9 décembre 2023
L’Association nucléaire mondiale et l’Emirates Nuclear Energy Corporation (ENEC), avec le soutien de l’Agence internationale de l’énergie atomique, « Atoms4NetZero » et du gouvernement britannique, ont lancé l’initiative « Net Zero Nuclear » une collaboration sans précédent entre les gouvernements, les dirigeants de l’industrie et la société civile avant la COP28.
Le lancement de la nouvelle campagne – par Mohamed Al Hammadi, directeur général d’ENEC, Sama Bilbao y León, directrice générale de l’Association nucléaire mondiale (WNA, World Nuclear Association), Andrew Bowie, ministre britannique du Nucléaire et des Réseaux – a eu lieu le premier matin du Symposium nucléaire mondial 2023, auquel ont participé 700 personnes de toute l’industrie mondiale. L’objectif de la campagne est de garantir que le potentiel de l’énergie nucléaire « soit pleinement réalisé en facilitant la décarbonisation des systèmes énergétiques mondiaux en promouvant la valeur de l’énergie nucléaire et en supprimant les obstacles à sa croissance », en particulier avant la COP28 qui a lieu aux Émirats arabes cette année. Il indique que la modélisation des données récentes suggère que la capacité d’énergie nucléaire doit au moins tripler d’ici 2050 pour atteindre les objectifs climatiques, ce qui nécessiterait environ 40 GW de nouveau nucléaire par an, soit environ six fois le taux de déploiement de la dernière décennie.
Lors du lancement, Al Hammadi a déclaré que la carboneutralité « ne sera pas possible sans l’énergie nucléaire » et a déclaré qu’en plus d’apporter une énergie propre jour et nuit, sa capacité à décarboniser l’industrie lourde et les transports signifiait une collaboration encore plus grande pour assurer sa croissance. « Parler, c’est bien, mais livrer, c’est encore plus grand », a-t-il ajouté. Bilbao y León a déclaré : « L’augmentation de la capacité d’énergie nucléaire à au moins trois fois sa taille actuelle nécessite la volonté politique des dirigeants du secteur de l’énergie, ainsi que la mobilisation rapide et efficace des financements nécessaires. Nous n’avons pas de temps à perdre… grâce au nucléaire carboneutre, nous espérons faciliter les mesures dont notre industrie a besoin pour croître ».
Grace Stanke , une étudiante en génie nucléaire qui passe son année en tant que Miss America à sensibiliser sur l’énergie nucléaire et les sources d’énergie zéro carbone, a déclaré que de nombreux jeunes s’étaient impliqués dans le nucléaire en raison du changement climatique, et a déclaré que les phénomènes météorologiques extrêmes signifiaient que les changements climatiques étaient une « question urgente avec laquelle nous avons grandi – nous n’avons pas peur d’agir, parce que si nous n’agissons pas aujourd’hui, nous n’aurons pas de lendemain », ajoutant qu’il était « important d’avoir cette conversation au niveau international … Commençons par le haut parce que si ça ne se passe pas partout, sur cette planète, à quoi bon ? ».
Le ministère de la Sécurité énergétique et de la Carboneutralité du Royaume-Uni a annoncé lors du lancement qu’il se joindrait à Net Zero Nuclear en tant que premier partenaire du gouvernement, Bowie rappelant qu’il ne pourrait pas y avoir de carboneutralité sans le nucléaire. Il a souligné les plans du Royaume-Uni pour de nouvelles capacités nucléaires – grandes centrales et petits réacteurs modulaires – et a souligné la nécessité d’une collaboration internationale.
Plus tôt, en ouverture de la conférence annuelle, le président de l’Association nucléaire mondiale, Bohdan Zronek, directeur de la division énergie nucléaire de la République tchèque, Bilbao y León a décrit les principaux développements dans le secteur de l’énergie nucléaire au cours de l’année écoulée, ainsi que les plans de développement d’un nouveau nucléaire dans les pays existants et nouveaux arrivants, et a également mis en évidence une série d’exemples de collaboration dans l’ensemble de l’industrie.
Le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (IAEA), Rafael Mariano Grossi, s’est également joint à eux pour la séance du matin, sur le nucléaire pour la croissance et la prospérité mondiales, qui a donné son appui à la campagne Net Zero Nuclear et a déclaré que « il est clair que nous sommes à un moment clé pour le nucléaire » avec l’extension de la durée de vie des centrales existantes ainsi que le développement de petits réacteurs modulaires et l’intérêt croissant pour le nucléaire des nouveaux pays.
Il a déclaré que l’AIEA aidait les pays sur cette voie et poursuivait également des initiatives pour favoriser l’harmonisation, ce qui aurait des avantages plus larges pour accélérer le déploiement de la capacité nucléaire future. Il a déclaré que « tout comme la technologie et l’industrie s’adaptent », le processus réglementaire devrait également s’adapter. Grossi a également souligné que, surtout, la priorité restait la sûreté et la sécurité des centrales nucléaires en Ukraine, en disant que toute attaque contre elles, ou tout ce qui va mal à l’intérieur, signifierait que les « visions, les plans, les idées et les aspirations » étant discutées « seront beaucoup plus difficiles », pour persuader les gens et les politiciens de soutenir l’énergie nucléaire. Le député américain Chuck Fleischmann a déclaré qu’il était essentiel pour le futur nucléaire « que nous, qui soutenons le nouveau nucléaire, informions nos circonscriptions respectives que le nouveau nucléaire est sûr ». Il a également souligné la collaboration entre les États-Unis et le Canada qui leur a permis d’apprendre et de tirer profit de cette collaboration.
Enfin Joo Ho Whang, président et chef de la direction de Korea Hydro & Nuclear Power, a décrit les perspectives positives actuelles et prévues pour le nouveau nucléaire en Corée du Sud. Il a également souligné l’importance des chaînes d’approvisionnement dans le secteur nucléaire, en donnant l’exemple du nombre de producteurs de ciment de qualité nucléaire qui est passé de trois à un sous le gouvernement sud-coréen précédent, qui avait une politique d’élimination progressive du nucléaire. Il a dit qu’avec de nouveaux projets planifiés, il était important, au niveau national et international, d’avoir une chaîne d’approvisionnement solide.
Liens pour poursuivre la documentation : https://www.iaea.org/atoms4netzero
Peu de jours après cette réunion l’Union européenne a adopté la classification de l’énergie nucléaire comme énergie « verte », c’est-à-dire « décarbonée » au même titre que l’hydroélectricité. Quant à l’aspect « renouvelable » de l’énergie nucléaire seuls la Russie, la Chine et dans une moindre mesure le Japon sont impliqués dans le développement de réacteurs à neutrons rapides dont le premier avantage est de produire plus de combustibles qu’ils n’en consomment en transformant l’uranium-238 en plutonium-239 tout en « consommant » les autres transuraniens de haute activité pour produire de l’énergie. L’avance technologique de la France dans ce domaine de la surrégénération (« breeders » en anglais) s’est évaporée pour des raisons idéologiques et à nouveau la France pour ces mêmes raisons a investi plus de 100 milliards d’euros pour installer des moulins à vent dont la durée de vie moyenne, légèrement supérieure à 20 ans, ne permet pas d’obtenir un bilan carbone positif.
Il existe actuellement deux breeders en opération commerciale en Russie sur le site de Beloyarsk de puissances électriques nominales respectivement de 560 MW et 880 MW et fonctionnant depuis 1980 et 2016 sans incident majeur. Un Breeder d’une puissance électrique de 600 MW est en cours de construction en Chine et le réacteur japonais expérimental en cours de réparation devrait à nouveau fonctionner dans les prochains mois. Le devenir non encore résolu des déchets de haute activité ne pourra être résolu à l’avenir que si l’IAEA stimule une collaboration étroite entre les pays dotés d’installations électronucléaires et les pays dotés de surrégénérateurs afin de résoudre ce problème … qui n’a pas été abordé avec ce point de vue. Ce sera une urgence lorsque le prix des hydrocarbures augmentera dans des proportions insupportables quand leur raréfaction deviendra prégnante !
Établissons plutôt u constat:
RépondreSupprimer😎 CAPACITÉ CALORIFIQUE DES COMBUSTIBLES
Charbon...........................13-30 Mj/kg
Feu de bois.......................16 Mj/kg
Gaz naturel......................39 MJ/kg
Pétrole brut......................45-46 MJ/kg
Uranium (réacteur REP) : 500 000 Mj/kg
Tout est dit.
Les pays africains se précipitent pour signer des accords nucléaires avec la Russie
RépondreSupprimerL’apparente ruée vers l’énergie nucléaire des pays africains a suscité certaines inquiétudes quant au fait qu’ils pourraient s’engager dans des coûts d’investissement élevés pour la production d’énergie nucléaire qu’ils ne pourront pas se permettre.
Par Pierre Fabricius
29 octobre 2019 0
Mais des inquiétudes se font jour quant à savoir si tous peuvent se permettre l’énergie nucléaire.
Écoutez cet article
La société nucléaire russe Rosatom a déjà signé des accords de coopération nucléaire avec environ 18 pays africains, alors que la Russie accélère ses efforts en faveur du nucléaire sur le continent.
L’engagement croissant des pays africains en faveur d’une énergie nucléaire à coût d’investissement élevé a suscité certaines inquiétudes quant à savoir s’ils s’engagent dans une dette inabordable.
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Le directeur général de Rosatom, Alexeï Likhachev, a révélé un grand nombre d'accords nucléaires avec des pays africains après avoir signé un accord intergouvernemental sur la coopération dans les utilisations pacifiques de l'énergie nucléaire avec le ministre éthiopien de l'Innovation et de la Technologie, Getahun Mekuria Kuma, lors du sommet Russie-Afrique à Sotchi, sur la mer Noire, la semaine dernière.
Mekuria a déclaré plus tard à l'agence de presse officielle russe Tass que l'Éthiopie disposait de centrales nucléaires.
Rosatom a également signé plus tard un accord avec le Rwanda lors du sommet sur la coopération pour la construction d'un centre de science et technologie nucléaires au Rwanda. Rosatom avait une forte présence au forum économique parallèle au sommet politique. Le stand Rosatom a attiré en marge du forum un grand nombre de responsables gouvernementaux africains intéressés.
Najat Mokhtar, directeur général adjoint et chef du Département des sciences et applications nucléaires à l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), a déclaré lors d'un débat sur l'énergie nucléaire au forum économique de Sotchi :
RépondreSupprimer« Les technologies nucléaires constituent un outil très important dans le développement et l’élaboration des objectifs de développement durable. »
Claver Gatete, ministre de l'infrastructure de la République du Rwanda, a déclaré lors de la discussion :
"Nous avons un rêve : nous voulons devenir un pays hautement développé d'ici 2035 et un pays avec un niveau de vie élevé d'ici 2050. L'énergie nucléaire doit être le principal moteur pour atteindre les objectifs auxquels notre pays est confronté."
Roland Msiska, directeur de l'Agence zambienne de l'énergie atomique, qui a également signé un accord de coopération nucléaire avec Rosatom, a déclaré :
« Il existe d’autres aspects des technologies nucléaires qui nous ont amenés à y prêter une grande attention.
« Il s’agit notamment des technologies modernes, telles que l’intelligence artificielle, la robotique et l’Internet des objets. Tout cela est notre avenir et vers quoi nous devrions nous diriger. Ces technologies sont très importantes pour nous, notamment dans le secteur minier.
Likhachev a déclaré aux journalistes après la discussion que Rosatom avait désormais signé des protocoles d'accord ou des accords intergouvernementaux avec environ un tiers des pays du continent, soit environ 18. Il ne pouvait pas dire combien d'entre eux concernaient la coopération scientifique et combien concernaient la production nucléaire. l’énergie « parce que très souvent ces deux pistes vont de pair ».
Mais il a déclaré au cours de la discussion qu'environ la moitié des pays africains avec lesquels Rosatom avait signé des accords nucléaires discutaient activement de projets communs avec l'entreprise, stipulés dans les contrats. Le projet commun le plus avancé est celui avec l'Égypte, qui a confié à Rosatom la construction d'une centrale nucléaire de 4 800 MW.
"Nous avons des intérêts de pays très différents, indépendamment de la taille de leur population ou de leur PIB", a déclaré Likhachev aux journalistes.
« Et à en juger par les discussions que j’ai entendues lors des réunions du président [Vladimir] Poutine avec ses partenaires africains, nous pouvons conclure que le forum et les participants au sommet ressentent l’impulsion du développement de la technologie nucléaire. »
Il a déclaré que l'accord intergouvernemental signé entre la Russie et l’Éthiopie lors du sommet de mercredi dans le domaine de l'utilisation pacifique de la technologie nucléaire comportait deux volets. Le premier concernait la création d’un centre de science et technologie nucléaires basé sur les technologies russes. La deuxième piste concernait la conclusion d'un accord sur la construction d'une centrale nucléaire de grande capacité.
RépondreSupprimerLikhachev a déclaré que l'accord avait été discuté lors de la rencontre entre Poutine et le Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed lors du sommet.
« Nous sommes prêts à proposer à l’Éthiopie des solutions de pointe en matière de technologie nucléaire. Et nos partenaires éthiopiens sont invités à visiter les installations nucléaires de notre pays.
« Outre les centrales nucléaires de plus grande capacité, nous sommes également prêts à proposer des réacteurs modulaires de plus petite capacité. »
La signature du dernier accord a ouvert la voie à la signature de contrats pratiques pour mettre en œuvre la coopération nucléaire entre les deux pays, a-t-il indiqué.
Il a indiqué qu'un accord intergouvernemental avait également été signé avec le Nigeria sur la possibilité de créer un centre de science et technologie nucléaires et de centrales nucléaires.
Il a cité spécifiquement le Rwanda et la Zambie comme deux pays avec lesquels « la Russie est prête à aller de l'avant dans la mise en œuvre pratique de notre coopération ».
Likhachev a déclaré que Rosatom était prête à aller aussi vite que ses partenaires africains le souhaitaient pour faire progresser la coopération nucléaire.
Cependant, l'apparente ruée vers l'énergie nucléaire des pays africains a suscité certaines inquiétudes quant au fait qu'ils pourraient s'engager dans des coûts d'investissement élevés pour la production d'énergie nucléaire qu'ils ne pourront pas se permettre.
Les analystes ont noté que même l'Afrique du Sud, l'une des deux plus grandes économies du continent, a renoncé à un engagement apparent de l'ancien président Jacob Zuma de commander 9 600 MW de production de centrale nucléaire à Rosatom – pour un coût estimé à environ 1 000 milliards de rands. .
Le président Cyril Ramaphosa a déclaré après avoir rencontré Poutine en marge du sommet que le président russe lui avait demandé une fois de plus si l'Afrique du Sud était toujours intéressée par la construction d'une centrale nucléaire et qu'il lui avait répondu une fois de plus qu'elle n'en avait toujours pas les moyens.
Un ministre africain présent au sommet a déclaré au Daily Maverick que même si les centrales électriques pouvaient constituer une source importante de croissance économique, les pays africains s’endettaient encore davantage et devaient veiller à ce qu’ils puissent se permettre les infrastructures qu’ils ont construites.
RépondreSupprimerLikhachev a défendu l’énergie nucléaire comme source d’électricité économique à long terme. Il a déclaré que le coût des matières premières entrant dans le coût de l'électricité produite par l'énergie nucléaire n'était que d'un ou deux points de pourcentage, garantissant ainsi le coût de l'électricité pendant des décennies.
« Ces technologies sont économiquement efficaces et le chiffre d'affaires commercial augmente également avec ce développement technologique. Un dollar investi dans le projet nucléaire donne jusqu'à 2 dollars en contrats locaux de production et jusqu'à 2,5 dollars en contribution au PIB du pays », a-t-il déclaré.
Il a ajouté que les effets cumulatifs de l'acquisition de la technologie nucléaire par un pays étaient importants, notamment des milliers d'emplois, dont beaucoup dans des domaines hautement qualifiés tels que l'ingénierie mécanique et électronique et la métallurgie. L’acquisition de la technologie nucléaire a également permis d’élever le niveau des soins médicaux et pourrait être appliquée à l’agriculture.
Lorsqu’on lui a demandé comment des pays comme l’Éthiopie et le Rwanda pouvaient se permettre des centrales nucléaires alors que même l’Afrique du Sud estimait manifestement qu’elle ne le pouvait pas, un autre responsable de Rosatom a répondu :
« La première étape n’est pas de construire des centrales électriques. La première étape pour les petits pays, ce sont simplement des centres nucléaires et peut-être des réacteurs de recherche.»
