- ENTREE de SECOURS -



mardi 5 décembre 2023

Les preuves tangibles sont là : le « vaccin » contre le Covid est un tueur

 

Par Paul Craig Roberts

PaulCraigRoberts.org

6 décembre 2023


Barry Young, statisticien et administrateur de bases de données au ministère néo-zélandais de la Santé, a publié des informations officielles révélant l'augmentation du nombre de décès dus à la campagne de vaccination contre le Covid-19. Le gouvernement tyrannique de Nouvelle-Zélande, qui dissimulait la vérité sur le « vaccin », l’a immédiatement arrêté pour avoir publié les données montrant l’augmentation marquée du taux de mortalité avec le « vaccin » contre le Covid, qui est essentiellement une balle mortelle pour beaucoup. Les complices des grandes sociétés pharmaceutiques s’affairent à tenter de discréditer les données publiées.

Regarde ça.

Barry Young, sous le nom de Winston Smith, a raconté en direct comment il a pu découvrir la vérité cachée :

«J'ai participé à la construction d'un projet et aidé à mettre en œuvre un système de paiement des vaccins pour nos prestataires. C’est ce qu’on appelle un système de paiement par dose. Cela signifie donc que chaque fois qu’une personne se fait vacciner, elle reçoit une rémunération en tant que prestataire. Et j’ai aidé à le construire, je l’ai mis en œuvre. Et quand j’ai regardé les données, qui font partie de mon travail, j’ai remarqué des écarts avec les dates de décès, des gens mouraient dans la semaine après avoir été vaccinés.

"Les chances que cela se produise naturellement par hasard sont presque impossibles."

« Eh bien, dès que le système a été mis en service, nous avons remarqué que les gens mouraient presque immédiatement après avoir reçu l'injection. Cela a donc un peu piqué ma curiosité, et j’ai donc creusé un peu plus. Et je suis un scientifique par nature. J'aime la science. C’est mon préféré de tous les temps. J’ai une maîtrise en sciences.

« Parce que c’est un système de paiement et que j’en suis l’administrateur de la base de données. Je suis le seul. La Nouvelle-Zélande étant un petit pays, vous pouvez vous contenter d'un seul administrateur de base de données pour ce faire. Je suis donc dans une position unique au monde. Et comme la Nouvelle-Zélande est un pays de premier plan doté de très bonnes compétences informatiques, j'ai pu gérer et construire le système et être le seul administrateur de base de données nécessaire pour en prendre soin. Dans d’autres pays comme l’Amérique ou la Grande-Bretagne, il faudrait toute une équipe de personnes. Il serait donc très difficile pour une seule personne d’avoir accès à toutes ces informations. Mais en Nouvelle-Zélande, en raison de sa taille et parce qu’elle dispose d’une très bonne informatique, c’est moi qui suis le bon.

La réponse du gouvernement néo-zélandais a été d’arrêter un révélateur de vérité en le considérant comme un criminel.

Steve Kirsch, entrepreneur technologique et philanthrope, a mis en lumière les effets néfastes du « vaccin » Covid sur la santé, la fertilité et la surmortalité. La réponse officielle n’a pas été de le réfuter, mais de le traiter de noms tels que théoricien du complot, diffuseur de désinformation, etc. Il a offert un million de dollars à plusieurs des « experts » embauchés qui soutiennent Big Pharma et la FDA pour débattre de lui. sur les faits, mais personne ne l'acceptera.

Il est clair que les différents ministères de la Santé et sociétés pharmaceutiques savent que le vaccin est dangereux, mais ils dissimulent ce fait en discréditant et en arrêtant les honnêtes gens qui divulguent les données factuelles.

Qu’est-ce que cela nous apprend sur les pouvoirs publics ? Cela nous dit qu’on ne peut pas leur faire confiance. Leur agenda ne correspond pas à la santé et au bien-être de leurs citoyens. Quel est cet ordre du jour ?

https://www.lewrockwell.com/2023/12/paul-craig-roberts/the-hard-evidence-is-in-the-covid-vaccine-is-a-killer/

56 commentaires:

  1. Nouveauté ? Il y a 3 ans des scientifiques ont osé examiner le contenu des flacons injectables !! Les Drs Astrid Stuckelberger (Suisse) et Carrie Madej (USA) ont alors publié leurs rapports sur leurs analyses.

    Entre 95 & 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène !!
    + des hydres !! *
    + des spikes !!
    + diverses maladies animales et (source Naturalnews:) une quarantaine de venins différents de serpents !!

    * - Qui est l'hydre ? cette créature capable de se faire pousser de nouvelles têtes ? Petit polype d'eau douce, l'hydre possède un pouvoir hors du commun : faire repousser les parties de son corps qui ont pu lui être amputées. Une particularité qui lui vaut la réputation d'être immortelle

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  2. Dre Nicole et DR Gérard Delépine, cancérologues: « Vous allez être amenés une nouvelle fois à voter pour ou contre l’élargissement de nos libertés… »

    Lettre ouverte à Mmes Mrs les Sénateurs et Députés, adressée par Dre Nicole et DR Gérard Delépine médecins cancérologues


    Par Mondialisation.ca
    Mondialisation.ca,
    05 décembre 2023


    Mmes, Mrs les Députés et Sénateurs,

    Vous allez être amenés une nouvelle fois à voter pour ou contre l’élargissement de nos libertés et nous mesurons l’importance de vos responsabilités. Néanmoins beaucoup d’éléments se sont accumulés dans les derniers mois que nous nous permettons de vous rappeler ici, conscients de votre charge de travail sur tant de sujets différents.

    Contrairement aux espoirs, la « vaccination » injection génique nouvelle technique utilisée pour la première fois chez l’Homme en infectiologie n’a pas permis d’éradiquer le coronavirus Sars Cov 2, puisque dans tous les pays très vaccinés, les contaminations ont repris, suivies par la hausse de la mortalité. L’exemple d’ISRAËL, qui devait convaincre le monde, est tristement instructif, puisque des responsables ont reconnu qu’ils ne pourront atteindre par ce biais l’immunité collective et devront injecter les citoyens au moins tous les six mois.

    - voir graph sur site -

    L’accumulation des effets indésirables quantifiée par les agences officielles, VAERS pour les USA, Eudravigilance pour l’UE, MHRA pour le Royaume-Uni entre autres, atteint des chiffres jusqu’ici inédits avec plus de 50 000 décès imputables cumulés, et des millions d’accidents dont près de la moitié la moitié sont notés graves par les mêmes agences.

    Pouvons-nous douter de ces rapports de nos agences officielles et ne pas au minimum exiger un moratoire ? L’arrêt de toute injection au moins chez les jeunes parait une urgence tant les complications en particulier cardiaques sont tragiques pour un bénéfice nul.

    Ces rapports chiffrent un nombre de décès post vaccinaux et d’accidents secondaires aux injections, bien supérieur aux chiffres ayant abouti à l’interdiction du vaccin H1N1 (53 morts). Ce silence devant ces morts officialisés par les responsables de santé publique et niés par notre ministre pose des problèmes.

    Nous espérons qu’en tant que représentants du peuple, vous pourrez avoir des réponses sur ce silence assourdissant, qui ne peut à long terme qu’augmenter la méfiance des citoyens sur la parole de l’État, ses représentants et les vaccinations véritables au sens pasteurien.

    - voir cadre sur site -

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  3. Les jeunes ne risquent rien du covid, ne transmettent pas le virus et le « vaccin » ne protège pas des contaminations, et peu des formes graves. La vaccination des plus jeunes n’a aucun intérêt sanitaire.

    Parallèlement à l’échec du tout vaccin, bientôt reconnu par les instances, comme le prouve la mise sur le marché de cinq médicaments anticovid par l’agence européenne EMA courant octobre 2021, les pays qui se sont libérés de toute mesure sanitaire vont très bien, sans contamination ni mortalité élevée, en l’absence d’isolement, masque, etc. du fait de la très faible létalité du virus qui diminue à chaque nouveau variant, comme habituellement.

    Ce sont les conséquences des vaccins et des mesures anticovid qui laissent évoluer le marasme sanitaire et économique. La comparaison entre les pays peu vaccinateurs qui facilitent un libre accès aux traitements précoces, et les pays hautement vaccinés qui les interdisent est éloquente et devrait convaincre le monde entier de cesser les restrictions des libertés. Les pays européens qui ont choisi cette option avec succès comme l’Angleterre et tous les pays nordiques s’en trouvent rassérénés.

    En l’absence d’efficacité réelle de la vaccination contre les transmissions, le pass sanitaire n’a plus de justification médicale. Les conséquences juridiques de ces privations de liberté ne sont par ailleurs plus à souligner et inacceptables en l’absence de danger sévère comme une peste par exemple, mais pas pour un virus très peu létal et encore seulement chez les sujets à forte morbidité et âgés.

    La décision de ne plus rembourser les tests apparaît comme une extorsion de consentement aux plus démunis et le porte-parole du gouvernement a avoué que c’était une ruse pour obliger à la vaccination non obligatoire. Cette décision est inacceptable. Elle va discriminer ceux qui ne pourront s’assurer un budget « tests » et contraindre les plus pauvres à s’injecter cette thérapie inefficace et dangereuse.

    À l’occasion de cette extorsion de prolongation de l’état d’urgence, le ministre piétine encore plus le Secret médical : Olivier Véran veut autoriser les directeurs d’établissements à savoir si votre enfant est vacciné. Les maires n’ont pas connaissance des fichés S, mais on saura si les enfants seront ou pas vaccinés. Les directeurs concernés rejettent d’ailleurs officiellement cette décision.

    Le pass s’oppose à La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.[1]
    La rupture du principe d’égalité peut également entraîner des conséquences pénales puisque toute discrimination au sens du Code pénal (article 225-1) est passible de peines correctionnelles, notamment lorsqu’elle porte sur l’état de santé d’un citoyen.

    Les plaintes pour discrimination s’accumulent, en particulier depuis l’interdiction de travail et rémunération de soignants et pompiers opposés à recevoir l’injection génique encore en expérimentation thérapeutique jusqu’en 2023 et sujet à de nombreux accidents dont témoigne l’éviction au moins temporaire de Moderna et d’AstraZeneca, en plus des rapports officiels des agences de santé FDA, MHRA, EMA, et ANSM.

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  4. Le droit international érige un principe de non-discrimination
    Le pass s’oppose à ce droit reconnu par la France.[2]

    Le Protocole nº 12 à ladite Convention européenne des droits de l’homme, plus large encore, interdit tout acte de discrimination lié à la « jouissance de tout droit prévu par la loi ».

    « Nul ne peut faire l’objet d’une discrimination de la part d’une autorité publique, quelle qu’elle soit » (article 1).

    La Défenseure des droits est très critique, dans son avis rendu en urgence « Extension du passe sanitaire : les 10 points d’alerte de la Défenseure des droits » du 20 juillet 21[3] ainsi qu’en octobre 2021.

    Le 31 mars 2021, le Conseil de l’Europe avait alerté dans son avis « Protection des droits de l’homme et pass vaccinal » sur l’utilisation éventuelle de certificats de vaccination, comme celle de données relatives à l’immunisation, « à des fins autres que strictement médicales, par exemple pour donner aux personnes concernées un accès exclusif à des droits, services ou lieux publics ». Cette question de respect des droits de l’homme devait être considérée « avec la plus grande prudence ».

    En ce 22 octobre, des députés du Parlement Européen ont tenu une conférence de presse sur les abus de l’usage du Green Pass qui explicite une nouvelle fois les violations des droits de l’homme, les fondements démocratiques de L’Europe et des engagements du Parlement européen.

    - voir clip sur site -

    CHERS ÉLUS, NOUS COMPTONS SUR VOUS
    Pour nous rendre nos libertés chèrement acquises il y a un peu plus de deux siècles.

    Les avancées de l’Assemblée nationale avec de nombreuses interventions de députés de tous bords lors de la première lecture de cette loi, nous font espérer que le Parlement aura la possibilité de s’opposer à la prorogation injustifiée de l’état d’urgence, et retrouver ainsi ses prérogatives législatives, sachant qu’en cas d’une reprise épidémique, l’utilisation des traitements précoces permettrait de régler rapidement la situation sanitaire comme dans tous les pays qui l’ont décidé, telle l’Inde.

    En restant à votre disposition pour tout complément d’information, croyez en nos sentiments respectueux.

    Dre Nicole Delépine

    Dr Gérard Delépiner

    *

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  5. Cette lettre ouverte a été publié initialement sir le site nouveau-monde.ca

    Notes :

    [1] « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits » (art. 1)

    « La Loi est l’expression de la volonté générale. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents » (art. 6)

    [2] L’article 14 de la Convention européenne des droits de l’homme dispose

    « La jouissance des droits et libertés… doit être assurée, sans distinction aucune, fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, la langue, la religion, les opinions politiques ou toutes autres opinions, l’origine nationale ou sociale, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance ou toute autre situation »

    [3] Fondamentalement, elle remet en cause la proportionnalité des restrictions apportées à l’objectif de sauvegarde de la santé publique qu’elles poursuivent. Et l’avis du 20 octobre 2021 explicite ses inquiétudes.

    https://www.mondialisation.ca/dre-nicole-et-dr-gerard-delepine-cancerologues-vous-allez-etre-amenes-une-nouvelle-fois-a-voter-pour-ou-contre-lelargissement-de-nos-libertes/5683984?doing_wp_cron=1701844990.7353169918060302734375

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  6. L’armée américaine « révise » à la baisse les statistiques sur la myocardite post-vaccination


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 05 DÉCEMBRE 2023 - 12H55


    Le ministère américain de la Défense a révisé ses chiffres relatifs aux cas d’inflammation cardiaque suite à la vaccination contre le COVID-19. Ce changement constitue un nouvel exemple des efforts continus déployés par l’armée pour naviguer dans le paysage complexe des effets secondaires des vaccins.

    Ashish Vazirani, sous-secrétaire par intérim à la Défense chargé du personnel et de l'état de préparation, a cité un rapport du 11 octobre selon lequel le nombre de cas de myocardite et de péricardite après vaccination parmi le personnel militaire est désormais estimé entre 80 et 90. Cela contraste fortement avec le précédent. décompte de 120 cas dans les 21 jours suivant la vaccination, un nombre qui exclut également les cas supplémentaires survenus au-delà de cette période. Le silence du Pentagone en réponse aux enquêtes ajoute un air de mystère à ce soudain recalibrage.

    Cette révision apparaît comme la dernière d’une série d’actions perçues comme minimisant les effets secondaires du vaccin. En 2021, alors que les données indiquent une diminution de l’efficacité des vaccins, l’armée a continué d’imposer la vaccination à tous ses militaires, indépendamment de leur rétablissement de la COVID-19 ou des nouvelles preuves suggérant la supériorité de l’immunité naturelle sur la vaccination. Ce mandat n’a été levé que récemment en vertu d’une nouvelle législation signée par le président Joe Biden.

    La myocardite et la péricardite, deux formes d'inflammation cardiaque, ont été reconnues comme des événements indésirables peu de temps après le déploiement du vaccin. L’année 2021 a notamment été marquée par une augmentation significative des cas de myocardite au sein de l’armée, ouvertement reconnue au cours de l’été.

    La récente révélation de M. Vazirani dans une lettre au sénateur Ron Johnson complique encore les choses. Il souligne la difficulté de rapporter des chiffres précis sur les événements indésirables en raison de la complexité d’établir un lien de causalité direct entre la vaccination et les diagnostics cliniques. Cette déclaration contredit un rapport antérieur du représentant Mike Rogers, qui citait 326 cas de myocardite, 351 cas de péricardite et 353 crises cardiaques parmi le personnel militaire. Ces chiffres, dérivés du système de surveillance médicale de la Défense et du magasin de données médicales du théâtre, révèlent une divergence flagrante entre les chiffres rapportés.

