soustraction, de multiplication et de division - bien que en toute honnêteté, j'ai réussi à suivre des cours de calcul et de statistiques dans ma jeunesse, dont le souvenir est quelque chose de mieux réprimé.
La physicienne en question, une certaine Sabine Hossenfelder, a réalisé une vidéo intitulée « Long COVID : Tout ce qu'il faut savoir ».
Je suis resté assis pendant vingt minutes atroces, stupéfait, incrédule. Après tout, voici une scientifique bien réelle et accomplie, qui se décrit ainsi sur sa chaîne :
« Sabine Hossenfelder est titulaire d'un doctorat en physique. Elle est l'auteur des livres « Lost in Math : How Beauty Leads Physics Astray » (Basic Books, 2018) et « Existential Physics : A Scientist's Guide to Life's Biggest Questions » (Viking, 2022).
RépondreSupprimerJe sais sans aucun doute que sa capacité mentale à s'engager dans les complexités supérieures des mathématiques, de la cosmologie, de la physique des particules, etc., est considérable, et en comparaison avec moi, elle est à plusieurs années-lumière en avance ou au-dessus de mes capacités à comprendre même les rudiments de la science. ces champs augustes.
Mais mystérieusement, le sens scientifique du Dr Hossenfelder a pris congé lorsqu'elle s'est aventurée dans le domaine de la médecine. Je me rends compte qu’elle ne possède pas de médecin, mais tout scientifique digne de ce nom n’aurait sûrement jamais pu manquer d’aborder la seule variable hautement significative dans tout ce discours sur le covid long, plus long et sans fin : le Jab.
Eh bien, pour être honnête, elle mentionne la « vaccination » contre le covid dans le contexte de la prévention du covid de longue durée, citant une méta-analyse qui suggère que plusieurs « vaccinations » sont préventives. Et en ce qui concerne le traitement du covid, elle oublie complètement de mentionner quoi que ce soit comme le zinc, les ionophores de zinc tels que l'ivermectine et l'hydroxychloroquine et la quercétine, la vitamine C ou la vitamine D – proposant à la place la suggestion que les personnes infectées par le covid devraient « bien se reposer » et pas « essayer de passer à travers ».
Je me souviens d'une voisine qui a développé une thrombose veineuse profonde au mollet et, deux jours après le diagnostic, une embolie pulmonaire nécessitant une hospitalisation d'urgence.
Elle a heureusement survécu. Lorsque je lui ai demandé ce que ses médecins lui avaient dit à propos de l'évolution de la situation, elle a d'abord répondu qu'ils étaient confus et ne pouvaient offrir aucune explication. Une semaine plus tard, cependant, leur ton a changé et, voilà, ils ont découvert le coupable – oui, vous l'aurez deviné, long covid ! Aucun de ses médecins n’a pensé à considérer le fait qu’elle avait reçu le vaccin thrombogène Pfizer et les rappels. Cette pauvre femme continue d'avoir besoin d'un traitement et je soupçonne qu'elle fera la queue pour recevoir un énième rappel de covid, malgré mes tentatives pour l'avertir de la possibilité que cela serait imprudent et malsain. Voyons.
Pendant ce temps, je réfléchis à la machine de propagande en titane qui a généré un bouclier infaillible de réfutations à toute véritable curiosité scientifique . J’ai prédit au début que les effets indésirables du Covid piqûre seraient attribués au Covid lui-même plutôt qu’au véritable coupable, et c’est ce qui a été le cas, du moins dans les cercles traditionnels. C'est une sorte de belle perfection dans la propagande, n'est-ce pas ? Avec toutes les preuves insurmontables et accablantes des dommages causés par le vaccin, ou des décès en plus grand nombre, la position de repli du propagandiste est le Covid lui-même.
Un autre aspect du matraquage dont nous avons souffert ces dernières années est cette forme particulière de mise en lumière qui a renversé la situation sur tout ce que nous considérions autrefois comme solide comme le roc. Les principes fondamentaux de la médecine ont été, comme par un geste de la main d'un magicien, rejetés – des choses comme l'immunité naturelle, le traitement et la prévention précoces, la thérapie individualisée, le consentement éclairé. Là où autrefois les directives en cas de pandémie évitaient de mettre en quarantaine les personnes en bonne santé, les confinements sont devenus la norme. La distanciation est devenue quelque chose de « social » et le port du masque, longtemps connu pour être plutôt inutile contre les virus respiratoires, est devenu obligatoire. On nous disait quotidiennement et sans cesse de craindre pour notre vie à cause d’un agent infectieux qui n’a jamais été plus mortel qu’une grippe saisonnière. Et, ce qui est le plus inquiétant, on nous a dit que le caractère sacré même de notre corps – laissons l'âme en dehors de cela pour l'instant – pourrait être transgressé et violé par un État qui justifiait sa coercition de rapine par le mensonge pur et simple selon lequel les personnes en bonne santé pourraient être mortelles. autres.
RépondreSupprimerOui, je suppose que j’ai de nombreuses raisons d’être de mauvaise humeur, mais peut-être surtout parce que je suis assez naïf pour penser que des scientifiques très réels et très accomplis comme Sabine Hossenfelder devraient mettre en pratique les principes scientifiques lorsqu’ils s’aventurent dans des domaines dépassant leur expertise particulière. En bref, je pensais qu’un esprit scientifique serait, eh bien, scientifique, et que l’exclusion d’une variable très réelle et omniprésente telle que l’inoculation massive aurait au moins reçu un certain poids.
Alors je me pose la question : ces soi-disant scientifiques – comme le Dr Hossenfelder avec son million d’abonnés – sont-ils vraiment ignorants, ou font-ils partie du programme ?
https://www.globalresearch.ca/influential-scientist-abominable-dereliction-duty/5841722
La prochaine menace pour le fonctionnement du système immunitaire : les préparations d’ARN sar auto-amplifiantes
RépondreSupprimer1 décembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
L’industrie pharmaceutique a ouvert un tout nouveau chapitre avec les préparations d’ARNx génétiquement modifiées utilisées pour les vaccinations. Les essais cliniques ont été menés avec une rapidité sans précédent, même s’il s’agit de produits expérimentaux. Un examen attentif des études d'approbation a montré que les inconvénients étaient supérieurs aux avantages dans tous les cas. Les entreprises n’ont réussi à simuler un résultat positif qu’en utilisant plusieurs astuces.
De soi-disant « experts » choisis par les politiques nous ont dit qu’il fallait se faire vacciner pour lutter contre un nouveau virus respiratoire. Cela contredit les connaissances scientifiques sur le système immunitaire humain. Notre système immunitaire est dynamique et peut éliminer un virus même s’il ne l’a jamais rencontré auparavant ; il peut également développer une immunité croisée pour reconnaître les variantes même si le virus mute.
Cependant, comme les vaccins à base d’ARN ne produisent qu’un seul antigène, notre système immunitaire est privé de la capacité de développer une immunité croisée contre les variantes virales. Cela est particulièrement vrai pour les virus respiratoires, qui présentent un taux de mutation élevé. Nous pouvons déjà constater que cela entraîne une augmentation de la fréquence et de la gravité des maladies infectieuses, en particulier parmi les personnes vaccinées. Les hommes politiques qui souhaitent protéger la population contre de futures infections seraient donc bien avisés de proposer des programmes de santé renforçant le système immunitaire contre les infections saisonnières.
La prochaine génération d’injections à base d’ARN contiendra de l’ARN auto-amplifiant (ARNsa).
Comme cela est expliqué à maintes reprises sur TKP, les « vaccins à ARNm » ne sont pas produits avec de l’ARN messager, mais avec de l’ARN modifié (modRNA). Ces soi-disant vaccins sont en réalité des produits de thérapie génique, car le modRNA détourne le logiciel de nos cellules. Nous n’avons aucun moyen d’influencer le modRNA (ou saRNA) après son injection.
Quelle est la différence entre le saRNA et le modRNA ?
Le terme « auto-amplifiant » est explicite : le saRNA se réplique de manière répétée, ce qui n’est pas naturel puisque l’ARNm naturel est toujours (sans exception) transcrit à partir de l’ADN (c’est ce qu’on appelle le « dogme central de la biologie moléculaire »). Par rapport au modRNA, une petite quantité de saRNA entraîne la production d’une plus grande quantité d’antigène ; une seule injection de saRNA peut suffire à générer suffisamment d’anticorps contre un virus.
Le saRNA et le modRNA représentent tous deux le modèle d’une protéine virale produite par notre machinerie cellulaire (c’est-à-dire les ribosomes) après être entrée dans nos cellules.
Les scientifiques ont créé la séquence modRNA modifiée en remplaçant les uridines naturelles par des pseudouridines N1-méthyl synthétiques pour générer une quantité maximale d'antigènes viraux. Cette modification est à la base des injections COVID-19 de Pfizer-BioNTech et Moderna.
Contrairement au modRNA, le saRNA ne contient pas de méthyle pseudouridines, mais plutôt des uridines. Et pourquoi? Étant donné que le saRNA se réplique et que les méthyl pseudouridines synthétiques ne sont pas disponibles dans nos cellules, le saRNA doit s’appuyer sur les uridines naturelles présentes dans nos cellules. Nos cellules fabriqueront des protéines étrangères en utilisant leur propre machinerie cellulaire et leurs propres ressources naturelles – la principale raison pour laquelle ces cellules finissent par s'épuiser.
RépondreSupprimerContrairement au modRNA, le saRNA contient une séquence supplémentaire pour la réplicase, car le saRNA détruit doit être remplacé (par des RNases) par un nouveau saRNA. Étant donné que l’ARNm naturel ne peut jamais se répliquer, le saRNA est clairement un ARN génétiquement modifié (modRNA). Ou pour le dire autrement, le saRNA n’est qu’un autre type de modRNA.
Pourquoi passer au saRNA ?
Le SaRNA est la solution politique, selon un article d’Epoch Times : la même quantité (voire plus) d’antigène dans une seule seringue ! Le public sera probablement informé que des rappels annuels de vaccination continueront d'être nécessaires en raison des mutations régulières du virus.
De nombreuses études précliniques et cliniques ont déjà été réalisées grâce à la technologie saRNA. Un rapport de 2023 publié dans la revue Pathogens présente les vaccins à ARN sa comme des « vaccins à ARNm améliorés ». Un résumé de cinq années de résultats de l'étude saRNA a été publié dans la revue Vaccines . Une fois les essais cliniques nécessaires terminés, l’utilisation de ces nouveaux vaccins pourra être approuvée. On s’attend à ce que ce processus se produise aussi rapidement qu’avec les vaccins contre la COVID-19. Le processus d’approbation sera plus simple car on pourrait affirmer que la technique (ARNmod dans des nanoparticules lipidiques) est déjà approuvée et que seule la séquence d’ARNmod est différente. Par conséquent, ces nouveaux vaccins à ARNsa pourraient être injectés à tout moment à un public sans méfiance.
Alors que BioNTech menait des expériences avec le saRNA (BNT162c2) mais se concentrait finalement sur le modRNA (BNT162b2), Arcturus Therapeutics a été la première entreprise à annoncer (en 2022) son candidat vaccin à ARNsa contre la COVID-19, ARCT-154 – actuellement le vaccin à ARNsa le plus avancé en essais – a atteint le critère d'évaluation principal d'efficacité dans un essai de phase 3 .
Dans l’étude Arcturus Therapeutics, les participants ont reçu deux doses, chacune contenant 5 microgrammes de saRNA. C’est bien inférieur aux concentrations de modRNA utilisées par Pfizer-BioNTech (30 microgrammes/seringue) et Moderna (100 microgrammes/seringue).
La méthode saRNA ne résout pas les problèmes fondamentaux de vaccination
RépondreSupprimerL’un des problèmes les plus fondamentaux de la vaccination est que sa première version était basée sur la fraude, comme le montre le consultant en risques stratégiques et auteur F. William Engdahl. Dans un article plus long, il écrit , entre autres, sur les liens financiers entre l'industrie de la vaccination depuis 1907 et les oligarques occidentaux dirigés par le clan Rockefeller, qui ont fait développer un « vaccin » contre la polio. Comme il n’est pas nécessaire que les malades puissent vendre des vaccins, l’intérêt financier est élevé.
De nombreux vaccins, comme les préparations ROR pour enfants, n'ont été utilisés que lorsque les maladies avaient pratiquement disparu . De plus, les tests étaient plus qu'insuffisants et les nouvelles préparations sont toujours comparées à ces premiers tests cliniques.
Comme nous l’avons découvert avec le modRNA, la protéine Spike est toxique pour notre corps. Nous savons que le modRNA entraîne la production de plus de protéines de pointe que ce qui serait présent dans une infection naturelle, et nous savons que des injections répétées provoquent une tolérance immunitaire via le sous-type d’anticorps IgG4.
Par rapport au modRNA, une petite quantité de saRNA entraîne une augmentation de la quantité d’antigène produite. Cela entraînera également une augmentation des concentrations d’anticorps IgG4, comme démontré dès la troisième injection. Cela peut expliquer les infections révolutionnaires au COVID-19, la réponse immunitaire réduite à d’autres infections virales et bactériennes et la réactivation des infections virales latentes. Cela peut également entraîner des maladies auto-immunes et une croissance incontrôlée du cancer.
https://
Le responsable informatique de la vaccccc covid en Nouvelle Zélande découvre un taux de mortalité de 21% pour certains lots de produits ARNm surcontaminés
RépondreSupprimerle 1 décembre 2023
par pgibertie
La Nouvelle-Zélande a enregistré en 2023la plus forte augmentation du nombre de décès enregistrés depuis la pandémie de grippe de 1918, selon les nouvelles données de Stats NZ.
Les chiffres des naissances et des décès, pour l’année se terminant en décembre 2022, montrent qu’il y a eu 38 574 décès en 2022, soit 10,4 % (3642) de plus qu’en 2021.
Et si la relation était établie avec la vaccination covid et plus particulièrement certains lots de ces produits super contaminés, à savoir 10 lots sur les 119 utilisés dans le pays
« Depuis Invercargill, une petite ville de l’île du Sud de la Nouvelle-Zélande. Un site de vaccination a signalé 253 décès sur seulement 837 vaccinations contre le covid sur ce site,
- voir doc sur site -
https://denisrancourt.ca/entries.php?id=133&name=2023_09_17_covid_19_vaccine_associated_mortality_in_the_southern_hemisphere
Liz Gunn, présidente du New Zealand Loyal Party, propose que les 120 politiciens exemptés de vaccination antiCovid soient injectés de 3 doses chacun, pour qu’ils soient protégés.
- voir graph sur site -
De la vraie dynamite de la part d’un lanceur d’alerte en Nouvelle-Zélande ! Attention il ne s’agit pas d’une étude scientifique mais de données statistiques qui justifient une enquête criminelle
Le seul responsable informatique de la vaccination covid dévoile des données horrible
J’ai participé à la construction d’un projet et aidé à la mise en œuvre d’un système de paiement des vaccins pour nos prestataires. C’est ce qu’on appelle un système de paiement par dose. Cela signifie donc que chaque fois qu’une personne se fait vacciner, elle reçoit une rémunération en tant que prestataire. Et j’ai aidé à le construire, je l’ai mis en œuvre. Et quand j’ai regardé les données, qui font partie de mon travail, j’ai remarqué des écarts avec les dates de décès, des gens mourant dans la semaine après avoir été vaccinés. « les chances que cela se produise naturellement par hasard sont presque impossibles. »
Eh bien, dès que le système a été mis en service , nous avons remarqué que les gens mouraient presque immédiatement après avoir reçu l’injection. Cela a donc un peu piqué ma curiosité, et j’ai donc creusé un peu plus. Et je suis un scientifique par nature. J’adore les sciences. C’est ma préférée de tous les temps. J’ai une maîtrise en sciences. » « Parce que c’est un système de paiement et que j’en suis l’administrateur de base de données . Je suis le seul. Parce que la Nouvelle-Zélande est un petit pays, vous pouvez vous en sortir avec un seul administrateur de base de données pour ce faire. Je suis donc dans un pays unique. position dans le monde. Et comme la Nouvelle-Zélande est un pays de premier plan avec de très bonnes compétences informatiques, j’ai pu gérer et construire le système et être le seul administrateur de base de données nécessaire pour en prendre soin. Dans d’autres pays comme l’Amérique ou la Grande-Bretagne, vous Il faudrait toute une équipe de personnes. Il serait donc très difficile pour une seule personne d’avoir accès à toutes ces informations. Mais en Nouvelle-Zélande, en raison de sa taille et de son très bon système informatique, je suis le seul « . ————————————————– —–
Dans une interview d’une heure, l’homme seul responsable du système de paiement en Nouvelle-Zélande pour le vaccin COVID-19 révèle qu’il a observé deux premiers schémas :
1) de nombreuses personnes sont décédées dans la semaine suivant l’injection et
2) certains lots (beaucoup du vaccin) étaient nettement plus mortels que d’autres. Comme l’homme est le seul opérateur de l’ensemble du système, en plus d’être un passionné de sciences et titulaire d’une maîtrise en sciences, ses conclusions ne peuvent être rejetées à la légère.
Les données des États-Unis Medicare et du ministère de la Santé de la Nouvelle-Zélande montrent, sans aucun doute, que les vaccins covidés ont tué des millions
RépondreSupprimerC'est enfin ici: des données au niveau des enregistrements montrant la synchronisation vaccinale et la date de décès. Il n'y a plus de confusion: les vaccins sont dangereux et ont tué, en moyenne, environ 1 personne pour 1 000 doses.
Steve Kirsch
1 décembre 2023
Résumé exécutif
Aujourd'hui, vous pourrez voir les données que personne ne veut que vous voyiez. ENFIN.
Aucun État ou pays n'a jamais publié de données de santé publique de niveau record sur aucun vaccin.
La confidentialité n'est pas la raison de cela; Les données peuvent être facilement obscurcies (ce que nous avons fait sur ces données) afin qu'aucune entrée d'enregistrement ne corresponde à celle de toute personne, vivant ou morte.
La raison pour laquelle les données sont gardées secrets est simple: elle exposerait le fait que les vaccins coiffés ne sont pas sûrs, ainsi que tous les vaccins sur lesquels j'ai pu obtenir des données de niveau record.
Aujourd'hui, grâce à un dénonciateur courageux qui travaille au ministère de la Santé néo-zélandais, nous avons des informations record d'une grande population de tous âges et le rendez public pour la première fois de l'histoire.
Voici la vidéo Rumble annonçant la fuite:
- voir sur site -
Il y avait aussi un lien YouTube, mais YouTube l'a censuré dans les minutes suivant la publication, tout comme nous le savions.
Tout comme vous le soupçonniez, les vaccins covidés ont tué des millions de personnes dans le monde, soit une mort estimée à 1 000 doses en moyenne dans une population standard.
Et maintenant, nous avons les données pour le prouver.
La présentation du diaporama du MIT
Vous pouvez lire mon "Est-ce sûr ?" La présentation du MIT glisse ici. Je recommande fortement de lire les diapositives et / ou de regarder le livestream. J'ai essayé de rendre les diapositives autonomes, mais le Livestream peut être utile pour expliquer certaines des diapositives.
Je vide également périodiquement une version PDF de la présentation à mon serveur Web Skirsch.com. La version PDF est consultable et vous pouvez copier / coller du texte à partir de celui-ci (comme les clés d'accès pour le serveur Wasabi afin que vous puissiez télécharger tous les goodies).
Les liens en direct du MIT Talk
Voici le Twitter Livestream.
Voici le Rumble Livestream.
Télécharger les données et les outils
La présentation du MIT répertoriée ci-dessus a tout ce dont vous avez besoin, y compris les informations d'identification pour télécharger toutes les données (recherchez «Wasabi» dans la version PDF du jeu de diapositives).
RépondreSupprimerVoici les informations d'identification Wasabi parlées dans la présentation:
Clés API publiques:
Access-Key = BDBT2BD1KKIXKPWY3030
Secret-Key = 5gqvqz9udsmryjlunw24trpzwpupe0Ttleudpsf3
Vous ne pouvez accéder au seau de transparence des données que pour l'instant. Croyez-moi, il y a plus que je ne divulgue pas encore (y compris une nouvelle source américaine autre que Medicare).
Ce seau a des données de la Nouvelle-Zélande, des États-Unis et des Maldives.
Les téléchargements Wasabi Explorer sont là pour PC et Mac. Vous pouvez également utiliser Cyberduck ou tout autre navigateur compatible S3. Assurez-vous que votre dossier de destination est rédiciable lorsque vous copiez des fichiers à partir du serveur.
Vous pouvez également utiliser RClone pour faire une copie locale du référentiel sur votre système:
MySystem% Rclone Config
MySystem% Rclone -Sync Wasabi: / Data-Transparency / Mylocal / File / Destination-Dir
Ce que vous trouverez
Les données: Toutes les données du seau de transparence des données sont désinfectées. Toute correspondance aux enregistrements réels est complètement accidentel. Les données ont été désinfectées d'une manière qui préserve les statistiques. Nous avons effectué l'analyse du seau sur les données originales et obscurcies et obtenu des résultats presque identiques. Il n'y a aucune raison pour qu'une autorité de santé ne puisse pas faire la même chose que nous.
Les outils: nous vous donnerons notre logiciel d'analyse de cohorte de séries chronologiques. Ceci est le logiciel que vous n'aurez jamais à utiliser votre épidémiologiste. Maintenant, armé de données de niveau record, vous pouvez faire votre propre analyse. Nous l'avons rendu très facile à utiliser. Une fois terminé, collez le fichier de sortie dans notre feuille de calcul de l'analyse V4 .xlsx et vous verrez instantanément si le vaccin est sûr ou non.
Les documents d'analyse: vous trouverez des feuilles de calcul annotées ainsi que des documents de mots.
La description des données: vous trouverez des documents décrivant l'ensemble de données (taille, dates, âges moyens dans chaque cohorte, ce que les autorités prétendent, etc.
Je vous encourage à explorer. Tout est «légal» dans cette juridiction. Vous verrez donc les temps pleins de personnes décédées aux Maldives, par exemple. Dans d'autres endroits, les noms sont omis.
Introduction
J'ai reçu les données du 8 novembre 2023 lorsqu'elle a été téléchargée sur mon serveur de fichiers Wasabi.
Le dénonciateur m'a demandé de garder les données confidentielles jusqu'au 30 novembre afin de donner au dénonciateur le temps de déterminer la logistique de la façon dont les données seraient rendues publiques.
J'ai honoré mon engagement et je ne l'ai partagé qu'avec une poignée de collègues dont Norman Fenton et ses associés au Royaume-Uni avec le consentement du dénonciateur.
Les données de la Nouvelle-Zélande ne sont pas parfaites; Ce n'est pas un échantillon complet. Par exemple, pour certaines personnes, le premier enregistrement de la base de données est la dose n ° 3. De plus, seules les personnes vaccinées sont dans la base de données.
RépondreSupprimerMais, en utilisant une analyse chronologique de cohorte, cela n'a pas d'importance. Il n'y a aucun moyen possible que ces données soient cohérentes avec un vaccin sûr. J'ai estimé que le vaccin tué, en moyenne, environ 1 personne pour 1 000 doses. Cela signifie qu'environ 675 000 Américains ont été tués par les vaccins covidés.
Nous avons confirmé l'analyse des données américaines de Medicare grâce à un autre dénonciateur.
L'histoire des données peut être trouvée dans ma présentation qui a un lien vers le serveur Wasabi et les informations d'identification d'accès, ainsi que la façon de télécharger les explorateurs de fichiers Wasabi gratuits pour PC et Mac. Il y a une grande quantité de données et d'analyses téléchargées sur les serveurs.
L'analyse des séries chronologiques de cohorte prend environ 2 heures pour s'exécuter sur les données. Nous avons inclus les fichiers de sortie afin que vous puissiez commencer à partir de cela.
L'analyse des données prend environ 5 minutes à l'aide de la feuille de calcul V4 dans le répertoire d'analyse. Tout le monde peut le faire. Vous branchez simplement des numéros pour varier les paramètres pour regarder tout ce que vous souhaitez enquêter. Il a 8 visualisations: 4 graphiques principaux (un pour chaque variable indépendante) et 4 en dessous de chaque graphique montrant le nombre de décès afin que vous puissiez l'utiliser pour juger la fiabilité des points de données dans le graphique ci-dessus.
Assurez-vous de lire toute la présentation pour comprendre comment interpréter les données.
Documents sur les données
Les articles sortiront de divers auteurs au cours des prochaines semaines. Voir cet article que je mettrai à jour au fil du temps.