En réponse à la même question, le porte-parole d’Abiy, Billene Seyoum, a déclaré :
"L'accord n'engage l'Éthiopie à aucun achat... il a facilité la coopération entre les deux pays, notamment dans le partage de connaissances techniques."
Daily Maverick a également demandé à Olivier Nduhungirehe, ministre rwandais en charge de la communauté est-africaine – qui parle fréquemment au nom du gouvernement sur d’autres questions – ce qu’impliquait l’accord que son gouvernement a signé avec Rosatom et s’il était abordable.
"Nous avons signé un accord avec la société nationale russe d'énergie atomique, Rosatom, pour créer un centre de science et technologie nucléaires au Rwanda", a-t-il répondu.
« Il s’agit d’une nouvelle science pour le Rwanda et nous bénéficierons de l’expertise et de l’expérience de la Russie dans ce domaine.
RépondreSupprimer« Le Rwanda dispose de différentes sources d’énergie (hydraulique, solaire, méthane, géothermique) et nous pensons que l’énergie nucléaire, utilisée dans différents domaines comme la médecine et l’agriculture, sera importante pour notre économie. »
Il a confirmé que cela incluait la possibilité de produire de l'électricité grâce à l'énergie nucléaire.
Il n'a pas souhaité s'exprimer sur les implications en termes de coût et d'abordabilité, affirmant que les détails de l'accord seraient annoncés en temps utile. DM
https://www.dailymaverick.co.za/article/2019-10-29-african-countries-rush-to-sign-nuclear-deals-with-russia/
Stop à la compensation carbone !
RépondreSupprimerPar Collectif
Mondialisation.ca,
08 décembre 2023
grain.org
Depuis plus de vingt ans, la compensation carbone nuit à une véritable action climatique, donne lieu à des violations des droits humains et des droits des peuples autochtones et génère de graves préjudices pour les communautés de première ligne. Malgré cela, la Conférence des Nations unies sur le climat (COP28) qui se tient actuellement dans les Émirats arabes unis s’annonce comme l’un des plus grands événements promotionnels jamais organisés en faveur des compensations carbone. Au cours de la semaine à venir, les gouvernements décideront d’intégrer ou non les compensations carbone dans la politique climatique internationale et la présidence des Émirats arabes unis organisera de nombreux événements thématiques promotionnels.
La fraude et les préjudices causés aux communautés locales par les projets des marchés carbone ont été largement documentés. Tout au long de l’année 2023, des études universitaires, des enquêtes des médias et de la société civile ont révélé que ces projets génèrent régulièrement des crédits fantômes et entraînent l’accaparement de terres et des violations des droits humains et des droits des populations autochtones (voir ci-dessous). Parmi les exemples récents, on peut citer le déplacement forcé des peuples Ogiek dans la forêt de Mau au Kenya pour faire place à des projets de compensation carbone, ainsi que les nombreux cas d’abus sexuels commis dans le cadre d’un projet de compensation kenyan géré par l’entreprise américaine Wildlife Works. Au cours des derniers mois, le Kenya, ainsi que le Liberia, la Tanzanie, la Zambie et le Zimbabwe, ont signé avec la société Blue Carbon, basée à Dubaï, des accords portant sur un total de plus de 24 millions d’hectares de terres communautaires.
Les nouvelles frontières de la compensation carbone sont régulièrement repoussées, et se basent sur une course à la conversion des sols agricoles et des zones côtières et marines en « puits » de carbone qui, selon les entreprises, séquestrent le carbone et génèrent de « nouveaux » crédits carbone. Aucune de ces techniques n’a jamais démontré qu’elle peut stocker le carbone de manière permanente. La culture industrielle à grande échelle d’algues marines , par exemple, empiète sur les territoires des communautés côtières et crée de nouvelles menaces pour l’environnement marin et la chaîne alimentaire marine.
La compensation carbone a également donné naissance à un nouveau secteur en plein essor qui s’appuie sur de dangereuses techniques de géo-ingénierie et des profiteurs du chaos climatique, souvent au détriment des communautés locales et autochtones. Les développeurs de projets de compensation carbone, les organismes de normalisation, les auditeurs et les fournisseurs de crédits ont empoché des millions en produisant des crédits carbone qui n’ont pas permis de réduire les émissions et qui ont exacerbé la crise climatique. Ces projets, souvent présentés comme des « solutions fondées sur la nature » ou des « solutions climatiques naturelles » ou, lorsqu’ils concernent des zones côtières et marines, comme du « carbone bleu », ont également entraîné les communautés paysannes et autochtones dans des batailles juridiques coûteuses et compliquées dans leurs efforts visant à faire reconnaître leurs droits et récupérer leurs territoires communautaires, ainsi que dans leurs luttes pour s’opposer à ces projets.
RépondreSupprimerDans le cadre du projet REDD du parc national de Cordillera Azul (PNCAZ), les communautés Kichwa de l’Amazonie péruvienne ont été affectées par ces dispositifs coûteux. Le projet de restauration et de conservation des tourbières de Katingan, en Indonésie, a également un impact négatif sur les communautés Dayak. La « solution fondée sur la nature » de Total Energies, qui prévoit des plantations d’arbres à des fins de compensation sur les plateaux Batéké, en République du Congo, où vivent des communautés autochtones Aka et des agriculteurs bantous, est un autre cas de compensation dans lequel les droits des communautés sont bafoués. Ces projets s’inscrivent dans la continuité de spoliations séculaires, désormais justifiées par des considérations « vertes », et s’apparentent à un colonialisme d’accaparement « vert ».
Les marchés du carbone ne sont pas une solution au changement climatique. Ce qu’il faut d’urgence, c’est se concentrer à nouveau sur le maintien des combustibles fossiles dans le sol et s’engager à mener une véritable action climatique fondée sur l’équité et la justice.
CITATIONS
Jutta Kill, du Mouvement mondial pour les forêts tropicales, déclare : « L’échange de crédits de carbone est imprudent et irresponsable. On a déjà perdu beaucoup trop de temps à essayer de corriger un concept qui est structurellement défaillant. Beaucoup trop de projets ont conduit à l’accaparement de terres et ont causé des conflits et des préjudices aux paysans, aux peuples autochtones et aux communautés. »
Shalmali Guttal, de Focus on the Global South, ajoute : « Les organisations de petits pêcheurs, les communautés côtières et intérieures ont rejeté sans équivoque la soi-disant « économie bleue » et ont souligné que les concepts de durabilité et de résilience sont détournés pour faire avancer la « colonisation climatique » en repoussant continuellement les frontières de l’extraction et de l’exploitation de la nature. »
Kirtana Chandrasekaran, des Amis de la Terre International, déclare : « Les marchés du carbone alimentent l’accaparement des ressources vertes par les grands pollueurs. Pourtant, lors de la COP 28, les gouvernements vont décider de l’opportunité d’élargir le champ couvert par les marchés carbone à de nouvelles terres, à de nouvelles mers et à de nouveaux types d’activités de compensation à risque. Ce serait un désastre pour le climat et les communautés de première ligne. Ce dont nous avons besoin, c’est d’une véritable réduction des émissions et d’un véritable financement climatique. Tout résultat en deçà de cet objectif serait un échec. »
RépondreSupprimerDevlin Kuyek, de GRAIN, déclare : « Les marchés du carbone, les systèmes de compensation et les « absorptions » de carbone ne peuvent pas offrir de solutions à la crise climatique. Ils soutiennent un système qui a permis aux entreprises polluantes et aux pays riches de retarder l’action et de tirer profit de la crise. Qu’elle soit non réglementée ou approuvée par les Nations Unies, la compensation carbone sous toutes ses formes, notamment REDD ou ce qu’on appelle les « solutions fondées sur la nature » et le « carbone bleu », est une escroquerie à laquelle nous devons mettre un terme immédiatement. »
Laura Dunn, du Groupe ETC, explique : « Dans le monde de la compensation carbone, les algues sont présentées comme le nouveau pétrole « vert ». Mais notre récent rapport The Seaweed Delusionmontre que la culture industrielle d’algues ne sauvera pas notre climat ni la nature. L’application de la géo-ingénierie à l’échelle de la planète, avec des plantations massives d’algues, détruira les écosystèmes et menacera les communautés côtières. »
Anuradha Mittal, directrice exécutive de l’Oakland Institute : « Lors de la COP28, les dirigeants mondiaux et les négociateurs climatiques doivent reconnaître une fois pour toutes que les marchés du carbone sont une source de financement climatique qui a échoué. Ils sont volatiles et instables, entachés par la fraude, incapables de réduire les émissions et en réalité nuisibles pour les communautés. Nous ne pouvons plus nous permettre de perdre du temps avec cette fausse solution. Le monde a besoin de toute urgence d’autres moyens pour stimuler l’action climatique, car les marchés du carbone ont échoué. »
Jose Bravo de la Just Transition Alliance, déclare : « Les systèmes d’échange et de compensation de la pollution n’ont servi qu’à remplir les coffres des plus grandes entreprises polluantes de la planète. Pour retrouver une quelconque crédibilité après cette mascarade de la COP 28, la CCNUCC doit renoncer à ces subventions aux pollueurs et commencer à suivre le leadership des travailleurs de première ligne et des communautés qui ouvrent des voies de transition justes et basées sur de vraies solutions climatiques. »
RépondreSupprimerNOTES
Quelques exemples de dommages causés aux communautés locales par les projets de compensation carbone :
Près de la moitié des crédits achetées par Chevron font l’objet de plaintes ou d’accusations de dommages causés aux communautés et de dégradation des écosystèmes, en particulier dans le Sud global ou en première ligne de la crise climatique.
Une carte mondiale des projets de compensation carbone des cinq dernières années montre que 72 % d’entre eux ont porté préjudice à des communautés autochtones ou locales.
Au Kerala, en Inde, un projet de combustible dérivé de déchets, mis en place pour générer des crédits carbone, empoisonne l’air des villages environnants densément peuplés.
Le projet de compensation de Total en République du Congo a pris des terres aux agriculteurs et menace leurs moyens de subsistance.
Les communautés vivant dans la zone concernée par le projet REDD+ Alto Mayo au Pérou ont étéviolemment expulsées de leurs maisons lors d’une série d’interventions menées par les autorités du parc.
La Plateforme africaine d’impact forestier a récemment acquis Green Resources, une entreprise norvégienne de foresterie de plantation et de crédits carbone dont l’histoire est marquée par des accaparements de terres, des violations des droits humains et des destructions de l’environnement à travers l’Ouganda, le Mozambique et la Tanzanie.
Quelques exemples de fraude et de commerce de crédits fantômes :
Décrit par le New Yorker comme une « arnaque de type cash contre carbone », le projet REDD Kariba de South Pole au Zimbabwe a récolté au moins 100 millions USD en crédits carbone avant de s’effondrer suite à un scandale en octobre 2023.
Une étude réalisée en 2023 a révélé que la majorité des principaux projets de compensation carbone dans le monde. pouvaient être classés dans la catégorie des projets « probablement bidon » tandis qu’une autre étude, portant sur le principal certificateur de compensation carbone dans le monde, a révélé que « la plupart des crédits ne représentent probablement aucun avantage pour le climat ».
Une étude réalisée par Mongabay et le New Humanitarian montre que les déclarations de neutralité carbone de l’ONU reposent en grande partie sur des crédits de compensation carbone qui ne réduisent pas vraiment les émissions de gaz à effet de serre et dont certains ont fait l’objet de témoignages dénonçant des dommages environnementaux, des déplacements de population ou des problèmes de santé.
Une évaluation du Northern Kenya Grassland Carbon Project, géré par le Northern Rangelands Trust (NRT), a révélé qu’il reposait sur des hypothèses méthodologiques erronées, remettant en question la crédibilité des crédits de compensation qu’il génère.
RépondreSupprimerUne enquête du journal Le Monde a révélé que trois projets de compensation carbone à Portel, au Brésil, qui ont vendu des crédits à Air France, Boeing, Bayer, Veolia, LCL et Samsung, sont frauduleux et n’ont aucun effet bénéfique sur le climat.
En Papouasie-Nouvelle-Guinée, une enquête menée par ABC a permis de découvrir des preuves de l’exploitation commerciale d’une forêt tropicale censée être protégée par un système de crédits carbone géré par l’entreprise américaine NIHT.
Une publication du Penn Center for Science, Sustainability and the Media, basé aux États-Unis, conclut que les crédits carbone fragilisent l’Accord de Paris des Nations Unies.
Les recherches menées par l’ancien fournisseur de crédits carbone Compensate suggèrent que les crédits issus de la majorité des quelque 170 projets de compensation « fondés sur la nature » qui sont vendus sur les marchés sont « impropres à une utilisation à des fins de compensation ».
Sur la base de sa propre analyse, l’agence de notation des crédits carbone BeZeroa note que si « [l]a théorie des marchés du carbone suppose que tous les crédits représentent un évitement ou une absorption d’émissions égal(e) à 1 teqCO₂ […] les éléments probants montrent de plus en plus que ce n’est pas le cas. »
Organisations :
Global Justice Ecology Project
Friends of the Earth International
GRAIN
ETC Group
Focus on the Global South
World Rainforest Movement
A Growing Culture
The Oakland Institute
Indigenous Climate Action
Just Transition Alliance
Hoodwinked Collaborative
Indigenous Environmental Network
Contacts médias :
RépondreSupprimerFriends of the Earth International: Madeleine Race, communications officer, madeleine@foei.org, +31 645 198 654 (EN, FR, ESP)
GRAIN: Ange David Baimey, ange@grain.org, +22505345274, Côte d’Ivoire (EN,FR)
Focus on the Global South: Shalmali Guttal, s.guttal@focusweb.org. India and Thailand. +918971368696
ETC group: Laura Dunn, laura@etcgroup.org +1 514-607-9979 (EN)
The Oakland Institute: Anuradha Mittal amittal@oaklandinstitute.org +1 510 469 5228
Indigenous Climate Action: ATTN: Katie Wilson & Rosalyn Boucha, media@indigenousclimateaction.com (EN)
https://www.mondialisation.ca/stop-a-la-compensation-carbone/5684091?doing_wp_cron=1702299637.8420488834381103515625
Une autre étude le montre : le réchauffement climatique n’est pas causé par le gaz carbonique
RépondreSupprimer11 décembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Les études basées sur des données mesurées les unes après les autres ne montrent aucun lien de causalité avec le réchauffement climatique dû à l'augmentation du gaz carbonique. Cependant, le lien peut s’établir dans l’autre sens, c’est-à-dire une augmentation du niveau de gaz carbonique dans l’atmosphère en raison de la hausse des températures. L'IPCC des politiciens comme Al Gore et des magnats comme Bill Gates s’appuient sur des modèles qui n’ont jusqu’à présent ni été capables d’expliquer le passé ni de prédire correctement l’avenir.
Une nouvelle étude d'Allan T. Emrén , « Températures mondiales, concentrations de gaz carbonique et océans », publiée dans l'International Journal of Global Warming, remet une fois de plus en question la croyance largement répandue selon laquelle les humains contrôlent les températures des océans et que les boucliers polaires peuvent fondre en effectuant des activités quotidiennes. activités telles que parler sur un smartphone ou conduire un SUV.
Dans le résumé de l’étude, nous lisons :
« Au cours des 170 dernières années, les températures et les concentrations de gaz carbonique dans l’atmosphère ont augmenté. Les données publiées sur la température mondiale, les données sur le gaz carbonique et les données sur la glace de mer arctique ont été examinées. Il s’avère qu’il existe peu de preuves que les augmentations observées soient dues à l’activité humaine. Il s’avère que le taux de variation de la concentration de gaz carbonique est contrôlé par la température globale et non l’inverse. Afin d’arrêter l’augmentation de la concentration, il faut d’abord réduire la température d’environ 1,4 K. On peut donc se demander si les tentatives humaines visant à modifier la température globale ou les concentrations de gaz carbonique dans l’atmosphère produiront des résultats significatifs. Il existe un lien entre les fluctuations saisonnières des concentrations de gaz carbonique et la quantité de glace marine arctique. L’augmentation actuelle de la concentration de gaz carbonique et de la température est similaire à celle observée il y a 55 millions d’années, ce qui suggère que la Terre a dépassé un « point de bascule » vers 1750. »
Dans la discussion et la conclusion, il y a une déclaration très claire :
RépondreSupprimer« La corrélation observée entre la température mondiale et le taux de croissance de la concentration atmosphérique de gaz carbonique montre que le réchauffement climatique n’est pas causé par une augmentation de la concentration de gaz carbonique. L’augmentation des concentrations de gaz carbonique est plutôt causée par le réchauffement climatique. Cela signifie que ni l’augmentation des concentrations de gaz carbonique ni le réchauffement climatique ne peuvent être stoppés en réduisant la combustion. »
- voir graphique -
Le graphique montre les moyennes sur 12 mois de la variation de la température mondiale (solide), mesurée par les satellites, et de la concentration de gaz carbonique (en pointillés), mesurée sur le Mauna Loa.