    M. Vazirani, dans la missive de suivi, a déclaré que l'armée comprenait des membres du groupe de vaccination antérieure qui avaient déjà été infectés et des membres du groupe d'infection antérieure qui avaient déjà été vaccinés. Il n’a pas fourni de répartition des membres vaccinés sans infection préalable ni d’autres sous-catégories.

    Dans le rapport partagé en septembre, l'armée a déclaré que l'incidence de la myocardite et de la péricardite était plus élevée chez les membres dans les 45 jours suivant l'infection que chez les membres non infectés, tandis que l'incidence était également plus élevée chez les membres ayant reçu une dose de vaccin dans les 21 jours suivant la myocardite ou la péricardite. la péricardite était plus élevée que chez ceux qui n’avaient pas reçu de vaccin. Les résultats ont cependant montré que les membres couraient un risque plus élevé suite à une infection, même si en chiffres absolus, davantage de membres souffraient d’inflammation après la vaccination qu’après l’infection. -Epoch Times

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  7. L’incohérence des chiffres rapportés a soulevé des questions et des inquiétudes. Le sénateur Johnson cherche activement des explications à l’augmentation observée de certains diagnostics pendant la pandémie. Les lanceurs d’alerte ont également joué un rôle crucial, révélant dans un premier temps une augmentation des cas de myocardite en 2021 via la base de données d’épidémiologie médicale de la Défense. Cependant, les modifications ultérieures de ces chiffres, attribuées à un « processus de maintenance de la base de données », n'ont fait qu'ajouter à la confusion.

    En 2023, un autre lanceur d’alerte a signalé de nouvelles modifications dans les cas enregistrés, le Pentagone ayant confirmé 275 cas parmi ses membres en 2021. Ce récit évolutif soulève des questions sur la fiabilité et la transparence de la tenue des dossiers de santé militaires.

    Les implications de ces changements sont significatives, en particulier si l’on considère les effets potentiels à long terme de la myocardite post-vaccination. Des études, y compris celles du CDC, ont montré des résultats inquiétants lors des examens de suivi d'individus ayant souffert de myocardite après la vaccination. Certains patients, des années après leur diagnostic initial, signalent des problèmes de santé persistants, ce qui souligne la nécessité de poursuivre les recherches et de faire preuve de vigilance pour comprendre et traiter les complications liées au vaccin.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/us-military-revises-post-vax-myocarditis-stats-lower

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  8. Bastian Barucker a créé un résumé de 4 minutes :

    On ne peut que spéculer sur le nombre de blessures causées par les vaccins qui seront officiellement enregistrées comme Long Covid. Cette fois, la victime du PostVac a été complètement déchargée.

    Peut-être que cela n'aurait pas été d'une grande utilité pour la propagande de Lauterbach avant Noël. Car il recommande de se faire vacciner avec diligence et de porter un masque. La journaliste Milena Preradovic a répondu aux relations publiques de Lauterbach sur X (Twitter) : « Et les représentants de Postvac ont été refoulés. Non autorisé à assister à votre conférence principale. Je peux presque sentir ta peur. Mais vous ne faites que tergiverser. Ils n’empêchent rien. Votre récit s’est déjà effondré… »

    https://

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  9. La FDA met fin aux enquêtes sur la contamination de l'ADN dans les vaccins COVID


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 05 DÉCEMBRE 2023 - 03:40
    Rédigé par Maryanne Demasi via le Brownstone Institute,


    Les récentes découvertes de fragments d’ADN dans les vaccins Pfizer et Moderna Covid-19 ont conduit beaucoup à se demander pourquoi la FDA, qui est chargée de surveiller la qualité et la sécurité des vaccins, n’a pas tiré la sonnette d’alarme.

    Depuis des années, la FDA est consciente du risque posé par l’ADN résiduel dans les vaccins. Ses propres directives à l’intention de l’industrie stipulent :

    « L’ADN résiduel peut constituer un risque pour votre produit final en raison de son potentiel oncogène et/ou infectieux. Il existe plusieurs mécanismes potentiels par lesquels l’ADN résiduel pourrait être oncogène, notamment l’intégration et l’expression d’oncogènes codés ou la mutagenèse insertionnelle après l’intégration de l’ADN.

    En termes simples, la FDA reconnaît la possibilité que des fragments d’ADN laissés par le processus de fabrication puissent être incorporés dans l’ADN d’un patient et potentiellement provoquer un cancer.

    Les directives de la FDA et de l'OMS considèrent que la quantité d'ADN résiduel dans une dose unique de vaccin traditionnel ne doit pas dépasser 10 ng (un milliardième de gramme).

    Mais il est peu probable que cette limite – utilisée pour les vaccins traditionnels – soit pertinente pour les vaccins à ARNm dont les nanoparticules lipidiques peuvent pénétrer à l’intérieur des cellules pour délivrer efficacement l’ARNm.

    Un récent article préimprimé de Speicher et al. a analysé des lots de vaccins à ARNm monovalents et bivalents au Canada.

    Les auteurs ont découvert « la présence de milliards, voire de centaines de milliards de molécules d’ADN par dose dans ces vaccins. En utilisant la fluorométrie, tous les vaccins dépassent les directives relatives à l'ADN résiduel fixées par la FDA et l'OMS de 10 ng/dose.

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  10. Speicher et al ont également signalé avoir découvert des fragments d'ADN de plus de 200 paires de bases (une mesure de la longueur de l'ADN), ce qui dépasse également les directives de la FDA.

    Les auteurs ont notamment fait remarquer que pour le produit Pfizer, plus le niveau de fragments d’ADN trouvés dans le vaccin est élevé, plus le taux d’événements indésirables graves est élevé.

    Certains experts affirment que le risque d'intégration du génome chez l'homme est très faible, mais une publication récente dans Nature a révélé qu'environ 7 % des cellules sont intégrées lorsqu'elles sont mélangées à une solution de transfection contenant des morceaux linéaires d'ADN.

    La FDA est-elle concernée ?
    La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis continue d’insister sur le fait que toute contamination résiduelle de l’ADN dans les vaccins Covid n’est pas un problème et qu’elle « soutient ses conclusions sur la qualité, la sécurité et l’efficacité des vaccins à ARNm ».

    "Bien que des inquiétudes aient été soulevées précédemment en tant que questions théoriques, les preuves scientifiques disponibles soutiennent la conclusion selon laquelle les infimes quantités d'ADN résiduel ne provoquent pas de cancer ni de modifications du code génétique d'une personne", a ajouté la FDA.

    La FDA n’a pas fourni les « preuves scientifiques disponibles » pour étayer ses affirmations, mais il convient de noter que les propres étiquettes des vaccins montrent que des tests de génotoxicité et de cancérogénicité n’ont pas été effectués avant leur utilisation.

    David Wiseman, chercheur bioscientifique impliqué dans le développement de produits médicaux et co-auteur de l’étude de Speicher et al, a déclaré que l’affirmation de la FDA selon laquelle il n’y a aucune preuve d’un lien avec le cancer devient « intenable ».

    "La propre analyse du CDC sur le signal de sécurité du vaccin dans le VAERS montre qu'il pourrait y avoir un signal pour certains cancers", a déclaré Wiseman en soulignant un rapport qu'il a co-écrit et envoyé aux académies nationales.

    Dans le tableau (surligné en jaune), un signal de sécurité est considéré comme significatif et mérite une enquête plus approfondie si la valeur dans la colonne marquée PRR dépasse 2 et la valeur dans la colonne Chi carré dépasse 4.

    - voir cadre sur site -

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  11. La FDA n’a pas confirmé si elle avait trouvé des niveaux d’ADN dépassant les niveaux acceptables, ni si elle menait une enquête plus approfondie.

    Au lieu de cela, après des mois d’enquêtes, la FDA m’a envoyé (ainsi qu’à d’autres médias) des réponses standard disant : « Avec plus d’un milliard de doses de vaccins à ARNm administrées, aucun problème de sécurité lié à l’ADN résiduel n’a été identifié. »

    En réponse à une liste de questions sur ses tests et sa surveillance, la FDA a déclaré qu’elle « n’avait aucune information supplémentaire à fournir pour le moment ».

    Mauvaise surveillance de la fabrication
    Nous savons maintenant que le vaccin de Pfizer utilisé dans les essais cliniques (PROCESSUS 1) a été fabriqué différemment du vaccin injecté à l’ensemble de la population (PROCESSUS 2).

    Ce passage du PROCESS 1 au PROCESS 2 est ce qui a introduit les impuretés de l’ADN plasmidique (voir cercles rouges), ce qui pourrait modifier le profil de sécurité du vaccin.

    J'ai demandé à la FDA si elle disposait de données humaines sur la comparaison des deux processus.

    L’agence m’a renvoyé à la note d’examen EUA de la FDA datée du 20 novembre 2020, qui suggérait que les tests étaient « en cours ».

    Le document vieux de trois ans indiquait qu'« une évaluation de comparabilité plus complète englobant des lots supplémentaires provenant de plusieurs nœuds de fabrication DP est en cours et les résultats seront fournis à l'EUA à la fin de l'étude ».

    Lorsque j’ai demandé à la FDA l’accès aux résultats « en cours », on m’a demandé d’obtenir les informations auprès de Pfizer, mais la société pharmaceutique n’a pas répondu à mes demandes.

    Une demande d’accès à l’information de Nick Hunt du Daily Skeptic pourrait expliquer pourquoi.

    Pfizer a promis au régulateur qu'il comparerait la sécurité et l'immunogénicité des deux processus chez les participants et qu'il ferait rapport d'ici février 2021, mais il semble que ces études n'aient jamais été réalisées.

    La FOI a déclaré :

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  12. …en octobre 2020, un objectif exploratoire a été ajouté dans l'étude C4591001 pour décrire la sécurité et l'immunogénicité des vaccins produits par la fabrication du « Processus 1 » ou du « Processus 2 » chez les participants âgés de 16 à 55 ans. Cet objectif exploratoire a été supprimé et documenté dans l’amendement 20 du protocole en septembre 2022 en raison de l’utilisation intensive de vaccins fabriqués via le « Processus 2 ». Ainsi, cette comparaison de processus n’a pas été effectuée dans le cadre de la documentation formelle dans le cadre de l’amendement du protocole. [souligné par nous]

    Wiseman a déclaré : « Compte tenu de l’ampleur du changement de processus, d’après mon expérience dans le développement de produits médicaux, on aurait certainement pu s’attendre à ce que Pfizer entreprenne ce type d’études de comparabilité biologique. »

    Il a ajouté que « le fait que Pfizer ait obtenu un laissez-passer indique une lacune importante dans la surveillance réglementaire ».

    Kevin McKernan, l'expert en génomique qui a découvert des fragments d'ADN dans les vaccins plus tôt cette année, affirme que Pfizer n'est désormais « aucune incitation » à effectuer ces tests comparatifs.

    "Ce sont des spéculations de ma part, mais je soupçonne qu'ils ont pu constater une augmentation des événements indésirables avec le lot commercial et enterrer les données en sachant que le train avait quitté la gare à ce moment-là", a déclaré McKernan.

    « Il n’y avait aucune volonté politique d’arrêter la vaccination, et Pfizer savait probablement que les régulateurs les laisseraient s’en tirer sans tester les lots commerciaux pour la population », a-t-il ajouté.

    https://www.zerohedge.com/medical/fda-shuts-down-enquiries-about-dna-contamination-covid-vaccines

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  13. Paxton a déclaré : « Lorsque l’échec de son produit est devenu apparent, Pfizer a décidé de faire taire ceux qui disaient la vérité. »

    Le procès désigne le journaliste Alex Berenson parmi les personnes censurées. Il indique que Berenson a publié des informations critiques à l'égard des vaccins à ARNm auprès de ses centaines de milliers d'abonnés, de sorte que Pfizer " a comploté pour faire taire Berenson et éliminer son discours du discours public".

    En plus d’obliger les plateformes de médias sociaux à censurer les informations véridiques, le procès allègue que Pfizer a intimidé les sceptiques à l’égard des vaccins. Par exemple, en novembre 2021, le PDG Albert Bourla les a qualifiés de « criminels » qui « ont littéralement coûté des millions de vies ».

    En résumé, la déclaration indique :

    Pfizer s’est engagé sciemment et imprudemment dans un stratagème à plusieurs volets visant à induire le public américain en erreur sur l’efficacité de son vaccin contre la COVID-19. Il s'agissait notamment de fausses déclarations affirmatives, de rétention d'informations importantes et de mesures visant à censurer et à réprimer les personnes qui diffusaient des informations véridiques contrecarrant le stratagème frauduleux de Pfizer visant à augmenter les ventes et la consommation de son vaccin.

    Beaucoup ont salué cette décision car elle pourrait avoir des implications politiques ou encourager d’autres États à intenter des poursuites similaires. Même si ces procès ont probablement plus de chances d’aboutir que les procès intentés en Europe, ils sont soutenus par un État américain assez puissant.

    https://

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  14. Du nouveau sur les lots tueurs supercontaminés ; ils veulent même faire disparaître les preuves en Nouvelle Zélande


    le 4 décembre 2023
    par pgibertie


    ALERTE Barry Young, l’administrateur de base de données Oracle néo-zélandais qui a divulgué les dossiers de vaccination, a été arrêté et accusé d’avoir « accédé à un système informatique à des fins malhonnêtes » et comparaîtra aujourd’hui 4/12 devant le … Lire la suite →

    - voir graph sur site -

    Le responsable informatique de la vaccccc covid en Nouvelle Zélande découvre un taux de mortalité de 21% pour certains lots de produits ARNm surcontaminés
    Publié le 1 décembre 2023 par pgibertie

    Barry Young, le lanceur d’alerte néo-zélandais qui a divulgué les statistiques de mortalité en lien avec la vaccination, a été arrêté et inculpé pour « accès à un système informatique à des fins malhonnêtes » et comparaîtra aujourd’hui devant le tribunal de district de Wellington. La police souhaite qu’il soit emprisonné sans caution. Certains ont-il encore besoin d’explication ? La vérité est l’ennemie dans un système totalitaire.

    https://pgibertie.com/2023/12/04/du-nouveau-sur-les-lots-tueurs-supercontamines-ils-veulent-meme-faire-disparaitre-les-preuves-en-nouvelle-zelande/

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  15. Qu’a jamais fait l’OMS pour nous ?


    5 décembre 2023
    par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander Faes


    Lors de la création de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en 1948, beaucoup plus de jeunes du « Premier Monde » sont morts de « causes externes » telles que des accidents ou autres. Un examen des statistiques actuelles montre que les taux de mortalité dus à des maladies infectieuses et autres sont aujourd’hui bien plus élevés qu’ils ne l’étaient il y a 70 ans. Que s’est-il passé et que fait réellement une institution comme l’OMS pour la « santé publique » ?

    Hier, Ernst Hammel a écrit ici sur TKP l' histoire de l'Organisation mondiale de la santé et l'a décrite comme une « institution féodale-coloniale ». Il s'agit d'un examen approfondi des succès de l'OMS depuis sa création en 1948.

    À quel point le « monde » était-il « malade » en 1948 ?

    Cependant, lorsque l’OMS a été fondée après la Seconde Guerre mondiale, on a vite découvert qu’au moins le « Premier Monde » était déjà relativement « en bonne santé ». Ces connaissances résultent du système de classification internationalement normalisé ( International Classification of Diseases 6, ICD-6 en abrégé), créé après 1945 et qui, à partir de 1949, a permis une quantification de plus en plus standardisée, entre autres, des causes de décès dans le monde. .

