Grande manifestation à Karlsruhe : les Droits de l’homme de TOUS les êtres humains plutôt que la privation collective de droits
16.12.2023 www.kla.tv/27704
Et il y a une seule phrase qui m'importe, c'est celle qui se trouve devant vous. Et j'aimerais que vous répétiez cette phrase à tous ceux qui doutent encore. Un État ne doit pas tuer des personnes innocentes. La plupart des gens pensent qu'une telle phrase ne s'applique qu’en temps de guerre ou qu’à la guerre, mais ce n'est pas vrai. Cette phrase s'applique également lorsque l'État oblige les gens à recevoir une substance dans leur corps, alors que même les instituts officiels, comme l'Institut Paul Ehrlich et l'Institut Robert Koch, disent qu'elle peut finir par avoir des effets secondaires mortels. Un État ne doit pas tuer un être humain, un être humain innocent. C'est notre message et portons-le à l'extérieur. Merci beaucoup.
Aujourd'hui, dimanche 10 décembre 2023, à l'occasion de la 75e journée des Droits de l'homme, un événement historique sans précédent et d'une nature très particulière a lieu ici à Karlsruhe. Dans le cadre d'une grande manifestation avec des rassemblements et un défilé, 599 plaintes pénales sont déposées (dont sept seront ajoutées ultérieurement) auprès du parquet fédéral de Karlsruhe. Ces plaintes sont dirigées contre les responsables qui se sont engagés pour l'introduction légale d'une vaccination obligatoire dans les professions de santé et chez les membres de l'armée fédérale.
Car l'acceptation de dommages et de décès dus à la vaccination constitue une violation de la Déclaration universelle des droits de l'homme et de l'article 7 du Code pénal international. Selon l'organisateur, il n'y aura pas de réconciliation tant que les auteurs des mesures illégales de Covid resteront impunis. Des intervenants réputés et compétents ont été annoncés pour les rassemblements. Leurs interventions souligneront l’ampleur des crimes et la nécessité absolue d'agir.
En tant que juriste, on a envie de dire, cher procureur, que cela suffit au moins pour un soupçon initial. Et je voudrais également remercier ici les médecins qui ont eu le courage de dire, à l'époque et aujourd'hui, que M. Lauterbach a menti. Et M. Lauterbach n'a pas seulement menti, il a menti en connaissance de cause. Il y a eu et il y a des effets secondaires. Il y a des dommages liés aux vaccins et personne ne pourra plus le nier sérieusement. Et ceux qui le font veulent se soustraire à leur responsabilité. Et dans un État de droit qui fonctionne, on devrait en fait faire la lumière sur cette question et agir. Et il y a ici quelqu'un, que probablement presque personne ne connaît, qui se promène parfois dans les bus. Celui qui a affiché cela, il vaut mieux qu'il se présente lui-même, il est parfois un peu timide. Je me permets d'inviter très brièvement Ralf Ludwig à me rejoindre.
Ralf Ludwig - Avocat allemand
Oui, bonjour, merci à tous d'être ici et de soutenir cette cause. J'ai dit en 2021 à Stuttgart, au printemps, que nous allions créer ce centre, que nous ferions le point et que nous ne nous arrêterions pas tant que les responsables des mesures Covid ne seraient pas tenus responsables. Et c'est ce que nous allons commencer à faire aujourd'hui avec les plaintes pénales. Nous avons aujourd'hui de nombreux collègues formidables sur scène, de nombreux juristes qui défendent vos intérêts depuis de nombreuses années, qui vont de tribunal en tribunal depuis de nombreuses années et qui tentent d’une manière ou d’une autre de sauver et de garantir ce qui reste de l'État de droit. Je remercie vivement ces collègues qui sont ici aujourd'hui sur la scène. Beaucoup d'entre eux se trouvent également ici, devant la scène, et ont vraiment fait un travail incroyable. Nous avons donc beaucoup, beaucoup de gens formidables et je pense toujours que dans un État où un grand nombre d'avocats se lèvent pour dire que ce qui se passe en ce moment n'est pas normal, il peut y avoir quelque chose qui n'est pas normal. Moi-même, je voudrais rester un peu en retrait aujourd'hui, parce que je pense que le centre d'intérêt aujourd'hui, ce sont les collègues qui se battent depuis des années pour vos droits, pour nos droits, non seulement en Allemagne, mais aussi en Autriche et en Suisse. Et il y a une seule phrase qui m'importe, c'est celle qui se trouve devant vous. Et j'aimerais que vous répétiez cette phrase à tous ceux qui doutent encore. Un État ne doit pas tuer des personnes innocentes. La plupart des gens pensent qu'une telle phrase ne s'applique qu’en temps de guerre ou qu’à la guerre, mais ce n'est pas vrai. Cette phrase s'applique également lorsque l'État oblige les gens à recevoir une substance dans leur corps, alors que même les instituts officiels, comme l'Institut Paul Ehrlich et l'Institut Robert Koch, disent qu'elle peut finir par avoir des effets secondaires mortels. Un État ne doit pas tuer un être humain, un être humain innocent. C'est notre message et portons-le à l'extérieur. Merci beaucoup.
Nous n'avons pas eu de crise à cause du Covid, mais la crise était la conséquence des mesures Covid. Ce n'est pas un virus qui a déclenché la véritable crise, mais la politique. Ça a été une période d'état d'urgence juridique, bien que la loi fondamentale ne connaisse absolument pas l'état d'urgence civil pour cause de catastrophes naturelles ou d'épidémies. Alors que les pouvoirs législatif et exécutif se sont surpassés dans les atteintes excessives aux droits fondamentaux, les tribunaux ont presque systématiquement échoué dans leur fonction de gardiens de la liberté et des droits fondamentaux. La justice a donc approuvé tôt ou tard presque toutes les prescriptions juridiques sans les critiquer, alors qu'il n'y avait absolument pas de surmortalité en Allemagne. En tout cas pas avant le début de la campagne de vaccination avec un vaccin qui n'en était pas un, mais une thérapie génique expérimentale. Ma phrase préférée de cette époque dans l'hémicycle du Bundestag allemand est que les « promeneurs-manifestants » défendent l'État de droit et que leur criminalisation est injuste.
Dr. Michael Brunner - Avocat autrichien
À partir de mars 2020, tout ce qui caractérisait jusqu'à présent un État de droit démocratique et qui constituait l'état de la science médicale a été bouleversé. Ceux qui s'y opposaient étaient diffamés, insultés et persécutés. Les médecins ont perdu leur droit d'exercer la médecine, ont été renvoyés de l'université et poursuivis arbitrairement par les autorités disciplinaires des ordres médicaux, en accord avec le pouvoir gouvernemental et les médias achetés, pour finalement les réduire au silence. Ceux qui n’ont pas suivi le narratif et n’ont pas marché à l'unisson avec le courant dominant sont devenus dans le meilleur des cas des marginaux, finalement exclus de la vie publique, calomniés et menacés de mort. Les dommages qui en ont résulté sont énormes. Tous les événements et toutes les injustices doivent être traités et les responsables doivent être tenus pour responsables et rendre des comptes. Les juges et les procureurs critiques en Allemagne ont mis le doigt dessus. L'ordre donné par l'État de vacciner contre le Covid-19 est un homicide volontaire. Il est incompatible avec les droits fondamentaux et les libertés de notre constitution, le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes. Donner des pouvoirs illimités à l'OMS, en cas d'urgence sanitaire mondiale potentielle ou actuelle, des droits de contrôle, de surveillance et de sanction sans possibilité de vérification, sans responsabilité et sans obligation de rendre des comptes, à l’OMS qui n'a été élue démocratiquement par aucun citoyen du monde, à son directeur général, et donc aux élites autoproclamées et arrogantes qui se cachent derrière lui. Ce projet mondialiste, mené par Big Pharma, les multinationales et les élites au pouvoir autocratiques, doit être mis en échec pour préserver la souveraineté des États et pour sauvegarder la souveraineté et l'inviolabilité de la dignité de chaque citoyen.
Nous sommes réunis ici sur la place des droits de l'homme parce qu'aujourd'hui, il y a 75 ans, l'Assemblée générale des Nations unies a adopté la Déclaration des Droits de l'homme. Cela devrait être une raison de se réjouir, car 75 ans est un laps de temps assez important, mais nous devons malheureusement constater que c’était il n’y a même pas encore 100 ans et que ces droits de l'homme sont déjà bafoués. Au tout début de cette Déclaration, l'ONU affirme que tous les êtres humains jouissent, dès leur naissance, des mêmes droits inaliénables et des mêmes libertés fondamentales. La vie, la liberté et la sécurité de la personne, voilà les valeurs dont il est question. Nous reviendrons plus tard sur certaines valeurs, mais le fait est que nous avons les mêmes droits inaliénables et les mêmes libertés fondamentales depuis notre naissance. Et pourquoi avons-nous ces mêmes droits inaliénables et libertés fondamentales ? Parce que nous sommes des êtres humains. Parce que nous sommes des êtres humains, nous avons des droits humains. Il est également dit que tous les êtres humains sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une protection égale de la part de la loi. Mais vous vous souvenez de ce qu'un homme a dit à la télévision : Celui qui ne suit pas est exclu de la vie sociale. C'est monstrueux de dire cela. Nous pouvons participer à la vie sociale parce que nous sommes des êtres humains. Pourquoi pouvons-nous participer à la vie sociale ? Exactement. Il y est également dit que personne ne peut être arrêté et détenu arbitrairement. Mais nous constatons que la justice est devenue une arme politique. Pensons à Michael Ballweg, neuf mois de prison et finalement ce n'est même pas suffisant pour un procès.
Dr. Christian Knoche - Avocat allemand
Chers amis, il ne faut pas simplement jeter un voile de silence ou d'oubli sur l'injustice de ces trois dernières années et demie. C'est ce qu'ils aimeraient, ces politiciens à la Scholz qui aiment oublier des choses, les conférences illégales qui rassemblent les présidents des régions. Illégales, car non prévue par la loi fondamentale. Cette vague de criminalisation contre les médecins critiques doit cesser. Je demande donc l'arrêt de toutes les procédures pénales et des amendes, y compris en Allemagne. Plus jamais les années 2020 à 2023 ne doivent se répéter en Allemagne. Plus jamais nous nous opposerons aux commencements et à leurs suites. C'est ce que nous défendons aujourd'hui à Karlsruhe.
Christian Moser - Avocat allemand
Nous avons appris beaucoup de choses au cours des dernières années. Nous avons appris ce que la peur fait au peuple. Nous avons appris comment la peur peut monter les gens les uns contre les autres et les rendre irréconciliables. Nous avons appris comment une politique de la peur se retourne contre son propre peuple. Et nous avons appris comment la peur a même envoûté la justice. Les victimes de cette politique de la peur n'étaient pas seulement ceux qui critiquaient le gouvernement et qui étaient insultés par ce dernier, maltraités par la police et criminalisés par la justice, mais aussi et surtout les personnes qui, face à la peur, abandonnaient leur volonté de s'affirmer. Nous nous sommes en revanche dressés avec la vérité, non pas avec notre vérité contre celle des autres, mais avec une armée de scientifiques du monde entier, contre une poignée d'experts dont l'opinion ne devait pas être remise en question.
Nous sommes réunis ici à Karlsruhe, dans la soi-disant résidence du droit. Et j'ai donné à mon discours le titre suivant : Là où le droit devient injustice, la résistance devient un devoir. La dignité de l'être humain est inviolable. Ce principe éthique et juridique est intemporel, c’est un principe fondamental. En tant que valeur centrale de la Constitution allemande et en vertu de la clause perpétuelle de la Loi fondamentale, à l'article 79, paragraphe 3 de la Loi fondamentale, la dignité humaine est à jamais absolument inviolable. Le respect de la dignité humaine interdit à l'État de faire de l'homme un simple objet de son action. Mais quand l'État traite-t-il l'homme comme un simple objet ? Lorsqu'il lui dénie le droit de penser par lui-même, d'agir de manière autonome et de décider librement. Lorsque l'État abuse de la confiance de ses citoyens et justifie ses mesures par des hypothèses trompeuses, voire délibérément fausses ; le droit devient alors injustice sur la base de l'affirmation sans scrupules de pandémies par l'OMS, le droit international devient ainsi non seulement une injustice internationale, mais aussi, selon ma grande inquiétude, une terreur pandémique internationale.
Ralf Ludwig - Avocat allemand
Nous voulons une enquête et une remise en ordre. Nous voulons que cette injustice des trois dernières années ne reste pas sans suite, et surtout que les responsables soient vraiment tenus pour responsables. Merci à tous d'être là aujourd'hui, et maintenant je clique sur « envoi du message ».
Dr. Christina Baum – Députée au Bundestag (AfD)
Chers compagnons de lutte, chers amis, c'est merveilleux d'être ici et de vous voir tous. Vous êtes ceux qui ont contribué à empêcher cette obligation générale de vaccination, même si nous n'avons pas pu empêcher à l'époque l'obligation vaccinale liée aux établissements. Je vous remercie d'être descendus dans la rue et je vous remercie d'être encore là aujourd'hui.
Ralf Ludwig - Avocat allemand
Maintenant nous avons donné un coup d’envoi avec ces plaintes pénales. Maintenant, ça va fonctionner. Nous allons demander des comptes aux personnes qui ont fait cela et je crois que Hubert Aiwanger l'a dit, nous nous réapproprierons notre démocratie. Merci beaucoup d'être là.
Extraits de la conférence de presse qui a eu lieu après la manifestation :
Beate Bahner - Avocate allemande
Nous avons l'obligation pour les États de coopérer et nous avons surtout l'immunité de l'OMS, du Secrétaire général, qui sera pour ainsi dire vraiment seul maître à bord. Aucune possibilité de contrôle, aucune possibilité de vérification juridique et, en fin de compte, il y a l'immunité pénale. Tout cela doit nous préoccuper beaucoup.
Nous aurons un mode de crise permanent. Il y aura une situation de pandémie, la situation de pandémie vient du Bundestag allemand, c'est alors une formulation encore plus douce pour une pandémie que la pandémie elle-même dans le RSI ou dans le traité, où on ne travaille ici aussi qu'avec des termes juridiques vagues. Bien sûr, un tel système n'est pas compatible avec les droits de l'homme, il est contraire à la Convention européenne des droits de l'homme, au traité des Nations unies, au pacte social des Nations unies, au traité de l'UE, aux droits de l'homme en général, et surtout à la dignité humaine. C'est pourquoi je suis d'avis, tout comme ma collègue Beate Bahner, qu'un tel ensemble de règles ne peut jamais avoir valeur de norme, car il sape toute dignité humaine.
Claudio Zanetti - Politicien suisse
C'est si simple à dire, une phrase, la dignité de l'homme est inviolable. Mais ce n'est pas pour rien que cette phrase figure en première place de la Loi fondamentale dont tout le monde est si fier. En Allemagne, pour mettre quelqu’un de côté, on dit toujours qu'il quitte le terrain de la Loi fondamentale etc. Mais si un gouvernement dit, oui, maintenant on va en sacrifier 10 pour en sauver 1 000, alors c'est le gouvernement qui a quitté le terrain de la Loi fondamentale. Et c'est sur ce point que nous devons le sanctionner.
Ralf Ludwig - Avocat allemand
Et nous ne devons pas faire la différence entre une vie qui aurait plus de valeur et une vie qui aurait moins de valeur. C'est le fondement de cette plainte pénale. C'est ce qu'a dit notre collègue Claudio Zanetti. L'État ne doit pas tuer un être humain. Pas d’estimation de valeur, c’est la vie. C'est la ligne rouge. L'État n'a pas le droit de décider qu'il y a des vies de valeur et d'autres qui ne le sont pas. L'État ne peut pas dire que nous acceptons 0,02% de morts.
de hm Sources / Liens : GRANDE MANIFESTATION À KARLSRUHE, dimanche 10 décembre 2023 à partir de 11h, place des droits de l'homme. www.zaavv.com/de-de/ka1012
Encore une autre « vérification des faits » erronée sur les données néo-zélandaises
Ils ne peuvent pas clarifier leurs faits. Ils ne prennent jamais la peine de vérifier les arguments qu’ils reçoivent s’ils correspondent au récit.
STEVE KIRSCH 17 DÉCEMBRE 2023
Vraiment ? Des nouvelles pour moi. Soyez le juge. Résumé exécutif Un autre jour, une autre vérification des faits erronée.
Celui-ci est accompagné d'un bonus sur le professeur Jeffrey Morris. Morris a déclaré au journaliste qu'il était acceptable de télécharger et d'analyser les données néo-zélandaises, mais pas d'en parler.
Je pensais avoir tout entendu, mais c'est nouveau !
OK, donc si aucun scientifique honnête n’est autorisé à parler de ces données, alors comment diable le vérificateur des faits peut-il dire que mon analyse est erronée ??
Un casse-tête, c'est sûr !!!
Alors réfutons d’abord la vérification des faits, puis nous nous amuserons avec le professeur Morris pour le dessert.
Les affirmations de la vérification des faits
La vérification des faits affirme que la raison pour laquelle la mortalité augmente après le tir est que les tirs ont été administrés alors que les décès étaient déficitaires et que les taux de mortalité augmentaient donc.
C’est de la connerie complète. Qu'est-ce que ces gens fument ??? Si seulement je savais !
Les décès tombent chaque mois d’août comme sur des roulettes en Nouvelle-Zélande :
J’ai donc regardé les personnes qui ont reçu le vaccin en août 2021 :
Décès depuis la date d’injection en août 2021. L’axe des X représente le nombre de jours depuis l’injection. l’axe des y représente le nombre de décès au cours de la période. Les frontières sont fermées, pas de COVID et tout effet HVE temporel qui pourrait exister disparaît après la première mesure ici (le premier mois). Le taux de mortalité a grimpé de 43 % alors qu'il aurait dû baisser de 22 %.
J’ai entendu des gens essayer d’affirmer qu’il s’agissait d’un « HVE temporaire », ou qu’il s’agissait de décès dus au COVID, ou encore du fait qu’on avait vacciné « les personnes fragiles et âgées d’abord ». Il n’y a pas eu de COVID pendant cette période, les frontières étaient fermées et le HVE temporel ne dure jamais plus de 21 jours (et ces données montrent qu’il a disparu au bout de 2 semaines parce que la Nouvelle-Zélande a essentiellement essayé de vacciner tous ceux qui étaient encore en vie parce que « sur le point de mourir ». » étaient considérées comme une menace pour les vivants). Et les « personnes fragiles et âgées » sont complètement fausses parce que ces personnes meurent comme tout le monde : tout groupe fixe de personnes, quel que soit leur âge, mourra à un rythme progressivement plus faible au fil du temps (si rien ne se passe en arrière-plan).
Alors ils s’accrochent à des brins de paille. Cela montre à quel point ils sont désespérés de proposer des explications qui ne correspondent tout simplement pas et n’ont aucun fondement probant.
Cette « vérification des faits » repose donc sur un argument agitant la main sans aucune preuve. Êtes-vous surpris? Ces gens ne prennent jamais la peine de vérifier ce qu’on leur dit. Ils le mangent simplement à l'hameçon, à la ligne et au plomb.
Alors maintenant, vous savez pourquoi je ne trouve personne qualifié pour analyser des données de ce type pour me défier en tête-à-tête sur les données : ces données sont DÉVASTANTES. Ce n'était qu'un petit exemple.
Qui est qualifié pour analyser ces données ? Apparemment, très peu de gens savent comment procéder correctement.
Je vois des tentatives très boiteuses d'analyser ces données de la part de nombreuses personnes.
Il y a un fil conducteur : chacun lance sa propre méthode !!!! As-tu remarqué? Chacun dit qu’il est l’expert, mais chacun a une méthode différente.
WTF !?!? Allez. Il existe de bonnes façons connues d’analyser ces données, notamment :
série chronologique de cohorte
tracer le temps entre chaque tir et la mort (stratification de l'âge pour un crédit supplémentaire)
faire des tracés triangulaires de tous les décès en utilisant des nombres (pas des points)
Beaucoup de gens abandonnent ces méthodes éprouvées. Ou bien ils les exécutent avec négligence, comme William Briggs l’a fait avec ses intrigues triangulaires.
Seuls quelques-uns y parviennent et peuvent analyser les données et interpréter correctement les résultats. Mais ces analyses ne sont pas encore sorties car elles prennent du temps car les gens qui les font sont prudents.
L’une des raisons pour lesquelles cela est difficile est que personne n’a jamais vu de telles données auparavant. C’est toujours caché. Et les personnes ayant accès aux données dans le cadre de leur travail quotidien sont priées de ne trouver aucun signal de sécurité. C’est donc apparemment un art perdu.
Quiconque prétend être un expert en analyse de données vous dit que vous ne pouvez pas analyser ces données et trouver un signal est soit un imbécile, soit vous égare.
À ce jour, je n’ai pas encore été impressionné par les analyses publiées par des tiers, mais Clare Craig publiera bientôt une analyse qui, je pense, me plaira.
Et maintenant, le dessert…
L'histoire du professeur Jeffrey Morris : a-t-il menti à la presse ou a-t-il été mal cité ? Avant de rendre publiques les données néo-zélandaises le 30 novembre, j'ai partagé les données avec le professeur Jeffrey Morris pour voir s'il pouvait réfuter mon analyse. En tant que diffuseur professionnel de désinformation comptant des millions de lecteurs dans le monde, je ne peux pas me permettre de commettre des erreurs, surtout sur un sujet aussi important. Je voulais donc voir comment j'allais être attaqué afin de pouvoir défendre mon travail de manière proactive.
Morris a téléchargé les données, puis a écrit du code R pour dupliquer mon analyse de séries chronologiques de cohorte afin de pouvoir comparer ses résultats avec les miens.
Mais le problème est que le journaliste qui vérifie les faits semble penser que Morris n’a pas téléchargé les données parce qu’elles étaient corrompues ! Voici l'extrait :
Quand j'ai lu cela, j'ai contacté Morris et lui ai demandé s'il avait menti au journaliste.
Il a dit que non. Il m'a écrit dans un DM : « « Sa formulation ne reflète pas fidèlement ce que j'ai dit et je lui ai demandé de la corriger. »
Ouah. C’est une énorme erreur d’interprétation de la part d’un journaliste vérifiant les faits.
Morris a réussi à faire corriger IMMÉDIATEMENT l’histoire, un exploit remarquable que je n’ai jamais pu accomplir avec aucun « vérificateur de faits ».
Cela déforme encore les faits. Morris a téléchargé et analysé les données.
Vous ne pouvez pas réécrire l’histoire.
La preuve qu'il a téléchargé les données néo-zélandaises Voici:
« Hé, je viens de te rencontrer… et c'est fou… mais voici mon numéro… Alors appelle-moi, peut-être ? J'essaie toujours d'amener les gentils gens de Health New Zealand qui ignorent leurs propres données sur la santé à examiner leurs propres données.
J'espérais trouver un fan de Carly Rae Jepsen là-bas, mais jusqu'à présent, pas de chance. Appelle-moi peut-être?
Résumé Un autre vérificateur de faits mord la poussière. Je dois vraiment parler à l’épidémiologiste de Health New Zealand si nous voulons résoudre ce problème.
J’ai demandé à plusieurs reprises à Health New Zealand de publier l’analyse des données vaccinales par ses épidémiologistes ou de me permettre de discuter avec eux afin qu’ils puissent me dire pourquoi je me suis trompé.
La réponse est toujours le silence.
Je me demande de quoi ils ont peur ? La vérité peut-être ?
Big Ag et Big Pharma sont en baisse Et pas trop tôt non plus
ELIZABETH NICKSON 17 DÉCEMBRE 2023
On peut soutenir que le mouvement environnemental, financé en grande partie par les WEFers, vise à détourner l’attention de l’empoisonnement systématique de notre nourriture et de notre eau. En mettant de côté la géo-ingénierie, que peu d’agriculteurs pratiquent, la science manipulée qui a accompagné Covid a éveillé les soupçons à l’égard de tous les produits des grandes sociétés pharmaceutiques. Et Big Pharma et Big Ag sont mariés. Le Covid et le vaccin ont tout changé et tout le monde, même ceux qui en ont énormément profité, comme les 0,01 pour cent supérieurs. Naomi Wolf a récemment rendu visite aux habitants de l'Upper East Side et a découvert que les anciens Maîtres de l'Univers ressentaient désormais de la honte, devenaient gris, portaient des pantalons de survêtement et avouaient leurs blessures.
Récemment, le MIT a invité Steve Kirsch à parler aux étudiants des dangers du vaccin Covid, un revirement remarquable. Dans un monde plus sauvage et plus vaste, au début des années 2020, un déplacement vers les zones rurales a eu lieu. Beaucoup ont quitté le monde développé pour s’installer dans un pays en développement plus libre (pour eux). Le principal moteur à droite était la suspicion à l’égard du Covid, du vaccin et de l’autoritarisme soudain manifesté par le gouvernement. Mais la « science » et la propagande de la pandémie étaient si flagrantes, si absurdes, que des soupçons ont émergé dans tout le spectre politique à propos de la nourriture que nous mangeons, de l’eau que nous buvons et des produits pharmaceutiques que nous consommons. Même les vaccins destinés aux enfants connaissent aujourd’hui une moindre utilisation.
En Amérique du Sud et en Amérique centrale, de nouvelles communautés prônent la séparation de la superculture et une alimentation, une eau et un air non empoisonnés. Une communauté créée par un couple autrichien, dans les pâturages paraguayens, imprime ses propres maisons, élève son propre bétail, cultive sa propre nourriture et scolarise ses propres enfants. Une particularité est l'aquifère profond sous leurs pieds et l'absence de survols déversant des métaux en aérosol pour protéger le soleil, comme ils le prétendent. Une vidéo sur la communauté a été vue 400 000 fois dès la première semaine. Le Telegraph a ridiculisé ces communautés qui s'étendent géographiquement de l'Afrique, de l'Asie du Sud-Est, de diverses îles à l'Amérique du Sud et centrale, en les qualifiant d'« anti-vaccins » et d'« extrême droite ». Mais la gauche est encore plus déterminée à vivre « proprement », comme elle l’appelle, et à élever des enfants en liberté, et ses communautés « intentionnelles » poussent comme des champignons aux quatre coins de la planète.
L’alimentation biologique et le secteur élargi des produits naturels constituent la tendance de consommation et de style de vie qui connaît la croissance la plus rapide de l’histoire moderne. Big Ag dépense des millions pour essayer de prouver que ses aliments sont sûrs, mais sans grand succès. Au cours des premiers mois de la pandémie, la demande d’aliments biologiques a augmenté de 50 pour cent. Dans un marché de 290 milliards de dollars (sur un marché de produits alimentaires de 1,3 billion de dollars), c’est un signal sérieux.
De même, l’explosion retentissante d’une propagande qui s’est révélée fausse et destructrice a diminué la « croyance » dans le « changement climatique ». Ici au Canada, où pendant un siècle notre oligopole médiatique a dit à tout le monde quoi penser avec bienveillance et où ils le pensaient docilement, a perdu tellement de lecteurs et d'auditeurs qu'aucune subvention ne peut suivre leurs chiffres défaillants. L’écart entre ceux qui pensent que nous devrions mourir de faim ou geler parce qu’un mythique croque-mitaine de l’air arrive, et ceux qui refusent les sacrifices parce que le dioxyde de carbone, un aliment végétal, est dangereux, est énorme. Trudeau ressemble à un homme mort ambulant et son Parti libéral a perdu 75 pour cent de son soutien. Presque tout le pays en dehors de l’axe Toronto-Ottawa-Montréal s’identifie comme étant d’extrême droite.