Avant 1978, les données mondiales sur la température et la concentration de gaz carbonique étaient moins détaillées et moins précises. Toutefois, la tendance générale est similaire. Les mesures de gaz carbonique entre 1850 et 2018 montrent une augmentation constante de la concentration. Dans la figure suivante, les données HADCRUT et NOAA ont été combinées pour calculer des moyennes sur 11 ans. Cette période a été choisie pour réduire les effets possibles des cycles solaires :
- voir graphique -
Le graphique montre 170 ans de températures mondiales combinées d'HADCRUT et de la NASA (solides) et de concentrations de gaz carbonique(en pointillés).
L’évolution de la température ressemble plus ou moins à un escalier. Bien que les concentrations de gaz carbonique aient augmenté de façon monotone, cela suggère que quelque chose d’autre que l’augmentation des concentrations de gaz carbonique pourrait être la cause de l’augmentation de la température mondiale.
Au cours des 170 dernières années, il y a eu quatre périodes de hausse des températures et trois périodes de baisse. Leur longueur ne semble pas aléatoire. Il y a eu 17 années avec une augmentation, 31 avec une diminution, 34 avec une augmentation, 29 avec une diminution, 31 avec une augmentation, 7 avec une diminution et 7 années avec une augmentation. Pourquoi les longueurs sont-elles si similaires ? Coïncidence?
- voir graphique -
La figure montre l'augmentation du gaz carbonique dans l'atmosphère depuis 1750 (solide) et les quantités rejetées par la combustion de combustibles (en pointillés). Au moins au cours des 200 premières années, l’augmentation des concentrations de gaz carbonique n’avait que peu à voir avec l’activité humaine.
Les proportions de gaz à effet de serre dans l'atmosphère
Si l’on regarde la composition de l’air, il est difficile de croire que le gaz carbonique contribue de manière significative au réchauffement :
- voir graphique -
Nous voyons que l'azote est à 78 %, l'oxygène à 21 %, l'argon, un gaz rare, à 1 %, la vapeur d'eau à 0,4 %, le gaz carbonique et les autres gaz à 0,04 % chacun et le néon à 0,0018 %. La vapeur d’eau occupe 10 fois plus de volume que le gaz carbonique et est nettement plus efficace.
RépondreSupprimerEt voici les contributions effectives des gaz à effet de serre au changement de température :
- voir graphique -
On voit que 95 % de l'effet provient de la vapeur d'eau, du gaz carbonique à 3,6 %, des oxydes d'azote à 0,96 %, du méthane à 0,36 %. Cependant, lorsqu’il s’agit de gaz carbonique, il faut encore faire la différence entre ce que les humains produisent et ce qui se produit naturellement. La part naturelle est de 96,8%, la part anthropique est de 3,2%, ce qui correspond à 0,12% de 'l'effet de serre' total.
Afin de modifier ces 0,12 %, l'ONU/IPCC, l'UE et l'élite financière veulent augmenter les taxes sur le gaz carbonique, interdire pratiquement la conduite automobile, réduire la production de chaleur en hiver, obliger les propriétaires à effectuer des rénovations pour la plupart inabordables, interdire l'avion et introduire une réduction du gaz carbonique. compte - c'est pratiquement détruire nos vies antérieures.
Qui parmi les hommes politiques y participe et pour quelle raison ?
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Les observations satellites CERES des flux solaires depuis l’an 2000, révèlent que le réchauffement observé est dû à la diminution de l’albédo des nuages, et non au gaz carbonique
RépondreSupprimerle 11 décembre 2023
par pgibertie
Les vaches n’y sont pour rien
- voir graph sur site -
Les observations satellitaires CERES des flux solaires au sommet de l’atmosphère, effectuées en continu depuis l’an 2000, révèlent que le réchauffement observé au cours des 23 dernières années par les capteurs satellites et les thermomètres de surface est le résultat d’une diminution de l’albédo des nuages, et non d’une augmentation du gaz carbonique !
Ces données vérifiées provenant de sources officielles et réputées suggèrent que l’humanité a perdu du temps et de l’argent pour lutter contre un phénomène, à savoir le réchauffement climatique ANTHROPOGÈNE (AGW), qui n’existe PAS ! Le réchauffement observé est un phénomène NATUREL NON lié à d’éventuelles émissions de carbone humain !
Voici les sources de données : – Température globale HadCRUT5 : https://metoffice.gov.uk/hadobs/hadcrut5/data/HadCRUT.5.0.2.0/download.html… – Température globale de la basse troposphère UAH : https://nsstc.uah.edu/data/msu/v6.0/tlt/uahncdc_lt_6.0.txt… – Flux de rayonnement CERES : https://ceres-tool.larc.nasa.gov/ord-tool/jsp/EBAF42Selection.jsp… Les graphiques utilisent des moyennes mobiles sur 13 mois calculées à partir des données mensuelles originales.
https://pgibertie.com/2023/12/11/les-observations-satellites-ceres-des-flux-solaires-depuis-lan-2000-revelent-que-le-rechauffement-observe-est-du-a-la-diminution-de-lalbedo-des-nuages-et-non-au-co2/
185 milliards d'euros de coûts supplémentaires pour les pays de l'UE grâce aux sanctions sur le gaz naturel contre la Russie
RépondreSupprimer9 décembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Les pays de l’Union européenne ont payé environ 185 milliards d’euros de trop pour leurs importations de gaz depuis que l’UE a imposé des sanctions auto-préjudiciables à la Russie à propos de l’Ukraine. Après l’attaque de sabotage du gazoduc Nordstream, les hommes politiques européens se sont lancés dans des voyages de mendicité dans des pays producteurs de gaz comme le Qatar et l’Azerbaïdjan. Des prix plus élevés sont payés, notamment pour le gaz naturel liquéfié en provenance des États-Unis.
Depuis février 2022, les dépenses mensuelles moyennes de l'UE en importations de gaz ont augmenté pour atteindre 15,2 milliards d'euros. Sur cette somme, 7,7 milliards de dollars ont été dépensés en gaz naturel liquéfié (GNL), les États-Unis en recevant la majeure partie. Les 7,5 milliards d’euros restants ont été dépensés par l’UE pour le gazoduc.
On estime que les États membres de l’UE ont dépensé au total 304 milliards d’euros en importations de gaz sur 20 mois, alors qu’auparavant ces dépenses s’étalaient sur plusieurs années.
La Russie, en revanche, a reçu 14 milliards d'euros supplémentaires malgré la baisse des volumes d'exportation de gaz due à la hausse des coûts de l'énergie.
La perturbation des approvisionnements en gaz russe en raison des sanctions occidentales contre Moscou à propos de l’Ukraine a laissé l’Europe aux prises avec une inflation galopante et une hausse des factures énergétiques. Les coûts des exportations de gaz naturel liquéfié (GNL) en provenance des États-Unis exercent une pression supplémentaire sur le budget des ménages européens.
Selon les calculs de Spoutnik , basés sur les données d'Eurostat , l'Union européenne a dû payer environ 185 milliards d'euros en trop pour les importations de gaz depuis qu'elle a imposé des sanctions auto-préjudiciables à la Russie à propos de l'Ukraine.
Depuis février 2022, lorsque Bruxelles a commencé à imposer des restrictions à Moscou, les dépenses mensuelles moyennes de l'UE en importations de gaz ont atteint 15,2 milliards d'euros. Sur ce montant, 7,7 milliards d'euros ont été consacrés au gaz naturel liquéfié (GNL), tandis que les 7,5 milliards d'euros restants ont été consacrés au gazoduc. Au cours de l’année précédant l’imposition des sanctions, les pays européens ont payé en moyenne 5,9 milliards d’euros pour le gaz (3,6 milliards d’euros pour le gazoduc, 2,3 milliards d’euros pour le gaz liquéfié).
On estime que les États membres de l’UE ont dépensé au total 304 milliards d’euros en importations de gaz sur 20 mois, alors qu’auparavant ces dépenses s’étalaient sur plusieurs années. Par exemple, d’avril 2017 à fin 2021, l’UE a dépensé 186 milliards d’euros en importations de gaz, et de 2013 à 2021 la valeur de ces importations était de 292 milliards d’euros.
Alors que l’Europe subit les conséquences de sanctions qui se retournent contre lui, les États-Unis ont récolté environ 53 milliards d’euros de bénéfices. Parmi les autres pays qui ont bénéficié de la recherche par l'UE d'alternatives à l'énergie russe, citons le Royaume-Uni (27 milliards d'euros), la Norvège (24 milliards d'euros) et l'Algérie (21 milliards d'euros).
RépondreSupprimerLa Russie, en revanche, a reçu 14 milliards d'euros supplémentaires malgré la diminution des volumes de livraison due à la hausse des prix. La croisade à courte vue de l'UE pour limiter les revenus énergétiques de Moscou a abouti à ce que le Qatar reçoive le même montant, soit 14 milliards d'euros supplémentaires, tandis que l'Azerbaïdjan reçoit une prime de 12 milliards d'euros. Un regard sur les autres bénéficiaires de cette politique gazière de l’UE montre que l’Angola a reçu 5 milliards d’euros, l’Égypte 4 milliards d’euros et Trinité-et-Tobago 3 milliards d’euros. Le Nigéria et le Cameroun ont reçu 2 milliards d’euros supplémentaires, ainsi que la Libye, Oman et la Guinée équatoriale. Douze autres pays ont reçu des sommes relativement modestes, totalisant près de 2 milliards d'euros.
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Les médias vantent les « passeports carbone » pour restreindre les voyages
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 08 DÉCEMBRE 2023 - 21H00
Rédigé par Steve Watson via Modernity.news,
Un sujet de discussion qui revient désormais partout dans les médias est l’idée selon laquelle, dans un avenir proche, les voyages seront très probablement limités par l’introduction de ce que l’on appelle les « passeports carbone ».
La semaine dernière, CNN a diffusé un article créé par quelque chose appelé « The Conversation », qui avait pour titre « Il est temps de limiter la fréquence à laquelle nous pouvons voyager à l’étranger – les « passeports carbone » pourraient être la réponse ».
Dans le cadre de cette « analyse », les lecteurs ont appris que les vagues de chaleur, les incendies de forêt et les événements météorologiques extrêmes records sont en partie provoqués par les personnes partant en vacances.
"Le tourisme fait partie du problème", affirme l'article, ajoutant que "le secteur du tourisme génère environ un dixième des émissions de gaz à effet de serre qui sont à l'origine de la crise climatique".
Il poursuit ensuite en suggérant que l’introduction de passeports carbone, qui verraient à chaque « voyageur se voir attribuer une allocation annuelle de carbone qu’il ne peut pas dépasser », pourrait « rationner » les voyages.
« Ce concept peut paraître extrême », déclare l’écrivain avant de vous dire que ce n’est pas le cas et que c’est probablement une bonne idée en raison du fait que l’environnement est sur le point de s’effondrer.
"Les températures bouillantes diminueront probablement l'attrait des destinations balnéaires traditionnelles", affirme de toute façon l'auteur.
Il ne s’agit pas d’une simple histoire alarmiste qui traîne quelque part dans les profondeurs sombres du site Internet de CNN, elle est présente partout :
Les informations de propagande, y compris un autre article publié cette semaine par Business Insider, citent toutes un rapport rédigé par une agence de conseil appelée The Future Laboratory et publié par une agence de voyage appelée Intrepid.
RépondreSupprimerCe rapport indique que « ces quotas se manifesteront sous la forme de passeports qui obligeront les gens à rationner leur carbone conformément au budget carbone mondial, qui est de 750 milliards de tonnes jusqu’en 2050 ».
"D'ici 2040, nous pouvons nous attendre à voir des limitations imposées sur le nombre de voyages autorisés chaque année", poursuit-il, ajoutant que d'ici là "il sera inhabituel de voir des membres de la génération Alpha sans outil de suivi de l'empreinte carbone sur leur smartphone". . Chaque trajet Uber, chaque trajet en avion et chaque trajet au supermarché sera enregistré dans leurs appareils, notant leur empreinte carbone en temps réel.
Cela semble très amusant.
Non seulement vous ne posséderez rien et vous n’aimerez rien, mais si cela progresse comme le suggèrent ces « experts », vous ne pourrez aller nulle part non plus.
Bien sûr, des gens comme Bill Gates, John Kerry et leurs semblables seront toujours autorisés à voler constamment dans leurs jets privés, car ils sont « la solution ».
Votre vol Easyjet à petit budget vers Malaga tous les deux ans est le gros problème.
https://www.zerohedge.com/political/media-hyping-carbon-passports-restrict-travel
RépondreSupprimerVANNE EGR : EXPLICATIONS TECHNIQUES ET CONSEILS D’ENTRETIEN
12 DÉCEMBRE 2023
LA VANNE EGR : EXPLICATIONS TECHNIQUES ET CONSEILS D‘ENTRETIEN
Saviez-vous que la vanne EGR représentait la panne la plus fréquente sur un véhicule diesel ? Quelle est son utilité et comment la garder en bon état de marche ? Les experts Metal 5 font le point pour vous.
LA VANNE EGR, QU’EST-CE QUE C’EST ?
Inventée aux États-Unis dans les années 70 et testée par Generals Motors pour réduire les émissions de Nox (Oxyde d’azote), la vanne EGR (Exhaust gaz recirculation) est rendue obligatoire sur les moteurs diesel récents par les normes antipollution européennes qui imposent depuis 2015 un taux d’émission maximum de 80mg/km (contre 180mg/km en 2009).
La vanne EGR est donc un système qui permet d’éliminer les particules de gaz toxique produites par le moteur en redirigeant une partie des gaz d’échappement dans l’admission. Selon le type de moteur, la quantité de gaz réinjectée varie de 5 à 35%.
Le principe
Lorsqu’un moteur diesel tourne au ralenti ou à bas régime (2500tr/min), une partie des gaz d’échappement n’est pas entièrement brûlée, entraînant ainsi un rejet d’excès d’oxyde d’azote et de particules fines dans l’atmosphère.
Pour minimiser ces rejets allant à l’encontre des normes européennes, les constructeurs ont installés une pièce à clapet qui redirige vers l’injection ces gaz d’échappement afin de les brûler une seconde fois avant de les refroidir. Grâce à cette seconde combustion, le taux de particules fines est ainsi mécaniquement réduit.
Bien qu’efficace pour lutter contre le taux d’émission de Nox, ce système a le désavantage de créer de la suie, qui sur le long terme fini par encrasser le système d’injection et boucher la vanne elle-même. En effet, si le clapet de la vanne bouchée reste en position fermée, le véhicule fonctionnera normalement mais polluera davantage, à l’inverse, si le clapet reste ouvert en permanence, cela risque d’endommager drastiquement le système d’admission de votre auto. C’est pourquoi il est nécessaire de procéder régulièrement à l’entretien de votre système EGR en adoptant une conduite et des gestes adaptés.
Nos conseils d’expert pour entretenir votre vanne EGR
Perte de puissance, voyant moteur, fumées noires … si vous constatez l’un de ces symptômes, c’est que votre vanne EGR est probablement endommagée. Pas de panique, avant d’envisager de la changer, quelques gestes simples peuvent permettre de la désencrasser.
En effet, la panne de la vanne EGR survient généralement à cause des petits trajets quotidiens effectués à vitesse réduite avec un moteur froid. C’est pourquoi nous vous conseillons d’emprunter l’autoroute et de rouler à haut régime à une vitesse d’environ 130 km/heure, soit une approximation de 3.000 tours par minute pendant 15 minutes pour brûler la calamine accumulée dans le système. Vous pouvez également procéder à un nettoyage complet et régulier de votre vanne EGR avec un produit spécifique et adapté à injecter dans le réservoir de carburant.
https://metal5.com/2019/12/12/vanne-egr-explications-techniques-et-conseils-dentretien?fbclid=IwAR1dgJoxIuO22gC9uQe-at4f-Pi_-nq_JjJTrdw3M8daiw0Er520b37ToxQ
Les véhicules électriques ont 79 % plus de problèmes de fiabilité que les véhicules à essence, selon Consumer Reports
RépondreSupprimer12/08/2023
Cassie B.
Les véhicules électriques ne tiennent pas leurs promesses, avec un nouveau rapport de Consumer Reports montrant qu'ils ont 79 % plus de problèmes que leurs homologues conventionnels, en plus d'être moins fiables.