    À la – soi-disant – grande surprise des grands de l’OMS, il est vite devenu évident que le « Premier Monde » était non seulement relativement « en bonne santé », mais que la principale cause de décès vers 1950 était les « accidents ». Pour les statistiques suivantes et des informations complémentaires, je vous recommande de lire l'article de S. Swaroop et al., « Mortalité par accident chez les enfants », Bulletin de l'Organisation mondiale de la santé 15, n° 1-2 (1956), pp. 123-63. , ici P. 124 (ma traduction et souligné) :

    En janvier 1955, le gouvernement suédois a fait la déclaration suivante dans une communication au Conseil exécutif de l'OMS : « Dans de nombreux pays, les décès par accidents sont désormais la principale cause de décès chez les enfants entre 1 et 15 ans. Dans certains pays et dans certains groupes d’âge, le taux de mortalité dû aux seuls accidents est aussi élevé que le taux de mortalité due à toutes les maladies réunies. » Il a donc été proposé d'examiner l'importance du problème à travers une étude statistique dans différents pays. On a estimé qu'il serait probablement nécessaire de stimuler l'intérêt pour ce domaine dans certains pays afin d'obtenir au moins quelques informations sur l'importance des accidents en tant que facteur de mortalité.

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  16. Sur la base de cette recommandation, cette étude a abouti, qui peut être résumée comme suit dans le tableau 3 (p. 140) :

    - voir cadre sur site -

    La catégorie « BE47+BE48 » (« Tous les accidents ») mérite une attention particulière, car elle présente de loin la proportion la plus élevée (à l'exception de Ceylan et du Sri Lanka) de causes de décès chez les enfants et les jeunes. Cette catégorie est suivie par « toutes autres causes inconnues », qui précèdent également toutes les maladies infectieuses.

    Accidents contre maladies infectieuses aux États-Unis au XXe siècle.
    À ce stade, les questions sur l’importance relative des « accidents » et des « maladies infectieuses » comme causes de décès deviennent plus que pertinentes. Heureusement, il existe également une étude décente à ce sujet par B. Guyer et al., « Annual Summary of Vital Statistics: Trends in the Health of Americans Durant le 20e siècle », Pediatrics (2000) 106 (6), pp. 1307- 17, ce qui nous donne aidera à répondre à cette question.

    - voir graph sur site -

    Il ressort clairement de ce graphique que les « accidents » ont remplacé les « maladies infectieuses » comme principale cause de décès environ une décennie avant l’étude de l’OMS susmentionnée. Voici un bref résumé des tendances aux États-Unis par Guyer et al. (c'est moi qui souligne) :

    Pour les enfants de plus d’un an, la baisse globale de la mortalité au cours du XXe siècle a été spectaculaire. En 1900, plus de 3 enfants sur 100 mouraient entre leur premier et leur 20e anniversaire ; aujourd'hui, elle n'est que de 2 sur 1000. Au début du XXe siècle, les principales causes de mortalité infantile étaient les maladies infectieuses, notamment les maladies diarrhéiques, la diphtérie, la rougeole, la pneumonie et la grippe, la scarlatine, la tuberculose, la fièvre typhoïde et paratyphoïde et la coqueluche. toux. Entre 1900 et 1998, la proportion de décès d'enfants attribuables à des maladies infectieuses a diminué, passant de 61,6 % à 2 %. Les accidents représentaient 6,3 % des décès d'enfants en 1900, mais 43,9 % en 1998. Entre 1900 et 1998, le taux de mortalité par accidents , désormais communément appelés blessures non intentionnelles, a diminué des deux tiers , passant de 47,5 à 15,9 décès pour 100 000 habitants.

    Les événements en Europe révèlent des tendances similaires, même si celles-ci ne sont pas aussi claires en raison des deux guerres mondiales et des bouleversements d’après-guerre.

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  17. Alors, qu’a fait l’OMS « pour nous » ?

    L'interprétation la plus « généreuse » du « danger » des maladies infectieuses en 1951-1953 consisterait à multiplier par 18 le taux annuel pour les tranches d'âge de 1 à 18 ans (la pneumonie n'est pas prise en compte, même si les décès par pneumonie étaient probablement dus au manque de soins). accès à la nutrition et aux soins appropriés). Cela signifie que seulement un enfant sur 314 qui atteint sa première année de vie meurt d’une maladie infectieuse avant l’âge de 20 ans, si l’on veut étayer l’argument selon lequel aucun changement ni aucune intervention médico-préventive n’ont eu lieu après 1953.

    Le risque de mourir d’un accident était deux fois plus élevé : 1 sur 3 021 par an et 1 sur 168 à l’âge de 20 ans.

    Étant donné que le risque de mourir d'une maladie infectieuse n'était que la moitié du risque de mourir d'un accident, la santé publique en 1953 était apparemment « assez bonne », à l'exception de la tuberculose et de la polio. D’autres améliorations de la santé des enfants au-delà de ces deux maladies auraient dû être moins prioritaires que, par exemple, B. Cours de natation ou développement de l'automobile.

    À ce stade, nous devons nous poser la question de savoir s’il est (peut-être) nécessaire de soigner les 299 enfants sur 300 qui ne mourraient pas d’une maladie infectieuse avec de nouvelles injections préventives (vulgo « vaccinations ») ou si celles-ci ne le sont pas. interventions médicalement inutiles.

    Ainsi, tout futur vaccin, à l’exception du vaccin contre la polio, peut être immédiatement condamné comme intrusif et excessif – franchement, une interférence idiote avec les 299 personnes déjà en bonne santé – avant même de se demander si ces vaccins font réellement autre chose que de simples améliorations du traitement médical. apporté.

    Avons-nous besoin de l’OMS ?

    Malgré les nombreux arguments avancés hier par Ernst Hammel, des questions se posent clairement à ce stade quant à l'analyse coûts/avantages du maintien de l'OMS.

    En « Europe » – suit une longue présentation de la bibliothèque de l’OCDE (dans ma traduction et avec mes soulignements) – et dans les autres pays « développés avancés », c’est une hypothèse discutable à tous égards :

    Les causes de décès les plus courantes dans les pays de l'UE sont les maladies circulatoires et divers types de cancer, suivis par les maladies respiratoires et les causes externes de décès .

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  18. Les maladies cardiovasculaires restent la principale cause de décès dans l'UE, représentant environ 1,7 million de décès en 2017, soit 37 % de l'ensemble des décès . Les cardiopathies ischémiques (y compris l'infarctus du myocarde et d'autres maladies) et les accidents vasculaires cérébraux sont les causes les plus fréquentes de mortalité cardiovasculaire (voir l'indicateur « Mortalité due aux maladies circulatoires »). Le taux de mortalité par maladie cardiovasculaire est nettement plus élevé chez les hommes que chez les femmes (environ 40 % plus élevé).

    Environ 1,2 million de personnes sont mortes du cancer dans les pays de l’UE en 2017, ce qui représente 26 % de tous les décès (25 % chez les femmes et 28 % chez les hommes). Le cancer du sein et le cancer du poumon sont les causes les plus fréquentes de décès par cancer chez les femmes, tandis que le cancer du poumon et le cancer du côlon sont les deux principales causes de décès chez les hommes (voir indicateur « Incidence et mortalité par cancer »).

    Après les maladies circulatoires et le cancer, les maladies respiratoires constituent la troisième cause de décès dans les pays de l'UE, causant environ 366 000 décès en 2017, soit 8 % de l'ensemble des décès. La grande majorité de ces décès surviennent chez des personnes de plus de 65 ans. Les maladies respiratoires représentaient 7 % de tous les décès chez les femmes et 9 % chez les hommes. La maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) est la cause de décès la plus fréquente parmi les maladies respiratoires, suivie par la pneumonie.

    Les causes externes de décès, notamment les accidents, les suicides, les homicides et autres causes de décès violentes, représentaient 4 % de tous les décès de femmes et 5 % des décès d'hommes dans tous les pays de l'UE en 2017. Les principales causes de morts violentes sont les suicides (48 000 morts en 2017) et les accidents de la route (environ 27 000 morts). Les accidents de la route sont une cause de décès particulièrement importante chez les jeunes (18-25 ans), tandis que les taux de suicide augmentent généralement avec l'âge (voir indicateur de santé mentale des adultes).

    Lorsque vous regardez ces informations, la première chose qui vous vient à l’esprit est la suivante : 75 ans d’action de l’OMS et de mesures de « santé publique » via les « grandes sociétés pharmaceutiques » ont fait des maladies infectieuses et d’autres problèmes de santé l’un des principaux facteurs de décès prématurés. En revanche, des réglementations judicieuses concernant les produits de masse et des améliorations progressives dans divers biens de masse sont probablement en partie responsables de la nette diminution du nombre de décès dus, entre autres, à des accidents.

    Maintenant, vous pouvez objecter que la mortalité des enfants et des jeunes est comparée à tous les décès, et c'est une objection légitime. Cependant, je répondrai qu'il y a et reste un écart entre le nombre d'acteurs et d'interventions (réglementaires, médicales, pharmaceutiques) et les résultats.

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  19. Alors, qu’a fait l’OMS pour nous qui – du moins dans l’Occident « développé » – n’avait pas déjà été largement réalisé il y a 75 ans ?

    Il y a aussi la question de savoir dans quelle mesure les « améliorations » de l’état de santé au cours des 75 dernières années sont dues à des interventions non pharmaceutiques ou de « santé publique » telles que l’augmentation de la production alimentaire, l’approvisionnement en eau potable et les usines de traitement des eaux usées ; Après tout, entre 1951 et 1953, le plan américain de vaccination des enfants ne comptait que trois (!) vaccinations (contre la diphtérie, la coqueluche et la tuberculose).

    Alors, qu’ont fait toutes les autres vaccinations depuis lors pour la « santé publique » ? Et quel profit ou quel est le montant de l’industrie pharmaceutique ?

    https://

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  20. La vitamine B12 est essentielle à une régénération optimale des tissus


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    5 décembre 2023


    La vitamine B12 (cobalamine) est nécessaire au bon fonctionnement nerveux et à la synthèse des globules rouges et de l'ADN. Une carence en B12 augmente l’inflammation et le stress oxydatif en augmentant l’homocystéine. Un taux élevé d’homocystéine, à son tour, est associé aux maladies cardiovasculaires et à une diminution de la réponse immunitaire. Les vitamines B6, B9 (folate) et B12 décomposent l'homocystéine.1

    La carence en vitamine B12 est également associée à de nombreux autres symptômes physiques, neurologiques et psychologiques, notamment les migraines2, certains troubles respiratoires, la dépression et la perte de mémoire.3 Étonnamment, des recherches récentes4 suggèrent qu’elle pourrait également jouer un rôle clé dans la régénération cellulaire.

    B12 requis pour la réparation et la régénération des tissus

    Comme le rapporte Science Daily5, « la supplémentation en vitamine B12 montre le potentiel d’accélérer la réparation des tissus dans un modèle de colite ulcéreuse – une observation qui laisse entrevoir de nouveaux traitements potentiels pour les maladies inflammatoires. »

    Plus précisément, l’étude a révélé que la vitamine B12 est un facteur limitant pour la réparation des tissus. En d’autres termes, pour optimiser la régénération des tissus, vous avez besoin de quantités suffisantes de B12 dans votre système. Science Daily explique :6

    « La recherche s'est concentrée sur un processus expérimental connu sous le nom de reprogrammation cellulaire, censé imiter les premières phases de la réparation des tissus. L’équipe de l’IRB a découvert que la reprogrammation cellulaire chez la souris consomme de grandes quantités de vitamine B12.

    En effet, la carence en vitamine B12 devient un facteur limitant qui retarde et altère certains aspects du processus de reprogrammation. Compte tenu de l’abondance de vitamine B12 dans l’alimentation normale des souris, les enquêteurs ont été surpris de constater que la simple supplémentation en vitamine B12 améliorait considérablement l’efficacité de la reprogrammation.

    Les chercheurs ont validé leurs résultats dans un modèle de colite ulcéreuse, démontrant que les cellules intestinales qui initient la réparation subissent un processus similaire à la reprogrammation cellulaire et bénéficient également d’une supplémentation en vitamine B12.

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  21. B12 est le facteur limitant de la méthylation

    La raison pour laquelle la B12 est si importante dans la régénération des tissus est liée à son rôle dans la méthylation. La méthylation est l’un des nombreux mécanismes utilisés par les cellules pour contrôler l’expression des gènes. Lorsque des cellules ou des tissus sont endommagés – que ce soit en raison d’une blessure, de l’âge, d’un traumatisme ou d’une maladie – des programmes réparateurs d’expression génique entrent en jeu pour remplacer les tissus endommagés.7

    L’ADN des cellules qui doit être réparé nécessite des niveaux élevés de méthylation, et il s’avère que la B12 est le facteur limitant de la méthylation. Par conséquent, vous avez besoin de grandes quantités de B12. Si vous n’en avez pas assez, de nombreux gènes finissent par ne pas fonctionner correctement, ce qui entrave également la régénération des tissus. La co-auteure principale Marta Kovatcheva, Ph.D., l'explique ainsi :8

    « La B12 n’est impliquée que dans deux réactions métaboliques chez les mammifères – y compris les souris et les humains – et l’une de ces réactions est essentielle pour produire une étiquette chimique, plus techniquement connue sous le nom de « donneur de méthyle ».

    Ce groupe chimique est utilisé pour « marquer » de nombreuses protéines régulatrices de l'ADN et de l'ADN lui-même, et ce faisant, l'activité de l'ADN est modifiée — l'ADN est « reprogrammé ». Ce « marquage » est très complexe et dynamique et , bien qu’il ne soit pas encore entièrement compris, il est essentiel pour déterminer le comportement des cellules, notamment leur capacité à réparer ou régénérer les tissus.

    Pendant les périodes critiques, comme en cas de blessure, les cellules ont besoin de quantités massives de « marqueur méthyle » et donc de B12… à tel point que malgré une alimentation saine et normale, les souris en cours de reprogrammation souffrent d’une carence partielle en B12. La supplémentation en B12 facilite la reprogrammation et la réparation des tissus : elles se produisent plus rapidement et plus largement.

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  22. Certaines maladies pourraient également en bénéficier, comme les ulcères du côlon. En théorie, toute maladie impliquant un processus actif de blessure pourrait en bénéficier.

    Une recherche9 publiée en 2022 a également révélé que la vitamine B12, appliquée localement, peut être utile dans le traitement de la radiodermatite, c'est-à-dire la peau endommagée par la radiothérapie utilisée dans le traitement du cancer.

    Vitamine B12 pour la stéatohépatite non alcoolique

    Un autre processus dans lequel la B12 peut être utile est celui de la stéatohépatite non alcoolique (NASH), pour laquelle il n’existe aucune option de traitement pharmaceutique. La NASH est le deuxième stade de la stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD). Les stades encore plus avancés incluent la fibrose et la cirrhose, qui augmentent considérablement le risque de cancer du foie.

    Dans une étude de 202210, il a été démontré qu’une supplémentation en B12 et en acide folique (B9) ralentissait la progression de la NASH et inversait en fait les modifications des tissus fibrotiques dans le foie. Les chercheurs cherchaient à comprendre la relation entre l’hyperhomocystéinémie (homocystéine anormalement élevée) et la NASH.

    À l’aide d’un modèle animal, ils ont administré de la vitamine B12 et de l’acide folique, tentant d’inverser les caractéristiques cellulaires de la NASH. Ce qu’ils ont découvert, c’est que l’homocystéine s’attache et bloque une protéine appelée syntaxine 17, induisant ainsi la NASH.

    Cependant, lorsque les souris ont reçu un supplément de vitamine B12 et d’acide folique, les niveaux de syntaxine 17 ont augmenté, ce qui a ralenti la progression de la NASH et inversé la fibrose. L'un des scientifiques participant à l'étude, Brijesh Singh, Ph.D., a commenté :11

    « Nos résultats sont à la fois passionnants et importants car ils suggèrent qu’un traitement relativement peu coûteux, à base de vitamine B12 et d’acide folique, pourrait être utilisé pour prévenir et/ou retarder la progression de la NASH. De plus, les taux sériques et hépatiques d’homocystéine pourraient servir de biomarqueur de la gravité de la NASH.