La semaine dernière, le groupe Monsanto de Bayer a été condamné à un verdict de 1,5 milliard de dollars dans la dernière affaire Roundup. Peu importe le lobbying de Big Ag (163 millions de dollars par an) et ses relations publiques incessantes, personne ne les croit. Une simple recherche sur Google fait apparaître 1,2 million de contre-arguments liant les produits chimiques agricoles au cancer et à d’autres maladies.
Le gâchis de Covid a obligé les gens à se recentrer sur l’implication des Big Pharma dans les Big Ag. Et pendant qu'on y est, l'eau ? Le fluorure, qui a été déversé dans l'eau de la ville depuis des décennies, est largement soupçonné de provoquer des troubles cognitifs, tandis que l'atrazine, un autre produit chimique agricole présent dans l'eau potable, bisexuelle les poissons, et elle, ainsi que les œstrogènes présents dans l'eau potable, pourraient être responsables de certains (sinon de la totalité) de la confusion sexuelle chez les jeunes. Cette recherche Google donne près de deux millions de résultats.
L'une des pires décisions de Trump signifiait que Monsanto/Bayer « contrôlerait effectivement près de 60 pour cent de l'approvisionnement mondial en semences exclusives, 70 pour cent des produits chimiques et des pesticides utilisés pour cultiver des aliments, et la plupart des caractères génétiques des cultures génétiquement modifiées dans le monde, ainsi qu'une grande partie des données sur ce que les agriculteurs cultivent, où et les rendements qu'ils obtiennent », a déclaré le Guardian en 2018. Aucun changement de nom ne sauvera Monsanto d'être complètement détesté. Les personnes qui ont de l'urticaire après avoir mangé du pain ou des pâtes américaines n'ont aucun problème en Italie où l'UE, dans l'une de ses rares mesures sensées, a interdit les OGM et le glyphosate. Nous savons désormais que les semences issues de la bio-ingénierie de Monsanto ont considérablement accru l’utilisation de produits chimiques et la croissance de supermauvaises herbes. Ce qui signifie qu’une entreprise domine l’agriculture mondiale malgré un tsunami de preuves selon lesquelles les graines génétiquement modifiées migrent les toxines dans les fœtus dans l’utérus.
Malgré la « vision » des mondialistes corporatistes du WEF, ils oublient que ce sont les clients, les personnes qui dirigent les marchés, et non les élites de Davos. Leur arrogance signifie qu’ils ont commis des erreurs catastrophiques qui ne peuvent être pardonnées. Comment tout cela n’est-il pas reconnu comme un génocide lent mais inexorable ? Réponse : les premiers utilisateurs de la courbe de commercialisation le reconnaissent, pour parler leur jargon grossier, et cela signifie un désastre titanesque pour la grande agriculture et la grande industrie pharmaceutique.
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Elizabeth Nickson a suivi une formation de journaliste au bureau londonien de Time Magazine. Elle est devenue chef du bureau européen du magazine LIFE au cours de ses dernières années de publication mensuelle et, pendant cette période, a négocié et acquis les droits des mémoires de Nelson Mandela avant sa libération de Robben Island. Elle a ensuite écrit pour Harper’s Magazine, le Guardian, l’Observer, l’Independent, le Sunday Telegraph, le Sunday Times Magazine, le Telegraph, le Globe and Mail et le National Post. Son premier livre, The Monkey Puzzle Tree, était une enquête sur le programme de contrôle mental MKULTRA de la CIA et a été publié par Bloomsbury et Knopf Canada. Son livre suivant, Eco-Fascists, How Radical Environmentalists Are Destroying Our Natural Heritage, examinait comment l’environnementalisme, mal pratiqué, détruit l’économie et la culture rurales aux États-Unis et dans le monde entier. Il a été publié par Adam Bellow chez Harper Collins US. Elle est chercheuse principale au Frontier Center for Public Policy.
Les « vaccins » à ARNm auto-amplifiants sont-ils des armes biologiques de nouvelle génération ?
Par Mac Slavo Plan SHTF 18 décembre 2023
L’ARN auto-amplificateur (« saRNA ») est conçu pour produire davantage de copies de lui-même une fois introduit dans les cellules. Il code à la fois pour l’antigène d’intérêt, par exemple la protéine de pointe du COVID, et pour les protéines qui permettent la réplication de l’ARN du vaccin. Mais s’agit-il simplement d’armes biologiques de nouvelle génération conçues pour réduire la population ?
Selon un rapport du Daily Exposé, une société appelée Meiji Seika Pharma a publié une déclaration le 28 novembre, annonçant qu'elle avait reçu l'approbation du ministère japonais de la Santé pour fabriquer et commercialiser son vaccin Kostaive sa-ARNm COVID, également connu sous le nom d'ARCT. -154 (ou au Vietnam, VBC-COV19-154). Meiji Seika Pharma a conclu un partenariat exclusif avec l'entreprise de vaccins de CSL, CSL Seqirus, l'un des plus grands fournisseurs de vaccins contre la grippe au monde, pour distribuer le vaccin.
Le Japon est désormais devenu le premier pays au monde à approuver ces nouveaux vaccins auto-amplificateurs à ARNm (« sa-ARNm »). Avec l'approbation de ce « vaccin » obtenue au Japon, ses développeurs cherchent désormais à obtenir une autorisation en Europe ; une décision réglementaire est attendue l’année prochaine.
Comme l'a rapporté ZeroHedge, l'approbation a été donnée malgré l'essai de phase 3, financé par le gouvernement japonais, qui n'a testé le produit que sur 838 personnes, sans groupe témoin. De plus, les résultats de l’essai n’ont pas été publiés ; le manuscrit est « en préparation », selon le rapport de l’étude de phase 3. Tout comme les injections originales du COVID, le « vaccin » nécessite 2 doses, la seconde étant administrée 28 jours après la première, ainsi qu’une ou plusieurs injections de rappel pour les adultes de 18 ans et plus.
Dans la vidéo ci-dessous, Roman Balmakov en a expliqué davantage.
Les faits comptent avec Roman Balmakov : Un nouveau « vaccin à ARNm sa » auto-réplicatif approuvé pour la production de masse, 13 décembre 2023 (10 minutes).
La vraie question est de savoir si ces nouveaux « vaccins » peuvent ou seront utilisés comme armes biologiques contre la classe esclave.
Il est très clair que ces « vaccins » s’auto-répliquent, alors comment le processus s’arrête-t-il ? La réponse simple est que non. S’il s’auto-amplifie mais ne s’auto-arrête pas, nous nous attendons alors à une production incessante de protéine de pointe au fil du temps, provoquant des dommages continus et cumulatifs jusqu’à une défaillance d’organe. Il ne semble y avoir aucun contrôle interne limitant la production de protéine de pointe. Cela signifierait que l’effet de l’ARN auto-amplifié équivaut à une prise de doses répétées indéfiniment !
Cela signifie que si la classe dirigeante parvient à convaincre le grand public de prendre ce type de piqûres, elle pourrait les utiliser comme arme biologique et les laisser éliminer lentement ceux qui leur ont été injectés.
Premièrement, comme ils l'ont essayé avec les chemtrails, ils l'ont appliqué directement avec les seringues. Dès lors que les nano-particules d'oxyde de graphène (au nombre de 40 mille milliards par flacons injectables !), l'inoculé (qui après en redemande !) sera soumis aux ondes de son portable et donc obéira aux ordres reçus.
Deuxièmement, comme on est pas sûr que çà marche à tous les coups, on été ajoutés (Ne les refusez pas c'est offert !) des spikes, des hydres et diverses maladies animales (de derrière les fagots) avec son petit supplément (gâteau sur la cerise) sa quarantaine de venins différents de serpents !
Si avec çà t'en réchappe, t'auras le Prix Poggy Bouchet (qui a traversé l'Atlantique à la rame !).
Une publication affirmant que le Gardasil réduisait les risques pour les femmes enceintes a été retirée pour faux , les chiffres prouvaient le contraire
Quand une étude promeut un vaccin en inversant des données et que le pot aux roses est découvert, voilà comment on se défend et ce qu’on cache. Sans aucune conséquence judiciaire.
Le Vaccin papillomavirus (HPV) Gardasil chez nous est concerné , on a fait croire que les femmes enceintes prévaccinées étaient protégées contre les fausses couches et les naissances prématurées
- voir doc sur site -
@scholle14000
Des statisticiens ont rétabli la vérité. Les auteurs de l’étude ont prétendu qu’ils n’avaient pas accès aux données brutes. Un des co-auteurs a mis en cause une personne inexistante. L’auteur principal a caché qu’elle est financée par le détenteur des droits sur le vaccin.
L’étude prétendait fournir des « résultats » sur la réduction des naissances prématurées chez les mères vaccinées contre le VPH/ 23% de naissances prématurées en moins
Les auteurs rapportent qu’il y a eu une interprétation incorrecte du rapport de cotes, ce qui signifie qu’au lieu que la vaccination contre le VPH soit potentiellement protectrice, il pourrait y avoir un risque accru d’accouchement prématuré.
Un lauréat du prix Nobel cherche à guérir le cancer grâce à la technologie de l'ARNm
PAR TYLER DURDEN LUNDI 18 DÉCEMBRE 2023 - 05:20 Rédigé par Naveen Athrappully via The Epoch Times
Le Dr Drew Weissman, lauréat du prix Nobel, a récemment parlé de l'utilisation de la technologie de l'ARNm pour prévenir le développement de cancers chez les personnes vulnérables.
Le Dr Weissman a suggéré d'utiliser des vaccins à ARNm pour prévenir les cancers lors de sa conférence du prix Nobel le 7 décembre. « L'idée ici est de traiter les gens avant qu'ils ne développent un cancer », a-t-il déclaré. Le Dr Weissman a remporté cette année le prix Nobel de médecine avec le Dr Katalin Karikó pour avoir développé une méthode permettant d'empêcher le système immunitaire de lancer des attaques inflammatoires lorsque de l'ARNm fabriqué en laboratoire est injecté dans le corps, permettant ainsi l'utilisation thérapeutique de la technologie médicale.
Cela a permis le développement rapide de vaccins à ARNm contre la COVID-19. Le Dr Weissman et son équipe de l'Université de Pennsylvanie se concentrent désormais sur l'utilisation de la technologie de l'ARNm pour traiter le cancer.
Un vaccin en cours de développement par l’équipe apprend au corps à identifier et à combattre les cellules tumorales. Le vaccin est destiné aux personnes présentant une mutation génétique augmentant leur risque de cancer.
Par exemple, BRCA est un gène qui contribue au risque de cancer du sein. Sur les plus de 18 millions de cancers identifiés chaque année dans le monde, environ cinq à 10 % proviennent de mutations génétiques.
Le lauréat du prix Nobel et son équipe ont étudié des méthodes permettant d'utiliser l'ARNm pour déclencher une réponse immunitaire dans l'organisme qui tuerait les cellules cancéreuses.
Lors d’expériences sur des souris, les chercheurs ont injecté de l’ARNm qui a appris au corps à produire une protéine appelée IL-12. Cette protéine demande à l’organisme de produire des cellules immunitaires appelées cellules T effectrices qui peuvent éliminer le cancer.
"Nous savons qu'il faut cinq ou dix ans pour que les cellules cancéreuses commencent à apparaître avant de former de grosses tumeurs à part entière qui altèrent leur fonction", a déclaré le Dr Weissman lors de sa conférence.
"Si nous traitons ces personnes, peut-être tous les 5 ans, avec un vaccin qui ne produit que des lymphocytes T effecteurs, [il] nettoiera, éliminera, tuera toutes les cellules transformées et empêchera peut-être complètement l'apparition du cancer chez ces patients. .»
Traitements d'ARNm
De nombreuses sociétés pharmaceutiques étudient déjà l’utilisation de l’ARNm pour le traitement du cancer. Ce mois-ci, Moderna et Merck & Co. ont annoncé avoir commencé un essai avancé de leur traitement expérimental personnalisé à base d'ARNm pour les patients atteints d'un type de cancer du poumon.
La thérapie, appelée v940, sera adaptée individuellement à chaque patient afin de déclencher les lymphocytes T. Il sera proposé en association avec le médicament Keytruda. En juillet, les deux sociétés ont lancé une étude de stade avancé sur cette thérapie combinée chez des patients atteints de mélanome, un cancer de la peau.
Plus tôt cette année, BioNTech, la société qui s’est associée à Pfizer pour fabriquer les vaccins à ARNm contre le COVID-19, a annoncé avoir signé un accord avec le gouvernement britannique pour des thérapies personnalisées contre le cancer.
Selon l'accord, jusqu'à 10 000 patients seront inscrits dans des essais cliniques d'ici la fin de 2030. Les thérapies anticancéreuses utiliseront la technologie de l'ARNm dans leurs traitements.
Outre le cancer, la technologie de l'ARNm est étudiée pour son utilisation dans le traitement des allergies, des maladies génétiques, des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, de l'insuffisance cardiaque, des troubles du développement neurologique, du VIH, du paludisme et de la tuberculose.
Développer l’ARNm pour vacciner contre d’autres maladies alors que la technologie existante présente des défauts considérables soulève plusieurs questions de sécurité.
Les chercheurs d’une nouvelle étude historique ont découvert une séquence dans le vaccin Pfizer à ARNm contre le COVID qui produit une « réponse immunitaire involontaire » dans le corps, que les experts qualifient d’« échec de développement et de réglementation » massif.
L’acide ribonucléique messager synthétique (ARNm), tel que celui utilisé dans les vaccins Moderna et Pfizer, permet à l’organisme de créer une protéine de pointe spécifique imitant le SRAS-CoV-2. Le corps réagit à la protéine étrangère et génère une immunité protectrice, qui neutralise théoriquement le vrai virus lorsqu’il pénètre dans le corps.
« Des chercheurs de l’unité de toxicologie du Medical Research Council (MRC) ont découvert que la machinerie cellulaire qui « lit » les ARNm « glisse » lorsqu’elle est confrontée aux répétitions d’une modification chimique couramment trouvée dans les traitements à base d’ARNm. En plus de la protéine cible, ces glissements conduisent à la production de protéines « hors cible » déclenchant une réponse immunitaire involontaire », indique un communiqué de presse de l’étude publié dans Nature le 6 décembre.
La semaine dernière, le chirurgien général de Floride, le Dr Joseph Ladapo, a demandé aux autorités fédérales de la santé de fournir plus d’informations sur la découverte de fragments d’ADN dans les vaccins Pfizer et Moderna contre la COVID-19 « faisant du stop dans les cellules humaines ».
Dans une lettre adressée aux responsables du CDC et de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, il a souligné que la présence de l'ADN promoteur/amplificateur du virus simien 40 (SV40) dans les vaccins présente un « risque accru d'intégration de l'ADN dans les cellules hôtes ». .»
« L’intégration de l’ADN pourrait théoriquement avoir un impact sur les oncogènes humains, c’est-à-dire les gènes qui peuvent transformer une cellule saine en cellule cancéreuse », a-t-il prévenu.
Des recherches ont également montré que les vaccins à ARNm contre la COVID-19 peuvent réduire une bactérie intestinale bénéfique appelée bifidobactérie, dont la présence est associée à une immunité plus élevée contre les agents pathogènes et le cancer.
Dans quelle mesure les Européens sont-ils sceptiques quant à la vaccination ?
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 17 DÉCEMBRE 2023 - 15H55
32 % des personnes interrogées en Pologne dans le cadre de l’enquête Consumer Insights de Statista déclarent avoir peu confiance dans la sécurité des vaccinations.
Comme le note Anna Fleck de Statista, le faible taux de vaccination contre la grippe chez les personnes âgées en Pologne met en évidence les conséquences pratiques potentielles de telles attitudes – bien que les données ne démontrent pas de manière concluante une relation causale.
Le graphique suivant met en évidence le manque de confiance dans la sécurité des vaccinations dans plusieurs pays d’Europe.
En Autriche et en France, environ un quart des personnes interrogées ont exprimé des doutes quant à la sécurité des vaccinations, tandis qu'en Allemagne, un peu plus d'une personne sur cinq a exprimé la même chose.
- voir graph sur site -
Infographie : Dans quelle mesure les Européens sont-ils sceptiques quant à la vaccination ? | Statiste Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Selon ces chiffres, la confiance dans la sécurité des vaccins est plus prononcée en Espagne et au Royaume-Uni.
Au Royaume-Uni, les vaccins continuent d’être surveillés même après leur approbation.
L’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) joue un rôle clé dans ce processus, en collectant et en analysant en permanence les données sur la sécurité des vaccins et en enquêtant sur les événements indésirables signalés. De plus amples informations sur les vaccins et leurs effets secondaires potentiels peuvent être obtenues auprès de l'Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA).
SARS-CoV-2 : les révélations terrifiantes d’une équipe de biologistes britanniques au sujet du « vaccin » à ARN messager
le 17 décembre 2023
Lorsque le Docteur Alexandra Henrion-Caude exposa il y a quelques jours que la présence de pseudo-uridine introduite dans la séquence de l’ARN messager qui a été injecté à des milliards de personnes dans le monde dans le but (non prouvé) de les protéger contre le SARS-CoV-2
https://crowdbunker.com/v/jq23DvQWL6
j’ai retrouvé l’article dont elle parlait avec effarement et effroi (lien en fin d’article en accès libre). En effet Alexandra est une généticienne de renommée internationale spécialiste des Acides Ribo-Nucléiques. Elle a été censurée et c’est la raison pour laquelle elle n’a pu exposer son émotion que sur une chaine télévisuelle alternative. C’est donc pour éclairer les lecteurs de ce blog que j’ai écrit cet article un peu technique mais compréhensible. L’ARN messager est produit dans le noyau cellulaire à partir de l’ADN et son but est de servir d’information à la machinerie cellule située hors du noyau pour fabriquer des protéines. Cet équipement complexe s’appelle le ribosome et se trouve dans un ensemble complexe entourant le noyau cellulaire appelé le réticulum endoplasmique. Les protéines synthétisées se répartissent ensuite dans la cellule selon leur fonction. L’information désignant au niveau du ribosome la nature de l’acide aminé à ajouter à la chaine peptidique est un codon, c’est-à-dire un triplet de bases puriques ou pyrimidiques qui dans l’ARN sont l’adénine, l’uridine, la guanine et la cytidine. De nombreuses tentatives antérieures au coronavirus pour mettre au point des techniques thérapeutiques nouvelles utilisant le même principe d’utilisation de l’ARN messager avaient échoué car la molécule d’ARN est très susceptible à une activité enzymatique appelée RNase qui fait le nettoyage dans la cellule et le liquide interstitiel de l’organisme, toute molécule d’ARN pouvant constituer un danger pour l’organisme.
Les sociétés Moderna et Pfizer-BioNtech ont donc appliqué un stratagème pour améliorer la stabilité de l’ARN messager en remplaçant les uridines par une base artificielle appelée pseudo-uridine et en complexant cet ARN modifié avec des acides gras synthétiques le « paquet-cadeau mortel » fut proposé aux autorités sanitaires mondiales et nationales pour protéger les populations contre le SARS-CoV-2. Quand j’écris le paquet-cadeau mortel c’est pour insister sur le fait que ces fabricants n’avaient pas prouvé que cette mixture artificielle ne protégeait pas contre le virus ni ne protégeait contre la transmission mais il apparaît qu’ils ignoraient aussi quels pouvaient être les effets de l’introduction de pseudo-uridine dans cette séquence d’ARN messager. En théorie la protection devait être obtenue en injectant aux individus cet ARN messager codant pour une partie de la protéine de la spicule du coronavirus, la sous-unité 1, afin que l’organisme produise cette protéine puis réagisse contre sa présence indésirable et ainsi s’immunise contre le virus. L’épidémie devrait alors rapidement s’éteindre si les populations étaient contraintes par le pouvoir politique de subir ces injections.
Sur le papier c’était tellement séduisant que personne n’ignore la suite de cette opération mensongère à commencer par les effets secondaires de cette vaccination d’un nouveau type.
Mais il y a bien pire, une zone d’ombre que viennent d’exposer une équipe de biologistes britanniques dirigée par le Docteur Anne E. Willis de l’Université de Cambridge. Il s’agit d’un dysfonctionnement des ribosomes quand ils « lisent » l’ARN messager synthétique. La pseudo-uridine est mal reconnue et ignorée par le ribosome et celui-ci reconnaît alors le triplet suivant, ce qui conduit à la synthèse de protéines aberrantes qui n’ont rien à voir avec la séquence de la protéine de la spicule du coronavirus. Personne ne connait les effets de ces protéines néo-synthétisées par les cellules d’une personne ayant subi sous la contrainte l’injection d’un tel ARN messager modifié avec des pseudo-uridines ! Outre le fait que l’efficacité de cette approche vaccinale n’a jamais été prouvée par les fabricants de cette mixture artificielle, elle induit potentiellement une multitude d’effets potentiellement délétères pour l’organisme. Cet article publié le 6 décembre 2023 constitue un argument suffisant afin de poursuivre les laboratoires pharmaceutiques sus-nommés pour tromperie voire escroquerie délibérée. Il est nécessaire que les autorités de sécurité sanitaire sensées protéger la population exigent un abandon immédiat de la technique vaccinale utilisant l’ARN messager compte tenu de ce résultat ignoré par les dits laboratoires pharmaceutiques. Pourquoi faut-il des années pour mettre au point un vaccin ? Tout simplement parce que tous les risques potentiels doivent être systématiquement explorés : personne ne peut se permettre de commercialiser un vaccin qui présente le moindre risque pour la santé, or ce n’est pas le cas des vaccins ChAdOx1 et BNT162b2 qui ont été injectés à des milliards de personnes dans le monde sur recommandation de l’OMS.
Juste pour illustrer graphiquement l’objet de cette étude
https://doi.org/10.1038/s41586-023-06800-3
afin de ne pas compliquer la compréhension de ce présent article, voici schématiquement ce qui se passe de manière totalement hors de contrôle dans la cellule d’un individu soumis à cette pseudo-vaccination, « +1 frameshift » signifiant un glissement du cadre de lecture des triplets (ou codons) de une base pseudo-uridine (capture d’une partie de la fig.2 de l’article) :
Le Docteur Henrion-Caude s’était émue de la vitesse avec laquelle la technique « ARN messager » avait été avalisée par l’OMS et les autorités sanitaires nationales et elle avait raison. Elle a été ostracisée, attaquée par les médias à la solde des grands groupes financiers. Qu’on me traite de complotiste, je m’en moque mais les évidences scientifiques sont là, elle sont irréfutables : cette technique est toxique et doit être abandonnée pour revenir à la mise au point de vaccins plus traditionnels comme des virus entiers désactivés compte tenu du fait que les techniques de production de tels vaccins sont rodées et parfaitement connues malgré le fait que les virus pathogènes ayant un ARN comme patrimoine génétique ont la fâcheuse tendance à muter très rapidement et que la mise au point d’un vaccin n’est valable que sur une courte période. Le Docteur Robert Malone, le précurseur dans le domaine de l’utilisation des ARN-messager à des fins thérapeutiques spéciales dans le cas de maladies incurables pour lesquelles toutes les approches curatives avaient échoué. Or dans le cas du coronavirus, les biologistes chinois avaient clairement identifié l’efficacité de l’hydroxychloroquine pour faire baisser la charge virale en tout début de maladie lors de l’épidémie de SRAS il y a vingt ans. L’argument mis en avant par l’OMS d’absence de traitement précoce était donc un autre mensonge afin de mettre en place cette vaccination de masse.
Avec les effets persistants de cette thérapie avec ARN messager sur l’espérance de vie les preuves s’accumulent en défaveur de ce qui est appelé abusivement un vaccin. Le cas du Japon constitue incontestablement un exemple du caractère létal de cette approche thérapeutique délibérément bâclée en raison d’une urgence qui n’existait pas. Les Japonais sont obéissants et donc aveuglément dociles. Ils appliquent scrupuleusement les directives gouvernementales et dans le cas de la vaccination avec ARN messager ils se sont pliés à de multiples injections qualifiées de rappels, « boosters », comme vous voudrez. Les effets se font toujours sentir sur le nombre de morts inexpliquées comme l’indique la figure suivante :
- voir graph sur site -
La mortalité a brusquement augmenté à l’issue de l’épidémie de coronavirus au cours des années 2022 et 2023, respectivement de 10 et 8,6 %, alors que durant les années précédentes cette mortalité était monotone croissante en raison du vieillissement de la population. Patrice Gibertie en a conclu, sur la base de données officielles, que la seule explication de ce phénomène alarmant était la campagne de vaccination délirante à laquelle les Japonais ont consenti en se soumettant parfois à plus de 5 injections de « rappel »
Tous les laboratoires pharmaceutiques qui ont commercialisé à la hâte ce vaccin mal étudié sont donc coupables, appelons un chat un chat, de crime délibéré contre l’humanité ! Ces laboratoires ne seront jamais poursuivis pénalement car ils disposent de tous les arguments pour affirmer que ce n’était pas eux les coupables mais l’OMS et les autorités nationales et internationales de sureté des médicaments.
Ainsi des juristes et des avocats chevronnés sont confrontés à une mission complexe : déterminer la part de responsabilité des fonctionnaires qui composent ces organismes, la FDA aux États-Unis, l’Agence européenne de la sureté du médicament, les organismes publics nationaux équivalents. Ils découvriront alors que tous ces organismes sont totalement corrompus par les puissances financières qui contrôlent ces laboratoires pharmaceutiques. Ce sera donc une mission impossible et tout rentrera dans l’ordre avec de nouvelles épidémies provoquées par des virus manipulés en laboratoire et à nouveau les peuples serviront d’animaux de laboratoire, mourront pour participer au sauvetage du climat, ne pourront plus avoir d’enfants et ceux qui souffriront de séquelles des thérapies imposées par les décideurs politiques seront euthanasiés comme les « vieux » devenus inutiles … Dans quel monde étrange vivrons-nous ?
La 'docteure Henrion-Caude' ne s'est JAMAIS souciée des rapport d'examinations attentives et scientifiques des vraies docteures Astrid Stuckelberger et de Carrie Madejd démontrant la composition RÉELLE des flacons injectables !!
Entre 95 et 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène !! + des hydres ! ( 😎 Qui est l'hydre, cette créature capable de se faire pousser de nouvelles têtes ? Petit polype d'eau douce, l'hydre possède un pouvoir hors du commun : faire repousser les parties de son corps qui ont pu lui être amputées. Une particularité qui lui vaut la réputation d'être immortelle) + des spikes !! + diverses maladies animales + une quarantaine (source Naturalnews) de venins de serpents différents !
Donc: de passer outre propos ces révélations (ci-dessus) sur la composition des flacons injectables passe pour être d'autres Fouché ou Raoult !
Inspection chez Moderna : des contaminants découverts
18 décembre 2023 par Thomas Oysmüller
De graves défauts de qualité ont été découverts dans le hall de production de Moderna : des seringues Covid ont été contaminées. Moderna essaie de se calmer.
Sérieuses déficiences en matière de contrôle qualité dans la principale usine de fabrication de Moderna. La FDA a également explicitement identifié de graves déficiences dans « l'équipement utilisé pour produire l'ingrédient actif du vaccin contre la COVID-19 ».