Résumé de ce que nous avons trouvé
Et, à notre connaissance, une seule autorité, l'Office des statistiques nationales britanniques, avait fourni même l'analyse chronologique la plus élémentaire pendant une durée limitée. L'analyse de la série chronologique au Royaume-Uni confirme l'augmentation monotonique de la mortalité après chaque coup. Mais les ONS du Royaume-Uni ont pu choisir les tailles de seau alors que lorsque nous faisons l'analyse, nous avons des seaux pour chaque semaine afin que nous puissions voir exactement ce qui se passe. Ils ne peuvent pas. Et les ONS ont cessé de me répondre lorsque j'ai demandé à voir les données au niveau record.
RépondreSupprimerD'autres autorités sanitaires ont apparemment refusé d'analyser leurs propres données elles-mêmes pour rechercher tous les signaux de sécurité que nous avons trouvés en abondance quelques minutes seulement après avoir reçu les données. Après avoir reçu ces données et analysé cela, nous avons contacté un certain nombre d'autorités sanitaires aux États-Unis en Floride, en Californie, et au CDC et à la FDA. Ils ont tous ignoré la demande d'examiner les données que j'ai obtenues ou de consulter leurs propres données. C'est la première fois dans l'histoire que des données de niveau record de la mort vaccinale sont mises à la disposition du public. Et maintenant, nous savons pourquoi.
De plus, les demandes de FOIA au California Department of Public Health ont montré qu'ils n'avaient jamais analysé leurs propres données. Il n'y avait aucun document montrant qu'ils ont jamais cherché des signaux de sécurité. Ils ont simplement fait confiance au CDC même si le CDC n'a pas de données de niveau d'enregistrement de vaccin, il est donc impossible pour le CDC de faire une analyse de sécurité appropriée.
Enfin, les signaux de sécurité sont limités à ceux de 60 ans et plus simplement parce qu'il n'y avait pas suffisamment de données pour prendre une détermination ferme pour les personnes de moins de 60 ans; Les données étaient tout simplement trop bruyantes car on ne nous a donné que 4m des enregistrements de 12 m en Nouvelle-Zélande.
Cependant, comme le vaccin n'apporte aucun avantage pour l'infection, l'hospitalisation ou la mort, il n'y a aucune raison pour quiconque dans le monde prenne ces vaccins. Voir la présentation pour plus de détails.
Dans n'importe quel monde sain d'esprit, les vaccins covidés seraient immédiatement interrompus et les enquêtes devraient commencer pourquoi aucune autorité de santé dans le monde n'a fait une analyse chronologique approfondie en profondeur sur les données qui aurait découvert le signal de sécurité très tôt dans le déploiement. Sont-ils tous corrompus? Ou sont-ils tous incompétents? Ou les deux?
RépondreSupprimerModerna peut-il survivre à cela ? Pourquoi quelqu'un achèterait-il son stock ?
Ces résultats ont des implications pour les actions modernes, car l'échec de leur technologie sous-jacente jette un doute sérieux sur leur viabilité en tant que continuation. Même si les gouvernements continuent d'acheter leurs produits, la violation de la fiducie publique et la réticence de l'entreprise à examiner les données de niveau record montrent que l'entreprise est plus intéressée à réaliser un profit que d'assurer la sécurité de leurs clients. Une tête dans l'approche de sable de la sécurité est méprisable.
Pfizer n'est pas différent. Les deux sociétés ont eu l'occasion de voir ces données de sécurité et elles ont toutes refusé. La FDA et le CDC aussi. L'offre a été faite par un journaliste respecté de la nouvelle communauté médicale, pas par moi.
Qu'a dit le professeur Norman Fenton à propos de ces nouvelles données?
Personne ne devrait me croire sur parole. Ce sont mes opinions basées sur l'examen des données.
Tout le monde peut analyser ces données. Venez à vos propres conclusions.
Enfin, voici ce que le célèbre professeur de mathématicien britannique Norman Fenton a déclaré: «Cela confirme ce que nous avons également vu dans les données ONS les plus récentes.
Quelle que soit l'incertitude qui peut y avoir dans les groupes d'âge plus jeunes, il ne fait aucun doute que le vaccin augmente le taux de mortalité chez les personnes âgées. »
Je suis d'accord. À la pelle. Je parierais ma vie là-dessus.
L'épidémiologiste de Yale, le professeur Harvey Risch, a eu ceci à dire:
Près de la moitié de l'Amérique a déjà compris que les vaccins covidés ne sont pas sûrs; Ils veulent poursuivre les compagnies pharmaceutiques !
RépondreSupprimerHeureusement, la plupart des gens le comprennent assez rapidement. Saviez-vous que 42% des Américains se joindraient à un recours collectif contre les fabricants de Vax coiffés s'ils étaient autorisés à le faire? Il s'agit d'un niveau sans précédent d'insatisfaction des clients. C'est pourquoi j'ai court-circuité des stocks modernes. Ce n'est pas une entreprise durable. Les marchés finiront par comprendre cela.
Leurs tentatives pour vous éclairer
Certaines personnes essaieront de vous convaincre que les données ne sont pas complètes et sont confondues pour cette raison. C'est de la foutaise. S'il s'agit d'un vaccin sûr, vous pouvez manquer 99% des données de prise de vue tout en obtenant la bonne réponse. Les doses n'ont pas d'importance; Un vaccin sûr est comme un coup de solution saline: ils ne provoquent aucun impact.
Ils ne s'en tireront pas avec des arguments stupides comme ça avec moi. C’est pourquoi ils ne me débatteront pas.
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Résumé
C'est fini. Ils ont perdu. Les vaccins sont dangereux. Ces données sont le clou dans le cercueil. Gold Standard, Records officiels. Il n'y a pas de meilleure vérité au sol que cela. Il n'y a pas de données comparables au sol montrant que les vaccins sont sûrs. Zéro. Il ne peut y avoir qu'une seule bonne réponse.
Si vous pensez que les vaccins sont sûrs, acceptez mon pari, débattez-moi publiquement ou publiez les données au niveau des enregistrements dans votre état. Personne ne fera de ces choses qu'il semble.
RépondreSupprimerTôt ou tard, les épidémiologistes de haut niveau peseront sur ces données.
Maintenant, nous verrons à quel point la science est brisée si les meilleurs épidémiologistes du monde ne peuvent pas convenir que les vaccins ne sont pas sûrs. Par exemple, John Ioannidis pesera-t-il? Ou restera-t-il silencieux? Martin Kulldorff dira-t-il quelque chose? Ou ignorera-t-il également ces données ?
En attendant, la communauté médicale et les médias grand public continueront de recommander les coups comme si de rien n'était. Ils devraient avoir honte d'eux-mêmes.
https://kirschsubstack.com/p/data-from-us-medicare-and-the-new?utm_source=post-email-title&publication_id=548354&post_id=139257452&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=false&r=9atnc&utm_medium=email
Surtout ne pas s'arrêter sur le '1/1000' ! car aux vues de la composition des expérimentations géniques d'essais... (examinées - il y a 3 ans - par les scientifiques Dr Astrid Stuckelberger et Carrie Madej) il en ressort que:
Supprimer95 à 99 % contiennent de nan-particules d'oxyde de graphène !
+ des hydres !
+ des spikes !
+ diverses maladies animales et une quarantaine de venins (source: Naturalnews) différents de serpents !
Ainsi, c'est la mort lente.
Les coups d'ARN auto-amplifiant sont à venir: le danger indicible
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Samedi 02 décembre 2023 - 05h00
Rédigé par Klaus Steger via le Times Epoch (accent sur la nôtre),
La prochaine génération d'injections à base d'ARN contiendra l'ARN auto-amplifiant (SARNA). Si le terme «ARN auto-amplifiant» semble effrayant, il devrait. Il rappelle probablement les images d'expériences scientifiques qui se déroulent.
Comme discuté dans un article précédent, les «vaccins d'ARNm» ne sont pas fabriqués avec l'ARN messager mais avec l'ARN modifié (modrna). Ces soi-disant vaccins sont en fait des produits de thérapie génique (GTPS), car modrna détourne le logiciel de nos cellules. Nous n'avons aucune possibilité pour gagner une influence sur la modrna (ou le sarna) après l'injection.
Qu'est-ce qui distingue Sarna de modrna ?
Le terme «auto-amplification» est explicite: Sarna se réplique à plusieurs reprises, ce qui n'est pas naturel, car l'ARNm naturel est toujours (sans exception) transcrit à partir de l'ADN (c'est ce qu'on appelle le «dogme central de la biologie moléculaire»).
Par rapport à la modrna, une petite quantité de sarna entraîne une augmentation de l'antigène produit; Un coup d'injection à base de Sarna peut être suffisant pour générer suffisamment d'anticorps contre un virus.
Sarna et Modrna représentent le plan pour une protéine virale, qui, après être entrée dans nos cellules, sera produite par notre machinerie cellulaire (c'est-à-dire les ribosomes).
Les scientifiques ont créé la séquence de modRNA génétiquement modifiée en remplaçant les uridines naturelles par des méthyl-pseudouridines synthétiques pour générer une quantité maximale d'antigène viral. Cette modification est la base des plans Pfizer-BionTech et Moderna Covid-19.
Contrairement à la modRNA, le sarna ne contient pas de méthyl-pseudouridines, mais des uridines. Pourquoi? Étant donné que les auto-réplications de SarNA et les méthyl-pseudouridines synthétiques ne sont pas disponibles dans nos cellules, Sarna doit s'appuyer sur des uridines naturelles qui existent dans nos cellules. Nos cellules produiront des protéines étrangères en utilisant leur propre machinerie cellulaire et leurs propres ressources naturelles - la principale raison pour laquelle ces cellules deviennent finalement épuisées.
Cependant, cela provoque un problème important: l'ARNm est très instable et, par conséquent, n'a qu'une courte durée de vie - trop courte pour que notre système immunitaire produit des anticorps suffisants. La solution à ce problème est la deuxième différence entre modrna et sarna.
Contrairement à la modRNA, le sarna contient une séquence supplémentaire pour la réplicase, telle que détruite (par les RNases), le Sarna doit être remplacé par un nouveau Sarna.
RépondreSupprimerComme l'ARNm naturel ne se réplique jamais, Sarna représente définitivement un ARN génétiquement modifié (modrna).
En termes simples, Sarna n'est qu'un autre type de modrna.
Pourquoi le changement à Sarna ?
Sarna est la solution politique: la même quantité (ou même plus) de l'antigène dans un seul coup! Le public sera probablement informé qu'en raison des mutations régulières du virus, des boosters adaptés annuels continueront d'être nécessaires.
De nombreuses études précliniques et cliniques appliquant une technologie de Sarna ont déjà été entreprises. Une revue en 2023 dans la revue pathogènes vante les vaccins Sarna comme «des vaccins d'ARNm améliorés». La revue Vaccines a publié un résumé de cinq ans de résultats de l'étude SARNA. Une fois les études cliniques requises terminées, ces nouveaux vaccins peuvent être approuvés pour une utilisation. On peut s'attendre à ce que ce processus soit aussi rapide que pour les vaccins Covid-19. Le processus d'approbation deviendra plus simple, car on pourrait faire valoir que la technique (modrna dans les nanoparticules lipidiques) est déjà approuvée et que seule la séquence de modrna est différente. Par conséquent, ces nouveaux vaccins Sarna pourraient être injectés à un public sans méfiance à tout moment.
Alors que Biontech a effectué des expériences avec SARNA (BNT162C2) mais s'est finalement concentrée sur le modrna (BNT162B2), Arcturus Therapeutics a été le premier à annoncer (en 2022) que sa vaccin contre le Sarna de Sarna de Covid-19 - est la plus avancée de Sarna Vaccin - Répond au critère d'évaluation de l'efficacité primaire dans une étude de phase 3.
Dans l'étude sur la thérapeutique Arcturus, les participants ont reçu deux doses, chacune contenant 5 microgrammes de sarna. C'est bien inférieur aux concentrations de modrna utilisées par Pfizer-BionTech (30 microgrammes / tir) et Moderna (100 microgrammes / tir).
Les injections de Sarna ne résoudront pas les problèmes avec les injections de modrna
RépondreSupprimerComme nous l'avons découvert avec modrna, la protéine de pointe est toxique pour notre corps.
Nous savons que Modrna entraîne la production de plus de protéines de pointes que ce qui ne serait disponible lors d'une infection naturelle, et nous savons que les boosters répétés provoquent une tolérance immunitaire.
Par rapport à la modrna, une petite quantité de sarna entraîne une augmentation de l'antigène produit.
La «dose» de l'antigène viral que les vaccins actuels et futurs à base d'ARN provoquent montrera de grandes fluctuations d'un individu à l'autre, selon le type de cellule produisant l'antigène souhaité, la prédisposition génétique, les antécédents médicaux et d'autres facteurs. Ce fait à lui seul devrait interdire l'utilisation des injections à base d'ARN comme vaccins pour les personnes en bonne santé.
Une autre étape douteuse en avant: de la linéaire à la sarna circulaire
Comme les enzymes dégradant l'ARN (RNASE) sont connues pour agir des deux extrémités de l'ARN linéaire, les scientifiques ont tenté d'empêcher ces enzymes de faire leur devoir naturel - dégradant les ARNm qui ne sont plus nécessaires et créés de l'ARN circulaire. Cela a entraîné une augmentation de la stabilité et de l'efficacité de la traduction, suivie de la production d'une quantité accrue de l'antigène souhaité.
Mais est-ce vraiment un autre pas en avant? Considérez l'effet négatif de la présentation de l'antigène de longue durée. En raison de l'augmentation des niveaux d'antigène, une injection de sarna - si linéaire ou circulaire - peut provoquer des événements indésirables comparables aux injections répétées (booster) de modrna.
La présentation à long terme d'un antigène est connue pour provoquer une tolérance immunitaire
Après avoir été vaccinée, notre corps génère des anticorps, principalement immunoglobulines G (IgG), y compris IgG1 et IgG4.
Les individus vaccinés montrent un commutateur de classe d'anticorps commençant par la troisième injection Covid-19 (le premier booster). Ceci provient des anticorps inflammatoires IgG1 (qui combattent la protéine de pointe) aux anticorps IgG4 non inflammatoires (qui tolèrent la protéine de pointe). Des niveaux élevés d'anticorps IgG4, à long terme, épuiseront le système immunitaire, provoquant une tolérance immunitaire. Cela peut expliquer les infections «révolutionnaires» de Covid-19, une réponse immunitaire réduite à d'autres infections virales et bactériennes et la réactivation des infections virales latentes. Il peut également provoquer des maladies auto-immunes et une croissance incontrôlée du cancer.
Notamment, les réponses à long terme de l'IgG4 ont été significativement associées aux injections à base d'ARN, tandis que les individus atteints d'une infection Covid-19 avant la vaccination n'ont montré aucun niveau d'IgG4 accru, même lorsqu'ils ont reçu un tir après l'infection.
RépondreSupprimerCette observation discrédite clairement la politique de l'Organisation mondiale de la santé selon laquelle - en supposant que les gens n'ont aucune immunité contre les nouveaux virus (ignorant complètement la réalité de l'immunité croisée) - les gens doivent être vaccinés avant d'entrer en contact avec le virus.
Les injections à base d'ARN sont reconnues comme des produits de thérapie génique
De manière incompréhensible, les injections à base d'ARN pour protéger contre les maladies infectieuses ont été nommées «vaccins», ce qui a permis l'exclusion des réglementations strictes pour les produits de thérapie génique (GTPS). Encore une fois, cela s'est produit sans fournir au public de justification scientifique.
Des détails sur les questions réglementaires des vaccins basés sur l'ARN sont rapportés dans des revues excellentes et complètes de Guerriaud & Kohli et Helene Banoun.
En 2014, Uğur şahin, déjà PDG de Biontech, a co-écrit un article publié dans Nature sur le développement d'une nouvelle classe de médicaments, «thérapeutique basée sur l'ARNm». Les auteurs ont écrit: «On pourrait s'attendre à ce que la classification d'un médicament d'ARNm soit une thérapie biologique, génique ou une thérapie cellulaire somatique.»
En 2021, l'auteur de la correspondance imprimée dans Genes & Immunity a décrit les vaccins basés sur l'ARN créés par Moderna et Pfizer-BiionTech comme «une percée dans le domaine de la thérapie génique» et «une grande opportunité pour la FDA et l'EMA pour réviser le développement de médicaments pipeline pour le rendre plus flexible et moins long. »
Deux informations inquiétantes sont maintenant révélées:
L'ADN contaminant résulte de la modification de Pfizer-BionTech dans le processus de fabrication après avoir terminé l'essai clinique BNT162B2 (COMIRNATY) C4591001. Initialement (le processus 1), le modRNA Pfizer-BiionTech a été produit par transcription in vitro à partir de l'ADN synthétique et amplifié par PCR (réaction en chaîne par polymérase). Cependant, pour augmenter la fabrication (voir des réponses rapides à cette étude BMJ), le modrna codant pour l'ADN a été cloné dans des plasmides bactériens (processus 2). En termes simples, l'essai clinique a été exécuté sur les lots de processus-1, mais les populations mondiales ont reçu des lots de processus-2.
RépondreSupprimerCela signifie que les personnes qui ont donné leur consentement pour être vaccinées ont été injectées avec une substance différente de celle approuvée par les organismes de réglementation et à laquelle ils avaient consenti.
Des analyses de séquence détaillées ont révélé que les plasmides-ADN dans les plans Pfizer-BiionTech et Moderna Covid-19 contiennent une séquence de paires à 72 bases du promoteur du virus Simian-40 (SV40), qui est bien connu pour améliorer le transport du plasmide ADN plasmidique dans le noyau.
Il est désormais irréfutable que les injections de Covid-19 à base d'ARN contiennent de l'ADN.
La technologie basée sur l'ARN - en particulier lorsqu'elle est appliquée comme vaccins à des individus en bonne santé - est injustifiable et contraire à l'éthique. Indépendamment du nombre tragique d'événements indésirables ou des taux de mortalité excessive, c'est la technique qui est le problème, et les mêmes problèmes se produiront dans tous les futurs «vaccins» basés sur l'ARN.
La technologie «vaccinale» basée sur l'ARN va à l'encontre de l'idée centrale de l'évolution au cours des millions d'années. Alors que la modrna et le sarna injectés produisent des antigènes sans s'arrêter, en fait, la courte durée de vie de l'ARN messager naturel (ARNm) est une condition préalable aux fonctions cellulaires saines et spécifiques. (La courte durée de vie de l'ARNm permet à nos cellules de s'adapter le plus rapidement possible aux circonstances changeantes et d'éviter la production de protéines inutiles.)
Une prémisse de la technologie «vaccinale» basée sur l'ARN - que toutes nos cellules corporelles doivent produire une protéine virale étrangère - se révèle contre les principes biologiques fondamentaux, comme la distinction entre nos propres cellules et les envahisseurs étrangers, et entraînera notre système immunitaire attaquant notre propres cellules.
L'ARN peut être transcrit dans l'ADN même sans la présence de la transcriptase inverse (enzymatique) (c'est-à-dire par des éléments de ligne1 présents dans notre génome / ADN). Contaminer l'ADN (dans les vaccins basés sur l'ARN) est la règle plutôt que l'exception. Comme l'ARN et l'ADN peuvent être intégrés dans le génome humain, les soi-disant «vaccins» basés sur la technologie de l'ARN sont en fait des produits de thérapie génique.
RépondreSupprimerIl n'est en aucun cas justifiable de soumettre les GTP basés sur l'ARN pour une utilisation médicale pour des contrôles stricts mais pour exclure les GTP basés sur l'ARN, appelés vaccins, à partir de ces réglementations, même s'ils sont destinés à la majeure partie de la population humaine. Même en cas d'urgence, personne ne devrait être obligé d'être injecté d'une substance - least de tous par des politiciens.
Qu'est-ce que Covid-19 nous a appris sur la science, la politique et la société ?
Pendant de nombreuses années, les scientifiques rêvaient de manipuler le «logiciel» humain - c'est-à-dire l'ADN ou l'ARN. Éthiquement, la manipulation de l'ADN a toujours été tabou. Rétrospectivement, Covid-19 peut représenter l'aube des «vaccins» à base d'ARN et la fin du tabou contre la manipulation de l'ADN humain.
Dans un commentaire en 2023 dans le Journal of Evaluation in Clinical Practice, les auteurs ont écrit que dès les premiers jours de la pandémie, il était évident que certains scientifiques influents et leurs alliés politiques ont démonté des opinions scientifiques dissidentes et des preuves offrant un deuxième avis. Malgré des preuves contradictoires, les politiciens nationaux «ont assuré au public qu’ils adoptaient des politiques Covid-19 en« suivant la science ».» Cependant, le consentement scientifique n’a été obtenu que en supprimant le débat scientifique.
N'oubliez pas: lorsque les questions sont autorisées, c'est la science; Quand ils ne le sont pas, c'est de la propagande.
Les soi-disant «experts» sélectionnés par des politiciens nous ont dit que nous devons être vaccinés pour pouvoir combattre un nouveau virus respiratoire. Cela contredit la science du système immunitaire humain. Nos systèmes immunitaires sont dynamiques et peuvent effacer un virus qu'ils n'ont jamais rencontré; Ils peuvent également développer l'immunité croisée pour identifier les variantes même si le virus mute. Cependant, comme les vaccins à base d'ARN produiront un seul antigène, notre système immunitaire est privé de la possibilité de développer une immunité croisée contre les variantes virales. Cela s'applique, en particulier, aux virus respiratoires présentant un taux de mutation élevé. À long terme, cela entraînera une augmentation de la fréquence et de la gravité des maladies infectieuses. Ainsi, les politiciens intéressés à protéger la population contre les infections futures seraient bien avisés d'offrir des programmes de santé qui renforcent le système immunitaire avant les infections saisonnières.
RépondreSupprimerLes scientifiques n’ont pas la moindre idée de la façon de diriger la modrna ou du sarna à un type de cellule spécifique ou comment arrêter la traduction de l’ARN administré. Cependant, ils continuent d'étudier comment la stabilité de l'ARN injecté et la quantité d'antigène généré peuvent être encore augmentées. Le développement actuel de la technologie des vaccins basés sur l'ARN rappelle l'un des poèmes «The Sorcerer’s Apprentice», que le poète allemand Johann Wolfgang von Goethe a écrit il y a plus de 200 ans:
"Les esprits, que j'ai soulevés sans soulages, ne sont pas envahis par mon pouvoir."
N'oubliez pas: lorsque les questions sont autorisées, c'est la science; Quand ils ne le sont pas, c'est de la propagande.
Les soi-disant «experts» sélectionnés par des politiciens nous ont dit que nous devons être vaccinés pour pouvoir combattre un nouveau virus respiratoire. Cela contredit la science du système immunitaire humain. Nos systèmes immunitaires sont dynamiques et peuvent effacer un virus qu'ils n'ont jamais rencontré; Ils peuvent également développer l'immunité croisée pour identifier les variantes même si le virus mute. Cependant, comme les vaccins à base d'ARN produiront un seul antigène, notre système immunitaire est privé de la possibilité de développer une immunité croisée contre les variantes virales. Cela s'applique, en particulier, aux virus respiratoires présentant un taux de mutation élevé. À long terme, cela entraînera une augmentation de la fréquence et de la gravité des maladies infectieuses. Ainsi, les politiciens intéressés à protéger la population contre les infections futures seraient bien avisés d'offrir des programmes de santé qui renforcent le système immunitaire avant les infections saisonnières.
Les scientifiques n’ont pas la moindre idée de la façon de diriger la modrna ou du sarna à un type de cellule spécifique ou comment arrêter la traduction de l’ARN administré. Cependant, ils continuent d'étudier comment la stabilité de l'ARN injecté et la quantité d'antigène généré peuvent être encore augmentées. Le développement actuel de la technologie des vaccins basés sur l'ARN rappelle l'un des poèmes «The Sorcerer’s Apprentice», que le poète allemand Johann Wolfgang von Goethe a écrit il y a plus de 200 ans:
RépondreSupprimer"Les esprits, que j'ai soulevés sans soulages, ne sont pas envahis par mon pouvoir."
https://www.zerohedge.com/medical/self-amplifying-rna-shots-are-coming-untold-danger
Le premier hôpital du pays exige que les vaccins Covid-19 mettra fin au mandat
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Samedi 02 décembre 2023 - 03:05
Rédigé par Matthew Lysiak via l'époque Epoch Times (le nôtre),
Houston Methodist, qui a fait la une des journaux nationaux après être devenu le premier hôpital aux États-Unis à imposer les vaccins Covid-19, ne nécessitera plus que ses employés reçoivent les prises de vue controversées après une nouvelle loi adoptée par la législature du Texas interdite la pratique de refuser le vaccination choix aux travailleurs du secteur privé.