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  23. Les chercheurs ont été enthousiasmés par les possibilités, car les premiers stades de la NAFLD ne présentent souvent aucun symptôme et, si elle n'est ni diagnostiquée ni traitée, la maladie peut évoluer vers la NASH ou la fibrose.

    Vitamines B dans le traitement du COVID-19

    Les vitamines B sont également importantes pour une fonction immunitaire saine, qui constitue votre première ligne de défense contre toutes les infections et maladies, aiguës et chroniques. Un article d’août 2020, « Be Well: A Potential Role for Vitamin B in COVID-19 »12, a plaidé en faveur d’une supplémentation en vitamine B afin de minimiser les risques associés à l’infection.

    B1, B2, B3, B5, B6, B9 et B12 peuvent influencer plusieurs processus pathologiques spécifiques au COVID-19, notamment la réplication et l'invasion virales, l'induction de tempêtes de cytokines, l'immunité adaptative et l'hypercoagulabilité.13 Dans le graphique ci-dessous, vous pouvez voir quelles vitamines B sont impliquées dans chacun de ces processus.

    - voir schéma sur site -

    Selon les auteurs, sur la base des effets des vitamines B sur le système immunitaire, la compétence immunitaire et les globules rouges (qui aident à combattre l’infection), la supplémentation peut être un complément utile à d’autres stratégies de prévention et de traitement du COVID.14

    "Il est nécessaire de souligner l'importance de la vitamine B car elle joue un rôle central dans le fonctionnement cellulaire, le métabolisme énergétique et le bon fonctionnement immunitaire", ont-ils écrit.

    « La vitamine B contribue à l’activation appropriée des réponses immunitaires innées et adaptatives, réduit les niveaux de cytokines pro-inflammatoires, améliore la fonction respiratoire, maintient l’intégrité endothéliale, prévient l’hypercoagulabilité et peut réduire la durée du séjour à l’hôpital.

    Par conséquent, le statut en vitamine B devrait être évalué chez les patients atteints de COVID-19 et la vitamine B pourrait être utilisée comme complément non pharmaceutique aux traitements actuels… »

    L’article détaille ensuite comment chaque vitamine B peut être utilisée pour gérer les symptômes du COVID-19 :

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  24. Vitamine B1 (thiamine) – La thiamine améliore la fonction du système immunitaire, protège la santé cardiovasculaire, inhibe l’inflammation et favorise une réponse saine des anticorps. Une carence en vitamine B1 peut entraîner une réponse immunitaire inadéquate, entraînant ainsi des symptômes plus graves. Il existe également des preuves suggérant que B1 pourrait limiter l’hypoxie.

    Vitamine B2 (riboflavine) — Il a été démontré que la riboflavine, associée à la lumière ultraviolette, inhibe la réplication du virus MERS-CoV. Il a également été démontré que cette combinaison diminue le titre infectieux du SRAS-CoV-2 en dessous de la limite détectable dans le sang, le plasma et les produits plaquettaires humains.

    Vitamine B3 (niacine/nicotinamide) — La niacine est un élément constitutif du NAD+ et du NADP, qui sont essentiels dans la lutte contre l'inflammation. La nicotinamide réduit également la réplication virale et renforce les mécanismes de défense de votre corps, tandis que la niacine aide à protéger vos poumons et renforce la fonction immunitaire.

    Vitamine B5 (acide pantothénique) – La vitamine B5 favorise la cicatrisation des plaies et réduit l’inflammation.

    Vitamine B6 (pyridoxal 5′-phosphate/pyridoxine) — Le pyridoxal 5′-phosphate (PLP), la forme active de la vitamine B6, est un cofacteur dans plusieurs voies inflammatoires. La carence en vitamine B6 est associée à une fonction immunitaire dérégulée. L'inflammation augmente le besoin de PLP, ce qui peut entraîner un épuisement.

    Selon les auteurs, chez les patients atteints de COVID-19 présentant des niveaux élevés d’inflammation, le déficit en vitamine B6 pourrait être un facteur contributif. De plus, la B6 pourrait également jouer un rôle important dans la prévention de l’hypercoagulation observée chez certains patients atteints du COVID-19.

    Vitamine B9 (folate/acide folique) — Le folate, la forme naturelle de B9 présente dans les aliments, est nécessaire à la synthèse de l'ADN et des protéines dans votre réponse immunitaire adaptative.

    Il a été récemment découvert15 que l’acide folique, la forme synthétique que l’on trouve généralement dans les suppléments, inhibe la furine, une enzyme associée aux infections virales, empêchant ainsi la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 de se lier à vos cellules et d’y pénétrer. La recherche16 suggère que l’acide folique pourrait donc être utile durant les premiers stades de la COVID-19.

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  25. Un autre article récent17 a révélé que l’acide folique possède une affinité de liaison forte et stable contre le SRAS-CoV-2. Cela suggère également qu’il pourrait s’agir d’un traitement approprié contre le COVID-19.

    Vitamine B12 (cobalamine) – Comme mentionné, la B12 est nécessaire à la synthèse des globules rouges et sa carence augmente l’inflammation et le stress oxydatif. Selon les auteurs18 :

    « Une étude récente a montré que les suppléments de méthylcobalamine ont le potentiel de réduire les dommages et les symptômes organiques liés au COVID-19. Une étude clinique menée à Singapour a montré que les patients atteints du COVID-19 ayant reçu des suppléments de vitamine B12 (500 μg), de vitamine D (1 000 UI) et de magnésium avaient réduit la gravité des symptômes du COVID-19 et que les suppléments réduisaient considérablement le besoin d'oxygène et de soins intensifs. .»

    Comment améliorer votre statut en vitamine B

    L’âge avancé peut diminuer la capacité de votre corps à absorber la vitamine B12 contenue dans les aliments19, de sorte que le besoin de supplémentation augmente à mesure que vous vieillissez. Selon les National Institutes of Health20, le taux de carence en vitamine B12 aux États-Unis est proche de 20 % chez les personnes âgées de plus de 60 ans.

    D’autres données provenant d’un vaste échantillon représentatif à l’échelle nationale21 ont démontré que les taux sériques de B12 sont inversement associés à l’obésité, de sorte que les personnes en surpoids ou obèses doivent également être plus attentives à leur apport en B12.

    La vitamine B12 se trouve presque exclusivement dans les aliments d'origine animale tels que le bœuf et le foie de bœuf, l'agneau, le vivaneau, le chevreuil, le saumon, les crevettes, les pétoncles, la volaille, les œufs et les produits laitiers. Les quelques aliments végétaux qui sont des sources de B12 sont en réalité des analogues de la B12 qui bloquent l’absorption de la vraie B12. Ne commettez donc pas l’erreur de penser que vous pouvez compter sur des sources végétaliennes pour tous vos besoins en B12.

    Si vous consommez rarement les aliments répertoriés, envisagez d’utiliser de la levure nutritionnelle. Il est riche en B12 et a une saveur de fromage qui peut bien convenir à de nombreux plats. Il est fortement recommandé aux végétariens et aux végétaliens. Une portion de 16 grammes (un peu plus de 2 cuillères à soupe22) fournit 24 mcg de vitamine B12 naturelle.23

    Un fin spray sublingual (sous la langue) ou des injections de vitamine B12 sont également efficaces, car ils permettent à la grosse molécule B12 d'être absorbée directement dans votre circulation sanguine. Pour garantir une absorption et une utilisation optimales, optez pour la version méthylée, c'est-à-dire la méthylcobalamine, car elle est de loin supérieure et plus naturelle que la cyanocobalamine, plus courante.

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  26. Sources and References

    1 PLoS ONE 5(9): e12244
    2 NutraIngredients.com April 2, 2009
    3 Harvard Health March 23, 2022
    4 Nature Metabolism 2023; 5: 1911-1930
    5, 6 Science Daily November 16, 2023
    7 Advances in Wound Care July 1, 2014; 3(7): 468-475
    8 Medical News Today November 23, 2023
    9 International Wound Journal February 2020; 20(2): 516-528
    10 Journal of Hepatology, 2022; doi: 10.1016/j.hep.2022.06.033
    11 Science Daily, August 5, 2022, para 7
    12, 13, 14 Maturitas August 15, 2020 DOI: 10.1016/j.maturitas.2020.08.007 [Epub ahead of print]
    15, 16 ChemRxiv March 30, 2020 DOI: 10.26434/chemrxiv.12034980.v1 (PDF)
    17 Research Square May 26, 2020 DOI: 10.21203/rs.3.rs-31775/v1
    18 Maturitas August 15, 2020 DOI: 10.1016/j.maturitas.2020.08.007 [Epub ahead of print], 1.7. Vitamin B12
    19 New York Times September 6, 2016
    20 National Institutes of Health, Vitamin B12
    21 Frontiers in Endocrinology, 2019;10: 414
    22 Free Food Tips November 13, 2020
    23 USDA FoodData Central Nutritional Yeast

    https://www.lewrockwell.com/2023/12/joseph-mercola/vitamin-b12-is-key-for-optimal-tissue-regeneration/

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  27. L’OMS en tant qu’institution féodale-coloniale


    4 décembre 2023
    par Ernst Hammel


    Sur l'histoire, les origines et les faits inconnus de l'Organisation mondiale de la santé. Il s’avère que l’OMS ne s’est jamais souciée de santé publique.

    D’où vient l’OMS ? Elle n’a pas été créée dans le vide en 1948. Un regard sur ses origines explique les énormes privilèges de l'organisation et son implication étroite dans le grand capital occidental. Les origines de la prévention et du contrôle international des épidémies remontent à près de 200 ans. C'est la Conférence sanitaire internationale des puissances coloniales de 1851 qui s'occupa de l'harmonisation des règles de quarantaine du choléra et du contrôle de l'introduction de maladies en provenance des colonies.

    Héritage colonial

    En 1892, cela aboutit à la Convention sanitaire internationale de Venise. À l’étranger, le Bureau sanitaire international a été créé en 1902, puis transféré à l’Organisation panaméricaine de la santé (OPS), conformément à la doctrine Monroe. Un peu plus tard, l'Office international d'hygiène publique (OIHP) a été fondé à Paris en 1907 comme l'une des organisations qui ont directement précédé l'OMS. L'OIHP a élaboré des règles de mise en quarantaine des navires et des ports afin de lutter contre la propagation des maladies et a collecté des données sur les épidémies. Sur la base de la vision coloniale selon laquelle l’Europe devait dicter la santé, les colonies étaient également obligatoirement impliquées.

    En 1948, l'OMS a succédé à au moins trois organisations, à savoir l'Organisation de santé de la Société des Nations, l'OIHP basée à Paris et la division santé de l'agence humanitaire des Nations Unies UNRRA. Les organisations régionales de santé existantes telles que l'Organisation panaméricaine de la santé ont également été intégrées à l'OMS. À la suite de la Conférence internationale sur la santé de juin 1946, la constitution de l'Organisation mondiale de la santé a été adoptée en juillet et signée par 61 États.

    Étonnamment, vous pouvez y trouver les phrases suivantes :

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  28. Les États parties déclarent, conformément à la Charte des Nations Unies, que les principes suivants sont fondamentaux pour le bonheur, les relations harmonieuses et la sécurité de tous les peuples :

    La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social et ne consiste pas simplement en une absence de maladie ou d'infirmité.
    La jouissance du meilleur état de santé possible est l’un des droits fondamentaux de tout être humain, quelles que soient sa race, sa religion, ses opinions politiques, sa situation économique ou sociale.

    Une opinion éclairée et une participation active du public sont de la plus haute importance pour améliorer la santé des citoyens.
    Le 7 avril 1948, près de trois ans après la fondation de l'ONU et deux ans après sa constitution, l'OMS est fondée et tient sa première réunion le 24 juillet de la même année. Il couvrait l'intégration des organisations précédentes en termes d'actifs, de personnel, de tâches et de la Classification internationale des maladies (CIM). Le travail de l'agence a véritablement commencé en 1951 après une augmentation significative des ressources financières et techniques. A cette époque, un pays l’avait déjà quitté : l’Union soviétique avait quitté l’OMS de 1949 à 1953. Staline a justifié cela en disant que l'OMS était un instrument de pouvoir du monde capitaliste. En 1953, après la mort de Staline, l’URSS revient.

    La fondation de l’OMS a eu lieu à l’époque des procès de Nuremberg et de la décolonisation, qui ont influencé l’esprit fondateur mais n’ont pas fait disparaître l’héritage. En particulier, la reconnaissance de la Déclaration universelle des droits de l'homme devrait signifier une rupture avec la tradition coloniale et féodale. Comme on le sait, il est écrit :

    Article 1 : Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont dotés de raison et de conscience et doivent se traiter les uns les autres dans un esprit de fraternité.

    Article 2 : Toute personne jouit de tous les droits et libertés énoncés dans la présente Déclaration, sans distinction d'aucune sorte, telle que la race, la couleur, le sexe, la langue, la religion, les opinions politiques ou autres, l'origine nationale ou sociale, la fortune, la naissance ou autre statut.

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  29. Sur l’organisation de l’OMS et son « travail »
    Les règlements et la constitution de l’OMS sont réglementés par l’Assemblée mondiale de la santé (AMS) sur une base contrôlée par pays, ce qui signifie une nation – une voix. Le siège de l'OMS est à Genève. L'organisation est divisée en 6 régions : Afrique, Amérique, Méditerranée orientale, Europe, Asie du Sud-Est et Pacifique occidental. Le budget est constitué d'un financement de base (paiements pondérés des contributions de l'État) et de dons. La Fondation Gates, aux côtés de Bloomberg, Wellcome et Rockefeller, fournit désormais 88 % des dons de l’OMS, qui représentaient déjà 70 % du budget total en 2021.

    Vous vous demandez ce que cette OMS a réellement « accompli » au cours de ses 75 années d’activité ? Voici quelques faits connus – et moins connus :

    1950 : Début de la campagne de vaccination contre la tuberculose (cofinancée par la Fondation Rockefeller)

    1955 : Début du programme de vaccination contre le paludisme

    1967 : programme d'éradication de la variole

    1974 : Introduction d'un programme général de vaccination

    1988 : Début du programme d’éradication de la polio

    2006 : Lancement du programme de vaccination contre le VPH en collaboration avec la Fondation Gates : Il est clairement établi que le vaccin Gardasil administré contre le VPH augmente le risque de lésions précancéreuses du col de l'utérus chez les femmes d'un taux alarmant de 45 %. L'Economic Times of India a publié en 2014 un rapport selon lequel le vaccin avait été testé sur 16 000 enfants dans l'Andrah Pradesh. Un mois après la vaccination, de nombreux enfants sont tombés malades et cinq d'entre eux sont morts en 2010. Deux autres enfants sont morts dans le Gujarat, où un vaccin contre le VPH a été testé sur 14 000 enfants locaux. ( TKP a rapporté plus d'informations sur le VPH ici, entre autres.)

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  30. 2009 : alerte pandémique due à la grippe porcine (H1N1) et recommandation de quarantaine et de vaccination (Pandemrix). Cette vaccination présentait un profil d’effets secondaires élevé. Il y a eu un nombre relativement important de cas de narcolepsie. Le Spiegel écrivait même à ce sujet en 2010 : « L'industrie pharmaceutique a-t-elle alimenté la panique liée à la grippe porcine en rémunérant les scientifiques ? Les experts en maladies de l’Organisation mondiale de la santé ont reçu de l’argent des entreprises. » Le taux de mortalité du H1N1 était inférieur à 0,4 %, ce qui nous semble familier après trois ans de Covid.

    2011 : Début d'une coopération entre l'OMS et le Welcome Trust et la Fondation Gates pour un vaccin contre le paludisme pour les enfants de moins de six mois. L’étude clinique devrait probablement être qualifiée d’homicide intentionnel. Au total, 66 personnes sont décédées, deux enfants du groupe vacciné et 28 du groupe témoin. Cela peut être légalement décrit comme un meurtre en toute conscience, puisque ce groupe témoin n'était pas une injection de solution saline ou toute autre injection inoffensive, mais était en fait un cocktail de substances pathogènes connues pour être mortelles.

