Richard Brown 13/12/2023
La première centrale nucléaire (NPP) de quatrième génération au monde, basée dans la province chinoise du Shandong, a officiellement commencé ses opérations commerciales.
L'Administration nationale chinoise de l'énergie (NEA) a annoncé que la centrale nucléaire de Shidao Bay, communément connue sous le nom de Shidaowan, était désormais en ligne. La centrale électrique utilise un réacteur refroidi au gaz à haute température (HTGR), qui a effectué un test continu de 168 heures avant d'être opérationnel.
Selon l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), les réacteurs innovants tels que le HTGR peuvent générer jusqu'à 70 fois plus d'énergie ; améliorer la durabilité de l'énergie nucléaire; et contribuer à réduire le volume, la toxicité et la durée de vie des déchets radioactifs.
Dans le même temps, l'AEN a déclaré que la Chine a atteint une position de leader mondial dans la recherche, le développement et l'application des technologies nucléaires de quatrième génération. La mise en service de la centrale nucléaire de Shidao Bay devrait soutenir le développement sûr de l'énergie nucléaire et renforcer les capacités d'innovation scientifique et technologique de la Chine. (Connexe : La Russie et la Chine dominent l’industrie de la production d’électricité nucléaire devant les États-Unis)
Zhang Zuoyi, concepteur en chef du programme de centrale nucléaire HTGR, a souligné l'élément clé de la « sécurité ». Il a souligné la capacité du réacteur à maintenir un état sûr et à éviter une fusion ou une fuite de matières radioactives. Même en cas de perte totale de capacité de refroidissement, le réacteur serait en mesure de maintenir cette capacité sans intervention.
Le projet Shidaowan a commencé ses travaux préliminaires en mars 2002 lorsque le groupe public China Huaneng Group (CHNG) a collaboré avec la China National Nuclear Corp. (CNNC) et l'Université Tsinghua sur le projet de démonstration de centrale nucléaire.
Bien que le plan de mise en œuvre ait été approuvé en mars 2011, il a connu des retards suite à l'accident radiologique de la centrale nucléaire de Fukushima au Japon, survenu le même mois en raison d'un tremblement de terre et du tsunami qui a suivi. Le projet Shidaowan a été officiellement lancé en décembre 2012, et la première production d'électricité aura lieu neuf ans plus tard, en 2021.
La Chine se classe au troisième rang mondial pour la production d'énergie nucléaire, après la France et les États-Unis, selon l'AIEA. Le pays devrait devenir le leader mondial en termes de capacité nucléaire installée d’ici 2030.
HTGR utilise de l'hélium gazeux au lieu de l'eau pour le refroidissement
Le HTGR de Shidaowan – co-développé par CHNG, CNNC et Tsinghua – utilise de l'hélium gazeux pour le refroidissement au lieu des méthodes traditionnelles de refroidissement par eau. Cela améliore la sécurité, ouvrant la voie à un plus grand nombre de centrales nucléaires intérieures qui ne dépendent pas de la proximité d'une source d'eau.
Les réacteurs à haute température comme le Shidaowan HTGR ont le potentiel de produire de la chaleur, de l’électricité et de l’hydrogène, contribuant ainsi aux efforts mondiaux visant à atteindre la neutralité carbone. Cette conception de réacteur de quatrième génération vise à succéder aux réacteurs nucléaires refroidis à l’eau existants à l’échelle mondiale, en donnant la priorité à la sécurité, à la durabilité et à l’efficacité.
Zhang, qui est également doyen de l'Institut des technologies nucléaires et des énergies nouvelles de Tsinghua, a souligné l'impact environnemental positif et le potentiel de production d'énergie neutre en carbone grâce à des réacteurs à haute température. La conception du réacteur se concentre sur des températures plus élevées, permettant la production d'électricité et d'hydrogène contribuant à un mix énergétique plus propre.
L'installation de Shidaowan comprend deux réacteurs thermiques de 250 mégawatts et un générateur de vapeur de 200 mégawatts. Environ 93,4 pour cent des matériaux utilisés dans le HTGR provenaient de sources nationales. La conception intègre des caractéristiques de sécurité inhérentes, garantissant la stabilité du noyau en cas de panne soudaine ou de perturbation externe.
Les réacteurs de quatrième génération, y compris le Shidaowan HTGR, s'alignent sur les objectifs du Gen IV International Forum (GIF), un cadre de coopération internationale regroupant les principales nations nucléaires. GIF vise à limiter l’impact environnemental, à réduire les déchets nucléaires, à minimiser le risque de fusion nucléaire et à freiner les opportunités de prolifération nucléaire.
Bien que Shidaowan soit le premier HTGR à entrer en exploitation commerciale à l’échelle mondiale, d’autres projets chinois de quatrième génération sont en cours. Le projet pilote de réacteur rapide refroidi au sodium de Xiapu dans la province du Fujian, géré par CNNC, est en cours de construction et devrait être connecté au réseau d'ici 2025. Les réacteurs rapides refroidis au sodium, contrairement aux HTGR, peuvent recycler l'uranium appauvri pour la réutilisation du combustible, améliorant ainsi la durabilité. .
La capacité nucléaire croissante de la Chine la positionne comme un leader mondial dans le secteur, avec des plans pour augmenter considérablement sa capacité nucléaire installée d'ici 2030. Malgré les progrès, l'énergie nucléaire ne représente actuellement que cinq pour cent de la production d'énergie de la Chine, ce qui met en évidence la dépendance continue au charbon, selon à l'Association Nucléaire Mondiale.
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Regardez cette vidéo sur la Chine limitant ses exportations de graphite, ce qui impacte 90 % de la production mondiale.
Cette vidéo provient de la chaîne Cynthia's Pursuit of Truth sur Brighteon.com.
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Sources include:
RT.com
SCMP.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-12-13-chinas-4th-generation-nuclear-plant-fully-operational.html
70 % des décès dus au vaccin Pfizer au Japon signalés dans les 10 jours suivant le vaccin : étude
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 14 DÉCEMBRE 2023 - 03H00
Rédigé par Naveen Athrappully via The Epoch Times
Selon une étude récente, environ 70 % des personnes décédées au Japon après avoir reçu un vaccin Pfizer contre le COVID-19 ont perdu la vie dans les 10 premiers jours suivant le vaccin.
L’étude japonaise évaluée par des pairs, publiée dans la revue Cureus le 7 décembre, a examiné l’association entre la vaccination Pfizer contre le COVID-19 et les décès dans les 10 jours suivant la vaccination.
La période à risque a été définie comme étant dans les 10 jours suivant la vaccination, le jour de vaccination étant le jour 1, et la période de contrôle étant définie comme étant de 11 à 180 jours après la vaccination.
L'analyse a été divisée en deux groupes : le groupe 1 représentant les personnes âgées de 65 ans et plus et le groupe 2, qui comprenait les personnes âgées de 64 ans et moins.
Le chercheur a identifié 1 311 décès dans le groupe 1, qui comprenait 662 hommes et 649 femmes. Dans le groupe 2, l'équipe a identifié 247 décès, soit 155 hommes et 92 femmes.
"Le pourcentage de cas signalés qui ont connu un décès dans les 10 jours suivant la vaccination était de 71 pour cent dans le groupe 1 et de 70 pour cent dans le groupe 2", indiquent les résultats de l'étude.
Plus de 65 ans
Dans le groupe 1, plus de femmes que d’hommes sont décédées globalement de diverses pathologies au cours des 10 premiers jours de vaccination. Après les 10 jours, davantage de décès d’hommes ont été signalés.
La plupart des décès post-vaccin se sont produits le deuxième jour, suivi des troisième et quatrième jours.
Outre les « décès inexpliqués », la principale cause de décès dans ce groupe était la cardiopathie ischémique (119 décès), suivie de l’insuffisance cardiaque (92) et de la pneumonie/asphyxie par aspiration (72). Des autopsies ont été pratiquées dans huit des 239 cas de décès inexpliqués.
RépondreSupprimerGroupe 2
Dans le groupe 2, plus de deux fois plus d’hommes que de femmes sont décédés de diverses pathologies au cours des 10 premiers jours de vaccination. Les décès globaux après les 10 premiers jours n’étaient que légèrement plus élevés chez les hommes.
Le plus grand nombre de décès après vaccination a été enregistré le troisième jour, suivi des quatrième, deuxième et cinquième jours.
Après les « décès inexpliqués », la principale cause de décès dans ce groupe était la cardiopathie ischémique (27 décès), les arythmies cardiaques (24), l’hémorragie sous-arachnoïdienne (20) et la myocardite/péricardite (17). Des autopsies ont été pratiquées dans neuf des 51 décès inexpliqués.
Il y avait une différence considérable entre les décès d’hommes et de femmes dus à la myocardite/péricardite au cours de la « période à risque », avec huit hommes décédés contre une seule femme. L'insuffisance cardiaque a entraîné le décès de neuf hommes contre deux femmes.
« Certains cas de myocardite/péricardite peuvent être inclus dans la catégorie des décès inexpliqués. La myocardite est une complication de la vaccination, en particulier chez les jeunes adultes et les adolescents », indique l'étude.
L’un des facteurs contribuant à l’augmentation du nombre de décès chez les hommes au cours des 10 premiers jours est « le nombre élevé de décès dus à la myocardite/péricardite, y compris les cas non diagnostiqués ».
Pour les deux groupes, les autres causes de décès étaient : arythmies cardiaques, anévrisme/dissection de l'aorte, hémorragie intracérébrale, hémorragie sous-arachnoïdienne, infarctus cérébral, insuffisance respiratoire, maladies pulmonaires interstitielles, embolie pulmonaire, pneumonie, septicémie, anaphylaxie, thrombocytopénie et marasme.
En bref, beaucoup plus de femmes et d’hommes japonais âgés de moins de 64 ans étaient confrontés à un risque plus élevé de décès immédiatement au cours des 10 premiers jours suivant la vaccination Pfizer.
Différences entre hommes et femmes, limites de l’étude
RépondreSupprimerL'auteur, Yasusi Suzumura, a calculé le rapport de masculinité pour les décès toutes causes confondues et pour chaque issue en divisant le nombre d'hommes par celui de femmes et en multipliant par 100. Autrement dit, plus le rapport de masculinité est élevé, plus le nombre de décès d'hommes est important.
L’auteur a constaté des différences notables entre le nombre de décès d’hommes et de femmes dans les deux groupes, ce qui a un impact sur le sex-ratio de l’étude.
« S’il n’y a aucun effet sur la survenue des décès, il ne devrait y avoir aucune différence dans les sex-ratios selon les périodes. Ainsi, cette découverte indique que la vaccination peut influencer la survenue du décès pendant la période à risque et pourrait être associée au décès », indique l’étude.
Les données sur le nombre de décès pour l’étude proviennent du ministère japonais de la Santé, du Travail et de la Protection sociale (MHLW).
Plus précisément, les cas impliquant uniquement la vaccination par ARNm BNT162b2 (Pfizer-BioNTech) signalés entre le 17 février 2021 et le 12 mars 2023 ont été inclus.
L’étude ne relie pas directement les décès aux vaccinations. "Les résultats indiquent que la vaccination par l'ARNm BNT162b2 peut influencer la survenue de décès pendant la période à risque", indique l'étude.
L’auteur a souligné certaines des limites de l’étude, notamment le fait que le nombre de jours entre la vaccination et le décès peut varier en fonction du traitement et que l’étude n’a pas pris en compte les effets de la vaccination après 11 jours.
En outre, l’auteur a déclaré que les rapports basés sur le sexe n’avaient pu être effectués que par quelques médecins et que les taux de mortalité n’avaient pas pu être calculés car l’analyse n’avait été effectuée que pour les décès survenus après la vaccination.
L’étude portait sur un échantillon limité et doit donc être interprétée « avec précaution ». « Enfin, les résultats de l’analyse doivent être interprétés avec prudence car tous les décès signalés au MHLW n’étaient pas liés à la vaccination. Les décès accidentels peuvent être inclus dans les décès signalés.
L’auteur de l’étude a souligné que puisque les vaccins sont administrés à des individus pour la plupart en bonne santé, ils devraient avoir un « niveau de sécurité plus élevé que les produits pharmaceutiques utilisés pour le traitement et devraient avoir un taux de mortalité vaccinale exceptionnellement faible ».
Par conséquent, même lorsque le taux de mortalité vaccinale est exceptionnellement faible, la sécurité des vaccins doit être analysée à l’aide de méthodes statistiques.
RépondreSupprimer"A cette occasion, il est difficile de déterminer si un décès post-vaccination est accidentel ou lié au vaccin", précise l'étude. Cependant, l’auteur a conclu que cette approche peut offrir des informations précieuses pour évaluer la sécurité des vaccins.
Epoch Times a contacté Pfizer pour obtenir ses commentaires.
« Semblable aux décès dus aux vaccins aux États-Unis »
Commentant l'étude, le cardiologue Dr Peter McCullough a déclaré que les données sur « la vaccination contre le COVID-19 et les décès au Japon sont très similaires aux décès dus au vaccin dans les cas américains et nationaux dans le VAERS », selon un article X du 9 décembre. « Soutient fortement la causalité des près de 1 150 décès immédiats observés. »
Le VAERS a signalé 18 188 décès dus à la vaccination contre le COVID-19 jusqu’au 29 septembre 2023, dont 1 150 décès survenus le même jour que la vaccination.
En outre, 2 040 fausses couches, 9 053 crises cardiaques, 17 433 invalidités permanentes, 5 057 cas de myocardite/péricardite et 36 184 réactions allergiques graves ont également été signalés.
L’Association of American Physicians and Surgeons a également partagé l’étude japonaise sur X.
L’auteur de l’étude a précisé qu’ils n’avaient reçu « aucun soutien financier » d’aucune organisation pour le travail qu’ils avaient soumis.
Plusieurs autres études ont également établi un lien entre les vaccins contre la COVID-19 et des taux de mortalité plus élevés. Un rapport du 17 septembre de Correlation Research in the Public Interest a révélé que dans les 17 pays analysés, la mortalité toutes causes confondues augmentait lorsque les vaccins contre le COVID-19 étaient distribués.
Neuf de ces 17 pays n’ont enregistré aucun excès de décès détectable après la déclaration de la pandémie par l’OMS en mars 2020. La surmortalité n’a commencé qu’avec la campagne de vaccination.
Dans 15 des 17 pays, il y a eu des pics sans précédent de mortalité toutes causes confondues en janvier et février 2022, qui ont coïncidé avec ou suivi le déploiement des injections de rappel.
L’étude estime qu’il y aura 1,74 million de décès supplémentaires dans les 17 pays au cours de la période de vaccination, ce qui équivaut à environ 1 pour 800 injections.