« Inspection » de la FDA
Le rapport a même été diffusé par l'agence de presse grand public Reuters, qui elle-même est mêlée au capital pharmaceutique (son rival Pfizer). Reuters a rapporté en exclusivité vendredi les défauts de production massifs de Moderna. Le rapport de la FDA est désormais devenu au moins partiellement public grâce à une demande FOIA (Freedom of Information Act) de l'agence.
Le rapport précise :
"En septembre, les régulateurs américains des médicaments ont découvert des déficiences dans le contrôle qualité dans la principale usine de fabrication de Moderna (MRNA.O), y compris dans l'équipement utilisé pour produire l'ingrédient actif du vaccin COVID-19."
Du 11 au 21 septembre, les États-Unis La Food and Drug Administration (FDA) a mené une « inspection » dans les installations de Moderna à Norwood, dans le Massachusetts. L'usine est utilisée non seulement pour produire le vaccin d'ARNm Covid, mais également pour produire le traitement expérimental contre le cancer à ARNm sur lequel Moderna travaille en collaboration avec Merck & Co. fonctionne.
Le rapport note que Moderna a publié huit lots de la substance ARNm Covid qui avaient été fabriquées à l'aide d'équipements qui avaient échoué aux tests de nettoyage de l'entreprise. Reuters affirme que le rapport laisse des lacunes et prête à confusion. Le rapport ne parle pas directement de la substance Covid, mais plutôt d’une « substance médicamenteuse » contaminée qui était destinée à la substance Covid. Il n’est pas précisé si les lots ont également été mis en circulation. L'autorité n'a pas répondu à une question de Reuters.
La FDA note également dans le rapport que Moderna n’avait pas mis en place les mesures appropriées dans ses installations pour garantir que les matériaux périmés ne soient pas utilisés pour produire des vaccins. Il ne serait pas non plus possible d’empêcher une éventuelle contamination par l’air.
En outre, environ 2 000 articles périmés ont été trouvés dans l'entrepôt et la chambre froide, « qui n'étaient pas stockés dans un endroit séparé ou défini des autres matériaux » . Il a également été constaté que les matériaux avaient été utilisés au-delà de leur date de péremption.
Dans sa déclaration, Moderna se lave de son innocence et agit de manière responsable :
« Dès réception des conclusions de la FDA, Moderna a immédiatement et complètement mis à jour les procédures spécifiques identifiées et est convaincue que les mesures prises sont satisfaisantes pour les régulateurs. »
Selon la société mRNA, l’inspection était une « enquête de routine » – en aucun cas une perquisition. De plus, les conclusions de la FDA ne reflètent aucune préoccupation « concernant la qualité ou la sécurité des produits ». Post-scriptum : « Les vaccins contre le Covid-19 sont sûrs et efficaces. »
Reuters déclare explicitement dans le rapport que les carences identifiées, « ont porté préjudice aux personnes qui ont reçu le vaccin Moderna contre la COVID, le seul produit commercialisé. de l'entreprise."
Le rapport est particulièrement explosif en raison de la contamination des nanoparticules lipidiques présentes dans la substance ARNm de Pfizer. Les seringues contaminées qui ont également été trouvées chez Pfizer sont désormais même arrivées à l'ÖRR - TKP a rapporté.
Viande de laboratoire – en proie à une contamination virale et bactérienne
17 décembre 2023 par Dr. Peter F. Mayer
Voudriez-vous sciemment mettre dans votre bouche les produits chimiques utilisés dans la vaisselle et les métaux lourds contenus dans les produits anti-transpirants ? Contrairement au savon et à l’aluminium, les aliments que nous mangeons peuvent sembler inoffensifs et nous les consommons souvent sans vraiment savoir d’où ils viennent, de quoi ils sont faits et s’ils sont contaminés. Un « tsunami de produits alimentaires contrefaits » arrive à notre rencontre, qui est déployé par l'industrie biotechnologique.
Ceci est rapporté dans la vidéo suivante par Elze van Hamelen, qui étudie la technocratie, la surveillance, les systèmes alimentaires, la manipulation comportementale et bien plus encore. Elle écrit pour le « Solari Report » de Catherine Austin Fitts. Elze et également pour notre partenaire média néerlandais De Andere Krant.
L’imitation de viande consiste à évincer les agriculteurs et les éleveurs et à les remplacer par des aliments ultra-transformés qui peuvent être contrôlés par des brevets. La production de viande cultivée en laboratoire est « incroyablement coûteuse » et en proie à une contamination bactérienne et virale. Malgré une production de type pharmaceutique, la viande cultivée en laboratoire n’est pas considérée comme un produit pharmaceutique, ce qui signifie qu’aucun test sur l’homme n’est requis.
Van Hamelen recommande de dépenser de l'argent pour l'alimentation, non pas dans les chaînes de supermarchés ou dans des produits contrefaits, mais dans les petits agriculteurs qui cultivent de la vraie nourriture.
Comment l’industrie biotechnologique cultive de la viande en laboratoire
Pour produire de la viande d'imitation, des lignées cellulaires sont prélevées sur un organisme vivant. Ils sont ensuite manipulés pour qu’ils poussent rapidement et uniformément. « Quelles sont les cellules qui se multiplient rapidement ? Soit des cellules cancéreuses, soit des fœtus. Ils ont des cellules qui se multiplient très rapidement", explique van Hamelen. Lorsqu'il s'agit de viande cultivée en laboratoire, la biotechnologie reste énigmatique lorsqu'il s'agit de savoir quels types de lignées cellulaires sont réellement utilisées.
Normalement, les cellules se développent selon une structure dans votre corps. Les lignées cellulaires cultivées dans des bioréacteurs en laboratoire se développent dans une fine couche ou dans un milieu de croissance. Dans le corps, le milieu de croissance est le sang, explique van Hamelen, une substance complexe que les laboratoires tentent de reproduire à l'aide de sérum fœtal bovin (FBS) – du sang provenant de fœtus de veau vivants.
"La façon dont ce sang est obtenu est vraiment cruelle", dit-elle, soulignant que cela réfute l'affirmation selon laquelle cette viande cultivée en laboratoire est produit sans animaux. Le FBS est souvent utilisé pour la croissance de cultures cellulaires en raison des protéines et des vitamines qu’il contient. Dans une étude de 2013 (titre : L'influence des micronutriments dans la culture cellulaire : une réflexion sur la viabilité et la stabilité génomique ) il est écrit : « Dans de nombreux milieux courants pour les cultures cellulaires, le sérum fœtal bovin (FBS) est la seule source pour les micronutriments… “
Lorsque le poulet cultivé en laboratoire de la startup américaine Eat Just a été lancé à Singapour en 2020 – devenant ainsi la première viande de culture vendue dans un restaurant – il était fabriqué à partir de FBS.
Pour développer du « sang » synthétique, on a recours à une fermentation de précision avec des microbes génétiquement modifiés et des hormones artificielles, dont l’ajout aux aliments est interdit dans l’Union européenne. Il faut également se procurer des micronutriments et des minéraux, ce qui rend le processus « incroyablement coûteux », a déclaré van Hamelen.
Combien coûte ? L’utilisation d’un milieu sans FBS peut entraîner un coût de viande cultivée supérieur à 20 000 $ par kilogramme. Un rapport du Good Food Institute (GFI), un groupe à but non lucratif derrière l'industrie des protéines alternatives, suggère que le coût de la viande cultivée a augmenté de 90 % diminuerait si le coût des médias sans FBS pouvait être réduit. Cependant, cela est peu probable.
"Le rapport ne fournit aucune preuve expliquant pourquoi le coût des micronutriments va diminuer", a écrit Joe Fassler, rédacteur en chef adjoint de .h, dans un exposé détaillé sur le contexte scientifique actuel de la viande cultivée en laboratoireThe Counter
Les contaminants peuvent également rendre la viande cultivée en laboratoire inabordable Dans le cadre d'une fermentation de précision, les microbes génétiquement modifiés tels que les levures et les bactéries sont fermentés dans des cuves de type brasserie dans des conditions stériles de haute technologie. Les impuretés doivent être contrôlées jusqu'à 2 parties par milliard, explique van Hamelen, "car dès qu'il y a une impureté... elle est criblée de bactéries, et vous n'avez pas de culture cellulaire, vous avez une culture bactérienne ».< /span>
Le rapport du GFI suppose que les futures cultures de viande seront adaptées à un usage alimentaire plutôt qu'à un usage pharmaceutique, ce qui augmenterait encore davantage les coûts. Cependant, un rapport de l'ingénieur chimiste David Humbird pour Open Philanthropy a conclu que la viande cultivée pourrait rester trop chère pour être commercialisée si l'on estime qu'en raison de le faible taux de croissance des cellules cultivées, des spécifications de qualité pharmaceutique et des « salles blanches » aseptiques seraient nécessaires.
Cela les rend extrêmement vulnérables à la contamination par des bactéries et des virus. Humbird a expliqué à Fassler :
« Les bactéries se développent toutes les 20 minutes et les cellules animales sont bloquées après 24 heures. En cas de contamination, la culture est détruite en quelques heures... Il existe des cas documentés où le personnel a rendu la culture malade.
Pas même parce que l’opérateur lui-même était enrhumé. Mais c'était une particule virale sur un gant. Ou une ligne n'a pas été nettoyée. La culture n'a pas de système immunitaire. S’il existe des particules virales susceptibles d’infecter les cellules, elles le feront. Et généralement, les cellules meurent et il ne reste plus de produit. Jetez-le simplement.
Paul Wood, un ancien cadre de l'industrie pharmaceutique, a ajouté : "Nous disons, les gars, doit être de qualité pharmaceutique parce que le processus l'exigera. Il ne s'agit pas de savoir si quelqu'un vous permettra de travailler avec des spécifications de qualité alimentaire, il s'agit du fait que vous ne pouvez physiquement pas le faire".
Pour aggraver les choses, le corps humain possède des vaisseaux qui non seulement fournissent aux cellules des nutriments, mais évacuent également les toxines. Lors de la culture de viande artificielle, il n’y a pas de système vasculaire, donc la culture commence à produire des toxines et il n’y a aucun moyen de s’en débarrasser.
Un exposé dans Wired met en évidence un certain nombre de défis technologiques dont parle van Hamelen, directement des employés d'Upside Foods, l'une des deux entreprises autorisées vendre de la viande cultivée aux États-Unis. Wired a signalé :
« Un ancien employé raconte qu’entre l’ouverture de l’usine en novembre 2021 et l’été 2022, il a vu des dizaines de tentatives d’utilisation des bioréacteurs pour produire des couches de tissus, mais elles ont rarement abouti à de la viande utilisable. Parfois, les cycles de production étaient ruinés par une contamination qui rendait la viande impropre à la transformation en produit, a déclaré l'ancien employé.
D'anciens employés d'Upside décrivent comment des lots de viande cultivés dans les bioréacteurs construits sur mesure étaient souvent détruits par la contamination et devaient être brûlés. Dès qu’ils avaient un indice de contamination, ils essayaient d’arrêter l’analyse, de récupérer les cellules et d’obtenir le plus de résultats possible », raconte un ancien employé qui connaît le procédé.
Malgré une production de type pharmaceutique, la viande cultivée en laboratoire n'est pas considérée comme un produit pharmaceutique, ce qui signifie qu'aucun test sur l'homme n'est requis. "Si ce produit est commercialisé, ce sera une expérience humaine", déclare van Hamelen.
La fausse nourriture trouve ses racines dans le contrôle central
Van Hamelen décrit également une guerre contre les agriculteurs néerlandais qui menace de les chasser des terres qu'ils cultivent depuis des générations. Lorsque les petites et moyennes exploitations agricoles ferment leurs portes, les gouvernements et les entreprises peuvent racheter les terres, ne laissant aux consommateurs d’autre choix que de manger les aliments cultivés en laboratoire et sans animaux qu’ils proposent.
« En 2021, le réseau Natura 2000 de l'Union européenne a publié une carte montrant les zones des Pays-Bas qui sont désormais protégées des émissions d'azote. Chaque agriculteur néerlandais opérant dans un rayon de 5 kilomètres d'une zone protégée Natura 2000 devrait désormais réduire considérablement ses émissions d'azote, ce qui limiterait sa production », déclare Roman Balmakov< /span>, journaliste d'Epoch Times et animateur de « Facts Matter ».
Nynke Koopmans, une productrice laitière néerlandaise du Forum pour la démocratie, estime que le problème de l'azote est une invention. "C'est un gros mensonge", dit-elle. «L'azote n'a rien à voir avec l'environnement. Il s’agit simplement de se débarrasser des agriculteurs. Un autre agriculteur a déclaré que si les nouvelles règles sur l'azote entrent en vigueur, il devra réduire son troupeau de 58 vaches laitières à six.
Le scientifique de l'azote, le Dr. Jaap C. Hanekamp a travaillé pour un comité gouvernemental d'étude sur l'azote chargé d'analyser le modèle gouvernemental sur l'azote. Il dit à Balmakov :
« L'ensemble de la politique est basée sur le modèle de dépôt pour gérer les émissions d'azote dans les zones naturelles. Et j’ai regardé les études de validation et j’ai réalisé que le modèle était en fait de la merde. Ça ne marche pas. Et cela n'a pas d'importance. Ils continuent néanmoins à l'utiliser. Ce qui est, d’une certaine manière, inquiétant. Je veux dire, pouvons-nous vraiment faire quelque chose comme ça en politique ? Vous utilisez un modèle qui ne fonctionne pas ? Il ne s'agit jamais d'innover, il s'agit toujours de se débarrasser des agriculteurs ».
La fausse nourriture est un « chapitre dangereux » du « grand empoisonnement ».
Une fois débarrassés des agriculteurs, il ne reste plus que des produits cultivés en laboratoire, des insectes et d'autres aliments synthétiques. D'après le Rapport Solari de Fitts :
« Les aliments synthétiques et la viande cultivée en laboratoire représentent un nouveau chapitre dangereux dans ce que j’appelle « le grand empoisonnement ». Malgré une économie qui n’a aucun sens – et malgré l’évidence évidente que ces produits sont dégoûtants pour les consommateurs – l’argent n’est apparemment pas un problème.
Grâce à un capital-risque massif et à des partenariats public-privé en plein essor, des produits comme la farine de grillon et les « œufs » cultivés en laboratoire ont déjà trouvé leur place dans les épiceries – avec un étiquetage inexistant ou trompeur conçu pour contourner les défenses des consommateurs sans méfiance.
Comme le montrent les recherches d'Elze, il s'agit d'une attaque à plusieurs volets dans laquelle les aliments synthétiques ciblent également les animaux de compagnie et le bétail. Tout porte à croire que les gouvernements, les entreprises et d’autres acteurs envisagent sérieusement d’introduire un système alimentaire étroitement contrôlé qui remplace les vrais aliments et la vraie viande par des « alternatives » synthétiques d’inspiration pharmaceutique.
La réponse à la sécurité alimentaire réside dans un système alimentaire décentralisé qui relie les communautés aux agriculteurs qui cultivent de la vraie nourriture de manière durable et la distribuent localement. Van Hamelen recommande de diriger l'argent destiné à l'alimentation non pas vers les grandes chaînes de supermarchés, mais vers les petits agriculteurs ou leurs intermédiaires.
Revers pour le WEF et l'agenda de Bill Gates en Italie : interdiction de la viande de laboratoire
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La viande de laboratoire présente des risques élevés de cancer et de santé
Une bactérie (parfaitement saine qui passait par là) se pose sur la fausse viande franchement faisandée. Rien qu'à l'odeur elle est contaminée et devient microbe. Après, comme le faisait Pablo Escobar, il va faire du trafic de stup entre le laboratoire nazi où sont expérimentés les poisons et les corps humains en vadrouille.
Ces fausses viandes ("On dirait des vraies !") seront aux rayons du surgelé aux côté des boulettes de merde de vaches avec du sucre dessus. La pisse bio est au rayon soda.
La réduction de la viande bovine sauvera-t-elle notre planète ?
17 Décembre 2023 Lucy M. Stitzer*
Lors du récent sommet sur le climat COP28, les Nations Unies ont déclaré que les pays riches devaient réduire leur consommation de viande rouge et de produits laitiers pour éviter une crise sanitaire mondiale. Mais les éleveurs et les producteurs laitiers ne sont-ils pas déjà en train de réduire de manière proactive les effets de cette crise ?
Les vaches sont-elles vraiment une cause majeure du changement climatique ? Les pays riches n'incitent pas les gens à adopter un régime alimentaire à base de plantes. Cela permettra-t-il vraiment de réduire les émissions ? Quel serait l'impact sur l'environnement d'un régime entièrement végétal pour 8 milliards de personnes ? Sans oublier que nous avons besoin de 30 % de protéines dans notre alimentation. Nous avons étudié cette question il y a deux ans, lorsque Epicurious a décidé de ne plus inclure de recettes à base de viande, et nous avons décidé de la réétudier à la lumière des récentes initiatives prises dans le cadre de la COP28.
Chaque jour, nous choisissons ce que nous mangeons. Autrefois, ce choix n'était pas très important. Mais aujourd'hui, l'alimentation est devenue synonyme de politique. Je comprends. La famille de ma sœur et la mienne sont très unies et ont des avis divergents sur la consommation de viande. Dans notre groupe d'enfants, nous avons deux végétaliens, deux végétariens et quatre mangeurs de viande.
Nous nous aimons beaucoup et nous ne demandons pas aux végétaliens de cuire des steaks, ni aux amateurs de viande de ne préparer que des plats à base de plantes. Au contraire, nous travaillons ensemble pour nous assurer qu'il y a assez de nourriture dans l'assiette de chacun. Ensuite, nous passons notre temps à nous occuper des autres en tant que personnes, et non à nous chamailler sur ce que nous mangeons. C'est une question de respect et de soutien des choix de chacun.
Qu'en est-il de la position de la FAO sur la viande rouge ?
Lors du récent sommet sur le climat COP28 à Dubaï, l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO) a déclaré que les pays développés devront réduire leur production de viande rouge et de produits laitiers pour éviter une crise sanitaire mondiale.
J'ai des conversations informelles avec des amis et des connaissances qui participent assidûment aux « lundis sans viande » ou qui renoncent carrément à la viande rouge parce qu'ils pensent faire une bonne action pour le climat.
« Selon une nouvelle feuille de route de l'organisme mondial chargé de la sécurité alimentaire, les pays riches devront réduire leur consommation de viande et de produits laitiers pour atteindre les objectifs en matière de santé et d'environnement.
La feuille de route de l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO) présente un moyen de nourrir le monde au cours des 25 prochaines années sans augmenter les émissions et le défrichement qui sont à l'origine du changement climatique et de la perte de biodiversité. »
Alors, est-ce vrai ? Si nous réduisions considérablement la production de viande bovine et de produits laitiers, réduirions-nous également les émissions de manière significative ? Voici une meilleure question : et si tout le monde savait que la viande peut faire partie d'une solution climatique plus large au lieu d'être un problème climatique ?
Nous souhaitons vous donner une perspective plus nuancée, fondée sur des données, afin que vous puissiez parvenir à votre propre conclusion.
Les vaches résolvent-elles le problème du changement climatique ?
Ayant grandi dans le Minnesota, je peux vous dire qu'il n'y a pas de plus beau spectacle que les prairies. À la fin des années 60, la fenêtre de ma chambre donnait sur une prairie humide. Qu'il s'agisse de prairies, de pampas, de steppes ou de savanes, environ un tiers de notre territoire est constitué de prairies ouvertes... de hautes herbes ondulant dans le vent, peuplées de cerfs, d'élans, d'oiseaux chanteurs, de fleurs sauvages et de bétail.
Dans un article récent, The Nature Conservancy a mis en évidence une méta-analyse intitulée « Reducing Climate Impacts of Beef Production » (réduire les impacts climatiques de la production de bœuf), qui montre que les éleveurs, en particulier aux États-Unis et au Brésil, qui possèdent à la fois des prairies et des bœufs, peuvent réduire leurs émissions de 50 %.
Comme l'a dit un éleveur de Caroline du Sud sur 400 hectares à l'un de nous à Dirt to Dinner (D2D), « je suis en fait un producteur d'herbe ». Lorsque le bétail est en liberté, ses sabots creusent la terre, les graines des plantes voisines tombent, le fumier ajoute de l'engrais et les prairies prospèrent. Les terres ouvertes prospèrent parce qu'elles constituent un puits de carbone.
Comme nous l'a dit Meredith Ellis, une éleveuse de bétail du Texas, « notre ranch séquestre 2.500 tonnes de carbone (après les émissions entériques) chaque année, ce qui équivaut à retirer 551 voitures de la circulation ».
Nourris à l'herbe ou finis en parc d'engraissement ?
Saviez-vous qu'environ 95 % des bovins commencent leur vie à l'herbe et terminent le dernier tiers de leur vie dans un parc d'engraissement ? Nombreux sont ceux qui affirment qu'une fois dans le parc d'engraissement, les bovins contribuent au méthane atmosphérique, mais c'est en fait le contraire : les bovins nourris à l'herbe émettent environ 20 % de méthane en plus parce qu'il leur faut environ un an de plus pour atteindre leur poids de marché.
Compte tenu des avantages environnementaux considérables des prairies, nous ne disons pas que toutes les vaches devraient être élevées dans un parc d'engraissement, mais nous soulignons que les bovins nourris au maïs produisent tout simplement moins de méthane.
En outre, de nombreuses entreprises de nutrition animale sont actuellement à la recherche du « Saint-Graal » en matière d'alimentation animale afin de réduire encore davantage les émissions de méthane, de l'ordre de 3 % à 50 %. La raison ? Les éructations sont plus nombreuses lorsque les bovins mangent les fourrages grossiers de l'herbe plutôt qu'un régime hautement nutritif et adapté au parc d'engraissement. C'est lorsque les fourrages grossiers se décomposent que le méthane est produit.
On se meuh ! maintenant pour passer à la digestion du méthane par les vaches laitières
Les producteurs laitiers trouvent également des moyens de contribuer à un environnement plus durable. L'industrie laitière bénéficie depuis des années des digesteurs anaérobies de méthane. Les exploitations laitières collectent le fumier des vaches et le déversent dans des lagunes recouvertes d'une bâche de caoutchouc situées juste à côté des étables.
Chacune de ces couvertures ressemble à un dôme et contribue à capturer le méthane. Ensuite, pour faire court, le méthane est utilisé pour produire de l'électricité pour la ferme ou pour la vendre sur le réseau.
Ces exploitations disposent d'une électricité bon marché et n'émettent pas de gaz à effet de serre (GES) car elles utilisent du méthane plutôt que des combustibles fossiles. En fait, la Californie s'est engagée à réduire de 40 % les émissions de méthane des exploitations laitières d'ici à 2030, rien qu'en utilisant des digesteurs.
Pour vous donner une idée de l'importance de l'alimentation animale, prenons l'exemple de l'Inde...
Ce pays compte 56 millions de vaches laitières, soit plus que l'Union Européenne, le Brésil, les États-Unis et la Russie réunis. Bien entendu, les Indiens ne mangent pas leurs vaches ; ils les utilisent simplement pour fabriquer des produits laitiers.
Leurs systèmes d'alimentation et de traite n'étant pas aussi sophistiqués, une vache ne produit que 1.200 kilos de lait par an, contre 9.500 kilos en moyenne aux États-Unis.
Par conséquent, l'Inde a besoin de huit vaches supplémentaires pour produire la même quantité de lait qu'une vache américaine. Avec 6 millions de têtes, les vaches laitières chinoises ont un taux de production similaire à celui de l'Inde.
Cela fait beaucoup plus de méthane !
Et si nous ne mangions pas de bœuf du tout ?
Les viandes maigres et les végétaux sont essentiels à notre santé. (Avez-vous mangé vos 3 à 5 portions de fruits et légumes aujourd'hui ?) Mais les nutriments apportés par la viande sont également essentiels. Que se passerait-il si nous n'avions le choix qu'entre des plantes et des céréales ? Pour savoir à quoi ressemblerait un pays sans animaux, Robin White et Mary Beth Hall, du Département des Sciences Animales et Avicoles de Virginia Tech et du U.S. Dairy Forage Research Center, ont étudié l'impact d'un pays végétarien sur les émissions, l'économie et la nutrition aux États-Unis.
En résumé, White et Hall ont constaté une réduction des émissions de 2,6 %, soit 28 % des émissions agricoles. Ils expliquent qu'il y aurait 23 % de nourriture en plus, mais que les besoins nutritionnels des États-Unis en minéraux, vitamines et acides gras seraient insuffisants. Par exemple, la consommation d'un steak maigre de 230 grammes apporte 45 grammes de protéines, alors qu'une tasse de haricots noirs n'en apporte que 15 grammes. Vous obtenez plus de protéines avec moins de calories.
Il y aurait également un impact économique. Que dire aux éleveurs, aux agriculteurs, aux engraisseurs, aux transformateurs, aux spécialistes du marketing, etc. qui ont investi des milliards de dollars dans la création de protéines pour la santé humaine, sans parler des retombées sur les économies locales ?
Contrairement à ce que l'on pense, la réalité est que les vaches sont des émetteurs de carbone neutres ! Comment cela se fait-il ? Au fil du temps, elles n'émettent pas plus de carbone qu'elles n'en mangent. Il est incontestable que les plantes extraient le gaz carbonique de l'air et le combinent avec de l'eau et la lumière du soleil pour produire des hydrates de carbone et de l'oxygène. Les plantes utilisent les hydrates de carbone comme carburant pour leur croissance et rejettent de l'oxygène dans l'air comme sous-produit. C'est très pratique pour nous, car nous en avons besoin pour respirer.
Quand une vache mange une plante, elle consomme des hydrates de carbone, qui contiennent du carbone. Elle avale la plante dans son estomac à quatre compartiments. La première chambre est massive et contient suffisamment de nourriture pour remplir votre baignoire – environ 200 litres. Une fois la plante entrée dans leur estomac, les vaches la remontent pour la mastiquer davantage – « ruminer ». La nourriture redescend ensuite dans l'estomac pour être digérée par les microbes, appelés méthanogènes.
C'est alors qu'elles en éructent une partie sous forme de méthane, qui est libéré dans l'atmosphère. Ce méthane est le coupable, car il est 28 fois plus puissant que le gaz carbonique en tant que gaz à effet de serre.
La bonne nouvelle, c'est qu'il ne dure que huit à dix ans avant de se transformer en une partie de gaz carbonique et deux parties de H2O par oxydation hydroxyle.
C'est là que les choses deviennent intéressantes : selon Frank Mitloehner, Ph.D., professeur et spécialiste de la qualité de l'air à l'Université de Californie à Davis, « si vous n'ajoutez pas de bétail ou de vaches à la terre, il n'y aura pas de méthane supplémentaire et pas de réchauffement climatique supplémentaire. »
Tant que l'on n'introduit pas davantage de vaches sur la planète, il n'y a pas d'ajout de gaz carbonique. Au cours des dix dernières années, la population mondiale de bovins s'est maintenue autour d'un milliard, alors que la présence annuelle moyenne de méthane n'a cessé d'augmenter. Le Dr Mitloehner poursuit en disant : « Nous, dans l'agriculture, devons faire notre part, mais nous ne devons pas être considérés comme le gorille de 400 kilos que nous ne sommes pas ».