L'hôpital a annoncé le changement de politique dans un e-mail interne aux employés, examiné par l'Epoch Times, que les employés qui choisissent de ne pas recevoir le vaccin Covid-19 ne seront plus interdits de travailler dans l'institution, en vigueur le 1er décembre.
"La législature du Texas a adopté une loi de la session spéciale qui interdit aux employeurs privés d'obliger les employés et les entrepreneurs à obtenir une vaccination Covid-19 comme condition d'emploi", indique le communiqué. «Nous continuerons d'encourager tout le monde à recevoir le vaccin Covid-19, mais il ne sera plus mandaté chez Houston Methodist. Cela signifie qu'obtenir le vaccin ou être approuvé pour une exemption, ne sera plus une condition d'emploi. »
Le communiqué a ajouté que l'hôpital «a toujours mis la sécurité de nos patients et de nos employés.»
La Dre Mary Talley Bowden, praticienne au Texas et fondatrice de Coalition of Health Freedom, a déclaré à l'Epoch Times que la décision de l'hôpital de jouer le rôle de Trailblazer à devenir le premier à imposer le vaccin Covid-19 n'a pas seulement été mal conçu, mais mais non seulement conçue, mais mais non seulement conçue, mais mais non seulement conçue, mais mais non seulement conçue, mais mais non seulement conçue, mais mais non seulement conçue, mais mais non seulement conçue, mais mais non seulement conçue, mais aussi mal conçue, mais non seulement conçue, mais non seulement conçue, mais non seulement conçue, mais non seulement conçue, mais non seulement conçue, mais non seulement conçue, mais non seulement conçue, mais non seulement conçue, mais non seulement mal conçue, mais non seulement conçue, mais non seulement. a déclenché une série d'effets d'ondulation négatifs en termes de liberté médicale qui se propagerait rapidement à d'autres institutions à travers le pays.
«Houston Methodist et leur PDG, le Dr Marc Boom, ont contraint près de 30 000 employés pour obtenir un tir d'ARNm modifié expérimental sans données de sécurité à long terme», a déclaré le Dr Bowden. «Leur politique de mandat a été la première du pays et a ouvert la voie au gouvernement et aux autres entreprises d'imposer une politique d'emploi très contraire à l'éthique pour des millions d'Américains.»
Le 8 juin 2021, Houston Methodist est devenu le premier système hospitalier du pays pour exiger que ses prestataires de soins de santé privés obtiennent la chance. Dans une lettre informant le personnel de l'hôpital de la politique, le Dr Rob Phillips, directeur médical méthodiste de Houston, a justifié la décision en affirmant que forcer les employés à prendre le vaccin était leur obligation morale, écrivant: «Il est de notre devoir en tant que professionnels de la santé de ne pas faire nuire et protéger la sécurité de nous tous - nos collègues, nos patients et notre société. "
RépondreSupprimerL'hôpital n'avait pas rendu un appel à commentaires de l'époque époque au moment de la publication.
Controverse sur les vaccins
Les deux dernières années ont vu les vaccins Covid-19 devenir embourbés dans la controverse. Les vaccins originaux Covid-19 ont été pris par plus de 80% des Américains après que les responsables se soient engagés que les tirs seraient efficaces pour empêcher la contraction et arrêter la propagation du virus. Cependant, une fois qu'il a été révélé que les tirs ne fonctionnaient pas comme promis, l'intérêt pour les tirs de rappel suivants a diminué de façon spectaculaire.
Les vaccins pourraient également être attribués à des rapports généralisés de résultats négatifs sur la santé qui auraient été causés par les coups. Les vaccins Covid-19 ont été nommés le principal suspect dans plus de 1,5 million de rapports d'événements indésirables, selon la base de données du système de rapport d'événements défavorables de la FDA (VAERS). Les chiffres pourraient être encore plus élevés. Une étude financée par la FDA à Harvard (PDF) a révélé que les cas VAERS représentent moins de 1% des événements indésirables vaccinaux qui se produisent réellement.
En août, le site Web de Centers for Disease Control and Prevention (CDC) en V-SAFE a cessé de collecter des rapports d'événements indésirables sans raison ni explication. Mercredi matin, le site Web V-SAPE déclare: «Merci pour votre participation. Collecte de données pour les vaccins Covid-19 conclus le 30 juin 2023. »
Par conséquent, au cours des deux dernières années, la confiance dans les responsables de la santé a chuté de 10 points de 44% à 34%, selon un sondage de suivi de Gallup.
"Les ramifications sont immenses et bien que je sois heureux qu'ils (les mandats du vaccin) aient été arrêtés, nous devons toujours les tenir responsables", a déclaré le Dr Bowden.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/medical/first-hospital-nation-require-covid-19-vaccines-will-end-mandate
17 millions de décès dus à la vaccination contre le Covid selon l'entrepreneur américain Steve Kirsch
RépondreSupprimer2 décembre 2023
par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander Faes
Nous devrions apprendre de « l’histoire » car il n’y a pas d’autre moyen de tirer des conclusions pour le présent et l’avenir de nos expériences. Mais avec « l’histoire », ce n’est pas si simple, puisqu’il s’agit d’un nom court pour un métaphénomène émergent qui présente souvent à l’humanité les conséquences à la fois attendues et prévisibles mais ignorées de ses propres actions, à partir des conséquences inattendues (théorie vulgo du « chaos »). sans parler de. Un inventaire.
Les bureaucraties sanitaires et leurs protagonistes, qui ont récemment été presque omniprésents dans tous les pays, notamment en Occident, sont maintenant, près de quatre ans après la découverte des premiers cas d'une « nouvelle » maladie en Chine, complètement nus, tant intellectuellement que mentalement. termes de leur crédibilité. Des États-Unis (CDC, FDA) au niveau européen (EMA) en passant par les institutions nationales telles que les instituts Robert Koch et Paul Ehrlich (Allemagne) ou l'Agence pour la sécurité alimentaire et la santé (AGES) et l'Office fédéral de la sécurité des soins de santé. (BASG, ces deux dernières étant des autorités autrichiennes), leur plus petit dénominateur commun s'applique : le mensonge.
Cela s'applique d'ailleurs - en particulier - aux actuels ministres de la Santé Karl Lauterbach (SPD) et Johannes Rauch (Verts), ainsi qu'à tous ces dames et messieurs "Experts™" qui, avec une facilité déconcertante, fournissent aux institutions et aux personnes susmentionnées Des « Vérités™ » qui peuvent être modifiées au quotidien » se tenaient à l'écart.
Ainsi, lorsqu’il y a un « conflit » ouvert entre deux « camps » irréconciliables, c’est entre ceux qui mentent depuis des années et ceux qui disent des vérités désagréables.
Les responsables politiques et « scientifiques™ » ont menti sur presque tout ce qui est lié à la soi-disant « pandémie Corona™ » déclarée par l’OMS : tout d’abord, sur l’ émergence et l’origine du soi-disant « nouveau coronavirus » qu’il a provoqué. Maladie « Covid-19 » , menti.
Ensuite, ils ont menti sur les vaccins Pfizer et Moderna , développés comme une panacée contre le Covid-19 . Ils ont également menti sur les traitements réellement efficaces contre la maladie qu’ils ont inventée et déchaînée sur le monde, sans parler de l’immunité naturelle . Le résultat est des campagnes de propagande massives, accompagnées d’une pression sans précédent sur l’ensemble de l’establishment médical pour qu’il rompe le serment d’Hippocrate afin d’administrer des vaccins qui tuent.
Une particularité des données collectées est que les vaccins peuvent mettre très longtemps à tuer des personnes – six mois n’est que la moyenne. La directrice du CDC, Mandy Cohen, continue de plaider en faveur des vaccins contre le Covid-19, tout comme son prédécesseur Rochelle Walensky, qui n'a démissionné qu'en juin de cette année, de sorte que des décès excessifs et précoces sont toujours attendus. Il en va de même pour l'EMA.
RépondreSupprimerLa question se pose donc : les bureaucrates de la santé de tous les pays ont-ils « d’une manière ou d’une autre » négligé les données accumulées et les reportages sur le danger des vaccins modRNA ? Peuvent-ils être aussi stupides ? Ou ont-ils sciemment menti au public en vantant les mérites de « vaccins » qui sont manifestement dangereux ? À un moment donné, ils devront répondre à ces questions.
Hier également, les journalistes indépendants Matt Taibbi et Michael Shellenberger ont témoigné devant le sous-comité spécial de la Chambre sur la militarisation du gouvernement fédéral.
Les deux journalistes avaient déjà publié les « Twitter Files », une enquête sur l’infiltration des médias sociaux par le gouvernement pour censurer et manipuler des informations susceptibles d’influencer le résultat des dernières élections.
Dans ce nouveau chapitre, les deux hommes, aux côtés du blogueur de Substack Alex Gutentag, ont publié un rapport basé sur le témoignage d'un lanceur d'alerte sur le concept de censure de grande envergure appelé "Cyber Threat Intelligence League" (sans blague) que le ministère américain de la Patrie Sécurité concoctée en 2018 et dont les activités coordonnées se sont étendues à travers ce qu’on appelle la « Communauté du renseignement », la Maison Blanche et les autorités de Grande-Bretagne, du Canada, d’Australie et de Nouvelle-Zélande. Un programme identique, non moins tyrannique, a également été adopté par de nombreux gouvernements de l’UE.
... il vit à l'ouest
Le résultat de toute cette activité est que « l’Occident » se nourrit de mensonges et semble désormais s’étouffer avec ses propres médicaments.
Il semble que le Covid-19 était en préparation depuis longtemps lorsqu’il a été détourné par les services de renseignement, l’État profond et les sbires du Parti démocrate pour finalement se débarrasser du président Trump en 2020 – après l’échec du RussiaGate et d’un processus de destitution basé sur des mensonges et des tromperies.
L’introduction de « vaccins » modARN mal testés (sic) – qui sont en fait développés par le ministère américain de la Défense et distribués sous licence par BioNTech/Pfizer et Moderna – suggère que le « Covid-19 » devrait être « vaincu » par cela après « Le nouveau coronavirus » a rempli sa tâche.
RépondreSupprimerMais les « vaccins » modRNA se sont révélés être un échec gigantesque et mortel. Ces produits ont été « vendus » au public, souvent imposés aux gens contre leur volonté et illégalement, et ont rapporté des milliards de « profits » – l’équivalent de 30 (milliards) de pièces d’argent – à l’industrie pharmaceutique. Cependant, presque immédiatement après la « campagne de vaccination », des gens ont commencé à mourir ou à tomber gravement malades, c'est pourquoi ce que nous avons vu depuis lors semble être une cacophonie de tentatives de la part des auteurs, plus ou moins désespérées, qui ont été faites. plus mal qu'à juste titre et dans certains cas, ils se sont empressés de dissimuler des crimes.
Nous sommes dans une sorte de « guerre », mais c’est un conflit entre la réalité et le mensonge et la propagande.
Ces crimes (présumés) sont le produit ou la conséquence de milliers de personnes employées dans l'appareil administratif (« Ministère de la Santé »), les autorités de la soupe à l'alphabet (CDC, FDA, EMA, PEI, RKI, BASG, etc.) et leurs porteurs d’eau dans la « politique » et les « principaux médias ».
Ils sont également complices de ces monstruosités, et le nombre croissant de lanceurs d'alerte laisse penser que le point de bascule sera bientôt atteint - j'entends par là le moment où les premiers "initiés" coopéreront avec les autorités judiciaires, même si c'est par de plus bas instincts de l'auto-préservation pour sauver leur propre peau.
Bientôt, il est temps. Préparez votre machine à pop-corn.
https://
Mécanismes cancérigènes du Pfizer: de plus en plus évidents et de plus en plus nombreux
RépondreSupprimerle 2 décembre 2023
par pgibertie
Les échanges entre nos biologistes préférées , @BanounHelene,@PinsolleT, @AnneliseBocquet sont complexes pour les profanes comme moi, mais analysant la littérature scientifique récente, elles mettent en évidence au moins 5 mécanismes cancérigènes complémentaires par lesquels le Pfizer et le Moderna provoquent des cancers
- voir graph sur site -
Le mécanisme le plus spectaculaire est sans doute le changement de la composition des anticorps qui accompagne la multiplication des rappels . De plus en plus d’IgG4 et c’est dramatique : cancers, maladies auto immunes…risque global plus élevé de cancer, notamment du pancréas et de lymphome
La multiplication des anticorps IgG4 favorise la croissance des cancers et…. les injections covid ARNm de Big Pharma favorisent une multiplication des IgG4, alors, pas de problème en France?
Publié le 8 octobre 2023 par pgibertie
Plus il y a de doses plus les IgG4 se multiplient dans l’organisme L’IgG4 est un anticorps unique qui présente la concentration la plus faible parmi les sous-types d’IgG chez les individus en bonne santé, et sa fonction n’a pas … Lire la suite →
– la suractivation de NF-kB est cancérigène https://ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8706767/… , la sous-unité S2 de la Spike se lie à la p53. L’état d’hyperinflammation peut être révélateur d’un dérèglement dans la balance NF-kB/p53.
– la perturbation des IFN… s les IFN-1 jouent un rôle fondamental dans la surveillance des cancers… L’activité anticancéreuse des interférons de type I, et notamment de l’IFNα et du facteur de régulation IRF9. En effet, l’IFNα agit à l’encontre des cellules cancéreuses via divers mécanismes, en arrêtant le cycle cellulaire ou en induisant l’apoptose cellulaire ou en stimulant les cellules immunitaires cytotoxiques comme les LT CD8+ et les NK. L’activité antiproliférative de l’IFNα passe notamment par l’IRF9 et une dérégulation de ces deux éléments a été mise en évidence dans certains cancers comme les leucémies ou le cancer de la prostate. https://ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2796296/… https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34670303/
L’activité antiproliférative de l’IFNα passe notamment par l’IRF9 et une dérégulation de ces deux éléments a été mise en évidence dans certains cancers comme les leucémies ou le cancer de la prostate. https://ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2796296/… https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34670303/
-Spike, SARS-CoV-2 et Pfizer, miR148a… une interaction intrigante https://twitter.com/AnneliseBocquet/status/1701704256514843094?t=zkfEsVqSMY204nofCgUBWA&s=19
– les IgG4 ne sont que la conséquence du développement de l’immunotolerance. C’est ce mécanisme qui est hautement cancérigène… bien que les IgG4 participent aux cancers. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34986892/
Un crime contre l'humanité...
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 02 DÉCEMBRE 2023 - 17H40
Rédigé par James Howard Kunstler via Kunstler.com,
« C’est à mon avis la pire chose qui soit jamais arrivée à notre pays au cours de ma vie, et le rôle du gouvernement ne peut être nié. »
- La représentante Marjorie Taylor Greene sur C-19-Vaxx
L’histoire est une escroc. Il se déroule de manière émergente avec une créativité étrange, aveuglant souvent l’humanité avec les conséquences imprévues et les résultats non linéaires des développements précédents. Nous voici donc dans une Seconde Guerre Civile.
Vraiment ? « Entre qui ? pourriez-vous demander.
Entre vérité et mensonge.
Entre un blob bureaucratique sociopathe imprégné de mensonges et des citoyens obligés de vivre et de mourir par les mensonges du blob.
Exemple concret : l’évolution émergente des agences de santé publique américaines, du CDC, de la FDA, du NIH, du NIAID et de leurs nombreux fiefs, vers un gigantesque moteur de mort alimenté par des mensonges incessants et persistants. Les personnes qui dirigent ces agences vous ont menti sur la création et l’origine du nouveau virus corona, le SRAS Covid-19. Ensuite, ils ont menti sur les vaccins Pfizer et Moderna créés comme remède souverain contre le Covid-19. Ils ont également menti et supprimé les traitements réellement efficaces contre la maladie qu’ils ont inventée et répandue dans le monde, puis ont contraint l’ensemble de l’establishment médical à rompre son serment d’Hippocrate (d’abord ne pas nuire) d’administrer des vaccins qui tuaient. Ils ont menti sur ces choses en connaissance de cause. Et tout au long de ces trois années, la santé publique américaine a caché les données sur le Covid et les vaccins tout en mentant agressivement à ce sujet et en punissant les citoyens américains qui ont trouvé des moyens de révéler la vérité.
Les vaccins ont tué environ 670 000 Américains et 17 millions dans le monde, selon des chiffres consensuels auxquels sont parvenus des citoyens déterminés à découvrir la vérité. L'un d'eux est le chercheur indépendant Steve Kirsch, un milliardaire de la Silicon Valley qui a inventé la souris optique. En 2021, après avoir remarqué une étrange tendance aux décès et aux blessures précoces dans son propre cercle de connaissances, M. Kirsch s’est consacré et a consacré sa fortune à découvrir la vérité sur les vaccins Covid-19. M. Kirsch se décrit comme « un nerd », ce qui signifie qu'il est bon en mathématiques et dans l'art de rassembler des ensembles d'informations à l'aide d'analyses statistiques rigoureuses qui présentent une image cohérente de la réalité, c'est-à-dire la vérité.
Les informations du matin d’aujourd’hui (vendredi 1er décembre) ne contiennent rien sur le discours historique de Steve Kirsch au MIT, qui a essentiellement présenté les preuves d’un crime contre l’humanité. L’une des caractéristiques des données recueillies est que les vaccins peuvent mettre beaucoup de temps à tuer des personnes – six mois n’étant qu’une moyenne. La directrice du CDC, Mandy Cohen, continue de promouvoir les vaccins contre le Covid-19, tout comme son prédécesseur Rochelle Walensky, qui a démissionné en juin dernier, alors attendez-vous à une incidence continue de décès excessifs et précoces. Est-ce que tous deux ont manqué d’une manière ou d’une autre l’accumulation massive de données et d’informations sur le danger des vaccins à ARNm ? Pourraient-ils être aussi stupides ? Ou ont-ils sciemment menti au public, en promouvant des vaccins qui sont manifestement dangereux ? À un moment donné, ils devront peut-être répondre à ces questions.
RépondreSupprimerHier également, les journalistes indépendants Matt Taibbi et Michael Shellenberger ont témoigné devant le sous-comité spécial de la Chambre sur la militarisation du gouvernement fédéral. Les deux journalistes avaient précédemment publié les « Twitter Files », une enquête sur l’infiltration des médias sociaux par le gouvernement à des fins de censure et de manipulation d’informations susceptibles d’affecter le résultat des récentes élections. Dans ce nouveau chapitre, les deux hommes, aux côtés du blogueur de Substack Alex Gutentag, ont publié un rapport basé sur le témoignage de lanceurs d'alerte sur le vaste cadre de censure appelé Cyber Threat Intelligence League que le ministère de la Sécurité intérieure a concocté en 2018 et dont les activités coordonnées ont métastasé. par l’intermédiaire de ce qu’on appelle la « communauté du renseignement », de la Maison Blanche et des agences du Royaume-Uni, du Canada, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande.
La même programmation tyrannique a été adoptée par de nombreux gouvernements de l’UE.
RépondreSupprimerLe résultat net de tout cela est que la civilisation occidentale se sature de mensonges. Il semble que le Covid-19 était en bonne voie de développement lorsqu’il a été adopté par le blob et ses protecteurs au sein du Parti démocrate pour l’utiliser comme moyen de se débarrasser enfin du président Trump en 2020 après l’échec du RussiaGate et d’une fausse destitution. L’introduction de vaccins à ARNm mal testés – en fait développés par le département américain de la Défense et sous licence auprès de Pfizer et Moderna – semble avoir été destiné à atténuer le Covid-19 après avoir accompli sa tâche consistant à permettre à la fraude électorale de mettre la main sur un bouc émissaire. président « Joe Biden » à la Maison Blanche. Mais les vaccins se sont révélés être un échec gigantesque et mortel. Et une fois qu’ils ont été vendus au public, que les fabricants de vaccins ont gagné des milliards et que les gens ont commencé à mourir et à contracter des maladies graves, toutes les personnes impliquées dans le vaste réseau de blobs ont dû continuer à mentir pour dissimuler leurs crimes.
Ce qui découle de cette nouvelle guerre civile de la vérité contre le mensonge, c’est que le mensonge sera perdant parce que le mensonge est fondamentalement malsain et ne peut pas se suffire à lui-même. Le blob bureaucratique américain, comme le produit fictif Soylent Green, ce sont les gens. Il y en a évidemment des milliers, pratiquement une armée entière, coupables de crimes.
Les lanceurs d’alerte se multiplient désormais. Nous approchons du moment magique où toute l’armée du blob se retourne et se déchaîne pour tenter de sauver ses fesses. Attendez-le.
* * *
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https://www.zerohedge.com/political/crime-against-humanity
À l’approche de la date limite du 1er décembre pour le rejet des propositions controversées de l’OMS, les activistes déploient des efforts d’opposition à l’échelle mondiale
RépondreSupprimerL'activisme mondial contre le traité sur les pandémies proposé par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et les amendements à son Règlement sanitaire international (RSI) s'intensifie à l'approche de la date limite du 1er décembre pour rejeter les amendements au RSI proposés pour 2022. Les critiques estiment que les propositions renforcent l'autorité de l'OMS, érodent la souveraineté nationale et menacent la liberté de la santé.
Par Michael Nevradakis
Mondialisation.ca,
02 décembre 2023
Les États membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ont jusqu’au 1er décembre pour rejeter les amendements proposés au Règlement sanitaire international (2005) (RSI) qui, selon les critiques, donneraient plus de pouvoir à l’OMS.
Les critiques soutiennent que le fait de ne pas rejeter les amendements 2022 du RSI – qui ont été approuvées l’année dernière,par la soixante-quinzième Assemblée mondiale de la santé, augmentera la probabilité que de futures propositions, telles que les 2023 Amendements au RSI en attente et l’”Accord de l’OMS sur les pandémies”,parfois appelé “traité sur la pandémie”, sera également adopté.
En effet, les amendements au RSI de 2022 réduiraient le temps dont disposent les gouvernements pour rejeter les amendements au RSI de 2023 et l’accord sur la pandémie, si l’un ou l’autre ou les deux sont approuvés lors de la prochaine réunion de l’Assemblée mondiale de la santé, en mai 2024.
Certains critiques affirment également que les amendements proposés pour 2022 et 2023 et l’accord sur les pandémies représentent une menace fondamentale pour la souveraineté nationale, médicale et corporelle. Mais d’autres estiment qu’au fond, les négociations sur ces propositions représentent un différend commercial et une lutte de pouvoir entre des pays plus forts et plus faibles.
La sixième réunion du groupe de travail sur les amendements au règlement sanitaire international (2005) se tiendra les 7 et 8 décembre. Le chef d’État d’un pays peut rejeter les amendements au RSI proposés pour 2022 en informant l’OMS avant la date limite du 1er décembre.
Avant cette échéance, des militants du monde entier ont organisé un certain nombre de campagnes, notamment aux États-Unis et en Europe, pour s’opposer aux amendements et à l’ensemble des propositions négociées par les États membres de l’OMS.
Les amendements au RSI “limitent les droits fondamentaux des citoyens”.
RépondreSupprimerLe journaliste James Roguski, qui a mené des recherches sur les négociations de l’OMS concernant les amendements au RSI et l’accord sur les pandémies, a déclaré au Defender: “La chose la plus importante à l’heure actuelle est que les gens soient conscients que les amendements au RSI de 2022 sont en cours d’examen.”
“J’espère que certains pays et leurs dirigeants les rejetteront, mais les gens n’en parlent même pas. C’est l’histoire du moment”.
Les modifications du RSI de 2022 ont été adoptées le 27 mai 2022, à l’issue d’une procédure que M. Roguski a qualifiée d’irrégulière.
M. Roguski a écrit sur sa Substack qu’après le rejet de la série originale d’amendements au RSI en 2022, en raison d’une “énorme opposition mondiale”, un autre paquet d’amendements a été “illégitimement soumis” avec le soutien de l’administration Biden. Cinq d’entre eux ont été adoptés.
Ces amendements réduiront de 18 à 10 mois le délai dans lequel les amendements futurs seront rejetés et entreront en vigueur de manière juridiquement contraignante, a écrit M. Roguski. Les amendements adoptés entreraient alors en vigueur dans 12 mois au lieu de 24.
M. Roguski a déclaré qu’au Royaume-Uni, les procédures d’approbation d’un traité ou d’un accord international, tels que les amendements au RSI de 2022, n’ont pas été suivies. En particulier, les amendements n’ont pas été correctement soumis à l’examen du Parlement britannique.
L’avocat espagnol Luis Pardo plaide également contre les amendements au RSI. Il a déclaré au Defender que les modifications du RSI de 2022 “limitent les droits fondamentaux des citoyens” en réduisant le temps nécessaire pour examiner et rejeter les modifications futures.