Pendant ce temps, le Japon a approuvé le premier vaccin auto-amplifiant à ARNm contre la COVID-19 au monde, bien que le fabricant n’ait pas publié de données de sécurité ou d’efficacité pour ce vaccin.
La dernière itération du vaccin à ARNm est encore plus puissante que la version actuelle, car elle génère davantage de protéines de pointe dans le corps humain.
https://www.zerohedge.com/medical/70-percent-deaths-pfizer-vaccine-japan-reported-within-10-days-jab-study
Les personnes qui ont reçu le vaccin contre le COVID présentent désormais des changements de personnalité majeurs résultant de dommages neurologiques induits par le vaccin, préviennent les experts
RépondreSupprimer13/12/2023
Ethan Huff
Lors d'une session de l'International Crimes Investigative Committee (ICIC) tenue au début du mois, une poignée d'experts en la matière, dont beaucoup que vous connaissez bien, ont discuté de la question des changements de personnalité survenus chez les personnes qui ont été « vaccinées » contre le coronavirus de Wuhan ( COVID 19).
L'avocat Dr Reiner Fuellmich a interviewé le professeur Sucharit Bhakdi, le professeur Karina Reiss, le Dr Naomi Wolf et le Dr Peter R. Breggin sur diverses questions concernant les vaccins contre le COVID, y compris à quoi ils servent réellement, ce qu'ils font pour personnes et à quoi ressembleront les futurs vaccins sur la base du cadre technologique émergent de l’ARNm (ou modRNA, selon certains).
Le Dr Wolf, auteur et journaliste, a parlé spécifiquement de la rupture de la volonté des gens après l'injection et de ce à quoi cela ressemble dans l'état actuel du monde. Le Dr Breggin a développé ce point en soulignant les parallèles troublants entre les effets de l'ARNm sur l'esprit humain et les anciennes pratiques de lobotomisation.
"La plupart des gens ne connaissent la lobotomie que grâce au film "Vol au-dessus d'un nid de coucou", bien que la crise du Covid ait révélé que rien ne reste trop sinistre ou effrayant pour que les grandes sociétés pharmaceutiques puissent le concevoir et l'inclure dans des produits destinés à être injectés en masse dans les populations. [sic] sous l'étiquette de « vaccin » », note The Exposé.
(Connexe : Une autre « pandémie » de type COVID émergera-t-elle en 2024, provoquant une loi martiale médicale à grande échelle ?)
Les injections de COVID rongent le cerveau
Non seulement les injections de COVID provoquent de profonds dommages physiques aux organes corporels, comme nous l’expliquons depuis de nombreux mois maintenant, mais elles endommagent et détruisent également les minuscules capillaires qui existent dans le cerveau dans le cadre de la barrière hémato-encéphalique d’une importance cruciale.
Ce barrage de destruction provoqué par les tirs conduit finalement à des changements de personnalité majeurs chez les destinataires, discutent les experts dans la vidéo ci-dessus. Essentiellement, les vaccins COVID rongent le cerveau des gens en temps réel et les transforment en zombies lobotomisés.
RépondreSupprimerLe plan directeur dans tout cela semble être de soumettre la planète à une sorte de contrôle mental, car cette lobotomisation permet un lavage de cerveau ultérieur des vaccinés, éventuellement avec l’aide de la 5G et d’autres armes anti-population avancées.
À terme, tous les soi-disant « vaccins » porteront la marque de l’ARNm, ce qui signifie que tout le monde finira par être détruit et reprogrammé. Il s’agit notamment des futurs vaccins contre la rougeole, la grippe et d’autres maladies infectieuses.
Les bovins utilisés pour l’alimentation reçoivent également désormais des injections d’ARNm, ce qui altère la viande et les produits laitiers avec tout ce que contiennent ces injections.
Sachez que la discussion ci-dessus approfondit beaucoup plus les détails de ce processus de lobotomisation chimique et la manière dont il se manifeste chez les receveurs du vaccin COVID. Les aspects zombies de la discussion rappellent l’avertissement « apocalypse zombie » du CDC il y a des années, avant le COVID.
"Les gens agissent de manière déséquilibrée", a révélé de manière anecdotique un commentateur sur le contenu.
Connaissez-vous quelqu'un qui a apparemment changé de personnalité à un moment donné après avoir été vacciné pour le COVID ? Apprenez-en davantage sur ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent :
Expose-News.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-12-13-covid-vaccinated-displaying-major-personality-changes.html
Vaccination contre les fausses idées sur l'influence du soleil sur le climat
RépondreSupprimer14 décembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Les vaccinations aident non seulement contre le coronavirus, la grippe et d’autres virus, mais aussi contre les fausses idées sur les causes du changement climatique. Par exemple, il a même été confirmé par une bulle papale que le gaz carbonique nous réchauffe et non le soleil. Nous avons déjà eu quelque chose avec le soleil, la terre, le pape et M. Galilée, mais si l'exorcisme ne vous aide pas, vous pouvez vous vacciner contre cela. C’est en fait une obligation, selon quatre messieurs issus d’universités aussi honorables que Cambridge, Yale et Faifax.
Ils y ont déjà réfléchi en 2017 et ont publié une véritable étude dans différents médias scientifiques . Il est modestement intitulé « Inoculer le public contre la désinformation sur le changement climatique ».
Dans le résumé, nous découvrons de quoi il s'agit :
« Pour lutter efficacement contre le changement climatique, il faut des changements significatifs dans le comportement humain et la prise de décision, individuels et collectifs. Cependant, compte tenu de la politisation croissante de la science (du climat) et des tentatives des groupes d’intérêt de saper le consensus scientifique sur le changement climatique par le biais de « campagnes de désinformation » organisées, il s’est avéré difficile de trouver des moyens d’impliquer le public, quel que soit son spectre politique, pour aborder efficacement le sujet. Un nombre croissant de recherches suggèrent qu’un moyen prometteur de contrecarrer la politisation de la science consiste à communiquer le niveau élevé d’accord normatif (« consensus ») parmi les experts sur la réalité du changement climatique d’origine humaine.
Il y a plusieurs déclarations notables ici :
L’histoire du changement climatique sert donc à réaliser « des changements significatifs dans le comportement humain individuel et collectif ». Peut-être la Grande Réinitialisation ?
Il reprend la vieille théorie du consensus anti-scientifique : « Tentatives de groupes d’intérêt visant à saper le consensus scientifique sur le changement climatique par le biais de « campagnes de désinformation » organisées » .
Non, en science, nous ne votons pas et ne déterminons pas le pourcentage de personnes qui ont une certaine opinion. Cela n’a pas fonctionné avec l’histoire du Vatican et de Galilée, car le consensus est une question de foi. Selon Karl Popper, la science repose sur la formation de théories falsifiables, l'expérimentation, la mesure et l'observation étant les seuls moyens autorisés de confirmation ou de falsification.
RépondreSupprimerBien sûr, tous ceux qui considèrent le gaz carbonique comme un gaz trace sans importance sur la base de mesures, d’expériences et d’observations sont des « groupes d’intérêt » méprisables qui politisent la « science ». Bien entendu, les politiciens et les bureaucrates ne font pas cela.
La meilleure façon de contrecarrer cela est « d’essayer de parvenir à un haut niveau d’accord normatif (« consensus ») parmi les experts sur la réalité du changement climatique d’origine humaine ». Vous êtes donc revenu au point de départ.
Le consensus est juste parce qu’il existe.
Les scientifiques qui font consensus sont pour la plupart plutôt insignifiants. Qui se souvient des experts du Vatican qui affirmaient que le soleil tournait autour de la terre ? Aucune loi ou unité de mesure ne porte le nom des consensualistes ; cela n’arrive qu’à celles qui contredisent le consensus et produisent de nouvelles idées.
Mais les quatre messieurs deviennent vraiment scientifiques :
« Dans une vaste expérience (N = 2 167), nous montrons que la communication du consensus scientifique sur le changement climatique d’origine humaine augmente considérablement la perception du public du consensus des experts d’environ 20 points de pourcentage.
Il est important de noter que l’introduction d’informations (fausses) remettant en question l’existence d’un consensus scientifique neutralise l’effet positif de la mise en avant du consensus normatif des experts .
En outre, présenter des informations erronées en l’absence de toute indication sur l’ étendue réelle du consensus nuit considérablement à la perception du public quant à l’étendue du consensus scientifique (-9 points).
En résumé : un consensus doit être créé pour affirmer qu'il existe un consensus. Parce que c'est ça la « science ». Le mot consensus apparaît 98 fois au total dans le journal.
Pape : « La surchauffe mondiale est une menace plus grande que Satan »
Vérificateurs de faits et négateurs du soleil sur le changement climatique causé par le soleil
Deux tiers des articles scientifiques rejettent les contributions humaines au changement climatique
Stations de recharge pour voitures électriques avec générateurs diesel et vérificateurs de faits
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Article de Nature sur le premier vaccin à ARNsa approuvé au Japon
RépondreSupprimer14 décembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
La prochaine génération d’injections à base d’ARN contiendra de l’ARN auto-amplifiant (ARNsa). Il s’agit de la prochaine étape logique pour déplacer la production de vaccins du bioréacteur d’usine vers le corps humain. Cela élimine des coûts importants pour l’industrie pharmaceutique. Les préparations modRNA anti-Covid avaient déjà des effets secondaires extrêmes mais une efficacité négative – quelles seront les conséquences du saRNA ? Un article de Nature traite de la préparation saRNA approuvée par le Japon .
Les avantages pour l’industrie pharmaceutique sont évidents. Il suffit d’en injecter de très petites quantités : les cellules produisent les protéines ARN qui créent les antigènes auxquels l’organisme doit réagir avec des anticorps. Nous savons désormais que les protéines Spike ne disparaissent pas d'elles-mêmes de l'organisme après une vaccination avec les préparations de BioNTech/Pfizer et Moderna ; elles étaient encore détectées inchangées après deux ans. La deuxième piqûre a amené le système immunitaire à produire des anticorps du sous-type IgG4, qui empêchent les pointes d'être combattues et éliminées du corps. Ce sous-type d'anticorps est responsable de maladies auto-immunes graves et de cancers . Peu importe le type de vaccination multiple qui les a provoqués.
Elie Dolgin rend compte de l’approbation de la première préparation d’ARNsa pour les vaccinations de rappel contre le Covid dans un article de Nature intitulé « Le vaccin à ARN autocopiant remporte la première approbation complète : quelle est la prochaine étape ?
« L’approbation d’un autre vaccin à base d’ARN contre le COVID-19 peut ne pas sembler particulièrement significative. Mais la confirmation la semaine dernière par les autorités japonaises d'un vaccin contre le SRAS-CoV-2 basé sur une forme d'ARN capable de se copier dans les cellules - le premier ARN "auto-amplificateur" (saRNA), entièrement approuvé dans le monde - est une une avancée décisive.
La nouvelle plateforme vaccinale pourrait offrir une protection efficace contre diverses maladies infectieuses et cancers. Parce qu’il peut être utilisé à une dose plus faible, il peut avoir moins d’effets secondaires que les autres traitements à base d’ARN messager (ARNm).
Pourquoi le saRNA pourrait être le prochain médicament à succès
Le vaccin ARCT-154 récemment approuvé, développé par Arcturus Therapeutics de San Diego, en Californie, et son partenaire CSL, une société de biotechnologie basée à Melbourne, en Australie, a déclenché des niveaux plus élevés d'anticorps anti-virus1 lorsqu'il est utilisé comme rappel dans les tests cliniques, ce qui circule dans le corps plus longtemps qu’un vaccin standard à ARNm contre la COVID-19.
Les chercheurs tentent de faire des vaccins à ARNsar une réalité depuis plus de 20 ans. « Obtenir l'approbation initiale de cette plateforme est une énorme réussite », déclare Roberta Duncan, responsable du programme ARN chez CSL et vice-présidente de l'Alliance for mRNA Medicines, une organisation créée le mois dernier pour répondre aux priorités politiques visant à faire progresser l'industrie.
RépondreSupprimer«C'est une validation incroyable pour ce domaine», déclare Nathaniel Wang, directeur général et co-fondateur de Replicate Bioscience à San Diego, en Californie, une société développant des vaccins à ARNsa. Il s’attend à ce qu’à mesure que la technologie des ARNsa continue de progresser, elle remplace de plus en plus l’ARNm traditionnel dans divers contextes thérapeutiques. « Elle a un potentiel plus polyvalent », explique Wang.
Le concept, qui a déjà provoqué des dégâts sans précédent, est à nouveau étendu et renforcé.
Cette polyvalence vient de leurs propriétés uniques.
Les injections conventionnelles de COVID-19 basées sur l’ARNm se composent principalement d’instructions génétiques pour une protéine virale entourée de séquences régulatrices. La machinerie cellulaire produit la protéine tant que ces instructions existent, et cette protéine – appelée antigène – stimule une réponse immunitaire. En revanche, les vaccins à ARNsa vont encore plus loin en intégrant les gènes nécessaires à la réplication et à la synthèse de l’ARN codant pour l’antigène, créant ainsi une imprimerie biologique pour produire le vaccin dans les cellules (voir « Stratégies de vaccination en comparaison »).
Comparaison des stratégies vaccinales : infographie comparant un vaccin à ARN traditionnel avec un vaccin à ARN auto-réplicatif.
Voici une représentation des mécanismes d’action modifiés :
Dans le cas de l’ARCT-154, l’antigène est une protéine de surface appelée Spike qui est exprimée par le SRAS-CoV-2. La machinerie de réplication provient d'un virus naturel, un pathogène transmis par les moustiques connu sous le nom de virus de l'encéphalite équine vénézuélienne, qui provoque un gonflement cérébral mortel chez les chevaux et les humains. Les scientifiques d'Arcturus ont supprimé les gènes clés du cadre de séquence virale, rendant le système non infectieux et sûr pour une utilisation chez l'homme.
Les gens pensent souvent que la plateforme vaccinale à ARNsa est simplement une variante de la vaccination traditionnelle à ARNm, "mais dans la pratique, ce n'est pas le cas", explique Anna Blakney, une bio-ingénieure qui a développé la technologie à l'Université de la Colombie-Britannique à Vancouver, au Canada. « le saRNA est un animal complètement différent ».
En raison de sa nature virale, le saRNA interagit avec le système immunitaire d’une manière unique, ce qui pourrait s’avérer bénéfique dans un certain nombre de scénarios pathologiques. Par exemple, pour prévenir les infections, leurs capacités d’auto-réplication pourraient permettre l’utilisation de plus petites doses de vaccins.