Sources du graphique : noaa.gov, U.S. Department of Agriculture ; USDA Foreign Agricultural Service ; ID 263979.
Où se situe l'agriculture par rapport à la contribution mondiale aux émissions de gaz à effet de serre ? Selon l'Agence Américaine de Protection de l'Environnement, elle représente environ 12 %.
Il ne fait aucun doute que le méthane est un puissant gaz à effet de serre que nous voulons empêcher de pénétrer dans l'atmosphère. Mais il ne provient pas uniquement des animaux. Selon la NASA, les sources de méthane se répartissent comme suit : 30 % des zones humides, y compris les étangs, les lacs et les rivières ; 30 % de l'extraction du pétrole, du gaz et du charbon ; 20 % de l'agriculture, y compris l'élevage, la gestion des déchets et la culture du riz ; 20 % des feux de forêt, de la combustion de la biomasse, du pergélisol, des termites, des barrages et de l'océan. Voici une ventilation plus détaillée :
La liberté de choisir
Notre pays est déjà si divisé sur de nombreuses questions politiques et sociales. Pourquoi agir de la sorte avec la nourriture et notre climat ? Oui, le bétail émet du méthane. C'est un fait. Il est également vrai que l'homme s'est adapté de manière créative à une vie de confort et de santé depuis des milliers d'années. Utilisons la réduction du méthane pour le bétail comme une leçon d'innovation pour améliorer notre alimentation et notre planète. Laissons la science parler d'elle-même et ne nous laissons pas emporter par nos émotions.
Je me souviens rapidement de ma famille et moi débattant de questions à table, mais en fin de compte, nous respectons la pensée de chacun. Nous sommes des écologistes. Nous sommes de fervents défenseurs de l'alimentation durable, de l'innovation et de l'amélioration du monde, tout en étant pragmatiques en ce qui concerne la protection des êtres humains et des animaux. Nous sommes également conscients de la chance incroyable que nous avons de pouvoir choisir ce que nous mangeons chaque jour.
LE BILAN
L'élimination d'un secteur entier où des millions de personnes dans le monde dépendent du bétail et des produits laitiers pour leur approvisionnement en protéines n'est pas nécessairement la solution. La feuille de route pour le climat peut inclure une meilleure génétique, une alimentation animale améliorée, une meilleure santé animale et la restauration des pâturages. Pour réussir la politique climatique, il faut « sortir des sentiers battus ». _________
* Source : Will reducing beef save our planet ? - Dirt to Dinner (dirt-to-dinner.com)
(...) Les vaches sont-elles vraiment une cause majeure du changement climatique ? Les pays riches n'incitent pas les gens à adopter un régime alimentaire à base de plantes. (...)
« Vous êtes le carbone qu’ils veulent réduire » : une étude britannique révèle que la respiration humaine contribue aux gaz à effet de serre
15/12/2023 Rédacteurs en chef
L’étude du Dr Nicholas Cowan indique que la respiration des citoyens britanniques représente 0,1 % des émissions de gaz à effet de serre du pays, remettant en question les hypothèses concernant l’impact humain sur l’environnement. (Article republié de YourNews.com)
Une étude récente du Centre britannique d’écologie et d’hydrologie d’Édimbourg a révélé que l’acte de respirer des citoyens britanniques contribue à hauteur d’environ 0,1 % aux émissions de gaz à effet de serre du pays. Le Dr Nicholas Cowan, physicien de l'atmosphère, a mené l'étude qui se concentre sur les émissions de méthane (CH4) et d'oxyde nitreux (N2O) par les humains.
Journal.pone.0295157 par yourNEWS Media
Les recherches du Dr Cowan soulignent que ces émissions, bien que faibles, jouent un rôle dans le réchauffement climatique. Il souligne que l’impact des émissions humaines ne doit pas être négligé, déclarant : « Nous invitons à la prudence quant à l’hypothèse selon laquelle les émissions humaines sont négligeables. »
La couverture médiatique de l’étude dans les grands médias a suscité un débat, certains la considérant comme faisant partie d’un discours plus large qui incite les gens à modifier leur mode de vie pour lutter contre les problèmes environnementaux. Ce récit inclut souvent la réduction de l’utilisation des technologies alimentées au gaz, de la consommation de viande et la limitation de la liberté de déplacement, entre autres changements de style de vie.
Les critiques de cette perspective soutiennent que l’accent devrait être mis davantage sur les grandes entreprises et les pays ayant d’importantes émissions, comme la Chine et l’Inde. Ils soulignent que même si la contribution du Royaume-Uni aux émissions mondiales de gaz à effet de serre est inférieure à 1 %, l’accent mis sur les actions individuelles peut sembler disproportionné.
L’étude a suscité toute une série de réponses en ligne, certains internautes suggérant avec humour que ceux qui préconisent des changements drastiques de mode de vie pour répondre aux préoccupations environnementales devraient montrer l’exemple en réduisant leur propre respiration.
Retenez votre souffle, les amis ! Apparemment, notre existence constitue désormais une menace pour l’environnement. Selon les « scientifiques », le simple fait de respirer contribue à 0,1 % des émissions de gaz à effet de serre du Royaume-Uni.
Alors, arrêtons tous de respirer et sauvons la planète, d'accord ? ?? pic.twitter.com/lZ7VPZCqj1 — Le Monde des Clowns™ ? (@ClownWorld_) 13 décembre 2023
LA RESPIRATION est mauvaise pour l'environnement
Les gaz présents dans l'air expiré par les poumons humains alimentent le réchauffement climatique, rapportent des scientifiques du Centre britannique d'écologie et d'hydrologie à Édimbourg...
Greta Thunberg va-t-elle arrêter de respirer pour sauver notre monde ? ?
Source : https://t.co/nm8Bn85ggT$NATI… pic.twitter.com/aYnnCfKjPa – IlluminatiCoin (@naticoineth) 14 décembre 2023
Retenez votre souffle pour celui-ci… Maintenant, les scientifiques disent que la RESPIRATION est mauvaise pour l'environnement : les gaz que nous expirons contribuent à 0,1 % des émissions de gaz à effet de serre du Royaume-Uni https://t.co/WHAVbumg4Q pic.twitter.com/pZuqwF7kVw — ? Les temps de trois milles ? (@Road_Closed1984) 14 décembre 2023
RUPTURE : Les climatologues viennent de quantifier l’effet de la respiration humaine sur le réchauffement climatique.
Leur conclusion ? Ils "appellent à la prudence quant à l'hypothèse selon laquelle les émissions d'origine humaine sont négligeables".
L’agenda anti-humain n’a jamais été aussi clair.https://t.co/OQoRlDWZEe – Dale Cloudman (@DaleCloudyman) 14 décembre 2023
Suite aux inoculations profondes portant le QI des cons à disparaître complètement, des psychopathes en profitent donc pour laisser entendre des énormités dénuées d'intelligence concernant le gaz carbonique. Le gaz carbonique est d'abord un gaz rare (0,041 %) et il n'existerait pas de vie sur Terre s'il e se recyclait pas immédiatement (comme le font aussi tous les autres gaz depuis toujours). Mais, quand on s'adresse à des cons...
Les manifestations dans la ville de Steyr en Haute-Autriche contre l'arbitraire du Corona ont été célébrées le 19 novembre. Son 150e anniversaire en 2023. La petite équipe parvient toujours à inviter des conférenciers de renom à Steyr. De nombreux sujets sont également abordés en dehors de Corona. Le 24 septembre 2023, l’événement s’est concentré sur les mesures malavisées concernant le changement climatique et en particulier sur la manière dont les enfants sont maltraités. À la mi-septembre 2023, les étudiants étaient attirés vers des « vendredis pour les futures manifs » avec une « journée sans école ». Je voudrais résumer dans cet article comme suit :
Qu’est-ce que l’endoctrinement (selon Wikipédia « sans méfiance ») L'opinion de l'avocat des droits de l'homme et président de Vision Autriche, le député Alexander
Thodor Kostic
La position du président du parti fédéral du MFG – M. Joachim Aigner Une évaluation juridique du sujet par Me Martin Pfeil L’appréciation des faits par Mme Mag. Sabine Heschgl – psychologue clinicienne et de la santé et enfin une déclaration de ma part en tant que porte-parole de l'UWB (Conseil consultatif scientifique indépendant) et de ma part personnellement en tant que père. Qu’est-ce que l’endoctrinement ? (d'après Wikipédia) L'endoctrinement (latin doctrina 'instruction') est une 'instruction' particulièrement véhémente, sans contradiction et sans < /span> < /span> à éliminer.critique ou intentions idéologiquesinformations de personnes grâce à une sélection contrôlée de manipulation ciblée instruction admissible. Cela se fait grâce à une Discussion
Une caractéristique essentielle ou une méthode centrale d'endoctrinement est la propagande. La forme de présentation de l'information ici est déformée unilatéralement, l'intégralité de l'information disponible est censurée, les informations qui contredisent l'idéologie sont retenues et leur expression menace de désavantages discrets ou de sanctions concrètes.
Les possibilités d'établir un monopole de l'information sur une grande foule sont frappantes dans les dictatures a>éducatifpolitique< a i=14> motivé ou religieux, et < a i=9>autoritaire médias de masseincontrôlé des monopole donné. Mais aussi un
Alexandre Thodor Kostic
Les étudiants ont été attirés au « Vendredi pour les futures démos » avec un jour de congé scolaire, ce qui constitue un abus de la mission éducative.
Vendredi dernier, une « grève pour le climat » a eu lieu partout dans le monde avec plus de 400 manifestations. Les étudiants de Vienne ont été attirés par les soi-disant « vendredis pour les futures manifestations » en déclarant généralement que la journée était libre d'école à Vienne. Cette « grève pour le climat » a donc été déclarée « événement scolaire » par la Direction de l'éducation de Vienne et la participation des étudiants a donc été officiellement rendue possible ou directement soutenue !
Une telle approche représente un abus incroyable du mandat éducatif de l'État, car les installations scolaires sont utilisées à des fins de propagande politique. Logiquement, les étudiants sont généralement tentés d'aller à une manifestation plutôt que d'aller à l'école ! Cette influence idéologique de la Direction de l'Éducation de Vienne représente clairement une violation des droits de l'enfant, qui ont un statut constitutionnel au niveau national et international. Celles-ci visent, entre autres, à garantir que des contenus d'apprentissage équilibrés et pluriels soient transmis au sein de l'enseignement scolaire et qu'il n'y ait pas d'endoctrinement partisan. Cette politique de gauche verte attaque évidemment de plus en plus sans vergogne les membres les plus jeunes de notre société afin d’introduire le plus tôt possible leur écopolitique absurde dans l’esprit de nos enfants et d’en faire des adeptes volontaires qui manquent de toute capacité naturelle de critique.
Joachim Aigner – MFG
À partir de l’an 2000, il est devenu de plus en plus clair, ou est désormais de plus en plus enseigné dans les écoles, que la Terre serait bientôt débarrassée de la neige et de la glace. Par exemple, Al Gore affirmait en 2009 que l’Arctique serait libre de glace d’ici cinq à sept ans. Aujourd’hui, près de quinze ans plus tard, la situation est exactement la même qu’à l’époque. L'Antarctique est en pleine croissance et le Groenland a plus de neige et de glace qu'il y a 12 ans.
Au lieu d’encourager nos enfants à regarder avec impatience la vie, leur avenir et ce qui les attend, les récits de propagande systémique commencent à être fermement ancrés dans nos esprits dès le début des écoles. En psychologie, il existe le terme « gaslighting » : une forme de manipulation psychologique par laquelle les victimes sont délibérément désorientées, perturbées et progressivement altérées dans leur sens de la réalité et leur confiance en elles.
C’est pourquoi le MFG s’est donné pour objectif de résister activement aux discours de peur et de panique ainsi qu’aux discours des partis du système et de leurs complices (comme la pseudo-science et les pseudo-médias).
Bien entendu, une utilisation responsable des ressources, de notre nature et de notre environnement est essentielle. Mais sans recourir à des récits systémiques, sans semer la peur et la panique et sans obscurcir les perspectives d'avenir des enfants.
Mgr Martin Pfeil
J'ai brièvement examiné le sujet mentionné dans le sujet ; Voici mon appréciation purement juridique, et donc sans jugement : Sauf s'il s'agit d'un événement scolaire ou d'un événement lié à l'école, la participation à une manifestation ne peut être que volontaire et avec l'accord écrit des parents. Selon le décret ci-joint du BMBWF, une manifestation climatique peut être un événement scolaire ou un événement lié à l'école (préparation et sensibilisation des élèves au sujet au préalable). Selon l'article 46, paragraphe 2 du SchUG, la participation des élèves à des événements qui ne sont pas des événements scolaires (article 13) ou des événements liés à l'école (article 13a) ne peut être organisée à l'école qu'avec autorisation. Le forum de classe ou d'école ou le comité communautaire scolaire est responsable de la délivrance du permis. En outre, l'approbation peut être accordée par l'autorité scolaire responsable ; Si la participation d'élèves de plusieurs écoles dont différentes autorités scolaires sont responsables doit être organisée, l'approbation peut être accordée par l'autorité scolaire commune responsable de toutes ces écoles. L'approbation ne peut être accordée que s'il est assuré que la participation des étudiants est volontaire et basée sur une déclaration écrite de consentement de leurs tuteurs légaux et qu'il n'y a aucune crainte de danger pour les étudiants, que ce soit moralement ou physiquement, et que le but de l'événement ne peut être réalisé d'aucune autre manière. § 13, paragraphe 1, SchUG : La tâche des manifestations scolaires est de compléter les enseignements du programme par un contact direct et vivant avec la vie économique, sociale et culturelle, par la promotion des talents musicaux des élèves et par l'exercice physique. § 13a. SCHUG
(1) Les événements qui ne sont pas des événements scolaires au sens de l'article 13 peuvent être déclarés événements scolaires s'ils sont basés sur l'enseignement scolaire et servent à remplir la mission de l'école autrichienne conformément à l'article 2 de la loi sur l'organisation scolaire et ne présentent aucun risque pour les élèves, moralement ou physiquement. La déclaration d'un événement comme événement scolaire relève de la responsabilité de la classe ou du forum scolaire (§ 63a) ou du comité communautaire scolaire (§ 64) et ne peut avoir lieu que si les enseignants requis à cet effet acceptent de la réaliser, le financement est assuré et, si nécessaire, les approbations nécessaires auprès d'autres organismes ont été obtenues ; Le directeur doit déterminer si les exigences sont remplies. De plus, l’autorité scolaire responsable peut déclarer un événement comme étant un événement lié à l’école si plusieurs écoles sont concernées.
(2) La participation aux événements scolaires nécessite une inscription préalable de l'étudiant. La participation est interdite si 1. l'élève ne remplit pas les conditions requises pour participer à l'événement lié à l'école ou 2. si, sur la base du comportement antérieur de l'élève, il existe une forte probabilité que la sécurité de l'élève ou d'autres personnes soit compromise. en voie de disparition ou 3. La réussite du niveau scolaire semble être remise en question en raison de la participation à l'événement lié à l'école. Il appartient au directeur ou à un enseignant désigné par lui à cet effet d'accepter l'inscription et de l'interdire ; L'interdiction doit être prononcée après avoir entendu la conférence de classe et être motivée.
(3) Les élèves inscrits pour participer à l'événement scolaire et dont la participation n'a pas été interdite sont tenus d'y participer, sauf s'il existe un motif d'absence au sens du règlement sur l'absence de l'école (§ 45). . Si l'étudiant s'est inscrit à une série d'événements, il peut se désinscrire au plus tôt après le premier événement, mais au plus tard quatre semaines avant un autre événement. Conclusion : Sur la base de cette « disposition facultative », il peut être légal en vertu de la loi actuelle d'exiger la participation des enfants. Pour en être sûr, un examen serait nécessaire au cas par cas.
Mag. Sabine Heschgl – psychologue clinicienne et de la santé
La propagande est la diffusion d'informations intentionnellement fausses ou biaisées afin d'influencer les opinions et le comportement des gens. Cela se fait avec l’aide des médias, mais aussi avec l’aide du système éducatif (livres, chansons, etc.).
Les enfants y sont particulièrement réceptifs car ils ont vécu peu ou pas d’autres expériences et ne sont souvent pas encore capables de relier certaines informations sur le plan cognitif.
Les enfants sont également considérés comme des multiplicateurs qui transmettent des valeurs et des normes politiquement colorées à leurs parents ou à leur famille. Selon la devise : Si vous ne vous faites pas vacciner, vous mettez en danger la santé de votre famille. . . . Ou : Si vous continuez à conduire, nous mourrons tous.
Il est important de reconnaître la propagande et de remettre en question les informations. Vous devez toujours rechercher et comparer plusieurs sources d’information. . . et tenter de découvrir la vérité afin de rester critique et indépendant.
Martin Steiner :
Le récit des médias politiques sur la catastrophe climatique – gaz carbonique – catastrophe climatique – terre en ébullition – vous allez tous brûler
N'est pas physiquement durable Le gaz carbonique est saturé - le gaz carbonique supplémentaire n'a qu'une influence minime sur une éventuelle augmentation de la température La température moyenne mondiale (?) n’a pas augmenté depuis 8 ans Nous assisterons à un refroidissement plutôt qu'à un réchauffement au cours des prochaines décennies – une réduction de l'activité solaire du Soleil, ainsi que des raisons astrophysiques complexes. La catastrophe climatique ne se produit que dans les médias grand public et en politique – pas dans le monde réel Le gaz carbonique est la substance de la vie – moins de gaz carbonique signifie moins de nourriture, plus de faim, plus de déserts – de pires moyens de subsistance !!! Le dénigrement du gaz carbonique est profondément anti-humain L’ensemble du programme en matière de catastrophe climatique est une redistribution des richesses de nous tous – le plus grand nombre – vers un très petit nombre, combinée à la coercition, à la dictature et à une économie planifiée. En tant que père, je dis maintenant :
Et après Corona Plandemie – mot clé « si les enfants ne se font pas vacciner, ils tueront grand-mère »….
Nous nous attaquons désormais aux plus faibles et aux plus sans défense de notre société : nos enfants.
Beaucoup sont déjà endoctrinés par les médias et les écoles
De plus en plus d’enfants ont peur du climat et de l’avenir
Mouvement Birthstrike Dernière génération etc... Grève scolaire pour l'avenir... Retrait, PC, téléphone portable, jeux, mondes virtuels… Nous les mères, nous les pères, que pouvons-nous faire ?
DONNEZ de l'amour, de la chaleur cardiaque, de la sécurité, de la sécurité à nos enfants et dans notre maison Apprenez-vous à TOUJOURS TOUT remettre en question, y compris – et surtout – toutes les informations et opinions des enseignants et des soi-disant « autorités ». expliquer la différence entre l'opinion et la vérité les enfants apprennent à toujours se forger leurs PROPRES opinions C'est ainsi que nous pouvons vous aider à devenir des individus sûrs d'eux et déterminés. Quel est notre pouvoir le plus puissant que nous puissions utiliser ?
Enfin, en tant qu'ingénieur en énergie et scientifique, je dis
- contrairement à la première loi de la thermodynamique - contrairement aux lois de la physique - OUI, il existe une énergie qui se multiplie d'autant plus - plus on la gaspille - c'est une source d'énergie infinie, indomptable, insurmontable - elle est en nous - dans nos cœurs – c'est l'amour pour nos enfants.
Il s’agit d’un pouvoir infini et d’un pouvoir plus fort que toute autre chose.
Et c’est exactement le terreau dont nos enfants ont le plus besoin et que nous, en tant que parents, pouvons et voulons offrir le meilleur et le meilleur.
« La grande réinitialisation » est arrivée : suivez l'argent. « Confinement insensé » de l’économie mondiale, « L’agenda vert »
Par F. William Engdahl Recherche mondiale, 16 décembre 2023
La réorganisation descendante de l’économie mondiale par une cabale de corporativistes technocratiques, dirigée par le groupe autour du Forum économique mondial de Davos – ce qu’on appelle la Grande Réinitialisation ou Agenda 2030 des Nations Unies – n’est pas une proposition future. C’est en passe de se concrétiser alors que le monde reste dans un confinement insensé à cause d’un virus. Le domaine d’investissement le plus en vogue depuis le début des confinements mondiaux liés au coronavirus est ce qu’on appelle l’investissement ESG.
Ce jeu hautement subjectif et très contrôlé déplace considérablement les flux de capitaux mondiaux vers un groupe sélectionné d’actions et d’obligations d’entreprises « approuvées ». Il fait notamment progresser l’Agenda 2030 dystopique de l’ONU ou l’agenda de la Grande Réinitialisation du WEF. Ce développement constitue l’un des changements les plus dangereux et les moins compris depuis au moins un siècle.
Le programme de l'ONU sur « l'économie durable » est mis en œuvre tranquillement par les mêmes banques mondiales qui ont créé les crises financières de 2008. Cette fois, elles préparent le Grand Forum Klaus Schwab du WEF. Réinitialisez en orientant des centaines de milliards, et bientôt des milliards d'investissements, vers des entreprises « éveillées » triées sur le volet, et loin de celles « non réveillées », comme les sociétés pétrolières et gazières ou le charbon.
Ce que les banquiers et les fonds d’investissement géants comme BlackRock ont fait, c’est créer une nouvelle infrastructure d’investissement qui sélectionne les « gagnants » ou les « perdants » en fonction du sérieux de l’entreprise en matière d’ESG (environnement, valeurs sociales et gouvernance).
Par exemple, une entreprise obtient des notes positives pour le sérieux de son recrutement de cadres et d’employés diversifiés, ou prend des mesures pour éliminer son « empreinte » carbone en rendant ses sources d’énergie vertes ou durables pour reprendre le terme de l’ONU. La manière dont les entreprises contribuent à une gouvernance mondiale durable est la plus vague des ESG et pourrait inclure n'importe quoi, depuis les dons d'entreprises à Black Lives Matter jusqu'au soutien aux agences des Nations Unies telles que l'OMS.
L'objectif central des stratèges ESG est de créer une transition vers des énergies alternatives inefficaces et coûteuses, l'utopie promise par le zéro carbone. Elle est pilotée par les principales institutions financières et banques centrales du monde. Elles ont créé un éventail éblouissant d'organisations pour piloter leur programme d'investissement vert.
En 2013, bien avant le coronavirus, la grande banque de Wall Street, Morgan Stanley, a créé son propre Institut pour l’investissement durable. Cela a rapidement été élargi en 2015 lorsque Morgan Stanley a rejoint le comité directeur du Partnership for Carbon Accounting Financials (PCAF). Sur son site Internet, ils déclarent,
« Le PCAF s'appuie sur la position de l'Accord de Paris sur le climat selon laquelle la communauté mondiale devrait s'efforcer de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C au-dessus des niveaux préindustriels et que la société devrait se décarboner et atteindre zéro émission nette d'ici 2050."
En 2020, le PCAF comptait plus de 100 banques et institutions financières, dont ABN Amro, Nat West, Lloyds Bank, Barclays, Bank of America, Citi Group, CIBC, Danske Bank et d'autres. Plusieurs banques membres du PCAF ont été inculpées dans des affaires de blanchiment d'argent. Ils perçoivent désormais un nouveau rôle en tant que modèles de vertu pour changer l’économie mondiale, si l’on en croit la rhétorique. Notamment, l'ancien gouverneur de la Banque d'Angleterre, Mark Carney est un « observateur » ou consultant auprès du PCAF.
En août 2020, la PCAF a publié un projet de norme décrivant une approche proposée pour la comptabilisation mondiale du carbone. Cela signifie que les banquiers créent leurs propres règles comptables sur la manière d’évaluer ou de valoriser l’empreinte carbone ou le profil vert d’une entreprise.
Le rôle central de Mark Carney
Mark Carney est au centre de la réorganisation de la finance mondiale pour soutenir l'agenda vert de l'ONU 2030 derrière la Grande Réinitialisation du WEF de Davos, dont il est membre du conseil d'administration. Il est également conseiller du secrétaire général de l'ONU en tant qu'envoyé spécial des Nations Unies pour l'action climatique. Il a décrit le plan PCAF comme suit :
"Pour atteindre la neutralité carbone, nous avons besoin d'une transition économique globale : chaque entreprise, chaque banque, chaque assureur et investisseur devra ajuster son modèle économique et élaborer des plans crédibles pour la transition. et les mettre en œuvre. Pour les sociétés financières, cela signifie examiner bien plus que les émissions générées par leur propre activité. Ils doivent mesurer et déclarer les émissions générées par les entreprises dans lesquelles ils investissent et à qui ils prêtent. Le travail du PCAF visant à standardiser l’approche de mesure des émissions financées constitue une étape importante pour garantir que chaque décision financière tienne compte du changement climatique. »
En tant que gouverneur de la Banque d'Angleterre, Carney a joué un rôle clé pour convaincre les banques centrales mondiales de soutenir l'Agenda vert du programme 2030 des Nations Unies. Les principales banques centrales du monde, par l’intermédiaire de leur Banque des règlements internationaux (BRI) à Bâle, ont créé un élément clé de l’infrastructure mondiale croissante qui oriente les flux d’investissement vers les entreprises « durables » et les éloigne de celles comme les sociétés pétrolières et gazières. juge « insoutenable ».
Lorsque Mark Carney, alors gouverneur de la Banque d'Angleterre, était à la tête du Conseil de stabilité financière (FSB) de la BRI, il a créé en 2015 un groupe de travail appelé Task-force on Climate-rated Financial Disclosure (TCFD).
Les banquiers centraux du FSB ont nommé 31 personnes pour former le TCFD. Présidé par le milliardaire Michael Bloomberg, il comprenait outre BlackRock, JP MorganChase ; Banque Barclays; HSBC ; Swiss Re, le deuxième plus grand réassurance au monde ; la banque chinoise ICBC ; Tata Steel, ENI Oil, Dow Chemical, le géant minier BHP et David Blood d'Al Gore's Generation Investment LLC.
Anne Finucane, vice-présidente de la Bank of America, membre à la fois du PCAF et de la TCFD, a noté :
« Nous nous engageons à garantir que les risques et opportunités liés au climat soient correctement gérés au sein de notre entreprise et à travailler avec les gouvernements et les marchés pour accélérer les changements nécessaires… le changement climatique présente des risques pour le monde des affaires, et il est important que les entreprises expliquer comment ces risques sont gérés.
Le vice-président de Bank of America décrit la manière dont il évalue les risques liés à son portefeuille de prêts immobiliers en évaluant « une analyse approfondie des risques physiques sur un échantillon de portefeuille de prêts hypothécaires résidentiels de Bank of America à travers les États-Unis. Chaque propriété a reçu une note basée sur sur le niveau de risque associé à 12 dangers potentiels : tornade, tremblement de terre, cyclone tropical, tempête de grêle, incendies de forêt, crue de rivière, crue soudaine, inondation côtière, foudre , tsunami, volcan et tempête hivernale.
De plus, le « risque » d’investissement des banques dans le pétrole et le gaz ainsi que dans d’autres secteurs industriels est examiné à l’aide des critères du TCFD de Carney. Tous les risques sont définis comme liés au gaz carbonique, malgré le fait qu’il n’existe aucune preuve scientifique concluante que les émissions anthropiques de gaz carbonique sont sur le point de détruire notre planète à cause du réchauffement climatique. Les preuves de l'activité solaire suggèrent plutôt que nous entrons dans une période de refroidissement instable, le Grand Minimum Solaire. Cela n’inquiète pas les intérêts financiers qui risquent de récolter des milliards au cours de la décennie à venir.