Une attaque directe contre la liberté et la souveraineté en matière de santé
RépondreSupprimerSelon le Dr Meryl Nass, interniste, épidémiologiste spécialisé dans les guerres biologiques et membre du comité consultatif scientifique de Children’s Health Defense (CHD), les amendements au RSI et l’accord sur les pandémies conduiront à “la mise en place d’un système mondial de biosécurité massif et expansif”.
Mme Nass a écrit que les négociations pour la version 2023 des amendements au RSI et l’accord sur la pandémie “se déroulent en secret”, en vue de leur adoption lors de la réunion de l’Assemblée mondiale de la santé en mai 2024.
Sur Substack, le Dr Nass a déclaré que certaines “questions d’importance majeure”concernant les documents en cours de négociation comprennent “un chèque en blanc à l’OMS pour créer de nouvelles règles à l’avenir”, le développement de “vaccins sans responsabilité … à la vitesse de l’éclair”, la suppression des garanties en matière de droits de l’homme et une censure accrue des médias sociaux.
Selon M. Pardo, “les deux textes de l’OMS impliquent irrémédiablement le transfert à l’OMS du pouvoir de restreindre les droits fondamentaux des citoyens. Il s’agit d’une atteinte directe à la liberté et à la souveraineté sanitaire des citoyens”.
En ce qui concerne la souveraineté, Mme Nass a écrit que si de nombreuses personnes insistent sur le fait que l’OMS “pourrait obliger les États-Unis à faire n’importe quoi”, il ne faut pas oublier que “le gouvernement américain, sous la direction de M. Biden, a contribué à faire avancer les propositions de l’OMS, et qu’il s’y conformera donc”.
L’OMS déclare que”Un principe général du droit international veut qu’une fois qu’un instrument de droit international est en vigueur, il lie les parties et doit être exécuté par ces dernières en toute bonne foi. Le RSI (2005) est un instrument contraignant de droit internationalcomme ce serait le cas pour toute modification de ces règlements.
Pour M. Roguski, les propositions d’amendements au RSI et l’accord sur les pandémies constituent un “différend commercial” opposant des pays économiquement plus forts à des pays plus faibles.
“Ces documents ne concernent pas la santé”, a déclaré M. Roguski. “Il s’agit d’un différend commercial portant sur la distribution équitable des produits“, a-t-il déclaré, notant qu’un mécanisme de répartition proposé dans l’accord sur la pandémie donnerait au secrétaire général de l’OMS “le pouvoir de décider quels produits sont nécessaires” lors d’une future pandémie ou d’une “urgence pandémique”.
Cela signifierait que les pays les plus riches pourraient être obligés de fournir gratuitement ou à faible coût des vaccins, des médicaments et des fournitures médicales aux pays les plus pauvres lors d’une pandémie ou d’une situation d’urgence sanitaire, a déclaré M. Roguski.
RépondreSupprimerLe “traité sur les pandémies” proposé fonctionnerait également comme une “convention-cadre qui se poursuivrait, année après année, pour toujours”.
“Ils essaient simplement de conclure le plus petit accord possible afin de créer une bureaucratie éternelle”, a déclaré M. Roguski.
M. Roguski a fait remarquer que le comité de révision du RSI a publié en février un rapportindiquant que l’OMS ne peut pas transformer des recommandations en obligations, ce qui, selon lui, “change tout” en ce qui concerne la menace posée à la souveraineté nationale.
“Nos nations sont toujours souveraines, car le président ou le premier ministre peut rejeter toute décision de l’Assemblée mondiale de la santé”, a-t-il déclaré.
Pour M. Roguski, le problème est plutôt qu’”ils sont dans le coup. Ils font partie des initiés. Ils font ce qu’ils veulent. Nos dirigeants n’ont pas à nous écouter… Ils ont usurpé l’autorité en matière de santé”.
La gouvernance mondiale est un élément important de la “grande remise à zéro”.
Plusieurs organisations et groupes d’activistes aux États-Unis et ailleurs se sont opposés aux amendements au RSI de 2022 et 2023 et à l’”accord sur les pandémies”, dans le cadre d’un appel plus large aux nations pour qu’elles envisagent de se retirer de l’OMS.
L’une de ces organisations, Door to Freedom, a été fondée par Nass, qui a écrit que l’une des raisons de la création de l’organisation était l’absence d’une “organisation ou d’un mécanisme de coordination” reliant les groupes qui s’opposent à ces documents et à l’OMS.
Mme Nass a déclaré à The Defender qu’elle avait créé Door to Freedom “parce qu’il n’existait aucune autre organisation s’occupant exclusivement des efforts déployés par l’OMS pour se transformer d’un organisme consultatif en un organisme réglementaire mondial auquel il faudrait obéir”.
“Notre mission est la souveraineté et la liberté”, a ajouté Mme Nass. “Nous ne voulons pas d’une gouvernance mondiale. Il s’agit simplement d’une grande partie de la Grande Réinitialisation, que nous combattons également.”
Le groupe n’existe que depuis cinq mois environ, au cours desquels il a créé “des dizaines d’articles, en a étudié des dizaines d’autres et a analysé le traité proposé par l’OMS et les amendements proposés au RSI”, a déclaré Mme Nass.
RépondreSupprimerMme Nass a indiqué que son travail avec Door to Freedom consistait également à “créer des réseaux mondiaux de militants” et à “éduquer les militants et les hommes politiques”. Dans le cadre de ces efforts, Mme Nass a effectué une tournée européenne ce mois-ci, s’exprimant devant les parlements de Croatie, d’Estonie et de Roumanie.
Au début du mois, l’association Door to Freedom a organisé un petit-déjeuner pour les membres du Congrès, dont le but, selon Mme Nass, était de les “informer sur l’OMS“.
Parmi les participants figuraient le sénateur Ron Johnson (R-Wis.), l’ancienne députée du Minnesota Michele Bachman et l’ancienne secrétaire adjointe au logement et au développement urbain Catherine Austin Fitts.
La Nouvelle-Zélande sera-t-elle le premier pays à rejeter les amendements 2022 au RSI ?
En Nouvelle-Zélande, le nouveau gouvernement de coalition pourrait être prêt à rejeter les amendements du RSI 2022 à temps pour la date limite du 1er décembre.
L’avocate Kirsten Murfitt a plaidé en faveur du rejet des amendements, notamment en organisant une pétition officielle et la “Lettre du peuple“.
Elle a déclaré au Défenseur que, dans le cadre de l’accord entre les partis de la coalition, la Nouvelle-Zélande “se réservera” contre les amendements du RSI.
L’accord stipule que cela a pour but de “permettre au nouveau gouvernement de les examiner à la lumière d’un ‘test d’intérêt national’”. Ce test viserait à “reconfirmer la primauté du droit national néo-zélandais sur tout accord international”.
En droit international, une réserve est une déclaration faite par un État lors de la signature ou de la ratification d’un traité, selon laquelle il se réserve le droit de ne pas respecter certaines dispositions du traité.
Mme Murfitt a noté que cela n’est pas suffisant, cependant, car il y a des “inquiétudes sur le fait qu’une réservation n’est pas possible dans le cadre des actuelles 2005 International Health Regulations, , auquelles nous sommes liés”. Elle a noté que l’article 62, relatif aux réserves, “est muet sur les amendements”, alors que l’article 61 “fait expressément référence à la capacité de rejeter les amendements”.
RépondreSupprimerCe point contredit les informations qui ont circulé récemment sur les médias sociaux, selon lesquelles le rejet par la Nouvelle-Zélande des amendements au RSI de 2022 est une affaire réglée, d’après M. Roguski. “Les faits en provenance de Nouvelle-Zélande semblent être un peu en deçà de ce que l’on prétend”, a-t-il déclaré.
L’avocate australienne Katie Ashby-Koppens aide les fonctionnaires et les militants néo-zélandais à s’opposer aux amendements du RSI. Elle a déclaré au Defender qu’elle s’était entretenue avec le parti NZ First, “et qu’il avait confirmé que l’intention de l’accord [to reject the amendments] serait respectée”.
“Nous avons retravaillé la Lettre du Peuple, que nous redirigerons vers le nouveau gouvernement, en indiquant que la réserve n’est pas efficace et qu’elle n’est pas suffisante [and]. Il est dans l’intérêt national de rejeter les amendements”, a déclaré Mme Murfitt.
Dans un discours prononcé le 17 novembre, Robert Fico, premier ministre slovaque nouvellement élu, a déclaré que la Slovaquie “ne soutiendra pas le renforcement des pouvoirs de l’OMS au détriment des États souverains dans la gestion de la lutte contre les pandémies”.
On ne sait toujours pas si cette déclaration a été suivie d’un rejet formel de la part de la Slovaquie.
L’Estonie a également fait parler d’elle récemment après que 11 membres du Parlement nationalont envoyé une lettre au directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, indiquant qu’ils rejetaient les amendements au RSI et à l’accord sur les pandémies.
Les 11 parlementaires ont noté que le Parlement estonien dans son ensemble n’a pas autorisé le gouvernement du pays à participer à ces négociations, comme l’exige la législation nationale.
Cette lettre a été largement diffusée sur les médias sociaux comme constituant le rejet par l’Estonie des amendements au RSI. Toutefois, selon M. Roguski, ce n’est pas le cas, car il “ne semble pas rejeter officiellement (ou officieusement) les modifications du RSI de 2022”.
“Ces membres d’un parti politique ont exprimé leur opposition à ce que la Commission européenne parle au nom des 27 nations de l’Union européenne ( [EU] ) et insiste pour que les 27 nations se mettent d’accord en bloc… sans l’approbation des nations individuelles”, a-t-il déclaré au Defender.
En Suède, la députée indépendante Elsa Widding a interrogé le ministre des affaires sociales et de la santé publique Jakob Forssmed et le ministre de la justice Gunnar Strömmer lors d’un débat parlementaire le 24 novembre sur la question de savoir si la Suède soutiendrait les amendements au RSI de 2022 et 2023 et l’accord sur la pandémie.
RépondreSupprimerL’UE outrepasse-t-elle son autorité en participant aux négociations sur la modification du RSI ?
Afin de faire pression sur les gouvernements nationaux, et de rétablir la vérité sur les questions procédurales et juridiques souvent très confuses liées au rejet des amendements au RSI et d’autres documents similaires, diverses personnes et organisations travaillent au niveau régional et international pour sensibiliser l’opinion publique.
Au début du mois, le sommet international Covid s’est tenu au Parlement roumain à Bucarest, avec la participation de Mme Nass et d’organisations telles que Door to Freedom, ainsi que d’autres intervenants de premier plan.
“Il y a eu deux jours de discussions sur la pandémie, les vaccins, les plasmides, les mandats, la propagande et les efforts déployés par l’OMS et d’autres pour mettre en place un gouvernement mondial et une grande remise à zéro, ainsi que sur les moyens de riposter”, a déclaré Mme Nass au Defender.
M. Pardo, qui a fondé le groupe Iustitia Europa, a lancé le 22 octobre une pétition visant à recueillir 50 000 signatures contre les amendements au RSI, l’accord sur les pandémies et les négociations entre la Commission européenne (le pouvoir exécutif de l’UE) et l’OMS sur ces instruments.
Selon M. Pardo, une fois les 50 000 signatures recueillies, Iustitia Europa “déposera un recours devant la Cour de justice de l’Union européenne pour tenter d’arrêter les négociations de l’UE avec l’OMS par le biais d’une injonction provisoire”.
M. Pardo a déclaré au Defender que le traité sur lefonctionnement de l’Union européenne (TUE) et le traité de Lisbonne, deux documents clés de l’UE, n’autorisent pas l’UE et la Commission européenne à négocier au nom des États membres de l’Union. Au contraire, l’UE ne peut que “compléter” les politiques nationales de santé publique.
Toute compétence de l’UE en matière de santé publique est limitée et “réglementée par la procédure législative ordinaire de l’UE”, a déclaré M. Pardo, notant que selon le TEFU, les actions de l’UE liées à la santé publique respectent la politique de santé nationale, l’organisation et la fourniture de services de santé et de soins médicaux décidées par chaque État membre de l’UE.
Il a également noté que si le TUE accorde à l’UE le pouvoir de négocier des traités internationaux, elle doit le faire “dans le cadre des politiques de l’Union”. Pourtant, la Commission européenne participe directement aux négociations sur les amendements au RSI, a-t-il déclaré.
M. Pardo a ajouté que “personne ne connaît” les membres de la commission qui mènent les négociations. “On ne sait pas qui négocie au nom des États membres”, a-t-il déclaré. “Mais comme le certificat numérique Covid de l’UE, il sera imposé aux États membres.
M. Pardo a indiqué qu’Iustitia Europa avait également “organisé une stratégie de 17 actions civiques et judiciaires pour les 17 objectifs de développement durable“, y compris une campagne de sensibilisation informant les citoyens de ce que les objectifs impliquent et des actions juridiques à venir.
Une autre nouvelle initiative, lancée aujourd’hui, est l’initiative citoyenne de l’Union européenne. Elle vise à recueillir un million de signatures dans l’ensemble de l’Union européenne, conformément à la procédure prévue par le traité de Lisbonne, qui permettrait d’introduire une proposition législative auprès de la Commission européenne.
Le groupe appelle à défendre la dignité humaine, le droit à l’intégrité de la personne, le droit à la liberté et à la sécurité, la protection des données personnelles, le respect de la vie privée et familiale, la liberté de pensée, de conscience, d’expression et d’information, entre autres demandes.
M. Roguski a écrit que les négociateurs de l’UE “ont créé un nouveau terme” par lequel ils cherchent à donner au directeur général de l’OMS “le tout nouveau pouvoir de déclarer une ”Situation de pandémie“, ajoutant que l’UE a également proposé des mesures dans lesquelles les certificats de santé numérique seraient déployés à l’échelle mondiale et les “fausses informations” et “désinformations” seraient censurées.
RépondreSupprimerSans unité, “l’esclavage numérique est inévitable”.
Des actions s’opposant aux amendements du RSI, à l’accord sur la pandémie et à l’adhésion des nations à l’OMS sont également organisées au niveau national.
En Espagne, M. Pardo a décrit “Iustitia Europa comme le seul mouvement citoyen qui lutte pour dissoudre l’Agenda 2030 et qui prend des initiatives citoyennes et judiciaires pour arrêter le traité sur les pandémies et le RSI”. Il s’agit notamment d’événements et de présentations en Espagne, ainsi que de candidatures aux élections parlementaires européennes de l’année prochaine.
Malgré ces efforts, la couverture médiatique n’a été assurée que “dans les petits médias”, ceux que M. Pardo affirme que la loi sur les services numériques récemment adoptée par l’UE et l’OMS “veulent éliminer”.
Le Dr Louis Fouché, anesthésiste et médecin réanimateur basé en France, a fondé “Reinfo Covid“, qui s’oppose aux restrictions et aux vaccins liés au Covid-19. Il a déclaré au Defender qu’il n’avait pas connaissance d’initiatives en France qui se seraient développées dans le but spécifique de s’opposer aux amendements du RSI ou à l’accord sur la pandémie.
“En général, l’activisme est déjà présent sur de nombreux fronts, et le traité de l’OMS sur les pandémies semble être un long chemin et une bataille hasardeuse”, a-t-il déclaré.
Pourtant, certains membres français du Parlement européen et des hommes politiques nationaux “s’épanchent sur le sujet”, tandis que certains médias alternatifs, dont France Soir et Nexus, informent le grand public sur le sujet, a-t-il déclaré.
Une pétition lancée en France par CitizenGo contre les amendements au RSI et l’accord sur la pandémie a dépassé les 300 000 signatures à l’heure où nous écrivons ces lignes.
Meike Terhorst, avocate néerlandaise, a déclaré au Defender : “Aux Pays-Bas, un certain nombre de groupes s’opposent à la prise de pouvoir de l’OMS”, notamment Viruswaarheid (“Vérité sur les virus”), fondé par l’activiste Willem Engel, qui produit des vidéos et des bulletins d’information sur la question.
Deux publications alternatives, De Andere Krant et Gezond Verstand, ainsi qu’une chaîne de télévision alternative, Blckbx, “fournissent également des informations sur l’OMS”, et le site Stop WHO.nl a été lancé par des activistes.
Selon Mme Terhorst, un groupe de parlementaires néerlandais s’est opposé, dans une lettre envoyée au gouvernement en juin, aux amendements du RSI 2022 et à leur acceptation par le Royaume des Pays-Bas, tandis qu’”un groupe d’avocats, de journalistes, d’influenceurs et de parlementaires [organize] des appels hebdomadaires pour s’opposer à la loi néerlandaise sur les pandémies“.
La loi, adoptée en mai 2023, met en œuvre “des mesures sanitaires en cas de pandémie avant même qu’elles n’aient été adoptées au niveau de l’OMS”, a déclaré Mme Terhorst. Pourtant, M. Engel a déclaré au Defender qu’aux Pays-Bas, “les choses se sont tues lorsque l’OMS a déclaré la fin de l’urgence de santé publique de portée internationale” le même mois.
Mme Terhorst a déclaré : “Pour de nombreux Néerlandais, le flux d’informations est trop intense et trop compliqué. La majorité des Néerlandais croient encore que le gouvernement a de bonnes intentions et que rien n’a mal tourné pendant la pandémie de Covid-19”.
M. Engel a ajouté qu’en dépit des élections nationales qui se sont tenues au début du mois, le rejet des amendements au RSI “n’a malheureusement pas été un sujet de campagne”.
Selon Nikos Vakolidis, membre de la section grecque de l’Alliance mondiale pour la liberté, les militants grecs se sont activement opposés aux amendements du RSI.
RépondreSupprimerM. Vakolidis a déclaré au Défenseur que “les appels à quitter l’OMS ont été lancés dès le début de la pandémie”, dans des lettres envoyées au premier ministre grec, aux ministères et aux membres du parlement et “largement diffusées” auprès du public. L’une de ces lettres demandait au gouvernement grec de rejeter les amendements du RSI 2022, mais elle est restée sans réponse.
“Maintenant que les processus relatifs au traité sur les pandémies et au RSI atteignent un point critique, des efforts supplémentaires sont organisés, en collaboration avec des mouvements internationaux”, notamment CHD Europe et Door to Freedom, a déclaré M. Vakolidis, ajoutant que des ateliers pour les élus et des événements publics ont également été organisés.
Pourtant, selon M. Vakolidis, malgré ces efforts et les activités de “nombreux groupes et individus” s’opposant à l’OMS, “ces voix n’ont pas été entendues dans les médias grand public, ou ont été décrites comme des théoriciens de la conspiration et comme des personnes à chapeau en fer-blanc, ultra-religieuses et d’extrême-droite”. Il a ajouté que “cette question n’est pas non plus une priorité pour les médias alternatifs en Grèce”.
“Nous avons un besoin urgent d’un front uni”, a déclaré M. Vakolidis. “Sans cela, l’asservissement numérique progressif est inévitable”.
M. Pardo s’est montré plus optimiste. Il a paraphrasé les propos du Forum économique mondial qui, dans une vidéo de 2016, a déclaré : “…Vous ne posséderez rien, et vous serez heureux“, en disant : “Nous aurons la liberté, et oui, nous serons heureux. Nous aurons la justice, et oui, nous serons heureux. Nous aurons la dignité, et oui, nous serons heureux.”
https://www.mondialisation.ca/a-lapproche-de-la-date-limite-du-1er-decembre-pour-le-rejet-des-propositions-controversees-de-loms-les-activistes-deploient-des-efforts-dopposition-a-lechelle-mond/5683850?doing_wp_cron=1701497012.1799230575561523437500
Ministre colombien de la Santé : La population soumise à une « expérimentation ».
RépondreSupprimer2 décembre 2023
de Thomas Oysmüller
En autorisant l'entrée des substances à ARNm dans le pays, la population colombienne a été soumise à la « plus grande expérience de l'histoire de l'humanité ». Vous jouez avec la vie de la population. Le ministre colombien de la Santé l'a déclaré mardi devant le Sénat.
En Colombie, le ministre de la Santé a suscité un débat houleux. Dans un discours passionné, le traitement par ARNm a été abordé. Les Colombiens ont été livrés à la plus grande « expérience réalisée dans toute l’histoire de l’humanité ». Il est temps d'arrêter de jouer avec la vie de la population du pays.
Guillermo Alfonso Jaramillo a comparu devant la première commission du Sénat de la République. L’intégralité du discours, qui dure près d’une minute, vaut vraiment la peine d’être regardée. La phrase qui a frappé le plus violemment le pays ? « Chaque Colombien vacciné a contribué à la plus grande expérience jamais menée dans l’histoire de l’humanité. »
L'ARNm comme danger et expérience
« Nous jouons avec la vie des Colombiens », a commencé le ministre dans son discours enflammé. « Nous ne pouvons pas participer à une expérience. Nous tous qui avons été vaccinés - à l'exception de ceux qui ont été vaccinés avec Sinovac (le vaccin chinois contre le Covid, ndlr), j'ai reçu Sinovac trois fois, mais tous les vaccins dotés de nouvelles technologies sont arrivés ici sans autorisation - avons été vaccinés et expérience. Tous les Colombiens vaccinés ont participé à la plus grande expérience menée dans toute l’histoire de l’humanité. Nous ne pouvons pas continuer à expérimenter avec la population colombienne, encore moins avec les indigènes, les noirs, les plus pauvres du pays, les agriculteurs.»
L'intégralité de l'audience du Sénat peut être consultée ici . Le discours du ministre peut être consulté à 2:38:24.
Le blog Substack, qui a fait connaître au monde anglophone le jugement fondamental du ministre, connaissait davantage de contexte. Cette déclaration a été faite « dans le contexte d'un débat de contrôle politique sur la pénurie de médicaments en Colombie ». Plusieurs sénateurs avaient proposé de nouvelles stratégies pour améliorer l'accès du pays aux médicaments développés à l'échelle mondiale.
Le ministre de la Santé avait une objection. L'autorité nationale des médicaments, Invima, doit procéder avec prudence et prudence lors de l'approbation de nouveaux médicaments.
RépondreSupprimerAlors que les États-Unis et l’Union européenne avaient autrefois des critères stricts, la technologie de l’ARNm a simplement pu suivre son cours. L'autorité nationale suivit les centres occidentaux. Les normes d'approbation, notamment aux États-Unis et aux États-Unis, sont désormais devenues discutables : « Pourquoi se précipiter dans l'approbation des médicaments, en sautant des phases importantes des essais cliniques ? Un précédent a été créé selon lequel les médicaments sont approuvés dès la phase II des tests, alors qu'auparavant les évaluations se poursuivaient jusqu'à la phase III. D'où vient cette pression et pourquoi des phases importantes sont-elles raccourcies ? », a-t-il demandé.
Guillermo Alfonso Jaramillo est ministre de la Santé de Colombie depuis le 1er mai. Avant sa carrière politique, il a étudié la chirurgie en Colombie et en Suède. Il est membre du parti « Humane Colombe », dont le chef est président de la Colombie depuis 2022. Le parti est considéré comme un parti progressiste-populiste, anti-impérialiste et anti-néolibéral. Le gouvernement est soutenu par le Parti libéral de Colombie, la force la plus puissante du parlement de Bogota. Le président fait face à de forts vents contraires dans le pays.
Son discours a probablement acquis une renommée mondiale et un grand soutien grâce à son ministre de la Santé. Imaginez si un ministre de la Santé allemand ou autrichien disait de tels mots. Il faudrait bien sûr demander au ministre pourquoi il estime que trois injections du vaccin mortel conventionnel chinois (semblable à un vaccin contre la grippe) étaient nécessaires.
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Entre l’inné et l’acquis : une hypothèse en épigénétique
RépondreSupprimerPar Esther Sinfinn
Mondialisation.ca,
02 décembre 2023
Quoique le site « mondialisation.ca » publie avant tout des articles liés à la politique, je tiens à partager ce texte, car si l’hypothèse qui y est proposée s’avérait, cela pourrait aider à contrer le risque de dérive eugéniste, jamais éradiqué malgré la seconde guerre mondiale. L’eugénisme reprend des forces, à l’ombre d’instances tels que le Forum Économique Mondial et les Centres de fertilité assistée, comme il en existe en Scandinavie, soit un équivalent amoindrit de la fameuse banque de sperme Nobel !
Les chercheurs mentionnés dans le texte qui suit ne sont pas responsables des idées qui y sont émises. Ce sont les auteurs d’expériences servant à structurer l’hypothèse décrite ci-dessous et qu’ils n’approuveraient peut-être sous aucune forme. Je l’expose au jugement de spécialistes, afin qu’ils en relèvent les erreurs et le potentiel, en dépit du fait que toute hypothèse, même aux allures simples, devrait être prise en considération dans l’avènement du possible. Bien que les exemples auxquels je me réfère semblent posséder peu de relation entre eux, ils sont essentiels au développement de l’idée que je désire partager.