L'ARCT-154 nécessite un dixième à un sixième de la quantité de vaccin par personne par rapport aux autres injections de rappel contre la COVID-19 à base d'ARN . La réduction de la quantité de vaccin administrée par injection devrait entraîner une baisse des coûts de production. Et bien que le profil d'effets secondaires de l'ARCT-154 semble comparable à celui d'une vaccination traditionnelle à ARNm,1 il est concevable que les avantages des doses plus faibles de la plateforme contribueront à réduire la gravité de la douleur, de la fièvre, des frissons et d'autres symptômes désagréables, ce qui est appelée réactogénicité.
RépondreSupprimerCes réactions désagréables restent un obstacle important à la prise de vaccins à base d’ARNm. Prenons le vaccin contre la grippe saisonnière. Les vaccinations existantes basées sur des technologies vaccinales plus anciennes ne provoquent que de légères réactions. Plusieurs vaccins antigrippaux traditionnels à base d’ARNm font actuellement l’objet d’essais cliniques, et des signes prometteurs montrent qu’ils produisent plus d’anticorps protecteurs que les vaccinations précédentes. Cependant, leur profil d'effets secondaires doit encore être amélioré, explique Christian Mandl, co-fondateur et directeur scientifique de Tiba Biotech à Cambridge, Massachusetts. La dose plus faible des vaccins à ARNsa pourrait aider à résoudre certains problèmes de réactogénicité », dit-il.
Et encore plus d’effets secondaires, c’est-à-dire des dommages causés par le vaccin ?
L'article précise même :
Cependant, la plateforme vaccinale saRNA présente également certains inconvénients. En raison des instructions génétiques supplémentaires, les vaccins ont tendance à contenir des séquences plus longues – généralement au moins trois fois plus longues que les vaccins à ARNm traditionnels – ce qui rend le processus de fabrication plus compliqué.
Ils interagissent également avec le système immunitaire de manière complexe, par exemple en formant des intermédiaires de réplication qui aident à stimuler des voies de signalisation immunitaire utiles. Cependant, une stimulation excessive peut également se retourner contre vous, par exemple si le vaccin amène le système immunitaire à bloquer la réplication de l’ARN, annulant ainsi ses bénéfices.
C'est une question délicate, explique Niek Sanders, chercheur en thérapie génique à l'Université de Gand en Belgique et fondateur scientifique de Ziphius Vaccines, une entreprise de Merelbeke, en Belgique, qui développe des médicaments à base d'ARNsa. « Vous devez trouver la dose optimale d’ARN auto-amplifiant en combinaison avec le bon système d’administration.
Les autorités suivent le même schéma qu’avec les préparatifs Pfizer et Moderna. Les produits sont approuvés après des études extrêmement courtes. Aucune enquête à long terme sur les dommages consécutifs n'est effectuée et aucune détermination sérieuse de l'efficacité n'est fournie. Les études d’approbation clinique menées par Pfizer et Moderna ont donné des résultats négatifs, avec plus de décès et de blessures causées par le vaccin chez les personnes vaccinées que dans les groupes placebo.
Un nombre toujours croissant d’études montrant les dommages et l’efficacité négative des vaccins sont publiées. Néanmoins, les autorités autorisent le prochain niveau d’escalade sur le marché. Quelle est l’intention réelle derrière cela ? Presque aucune protection de la santé.
1000 études évaluées par des pairs sur les dommages causés par les vaccins
RépondreSupprimerEfficacité négative des boosters au Danemark
Un rappel de variante avec une efficacité négative est suivi par un autre rappel de variante
Dernière étude de la Cleveland Clinic : la vaccination bivalente augmente le risque d'infection et de maladie
Une étude autrichienne montre : aucune protection dès la 4e dose de vaccination mais plus d'infections que chez les personnes non vaccinées
Première seringue Covid « saRNA » sur le marché sans données de sécurité
La prochaine menace pour le fonctionnement du système immunitaire : les préparations d’ARN sar auto-amplifiantes
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Prise de pouvoir mondiale du Traité sur la pandémie de l'OMS en mai 2024
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Une étude autrichienne montre : aucune protection dès la 4e dose de vaccination mais plus d'infections que chez les personnes non vaccinées
RépondreSupprimer14 décembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Aujourd’hui, une vaste étude autrichienne montre que la vaccination n’offre aucune protection ; au contraire, le risque d’infection augmente chez les personnes vaccinées. Il s'agit d'une étude observationnelle rétrospective à l'échelle nationale.
Le résultat le plus important de l’étude est brièvement résumé :
« Par rapport aux groupes ayant reçu trois doses de vaccination, les groupes avec moins ou pas de vaccinations ne différaient pas en termes de mortalité par COVID-19, mais présentaient un risque plus faible d’infections par le SRAS-CoV-2. « Notamment, les groupes les moins vaccinés présentaient également un risque significativement plus faible d’infection par le SRAS-CoV-2 que le groupe à quatre doses de vaccin en 2023, une conclusion qui correspond bien à une étude de suivi à relativement long terme menée au Qatar. »
L' étude d'Alena Chalupka et al intitulée « Efficacité d'une quatrième dose de vaccin contre le SRAS-CoV-2 chez des individus précédemment infectés en provenance d'Autriche » a été publiée le 30 janvier 2023 dans le European Journal of Clinical Investigation. L'étude a été réalisée avec le soutien du professeur John PA Ioannidis de MedUni Graz et du groupe du professeur Stefan Pilz.
L’accent a été mis principalement sur l’efficacité d’une quatrième dose de vaccin contre le Covid-19 dans des groupes de population ayant déjà été infectés. "Nous avons estimé le risque de décès dus au COVID-19 et d'infections par le SRAS-CoV-2 en fonction du statut vaccinal des personnes précédemment infectées en Autriche."
Le critère de jugement principal était le risque de décès par COVID-19 et le critère de jugement secondaire était les infections par le SRAS-CoV-2 du 1er novembre au 31 décembre 2022, « où nous avons principalement comparé les individus ayant reçu quatre ou trois doses de vaccin ».
Les résultats résumés :
RépondreSupprimerSur les 3 986 312 personnes précédemment infectées, 281 291 (7,1 %) avaient reçu quatre vaccinations et 1 545 242 (38,8 %) avaient reçu trois vaccinations au début de l’étude. Nous avons enregistré 69 décès dus au COVID-19 et 89 056 infections par le SRAS-CoV-2. L’efficacité relative du vaccin pour quatre contre trois doses était de -24 % en termes de décès dus au COVID-19 et de 17 % en termes d’infections par le SRAS-CoV-2. Ce dernier effet a diminué rapidement avec le temps, et le risque d’infection était plus élevé chez les quatre vaccinations que chez les personnes moins vaccinées au cours de la période de suivi prolongée jusqu’en juin 2023. »
Encore une fois : il y avait une protection marginale au cours des 3 premiers mois après la vaccination, mais celle-ci s'est inversée au cours des 6 mois suivants.
Le résultat le plus important se trouve peut-être dans le tableau 2. Plus précisément, les non vaccinés présentaient le moins d’infections (HR ajusté selon l’âge et le sexe 0,66) et aucune différence significative de mortalité par rapport aux groupes vaccinés !
La plus grande susceptibilité à l’infection parmi les personnes vaccinées indique une altération du système immunitaire inné provoquée par la vaccination, ce qui a déjà été confirmé dans de nombreuses études.
Il y a ici une discussion intéressante des résultats par le Dr. John Campbell :
Les résultats concordent par exemple avec ceux de la Cleveland Clinic :
Dernière étude de la Cleveland Clinic : la vaccination bivalente augmente le risque d'infection et de maladie
Étude de Cleveland : le risque d’infection corona augmente à chaque vaccination supplémentaire
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80 % des Français soutiennent l’interdiction de davantage d’immigration et les deux tiers soutiennent le référendum
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 14 DÉCEMBRE 2023 - 11H00
Rédigé par Thomas Brooke via ReMix News,
Une écrasante majorité de citoyens français pensent que leur gouvernement ne devrait pas accueillir davantage de migrants en France et les deux tiers du pays soutiennent un référendum sur l'immigration, selon un récent sondage.
Selon l'enquête réalisée par l'Institut CSA pour CNEWS publiée mardi, 80 % des Français souhaitent une interdiction de l'immigration, contre seulement 19 pour cent favorables à de nouveaux arrivants.
L’opposition à une immigration de masse accrue est l’opinion majoritaire parmi tous les groupes d’âge. Le groupe démographique le plus accueillant est celui des jeunes ; cependant, 68 pour cent restent contre davantage d’immigration, contre 31 pour cent en faveur.
La tranche d’âge la plus opposée à l’ouverture des frontières est celle des 50-64 ans, où 88 pour cent sont contre, soit cinq points de pourcentage de plus que ceux âgés de 65 ans et plus.
Alors que l’opposition à l’immigration de masse est quasi unanime parmi les électeurs de droite – 100 % des électeurs de la Reconquête d’Éric Zemmour et 98 % des électeurs du Rassemblement national sont contre –, un nombre croissant de sympathisants de gauche s’interrogent également sur le nombre de nouveaux arrivants en France.
Au total, 56 pour cent des électeurs de gauche s'opposent à davantage d'immigration, les seules faibles majorités en faveur se trouvant parmi les partisans du Parti radical de gauche (55 pour cent), de LFI (55 pour cent) et des Verts (52 pour cent).
L’enquête a été menée les 11 et 12 décembre alors que le projet de loi du gouvernement français sur l’immigration était rejeté par le Parlement français. Les factions parlementaires de gauche estimaient que le projet de loi portait atteinte aux droits de l’homme, tandis que les politiciens de droite, dont Marine Le Pen, qualifiaient le projet de loi de « pro-immigration ».
Le même sondage révèle que les deux tiers des Français soutiennent également un référendum sur l'immigration, une initiative proposée depuis un certain temps par les partis de droite, qui estiment que l'afflux de nouveaux arrivants menace la cohésion sociale du pays et entraîne une augmentation du nombre de migrants. crime.
La réalité française, révélée par le ministre de l'Intérieur @GDarmanin. pic.twitter.com/hKdQqsfGKK
– Remix News & Views (@RMXnews) 8 décembre 2023
Une augmentation de la criminalité due à l'immigration a été mise en évidence la semaine dernière par le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin qui a révélé que 60 % des personnes arrêtées en France sont des ressortissants étrangers.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/80-french-support-ban-more-immigration-two-thirds-back-referendum
Un site d'information financière de premier plan accusé d'utiliser l'intelligence artificielle pour PLAGIARISER d'autres sites d'information
RépondreSupprimer13/12/2023
Arsenio Toledo
Un site d’informations financières qui reçoit l’un des plus gros trafic Web au monde vient d’être accusé d’utiliser l’intelligence artificielle (IA) pour plagier le contenu d’autres sites Web.
Investing.com, basé à Tel Aviv, en Israël, et détenu par la société multinationale Joffre Capital – une société de capital-risque spécialisée dans le rachat de startups technologiques – est un portail d'actualités et d'informations financières en ligne qui fournit des données de marché, des actualités et des articles de fond. sur les conseils et les tendances en matière d'investissement.
Un rapport du journaliste des médias Semafor, Max Tani, rapporte que le contenu provenant d'Investing.com n'est pas rédigé par des journalistes humains mais par un programme d'IA. (Connexe : Amazon va commencer à tester Digit – un robot humanoïde de six pieds de haut qui pourrait finir par REMPLACER les employés humains des entrepôts.)
Dans son rapport, Tani a cité trois cas où Investing.com avait piraté de manière flagrante des articles rédigés par de vrais journalistes.
Début novembre, le blog CryptoNewsLand a écrit un court article affirmant que l'actif de crypto-monnaie XRP "a connu une résurgence à la fois de son prix et de l'activité des investisseurs".
Quelques heures plus tard, Investing.com publiait un article affirmant que « la crypto-monnaie XRP a connu une résurgence significative ces dernières semaines, marquée par une augmentation de son prix et de son volume de transactions ». L'article d'Investing.com cite également les neuf mêmes statistiques que celles utilisées dans l'article de CryptoNewsLand et le même ensemble de données de la société de recherche sur les cryptomonnaies Santiment.
Dans un autre incident impliquant la société de conseils financiers et d'investissement et son site d'information The Motley Fool, les auteurs de la société ont comparé la performance boursière de Microsoft à celle de Google dans un article. The Motley Fool a noté que les actions de Microsoft sont sur le point d'augmenter grâce à la croissance des activités d'IA et de jeux de l'entreprise, tandis que la valeur des actions de Google devrait également augmenter en raison des revenus qu'elle génère de la recherche et de YouTube.
À peine une heure plus tard, Investing.com a publié son article comparant les deux mêmes actions et faisant les mêmes arguments sur leurs forces et leurs faiblesses.
En octobre, le site d'information sur les monnaies numériques et fiduciaires FXStreet, basé à Barcelone, a publié un article sur la fin d'un différend juridique entre Grayscale Investments et la Securities and Exchange Commission. Quelques heures plus tard, Investing.com a publié son article sur la situation, citant les mêmes sources.
RépondreSupprimerLes « informations » basées sur l’IA, une menace pour les vrais journalistes
Chaque fois qu'Investing.com publie un article plagiant d'autres articles en utilisant l'IA, il publie une information tout en bas de chaque article indiquant que chaque article a été "généré avec le soutien de l'IA et révisé par un éditeur". Mais contrairement aux agrégateurs d’actualités et à d’autres types de portails d’information en ligne, Investing.com fait croire à ses lecteurs qu’il écrit ses propres articles en ne reliant pas ni ne créditant d’autres sources d’information.
"Utiliser l'IA pour réécrire le contenu exclusif des concurrents est une menace pour le journalisme et la création de contenu original", a déclaré Pete Mongui, responsable du contenu chez FXStreet, qui a déclaré à Semafor que lui et son équipe avaient commencé à remarquer qu'Investing.com plagiait son contenu. contenu il y a plusieurs mois.
Mongui s'est dit découragé car FXStreet dispose d'une équipe de 60 personnes qui surveille et analyse rapidement l'évolution des monnaies mondiales, numériques et fiduciaires. Tout ce qu'Investing.com fait, c'est exécuter un programme d'IA qui est ensuite relu par un éditeur humain, érodant ainsi l'ensemble du monde FXStreet et d'autres sites Web d'informations financières.
"C'est l'un des multiples exemples que nous avons trouvés avec de simples comparaisons de leur contenu avec plusieurs de nos articles et de nombreux autres médias du secteur", a déclaré Mongui. "Pour nous, cela est particulièrement préjudiciable dans la mesure où FXStreet est l'un des principaux concurrents d'Investing.com."