Un autre élément clé de la préparation financière pour la Grande Réinitialisation, la transformation fondamentale d'une économie à haute intensité énergétique vers une économie à faible intensité économique. inefficace, est le Sustainability Accounting Standards Board (SASB).
Le SASB affirme qu'il « fournit un ensemble clair de normes pour la communication d'informations sur le développement durable dans un large éventail de domaines… » Cela semble rassurant jusqu'à ce que nous regardions qui compose les membres du SASB qui donneront l'Imprimatur respectueuse du climat. Les membres comprennent, outre le plus grand gestionnaire de fonds au monde, BlackRock (plus de 7 000 milliards de dollars sous gestion), également Vanguard Funds, Fidelity Investments, Goldman Sachs, State Street Global, Carlyle Group, Rockefeller Capital Management et de nombreuses grandes banques telles que Bank d'Amérique et UBS. Beaucoup d’entre eux sont responsables de l’effondrement financier mondial de 2008.
Que fait ce groupe-cadre ? Selon leur site Web, « Depuis 2011, nous travaillons vers un objectif ambitieux consistant à développer et à maintenir des normes comptables durables pour 77 industries."
Le but de tout cela est de créer un réseau d’entités financières basées à l’échelle mondiale qui contrôlent la richesse combinée, y compris les fonds d’assurance et de pension, pour ce qu’ils prétendent valoir 100 000 milliards de dollars. Ils fixent les règles et définiront une entreprise ou même un pays en fonction du degré d’émission de carbone qu’ils génèrent.
Si vous êtes propre et vert, vous obtenez potentiellement des investissements.
Si vous êtes considéré comme un pollueur de carbone comme le sont aujourd’hui les industries du pétrole, du gaz et du charbon, les flux de capitaux mondiaux désinvestiront ou éviteront de vous financer.
La cible immédiate de cette cabale financière est l’épine dorsale de l’économie mondiale, l’industrie pétrolière et gazière ainsi que le charbon. [Cela a également des implications géopolitiques et stratégiques].
La cible immédiate de ce cartel financier est l'épine dorsale de l'économie mondiale, le secteur du pétrole, du charbon et du gaz naturel. Les analystes de l’industrie pétrolière prédisent qu’au cours des cinq prochaines années ou moins, les flux d’investissement dans le plus grand secteur énergétique du monde diminueront considérablement. "Étant donné l'importance cruciale de la transition énergétique pour les perspectives de croissance de chaque entreprise, nous demandons aux entreprises de divulguer un plan sur la façon dont leur modèle commercial sera compatible avec une économie nette zéro", a déclaré le président-directeur général de BlackRock Larry Fink a écrit dans sa lettre de 2021 aux PDG. Blackrock est le plus grand groupe d’investissement au monde avec plus de 7 000 milliards de dollars à investir. Un autre responsable de BlackRock a déclaré lors d'une récente conférence sur l'énergie : "là où BlackRock va, d'autres suivront."
"Pour continuer à attirer des capitaux, les portefeuilles doivent être construits autour d'actifs de base privilégiés : des barils à faible coût, à longue durée de vie et à faible intensité de carbone", a déclaré. une>conseil en énergie, vice-président de l'exploration mondiale chez WoodMac, un Andrew Latham
L’administration Biden tient déjà sa promesse d’éliminer progressivement le pétrole et le gaz en interdisant les nouvelles concessions sur les terres fédérales et offshore ainsi que l’oléoduc Keystone XL. Le secteur pétrolier et gazier et ses dérivés comme la pétrochimie sont au cœur de l’économie mondiale. Les 50 plus grandes sociétés pétrolières et gazières du monde, qu’elles soient publiques ou cotées en bourse, ont enregistré des revenus d’environ 5 400 milliards de dollars en 2015.
Alors que la nouvelle administration Biden renforce son opposition idéologique aux soi-disant combustibles fossiles, le monde connaîtra un déclin précipité des investissements pétroliers et gaziers. Le rôle des mondialistes de Davos et des acteurs financiers ESG est là pour garantir cela.
Et les perdants seront nous.
Les prix de l'énergie vont monter en flèche, comme ils l'ont fait lors des récentes tempêtes de neige au Texas. Le coût de l’électricité dans les pays industrialisés deviendra prohibitif pour l’industrie manufacturière. Mais repose-toi bien. Tout cela fait partie de la Grande Réinitialisation en cours et de sa nouvelle doctrine d'investissement ESG.
En 2010, le chef du Groupe de travail 3 du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations Unies, le Dr Otmar Edenhofer, a déclaré lors d'un entretien : « ... il faut dire clairement que nous redistribuons de facto la richesse mondiale par la politique climatique. Il faut se libérer de l’illusion selon laquelle la politique climatique internationale est une politique environnementale. Cela n'a presque plus rien à voir avec la politique environnementale… » La grande réinitialisation du WEF n'est pas simplement une grande idée de Klaus Schwab réfléchissant à la dévastation économique du coronavirus. Cela a été planifié depuis longtemps par les maîtres de l'argent.
Corrélation à 100 % des températures moyennes avec les heures d’ensoleillement ! Le gaz carbonique n’y est pour rien !Heureusement moins de pollution c’est moins de nuages et plus d’ensoleillement et donc de chaleur
le 17 décembre 2023 par pgibertie
C’est ici…. Corrélation à 100 % des températures moyennes avec les heures d’ensoleillement : Les 5 dernières années, toutes deux en hausse de 10 % sur une moyenne de 100 ans. Les 10 dernières années, en hausse de 5 % sur 40 ans en moyenne Corrélation nulle avec le gaz carbonique 2022 18,8 % de soleil en plus que dans les années 1960.
Albdéo inférieur et couverture nuageuse → température plus élevée Le soleil influence les GCR (rayons cosmiques galactiques) qui influencent la formation de la couverture nuageuse
Selon les données CERES (disponibles ici : https://ceres-tool.larc.nasa.gov/ord-tool/jsp/EBAFTOA42Selection.jsp… ), l’albédo planétaire de la Terre a diminué de 0,5 %-0 ,6 % entre le début des années 2000 et aujourd’hui. Cela a augmenté la quantité de lumière solaire absorbée par la planète de près de 2,5 W m-2, provoquant le réchauffement observé au cours des 23 dernières années.
On peut aussi se demander si la réduction de la pollution en EUROPE (et c’est une bonne chose) n’explique pas la réduction des aérosols et donc des nuages…. C ‘est tout bête mais scientifique:
En conclusion, il existe des signaux clairs, robustes et cohérents indiquant une baisse nette de l’influence des aérosols anthropiques sur le climat au cours de la période depuis 2000, c’est-à-dire la période pour laquelle des récupérations satellitaires de haute qualité de toutes les quantités pertinentes sont disponibles. Les régions dans lesquelles les émissions d’aérosols ont diminué (en particulier l’Amérique du Nord, l’Europe et l’Asie de l’Est) dominent les régions où les tendances sont à la hausse.
La recherche suggère que la réduction des émissions de polluants en Europe, grâce à la réglementation, conduit à une réduction des quantités d’aérosols dans l’atmosphère. Cela conduit à une augmentation du rayonnement solaire atteignant la surface, avec des impacts potentiels sur l’intensité des vagues de chaleur et les températures de l’eau de surface, ce qui pourrait augmenter la gravité des sécheresses.
Le Giec a une « très grande confiance » dans le fait que les modèles soient incertains en raison de la faible compréhension des processus nuageux
Dr Brigitte Van Vliet-Lanoë, Directeur de recherche CNRS, émérite La majeure partie du réchauffement climatique récent étant due à des changements dans l’activité solaire et des vents solaires, ce réchauffement est principalement d’origine naturelle, probablement tidale, au sein du système solaire (Connely et al, 2021). Il présente en outre de très fortes similarités avec les perturbations de la période préindustrielle et plus particulièrement les DO ou évènements de Bond qui ont rythmés l’Holocène et au moins le dernier glaciaire.
La deuxième moitié du XXe siècle a été marquée par un pic d’activité solaire, également modélisé par l’IPCC (GIEC ; fig.3). Ce pic mesuré s’est terminé depuis l’an 2003, et le cycle solaire 24 (2008-2019) a été marqué par une première réduction spectaculaire d’activité solaire. Plusieurs auteurs annoncent un premier minimum d’activité pour les cycles 25 à 27 (2020-2053) comme Keeling & Whorf (2000) et Zharkova et al. (2015). L’activité solaire devrait donc continuer à se réduire par étapes pour atteindre un nouveau Grand minimum comparable à celui de Maunder au XXIVe siècle (Keeling & Whorf, 2000). Ce Grand Minimum et la période clame qui suit, pourrait signer vers 2300 l’entrée très progressive de la planète Terre dans la prochaine glaciation, comme pour la majorité des cyclicités, après un interglaciaire qui aura duré pratiquement 10.000 ans ou 15.000 ans si on se refaire au début de la déglaciation dans l’hémisphère sud.
Cette réduction d’activité solaire est à mettre en regard (i) du ralentissement rapide de la circulation thermohaline, (ii) du rabattement progressif du Gulf Stream vers l’Afrique du Nord au détriment de l’Atlantique Nord, et enfin, (iii) de la remontée estivale en latitude anormalement faible de l’ITCZ vers le nord : tous ces éléments accompagnent un processus de refroidissement de l’Atlantique Nord et du Pacifique Nord qui ont déjà démarré et se font nettement sentir cette année 2022. Cette tendance est renforcée des précipitations dépressionnaires limitées mais parfois exceptionnelles en hiver, des remontées « caniculaires » d’air tropical ou désertique marquées même en hiver. Cette situation a pour résultat un déficit pluviométrique estival majeur couplé à un ensoleillement élevé depuis la fin avril sur l’Europe et une aridification similaire à celle des années 1960-1980.
31% des humains produisent du méthane et menacent la planète ! Que faire d’eux dans le monde woke de demain ?
le 18 décembre 2023 par pgibertie
L’écolo wokisme est une idéologie dangereuse qui détruit les économies occidentales et qui s’en prend maintenant aux vaches, au chiens et chats. A quand les humains?
La très sérieuse étude suivante n’en est pas loin…
Le but de cette étude est avoué: culpabiliser (en attendant plus) les carnivores ! Hélas les végétariens produisent autant de méthane que les autres. Une piste cependant, 40% des vieux produisent du méthane contre 20% des jeunes… Coucou les boomers! L’eugénisme serait elle une piste?
L’haleine humaine expirée peut contenir de petites concentrations élevées de méthane (CH4) et d’oxyde nitreux (N2O), qui contribuent tous deux au réchauffement climatique. Ces émissions humaines ne sont pas bien comprises et sont rarement quantifiées dans les inventaires mondiaux de gaz à effet de serre. Cette étude a étudié les émissions de CH4 et de N2O dans l’haleine humaine. auprès de 104 volontaires de la population britannique, pour mieux comprendre les causes de ces émissions et quantifier les estimations à l’échelle nationale.
Sur la base d’un échantillon de 104 volontaires, nous estimons que la population productrice de méthane (MP) au Royaume-Uni est de 25 % pour les personnes âgées de moins de 30 ans et de 40 % pour celles de plus de 30 ans. Nous n’avons trouvé aucune corrélation entre l’alimentation et les émissions
nous invitons à la prudence quant à l’hypothèse selon laquelle les émissions d’origine humaine sont négligeables. Nous rapportons uniquement les émissions respiratoires dans cette étude, et les émissions de flatulences sont susceptibles d’augmenter ces valeurs de manière significative, bien qu’aucune littérature ne caractérise ces émissions pour les habitants du Royaume-Uni.
Le but de cette étude était exploratoire, afin de déterminer si certains régimes alimentaires génériques avaient un impact global sur les émissions de ces gaz par un individu, ce qui ne semble pas être le cas. Amélioration de la concentration de CH4 et de N2O dans la respiration de les végétariens et les consommateurs de viande sont de même ampleur. Sur la base de ces résultats, nous pouvons affirmer que, lors de l’estimation des émissions d’une population au Royaume-Uni, il est peu probable que le régime alimentaire ou les futurs changements de régime alimentaire soient importants lors de l’estimation des émissions dans l’ensemble du Royaume-Uni.
Une « méga explosion froide » frappe la Chine alors que les températures atteignent des niveaux record
PAR TYLER DURDEN LUNDI 18 DÉCEMBRE 2023 - 02:25
La plus forte vague de froid de cet hiver a frappé de vastes étendues de Chine alors que les températures dans le Shanxi, le Hebei et le Liaoning ont plongé dimanche à leurs niveaux les plus bas jamais enregistrés.
Reuters a cité un prévisionniste météorologique de la ville de Yichun dans le Heilongjiang, située dans le nord-est du pays, qui a déclaré que les températures pourraient atteindre un minimum record de moins 47,9 °C au début de la semaine prochaine.
Les données de Bloomberg montrent que les températures moyennes à travers la Chine ont plongé bien en dessous des tendances sur 30, 10 et 5 ans pour cette période de l'année, à environ 27 °C.
- voir graph sur site -
"Le temps en Chine, y compris à Pékin, est le mois de décembre le plus froid depuis plus de 50 ans. Des avertissements d'urgence climatique ont été déclarés pour un froid extrême", a écrit Ryan Maue, météorologue et ancien scientifique en chef de la NOAA, sur X.
RUPTURE : La météo en Chine 🇨🇳, y compris à Pékin, est la température de décembre la plus froide depuis plus de 50 ans. Des avertissements d’urgence climatique ont été déclarés pour des froids extrêmes.
ZBAA 172000Z 00000MPS CAVOK M18/M20 Q1036 NOSIG
-18°C = -0,4°F pic.twitter.com/LHc2rjWhd2 – Ryan Maue (@RyanMaue) 17 décembre 2023
La vague de froid en Chine a été rapide et brutale.
Du chaud record au froid record ! Aujourd'hui, 30 stations du nord de la Chine ont battu le record de température la plus basse du mois de décembre, et 5 stations ont battu le record de température la plus basse de toute l'année ! @extremetemps @ThierryGooseBC pic.twitter.com/urBA1wI7I0 – Jim Yang (@yangyubin1998) 17 décembre 2023
Pendant ce temps, la Russie bénéficie de « la méga-explosion continue de froid extrême », a déclaré Maue.
Pendant la méga-explosion de froid extrême en cours, les flux de gaz naturel russe transitant par le gazoduc Power of Siberia ont atteint des niveaux records. https://t.co/w0TH3fRs2Q pic.twitter.com/HbLSYAM2KQ – Ryan Maue (@RyanMaue) 17 décembre 2023
Vendredi, les médias chinois Xinhua ont déclaré que le président Xi Jinping avait appelé à « des efforts tous azimuts » en réponse d'urgence au temps froid.
Alors que la Chine gèle, le blog météo Severe Weather Europe a averti la semaine dernière que « des anomalies de froid dans une grande partie du centre, du sud et de l'est des États-Unis » pourraient commencer après la nouvelle année.
Il est temps d’introduire l’énergie nucléaire dans le 21e siècle
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 17 DÉCEMBRE 2023 - 15H20 Rédigé par Jack Spencer via RealClear Politics,
Le côté positif de la conférence COP28 des Nations Unies sur le réchauffement climatique qui se tient ce mois-ci est le consensus croissant selon lequel l’énergie nucléaire est essentielle pour atteindre les objectifs nationaux de réduction du dioxyde de carbone.
Refuser au monde l’accès à des carburants propres et abordables comme le gaz, le pétrole et le charbon est un réel problème. Mais reconnaître que l’énergie nucléaire doit jouer un rôle central dans notre avenir énergétique est un grand pas en avant, qui devrait bénéficier d’un large soutien, quelle que soit l’opinion de chacun sur la réduction des émissions de gaz carbonique.
Mais pour se lancer dans le nucléaire, il faut réfléchir en profondeur à la politique énergétique nucléaire, ce qui implique de remettre en question la mentalité de subvention d’abord qui définit la politique énergétique américaine depuis des décennies.
L’objectif ne devrait pas être de construire quelques centrales nucléaires. Nous devrions plutôt nous efforcer de créer une industrie nucléaire économiquement durable, compétitive, innovante et typiquement américaine.
Cela nécessitera un réalignement des responsabilités. Le rôle du gouvernement devrait être de protéger la santé et la sécurité du public. Le rôle du secteur privé devrait être d’exploiter un secteur nucléaire commercial compétitif.
Cela signifie se débarrasser des subventions, repenser la réglementation et sortir Washington de la gestion des déchets nucléaires. Washington devrait avoir un rôle de réglementation, mais pas son rôle actuel de PDG du nucléaire.
La raison est simple : les gouvernements ne sont pas bons en affaires, car ils prennent des décisions basées sur la politique plutôt que sur le bon sens économique. Cela ne donne jamais lieu à une industrie prospère.
Certains soutiennent que l’énergie nucléaire nécessite davantage de contrôle gouvernemental, suggérant que le nucléaire présente plus de risques financiers, techniques et politiques que d’autres industries.
Mais tous les grands projets comportent des risques financiers. Les raffineries de pétrole privées peuvent coûter des milliards de dollars, et des projets tels que des gratte-ciel, des terminaux d’exportation de gaz naturel liquéfié et d’autres grands projets industriels nécessitent tous d’énormes dépenses en capital. Les entreprises et les particuliers prennent régulièrement de gros risques financiers.
Ensuite, il y a le risque technologique. Mais le nucléaire n’est pas vraiment différent des autres industries. Avec 440 réacteurs nucléaires en activité dans le monde, le risque technique pour la technologie existante est relativement faible. L’industrie sait comment construire et exploiter des centrales nucléaires.
Les risques technologiques possibles liés aux nouvelles conceptions ne dépassent pas ceux posés par l’innovation dans d’autres secteurs de pointe, comme la fracturation hydraulique ou l’exploration énergétique offshore. e. Au-delà de cela, en ce qui concerne l’énergie nucléaire, il existe une vaste infrastructure de recherche fédérale à laquelle le secteur privé peut accéder pour aider à atténuer ce risque.
Toutefois, le risque politique est réel et particulièrement élevé dans le domaine de l’énergie nucléaire, et il exacerbe les calculs de risques financiers et techniques. Toute justification de l’intervention gouvernementale repose sur l’atténuation des risques imposés par le gouvernement.
Mais voici le problème.
Lorsque le gouvernement intervient pour atténuer un risque qu’il a créé, il ajoute une autre couche de risque politique. Pire encore, cela crée une dépendance, fausse les flux de capitaux, encourage la recherche de rente et le lobbying, et oblige les entreprises à allouer des ressources pour satisfaire les politiciens et les bureaucrates plutôt que d’améliorer leurs activités.
Cela crée des désalignements entre les responsabilités et les autorités et compromet l’efficacité économique.
Pire encore, la politique change souvent, ce qui rend difficile la construction d’un modèle économique durable autour des préférences politiques. Au mieux, cette approche pourrait produire quelques réacteurs ou maintenir certaines entreprises hors de l’eau, mais elle ne produira pas une industrie nucléaire robuste, compétitive et innovante. L’échec est probable.
La question majeure est la suivante : comment l’Amérique minimise-t-elle le risque politique et permet-elle au secteur privé de gérer d’autres risques, afin qu’une industrie robuste puisse émerger ?
Cela nécessitera de modifier le rôle du ministère de l’Énergie, de réformer la réglementation audacieuse et de résoudre le problème de la gestion des déchets nucléaires.
Nous devons retirer totalement le ministère de l’Énergie du secteur de la commercialisation du nucléaire. Le problème n’est pas que les gens ne font pas leur travail, le problème réside dans la nature du gouvernement.
Le Ministère ne devrait pas financer de subventions, de prêts ou de projets de démonstration. Il ne devrait pas non plus tenter d’améliorer le fonctionnement ou la rentabilité des usines existantes ou des nouvelles technologies. Le secteur privé peut y parvenir mieux que le gouvernement.
Le ministère de l’Énergie a un rôle important à jouer dans la recherche nucléaire et la découverte scientifique, mais il doit s’éloigner le plus possible de toute commercialisation ou opération commerciale.
Qu’en est-il de la réglementation ?
Des efforts utiles sont déployés pour améliorer la Commission de réglementation nucléaire. Un processus réglementaire efficace, prévisible et abordable pour les nouvelles technologies de réacteurs est essentiel.
Mais l’Amérique doit voir plus grand.
Par exemple, les États pourraient être autorisés à jouer un rôle plus important dans la réglementation des centrales nucléaires. La loi sur l’énergie atomique de 1954 autorise déjà les États à réglementer certaines matières nucléaires. Cela devrait être élargi. Les États pourraient réglementer la technologie des réacteurs existants et la NRC pourrait se concentrer sur les nouvelles technologies. Tous les États ne profiteront pas de cette opportunité, mais certains le feront.
Il s’agit d’une proposition raisonnable dans la mesure où les services publics américains exploitent en toute sécurité de grands réacteurs à eau légère depuis plus de 50 ans. L’Amérique ne devrait pas réglementer les grands réacteurs à eau légère en les considérant comme une technologie nouvelle et effrayante, car elle n’est ni nouvelle ni effrayante. Le fardeau réglementaire devrait être considérablement allégé pour ces réacteurs.
Le personnel du CNRC ne devrait pas être le seul à pouvoir examiner les demandes de permis et autres travaux d'examen réglementaire. Les entreprises privées devraient pouvoir rivaliser pour ce secteur. Ils allégeraient la charge du CNRC et feraient probablement un travail plus rapide et à moindre coût.
Enfin, les entreprises devraient être autorisées à construire des réacteurs en dehors du régime réglementaire existant de la NRC si elles souscrivent leur propre assurance responsabilité civile contre les accidents. En échange, ils renonceraient à participer au programme fédéral Price-Anderson qui offre actuellement une couverture responsabilité civile.
Certains pourraient se demander si les assureurs privés couvriraient un réacteur nucléaire en l’absence d’un filet de sécurité gouvernemental. Mais étant donné les résultats exceptionnels en matière de sécurité des réacteurs existants et les promesses selon lesquelles les nouvelles technologies seraient plus sûres, cela devrait être une option. L’assurance prend de nombreuses formes et personne ne peut prédire ce qui pourrait en résulter.
Quoi qu’il en soit, le secteur de l’assurance est extraordinairement sophistiqué et fait un travail formidable en matière de tarification des risques. Il sera efficace pour garantir que seules les centrales nucléaires les plus sûres soient construites.
Enfin, se pose la question de savoir que faire des déchets nucléaires – ou, plus précisément, du combustible nucléaire usé.
Le gouvernement fédéral a assumé la responsabilité de la gestion du combustible nucléaire usé du pays en 1982. En retirant la responsabilité aux producteurs de combustible usé, la Loi sur la politique en matière de déchets nucléaires de 1982 a supprimé toute incitation pour l'industrie nucléaire à intégrer la gestion du combustible usé dans sa planification commerciale à long terme et il a plutôt laissé le soin aux bureaucrates de Washington. Cela ne devrait surprendre personne que le plan ait échoué.
Des réformes sont nécessaires pour reconnecter l’industrie nucléaire à la gestion des déchets. Les réformes permettraient l’émergence d’une industrie privée du combustible usé qui stimulerait l’innovation dans les technologies des réacteurs et le traitement du combustible usé. Ils permettraient à l'industrie nucléaire et aux communautés de s'engager dans de véritables négociations, liées par des contrats légaux, pour construire et exploiter des installations de gestion du combustible usé.
Il ne fait aucun doute que les réformes proposées constituent un changement majeur par rapport au statu quo, mais elles sont raisonnables et non radicales. Ils favoriseraient la bonne gouvernance et le progrès économique dans l’industrie. Alors que les représentants de la COP28 discutent de la manière de réduire les émissions de carbone tout en augmentant le niveau de vie mondial, l’énergie nucléaire devrait être au premier plan.
Jack Spencer est chercheur principal en politique énergétique et environnementale à la Heritage Foundation.
Plus de charbon brûlé sur Terre en 2023 que jamais auparavant dans l’histoire de l’humanité
Par Jo Nova December 18th, 2023
Le secret le mieux gardé au monde est que les humains utilisent plus de charbon que jamais. Voilà pour le « bien mort échoué ». En 2022, le monde a établi un nouveau record absolu de consommation de charbon, atteignant 8,4 milliards de tonnes. En 2023, malgré tous les milliards de dépenses Net Zero, malgré le boom des éoliennes et des panneaux solaires, la demande mondiale de charbon dépassera 8,54 milliards de tonnes.
L’AIE est « l’Agence internationale de l’énergie » – censée être la servante impartiale des contribuables de 31 pays. Pourtant, ils ont décidé d’ignorer le record mondial et de nous dire à la place comment le charbon est appelé à décliner. C’est ce qu’ils pensent que les contribuables doivent entendre. Leur communiqué de presse :
La demande mondiale de charbon devrait diminuer dans les années à venir
C’est presque comme si l’AIE travaillait pour l’industrie des énergies renouvelables et ses investisseurs bancaires ? M. Vestas lui-même aurait difficilement pu écrire un titre plus réussi pour cacher la vérité et tromper les contribuables.
L’AIE prédit depuis des années la fin du charbon. En 2017, l’AIE nous disait que la Chine abandonnerait le charbon, car d’ici 2025-2030, « l’énergie solaire serait moins chère que le charbon ». Au lieu de cela, la Chine brûle plus de charbon que jamais et la saison des rapports trimestriels a été un bain de sang pour les industries solaire et éolienne, car des projets sont annulés en raison de la hausse de leurs coûts.
En 2023, la Chine utilise plus de la moitié du charbon total de la planète, soit 4,5 milliards de tonnes sur un total de 8,5 milliards de tonnes.
Les trois plus grands producteurs de charbon au monde sont la Chine, l’Inde et l’Indonésie, qui représentent 70 % de la production mondiale. L’AIE est convaincue que la consommation de charbon diminuera d’un jour à l’autre, mais le taux de croissance de la consommation de charbon en Chine était de 5 % en 2023, et celui de l’Inde de 8 %. Ce ne sont guère des signes du plateau avant l’automne.
La production de charbon atteint un niveau record. Graphique AIE. Notez comment l'AIE ajoute sa « projection » préférée à la fin
Pour mettre en perspective le succès de la transition vers les énergies renouvelables dans la réduction du charbon : l’Australie possède plus de panneaux solaires par habitant que tout autre pays, et bien que la consommation mondiale de charbon soit de 8 536 Mt, en 2022, la consommation australienne de charbon a diminué de 5 Mt au total. a dû dépenser dix milliards de dollars pour y parvenir :
La consommation globale de charbon en Australie est passée de 100 Mt en 2021 à 95 Mt en 2022 et on estime qu’il a poursuivi sa baisse au cours de 2023 avec une réduction de 4%.
Réjouissez-vous, la consommation mondiale de charbon est réduite de six centièmes de pour cent grâce à l'objectif australien en matière d'énergies renouvelables et au marché des émissions du mécanisme de sauvegarde.
En Occident, les plus grandes réductions de la consommation de charbon sont venues des usines exportant vers la Chine, ce qui, bien entendu, ne réduit pas du tout la consommation mondiale de charbon. Et réfléchissez à la rapidité incroyable avec laquelle la transition vers le charbon a été – de l’Ouest vers l’Est :
Cette année, la Chine, l’Inde et l’Asie du Sud-Est devraient représenter les trois quarts de la consommation mondiale, contre seulement un quart environ en 1990.