    Le cartel

    Depuis sa création dans les années 1940, l’Organisation mondiale de la santé est un cartel sans conscience et avec des intentions qui n’ont rien de commun avec la santé publique, comme le prouvent de nombreux documents ouverts. Paul Schreyer, par exemple, a montré dans un documentaire remarquable comment procède l'armée : planification, formation, financement et, enfin, création des raisons de la mise en œuvre. Il ne fait aucun doute que les donateurs de l’OMS profitent de cette approche, en violation flagrante de toutes les lois sur la concurrence.

    Pourquoi devrions-nous faire confiance à une organisation dont nous savons des choses claires qui devraient nous rendre suspects :

    Les membres de l’OMS bénéficient de l’immunité contre toute poursuite pénale de toute nature sur le territoire de leurs pays membres (article 67 (a) de la Charte de l’OMS). Cette immunité absolue dépasse même le niveau de l’immunité diplomatique ordinaire. La question doit être autorisée ? N'est-ce pas une preuve suffisante que les gens veulent abuser d'eux ?

    Source ici.

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  31. Le premier directeur général de l'OMS, le Dr. Brock Chisholm a commencé par souligner que le contrôle de la population était son objectif principal, ce qui ne ressemble pas exactement à la santé publique. Beaucoup de gens ne réalisent pas que le programme Planned Parenthood de l’OMS est issu du projet Eugenics de la Fondation Carnegie. Chose intéressante, Brock Chisholm est à peine mentionné. Le Canadien a été le plus haut médecin de l'armée et brièvement secrétaire d'État à la Santé. Bien avant de devenir directeur général de l’OMS, il a soutenu publiquement qu’il était nécessaire d’éliminer les traditions familiales, les liens familiaux et les dogmes religieux de l’esprit des gens afin d’établir un gouvernement mondial rationnel.

    La vision du monde anti-démocratique et technocratique de Chisholm se retrouve sous une forme forte parmi les donateurs de l'OMS, tels que la Fondation Bill & Melinda Gates, ainsi que parmi ses partenaires de coopération, tels que le WEF et d'autres institutions privées. Les pouvoirs incontrôlés qui doivent être accordés au Directeur général de l’OMS en tant qu’individu ou au Directeur de l’OMS après la réforme de l’OMS respirent clairement encore l’esprit de Chisholm, de ses collègues et de leur héritage féodal-colonial.

    Que pouvons-nous apprendre de l’histoire de l’OMS ? L’humanité est également contrôlée en matière de santé par des élites au pouvoir d’origine coloniale. Cela leur rapporte des profits gigantesques et rien ne devrait changer.

    L’OMS devrait désormais être en mesure de prendre des décisions obligatoires dans des domaines arbitrairement élargis de la santé publique, comme la protection du climat. Il faut empêcher tout cela de toute urgence, sinon il faut chercher à dissoudre ce cartel.

    https://

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  32. La contamination par l'ARN et l'ADN dans l'approvisionnement alimentaire est BIEN PIRE que vous ne le pensez probablement


    12/04/2023
    Ethan Huff


    La « pandémie » du coronavirus de Wuhan (COVID-19) a ajouté un nouveau concept au lexique public appelé ARNm, qui signifie ARN messager. On nous dit que les injections de COVID de Pfizer-BioNTech et Moderna sont faites avec de l'ARNm, bien qu'il soit apparu depuis que les injections d'ARNm ne contiennent pas réellement d'ARNm, mais contiennent plutôt de l'ARN et/ou des particules d'ADN fabriquées en laboratoire qui sont plus fortes que l'ARNm. et survivre au processus de digestion.

    Ces injections d’ARN et d’ADN, comme on les appelle plus précisément, sont administrées à la fois aux humains et aux animaux à l’ère moderne. Et les résidus d’ARN et d’ADN qui finissent par se retrouver dans les aliments que les gens consomment constituent peut-être une menace plus grave pour la santé publique que tout ce qui est actuellement en circulation.

    L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a créé sur son site Web une page d'information sur les « vaccins à ADN » qui explique plus en détail le fonctionnement de ces injections. Un passage remarquable se lit comme suit :

    "Le domaine de la vaccination par l'ADN se développe rapidement. Les vaccins actuellement développés utilisent non seulement l'ADN, mais incluent également des adjuvants qui aident l'ADN à pénétrer dans les cellules, à le cibler vers des cellules spécifiques ou qui peuvent agir comme adjuvants pour stimuler ou diriger la réponse immunitaire. "

    Il s’agit d’une révélation terrifiante dans la mesure où elle montre comment les vaccins à ADN, tels que définis par les sources officielles de santé publique, sont un cheval de Troie qui introduit de l’ADN fabriqué en laboratoire étranger dans les noyaux cellulaires, peut-être de manière permanente.

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  33. Un document de recherche discutant de tout cela explique qu’il existe plusieurs espèces bactériennes capables de transférer des plasmides vaccinaux vers des cellules hôtes de mammifères. Ces espèces bactériennes sont essentiellement des usines cellulaires capables de produire un très grand nombre de plasmides d’ADN.

    L'article souligne en outre une découverte faite par Walter Shaffner en 1980 montrant pour la première fois l'apparition d'un transfert de gène de bactéries vers des cellules de mammifères "lorsque des copies en tandem du génome du virus SV40, portées par des souches de laboratoire d'E. coli, ont été transférées dans des cellules co- cellules de mammifères cultivées.

    "Les systèmes d'administration de vaccins à ADN bactérien consistent en l'internalisation de bactéries, hébergeant un vecteur plasmidique contenant la séquence du gène d'intérêt, par des cellules cibles", explique le document.

    "Par la suite, des vésicules primaires sont formées puis fusionnées aux compartiments lysosomal où se produit la lyse des bactéries, libérant l'ADN plasmidique dans le cytosol de l'hôte. L'ADN plasmidique migre ensuite vers le noyau de la cellule où la séquence génétique d'intérêt est transcrite pour une transduction ultérieure et synthèse des protéines par la machinerie cellulaire de l'hôte.

    (Connexe : Des scientifiques du MIT ont découvert que les vaccins à ARN peuvent être absorbés par l'estomac et les intestins, alors qu'est-ce que cela signifie pour les personnes qui mangent de la viande provenant d'animaux ayant reçu des injections d'ARN ?)

    Une faille permet aux aliments biologiques de contenir de l'ADN modifié
    En termes beaucoup plus simples, les vaccins à ADN sont conçus de manière à permettre aux sociétés pharmaceutiques de délivrer la charge chimique de leur choix en utilisant le SV40 et d’autres constituants adjuvants. Pire encore, cette charge utile peut s'auto-répliquer, s'emparant pour toujours du génome d'une personne.

    L’une des raisons pour lesquelles Pfizer-BioNTech et Moderna mentent sur le fait que leurs vaccins « ARNm » sont basés sur l’ARN plutôt que sur l’ADN est que les vaccins à ADN constituent une menace bien plus grande pour le corps.

    "Si les vaccins et les traitements à ARN font peur, les thérapies géniques basées sur l'ADN sont un véritable cauchemar", écrit l'avocat Thomas Renz sur son Substack.

    "... il y a des milliards de lignes de code qui composent le génome humain et nous ne pouvons même pas en écrire quelques millions dans un système d'exploitation ou un téléphone sans bugs, alors pourquoi... aimerais-je que quelqu'un bricole le code qui me fait vivre ? »

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  34. Ce domaine en évolution rapide de la thérapie génique – il ne s’agit pas de simples vaccins – implique deux éléments majeurs : l’un étant le code génétique permettant de réécrire les cellules et l’autre étant le véhicule, ou adjuvant, utilisé pour introduire le nouveau code dans les cellules. Le SV40, qui provoque le cancer, est l’un de ces adjuvants utilisés dans les vaccins contre le COVID, ce qui les rend extrêmement dangereux.

    "Lorsque les injections elles-mêmes sont réalisées, elles sont essentiellement distillées à partir de particules d'ADN jusqu'à l'"ARNm" présent dans les injections", écrit Renz. "Il semble que l'ADN utilisé pour créer ces particules d'ARNm soit du SV40. Je dis cela parce que nous continuons à trouver du SV40 dans les flacons et aussi parce que c'est un choix naturel pour le travail."

    Si Big Pharma a si facilement menti sur le fait que ces injections étaient de l'ARNm alors qu'en réalité il s'agit en réalité d'ARNmod, il n'est pas une spéculation folle de supposer que l'industrie pharmaceutique a également intentionnellement permis à l'ADN SV40 modifié d'exister également dans les flacons de vaccin COVID, bien qu'il ne soit pas étiqueté. et approuvé comme tel.

    Concernant l'approvisionnement alimentaire, il existe un certain nombre de vaccins à ADN pour animaux qui sont déjà injectés aux vaches, aux poulets, aux porcs et à d'autres animaux consommés par l'homme. D’après ce que nous savons maintenant concernant les effets négatifs de ces vaccins à ADN une fois dans leurs hôtes mammifères, il est tout à fait logique que les humains mangent effectivement de l’ARN mod, y compris des fragments d’ADN et d’ARN, présents dans la viande.

    Choisir uniquement de la viande certifiée biologique, dans ce cas, ne vous protégera pas nécessairement, vous et votre famille, en raison d'une faille dans la loi sur l'alimentation biologique des États-Unis qui permet aux animaux destinés à l'alimentation ayant reçu des « vaccins » génétiquement modifiés (OGM) d'être toujours étiquetés « biologiques ». ".

    "À la lumière du fait que les bonnes personnes des grandes sociétés pharmaceutiques ont travaillé si dur pour créer des vaccins transmissibles qui peuvent survivre grâce à l'approvisionnement alimentaire, nous devons nous demander s'il y a des arrière-pensées ici", dit Renz.

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  35. Learn more about the biotechnological takeover of the food supply at GMO.news.

    Sources for this article include:

    TomRenz.substack.com
    ResearchGate.net
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-12-04-rna-dna-contamination-food-supply-worse.html

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  36. Des millions de personnes bénéficiant d’une immunité naturelle ont reçu des vaccins contre le COVID en raison de recommandations sans fondement du CDC et manquant de données à l’appui.


    12/04/2023
    Lance D Johnson


    Après avoir enduré la pandémie de coronavirus de 2020, des dizaines de millions de survivants, qui ont inévitablement acquis une immunité naturelle, ont finalement été manipulés pour participer à une série d’expériences vaccinales inutiles. Telle est la conclusion d'une nouvelle demande du Freedom of Information Act (FOIA) qui a révélé que les recommandations du CDC sont sans fondement et manquent de données sous-jacentes.

    On nous a répété à plusieurs reprises que la pandémie de coronavirus de 2020 était la pandémie la plus meurtrière depuis un siècle et qu’elle continuerait à moins que nous ne soyons tous vaccinés. On nous a dit en 2021 que nous vivions dans une « pandémie de non vaccinés ». Des vies humaines ont été menacées pour maximiser l'observance de ce vaccin « sauveur ». Pendant cette période de mensonges et de tromperies, l’exposition naturelle était interdite, avec des masques et un isolement pour renforcer l’expérience. L’immunité naturelle était considérée comme un mythe.

    Le CDC a vendu des millions de vaccins supplémentaires contre la COVID en manipulant des personnes déjà immunisées naturellement

    La dose constante de propagande était uniforme dans les grands médias, presque comme si elle était prévue en 2019 lors de l'événement 201. Toute dissidence contre l'orthodoxie vaccinale était qualifiée de « désinformation » et était soit discréditée, soit retirée des médias sociaux par un réseau de tous. connaître les vérificateurs de faits. Au début de l’année 2021, des individus ont été soudoyés et alignés selon leur tranche d’âge et leur statut social pour participer à quelque chose qui était « pour le bien commun ». Certaines églises chrétiennes, fermées par les mesures de confinement imposées par le gouvernement en 2020, ont consciencieusement ouvert leurs portes juste pour que ces vaccins soient distribués aux gens.

    Ces vaccins expérimentaux (mis sur le marché dans un délai dix fois plus court que ce qui est cliniquement prudent) ont été conçus (prétendument) pour protéger contre une infection que la plupart des gens avaient déjà contractée et contre laquelle ils étaient naturellement immunisés. En supposant que les « vaccins » fonctionnent à l’époque, il n’existait toujours aucun précédent scientifique permettant d’inoculer aux gens une infection pour laquelle ils possédaient déjà des anticorps. Mais l’opération bioterroriste du CDC a dicté la politique publique de l’époque, plongeant la population dans des états d’hystérie, d’isolement et de séparation familiale, tout en renversant des décennies de précédent scientifique et épidémiologique.

    L’expérience de vaccination de masse du CDC et le rejet de l’immunité naturelle ne reposaient sur aucune donnée
    Le précédent de longue date de l’immunité naturelle n’avait pas d’importance pour les autorités de santé publique. Le CDC a insisté pour que les personnes ayant déjà été infectées soient vaccinées malgré leur immunité naturelle. Selon la demande de la FOIA, nous savons désormais avec certitude que la recommandation énergique du CDC était basée sur une étude financée par Big Pharma qui manquait de données sous-jacentes pour étayer ses affirmations.

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  37. Le CDC a publié l’étude dans son édition du 9 novembre 2021 du rapport hebdomadaire sur la morbidité et la mortalité. L’étude, rendue publique le 29 octobre 2021, a conclu que les personnes non vaccinées ayant déjà été infectées par le COVID-19 étaient cinq fois plus susceptibles de contracter à nouveau le COVID, par rapport aux personnes vaccinées.

    Il s’avère que les affirmations du CDC étaient toutes absurdes, sans aucune donnée sous-jacente pour les étayer. En fait, le CDC admet qu’il n’a jamais vu les données de l’étude. L'agence en difficulté a admis que les données sont détenues par une "organisation partenaire externe et gérées par un sous-traitant". Pire encore, le CDC a également reconnu que « les experts du CDC n’avaient pas reçu de copies des données brutes avant la résiliation du contrat ». Ces données ne sont plus disponibles et le grand public ne saura jamais ce qu’elles montrent réellement.

    Il est intéressant de noter que dans la section sur les conflits d’intérêts de l’étude, les auteurs ont noté que l’étude elle-même était parrainée par plusieurs sociétés pharmaceutiques, dont Pfizer, AstraZeneca, Merck, Sanofi et GlaxoSmithKline. Au moins quatre sociétés pharmaceutiques étaient impliquées dans la fabrication et la vente des vaccins contre la COVID-19. Les nombreux conflits d’intérêts ont été ignorés par le CDC. Au lieu d’examiner les résultats et de retracer les données derrière les conclusions de l’étude, le CDC a cherché à ignorer toutes les données sous-jacentes et à publier le faux récit de l’étude. Le CDC a diffusé ce faux récit le jour même où l’étude a été publiée sous forme de prépublication, ne laissant aucun temps pour une quelconque révision. À tout le moins, le CDC a induit le public en erreur par négligence.

    Les sources incluent :

    TheEpochTimes.com
    Dossier.aujourd'hui
    NaturalNews.com
    Twitter.com
    Twitter.com

    https://www.naturalnews.com/2023-12-04-millions-of-people-with-natural-immunity-vaccinated.html

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  38. Le syndrome des protéines de pointe est toujours en PLEIN EFFET 2 ans plus tard – et pourtant la plupart des masses injectées n’ont aucune idée de ce qui leur arrive


    12/04/2023
    S.D. Wells


    Pas une seule personne ayant reçu le vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) ne peut comprendre ce qui arrive à son corps, à son cerveau et à son fonctionnement général, et leurs médecins non plus. Des millions de protéines prions créées par la « technologie » de l'ARNm ont envahi leur système vasculaire, leurs organes de nettoyage, leurs organes reproducteurs et leur cerveau, et les symptômes du syndrome des protéines de pointe (SPS) vont de mineurs et récurrents à massivement mortels, y compris soudains. une mort "inexplicable".