Pire encore, Investing.com n’est peut-être pas le seul. D’autres portails d’information en ligne émergents utilisent également des programmes d’IA similaires pour plagier le contenu publié par d’autres sites Web plus réputés.
"Ce n'est pas vraiment une nouveauté", a écrit Lawrence Greenberg, vice-président senior et directeur juridique de The Motley Fool, dans un e-mail. "Nous avons vu et agi contre des personnes plagiant notre contenu de temps en temps, et si vous avez raison sur ce qui se passe, l'IA a atteint un niveau d'intelligence humaine qui copie un bon contenu et le rend médiocre."
Regardez ce clip du républicain Will Hurd lors d'une interview expliquant comment le gouvernement doit « prendre des mesures maintenant » pour réglementer l'intelligence artificielle avant qu'il ne soit trop tard.
RépondreSupprimerThis video is from the News Clips channel on Brighteon.com.
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"Diversity hire" Harvard President Claudine Gay plagiarized PhD dissertation: Report.
China's humanoid robot factories to go online in 2025, HALF of human labor force to be eliminated.
Sports Illustrated caught publishing articles created by non-existent AI-generated writers.
Amazon prepares army of 750,000 ROBOTS to eliminate HUMAN workers.
ChatGPT can figure out your personal data using simple conversations, warn researchers.
Sources include:
Semafor.com
Futurism.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-12-13-finance-news-site-plagiarism-using-artificial-intelligence.html
L'IA va-t-elle tuer tout le monde ? Les meilleurs experts disent oui, mettant en garde contre un « risque d’extinction » similaire aux armes nucléaires et aux pandémies
RépondreSupprimer13/12/2023
Ethan Huff
Dans une déclaration commune publiée la semaine dernière, Sam Altman, directeur d'OpenAI, et Geoffrey Hinton, le « parrain de l'IA », ont averti que la menace existentielle de l'intelligence artificielle (IA) pour l'humanité est réelle.
Même si Altman, dont la société a créé ChatGPT, et Hinton profitent tous deux de l’IA, ils admettent, avec plus de 350 autres personnalités, que l’IA pourrait finir par tuer la majeure partie de l’humanité dans les années à venir.
"Atténuer le risque d'extinction dû à l'IA devrait être une priorité mondiale, aux côtés d'autres risques à l'échelle sociétale tels que les pandémies et la guerre nucléaire", ont écrit les experts dans une seule phrase de 22 mots rédigée par le Center for AI Safety, une organisation à but non lucratif.
Récemment, un certain nombre de déclarations similaires ont été faites par les promoteurs de l’IA, notamment le gourou milliardaire des véhicules électriques (VE) Elon Musk, sur les dangers de l’IA. C'est un peu étrange, mais y a-t-il quelque chose qui ne soit pas étrange de nos jours ?
Quoi qu'il en soit, la déclaration d'une phrase vise à couvrir la menace de l'IA de détruire le monde à travers toutes sortes de calamités, y compris à travers la propagation accrue de la « désinformation » et le bouleversement économique qui surviendra inévitablement à cause du travail créé par les robots humanoïdes IA. pertes.
(Connexe : Les entreprises Woke développent fébrilement des robots génocidaires d’IA qui extermineront l’humanité pour arrêter le changement climatique.)
Une photo d'explosion du Pentagone générée par l'IA déclenche une liquidation massive des marchés boursiers
Le monde reçoit une dose constante de propagande sur l'IA depuis la sortie du produit ChatGPT d'OpenAI, qui permet aux utilisateurs de poser toutes sortes de questions ou de demander une relecture et de recevoir des réponses ou des révisions instantanées.
ChatGPT prépare essentiellement le grand public à accepter l’IA comme faisant partie intégrante de la vie quotidienne. Une fois que l’IA sera pleinement normalisée, il y aura certainement de plus en plus de produits dystopiques qui seront lancés.
RépondreSupprimerLes photos générées par l’IA deviennent également un problème, du moins pour l’établissement. L’une de ces photos représentant une fausse explosion au Pentagone a déclenché une liquidation boursière qui a fini par effacer des milliards de valeur des marchés dans leur ensemble.
Le Center for AI Safety reconnaît que ces problèmes et d'autres menacent de déstabiliser la planète de plusieurs manières, c'est pourquoi il a publié une déclaration d'une phrase dans le but « d'ouvrir le débat » sur le sujet, en particulier compte tenu du « large éventail de problèmes importants ». et les risques urgents liés à l'IA.
Parmi les autres signataires notables de la lettre, outre Altman et Hinton, figurent le patron de Google DeepMind, Demis Hassabis, et le PDG d'Anthropic, Dario Amodei.
Altman, Hassabis et Amodei ont rejoint plus tôt ce mois-ci un groupe restreint d'experts qui ont rencontré le président Biden pour discuter de ce que « le grand » pense des risques et des réglementations de l'IA.
En 2018, Hinton et Yoshua Bengio, un autre signataire de la lettre, ont remporté le prix Turing, la plus haute distinction décernée dans le monde informatique, pour leurs travaux sur les progrès des réseaux neuronaux. Ces progrès ont été décrits à l’époque comme des « percées majeures dans le domaine de l’intelligence artificielle ».
"Alors que nous sommes confrontés aux risques immédiats de l'IA tels que l'utilisation malveillante, la désinformation et la perte de pouvoir, l'industrie de l'IA et les gouvernements du monde entier doivent également faire sérieusement face au risque que les futures IA pourraient constituer une menace pour l'existence humaine", a commenté le directeur du Center for AI Safety. Dan Hendrycks.
"Atténuer le risque d'extinction de l'IA nécessitera une action mondiale. Le monde a coopéré avec succès pour atténuer les risques liés à la guerre nucléaire. Le même niveau d'effort est nécessaire pour faire face aux dangers posés par les futurs systèmes d'IA."
Altman, quant à lui, s'est prononcé en faveur de davantage de réglementations gouvernementales pour contrôler l'IA, avertissant que l'IA pourrait « causer des dommages importants au monde ». Et Hinton, qui a essentiellement consacré toute sa vie au développement de l’IA, dit maintenant qu’il le regrette car cela pourrait permettre à de « mauvais acteurs » de faire de « mauvaises choses ».
Vous trouverez davantage d’informations sur la menace de l’IA sur FutureTech.news.
Les sources de cet article incluent :
NYPost.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-12-13-ai-kill-everyone-extinction-nuclear-weapons-pandemics.html
Allemagne : le rapport sur l'alimentation 2023 du Ministère Fédéral de l'Alimentation et de l'Agriculture
RépondreSupprimer14 Décembre 2023
Willi l'agriculteur*
Ma note : Quels critères sont-ils décisifs pour le choix des produits alimentaires. Le goût recueille 94 %, on comprend. Mais 57 % seulement pour le prix alors que les conditions d'élevage du bétail obtiendraient 80 %, le mode de production biologique 72 % et le commerce équitable 73 % ?
Je me suis donné la peine de lire le dernier rapport sur l'alimentation 2023 du Ministère Fédéral de l'Alimentation et de l'Agriculture.
https://www.bmel.de/DE/themen/ernaehrung/ernaehrungsreport2023.html
Ce qui m'a frappé :
Il y a un nombre frappant de questions suggestives auxquelles on répond par la réponse socialement attendue. Exemples : manger moins de viande pour le climat, cultiver des plantes génétiquement modifiées, etc.
On peut relever une nette insistance des questions sur les thèmes que le ministère actuel souhaite mettre en avant. Exemple : l'étiquetage de l'élevage, qui n'intéresse pratiquement aucun consommateur dans le monde réel.
L'interprétation des réponses est choisie de manière à soutenir l'orientation actuelle de la politique. Exemple : « La politique doit s'engager pour plus d'agriculture biologique. »
Certaines réponses ne sont tout simplement pas sérieuses. Ainsi, environ 72 % des personnes interrogées indiquent que pour elles, la production biologique des aliments serait déterminante. C'est peut-être vrai, mais les caisses des supermarchés tiennent un tout autre langage. Que le prix soit un critère décisif pour 57 % des personnes interrogées seulement n'est pas non plus crédible. Dans d'autres sondages, c'est généralement le prix qui est le critère décisif lors des achats.
Si vous voulez lire le rapport sur l'alimentation, n'hésitez pas. Pour moi personnellement, c'était du temps de vie perdu, car je le classe dans la rubrique « nudging ».
Si vous n'avez pas encore entendu le terme « nudging », vous trouverez des explications ici : https://wirtschaftslexikon.gabler.de/definition/nudging-99919 [sur Wikipedia en français].
Mais il se peut que le rapport sur l'alimentation ait été établi par l'IFES... (IFES = Institut für erfundene Statistiken, Institut des statistiques inventées).
https://seppi.over-blog.com/2023/12/allemagne-le-rapport-sur-l-alimentation-2023-du-ministere-federal-de-l-alimentation-et-de-l-agriculture.html
Les chercheurs d’Edimbourg ne présentent aucune « solution » au « problème ». Les gens ne pourront pas moins respirer. Mais un masque FFP2 pourrait réduire ce phénomène, ou la réduction de la population serait-elle la « meilleure » solution ?
RépondreSupprimerhttps://
La lune nous rend-elle fous ?
RépondreSupprimer14 Décembre 2023
Chuck Dinerstein, ACSH*
Il est communément admis qu'une pleine lune fait ressortir les fous et la folie. Le mot « lunatic » – dérivé de la combinaison de « luna », ou lune, et de « atic », qui signifie « du genre de » – a été mentionné pour la première fois dans une Bible du IVe siècle. Une nouvelle étude examine l'influence de la lune et de certains gènes circadiens sur l'incidence du suicide.
Ma note : En anglais, « lunatic » signifie « fou », « dément ». En français, « dont l'humeur et le caractère changent brusquement et fréquemment ». Pour l'étymologie rapportée ci-dessus, l'auteur a tenu compte du fait que pour les anglophones, la lune, c'est « moon »].
« C'est l'erreur même de la Lune : elle s'approche de la Terre plus que de raison, et rend les hommes fous. »
Othello, William Shakespeare
La lune pourrait-elle influencer nos humeurs et notre comportement ? Après tout, elle influence nos océans. Les chercheurs ont voulu étudier l'effet du temps sur les suicides. Pour cela, ils ont utilisé les données du Marion County Coroner's Office dans l'Indiana, de janvier 2012 à décembre 2016. Il y a eu
210 suicides au cours de la semaine de la pleine lune ;
566 suicides en dehors de la semaine de la pleine lune ;
208 individus âgés de 30 ans et moins, 232 individus âgés de 55 ans et plus ;
Un sous-ensemble de 45 cas a fait l'objet d'un prélèvement sanguin, 38 hommes et 7 femmes qui s'étaient suicidés de manière violente.
Commençons par la question de la lune. Les suicides durant la pleine lune sont statistiquement plus nombreux chez les plus de 55 ans, mais pas chez les moins de 30 ans. Mais l'heure de pointe se situe entre 15 et 16 heures. En outre, le mois de septembre était le mois de pointe pour les plus de 55 ans, et le mois de novembre pour les moins de 30 ans.
RépondreSupprimerLes chercheurs ont identifié 1.468 gènes ayant des fonctions circadiennes, soit environ 7 % de notre patrimoine génétique total. Dix-huit d'entre eux étaient les principaux « moteurs » circadiens, tandis que 331 autres gènes influençaient directement les moteurs, le reste influençant les 331 gènes intermédiaires. Les chercheurs ont également identifié 154 « gènes biomarqueurs » associés aux suicides. En comparant les deux groupes, les gènes liés au suicide et les gènes circadiens, ils ont constaté que les gènes suicidaires ayant une composante circadienne étaient presque deux fois plus nombreux. En outre, ils ont constaté des changements dans l'expression des gènes associés au suicide au moment du décès.
Le suicide est un phénomène complexe qui présente des caractéristiques psychologiques évidentes et, aujourd'hui, plus clairement biologiques. Les chercheurs ont avancé quelques raisons possibles.
L'augmentation du nombre de suicides pendant la pleine lune pourrait être due au fait que la lumière de la lune affecte les personnes vulnérables à un moment où il devrait faire sombre. Ils avancent que les moins de 30 ans sont plus susceptibles d'utiliser leur téléphone portable la nuit, ce qui réduit leur exposition au clair de lune. Bien qu'il s'agisse peut-être d'un « pont trop loin » pour certains d'entre nous, les gènes de l'horloge circadienne sont « enrichis » pendant cet intervalle.
Le pic de suicides en fin d'après-midi peut être lié aux « facteurs de stress du jour de l'événement », mais c'est à ce moment-là que l'expression du cortisol et de plusieurs gènes de l'horloge circadienne est la plus faible. Les chercheurs soulignent que ces gènes étaient prédictifs de leurs résultats.
Quant au pic de septembre, qui « coïncide d'ailleurs avec le mois de la prévention du suicide », il correspond à la fin de l'été, des vacances et au début de l'année scolaire et du travail. C'est aussi le début d'un changement de lumière du jour qui présage des troubles affectifs saisonniers, une maladie dont on sait qu'elle a une composante circadienne. Pour les moins de 30 ans dont les suicides atteignent un pic en novembre, on pourrait parler de « jours férié » .
L'étude laisse subsister beaucoup de points sans réponse, et l'exposé des chercheurs me laisse insatisfait, même si je suis plus que disposé à croire que notre biologie peut jouer un rôle et qu'elle en joue un. Il est déjà clair que nos rythmes circadiens influencent notre humeur et notre sommeil. « L'enrichissement des gènes de l'horloge circadienne et leur implication présumée dans la mort par suicide » devrait nous faire réfléchir et soulever des questions sur l'interaction entre notre « volonté » et notre expression génétique. Les chercheurs ont sans doute raison de dire que ces travaux ouvrent « la porte à des interventions thérapeutiques, qu'elles soient chronobiologiques ou pharmacologiques ».
https://seppi.over-blog.com/2023/12/la-lune-nous-rend-elle-fous.html
Du café « en laboratoire » ? C’est pour bientôt !