Insecticides et spermatozoïdes : autopsie d'un désastre médiatique sur fond d'article scientifique sujet à critiques
18 Décembre 2023
Selon une méta-analyse ayant exploité une vingtaine d'articles scientifiques (seulement... et l'article scientifique que nous commentons n'est pas clair sur ce point) la différence moyenne [...] de la concentration de sperme entre les hommes adultes plus ou moins exposés aux insecticides était de moins 30 %... Ah oui, mais il s'agit des seuls insecticides organophosphorés et carbamates. Ah oui, mais l'intervalle de confiance se rapproche de la non-signification (-49 % – -10 %)... Ah oui, mais il y a quelques soucis... Ah oui, mais trois auteurs sont liés au sulfureux Institut Ramazzini...
La George Mason University, dont relève l'auteure principale publie un communiqué de presse critiquable, avec des déclarations anxiogènes... des médias s'engouffrent...
Slate : petite immersion dans un certain « journalisme »
La page d'accueil de mon ordinateur – MSN – m'a branché sur un article de Slate, « Les insecticides tuent aussi les spermatozoïdes ». Il a été « [r]epéré par Léa Polverini », ce qui signale une maladie endémique de la faune médiatique : le copier-paraphraser.
En chapô :
« Dans les champs ou via l'alimentation, l'exposition aux pesticides peut réduire la fertilité masculine. »
On appréciera la logique de la prose : les « insecticides » (en général, notons-le déjà à ce stade) du titre putaclic deviennent des « pesticides » dans le chapô... L'affirmation péremptoire du titre devient conjecturale dans le chapô... De l'excellent journalisme, donc.
On appréciera aussi la photo d'illustration, un montage propagandiste au mieux risible. On imagine le personnage traiter un champ plutôt immense (la photo a été recadrée) avec un pulvérisateur à dos...
Reproduisons encore le premier paragraphe qui a l'avantage de résumer le propos... et de fournir un lien :
« Au cours des cinquante dernières années, la concentration de spermatozoïdes a chuté de près de la moitié. D'après une récente étude publiée par des chercheuses dans la revue scientifique Environmental Health Perspectives, la diffusion massive des insecticides à travers le monde pourrait avoir sa part de responsabilités dans cette menace pour la fertilité masculine.
Oh là là ! Une « diffusion massive », toujours « des insecticides »... Une « menace pour la fertilité »... Mais avec un semi-auxiliaire au conditionnel... On n'est jamais trop prudent !
Avez-vous dit « sciences », Futura-Sciences ?
Mais où Mme Léa Polverini a-t-elle pu trouver son inspiration ? Un autre article, plus ancien, en français a été publié par Futura-Sciences. Le titre – « Les chercheurs associent le déclin mondial du nombre de spermatozoïdes avec les insecticides » – est presque tout aussi putaclic : deux articles définis...
Et voici le chapô :
« Comment expliquer la baisse du nombre de spermatozoïdes de ces cinquante dernières années ? Les facteurs environnementaux (perturbateurs endocriniens, pesticides, radiations) constituent une piste intéressante. Une méta-analyse montre une association forte entre cette baisse et les insecticides comme le controversé glyphosate. »
Et bing ! Le glyphosate est un insecticide...
TF1 (dés-)Info insiste sur le glyphosate
TF1 Info a aussi publié un article le 20 novembre 2023 en l'assortissant d'une séquence vidéo certes relative aux problèmes de fertilité, mais sans lien avec le sujet traité. Le titre – « Infertilité : un lien "fort" entre les pesticides et la baisse des spermatozoïdes, selon une étude » – serait presque raisonnable... mais il y a « les pesticides »...
Les points forts :
Une analyse menée sur cinquante ans met en évidence l’effet néfaste d'insecticides répandus sur la fertilité masculine, dont le glyphosate.
Ces derniers contribueraient à faire diminuer nettement la concentration en spermatozoïdes.
« Alors que la Commission européenne vient pour rappel de renouveler l’autorisation du glyphosate pour dix ans, Melissa Perry, premier auteur de l’étude s'alarme de ce lien de cause à effet désormais avéré : "Les preuves disponibles ont atteint un point où nous devons prendre des mesures réglementaires pour réduire l’exposition aux insecticides". »
Top Santé, top insanité...
Pour Mme Catherine Cordonnier, « [p]roductrice de contenu pour les rubriques médecine, médecines douces, nutrition, minceur », l'affaire est pliée. En titre : « Voici pourquoi vous avez moins de spermatozoïdes que votre grand-père » !
J'ai une petite envie de m'amuser : si ma tante en avait, je l'appellerais « mon oncle »...
Qu'a-t-elle dans le ventre, cette étude ?
La source de l'excitation française semble être un articulet de Reporterre, « Plus de pesticides, moins de spermatozoïdes, prouvent 50 ans d’études », publié le 15 novembre 2023. Trois paragraphes, dont :
- voir cadre sur site -
« Il existe un lien "fort, robuste et constant" entre l’exposition aux insecticides et une faible concentration en spermatozoïdes dans le sperme. C’est ce que montre une méta-analyse publiée le 15 novembre dans la revue scientifique Environmental Health Perspectives. »
La méta-analyse, c'est « Adult Organophosphate and Carbamate Insecticide Exposure and Sperm Concentration: A Systematic Review and Meta-Analysis of the Epidemiological Evidence » (exposition des adultes aux insecticides organophosphorés et carbamates et concentration dans le sperme : une revue systématique et une méta-analyse des preuves épidémiologiques) de Lauren B. Ellis et al.
Les preuves de l'impact négatif de l'utilisation contemporaine des insecticides sur la concentration en spermatozoïdes se sont multipliées au cours des dernières décennies ; toutefois, les méta-analyses sur ce sujet sont rares.
Objectifs :
Cette étude a évalué la force qualitative et quantitative des preuves épidémiologiques concernant l'exposition des adultes à deux classes d'insecticides d'usage contemporain – les organophosphorés (OP) et les carbamates N-méthyliques (NMC) – ainsi que leur impact sur la concentration en spermatozoïdes en utilisant des méthodes d'examen systématique et de méta-analyse robustes et reproductibles.
Méthodes :
Trois bases de données scientifiques (PubMed, Scopus et Web of Science), deux bases de données du gouvernement américain (NIOSHTIC-2 et Science.gov) et cinq sites Web d'organisations non gouvernementales ont été consultés pour trouver des études épidémiologiques primaires pertinentes publiées dans n'importe quelle langue jusqu'au 11 août 2022. Le risque de biais et la force des preuves ont été évalués conformément à la méthodologie d'examen systématique du Guide de navigation. Les tailles d'effet de la différence moyenne standardisée corrigée des biais ont été calculées et regroupées à l'aide d'un modèle de méta-analyse à effets aléatoires multivariés à trois niveaux avec estimation de la variance en grappes.
Résultats :
Sur 20 études, 21 populations étudiées, 42 tailles d'effet et 1.774 hommes adultes, la différence moyenne standardisée ajustée aux biais et regroupée de la concentration de sperme entre les hommes adultes plus ou moins exposés aux insecticides OP et NMC était de –0,30 (IC À 95 % : –0,49, –0,10) ; PSatt < 0,01). Des analyses de sensibilité et de sous-groupes ont exploré l'hétérogénéité statistique et validé la robustesse du modèle. Bien que l'estimation de l'effet regroupé ait été modifiée par le risque de biais, la classe d'insecticides, le contexte d'exposition et le contexte de recrutement, elle est restée négative dans toutes les méta-analyses. L'ensemble des preuves a été jugé de qualité moyenne, avec des preuves suffisantes d'une association entre une exposition plus élevée aux insecticides OP et NMC chez l'adulte et une concentration plus faible en spermatozoïdes.
Discussion :
Cette enquête exhaustive a permis de trouver des preuves suffisantes d'une association entre une exposition plus élevée aux insecticides OP et NMC et une concentration plus faible de spermatozoïdes chez les adultes. Bien que des études de cohortes supplémentaires puissent être utiles pour combler les lacunes des données, la force des preuves justifie la réduction de l'exposition aux insecticides OP et NMC dès à présent afin de prévenir les dommages persistants sur la reproduction masculine. https://doi.org/10.1289/EHP12678
Se fondant sur un article scientifique au titre explicite, les auteurs des articles décrits ci-dessus, et de quelques autres, se réfèrent sans vergogne qui aux insecticides, en général, qui même aux pesticides en général !
On arrive même à incriminer le glyphosate !
Qu'a-t-elle dans le ventre, cette étude ? (Bis)
L'article scientifique a été commenté dans « Invited Perspective: Risk of Bias Assessments, Target Trials, and the Strengths of Environmental Epidemiology » (point de vue invité : évaluations du risque de biais, essais ciblés et forces de l'épidémiologie environnementale) de Jonathan Huang.
Cet auteur en dit beaucoup de bien, mais sur le plan de la méthodologie des méta-analyses. Dont acte.
Comme d'autres méta-analyses, cette étude a le mérite de nous montrer l'ampleur d'un problème de la littérature scientifique : partant de 2.436 publications, les auteurs ont fini par n'en retenir que... 20.
Mais selon le tableau 1, qui décrit leurs caractéristiques générales, il y en aurait eu... 25. Et 27 selon la liste des origines géographiques. Ça fait tout de même désordre... et ça a passé les fourches (en principe) caudines de l'examen par les pairs.
Il y a sans doute eu de bonnes raisons pour l'extraordinaire élagage, mais il y en a qui interrogent, telles 116 études éliminées car affligées d'un mauvais protocole.
On rappellera ici que l'activisme est prompt à instrumentaliser toute étude qui va dans le sens de ses préjugés et, surtout, de son intérêt. Et n'a-t-on pas vu récemment des procès en partialité de la science réglementaire qui aurait écarté 95 % des études académiques sur le glyphosate ? Ici, on est à 99,18 % !
L'étude finale, comme indiqué dans le résumé, s'est donc limitée à 1.774 hommes adultes pour 21 populations étudiées et 42 tailles d'effet. Soit 84 personnes par population en moyenne, à répartir entre les cas et les témoins ou, selon les termes du résumé, les « plus ou moins exposés aux insecticides OP et NMC » – comprenne qui pourra.
Que faut-il penser des résultats ? Une différence moyenne standardisée […] « entre les hommes adultes plus ou moins exposés aux insecticides OP et NMC » de –0,30 (IC à 95 % : –0,49, –0,10) ? L'intervalle de confiance est proche de la non-signification.
Cela peut être visualisé dans le tableau ci-dessous.
- voir cadre sur site -
Les auteurs écrivent dans leur discussion :
« Comme prévu, les expositions professionnelles ont montré une association plus forte avec une concentration de spermatozoïdes plus faible que les expositions environnementales. Ce résultat représente une relation dose-réponse étant donné que les travailleurs exposés en milieu professionnel subissent généralement des expositions plus élevées que la population générale.118 Il convient de noter que l'estimation de l'effet groupé dans les études sur l'exposition environnementale était faible et statistiquement non significative, ce qui peut être lié au nombre limité d'études disponibles sur l'exposition environnementale. Néanmoins, étant donné l'exposition généralisée à ces produits chimiques dans l'environnement,27 même une faible ampleur de l'effet pourrait avoir des conséquences sur la concentration de spermatozoïdes au niveau de la population. »
Quatre phrases... quatre assertions qui nous emmènent loin dans la « science » alternative. Comme trouver une relation dose-réponse à partir d'une exposition environnementale – avec un effet non significatif – et une exposition professionnelle. Ou expliquer la non-significativité d'un effet groupé par le nombre limité d'études, plutôt que par les niveaux de signification de chacune de ces études. Quant à la dernière phrase, il y a de quoi rester bouche bée ; c'est du style « les petits ruisseaux font les grandes rivières », étant entendu qu'en effet insignifiant sur une personne exposée par l'environnement reste un effet... insignifiant.
Et donc... (bis)
Et donc nos journaleux ont produit, ou plutôt reproduit, des articles anxiogènes sur la base d'une étude qui ne traite que des expositions à des insecticides organophosphorés et/ou carbamates occupationnelles ou « environnementales »... et qui fournit dans son résumé une différence moyenne globale, sans autres précisions.
Il faut donc entrer dans l'article pour s'apercevoir que les expositions « environnementales » n'ont pas produit un effet groupé statistiquement significatif.
Cela vient du reste avec une suggestion d'explication qui laisse sceptique, sinon pantois : les sept études concernées totalisaient en effet 1.774 personnes, soit 75 % de l'effectif total. Une explication bien plus vraisemblable est que l'absence de différence statistique est due à... une absence de différence statistique, liée à une absence d'effets sur le sperme. Mais nous nous répétons ici.
Dans les études « environnementales », on a comparé les qualités du sperme en fonction, par exemple, de la teneur des urines en métabolites des insecticides. Il y en a une, danoise, sur 251 agriculteurs, ventilés en trois groupes selon leur consommation de produits biologiques. Les auteurs de cette étude ont conclu que « l'apport alimentaire estimé de 40 pesticides n'entraîne pas de risque d'altération de la qualité du sperme ».
Ah, l'Institut Ramazzini...
Exposition professionnelle ? Le tableau 2 nous apprend que 6 entrées sur 25 (8 études sur 27 référencées dans la liste bibliographique) portaient sur des travailleurs de l'industrie agrochimique. Et, à la louche, l'effet groupé est nul ou quasiment dans leur cas.
L'étude ne précise pas les modalités de l'exposition professionnelle des applicateurs. Un monde sépare ceux qui utilisent un pulvérisateur à dos et ceux qui manipulent des bidons au moment de la préparation de la bouillie et traitent ensuite avec un tracteur à cabine fermée et climatisée.
Autrement dit, il y a le problème du danger, et celui du risque.
Est-il bien raisonnable de produire une recommandation de politique de santé publique – restrictive – dans le résumé quand la grande majorité des études ont été réalisées dans des pays en développement ? Et un tiers dans des usines ?
Les auteurs de l'étude écrivent dans la partie « Résultats » de leur résumé : « L'ensemble des preuves a été jugé de qualité moyenne... ». C'est sans doute honnête. Ils ajoutent : « ...avec des preuves suffisantes d'une association... ». C'est plus discutable.
Mais la partie « Discussion » se fait péremptoire : « la force des preuves justifie la réduction de l'exposition aux insecticides OP et NMC dès à présent afin de prévenir les dommages persistants sur la reproduction masculine. » Mais cela vient tout de même avec une précaution oratoire : c'est « réduction » et pas « interdiction »... Cela reste néanmoins du domaine de l'entourloupe activiste. D'autant plus que, sauf erreur, il n'a pas été démontré de dommages « persistants ».
Si on peut se permettre un ad hominem, ce n'est pas surprenant. Deux des auteurs, émargent à l'Institut Ramazzini, à la sulfureuse réputation de producteur d'études anxiogènes : Daria Sgargi et Daniele Mandrioli, directeur de son centre de recherche sur le cancer Cesare Maltoni.
Quant à l'auteur principal, Melissa J. Perry, à l'impressionnant pédigrée, elle siège au comité scientifique de l'Institut Ramazzini.
Cela ne préjuge en rien de la qualité intrinsèque de l'étude, mais met la conclusion du résumé en perspective.
Ah, la communication institutionnelle...
La source du problème – au-delà de l'incompétence et du panurgisme des auteurs d'articles de médias – est à chercher prioritairement dans une communication institutionnelle qui amplifie les problèmes d'imprécision et surtout de dérive militante que nous avons identifiés dans l'article scientifique lui-même.
La George Mason University, dont relève l'auteure principale Melissa J. Perry, a produit un communiqué de presse intitulé : « New study finds association between insecticide exposure and lower sperm concentration in adult men » (une nouvelle étude établit un lien entre l'exposition aux insecticides et la baisse de la concentration de spermatozoïdes chez les hommes adultes).
Voilà la source de la référence aux insecticides en général. On peut aussi ergoter sur ce titre : si un lien a été établi, c'est par les études de base.
En chapô :
« Un examen systématique complet de 25 études réalisées sur une période de 25 ans révèle des preuves cohérentes d'un lien entre l'exposition aux insecticides et la baisse de la concentration de spermatozoïdes. »
Outre l'ambiguïté sur l'exposition aux insecticides («insecticide exposure », sans article), on a une nouvelle exagération sur les « preuves cohérentes ». Un simple regard sur le Forest plot du tableau/figure ci-dessus montre que c'est loin d'être le cas.
Notons incidemment que les « 25 ans » de ce communiqué deviennent... « 50 ans » dans une partie de la littérature médiatique française (exemple)...
Une des auteurs est citée pour une déclaration générale, angoissante à souhait :
« "Il est essentiel de comprendre comment les insecticides affectent la concentration de spermatozoïdes chez l'homme, compte tenu de leur omniprésence dans l'environnement et des risques avérés pour la reproduction. Les insecticides sont une préoccupation pour la santé publique et pour tous les hommes, qui y sont exposés principalement par la consommation d'eau et d'aliments contaminés", déclare M. Ellis. »
C'est bateau et ballot ! Leur étude n'a apporté aucune contribution sur le « comment ». Et pour l'« omniprésence » et les « risques avérés », elle nous aura plutôt montré une absence de liens entre exposition environnementale aux insecticides organophosphorés et carbamates et réduction du nombre de spermatozoïdes (ne pas tirer de conclusions trop hâtives de ce constat).
Mais le but principal de cette communication n'est-il pas de faire parler de l'étude et de ses auteurs ? L'exactitude scientifique et l'impact sur une « clientèle » peu ou pas informée – et réfractaire à l'effort de compréhension – sont secondaires...
Une partie de la médiasphère française vient de nous le démontrer. Le plus préoccupant, à cet égard, est l'irresponsabilité de nombre de sites qui se consacrent à la santé.
Allemagne : il ne s'agit pas seulement du gazole agricole...
18 Décembre 2023 Willi l'agriculteur*
Ma note : En Allemagne aussi, l'exaspération grandit.
Au cours des dernières 24 heures, j'ai lu d'innombrables informations et opinions sur les réseaux sociaux et ailleurs. J'ai constaté que tant le FDP que les Verts se trouvent manifestement en ce moment dans l'opposition. Ils se déclarent actuellement l'un l'autre responsable des projets visant à faire payer à l'agriculture 1 milliard d'augmentation d'impôts.
Le soi-disant chancelier Olaf Scholz (juriste, SPD) ne s'exprime pas, mais il est actuellement à Bruxelles, où il ne dit rien non plus.
Mme Carina Konrad (agricultrice, FDP) nous calcule qu'avec 21 € de coûts supplémentaires par hectare, un rendement de blé supérieur de 100 kg suffit déjà à compenser les coûts. Cela ne s'applique qu'au gazole agricole, la taxation plus élevée de nos véhicules agricoles n'est pas incluse dans son calcul. Merci pour cela.
M. Cem Özdemir (pédagogue social, Die Grünen) raconte à la télévision que les agriculteurs n'ont pas d'alternative au tracteur diesel. Il dit qu'il comprend les agriculteurs et leur colère. Il ne savait vraiment rien avant ? Peu importe, donnons-lui une chance de redresser les plans.
« Ne vous mettez pas dans cet état »
On m'a demandé si je ne pourrais pas supporter cela dans mon exploitation. Jusqu'à présent, nous avons toujours dû faire face à des coûts plus élevés, nous y sommes habitués. Mais ce qui change maintenant, c'est que sur les 3 milliards de subventions dites « nuisibles au climat », un groupe professionnel de 250.000 entreprises doit supporter à lui seul 1 milliard. Nous ne pouvons pratiquement pas répercuter ces coûts plus élevés, qui s'ajoutent à d'autres augmentations de coûts (prix du gazole plus élevé, taxe sur le gaz carbonique, salaire minimum plus élevé, prix de l'énergie plus élevés, etc.). Le commerce a en effet la possibilité d'acheter nos produits de masse anonymes (céréales, viande, lait, fruits, légumes...) moins chers à l'étranger. Mais je ne peux pas délocaliser mon exploitation à l'étranger. D'accord, je pourrais vendre ma ferme ici et m'installer ailleurs. Parfois, j'y pense même brièvement. Mais cela ne résout que mon problème.
Ce qui est prévu jusqu'à présent : une manifestation aura lieu lundi vers 10 heures à la porte de Brandebourg à Berlin. Les associations d'agriculteurs (DBV, LBV) ont lancé l'invitation et LSV soutient également la manifestation. Que ceux qui ne peuvent pas se rendre à Berlin (ce n'est pas possible pour moi pour des raisons très privées) s'organisent avec leurs voisins. Un conseil : trois tracteurs dans un rond-point qui ne trouvent pas la sortie pendant un certain temps...
Pour ceux qui ne veulent ou ne peuvent pas conduire de tracteur : en haut de l'image, vous voyez un gilet de sécurité. On peut aussi l'accrocher à la porte de la ferme. Ceux qui veulent nous soutenir, nous les agriculteurs, peuvent accrocher le gilet à la clôture de leur jardin. Les gilets peuvent être verts ou jaunes, la couleur n'a pas d'importance.
Faites quelque chose et faites-le vite, s'il vous plaît. Oui, c'est la période de Noël, mais les plans de la coalition des feux tricolores ne doivent pas devenir réalité. Celui qui ne se bouscule pas maintenant, sera bousculé.
Je pourrais écrire encore tellement de choses, mais cela devrait suffire pour l'instant.
Comment la « biosphère chaude et profonde » de la Terre détermine-t-elle le climat ?
18 décembre 2023 de A. Agérus
L'Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique) propose des modèles qui, jusqu’à présent, n’ont pas été capables de décrire le passé avec désinvolture ni de prédire correctement l’avenir. Outre le manque de compréhension du rôle du gaz carbonique, cela peut être dû à deux omissions majeures : ni l'influence du soleil ni celle de la terre ne sont examinées et intégrées dans les modèles climatiques. Pas même les cycles d’activité solaire de 11 ans facilement observables, ni ce qui se passe au plus profond de la Terre, même si du magma remonte parfois à la surface, comme on le voit en Islande. La dynamo terrestre et les changements du champ magnétique sont également tout simplement ignorés.
Notre auteur invité A. Agerius fournit d'abord un bref résumé des thèses essentielles du professeur Thomas Gold, 1999 « La biosphère chaude et profonde : le mythe des combustibles fossiles »édition de poche en anglais). Puis une analyse de la confirmation indirecte de l'approche Deep Hot de Gold par les scientifiques de la NASA sur Pluton et les scientifiques chinois sur la Lune. Enfin, la mise en œuvre de l'approche Deep Hot dans un modèle permettant de déterminer le profil de température à la surface de la Terre.
Partie 1 Résumé de l'anglais Édition, 1999, « La biosphère profonde et chaude » Le livre est disponible en allemand sous le titre « La biosphère des profondeurs chaudes et le mythe des combustibles fossiles ».
Tout d'abord à propos de l'auteur : Prof. Dr. em. Thomas Gold, né et élevé à Vienne, émigré aux États-Unis, était physicien, astrophysicien et géophysicien. Th. Gold fut le premier à prédire que la surface lunaire était recouverte d'une couche poudreuse (régolithe lunaire). La découverte la plus célèbre de Gold était que les pulsars sont des étoiles à neutrons en rotation. Gold a reçu un doctorat honorifique de l'Université de Cambridge. En 1985, il a reçu la médaille d'or de la Royal Astronomical Society pour l'ensemble de sa carrière.
À propos du livre : Je réduis le contenu de manière structurée aux aspects chimiques/physiques essentiels, formulés sous forme de thèses afin de donner au lecteur intéressé par la science une petite impression dans avance.
L’avant-propos de Freeman Dyson est également remarquable. Gold affirme que la chaleur ambiante - il parle d'une moyenne d'environ 15 °C à la surface de la Terre - ne peut pas être la source d'énergie nécessaire à la vie à la surface de la Terre. Raison : Le flux ou le transport de chaleur ne peut se produire que d’un corps plus chaud vers un corps plus froid pour être converti en d’autres formes d’énergie. (Il suit ici le principe de ce que l'on appelle en physique la deuxième loi de la thermodynamique.) Gold considère une sorte de microvolcan (sources chaudes) dans les profondeurs de la mer, d'environ 2 m de haut, des « fumeurs noirs ». Les microbes (bactéries et arachées) y vivent dans la chaleur, c'est-à-dire une vie sans soleil, mais dans la chaleur des températures chaudes.
Il avance une première thèse selon laquelle la vie microbienne est beaucoup plus importante en volume. Il calcule jusqu'à une profondeur de 10 km.
Sa deuxième thèse est que la vie microbienne est bien plus ancienne que la vie basée sur la photosynthèse. La couche de photosynthèse végétale à la surface de la terre ne mesure que quelques mètres, tout au plus la hauteur d'un arbre de la jungle.
Troisième thèse : la photosynthèse ne peut pas piloter directement tous les processus organiques.
Sous-thèse à la troisième : Premièrement, le métabolisme cellulaire (un autre mot pour métabolisme cellulaire) requis est 10 fois plus fort que l'énergie fournie par un seul photon. Deuxième sous-thèse : « un photon n'a pas de patience ». Le photon n’a pas de patience, c’est à dire qu’il réagit à la vitesse de la lumière. Le sucre doit être accumulé par un détour. Le sucre a besoin d'oxygène, d'oxygène atmosphérique et non de carbone C pur oxydé. Dans les profondeurs marines, il n'y a pas de lumière solaire, bien qu'il y ait du gaz carbonique dissous, mais pas d'énergie pour les processus de conversion chimique. Il y a une chaleur beaucoup plus élevée dans la croûte profonde de la Terre pour les transformations chimiques/énergétiques nécessaires. À quoi ressemble l’oxygène pur dans la croûte terrestre ? Celui-ci provient de l'oxyde de fer FE O3 et du dioxyde de soufre ou sulfates SO2 ou H2SO4. Une fois décomposé, SOn se révèle être le deuxième ion négatif le plus abondant dans l’eau de mer.
Hexa est le préfixe grec ancien pour 6. Les hexanes sont des composés chimiques constitués de 6 atomes de carbone « C ». Il existe deux formes apparentées ou étroitement apparentées : l'hydrocarbure anglais C6H14 ou l'hexane allemand. Ce n'est pas encore de l'essence, mais ça sent légèrement l'essence et les glucides anglais C6H12O6, en allemand « glucose » ou comme autre mot pour cela « dextrose ». Gold écrit que l'un est de la nourriture pour les êtres vivants, l'autre est un poison.
Gold fait référence aux grottes de Roumanie. En 1986, des formes de vie isolées du monde extérieur y ont été découvertes, sans lumière. L'énergie chimique de cette forme de vie est basée sur des gaz réduits. (Lors de l'oxydation, un ou plusieurs électrons sont perdus ; lors de la réduction, des électrons sont gagnés.) Des araignées et des mille-pattes ont même été découverts, soit un total de 33 nouvelles espèces. En 1997, une grotte comparable a été découverte au Mexique. En 2001, près de Vostok en Russie, un lac abritant une vie microbienne a été découvert sous une couche de glace d'un kilomètre d'épaisseur. Cela confirme la théorie selon laquelle sans lumière du soleil, il y a beaucoup de vie dans la sphère profonde, la croûte terrestre. L'or fait référence à la lune Europe de Jupiter. Il y a une épaisse couche de glace et d’eau en dessous. Cela signifie qu’il doit y avoir une source de chaleur en dessous, sinon tout se cristalliserait jusqu’au cœur sur des milliards d’années. Je laisse de côté la chimie des hydrates de méthane de l'or, sinon cela devient trop compliqué. Concernant les microbes, Gold écrit qu’ils se développent mieux à 80°C. Il se lance également dans des forages profonds dans la croûte terrestre.
