- ENTREE de SECOURS -



vendredi 15 décembre 2023

5G au Luxembourg – Où en est-on ? Interview avec Madame Valvason

 

55 commentaires:

  1. A la Chambre c’était très frustrant car nous, comme tous les pétitionnaires d’ailleurs, n’avons eu que 5 minutes pour aborder cette énorme thématique, ce qui est impossible. Nous avons néanmoins essayé de d’attirer l’attention sur deux points les plus importants, à savoir les dangers et les dégâts pour la santé liés aux champs électromagnétiques et le manque d’études en la matière, avant de pouvoir dérouler cette technologie sans problèmes. Malheureusement nous regrettons de ne pas avoir bénéficié d’une oreille attentive car notre premier Ministre, Monsieur Xavier Bettel, qui est aussi Ministre de la Communication et de la Digitalisation, nous avait déjà lâché en juin sur la Place d’Armes « Vous pouvez faire ce que vous voulez, vous aurez la 5G, la 5G arrive ». Ce qui veut dire que le gouvernement n’en a rien à faire des 7200 signatures et donc des 7200 personnes qui ont soutenu notre pétition. Nous avons agi pas que pour nous, mais aussi pour tous nos concitoyens. C’était très frustrant de l’entendre. D’autre part Mme Dieschbourg, qui était à l’époque Ministre de l’Environnement, nous a assuré qu’elle disposait des valeurs des mesurages (des émissions des antennes) et que ces valeurs étaient bien inférieures aux valeurs maximales prévues. Le souci de ces mesurages qui sont effectués au Luxembourg est qu’il ne s’agit pas de monitoring, c’est mesuré une fois et puis rien pendant des années. Qui sait alors si c’est le bon moment pour ce mesurage, où on a mesuré, comment ce mesurage a-il été réalisé.... nous avons pu obtenir quelques informations en regardant le portal (géoportail), mais où ces mesurages ont lieu si à l’intérieur ou en plein air, personne ne sait… et puis …. mesuré une fois et puis rien, personne ne sait si ce moment été le plus opportun pour effectuer le mesurage des émissions. D’autre part le manque d’étude nous préoccupe car personne ne sait ce qui nous attend. Voilà. Et eux non plus ils n’en savent rien. Ils nous disent que toutes les fréquences sont les mêmes, ce qui n’est pas le cas.

    Auprès des communes par contre les personnes étaient beaucoup plus intéressées aux informations que nous leur partagions, nous leur avons laissé beaucoup de documentation sur place, nous leurs avons fait parvenir d’autres information par la suite. Nos interlocuteurs étaient vraiment intéressés et si j’ose dire plus concernés. Parfois ils nous ont confessé qu’ils se retrouvent avec des antennes sur leur territoire sans en avoir été informés et du coup ils sont devant le fait accomplit sans mot à dire. Ce qui nous frustre, ce qui nous frustre beaucoup et je tiens à le souligner, cela nous frustre tous beaucoup, est que pendant toute cette période, depuis des années, nous avons rédigé des communiqués de presse sourcés, bien documentés en demandant à toute la presse écrite de le publier. Non seulement aucun support ne l’a fait mais lorsqu’ils ont réagi, c’était pour publier des articles avec des fausses informations du début à la fin. Je me rappelle en particulier de l’article d’une revue qui était tellement bourré de fausses informations qu’il m’a fallu jours pour contester chacune de leurs affirmations pour leur prouver qu’elles étaient fausses mais ils n’ont jamais publié un rectificatif. Cela m’a énervée personnellement, mais nous l’étions tous, car cette revue a diffusé ainsi des mensonges qui vont causer du tort aux citoyens car ils ne vont pas prendre des mesures pour se protéger. C’est comme cela.

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  2. Merci pour ce partage. Si on veut savoir où sont les antennes dans ma région ou mon quartier, à quelle distance se trouvent-elles de notre habitation, où peut-on trouver ces informations ? Y-a-t-il une carte ? Je pense qu’il existe une carte sur le site du géoportail appelé « cadastre hertzien » où sont indiqués les antennes 5G.

    Quelles sont les informations qu’on peut trouver sur ce portail ? Peut-on savoir quelle est l’intensité des rayonnements, le point de mesurage, le monitoring, peut-on trouver toutes ces informations là- dessus ?

    Effectivement le Ministère de l’Environnement a enfin procédé tout récemment à la mise à jour de cette page interactive. En effet les informations qu’on pouvait y trouver étaient très anciennes et pas à jour. Par exemple sur le château d’eau de Howald, à l’œil nu on peut compter au moins une vingtaine d’antennes alors que le portail en indiquait seulement 9. Donc récemment ils ont tout mis à jour. On peut trouver ces informations sur le lien « cadastre hertzien » sur le site du géoportail. Il y a une carte du Grand-Duché où sont indiqués tous les emplacements où il y a des antennes. Donc sur la partie gauche de l’écran on peut choisir quelles antennes on souhaite visualiser, si on veut visualiser les points de mesurages, les antenne 5G ou d’autres antennes. Les antennes 5G sont fuschia, pardon, les endroits où sont implantées les antennes 5G sont indiqués en fuschia, les emplacements des autres antennes le sont en rouges. Souvent des deux types d’antennes sont installées au même emplacement. Dans notre exemple du château d’eau de Howald, au lieux des 9 initialement indiqués, après la mise à jour le site en montre 29, et cela en plein milieux d’un cartier résidentiel.

    Sur ce site on peut aussi remarquer que des antennes sont installées vis-à-vis d’une école primaire ou d’un jardin d’enfants, en prenant soin de les cacher. Sur cette carte on peut aussi remarquer que les points de mesurage sont espacés de quelques kilomètres et la question reste entière de savoir comment ces mesurages ont été effectués. Le moment du mesurage est indiqué, donc si on clique sur les points de mesurage on peut voir le rapport du mesurage, mais les rapports se laissent écrire, n’est-ce pas ? Le portal est très intéressant car il propose également des outils en bas de l’écran qu’on peut utiliser. Par exemple pour mesurer précisément la distance entre une antenne et chez soi en clique sur l’antenne et on ramène le curseur sur l’emplacement de son habitation. Ce qu’il faut savoir est que dans un rayon de 400 mètres autour d’une antenne le risque de souffrir d’un cancer est exponentiel. Par exemple, pour Howald, afin de donner un exemple concret car j’ai regardé de plus près pour moi, dans un rayon d’1 kilomètre autour de l’église il n’y a pas moins de 138 antennes, sans compter que pour 2 emplacements d’antennes il y a un souci avec les documents, si bien qu’on en peut pas savoir combien d’antennes sont installées sur ces 2 emplacements.

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  3. Donc on peut raisonnablement penser qu’il y a 150 antennes autour de notre quartier. D’après ce site on peut remarquer que la plupart des antennes 5G sont installées dans la Ville de Luxembourg et dans ses alentours proches, mais les emplacements gagnent petit à petit le sud du pays et il y a déjà des antennes tout au nord. Ce que nous tenons à souligner est qu’il ne s’agit pas d’antennes 5G proprement dites, il s’agit plutôt d’antennes 4G+, donc les rayonnements sont près des ceux subis jusque-là. Mais au Luxembourg les opérateurs veulent passer à des fréquences qu’ils ont achetées de 24 jusqu’à 26 gigahertz (GH). Ils vont pouvoir transformer les antennes 4G+ avec une petite modification technique en antennes 5G. Donc je tiens à souligner que nous n’avons pas des rayonnements d’antennes 5G pour l’instant. On les a appelées fréquences 5G mais elle n’en sont pas. Voilà.

    Il s’agit là de beaucoup d’informations, beaucoup d’informations à apprivoiser d’un coup Par ailleurs, le Parlement Européen a commandité une méta-analyse afin de répondre aux questions que nous tous nous nous posons sur l’impact de la 5G sur notre santé et sur l’environnement. Mais en quoi consiste une méta-analyse, pourquoi a-t-telle vu le jour et quelles en sont les conclusions ?

    Effectivement. Alors, normalement la Commission Européenne, lorsqu’elle veut introduire un nouveau projet, elle devrait mener une étude d’impact. Dans le cas de la 5G, elle n’en a mené aucun. C’est pourquoi Madame Michelle Rivasi, eurodeputée au Parlement Européen, réclame à la Commission, et ce depuis 2019, une telle étude. Mais la Commission fait la sourde oreille. C’est alors que Mme Rivasi, qui est aussi membre du STOA (science and technology options assessment), je lis afin de ne pas dire des bêtises, qui est un organisme qui fournit à la Commission des avis techniques sur des projets techniques et scientifiques. Donc le STOA lui-même s’est autosaisi et a commandité une méta-étude sur les impacts de la 5G. Une méta-étude est une étude de toutes les études existantes sur un même sujet. Donc toutes les études existantes sont étudiées à la loupe par des scientifiques et spécialistes indépendants et qui analysent donc très en détail ces études. Dans le cas précis la méta-étude a été divisé en deux volets : l’un qui porte sur la « Santé et fertilité » et l’autre sur « l’impact sur l’environnement ». La première partie a été menée par la professeure Fiorella (non pas Isabella comme indiqué) Belpoggi, oncologue et chercheuse qui a analysé donc les études sur la santé et la fertilité. Elle est mondialement connue car elle a publié des études au niveau international. Le deuxième volet sur l’impact sur l’environnement a été réalisé par Arno Thielen, professeur à l’Université de Gand, également de renommée internationale et chercheur également. Les études ont porté sur les différentes fréquences dites 5G.

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  4. Absolument. Aucun, je répète aucun téléphone portable devrait être donné aux enfants en dessous de 12 ans. Pas de téléphone portable, pas de tablette, rien. Lorsque je me promène et que je vois des bébés avec des téléphone portable en main j’ai la chair de poule. Le gros problème est que les gens ne sont informés et que nos informations n’arrivent pas à la presse officielle. Voilà. Point.
    Merci beaucoup pour cette interview, je vous souhaite encore beaucoup de succès dans vos démarches

    Merci beaucoup à vous de m’avoir invitée

    de c.v.
    Sources / Liens :
    www.stopp5g.lu

    Newsletter et mail :
    stopp5g.luxembourg@protonmail.com

    https://www.kla.tv/fr

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  5. Les familles qui s'injectent ensemble des vaccins à ARNm contre la COVID-19 souffrent de crises cardiaques, de caillots sanguins, développent un turbo-cancer et meurent subitement ensemble
    30 familles depuis mai 2023 !


    Par Dr. William Makis
    Recherche mondiale,
    15 décembre 2023


    4 décembre 2023 – La star de cinéma pour adultes Sophie Anderson, âgée de 36 ans, est décédée subitement le 4 décembre 2023. Deux semaines plus tôt, son mari, joueur de football professionnel de Premier League, Oliver Spedding, est décédé subitement le 17 novembre 2023.

    - voir photo sur site -

    26 novembre 2023 – CANADA, Montréal, QC – Deux sœurs diagnostiquées avec le même cancer – ostéosarcome. Ils ont une mutation génétique de p53 – mais cela les expose-t-ils tous les deux à un risque plus élevé de développer un cancer Turbo induit par le vaccin COVID-19 ? Les personnes présentant ces susceptibilités génétiques auraient-elles dû éviter les vaccins à ARNm ?

    - voir photo sur site -

    nov. 18 novembre 2023 – CINQ FRÈRES MORTS – Christine Chrissy Brandt, 48 ans, est décédée subitement le 18 novembre 2023. Les cinq frères et sœurs sont morts (sœurs Pam, Yvonne, belle-soeur Renee, frère Teddy). Sa sœur Pam (Pamela Zieler) est décédée le 1er décembre 2022.

    - voir photo sur site -

    18 octobre 2023 – Paula Denton, Albert Johnson et Letha Knox sont trois membres de la famille qui sont tous décédés subitement au cours des derniers mois.

    - voir photo sur site -

    1er octobre 2023 – Tim Wakefield, lanceur de baseball des Red Sox, 57 ans, est décédé ce matin le 1er octobre 2023. J'ai signalé qu'il souffrait d'un cancer du cerveau agressif et que sa femme avait un cancer du pancréas agressif !

    - voir photo sur site -

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  6. 15 septembre 2023 – JEUNE COUPLE ATTEINT D'UN TURBO CANCER – En février 2023, Shane Gray a développé un cancer des testicules qui s'est propagé aux ganglions lymphatiques. En juin 2023, sa femme Morgan a reçu un diagnostic de cancer du sein triple négatif.

    5 septembre 2023 – Los Angeles, Californie – L'enseignante Karyn Newbill Helmig a reçu un diagnostic de cancer de l'ovaire sous la forme de 5 tumeurs malignes dans son abdomen. Son mari, Shawn Helmig, 53 ans, est décédé subitement d'une embolie pulmonaire le 9 novembre 2022.

    29 août 2023 – Temple Hill, KY – L'infirmière Velvet Scott est décédée subitement le 29 août 2023. Elle s'est précipitée pour recevoir son premier vaccin contre la COVID-19 le 23 décembre 2020. Son frère est décédé quelques mois auparavant et son autre mon frère vient de subir une opération chirurgicale pour un cancer de la prostate. Trois frères et sœurs, deux morts, dont un atteint d'un cancer en quelques mois.

    Août. 19 janvier 2023 – Halifax, MA – William Roche et son épouse Tracy Roche ont tous deux été atteints d'un cancer. Tracy a reçu un diagnostic de cancer du sein l'année dernière et ce printemps, William a reçu un diagnostic de cancer des amygdales, du cou et de la gorge.