RépondreSupprimerle 14 décembre 2023
La propagande relative au dérèglement d’origine humaine du climat a conduit les décideurs politiques de l’Union européenne à prendre des mesures pour que quoi qu’il en coûte le climat soit sauvé. L’une des emblématiques mesures est de réduire jusqu’à presque zéro l’élevage bovin car les ruminants dégagent trop de méthane dans l’atmosphère. C’est ainsi que les deux premiers pays visés sont les Pays-Bas et l’Irlande, puis ce sera la France et enfin les élevages de taureaux de corrida en Espagne, allez savoir. Finies les inoubliables entrecôtes charolaises ? Non pas vraiment car les Australiens produisent massivement de la viande charolaise dans d’immenses fermes dans lesquelles ces bestiaux placides ne broutent que de l’herbe. Pour l’anecdote un grand exploitant agricole résidant au Vanuatu avait développé une véritable nursery de taureaux charolais pure race importés de France au début de son projet et il vendait ces taureaux ainsi que des vaches, cela va de soi, aux Australiens à prix d’or. Alors les pétulances ces bovins agitent les neurones fatigués des écologistes à cause des très hypothétiques méfaits du méthane sur le climat mais au fait qu’en est-il du café ?
Le café est l’une des boissons les plus consommées dans le monde. Chaque année la production atteint plus de 9 millions de tonnes pour une valeur de 30 milliards de dollars et comme l’introduction de cet article mentionne le dérèglement climatique la culture du café, essentiellement près de l’équateur, est très sensible aux aléas météorologiques et non pas climatiques. Afin d’éviter des attaques fongiques le café est cultivé entre 1300 et 1600 mètres d’altitude. Comparé à la plupart des autres cultures celle du café présente une « empreinte carbone » annuelle peu enviable de l’ordre de 60 millions de tonnes de gaz carrbonique comparable à l’empreinte carbone de pays comme le Danemark ou les Philippines. La production de café se caractérise par seulement deux variétés aux lettres de noblesse commerciales, l’Arabica (Coffea arabica) et le Robusta (Coffea canephora).
Pour ces raisons une équipe d’ingénieurs du Centre de Recherches Techniques de Finlande situé dans la ville d’Espoo a eu l’idée de cultiver des cellules de caféier et d’établir une lignée cellulaire stable susceptible d’être produite en quantité semi-industrielle dans des fermenteurs contenant un milieu de culture favorable pour obtenir une biomasse satisfaisante. Au début de ce projet il fut vérifié que ces cellules produisaient bien tous les métabolites nécessaires pour reconstituer l’arôme et le goût d’un bonne tasse de café telle que les amateurs de café connaissent. Il existe en effet une cinquantaine de composés chimiques responsables de l’arôme du café et presque autant de produits constituant le goût du café. En effet, dans des fermenteurs de 50 litres les cellules prolifèrent à l’abri de la lumière et le métabolisme des cellules en culture aurait pu tout simplement produire une biomasse juste bonne à donner aux poulets d’élevage …
Une fois lyophilisées ces cellules ont été étudiées jalousement en ce qui concerne leur composition chimique et la première étape fut une torréfaction scrupuleusement contrôlée puisqu’il s’agissait d’une poudre et non de grains afin de faire apparaître une couleur rappelant celle de la poudre de café issue de grains torréfiés ainsi que le goût et l’arôme qui se développent également au cours de cette torréfaction. La torréfaction du café est critique pour l’arôme et le goût du café car la chaleur provoque des réactions chimiques entre les sucres et une multitude d’autres constituants. La couleur de la croute de pain est par exemple la conséquence d’une réaction de Maillard. La totalité du gout et de l’arôme du café est la résultante complexe de ce processus comme l’aigreur (sourness), l’amertume (bitterness) ou encore le goût du miel (honey flavor) …
RépondreSupprimer- voir photo sur site -
Bref, les analyses chimiques étaient concluantes en particulier en ce qui concerne la caféine et l’acide hydroxycinnamique, la caféine étant le « principe actif » du café (comme du thé) et l’acide hydroxycinnamique participant au goût du café. Ce projet était donc concluant mais il fallait au stade ultime étudier dans le détail d’abord la couleur et enfin le spectre si l’on peut dire de l’arôme associé au goût du café, ce que les vrais amateurs recherchent. Des investigations très poussées ont permis d’établir une représentation dite en toile d’araignée afin de comparer le produit obtenu avec ces cultures de cellules et le café traditionnel.
- voir schéma sur site -
L’avenir de la production de café va-t-elle résider dans la production de cellules à grande échelle dans des fermenteurs de 50000 litres ? Pourquoi pas ! La Finlande pourra devenir un gros producteur de « café ». Un tel projet pourrait-il être transposé au cacao dont il est prévu une chute de la production dans les prochains mois alimentant une volatilité des cours préoccupante car pour le cacao la plante produit également des graines ? L’avenir le dira … Lien en accès libre et illustrations : ( https://doi.org/10.1021/acs.jafc.3c04503?urlappend=%3Fref%3DPDF&jav=VoR&rel=cite-as ).
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/12/14/du-cafe-en-laboratoire-cest-pour-bientot/
Données personnelles : comment nous avons peu à peu accepté d’en perdre le contrôle
RépondreSupprimerLa génération née entre le début des années 1980 et le milieu des années 1990 abandonne plus facilement une part de contrôle sur ses données.
le 15 décembre 2023
The Conversation
L’auteur : Yoann Nabat est enseignant-chercheur en droit privé et sciences criminelles à l’Université de Bordeaux
Dans quelle mesure les différentes générations sont-elles plus ou moins sensibles à la notion de surveillance ? Un regard sur les personnes nées au tournant des années 1980 et 1990 montre que ces dernières abandonnent probablement plus facilement une part de contrôle sur les données personnelles, et n’ont sans doute pas eu totalement conscience de leur grande valeur.
Peut-être qu’à l’approche des Jeux olympiques de Paris, avez-vous vaguement protesté lors de la mise en place d’un fichier vidéo algorithmique ? Et puis avez-vous haussé les épaules : un fichier de plus. Peut-être par résignation ou par habitude ? Comme d’autres, vous avez peut-être aussi renseigné sans trop vous poser de questions votre profil MySpace ou donné votre « ASV » (âge, sexe, ville) sur les chats Caramail au tournant des années 1990-2000, et encore aujourd’hui vous cliquez quotidiennement sur « valider les CGU » (conditions générales d’utilisation) sans les lire ou sur « accepter les cookies » sans savoir précisément ce que c’est.
En effet, peut-être faites-vous partie de ce nombre important d’individus nés entre 1979 et 1994 et avez-vous saisi au vol le développement de l’informatique et des nouvelles technologies. Et ce, sans forcément vous attarder sur ce que cela impliquait sur le plan de la surveillance des données que vous avez accepté de partager avec le reste du monde…
World Wide Web
Pour se convaincre de l’existence de cette habitude rapidement acquise, il suffit d’avoir en tête les grandes dates de l’histoire récente de l’informatique et d’Internet : Apple met en 1983 sur le marché le premier ordinateur utilisant une souris et une interface graphique, c’est le Lisa.
Puis le World Wide Web est inventé par Tim Berners-Lee en 1989, 36 millions d’ordinateurs sont connectés à Internet en 1996, Google est fondé en 1998 et Facebook est lancé en 2004. L’accélération exponentielle, d’abord des machines elles-mêmes, puis des réseaux, et enfin du partage de données et de la mobilité a suivi de très près les millennials.
La génération précédente, plus âgée, a parfois moins l’habitude de ces outils ou s’est battue contre certaines dérives initiales, notamment sécuritaires. La suivante, qui a été plongée immédiatement dans un monde déjà régi par l’omniprésence d’Internet et des réseaux, en connaît plus spontanément les risques (même si elle n’est pas nécessairement plus prudente).
RépondreSupprimerComment habiter ce monde en crise, comment s’y définir, s’y engager, y faire famille ou société ?
Notre nouvelle série « Le monde qui vient » explore les aspirations et les interrogations de ceux que l’on appelle parfois les millennials. Cette génération, devenue adulte au tournant du XXIe siècle, compose avec un monde surconnecté, plus mobile, plus fluide mais aussi plus instable.
Un certain optimisme face à l’informatique
Probablement du fait de ce contexte, la génération née entre le début des années 1980 et le milieu des années 1990 est aussi celle qui est la plus optimiste face au développement des technologies.
Cet état de fait apparaît d’autant plus clairement que la « génération Z », plus jeune, est marquée généralement par une plus grande apathie, voire un certain pessimisme, notamment quant au devenir des données personnelles.
En effet, aujourd’hui, les plus jeunes, déjà très habitués à l’usage permanent des réseaux sociaux et aux surveillances de toute part, se trouvent très conscients de ses enjeux mais font montre d’une forme de résignation. Celle-ci se traduit notamment par le « privacy paradox » mis en lumière par certains sociologues et qui se traduit par une tendance paradoxale à se réclamer d’une défense de la vie privée tout en exposant très largement celle-ci volontairement par l’utilisation des réseaux sociaux.
A contrario, cette confiance en la technologie se manifeste spécialement par une forme de techno-optimisme, y compris lorsqu’il s’agit de l’usage de données personnelles. Cet état d’esprit se traduit dans de nombreux domaines : lorsqu’il s’agit de l’usage des données de santé, par exemple, ou plus généralement quant à l’utilisation des technologies pour régler des problèmes sociaux ou humains comme le réchauffement climatique.
La priorisation de valeurs différentes
Cet optimisme est aussi visible lorsqu’il s’agit d’évoquer les fichiers policiers ou administratifs.
S’il n’existe pas de données précises sur l’acceptation des bases de données sécuritaires par chaque tranche d’âge, il n’en demeure pas moins que la génération des 30-45 ans n’est plus celle de l’affaire Safari dont l’éclatement, après la révélation d’un projet de méga-fichier par le ministère de l’Intérieur, a permis la naissance de la CNIL.
Au contraire, cette génération a été marquée par des événements clés tels que les attentats du 11 septembre 2001 ou la crise économique de 2009.
RépondreSupprimerLa CNIL fête ses 40 ans
D’après les études d’opinion récentes, ces événements, et plus généralement le climat dans lequel cette génération a grandi et vit aujourd’hui, la conduisent à être plus sensible aux questions de sécurité que d’autres. Elle entretient ainsi un rapport différent à la sécurité, moins encline à subir des contrôles d’identité répétés (qui sont bien plus fréquents chez les plus jeunes), mais plus inquiète pour l’avenir et plus sensible aux arguments sécuritaires.
Cet état d’esprit favorise en conséquence une encore plus grande acceptation des fichiers et des dispositifs de sécurité qui sont perçus comme des outils nécessaires à l’adaptation aux nouvelles formes de délinquance et de criminalité, par exemple à l’occasion de l’organisation des futurs Jeux olympiques et paralympiques en France, ou rendus utiles pour permettre la gestion d’une pandémie comme celle du Covid-19.
De l’acceptation à l’accoutumance
Les deux phénomènes – optimisme face au développement des technologies et sensibilité à la question sécuritaire – sont d’autant plus inextricables qu’il existe un lien important entre usages individuels et commerciaux des technologies d’une part, et usages technosécuritaires d’autre part. En effet, les expériences en apparence inoffensives de l’utilisation récréative ou domestique des technologies de surveillance (caméras de surveillance, objets connectés, etc.) favorisent l’acceptabilité voire l’accoutumance à ces outils qui renforcent le sentiment de confort tant personnel que sécuritaire.
La génération actuelle des trentenaires et quadra, très habituée au développement des technologies dans tous les cadres (individuels, familiaux, professionnels, collectifs, etc.) et encore très empreinte du techno-optimisme de l’explosion des possibilités offertes par ces outils depuis les années 1990 est ainsi plus encline encore que d’autres à accepter leur présence dans un contexte de surveillance de masse.
Cet état d’esprit favorise en conséquence une encore plus grande acceptation des fichiers et aux dispositifs de sécurité qui sont perçus comme des outils nécessaires à l’adaptation aux nouvelles formes de délinquance et de criminalité.
La pénétration très importante de ces dispositifs dans notre quotidien est telle que le recours aux technologies même les plus débattues comme l’intelligence artificielle peut sembler à certains comme le cours normal du progrès technique. Comme pour toutes les autres générations, l’habituation est d’autant plus importante que l’effet cliquet conduit à ne jamais – ou presque – remettre en cause des dispositifs adoptés.
L’existence de facteurs explicatifs
RépondreSupprimerPartant, la génération des 30-45 ans, sans doute bien davantage que celle qui la précède (encore marquée par certains excès ou trop peu familiarisée à ces questions) que celle qui la suit (davantage pessimiste) développe une forte acceptabilité des dispositifs de surveillance de tous horizons. En cela, elle abandonne aussi probablement une part de contrôle sur les données personnelles dont beaucoup n’ont sans doute pas totalement conscience de la grande valeur.
Au contraire, les réglementations (à l’image du Règlement général sur la protection des données adopté en 2016 et appliqué en 2018) tentant de limiter ces phénomènes sont parfois perçues comme une source d’agacement au quotidien voire comme un frein à l’innovation.
Sur le plan sécuritaire, l’acceptabilité de ces fichages, perçus comme nécessaires pour assurer la sécurité et la gestion efficace de la société, pose la question de la confiance accordée aux institutions. Or, là encore, il semble que la génération étudiée soit moins à même de présenter une défiance importante envers la sphère politique comme le fait la plus jeune génération.
Demeurent très probablement encore d’autres facteurs explicatifs qu’il reste à explorer au regard d’une génération dont l’état d’esprit relativement aux données personnelles est d’autant plus essentiel que cette génération est en partie celle qui construit le droit applicable aujourd’hui et demain en ces matières.
https://www.contrepoints.org/2023/12/15/468760-donnees-personnelles-comment-nous-avons-peu-a-peu-accepte-den-perdre-le-controle
Le but dans ce qui est appelé la 'surveillance' est de s'accaparer des données que l'on a pas. Chacun a son intelligence. Le but dans la Démocratie est de rassembler ces savoirs et d'élire le meilleurs. Mais, dans une dictature comme il y a sur Terre (exceptée la Suisse) cet accaparement s'appelle du vol.
SupprimerEst-ce une bonne chose ?
L'objectif de réduire la population mondiale a son dix-millionième (!) voire a son cent-millionième (!) dénote très bien cette absence de QI des dirigeants psychopathes car, c'est dans un nombre élevé d'êtres humains qu'il y a plus de chances de trouver un ou des surdoués. Le progrès de ce monde est expliqué par cela.
Nous n'en sommes pas encore là où un ordinateur visualiserait des millions de spermatozoïdes en boite de Pétri, pour les classer selon un 'certain ordre, puis, il ferait pareillement pour les ovules, puis assemblerait des millions avec des millions et là sortirait des milliards de milliards de combinaisons différentes et pourrait 'donc' sélectionner les profils de surdoué(e)s !
Mais ce n'est pas aussi simple !!