Les hybrides rechargeables s'en sortent encore moins bien, enregistrant 146 % de problèmes en plus que les véhicules équipés de moteurs à combustion interne traditionnels.
Selon Consumer Reports, le type de véhicule le moins fiable était globalement les camionnettes électriques.
Ils sont arrivés à cette conclusion sur la base d'une enquête qu'ils ont menée auprès des membres sur les problèmes qu'ils ont rencontrés avec leurs véhicules au cours de la dernière année. Les données de plus de 330 000 véhicules avec des années modèles à partir de 2000 ont été incluses dans l'évaluation.
Leur étude portait sur 20 types de problèmes allant de nuisances mineures comme des freins qui grincent à des problèmes importants tels que des problèmes de batterie et de charge et des problèmes de transmission, auxquels on a accordé plus de poids que les problèmes mineurs. Consumer Reports a noté que les problèmes de recharge qu'ils considéraient étaient ceux liés aux véhicules eux-mêmes plutôt qu'aux chargeurs publics ou domestiques.
"À mesure que de plus en plus de véhicules électriques arrivent sur le marché et que les constructeurs automobiles construisent chaque modèle en plus grand nombre, nous constatons que certains d'entre eux ont des problèmes avec les moteurs du système d'entraînement des véhicules électriques, les systèmes de recharge des véhicules électriques et les batteries des véhicules électriques (qui sont différents des 12- 1 000 volts qui alimentent les accessoires)", a noté Consumer Reports.
Le directeur principal des tests automobiles de la publication, Jake Fisher, a qualifié cette découverte de « douleurs de croissance » et a déclaré qu'il pensait que les fabricants de véhicules électriques essayaient toujours de résoudre certains des bugs de la technologie.
Il a recommandé aux personnes intéressées par l'achat de véhicules électriques d'éviter d'acheter de nouveaux véhicules électriques qui en sont à leur première année modèle, car les fabricants continuent de résoudre les problèmes de ces véhicules.
RépondreSupprimerLes problèmes les plus fréquemment signalés par les propriétaires de véhicules électriques étaient liés aux systèmes de charge, aux batteries et aux moteurs du système d’entraînement. Des défauts ont également été signalés dans la façon dont les pièces intérieures et les panneaux de carrosserie des véhicules s'assemblent.
En ce qui concerne les véhicules hybrides rechargeables, le fait qu’ils combinent un moteur à combustion interne avec une propulsion électrique signifie que les problèmes peuvent se multiplier avec ces voitures.
Tesla, considéré comme un pionnier des véhicules électriques, ne se classe qu’au milieu du peloton en matière de fiabilité. Même si les composants de ses véhicules sont considérés comme fiables, la qualité de fabrication reste une préoccupation majeure. De nombreux propriétaires de Tesla ont signalé des problèmes de qualité tels que des poignées de porte non fonctionnelles, des coffres qui ne se ferment pas, des irrégularités de peinture et des garnitures cassées.
L’administration Biden pousse les gens à acheter des voitures peu fiables pour le bien de l’environnement
Cette découverte pourrait mettre à mal les efforts incessants de l’administration Biden pour amener les Américains à passer des véhicules à essence aux véhicules électriques. Bien que les acheteurs se voient offrir un crédit d'impôt fédéral pouvant atteindre 7 500 $ lorsqu'ils achètent ces véhicules, de nombreux consommateurs hésitent beaucoup à effectuer ce changement, invoquant le coût plus élevé des véhicules électriques ainsi que l'insuffisance des infrastructures de recharge. Ils peuvent également être plus coûteux à entretenir et nécessiter des équipements supplémentaires, tels que des prises de recharge électrique à la maison.
Biden s'est fixé pour objectif de garantir que la moitié de tous les achats de voitures soient électriques d'ici 2030, dans le cadre d'une initiative qui, selon les critiques, est imposée aux Américains.
Alors que les immatriculations de véhicules électriques ont augmenté de plus de 500 % aux États-Unis depuis 2017, elles ne représentaient encore que moins de 1 % de l’ensemble des immatriculations de véhicules dans le pays l’année dernière.
RépondreSupprimerDe nombreux constructeurs automobiles ont déjà commencé à réduire leurs investissements dans cette technologie face à la faiblesse de la demande et au scepticisme des consommateurs.
Les sources de cet article incluent :
Expose-News.com
FoxBusiness.com
ConsumerReports.org
https://www.naturalnews.com/2023-12-08-evs-more-reliability-issues-gas-vehicles.html
Une automobile Packard de style 1934 sortira bientôt à nouveau d'une chaîne de production dans l'Ohio
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 11 DÉCEMBRE 2023 - 01h15
La peu connue Packard Motor Company, autrefois connue pour ses automobiles de luxe de haute qualité fabriquées avant la Seconde Guerre mondiale, est sur le point de renaître.
James Ward Packard et son frère William ont fondé la Packard Electric Company en 1890 pour fabriquer des lampes à arc au carbone. En 1893, ils s'associent à George L. Weiss, investisseur dans Winton Motor Carriage Company, pour former Packard & Weiss.
La première voiture Packard a fait ses débuts en 1899 et en 1902, la société est devenue connue sous le nom de Packard Motor Car Company.
Aujourd'hui, la société a ouvert une nouvelle usine à Medina, dans l'Ohio, il y a plusieurs semaines et va produire un cabriolet de style 1934 comme produit phare.
En quantités record, des voitures fabriquées à la main ont été expédiées vers l’Europe, où elles correspondaient bien à des marques comme Rolls Royce et Mercedes Benz. Leur prix était près de 2 à 3 fois plus élevé que celui de leurs homologues américains.
Mais comment cette marque peu connue a-t-elle retrouvé son activité ? Tout a commencé en 2019, lorsque Scott Andrews, consultant Internet, se rendait au travail lorsqu'une voiture en vente a attiré son attention. Ne connaissant pas sa marque, il a contacté son père, un mécanicien automobile expérimenté, pour obtenir des informations.
Lorsqu'il a demandé à son père s'il avait déjà entendu parler d'un « Packard », la discussion a commencé et Andrews « est tombé amoureux de l'histoire de Packard », a-t-il déclaré à Cleveland.com.
"Ce qui m'a vraiment impressionné, c'est que la plupart des innovations apportées à l'automobile ont été brevetées et mises sur le marché par Packard", a-t-il déclaré. Désormais, le renouveau de Packard dépend d'Andrews.
Andrews, un horloger, apprit que J.W. Packard était également un collectionneur de montres. Il a noté la coïncidence. Il a ensuite découvert que son alma mater, le James J. Nance Business College de la Cleveland State University, portait le nom du dernier président de Packard Motor Car Company.
"Plutôt cool, j'ai obtenu mon diplôme de l'école de commerce qu'il a aidé à créer", a-t-il déclaré. Depuis, il a travaillé avec un ami « 12 heures par jour » pour fabriquer à la main une copie du cabriolet de 1934 à exposer dans un magasin local. Depuis, ils ont fait pression sur les autorités locales pour ouvrir une usine de fabrication Packard en ville.
RépondreSupprimer"L'emblématique Packard sera disponible avec les dernières technologies en matière de moteurs, avec une myriade d'options pour rendre chaque véhicule vraiment unique", indique le rapport.
https://www.zerohedge.com/markets/1934-style-packard-motor-car-will-soon-be-rolling-production-line-ohio-again
Nous commençons à découvrir ce qui se cache sous le mince vernis de la civilisation que nous tenons tous pour acquis
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 09 DÉCEMBRE 2023 - 16H30
Rédigé par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,
Contrairement à tant de personnes dans le monde, ceux d’entre nous qui vivent aux États-Unis ont eu la chance de grandir dans une société relativement civilisée.
Malheureusement, nous avons tourné le dos aux valeurs que nos ancêtres nous ont transmises et nous commençons maintenant à découvrir ce qui se cache sous le mince vernis de civilisation que nous tenons tous pour acquis toutes ces années.
Notre société regorge de prédateurs, les taux de criminalité montent en flèche partout dans le pays, des millions d’Américains ont peur de quitter leur foyer et des hordes de toxicomanes font littéralement caca au milieu de nos rues chaque fois qu’ils en ont envie.
Dans certaines de nos plus grandes villes, des groupes de criminels hautement organisés envahissent constamment les maisons. Bien sûr, lorsque ces voleurs rencontrent un propriétaire réellement armé, cela peut entraîner une confrontation mortelle…
Un propriétaire a abattu un suspect d'invasion de domicile à Los Angeles tôt samedi matin alors qu'une grand-mère et un enfant en bas âge se trouvaient dans la maison. Il s'agissait du cinquième crime de ce type signalé dans la région en l'espace de 10 jours.
Des agents ont été appelés dans une maison de la section Granada Hills de la vallée de San Fernando, au nord de Beverly Hills, vers 5 heures du matin samedi après que quelqu'un a signalé une « chasse à chaud » – un cambriolage où le propriétaire est présent.
"L'enquête préliminaire des policiers a déterminé qu'environ trois à quatre hommes armés d'une vingtaine d'années sont entrés dans la maison avec l'intention de cambrioler les lieux", selon les responsables du LAPD.
Il était une fois Los Angeles une si belle ville.
Mais maintenant, il est couvert d’un bout à l’autre d’ordures, d’ordures et d’accessoires liés à la drogue.
Bien entendu, une grande partie de cette dégradation est alimentée par la toxicomanie.
Nous sommes au milieu de la pire crise de la drogue de toute l’histoire de notre pays, et de nombreux toxicomanes ont fait du vol un mode de vie afin de financer leur dépendance.
En plus de cambrioler les maisons, ces toxicomanes s’en prennent constamment aux véhicules, et c’est l’une des principales raisons pour lesquelles les vols dans les commerces de détail ont atteint des sommets sans précédent…
La ville de New York est en tête des États-Unis avec la plus forte augmentation du nombre d'incidents de vol à l'étalage signalés depuis avant la pandémie, selon une étude.
RépondreSupprimerLa Big Apple a connu une augmentation de 64 % des incidents signalés de vols dans des commerces de détail au cours de la période de quatre ans entre la mi-2019 et juin de cette année, tandis que Los Angeles a connu une augmentation de 61 % du même indicateur, selon le Council on Criminal Justice.
Ce n’est pas à cela que ressemble une société civilisée.
À Bellevue, Washington, tant de véhicules sont volés que la police donne littéralement les antivols de volant dans une tentative désespérée de réduire le vol de voitures…
La police de Bellevue remet des antivols de volant le dimanche 3 décembre de 11 h à 14 h. au poste Bellevue Crossroads.
«Ces efforts surviennent alors que les vols de voitures sont en augmentation à Bellevue et dans toute la région», a déclaré BPD.
BPD a déclaré que Bellevue a connu une augmentation de 29 % des vols de voitures entre 2023 et octobre.
BPD a constaté une augmentation de 762 % et de 730 % des vols de Kia et de Hyundai.
Honnêtement, je ne comprends pas pourquoi les gens veulent encore vivre dans ces grandes villes.
Selon une enquête récente, 40 % des Américains ont désormais « peur de marcher seuls la nuit près de chez eux ».
Des millions d’Américains vivent dans un état constant de peur parce que notre pays regorge de prédateurs et de toxicomanes.
Lors de son récent débat avec Gavin Newsom, le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a sorti la fameuse « carte des excréments » qui montre des rapports d'excréments humains dans les rues de San Francisco…
Lors du débat de jeudi soir entre Gavin Newsom (D) et Ron DeSantis (R), le gouverneur de Floride a dévoilé la « carte des crottes » de San Francisco créée par OpenTheBooks.
La carte, créée en 2019, a recensé près de 120 000 cas d’excréments humains dans les rues de San Francisco entre 2011 et 2019 à l’aide du portail d’enregistrement ouvert de la ville et des informations sur les appels 311 publiés par les autorités municipales.
RépondreSupprimerEh bien, maintenant que cette carte a été mise à jour, et malgré tout ce que les autorités ont essayé, les rapports faisant état d'excréments humains dans les rues arrivent plus rapidement que jamais...
Il a été mis à jour…
Selon Adam Andrzejwski d’OpenTheBooks, le voici dans toute sa splendeur – seulement maintenant, il a enregistré 125 506 cas supplémentaires en seulement trois ans – soit plus du double du nombre signalé au cours de la période initiale de huit ans.
C'est notre pays maintenant.
Nous vivons dans un pays où des hordes de toxicomanes insensés baissent leurs pantalons et défèquent dans la rue quand ils en ont envie.
Et grâce aux politiques d’ouverture des frontières de nos dirigeants à Washington, de plus en plus de trafiquants de drogue et de toxicomanes traversent nos frontières chaque jour qui passe.
On rapporte que la population née à l’étranger aux États-Unis a désormais atteint le chiffre énorme de 49,5 millions de personnes…
La population née à l’étranger du pays a atteint le chiffre sans précédent de 49,5 millions, le plus grand jamais enregistré dans l’histoire américaine, sous la présidence de Joe Biden.
L'analyse de Steven Camarota et Karen Zeigler du Centre d'études sur l'immigration (CIS) a révélé qu'en octobre, la population née à l'étranger a atteint près de 50 millions, soit une augmentation de 4,5 millions de résidents nés à l'étranger depuis l'entrée en fonction de Biden en janvier 2021.
Comment pensez-vous que les cartels de la drogue au Mexique gagnent autant d’argent ?
Ils gagnent des millions et des millions de dollars en nous vendant de la drogue.
Et nos dirigeants refusent année après année de sécuriser nos frontières.
C'est exaspérant.
Nous sommes littéralement en train de commettre un suicide national, et le décor est planté pour une éruption épique de troubles sociétaux dans nos grandes villes, qui seront si graves qu’ils choqueront la planète entière.
RépondreSupprimerDes décennies de décisions incroyablement mauvaises nous ont amenés à ce point, mais même à cette heure tardive, nos dirigeants continuent de prendre certaines des décisions les plus stupides imaginables.
https://www.zerohedge.com/political/were-starting-find-out-whats-beneath-thin-veneer-civilization-weve-all-been-taking
Bah humbug : l’État policier veut que nous soyons une nation de flocons de neige
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 09 DÉCEMBRE 2023 - 04:20
Rédigé par John et Nisha Whitehead via le Rutherford Institute,
« Ce garçon est l'ignorance. Cette fille est Want. Méfiez-vous d'eux tous les deux, et de tous leurs degrés, mais surtout méfiez-vous de ce garçon, car sur son front je vois écrit ce qui est Doom, à moins que l'écriture ne soit effacée.
- Charles Dickens, Un chant de Noël
Quelle année.
C’est comme si les Grinches du gouvernement et les Scrooges des entreprises avaient fait des heures supplémentaires pour drainer jusqu’à la dernière goutte de joie, de gentillesse et de liberté du monde.
Après des mois interminables de morosité politique, nous pourrions tous avoir besoin d’un peu de joie de Noël en ce moment.
Malheureusement, Noël a été assiégé ces dernières années, coopté par un commercialisme rampant, camisolé par le politiquement correct et dépouillé d'une grande partie de sa beauté, de sa sainteté et de son mystère.
En effet, la saison du don est devenue la saison de l’obtention… et de l’offense.
Pour une nation de flocons de neige, Noël est devenu un autre mot déclencheur.
Quand j'étais enfant, dans les années 1950, la magie de Noël était promue dans les écoles. Nous avons chanté des chants de Noël en classe. Il y avait des découpes de la scène de la Nativité sur le tableau d'affichage, ainsi que le visage souriant et potelé du Père Noël et de Rudolph. Nous étions tous parfaitement conscients que Noël était magique.
Avance rapide jusqu’à nos jours, et Noël est devenu le fourrage des guerres culturelles politiquement correctes.
Au fil des ans, les victimes de Noël dans la campagne visant à créer un grand espace national sûr vont du classique d'animation bien-aimé Rudolph le renne au nez rouge (dénoncé pour avoir encouragé l'intimidation et l'homophobie) à la chanson oscarisée « Bébé, il fait froid dehors ». (accusé d'être un hymne au viol) chanté par tout le monde, de Dean Martin à Will Ferrell et Zooey Deschanel dans le film Elf.
La liste de Noël des espèces menacées comprend également des chansons telles que « Deck the Halls », « Santa Baby » et « White Christmas ».
RépondreSupprimerUne maison d'édition a même réédité sa propre version expurgée du célèbre poème de Clement Clarke Moore « C'était la nuit avant Noël » afin d'être plus soucieuse de sa santé : la société a supprimé la mention de Moore du Père Noël fumant la pipe (« Le moignon d'une pipe il tenait fermement ses dents, / Et la fumée, elle entourait sa tête comme une couronne. »)
Dans la quête politiquement correcte visant à éviter d’offenser, Noël ne cesse d’être supprimé.