    14 août 2023 – Melbourne, Australie – Danny Norman et Stacey Singles ont perdu leur petit garçon Cooper à l'âge de 2 semaines le 23 mai 2023. À peine 2 mois plus tard, le 13 août 2023, alors qu'ils étaient en vacances à Bali, Stacey Singles s'est effondré. et est mort subitement. "Ma magnifique épouse Stacey est décédée et elle est maintenant au paradis avec notre magnifique garçon Cooper"

    Cliquez ici pour lire l'article complet:

    https://www.globalresearch.ca/families-inject-covid-19-mrna-vaccines-together-have-heart-attacks-blood-clots-develop-turbo-cancer-die-suddenly-together/5843279

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  7. Prise de pouvoir mondiale du Traité de l’OMS sur la pandémie en mai 2024
    Par Projet de santé mondiale


    Recherche mondiale,
    14 décembre 2023


    2 sur 4 pic.twitter.com/0qYlOITI87

    — Projet de santé mondiale (@GlobalHProject) 26 octobre 2023

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    — Projet de santé mondiale (@GlobalHProject) 26 octobre 2023

    4 sur 4 pic.twitter.com/4g1p5OcEY7

    — Projet de santé mondiale (@GlobalHProject) 26 octobre 2023

    https://www.globalresearch.ca/who-pandemic-treatys-global-power-grab-may-2024/5843231

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  8. L’horrible agenda secret de l’ONU et de l’OMS : asservissement total de l’humanité par une « dictature sanitaire mondiale »


    Par Peter Koenig, Dr. Astrid Stuckelberger et Mike Adams
    Recherche mondiale,
    14 décembre 2023


    Les déclarations finales officielles de l'ONU et de l'OMS à l'issue de l'Assemblée générale des Nations Unies (AGNU) à New York concernant le Hautehigh Les réunions au niveau national sur la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies sont résumées comme suit :

    Les Nations Unies
    La réunion de haut niveau sur la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies se concentrera sur le thème : "Créer et maintenir une dynamique politique et une solidarité pour la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies.< /span>20 septembre 2023Publiée le “. Séance plénière : Déclarations des États membres et des membres des agences spécialisées des Nations Unies.

    Déclaration de l'OMS sur la réunion de haut niveau sur la prévention, la préparation et la riposte aux pandémies :

    L'Organisation mondiale de la santé a salué l'engagement historique manifesté aujourd'hui par les dirigeants mondiaux, à l'Assemblée générale des Nations Unies, pour renforcer la coopération internationale, la coordination, la gouvernance et les investissements nécessaires pour empêcher une répétition de l'impact sanitaire et socio-économique dévastateur causé par le COVID-19, et faire en sorte que le monde mieux préparés à faire face à une future pandémie et se remettre sur la bonne voie pour atteindre les objectifs de développement durable.

    « Le tout premier sommet des chefs d'État sur la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies constitue une étape historique dans la démarche urgente visant à rendre tous les peuples du monde plus sûrs et mieux protégés contre les effets dévastateurs des pandémies », a déclaré le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus. Directeur général de l'OMS. « Je salue cet engagement des dirigeants du monde à fournir le soutien politique et l'orientation nécessaires pour que l'OMS, les gouvernements et toutes les personnes impliquées puissent protéger la santé des populations et prendre des mesures concrètes pour investir dans les capacités locales, garantir l'équité et soutenir l'architecture sanitaire d'urgence mondiale que le monde besoins."

    La déclaration politique, approuvée par M. Dennis Francis, Président du 78e d'Israël et autorité directrice et coordinatrice en matière de santé internationalePublié le 20 septembre 2023s'engager davantage en faveur d'un financement durable qui fournisse un financement adéquat et prévisible à l'OMS, qui lui permette de disposer des ressources nécessaires pour remplir ses fonctions essentielles. . » », et la nécessité de « du Maroc, a souligné le rôle central joué par l'OMS en tant qu'« Omar HilaleGilad Erdan Assemblée générale des Nations Unies (2023), et résultat des négociations sous la direction compétente des ambassadeurs

    Ni la déclaration de l'ONU ni celle de l'OMS ne mentionnent le nombre de dirigeants mondiaux ou de chefs d'État qui ont approuvé les documents cruciaux de l'OMS, sévèrement révisés (plus de 90 points de révision) Règlement sanitaire international (RSI), y compris le Traité sur la pandémie – qui n'est en réalité plus un traité, comme c'est le cas il est prévu de le faire adopter lors de la prochaine Assemblée mondiale de la Santé (AMS) en mai 2024 – rendre le nouveau RSI efficace sans vote. Voir l'entretien complet avec le Dr . Astrid Stuckelberger ici.

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  9. - voir clip sur site (Astrid Stuckelberger & Mike Adams) -

    Puisqu'il n'existe aucun compte rendu officiel de ces réunions ONU/OMS « à huis clos », nous ne pouvons nous fier qu'à des « ouï-dire », selon lesquels plusieurs États membres se seraient abstenus et d'autres se seraient opposés au texte révisé. RSI. Parmi les opposants se trouvait apparemment la Fédération de Russie. Voir ceci.

    L'interview de Mike Adams du Dr. Astrid Stuckelberger (26 septembre 2023) à propos de la prochaine dictature sanitaire (prévue) de l'ONU et de l'OMS juxtapose les déclarations officielles de l'ONU/OMS.

    Il n’y a rien de constructif, rien que le monde puisse espérer qui soit ressorti de ces réunions et débats secrets. Secrète, comme une secte de la mort, planifiant un génocide mondial dans le cadre du « nouvel » agenda OMS/ONU.

    Imaginez où est passé le monde ? Et où l’Agenda 2030 des Nations Unies envisage-t-il de nous mener dans son intégralité ?

    Avec un système des Nations Unies corrompu, avec une Organisation mondiale de la santé qui ne s'occupe plus de la santé et de la maladie de la population, mais qui favorise la mort.

    Et cela à l’échelle mondiale. Tous les gouvernements – plus de 190 gouvernements nationaux – ont tous été cooptés, corrompus, contraints et carrément menacés – s’ils ne mentent pas aux gens qui sont censés les avoir élus, et s’ils ne trahissent pas la confiance et l’argent (des impôts). ces gens se sont confiés à eux – aux fonds du peuple qui financent également les salaires généralement généreux des bureaucrates du gouvernement.

    Voici quelques-uns des points clés Dr. Astrid Stuckelberger réalisée lors de l'interview de BOMBSHELL. Pour avoir courageusement pris la parole depuis le début de cette épidémie criminelle, le Dr Stuckelberger a été un phare de vérité. En réponse, l'Université de Genève a interrompu tous ses cours et l'a privée de son poste de professeur.

    Elle est également menacée et contrainte, souvent censurée – en vain : Astrid continue de s'exprimer, pour répandre la vérité aussi loin et largement que possible – afin que les gens puissent éventuellement se réveiller – se lever – et cesser d'obéir. . La non-obéissance est le droit de tous.

    Voici quelques-uns des points saillants de l’interview du Dr Stuckelberger :

    Alors qu’au début de son existence, l’OMS défendait la vie des personnes âgées et des enfants, elle encourage aujourd’hui le suicide des personnes âgées et la vaccination forcée des enfants.

    L’OMS élimine le personnel – scientifiques, médecins et chercheurs, qui sont de véritables experts éthiques – et les remplace par des personnes qui ne le sont pas, contraires à l’éthique et corrompues.

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  10. Les programmes de l’OMS sur l’alimentation, la nutrition ou l’assainissement de base se sont transformés en programmes qui supervisent en grande partie l’extermination des populations sur la planète Terre, plutôt que de promouvoir la santé des populations.

    Dans les années 1990, l’OMS mettait encore en garde contre les dangers des micro-ondes 5G, les effets négatifs du fait de tenir le téléphone près de son oreille… comment cela affectait le cerveau – ce n’est plus le cas. Ces avertissements ont été supprimés du site Web de l’OMS. Cela fait partie de l’élimination accélérée des personnes âgées et de l’abrutissement du cerveau des enfants et des jeunes adultes.

    En outre, l’OMS a mis en garde contre le danger de construire des antennes 5G sur les bâtiments scolaires – car l’effet sur le cerveau humain et le développement du cerveau humain est dévastateur – cet avertissement a également disparu du site Web de l’OMS.

    Vers l’an 2000, le secteur privé et les lobbies sont entrés en vigueur – et Bill Gates a mis le pied dans la porte de l’OMS. En 2012, il était littéralement en charge des programmes de vaccination/immunisation de l’OMS.

    Aujourd’hui, l’OMS a seule le monopole de tout ce qui concerne la santé – c’est un diktat tyrannique – et est suivie d’une censure sévère, y compris de sanctions pour ceux qui ne respectent pas le mandat. Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, fait écho à ce que fait l’OMS, en promouvant la censure [interdisant les « fausses nouvelles »] et en numérisant les informations sur la santé – avec un monopole pour l’OMS.

    Mais l'OMS seule ne peut pas contrôler le monde, car les ministres de la Santé, généralement les représentants des pays à l'Assemblée mondiale de la Santé, peuvent ne pas être d'accord avec certains diktats et doivent écouter leurs gouvernements [même si la plupart d'entre eux ont été corrompus], ils ont besoin d'un l’organisme suprême chargé d’assurer le plein respect de ces règles, les Nations Unies.

    Par conséquent, l'ONU revendiquera le droit global de contrôler la censure ainsi que les diktats en matière de santé, c'est-à-dire la vaccination/les programmes d'immunisation, délégués à l'OMS — sans poser de questions, tout avec pour objectif de réduire massivement la population mondiale, un objectif qui est sur la planche à dessin politique depuis les années 1970.

    Voir le rapport Kissinger publié en 1974, l’année qui a suivi le coup d’État militaire au Chili (11 septembre 1973) parrainé par les États-Unis.

    - voir sur site -

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  11. L’OMS est la porte d’entrée vers les points les plus sensibles et les plus vulnérables de notre vie : la vie et la mort, la santé et la maladie. C'est l'entrée de leur neuro-arme biotechnologique – celle de la Bête – qu'est le soi-disant vaccin injectable – et ils veulent déployer des milliers de nouveaux types de vaccins, des milliards à administrer au cours des années à venir – un programme perpétuel, alimenter l’Agenda 2030 des Nations Unies – pour aider à atteindre les « 17 objectifs de développement durable » (ODD).

    Le premier paragraphe de la préparation à la réponse à la prévention des pandémies, fait référence au danger constant et répété de covid et de pandémies liées au covid… déclenchant une peur éternelle, car le covid a été inscrit dans le cerveau des gens comme LA pandémie et danger potentiellement mortels.

    Ils génèrent une peur constante avec quelque chose qui n'existe même pas, qui n'a jamais été analysé scientifiquement, qui n'a jamais été isolé dans les laboratoires, ni avec les instruments de l'OMS — il s'agit toujours d'infections, parce qu'on ne peut pas les voir (les virus), et les gens ne le savent pas.

    L'OMS, avec les médias (achetés), est une organisation terroriste psychologique.

    En vertu de la nouvelle déclaration, l'OMS devient un mécanisme permanent de campagne de peur, avec l'autorité tyrannique mondiale suprême pour exiger une quarantaine « préventive », même contre les politiques de pays souverains individuels, et ils les mettent en œuvre et sont imposées par la police et l'armée – auxquelles les gouvernements des pays doivent obéir, sous la menace.

    Mais, dit Astrid, « la Bête perd du pouvoir, parce que nous devenons plus conscients, nous nous réveillons et résistons.

    Le RSI révisé et la Convention sur la pandémie – oui, ce n'est pas un traité, car il sera adopté, pas même voté.

    C'est l'imposition de l'ONU – parrainée ou imposée par les États-Unis. Le RSI / Convention sur la pandémie sera adopté par l'AMS en mai 2024, sans vote. Et lors de cette AGNU 2023, l’OMS et ses sponsors publics (principalement la Maison Blanche) et privés (principalement l’industrie pharmaceutique) demandent la bénédiction de l’ONU ; et « ils » ont reçu la bénédiction de l'ONU.

    L’Australie forme déjà sa police et son armée à faire respecter les vaccinations obligatoires – en enfonçant les portes des maisons familiales et en s’assurant que les écoles respectent les ordonnances de vaccination.

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  12. Ils veulent se débarrasser des enfants pour dépeupler le monde – et bien sûr des personnes âgées, qui ne contribuent pas à l'économie, mais utilisent l'argent de l'État [auquel ils ont contribué] pour vivre leur retraite (pensions) – ce que le conseiller israélien de Klaus Schwab , Yuval Noah Hariri, qualifie de « mangeurs inutiles ».

    C’est pourquoi l’ancien président Trump a déjà déclaré que s’il était réélu président, il propagerait l’enseignement à la maison.

    L'OMS est dirigée par McKinsey Consulting – le Dr Stuckelberger a vu le contrat – et par les médias achetés.

    Eux, « la Bête », inventeront une urgence publique, soit « naturelle », soit une épidémie monstrueuse, pour semer la peur et enfermer les gens.

    Ils mettent en place un plan pour enfermer les gens, ils veulent que le vaccin revienne – cela est déjà visible dans les médias.

    [En Inde, une nouvelle pandémie a déjà été déclarée, avec des masques obligatoires. Une épidémie de virus Nipah (NiV) a été confirmée en Inde. Six cas de Nipah, dont deux décès, ont été signalés – voir la vidéo ci-dessous (Annotation de PK)]

    - voir clip sur site -

    Trois grands médias d’entreprise contrôlent le monde :

    AP = Presse américaine ;
    AFP = Presse française ; et
    Reuters.

    Ils sont payés pour mentir. On ne peut pas les croire, mais ils diffusent leurs informations à tous les grands médias locaux, qui doivent rapporter presque textuellement le récit en cours.

    Nous devons créer nos propres contre-médias – comme ce que vous faites, en faisant référence à Mike Adams et à d'autres, pour diffuser la vérité et faites savoir aux gens ce qui se passe.

    Ils – « la Bête » – font tout ce qu’ils peuvent avec l’aide des gouvernements, qui ne sont plus VOS gouvernements. Les gouvernements d’aujourd’hui, partout dans le monde, sont contraints de faire ce que « la Bête » veut qu’ils fassent, soit en les achetant, soit en les menaçant.

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  13. Mike Adams :

    « Nous assistons à une perversion totale de la science qui détruira la crédibilité de la science et de la médecine. – Il n’existe aucun isolat du SRAS-Covid-2, cela n’a jamais été le cas – c’est une fraude totale.»