Cobayes de la dépression
Les autochtones d’Amérique furent longtemps épargnés par les additifs chimiques, l’abus de sel et de sucre. Leurs traditions englobaient une alimentation saine et une intense activité physique. Malheureusement, ce n’est souvent plus ainsi, depuis le milieu du XXe siècle, lorsqu’on les réduisit au sédentarisme. Certaines populations sont victimes de diabète et au prise avec une obésité croissante.
Nous pourrions dire que ces phénomènes demeurent phénotypiques car, mêmes récentes, les habitudes familiales se lèguent aisément à la progéniture. Cela constituerait un problème individuel et l’on ne pourrait invoquer une prédisposition héréditaire.
Pourtant, des spécialistes contraignirent en laboratoire des lignées de souris, soit en limitant leur nourriture, soit en les gavant d’aliments riches et en les privant d’exercice. Ils purent constater que ces débalancements entraînaient une prédisposition à l’obésité chez les rejetons de la seconde expérience.
RépondreSupprimerDes études entreprises à l’Université de Lund, en Suède, incluent le régime alimentaire de nos ancêtres, entrecoupé ou non de jeûnes, comme facteur de risque élevé ou faible à l’une des formes connues du diabète.
L’obésité touche une vaste portion de l’humanité. Parfois, le diabète s’aggrave par l’embonpoint et un régime amaigrissant en résorberait les symptômes. Dans d’autres cas, il s’agit d’une sécrétion glandulaire excessive ou déficiente. L’origine de ces dérèglements découle quelques fois d’une mutation. Par exemple, celle qui fait des rats « Zucker » les porteurs d’un allèle fa/fa récessif, conduisant à une hyperphagie et une résistance à l’insuline. ¹
Mais, dans de nombreux cas, les vecteurs du diabète et de l’obésité s’avèrent simplement une alimentation pernicieuse et un mode de vie trop passif. Même dans ces circonstances, il semble que ces maux créent une prédisposition chez les descendants. Comment de telles affections pourraient-elles se diffuser, lorsque les cellules germinales ne sont pas altérées par les particularités d’un phénotype?
Des pneumocoques déridés
Streptococcus pneumoniæ, plus connu sous le nom de pneumocoque, est une bactérie pathogène pouvant déclencher une pneumonie, lorsqu’elle apparaît lisse et brillante (forme S, Smooth). Mais elle existe aussi sous un aspect ridé et irrégulier (forme R, rough) dérivée de la forme S. Cette souche est inoffensive pour nous, car elle ne parvient plus à synthétiser une enveloppe lisse (de polysaccharides) qui lui permettrait d’esquiver les globules blancs du système immunitaire. Une inaptitude héréditaire due à une mutation.
En 1928, Frederick Griffith élimina, par émission d’une source de chaleur, les bactéries ayant infecté des cobayes. Un extrait de la souche morte fut versé sur une colonie de type R, inoffensive. Les souris moururent, et les bactéries eurent une descendance pathogène. Les constituants chimiques provenant des cadavres recelaient donc un élément capable de transférer des instructions, permettant à la forme R de synthétiser une capsule et développer les caractéristiques dangereuses. On en déduit que cet élément conservait les caractères de l’espèce nuisible et pouvait les conférer à une colonie antérieurement inoffensive. Il ne pouvait pas s’agir de protéines, puisqu’une intense chaleur les dénature.
RépondreSupprimerGriffith démontra que la transformation s’avérait héréditaire tout autant que la mutation qui, d’ailleurs, pu être inversée… Il appela cette substance porteuse de caractéristiques héritables « principe transformateur ».
Ces études furent reprises dans les années 1940, par l’équipe d’Oswald Avery, rejoint un peu plus tard par Colin MacLeod, puis Maclyn McCarty. L’équipe effectua des expériences, sur plusieurs générations de bactéries. Alors qu’on avait toujours cru l’ADN peu utile et imaginé les protéines aptes à léguer les caractères génétiques, on s’aperçut, en les isolant, que les protéines ne modifiaient en rien la souche inoffensive. En testant l’ARN, le transfert des propriétés s’avéra faiblement positif, alors que l’ADN transforma les bactéries inoffensives en agents pathogènes. Cette expérience permis d’associer le « principe transformateur » à l’acide désoxyribonucléique, l’ADN, mais on ne tint pas compte du potentiel de l’ARN.
Sur la trace des rétrovirus
Ces microorganismes sont munis d’un seul brin d’ARN et d’enzymes, protégés par une membrane protéinique. Leur ARN peut conserver leurs caractéristiques. Cependant, ils ont besoin de l’hôte qu’ils envahissent (et dont ils neutralisent l’information génétique), afin d’utiliser ses ribosomes et parvenir à synthétiser les protéines indispensables à leur réplication puis se multiplier.
L’équilibre ponctué des gènes
RépondreSupprimerBien que Leibniz ait orienté sa philosophie d’après la fameuse sentence « Natura non facit saltum« ,² la biologie moléculaire nous apprend que non seulement les gènes sont susceptibles de mutations, mais qu’en plus, les recombinaisons chromosomiques par enjambement (crossing over) sont fréquentes lors de la méiose.
Les mutations touchant les chromosomes sexuels sont nombreuses (hémophilie, X fragile) et transmises aux descendants qui reçoivent l’allèle modifié. Il s’avère également que des substances chimiques, ou des radiations en provenance de l’environnement, entraînent des mutations qui n’affectent pas uniquement les chromosomes sexuels et sont parfois héréditaires.
Dans les cellules somatiques, les quantités d’ARN et de protéines sont inégales, alors que la proportion d’ADN demeure la même. La quantité d’ADN est cependant deux fois moindre dans les cellules germinales. On sait que la plupart des mutations alléliques n’ont pas de conséquences perceptibles, même sur le phénotype. Cependant, qu’elles soient dues à une séquence irrégulière d’acides aminés, ou provoquées par des éléments physiques ou chimiques externes, les mutations peuvent être transmises aux descendants.
En ce sens, il semble que les gènes suivent le mode proposé par la théorie de l’équilibre ponctué. ³ On applique cette hypothèse à l’abondance et la diversité des fossiles, exhumés à certaines époques, contrastant avec la rareté et la stabilité de formes d’espèces provenant d’autres strates géologiques (par exemple, les échantillons de ce que l’on nomme l’Explosion cambrienne). En biologie moléculaire, cela correspondrait à des périodes de stabilité générationnelle, alternant avec des phases de mutations nombreuses, modifiant les phénotypes ou le génotype d’une lignée.
Intronisation
Entre les séquences d’acides aminés codants ― les exons ―, des séquences appelées « introns » séparent les bases et donnent au gène un aspect morcelé. On méconnaît en partie leur utilité, même s’ils représentent le plus fort pourcentage des constituants du génome des eucaryotes. Au moment où le message d’un gène est transcrit en ARN, les séquences d’exons et d’introns sont recopiées intégralement. C’est la phase de transcription, à la fin de laquelle l’ARN pré-messager est soumis à un épissage qui élimine les introns, et où seuls les exons sont conservés. L’ARN devient alors de l’ARN messager (ARNm) qui transporte les acides aminés vers le cytoplasme. Cet ARNm se lie à des molécules d’ARN de transfert (ARNt), livrant ses acides aminés aux ribosomes qui traduiront leurs messages et synthétiseront la protéine exigée.
RépondreSupprimerLa polyvalence de l’ARN, qu’il soit l’ancêtre ou le successeur de l’ADN, transcripteur, messager, traducteur, hélicase, ribosomique ou polymérase, fut longtemps et est encore sous-estimée. On admet l’importance de l’ARN interférant (ARNi) qui peut interrompre l’expression d’un gène ou empêcher la synthèse d’une protéine… Un autre constat me semble négligé : le fait que les introns ne sont présents que dans les cellules eucaryotes.
Hypothèse aberrante ou heuristique ?
En extrayant les éléments que structurent ces exemples, l’hypothèse qui en découle pourrait se résumer ainsi, compte tenu du fait que :
A) Certaines maladies déclenchées ou accentuées par des facteurs épigénétiques semblent entraîner une prédisposition chez les descendants;
B) En étudiant deux types de pneumocoques, on a découvert que l’ADN et l’ARN réagissaient positivement, bien que plus faiblement de la part de l’ARN, et s’avéraient donc porteurs de l’hérédité d’un organisme;
C) Les rétrovirus pourvu d’un seul brin d’ARN possèdent une information génétique et parviennent à la transmettre en s’incorporant à un organisme vivant doté d’ADN;
D) Les mutations causées par des incidences externes (champs de forces, radiations, substances chimiques) qui touchent le phénotype d’un individu peuvent modifier les gènes de ses descendants sur plusieurs générations;
E) Seules les cellules eucaryotes ont des chromosomes aux gènes morcelés par des introns dont on méconnaît en partie l’utilité ou l’origine…
Je suggère l’hypothèse suivante :
Bien que l’ADN soit le dépositaire officiel des caractères héréditaires, je postule l’existence d’une substance ayant des propriétés approchant celles de l’ADN, c’est-à-dire :
RépondreSupprimerRecéler la capacité de conserver les modifications provenant des allèles mutants qui altèrent les séquences régulières de l’ADN des cellules somatiques, mais aussi l’information provoquée par les dommages causés par des facteurs épigénétiques (régime alimentaire, nervosité, tensions psychologiques, exposition à des forces physiques externes), donc, des incidences environnementales, acquises. Pouvant aller jusqu’à inclure une prédisposition à un symptôme ou une maladie. Et, dans certaines circonstances, une préadaptation au développement d’une aptitude ou faculté. Et ce, au-delà de la simple méthylation de l’ADN.
Cette substance pourrait consister en une molécule d’ARN spéciale. Sous certaines conditions, particulièrement en présence de facteurs à grand impact, l’acide ribonucléique pourrait ne plus demeurer uniquement vecteur de nucléotides, transférant des acides aminés capables d’entraîner la production de protéines, mais devenir l’agent intermédiaire entre les facteurs épigénétiques affectant les cellules somatiques et les segments codants des cellules germinales du génome.
La persistance des effets impulserait la transformation de l’ARN doté d’une « mémoire de travail » à court terme en ARN d’un autre type, faisant en sorte que les données épigénétiques, tant les favorables que les nuisibles, cesseraient de concerner uniquement le phénotype et s’intègreraient réellement dans un génome. Je suppose donc la présence d’une molécule que l’on pourrait nommer ARNpc, c’est-à-dire, acide ribonucléique pré-codant, puisque sa nature pourrait s’approcher de l’ARN des rétrovirus qui porte leurs caractéristiques mais ne synthétise pas les protéines qui leur permettraient de les répliquer.
L’ARNpc pourrait, soit :
1) Interrompre l’expression d’une information (tel l’ADN interférant qui inhibe l’expression d’un gène ou la synthèse d’une protéine);
RépondreSupprimer2) Réactiver un message en latence et faire en sorte que son impact ne soit plus temporaire ni restreint à un seul individu (phénotypique), mais permanent et affectant le génotype, à partir du moment de sa réactivation;
3) Exprimer ces propriétés par l’action d’un enzyme (à la façon de CREB1 qui favorise la mémorisation durable d’une information, consolidée dans la mémoire par le mécanisme de potentialisation à long terme);
4) Représenter une molécule d’ARN parvenant à modifier le nombre de ses atomes, afin que son sucre ribose se transforme en désoxyribose, et par conséquent, devienne alors une véritable molécule d’ADN.
L’action de l’ARNpc permettrait d’expliquer comment des facteurs épigénétiques, acquis, pourraient s’incorporer, suite à une plus ou moins longue période de latence, dans le génome.
Bien que les segments d’ARN paraissent extrêmement fragiles, l’équipe dirigée par Steven Benner de la Foundation for Applied Molecular Evolution réussit à synthétiser un ribose capable de demeurer stable durant des mois, à partir de minéraux à base de borate. Lors de l’ovogenèse, certains ARN transportés dans le cytoplasme subissent une poly-adénilation (un apport accru d’adénine) qui amplifie leur stabilité.
Ainsi, les caractères de l’hérédité différentielle, acquis, phénotypiques, conférant une prédisposition (négative ou positive) ou une préadaptation (favorable), franchiraient l’étape du potentiel virtuel, en latence dans l’ARNpc, pour devenir des caractéristiques codifiées dans le génome.
Ce processus d’incorporation présenterait une durée variable, selon la nature des facteurs épigénétiques concernés. Voici quelles seraient les quatre types possibles d’incidence de l’ARNpc sur des caractéristiques :
☼ Conservées dans le phénotype, en latence, non exprimées;
☼ Éliminées, suite à une inversion du stimulus qui les avaient engendrées;
☼ Léguées aux descendants sous forme de prédisposition ou préadaptation;
☼ Incorporées dans le génotype de la personne, à la manière des mutations qui apportent une amélioration ou un désavantage, puis transmises à la descendance (hérédité absolue).
Autres hypothèses
RépondreSupprimerEn poussant cette éventualité dans une direction encore plus risquée, j’émets l’idée que les introns pourraient, dans ce processus de conservation d’incidences et de transformation du phénotype en génotype, posséder une fonction de soutien, c’est-à-dire, avoir un rôle dans le maintien des conditions adéquates à l’utilisation des données latentes emmagasinées.
En m’aventurant davantage, je suppose que les introns pourraient s’avérer une sorte de réserve d’informations vestigiales, préservant des données très anciennes, provenant du plan de structure et de développement des organismes qui nous ont précédé dans la genèse biologique. Telles les séquences nommées gènes voyageurs, que l’on suppose dépositaires d’éléments de l’ADN provenant d’autres espèces.
Même si l’intermédiaire entre les cellules somatiques et germinales n’était pas un ARN spécial ou un enzyme au potentiel semblable à CREB1, je suggère l’existence d’un pont organique semblable.
Les arguments complémentaires étant :
A) Les caractéristiques et comportements variés des êtres actuels n’ont aucun équivalent avec les propriétés des premières formes viables qui émergèrent sur notre planète;
B) Certaines maladies déclenchées ou accentuées par des facteurs épigénétiques semblent induire une prédisposition chez les descendants;
C) En étudiant deux types de pneumocoques, on découvrit que l’ADN et l’ARN réagissaient positivement et s’avéraient donc impliqués dans l’hérédité;
D) Les rétrovirus pourvus d’un seul brin d’ARN possèdent une information génétique et parviennent à se multiplier en utilisant les ribosomes d’un organisme vivant doté d’ADN;
E) Seules les cellules eucaryotes ont des chromosomes aux gènes parsemés d’introns dont on méconnaît les fonctions ou en partie l’origine;
F) La plupart des mutations n’engendre aucune conséquence notable;
G) La transformation des êtres par dérives génétiques, en dépit du fait qu’elles peuvent s’avérer plus rapides que tout autre mode de spéciation, concerne des niches évolutives d’envergures généralement restreintes;
H) La sélection naturelle agit avec lenteur, en plus de s’avérer à priori aléatoire, et ne peut expliquer autant d’aspects de la diversité des êtres vivants.
RépondreSupprimerI) La méthylation de l’ADN, la compaction variée de la chromatine et l’influence des hormones ne peuvent rendre compte de toutes les variantes du vivant.
Afin d’explorer le potentiel des phénomènes épigénétiques, voici un résumé d’expériences, effectuées par Michael Meaney sur des rongeurs et, avec l’apport de Gustavo Turecki, sur le cerveau de personnes ayant cédé au suicide. Ces deux chercheurs travaillent à l’Institut Douglas de Montréal.
Michael Meaney put démontrer que des souriceaux, élevés par une mère qui ne les lèche pas, afin de tisser un lien affectif avec eux durant l’enfance, développent des comportements distincts des animaux recevant des soins adéquats. Ils sont moins confiants, dépressifs, peu sociables. On observe des lésions au niveau cérébral, dues à une sécrétion excessive d’hormone du stress, le cortisol, qui altère l’ADN.
Dans l’hippocampe des souris et des humains, des substances sont sécrétées, lorsqu’une situation requiert un abaissement de la fièvre, de la douleur, un effet anti-inflammatoire. Sous le stress, les récepteurs des glucorticoïdes fonctionnent au ralenti. Mais le phénomène le plus étonnant demeure celui-ci : remis dans le giron d’une mère attentionnée, les séquelles relevées au cerveau des cobayes s’étaient résorbées.
Il est intéressant de noter que l’évolution de la racine latine du mot « stress » nous a également donnée le mot détresse…
De telles expériences touchant le phénotype, aux conséquences négatives réversibles, sont attestées même dans des cas extrêmes, tel un accident vasculaire cérébral. Des gens paralysés ont retrouvé la mobilité d’un membre. Il leur a fallu des mois et parfois des années d’efforts et d’exercices fréquents. Bien que le cerveau soit composé de lobes et gyrus spécialisés, il advient qu’une fonction liée à une partie spécifique d’un hémisphère soit prise en charge par une zone proche, dont ce n’était pas initialement la tâche. On constate que le cerveau d’un individu dont le bras est paralysé a repris une conformation adéquate. Mais la pensée que l’incident est définitif fait en sorte qu’on ne tente pas d’en retrouver la mobilité. Après une période de convalescence, une personne qui n’a plus l’usage d’un membre ou de la parole pourrait essayer de ne pas considérer cette incapacité permanente. Avec de la persévérance, l’aide de quelqu’un et des tentatives de stimulations quotidiennes, il est possible d’espérer une amélioration.
On sait maintenant que le cerveau peut générer des neurones. Pas dans toutes les zones cérébrales ni en permanence, mais là où l’on repère une forte nécessité, si la stimulation requise se présente. De même, les facteurs épigénétiques influent sur la santé. Quoique certains cancers aient une origine génétique, la plupart sont entraînés par l’abus de substances nuisibles ou le surmenage.
RépondreSupprimerVoici comment l’épigénétique pourrait contrer l’eugénisme :
A) Confiner des gens sélectionnés, afin qu’ils procréent entre eux, ne fera que diminuer les variantes génétiques, ce qui représente une grave menace pour la santé, la résistance et la capacité d’adaptation humaine (ou des animaux d’élevage);
B) Le concept de race ou ethnie est désirable, car il assure la diversité génétique. C’est uniquement l’établissement d’une hiérarchie qui s’avère préjudiciable;
C) Un enfant peut naître en parfaite santé, dans un milieu favorable, puis accumuler des dommages physiques, parfois transmissibles, par un manque d’exercice, l’abus de gras, de sucre usiné, d’additifs chimiques. L’alcoolisme et la toxicomanie sont courantes dans les classes privilégiées, au sein desquelles l’on peut aisément acquitter les frais exorbitants d’une dépendance aux liqueurs fines ou à une drogue;
D) Si l’ARNpc existe et peut servir d’intermédiaire entre le phénotype et le génotype, alors un individu, quelles que soient ses conditions à la naissance, pourrait améliorer sa santé mentale ou physique et ses aptitudes, ou encore, les altérer et compromettre sa santé par le développement de maladies.
Les États-Unis nous fournissent un cas exemplaire. Pour promouvoir l’eugénisme, on proposa d’organiser des concours du « plus beau bébé ». Un gagnant de cette foire focalisa, adulte, à nouveau l’attention, en devenant un des hommes les plus gros au monde. De beau bébé en pleine santé, on peut très bien continuer son existence handicapé par l’obésité qui atrophie le cœur, rend pénibles les gestes et le moindre déplacement. Einstein, malgré sa réputation de génie et son premier mariage avec Mileva Marić, experte en médecine, physique et mathématique, eut un fils affligé d’une maladie mentale.
Heinrich Himmler put viser le poste de chef de l’ensemble des polices allemandes, gestapo incluse, malgré sa myopie. Il devint même Ministre de l’Intérieur en 1943. Joseph Goebbels s’est élevé à la charge de dirigeant de l’Éducation et de la Propagande, en marchant sur un pied bot. Harry Laughlin souffrait d’épilepsie. Leurs handicaps ne les ont pas menés à l’euthanasie ou à la stérilisation, et rend encore plus injustifiable l’idéologie imposée par eux. Le lien entre ces trois hommes n’est pas fortuit. Les lois d’hygiène raciale, adoptées en 1935 par Adolf Hitler, sont basées sur le modèle établi par Laughlin. On lui décerna un doctorat honoris causa pour sa « science du nettoyage ethnique », à l’occasion de l’anniversaire du renvoi des Juifs de l’Université d’Heidelberg, réalisé deux ans plus tôt.
RépondreSupprimerTout n’est donc pas défini à la naissance.
Cette hypothèse fut imaginée en mai 2010. Seules quatre personnes ont daigné répondre à mes tentatives de diffusion: Jean-Marie Pelt; un oncologue argentin; un ancien professeur de sciences naturelles et un biologiste qui s’est offusqué dès le premier paragraphe. Les trois premiers ne savaient comment cette hypothèse pourrait être démontrée, mais la trouvaient intéressante. Des trois auteurs des travaux sur les rongeurs, je n’ai reçu aucune réponse. Une version de ce texte est disponible en espagnol.
Esther Sinfinn
Pour tout commentaire, vous pouvez m’écrire : flore62faune62@gmail.com
Notes :
1. Loïs et Theodore Zucker sont les initiateurs d’une lignée de rats maigres, aux allèles dominants Fa/Fa ou Fa/fa; ainsi que de générations de rats obèses aux allèles récessifs fa/fa, auxquels on recourt fréquemment en tant que cobayes de laboratoires.
2. La nature ne fait pas de saut, Gottfried Wilhelm Leibniz, « Nouveaux essais », 1V, page 16.
3. Pour la découvrir, voyez l’ouvrage de Stephen Jay Gould, portant ce titre.
https://www.mondialisation.ca/entre-linne-et-lacquis-une-hypothese-en-epigenetique/5683787?doing_wp_cron=1701608012.0216040611267089843750
Mycoplasma pneumoniae, la bactérie qui infecte la Chine et qui se répend en Europe: l’Azithromycine et la doxycycline (kit Ziverdo) sont efficaces contre le syndrome du poumon blanc
RépondreSupprimerle 3 décembre 2023
par pgibertie
Vague de panique pour une pathologie connue qui se soigne bien :Je crains que l’apparition actuelle du « syndrome du poumon blanc » ne soit en fait la première brise d’une tempête de population immunodéprimée.
@MartinZ_uncut
La pénicilline (amoxy) ne sert à rien contre les mycoplasmes. L’image radiologique est TYPIQUE. => azythromycine doxycyclyine ou ciprofloxacine TOUS les toubibs savent cela… à moins d’être encore dans leur PEUR irrationnelle, ou de rester des lavés du cerveau.
- voir doc sur site -
Face aux bactéries de l’hiver qui compliquent souvent les virus « grippaux » les médecins ont l’habitude d’utiliser l’amoxicilline (sauf en 2020 où ils se sont contentés hélas de doliprane et de rivotril). Cette année ils devront réapprendre les soins de l’époque du covid et utiliser les antibiotiques alors efficaces, macrolides ou cyclines .
Mycoplasma pneumoniae est une bactérie spéciale, puisque sans paroi. L’amoxicilline ne peut donc pas agir.
Mycoplasma pneumoniae est une bactérie dite « atypique » responsable d’infections respiratoires, très fréquentes chez les enfants de plus de 4 ans et les jeunes adultes. Elle représente après le pneumocoque, la deuxième cause de pneumonie aiguë communautaire (PAC) bactérienne, indique la DGS qui ajoute que la transmission se fait via les gouttelettes et l’incubation est de 1 à 3 semaines.
La maladie peut être sérieuse pour des immunodéprimés, les injections ARNm et les masques n’ont rien arrangé…
@PinsolleT:
Le traitement en 1ère intention repose sur l’azithromycine. Il existe des souches résistantes, comme à tout antibiotique, mais dans des proportions qui restent raisonnables. On a alors recours aux fluoroquinolones ou à la doxycycline.
Les symptômes initiaux de la pneumopathie à Mycoplasma pneumoniae peuvent ressembler à un simple rhume avec une toux sèche, des maux de gorge et une fièvre modérée. Cependant, au fur et à mesure que l’infection progresse, des symptômes plus graves tels que la toux persistante, la difficulté à respirer et la douleur thoracique peuvent apparaître.
RépondreSupprimerLe diagnostic se fait par PCR sur prélèvement respiratoire, pharyngé ou nasopharyngé et/ou par diagnostic sérologique. La PCR notamment multiplex permet un diagnostic précoce
https://pgibertie.com/2023/12/03/mycoplasma-pneumoniae-la-bacterie-qui-infecte-la-chine-et-qui-se-repend-en-europe-lazithromycine-et-la-doxycycline-kit-ziverdo-sont-efficaces/
Tous « pucés » ?