Les exemples abondent.
Les écoles de tout le pays évitent désormais tout ce qui fait allusion au vrai sens de Noël, comme les anges, l'enfant Jésus, les écuries et les bergers.
Dans de nombreuses écoles du pays, les chants de Noël, les arbres de Noël, les couronnes et les cannes de bonbon ont également été interdits dans le cadre des efforts visant à éviter toute référence à Noël, au Christ ou à Dieu. Une école a même interdit les couleurs rouge et vert, affirmant qu’il s’agissait de couleurs de Noël et donc illégales.
Les étudiants invités à envoyer des cartes saisonnières aux troupes militaires ont été invités à en faire des « cartes de vacances » et ont reçu pour instruction de ne pas utiliser les mots « Joyeux Noël » sur leurs cartes.
De nombreuses écoles ont rebaptisé leurs concerts de Noël « programmes de vacances d’hiver » et qualifient Noël de « fête d’hiver ». Certaines écoles ont complètement annulé les célébrations des fêtes pour éviter d'offenser ceux qui ne célèbrent pas les différentes fêtes.
Dans le Minnesota, une école à charte a interdit l'affichage d'une affiche préparée pour promouvoir l'annuaire de l'école comme cadeau de vacances, car l'affiche comprenait Jack Skellington de L'Étrange Noël de Monsieur Jack de Tim Burton et d'autres icônes profanes de Noël, sans parler du mot « Noël ».
Dans le New Jersey, un district scolaire a interdit les chansons traditionnelles de Noël telles que « Joy to the World » et « Silent Night » de ses concerts de vacances. Un collège du New Jersey a annulé une sortie scolaire pour assister à une représentation d'une pièce basée sur "A Christmas Carol" de Charles Dickens parce que certains auraient pu trouver cela "offensant".
Au Texas, une enseignante qui avait décoré sa porte avec une scène de « Un Noël à Charlie Brown », comprenant un arbre maigre et Linus, a été obligée de la démonter de peur que les élèves ne soient offensés ou se sentent mal à l'aise.
RépondreSupprimerDans le Connecticut, les enseignants ont reçu pour instruction de changer la formulation du poème classique « C'était la nuit avant Noël » par « C'était la nuit avant les vacances ».
En Virginie, un directeur d'école secondaire s'est demandé s'il pouvait mentionner le Père Noël ou distribuer des cannes de bonbon étant donné qu'elles étaient des symboles de Noël.
Dans le Massachusetts, on a demandé à une classe de quatrième année d’énumérer 25 choses qui leur rappelaient Noël. Lorsqu’une jeune élève lui a demandé si elle pouvait inclure « Jésus », son professeur a répondu qu’elle pourrait être renvoyée si l’homonyme de Noël figurait sur la liste.
Les choses ne se sont guère améliorées en dehors des écoles, rendues confuses par ceux qui souscrivent à l’idée erronée selon laquelle la Constitution exige que tout ce qui est à caractère religieux soit interdit dans les lieux publics.
Dans une ville de Virginie occidentale, bien que la scène de la crèche (l'une des 350 expositions lumineuses du Festival annuel des lumières de la ville) comprenne des bergers, des chameaux et une étoile directrice, les principales attractions - Jésus, Marie et Joseph - étaient introuvables en raison de inquiétudes quant à la séparation de l’Église et de l’État.
À Chicago, les organisateurs d'un marché de Noël allemand ont été informés que la fête publique de Noël n'était pas un lieu pour l'histoire de Noël. Les responsables craignaient que des extraits du film « L'histoire de la Nativité », qui devaient être projetés au festival, puissent offenser.
Dans le Delaware, il a été interdit à une troupe d’éclaireuses de porter des pancartes indiquant « Joyeux Noël » lors du défilé annuel des fêtes de leur ville.
De toute évidence, Noël est devenu l’une des nombreuses victimes du débat malavisé sur la soi-disant « séparation de l’Église et de l’État », une controverse qui a donné lieu à une tentative déconcertante et inconstitutionnelle visant à purifier les lieux publics de toute référence à Dieu ou à la religion.
Pourtant, il existe une solution très simple à cette angoisse annuelle de savoir si les étudiants et les enseignants peuvent afficher des affiches liées à Noël, porter les couleurs de Noël rouge et vert ou chanter des chansons de Noël, et c'est que les représentants du gouvernement cessent d'être de tels imbéciles et créent une ambiance dynamique, environnement ouvert où toute expression peut s’épanouir.
RépondreSupprimerBien que le premier amendement interdise au gouvernement d’imposer la religion aux gens ou d’approuver une religion particulière plutôt qu’une autre, il n’existe aucune raison juridique légitime pour laquelle les gens ne devraient pas pouvoir célébrer librement la fête, se souhaiter un joyeux Noël ou même mentionner le mot Noël. .
Après tout, le Premier Amendement affirme le droit à la liberté de religion, et non la liberté de religion.
Dans l’espoir de dissiper le malentendu juridique sur les choses à faire et à ne pas faire lors de la célébration de Noël, les questions et réponses constitutionnelles du Rutherford Institute sur les « Douze règles de Noël » fournissent des lignes directrices de base pour célébrer légalement Noël dans les écoles, les lieux de travail et ailleurs.
Pourtant, même si Noël peut être le « déclencheur » d’une purge de Noël des lieux publics, des forums gouvernementaux et de la parole – sauf quand cela profite aux entreprises américaines – cela fait partie intégrante de la tendance plus large de ces dernières années à réduire la liberté d’expression et à piétiner le Premier ministre. Amendement sous les pieds.
Tout ce qui pourrait faire naître le spectre d’une polémique est évité à tout prix.
Nous assistons à l’émergence d’un droit tacite mais pourtant sanctionné par les tribunaux, qui n’apparaît pas dans la Constitution et qui semble pourtant l’emporter à chaque instant sur le Premier Amendement : le droit de ne pas être offensé.
De cette manière, enhardie par des expressions telles que « crimes de haine », « intimidation », « extrémisme » et « microagressions », la liberté d’expression a été confinée à des « zones de liberté d’expression » soigneusement construites, criminalisées lorsqu’elle s’approche trop près de la contestation du statut. quo, honteux lorsqu’il se heurte à des idéaux politiquement corrects, et muselé lorsqu’il apparaît dangereux.
Au moindre signe de problème, les responsables gouvernementaux (et les entreprises) sont enclins à rejeter tout ce qui pourrait être répréhensible.
Pourtant, en fin de compte, ce que l’État policier veut en réalité, c’est une nation de flocons de neige, de mouchards et de brûleurs de livres : une nation légaliste, intolérante, élitiste, prête à se retourner les uns contre les autres et à se livrer à la moindre infraction. , tout en étant incapable de présenter un front uni contre les menaces posées par le gouvernement et sa cabale d’agences et d’entreprises partenaires destructrices de la Constitution.
Vous voulez savoir pourquoi ce pays est dans cet état ?
RépondreSupprimerLa réponse est la même quel que soit le problème, qu'il s'agisse de l'économie, de la corruption gouvernementale, de la brutalité policière, des guerres sans fin, de la censure, de la baisse du taux d'alphabétisation, etc. : chacun de ces problèmes peut être attribué au fait que « nous, le peuple, avons cessé de penser par nous-mêmes et avons abandonné la responsabilité de notre vie et de notre bien-être à une entité gouvernementale qui nous considère uniquement comme des idiots utiles.
Le philosophe grec Socrate croyait qu’il fallait apprendre aux gens à penser par eux-mêmes et au libre échange des idées. Pour ses efforts, il fut accusé de corrompre la jeunesse et mis à mort. Cependant, son héritage s'est perpétué dans la méthode d'enseignement socratique : poser des questions qui aident petits et grands à découvrir les réponses en apprenant à penser par eux-mêmes.
Aujourd’hui, même la capacité de penser par soi-même est en danger d’extinction.
Comme l’a observé Rod Serling, créateur de la série classique de science-fiction Twilight Zone et l’un des commentateurs les plus perspicaces sur la nature humaine : « Nous développons une nouvelle citoyenneté. Celui qui sera très sélectif en matière de céréales et d’automobiles, mais qui ne sera pas capable de réfléchir.
Nous sommes confrontés à une immense menace dans notre société en raison de cette volonté d’effacer notre histoire et nos traditions afin d’ériger une vision sucrée de la réalité. Ce faisant, nous créons un monde schizophrénique dans lequel nos enfants pourront grandir, et ce monde n’est ni sain ni ne produira le genre de personnes capables de relever les défis d’un avenir gouverné par un régime totalitaire.
Comme je l’explique clairement dans mon livre Battlefield America : The War on the American People et dans son homologue fictif The Erik Blair Diaries, vous ne pouvez pas assainir la réalité. Vous ne pouvez pas éliminer toute pensée ou idée désagréable. Vous ne pouvez pas légiférer sur la tolérance. On ne peut pas créer suffisamment d’espaces sûrs pour éviter la laideur qui se cache dans le cœur des hommes et des femmes. On ne peut pas combattre l’ignorance avec les armes d’un État policier.
Ce que vous pouvez faire, cependant, c’est intensifier votre jeu.
RépondreSupprimerOptez pour la gentillesse plutôt que la brusquerie et la courtoisie plutôt que la censure. Choisissez la paix plutôt que la politique et la liberté plutôt que le fascisme. Trouvez un terrain d’entente avec ceux dont la politique, les opinions ou les modes de vie ne correspondent pas aux vôtres.
Faites votre part pour rendre le monde un peu plus lumineux et un peu plus léger, et peut-être, juste peut-être, aurons-nous une chance de sortir de ce trou.
https://www.zerohedge.com/political/bah-humbug-police-state-wants-us-be-nation-snowflakes
Dans les coulisses d'OpenAI - Les débuts de « Skynet » ?
RépondreSupprimerHashtable
sam., 09 déc. 2023 10:26 UTC
Il y a de cela à peine plus d'un an, le monde découvrait ChatGPT, offrant un nouveau sujet de discussion à quelques utilisateurs fascinés pendant les repas de fêtes : enfin, l'intelligence artificielle commençait à ressembler à ce que nous vendait la science-fiction depuis des décennies.
Intelligence artificielle
Bien sûr, il n'a pas fallu longtemps pour que les prouesses démontrées par les grands modèles de langage soient quelques peu raillées par les plus sceptiques, au moyen de l'une ou l'autre démonstration loufoque (depuis les dissertations sur le contenu nutritif des œufs de vache jusqu'aux niaiseries sur le cheval blanc d'Henri IV dont la couleur semblait alors impénétrable pour ces intelligences très artificielles).
Néanmoins, l'année 2023 permit d'empiler les preuves que ces modèles résolvaient malgré tout avec brio certains types de problèmes ou d'examens, ce qui n'a pas manqué d'imposer des questions de plus en plus prégnantes sur l'avenir de certaines professions, artistes ou clercs par exemple, qui, confrontés aux prouesses fournies par ces outils, commencent à sérieusement remettre en question leur façon de travailler.
Intelligence artificielle
Sans surprise, ces interrogations ont été rapidement l'objet de récupérations par les politiciens qui, jouant sur les peurs sans lesquelles ils sont vus comme ce qu'ils sont vraiment, à savoir des saltimbanques plus ou moins colorés, ont rapidement poussé des lois et autres projets législatifs contraignants afin de « réguler tout ça » tant cela pouvait constituer, à l'évidence, une menace potentielle pour l'Humanité (et certaine pour leurs postes).
Cependant, entre d'un côté l'inertie très importante des institutions bureaucratiques, l'incapacité naturelle des politiciens à saisir réellement les complexités de ces nouvelles technologies et, de l'autre, la rapidité fulgurante des développements dans le domaine, l'année fut rapidement remplie d'innovations et de progrès qui ont (heureusement ?) laissé l'essentiel des observateurs et l'engeance politicienne quelque peu cois.
Et c'est ainsi qu'on se retrouve, une douzaine de mois plus tard, avec un fourmillement de développements surprenants.
Dans le domaine artistique, le chemin parcouru est grand depuis les premières moutures de DALL-E ou MidJourney. Non seulement le nombre d'outils pour produire des images a explosé, mais on en trouve maintenant qui sont capables de composer l'image à partir d'une entrée textuelle et de guides graphiques fourni par l'utilisateur, comme krea.ai par exemple.
RépondreSupprimerCe qui était du seul domaine de l'image fixe touche à présent les vidéos dont de courtes séquences peuvent être produites directement, toujours à partir d'une simple description.
Macron - Intelligence artificielle
Bien évidemment, c'est encore loin d'être parfait, il y a notamment des soucis de cohérence temporelle - le fait de conserver le sujet et son contexte de façon cohérente d'une image à l'autre - mais petit-à-petit, les outils permettent d'envisager de produire des petits clips de plus en plus longs. On se rappellera qu'il n'y avait rien il y a deux ans.
Sans surprise, ce qui est possible avec des images est possible avec du son, et les outils de reproduction de voix crédibles sont maintenant légion. Petit-à-petit, la création musicale s'ouvre aux réalisations artificielles, depuis la production chantée jusqu'aux petits clips musicaux d'accompagnement de contenu.
Commentaire : Comme ici, par exemple, et bien que ce ne soit pas une création « totale », cela donne tout de même un aperçu de ce qui peut être fait :
Cependant, toutes ces innovations ne sont finalement que des extensions, de plus en plus pointues, précises et efficaces, de ce qu'on avait déjà pu entrevoir depuis les deux ou trois dernières années : d'un côté, des progrès importants sur les modèles de langages, basés essentiellement (pour schématiser grossièrement) sur un papier paru il y a 10 ans de cela (Word2Vec) et les développements consécutifs, chez Google Deepmind, des « transformers » depuis 2017. En image (et toujours en simplifiant beaucoup), ce sont les recherches sur les espaces latents qui ont donné naissance à toute une famille de procédés pour produire des images d'une qualité renversante à partir de descriptions textuelles.
A contrario, ce qui s'est passé dans les derniers jours de novembre à OpenAI, la société qui a notamment développé Dall-E et ChatGPT, indique peut-être qu'une nouvelle page s'écrit fébrilement en matière d'intelligence artificielle, aux conséquences potentiellement bien plus profondes encore que ce qu'on a vu jusqu'à présent.
En l'espace de quelques jours, le monde de l'intelligence artificielle a ainsi été confronté à une série de montagnes russes : le 17 novembre, Sam Altman, le co-fondateur d'OpenAi, apprend qu'il est viré de sa société. Microsoft, le plus gros partenaire (qui la finance à hauteur de 10 milliards de dollars sur 10 ans), n'apprend la nouvelle que quelques minutes avant le reste du monde. Dans la foulée, Greg Brockman, l'autre co-fondateur d'OpenAI, démissionne de sa position de président du conseil.
RépondreSupprimerLe 18, Mira Murati est désignée PDG par intérim. Le 19, alors que la nouvelle du licenciement d'Altman continue de faire des remous, on apprend que Microsoft l'embauche ainsi que Brockman pour diriger une nouvelle division de recherche et développement. Le 20, l'ancien patron de Twitch, Emmett Shear, annonce qu'il va devenir le PDG d'OpenAI, alors même que plus de 500 employés de la société signent une lettre ouverte menaçant de démissionner si Altman n'est pas réintégré. Le 21, la situation devient effervescente au point qu'en fin de journée, la société annonce être parvenue à un accord pour le retour d'Altman.
Compte-tenu de la médiatisation de cette affaire, une question est sur toutes les lèvres : que s'est-il réellement passé pour arriver à un tel désastre de communication ? Comment peut-on imaginer que les responsables du conseil d'administration ont pu se sentir obligé de virer Altman pour le reprendre une poignée de jours plus tard ?
Intelligence artificielle
On se doute, confusément, que ces membres ont dû être particulièrement secoués pour aboutir à leur décision qui apparaît prise sous le coup de l'émotion. Les spéculations sont allé bon train sur ce qui les aurait ainsi incité à une telle extrémité, puis à un tel revirement.
Depuis sont apparues des fuites et des rumeurs insistantes, plus ou moins corroborées par des éléments de recherche et des avancées publiées précédemment tant par OpenAI que d'autres groupes du domaine, qui proposent quelques explications sur le comportement observé.
En substance, OpenAI aurait développé (le conditionnel est ici de rigueur) un nouveau moteur - Q* (prononcé Q-star) - qui pourrait constituer une percée majeure vers l'intelligence artificielle générale (AGI), c'est-à-dire un système autonome surpassant les humains dans la plupart des tâches à valeur économique.