Sachez que chaque fois que vous respirez vous aspirez un air différent ! (Nous respirons toutes et tous 200 000 nano-poussières et microbes par minute !!), pareillement pour l'eau, un verre n'est pas pareil à un autre verre car sa composition diffère ! De plus (parce que ce n'est pas fini !!), joue la pression de l'air ! la nourriture liquide et solide ! etc, etc, soit des montagnes de milliards de différences face à d'autres montagnes de différences qu'il faut tester et mettre en évidence !!
Au départ, nous l'avons vu, il y a des centaines de millions de spermatozoïdes différents (!) qui vont rencontrer des dizaines de millions d'ovules différents !! (et des millions de 'fausses-couches').
C'est la une complexité. Cette complexité venue elle-même d'un singe (ou d'une guenon) surdoué(e) qui aurait pu s'exprimer différemment des autres. Le langage (comme le dessin) exprime le savoir, ce savoir va donc se communiquer et, certains autres vont en tenir compte.
Le progrès immense en 34 ans depuis la naissance du 'WWW' enseveli le monde de ses découvertes qui sont chacune comprises par des êtres différents ! C'est exponentiel !
C'est exponentiel et aux tendances contrôlées par des fous, des attardés-mentaux de consanguinités générationnelles au pouvoir !! Il ne se rendent même pas compte que l'on attrape pas des mouches avec du vinaigre !
En tant qu'agriculteur, je dois continuer à partager mon histoire
RépondreSupprimer15 Décembre 2023
Marcus Holtkoetter, Réseau Mondial d'Agriculteurs*
Lorsque je suis devenu agriculteur il y a 25 ans, je n'avais pas conscience de l'importance de devenir aussi un conteur d'histoires, mais c'est ce que l'économie et la politique de l'agriculture exigent aujourd'hui.
L'exploitation agricole de ma famille en Allemagne remonte à 11 générations, aux années 1700. Nous avons les documents qui attestent de cet héritage, mais la ferme est peut-être encore plus ancienne.
Comme mes ancêtres, je me concentre sur la production alimentaire. Aujourd'hui, je cultive du blé d'hiver, de l'orge, du colza et du maïs. J'élève également des porcs.
Contrairement à mes ancêtres, je consacre une grande partie de mon temps à expliquer ce que nous faisons et pourquoi nous le faisons à des personnes qui ne connaissent pas grand-chose à l'agriculture – un public qui comprend aussi bien des consommateurs que des politiciens, des régulateurs, des journalistes, etc. Beaucoup d'entre eux vivent dans des villes et voient rarement des exploitations agricoles, et encore moins les visitent et comprennent ce que font les agriculteurs.
C'est pourquoi je suis devenu actif sur X (anciennement Twitter) en tant que premier agriculteur en Allemagne à utiliser cette plateforme de réseaux sociaux pour expliquer l'agriculture moderne.
Si les agriculteurs ne racontent pas leur propre histoire, quelqu'un d'autre le fera. Cela nous mettrait très certainement dans une position où nous perdrions la liberté de produire – et cette liberté est déjà soumise à de fortes pressions, en raison de politiques néfastes telles que le « Green Deal » de l'Union Européenne. Cette politique obligerait nombre d'entre nous à adopter des pratiques qui nous rendraient moins productifs et feraient augmenter les prix des denrées alimentaires dans les épiceries et les restaurants, même si nous pouvons atteindre bon nombre des objectifs environnementaux de cette politique grâce à l'innovation et à la technologie.
Je suis donc honoré et encouragé de recevoir cette année le prix GFN Kleckner pour le leadership agricole mondial. Je l'accepterai officiellement à Des Moines, dans l'Iowa, le 24 octobre, à l'occasion du Prix mondial de l'alimentation et du dialogue Borlaug.
Ce prix est un honneur car son homonyme, Dean Kleckner, était à la fois un agriculteur et un défenseur influent des agriculteurs. Son héritage est perpétué par l'organisation à but non lucratif qu'il a dirigée pendant de nombreuses années, le Réseau Mondial d'Agriculteurs (Global Farmer Network). Je suis fier de participer aux activités de ce groupe en tant que membre. Y adhérer a été l'une des meilleures décisions que j'aie jamais prises.
Ce prix est encourageant car il me donnera de nouvelles occasions de raconter mon histoire et celle d'autres agriculteurs. Plus les gens comprendront qui nous sommes et ce que nous faisons, mieux nous serons en mesure de produire la nourriture dont le monde a besoin.
RépondreSupprimerVoici un exemple de ce que je veux dire.
Les réseaux sociaux sont un merveilleux outil de communication, mais ils peuvent aussi servir de porte-voix à l'ignorance et à la désinformation. Avez-vous déjà entendu l'affirmation ridicule selon laquelle les agriculteurs « empoisonnent » leurs cultures et leurs terres ?
Pourquoi un agriculteur ferait-il cela ?
Dans mon exploitation, nous travaillons dur pour promouvoir la santé de nos cultures et du sol sur lequel elles poussent. Cela signifie qu'il faut vaincre les mauvaises herbes qui tentent de voler leur nourriture ainsi que les parasites qui les attaquent et ouvrent la voie aux maladies.
Pour atteindre ces objectifs, les produits phytosanitaires nous fournissent les outils dont nous avons besoin et nous les appliquons avec discrétion et précision. Nous utilisons des quantités limitées et les plaçons exactement au bon endroit et au bon moment. Cela favorise la croissance de nos cultures et préserve leur valeur nutritionnelle. Notre engagement en faveur de la technologie de précision promeut également la durabilité sous toutes ses formes. En nous efforçant de faire plus avec moins, nous préservons la santé de nos sols et produisons des aliments d'une manière qui est financièrement viable pour les agriculteurs et économiquement abordable pour les consommateurs.
Je peux parler de ces pratiques toute la journée, mais il n'y a rien de tel que de les montrer aux personnes qui veulent en savoir plus. C'est pourquoi notre exploitation participe à des « journées portes ouvertes », au cours desquelles les visiteurs peuvent se rendre sur place et poser des questions. Lorsque les gens nous observent de leurs propres yeux et nous écoutent décrire ce que nous faisons et pourquoi nous le faisons, ils repartent presque toujours avec une meilleure appréciation de l'agriculture et de ses défis.
Bien entendu, tout le monde ne peut pas se rendre à notre ferme ; c'est pourquoi j'essaie de créer des visites virtuelles sur les réseaux sociaux. Je publie régulièrement des photos de mes champs et des vidéos de mon tracteur, en essayant d'éduquer le public sur ce que nous faisons. Je réponds également aux questions de tous ceux qui les posent.
D'autres m'ont rejoint dans cet effort, mais nous avons besoin de l'aide des agriculteurs de mon pays, de l'Union Européenne et du monde entier.
Nous devons raconter nos histoires et lorsque nous les raconterons avec honnêteté et autorité, nous gagnerons les cœurs et les esprits et nous défendrons notre liberté de produire.
RépondreSupprimer______________
* Marcus Holtkoetter 2
La famille Holtkoetter est agricultrice depuis plus de 10 générations. Après avoir suivi le programme de stage habituel, Marcus a étudié l'agriculture à l'Université d'Osnabrück. Il gère l'élevage de porcs (3.000 porcs d'engraissement) ainsi que 160 hectares de blé d'hiver, d'orge d'hiver, de maïs et de colza.
Il a accueilli des consommateurs, des agriculteurs et des hommes politiques dans sa ferme et a raconté l'histoire de son exploitation lors de conférences. Il est actif sur les réseaux sociaux et dans les médias grand public. Il aide d'autres agriculteurs allemands à se faire entendre en ayant cofondé Frag den Landwirt (demandez à l'agriculteur), AgChat Germany et en stimulant les programmes d'échange du GACC. Il a également cofondé la World AgVocate Meeting, qui a rassemblé des dizaines de personnes venues de toute l'Europe et d'Amérique du Nord. Il a l'art d'écouter les autres, de trouver un terrain d'entente et de faire avancer les conversations à partir de là.
Marcus a été reconnu par le GFN comme lauréat du prix Kleckner 2023 pour le leadership agricole mondial. Il est au service du GFN en tant que président de la communication et des relations extérieures.
Source : As a Farmer I Must Continue to Share My Story – Global Farmer Network
https://seppi.over-blog.com/2023/12/en-tant-qu-agriculteur-je-dois-continuer-a-partager-mon-histoire.html
Aux États-Unis, un électeur par correspondance sur cinq admet avoir fraudé : 13 millions de votes douteux
RépondreSupprimerPar Jo Nova
December 15th, 2023
Pendant trois ans, ils nous ont dit qu'il s'agissait de l'élection la plus sûre de l'histoire et que seuls les négationnistes remettraient en question le résultat, mais un simple sondage réalisé auprès des électeurs par le Heartland Institute montre que la tricherie était répandue dans le vote par correspondance.
Dans la course pour décider qui contrôlerait le pays le plus puissant de la planète, jusqu'à 43 % des électeurs ont voté par correspondance. Si les experts des médias se soucient autant de la démocratie, pourquoi n’ont-ils pas réalisé un sondage comme celui-ci il y a deux ans ? Pourquoi les Républicains ou les Démocrates ne l’ont-ils pas fait ? Vraisemblablement, ils savaient ce qu’ils allaient trouver.
Fraude électorale aux États-Unis
Comme le souligne David Evans, cela représente 13 millions de votes frauduleux sur un total de 158 millions, soit près du double de la différence entre le total de 81 millions de Biden et celui de Trump de 74 millions. Cela seul aurait pu facilement faire basculer les choses.
En ce qui concerne l’avenir de la civilisation occidentale, il est difficile d’imaginer quelque chose de plus important que la sécurité des élections américaines. Presque tous les autres crimes dépendent de celui qui rédige les règles ou de celui qui a le pouvoir de remettre les choses au clair. Comme le dit Mark Steyn, il est de plus en plus décontenancé par le besoin de certaines personnes de prétendre que ce qui se passe est en quelque sorte normal. Quel est l’intérêt d’analyser les candidats et les partis comme si l’un ou l’autre signifiait ce que cela signifiait dans des sociétés qui fonctionnent ? "Ça ne sert à rien de prétendre que c'est une situation normale, n'est-ce pas ?"
Trump exige des mesures après que 20 % des électeurs par correspondance aient admis avoir fraudé lors de l'enquête électorale de 2020
Par Tom Izimek, Epoch Times
La nouvelle enquête montre que 17 % des électeurs par correspondance admettent avoir voté dans un État où ils ne sont plus résidents permanents ; 21 % remplissent les bulletins de vote pour les autres ; 17 % signent les bulletins de vote des membres de leur famille sans leur consentement et 8 % signalent des offres de « salaire » ou de « récompense » pour leur vote.
RépondreSupprimerDe plus, 10 % de tous les répondants à l’enquête (réalisée sur un échantillon représentatif de 1 085 électeurs probables) ont déclaré connaître un ami, un membre de leur famille, un collègue ou une autre connaissance qui a admis avoir voté frauduleusement par correspondance.
« C’est la plus grande histoire de l’année, et les républicains doivent faire quelque chose à ce sujet », a écrit l’ancien président [Donald Trump].
Il ne s’agit pas seulement de tricherie par correspondance.
De plus, 10 % de tous les répondants – et pas seulement ceux qui ont déclaré avoir voté par correspondance – ont affirmé connaître « un ami, un membre de la famille, un collègue ou une autre connaissance qui a admis… avoir voté par correspondance. en 2020 dans un État autre que son État de résidence permanente.
- voir graph sur site -
8 % de tous les répondants ont déclaré qu’« un ami, un membre de leur famille ou une organisation, comme un parti politique » leur avait offert un « salaire » ou une « récompense » pour avoir accepté de voter aux élections de 2020.
— Institut Heartland
Si 20 % admettent avoir fraudé lors d’un simple sondage, combien d’autres l’ont réellement fait ?
Sans parler de la tricherie en renversant les votes depuis les machines à voter électroniques, ou des journaux manquants, des bulletins de vote contrefaits, des valises de votes cachées sous la table ou des livraisons à 3 heures du matin de bulletins de vote qui ont presque tous été attribués à Biden. Ou cacher l’ordinateur portable Hunter Biden de l’enfer.
RépondreSupprimerNous savons qui triche lors des élections : ce sont ceux qui ne nettoient pas les listes électorales, qui ne veulent pas de contrôles d’identité et qui aiment les gadgets électroniques piratables pour le vote. L’Uniparti en dépend.
La Heritage Foundation dispose d’une base de données sur la fraude électorale.
h/t à Vlad l'Empaleur, Instapundit et au Heartland Institute (bien sûr).
Le sondage auprès de 1 085 électeurs probables a été réalisé du 30 novembre au 6 décembre 2023.
https://joannenova.com.au/2023/12/one-in-five-us-mail-in-voters-admit-to-election-fraud-13-million-dodgy-votes/
BRASSER la matrice des menaces de l’IA – Comment la résistance humaine vainc Skynet
RépondreSupprimer15/12/2023
Mike Adams
Ce qui suit est une transcription partielle de l'émission de Mike Adams (Brighteon Broadcast News) du 15 décembre 2023, annonçant d'énormes nouvelles sur le DHS et la CISA utilisant l'IA comme arme pour détruire l'Amérique et remplacer le peuple américain par des immigrants illégaux. Voici une description sommaire de ce qui est couvert :
Le DHS, la même agence qui prépare, finance et dirige actuellement l'invasion des États-Unis avec des clandestins, a un plan documenté visant à déployer des armes de censure de l'IA pour faire taire les Américains, des agents d'automatisation de la main d'œuvre de l'IA pour remplacer les travailleurs américains (avec un accent particulier sur le déplacement des travailleurs blancs). travailleurs) et un déploiement d'une grille de contrôle de l'IA pour prendre le contrôle de chaque élection et de chaque niveau de gouvernement en Amérique et dans le monde : ville, comté, État, fédéral et international.
Plus de détails seront révélés lors d'une diffusion en direct sur l'Alex Jones Show, à partir de 13 heures (heure centrale) aujourd'hui (vendredi 15 décembre 2023). Je rejoindrai Alex pour une émission spéciale de deux heures sur ce sujet.
Les deux documents référencés dans cette diffusion sont :
Feuille de route CISA 2023-2024 pour l’IA
Déclaration de politique du mémorandum sur la sécurité intérieure 139-06, datée du 8 août 2023
Bienvenue aux informations diffusées par Brighteon du vendredi 15 décembre 2023. Je m'appelle Mike Adams. Merci pour m'avoir rejoint aujourd'hui. Le titre de l'épisode d'aujourd'hui est Briser la matrice des menaces de l'IA : Comment la résistance humaine bat Skynet et survit à la guerre à venir contre les machines.