Dans ce que je considère comme la quatrième thèse (supérieure), le professeur Gold formule : « La Terre génère sa propre chaleur à partir de la compression, du tri aérovitatoire et de la décomposition radioactive à l'intérieur de son noyau. et le manteau" La Terre génère sa propre chaleur par compression (condensation de la nébuleuse de poussière lors de la formation de la Terre) et par tri gravitationnel, désintégration radioactive au plus profond de son noyau et de son manteau.
Il convient de noter ici : la « théorie établie » scientifique dominante ne compte que le manteau supérieur jusqu'à la croûte avec la radioactivité. Gold écrit dans le chapitre sur sa nouvelle « Théorie des gaz des profondeurs terrestres », qu'il étudie depuis 1977 : « Les nouvelles idées scientifiques ne sont pas justes simplement parce qu'elles sont nouvelles. ” À titre d'exemple, Gold se réfère à la théorie alors complètement nouvelle du déplacement des plaques continentales d'A. Wegener. [Contenu ajouté par moi pour le lecteur : La côte est de l'Amérique du Sud correspond à la côte ouest de l'Afrique en termes de littoraux et de formations géologiques. Il y a 100 ans, il y avait une contre-théorie selon laquelle la Terre était plus petite et se serait gonflée comme un ballon. Mais il y a la fosse des Mariannes au milieu. Le magma s'élève et pousse contre l'Amérique du Sud à gauche et contre l'Afrique à droite. Tous les 11 000 ans, le pôle nord magnétique alterne avec le pôle sud. Les minerais magnétiques contenus dans la lave se solidifient et laissent un motif de lignes magnétiques parallèles avec l'alignement polaire entre l'Amérique du Sud et l'Afrique, preuve de la thèse d'A. Wegner. Les plaques continentales s’écartent et se rapprochent ailleurs. L'un plonge ensuite sous l'autre. Par exemple la tranchée de San Francisco sur la côte ouest des États-Unis. Les mesures correctes du champ magnétique n'ont eu lieu que 2 générations plus tard].
On se moquait de Wegener à l'époque. Aujourd'hui, l'Institut polaire allemand de Bremerhafen porte tristement son nom. Gold écrit également dans ce chapitre : «Un jeune - aussi brillant soit-il - sans statut scientifique qui tenterait de le faire n'aurait aucun espoir de passer l'examen par les pairs (le système d'examen scientifique en vigueur) ni pour obtenir fonds ou pour avoir publié des résultats contraires."
Les études climatiques non conformes aux normes de l'IPCC n’ont aucune chance dans le monde scientifique. EIKE en rend régulièrement compte. Ajouté par moi : L'un des scientifiques les plus célèbres au monde, John P.A.Ioannidis, de l'Université de Stanford, aux États-Unis, critique massivement le système actuel d'évaluation par les pairs, comme le fait Thomas Gold ailleurs dans son livre.
Gold concerne également les gisements de pétrole et de gaz et le transport de l’hélium depuis les profondeurs. Il l'enrichit de cartes et donne de nombreuses autres vues intéressantes qui ne peuvent être discutées brièvement ici.
Partie 2 Confirmation indirecte de l'approche DEEP HOT du professeur Gold par des scientifiques chinois a) sur la Lune et b) de la NASA sur Pluton
a) Lune : La mission lunaire chinoise chang'e de 2010 a fourni une carte micro-ondes complète de la répartition de la chaleur à sa surface. Ils fournissent également, pour la première fois, des informations complètes sur l'énergie à l'intérieur – Deep Hot – du satellite terrestre, selon Yong-Chun Zheng et Kwing Chan de l'Académie chinoise des sciences. Le journaliste scientifique Axel Bojanowski : « Une observation sur la carte nocturne laisse cependant les astronomes perplexes : la surface lunaire est parsemée de zones froides la nuit, qui se transforment en points chauds lors d'une éclipse lunaire. < a i=3>“ 3
b) Pluton : On supposait auparavant que - si loin - elle était complètement gelée. Selon une étude de la NASA, Pluton possède de la glace d'azote qui se déplace lentement et une couche sous-jacente de glace d'eau. Il a été prouvé que certains composés chimiques abaissent considérablement le point de congélation. Ce mouvement de glace visqueuse a été confirmé par des tests en laboratoire avec de l'azote liquide. Toutefois, cela n’est possible qu’avec une source d’énergie supplémentaire. Selon la NASA, il s'agit d'une désintégration radioactive à l'intérieur en tant que source d'énergie permanente.
Les scientifiques américains du NASA AMES RESEARCH CENTER, en Californie, sont Michelle Thaller, Phil Plait, Orkan Umurhan et Will Grandy. Dans leur propre film, ils présentent leurs résultats sur la formation de cryovolcans par chaleur profonde, y compris leur vérification par des tests en laboratoire.
De ce film (ici) sur Pluton, je cite maintenant le résultat qui est essentiel pour cet article et confirme indirectement celui du Pr Thomas Gold Approche Deep Hot, de Min 18:55, Willy Grandy (NASA), citation : « Toutes les données indiquent que profondément sous la surface de Pluton, un océan d'eau liquide entoure le noyau rocheux, cette eau riche en les gaz dissous et l'antigel seraient chauffés par la désintégration des matières radioactives dans le noyau et, à mesure que l'eau se réchauffe, elle se dilate et pousse vers le haut avec la pression, elle bouillonne à la surface, en s'écoulant, elle gèle, formant progressivement les cônes volcaniques, qui s'élèvent. à 4 km. Il a désormais fallu une génération pour confirmer une thèse par des mesures." (selon la source 4, à partir de min. 18h55)
Partie 3 Implémentation de l'approche Deep Hot dans un modèle de détermination de la température sur Terre Le tri aavitationnel explique comment les éléments radioactifs lourds en particulier l'uranium 235 et 238 (HWZ 4,47 milliards d'années), le potassium 40 (HWZ 1,25 milliards d'années) ans) et le thorium 232 (HWZ 14,05 milliards d'années) sont particulièrement concentrés dans la zone du noyau chaud et des couches inférieures du manteau lors de la formation des planètes.
Nous connaissons suffisamment ces isotopes du manteau supérieur et de la croûte terrestre grâce au modèle ESB. Le professeur Clauser l'exprime ainsi : « Au cours de la désintégration radioactive, la masse est convertie en énergie. À l’exception de la petite partie des antineutrinos ou neutrinos, qui sont générés lors des désintégrations ß- et ß+ ou lors de la capture d’électrons, toute l’énergie est convertie en chaleur. Les pics caractéristiques dans les spectres γ respectifs correspondent aux séries de désintégrations respectives, au spectre de fond continu de la diffusion Compton et de l'absorption photoélectrique.“ 8
Grâce à ces processus continus de désintégration radioactive des isotopes à vie longue et donc à un dégagement continu de chaleur de l'intérieur Deep Hot vers l'extérieur, vers l'extérieur, le rayonnement à ondes longues traverse la structure du noyau rocheux cristallisé de Pluton et de la Lune. La cartographie infrarouge chinoise de la Lune, voir source partie 2, montre une température maximale de 130 °C. Cela ne peut pas être réalisé sur la Lune avec le Soleil seul, tout comme la température globale moyenne calculée de 15 °C sur Terre peut être atteinte. On peut montrer que la Lune manque de 300 W/m² (9 p.153) comme puissance de rayonnement à ondes longues provenant des profondeurs pour une température mesurée de 130 °C. Ils peuvent s'expliquer par leur origine radioactive sur la Lune. La Lune et la Terre ont une structure similaire, même si la Lune est probablement apparue comme un produit dérivé de la Terre.
Vous pouvez décrire la chaleur profonde Deep Hot comme un rayonnement d'origine radioactive, comme le très distingué professeur Thomas Gold la décrit comme "désintégration radioactive au plus profond de son noyau “ pour la terre décrite dans la partie 1 de l'article peut être calculé de manière réaliste entre 250 W/m² et 272 W/m². Cela signifie que toutes les températures présentes à la surface de la Terre peuvent se former sans effet de serre. La modélisation informatique complète de ceux-ci, y compris les concentrations d'uranium, de potassium et de thorium, jusqu'à et y compris la formation des températures aux différentes latitudes de la Terre, avec des comparaisons d'un spectre de rayonnement moyen de la Terre avec des valeurs satellitaires, avec diverses preuves que l'effet de serre ne peut pas exister, avec la preuve que le gaz carbonique n'a aucun effet thermique, même si le gaz carbonique peut absorber un rayonnement mineur dans de très petites plages de bande, peut être trouvée (ici)9. Au lieu d'un effet de serre, la chaleur continuellement libérée par les processus de désintégration radioactive, que le professeur Gold a acceptée comme thèse, explique bien mieux les températures à la surface de la Terre.
Sources: 1 Prof. Thomas Gold, 1999, LA BIOSPHÈRE CHAUDE PROFONDE, Springer Science New York.
2 Prof. Thomas Gold, 1999, La biosphère des profondeurs chaudes et le mythe des combustibles fossiles, Institut européen du climat et de l'énergie .
3 Axel Bojanowski (Boj), 09/02/2010 https://www.spiegel.de/forschung/weltall/microwavemap-atlas-shows-temperatures-on- dem-mond-a-718606.html . ou
4 Youtube : Série : Dépouiller le cosmos - Les secrets de Pluton - Planètes naines aux confins du système solaire - Documentaire HD du 18 juin 2023. 43 : 15 min, citation voir transcription de 18 :55 min. < /span> ouhttps://www.youtube.com/watch?v=M-SJBvUzhn4
5 ZDF Mediathek : Strip the Cosmos - Pluto's Secrets - Dwarf Planets on the Edge of the Solar System 43 min à partir du 30 décembre 2021 Vidéo disponible dans la ZDF Mediathek en Allemagne jusqu'au 30 septembre 2025. ou
6 Documentaire N24 HD du 7 août 2023 Strip the Cosmos - Les secrets de Pluton - Planètes naines aux confins du système solaire 50 min ou
7 welt.de, https://www.welt.de/mediathek/documentation/space/strip-the-cosmos/sender192540459/Strip-the-Cosmos-Plutos -Secrets.html à partir de 18h40 min.
8 Prof. Christoph Clauser, 2016, Introduction to Geophysics, 2e édition, Springer Spektrum, chap. 6.3.2.Production de chaleur radiogénique, p.278, colonne de gauche, 1er paragraphe. Est ce que je:10.1007/978-3-662-46884-5.
9 A. Agerius, 2023, Formation des températures diurnes et nocturnes à la surface de la Terre selon les latitudes, Tredition Hamburg, ISBN 978-3 -347-950405.
Liens connexes: Existe-t-il ou non un effet de serre naturel ? Des réserves inépuisables de gaz naturel et de pétrole brut dans les couches plus profondes du manteau terrestre Physique et chimie sur le gaz carbonique : quasiment aucune influence sur le climat et le minimum historique Le livre le plus dangereux du monde
Le fils de Pablo Escobar révèle que son père « travaillait pour la CIA en vendant de la cocaïne » — Media Silent
Par Claire Bernish Recherche mondiale, 15 décembre 2023
Cet article a été publié pour la première fois sur le Free Thought Project, publié sur Global Research le 18 mai. 2018
Juan Pablo Escobar Henao, fils du célèbre chef de file du cartel de la drogue de Medellín, Pablo Escobar, affirme désormais que son père "travaillait pour la CIA".
Dans un nouveau livre, "Pablo Escobar In Fraganti", Escobar, qui vit sous le pseudonyme de Juan Sebastián Marroquín, explique son " mon père travaillait pour la CIA en vendant de la cocaïne pour financer la lutte contre le communisme en Amérique centrale. »
«Le secteur de la drogue est très différent de ce dont nous rêvions», poursuit-il. "Ce que faisait la CIA, c'était d'acheter les contrôles nécessaires pour faire entrer la drogue dans leur pays et d'obtenir une excellente affaire."
"Il n'a pas gagné de l'argent tout seul", Marroquín a expliqué dans une interview, "mais avec des agences américaines qui lui ont permis d'accéder à cet argent. Il avait des relations directes avec la CIA. »
Marroquín a notamment ajouté : « la personne qui a vendu le plus de drogue à la CIA était Pablo Escobar. »
Là où son premier livre traitait principalement d'Escobar, le deuxième de Marroquín — qui vient de sortir en Argentine — se penche sur les « liens internationaux de corruption dans lesquels mon père a participé activement, parmi lesquels avec la CIA américaine", a-t-il a déclaré dans une récente interview.
Ces associés du gouvernement « étaient pratiquement ses partenaires », ce qui a permis à Escobar de défier la loi et lui a donné presque le même pouvoir qu'un gouvernement.
Comme on pouvait s'y attendre, cette information est commodément absente des gros titres des médias américains.
Si le trafic de cocaïne par la CIA vers les États-Unis ressemble à une théorie du complot en aluminium, détrompez-vous. Leur rôle présumé dans le trafic de drogue a été révélé en 1996 dans une série d'enquête explosive « Dark Alliance » réalisée par Gary Webb pour le San Jose Mercury News. L'enquête, dirigée par Webb a révélé des liens entre la CIA, les Contras nicaraguayens et le trafic de crack qui ravage les communautés afro-américaines.
L'enquête a provoqué des protestations massives et des audiences au Congrès, ainsi qu'une réaction manifeste de la part des grands médias pour discréditer les reportages de Webb. Cependant, des décennies plus tard, des responsables se sont manifestés pour soutenir l'enquête initiale de Webb.
Le sénateur John Kerry de l'époque a même publié un rapport détaillé affirmant que non seulement il existait des « preuves considérables » liant les efforts des Contra au trafic de drogue. drogues et armes – mais que le gouvernement américain était au courant.
El Patron, comme on l'appelait Escobar, a amassé plus de richesses que presque tous les trafiquants de drogue de l'histoire - à un moment donné, engrangeant environ 420 millions de dollars de revenus par semaine - et aurait fourni environ 80 % de la cocaïne mondiale. Escobar a atterri sur la liste Forbes des milliardaires internationaux pendant sept années consécutives et, bien que la nature de l'entreprise rend impossible l'acquisition de chiffres solides, son était d'environ 30 milliards de dollars.estimée
Escobar et le cartel de Medellín ont introduit clandestinement 15 tonnes de cocaïne aux États-Unis – chaque jour – et ont laissé une traînée de milliers de cadavres vers faites-le.
"C'était une distance de neuf cents milles depuis la côte nord de la Colombie et c'était tout simplement grand ouvert", le journaliste Ioan Grillo a écrit dans le livre « El Narco : Au cœur de l'insurrection criminelle du Mexique ». "Les Colombiens et leurs homologues américains larguaient des tonnes de bombes en mer, d'où elles étaient transportées à terre dans des hors-bord, ou même les faisaient voler directement sur le continent de Floride et les laissaient s'écraser dans la campagne."
Si ce que Marroquín révèle dans le nouveau livre est effectivement vrai, cela signifierait que la CIA a joué un rôle majeur en garantissant aux Américains l’accès à des quantités illimitées de cocaïne – tandis que le gouvernement américain s’en prenait à la drogue pour promouvoir la guerre contre la drogue.
En fait, comme le fait remarquer Marroquín, la prohibition des drogues constitue la meilleure propagande en faveur des drogues - la nature d'une chose étant illégale donne naturellement cela rend plus attrayant.
Cette interdiction garantissait que le règne sanglant d’Escobar serait d’autant plus violent. Marroquín croit désormais que « son chemin de guérison est la réconciliation avec les proches de ceux que son père a ordonné de tuer ».
Même si Escobar a certainement utilisé la violence, ou a ordonné à d'autres d'utiliser la violence, pour fomenter et maintenir efficacement le pouvoir, il n'était pas dépourvu d'un os charitable dans son corps. Comme Business Insider le note, "Il a été surnommé 'Robin des Bois' après avoir distribué de l'argent aux pauvres, construit des logements pour les sans-abri et construit 70 terrains de football communautaires. et construire un zoo. »
El Patron a connu son sort en 1993, par balle alors qu'il tentait de fuir après que sa maison ait été encerclée. Cependant, les circonstances entourant sa mort sont encore débattues aujourd'hui. Marroquín insiste sur le fait que son père s'est suicidé plutôt que d'être abattu ou capturé par les forces de police envoyées pour le traquer ; tandis que d'autres pensent qu'Escobar a été complètement tué par la police.
Quoi qu’il en soit, l’accumulation de richesses d’Escobar pourrait être considérée comme accessoire au rôle qu’il a joué pour la CIA et la guerre contre la drogue – une hypocrisie massive servant à maintenir les gens accros à une substance considérée comme illégale par l’État, afin que l’État puisse ensuite récolter les fruits de son travail. les profits générés par les tribunaux, les prisons et le travail de la police sont « nécessaires » pour « combattre » la « guerre contre la drogue ».
"Mon père était un rouage d'un grand trafic de drogue universel", Marroquín explique, et lorsqu'il n'a plus servi de but à ceux qui l'utilisaient de cette façon, des tueurs ont été envoyé pour éliminer le problème — le problème que tant de personnes ont contribué à créer.
Marroquín, qui révélé se révèle être le fils d'Escobar en 2009, dit qu'il a dû pardonner aux membres de sa famille leur implication dans le trafic de drogue. affaires et trahison de son père — mais note que le pardon ne signifie pas oublier ce qui s'est passé.
Mais il a mesuré son point de vue sur l’homme qui a brutalement dirigé l’industrie de la cocaïne.
"Pablo Escobar n'est en aucun cas un modèle", affirme-t-il.
« J'admire Pablo, mon père, qui m'a éduqué. Pas Escobar, le mafieux.
Marroquín a noté que les barons de la drogue comme son père peuvent sembler avoir tout, car leur statut et leur nom attirent l'attention, mais ces gains matériels, en réalité, finissent par prendre le contrôle.
« Plus mon père avait de pouvoir, plus il vivait pauvre. »
L'utilisation de doses complètes d'herbicides homologués pour le maïs est la stratégie qui fonctionne
16 Décembre 2023 Ryan Tipps, AGDAILY*
Ma note : C'est un article écrit pour le compte de Syngenta, mais il comporte des éléments importants.
Une dose complète, indiquée sur l'étiquette – en conjonction avec le calendrier – est l'une des choses les plus importantes qu'un producteur puisse faire pour mettre en œuvre un programme d'herbicide qui réussit à garder les rangs propres, à maximiser les rendements et à empêcher les mauvaises herbes de développer une résistance.
La dose d'application est particulièrement importante à une époque où les finances agricoles sont serrées et où les producteurs de maïs se sentent obligés de trouver de nouveaux moyens de réduire les coûts. Des stratégies d'économie malavisées ont eu tendance à utiliser des herbicides moins chers ou à réduire les taux d'application, ce qui peut avoir des conséquences à long terme sur la saison de végétation et la durabilité de la terre.
Les initiés du secteur notent que ces approches peuvent être en partie dues à l'expérience passée et à la difficulté qu'ont les agriculteurs à comprendre comment le paysage a changé. Par exemple, un agriculteur peut avoir réussi à utiliser une dose plus faible d'herbicide pour le maïs il y a seulement cinq ou dix ans, mais il est très probable que les populations de mauvaises herbes étaient alors plus faibles ou que les herbicides semblaient plus efficaces parce que les mauvaises herbes les plus gênantes n'avaient pas encore fait leur apparition dans les champs.
Une dose complète, indiquée sur l'étiquette, appliquée au bon moment, est une étape importante pour les producteurs qui souhaitent maintenir des rangs propres, améliorer les rendements et empêcher la levée des mauvaises herbes.
« Il ne faut pas lésiner sur le contrôle des mauvaises herbes, car les mauvaises herbes non contrôlées produiront des graines. Et si vous ne les contrôlez pas bien, si vous les laissez produire des graines, vous devrez les combattre au moins trois à cinq ans plus tard », a déclaré le Dr Stevan Knezevic, du Département d'Agronomie et d'Horticulture de l'Université de Nebraska-Lincoln. « Je ne recommanderais pas de réduire les doses. »
La réduction des doses d'herbicides est une mauvaise idée pour de multiples raisons et, dans tous les cas, il n'y a pas d'avantages financiers à long terme qui justifient l'utilisation d'une dose partielle.
Tout d'abord, l'utilisation d'une dose complète d'herbicide pour le maïs signifie que le producteur bénéficie de la durée totale de l'activité résiduelle, qui est de quatre à six semaines pour de nombreux produits, alors que pour les technologies les plus récentes, comme l'herbicide Storen™ de Syngenta, cette durée peut atteindre neuf semaines.1
M. Knezevic, dont les recherches comprennent l'analyse de données sur les périodes critiques de contrôle des mauvaises herbes, a également déclaré que la réduction de la dose indiquée sur l'étiquette signifie que les producteurs courent le risque de ne pas tuer les mauvaises herbes et pourraient par inadvertance encourager un changement de population vers des espèces ou des biotypes de mauvaises herbes plus résistants.
« Vous handicapez [la mauvaise herbe]. Et faute d'un meilleur terme, vous n'avez qu'un contrôle partiel, et ces plantes peuvent survivre », a-t-il expliqué.
Chaque fois qu'une mauvaise herbe peut se développer après l'application d'un herbicide, une descendance résistante à l'herbicide devient possible. L'industrie a constaté ce phénomène avec le glyphosate, qui a été utilisé pendant de nombreuses années à toutes sortes de doses différentes. L'émergence de mauvaises herbes résistantes en a été le résultat malheureux.
M. Shawn Hock, chef de produit chez Syngenta pour les herbicides destinés au maïs, explique que lorsqu'il est contacté par un agriculteur qui n'est pas satisfait de l'efficacité du contrôle des mauvaises herbes, l'une des questions qu'il lui pose est la suivante : « Quelle dose avez-vous utilisée ? »
C'est tellement simple, mais c'est essentiel pour comprendre où se situent les lacunes d'un programme de lutte contre les mauvaises herbes.
« C'est souvent l'une des premières choses que je dois surmonter avec les producteurs, pour leur montrer que l'utilisation d'une dose complète, indiquée sur l'étiquette, permet d'obtenir le contrôle des mauvaises herbes qu'ils souhaitent », a déclaré M. Hock. « Chaque année est différente. Certaines années, une dose de deux tiers peut sembler être une dose complète dans le champ, mais ce n'est pas le cas lors d'une année plus difficile. Comme on ne sait pas quel type d'année on va avoir avant d'implanter la culture ou de pulvériser l'herbicide, le mieux est d'utiliser une dose complète dès le départ pour obtenir les meilleurs résultats. »
Les ingrédients actifs de Storen sont la bicyclopyrone pour le brûlage et le contrôle résiduel des dicotylédones et des graminées annuelles dans le maïs, la mésotrione pour le brûlage et le contrôle résiduel des dicotylédones, le S-métolachlore pour le contrôle résiduel des graminées annuelles et des dicotylédones à petites graines, et le pyroxasulfone pour le contrôle résiduel des graminées annuelles et des dicotylédones.
« Lorsque vous mettez ensemble quatre des meilleures matières actives à effet résiduel qui contrôlent les mauvaises herbes sujettes à la résistance, il n'est pas étonnant que nous observions un niveau de contrôle plus élevé avec Storen, lorsqu'il est utilisé à la pleine dose indiquée sur l'étiquette, que n'importe quel autre produit. C'est de loin l'herbicide résiduel le plus impressionnant dans nos essais d'herbicides pour le maïs », a déclaré M. Brett Miller, responsable régional du développement sur le terrain pour Syngenta Crop Protection.
Ce qui nous amène à l'autre raison majeure de l'utilisation de doses complètes d'herbicides homologués pour le maïs : l'optimisation du rendement.
Les doses plus élevées d'un produit de pré-émergence moderne tel que Storen présentent des avantages impressionnants en termes de rendement, explique M. Chris Munsterman, représentant du service agronomique de Syngenta. Les essais indiquent un avantage de rendement de 4 à 5 boisseaux par an [2,7 à 3,4 quintaux/hectare]2 pour les producteurs de maïs utilisant Storen, qui a été testé dans des régions où l'amarante de Palmer et l'amarante tuberculée sont particulièrement difficiles à combattre.
« Si vous n'en utilisez qu'un tout petit peu, cela n'ajoute aucun avantage à l'herbicide, si ce n'est d'exposer les mauvaises herbes à une dose sublétale, ce qui sélectionne en fait la résistance », a déclaré M. Munsterman.
En outre, l'amarante de Palmer et l'amarante tuberculée sont des espèces dioïques, ce qui signifie qu'il y a des plantes mâles et femelles. Ainsi, lorsque la pollinisation a lieu entre des plantes mâles et femelles distinctes, il se produit une hybridation qui rend ces plantes propices au développement d'une résistance.
Pour résoudre ce genre de problèmes, M. Munsterman explique que ses collègues et lui parlent beaucoup de résidus qui se chevauchent. Alors que Storen, par exemple, utiliserait 2,4 quarts par saison [5,6 litres/hectare], M. Munsterman a déclaré qu'il recommandait souvent d'utiliser 1,6 quart [3,75 L/ha lors du premier passage au moment de la plantation, puis de revenir 21 jours plus tard avec 0,8 quart [1,9 L/ha] pour chevaucher cette quantité résiduelle et recharger le taux d'herbicide dans le sol.
Dans les régions où l'amarante de Palmer est trop active, les mauvaises herbes métabolisent facilement les herbicides de post-levée –elles les « mangent comme Pac-Man », illustre M. Munsterman. Lorsque les mauvaises herbes atteignent une certaine taille, elles deviennent beaucoup plus difficiles à contrôler. En arrêtant les mauvaises herbes avant qu'elles ne se développent, on réduit la concurrence pour l'eau, l'azote, la lumière, l'espace et d'autres ressources au fur et à mesure que leaplante de maïs grandit.
« Il y a une pénalité de rendement d'environ 2 % pour chaque stade de feuille de maïs de retard dans le contrôle », a déclaré M. Knezevic.
Une application d'herbicide à pleine dose empêche les mauvaises herbes de pousser et permet aux cultures de se développer plus rapidement.
« Vous voulez un herbicide qui fonctionne dans tous les champs et à toutes les périodes de végétation », a déclaré M. Hock.
Et dans un réseau biologique de mauvaises herbes où la résistance est le gène dominant et se transmet facilement à la descendance, il devient de plus en plus vital d'utiliser des doses complètes d'herbicides pour le maïs qui empêchent la résistance de se multiplier dans l'exploitation pour les années à venir.
Un système semblable à une tempête tropicale va frapper la côte Est
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 16 DÉCEMBRE 2023 - 13:35
La saison des ouragans s'est terminée il y a deux semaines, mais les météorologues de X prévoient le développement d'une forte zone de dépression dans le golfe du Mexique ce week-end qui soulèvera la côte est avec des vents violents, des pluies torrentielles et de violents orages.
La trajectoire de la tempête pourrait être parallèle à l'Interstate 95 ce week-end, provoquant des perturbations de la circulation dans des millions de personnes dans les grandes villes de la côte Est - à un moment où l'AAA appelle à une saison de voyages de Noël chargée. La plupart des perturbations sont attendues entre dimanche et lundi.