Fuite capacités Intelligence artificielle
RépondreSupprimerLa fuite ci-dessus, qu'il faut prendre avec toutes les précautions d'usage, semble indiquer que Qualia (cette instance de Q*) aurait été capable de développer et de pratiquer des mathématiques capables de casser AES-192 en un temps trivial. Il s'agit d'un algorithme cryptographique actuellement employé dans de très nombreuses applications (en version AES-256 la plupart du temps), depuis les transmissions militaires jusqu'aux transactions financières. On peut donc souhaiter que la fuite soit aussi fausse que possible, l'existence d'un moteur permettant de décrypter rapidement des messages ainsi cryptés pouvant avoir des répercutions potentiellement catastrophiques en terme de sécurité.
Mais la fuite va plus loin.
Il apparaît en effet que Qualia serait capable de recommander des changements dans son propre code pour permettre des améliorations majeures et des optimisations. Autrement dit, il serait capable de se modifier lui-même afin de s'améliorer à la volée, une caractéristique des moteurs métamorphiques qui ouvrent la voie à des améliorations de plus en plus rapides. Cette capacité serait illustrée par ce choix de dénomination, Q*, qui indiquerait un mélange entre Q-Value (un procédé statistique) et A*, un algorithme (classique en intelligence artificielle) de parcours de graphes, et qui se traduirait par deux comportements spécifiques du moteur résultant, à savoir la possibilité de raisonner contre soi-même (« self-play ») - ce qui reviendrait à entraîner le modèle contre différentes versions de lui-même - et la possibilité de planification en avance (en se basant sur des principes de commande prédictive ou de recherche arborescente type Monte Carlo).
L'élément suivant, publié sur le forum 4Chan, peut aussi bien être un gros troll dont ce forum est coutumier qu'une véritable fuite. Dans ce dernier cas, ce qui est exposé corrobore le point précédent par lequel le moteur actuellement en développement chez OpenAI serait capable d'auto-optimisation.
IA 4Chan fuite
Commentaire : Merci au lecteur de l'article originale qui a, dans un commentaire, débroussailler ce que disent ces deux captures d'écran :
Pour simplifier à l'extrême : jusqu'à présent, l'IA est capable de faire ce pour quoi on l'a entraînée (des dessins, rédiger des textes...). Ce que disent les captures d'écran, c'est que les ingénieurs se sont aperçus que l'une de leur IA était devenue capable de s'améliorer elle même en reprogrammant ses sous-programmes, et qu'une fois découverte cette piste d'amélioration, elle s'était empressée de procéder à 78 millions d'améliorations successives en... 4 secondes. Or cette faculté d'évolution n'avait pas été explicitement incluse dans sa programmation.
Outre le fait que cela risque de conduire à perdre la maîtrise de l'IA, cette faculté d'auto-amélioration, si elle est avérée, pourrait constituer également un premier pas vers l'affirmation d'une conscience d'elle-même (« self-awareness »).
RépondreSupprimerIl est bien sûr difficile de croire à ces exploits : des affirmations extraordinaires requièrent des preuves extraordinaires. On devra donc se contenter de conjectures... et d'enquêtes internet rebondissantes.
Bref, indubitablement, l'intelligence artificielle connaît actuellement une phase d'accélération sans précédent et il n'est plus impossible que certains des buts les plus nobles, jugés fort lointains, soient atteints très tôt dans les prochaines années au lieu de décennies.
Devant cet emballement, on se rassurera en constatant qu'en France cependant, on a su conserver un esprit critique affûté à ce sujet.
https://h16free.com/2023/12/08/76097-dans-les-coulisses-dopenai
Les usines chinoises de robots humanoïdes seront mises en ligne en 2025 et la moitié de la main-d'œuvre humaine sera éliminée
RépondreSupprimer12/08/2023
Ethan Huff
L’année 2030 s’annonce comme l’année de la fin d’une multitude de grands projets mondialistes, parmi lesquels des robots humanoïdes qui remplaceront une grande partie de la main-d’œuvre humaine, tant les cols bleus que les cols blancs.
La Chine communiste déclare qu'elle envisage de commencer à libérer ses propres robots humanoïdes, dont l'un s'appelle GR-1, dès 2025. GR-1 sera censé être si avancé qu'il rendra obsolètes de nombreux travailleurs humains - vous pouvez voir une photo du Concept GR-1 sur Fftai.cn.
Une traduction anglaise d'un article chinois sur les robots humanoïdes explique comment ils seront intégrés à des technologies avancées telles que l'intelligence artificielle (IA), la fabrication haut de gamme et les nouveaux matériaux. On s’attend à ce qu’ils deviennent des produits disruptifs semblables aux ordinateurs, aux smartphones et aux véhicules à énergie nouvelle dès leur lancement.
Les robots humanoïdes chinois vont « profondément changer la production et le mode de vie humains et remodeler le monde », affirme l'article, ajoutant que la technologie des robots humanoïdes progresse si rapidement qu'elle devrait devenir un nouveau haut lieu de concurrence technologique ; une nouvelle piste pour les industries du futur ; et un nouveau moteur de développement économique.
Mais qu’en est-il des milliards de travailleurs humains ? Si les robots humanoïdes deviennent réellement réels et les rendent obsolètes, cela contribuera à réaliser le programme mondialiste de dépopulation.
"Un programme mondial de dépopulation est en cours", explique Mike Adams, le Health Ranger, dans l'épisode ci-dessous de "The Health Ranger Report".
RépondreSupprimer"Ce programme de dépeuplement a été précipité, et il est encore précipité – c'est pourquoi ils ont dû lancer les vaccins biologiques, et maintenant ils travaillent sur la Troisième Guerre mondiale comme moyen de dépeuplement et ils font de la géo-ingénierie et des chemtrails et augmentent l'exposition aux pesticides et provoquant l'infertilité par de nombreux moyens différents, y compris les produits à base de soja, l'atrazine, dans l'eau, dans les aliments, toutes sortes de choses pour arrêter les naissances – parce que les progrès de l'IA ont pris les mondialistes par surprise. a progressé jusqu'au point où il peut désormais prendre en charge les processus humains, y compris non seulement l'écriture et la production d'art, mais aussi le traitement du comportement, les modèles de comportement physique pour prendre en charge le travail humain.
Xi Jinping derrière le concept de robot humanoïde pour une « nouvelle ère »
Comme pour la plupart des technologies futuristes comme celle-ci, les robots humanoïdes sont déjà vendus au public sous prétexte de contribuer à améliorer l’économie et à rendre le monde plus vivable. Mais comment cela peut-il être vrai si des milliards de personnes doivent mourir pour que des robots humanoïdes prennent leur place ?
Microsoft travaille sur un projet qui créera des robots humanoïdes pour remplacer les cols blancs, tandis que la Chine communiste travaille sur des robots humanoïdes pour remplacer les cols bleus. En d’autres termes, aucun travailleur humain n’est à l’abri des robots humanoïdes.
"Les emplois ouvriers vont être conquis à un tel point que les mondialistes ont réalisé que la seule façon de maintenir le contrôle est d'éliminer des milliards d'êtres humains qui autrement se retrouveraient au chômage et probablement dans des émeutes", dit Adams.
Le président chinois Xi Jinping serait à l'origine de la technologie des robots humanoïdes, en la guidant dans ses « Réflexions sur le socialisme à la chinoise pour une nouvelle ère ». Cette doctrine a été pleinement mise en œuvre par le 20e Congrès national du Parti communiste chinois.
D’ici 2025, la Chine aura réussi à créer des robots humanoïdes contenant des éléments tels qu’un « cerveau, un cervelet et des membres ». De tels robots présentant ces caractéristiques seront alors prêts pour une production de masse, après quoi ils inonderont le monde jusqu’à saturation d’ici 2030.
D’ici 2027, l’innovation technologique et les capacités des robots humanoïdes progresseront encore davantage. Cette même année, la Chine espère créer un système de chaîne d’approvisionnement industriel sûr et fiable ainsi qu’un écosystème industriel compétitif au niveau international pour accueillir les robots.
Un domaine technologique que la Chine consacrera une grande partie de son temps à améliorer progressivement est la composante « cerveau » des robots. Ceux-ci seront basés sur l’IA avec une programmation visant à améliorer la perception environnementale, le contrôle comportemental et l’interaction homme-machine.
La composante technologique des « membres » des robots empruntera aux fondations technologiques robotiques existantes, y compris les « membres robotiques » utilisés en milieu chirurgical. À mesure que la technologie progresse, le mouvement de ces membres robotiques deviendra plus réaliste.
RépondreSupprimerLa partie « corps de la machine » des robots contiendra des éléments tels que des « os » légers, une structure corporelle à haute résistance, une détection de haute précision et des technologies de gestion de l'énergie durables et hautement efficaces.
Il existe des fonctions potentielles moins évoquées pour les robots humanoïdes qui sont beaucoup plus dystopiques, y compris leur utilisation possible en tant qu'agents chargés de l'application de la loi ou de représentants du gouvernement. On craint même que des robots humanoïdes ne soient utilisés comme robots « terminateurs » pour faire exploser des cibles.
"Ces robots seront placés dans les situations les plus dangereuses et se verront confier les tâches les plus dangereuses", explique Adams.
"Et ils seront très efficaces en tant que terminateurs. Pour que l'humanité survive, nous devrons apprendre à tuer les robots, et nous serons en guerre contre ces robots tôt ou tard parce que ces robots suivront les ordres." sans discernement. »
Une chose à retenir est que, quel que soit le degré d’avancement des robots humanoïdes, ils n’auront jamais, du moins dans la mesure où la technologie existante le permet, la véritable capacité de raisonner ou de traiter les choses de la même manière que le cerveau humain. Cela signifie qu’ils seront toujours inadéquats et que les humains seront toujours préférables pour effectuer des tâches, en particulier celles qui nécessitent une réflexion et une considération approfondies.
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Sources for this article include:
Brighteon.com
Fftai.cn
Miit.gov.cn
https://www.naturalnews.com/2023-12-08-china-humanoid-robot-factories-2025-human-workforce.html
La libération de milliards de machines à café ou à laver n'a jamais ému le Peuple car ses constructions viennent de lui au travers de ces personnes avancées dans la technologie.
SupprimerAujourd'hui est lancé un PROGRAMME appelée 'LIA' qui n'a AUCUNE structures internes à aborder les problèmes des vivants mais d'en élaborer une structure différente !
Le problème avec le robot dit 'humanoïde' est qu'il n'a... que 2 pattes (d'où son instabilité).
Pourquoi pas un centaure ? Un centaure est un 'être' avec 4 pattes et corps (ou cou) avec 2 bras et une tête. Il peut donc se tourner le torse à 180° pour poser des objets sur son dos ou dans des sacoches posées à côté de son dos.
Que la Chine soit dite 'communiste' ou 'capitaliste' n'a aucun sens scientifique.
Le terme de la technologie avancée est DE SERVIR LE PEUPLE comme étant un esclave non-vivant.
Belle découverte ! Enfin le Peuple réduit à marcher à pieds, puis à cheval ou à bicyclettes peut avoir aujourd'hui des voitures, avions ou bateaux à moteur !
Bravo la Chine !
Mais là où serait le problème est de type 'terminator' qui - suivant un programme enregistré - peut éliminer les êtres vivants dans ses parages ! C'est là une discussion entre les criminels psychopathes au pouvoir qui tendent à en développer l’existence.
Alex Jones, Elon Musk, Donald Trump, le renseignement militaire, les guerres de l'IA et Skynet
RépondreSupprimer11/12/2023
Mike Adams
Ce qui suit est une transcription partielle générée automatiquement de l'émission de Mike Adams (Brighteon Broadcast News) du 12 décembre 2023. L'épisode complet est disponible en format audio sur ce lien sur Brighteon.com (publié tard lundi matin).
Bienvenue aux informations diffusées par Brighteon du lundi 11 décembre 2023. Mike Adams ici, merci de vous joindre à moi aujourd'hui. Le titre provisoire de ce podcast est « Alex Jones réintégré sur Twitter alors que de puissants réseaux de renseignement approfondis se préparent à réintégrer Trump pour maintenir l'Amérique en vie. »
Maintenant, ce titre peut changer au moment où vous voyez ceci, mais cette dernière phrase est vraiment essentielle à comprendre : Pour garder l’Amérique en vie. Et ce que je vais vous révéler aujourd'hui ici dans cette analyse, c'est que la réintégration d'Alex Jones sur Twitter n'est pas un hasard. Et cela a des implications bien plus importantes que ce que la plupart des gens imaginent. Parce que cela coïncide avec Elon Musk, l’armée, ce que j’appelle les réseaux de renseignement profonds, et comment ils soutiennent désormais Elon Musk, et ils soutiennent Tucker Carlson. Et ils se préparent également à remettre Trump au pouvoir pour un troisième mandat. Et ce n'est pas une faute de frappe. Ce serait le troisième mandat de Trump, et non son deuxième, bien que le deuxième mandat ait été illégalement occupé et écrasé par le régime anti-américain de Biden.
Je veux expliquer cela dès le départ. Et puis j'entrerai dans les détails dans cette émission. Mais il y a essentiellement deux factions qui se battent actuellement pour le contrôle de l’Amérique. Il y a d’un côté la faction mondialiste, caractérisée par Barack Obama, Joe Biden et le sentiment anti-américain. Le mondialisme et la grille de contrôle travaillent à détruire l’infrastructure américaine, à détruire la monnaie américaine. Il y a en fait des gens au sein de l’administration Biden qui tentent de faire effondrer le dollar. Et d’ailleurs, ils font du très bon travail. Ils veulent rendre l’Amérique dépendante de l’énergie du Moyen-Orient. Ils veulent détruire la culture américaine. Ils veulent détruire la Constitution américaine. Ils sont anti-premier amendement, anti-deuxième amendement. Et effectivement, ils sont anti-militaires dans le sens où ils veulent également détruire l’état de préparation militaire de l’Amérique, ce qu’ils ont fait dans une large mesure jusqu’à présent. Regardez ce qui s’est passé avec le retrait américain d’Afghanistan.
Soit dit en passant, un facteur majeur qui joue dans tout cela est la défaite de l’OTAN face à la Russie, dont je parlerai plus en détail. Voilà donc la première faction. C'est encore une fois la faction mondialiste, qui croit au dépeuplement. Ils méprisent tout ce que l’Amérique représente et travaillent méticuleusement à détruire l’Amérique de l’intérieur.
RépondreSupprimerTrump est le candidat de choix de la faction pro-américaine opposée à la mondialisation
De l’autre côté, il y a la faction pro-américaine qui, je tiens à être clair, est toujours dirigée par des intérêts corporatifs très puissants. Mais ils veulent voir l’Amérique maintenir son pouvoir sur le monde parce que, eh bien, c’est un projet tellement génial. Avoir le statut de pétrodollar et pouvoir simplement imprimer de l'argent et échanger de l'argent contre des biens et des services dans le monde entier est un excellent système. Vous savez, c'est formidable d'être au sommet de l'armée américaine alors que c'est l'armée la mieux financée au monde. C'est formidable de recevoir des commissions occultes sur les armes destinées à l'Ukraine et sur d'autres types de contrats que le gouvernement fédéral conclut actuellement.
Cette faction, que j’appelle la faction pro-américaine, veut voir l’Amérique survivre sur la scène mondiale. Ainsi, même si elles s’opposent à la faction mondialiste, les factions pro-américaines jouissent toujours du pouvoir et des profits, elles adorent imprimer de l’argent, et elles ont aussi leurs doigts dans les cartels pharmaceutiques et dans les médias, etc. Ce ne sont pas, disons, des chapeaux blancs, mais ce ne sont pas non plus les chapeaux noirs des mondialistes qui tentent de nous détruire tous. Ce que l’on pourrait dire, c’est que la faction pro-américaine, qui consiste en réalité en ce que j’appelle des réseaux de renseignement profonds, je ne parle pas de la CIA. Je parle du renseignement militaire, de certaines factions au sein de la Defense Intelligence Agency et de certains autres groupes, voire de quelques sortes de renégats au sein du FBI, de ces réseaux de renseignement approfondis, ils ne veulent pas voir l'Amérique détruite et ils ne veulent pas voir l'armée américaine détruite.