Dans l’émission d’aujourd’hui, nous allons aborder la grave menace pour l’humanité que l’IA représente désormais parce qu’elle est centralisée entre les mains des mondialistes anti-humains et des transhumanistes. Cependant, l’IA elle-même peut également être utilisée pour défendre l’humanité. Nous allons donc parler ici aujourd’hui de solutions qui aideront à maintenir l’humanité en vie et à la garder libre plutôt que d’être asservie par la matrice des menaces de l’IA.
RépondreSupprimerJe discuterai de tout cela plus tard dans la journée avec Alex Jones, dans l'Alex Jones Show que nous diffuserons bien sûr sur Infowars.com, ou Banned.video. Et je vais passer deux heures avec Alex. C'est les heures trois et quatre de son émission principale, la troisième heure commence à 13 heures au centre.
Je tiens à vous encourager à écouter cette émission, car j'y présenterai des détails que je n'ai pas le temps d'aborder aujourd'hui dans cette émission. Mais la structure globale des informations que je dois présenter montre, premièrement, la grave menace de l’IA, qui est bien pire que tout ce que vous avez probablement imaginé jusqu’à présent. Le deuxième point est la manière dont l’IA est utilisée comme arme par l’establishment anti-humain afin d’exterminer et de remplacer les êtres humains. Le troisième point est de savoir comment utiliser l'IA pour vaincre Skynet... comment survivre à la guerre à venir contre les machines.
Nous ne pouvons pas survivre à la guerre en ignorant simplement l’IA, nous devons la comprendre, nous devons l’exploiter, nous devons la retourner contre les mondialistes, en permettant à l’IA de nous aider à nous défendre, à nous responsabiliser et à nous informer. Heureusement, il existe une communauté open source très puissante qui se consacre principalement à la liberté, à la connaissance humaine, au partage des connaissances, et qui s'oppose aux grands gouvernements, aux entreprises centralisées, au complexe militaro-industriel et à toutes ces forces maléfiques qui tentent dominer notre monde et asservir l’humanité.
Je crois donc que nous pouvons contribuer de manière significative au côté pro-humain de cette équation. Quand je dis nous, je veux dire mon organisation, Natural News, Brighteon.com, le magasin Health Ranger, etc. En fait, nous avons déjà commencé ce processus de manière très significative avec des investissements très importants dans le matériel et les GPU Nvidia, par exemple... et aussi la constitution d'une équipe de recherche et développement qui peut nous aider dans les tâches que je vais décrire. nous y reviendrons plus tard - des tâches qui peuvent, en fait, exploiter l'IA pour fournir des connaissances de manière décentralisée, dans un format open source, des connaissances qui sont gratuites et accessibles gratuitement à chaque personne dans le monde. C'est donc sur cela que nous nous concentrons en ce moment. Et je vous remercie pour votre soutien, car nous construisons essentiellement les réseaux de résistance humaine qui aideront à vaincre la guerre avec les machines.
Le DHS révèle qu’il utilisera l’IA comme une arme contre l’Amérique et l’humanité
RépondreSupprimerCe que nous allons aborder en premier en dévoilant la menace que l’IA représente pour l’humanité, ce sont quelques documents du gouvernement fédéral américain. Nous avons le DHS, le Département de la Sécurité intérieure. Nous avons des documents clés que je vais révéler ici. Rappelez-vous maintenant que le DHS est la même agence qui prépare, finance et dirige actuellement l’invasion des États-Unis d’Amérique par l’immigration clandestine. Comme vous l'apprendrez ici aujourd'hui, le DHS a un plan documenté visant à déployer des armes de censure de l'IA, afin de faire taire les Américains. Ils vont déployer des agents d'automatisation de la main-d'œuvre IA pour remplacer les travailleurs américains en mettant un accent particulier, soit dit en passant, sur le déplacement des travailleurs blancs, car vous verrez le terme équité référencé dans ces documents du DHS. Et enfin, le DHS prévoit de déployer une grille de contrôle de l'IA pour prendre le contrôle de chaque élection et contrôler tous les niveaux de gouvernement en Amérique et dans le monde, y compris les villes, les comtés, les États, le gouvernement fédéral, les gouvernements internationaux et également. gouvernements tribaux, tant aux États-Unis qu’à l’extérieur des États-Unis.
Voilà donc le plan documenté du DHS. Nous entrerons dans le mémo qui décrit cela. Mais il existe une autre agence gouvernementale qui joue un rôle vraiment crucial dans tout cela : elle s'appelle CISA. C I S A signifie Agence de cybersécurité et de sécurité des infrastructures. Et si vous allez sur CISA.gov, vous pourrez en savoir plus sur cette agence. Si vous ne savez pas déjà qui est la CISA, gardez simplement à l'esprit que la CISA a été très impliquée dans l'ordre aux grandes entreprises technologiques de censurer les voix pro Trump, les voix pro Amérique, et aussi de censurer les voix qui étaient, disons, sceptiques quant à la sécurité des vaccins et efficacité, mandats de masques ou verrouillages COVID.
La CISA a donc été fortement impliquée dans la militarisation du pouvoir gouvernemental contre la liberté humaine et la liberté d’expression à travers l’Amérique. La CISA a contribué à truquer les élections de 2020, en d’autres termes, à installer Joe Biden dans le bureau ovale en tant que prétendant à la présidence et, bien sûr, à refuser à Donald Trump son deuxième mandat légitime. C’est probablement la raison pour laquelle tant d’éléments au sein du gouvernement fédéral et notamment dans certains secteurs du renseignement militaire, positionnent Donald Trump comme président pour un troisième mandat, afin de restituer enfin le Bureau ovale au vainqueur légitime de l’élection, à savoir Donald Trump.
RépondreSupprimerNous allons examiner ici un document de la CISA, intitulé Feuille de route 2023 à 2024 pour l'intelligence artificielle. Et vous verrez dans ce document comment la liberté d’expression va être considérée comme une « attaque renforcée par l’IA ». Quiconque exerce la liberté d'expression en ligne sera accusé de se livrer à des « activités malveillantes ». Il s’agit d’un concept véritablement essentiel pour comprendre à la fois le DHS et le CISA. Lorsqu’ils parlent d’outils d’IA, ils parlent souvent d’une utilisation responsable. Ils parlent de sécurité. Ils parlent de systèmes activés par l’IA et dotés de « garde-corps ». Et ils parlent également de cyberdéfense et d’infrastructures critiques.
La « sécurité » de l’IA est un mot de code pour la censure
Ce sont tous des mots de code pour la censure, faire taire les Américains et ordonner aux grandes technologies de supprimer leur plate-forme. Ainsi, lorsqu’ils parlent de sécurité de l’IA, ils entendent par là utiliser les outils d’IA comme une arme pour bloquer toute personne susceptible d’être en désaccord avec, disons, un mandat ordonné par le gouvernement concernant les vaccins. Ils diront simplement que si vous n’êtes pas d’accord avec les vaccins, vous représentez une menace pour la sécurité du peuple américain. Par conséquent, vous êtes engagé dans une « activité malveillante » et l’IA peut être déchaînée contre vous afin de protéger la sécurité des États-Unis. C’est la logique même si, bien sûr, vous et moi savons que ces vaccins sont des armes biologiques. Ils sont déployés exprès pour assassiner des gens et parvenir à un dépeuplement mondial.
Vous pouvez être assuré qu’à l’heure actuelle, les grandes sociétés pharmaceutiques et les grands gouvernements ont financé des opérations massives, qui sont des fermes de trolls qui publient des commentaires pour tenter de démoraliser les médias indépendants, les leaders d’opinion, les journalistes indépendants, toute personne critique à l’égard des vaccins ou critique de l’administration Biden. , ou critique d’Israël ou critique de l’Ukraine. Ces personnes sont ciblées par des commentaires générés artificiellement. Il existe d’énormes fermes de robots IA qui sont gérées par des entreprises aux États-Unis, mais aussi par le gouvernement lui-même, et potentiellement la CISA est même impliquée dans certaines de ces activités. Il ne fait aucun doute que le CDC est impliqué dans ces activités et a reçu un financement pendant la pandémie de COVID afin de générer et de promouvoir une propagande qui aiderait à soutenir l'adoption de vaccins dans l'intérêt d'atteindre les objectifs de dépopulation.
Alors, comprenez que la plupart des commentaires que vous lisez en ligne en ce moment ne sont probablement même pas très souvent humains. Et surtout si ces commentaires sont alignés sur les intérêts d’entreprises puissantes, de gouvernements, de l’armée, du complexe industriel, des grandes technologies, du transgenre, des agendas, etc., alors vous pouvez être sûr que ces commentaires ne proviennent pas d’êtres humains. Ils ont été générés par des systèmes d’IA.
Pour en revenir à CISA ici, si vous allez sur CISA.gov, que vous cliquez sur la section À propos et que vous accédez aux divisions et aux bureaux, vous verrez une liste des divisions de Cisco. Ils ont une division de cybersécurité. Ils disposent d’une division de sécurité des infrastructures, qui est impliquée dans les élections truquées. Ils ont une division de communication d’urgence, chargée de bloquer les personnes qui exercent la liberté d’expression et de prendre en charge l’infrastructure de communication, afin d’éclairer et de laver le cerveau de tout le monde ou de tromper le peuple américain sur des choses comme les plandémies. Ils disposent d’un centre national de gestion des risques, qui participe sans aucun doute à l’augmentation des risques pour l’Amérique. En fermant les choses qui rendent l'Amérique plus redondante, comme l'exploration pétrolière nationale, ou la production d'énergie, les raffineries, etc., ou des choses comme la cryptomonnaie, qui est une forme décentralisée d'échange d'argent peer to peer qui est très résiliente et non centralisée. Vous pouvez parier que la CISA est anti-crypto, ils veulent sans aucun doute fermer la crypto, car ils veulent augmenter les risques et accroître la concentration du pouvoir entre les mains de quelques-uns à Washington, DC. Mais il existe également deux autres divisions que CISA possède également : elles ont leur division des opérations intégrées, puis une division d'engagement des parties prenantes.
RépondreSupprimerLa véritable mission de la CISA est de transformer la technologie et l'IA en armes pour protéger les monopoles de pouvoir des entreprises et des gouvernements.
Maintenant, dans cette dernière, la Division de l'engagement des parties prenantes, c'est là que la CISA conspire avec des entreprises puissantes, notamment les grandes sociétés pharmaceutiques, les grandes technologies, les grandes finances, afin de s'assurer que le pouvoir de l'utilisation de l'IA et d'autres technologies comme arme est utilisé pour détruire la concurrence des ces puissantes entreprises, et monopoliser ou créer des barrières et des protections pour les activités hégémoniques de ces puissants intérêts corporatifs. C'est de cela qu'il s'agit.
Il ne s’agit pas de décentraliser le pouvoir vers le peuple, de le protéger ou de l’informer. Cela n'a rien à voir avec ça. Il s’agit de protéger ceux qui sont au pouvoir et de garantir qu’ils aient un contrôle absolu sur tout ce qui se passe aux États-Unis d’Amérique en matière de télécommunications ou d’informatique. En outre, il est important de noter que la CISA fait également partie du système de propagande actuellement exploité pour justifier une escalade de la guerre avec la Russie et également avec la Chine. Par exemple, l’autre jour, lorsque vous avez vu cet article, largement diffusé dans les grands médias, affirmant que la Chine avait piraté les systèmes de contrôle des installations de traitement de l’eau à travers l’Amérique, cette nouvelle était une fiction imaginée par nul autre que la CISA. Ils l’ont inventé et l’ont diffusé dans le but de diaboliser la Chine. Parce que le Département d’État américain est actuellement en train de tenter d’intensifier la guerre de l’information contre la Chine, prélude à une guerre cinétique contre la Chine.
L'invasion et l'occupation délibérées des États-Unis d'Amérique
RépondreSupprimerC'est pourquoi des gens comme Alejandro Mayorkas, secrétaire à la Sécurité intérieure, nous disent littéralement qu'il n'y a pas de problème avec la frontière, qu'il n'y a pas de problème avec les immigrants illégaux, même si son ministère finance des bases d'invasion qui sont agrandies et construites. au Panama, juste de l'autre côté du Darien Gap, qui permettent littéralement à des milliers de clandestins du monde entier de se rassembler, puis de monter dans des camions, des trains, des bus et des bateaux, et de se frayer un chemin jusqu'à la frontière américaine et de traverser la frontière, ce qui est une forme d’invasion des États-Unis d’Amérique, une occupation illégale de l’Amérique. Le fait que ces routes soient largement ouvertes les rend également accessibles aux différents cartels de trafiquants qui les utilisent pour trafiquer des enfants, de la drogue et des armes, en plus des hommes en âge de servir qui sont des soldats, dont beaucoup viennent désormais de la Chine communiste.
Les États-Unis sont donc occupés et envahis. C’est pourquoi c’est une plaisanterie lorsque vous entendez parler d’organisations comme la CISA, prétendant qu’elles essaient de défendre l’Amérique ou de défendre nos infrastructures, de défendre nos communications d’urgence, ou que vous entendez la Sécurité intérieure prétendre qu’il n’y a pas de problème avec l’immigration. Si vous vouliez sérieusement défendre l’Amérique, la toute première chose que vous feriez serait de défendre la frontière américaine. C'est l'infrastructure. Un mur frontalier est une infrastructure. Pourtant, vous n’entendez rien de la CISA, parler de construire ou de défendre, c’est de construire un mur frontalier ou de défendre notre frontière.
En réalité, le but de la CISA est d’infiltrer et de contrôler tous les niveaux de gouvernement américain et de les contrôler grâce à l’IA. Ce que la CISA a fait lors des élections de 2020 et ce qu’elle a fait en exigeant la censure sur les grandes plateformes technologiques, elle veut maintenant le faire à chaque élection en Amérique. Ils veulent fédéraliser les élections en contrôlant les infrastructures, et ils veulent tricher pour toujours, en refusant à des gens comme Donald Trump l’accès à la Maison Blanche, tout en prétendant qu’ils protègent l’Amérique et réduisent les risques.
Cette diffusion se poursuit avec une énorme quantité d'informations supplémentaires. Pour la diffusion complète, recherchez-la et publiez-la sur Brighteon.com :
https://www.brighteon.com/channels/hrreport
https://www.naturalnews.com/2023-12-15-smashing-ai-matrix-human-resistance-defeats-skynet.html
(...) Dans l’émission d’aujourd’hui, nous allons aborder la grave menace pour l’humanité que l’IA représente désormais parce qu’elle est centralisée entre les mains des mondialistes anti-humains et des transhumanistes. (...)
SupprimerQu'est-ce que LIA ?