    « Alors que la prochaine plandémie se déroule – et que de plus en plus de personnes sont victimes de cette fraude – un génocide se déroule sous nos yeux. »

    Nous, le peuple, ne pouvons pas permettre que cela se produise ; nous devons gagner cette guerre

    Voici les derniers mots paraphrasés d'Astrid Stuckelberger –

    « Nous allons traverser une période difficile maintenant, cela peut durer 6 mois par an… qui sait. Alors, prenez bien soin de vous. Si vous êtes bien informé, vous êtes mieux préparé à ce qui pourrait arriver – et vous prenez soin des personnes âgées et des enfants. Je m'inquiète pour les enfants. Ils vont s'en prendre aux enfants… »

    « Il y a déjà un avertissement : en Norvège, ils doivent vacciner tous les jeunes… Ne prenez aucun vaccin, ils essaient de vous vendre toutes sortes de vaccins courants – ne les prenez pas, ce sont tous de faux vaccins à ARNm… »

    Terminer sur une note positive :"Je pense que nous sommes protégés pour ce que nous sommes…."

    Regardez l’interview complète ci-dessous (Astrid Stuckelberger & Mike Adams):

    https://www.globalresearch.ca/agenda-un-who-total-enslavement-humanity-global-health-dictatorship/5834338

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  14. Japon: quand un peuple se fait hara kiri, la seringue a remplacé le sabre et la pays perd 800 000 habitants par an


    le 15 décembre 2023
    par pgibertie


    - voir graph sur site -

    @felicittina

    La surmortalité pour 2023 est évidente quand on se débarrasse des modèles de prévision et qu’on revient aux chiffres annuels bruts. L’écart à la tendance pluriannuelle démontre de manière irréfutable combien http://exdeaths-japan.org/en publie des informations déformées.

    Les autorités parlent de 11% de décès attendus en plus alors que le nombre des plus de 80 ans augmente seulement de 2%

    - voir graph sur site -

    https://t.co/GIV1CoLTJO

    @felicittina

    On comprend un peu mieux pourquoi le #Japon tient à ce point à masquer l’augmentation anormale des décès, lorsque l’on compare ceux-ci aux naissances. En 2022 : 770k naissances pour 1 577k décès Soit une diminution de la population de 806 mille personnes.

    - voir graph sur site -

    https://pgibertie.com/2023/12/15/japon-quand-un-peuple-se-fait-hara-kiri-la-seringue-a-remplace-le-sabre-et-la-pays-perd-800-000-habitants-par-an/

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  15. Le COVID-19 peut rester indétectable dans les poumons pendant 18 mois : étude


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 15 DÉCEMBRE 2023 - 03h00
    Rédigé par Amie Dahnke via The Epoch Times


    Le virus COVID-19 peut rester dans les poumons pendant des mois après qu’un individu a été infecté, même s’il peut ne pas être détecté par des tests en vente libre (OTC), selon une nouvelle étude.

    Les résultats, établis par une équipe de recherche de l'Institut Pasteur en France et publiés dans Nature Immunology, indiquent que le virus peut vivre dans les poumons jusqu'à 18 mois après l'infection dans ce que les scientifiques appellent des « réservoirs viraux ».

    L’équipe de recherche a découvert ces soi-disant réservoirs viraux en analysant des échantillons provenant de modèles de primates non humains infectés par le virus SARS-CoV-2, responsable du COVID-19. Les résultats préliminaires de l’étude ont montré que le virus a été détecté dans les poumons de certains modèles animaux six à 18 mois après l’infection, même si le virus n’a pas été détecté dans le sang ou dans les voies respiratoires supérieures, comme le nez, la gorge ou la boîte vocale.

    Les chercheurs pensent que ces réservoirs viraux agissent presque comme des geysers dormants qui pourraient éclater à tout moment, surtout lorsqu’ils sont activés par un certain type de stimulus. La réactivation du virus peut également dépendre de l’immunité innée d’un individu, l’immunité avec laquelle il est né.

    Pour comprendre comment l’immunité innée agit contre les réservoirs viraux, l’équipe de l’Institut Pasteur a étudié le fonctionnement des macrophages et des cellules tueuses naturelles contre le virus COVID-19, à la recherche d’indices sur la formation de réservoirs viraux.

    Les macrophages et les cellules tueuses naturelles sont des types de globules blancs. Alors qu'une cellule tueuse naturelle est chargée de détruire les cellules infectées ou malades, les macrophages sont responsables de l'élimination des cellules mourantes ou mortes et des débris cellulaires. En ce qui concerne le COVID-19, les macrophages sont responsables de la majorité du travail dans les poumons, a indiqué l’équipe de recherche, car ils représentent 70 % du nombre de globules blancs dans les poumons.

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  16. Également appelées lymphocytes, les cellules tueuses naturelles constituent un élément constitutif majeur du système immunitaire inné d’une personne. Chez certaines personnes participant à l’étude, les cellules tueuses naturelles pourraient s’adapter et contrôler les réservoirs viraux ; essentiellement, les cellules travaillaient à assécher le réservoir. Les chercheurs ont noté qu’à mesure que le nombre de cellules tueuses naturelles augmentait dans le sang, la charge virale diminuait. Dans d’autres cas, les cellules tueuses naturelles n’ont pas pu s’adapter, ce qui a permis au réservoir de gonfler. Par conséquent, plus le nombre de cellules tueuses naturelles est faible, plus un individu est susceptible d’avoir un virus COVID-19 persistant ou de connaître une rechute des symptômes, ont expliqué les chercheurs.

    Un indice sur le long COVID

    La découverte de réservoirs viraux pourrait être un indice sur les raisons pour lesquelles certaines personnes souffrent d'un long COVID, a noté Michaela Müller-Trutwin, responsable de l'unité VIH, inflammation et persistance de l'Institut Pasteur, dans un communiqué de presse.

    Avant la publication de l’étude de l’Institut Pasteur, les chercheurs pensaient que la réactivation d’un virus COVID-19 dormant provoquait un COVID long. Le concept de réservoirs viraux confirme ces recherches antérieures. En outre, la nouvelle recherche confirme l’idée antérieure selon laquelle un long COVID pourrait être causé par des cellules immunitaires hyperactives libérant des niveaux élevés de substances inflammatoires dans le corps.

    Un sondage KFF de janvier 2023 a montré que 28 % des personnes qui avaient déjà eu le COVID-19 ont déclaré avoir un long COVID. Le pourcentage a diminué par rapport à la première fois que KFF a interrogé les Américains en juin 2022, au cours de laquelle 35 % des Américains atteints de COVID ont déclaré avoir un long COVID.

    Les National Institutes of Health (NIH) ont signalé les facteurs de risque associés au développement d’un long COVID. Les personnes qui ont été hospitalisées à cause du virus, qui ont des affections sous-jacentes, qui ne sont pas vaccinées ou qui souffrent du syndrome inflammatoire multisystémique courent probablement un risque plus élevé de développer un long COVID, selon l'agence.

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  17. Alors que la plupart des personnes diagnostiquées avec le COVID-19 se rétablissent quelques jours à quelques semaines après l’infection, certaines peuvent présenter des symptômes pendant quatre semaines ou plus après l’infection initiale. Les personnes atteintes d’un long COVID présentent toute une série de symptômes, mais les plus courants incluent la fatigue ou l’épuisement qui interfère avec la vie quotidienne, les symptômes qui s’aggravent après un effort physique ou mental et la fièvre. Une personne peut également ressentir de multiples symptômes respiratoires, cardiaques, neurologiques et digestifs. Le sondage KFF a révélé que le long COVID impose des limites significatives à la journée d'un individu, avec 79 % des personnes déclarant que leur activité quotidienne est limitée.

    Il n’existe pas de remède ni de traitement spécifique pour le COVID long. Les plans de traitement varient d'une personne à l'autre en fonction des symptômes d'un individu.

    https://www.zerohedge.com/political/covid-19-can-remain-undetected-lungs-18-months-study

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    1. (...) Les résultats, établis par une équipe de recherche de l'Institut Pasteur en France et publiés dans Nature Immunology, indiquent que le virus peut vivre dans les poumons jusqu'à 18 mois après l'infection dans ce que les scientifiques appellent des « réservoirs viraux » (...)

      HAHAHAHA ! 'l'Institut Pasteur en France et publiés dans Nature Immunology, indiquent que le virus peut vivre dans' HAHAHAHA !

      Un 'virus' est UNE POUSSIÈRE ! (NON-RECONNUE comme vivante, par le Corps Médical Mondial. Une poussière ne doit PAS être confondue avec un microbe !).

      Il n'existe pas d'anti-poison à cette poussière meurtrière inoculée (et NON-RESPIRÉE !).

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  18. La FDA et le HHS poursuivis en justice pour des documents révélant la suppression de l'HCQ et de l'ivermectine


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 14 DÉCEMBRE 2023 - 16H40
    Rédigé par Megan Redshaw via The Epoch Times


    America First Legal (AFL) poursuit la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis et le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) pour ne pas avoir remis les documents liés à la suppression par le gouvernement des traitements contre le COVID-19, l'hydroxychloroquine (HCQ) et l'ivermectine.

    Selon le procès, l'AFL a déposé une demande en vertu de la Freedom of Information Act (FOIA) en août 2022 auprès du HHS et de la FDA pour obtenir des informations relatives au médicament antipaludique HCQ du 1er mars au 1er septembre 2020. L'AFL a reçu une confirmation et des numéros de suivi. des deux agences que sa demande avait été reçue.

    L'AFL a déposé des demandes FOIA similaires en septembre 2022 auprès des mêmes agences pour obtenir des informations sur l'ivermectine – un médicament antiparasitaire populaire – et a également reçu la confirmation que les demandes ont été reçues, ainsi que les numéros de suivi, selon un communiqué de presse de l'AFL.

    L'AFL, une organisation à but non lucratif « œuvrant à promouvoir l'État de droit aux États-Unis, à empêcher les excès de l'exécutif et à garantir une procédure régulière et une protection égale pour tous les Américains », a demandé des informations pour déterminer quand et pourquoi les responsables gouvernementaux, y compris le Dr Anthony Fauci, ancien directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, a découragé et supprimé l'utilisation de l'HCQ et de l'ivermectine pour traiter le COVID-19. Aucune des deux agences n'a accédé aux demandes.

    « La COVID-19 a révélé que l’établissement de santé publique était hautement politisé et scandaleusement incompétent. À ce jour, la question précise de la raison pour laquelle les bureaucrates ont supprimé l’HCQ et l’ivermectine reste sans réponse. En intentant cette action en justice, l'AFL a fait un premier pas vers la révélation de la vérité et la responsabilisation des personnes responsables du refus aux patients d'accéder à ces médicaments potentiellement utiles. Les Américains ont le droit de savoir si c'est l'animosité politique des fonctionnaires de gauche à l'égard de l'ancien président Trump, plutôt que la science, qui a motivé la prise de décision », a déclaré Reed D. Rubinstein, conseiller principal de l'AFL et directeur de la surveillance et des enquêtes. Epoch Times dans un e-mail.

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  19. Malgré des centaines d’études évaluées par des pairs soutenant l’efficacité des deux médicaments, la FDA a mis en garde contre l’utilisation de l’HCQ et de l’ivermectine pour prévenir et traiter le COVID-19. Sur son site Internet, la FDA déclare que « les données actuellement disponibles ne montrent pas que l’ivermectine est efficace contre le COVID-19 », pourtant la moitié des études utilisées par l’agence pour étayer sa position soutiennent l’utilisation de l’ivermectine contre le COVID-19, selon une étude réalisée en 2022 par L'Epoque Times.

    En septembre, la Cour d'appel du 5e circuit a relancé un procès contre le HHS et la FDA intenté par trois médecins qui affirmaient que la FDA avait outrepassé son autorité en lançant une campagne de relations publiques anti-ivermectine en 2021 qui avertissait les gens de ne pas prendre le médicament.

    Selon le procès, la FDA a publié une mise à jour informelle auprès des consommateurs 18 mois après le début de la pandémie, décourageant l'utilisation de l'ivermectine pour prévenir et traiter le COVID-19. Il a ensuite publié un document sur le COVID-19 et l'ivermectine destiné aux animaux et a publié quatre publications en ligne, une sur son site Web et trois sur les réseaux sociaux, présentant une image d'un cheval qui déclarait ce qui suit :

    « Tu n'es pas un cheval. Tu n'es pas une vache. Sérieusement, vous tous. Arrête ça." « Tu n'es pas un cheval. Arrêtez ça avec l'#ivermectine. Ce n’est pas autorisé pour traiter le #COVID. « Tenez vos chevaux, vous tous. L'ivermectine est peut-être à la mode, mais elle n'est toujours pas autorisée pour traiter le COVID-19.

    Dans un e-mail interne, un membre de l'équipe de communication de la FDA a déclaré que ces publications faisaient partie d'une « nouvelle stratégie d'engagement ». Selon le procès, les médias nationaux ont fait la une des journaux et les pharmacies, les hôpitaux et les commissions médicales ont pris note de la position de la FDA et ont commencé à restreindre l'accès au traitement.

    La FDA a également envoyé des lettres à la Fédération des conseils médicaux d’État et à l’Association nationale des conseils de pharmacie mettant en garde contre l’utilisation de l’ivermectine pour traiter le COVID-19, ainsi que son avis selon lequel la prendre à des doses élevées était dangereuse.

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  20. Semblable à l’ivermectine, la FDA a mis en garde contre l’utilisation de l’hydroxychloroquine pour le traitement du COVID-19, citant un risque de « problèmes de rythme cardiaque » et a affirmé que le médicament n’était ni sûr ni efficace pour traiter ou prévenir le COVID-19. L’agence avait précédemment autorisé son utilisation dans le cadre d’une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA), mais a révoqué l’autorisation en juin 2020, six mois avant d’accorder l’EUA aux vaccins COVID-19 de Pfizer et Moderna. Un mois après avoir révoqué l’EUA pour l’hydroxychloroquine, le Dr Fauci, l’ancien conseiller en matière de coronavirus de la Maison Blanche, a déclaré dans une interview avec MSNBC que les données scientifiques et les essais cliniques « qui étaient valides » ont déterminé que « l’hydroxychloroquine n’est pas efficace » dans le traitement du COVID-19.