RépondreSupprimerle 3 décembre 2023
Le beau-père japonais de mon fils a subi une petite intervention chirurgicale pour la pose d’un régulateur cardiaque qui est communément appelé un pace-maker. Il souffrait d’arythmie et ce symptôme angoissant s’auto-amplifie en raison de l’appréhension que l’arythmie provoque : constater que le cœur cesse de fonctionner durant cinq secondes. Je n’arrive pas à évaluer comment je réagirais si j’étais confronté à une telle situation. Ce régulateur cardiaque est un système très petit dont on recharge la batterie avec un petit dispositif externe comme les « smart-watches » que l’on pose sur le même type d’équipement. Ce dispositif de régulation cardiaque se connecte en wi-fi ou blue-tooth, je ne sais pas trop au routeur de la maison et il envoie alors des données à un central spécialisé qui les fait suivre au cardiologue traitant. Ainsi il est possible pour ce dernier d’évaluer le temps horaire ou quotidien de prise en charge du cœur par le régulateur. Le cœur du beau-père de mon fils est donc connecté !
Mon fils et son épouse ont chacun autour du poignet une montre électronique également « connectée ». Elle permet d’effectuer toutes sortes d’opérations que je ne saurais décrire ici à l’exception des données enregistrées dans le but de surveiller l’état de santé. Par exemple combien de temps une personne montant à l’étage de son logement renseigne sur son état de fatigue, quelle est la longueur de ses pas quand il marche et son assiette est également enregistrée, ce qui indique un éventuel déséquilibre pathologique du squelette. Bien d’autres points de surveillance de la santé du corps sont programmés dans ce type de montre comme le rythme cardiaque et la fréquence de la respiration qui sont utiles pour se faire une idée exacte de la qualité du sommeil. Enfin un malaise vagal est détectable. À Singapour toute la population est sous surveillance médicale constante. Enfin je ne voudrais pas dire de bêtises mais j’ai constaté que ce type de montre peut recevoir un appel téléphonique et des messages, connaître la température extérieure, la vitesse et la direction du vent, bref une multitude de services utiles et moins utiles.
Beaucoup de personnes de par le monde sont donc déjà « connectées » et la tendance ira en s’amplifiant dans la mesure où la collecte et le traitement de toutes les données pourront contribuer à la surveillance de l’état de santé de chaque individu. Mais il y a tout de même un gros problème dans la mise en place de ce contrôle : tout est déjà géré par des entreprises américaines dans les pays dits occidentaux, depuis la gestion des adresses IP et le traitement des données par les gigantesques ordinateurs des …GAFAM+. Le projet d’introduction d’une carte d’identité globale numérique en Europe incluant l’OMS pour les données de santé comme indiqué ci-dessus mais également pour les mouvements financiers effectués sur les compte de dépôts bancaires, le paiement des impôts, le montant des salaires et des honoraires, les dépenses de carburant ou de nourriture de luxe incompatible avec les mesures de protection du climat et bien d’autres aspects de la vie quotidienne strictement privés aujourd’hui mais à terme gérés par des entreprises privées dont par exemple Google ou Amazon qui connaissent déjà tout de nous, que nous ayons une « smart-watch » ou pas, tout ceci aboutira inévitablement à une perte de liberté. L’exemple de la Chine avec ses 1,5 milliards de citoyens serait-il adaptable à un petit pays comme la Hongrie ? La réponse est évidemment négative. Afin de protéger les libertés individuelles des citoyens, chaque gouvernement de chaque pays occidental devrait utiliser en premier lieu son propre système de « surveillance » pour s’affranchir de la domination américaine.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/12/03/tous-puces/
Voir 'Programmé pour tuer' (Denzel Washington, Russell Crowe, etc)
SupprimerL’approvisionnement en viande des États-Unis pourrait bientôt être largement contaminé par les protéines d’ARNm issues des « vaccins » biotechnologiques
RépondreSupprimerPar Mike Adams
Recherche mondiale,
2 décembre 2023
Il y aura bientôt une autre raison de choisir des aliments végétariens ou d'obtenir votre viande auprès de sources locales fiables : les vaccins à ARNm sont sur le point d'être massivement mis en œuvre dans l'industrie de la viande, les bovins, les poulets, les porcs, les chèvres et autres animaux d'élevage étant ciblés pour une consommation régulière. Injections d'ARNm.
Comme nous l’avons vu chez l’être humain, les injections d’ARNm peuvent :
Circule dans tout le corps et aboutit dans le sang et les organes.
Amener le corps à produire des protéines toxiques qui peuvent provoquer des effets toxiques.
Obstruer les artères et finir par tuer ou blesser des personnes à cause d'un accident vasculaire cérébral ou d'une crise cardiaque.
Modifie les chromosomes et provoque des changements génétiques permanents dans l'organisme.
Il s’avère que les aiguilles hypodermiques ne sont pas le seul moyen d’introduire ces instructions d’ARNm dans le corps humain. Ils peuvent également être avalés ou pénétrer par contact cutané. La simple manipulation de viande crue contaminée par des produits à ARNm équivaut probablement à être exposé à une « excrétion » de la part des vaccinés . Et même si l’acide gastrique détruit probablement les séquences d’ARNm, l’absorption a lieu dans la bouche, sous la langue, c’est pourquoi de nombreux médicaments et suppléments – y compris les huiles de CBD et le zinc – sont souvent mieux absorbés sous la langue plutôt que d’être avalés.
Ainsi, le simple fait d’introduire dans votre bouche des produits à base de viande animale vaccinés avec l’ARNm, s’ils ne sont pas entièrement cuits, peut vous exposer à une sorte de « perte alimentaire » de produits à base d’ARNm qui peuvent être absorbés dans votre sang et circuler dans tout votre corps. Cela peut inclure des protéines étrangères au corps humain.
Pfizer, Bayer et d'autres géants pharmaceutiques ont déjà annoncé des vaccins à ARNm pour les animaux de boucherie
Comme le Dr Robert Malone l'a révélé dans un récent article de Substack , les géants de l'industrie pharmaceutique ont commencé à annoncer des vaccins à ARNm pour les animaux dès 2016. D'après son histoire :
Bayer s'associe à BioNTech pour développer des vaccins à ARNm et des médicaments pour la santé animale (10 mai 2016)
RépondreSupprimerSÉQUIVITÉ : vaccins porcins personnalisés, utilisant des vaccins à ARN (site Web Merck, janvier 2023)
L'acquisition élargit et complète le solide portefeuille de vaccins de Merck Animal Health (communiqué de presse Merck, novembre 2015)
NSW accélère les vaccins à ARNm contre la fièvre aphteuse et la maladie cutanée nodulaire (chez les bovins) (gouvernement australien)
Un accord sur un vaccin à ARNm contre la fièvre aphteuse a été signé entre le gouvernement de Nouvelle-Galles du Sud et la société américaine Tiba Biotech (communiqué de presse de Tiba Biotech)
Il est clair que l’industrie des animaux de ranch est sur le point d’être dépassée par les vaccins à ARNm, qui tueront probablement un nombre choquant d’animaux de ranch (et favoriseront une infertilité croissante) ainsi que contamineront l’approvisionnement en viande avec des artefacts d’ARNm tels que des protéines de pointe. Considérez cela comme une sorte de programme de « dépeuplement des animaux de ranch » visant à éliminer la viande et à forcer les gens à se nourrir de vers de farine et de grillons (voir ci-dessous).
Bientôt, si vous mangez des produits carnés conventionnels, vous mangerez les résultats de la production biotechnologique de la « vaccination » massive des animaux à base d’ARNm.
Si vous mangez de la viande, sachez d'où elle vient
À partir de maintenant, si vous choisissez de manger de la viande, sachez d’où elle vient. S’il provient d’élevages d’animaux industriels, il est presque certain qu’il sera bientôt contaminé par la biotechnologie à ARNm.
Bien que cela reste une hypothèse, il est possible que la cuisson à haute température détruise certaines protéines délicates générées par la biotechnologie de l’ARNm. Pour cette raison, veillez à éviter de manger des produits à base de viande crue/rosée comme les steaks saignants. Cependant, nous ne savons pas encore avec certitude que la cuisson détruit les protéines de pointe, alors soyez prudent lorsque vous consommez des produits carnés provenant de sources conventionnelles. (J'espère que nous en apprendrons davantage sur ce sujet et vous ferons part de nos conclusions.)
Si vous mangez de la viande, faites un effort pour trouver des fournisseurs de viande locaux qui suivent des pratiques plus holistiques et naturelles, comme éviter les injections d'ARNm pour leurs troupeaux. Soutenez l’agriculture locale et vous disposerez d’une ligne d’approvisionnement en aliments plus propres. Choisissez toujours des animaux élevés avec des aliments biologiques sans OGM si possible.
RépondreSupprimerOu vous pourriez manger des vers de farine et des « burgers de coléoptères » pour apaiser les mondialistes
Il semble évident que les mondialistes tentent à la fois de contaminer l’approvisionnement en viande et de l’anéantir au fil du temps, en remplaçant les viandes animales par des larves, des vers de farine, des grillons et des larves de mouches soldats noires, entre autres créatures. Un article de StudyFinds.org met en lumière une étude récente sur les vers de farine qui affirme que ces larves séchées remplaceront bientôt le poulet dans les nuggets de poulet.
Cela ne ressemble-t-il pas à un délicieux déjeuner ? Bientôt, voici ce qui sera proposé aux masses pauvres comme source de protéines :
Pendant ce temps, il ne fait aucun doute que les mondialistes dégusteront des côtes de bœuf à bord de leurs jets privés tout en grignotant des salades biologiques sans OGM, car ils savent qu’une alimentation saine favorise la longévité.
https://www.globalresearch.ca/us-meat-supply-may-soon-widely-contaminated-mrna-proteins-from-biotech-vaccines/5804980
Si les aliments pour les animaux sont autant contaminés que le sont les seringues d'expérimentations géniques d'essais, les veaux qui naîtront, les chevreaux, les œufs de poules le seront tout autant.
SupprimerAu-delà de 1984 d'Orwell, la 5G et le lancement de la 6G : « Il est facile de démolir une société numérique ». La CNUCED tente de réaliser ce scénario catastrophique
RépondreSupprimerPar Peter Koenig
Recherche mondiale,
2 décembre 2023
"L'enfer est vide et les diables sont tous là". William Shakespeare , « La Tempête », 1623
L'analyse contemporaine de Peter Koenig sur « La tempête 2020-2030 »
De la 5G à la 6G
Nous, le peuple, sommes engagés dans une course contre les mondialistes engagés dans la dépopulation ; contrôler les survivants, nous exploiter, nous déshumaniser et, à terme, nous numériser, afin que nous puissions être contrôlés à distance par la 5G ;
Et maintenant, tout juste « lancée » par la Chine, la 6G. Voir La Chine lance une dorsale Internet de nouvelle génération à ultra haut débit – SHINE News .
Personne ne sait vraiment, ou du moins n’a dit publiquement ce que la 6G est censée faire, ce que la 5G ne peut pas déjà faire. Au fait, l’impact sanitaire de la 6G a-t-il été étudié ? Peut être. Mais personne ne divulgue les résultats.
Voici comment Qualcomm décrit la 5G :
Réseau mobile de 5ème génération. Il s'agit d'une nouvelle norme sans fil mondiale après les réseaux 1G, 2G, 3G et 4G. La 5G permet un nouveau type de réseau conçu pour connecter pratiquement tout le monde et tout, y compris les machines, les objets et les appareils. Regarde ça .
Personne n’a ouvertement parlé de l’impact de la 5G sur la santé, mais cela a été étudié. Pourtant, les études ne sont pas révélées au public.
Au-delà du 1984 de George Orwell
Il y a « deviner » ; et les scientifiques qui présentent la vérité décrivant l’impact causé par ces ultra-micro-ondes sur la faune et les humains sont le plus souvent qualifiés de « théoriciens du complot ».
C’est l’expression « taisez-vous » pour tout ce que le courant dominant, la Cabale, Matrix et les mondialistes ne veulent pas que le public sache. Nous sommes bien au-delà de « 1984 » de George Orwell.
Le réseau mobile de 6e génération ou 6G est environ 100 fois plus rapide et plus puissant que la 5G. Il pourra tout numériser.
Voici ce que RantCell a à dire à propos de la 6G :
Fonctionnant sur des bandes de fréquences térahertz, la 6G fournira un débit de données maximal de 1 000 gigabits/s avec une latence aérienne inférieure à 100 microsecondes. Lorsque nous parlons de vitesse du réseau 5G par rapport à la 6G, la vitesse de la 6G devrait être 100 fois plus rapide que celle de la 5G, avec une fiabilité améliorée et une couverture réseau plus large. Regarde ça .
RépondreSupprimerNous, le peuple, sommes engagés dans une course : la vie contre la mort. Si nous nous réveillons et réagissons, le projet des mondialistes, à savoir le projet des protagonistes diaboliques de l'Agenda 2030 de l'ONU et de la Grande Réinitialisation, sera « voué à l'échec ».
Mais si nous continuons à nous laisser duper, nous, le peuple, « irons en enfer ».
C’est la raison pour laquelle l’ensemble du système des Nations Unies cherche désespérément à numériser le monde. Le plus vite sera le mieux, il se peut que nous n’ayons pas assez de temps pour que nous, le peuple, nous réveillions en masse pour reprendre notre monde et nos vies avant qu’il ne soit trop tard.
Le complexe financier, militaire, informatique, médiatique et pharmaceutique nomme la CNUCED
Par conséquent, les Nations Unies, l’organisme politique sous le contrôle total de la cabale mondialiste (ouvertement dirigée par Washington), mais en réalité, par le puissant complexe financier, militaire, informatique, médiatique et pharmaceutique (FMIMPC) , a nommé l’un de ses sous-ministres. agents, la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) comme porte-drapeau – du moins pour l’instant – de l’assaut meurtrier de la toute-numérisation.
La CNUCED – en dérogation flagrante à son mandat historique en faveur des pays en développement, à savoir du Sud global –, uniformisera les règles du jeu, comme on dit, au nom de l’ensemble du système des Nations Unies en annonçant dans un communiqué de presse à Genève le 15 novembre 2023 , sa e-Week du 4 au 8 décembre 2023, dans le cadre d'une refonte majeure de sa série annuelle de Semaines du commerce électronique qui a débuté en 2016.
La Secrétaire générale de la CNUCED, Rebecca Grynspan , a déclaré :
RépondreSupprimer« L’économie numérique joue un rôle essentiel dans la promotion des objectifs de développement à tous les niveaux. Grâce à des discussions inclusives et multipartites, nous pouvons construire ensemble un avenir numérique mondial qui profite à tous.
La tristement célèbre semaine électronique de la CNUCED s'appelle
« E-Week 2023 de la CNUCED pour mobiliser un soutien mondial en faveur d'une économie numérique plus inclusive. »
Sous-titré :
« Plus de 3 000 parties prenantes de 130 pays examineront comment transformer les opportunités numériques en gains de développement partagés et réduire les fractures existantes pour un avenir durable. »
Le texte du communiqué de presse regorge de slogans, de subtilités et de « non-sens » (discours insensés pour les « gnomes vendus aux systèmes »).
Par exemple….
« La conférence a pour thème « Façonner l'avenir de l'économie numérique ». Les sujets comprendront plus de 150 sessions axées sur la résolution des problèmes urgents liés à la numérisation. Les sujets clés porteront sur la gouvernance des plateformes, l’impact de l’intelligence artificielle (IA) sur le développement, les pratiques numériques respectueuses de l’environnement, l’autonomisation des femmes grâce à l’entrepreneuriat numérique et l’accélération de la préparation au numérique dans les pays en développement.
Cette phrase d’introduction manque à peine d’un des jargons mondialistes dénués de sens, qui sont désormais courants et circulent dans l’esprit des gens, sans qu’ils réfléchissent à ce qu’ils signifient réellement.
Attendez une minute, ils ont oublié le terme « durable ». Cela apparaîtra sûrement plus tard dans le texte.
La CNUCED et le « terrain de jeu numérique »
Personnes très importantes (VIP) présentes. Ils parlent également de plusieurs intervenants de haut niveau comme Amandeep Sing Gill , l'envoyé du secrétaire général de l'ONU pour la technologie ; Nizar Ben Neji , ministre tunisien de la communication et des technologies ; ainsi que Henry Puna , secrétaire général du Forum des îles du Pacifique ; et bien d'autres IT-VIP.
Le potentiel de l'IA. Ils ne manquent pas d’exploiter le potentiel de l’intelligence artificielle (IA) , rappelant au monde que le temps presse alors que le monde fait face aux incertitudes entourant les technologies émergentes, y compris l’adoption rapide de l’IA, qui révolutionne de plus en plus l’économie numérique.
RépondreSupprimerC'est clair : notre avenir, l'avenir du peuple, est conçu comme un avenir numérique. Et cela, sans aucune concertation. L’organisme des Nations Unies et ceux qui tirent ses ficelles envisagent de décider pour nous, le peuple. Mais seulement si nous les laissons faire.
L’égalisation des règles du jeu numérique se concentrera sur les flux massifs de données provenant de l’économie numérique et appellera des réponses de gouvernance mondiale à la concentration du marché et à la répartition inégale des bénéfices.
Ils affirment que plus de 70 % des revenus publicitaires numériques mondiaux sont reversés à seulement cinq plateformes numériques.
Alors, que comptent-ils faire à ce sujet ? Rien. Car ces cinq plateformes numériques contrôlent déjà le monde – Alphabet, Amazon, Apple, Meta et Microsoft . Ces mastodontes contrôlent environ 9 000 milliards de dollars de communications informatiques. Et maintenant, ajoutez « X » (ancien Twitter ) et l’horizon du changement semble ultra sombre, surtout pas pour un organisme mineur de l’ONU, appelé CNUCED.
Ce n’est de loin pas tout.
À l'ordre du jour figure également un autre slogan : Exploiter la promesse numérique, qui prédit et promet que l'économie numérique basée sur les données recèle un vaste potentiel permettant aux pays de stimuler la croissance économique, de favoriser l'innovation et de réduire les obstacles géographiques et physiques au développement inclusif.
Voici la cerise finale sur le gâteau :
La numérisation au service du développement – la plateforme de la semaine électronique de la CNUCED pour un dialogue constructif et inclusif vise à générer des idées et des actions qui peuvent alimenter les efforts mondiaux, en particulier le Pacte numérique mondial des Nations Unies en cours, visant à catalyser un avenir numérique ouvert, libre et sécurisé pour tous. , en vue du Sommet du futur de l'ONU de 2024 .
Et pour tout cela, ils ont besoin de partenariats plus solides ; en particulier avec les multiples crises mondiales qui se déroulent sur les fronts géopolitiques, économiques et climatiques, les pays doivent prendre des décisions cruciales pour tracer la voie de la numérisation vers un développement équitable et durable .
RépondreSupprimerIls parlent peut-être du pacte contraire à l’éthique et illégal de 2019 entre le Forum économique mondial (FEM) de Klaus Schwab et les Nations Unies, ainsi que des guerres et des conflits mondiaux sans raison provoqués par l’homme, du chaos et des meurtres, juste pour tenir la population à distance. confus et distrait.
Ceci complète le slogan : l’équité et la durabilité ne sont pas oubliées.
« Démanteler une société numérique »
En lisant entre les lignes et au-delà des slogans et du jargon numérique de la propagande, il n’est pas difficile de constater que nous nous dirigeons de plus en plus rapidement vers l’asservissement numérique.
Considérez ce que Tucker Carlson a dit dans une récente interview : il est facile de « détruire une société numérique ».
Pensez-y.
Si tout autour de nous est géré par des signaux numériques contrôlés par la « Cabale mondialiste » (à savoir le FMIMPC), un ou quelques interrupteurs peuvent désactiver nos différents réseaux :
approvisionnement en eau, électricité, gaz, énergies de toutes sortes,
approvisionnement alimentaire,
livraisons de carburant,
des signaux de trafic,
tous les transports,
toutes les communications,
l'argent sur nos comptes, et bien plus encore.
Les impacts sur la vie des gens sont indescriptibles. Il n'a pas besoin d'une explosion nucléaire pour mettre en œuvre son programme de dépopulation, ni des soi-disant « mangeurs inutiles » (une citation de l'Israélien Yuval Noah Harari du WEF ), qui pourraient également mettre en danger ceux qui contrôlent les interrupteurs.
Et nous, le peuple, serions complètement impuissants.
Écoutez l'interview de Tucker Carlson (début à 05h00).
- voir clip sur site -
À présent, il devrait être clair pour nous tous ce qui est progressivement et, à bien des égards, imperceptiblement préparé pour nous : Nous, le Peuple, sommes le « Mal pur ».
RépondreSupprimerC'est Nous qui sommes dans la Matrice. Les élites qui contrôlent les quelques commutateurs pour exécuter la fin du jeu sont en dehors de la matrice. Ils garderont leurs lignes d’approvisionnement ouvertes – de tout, dans l’espoir de vivre dans un paradis où nous, le peuple, ne possédons rien mais sommes heureux.
Ils contrôlent à distance la Matrix. Nous, les gens autoproclamés « aux pilules rouges », pensions que nous étions à l’extérieur et que nous pouvions observer le chaos se créer à l’intérieur.
C'est l'inverse.
Ne vous laissez pas berner. Il s’agit d’une confrontation entre les élites puissantes, à savoir le complexe financier, militaire, informatique, médiatique et pharmaceutique (FMIMPC) et nous, le peuple , à savoir l’humanité agissant dans le monde entier à la base de la société.
https://www.globalresearch.ca/pretty-easy-take-down-society-digital-tucker-carlson-%e2%80%a8unctad-attempts-accomplishing-doom-scenario/5840406
La déclaration sur l'alimentation et l'agriculture à la COP28 est une étape importante pour les négociations sur le climat
RépondreSupprimer3 Décembre 2023
Mark Lynas, Alliance pour la Science*
Pour la première fois lors d'une Conférence des Parties (COP) sur le climat, l'alimentation et l'agriculture semblent être prises au sérieux. Le 1er décembre, 134 dirigeants mondiaux ont signé une déclaration historique sur l'agriculture, l'alimentation et l'action climatique, qui vise à réduire les émissions dues à l'agriculture tout en améliorant la sécurité alimentaire et en protégeant les moyens de subsistance des agriculteurs. Parmi les pays signataires figurent les grands noms de l'agriculture que sont le Brésil, les États-Unis et la Chine, représentant 5,7 milliards de personnes.
La Déclaration des Émirats Arabes Unis sur l'Agriculture Durable, les Systèmes Alimentaires Résilients et l'Action Climatique, adoptée lors de la COP28, marque le passage à l'âge adulte d'un secteur historiquement négligé dans le processus des COP, bien qu'il représente jusqu'à un tiers des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Les scientifiques s'accordent à dire que si l'on ne se préoccupe pas de l'alimentation et de l'agriculture, il y a peu de chances que le monde atteigne les objectifs de 1,5 à 2 °C fixés par l'Accord de Paris.
Soutenir les travailleurs agricoles et leurs moyens de subsistance
La déclaration engage les dirigeants mondiaux à renforcer l'aide à l'adaptation pour les agriculteurs, à promouvoir la sécurité alimentaire, à soutenir les travailleurs agricoles et leurs moyens de subsistance, à renforcer la gestion de l'eau et à réduire les émissions de gaz à effet de serre provenant de l'agriculture. En particulier, l'agriculture devrait désormais être incluse dans les CDN, les plans nationaux d'adaptation et les autres stratégies climatiques nationales.
Les dirigeants se sont également engagés, d'ici à 2025, à « accélérer et généraliser les innovations fondées sur la science et sur des données probantes – y compris les connaissances locales et autochtones – qui augmentent la productivité et la production durables de l'agriculture ». Cependant, la déclaration ne dit rien sur la nécessité de réduire la consommation de viande et de produits laitiers dans les pays riches ou de se concentrer sur l'utilisation parcimonieuse des terres dans la production alimentaire, deux éléments qui, selon les écologistes, sont essentiels pour réduire la perte de biodiversité et restaurer les écosystèmes.
Mme Sheila Ochugboju, directrice de l'Alliance pour la Science, a réagi à la déclaration : « Il est extrêmement positif pour le début de cette COP de voir que l'alimentation et l'agriculture figurent déjà en bonne place à l'ordre du jour. Je suis très encouragée de voir des mentions spécifiques pour la science et les innovations fondées sur des preuves dans le contexte d'une déclaration qui reconnaît fortement les défis continus de l'insécurité alimentaire et la nécessité de s'attaquer à la situation critique des petits exploitants agricoles à travers le Sud mondial à mesure que le changement climatique s'accélère. »
Accélérer le développement des innovations
Un partenariat entre les Émirats arabes unis et la Fondation Bill et Melinda Gates (qui finance en partie l'Alliance pour la Science) a également été annoncé lors de la COP. Ce partenariat prévoit l'affectation de 200 millions de dollars à l'accélération du développement d'innovations qui aideront les petits exploitants agricoles d'Afrique subsaharienne et d'Asie du Sud à renforcer leur résilience et à s'adapter au changement climatique.