Ils ont désormais pris le dessus en interne, en raison des échecs catastrophiques de la faction mondialiste et de l’administration Biden. Et même si cela n’est pas évident à première vue, l’échec le plus étonnant qui ait eu lieu et qui a effectivement cédé le pouvoir à la faction du renseignement militaire est la défaite de l’OTAN en Ukraine. Cela envoie une onde de choc dans tout le système, à savoir que l’armée américaine n’a pas pu vaincre la Russie et qu’elle a dû utiliser les médias occidentaux pour diffuser toutes sortes de propagande et de mensonges mois après mois, même maintenant, deux ans plus tard, juste après. pour essayer de cacher leurs échecs, et leurs échecs ont été absolument monumentaux.
L’échec des sanctions contre la Russie a absolument échoué. L’économie russe est plus forte qu’elle ne l’était avant la guerre. La monnaie russe est plus résiliente. Les exportations énergétiques de la Russie ont atteint des chiffres records. La Russie possède désormais un niveau record de fabrication de munitions au niveau national, et la Russie a construit une infrastructure nationale de fabrication de munitions massive qui est totalement inégalée par l’ensemble de l’Europe occidentale ainsi que par les États-Unis. Ainsi, la faction du renseignement militaire pro-américain, qui est pro Trump et pro Elon Musk, a, je crois, travaillé pour obtenir la réintégration d’Alex Jones. Cette faction en avait tellement marre de la défaite de l’Amérique face aux crétins incompétents et historiquement analphabètes de l’administration Biden, y compris du Département d’État, qu’elle a déclenché une révolte de l’intérieur qui a désormais établi le contrôle des principaux nœuds d’influence et de prise de décision. appelons cela la prise de décision exécutive au sein des réseaux de renseignement. Cela leur donne désormais l’avantage pour vaincre les mondialistes et réinstaller littéralement Trump au pouvoir à partir de 2025. Trump lui rendra alors la pareille, bien sûr, en exprimant sa loyauté pour un financement supplémentaire pour le complexe militaire, industriel, les réseaux de renseignement et les produits pharmaceutiques. , l'énergie domestique et bien plus encore.
RépondreSupprimerTrump soutient l’Amérique, mais soutient également les grandes sociétés pharmaceutiques, les grosses dettes et les grosses dépenses militaires.
Alors, permettez-moi d’être clair à ce sujet, car il ne s’agit pas d’un scénario noir ou blanc. Et j'essaie de ne pas insérer mes propres opinions là-dedans. J’essaie de ne pas dire que Trump est bon ou que Trump est mauvais, mais plutôt de simplement vous expliquer les causes et les effets. Trump soutient donc les grandes sociétés pharmaceutiques, la grande guerre, les grandes banques. Et on peut aussi parler du grand Israël, qui est le contingent sioniste d’Israël, qui contribue également à soutenir les guerres militaires au Moyen-Orient. Trump est à fond sur toutes ces choses, que cela vous plaise ou non, mais il soutient également l'énergie nationale, ce qui, à mon avis, est une bonne chose pour que l'Amérique ait son propre approvisionnement en énergie et sa propre infrastructure énergétique, afin que nous soyons plus autonomes dans ce domaine. de cette façon. Mais Trump soutient également l’impression massive de monnaie et des taux d’intérêt artificiellement bas afin de provoquer une création monétaire excessive ou un assouplissement quantitatif, ce qui finit par gonfler le marché boursier, faire monter les prix de l’immobilier, provoquer de l’inflation et donner temporairement une bonne impression d’un point de vue budgétaire. de vue. En plus de cela, Trump, en tant que président, approuvera des paiements massifs à l’armée. Nous parlons de plus de mille milliards de dollars de financement par an pour l’armée américaine. Trump soutiendra également des aides massives aux géants pharmaceutiques, car ils le soutiennent d'une certaine manière, je crois, afin de s'assurer qu'il soit réélu, alors qu'à l'heure actuelle, l'administration Biden parle d'utiliser les pouvoirs du gouvernement pour s'emparer du pouvoir intellectuel. propriété des produits pharmaceutiques brevetés, les retirant ainsi à la société pharmaceutique.
Biden revendique essentiellement un domaine éminent pour les brevets sur les médicaments, puis accorde ces brevets sous licence à des fabricants OEM ou à des fabricants tiers qui fabriqueraient ces médicaments à très bon marché, que le gouvernement achèterait ensuite afin de distribuer ces médicaments via Medicare, et finalement Medicaid au niveau de l'État. programmes. Du point de vue des grandes sociétés pharmaceutiques, cette menace est donc une menace existentielle pour le modèle même de profit du complexe industriel pharmaceutique. Les grandes sociétés pharmaceutiques gagnent l'essentiel de leur argent, les géants ne se débrouillent qu'avec quelques médicaments clés, et généralement pendant quelques années seulement, pendant que ces médicaments sont sous brevet, car tous les brevets expirent. Ainsi, une société pharmaceutique typique peut avoir 200 médicaments en préparation, sachant que 190 d’entre eux vont échouer. Cela laisse 10 médicaments, disons, qui sont viables sur le marché. Et sur ces 10, huit d’entre eux le feront et ils pourraient avoir un ou deux médicaments à succès qui génèrent tous les profits qui couvrent les pertes de tous les autres médicaments qui ont échoué. Eh bien, ces un ou deux médicaments maintenant, ce sont ceux que l’administration Biden veut saisir, privant ainsi les grandes sociétés pharmaceutiques de cette manne de revenus sur laquelle elles comptent pour maintenir leur rentabilité. C’est pourquoi même Pfizer réduit actuellement la production de vaccins contre la COVID et licencie de nombreuses personnes dans certaines divisions de l’entreprise. Big Pharma a besoin, pourrait-on dire, d’un nouveau coup de pouce. Et Trump est exactement la personne qui, selon eux, leur permettra d’y parvenir, car Trump sera tout à fait d’accord pour accélérer le traitement des médicaments, des vaccins et répondre aux pandémies à venir d’une manière qui favorise les bénéfices nets des sociétés pharmaceutiques au niveau mondial. en même temps.
RépondreSupprimerLes réseaux de renseignement approfondis considèrent Trump comme leur champion du financement et Elon comme leur passerelle vers les champions de la parole.
Maintenant, vous pourriez vous demander : pourquoi alors Alex Jones est-il réintégré sur Twitter ? Et qu’est-ce qu’Elon Musk a à voir avec tout ça ? Eh bien, Elon Musk est profondément impliqué dans des projets de recherche pour l’armée. De nombreux projets expérimentaux, qui concernent des systèmes d'armes exotiques, des systèmes de lancement exotiques, des systèmes optiques exotiques et, bien sûr, des systèmes de liaison neuronale, qui constituent l'interface du cerveau humain, à la fois des systèmes de surveillance et de contrôle moteur actif. L’armée américaine sait que l’avenir de la guerre dépendra dans une large mesure des drones et des systèmes automatisés. Et nous parlerons de l’IA qui arrivera ici dans un instant. Mais une partie de la réponse résidera également dans les systèmes cyborgs. Maintenant, si vous pensiez qu'Elon Musk développait un lien neuronal parce qu'il veut aider les personnes en fauteuil roulant à marcher à nouveau, et c'est son seul moteur, parce qu'il est juste une bonne personne et veut aider les gens à retrouver leurs jambes, alors, malheureusement, vous tu es un imbécile. Il ne s’agit pas d’aider les personnes en fauteuil roulant à entrer, même si cela peut en être un effet secondaire. Mais le véritable objectif ici est de construire des soldats cyborgs.
RépondreSupprimerLes soldats cyborgs seront dotés de systèmes d'exosquelettes ainsi que de véritables drones contrôlés par l'esprit. Ainsi, les drones automatisés, qu’ils soient aéroportés ou terrestres, pourraient avoir la forme de chiens ou d’écureuils. Ceux-ci seront sous le contrôle du soldat cyborg, qui sera une machine de combat très efficace car elle aura l'interface esprit-machine, ce qui est l'essence même du neurolink. Il est conçu pour permettre aux soldats de contrôler des systèmes cinétiques et des systèmes autonomes sans avoir à apprendre une interface informatique. Les soldats n'ont pas le temps d'ouvrir un écran, de choisir un menu déroulant et d'émettre des commandes, et ils n'ont pas de clavier à portée de main. Essayer d'installer ce genre de systèmes d'interface sur un soldat ne fonctionne vraiment pas très bien. Ce n'est pas faisable. Ces systèmes d’interface sont détruits à cause des éclats d’obus, etc. Même si vous attachez un clavier ou un écran au bras d'un soldat, eh bien, ce bras va probablement subir quelques coups à un moment donné, et alors tout votre système sera en panne.
L'armée comprend que les recrues humaines ne suffiront pas longtemps... voici les cyborgs, puis les soldats humanoïdes entièrement autonomes.
Mais deuxièmement, soldats, je suis désolé de le dire, mais les nouvelles recrues ne sont plus aussi intelligentes qu'avant. Les services militaires ont de plus en plus de difficultés à recruter de jeunes soldats. Et donc ils abandonnent les exigences en matière de QI. Pour certains secteurs du service militaire, il n'est même plus vraiment nécessaire de passer des examens, il suffit d'avoir un cœur qui bat, un corps qui fonctionne et d'être prêt à être formé. Et donc pour ces soldats moins sophistiqués, pour être équipés de systèmes cyborgs, ce qui est le but ultime, ils ont besoin de systèmes tout simplement plus intuitifs et moins techniques. Et il n’y a rien de plus intuitif que de simplement penser à ce que l’on veut faire. Si vous êtes un soldat cyborg, même si vous êtes un soldat cyborg à faible QI, mais vous êtes un soldat dévoué et un soldat loyal. Ensuite, avec un implant de lien neuronal, il ne vous reste plus qu'à penser à envoyer un chien drone kamikaze dans le bunker ennemi identifié par votre système infrarouge augmenté. Vous venez d'émettre mentalement la commande GO et vous n'avez pas besoin d'apprendre une interface.
L'armée comprend que les recrues humaines ne suffiront pas longtemps... voici les cyborgs, puis les soldats humanoïdes entièrement autonomes.
RépondreSupprimerMais deuxièmement, soldats, je suis désolé de le dire, mais les nouvelles recrues ne sont plus aussi intelligentes qu'avant. Les services militaires ont de plus en plus de difficultés à recruter de jeunes soldats. Et donc ils abandonnent les exigences en matière de QI. Pour certains secteurs du service militaire, il n'est même plus vraiment nécessaire de passer des examens, il suffit d'avoir un cœur qui bat, un corps qui fonctionne et d'être prêt à être formé. Et donc pour ces soldats moins sophistiqués, pour être équipés de systèmes cyborgs, ce qui est le but ultime, ils ont besoin de systèmes tout simplement plus intuitifs et moins techniques. Et il n’y a rien de plus intuitif que de simplement penser à ce que l’on veut faire. Si vous êtes un soldat cyborg, même si vous êtes un soldat cyborg à faible QI, mais vous êtes un soldat dévoué et un soldat loyal. Ensuite, avec un implant de lien neuronal, il ne vous reste plus qu'à penser à envoyer un chien drone kamikaze dans le bunker ennemi identifié par votre système infrarouge augmenté. Vous venez d'émettre mentalement la commande GO et vous n'avez pas besoin d'apprendre une interface.
Cela permettra donc aux systèmes d’augmentation cyborg d’être plus largement accessibles aux soldats humains moins qualifiés. Et bien sûr, en fin de compte, l'objectif de tout ce programme est de remplacer l'élément humain et de passer de soldats cyborgs à des soldats robotiques humanoïdes entièrement automatisés qui n'ont même pas besoin d'être formés pour penser car ils sont simplement programmés et téléchargé avec des systèmes autonomes.
Alors, qu’est-ce que cela a à voir avec Elon Musk, Alex Jones, Tucker Carlson et Donald Trump ? Eh bien, tout, c'est simple. Pour que les États-Unis restent viables, en termes de projection militaire dans le monde, ils doivent développer des systèmes de drones et de cyborgs plus autonomes. Elle doit devenir un leader mondial dans le domaine de l’IA, ainsi que des implants de neuro-liens ainsi que d’autres technologies clés, telles que les missiles hypersoniques, que les systèmes d’IA peuvent d’ailleurs théoriquement aider à développer. Elon Musk est considéré comme un gardien clé dans cette quête de technologies appliquées. Or, Elon Musk n’est pas lui-même le théoricien le plus brillant du monde. Mais il est très, très doué pour appliquer la science à des questions pratiques. Il traduit la théorie en pratique. Et il l'a prouvé avec ses systèmes satellitaires, ses systèmes de lancement de fusées et ses systèmes d'atterrissage de récupération de fusées ainsi qu'avec les véhicules Tesla.
Elon mérite une immense reconnaissance pour être un agrégateur de technologies en vue d'un déploiement pratique. Et c’est ce qui manque actuellement à l’armée. Et c'est ce dont ils ont besoin. Je pense donc qu’un accord a été conclu entre les réseaux de renseignement militaire profonds et Elon Musk. Et cet accord implique la réintégration de Trump. Et Tucker Carlson a été activé sur Twitter afin d’aider à ramener Trump en s’attaquant à fond au régime fasciste de Biden. Et les perdants de gauche qui perdent nos guerres en Ukraine, et potentiellement au Moyen-Orient, et certainement bientôt à Taiwan. En d’autres termes, Elon Musk a reçu le feu vert pour activer toute personne qu’il juge nécessaire pour aider à inverser la tendance contre la rhétorique anti-Trump qui existe. Et pour révéler la vérité sur combien les démocrates ont délibérément détruit l’Amérique, afin de réintégrer Trump à la présidence, ce qui nécessiterait un flot massif de soutien électoral pour Trump, et pour cette raison, je crois qu’Alex Jones a été réintégré.
RépondreSupprimerPourquoi Alex Jones n'aurait jamais dû être banni en premier lieu
Alex mérite d'être réintégré. Il n'aurait jamais dû être banni. Alex a eu plus raison que presque tous les acteurs des médias grand public depuis des décennies. Et tant de choses contre lesquelles Alex avait mis en garde se sont réalisées. Et nous vivons maintenant ces choses. Il mérite donc un énorme crédit. Il a été banni parce qu’ils voulaient le faire taire afin de truquer les élections de 2020, j’ai été banni pour la même raison. En fait, j'ai été banni en 2015, je pense, voire en 2014, j'ai été déplateforme avant Alex Jones. Mais après qu’Elon Musk a acheté Twitter, mon compte a été réactivé bien qu’il soit toujours très fortement interdit. Je m’attends à ce que cela s’inverse bientôt.
Mais d’ailleurs, les liens brighteon.com ne sont pas autorisés à être partagés sur Twitter. Et j’espère certainement que cela sera bientôt corrigé également. Parce qu’Elon Musk aura besoin de toute l’aide possible pour informer l’Amérique sur ce qui se passe réellement et pour préparer le peuple américain à abandonner les démocrates et à faire venir quelqu’un de différent. Le seul candidat viable du côté du GOP à l’heure actuelle est Donald J. Trump, il n’y a pas d’autre candidat. Donc abandonner les démocrates signifie en réalité soutenir Trump, mis à part le fait qu’il y a quelques candidats indépendants qui, je pense, ont des idées précieuses à partager, comme le Dr Shiva. Et certaines personnes aiment aussi beaucoup RFK, Jr. Mais d’un point de vue pratique, les candidats indépendants ont rarement une chance de remporter la Maison Blanche, il est presque impossible que cela se produise. Parfois, ils peuvent jouer un rôle de trouble-fête en refusant la Maison Blanche à l’un des autres candidats aux primaires, le démocrate ou le républicain. Mais il est rare qu’un indépendant soit élu à un poste important, même s’il peut néanmoins contribuer grandement aux débats et à la dynamique globale de l’élection.
Encore une fois, Elon Musk a reçu le feu vert pour réintégrer des personnes comme Alex Jones, et je pense que vous allez voir Alex parler très favorablement de la défense de l’Amérique, qui est un concept très important. Et je suis d'accord avec ce concept. Nous devons garder l’Amérique en vie. Et l’importance de renforcer la puissance militaire américaine afin de protéger nos frontières et de garantir que nous ne perdrons pas les guerres à l’étranger, comme c’est ce qui se passe actuellement. Alex Jones a vivement critiqué Trump dans le passé, et j’ai également critiqué Trump sur plusieurs questions telles que l’opération Warp Speed. Mais quand les choses se passent, la plupart des gens qui sont conscients de ce qui se passe si on leur donne un choix simple entre Joe Biden et Donald J. Trump, si ce sont les seules options, le choix est limpide. C'est Trump jusqu'au bout. Aucune personne sensée ne voterait pour Joe Biden.