    Comme indiqué sur le site Web de la FDA, la FDA peut utiliser son autorité pour accorder une EUA en vertu de l'article 564 de la loi fédérale sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques afin d'autoriser l'utilisation de produits médicaux non approuvés ou l'utilisation non approuvée de produits médicaux approuvés pour diagnostiquer, traiter ou prévenir les maladies graves ou potentiellement mortelles lorsque certains critères sont remplis. L’un des critères est qu’il n’existe pas « d’alternatives adéquates, approuvées et disponibles ». Ainsi, pour accorder l’EUA aux vaccins contre la COVID-19, il ne pourrait exister aucun traitement alternatif adéquat, approuvé et disponible contre la COVID-19.

    The FDA did not respond to a request for comment.

    https://www.zerohedge.com/political/fda-and-hhs-sued-over-suppression-hcq-and-ivermectin

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  21. La FDA approuve les premières thérapies géniques pour traiter les patients atteints de drépanocytose


    15 Décembre 2023P
    Food and Drug Administration (FDA)*


    Aujourd'hui, la Food and Drug Administration des États-Unis a approuvé deux traitements importants, Casgevy et Lyfgenia, qui représentent les premières thérapies géniques cellulaires pour le traitement de la drépanocytose [anémie falciforme] chez les patients âgés de 12 ans et plus. En outre, l'une de ces thérapies, Casgevy, est le premier traitement approuvé par la FDA à utiliser un type de technologie novatrice d'édition du génome, ce qui constitue une avancée innovante dans le domaine de la thérapie génique.

    La drépanocytose est un groupe de troubles sanguins héréditaires qui touche environ 100.000 personnes aux États-Unis. Elle est plus fréquente chez les Afro-Américains et, bien que moins répandue, elle affecte également les Hispano-Américains. Le principal problème de la drépanocytose est une mutation de l'hémoglobine, une protéine présente dans les globules rouges qui fournit de l'oxygène aux tissus de l'organisme. Cette mutation donne aux globules rouges une forme de croissant ou de faucille. Ces globules rouges déformés restreignent la circulation dans les vaisseaux sanguins et limitent l'apport d'oxygène aux tissus de l'organisme, ce qui entraîne des douleurs intenses et des lésions organiques appelées événements vaso-occlusifs (EVO) ou crises vaso-occlusives (CVO). La récurrence de ces événements ou de ces crises peut entraîner des handicaps potentiellement mortels et/ou un décès prématuré.

    « La drépanocytose est une maladie du sang rare, invalidante et mortelle dont les besoins ne sont pas satisfaits. Nous sommes ravis de faire progresser le domaine, en particulier pour les personnes dont la vie a été gravement perturbée par la maladie, en approuvant aujourd'hui deux thérapies géniques cellulaires », a déclaré Mme Nicole Verdun, docteur en médecine, directrice du Bureau des Produits Thérapeutiques au sein du Centre d'Évaluation et de Recherche sur les Produits Biologiques de la FDA. « La thérapie génique promet de fournir des traitements plus ciblés et plus efficaces, en particulier pour les personnes atteintes de maladies rares pour lesquelles les options thérapeutiques actuelles sont limitées. »

    Casgevy, une thérapie génique à base de cellules, est approuvé pour le traitement de la drépanocytose chez les patients âgés de 12 ans et plus présentant des crises vaso-occlusives récurrentes. Casgevy est la première thérapie approuvée par la FDA qui utilise CRISPR/Cas9, un type de technologie d'édition du génome. Les cellules souches hématopoïétiques (sanguines) des patients sont modifiées par édition du génome à l'aide de la technologie CRISPR/Cas9.

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  22. CRISPR/Cas9 peut être dirigé pour couper l'ADN dans des zones ciblées, ce qui permet de modifier avec précision (supprimer, ajouter ou remplacer) l'ADN à l'endroit où il a été coupé. Les cellules souches sanguines modifiées sont transplantées chez le patient où elles se greffent (s'attachent et se multiplient) dans la moelle osseuse et augmentent la production d'hémoglobine fœtale (HbF), un type d'hémoglobine qui facilite l'apport d'oxygène. Chez les patients atteints de drépanocytose, l'augmentation du taux d'HbF empêche la formation de globules rouges falciformes.

    Lyfgenia est une thérapie génique à base de cellules. Lyfgenia utilise un vecteur lentiviral (véhicule d'administration de gènes) pour la modification génétique et est approuvé pour le traitement des patients âgés de 12 ans et plus atteints de drépanocytose et ayant des antécédents d'événements vaso-occlusifs. Avec Lyfgenia, les cellules souches sanguines du patient sont génétiquement modifiées pour produire de l'HbAT87Q, une hémoglobine dérivée de la thérapie génique qui fonctionne de manière similaire à l'hémoglobine A, qui est l'hémoglobine adulte normale produite chez les personnes qui ne sont pas atteintes de drépanocytose. Les globules rouges contenant de l'HbAT87Q présentent un risque plus faible de déformation et d'occlusion de la circulation sanguine. Ces cellules souches modifiées sont ensuite délivrées au patient.

    Les deux produits sont fabriqués à partir des cellules souches sanguines du patient, qui sont modifiées, et sont administrés en perfusion unique dans le cadre d'une greffe de cellules souches hématopoïétiques (sanguines). Avant le traitement, les cellules souches du patient sont prélevées, puis le patient doit subir un conditionnement myéloablatif (chimiothérapie à haute dose), un processus qui élimine les cellules de la moelle osseuse afin qu'elles puissent être remplacées par les cellules modifiées de Casgevy et Lyfgenia. Les patients ayant reçu Casgevy ou Lyfgenia seront suivis dans le cadre d'une étude à long terme visant à évaluer la sécurité et l'efficacité de chaque produit.

    « Ces autorisations représentent une avancée médicale importante avec l'utilisation de thérapies géniques cellulaires innovantes pour cibler des maladies potentiellement dévastatrices et améliorer la santé publique », a déclaré M. Peter Marks, M.D., Ph.D., directeur du Centre d'Évaluation et de Recherche sur les Produits Biologiques de la FDA. « Les mesures prises aujourd'hui font suite à des évaluations rigoureuses des données scientifiques et cliniques nécessaires pour soutenir l'approbation, reflétant l'engagement de la FDA à faciliter le développement de traitements sûrs et efficaces pour des conditions ayant un impact sévère sur la santé humaine. »

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  23. Données à l'appui de Casgevy

    La sécurité et l'efficacité de Casgevy ont été évaluées dans le cadre d'un essai multicentrique à un seul bras en cours chez des adultes et des adolescents atteints de drépanocytose. Les patients avaient des antécédents d'au moins deux COV graves définis par le protocole au cours de chacune des deux années précédant la sélection. Le principal critère d'efficacité était l'absence d'épisodes de COV graves pendant au moins 12 mois consécutifs au cours de la période de suivi de 24 mois. Au total, 44 patients ont été traités par Casgevy. Sur les 31 patients dont la durée de suivi était suffisante pour être évaluée, 29 (93,5 %) ont atteint ce résultat. Tous les patients traités ont obtenu une greffe réussie, aucun patient n'ayant connu d'échec ou de rejet de greffe.

    Les effets secondaires les plus fréquents ont été un faible taux de plaquettes et de globules blancs, des plaies buccales, des nausées, des douleurs musculo-squelettiques, des douleurs abdominales, des vomissements, une neutropénie fébrile (fièvre et faible taux de globules blancs), des maux de tête et des démangeaisons.

    Données à l'appui de Lyfgenia

    La sécurité et l'efficacité de Lyfgenia reposent sur l'analyse des données d'une étude multicentrique à un seul bras, d'une durée de 24 mois, menée chez des patients âgés de 12 à 50 ans atteints de drépanocytose et ayant des antécédents d'EVO. L'efficacité a été évaluée sur la base de la résolution complète des EVO (RC-EVO) entre 6 et 18 mois après la perfusion de Lyfgenia. Vingt-huit (88 %) des 32 patients ont obtenu une résolution complète des EVO au cours de cette période.

    Les effets secondaires les plus fréquents étaient la stomatite (plaies des lèvres, de la bouche et de la gorge), de faibles taux de plaquettes, de globules blancs et de globules rouges, et une neutropénie fébrile (fièvre et faible nombre de globules blancs), compatibles avec la chimiothérapie et la maladie sous-jacente.

    Des tumeurs hématologiques malignes (cancer du sang) ont été observées chez des patients traités par Lyfgenia. L'étiquette de Lyfgenia comporte un encadré noir contenant des informations sur ce risque. Les patients recevant ce produit doivent faire l'objet d'une surveillance à vie pour ces tumeurs malignes.

    Les demandes d'autorisation pour Casgevy et Lyfgenia ont reçu les désignations Priority Review, Orphan Drug, Fast Track et Regenerative Medicine Advanced Therapy.

    La FDA a accordé l'autorisation de Casgevy à Vertex Pharmaceuticals Inc. et l'autorisation de Lyfgenia à Bluebird Bio Inc.

    ° o 0 o °

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  24. La FDA, une agence du Département Américain de la Santé et des Services Sociaux, protège la santé publique en garantissant l'innocuité, l'efficacité et la sécurité des médicaments humains et vétérinaires, des vaccins et autres produits biologiques à usage humain, ainsi que des dispositifs médicaux. L'agence est également responsable de la sûreté et de la sécurité de l'approvisionnement alimentaire de notre pays, des cosmétiques, des compléments alimentaires, des produits électroniques émettant des radiations et de la réglementation des produits du tabac.
    _______________

    * Source : FDA Approves First Gene Therapies to Treat Patients with Sickle Cell Disease | FDA

    https://seppi.over-blog.com/2023/12/la-fda-approuve-les-premieres-therapies-geniques-pour-traiter-les-patients-atteints-de-drepanocytose.html

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  25. Le Dr Robert Malone discute des injections d'ARNm pour le bétail et de ce que cela signifie pour la viande et les produits laitiers


    14/12/2023
    Ethan Huff


    Récemment, le Dr Brooke Miller, ancien président sortant de la United States Cattlemen's Association, s'est entretenu avec le Dr Robert Malone, à qui l'on attribue le développement de la technologie de l'ARN messager (ARNm), de la menace que représente l'ARNm dans le bétail.
    Étant donné que les animaux de boucherie reçoivent désormais les mêmes types de « vaccins » que ceux que le « troupeau » humain a reçus dans le cadre de l'opération Warp Speed, il est de plus en plus évident que la conséquence directe de cette situation est l'arrivée de viande et de produits laitiers toxiques sur le marché.

    À l'heure actuelle, selon le Dr Malone, « nous n'avons aucun de ces produits autorisés pour le bétail, qu'il s'agisse de bœuf ou de lait ». Ces produits, dans ce contexte, font référence aux produits à base d'ARNm destinés aux animaux. Il existe cependant un produit à ARNm développé par Merck & Co. pour les troupeaux de porcs, ce qui signifie que le bacon et d'autres formes de porc sont probablement déjà contaminés.

    "Et il y a absolument un intérêt à déployer ce type de technologie dans les poulaillers", a expliqué le Dr Malone sur la direction que prendra ensuite la technologie de l'ARNm. "Mais comme vous le savez tous, dans l'industrie du poulet, les marges sont tout simplement très serrées. Et donc, toute technologie, technologie de vaccin, qui va être déployée dans les poulaillers, doit coûter quelques centimes par dose."

    (Connexe : Au début de l'automne, le Dr Malone a averti que la Food and Drug Administration des États-Unis [FDA] était « devenue un voyou » en approuvant les injections de rappel du COVID sans aucun essai clinique valide pour étayer leur sécurité et leur efficacité.)

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  26. Dites simplement non à la viande d'ARNm

    En ce qui concerne les vaches élevées pour la viande ou les produits laitiers, l’ARNm est également prévu pour y être utilisé, ce qui signifie finalement que l’ensemble de l’approvisionnement alimentaire, du moins aux États-Unis, est délibérément contaminé par de l’ADN et de l’ARN, qui sait quoi ? , ce qui le rendra dangereux.

    Bien qu'il soit l'un des « pères fondateurs », pour ainsi dire, de l'ARNm, le Dr Malone exprime ses inquiétudes quant aux effets que ces produits qu'il a contribué à développer pourraient avoir sur les animaux élevés pour l'alimentation et sur les humains qui mangent ces produits d'origine animale.

    "J'ai probablement reçu plus d'appels et plus d'inquiétudes sur cette question que sur toute autre chose de la part du grand public, du public non agricole, qui est essentiellement notre consommateur et notre mécène, et ils sont très préoccupés par cela", a déclaré le Dr Malone. a parlé au Dr Miller du problème de l'ARNm.

    "Et je pense que ce sera une technologie très négativement perçue dans le domaine de l'élevage si elle est adoptée par notre industrie. Je pense que les gens vont la rejeter, et cela va nuire à nos marchés, cela va nuire à nos exportations et cela va nuire." nuire à notre consommation de bœuf aux États-Unis. »

    D'un point de vue médical, le Dr Malone a déclaré au Dr Miller qu'il vient d'une culture où les gens prennent soin de leurs animaux. En d’autres termes, lui et d’autres comme lui sont extrêmement prudents lorsqu’il s’agit de donner à leurs animaux – le Dr Malone élève des chevaux – les produits médicamenteux les plus récents et les plus récents.

    "Nous pouvons extrapoler à partir des humains, mais il y a eu un nouveau développement qui, je pense, soulève de sérieuses inquiétudes à la fois pour les taureaux et les vaches, mais particulièrement pour les vaches", a déclaré le Dr Malone.

    "Et c'est que tous ces produits sont contaminés par de petits fragments d'ADN, et ils sont délivrés à l'aide d'un système très efficace, la technologie de délivrance de polynucléotides ou de gènes non viraux la plus efficace jamais développée. Et cela signifie que la contamination de l'ADN est va pénétrer dans les cellules de vos animaux de la même manière que l'ARN.

    Vous pouvez regarder l’interview complète du Dr Malone et du Dr Miller sur la page Substack du Dr Malone.

    Vous trouverez également les dernières nouvelles concernant la menace de contamination par l’ARNm dans les aliments sur Frankenfood.news.

    Les sources de cet article incluent :

    RWMaloneMD.substack.com

    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-12-14-robert-malone-mrna-vaccines-livestock-meat-dairy.html

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    Réponses
    1. De nos jours, la majeure partie de notre alimentations provient d'élevage. Mais qu'est-ce qu'un 'élevage' (de nos jours) ?