La Fondation appelle également les donateurs à soutenir l'objectif d'investissement du réseau mondial de recherche agricole CGRAI (CGIAR en anglais), qui l'aidera à atteindre 500 millions d'agriculteurs d'ici à 2030 et à réduire les émissions du secteur d'une gigatonne par an.
RépondreSupprimerLe co-président de la Fondation, Bill Gates, a également prononcé un discours lors de la COP le 1er décembre, dans lequel il a vanté les avantages des variétés de maïs tolérantes à la sécheresse et résistantes à des maladies, qui aident déjà les agriculteurs du Zimbabwe à récolter suffisamment de maïs supplémentaire « pour nourrir leurs familles pendant neuf mois ». M. Gates a déclaré : « Les pays doivent respecter l'engagement qu'ils ont pris il y a deux ans à Glasgow de doubler le montant du financement de l'adaptation d'ici à 2025, y compris en soutenant l'objectif du GCRAI de lever 4 milliards de dollars », et il a rappelé aux délégués qu'« aucun autre effort d'adaptation au changement climatique n'aura autant d'impact ».
Variétés améliorées de cultures naturellement tolérantes au stress
« Nous sommes prêts à développer rapidement des innovations qui ont fait leurs preuves et qui aident déjà les agriculteurs des régions vulnérables comme l'Afrique et l'Asie du Sud à s'adapter à des conditions climatiques plus difficiles », a déclaré le professeur Lindiwe Majele Sibanda, présidente du conseil d'administration du GCRAI. « Il s'agit notamment d'améliorer l'accès aux variétés améliorées de cultures naturellement tolérantes au stress, comme le manioc et le millet, d'employer de nouveaux outils et stratégies que les agriculteurs utilisent pour soutenir des écosystèmes sains en réhabilitant les terres dégradées, et de fournir des prévisions climatiques à long terme qui aident les agriculteurs à anticiper et à gérer les extrêmes météorologiques et les changements de régimes pluviométriques. »
« Il n'y a pas de voie pour atteindre les objectifs de l'Accord de Paris sur le climat et maintenir 1,5 °C à portée de main qui ne prenne pas en compte de manière urgente les interactions entre les systèmes alimentaires, l'agriculture et le climat », a déclaré S.E. Mariam bint Mohammed Almheiri, ministre des Émirats Arabes Unis chargée du changement climatique et de l'environnement et chef de file des systèmes alimentaires de la COP28.
« Les pays doivent placer les systèmes alimentaires et l'agriculture au cœur de leurs ambitions climatiques, en s'attaquant à la fois aux émissions mondiales et en protégeant les vies et les moyens de subsistance des agriculteurs qui vivent en première ligne du changement climatique. L'engagement pris aujourd'hui par les pays du monde entier contribuera à la mise en place d'un système alimentaire mondial adapté à l'avenir », a-t-elle ajouté.
RépondreSupprimerhttps://seppi.over-blog.com/2023/12/la-declaration-sur-l-alimentation-et-l-agriculture-a-la-cop28-est-une-etape-importante-pour-les-negociations-sur-le-climat.html
Conférence mondiale sur le climat dans la chaude ville de Dubaï : le roi Charles du Royaume-Uni veut 5 000 milliards pour NetZero et d'autres bizarreries
RépondreSupprimer3 décembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Des milliers d'hommes politiques, de célébrités et de bureaucrates d'organisations internationales se réunissent actuellement à Dubaï, où il fait actuellement une température très agréable de 28 degrés. Des projets sont élaborés qui sont difficiles à battre en termes d'absurdité. Bien entendu, le chancelier autrichien à court terme ne peut pas manquer parmi les pseudo-célébrités présentes.
Le roi Charles de Grande-Bretagne a appelé les contribuables du monde entier à débourser 5 000 milliards de dollars chaque année pour faire avancer le programme mondialiste « NetZero ». Cela rappelle beaucoup ZeroCovid : les initiatives zéro ont connu les mêmes succès (échecs).
« NetZero » est une liste d’objectifs irréalistes fixés par le Forum économique mondial (WEF) avec le soutien des Nations Unies (ONU) pour faire avancer un programme mondialiste. Sous couvert de protection de l’environnement, les objectifs inaccessibles du « NetZero » entraîneraient la faillite de la société et rendraient le public dépendant d’une élite corporatocratique non élue.
La Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques de 2023 ou Conférence des parties à la CCNUCC (COP28) aura lieu à Dubaï, aux Émirats arabes unis, dans les prochaines semaines. Il est présenté comme un « sommet mondial sur le climat » et constitue le premier « bilan mondial » visant à évaluer les progrès réalisés dans le cadre de l’Accord de Paris.
Lors du discours du roi Charles III. Lors de la cérémonie d’ouverture de la COP28, il a réclamé entre 4,5 et 5 000 milliards de dollars par an pour stimuler le changement nécessaire en raison du « changement climatique ».
« Il y a vingt-huit ans, j'ai été très touché lorsqu'on m'a demandé de prendre la parole à l'ouverture de la COP21 à Paris, qui a bien sûr abouti à l'Accord de Paris », a déclaré Charles III. à la COP28.
L'Accord de Paris, adopté en décembre 2015 lors de la conférence sur le climat COP21, stipule que l'augmentation des températures moyennes mondiales doit être maintenue bien en dessous de 2°C au-dessus des « niveaux préindustriels » et que des efforts seront faits pour limiter l'augmentation de la température à 1,5. °C le « niveau préindustriel ». De préférence, on utilise le niveau de la période Dalton Minimum, la période antérieure à 1850 avec une activité solaire réduite, de manière à obtenir l'un des points de départ les plus bas des 10 000 dernières années.
La lutte contre Moulins à ventméthane
RépondreSupprimerLe chancelier autrichien à court terme Sebastian Kurz estime également que la lutte contre le méthane est importante et c'est pourquoi il republie :
« Aujourd'hui, les pays, les philanthropes et l'industrie ont dévoilé plus d'un milliard de dollars de financement pour la réduction des émissions de méthane, qui serviront de catalyseur pour une action mondiale visant à réduire les émissions conformément au #GlobalMethanePledge, en particulier dans les pays en développement. »
Un grand milliard d’entreprises et de fondations oligarchiques qui attendent des profits élevés de cet investissement, à l’image de la campagne de vaccination contre le C19.
Le méthane, l’hydrocarbure de formule CH4, est le gaz à effet de serre le moins pertinent. Un article rédigé par Will Happer, professeur de physique à Princeton, et WA van Wijngaarden, du Département de physique et d'astronomie de l'Université York au Canada, explique que même si le forçage radiatif de chaque molécule de méthane est 30 fois supérieur à celui d'une molécule de gaz carbonique, l'augmentation de l'énergie mondiale méthane mais est 300 fois inférieure à celle du gaz carbonique. En conséquence, le méthane n’est qu’un dixième (30/300) aussi puissant que le dioxyde de carbone. Selon le journal, un doublement des émissions de méthane ne représenterait qu’une infime fraction de l’effet de serre global.
D’ailleurs, il y a aussi quelques leçons à tirer sur les effets des gaz à effet de serre dus aux conditions météorologiques qui prévalent actuellement en Europe. Dans certaines régions, il y a eu plusieurs jours de brouillard accompagné de chutes de neige. Le résultat était une température constante jour et nuit pendant une longue période. La couche supérieure de vapeur d'eau et les nuages réfléchissent une grande partie de la lumière solaire, le brouillard capte en grande partie le rayonnement infrarouge du sol et en réfléchit la majeure partie vers le bas. Le résultat est une température constante.
Les courants d'air modifiés apportent de l'air clair avec de faibles niveaux de vapeur d'eau, ce qui entraîne des températures nocturnes 10 degrés inférieures aux températures diurnes. La vapeur d’eau a disparu, le gaz carbonique et le CH4 n’ont qu’une influence marginale, voire inexistante, sur les variations de température.
Il existe un grand nombre d'études scientifiques qui montrent que tout ce qui vient de l'IPCC et qui est diffusé lors de ces conférences COP est politique et donc absurde, la plus récente publiée par TKP peut être trouvée ici .
Des choses étranges
RépondreSupprimerKurz se laisse prendre dans les bras du président de la COP, le sultan Ahmed al-Jaber, pour un selfie. Il est également à la tête de la compagnie pétrolière publique Adnoc d'Abu Dhabi. Même si le deuxième travail d'Al-Jaber est certainement logique. La première consiste davantage à offrir aux célébrités arrivées en jet privé un moment agréable au chaud.
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Quand le cycle chaud se terminera et que les grands froids reviendront, ce qui est inéluctable, nos sociétés dites « modernes » se trouveront fort démunies.
RépondreSupprimerle 3 décembre 2023
par pgibertie
Il fait froid, sans vent, il faut alimenter les équipements techniques. Les éoliennes ne produisent pas. Ce matin le offshore (éolien en mer) était à l’arrêt. Pas de production mais une consommation de 5,25MW. C’est 5,25 millions de Watts, via Jacques Fauconnier
Premiers -50°C de la saison en #Russie avec jusqu’à -53,4°C à Iema [Иэма], proche des niveaux records de début décembre !
Le froid est arrivé, ce n’est pas à cause du gaz carbonique, des gaz à effet de serre et des énergies fossiles. Les climatologues ont-ils menti ? https://youtu.be/SIICuQVAwR8 Les changements climatiques sont dus à 7 paramètres principaux dont les 3 paramètres astronomiques de Milankovic.
https://pgibertie.com/2023/12/03/quand-le-cycle-chaud-se-terminera-et-que-les-grands-froids-reviendront-ce-qui-est-ineluctable-nos-societes-dites-modernes-se-trouveront-fort-demunies/
L’expansion de la censure européenne au point mort
RépondreSupprimer3 décembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Comme chacun le sait, les dirigeants européens souhaitent avoir un accès complet aux chats et saper le cryptage. Le fait qu’une autre pierre angulaire des droits fondamentaux et des droits de l’homme soit enterrée ne dérange personne parmi les eurocrates. Le prétexte est généralement de protéger les enfants. Mais ces plans n’ont pas été approuvés cette fois par le Conseil de l’UE.
Le député pirate Patrick Breyer écrit à ce sujet sur son blog sous le titre : « L'extension du contrôle volontaire du chat est un aveu de l'échec de Zensursula ! » :
Après que les projets de l'UE visant à filtrer massivement les communications privées et à abolir le cryptage sécurisé (chat control 2.0) aient été suspendus en raison d'un manque de majorité au Conseil de l'UE, la Commission européenne propose maintenant une extension du contrôle volontaire des chats existant, qui était auparavant limité au 3 août 2024, il y a deux ans. La procédure accélérée prévue n'a pas encore été communiquée par la Commission européenne. Pour l’eurodéputé et principal opposant au contrôle des chats, le Dr. Pour Patrick Breyer (Parti Pirate), qui est également négociateur de son groupe, cette proposition est un aveu d'échec :
«Le statu quo désormais envisagé est un aveu de l'échec des machinations scandaleuses du président de la Commission 'Zensursula' et de la commissaire à l'intérieur 'Big Sister' Johansson pour imposer un contrôle autoritaire des discussions. Avec leur attaque ratée contre la correspondance numérique et leur cryptage sécurisé, du jamais vu dans le monde libre, ces « grandes sœurs » ont la responsabilité de veiller à ce que rien ne soit réalisé pour mieux protéger nos enfants. Avec leur obsession incorrigible pour la surveillance de masse, les commissaires européens empêchent des mesures de protection réellement efficaces, par exemple via des services Internet sécurisés (Security by Design). Les victimes d’abus méritent des responsables politiques capables d’assurer une protection de l’enfance efficace, majoritaire, conforme aux droits fondamentaux et juridiquement contraignante – comme l’est le consensus de tous les partis au Parlement européen.»
Dans le même temps, Breyer critique l'instrument de contrôle volontaire des chats : « À ce jour, la commission n'a pas encore soumis de rapport sur l'efficacité supposée du contrôle volontaire des chats, ce qui est attendu depuis des mois. Ce n’est pas étonnant : la surveillance volontaire et massive de nos communications privées par des services américains tels que Meta, Google ou Microsoft ne contribue pas de manière significative au sauvetage des enfants maltraités ni à la condamnation des agresseurs, mais criminalise à son tour des milliers de mineurs, surcharge les procureurs et ouvre la porte à des poursuites judiciaires. justice privée arbitraire par les sociétés Internet.
« La réglementation sur le contrôle volontaire des chats est à la fois inutile et contraire aux droits fondamentaux : les réseaux sociaux comme les services d'hébergement n'ont pas besoin d'une réglementation pour vérifier les publications publiques. Et les rapports d'activités suspectes, sujets aux erreurs, issus du filtrage des communications privées par le méta-groupe de Zuckerberg n'apparaîtront plus en raison de l'introduction annoncée du cryptage de bout en bout à la fin de l'année. L' avis juridique d'un ancien juge de la CJCE montre que le contrôle volontaire du chat est contraire aux droits fondamentaux. Une personne victime d'abus et moi-même poursuivons. Et le ministère du Numérique a confirmé que la réglementation exceptionnelle ne rend pas du tout possible le contrôle volontaire des chats en Allemagne. "
RépondreSupprimerLa Commission européenne et le Parlement travaillent intensivement pour créer les conditions-cadres et les possibilités techniques nécessaires à une collecte de données et à un suivi transparents de tous les citoyens. Il faut collecter des données depuis l' état de santé jusqu'à l'état technique de la voiture, qui sera expropriée et mise au rebut si elle ne plaît plus aux eurocrates et les citoyens seront vaccinés de force. Le point central est une identité numérique obligatoire pour tous.
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Un jet privé d'Occidental se rend deux fois dans la ville natale de Buffett au milieu des spéculations sur un accord majeur sur le schiste
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 03 DÉCEMBRE 2023 - 14:45
Dans un geste qui fait sourciller l'ensemble du secteur de l'énergie, le jet privé d'Occidental Petroleum Corp. a effectué non pas une mais deux escales dans un aéroport local d'Omaha, dans le Nebraska, en novembre.
L’intrigue s’épaissit si l’on considère qu’Omaha est l’endroit où réside Warren Buffett, le principal actionnaire d’Occidental.
Ces visites surviennent alors qu’Occidental se prépare à un nouvel accord sur les gisements de pétrole de schiste, d’une valeur de plusieurs milliards de dollars.
Bloomberg rapporte que l'avion d'Occidental a décollé de Houston, où se trouve le siège social de la société, et a atterri lundi à l'aérodrome d'Eppley à Omaha.
L'avion est resté au sol pendant trois heures, s'est envolé pour New York et est revenu à Houston vers minuit.
Le suivi de l'avion a été rendu possible grâce au site Web de suivi des vols ADS-B Exchange, qui surveille la technologie de surveillance avancée intégrée aux avions qui volent dans un espace aérien hautement réglementé.
La nouvelle du jet d'Occidental zigzaguant autour du comté est arrivée quelques jours avant que Bloomberg n'annonce qu'Occidental était en pourparlers pour acheter le foreur de schiste CrownRock LP pour 10 milliards de dollars. Les données ADS-B Exchange ont montré que l'avion s'était rendu à Omaha deux fois le mois dernier.
Les dernières données de Bloomberg montrent que Berkshire Hathaway Inc. de Buffett détient 25,90 % d'Occidental.
- voir cadre sur site -
L'activité récente de l'avion à réaction d'Occidental nous rappelle l'époque où les hedge funds suivaient l'avion en 2019, lorsque la société a surenchéri sur Chevron Corp. pour acheter Anadarko Petroleum Corp. pour 55 milliards de dollars.
https://www.zerohedge.com/markets/occidental-private-jet-visits-buffetts-hometown-twice-amid-speculation-major-shale-deal
Deux tiers des articles scientifiques rejettent les contributions humaines au changement climatique
RépondreSupprimer2 décembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Un article du TKP a démantelé aujourd’hui la construction de mensonges élaborés par l’OMS, l’UE, l’ONU, les « experts » loyaux et les différents « ministres de la Santé » pour mener à bien la « pandémie » de Corona. Quelque chose de similaire se produit avec le climat. Avec la petite mais importante différence qu’il existe une forte résistance de la part des scientifiques qui publient et qui sont engagés dans leur science et dans les découvertes qu’ils ont faites.
Cependant, une étude affirme que seulement 0,5 % des articles scientifiques rejettent la contribution humaine au changement climatique. Il s'agit d'une étude méthodologiquement erronée de 2021 (Lynas et al. « Un consensus supérieur à 99 % sur le changement climatique causé par l'homme dans la littérature scientifique évaluée par les pairs »), qui affirme que 99,53 % des 3 000 articles scientifiques examinés (grâce à une classification subjective de (articles basés uniquement sur ce qui est écrit dans les résumés) soutiennent la position anthropique sur le réchauffement climatique ou AGE.
Dans une nouvelle étude, six scientifiques ( Dentelski et al., 2023 ) décortiquent les affirmations de Lynas : « 99 % ? Réexaminer le consensus sur la contribution anthropique au changement climatique « (99 % ? Le consensus sur la contribution anthropique au changement climatique sous surveillance).
Les auteurs de Lynas supposent que non seulement il existe un consensus sur la cause humaine du réchauffement climatique, mais qu'il est également établi comme la position dominante incontestée dans la littérature scientifique.
Leur intention était donc de quantifier efficacement la force de cet accord largement répandu en développant un système de notation qui évaluerait uniquement le rejet explicite d’AGE dans le résumé de l’article comme ne soutenant pas le « consensus » supposé.
Sur les 3 000 répertoriés dans Lynas et al. Parmi les articles analysés, 282 ont été classés comme n’étant pas « suffisamment liés au climat ». 2 104 autres articles ont été classés dans la catégorie 4, ce qui signifie que les auteurs n'ont pris « aucune position » ou que leur position sur l'AGE a été décrite comme « incertaine » dans le résumé…. Profitant de la classification « si vous n'êtes pas contre, vous êtes pour », Lynas et ses collègues ont déterminé que les auteurs de ces 2 104 articles scientifiques de catégorie 4 sont effectivement d'accord avec le changement climatique, puisque le résumé ne dit pas explicitement qu'ils ne sont pas d'accord.
Ce qui est intéressant est que si cette erreur de classification n’avait pas été appliquée et que les milliers d’articles de catégorie 4 (« aucune position » ou « incertaine ») n’avaient pas été comptés comme défenseurs du changement climatique, seulement 892 des 2 718 articles (liés au climat) , soit 32 % pourraient être classés comme défenseurs du changement climatique. Ainsi, si l’on suppose simplement qu’on ne peut pas deviner les opinions des auteurs d’articles scientifiques en lisant des résumés, on pourrait tout aussi bien dire que 67 % (1 826 sur 2 718) des articles liés au climat rejettent l’AGW.
Dentelski et ses collègues soulignent également que, selon leur propre analyse, 54 % des articles qu'ils ont examinés, ceux de Lynas et al. classés comme étant uniquement un soutien « suggestif » (catégorie 3) en faveur du changement climatique ou comme catégorie 4 (« aucune position » ou « incertain »), décrivent un manque de soutien en faveur du changement climatique dans le corps du document lui-même. Cependant, comme cette non-promotion explicite du changement climatique n’a pas été présentée dans le résumé, ces articles ont de toute façon été classés à tort comme des défenseurs du changement climatique.
RépondreSupprimerPour saisir pleinement la nature subjective de la méthodologie utilisée par Lynas et ses collègues, Dentelski et al. examinez les éléments internes de l'étude et constatez que 58 % du temps, deux évaluateurs indépendants ne parviennent pas à s'entendre sur une échelle de classification numérique (de 1 à 7) pour un article. Si deux personnes s’accordent sur la notation des épreuves seulement 42 % du temps, on ne peut pas dire que le système de notation soit suffisamment objectif.
En appliquant la même méthodologie basée sur des hypothèses que celle de Kynas, on arrive à la conclusion formulée dans le titre ci-dessus.
Nombre massif d’études anti-AGE implicites
Les articles du TKP ont cité de nombreuses études, à commencer par les Principia de 1687 d'Isaac Newton, qui abordent l'influence des variations orbitales du Soleil et de la Terre et le rôle de l'activité solaire. Car il s’avère simplement qu’une augmentation de la distance Soleil-Terre entraîne un refroidissement, tout comme la réduction cyclique de l’activité solaire. Tout cela ne serait probablement pas « suffisamment lié au climat » pour Lynas and Co.
Par exemple, cet article soutient que les cycles solaires se comportent actuellement d'une manière très similaire à ce qu'ils étaient il y a environ 400 ans, ce qui signifie que nous nous dirigeons vers une phase comme le minimum de Maunder au 17ème siècle. Nous devrions donc être en plein milieu d'ici 2040 environ, comme le montrent ces deux travaux cités dans l'article ( Miyahara et Brehm ).
À cette époque, il faisait encore plus froid qu'au minimum de Dalton au milieu du XIXe siècle, qui est également toujours utilisé comme période de référence préindustrielle pour le réchauffement climatique. Cela signifierait une diminution du rayonnement d'environ 0,22 %, ce qui correspond à 3 W/m2 en moyenne près du sol (Lean et al., 1995), ce qui impliquerait une diminution de la température de 1 à 1,5 degrés (Easterbrook, 2016).
Les positions des hystéristes du climat au sein de l'IPCC de l'ONU font également l'objet de critiques explicites, comme l'article d'Arthur Rörsch et Peter A. Ziegler (2013), intitulé « POURQUOI LES SCIENTIFIQUES SONT 'SCEPTIQUES' À PROPOS DU CONCEPT AGW » (POURQUOI LES SCIENTIFIQUES SONT 'SCEPTIQUES' À PROPOS DU CONCEPT AGW ) CONCEPT DEM AGE « SCEPTIQUE »).
On y lit :
RépondreSupprimerLe fort effet climatique de l’augmentation des concentrations atmosphériques de gaz carbonique revendiqué par l'IPCC contredit l’évolution climatique des temps géologiques, historiques et récents. Bien que les concentrations atmosphériques de gaz carbonique aient continué à augmenter pendant la période industrielle, les températures n’ont pas augmenté de manière constante pour atteindre les niveaux actuels, mais ont plutôt stagné, voire légèrement diminué, au cours des années 1880 à 1900, de 1945 à 1977 et de nouveau depuis 1998.
Le rayonnement solaire total a augmenté d'un minimum en 1890 à un premier pic en 1950, suivi d'une forte baisse jusqu'en 1977, conduisant à une période d'augmentation rapide du rayonnement qui a culminé en 2002, lorsque l'activité solaire a commencé à décliner et peut-être à un nouveau faible comme au Petit Âge Glaciaire.
L'effet de serre revendiqué par l'IPCC et largement propagé par l'augmentation des concentrations de gaz carbonique dans l'atmosphère est particulièrement gênant car il est largement surestimé sans justification scientifique adéquate. Les grandes fluctuations climatiques observées au cours des périodes géologiques et historiques, ainsi que le manque de compréhension du comportement de systèmes complexes, remettent sérieusement en question le concept de réchauffement climatique anthropique (AGE) promu par l'IPCC.
La variabilité climatique au cours de la période industrielle était largement déterminée par les changements dans l’activité solaire, la teneur croissante en gaz carbonique de l’atmosphère jouant un rôle mineur. L’effet régulateur du climat que l'IPCC attribue à l’augmentation des concentrations atmosphériques de gaz carbonique est rejeté car les modèles à l’appui ne correspondent pas aux observations.
Enfin, d’un point de vue historique et scientifique et philosophique, les auteurs examinent la question de savoir pourquoi la recherche actuelle sur le climat et les évaluations du IPCC ont pu être sur la mauvaise voie pendant plusieurs décennies.
RépondreSupprimerIl est peu probable que l'article ait été inclus dans les réflexions de Lynas, comme celles sur le soleil. L'IPCC nie que le soleil ait quelque chose à voir avec le changement climatique.
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Le roi Charles prononce un discours hautement politisé pour soutenir le projet collectiviste Net Zero
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 03 DÉCEMBRE 2023 - 14H10
Rédigé par Chris Morrison via The Daily Sceptic,
Ça aurait pu être pire. Le roi Charles aurait pu monter sur son estrade dans le désert et déclarer que nous n’avions que 96 mois pour éviter « un effondrement irrémédiable du climat et des écosystèmes ». Mais c’était le bon Charlie en 2009, nous faisant bénéficier de sa sagesse scientifique en sandwich. De nos jours, c’est le mauvais temps à la mode et les « points de bascule » indéfinis. L’homme est désormais roi, et lors de la COP28, il a abandonné son ennuyeux rôle constitutionnel politiquement neutre, s’est enveloppé de pseudosciences gardiennes et a frappé durement les pauvres qui seront obligés de payer pour la folie collectiviste qu’est le projet Net Zero.