    Les médecins ne peuvent pas OSER en parler, même s’ils peuvent s’y prendre par eux-mêmes, car le complexe médico-industriel leur dit quoi faire, quand le faire, comment le faire et ne rien faire d’autre. Cela implique des milliards de dollars par jour en tests de diagnostic, en analyses de sang, en davantage de vaccins et de médicaments sur ordonnance mortels (qui ne s’attaquent qu’aux symptômes, jamais à la cause profonde). Oui, le SPS, Spike Protein Syndrome, balaie la nation et le monde comme une pandémie, et les moutons injectés et leurs médecins sont tous comme des autruches avec la tête enfouie dans le sable. Bienvenue dans la pandémie de gain de fonction, avec 270 millions d’Américains impliqués dans la plus grande expérience médicale de notre époque.

    Plus de 270 millions d’Américains sont les cobayes du « travail interne » ultime des grandes entreprises pharmaceutiques.

    De nouvelles études révèlent que plus de la MOITIÉ de tous les moutons vaccinés contre le COVID-19 se sentent malades au moins un an plus tard, et que leur qualité de vie a considérablement diminué en raison directement des coups de couteau du virus de Wuhan. Suivez la balle qui rebondit. Les vaccinés contre le COVID-19 souffrent inutilement de complications de santé dues aux protéines de pointe et aux nanoparticules de graphène créées sans relâche par leurs cellules reprogrammées par l’ARNm, ce qui obstrue et coagule leur système vasculaire, mettant le cœur à rude épreuve.

    De plus, les prions, protéines imitant les virus, envahissent leurs organes nettoyants et leur cerveau, envoyant le système immunitaire en état de choc, lui disant d'ATTAQUER ces organes vitaux pour tuer les parasites (mais les parasites sont désormais créés par leur propre corps, chaque minute, chaque minute). heure, chaque jour, peut-être pour toujours. Oui, une étude publiée dans ScienceDirect ce mois-ci a examiné le PCVS (syndrome vaccinal post-Covid) pour évaluer la qualité de vie de ces personnes, et les nouvelles étaient pour le moins sombres.

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  39. La qualité de vie des personnes souffrant du syndrome post-Covid-vax s’est détériorée après douze mois. Ceux qui étaient suffisamment ignorants pour prendre les injections de rappel COVID fortement recommandées par Gain-of-Function-Fauci avaient un PCVS bien plus élevé que tout le monde. Cela devient effrayant aussi. Les conditions de santé débilitantes du PCVS sont très similaires à celles du COVID à long terme. Serait-ce les peptides du venin de serpent ? Cela expliquerait toutes les fausses couches des femmes enceintes qui se sont fait piquer, ainsi que celles des personnes souffrant d’hallucinations et de défaillances organiques majeures. Il est temps pour tous les opposants de consulter le site Web VenomTech pour plus d’informations sur les médicaments à base de venins mortels, y compris ces soi-disant « vaccins » COVID qui ne sont pas vraiment des vaccins du tout.

    De nombreuses personnes en parfaite santé se précipitent à l’hôpital avec des douleurs lancinantes au cerveau que personne ne peut expliquer, y compris leurs médecins, qui semblent tous encore plus confus après des tests de diagnostic exhaustifs et coûteux. D'autres souffrent d'un gonflement du muscle cardiaque et de caillots sanguins soudains « rares » qui ne sont même pas constitués de sang (juste une substance caoutchouteuse blanche contenant des métaux lourds - d'où la chélation des nanoparticules). Beaucoup d’autres souffrent d’une léthargie implacable, n’ayant ni l’énergie ni la motivation nécessaires pour continuer à vivre leur vie (la vie dont ils jouissaient avant de recevoir les vaccins COVID).

    Il est important de noter qu'aucun conflit financier ou interpersonnel n'a affecté les résultats de l'étude, et c'est l'une des raisons pour lesquelles vous ne verrez pas ces informations vitales publiées dans les médias grand public, notamment en étant consultables via Google. Pourtant, la Bibliothèque nationale de médecine a analysé plus de 80 articles confirmant des complications cardiovasculaires chez plus de 17 000 personnes coincées avec le vaccin créateur de prions à ARNm, et cela inclut près de 300 de ces personnes qui en sont mortes.

    Ajoutez Vaccines.news à vos sites Web indépendants préférés pour obtenir des mises à jour sur les injections expérimentales de thérapie génique qui conduisent directement à des caillots vasculaires, à l'hypertension, à la myocardite, à la péricardite, aux crises cardiaques, aux accidents vasculaires cérébraux, au PCVS, au SPS et au syndrome du long vaccin.

    Les sources de cet article incluent :

    Pandémie.actualités
    ScienceDirect.com
    TheEpochTimes.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-12-04-spike-protein-syndrome-still-in-full-effect.html

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  40. Rapport du CDC : les taux de suicide aux États-Unis ont atteint un niveau record en 2022


    12/04/2023
    Olivia Cook


    Les données basées sur plus de 99 % de tous les enregistrements de décès de 2022 reçus et traités par le Centre national des statistiques de santé (NCHS) au 6 août ont montré provisoirement que près de 50 000 personnes aux États-Unis ont perdu la vie par automutilation ou par suicide.
    Le nombre provisoire de 49.999 suicides était supérieur de trois pour cent au total final de 48.183 suicides en 2021.

    Le taux de suicide a augmenté de 1 % en 2022 pour atteindre plus de 14,3 décès pour 100 000 habitants, contre 14,1 décès pour 100 000 habitants en 2021 – ce qui en fait « le nombre le plus élevé jamais enregistré » depuis que le NCHS a commencé à compiler des statistiques en 1941.

    Les chercheurs de l'agence ont noté que le décompte final des décès par suicide serait probablement plus élevé, car des certificats de décès supplémentaires avec des causes de décès en suspens nécessitent généralement des enquêtes sur les circonstances entourant les décès avant que les causes ne soient déterminées comme étant des suicides.

    Les suicides d'hommes ont augmenté de 2 %, passant de 38 358 en 2021 à 39 255 en 2022, tandis que le nombre de suicides de femmes a augmenté de 4 %, passant de 9 825 en 2021 à 10 194 en 2022. Le nombre provisoire de suicides d'hommes en 2022 était près de quatre fois supérieur à celui des suicides de femmes.

    Les taux de suicide pour tous les groupes d’âge de 35 ans et plus sont passés de 3 pour cent en 2021 à 9 pour cent en 2022 – avec des augmentations significatives pour les personnes âgées de 35 à 44 ans (de 18,1 à 18,7) ; âgés de 45 à 54 ans (de 18,2 à 19,2) ; âgés de 55 à 64 ans (de 17,0 à 18,5) ; et âgés de 75 ans et plus (de 20,3 à 21,3).

    En revanche, les taux de suicide pour tous les groupes d’âge de 10 à 34 ans ont diminué de 2021 à 2022 – de 10 à 14 ans (de 18 %) ; âgés de 15 à 25 ans (de neuf pour cent); et âgés de 25 à 24 ans (de deux pour cent). Les auteurs ont souligné que cela semblait être la seule bonne nouvelle du rapport publié par le Système national de statistiques de l'état civil.

    La plupart des groupes d'âge des hommes de 35 ans et plus ont connu des augmentations, avec des augmentations significatives chez ceux âgés de 45 à 54 ans et de 55 à 64 ans. Tous les groupes d'âge des femmes de 25 ans et plus ont connu des augmentations – avec une augmentation significative chez celles âgées de 25 à 34 ans.

    La crise de la santé mentale aux États-Unis

    Les experts en cardiologie mentale ont déclaré que le rapport reflétait « de vastes luttes » pour aider les personnes en détresse mentale suite à la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19) qui a tué plus d'un million de personnes aux États-Unis, a radicalement impacté l'économie et a laissé de nombreuses personnes effrayées, seules et socialement. isolé. (Connexe : Chirurgien général : LA SOLITUDE comporte des risques "comparables au tabagisme")

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  41. Le psychologue Dr Jeffrey Leichter de Sanford Health a déclaré : « Il y a eu une rupture dans notre santé économique et notre tissu social et nous en subissons encore les séquelles. »

    Une pénurie croissante d'agents de santé et le trafic de drogues illégales (substances consommées, drogues dangereuses, drogues de synthèse, fausses drogues) ont également facilité l'augmentation des suicides, ont ajouté les experts.

    Les données fédérales ont montré que les soins de santé mentale étaient devenus plus difficiles à trouver qu’avant la pandémie et qu’environ la moitié des Américains vivent dans une région sans accès à un professionnel de la santé mentale. (Connexe : Les confinements liés au coronavirus provoquent une augmentation des suicides parmi les travailleurs de la classe moyenne en Inde.)

    L'augmentation constante des suicides au cours du 21e siècle a incité le chirurgien général américain Vivek Murthy à lancer un appel à l'action en 2021 sur une stratégie nationale de prévention du suicide et un avis sur la jeunesse et la santé mentale, a rapporté ABC News.

    En juillet de l'année dernière, les services de lutte contre la toxicomanie et de santé mentale du ministère américain de la Santé et des Services sociaux ont lancé le programme à trois chiffres 988 Suicide & Crisis Lifeline. Selon les données fédérales, depuis son lancement, 988 centres du réseau Lifeline ont reçu environ sept millions d'appels, de discussions et de SMS, dont plus de 500 000 rien qu'en septembre.

    Les chercheurs d'une étude publiée dans la revue JAMA Network Open ont indiqué qu'environ six pour cent des quelque 5 000 personnes interrogées ont déclaré avoir utilisé 988 lorsqu'elles éprouvaient une détresse psychologique grave et qu'environ un tiers d'entre elles ont déclaré qu'elles l'utiliseraient à nouveau à l'avenir.

    Regardez cette vidéo sur les suicides aux États-Unis qui ont atteint un niveau record en 2022.

    Cette vidéo provient de la chaîne Daily Videos sur Brighteon.com.

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  42. Plus d'histoires connexes:

    Les données gouvernementales révèlent que les SUICIDES en Amérique ont atteint un niveau record.

    Une nouvelle étude alarmante montre que les confinements liés au COVID ont entraîné CINQ fois plus de suicides chez les enfants que de morts à cause du virus.

    Une étude révèle que le jeu a entraîné 184 suicides à Victoria, en Australie.

    Les sources incluent :

    CDC.gov
    WSJ.com
    ABCNews.go.com
    MAMH.org
    988Lifeline.org
    SAMHSA.gov
    JAMANetwork.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-12-04-us-suicide-rates-hit-all-time-high-2022.html

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  43. Un laboratoire américain est lié au virus Covid, avant l’épidémie


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    6 décembre 2023



    En 2018, des chercheurs des Rocky Mountain Laboratories des National Institutes of Health (NIH) des États-Unis, dans le Montana – une installation de niveau biologique 4 – ont expérimenté un coronavirus semblable au SRAS pour voir s'il infecterait les chauves-souris.1 La révélation est venue d'une étude refaite surface publiée par le groupe, qui a été signalé par le groupe activiste DRASTIC.

    Le White Coat Waste Project, qui vise à mettre un terme aux expériences sur les animaux financées par les contribuables, utilise également la Freedom of Information Act pour en savoir plus sur la recherche, notant :2

    « Nous avons découvert de nouveaux détails sur la façon dont un zoo ombragé en bordure de route dont le conservateur était un expérimentateur animalier du NIH a expédié des chauves-souris vers un superlaboratoire gouvernemental mortel pour les virus pour être infectées par un coronavirus obtenu du célèbre laboratoire de Wuhan qui, selon les experts, a causé le COVID.

    Le laboratoire américain de Fauci a expérimenté le virus COVID de Wuhan avant la pandémie

    Chercheurs des National Institutes of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) du NIH – anciennement dirigés par le Dr Anthony Fauci – et collègues, dont Ralph Baric, Ph.D., chercheur en gain de fonction (GOF), à l'Université de Caroline du Nord à Chapel Hill, a infecté 12 chauves-souris frugivores égyptiennes avec le coronavirus WIV1 (CoV) semblable au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) en 2018 pour voir ce qui se passerait.3

    Les chauves-souris provenaient de la Catoctin Wildlife Preserve (CWP) à Thurmont, dans le Maryland, un zoo en bordure de route où l'on constate de nombreuses violations du bien-être animal. En plus de confiner 523 animaux réglementés par le gouvernement fédéral – dont 241 chauves-souris – le conservateur du zoo a des liens avec le NIH. Selon le White Coat Waste Project :4

    "Nous avons découvert comment la personne qui est le conservateur du zoo et responsable du bien-être des animaux, le "directeur de la santé animale" du CWP, a travaillé dans les laboratoires internes d'expérimentation animale des National Institutes of Health (NIH). de 2003 à 2012 ! … sous leur supervision, CWP a expédié des animaux vers un laboratoire interne du NIH, alors dirigé par le Dr Anthony Fauci, pour des expériences cruelles et mortelles !

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  44. De plus, le coronavirus WIV1 provenait d'un laboratoire de Wuhan, en Chine, et pourrait avoir provoqué la pandémie de COVID-19.5 L'étude a révélé que le WIV1-CoV n'a pas provoqué d'infection grave chez les chauves-souris,6 mais souligne une fois de plus le contribuable. -a financé des expériences sur les coronavirus en lien avec le laboratoire de Wuhan.

    La maladie de Lyme est-elle également originaire du laboratoire du Montana ?

    « OK, alors écoutez, je déteste être porteur de mauvaises nouvelles », a tweeté Mike Benz, directeur exécutif de la Foundation for Freedom Online, « mais il semble que Covid ait en fait été fabriqué dans le même laboratoire militaire où le Pentagone. créé la maladie de Lyme. »7

    Il fait référence aux preuves présentées dans le livre de Kris Newby « Bitten : The Secret History of Lyme Disease and Biological Weapons », qui suggèrent que les chercheurs américains en armes biologiques ont utilisé les tiques comme armes biologiques et pourraient avoir créé la maladie de Lyme dans ce but.8

    Dans une interview avec le journaliste d'investigation Paul D. Thacker, Newby décrit avoir assisté à une fête au cours de laquelle un ancien agent de la CIA s'est vanté d'une opération de la guerre froide qui impliquait de lâcher des tiques infectées sur Cuba. « À ce moment-là, je savais que je n’en avais pas fini avec l’histoire », a-t-elle déclaré à Thacker. « Ce gars de la CIA était un peu dans ses tasses, mais ce qu’il a dit sonnait vrai. J’ai commencé à faire quelques recherches, je l’ai interviewé plusieurs fois et j’ai découvert que c’était une histoire vérifiable. »9

    Elle a également filmé Willy Burgdorfer, qui a découvert la maladie de Lyme. Burgdorfer a travaillé aux Rocky Mountain Labs dans le Montana – le même laboratoire qui a testé le coronavirus WIV1 sur des chauves-souris avant la pandémie. Thacker dit : 10

    « Le Rocky Mountain Lab, géré par les National Institutes of Health, apparaît dans des documents comme collaborant à la recherche sur les coronavirus avec Peter Daszak d'EcoHealth Alliance. Il s’agit du scientifique qui travaillait avec des chercheurs de l’Institut de virologie de Wuhan, là où la pandémie pourrait avoir commencé.

    Les Rocky Mountain Labs participent donc désormais à l’enquête sur la façon dont la pandémie actuelle a commencé – ils sont impliqués dans cette recherche sur les chauves-souris liées au coronavirus.