      Un élevage a pour fonctions de délivrer des produits finis demandés par les centrales d'achats.

      Or, aujourd'hui, le bœuf, le porc, le poulet ou le poisson ont... le même goût !! ÂH BÊH MERDE ALORS !!
      Bêh ouais ! Ils pouffent LA MÊME MERDE !!

      Les poules ne sortent plus du poulailler !! Les poissons ne sont plus des prédateurs qui bouffent d'autres poissons !!
      Il en résultent que ces pauvres bestioles enfermées bouffent des aliments incompatibles à leur organisme !
      Elles ingèrent des toxines superprédatrices (de type seringues d'expérimentations géniques d'essais. Çà vous dit quelque chose ?...).
      Elles deviennent ANORMALES ! (comme VOUS !)
      Car une bestiole qui bouffe de la merde fera (pondra) UNE MERDE !
      C'est çà que vous voulez ??!

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  27. Une étude de 180 pages sur la mortalité associée au vaccin COVID-19 dans l’hémisphère sud et la région équatoriale a également été publiée en septembre, affirmant qu’un lien de causalité certain avait été démontré entre de nombreux pics de mortalité toutes causes confondues et le déploiement rapide du vaccin. Les auteurs quantifient le risque de toxicité mortelle par injection, extrêmement important chez les personnes les plus âgées. Les auteurs ont conclu que les gouvernements devraient immédiatement mettre fin à la politique consistant à donner la priorité aux personnes âgées pour l’injection du COVID-19.

    Parallèlement, aux États-Unis, une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) a révélé qu’en 2021, l’espérance de vie des hommes et des femmes a diminué pour la deuxième année consécutive, à seulement 76 ans. La femme moyenne peut espérer vivre jusqu’à 79 ans, tandis que les hommes ne peuvent espérer atteindre que 73 ans. Selon des chercheurs de l’Université de Californie et de Harvard T.H. Chan School of Public Health, l'écart d'espérance de vie entre les hommes et les femmes est le plus large depuis 1997. L'étude a indiqué que le coronavirus de Wuhan (COVID-19) en est en partie responsable ces dernières années, en particulier pour les hommes qui étaient plus sensibles au virus. mais cela n’explique pas entièrement l’écart entre l’âge et le sexe. Pour les chercheurs, la faute réside dans l’incapacité du système de santé à donner la priorité à la prévention plutôt qu’au traitement des maladies.

    Miller a également cité le Substack d'OpenVAET, qui présente une analyse des données de naissance et de mortalité néonatale, illustrant qu'il existe un problème majeur de fertilité, du moins en Europe. Le bulletin d'information a révélé que l'« essai clinique » de Pfizer utilisant des injections Process 2 chargées d'endotoxines fait partie de l'impact tragique sur les femmes et leurs partenaires qui espèrent avoir des enfants.

    Crash démographique et recrudescence des maladies dues aux « vaccins »
    L’auteur a ensuite discuté d’articles selon lesquels l’effondrement démographique et la récente augmentation de diverses maladies sont principalement dus à la vaccination. En Corée du Sud, un article sur NewsBreak affirmait que la vaccination augmentait les risques de tous les événements indésirables d'origine immunitaire (irAE) non mortels, à l'exception de la déficience visuelle. Le message en question a été supprimé moins de cinq heures plus tard, mais certains critiques n'ont pas tardé à prendre la capture d'écran ci-dessous.

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  28. Miller a en outre abordé les données internes du ministère de la Santé. La surmortalité atteint des niveaux sans précédent depuis plus d’un an, les admissions à l’hôpital atteignent également des niveaux records et les services de santé sont débordés. "Depuis des mois, nous demandons des données par catégorie de maladie et par statut vaccinal. D'après les données dont nous disposons, il apparaît que les vaccinés sont touchés de manière disproportionnée", a-t-il déclaré. (Connexe : CNN admet enfin que les vaccins contre le COVID-19 peuvent augmenter le RISQUE D'AVC chez les adultes.)

    Cependant, les autorités et leurs experts soutiennent que cela doit être dû à l’infection par le coronavirus plutôt qu’aux injections et demandent donc davantage d’injections d’ARNm. Mais les chiffres divulgués dans la région de Wellington, qui abrite environ 10 pour cent de la population néo-zélandaise, montrent que les chiffres des admissions à l'hôpital confirment que la santé de la population se détériore progressivement.

    Des études sud-coréennes ont également prouvé que la pandémie touche désormais la population vaccinée, car ces personnes sont également plus susceptibles de souffrir de troubles sanguins et de maladies des oreilles. Epoch Times a également rapporté que des symptômes urinaires d’incontinence, de maladies des voies urinaires, d’hésitation à uriner et de mictions fréquentes ont été observés chez les hommes ayant reçu le vaccin, selon une étude de Hong Kong.

    Check out PharmaceuticalFraud.com for more news on Big Pharma's dangerous vaccines.

    Sources include:

    MarkCrispinMiller.Substack.com
    Correlation-Canada.org
    NewsBreak.com
    OpenVaet.Substack.com
    MerylNass.Substack.com
    OnlineLibrary.Wiley.com

    https://www.naturalnews.com/2023-12-14-vaccination-is-the-greatest-crime-against-humanity.html

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  29. Les nouvelles directives du CDC sur les vaccins remplacent « les femmes enceintes » par « les personnes enceintes »


    14/12/2023
    Ethan Huff


    Ce n’est pas parce que les gros titres des médias se concentrent actuellement sur la guerre entre Israël et le Hamas que la foule LGBT « réveillée » a soudainement décidé de cesser de détruire le tissu moral de la société américaine.

    Le dernier changement éveillé vient de nul autre que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis, qui viennent de remplacer le terme « femmes enceintes » dans leurs dernières directives sur les vaccins par le terme « personnes enceintes » favorable aux LGBT.

    Selon le CDC, les hommes peuvent tomber enceintes et accoucher tout comme les femmes. L'agence fédérale affirme que le changement était nécessaire pour rendre ses opérations plus « neutres en matière de genre ».

    Le CDC supprime également des mots comme « elle », « elle » et « mère » des nouveaux guides, car ceux-ci semblent également offenser les employés du CDC ou quiconque dirige la principale entité de santé publique du pays.

    (Connexe : Il y a quelques mois, le CDC a dévoilé une nouvelle campagne publicitaire bizarre intitulée "Wild to Mild" qui encourage le vaccin contre la grippe chez les enfants et les femmes enceintes.)

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  30. Un psychothérapeute critique le CDC pour ses changements anti-femmes
    Commentant ces changements, la psychothérapeute et directrice de Genspect, Stella O'Malley, a déclaré aux médias que cette décision créait un dangereux « précédent ».

    "Il n'était pas nécessaire de remplacer le mot "femme" par les mots "personne enceinte"", a-t-elle déclaré. "En matière médicale, il faut privilégier la clarté et la simplicité pour que chacun puisse comprendre de quoi il s'agit."

    « Certaines personnes, en particulier celles pour qui l'anglais n'est pas la langue maternelle, ne comprendront pas ce que l'on entend par « personnes enceintes », mais elles comprendraient facilement « mères ». C'est un exemple épouvantable de la manière dont la politique interfère de plus en plus avec la médecine. »

    L'Association des médecins et chirurgiens américains (AAPS) a dit à peu près la même chose, accusant le CDC de « se recroqueviller face aux forces politiques ». La directrice exécutive du groupe, le Dr Jane Orient, a déclaré que ceux qui poussent à de tels changements constituent une « petite minorité » qui est « très influente ».

    "[Ils] essaient de changer de langage, à la manière d'Orwell, pour forcer l'acceptation d'une absurdité", a-t-elle déclaré.

    "Toutes les personnes enceintes sont des femmes. Un homme trans est une femme qui essaie de modifier son corps pour ressembler à celui d'un homme. Elle met en danger la santé de son bébé si elle prend de la testostérone. Le CDC devrait mettre en garde à ce sujet."

    De l’autre côté de l’Atlantique, au Royaume-Uni, le National Health Service (NHS) fait fondamentalement la même chose que le CDC en remplaçant toute terminologie spécifique au genre dans son attirail.

    Le NHS a récemment déployé un nouveau système informatique de 450 millions de livres sterling (environ 567 millions de dollars) qui permet uniquement aux sages-femmes d'enregistrer « l'identité de genre » des nouveau-nés plutôt que leur sexe biologique réel.

    De nombreuses sages-femmes au Royaume-Uni ont rendu public la mise en œuvre du nouveau système pour avertir que ce que fait le NHS est tout simplement absurde.

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  31. "Le résumé de sortie de l'hôpital est un document important pour que le bébé reçoive les meilleurs soins de la part de toute l'équipe du NHS", aurait déclaré l'une de ces sages-femmes.

    "Nous parlons ici de nouveau-nés et de très jeunes bébés. Qu'est-ce que l'identité de genre en tant que concept a à voir avec eux ? C'est ridicule."

    Cette même sage-femme a ajouté qu'en raison du changement, il existe désormais un « climat de peur » parmi les sages-femmes à qui on ordonne également d'utiliser une terminologie bizarre comme « parent biologique » plutôt que mère, et « allaitement » plutôt que « allaitement maternel ».

    Des informations plus détaillées sur ce sujet peuvent être trouvées sur CDC.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Modernité.actualités
    NaturalNews.com
    Modernité.actualités

    https://www.naturalnews.com/2023-12-14-cdc-guidance-replaces-pregnant-women-with-people.html

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  32. Les médias britanniques ADMETTENT qu’une personne sur quatre ayant reçu des vaccins à ARNm contre la COVID-19 a subi une « réponse immunitaire involontaire »


    14/12/2023
    Arsenio Toledo


    Le grand média britannique Telegraph a confirmé dans un rapport qu'une personne sur quatre a subi une « réponse immunitaire involontaire » après avoir reçu les vaccins à ARNm contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).

    Le rapport était basé sur les résultats d'une nouvelle étude publiée dans la revue scientifique britannique à comité de lecture très réputée Nature par une équipe de chercheurs de l'unité de toxicologie du Conseil de recherches médicales de l'Université de Cambridge. (En relation : DEPOP OP : un million de vaccinés contre le COVID sont morts en Angleterre au cours de l'année écoulée, contre seulement 61 000 non vaccinés.)

    La technologie derrière les vaccins à ARNm permet aux scientifiques de créer des protéines dans le corps, soi-disant sans que le système immunitaire n’attaque ces matériaux synthétisés, mais en fournissant au système immunitaire un moyen rapide de reconnaître certains virus. Cette technologie a été l’épine dorsale de la réponse vaccinale à la pandémie de COVID-19.

    L’une des façons dont les vaccins à ARNm sont censés développer un système immunitaire plus fort consiste à modifier un gène codant pour une protéine connu sous le nom d’uridine monophosphate synthase. Mais les chercheurs de Cambridge ont découvert que lorsque cette protéine est modifiée et crée un code partiellement synthétique, la machine de production de protéines dans le corps peut parfois avoir du mal avec les analogues créés.

    Cela peut provoquer un bégaiement du processus immunitaire et l’omission d’une lettre du code génétique. Le processus, connu sous le nom de frameshifting, modifie la façon dont le code est interprété car il repose sur des groupes de trois bases, appelés codons, lus dans le bon ordre.

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  33. Dans le cas des vaccins à ARNm contre la COVID-19, cela conduit à la création de nouvelles protéines que l’organisme attaque, conduisant à la « réponse immunitaire involontaire » susmentionnée. L’équipe de Cambridge a découvert que cet effet indésirable survenait chez 25 à 30 % des personnes ayant reçu les vaccins à ARNm de grandes sociétés pharmaceutiques comme Pfizer et Moderna.

    Les médias britanniques tentent toujours de minimiser l’impact des vaccins contre le COVID-19
    La nouvelle étude n’est que la dernière d’une série d’études prouvant les effets indésirables et souvent mortels de la prise des vaccins contre la COVID-19, en particulier ceux basés sur la technologie de l’ARNm.

    Malgré les reportages à ce sujet, le Telegraph fait toujours tout ce qui est en son pouvoir pour tenter de minimiser les dégâts que les vaccins peuvent causer et affirmer que les vaccins contre la COVID-19 sont généralement inoffensifs.

    Premièrement, Joe Pinkstone, correspondant scientifique du Telegraph, a affirmé que malgré les erreurs créées dans le corps par les vaccins à ARNm, "aucun effet indésirable n'a été créé".

    "Le vaccin est suffisamment bien lu pour créer une forte protection contre le coronavirus, disent les scientifiques, mais le problème du changement de cadre crée ce qui était, jusqu'à présent, un effet hors cible inconnu", a poursuivi Pinkstone dans son rapport.

    Pinkstone a même contraint James Thaventhiran, l'auteur principal du rapport, à affirmer que malgré l'étude, il n'y a aucune preuve que les vaccins à ARNm contre le COVID-19 peuvent finir par créer des « protéines indésirables » qui causent des ravages dans le corps. Ils soutiennent que tout essai sur les vaccins à ARNm contre la COVID-19 et sur d’autres produits thérapeutiques à base d’ARNm aurait permis de détecter ces problèmes dès les premiers stades.

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  34. "La recherche a montré sans aucun doute que la vaccination par ARNm contre le COVID-19 est sûre", a affirmé Thaventhiran. "Des milliards de doses des vaccins à ARNm Moderna et Pfizer ont été livrées en toute sécurité, sauvant des vies dans le monde entier."

    Regardez cette vidéo de Martin Brodel alors qu'il rapporte et commente le rapport explosif du Telegraph concernant le nombre de personnes touchées par les vaccins contre la COVID-19.

    Cette vidéo provient de la chaîne Martin Brodel sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires connexes:

    La contamination de l’ADN par les injections de COVID pourrait expliquer l’augmentation des cancers, des caillots et des maladies auto-immunes.

    Si vous avez été vacciné, des études montrent que vous êtes plus susceptible de souffrir de maladies de l'oreille, de troubles sanguins et de perte de cheveux.

    Le syndrome des protéines de pointe est TOUJOURS en PLEIN EFFET 2 ans plus tard – et pourtant la plupart des masses injectées n'ont aucune idée de ce qui leur arrive.