LIA est programme malfaisant (de type virus) qui englobe les populations dites pauvres (intellectuellement) et qui sont dirigées vers des pays intelligents. Ces dits 'réfugiés climatiques' !! envahissent des champs dont il n'en connaissent la valeur et l’opportunité d'en évaluer l'importance.
LIA est un programme soumis (donc: non-libre) d'évaluer les propos tenus sur Internet.
(...) Le DHS révèle qu’il utilisera l’IA comme une arme contre l’Amérique et l’humanité (...)
Désormais, un rond est carré et un carré est un rond ! COMPRIS ??! ou faut-il que je le répète ?
HAHAHAHAHA !
Newman : L’arnaque au « changement climatique » permettra aux Nations Unies mondialistes d’imposer leur volonté à l’humanité
RépondreSupprimer14/12/2023
Kevin Hughes
Pour le journaliste chevronné Alex Newman, la campagne continue en faveur de l'escroquerie du « changement climatique » ne fera que permettre aux Nations Unies mondialistes d'imposer leur volonté à l'humanité.
"Cela permettra à l'ONU de faire ce qu'elle veut sans retenue : embaucher plus de policiers, embaucher plus de soldats, créer plus de tribunaux, imposer sa volonté à tous les niveaux", a-t-il déclaré à Andrea Kaye de One America News dans une récente interview. "Vous examinez chaque élément de l'ordre du jour, y compris la prise de pouvoir concernant la santé [lors de] la Conférence des Nations Unies sur le climat l'année dernière en Égypte."
Newman, PDG de Liberty Sentinel Media, a cité le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, comme exemple. Tedros, qui dirigeait autrefois le Front populaire de libération du Tigré dans son Éthiopie natale, avait même comparé la crise climatique à une crise de santé publique.
"Donc, tout ce qu'ils nous ont fait pendant la pandémie de COVID-19 sous prétexte de nous protéger de cela, ils veulent nous le faire maintenant sous prétexte de nous protéger du changement climatique", a déclaré Newman. . "Les gens doivent comprendre ce qu'ils disent pour vraiment comprendre à quel point ce programme est insidieux."
Parallèlement, Kaye a noté que la question climatique fait partie des efforts déployés par l'ONU, l'OMS et le Forum économique mondial (WEF) pour prendre le contrôle de l'humanité par le biais de la santé. Newman est d'accord, notant que l'idée selon laquelle le dioxyde de carbone émis par les humains est responsable du changement climatique s'aligne sur la Grande Réinitialisation du WEF.
Un autre élément de cette escroquerie sur le changement climatique est le soi-disant fonds climatique, qui est collecté via les taxes sur les voyages aériens ou les transactions financières. Cela commencera très petit, mais finira par devenir énorme.
"Si nous payons suffisamment d'impôts à l'ONU, d'une manière ou d'une autre, ils rendront la température de la planète parfaite", a déclaré Newman. "D'un point de vue scientifique, c'est absolument ridicule. Mais d'un point de vue totalitaire, il est difficile de penser à quelque chose de plus brillant."
Le fonds climatique "pot-de-vin" pour les kleptocrates du tiers-monde
RépondreSupprimerParallèlement, Kaye a souligné que les pays riches du premier monde investissent de l'argent à donner aux pays du tiers monde comme la Barbade pour faire face aux conditions météorologiques extrêmes. Elle a ensuite interrogé Newman sur le fonds climatique, dont les détails sont encore gardés secrets. Il a révélé qu'il suivait depuis très longtemps la tentative de création de cette caisse noire. (En relation : Matrixxx Grooove : Le changement climatique est un programme de BLANCHIMENT D'ARGENT – Brighteon.TV.)
"Ils doivent trouver un moyen d'impliquer les kleptocrates du tiers-monde dans cette affaire. Ils doivent donc leur offrir quelque chose, pensez-y comme à des pots-de-vin", a-t-il déclaré. "Ils vont piller la classe moyenne en Amérique ou ce qui reste de la classe moyenne en Amérique, la classe moyenne en Europe et [au] Japon pour pouvoir soudoyer les dirigeants de ces pays – où ils ont été maintenus dans la pauvreté par ce sont les démocrates qui vont recevoir cet argent. »
Ces dirigeants politiques « riches » utiliseront cet argent pour acheter davantage de limousines, embaucher davantage de soldats, le déposer sur un compte bancaire suisse [et] l'utiliser pour opprimer leur population. En échange de cet argent, ils maintiendront le peuple dans une pauvreté perpétuelle. Selon Newman, cela peut être parfaitement décrit comme une redistribution de la classe moyenne occidentale vers la kleptocratie et les élites du tiers monde.
Kaye a ajouté que depuis la création de l'Amérique, celle-ci a donné des milliards de dollars à l'Afrique et à d'autres continents. Malheureusement, cet argent finit toujours entre les mains des élites, des dictateurs et des dirigeants – sans jamais parvenir aux petites gens.
En fin de compte, elle a fait remarquer que ce fonds climatique ne fera rien pour résoudre le « changement climatique ». Kaye a ajouté qu’il ne s’agit que d’une partie de la Grande Réinitialisation – qui rapprochera l’humanité de la domination mondiale du Nouvel Ordre Mondial.
Suivez ClimateAlarmism.news pour plus d’informations sur l’arnaque au changement climatique.
Regardez l’interview complète entre Alex Newman et Andrea Kaye ci-dessous.
Cette vidéo provient de la chaîne AMPNews sur Brighteon.com.
Plus d'histoires connexes:
RépondreSupprimerLe chef du climat de l’ONU mène une interview « apocalyptique » révélant que les dirigeants mondialistes doivent devenir les « maîtres du terrain » dans la promotion du programme vert.
Les fanatiques du « changement climatique » constituent la PLUS GRANDE MENACE à laquelle le monde est confronté à l’heure actuelle.
Tout cela n’est qu’une arnaque : les investisseurs « verts » paient des médias institutionnels corrompus pour promouvoir le mensonge sur le « changement climatique ».
Les sources incluent :
Brighteon.com
LibertySentinel.org
https://www.naturalnews.com/2023-12-14-newman-climate-change-scam-enables-globalist-un.html
(...) Pour le journaliste chevronné Alex Newman, la campagne continue en faveur de l'escroquerie du « changement climatique » ne fera que permettre aux Nations Unies mondialistes d'imposer leur volonté à l'humanité. (...)
SupprimerPour le journaliste 'chevronné' de mes deux ! le changement climatique est (pour lui) inexpliqué ni susceptible de l'être par lui ! HAHAHAHA !
Si le matin il fait 10°C et à midi 20°C c'est... c'est la faute aux êtres humains (t animaux) qui expirent du gaz carbonique !! HAHAHAHA !
Or, il faut SAVOIR que le gaz carbonique est le gaz le plus lourd.
🏡 L'air pèse: 1,2 gr/litre
Gaz carbonique: 1,8 gr/l.
Oxygène (O2): 1,42 gr/l.
et donc qu'il demeure AU RAS DU SOL(responsable des gelées blanches) et, le gaz carbonique se trouvant en altitude y est grâce aux éruptions volcanique qui le 'satellise' ! Il y reste à plusieurs kilomètres du sol sous l'effet de trace de trace ! C'est-à-dire une molécule tous les kilomètre !
Imagez-vous le film : Un grillage où les fils de fer seraient espacés de 1 km ! et feraient... un 'effet de serre' !! HAHAHAHAHA !
Scandale climatique européen à Dubaï
RépondreSupprimer15 décembre 2023
par Thomas Oysmüller
Même si Baerbock et Gewessler veulent vendre le sommet sur le climat comme un succès : les gagnants de la COP28 ne sont pas les « énergies vertes », mais les « négationnistes du climat ».
La 28e Conférence mondiale sur le climat (COP) est terminée. Les ministres verts font la fête en Allemagne et en Autriche. Un cap aurait été franchi. Il ne s’agit là que d’une propagande qui ne fait son chemin qu’en Occident (et encore seulement en Allemagne et dans ses États satellites).
Une grosse arnaque
Global Research met la conférence sur le climat dans son contexte :
Les COP ont commencé avec le (in)célèbre Sommet de la Terre de 1992 à Rio de Janeiro, au Brésil. C’est à ce moment-là que la fraude de plusieurs milliards de dollars a commencé. Le véritable précurseur de cette arnaque est le rapport du Club de Rome « Limites à la croissance », qui reste le modèle d’une grande partie de l’Agenda 2030 de l’ONU et de la Grande Réinitialisation.
Les COP sont un canular mondial couvrant les 193 pays membres de l’ONU, semblable à l’escroquerie COVID qui a commencé à minuit le 31 décembre 2019 – et qui a marqué le début de l’Agenda 2030 de l’ONU, alias la Grande Réinitialisation du FEM.
L'Agenda 2030 de l'ONU et la Grande Réinitialisation du FEM sont les deux faces d'une même médaille, une série de plans monstrueux visant à réduire massivement la population mondiale, à robotiser et à numériser les survivants pour obtenir un contrôle total, et un plan à multiples facettes, dirigé par l'homme, pour utiliser la technologie de géo-ingénierie créée pour provoquer le « changement climatique ».
Le fait que le « canular » ait été plus clairement visible que jamais est également dû au sultan Al Jaber, organisateur et président de la COP28. Dans une interview, il a brièvement démantelé le discours sur le climat :
"Il n'y a aucune base scientifique à ce que vous me demandez de faire, qui est d'éliminer progressivement les combustibles fossiles, le pétrole, le gaz et le charbon... Vous mentez et vous voulez que je mente en votre nom."
RépondreSupprimerSa société, Abu Dhabi National Oil Company (ADNOC), prend des mesures « transformatrices ». Mais lesquels sont-ils ? L'objectif est de produire près de 42,5 millions de mètres cubes de gaz d'ici 2030. Le projet est le premier au monde à être « climatiquement neutre », selon l’ADNOC. En collaboration avec deux entreprises italiennes.
Il y a peu de choses dans le projet qui sont « neutres pour le climat », mais c’est ce qu’on appelle. La réalité est complètement différente de ce qu’imaginent les défenseurs du climat en Occident. Sur les quelque 70 000 participants, 2 000 étaient des lobbyistes pour des entreprises pétrolières ou des sociétés dépendantes des combustibles fossiles. Au lieu de soi-disant sauver le monde, Dubaï était souvent axée sur les accords pétroliers et gaziers.
Ils se sont donc finalement mis d'accord sur une déclaration qu'Annalena Baerbock a pu vendre comme un grand succès. Maison en Allemagne. Même si plus personne ne parle de « NetZero », il s’agit toujours de « sortie ».
Il n’y a aucun engagement ferme à cet égard. La conférence de presse de Baerbock, qui n'a attiré que quelques journalistes allemands, était révélatrice. En gros, elle a applaudi dans une salle vide.
La déclaration n’atteindra même pas ce que l’Accord de Paris sur le climat a réalisé. Quoi qu’il en soit, les « accords » de Paris ne seront pas respectés par la plupart des pays du monde. On en parle – même lors de la prochaine COP – mais en réalité, ils font du business pétrolier et gazier. Sauf peut-être l’UE.
Le visage de la COP28 n'est pas Baerbock mais Al Jaber. Il a laissé l'Occident s'écraser sur la réalité : "Montrez-moi la feuille de route pour l'élimination progressive des combustibles fossiles qui permet un développement socio-économique durable, à moins que vous ne vouliez que le monde revienne dans les grottes de plomb. Montrez-moi les solutions. . Arrêtez de pointer du doigt. Arrêtez ça", a-t-il expliqué dans la désormais célèbre interview.
Cela dit tout sur la COP. Heureusement.
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(...) Les COP sont un canular mondial couvrant les 193 pays membres de l’ONU (...)
SupprimerFAUX ! FAUX ! ENTIÈREMENT FAUX !
Ce ne sont PAS '193' pays mais seulement 193 escrocs psychopathes réunis qui se disent 'chefs d’États' !!
Le géant allemand de l’énergie prévient que l’Europe reste exposée aux chocs d’approvisionnement en gaz naturel
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 15 DÉCEMBRE 2023 - 12H30
Rédigé par Tsvetana Paraskova via OilPrice.com,
Bien qu’elle ait considérablement réduit sa dépendance à l’égard du gaz russe, l’Europe reste exposée aux chocs en matière d’approvisionnement et de prix du gaz naturel, car elle ne dispose d’aucun tampon dans le système, a déclaré le PDG de la principale compagnie d’électricité allemande, RWE, au Financial Times.
"Mais nous ne sommes pas là où nous devrions être parce que nous ne devrions pas avoir un système d'approvisionnement en énergie sans marge ni tampon", a déclaré le directeur général de RWE, Markus Krebber, au FT.
Le manque de réserves continue d’exposer l’Europe à des chocs et à des hausses de prix, même si les réserves de gaz naturel sont remplies avant la saison de chauffage hivernale, a ajouté l’exécutif.
Krebber a déclaré en octobre que les perturbations de l'approvisionnement en gaz naturel restaient un risque pour l'Allemagne.
"Nous n'avons aucun tampon dans le système gazier", a déclaré Krebber au journal allemand WirtschaftsWoche début octobre, ajoutant que la plus grande économie européenne doit accélérer la construction d'infrastructures d'importation de gaz pour éviter de futures pénuries.
"S'il y a un hiver très froid ou des ruptures d'approvisionnement, cela peut conduire à des situations très critiques - et par conséquent à des pénuries et à des prix nettement plus élevés", a déclaré le directeur général de RWE.
La semaine dernière, Michael Lewis, PDG du géant allemand de l’énergie Uniper, a déclaré à Bloomberg Television que l’Europe avait besoin de volumes supplémentaires de GNL pour atténuer les tensions du marché et apaiser les problèmes d’approvisionnement.
Le calme relatif actuel sur le marché du GNL pourrait à nouveau se transformer en turbulences volatiles si de nouvelles inquiétudes concernant l’approvisionnement émergent.
L'Allemagne s'attend à ce que les prix du gaz naturel restent élevés jusqu'en 2027 au moins, a déclaré le gouvernement dans un rapport d'août sur les mesures visant à atténuer les coûts énergétiques élevés pour les ménages.
RépondreSupprimerUne semaine plus tôt, INES, le groupe des opérateurs allemands de stockage de gaz, a déclaré dans son rapport gazier d'août que l'Allemagne resterait exposée au risque de pénurie de gaz naturel jusqu'à la saison hivernale 2026/2027 à moins qu'elle ne prenne des mesures pour ajouter des terminaux GNL, des gaz supplémentaires. capacité de stockage ou pipelines.
https://www.zerohedge.com/energy/german-energy-giant-warns-europe-remains-exposed-natural-gas-supply-shocks