    Burgdorfer était à la retraite au moment du tournage et Newby et son équipe se sont rendus chez lui pour l'interview, car personne du NIH ou du CDC n'a accepté d'être filmé. Quelqu'un de Rocky Mountain Labs s'est présenté au tournage pour tenter d'intervenir. Elle a dit à Thacker :11

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  45. Baric a travaillé en étroite collaboration avec Shi Zhengli, Ph.D., directeur du Centre des maladies infectieuses émergentes de WIV. Également connue sous le nom de « femme chauve-souris », Zhengli a participé à des recherches utilisant le génie génétique pour créer un « nouveau virus de type chauve-souris, semblable au SRAS… qui peut passer directement de ses hôtes chauves-souris aux humains ». Selon Peter Gøtzsche de l’Institut pour la Liberté Scientifique14 :

    "Leurs travaux se sont concentrés sur l'amélioration de la capacité des virus de chauve-souris à attaquer les humains afin d'"examiner le potentiel d'émergence". En 2015, ils ont créé un nouveau virus en prenant l'épine dorsale du virus du SRAS et en remplaçant sa protéine de pointe par celle d'un autre virus de chauve-souris. connu sous le nom de SHC014-CoV.15 Ce virus fabriqué était capable d’infecter une culture en laboratoire de cellules provenant des voies respiratoires humaines.

    Ils ont écrit que les comités d'examen scientifique pourraient juger leurs recherches trop risquées à poursuivre, mais ont fait valoir qu'elles avaient le potentiel de se préparer et d'atténuer de futures épidémies. Cependant, la valeur des études sur le gain de fonction dans la prévention de la pandémie de COVID-19 s’est avérée négative, car ces recherches ont très probablement créé la pandémie.

    Le 26 février 2023, le Wall Street Journal a rapporté que le Département américain de l’énergie avait révisé son évaluation de l’origine du SRAS-CoV-2, concluant que la pandémie « résultait très probablement d’une fuite de laboratoire ».16

    En mars 2023, le directeur du FBI, Christopher Wray, a également reconnu que la théorie des fuites en laboratoire était probablement fondée depuis le début, déclarant dans une interview avec Fox News que « le FBI évalue depuis un certain temps maintenant que les origines de la pandémie sont les plus probables ». un incident potentiel dans un laboratoire à Wuhan… Vous parlez d’une fuite potentielle d’un laboratoire contrôlé par le gouvernement chinois qui a tué des millions d’Américains, et c’est précisément pour cela que cette capacité a été conçue. »17

    Pourtant, cela ne donne pas une image complète, car des preuves continuent d’émerger sur la recherche GOF financée par les États-Unis et liée au laboratoire de Wuhan. J'ai évoqué pour la première fois la théorie des fuites en laboratoire le 4 février 2020, mais ce n'est qu'en juin 2021 que Facebook a finalement annulé sa politique de censure sur ce sujet, déclarant : « À la lumière des enquêtes en cours sur l'origine du COVID-19 et en consultation avec experts en santé publique, nous ne supprimerons plus de nos applications l’affirmation selon laquelle le COVID-19 est d’origine humaine ou fabriquée. »18

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  46. Le projet de chasse aux virus s'arrête discrètement

    Des millions de dollars des contribuables américains ont été envoyés à l’étranger pour des expériences visant à identifier de nouveaux virus chez les animaux qui pourraient déclencher la prochaine pandémie19, malgré les inquiétudes croissantes quant à l’implication de telles expériences dans la pandémie de COVID-19.

    « Bien que les critiques aient exprimé des inquiétudes quant aux risques potentiellement catastrophiques de telles activités de chasse aux virus, des centaines de millions de dollars de financement constant ont symbolisé un engagement dans cet effort », a écrit le journaliste d’investigation David Willman dans le BMJ.20

    En 2021, les États-Unis ont également lancé un projet quinquennal destiné à chasser les virus dans la faune sauvage d’Asie du Sud-Est, d’Afrique et d’Amérique latine. Le programme, nommé DEEP VZN – pour Discovery & Exploration of Emerging Pathogens–Viral Zoonoses – était géré par l’Agence américaine pour le développement international (USAID), une branche du Département d’État américain.

    DEEP VZN a succédé au précédent programme USAID PREDICT, qui finançait des équipements de laboratoire pour l'Institut de virologie de Wuhan (WIV) en Chine grâce à des subventions à l'EcoHealth Alliance. Zhengli, le principal chercheur sur les coronavirus au WIV, a également travaillé avec PREDICT.21

    Les responsables de l’Université de l’État de Washington, embauchés pour administrer DEEP VZN, avaient l’intention de collecter environ 480 000 échantillons d’animaux sauvages pour identifier les menaces potentielles de pandémie, avec l’intention de caractériser jusqu’à 12 000 nouveaux virus. Cependant, au moins pour l’instant, une catastrophe potentielle aurait pu être évitée, puisque DEEP VZN a été discrètement fermé en 2023. Willman a rapporté :22

    "La décision, jusqu'alors non rendue publique, de l'USAID de mettre fin au DEEP VZN intervient dans un contexte d'inquiétudes accrues concernant les nombreux risques liés au travail avec des virus exotiques - y compris des questions non résolues quant à savoir si un incident de recherche ou une propagation naturelle du virus d'une espèce animale à l'homme a causé le SRAS. Pandémie CoV-2.

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  47. … À la suite de la pandémie de SRAS-CoV-2, d’autres ont exprimé des inquiétudes supplémentaires, affirmant que les risques liés à la collecte de virus transmis d’un animal à l’autre ne devraient pas être écartés à la légère. Une telle recherche implique généralement la collecte de spécimens biologiques, tels que des excréments, du sang ou de la salive de chauves-souris vivant dans des grottes ou des bosquets d'arbres, suivie de l'envoi des échantillons à un ou plusieurs laboratoires pour analyse.

    Un incident à n'importe quelle étape des travaux entraînerait, préviennent certains experts, un risque d'épidémie ou de pandémie… En mai de cette année, trois dirigeants de la commission de l'énergie et du commerce de la Chambre, contrôlée par les républicains, ont demandé au Government Accountability Office d'ouvrir un audit scientifique. pour « évaluer les avantages et les risques de la conduite de programmes de recherche prédictive sur le terrain pour les virus ».

    Les membres ont cité des recherches financées au cours de la dernière décennie par l'USAID et l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, une branche du NIH.

    Bien que de telles recherches, y compris le programme PREDICT de l'USAID (le prédécesseur du DEEP VZN), aient « identifié des milliers de nouveaux virus », ont écrit les membres de la Chambre, « certains chercheurs se sont demandé si la collecte et la caractérisation des virus trouvés chez les animaux pouvaient prédire avec précision ceux qui pourraient infecter les humains. ou quel serait l'effet si et quand les humains étaient par la suite infectés.

    Sources and References

    1, 5 Daily Mail October 31, 2023
    2, 4 White Coat Waste Project October 30, 2023
    3, 6 Viruses. 2018 Dec; 10(12): 727
    7 Twitter, Mike Benz November 1, 2023
    8, 9, 10, 11, 12 JoSPI March 11, 2023
    13 YouTube June 29, 2021
    14 Scientific Freedom May 19, 2021
    15 Nature Medicine volume 21, pages1508–1513(2015)
    16 Wall Street Journal February 26, 2023 (Archived)
    17 CNN February 28, 2023
    18 Reason June 4, 2021
    19 Daily Mail August 12, 2023
    20, 22 BMJ 2023;382:p2002
    21 USRTK March 16, 2022

    https://www.lewrockwell.com/2023/12/joseph-mercola/us-lab-is-linked-to-covid-virus-before-outbreak/

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  48. De plus en plus d’arrêts maladie parmi les groupes professionnels hautement vaccinés à l’exemple des hôpitaux


    6 décembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Il existe certains groupes professionnels pour lesquels la vaccination était obligatoire. Il a été avancé qu’il s’agissait de protéger les autres, c’est-à-dire de se protéger contre la transmission. Cependant, on sait depuis toujours qu’une vaccination dans le haut du bras ne peut produire une immunité stérile contre les infections respiratoires et ne peut donc empêcher « la transmission d’une personne à une autre » . L'autorité de régulation européenne EMA a dû l'admettre dans une lettre adressée aux membres du Parlement européen. Néanmoins, les employés des services de santé, les pilotes, les pompiers, la police et l’armée ont été contraints de se faire vacciner.

    TKP a largement parlé des problèmes de l'aviation dans une série d'articles , car les incidents - incapacité soudaine ou décès - posent un problème de sécurité pour les pilotes en service. Le système de santé est également plus durement touché, comme le sont toutes les entreprises qui comptent une proportion plus élevée de salariés vaccinés. Le nombre d'arrêts de travail a fortement augmenté, en Allemagne même de 60 % au premier semestre par rapport au niveau déjà élevé de l'année précédente.

    C’est en tout cas très différent de 2020, où les hôpitaux étaient nettement sous-occupés. Un chauffeur de taxi m'a récemment raconté l'histoire de sa fille, qui a été confrontée à des « mensonges » à l'hôpital général de Vienne en 2020 : des lits vides comparés aux histoires de surcharge des hôpitaux et des unités de soins intensifs. Elle ne voulait plus participer, a quitté son emploi, est partie en Croatie et y dirige aujourd'hui une entreprise d'entretien de bateaux avec 28 employés.

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  49. Selon les données de Statistics Austria, le taux d'occupation des hôpitaux en 2020 était en réalité inférieur de 18 % à celui des années précédentes .

    La revue médicale allemande a rapporté lundi sous le titre « De plus en plus de patients corona et d'absences du personnel dans les hôpitaux ». En conséquence, le chef de l'Association des hôpitaux allemands (DKG), Gerald Gaß, a déclaré : « Les cliniques connaissent une augmentation notable des des patients souffrant de maladies respiratoires, dont un nombre croissant de patients atteints du corona.

    L’augmentation des cas de corona et d’autres infections respiratoires pose des problèmes aux hôpitaux allemands. « Mais la situation est gérable. Les absences des salariés dues au corona et à d’autres maladies sont plus problématiques », a-t-il expliqué.

    « En temps normal, il manque huit pour cent de la main-d'œuvre, maintenant c'est dix à douze pour cent », a déclaré Gaß. « Cela pose des défis majeurs aux cliniques. »

    La situation est similaire en Autriche : à Vienne, les échecs seraient de 15 %, dans les autres Länder environ 10 %.

    « Certains hôpitaux ferment déjà des lits ou des services parce qu'ils ne disposent plus de suffisamment de personnel », a déclaré Gaß.

    Ces problèmes avaient été prédits par des scientifiques et des médecins sérieux avant la campagne de vaccination. Les causes sont, d’une part, les dommages causés au système immunitaire inné par les injections de modRNA, et des études montrent que plus on est vacciné, plus c’est grave. Cela rend les personnes vaccinées plus sensibles à toutes les autres infections respiratoires.

    Les vaccinations ont notamment accru la sensibilité aux coronavirus. Deux études de la Cleveland Clinic ( ici et ici ) ont montré que le risque d'infection et de maladie augmente à chaque vaccination supplémentaire. C’est exactement ce à quoi sont désormais confrontées les entreprises lorsqu’elles comptent une forte proportion de salariés ayant été vaccinés plusieurs fois.

    L'origine des problèmes est le développement d'une tolérance à l'agent pathogène contre lequel la vaccination est effectuée. Cette tolérance est médiée à la fois par le sous-type d'anticorps IgG4 et par les cellules T régulatrices , dont le rôle est de ralentir le système immunitaire. Au plus tard à la troisième dose, toute personne vaccinée possède des anticorps IgG4, qui sont également responsables de maladies auto-immunes et de turbo-cancers .

    Le développement des IgG4 grâce à de multiples vaccinations contre la grippe a également été prouvé.

    Tout cela est désormais bien documenté, mais les vaccinations continuent d'être poussées car, après tout, la vague de grippe "n'a même pas encore vraiment commencé ", explique Gaß. « Afin d’éviter de surcharger le système de santé, nous appelons la population à se faire vacciner conformément aux recommandations. "

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  50. Et l'Ärzteblatt conclut avec… d'autres vaccinations :

    La Commission permanente de vaccination (STIKO) recommande que les personnes âgées de 60 ans et plus, les personnes souffrant de maladies sous-jacentes, les résidents des établissements de soins et le personnel médical et soignant reçoivent une vaccination annuelle contre la grippe ainsi qu'un rappel annuel contre le corona. Les deux vaccins peuvent être administrés en même temps.

    Alors ils organisent de véritables orgies de vaccination. Et puis on est surpris quand les gens n'ont plus aucune défense contre les infections respiratoires.

    https://

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  51. Chercher ! Réveiller les gens! Vous êtes « suicidé à vitesse de distorsion ».
    Chercher ! – Et vous verrez, il y a quelque chose qui ne va vraiment pas.


    Par Peter Koenig
    Recherche mondiale,
    6 décembre 2023


    Ne levez pas les yeux de peur de voir ce que personne ne veut que vous voyiez – à savoir le grand-gros mensonge. À mesure que le temps passe et que l'Agenda 2030, alias la Grande Réinitialisation du WEF , progresse, l'astéroïde qui s'approche de la Terre Mère se rapproche toujours plus, ce qui représente un risque toujours plus grand de destruction de notre planète. C'est de plus en plus évident. Et nous le ressentons tous – nous ressentons la chaleur du météore qui approche.

    Pourtant, nous avons peur de lever les yeux. On nous dit même qu’une comète approche et qu’elle pourrait tous nous détruire. Nous avons peur, mais nous ne levons pas les yeux pour voir l'énormité toujours croissante. Parce que si nous le faisions, nous devrions prendre des mesures pour empêcher le météore de frapper notre planète.

    Cela « perturberait » notre confort ; nous devrions nous lever, nous devrions agir à l’unisson pour rassembler la force nécessaire pour provoquer un changement de direction de l’astéroïde, pour sauver notre planète.

    Nous semblons avoir une peur folle – à tel point que nous préférerions avoir un comportement d'autruche, regarder en bas, voire même mettre la tête dans le sable – pour ne pas voir l'évidence.

    Littéralement, la destruction de nos vies. Plus nous attendons, moins nous avons de chances de dévier le « monstre colossal » qui s’approche de nous. Nous le savons, au fond, notre intuition la plus profonde nous dit qu’il y a quelque chose qui ne va vraiment pas avec ce qui approche.

    Ne rien faire, c'est comme se suicider. Parce que les signaux d’alarme sont là, ici et partout – depuis des années, et pas seulement depuis janvier 2020, lorsque le météore a été observé et officiellement enregistré pour la première fois.

    La dissonance cognitive et la PEUR, oui, la PEUR répétée, sont leur plus grand instrument d'intimidation.

    Ils ne cachent pas la comète. Mais c'est à nous de lever les yeux et de le voir, de faire tout ce qu'il faut pour éloigner sa trajectoire de notre Terre Mère. Nous pouvons le faire – nous pouvons encore le faire.

    Cet appel à l’attention, au lever des yeux, n’a pas pour but de semer davantage de peur. Bien au contraire.

    En voyant votre ennemi, en le regardant dans les yeux, vous gagnez en force et perdez la peur. En faisant cela collectivement, en tant qu’unité solidaire d’humains – face aux mensonges et s’éloignant enfin de ceux qui ont englouti nos vies depuis des décennies, des siècles, probablement au moins les 2000 dernières années – nous pourrons alors respirer un nouveau souffle. air. Nouvelle énergie.

    "Ne lève pas les yeux"
    Don't Look Up est le titre d'un film sorti en 2021 sur une comète qui s'approche de la Terre Mère et menace de la détruire.

    La comète est une métaphore des crises terriblement puissantes de la finance d’entreprise, de l’énergie numérique et du changement climatique, sur le point de détruire la Terre Mère. Le film est encore un autre avertissement.

    Il nous dit : regardez ! Regardez le monstre directement dans son visage de tueur froid et inexpressif.

    C'est une mesure que NOUS devons prendre pour y mettre un terme. Et nous pouvons l'arrêter.