    Les données du gouvernement britannique révèlent que les jeunes MEURENT du cancer à un rythme « explosif », après les années de COVID et la campagne de vaccination.

    DOUBLE PROBLÈME : Des études montrent un risque élevé d’accident vasculaire cérébral chez les patients qui ont reçu simultanément les vaccins contre la grippe et le COVID-19.

    Les sources incluent :

    Expose-News.com
    Telegraph.co.uk
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-12-14-british-media-covid-vaccines-unintended-immune-response.html

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  35. AVERTISSEMENT DE LA FDA : Deux médicaments antiépileptiques populaires ont un effet secondaire potentiellement MORTEL


    14/12/2023
    Olivia Cook


    La Food and Drug Administration (FDA) avertit que les médicaments anticonvulsivants populaires, le lévétiracétam et le clobazam, peuvent provoquer une réaction d'hypersensibilité grave qui peut mettre la vie en danger s'ils ne sont pas diagnostiqués et traités rapidement.

    Cette réaction, connue sous le nom de « réaction médicamenteuse avec éosinophilie et symptômes systémiques » (DRESS), peut commencer par une éruption cutanée, mais peut rapidement entraîner des lésions des organes internes ou la mort. La réaction peut inclure d’autres symptômes, tels que de la fièvre, un gonflement des ganglions lymphatiques ou des lésions du cœur, des reins, du foie, des poumons ou du pancréas.

    Les avertissements concernant DRESS doivent désormais être ajoutés aux « informations de prescription » du lévétiracétam et du clobazam, ainsi qu'aux « guides de médicaments pour les patients ».

    L'utilisation du lévétiracétam a été approuvée par la FDA seule ou avec d'autres médicaments en 1999 pour contrôler divers symptômes d'épilepsie tels que les crises myocloniques, les crises partielles et les crises tonico-cloniques chez les adultes et les enfants. Les effets secondaires courants associés au lévétiracétam comprennent la confusion, une somnolence extrême, une perte d'équilibre ou de coordination et une agressivité ou une irritabilité inhabituelle.

    Le clobazam, approuvé pour la première fois en Australie en 1970, puis commercialisé pour l'épilepsie une décennie plus tard en 1984, est un traitement d'appoint approuvé pour les crises de conscience généralisées tonico-cloniques, myocloniques et focales. L'utilisation du clobazam n'a été approuvée aux États-Unis qu'en 2011, date à laquelle son utilisation a été approuvée comme type de benzodiazépine, un médicament dépresseur qui soulage les spasmes musculaires et réduit les convulsions. (Connexe : ÉTUDE : Ces médicaments sur ordonnance peuvent augmenter votre risque de dépression.)

    La FDA a noté que le DRESS et d'autres réactions cutanées graves signalées étaient généralement associées uniquement au clobazam et non à d'autres benzodiazépines.

    Les cas graves de DRESS pourraient conduire au suicide

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  36. Des cas graves de DRESS liés au lévétiracétam et au clobazam pourraient entraîner des comportements et des idées suicidaires, en particulier si l'utilisation du clobazam est associée à des opioïdes, des analgésiques ou des médicaments contre la toux contenant des benzodiazépines.

    Une étude cumulative menée par la FDA a révélé 32 cas graves associés à l'utilisation du lévétiracétam – trois aux États-Unis et 29 à l'étranger – jusqu'en mars. Dans tous les cas, les patients ont été hospitalisés et ont reçu des soins médicaux. Dans deux cas, les patients sont décédés. Dans 25 cas sur 29, les symptômes DRESS se sont améliorés ou ont disparu lorsque le traitement par lévétiracétam a été interrompu.

    La FDA a également découvert 10 cas graves liés au clobazam – un aux États-Unis et neuf à l’étranger – jusqu’en juillet 2023. Dans les 10 cas, les patients ont été hospitalisés et ont reçu un traitement médical. Aucun décès n'a été signalé. Les symptômes DRESS ont disparu dans tous les cas lorsque les patients ont arrêté de prendre du clobazam.

    "Nous avons déterminé qu'il existait des preuves raisonnables que le lévétiracétam et le clobazam étaient la cause du DRESS dans ces cas, sur la base du moment où ces événements se sont produits après la réception des médicaments et de l'ordre dans lequel ils se sont produits. La plupart des cas pour lesquels des informations sur l'arrêt étaient disponibles ont rapporté que les symptômes du DRESS se sont améliorés lorsque les médicaments ont été arrêtés", a indiqué l'agence.

    "Les professionnels de la santé doivent être conscients qu'une reconnaissance rapide et un traitement précoce sont importants pour améliorer les résultats du DRESS et réduire la mortalité. Le diagnostic est souvent difficile car les premiers signes et symptômes, tels que la fièvre et l'enflure des ganglions lymphatiques, peuvent être présents sans signe d'éruption cutanée", précise le rapport. » a souligné la FDA.

    L'agence a noté que le DRESS peut se développer deux à huit semaines après le début du traitement et que les symptômes et l'intensité peuvent varier considérablement. Il peut également être confondu avec d'autres syndromes de réaction médicamenteuse, comme le syndrome de Stevens-Johnson et la nécrolyse épidermique toxique.

    Regardez la vidéo suivante pour en savoir plus sur les effets secondaires d'Onfi, la marque de clobazam vendue aux États-Unis.

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  37. Cette vidéo provient de la chaîne Daily Videos sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires connexes:

    N'OUBLIEZ JAMAIS : Des études scientifiques truquées par Pfizer ont encouragé l'utilisation hors AMM de son médicament contre l'épilepsie, Neurontin, afin d'atteindre ses objectifs de vente.

    MÉDICAMENTS DANGEREUX : Les médicaments pharmaceutiques deviennent tellement contaminés que le ministère de la Défense demande des tests extérieurs.

    Les médicaments antiépileptiques n'ont AUCUNE place dans les traitements contre la maladie d'Alzheimer : une étude révèle qu'ils entraînent des séjours hospitaliers plus longs chez les patients.

    Les médecins « trahissent » le public en prescrivant des médicaments sur ordonnance mortels et addictifs.

    Les sources incluent :

    TheEpochTimes.com
    NCBI.NLM.NIH.gov
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-12-14-popular-antiseizure-drugs-potentially-deadly-side-effect.html

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  38. Poursuites pour information sur l'interdiction de l'ivermectine et de l'hydroxychloroquine


    15 décembre 2023
    par Dr. Peter F. Mayer


    Les Esont un certain nombre d'études. Qui ont montré l’efficacité de l’ivermectine et de l’hydroxychlorquine (HCQ) pour le traitement des infections corona. Ils furent néanmoins interdits. Une organisation légale à but non lucratif appelée America First Legal (AFL) tente actuellement d'obtenir les raisons de l'interdiction de ces médicaments auprès des autorités responsables en intentant des poursuites.

    Selon le poursuite, l'AFL a déposé une demande en vertu de la Freedom of Information Act (FOIA) auprès du ministère de la Santé et du Ministère de la Santé. Human Services (HHS) et la FDA pour des informations sur le médicament antipaludique HCQ du 1er mars au 1er septembre 2020. L'AFL a reçu confirmation des deux autorités que sa demande avait bien été reçue.

    En septembre 2022, l'AFL a soumis des demandes FOIA similaires aux mêmes autorités pour obtenir des informations sur l'ivermectine – un médicament antiparasitaire populaire – et a également reçu la confirmation que les demandes avaient été reçues, ainsi que les numéros de suivi, selon un communiqué de presse de l'AFL.

    L'AFL, une organisation à but non lucratif, voulait savoir quand et pourquoi des responsables gouvernementaux, dont le Dr. Anthony Fauci, l'ancien directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, a découragé et supprimé l'utilisation de l'HCQ et de l'ivermectine pour traiter le COVID-19. Aucune des deux autorités n’a accédé à ces demandes.

    "La COVID-19 a révélé que l'agence de santé publique était hautement politisée et scandaleusement incompétente. À ce jour, la question de savoir pourquoi les bureaucrates ont supprimé l’HCQ et l’ivermectine reste sans réponse. En intentant cette action en justice, l'AFL a fait un premier pas vers la découverte de la vérité et la responsabilisation de ceux qui ont refusé aux patients l'accès à ces médicaments potentiellement bénéfiques. Les Américains ont le droit de savoir si la prise de décision a été motivée par les sentiments politiques des responsables gouvernementaux de gauche à l'égard de l'ancien président Trump et non par la science », a déclaré Reed D. Rubinstein, avocat principal et chef du département de surveillance et d'enquête de l'AFL. , dans un e-mail adressé à Epoch Times.

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  39. En septembre, la Cour d'appel du 5e circuit a rétabli une action en justice contre le HHS et la FDA qui avait été déposée par trois médecins, qui a affirmé que la FDA avait outrepassé son autorité lorsqu'elle a lancé une campagne anti-ivermectine en 2021 mettant en garde contre la prise de ce médicament.

    Selon le procès, 18 mois après le début de la pandémie, la FDA a publié une mise à jour informelle auprès des consommateurs déconseillant l'utilisation de l'ivermectine pour prévenir et traiter le COVID-19. Elle a ensuite publié un document destiné aux animaux sur le COVID-19 et l'ivermectine, ainsi que quatre publications en ligne - une sur son site Internet et trois sur les réseaux sociaux - avec une image d'un cheval. Cette campagne s'est également déroulée en Europe, presque tous les grands médias ont publié des articles sur l'ivermectine comme un « vermifuge pour chevaux ». Récemment encore, lors de la remise du « Golden Board », le laudateur du patron de Servus TV, Ferdinand Wegscheider, l'épidémiologiste Gerald Gartlehner, a diffusé de fausses informations sur l'ivermectine.

    Cependant, l'interdiction de facto du traitement par antibiotiques de la pneumonie bactérienne qui l'accompagne a causé des dommages encore plus graves à la santé. La pneumonie bactérienne qui accompagne l’infection virale entraîne un essoufflement, qui a été « traité » par une ventilation invasive forcée au lieu d’antibiotiques, dont un pourcentage élevé s’est soldé par la mort. Il serait encore plus important de clarifier le contexte de cette situation et qui a pris l'initiative de ces mesures néfastes pour la santé.

    L'ivermectine possède au moins 15 mécanismes d'action anticancéreux

    La FDA admet accidentellement l’efficacité de l’ivermectine

    Pour la Journée mondiale de l’ivermectine le 23 juillet : une étude montre une réduction de 92 % des décès dus au Covid

    Différence dramatique grâce à l'ivermectine en Afrique : 31 pays l'utilisent et 22 ne l'utilisent pas

    L’interdiction du traitement de la pneumonie avec des antibiotiques en 2020 a provoqué des maladies et des décès

    https://

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  40. Essai clinique avec le vaccin à ARNm-RSV : 66 rhumes évités avec 5 337 effets secondaires


    16 décembre 2023
    par Dr. Peter F. Mayer


    L’industrie pharmaceutique est en train de sécuriser des personnes comme bioréacteurs pour ses préparations vaccinales. Malgré le nombre massif et sans précédent de blessures causées par la vaccination contre le Covid et malgré une efficacité au mieux faible mais surtout négative et des troubles évidents du système immunitaire, les gens continuent sans vergogne. Moderna a publié les résultats d'un essai clinique sur le RSV, un virus qui provoque le rhume et l'écoulement nasal.

    On peut se demander qui voudrait réellement se faire vacciner contre le rhume et le rhume, mais il y a des partisans pour une telle chose. Du moins dans l’industrie pharmaceutique et les différentes autorités sanitaires. C'est pourquoi Moderna a mené un essai clinique auprès de 35 541 participants. Les résultats viennent d'être publiés par Eleanor Wilson et al dans le NEJM favorable aux vaccins sous le titre « Efficacité et Sécurité d'un vaccin RSV PreF à base d'ARNm chez les personnes âgées".

    Dans un résumé plutôt brillant, les résultats en fait assez étonnants sont résumés comme suit :

    « Au total, 35 541 participants ont été affectés au vaccin à ARNm-1345 (17 793 participants) ou à un placebo (17 748). La durée médiane de suivi était de 112 jours. Des analyses primaires ont été effectuées lorsqu'au moins 50 % des cas attendus de maladies des voies respiratoires inférieures associées au RSV étaient survenus. L’efficacité du vaccin était de 83,7 % contre les maladies des voies respiratoires inférieures associées au VRS avec au moins deux signes ou symptômes et de 82,4 % contre les maladies présentant au moins trois signes ou symptômes. L'efficacité du vaccin était de 68,4 % contre les maladies respiratoires aiguës associées au RSV. Une protection a été observée contre les deux sous-types de RSV (A et B) et était généralement équivalente dans les sous-groupes définis par l'âge et les comorbidités. Les participants du groupe ARNm-1345 ont présenté davantage d'événements indésirables locaux (58,7 % contre 16,2 %) et systémiques (47,7 % contre 32,9 %) ; la plupart des réactions étaient légères à modérées et transitoires. Des événements indésirables graves sont survenus chez 2,8 % des participants de chaque groupe d’étude.

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  41. Mais comme toujours, les détails nous en disent bien plus. Tout d'abord, il convient de noter que les chiffres indiquent une réduction du risque relatif, car 29 cas d'infections sont survenus dans le groupe vacciné et 95 dans le groupe placebo, la différence est donc de 66. (Source des données détaillées.)

    Si vous calculez la réduction absolue du risque, vous obtenez :

    29/17 793 = 0,163 % dans le groupe d'intervention et
    95/17 748 = 0,535 % dans le groupe placebo
    la réduction du risque absolu est donc ARR

    0,535 – 0,163 = 0,372 %
    La réduction du risque relatif est de 1 – 0,163/0,535 = 68,4 %

    Résultats en détail
    La partie la plus intéressante est la suivante :

    Les participants du groupe ARNm-1345 ont présenté plus d'effets indésirables locaux (58,7 % contre 16,2 %) et systémiques (47,7 % contre 32,9 %) que les participants du groupe placebo ; la plupart des réactions étaient légères à modérées et transitoires.