Le roi Charles n’est pas un ami de l’humanité en général. S'exprimant lors de la COP28, il a déclaré : « La Terre ne nous appartient pas, nous appartenons à la Terre. » Comme beaucoup d’élitistes qui connaissent leur place, il semble détester l’impact que les humains ont sur la planète. Il affiche, malheureusement sur la scène mondiale, un mépris snob pour le capitalisme – ce que les cercles aristocratiques britanniques considéraient autrefois comme du « commerce ». Cette tendance capitaliste des 200 dernières années a exploité le pouvoir des hydrocarbures naturels pour élever des milliards de personnes à un niveau de vie et de santé inimaginable pour les générations précédentes. En 2009, Charles a déclaré que nous ne pouvions plus nous permettre le consumérisme et que « l’ère de la commodité » était révolue.
Pas pour le nouveau roi britannique, cela n’a guère besoin d’être observé. Il mène une vie d'indulgence choyée où aucune dépense n'est épargnée pour assurer tout son confort. Lors de son accession au trône, il agrandit considérablement son portefeuille de palais. Pour diffuser ses fantasmes malveillants de Net Zero, il dispose d’une flotte de voitures, d’avions privés et même d’un train personnel. Il les utilise pour appeler à une « action transformationnelle » pour sauver la planète. Dans son discours à la COP28, il a appelé à la restauration de la nature, à la nécessité d'une agriculture durable et à la coopération entre les secteurs public et privé.
Peu d’appels pourraient avoir un ton plus politique. La restauration de la nature et l’agriculture durable sont synonymes de régimes alimentaires largement exempts de viande et de réductions massives des engrais azotés. Cette dernière situation, en particulier, entraînera une famine mondiale. La COP28 semble prête à annoncer de nouvelles restrictions alimentaires et agricoles en utilisant la tactique de diaboliser le méthane, un gaz émis par les animaux et les humains à peine mesurable dans l’atmosphère en raison de son cycle de vie très court. Chaque fois que le sujet de la « coopération » entre les secteurs public et privé est évoqué, on se précipite immédiatement pour compter les cuillères, car cela ne peut que signaler un transfert important d’argent des industries productives vers des opérations vertes improductives et de qualité inférieure.
À un moment donné de son discours à la COP, le roi Charles a basculé dans le territoire du panneau sandwich en affirmant que « nous constatons que des points de basculement alarmants sont atteints ». Aucune preuve n’a été présentée pour justifier cette affirmation, souvent formulée par des extrémistes climatiques utilisant des données modélisées. En fait, il n’a même pas fait référence à un véritable événement de « pourboire » qui aurait été atteint. De nombreux scientifiques ont conclu que les événements météorologiques mauvais ou extrêmes ne sont pas pires que ceux du passé immédiat. De nombreuses catégories de catastrophes naturelles telles que les inondations, les sécheresses et la productivité des écosystèmes « ne montrent aucune tendance positive claire des événements extrêmes », notent un groupe de quatre scientifiques italiens. Ils affirment que les données montrent qu’il n’y a pas d’« urgence climatique ».
RépondreSupprimerAucun de ces faits ne semble avoir d’importance pour un roi politique qui, comme un dossier coincé du Guardian, continue de raconter des histoires émotionnelles inventées sur l’imminence d’un Armageddon climatique. À un moment donné, il a évoqué les cyclones répétés qui frappaient les îles vulnérables, ce que les cyclones ont toujours fait.
- voir graph sur site -
Le roi peut toujours sélectionner des tempêtes individuelles, mais il existe de nombreuses preuves montrant que la fréquence des ouragans et des cyclones, ainsi que leur intensité, ont peu changé au cours des récents enregistrements historiques, comme le montre le graphique ci-dessus.
Les incendies de forêt sont un peu ratés lorsqu’il s’agit d’attiser l’hystérie climatique, notamment parce que le Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique/IPCC) note que la plupart des conflagrations sont déclenchées par des humains. « Les activités humaines sont devenues le moteur dominant », observe-t-il. Mais lorsqu’il y a un travail politique Net Zero à faire, le roi n’est que trop heureux d’ignorer les preuves. Comme de nombreux autres pays cette année, le Canada a connu ses pires incendies de forêt depuis un siècle, a-t-il déclaré.
- voir graph sur site -
Malgré toute l’implication humaine, le graphique ci-dessus montre le déclin progressif des émissions mondiales dues aux incendies de forêt au cours des dernières décennies. En fait, il est presque impossible d’attribuer aux incendies de forêt un quelconque changement climatique, car de nombreux autres facteurs, tels que les incendies criminels et la gestion des terres, entrent en jeu.
RépondreSupprimerNet Zero devient rapidement la question politique dominante de notre époque. Sa nature collectiviste évidente recueille le soutien d’intérêts majoritairement sectoriels de la société. Il ne bénéficie d’aucun soutien populaire significatif, car il vise à restreindre les modes de vie et la richesse des humains à une échelle jamais tentée auparavant dans l’histoire. Il regorge de science indésirable, de fausses statistiques et de modèles informatiques.
La défunte reine, dans son infinie sagesse, ne s’en approcha jamais.
Chris Morrison est le rédacteur en chef de l'environnement du Daily Sceptic.
Stop Press : David Cameron, à la COP28, a déclaré que le Royaume-Uni verserait 60 millions de livres sterling en réparations climatiques aux pays en développement. Epoch Times en propose davantage.
https://www.zerohedge.com/political/king-charles-delivers-highly-politicised-speech-support-collectivist-net-zero-project
Le terme 'net zéro' définit la hauteur du QI des dirigeants.
SupprimerQuel est le taux de marge acceptable par les consommateurs ?
RépondreSupprimerUn simple regard vers l’histoire des théories économiques devrait suffire pour contester l’idée que les marges et les bénéfices peuvent être fixés sans tenir compte du prix final et de la valeur réelle créée par l’entreprise.
le 4 décembre 2023
Jacques Garello
C’est la question que tout le monde se pose :
les associations de consommateurs qui soupçonnent les producteurs, mais aussi les grandes surfaces de s’enrichir en période de crise ;
les producteurs, intermédiaires et distributeurs qui ne cessent de se réunir au moins mensuellement pour ajuster le taux ;
la classe politique qui se partage entre ceux qui pensent que le pouvoir fait tout pour sauvegarder le pouvoir d’achat (par exemple en contrôlant les prix des produits de première nécessité) ;
ceux qui se révoltent contre les politiques financières et budgétaires qui créent et amplifient l’inflation qui ruine le pouvoir d’achat.
À mon sens, la question n’a ni queue ni tête, parce que la formation des prix, et les « marges » qui en découlent obéissent à une logique que tout le monde semble ignorer, du moins dans notre pays.
Qu’apprend-on à l’école (quand on apprend quelque chose) et quel est le bon sens populaire ? C’est l’équation : Recettes – coûts = bénéfices, que l’on peut décliner sous diverses formes : Coûts + bénéfices = prix de vente (ou l’inverse)
Valeur intrinsèque et valeur marchande
Pour moi, et pour de nombreux économistes, ces formules sont celles des XVIIe et XVIIIe siècles, lorsque la théorie de la valeur était balbutiante.
C’est peut-être la faute d’Adam Smith, c’est sûrement celle de David Ricardo : la valeur d’un produit n’est pas marchande, elle est intrinsèque.
L’exemple de la valeur-travail, qui hante encore les esprits deux siècles plus tard, est simple : un produit a une valeur double de celle d’un autre s’il a fallu 10 heures de travail pour l’un contre 5 heures pour l’autre.
De plus, la frontière n’est pas dessinée entre la valeur et le prix : le prix n’est que l’expression monétaire de la valeur, la stabilité de l’étalon monétaire est assurée. C’est dire que l’on n’a même pas compris les leçons des dérapages financiers et monétaires du XVIIe siècle et des inflations qui se sont succédé.
Plus tranquilles, les physiocrates français s’en remettaient à la seule valeur fondamentale, d’après eux : la terre. Et ici il ne s’agit ni de prix ni de coût : la propriété foncière rapporte une rente, c’est-à-dire un revenu sans travail dont l’origine est le droit de propriété foncière. David Ricardo en est bien persuadé, et il prépare la légère amodiation qu’apportera Marx : ce n’est pas la propriété foncière qui enrichit sans cause, c’est la propriété du capital industriel. C’est donc la propriété qui est le vice du système capitaliste.
RépondreSupprimerJ’ai fait ce court rappel historique pour indiquer que tous les économistes n’ont pas été aussi aveugles.
Après Turgot, c’est surtout Jean-Baptiste Say qui va enfin comprendre ce qu’il faut pour produire : du travail certes, du capital (investissement), mais aussi un « entre-preneur » dont la mission est de se situer entre les besoins des consommateurs et les moyens de satisfaire leurs besoins. Il fait faire un double progrès à la science économique, d’abord en reprenant Smith et Turgot sur la théorie de l’échange, l’économie reposant sur la diversité des individus et la personnalisation des choix ; ensuite en mettant en lumière le personnage de l’entrepreneur, qu’il connait d’autant mieux qu’il appartient à une famille d’entrepreneurs. Dès lors, l’entrepreneur mérite d’être rémunéré pour le service qu’il rend, et cette rémunération s’appelle le profit.
À son époque, on estimait que les profits étaient minces et que peu de personnes créaient des entreprises, du moins en France (et il part en Angleterre, fâché avec Napoléon qui n’aime pas le libre-échange). Donc, dans la valeur finale du bien ou du service il y aura addition des salaires, des intérêts, des profits. Les profits ne sont prélevés ni sur les salariés ni sur les financiers qui avancent les capitaux, ils sont une rémunération indispensable de l’art d’entreprendre.
Néo-classiques et Autrichiens
La science économique va continuer à progresser dans cette direction.
À la fin du XIXe siècle, Carl Menger économiste autrichien, va réagir contre les excès et les erreurs de ceux que l’on nomme les « néo-classiques » (Alfred Marshall) qui veulent résumer la conduite individuelle à un pur calcul rationnel : homo œconomicus. Il n’y aurait qu’une façon et une seule de fixer les prix, qui eux-mêmes dépendent des quantités offertes et demandées. La loi de l’offre et de la demande semble avoir tout réglé. On introduit quelques amendements pour rendre compte que le calcul rationnel ne peut exister que dans un climat de concurrence pure et parfaite. Mais dans les années 1920, on va placer l’homo œconomicus face à des marchés de concurrence imparfaite, d’oligopoles, etc. jusqu’à ce qu’on s’aperçoive que toutes ces approximations étaient pures inventions.
RépondreSupprimerPar contraste, Carl Menger revient à la dimension marchande de l’économie, donc à l’importance des comportements individuels. Ludwig von Mises, un de ses premiers disciples, parlera de l’économie comme de « la science du comportement humain », la praxéologie.
Mais Carl Menger avait repris l’idée de Jean-Baptiste Say sur le rôle décisif de l’entrepreneur, et il a lié la qualité de ce dernier à deux variables décisives : le temps et l’information.
Il avait ainsi établi les piliers de la science économique contemporaine.
Le facteur résiduel
Une autre aventure a permis de progresser.
Dans les années 1960, plusieurs économistes se sont mis à travailler sur ce que nous appellions les fonctions de production. Dans la valeur d’un produit, quel est l’apport de différents facteurs de production ?
Ces fonctions se sont libérées du vieux théorème : V= f (W,K) (la valeur est fonction du travail et du capital), et en observant des milliers de cas, ils se sont mis à mesurer ce qui pouvait augmenter si on ajoutait à W et K quelque chose d’autre, que l’on va appeler facteur résiduel. Dans les manuels d’économie français le facteur résiduel, inexpliqué a priori, est identifié comme le progrès technique.
Dans les années 1960, quand j’étais étudiant, voici importées des États Unis les nouvelles fonctions de production avec Solow et Cobb-Douglas, qui nous renseignent mieux sur ce qui se passe au niveau de la valeur :
Le facteur a beau être résiduel, il explique la moitié de la valeur ajoutée par le travail et le capital réunis
RépondreSupprimerLa valeur varie lorsqu’on substitue du travail au capital ou l’inverse : on calcule des élasticités de substitution
Dans la plupart des cas étudiés, on ne peut caractériser l’origine du facteur résiduel, ou sa mesure est impossible.
Finalement, on va en déduire que la valeur que l’acheteur final (en principe le consommateur) est amené à payer dépend d’une multitude de facteurs, et que l’entreprise y est sans doute pour quelque chose puisque, conformément à ce que disait Jean-Baptiste Say, c’est bien lui qui gère les facteurs de production, mais c’est aussi bien lui qui comprend ce que veut sa clientèle.
Donc, on peut dire qu’une partie au moins du facteur résiduel représente la rémunération de l’art d’entreprendre, et cette rémunération est le profit. Il y a loin de ce profit à cette marge calculée dans les livres d’écoliers.
L’art d’entreprendre dans une économie de libre marché
Mais on en sait un peu plus sur l’art d’entreprendre depuis Carl Menger, et grâce en particulier à Israël Kirzner, dernier membre vivant des disciples de Mises.
En insistant sur le temps et l’information, Menger et Mises avaient démontré toute la dimension du travail de l’entrepreneur, parce que le temps et l’information varient avec les individus et avec les circonstances.
Kirzner va décrire ce que sait faire l’entrepreneur. Non, il n’est pas l’homme hors du commun imaginé par Joseph Schumpeter (qui finira socialiste), tout le monde peut devenir entrepreneur dès lors qu’il a compris ce que d’autres n’avaient pas encore perçu : il a une antériorité de perception, parce qu’il sait traduire les signaux du marché : « alertness », il trouve évident ce que d’autres n’ont pas encore perçu. Cela peut être le cas de l’ouvrier dans un atelier qui s’aperçoit qu’il est plus facile de travailler avec un outil qu’avec un autre, d’un côté ou de l’autre ; c’est le cas de celui qui sait qu’au bout du marché le cageot de raisin se vend 25 euros au lieu de 40 ailleurs.
La vie économique organisée par le marché concurrentiel, avec libre entrée et libre sortie, est d’une telle richesse qu’elle secrète des innovations, des changements en permanence : c’est un « processus de découverte » dit Kirzner.
Bien évidemment, nous ne vivons pas dans une économie de marché, parce que les États et la politique s’en sont occupés. De la sorte, le profit n’entre plus en scène, et les marges sont fixées avant même que le prix ait été connu.
Voilà donc l’absurdité de la question aux yeux de la science économique : comment connaître une marge, un bénéfice, alors même que le prix n’est pas encore connu, ou n’est pas pris en compte ? Le prix mesure la valeur, la valeur dépend de l’apport des facteurs de production et de ce que l’entrepreneur en aura fait pour les adapter aux goûts et aux moyens de la clientèle.
RépondreSupprimerC’est bien ce que je disais : il faut ignorer la science économique pour fixer ex ante un taux de marge.
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[1] On pourra se reporter au livre de Pierre Garello La concurrence, Processus de Découverte Economics, éd. 2014
https://www.contrepoints.org/2023/12/04/468185-quel-est-le-taux-de-marge-acceptable-par-les-consommateurs
Il y a 100 ans comme il y a 1000 ans la pomme de terre avait le même goût que celle d'aujourd'hui. Seul son prix a changé. De nos jours les salades (laitue, batavia, frisée) sont achetées 10 centimes par tête au paysan et 7 centimes par œuf ! A quels prix se retrouvent ces mêmes produits sur les étals de 'super'-marchés ?
SupprimerDe plus (parce que ce n'est pas fini !), il y a l'explosion du prix des engrais et la rareté pour pas dire l'absence de produits phytosanitaires pour lutter contre les maladies et les insectes ravageurs !
Çà y est ? vous voyez ? Toujours pas ? Bon, je prends l'exemple de pharmacies, imaginez que votre pharmacie ait des étagères vides ! ou presque, çà y est ? vous y êtes ? c'est ce qui arrive au monde paysan lorsqu'il veut des remèdes pour sauver les cultures qui vous donneront à manger tous les jours.
Mettre le prix du baril de pétrole sur la table pour revendiquer la hausse du transport et la cherté des produits est une offense ! Un crachat à la gueule de la clientèle ! Un coup porté au consommateur !
Promotions : les bons plans disparaissent des supermarchés
RépondreSupprimerL’inflation qui frappe depuis quelques années le portefeuille des Français a conduit les ménages à changer leur manière de faire les courses. Il faut dire que l’alimentation a connu une hausse record, et que le caddie coûte de plus en plus cher. Seule solution pour réduire la facture : faire la chasse aux promotions. Mais cette chasse devient de plus en plus compliquée : les supermarchés et les industriels commencent à faire disparaître les bons plans pour manger moins cher.
Par Paolo Garoscio
le 4 décembre 2023 à 6h33
Les promotions sont jugées bonnes dès qu'elles dépassent 30%
Vous ne trouvez plus de promotions en supermarché ?
Si depuis quelques temps, en particulier depuis début 2023, il vous paraît plus compliqué de trouver des promotions dans les rayons des supermarchés, ne vous inquiétez pas : vous ne devez pas aller chez l’ophtalmo pour faire vérifier votre vue. En fait, les promotions sont en train de disparaître des rayons.
Selon une étude de Circana, la part des promotions dans les chariots des consommateurs a diminué, passant de 15,6% en 2022 à 15,1% en 2023. La raison ? La forte baisse des références en promotion. Selon Circana, elle a chuté de 4,6%, et selon Nielsen IQ de 14% entre janvier et novembre 2023. Un coup dur pour les ménages : l’inflation alimentaire a atteint 21,1% sur deux ans… et la disparation des promotions exacerbe cette tendance.
Moins de promotions et de moins en moins intéressantes
La diminution des promotions n'est pas identique selon les marques. Les grandes marques voient une baisse de 6,5% de leurs produits remisés, selon Circana, tandis que les marques distributeurs bénéficient d'une augmentation du nombre de promotions de 4% sur un an. Mais, malgré cette hausse, les promotions sont de moins en moins intéressantes pour les consommateurs.
« Le rabais moyen est passé de 28,5% en 2022 à 27% cette année. On rappelle que pour les consommateurs, une promo intéressante c'est -31% en moyenne », explique, sur BFMTV ? Emily Mayer, directrice Business Insights chez Circana. Moins de rabais en nombre et en montant, et voilà que les Français ont de plus en plus de mal à payer leurs courses.
Quels distributeurs ont fait disparaître les promotions dans leurs rayons ?
Forcément, alors que les promotions sont recherchées parles consommateurs (par près de 1 consommateur sur 2), les rabais deviennent une véritable stratégie commerciale à part entière. Selon NielsenIQ, cité par BFMTV, Carrefour Market est l’enseigne qui a le plus fait disparaître les promotions, leur nombre étant en baisse de 16,5%.
Mais toutes les enseignes sont concernées : -15,1% pour E.Leclerc, malgré les propos pro-pouvoir d’achat de son dirigeant, Michel Edouard Leclerc, -10,6% pour Casino Hyper Frais, -10,7% pour Carrefour… Les promotions ont clairement déserté les rayons des supermarchés français.
Concernant les produits en promotion, ce sont les produits d’hygiène qui en voient de moins en moins, en baisse de 10% sur un an selon Circana, et les eaux, dont le nombre de promotion a chuté de 17% (alors qu’il est tout à fait possible de boire de l’eau du robinet). Inversement, les boissons et les bières, que les consommateurs évitent de plus en plus de mettre dans leur caddie pour des raisons financières mais aussi de santé, proposent de plus en plus de rabais. Les promotions sont en augmentation de 10% pour les premières et de 8% pour les deuxièmes, selon Circana.
https://www.economiematin.fr/promotions-bon-plan-baisse-supermarche-achat
Pénurie de médicaments : une crise qui s’inscrit dans la durée
RépondreSupprimerDocteur Gérard Guillaume
pour France-Soir
le 30 novembre 2023 - 16:45
A quand la vente de médicaments à l’unité généralisée ?
TRIBUNE - Alors que l’hiver approche, "on est à près de 4 000 médicaments [en rupture ou risque de rupture] aujourd’hui", selon le président de l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO) Pierre-Olivier Variot, dans une annonce faite sur les antennes de France Info le 26 octobre dernier.
Aucune amélioration ne se dessine par rapport l’année dernière. Bien au contraire, la situation s’est aggravée avec la crise Covid. Si certaines ruptures sont transitoires et ponctuelles, d’autres s’inscrivent dans la durée et là, cela devient franchement inquiétant.
En 2022, le nombre de signalements de ruptures avérées et de risques de ruptures avait atteint un record : 3 761 déclarations, "réparties entre 1 602 pour les ruptures de stocks et 2 159 pour les risques de rupture".
En 2023, plus de 30 % des Français ont été confrontés à une pénurie de médicaments. Mais l’ANSM n’est toujours pas en mesure de fournir les chiffres.
Nous ne reviendrons pas sur les causes, multiples, que nous évoquions dans notre article en mars 2023. Elles n’ont pas changé. Aucune n’a trouvé de solution
Comme dans d’autres domaines, les pouvoirs publics montrent leur impuissance à régler un problème. C’est ce que signalait le rapport du Sénat le 6 juillet 2023, présenté par Sonia de la Prévôté, présidente de la commission, et Laurence Cohen, son rapporteur : "Il n'y a pas de pilote dans l'avion", s'est-elle, dénonçant la mise en place de politique de régulation des médicaments sans gouvernail. "Le gouvernement déverse 710 millions d'euros d'aides publiques à l'industrie, sans l'obliger à des relocalisations. Ainsi, Sanofi a encore supprimé 135 postes."
RépondreSupprimerDe la première à la cinquième place européenne
La France qui occupait en matière de production pharmaceutique la première place européenne jusqu'en 2008 est passée à la cinquième place actuellement, derrière la Suisse, l'Italie, l'Allemagne, et le Royaume-Uni.
Pour remédier à cette situation catastrophique, la commission d'enquête a formulé 36 propositions. On en attend les effets.
Afin de faire face à la pénurie d’antibiotiques, la HAS (Haute Autorité de santé) demande que les patients fassent en pharmacie ou près de leur médecin un test rapide d'orientation diagnostique (TROD) qui permet de déterminer si leur maladie est d’origine bactérienne et non virale, d’éviter ainsi une prescription inutile qui favorise l’antibiorésistance
Concrètement, avant de se voir délivrer des antibiotiques en pharmacie, les patients devraient d'abord vérifier, grâce à un test, que leur maladie est bien d'origine bactérienne et non virale. Les médecins seraient ainsi amenés à prescrire des antibiotiques en les conditionnant à la réalisation d'un test. Entre des médecins réticents à rédiger des ordonnances conditionnelles et une rémunération faible, la réalisation de TROD angine reste encore marginale en officine. Seulement 1,2 million ont été commandés par les généralistes pour 9 millions d'angines traitées. Et un grand nombre d'officines ne proposaient pas de TROD au printemps 2023.
Une proposition simple : la vente de médicaments à l’unité généralisée
Finis les gaspillages, les boîtes de médicaments qui se périment au fond d’un placard.
C’est une pratique courante dans de nombreux pays anglo-saxons, Etats-Unis, Canada, Australie ou Nouvelle-Zélande.
Bien sûr, cela demanderait une capacité d’adaptation de la part de l’industrie pharmaceutique : déconditionnement des médicaments, livraison en vrac aux officines où les médicaments seraient conditionnés dans de petits flacons par le pharmacien, étiquetés avec toutes les informations nécessaires aux patients.
Les syndicats de pharmaciens y sont toujours opposés. Même réticences du côté des fabricants de médicaments, qui ont investi dans le conditionnement des médicaments pour se conformer aux obligations administratives. Pourquoi ce qui est applicable de l’autre côté des océans ne l’est pas en France ? Quoi de plus absurde que de se voir remettre une boîte de 20 comprimés quand la prescription du médecin se limite à 7 comprimés ou pire se voir délivrer deux boîtes de 20 quand vous n’avez besoin que de 22 comprimés par exemple. En attendant des mesures de bon sens, les malades sont soumis à cette pénurie catastrophique. Qui aurait imaginé, il y a quelques années, que notre pays, au passé prestigieux, dégringolerait au niveau d’un pays du tiers-monde. Un grand ménage s’impose...
RépondreSupprimerGérard Guillaume est rhumatologue. Il fut très proche du professeur Luc Montagnier.
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/penurie-de-medicaments-une-crise-qui-s-inscrit-dans-la-duree
ENCORE 1 ARTICLE CENSURÉ ! (120 - 1 = 119)
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