    - voir clip sur site -

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  52. Le réalisateur Adam McKay souligne que nous vivons dans une société qui nous permet de contourner les faits scientifiques et d'ignorer la menace de notre propre autodestruction au profit des riches à court terme .

    Il a tout à fait raison.

    « Ne cherchez pas » est également le titre d'une vidéo allemande intitulée « Schau Nicht Nach Oben. ( Podcast de 18 minutes en « apolut » – média alternatif allemand)

    Voir la vidéo allemande ci-dessous. Il existe une transcription allemande.

    Bien qu’il s’adresse au contexte allemand, il s’applique également à l’Europe occidentale et à la majeure partie du monde occidental.

    - voir clip sur site -

    La propagande nous dit de ne pas « lever les yeux »

    La propagande nous dit de ne pas « lever les yeux » à moins de renoncer à notre confort et de voir une réalité que nous avons ignorée au cours des derniers siècles de l’histoire de l’humanité – voire plus – et nous ne voudrions pas voir le trou noir qui nous affecte. nos vies.

    La plupart ne lèveront pas les yeux et ne feront pas ce que le pouvoir obscur leur dit de faire – « se faire vacciner » et suivre « l’Agenda vert, le soi-disant New Green Deal – pour votre sécurité et votre santé ».

    Le New Green Deal qui utilise le faux changement climatique comme prétexte pour cesser d’utiliser l’énergie, pour effondrer notre industrie, nos moyens de subsistance, pour détruire l’agriculture, nos sources de nourriture, provoquant la famine, dans le but ultime de « dépeuplement ». C'est un génocide de la part des « maîtres d'élite » qui exécutent ce plan diabolique au nom du complexe financier-numérique-militaire.

    Ceux qui, malgré la propagande et les menaces contraires, aimeraient voir à quoi ressemble la « comète », deviennent vulnérables à la perte de leurs activités vitales, de leur « raison d'être » – à moins qu'ils ne se laissent « vacciner » par un virus mortel. L’injection de mNRA (un poison modifiant les gènes) qui, depuis début 2021, a entraîné une tendance à la hausse de la mortalité et de la morbidité.

    Les élites du WEF veulent également que nous mangions des aliments, de la viande ou des insectes fabriqués en laboratoire provenant des fermes d’insectes et des usines de viande de Bill Gates :

    « Une entreprise obtient une subvention pour développer des aliments à base d'insectes afin de lutter contre la malnutrition

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  53. All Things Bugs a déclaré qu'il s'agissait d'un gagnant du Grand Challenges Explorations, une initiative financée par la Fondation Bill & Melinda Gates. All Things Bugs développe des technologies dérivées des insectes pour des applications dans les domaines alimentaire, agricole et pharmaceutique.

    Le Dr Aaron T. Dossey, fondateur et propriétaire de All Things Bugs poursuivra un projet de recherche innovant sur la santé et le développement à l'échelle mondiale, intitulé « Good Bugs : une alimentation durable contre la malnutrition chez les enfants ».

    Grand Challenges Explorations (GCE) finance des individus du monde entier pour explorer des idées susceptibles de briser le moule dans la façon dont nous résolvons les défis mondiaux persistants en matière de santé et de développement. ( Revue Eurasie, 12 mai 2012)

    Brevet de Bill Gates 6 754 472 B1
    Il y a plus : Bill Gates a acquis un brevet auprès de l'Office américain des brevets. En 2004, Microsoft a obtenu le brevet américain 6 754 472 B1 , intitulé : Méthode et appareil pour transmettre de l'énergie et des données à l'aide du corps humain . Voir ceci pour plus de détails .

    Cliquez ici ou capture d'écran pour accéder au document de brevet

    - voir doc sur site -

    Bien que ce brevet remonte à juin 2004, il est aujourd'hui de la plus haute importance, puisque peut-être jusqu'à la moitié ou plus de la population mondiale a reçu une injection d'un vaccin contenant de l'oxyde de graphène électromagnétique. Cette substance électromagnétique devrait jouer un rôle. Le brevet confirme que « le corps humain est utilisé comme milieu conducteur ». Selon le résumé du brevet américain 6 754 472 B1 :

    L'invention concerne des procédés et des appareils permettant de distribuer de l'énergie et des données à des dispositifs couplés au corps humain. Le corps humain est utilisé comme support conducteur , par exemple un bus, sur lequel l'énergie et/ou les données sont distribuées.

    L'énergie est distribuée en couplant une source d'énergie au corps humain via un premier jeu d'électrodes. Un ou plusieurs dispositifs à alimenter, par exemple des dispositifs périphériques, réellement couplés au corps humain via des jeux d'électrodes supplémentaires.

    Les appareils peuvent être, par exemple, un haut-parleur, un écran, une montre, un clavier, etc.

    Un signal DC Signalor AC pulsé peut être utilisé comme source d'alimentation. En utilisant plusieurs signaux d'alimentation de fréquences différentes, différents appareils peuvent être alimentés de manière sélective.

    Des données numériques et/ou d'autres signaux d'information, par exemple des signaux audio, peuvent être modulés sur le signal de puissance à l'aide de techniques de modulation de fréquence et/ou d'amplitude.

    Chercher ! C'est là.
    Nous écrivons à la mi-décembre 2022. Les mesures d’économie d’énergie forcées et factices, imposées par l’UE et auxquelles adhère également le Royaume-Uni, ont déjà gelé la majeure partie du continent européen. Des températures inférieures à zéro, associées à des augmentations spectaculaires du jour au lendemain des prix de l’énergie, empêchent des millions d’Européens pauvres de se chauffer, les poussant au gel – tout cela au nom de la réduction de la population.

    Les pénuries alimentaires artificiellement créées font partie intégrante du noble programme vert. Les agriculteurs britanniques mettent en garde : cela entraînerait une crise de l'approvisionnement alimentaire . Et dans certains pays, c'est la famine.

    - voir doc sur site -

    Gardien, 6 décembre 2022

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  54. Pour réussir, une véritable secte doit avertir les gens de ce qu’elle fait – mais normalement personne n’écoute. « Ils » le savent – ​​nous avions déjà été prévenus à la fin de l’été, alors que la chaleur diminuait, que nous risquions de nous attendre à un hiver nordique froid, très froid, affectant particulièrement l’Europe.

    Au Royaume-Uni, selon les chiffres de l' End Fuel Poverty Coalition , 16,4 millions de personnes (25 % de la population britannique) n'auront pas les moyens de se chauffer cet hiver.

    La campagne Warm Welcome a déclaré qu'un excédent de décès sur dix cet hiver serait imputable à la précarité énergétique et que l'aide gouvernementale – malgré l'ajout de milliards de livres à la dette nationale, diminuerait encore de 980 dollars par ménage, sans suffire à compenser l'augmentation. coût de la vie.

    Quelque 3 300 « banques chaudes » ont été ouvertes à travers le Royaume-Uni, alors que des millions de personnes sont confrontées à la perspective de précarité énergétique cet hiver. Le Met Office prévoit que les températures pourraient chuter jusqu'à -10 degrés Celsius dans certaines régions au cours de la semaine prochaine.

    - voir doc sur site -

    Capture d'écran Les nouvelles nationales

    Organisée par une coalition de groupes chrétiens, la campagne Warm Welcome a vu émerger des « banques chaleureuses », sous la forme d’organisations communautaires, d’églises, de bibliothèques et d’entreprises ouvrant leurs portes à des personnes désespérées de revenir du froid. Certains de ces espaces proposent du thé gratuit et un espace pour travailler. Beaucoup se remplissent rapidement .

    "Il ne fait aucun doute que nous nous dirigeons vers un moment de crise cet hiver face à l'inflation de l'énergie et des carburants", a déclaré le militant chrétien Carl Beech sur le site Internet de la campagne. « Les gens seront confrontés à un choix difficile entre la nourriture et la chaleur. Créer des espaces chaleureux et super accueillants… va être une nécessité absolue » ( RT – 11 décembre 2022 ).

    Chercher! – Et vous verrez, il y a quelque chose qui ne va vraiment pas.

    Regardez ensuite de l’autre côté de l’Atlantique, d’où émane la tendance à la pénurie d’énergie – « c’est la faute de Poutine – la Russie, la Russie, la Russie ! » – le mandat donné à l’Europe de créer une pénurie d’énergie et de nourriture, de démolir sa base industrielle, ses emplois, ses moyens de subsistance – regardez de l’autre côté de l’Atlantique les atlantistes qui n’ont mis en place presque aucune mesure d’économie d’énergie.

    Ils conduisent encore des SUV à moteur de 5 litres, des pick-up et d’autres voitures de luxe gourmandes en essence, à un tiers ou moins du prix de l’essence par rapport à ce qu’il est en Europe. La plupart des restaurants sont encore glacials à cause d’une climatisation super énergivore. Même si les températures extérieures sont devenues assez agréables dans le sud, et même fraîches dans le centre et le nord du pays. – Et personne ne parle d’économies sur les coûts de chauffage.

    Pendant ce temps, dans la petite Suisse, paradis des maîtres de l’argent et des « gangsters en col blanc », où (par habitant) la plupart des Tesla sont vendues dans le monde entier, un symbole de statut des riches, bien sûr ! – dans ce petit pays, on parle d’interdire les voitures électriques pour économiser l’énergie . Le pouvoir des Verts ! Peux-tu imaginer !

    Environ 60 % de toute l’énergie produite en Suisse provient de l’énergie hydraulique renouvelable. Les 40 % restants proviennent de quatre centrales nucléaires encore en activité. Mais en 2017, le gouvernement a décidé de les éliminer progressivement – ​​pour suivre le puissant programme vert destructeur.

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  55. Contrairement à la propagande verte, l’énergie nucléaire est l’une des sources d’énergie les plus propres et, oui, les plus sûres. Par quoi remplacer le nucléaire ? – Nuisibles pour l’environnement – ​​dans tous les sens du terme – les éoliennes et les panneaux solaires ? Juste pour se conformer au programme vert « financé par la philanthropie Soros » ?

    Chercher ! – Et vous verrez une surmortalité toujours croissante partout dans le Nord global .

    Alors regardez de plus près et découvrez d’où vient cette surmortalité. Une myriade de causes. Toutes sortes de cancers agressifs, du foie aux systèmes reproducteurs masculins et féminins, en passant par les leucémies et autres cancers du sang, de l’estomac et même des yeux – crises cardiaques, morts subites, myocardite – et bien d’autres maladies. Oui, des maladies qui ont toujours existé. Dans une certaine mesure. Mais pas au niveau actuel. Comme le montrent clairement les statistiques de surmortalité.

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    Sur la surmortalité au Canada et aux États-Unis, voir :

    Preuve que les statistiques canadiennes de mortalité liées au COVID-19 sont incorrectes

    Par Pr Denis Rancourt , Dr Marine Baudin , et Dr Jérémie Mercier , le 6 octobre 2022
    Campagne de vaccination de masse pendant la période COVID et désastre de santé publique aux États-Unis

    Par Pr Denis Rancourt , Dr Marine Baudin , et Dr Jérémie Mercier , le 3 août 2022

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    Déjà début 2021, Mike Yeadon , ancien vice-président de Pfizer et directeur de la recherche Pfizer, avait clairement averti qu'il y aurait tellement de maladies à mesure que le temps passerait après les campagnes de vaccination coercitives, qu'il serait difficile, voire impossible, de remonter aux vaccins.

    Mais ils sont à l’origine des injections empoisonnées et toxiques, appelées vaccins, que nous, les gens, avons été forcés – et sommes encore forcés dans de nombreux pays – d’accepter, afin de conserver notre emploi, nos moyens de subsistance.

    Le crime n'a plus de nom.

    Notre vocabulaire manque de force pour décrire de manière appropriée la monstrueuse tyrannie meurtrière en cours.

    Que dire, quand on a un pays comme la Nouvelle-Zélande, qui vient d'adopter une loi autorisant les autorités néo-zélandaises à retirer les enfants aux parents anti-vaccins ; ou vous avez un pays, le Royaume-Uni, qui permet à l'un de ses comtés, l'Oxfordshire, de confiner toute une société pour des raisons de changement climatique , ce dont toute personne à moitié instruite sait qu'il s'agit d'un canular sévèrement appliqué par la criminalité :

    Le conseil du comté d'Oxfordshire a approuvé hier des plans visant à enfermer les résidents dans l'une des six zones pour « sauver la planète » du réchauffement climatique. La dernière étape du programme « Ville en 15 minutes » consiste à installer des portails électroniques sur les routes principales à l'intérieur et à l'extérieur de la ville, confinant les habitants dans leur propre quartier.

    Dans le cadre du nouveau programme, si les résidents souhaitent quitter leur zone, ils auront besoin de l'autorisation du Conseil, qui décidera qui mérite la liberté et qui ne la mérite pas. Dans le cadre du nouveau programme, les résidents seront autorisés à quitter leur zone au maximum 100 jours par an, mais pour y parvenir, chaque résident devra enregistrer les détails de sa voiture auprès de la municipalité qui suivra ensuite ses mouvements via des caméras intelligentes autour de la zone. ville.

    Les gens ne peuvent voyager qu'à l'intérieur de leur comté ou avec un permis spécial pour entrer dans un comté voisin. La loi est rédigée de manière à pouvoir durer éternellement. – Et cela peut et peut très certainement être reproduit dans d’autres comtés et d’autres pays.

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  56. L'Académie des jeunes leaders mondiaux (YGL) du WEF

    Rappelons-nous à tous qui sont les dirigeants de ces deux pays. Mme Jacinda Ardern, Premier ministre de la Nouvelle-Zélande, et M. Rishi Sunak, Premier ministre du Royaume-Uni , sont tous deux chercheurs de l'Académie des jeunes leaders mondiaux (YGL ) de Klaus Schwab (WEF) . Dans l’une de ses récentes déclarations d’autosatisfaction, Klaus Schwab a déclaré à quel point il était fier que le WEF soit capable de « pénétrer » les gouvernements du monde entier :

    Je dois dire que je mentionne des noms comme Mme Merkel, voire Vladimir Poutine, etc., ils ont tous été des jeunes leaders mondiaux du Forum économique mondial. Mais ce dont nous sommes vraiment fiers maintenant avec la jeune génération comme le Premier ministre Trudeau, le Président de l'Argentine, etc., c'est que nous pénétrons dans les cabinets… C'est vrai en Argentine et c'est vrai en France maintenant… ( Klaus Schwab )

    Cliquez ici ou sur l'image pour accéder à la vidéo

    - voir clip sur site -

    Chercher !

    Encore et encore – apprenez, regardez l’ennemi dans les yeux. Recherchez vos propres statistiques – et vous verrez que les taux de fécondité diminuent considérablement, tant chez les femmes que chez les hommes. Dans de nombreux pays de l’UE, les naissances d’enfants vivants ont diminué de 40 %. L’accent est mis sur les naissances vivantes, car les fœtus nés à mort sont en forte augmentation. – Les vaxx. Dans de nombreux hôpitaux, les femmes enceintes sont obligées de se faire vacciner.

    Crime sans fin !

    Un appel urgent à un Nuremberg 2.0 s’impose.

    Un appel pour un nouveau système judiciaire. Rien de ce qui existe aujourd’hui ne peut être réformé. C’est pourri jusqu’à la moelle. Une tomate pourrie ne peut pas être reformée.

    Notre société a besoin de renouveau.

    Pas de réinitialisation.

    Schwab, Gates, Rockefeller, Soros – et autres – doivent partir.

    Le colosse complexe financier, numérique et militaire, qui dicte une tyrannie toujours croissante et un contrôle totalement génocidaire et asservissant depuis l’ombre, doit être évité.

    RENOUVELLEMENT de tout.

    Mais il faut « lever les yeux » pour le voir.

    En nous tendant la main, dans une solidarité spirituelle et physique, nous, le peuple, pouvons vaincre. Nous devons. Sinon……

    https://www.globalresearch.ca/look-up-wake-up-people-you-being-suicided-warp-speed/5802139

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