    La vaccination contre le RSV en valait-elle la peine pour les participants à l’étude ? Considérez : comme le montre la figure ci-dessus, le vaccin a évité 66 cas de VRS sur 17 793 personnes vaccinées. Cependant, 5 337 événements indésirables de plus sont survenus dans le groupe vacciné par rapport au groupe placebo.

    Les événements indésirables étaient divers et allaient d'événements insignifiants tels qu'un léger mal de tête à des événements inquiétants tels qu'un gonflement des ganglions lymphatiques des aisselles, de la fièvre, des vomissements, etc.

    Dans l’ensemble, le sous-groupe vacciné a subi 5 337/66 = 81 événements indésirables pour chaque cas de VRS évité (rappelez-vous : le vaccin n’a évité que 66 cas).

    Il y a donc eu 81 événements indésirables évités par cas de VRS.

    Est-ce que 81 événements indésirables par cas de VRS, essentiellement un léger rhume, sont une bonne affaire ? Pas pour moi!

    Et si on prévenait des maladies plus graves ? Comme le montre le tableau d'efficacité du vaccin ci-dessous, le vaccin contre le VRS a évité 17 cas de VRS-LRTD avec >= trois symptômes.

    Attention, il ne s'agissait pas d'hospitalisations, mais simplement de cas de VRS présentant plus de symptômes que d'habitude.

    Par exemple, si le patient présente 1) de la toux, 2) une fièvre supérieure à 37,7 degrés Celsius et 3) une production d'expectorations, cela répondrait à la définition ci-dessus :

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  42. Combien d’événements indésirables les participants à l’étude vaccinés contre le RSV devraient-ils subir pour prévenir 17 de ces cas ? Le calcul donne : 5 337 événements indésirables dus au vaccin empêchant 17 cas de RSV-LRTD avec >= 3 symptômes, ou 5 337/17 = 313 événements indésirables par maladie à RSV évités avec au moins trois symptômes.

    Les 17 cas ci-dessus étaient-ils tous liés à de la fièvre ? L’étude Moderna reste muette sur ce point, mais en cas de doute, on peut supposer que tous les cas évités mentionnés ci-dessus avaient de la fièvre.

    Combien de vaccinations ont entraîné une fièvre provoquée par le vaccin ? Des informations utiles sont disponibles à la page 53 :

    Pour prévenir environ 17 cas de VRS avec fièvre supérieurs à la moyenne, le sous-groupe vacciné a dû subir 267 cas de fièvre induite par le vaccin.

    Est-ce un rapport risque/bénéfice acceptable ? Encore une fois : la réduction du risque absolu est de 0,372 %. Mais pas contre une maladie grave ou la mort, mais simplement contre un rhume !

    Nous ne savons encore rien des dommages à long terme causés par la stimulation des cellules du corps pour produire un composant viral. Nous ne savons pas non plus quand cette production prendra fin. Avec les préparations d’ARNm Covid, on sait que cela dure au moins deux ans.

    Nouvelle normalité : la déclaration est désormais obligatoire en Allemagne en raison du vaccin contre le virus RSV
    Vaccin Pfizer RSV : effets secondaires potentiellement mortels chez 1 personne vaccinée sur 500
    Cause des arrêts maladie massifs dus à la grippe et au VRS : affaiblissement ciblé du système immunitaire ?

    https://

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  43. Un journaliste vacciné obligatoire décède subitement à l’âge de 33 ans


    15 décembre 2023
    par Thomas Oysmüller


    Un jeune journaliste canadien connu pour ses positions extrêmes en matière de vaccination contre le Covid est décédé très jeune.

    Le journaliste canadien Ian Vandaelle, connu pour ses positions polarisantes, est décédé à l'âge de 33 ans seulement. Sa partenaire Stephanie Hughes l'a fait savoir via une publication sur les réseaux sociaux.

    Décédé subitement

    Vandaelle a travaillé comme journaliste économique, journaliste et rédactrice au Financial Post du Canada. Il a auparavant travaillé comme producteur chez BNN Bloomberg. Sa mort fait actuellement sensation car il avait promu de manière très radicale le traitement contre le Covid et défendait des positions extrêmes. Certains parlent désormais de « karma », il vaudrait mieux souhaiter ses condoléances aux personnes endeuillées.

    On ne sait rien de plus précis sur la cause du décès. SNBC - un média d'entreprise - rend compte du décès et de sa carrière, mais pas un mot sur le contexte de sa mort extrêmement jeune.

    Le 18 novembre, Vandaelle a été hospitalisé et le 5 décembre, il a été déclaré neurologiquement mort et le système de réanimation a été retiré. Quatre jours avant son admission à l'hôpital, il a partagé sa petite amie sur Twitter/X.

    Je ne suis pas allé sur Twitter depuis un moment car mon partenaire, @IanVandaelle, est à l'hôpital depuis le 18 novembre.

    C'est le cœur lourd aujourd'hui que je vous dis qu'il a été déclaré neurologiquement décédé cette semaine et qu'il a été placé sous assistance respiratoire ce matin. Il avait 33 ans. pic.twitter.com/OvoVjvU8l8

    — Stéphanie Hughes (@StephHughes95) 5 décembre 2023

    Toujours sur Bloomberg il a fait la promotion de la « vaccination » dans un commentaire en mars 2021. C'est la seule façon de lutter économiquement contre le Covid-19.

    Sur Twitter, Vandaelle était connue comme une partisane du certificat Covid et s’est prononcée en faveur du licenciement des personnes non vaccinées. Selon le journaliste, cela est éthiquement correct, expliquait-il en août 2021.

    Il a également appelé à plusieurs reprises à davantage d’incitations aux injections et s’est prononcé en faveur des règles 2G dans la vie publique.

    Malheureusement, on ne sait pas si Vandaelle subira une autopsie pour déterminer la cause du décès.

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  44. Le post du Canadian Independent sur la mort du jeune journaliste a été vu plus d'un demi-million de fois et est donc controversé. Certains parlent de leurs propres blessures causées par la vaccination et sont heureux d'y avoir survécu, d'autres critiquent le fait que la mort soit exploitée à des fins anti-vax.

    Un journaliste canadien HSH de 33 ans qui a fortement fait la promotion du vaccin Covid-19, a plaidé en faveur des passeports vaccinaux et a renvoyé ceux qui ont refusé le vaccin est décédé après avoir été hospitalisé et « déclaré mort neurologiquement ».

    Ian Vandaelle, un homme d'affaires canadien de 33 ans… pic.twitter.com/0npsspUdeV
    — The Canadian Independent (@canindependent) 7 décembre 2023

    L’instrumentalisation qui se produit sans aucun doute pourrait être évitée relativement facilement en publiant des informations générales sur la mort. Mais tant que cela ne se produit pas, il reste de la place pour la spéculation, ce qui se fait inévitablement sentir à l'ère d'Internet.

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  45. Le vaccin Covid-19 : pourquoi les données manquent de force persuasive. Conscience et perceptions du Covid déterminées par la « partisanerie »

    Un sondage sur les vaccins KFF révèle un prédicteur clé de l’identité partisane.


    Par John Leake
    Recherche mondiale,
    15 décembre 2023


    Un récent sondage KFF sur les perceptions et les attitudes à l'égard du COVID-19 et d'autres vaccins dit tout dans sa signature : "La partisanerie reste un indicateur clé des opinions sur le COVID-19, y compris Il est prévu d'obtenir le dernier vaccin contre la COVID-19."

    Le point clé à retenir :

    À l’image des divergences partisanes de points de vue sur les vaccins, il existe une division partisane persistante sur les points de vue généraux sur le COVID-19, le nombre actuel de cas aux États-Unis, la question de savoir s’ils pourraient être malades du COVID et les changements de comportement – ​​y compris la volonté de passer un test de diagnostic. quand il est malade. Les démocrates sont plus susceptibles de déclarer avoir changé leurs comportements en raison des récentes nouvelles faisant état d’une augmentation du nombre de cas de COVID-19. Plus de la moitié des démocrates (58 %) déclarent avoir récemment modifié leur comportement pour être plus soucieux du COVID, contre 16 % des républicains. Les démocrates (19 %) sont également plus de deux fois plus susceptibles que les indépendants (8 %) et les républicains (9 %) de déclarer qu'au cours des trois derniers mois, ils ont eu des symptômes qu'ils pensaient pouvoir être liés au COVID-19 et ont donc pris un test de dépistage du COVID. -19 tests diagnostiques. La plupart des démocrates (77 %) affirment également qu’une nouvelle vague d’infections au COVID-19 frappe actuellement les États-Unis, tandis que la moitié des républicains (51 %) ne sont pas d’accord.

    Les résultats du sondage sont une preuve frappante de quelque chose que les philosophes et les anthropologues observent depuis longtemps : les faits et les données à eux seuls n’ont que peu de force persuasive s’ils remettent en question des croyances de longue date, des attachements émotionnels et des identités sociales.

    Nous, les humains, sommes hyper-sociaux et tribaux. Pendant la majeure partie de la préhistoire et de l’histoire, la cohésion était essentielle à la survie d’une tribu dans un monde où différentes tribus se disputaient des ressources rares. L'autorité intellectuelle sur le monde – à la fois naturel et surnaturel – résidait dans une petite classe sacerdotale qui prenait les décisions sur la meilleure marche à suivre lorsque la tribu était menacée.

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  46. Ainsi, ouvrir son esprit à une nouvelle façon de voir le monde – un processus qui implique une volonté de considérer les données émergentes – est toujours une expérience difficile et douloureuse. Pour ce faire, il faut reconnaître que nous nous sommes trompés sur certaines choses, que nous avons par conséquent pris de mauvaises décisions et investi notre temps et notre énergie dans de mauvaises choses. Personne n’aime faire ça.

    Ce qui nous pousse à changer de point de vue, c’est lorsque nous souffrons de la douleur comme conséquence directe et facilement identifiable de nos fausses croyances, c’est-à-dire lorsque la douleur de s’accrocher à des croyances erronées dépasse la douleur de les abandonner.

    J’y pense souvent lors de ma lecture quotidienne de la Newsletter de Steve Kirsch, que je recommande vivement. Par habitude de longue date, Steve est profondément attaché aux données, élément déterminant pour façonner sa vision de la réalité.

    Malheureusement, dans son vaillant effort pour faire triompher la réalité factuelle, il se retrouve souvent à s’adresser à des institutions, des groupes et des individus pour lesquels les données qu’il présente n’ont aucune force persuasive. Leurs attachements et allégeances les empêchent d’y réfléchir.

    https://www.globalresearch.ca/why-data-lacks-persuasive-force/5843399

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  47. Lauterbach admet le mensonge de 2G


    15 décembre 2023
    par Thomas Oysmüller


    Vous ne croyez même plus à vos propres mensonges. Karl Lauterbach a admis jeudi que la 2G n'avait aucun fondement. Mais cela n’entraîne aucune conséquence.

    « Nous avons besoin de la 2G rapidement, à l’échelle nationale et avec des contrôles et des sanctions stricts et réguliers (sic !). C’est la seule façon de reprendre rapidement le contrôle», écrivait Karl Lauterbach le 8 novembre 2021. Avec la 2G, d’innombrables personnes non vaccinées seraient contraintes de se faire vacciner : l’Autriche, par exemple, l’a prouvé, expliquait-il ce jour-là.

    Loterie des vaccins

    Quelques jours auparavant, il avait déclaré que « la 2G serait la seule option ». Fin septembre 2021, Lauterbach jure : « La vaccination protège de manière fiable contre la mort due au Covid. Même les infections, malgré la vaccination, n’y changent rien. Par conséquent, les événements 2G sont ceux où personne ne meurt malgré une éventuelle infection. La 3G ne peut pas faire cela." À la mi-septembre 2021, Lauterbach souhaitait "une 2G stricte, même sur le lieu de travail."

    Pendant des mois, Lauterbach a réclamé un « 2G » global en Allemagne – une vaccination obligatoire de facto et l’exclusion du public de ceux qui ne voulaient pas suivre. Mais depuis que le ministre allemand de la Santé continue de dire aux masses que la « vaccination » aurait sauvé des millions de vies, il ne s’est bien sûr jamais excusé pour sa politique.

    Jeudi, cependant, il a fait un aveu sur X - peut-être involontairement. L'experte nationale en virus Isabella Eckerle a commenté le rhume comme suit : « J'espère que nous pourrons bientôt obtenir un vaccin qui protège contre l'infection. Sinon, le Covid restera une sorte de loterie pour des symptômes plus longs. Il y a également beaucoup trop peu de recherches en cours sur LongCovid jusqu’à présent. »

    Bien sûr, vous pouvez le dire plus clairement. Mais quand même : Lauterbach admet que l’agitation contre les personnes non vaccinées était basée sur un mensonge.

    Conséquences ? Ils ne sont nulle part en vue. L'United Press ne voit pas le scandale - à l'exception de Tim Röhn du Welt. Il écrit : "L'aveu selon lequel la 2G, la vaccination obligatoire et la promesse de protéger grand-mère et grand-père avec une pincée sont basés sur un mensonge est déroutant et tardif, mais voilà."

    Ce n'est pas beaucoup. Il manque une question sur les conséquences. Ce serait probablement la question la plus importante.

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  48. Le vaccin à ARNm de Pfizer produit des « protéines aberrantes », les experts s'inquiètent des événements d'auto-immunité


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 16 DÉCEMBRE 2023 - 05H00
    Rédigé par Marina Zhang via The Epoch Times


    Il peut y avoir environ 1 chance sur 10 que les vaccins Pfizer à ARNm contre la COVID-19 ne génèrent pas de protéines de pointe mais autre chose, selon une nouvelle étude de Cambridge, soulevant des inquiétudes quant à la réponse auto-immune parmi les experts.

    Les auteurs de l’étude ont découvert que 8 % du temps, les vaccins Pfizer à ARNm contre la COVID-19 sont mal traduits, entraînant la formation de protéines involontaires.

    "Notre travail présente à la fois une préoccupation et une solution pour ce nouveau type de médecine", a déclaré l'auteur principal Anne Willis dans le communiqué de presse de l'étude.

    On peut considérer les vaccins à ARNm comme un ensemble d’instructions utilisées pour fabriquer des protéines de pointe. Une fois que le vaccin pénètre dans la cellule, les ribosomes interprètent les instructions de l’ARNm pour fabriquer des protéines, comme les protéines Spike.