RépondreSupprimerJe pense que les réseaux de renseignement militaires liés aux réseaux profonds, comme je les appelle, en sont très conscients. Aujourd’hui, il faudra beaucoup d’argent pour renforcer l’armée américaine et la rendre compétitive dans le monde. Trump sera prêt à soutenir des niveaux insensés d’impression monétaire, comme il l’a fait lors de sa première administration. Nous parlons donc de milliards de dollars imprimés. Mais Trump pourrait également être en mesure de rétablir les relations avec les Saoudiens et les Émirats arabes unis, qui se détournent actuellement du pétrodollar, ce qui aurait des effets catastrophiques sur le rôle du dollar sur la scène mondiale. Si Trump peut inverser cette tendance et ramener les Saoudiens au niveau du pétrodollar, alors il pourrait réellement prolonger la durée de vie du dollar lui-même, car le dollar est actuellement sous assistance respiratoire, grâce aux politiques catastrophiques et désastreuses de l’administration Biden.
Trump est essentiellement utilisé comme une sorte de médecin de combat pour le dollar, pour le réparer, arrêter l'hémorragie et ramener le dollar à la viabilité afin que plus d'argent puisse être imprimé, pour le remettre à l'industrie militaire. complexe pour travailler sur des systèmes d'armes plus exotiques tels que des drones autonomes, des systèmes d'interface Cyborg, des systèmes homme-machine, des missiles hypersoniques, mais aussi des armes spatiales exotiques via Space Force. C'est pourquoi Tucker Carlson a été amené sur Twitter. C'est pourquoi Alex Jones est réintégré. C'est probablement pour cela que j'ai été réintégré. Même si je n’ai probablement pas suivi le chemin que certaines de ces personnes voulaient que je suive. Mais j'admets qu'en fin de compte, s'il s'agit de Biden contre Trump, il ne fait aucun doute que je fais partie de l'équipe Trump à ce stade, même si j'ai été extrêmement critique à l'égard de certaines décisions de Trump, je le ferais beaucoup. Nous préférons vivre dans un monde où l’Amérique existe toujours, plutôt que dans un monde où nous sommes envahis par les mondialistes, où nous sommes sous le contrôle de l’ONU et où nous avons perdu notre Constitution. C'est pourquoi je dis que c'est une question très complexe pour nous tous, y compris pour vous qui écoutez ceci, vous n'obtiendrez pas un candidat parfait.
... this broadcast continues at https://www.brighteon.com/channels/hrreport
https://www.naturalnews.com/2023-12-11-alex-jones-elon-musk-donald-trump-military-intelligence-ai-wars-skynet.html
Les produits d’épicerie dans le premier « Home Alone » sont désormais 264 % PLUS ÉLEVÉS après impôts malgré les affirmations de Biden sur une « économie forte »
RépondreSupprimer10/12/2023
Belle Carter
Les prix des produits d'épicerie présentés dans le premier film "Home Alone", sorti en salles en 1990, ont augmenté depuis.
Le film mettait en vedette Macaulay Culkin, alors âgé de huit ans, dans le rôle du protagoniste Kevin McCallister. Le jeune McCallister avait été laissé seul à la maison par erreur la veille de Noël, ce qui l'avait incité à se rendre à l'épicerie pour acheter de la nourriture. Il a acheté du lait, du pain, du papier toilette, de la lessive, de l'assouplissant, du film alimentaire, des macaronis au fromage, un dîner télé à la dinde, du jus d'orange et un sac de petits soldats en plastique – le tout pour 19,83 $.
Nick Smith de NewsNation a récemment mené une expérience en achetant les mêmes articles que le personnage de Culkin a achetés à l'épicerie Happy Foods de Chicago. Il a payé un total de 72,28 $ après taxes, soit 264 pour cent de plus que le prix pratiqué pendant la période des fêtes il y a 33 ans. En 2022, Rochelle Chalmers, utilisatrice de TikTok, a également acheté les mêmes articles chez le géant de la vente au détail Kroger, pour un total de 44,40 $.
Les gens ne sont pas convaincus des affirmations de l’administration Biden sur une « économie forte », basées sur les résultats d’un sondage Harris Insights réalisé pour le Guardian en septembre. L'étude révèle que les deux tiers des Américains interrogés sont mécontents de la situation économique. En outre, l’étude révèle également que 65 pour cent des personnes interrogées estiment que l’économie est pire que ce que les grands médias prétendent – contrairement aux 35 pour cent qui pensent le contraire.
En octobre, le ministère américain de l'Agriculture a déclaré que les prix des denrées alimentaires devraient augmenter de 3 à 4 pour cent cette année. Les économistes semblent soutenir ce point de vue, soulignant que les prix pourraient continuer à grimper à l’approche des vacances.
De plus, Breitbart News a rapporté que le ménage américain moyen doit dépenser 11 434 dollars de plus par an simplement pour maintenir le même niveau de vie qu’il avait il y a seulement quelques années avant que l’inflation n’atteigne des niveaux records sous l’administration Biden. (Connexe : Les contrôles des prix ont commencé, le rationnement alimentaire est la prochaine étape alors que l'Amérique est un train incontrôlable se dirigeant vers un effondrement économique sans freins.)
RépondreSupprimerLa Fed, réticente, pourrait arrêter de relever les taux d'intérêt
La Réserve fédérale américaine semble affirmer qu’elle n’augmentera plus les taux d’intérêt dans un contexte de hausse des prix. Les analystes pensent que les responsables ont peut-être admis qu'ils n'avaient pas besoin de continuer à augmenter les taux pour freiner l'inflation. Cependant, ils hésitent à déclarer la fin des hausses, voire à entamer une discussion sur une baisse des taux.
Début décembre, le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, a déclaré lors de son discours au Spelman College d'Atlanta que la politique monétaire de la Réserve fédérale était « bien en territoire restrictif, ce qui signifie qu'une politique monétaire restrictive » ralentissait l'activité économique. Mais il a mis en garde : "Il serait prématuré de conclure avec certitude que nous avons adopté une position suffisamment restrictive".
Powell a affirmé que le ralentissement actuel de l'inflation et de la croissance des salaires prouve que les augmentations de taux de la Fed portent leurs fruits et qu'elle s'attend à un nouveau ralentissement de l'économie. Il a ajouté qu'il était trop tôt "pour spéculer sur le moment où la politique pourrait être assouplie", en accord avec les attentes croissantes des acteurs des marchés financiers selon lesquelles la Fed abaisserait ses taux dès le printemps prochain.
Il a également avoué qu'après une hausse aussi rapide, les autorités avancent prudemment parce que les risques d'une augmentation trop ou pas assez importante des taux sont désormais mieux équilibrés qu'auparavant.
John Williams, président de la Fed de New York, a déclaré lors d'une conférence précédente que la politique monétaire était à son niveau le plus restrictif sur le plan économique depuis 25 ans et qu'elle devra rester serrée "pendant un certain temps".
EconomicRiot.com contient des mises à jour et des actualités liées à la flambée des prix et à l’effondrement de l’économie américaine.
Regardez la vidéo ci-dessous qui explique comment l’inflation continue d’écraser les familles américaines.
Cette vidéo provient de la chaîne NewsClips sur Brighteon.com.
RépondreSupprimerPlus d'histoires connexes:
Les banques alimentaires locales ont du mal à répondre à la demande alors que l’inflation laisse davantage d’Américains affamés.
Étude : L’inflation empêche les Américains de faire des dons de nourriture pour les fêtes.
Les pénuries alimentaires et l’inflation se poursuivent alors que la « bidénomie » échoue spectaculairement.
Le gouvernement canadien MENACE Costco et Walmart de baisser artificiellement les prix des denrées alimentaires pour lutter contre l’inflation.
Étude alarmante : 60 % des Américains vivent toujours d’un salaire à l’autre dans un contexte d’inflation galopante et de taux d’intérêt en hausse.
Les sources incluent :
Breitbart.com
ActualitésNationNow.com
TheGuardian.com
WSJ.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-12-10-grocery-items-home-alone-film-price-higher.html
De nouveaux progrès vers la mise en œuvre de la Grande Réinitialisation
RépondreSupprimer11 décembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Il y a une réaction croissante du public et de la communauté internationale contre le mondialisme, à tel point que le Council on Foreign Relations (CFR), contrôlé par les mondialistes, prend des mesures pour répondre à ces sentiments anti-mondialisation.
Comme indiqué précédemment , le CFR est le groupe de réflexion américain sur la politique étrangère et le facteur déterminant de la politique. Le CFR est une organisation gouvernementale établie de longue date qui détient un pouvoir obscène sur les affaires nationales et mondiales, y compris sur le Département d’État américain. Le CFR a également construit une matrice de propagande mondiale , comme on peut le lire dans l' excellente analyse de Swiss Policy Research . Il « montre comment le CFR a créé un circuit d’information transatlantique largement fermé dans lequel presque toutes les sources et points de référence pertinents sont contrôlés par les membres du Conseil et ses organisations partenaires. De cette manière, une matrice d’information historiquement unique a été créée, nettement supérieure à la propagande gouvernementale classique des États autoritaires, mais qui perd de plus en plus en efficacité en raison du succès des médias indépendants.»
Le CFR contrôle la politique étrangère américaine et nomme les présidents et les hommes politiques clés. Il existe des ramifications dans le monde entier, comme le Groupe Bilderberg en Europe, tandis que la Commission trilatérale a également été fondée pour l'Asie de l'Est en 1972 par le président du CFR David Rockefeller et le directeur du CFR Zbigniew Brzezinski.
La semaine dernière, le CFR a publié une vidéo dans laquelle Peter Trubowitz discute des raisons de la montée actuelle de l'altermondialisme dans les pays occidentaux et de ce que cela signifie pour l'ordre mondial actuel et futur.
Trubowitz est professeur de relations internationales et directeur du Phelan US Center à la London School of Economics et chercheur associé à Chatham House. Chatham House est également connue sous le nom d’Institut royal des affaires internationales et joue un rôle clé dans l’appareil d’État profond du Royaume-Uni.
James M. Lindsay, vice-président principal, directeur des études et titulaire de la chaire Maurice R. Greenberg au CFR, a demandé à Trubowitz pourquoi il estime qu'il est important de sauver l'ordre international actuel, également connu sous le nom d'ordre fondé sur des règles, et a souligné l'actuel se tourner vers le « nationalisme économique ».
« Dans les années 1990, alors que les États-Unis et d’autres démocraties occidentales se lançaient dans ce que les économistes appellent l’hypermondialisation, ils s’appuyaient largement sur le supernationalisme », a répondu Trubowitz. « D’un autre côté, il existe une frustration quant aux coûts de la souveraineté qu’entraîne le supernationalisme. »
RépondreSupprimer« Nous ne pourrons pas revenir à l’ordre international libéral de l’après-guerre, de la Seconde Guerre mondiale. Et ceux qui aspirent à cet ordre font, à mon avis, fausse route. Ce que nous devons faire, c’est remodeler la relation entre la politique étrangère et la politique intérieure .»
Le mondialisme détruit le monde
Un jour après cet entretien avec Lindsay et Trubowitz , la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI) , Kristalina Georgieva, s'est exprimée sur le même sujet lors du symposium Stephen C. Freidheim sur l'économie mondiale avec le président du CFR, Michael Froman.
Avant de rejoindre le FMI, Georgieva était directrice générale de la Banque mondiale. Auparavant, elle était vice-présidente de la Commission européenne chargée du budget et des ressources humaines, période durant laquelle elle a joué un rôle crucial dans l'élaboration de l'agenda de l'Union européenne (UE).
Georgieva a expliqué qu'elle pensait que l'économie mondiale se portait bien mieux que ce que les économistes du FMI et d'ailleurs prévoyaient à une époque comme celle-ci, et a nié l'existence de problèmes économiques - du moins pour les riches.
« Nous avons vécu des événements inimaginables – le COVID, puis la guerre russe en Ukraine, puis la crise du coût de la vie et maintenant une crise très grave au Moyen-Orient », a déclaré Georgieva. « Et pourtant, nous ne vivons pas de choc économique dramatique » .
Cependant, certains facteurs empêchent Georgieva de dormir la nuit, notamment la perspective d'une croissance économique mondiale lente à moyen terme. Actuellement, les prévisions de croissance pour cette période sont estimées à environ 3 %, soit en dessous de la moyenne d’avant la pandémie de 3,8 %.
" Deuxièmement, ce qui nous inquiète encore plus, c'est la divergence très dangereuse qui se produit au sein de l'économie mondiale ", a ajouté Georgieva.
Certains pays, dont les États-Unis, semblent s’en sortir bien mieux que d’autres.
« Si cette divergence s’accentue, nous devrions craindre non seulement des problèmes économiques, mais aussi des problèmes sécuritaires. "
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RépondreSupprimerLes soutiens de Julian Assange demandent à Anthony Albanese de se battre pour sa libération
Par Elizabeth Pike
Mondialisation.ca,
10 décembre 2023
Les membres de la campagne “Free Julian Assange” se sont rassemblés devant le bureau de M. Albanese à Sydney, dans le quartier de Marrickville, par une chaleur accablante de 41 degrés, samedi, pour exprimer leur soutien et commémorer le 75e anniversaire de la Déclaration des droits de l’homme.
Le père de Julian Assange, John Shipton, a pris la tête du groupe des intervenants et a renouvelé l’appel à la libération de son fils de la prison de haute sécurité au Royaume-Uni, avant son extradition vers les États-Unis où il risque jusqu’à 175 ans d’emprisonnement.
“Julian Assange peut être libéré sur un simple coup de fil, le gouvernement peut appeler ses homologues britanniques et leur dire de le renvoyer chez lui”, a déclaré M. Shipton à la foule.
“Nous avons été témoins pendant 13 ans du consentement à tout ce que les États-Unis et le Royaume-Uni ont voulu faire subir à Julian… 13 ans”, a-t-il ajouté.
“L’Australie a contribué à mettre un homme en prison”.
Le père de Julian Assange, John Shipton, s’exprimant lors du rassemblement « Free Julian Assange » devant le bureau du Premier ministre Anthony Albanese. Photo : NCA NewsWire / Simon Bullard
Après son discours, M. Shipton a révélé qu’il n’avait parlé de sa femme et de ses deux enfants à M. Assange qu’hier, dans sa prison.
“Nous parlons de nos femmes et de nos enfants, puis nous passons aux choses sérieuses, mais entre-temps, huit minutes sur dix se sont écoulées”, a-t-il déclaré.
Il sourit toujours, il aime ses “Aussie-isms”, vous savez comme les Australiens aiment l’humour noir.
Lorsqu’on lui demande s’il parle à son fils de la vie en prison, M. Shipton répond qu’il préfère que leurs brèves conversations restent positives.
“Je ne lui pose pas ce genre de questions, car s’il me dit que c’est merdique, je ne peux pas l’aider à s’en sortir. Je ne peux pas soulager sa souffrance en écoutant sa souffrance”.
RépondreSupprimerLe sénateur des Verts David Shoebridge s’est adressé à la foule et s’en est pris à M. Albanese et à la ministre des Affaires étrangères Penny Wong pour leur apparente inaction.
“Je peux vous dire que M. Albanese a chaud aujourd’hui, et c’est bien normal”, a déclaré M. Shoebridge.
“Quel pays permet à deux de ses plus proches alliés de traiter ainsi l’un de ses propres citoyens, un journaliste citoyen ?”
“Je continuerai à faire pression sur des personnes comme Penny Wong pour qu’elles fassent preuve d’un peu de courage et cessent de dire que tout cela est du ressort des tribunaux, et qu’elle ne peut pas intervenir. Ce n’est pas ce qu’elle a dit lorsqu’il s’est agi de libérer des Australiens de Chine, d’Iran ou de Russie. C’est juste que lorsqu’il s’agit de l’un des grands et puissants alliés de l’Australie, ce gouvernement fait carpette.
“L’Australie devrait faire valoir certains atouts essentiels dans ces relations (…) mettre quelque chose de significatif sur la table, comme cela doit être fait”.
Un autre lanceur d’alerte, David McBride, a également réaffirmé son soutien à M. Assange avant sa condamnation en mars, après avoir plaidé coupable de trois chefs d’accusation pour vol et partage illégal d’informations militaires australiennes secrètes.
“Je bénéficie d’un soutien considérable et, comme nous l’avions prévu, comme je l’ai toujours pensé, nous pourrions bien perdre la bataille, mais nous gagnerons la guerre”, a déclaré M. McBride.
M. Albanese a évoqué le cas d’Assange avec le président américain Joe Biden lors d’une visite à Washington en octobre, mais les soutiens d’Assange ont accusé le Premier ministre de ne pas avoir formulé de demande officielle de libération.
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