    Si les instructions sont mal interprétées, des erreurs dans la protéine finale peuvent être produites. Certaines erreurs sont mineures, comme une faute d’orthographe d’un mot dans un texte, tandis que d’autres sont plus préjudiciables.

    Cette interprétation erronée est appelée un décalage de cadre, qui se produit lorsqu'une ou deux bases d'ARNm sont ignorées. Étant donné que les bases d’ARNm sont traduites par groupes de trois, sauter une base affecterait toutes les séquences en aval, conduisant à la formation de nouvelles protéines.

    "Le changement de cadre entraîne la production de protéines multiples, uniques et potentiellement aberrantes", a écrit l'immunologiste Jessica Rose dans son article Substack discutant de l'étude.

    Alors que la plupart des ARNm naturels contiennent de l’uridine, les vaccins à ARNm Pfizer utilisent de la N1-méthylpseudouridine. Cela rend la séquence d’ARNm plus résistante et moins sujette à la dégradation par le système immunitaire. Le choix de Pfizer pour des bases d’ARNm moins courantes est également la raison pour laquelle certains scientifiques appellent les vaccins à ARNm ARN modifié, ou modRNA.

    En mettant en œuvre des modifications supplémentaires dans les séquences d’ARNm, les auteurs ont pu réduire davantage les protéines décalées.

    Bien qu'« il n'y ait aucune preuve que les protéines aberrantes générées par la vaccination Pfizer soient associées à des résultats indésirables, pour une utilisation future de la technologie de l'ARNm, il est important que « la conception des séquences d'ARNm soit modifiée » pour réduire ces changements, ont conclu les auteurs.

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  49. Parmi les vaccins testés, seul Pfizer a le problème

    Outre les erreurs de décalage de cadre, la modification de la N1-méthylpseudouridine peut également ralentir et interrompre la traduction de l'ARNm en protéine, conduisant potentiellement à des séquences protéiques plus courtes que prévu.

    "Dans des circonstances idéales, les ribosomes traduisent l'ARNm du vaccin en protéine S [spike]... Si la machine cellulaire (ribosomes) 'détecte' la différence [entre l'uridine normale et la N1-méthylpseudouridine], cela peut entraîner un blocage ou une erreur de traduction, " Le Dr Adonis Sfera, professeur clinicien adjoint de médecine à l'Université de Loma Linda, a écrit à Epoch Times par courrier électronique.

    Dans l’étude, les chercheurs ont d’abord inoculé à des souris les vaccins Pfizer et AstraZeneca. Ils ont constaté que les vaccins Pfizer étaient significativement plus susceptibles de produire des protéines décalées.

    Les chercheurs ont ensuite comparé les vaccinations chez l’homme, en comparant 21 participants ayant pris le vaccin Pfizer à 20 participants ayant pris le vaccin AstraZeneca. Aucun des vaccinés AstraZeneca n’a eu de réaction immunitaire aux protéines provenant d’erreurs de traduction, mais environ un tiers des vaccinés Pfizer l’ont fait.

    Immunité et auto-immunité mal orientées
    Les auteurs ont écrit qu’aucun des vaccinés Pfizer n’a développé d’effets indésirables, mais ils s’inquiètent des conséquences immunologiques.

    "Une immunité mal dirigée peut potentiellement être nocive", a déclaré l'immunologiste Dr James Thaventhiran, l'un des principaux auteurs de l'étude, dans le communiqué de presse. "Les réponses immunitaires hors cible doivent toujours être évitées."

    Les auteurs n’ont pas défini plus précisément l’immunité mal dirigée, même si elle décrit généralement une réaction dans laquelle le système immunitaire de l’organisme cible la mauvaise chose.

    Dans ce cas, cela peut signifier qu’au lieu d’entraîner le corps à combattre les protéines de pointe, il est plutôt entraîné à combattre les protéines d’origine anormale, comme le souligne la biologiste nutritionnelle norvégienne Marit Kolby dans son article sur X.

    De plus, certains experts de la santé craignent que ces protéines uniques puissent augmenter le risque de développer des maladies auto-immunes.

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  50. Le professeur de biologie moléculaire Vladimir Uversky, PhD, de l'Université de Floride du Sud et le médecin Dr Alberto Rubio-Casillas ont conclu que l'auto-immunité peut survenir si les cellules immunitaires commencent à attaquer les cellules produisant ces protéines aberrantes.

    "Une protéine mal traduite peut [également] ressembler à une protéine humaine et déclencher la formation d'anticorps", a ajouté le Dr Sfera.

    L'auto-immunité se produit lorsque le système immunitaire attaque les tissus du corps. Cela peut survenir plusieurs années avant que les symptômes n’apparaissent.

    Les résultats d’une étude menée par l’immunologiste Aristo Vojdani suggèrent que les protéines Spike ont le potentiel de provoquer des réactions croisées – ce qui signifie que le corps cible accidentellement ses propres tissus dans une lutte contre d’autres agents pathogènes – avec plus de 20 tissus humains différents, car ils partagent des similitudes structurelles avec les protéines humaines.

    La production de ces protéines et peptides aberrants peut également augmenter les risques de cancer d’une personne, ont ajouté M. Uversky et le Dr Rubio-Casillas dans un e-mail adressé à Epoch Times.

    Il a été démontré que les cellules de mélanome induisent des protéines déphasées pour échapper à la détection immunitaire.

    "À notre avis, il est possible que lors de la traduction de l'ARNm des vaccins COVID-19, les protéines aberrantes générées lors du changement de cadre puissent activer des mécanismes de survie imitant ceux développés par les cellules cancéreuses pour échapper à la surveillance immunitaire", ont ajouté les deux chercheurs.

    Protéines inconnues dans le corps
    Les chercheurs ne connaissent actuellement pas la structure ni la séquence des nouvelles protéines formées.

    Les auteurs ont identifié dans l’étude que l’une des protéines détectées était une protéine chimérique, formée en joignant deux ou plusieurs gènes codant à l’origine pour des protéines distinctes. La protéine chimérique était structurellement similaire aux protéines humaines, ce qui pourrait induire des réponses auto-immunes.

    "Bien sûr, personne ne sait avec certitude que les observations sont liées à des dommages, mais le fait qu'elles pourraient théoriquement l'être, et le fait que les régulateurs semblent désintéressés à enquêter sur une telle possibilité, devraient être une préoccupation majeure pour tous", Dr Jonathan Engler, co. » a déclaré le président de l’équipe de conseil en santé et de rétablissement (HART) à Epoch Times. HART est un groupe britannique d’experts universitaires partageant leurs préoccupations concernant les recommandations liées au COVID-19.

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  51. « Il convient de souligner que le document a été soumis pour publication il y a près d'un an et que le travail a probablement été réalisé quelques mois auparavant. De plus, les enquêteurs n’étaient pas des universitaires de troisième ordre à temps partiel », a-t-il ajouté.

    Conception défectueuse
    Le Dr Engler a déclaré que le fait que les injections d’ARNm puissent être mal traduites est un défaut de conception. D'autres experts ne sont pas d'accord.

    "Les gens sont déterminés à faire une montagne de cette taupinière", a critiqué Edward Nirenberg, un éditeur médical, dans un article X sur l'étude.

    "Les changements de cadre sont des événements rares mais naturels, par exemple dans les infections virales... Ils donnent naissance à des produits protéiques qui peuvent également être ciblés par le système immunitaire."

    Cependant, les auteurs de l’étude ont souligné dans le communiqué de presse que la séquence synthétique d’ARNm utilisée dans le vaccin était « sujette aux erreurs ».

    Pfizer n'a pas répondu aux demandes de commentaires.

    https://www.zerohedge.com/political/pfizer-mrna-vaccine-makes-aberrant-proteins-experts-concerned-about-autoimmunity-events

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  52. Le président français Macron humilié après l’arrêt brutal d’un projet de loi douteux sur l’immigration


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 15 DÉCEMBRE 2023 - 10H15


    Le vent semble s’inverser contre les politiques d’immigration ouvertes aux frontières en Europe, les demi-mesures et les fausses solutions étant catégoriquement rejetées, même par les législateurs français.

    La France est aujourd’hui plongée dans une crise politique et le président français d’extrême gauche Emmanuel Macron a été humilié après qu’un accord longtemps recherché sur la réforme de l’immigration ait été immédiatement annulé par une décision surprise de l’Assemblée nationale, sans même avoir été débattu. Traditionnellement, lorsqu’un effort législatif d’une telle ampleur échoue de manière aussi catégorique, les membres du gouvernement impliqués dans sa rédaction sont censés démissionner.

    La défaite retentissante du gouvernement au Parlement a incité les politiciens de l’opposition à demander sa dissolution. Jordan Bardella, président du Rassemblement national de Marine Le Pen, s'est déclaré mardi sur BFMTV « prêt à assumer le rôle de Premier ministre ».

    Le projet de loi sur l'immigration a été présenté à l'origine par Macron comme un moyen de faire dérailler la montée expansive des mouvements de droite en France, qui gagnent du pouvoir à travers l'Europe sur la promesse de mettre fin à l'immigration de masse et aux politiques d'immigration illégale mises en place il y a près de dix ans. par les bureaucrates de l’UE. Les groupes conservateurs ont gagné considérablement du terrain ces dernières années, à mesure que les crimes commis par les migrants reçoivent davantage d'attention sur la scène nationale et internationale.

    Alors que l’UE nie avec véhémence que l’immigration massive entraîne une augmentation des taux de criminalité, des efforts concertés visant à dissimuler ces statistiques ont été découverts dans le passé. Plus précisément, les autorités de plusieurs pays ont supprimé le statut de migrant des rapports d'arrestation ou ont permis aux criminels de refuser facilement de révéler leur statut de migrant lors de leur arrestation. Dans certains cas, la criminalité parmi les immigrants a été dissimulée par la police et les politiciens, notamment par des gangs de violeurs organisés dans des pays comme la Suède.

    Les statistiques françaises ne fournissent pas de répartition des crimes basés sur la race ou l’origine ethnique, ni ne révèlent les origines de l’immigration. Ainsi, lorsque les responsables européens affirment qu’« il n’y a aucun lien » entre les migrants et la hausse de la criminalité, il s’agit d’un mensonge fondé sur une omission. Ils cachent souvent ces données afin de masquer toute relation.

    En revanche, les données du Danemark incluent de telles informations et révèlent que les migrants et les migrants de deuxième génération ayant la nationalité danoise ont en réalité des taux de criminalité plus élevés, y compris des cas de meurtres et d'agressions physiques, selon leur pourcentage dans la population.

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  53. La police fédérale allemande, le Bundeskriminalamt (BKA), a récemment révélé que l’immigration massive dans le pays contribuait de manière significative à la montée des crimes violents. Le nombre de crimes impliquant des citoyens allemands, y compris des doubles citoyens qui peuvent être nés ailleurs, a augmenté de 8 % en 2023, par rapport aux suspects non allemands, qui ont augmenté jusqu'à 23 %. En outre, les cas impliquant des mineurs étrangers ont considérablement augmenté de 37 pour cent.

    Ironiquement, les militants migrants affirment que la pratique consistant à supprimer le statut de migrant dans les rapports criminels contribue à masquer le profilage policier à leur encontre ; ils affirment qu'ils sont ciblés et arrêtés à un taux beaucoup plus élevé que les Européens blancs. En réalité, les migrants sont tout simplement beaucoup plus susceptibles de commettre des délits.

    Dans un aveu rare du Service statistique ministériel de la Sécurité intérieure (SSMSI), ils ont indiqué que 69 % des vols avec violence et autres crimes violents, dont les agressions sexuelles, survenus dans les transports en commun de la région parisienne d'Île-de-France étaient commis par des individus de nationalité étrangère. Il est impossible d’obtenir des rapports plus complets comme celui-ci pour l’ensemble de la France, mais ce qui se passe à Paris est probablement le reflet de la plupart des villes du pays.

    Les hommes politiques européens ont cherché à mettre l’accent sur l’opinion publique, en lui disant que l’augmentation de la criminalité qu’ils constatent quotidiennement autour d’eux est dans leur tête et qu’il n’y a pas de problème de migrants. Le jeu de l’escroquerie échoue, et de plus en plus d’Européens se joignent aux efforts conservateurs en réponse, étant le seul mouvement disposé à reconnaître le problème.

    Le projet de loi sur l'immigration de Macron était censé apaiser les inquiétudes des citoyens français, mais tout comme les projets de loi sur l'immigration parrainés par les démocrates aux États-Unis, la législation prétend aborder l'ouverture des frontières tout en facilitant en réalité l'entrée et l'exploitation illégales des étrangers dans le pays.

    Les gauchistes comme les conservateurs revendiquent une « victoire » suite à l'échec du projet de loi ; Les gauchistes revendiquent une victoire parce que le projet de loi aurait facilité l'expulsion des migrants qui commettent des crimes, ce qui, selon eux, encouragerait le « profilage racial ». De plus, le projet de loi aurait théoriquement ajouté des obstacles pour les migrants souhaitant relocaliser des membres de leur famille en France. Les gauchistes ont applaudi l'échec du projet de loi, affirmant que le fait de débattre de l'immigration était en soi une démonstration de racisme.

    Les conservateurs revendiquent une victoire parce que le projet de loi aurait facilité l’obtention de visas de travail pour les migrants, ce qui, selon eux, ne ferait qu’encourager davantage d’immigration clandestine. Et tous les migrants expulsés du pays en vertu de la nouvelle loi pourraient simplement y rentrer en quelques jours.

    En fin de compte, le projet de loi n’a jamais abordé les questions plus importantes des mouvements massifs de migrants ou de la sécurité des frontières. En outre, l’objectif principal de la législation était de diluer la croissance de l’influence conservatrice dans la politique française, de sorte que la défaite du projet de loi constitue une victoire bien plus importante pour la droite. L’establishment socialiste français est désormais en panique.

    En 2022, le parti « d'extrême droite » du Rassemblement national a remporté un succès historique aux élections législatives, multipliant presque par dix le nombre de députés et consolidant l'ascension du parti du statut marginal à l'opposition dominante.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/french-president-macron-humiliated-after-shady-immigration-bill-stopped-cold

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