Les météorologues s'attendent à ce que les conditions de tempête arrivent tard samedi en Floride, en Géorgie, dans les Carolines et même dans la région du centre de l'Atlantique dimanche et lundi.
Dernier radar du futur GFS/EURO. La dépression du golfe se dirige vers la Floride, augmentant les pluies/tempêtes. Puis direction les États de la côte Est avec le même. https://t.co/Hk3pbO7x8H pic.twitter.com/oQgaMaVodQ – Page météo de Mike (@tropicalupdate) 15 décembre 2023
Durant les conditions El Niño, les tempêtes de type cyclone venant du sud du pays ne sont pas rares.
Puisque cela me rappelle un peu le Blizzard de 1993 en termes de piste, mais sans l'air FROID, les chutes de neige épiques, les rafales d'ouragan et la basse pression de 960 Mo qu'il finirait par posséder, il y a eu un événement météorologique GRAVE robuste alors que la dépression de surface en développement traversait Floride. Nous… pic.twitter.com/CEsP3ZJfMc – Jim Cantore (@JimCantore) 15 décembre 2023
En savoir plus sur les tempêtes provoquées par El Niño.
J'ai déjà publié ces graphiques. Un fort phénomène El Nino et la Floride entraînent historiquement davantage d'inondations et de tempêtes plus violentes en automne et en hiver. J'ai déjà fait quelques tours cette saison. Cette dépression du Golfe soulève des questions sur sa gravité réelle pour samedi soir et la nuit. En le surveillant de près… pic.twitter.com/RTyUSe7Z2h – Page météo de Mike (@tropicalupdate) 15 décembre 2023
La domination de l'Occident, qui dure depuis 500 ans, touche à sa fin, prévient le ministre russe des Affaires étrangères
15/12/2023 Cassie B.
Le ministre russe des Affaires étrangères a récemment exprimé un sentiment qui a pesé sur l’esprit de nombreux pays occidentaux ces dernières années : les 500 ans de domination occidentale sur la scène mondiale touchent à leur fin brutale.
S'adressant au Forum de Doha dans un discours vidéo, Sergueï Lavrov a expliqué qu'il n'était pas en mesure d'assister personnellement à l'événement et d'entendre les discussions : « Mais je suppose que vous parliez du monde multipolaire, qui émerge après 500 ans de domination de ce qui nous appelons « l’Occident collectif ».
Lavrov a déclaré que les BRICS, l'ASEAN, l'Union africaine et l'Organisation de coopération de Shanghai, entre autres, constitueront les éléments constitutifs du « nouveau monde polycentrique ».
Il a également critiqué les nations occidentales pour la manière dont elles ont acquis leur domination, affirmant que celle-ci était « fondée sur une histoire diversifiée, notamment sur l’exploitation impitoyable des peuples et des territoires d’autres pays ».
Selon Lavrov, les ennemis de l’Occident ont utilisé les mêmes tactiques pour réduire sa domination.
"Cependant, d'autres pays, utilisant exactement les principes et les instruments de la mondialisation occidentale, ont réussi à battre l'Occident sur leur propre terrain, en construisant leurs économies sur la base de la souveraineté nationale, sur la base d'un équilibre des intérêts avec les autres pays", a-t-il déclaré. dit.
Il a ajouté que l’émergence de nouvelles zones d’influence politique et de croissance financière a transformé l’équilibre des pouvoirs mondial.
Lavrov estime que l’Amérique et ses alliés ont tenté d’arrêter ce type de développement en déplaçant leur attention de la mondialisation vers un « ordre mondial fondé sur des règles » qui a été utilisé pour aider l’Occident à poursuivre ses objectifs.
Cela, dit-il, se voit « dans divers conflits que l'Occident déclenche partout dans le monde », citant l'Ukraine comme exemple. « Tout est bon pour maintenir l'hégémonie. Intervention dans les affaires intérieures, sanctions contre tous les principes de la concurrence, un changement de régime et, bien sûr, des interventions militaires directes, comme nous l’avons vu en Yougoslavie, en Irak, en Libye, en Syrie et ailleurs.
Lavrov a ensuite lancé une autre attaque contre les États-Unis, en demandant : « Existe-t-il un seul endroit où les États-Unis sont intervenus avec la force militaire, où la vie est devenue meilleure ? Je pense que tu connais la réponse."
La guerre en Ukraine est la preuve de l’affaiblissement de la domination occidentale Il ne s’agit pas seulement de l’opinion de quelqu’un qui se considère comme étant du côté des gagnants d’un changement de pouvoir à l’échelle mondiale ; L’ancien Premier ministre britannique Tony Blair a également cité la guerre en Ukraine comme une preuve de l’affaiblissement de la domination occidentale. Il a déclaré que le monde entrait dans un tournant dans lequel l’Occident se retrouvait du côté des perdants alors que la Chine s’approchait du statut de superpuissance en collaboration avec la Russie.
Dans une conférence qu'il a donnée à Londres l'année dernière, il a déclaré : « Nous arrivons à la fin de la domination politique et économique occidentale. »
"Le monde sera au moins bipolaire et peut-être multipolaire", a-t-il ajouté. "Le plus grand changement géopolitique de ce siècle viendra de la Chine et non de la Russie."
Avec l’économie chinoise qui devrait prendre le pas sur celle des États-Unis d’ici une décennie et ses efforts de premier plan dans des domaines tels que la médecine régénérative et l’intelligence artificielle, le pays est devenu un véritable prétendant au titre de première superpuissance mondiale, selon l’estimation de Blair.
"La place de la Chine en tant que superpuissance est naturelle et justifiée. Ce n'est pas l'Union soviétique", a-t-il déclaré.
Cependant, Blair a averti que l’Occident devait prendre des mesures pour empêcher la Chine de le dépasser en termes de puissance militaire. Il a déclaré : « Nous devrions augmenter les dépenses de défense et maintenir la supériorité militaire », ajoutant que l'Amérique et ses alliés « devraient être suffisamment supérieurs pour parer à toute éventualité ou type de conflit et dans tous les domaines ».
Ces trois expériences scientifiques confirment la récupération massive de l'or et la pureté des Goldbacks
15/12/2023 Ethan Huff
Récemment, le Health Ranger a décidé de mener une série d'expériences en laboratoire sur les Goldbacks pour déterminer s'ils contiennent réellement ou non les quantités d'or indiquées sur leurs dénominations respectives. Il a finalement vérifié que oui, et a présenté les résultats dans la vidéo suivante.
Les trois tests scientifiques menés par le Health Ranger afin de vérifier la légitimité des Goldbacks sont les suivants :
1) Une extraction au four en deux phases (fusion) combinée à une balance analytique précise et une analyse gravimétrique (pesée) de l'or.
2) Une analyse élémentaire ICP-MS de l'or extrait à l'aide d'un équipement de spectroscopie de masse Agilent (ICP-MS) dans un laboratoire accrédité ISO.
3) Un test d'acide et de pierre d'or disponible dans le commerce, souvent utilisé par les marchands d'or, pour étudier la composition en 24 carats de l'or récupéré.
Pour rappel, les Goldbacks sont une forme de valeur réelle qui implique un billet au design complexe composé de polymère laminé avec une couche cachée d'or physique 24 carats.
Les billets dorés portent des dénominations de 1, 5, 10, 25 et 50, et chaque « 1 » dans leurs dénominations représente 1/1 000ème d’once troy d’or 24 carats.
Pour lire vous-même l’analyse complète des résultats, assurez-vous de consulter VerifiedGoldbacks.com.
(Connexe : Saviez-vous qu'un certain nombre d'États américains reconnaissent déjà l'or et l'argent comme monnaie légale et sont prêts à commencer à les utiliser comme monnaie saine une fois que le billet de la Réserve fédérale s'effondrera inévitablement ?)
Les Goldbacks ont une valeur réelle ; Les billets de la Réserve fédérale ne sont qu’une monnaie fiduciaire
Contrairement au papier-monnaie auquel la plupart des gens sont habitués, les Goldbacks ne sont pas une monnaie papier. Ils ne peuvent pas être imprimés à volonté pour financer des guerres et manipuler la masse monétaire puisque chacun contient, comme l’a découvert le Health Ranger, au moins la quantité d’or spécifiée, ce qui lui confère une valeur inhérente.
Les billets d'or ne nécessitent aucune « confiance » dans un gouvernement, une institution ou une banque, de la même manière que les dollars, car il existe une quantité fixe d'entre eux et chacun contient de l'or réel à l'intérieur de sa conception.
Si le pays tout entier commençait à utiliser les Goldbacks, l’inflation n’existerait plus car il n’y aurait aucune possibilité de dilution puisque les Goldbacks ne peuvent pas simplement être imprimés ou saisis dans un ordinateur sans limite (en raison de la rareté de l’or).
Jusqu'à présent, le problème avec les Goldbacks est qu'ils ne contiennent peut-être pas réellement la quantité d'or indiquée, c'est pourquoi le Health Ranger a décidé d'extraire et de tester l'or des Goldbacks pour voir s'ils sont vraiment à la hauteur de leur nom.
L'analyse ICP-MS a confirmé que l'or récupéré dans les Goldbacks est pur à plus de 99,99 %, ce qui dépasse les exigences de pureté pour l'or 24 carats. Les autres analyses ont également confirmé que chaque Goldback contient au moins 100 pour cent de la masse d’or ciblée, généralement comprise entre 102 et 107 %.
En d’autres termes, les Goldbacks contiennent encore plus d’or que ce que leur dénomination indique. Et cet or est plus pur que ne l’exigent les normes de 24 carats, ce qui fait des Goldbacks un choix solide et facile pour de l’argent réel qui peut facilement circuler à des fins commerciales.
"Les Goldbacks que nous avons testés contiennent la quantité d'or REQUISE (et un peu plus), et il est confirmé que l'or qu'ils contiennent contient plus de 99,99 % d'or (mieux que la composition minimale requise en or 24 carats)", explique VerifiedGoldbacks.com.
"À notre connaissance, personne d'autre n'a soumis les Goldbacks à ce niveau de surveillance. Heureusement, nous possédons un laboratoire de spécifications de masse accrédité ISO, nous possédons donc des instruments ICP-MS, des balances analytiques, des équipements de manipulation d'acides (tels que des sorbonnes) et d'autres équipements de laboratoire qui rendent ces tests très faciles à réaliser.
VerifiedGoldbacks.com est un site affilié pour Goldbacks. Sans frais supplémentaires pour le client, cet éditeur gagne un petit pourcentage d'affiliation sur chaque vente via VerifiedGoldbacks.com, qui aide à financer cette plateforme, le laboratoire scientifique et les tests en cours des goldbacks qui nécessitent leur destruction au cours du processus.
La tyrannie climatique, une tactique de subversion de la Chine communiste pour rendre l’Amérique « accro aux technologies vertes »
15/12/2023 Ethan Huff
D’ici 2049, la Chine communiste prévoit d’avoir déjà pris le dessus sur les États-Unis et de devenir la puissance dominante du monde. Et le régime dictatorial y parvient effectivement grâce à la tyrannie des « technologies vertes ».
Tout le brouhaha dont nous entendons toujours parler concernant les combustibles « fossiles » terrestres qui « polluent » la planète avec du gaz carbonique et d’autres « gaz à effet de serre » est une farce conçue pour aspirer l’Amérique à sec économiquement et faire passer le statut de superpuissance à Big Red. (Chine).
La Chine a déjà réussi à rendre les États-Unis « accros aux technologies vertes », selon les termes d’un média. Les analystes sont convaincus que tout ce qui se passe actuellement au nom de l’arrêt du réchauffement climatique n’est qu’une ruse visant à détruire les États-Unis et à élever la Chine communiste sur la scène mondiale.
« Le régime communiste chinois a élaboré une stratégie visant à prendre le contrôle des États-Unis en tant que puissance dominante du monde d'ici 2049 », rapporte Epoch Times. "Pendant ce temps, les Etats-Unis réduisent leur sécurité nationale en se rendant volontairement plus dépendants de 'l'énergie verte' que domine la Chine, affirment les analystes."
(Connexe : Saviez-vous que la plupart des soi-disant projets de « compensation » carbone sont de véritables arnaques ?)
Une escroquerie verte transférant la domination mondiale des États-Unis à la Chine
Selon Steve Malloy, juriste principal à l'Institut juridique de l'énergie et de l'environnement, la Chine est en train de subvertir activement les États-Unis avec une tyrannie de l'arnaque « verte » pour s'enrichir aux dépens de l'Amérique.
« La Chine utilise le climat pour renverser les États-Unis », a déclaré Malloy dans l'émission « American Thought Leaders » d'Epoch TV. "La Chine a rendu les États-Unis et l'Europe occidentale, et en réalité tous les pays développés, accros aux technologies vertes."
Les technologies énergétiques dites « alternatives » ou « renouvelables », comme ils les appellent, sont des noms de code pour les industries sous contrôle chinois qui contrôlent les « ingrédients » ou les pièces nécessaires à la production de tout, des éoliennes aux panneaux solaires en passant par les véhicules électriques (VE). , qui nécessitent des minéraux de terres rares comme le graphite pour être produits.
La Chine est de loin le premier fournisseur et transformateur mondial de nombreux matériaux nécessaires à la technologie verte, ce qui signifie que les États-Unis sont en déclin économiquement et du point de vue de l'indépendance énergétique, tandis que la plus grande dictature communiste du monde s'élève au sommet.
"Je pense que leur stratégie consiste à rendre le monde occidental dépendant de la Chine pour la technologie", a ajouté Malloy. "C'est un combat sans combat."
Un exemple partagé par Malloy concernait l’utilisation de minéraux de terres rares, qui comprennent 17 éléments différents sur lesquels la Chine détient un monopole quasi mondial.
"Et toutes ces terres rares entrent dans la technologie éolienne et solaire, les véhicules électriques, ainsi que nos téléphones portables et nos ordinateurs", a déclaré Malloy. "Le monde entier dépend réellement de la Chine pour cela."
Il s’avère que les minéraux dits de terres rares ne sont pas techniquement rares en termes d’approvisionnement quelque part sur terre. C’est juste qu’aux États-Unis, les terres rares ne sont pas tellement exploitées, ce qui signifie qu’elles doivent être fournies par la Chine et d’autres pays.
L'United States Geological Survey (USGS) décrit les terres rares, comme on les appelle aussi, comme étant « relativement abondantes ».
"C'est juste qu'ils sont présents dans le sol à de très faibles concentrations", a expliqué Malloy. "Donc tu dois démonter le mien pour faire ça."
Malloy estime que l'une des raisons pour lesquelles l'Occident a pratiquement cessé toute exploitation minière de terres rares à l'ère moderne est la pression environnementale imposée par l'exploitation minière à ciel ouvert.
"Mais vous pouvez démanteler les mines en Chine", a expliqué Malloy, soulignant que les lois de protection de l'environnement de la Chine communiste sont fondamentalement inexistantes. "Ils n'ont pas de réglementation environnementale. La Chine s'est donc portée volontaire pour le faire."
Les dernières données compilées par l’USGS révèlent que la Chine représente environ 70 % de l’ensemble de l’exploitation minière et de la production mondiale de minéraux de terres rares.
Les dernières nouvelles sur l’implication de la Chine communiste dans la direction du mouvement de la tyrannie verte peuvent être trouvées sur GreenTyranny.news.
ÉMIRATS ARABES UNIS. s’associe à la société nucléaire de Bill Gates pour construire des RÉACTEURS NUCLÉAIRES AVANCÉS
15/12/2023 Laura Harris
Les Émirats arabes unis ont signé un accord avec la société nucléaire de Bill Gates, TerraPower, pour explorer le développement potentiel de réacteurs nucléaires avancés dans cet État du Golfe. Lors de la conférence sur le climat COP28 des Nations Unies à Dubaï le 4 décembre, Mohamed al-Hammadi, PDG de la société gouvernementale Emirates Nuclear Energy Corporation (ENEC), a déclaré que les Émirats arabes unis est déterminé à faire progresser sa capacité en matière d’énergie nucléaire.
"Pour les Émirats arabes unis, nous recherchons un avenir pour les électrons et les molécules propres qui seront concrétisés par des réacteurs avancés", a déclaré Al-Hammadi lors de la cérémonie de signature avec le président-directeur général de TerraPower, Chris Levesque. (Connexe : De nombreux pays investissent dans la production d’énergie nucléaire tandis que l’Amérique LANGUE à la recherche d’énergies renouvelables moins performantes.)
Pour sa part, Lévesque a déclaré que « la mise sur le marché de technologies nucléaires avancées est essentielle pour atteindre les objectifs mondiaux de décarbonation ». En d’autres termes, le partenariat vise à faire progresser la recherche et le développement dans le domaine de l’énergie nucléaire afin d’ouvrir la voie à des solutions de pointe dans la lutte contre le soi-disant changement climatique.
Les E.A.U. ne dispose actuellement que d’une seule centrale nucléaire traditionnelle située près d’Abu Dhabi. Elle a commencé à produire de l’électricité pour cet État du Golfe, largement dépendant du pétrole, en 2020.
Pendant ce temps, TerraPower prépare un projet de démonstration pour son réacteur avancé Natrium dans le Wyoming qui, espère-t-il, sera pleinement opérationnel d'ici 2030.
ÉMIRATS ARABES UNIS. espère que la recherche sur les réacteurs nucléaires avancés pourra contribuer à atteindre ses objectifs en matière d'énergie verte Les réacteurs avancés des Émirats arabes unis. que l'on espère construire avec l'aide de TerraPower sont censées être plus petites, plus faciles à construire et plus dynamiques que les centrales nucléaires traditionnelles. Les organisations et les nations qui s’appuient davantage sur des sources d’énergie dites propres considèrent l’utilisation de réacteurs avancés comme un complément stable et vital à l’intermittence à laquelle on peut s’attendre de l’énergie éolienne et solaire.
Dans le protocole d'accord signé entre ENEC et TerraPower, les deux sociétés exploreraient les utilisations des réacteurs nucléaires avancés, telles que le stockage de l'électricité sur le réseau et la fourniture de l'énergie nécessaire pour produire de l'hydrogène et décarboner les usines de charbon, d'acier et d'aluminium.
Abu Dhabi continue également d'investir dans d'autres sources d'énergie renouvelables. L’État du Golfe a signé plus tôt cette année un accord énergétique avec la Malaisie et s’associe à l’Égypte pour construire le plus grand parc éolien d’Afrique, qui devrait déplacer près de 24 millions de tonnes de dioxyde de carbone.
Les E.A.U. s'associe également à un autre État du Golfe et à un proche allié, l'Arabie saoudite, pour rechercher de nouveaux investissements dans des projets d'énergie verte, y compris le nucléaire.
Et tandis que les Émirats arabes unis. explore les possibilités associées à l'énergie nucléaire et investit dans le développement de sa base d'énergies renouvelables, la BBC a noté qu'Abou Dhabi a également profité de la COP28 sur son propre territoire pour conclure des accords pétroliers bilatéraux avec des gouvernements étrangers.
En mars, les Émirats arabes unis. a signé un accord pour fournir 65 000 tonnes de gaz naturel liquéfié à la Chine, un accord remarquable car il évite le dollar américain pour le règlement de l'accord et utilise à la place le yuan ou le renminbi chinois.
Apprenez-en davantage sur la production d’énergie renouvelable et nucléaire sur EnergySupply.news.
Regardez ce clip de "Secret Harbor Sessions" pendant que Tony Lambert discute d'un type de technologie d'énergie propre que le monde a supprimé.
Cette vidéo provient de la chaîne Secret Harbour Sessions sur Brighteon.com.
La centrale nucléaire chinoise de 4e génération est désormais ENTIÈREMENT OPÉRATIONNELLE.
La guerre au Moyen-Orient deviendra obsolète une fois que les réactions nucléaires à faible énergie pourront se développer, fournissant au monde une énergie à faible coût.
L’économie allemande s’effondre après que le pays a abandonné l’énergie nucléaire – les prix montent en flèche, les industries implosent.
Percée en matière d'énergie propre : le microréacteur nucléaire eVinci de Westinghouse reçoit un contrat du DOE.
John Kerry admet que l’ÉNERGIE NUCLÉAIRE est nécessaire, mais continue de promouvoir l’énergie éolienne et solaire.
L’avenir de l’Union européenne, vraiment ? (Partie 1)
Olivier Frot pour France-Soir le 14 décembre 2023 - 21:15
L'Europe : bientôt un État autoritaire sous domination germanique ? Et si le rideau de fer était déjà tombé ?
TRIBUNE - Une personne âgée vit dans sa petite maison de famille dont elle est propriétaire, dans un village français. Une loi décidée par le gouvernement de l’Europe impose la rénovation énergétique après un contrôle obligatoire, aux frais du propriétaire. Disposant d’une petite pension de réversion, n’ayant pas connaissance de ce texte, la dame n’entreprend aucun contrôle ni travaux. Ses faibles revenus l’empêchent de se chauffer correctement pendant l‘hiver. Commanditée par l’administration pour des contrôles aléatoires, une équipe d’inspecteurs lui rend visite. Méfiante, elle leur refuse l’entrée de son domicile. Résultat : 5 000 euros d’amende pour non-respect de l’ordonnance sur les contrôles aléatoires des autorités, assortie d’une injonction de faire réaliser des travaux d’isolation du plafond de l’étage supérieur sous peine d’une amende de 50 000 euros…
Cela paraît fou, mais cela existe déjà en Allemagne : et demain pourrait être décidé par l’Europe sans que la France puisse s’y opposer.
La règle de l’unanimité et la majorité qualifiée
La “construction européenne” est, selon ses termes mêmes, “sui generis”, c’est-à-dire sans aucune autre organisation comparable. Mettant en avant des prétendues valeurs démocratiques, cette organisation se caractérise au contraire par la confusion des pouvoirs aux mains de technocrates non élus (la Commission) et un Parlement dont on peine à comprendre l’utilité réelle, dans la mesure où il n’a pas l’initiative des lois et où des partis apparemment de sensibilité différente votent le plus souvent dans le même sens (PPE, socialistes, Verts, libéraux…). Le Conseil européen, composé des chefs d’États ou de gouvernement, détient la compétence décisionnaire, soumise à la règle de l’unanimité. Certains domaines sont soumis à la décision de la majorité qualifiée : aujourd’hui, ils concernent la politique agricole commune, certaines politiques économiques et financières, la politique de la concurrence, l’environnement et certaines politiques sociales. Le vote à la majorité qualifiée est un système de voix pondéré : chaque membre se voit attribuer un certain nombre de voix en fonction de sa population, avec, au minimum, trois voix pour les pays les moins peuplés. La majorité qualifiée représente au moins 55 % des voix des États membres représentant au moins 65 % de la population de l’UE. De plus, la décision doit être soutenue par au moins quatorze pays. Ce système est supposé faciliter les décisions en évitant le blocage par le veto d’un pays.
Une réflexion à propos de l’avenir de l’Europe s’est tenue en 2022, présidée par le député européen belge Guy Verhofstadt, les propositions ayant été élaborées par des “panels de citoyens européens”, déposées sur la plateforme en ligne de la conférence.
Ces propositions ont été reprises dans un récent rapport présenté par Guy Verhofstadtet quatre autres députés, tous allemands, membres de la commission des affaires constitutionnelles du Parlement européen (PE).
Les perspectives annoncées, outre l’extension des décisions à la majorité qualifiée dans de nombreux nouveaux domaines, verraient la transformation de la Commission en un gouvernement, dont le président serait élu et choisirait ses commissaires. Ainsi, des domaines relevant encore de la compétence exclusive des États membres seraient remontés au niveau de l’UE. On trouve dans le rapport “les menaces sanitaires transfrontalières, y compris la santé et les droits sexuels et génésiques, la protection civile, l’industrie et l’éducation”. Mais également qu’il “faudrait développer davantage les compétences partagées dans les domaines de l’énergie, des affaires étrangères, de la sécurité extérieure et de la défense, de la politique des frontières extérieures et des infrastructures transfrontières”. De plus, un nouveau cycle d’élargissement serait initié, sans droit de veto possible, avec de nouveaux candidats tels que la Macédoine du Nord, le Kosovo (que pourtant cinq pays — Espagne, Grèce, Roumanie, Slovaquie, Chypre — de l’UE n’ont pas reconnu en tant qu’État), ou encore la Moldavie, l’Albanie, la Géorgie et… l’Ukraine.
Le Parlement européen a récemment voté en faveur de ces propositions visant à modifier les traités pour étendre les décisions relevant de la majorité qualifiée au détriment de l’unanimité et pour conférer au Parlement un rôle accru et notamment un droit d’initiative législative, ce droit relevant actuellement de la seule Commission…
… et un Etat européen obsédé par le contrôle
Une telle modification des traités reviendrait à entériner la constitution d’un État européen, de nature fédérale dans les termes, mais plutôt jacobin, centralisé si l’on prend l’ensemble des compétences transférées. Un État autoritaire, sous une direction de fait, allemande, visant à tout contrôler en allant encore plus loin que la politique de censure récemment mise en place avec le Digital Service Act (DSA), initié par Thierry Breton, tout cela, bien évidemment, en mettant en avant de bons sentiments et des principes, maintenant habituels, d’inclusion, de développement durable, d’Etat de droit…
Il convient de noter que l’Assemblée nationale a voté une résolution validant ce processus. Le rapport a été présenté par le député Jean-Louis Bourlanges (Modem). Cette résolution a été votée par 123 votants, pour 118 suffrages exprimés dont 72 pour (Renaissance et le centre, deux socialistes présents), et 40 contre (essentiellement RN et LFI). Les députés LR présents se sont abstenus. Même si le vote de cette résolution n’a qu’un caractère indicatif et symbolique, on peut s’étonner de la faible participation à ce vote (123 sur 577 députés…) et la facilité avec laquelle un tel bouleversement potentiel a été entériné, dans la plus grande discrétion.
Dévastation de 4e génération : l’Occident a été la cible d’une lâche guerre mentale mondialiste
Par Brandon Smith Alt-Market.us 18 décembre 2023
Lorsque j’ai découvert pour la première fois le concept de guerre de 4e génération, il y a environ 20 ans, j’étudiais les bases de la propagande et son fonctionnement. Bien que la question centrale soit profondément troublante à plusieurs niveaux, je l’ai également trouvée fascinante : la manière dont les gouvernements et les élitistes ont tenté de contrôler les masses tout en essayant d’éviter autant que possible la confrontation directe.
Avec l’avènement de populations civiles armées d’armes de qualité militaire et familiarisées avec l’entraînement requis pour le combat, les groupes élitistes ont réalisé (après la Révolution américaine) que dominer le public avec la puissance militaire n’était plus une valeur sûre. Ils ont dû s’engager dans un nouveau type de guerre en utilisant des attaques psychologiques jusqu’à ce qu’ils puissent affaiblir et désarmer la population. Le nouveau système d’oppression concernait la coercition mentale ; faire croire que l’idéal autoritaire est inévitable.
Une partie de cette stratégie consiste à utiliser un levier économique pour l’ingénierie sociale. Il y a cent ans, il s’agissait plutôt pour les banques de créer une série infinie de mécanismes d’endettement et de contrôler l’émission de devises. Aujourd’hui, les élites du monde des affaires se développent – elles veulent changer la nature même de l’argent grâce aux monnaies numériques des banques centrales (CBDC). Par extension, ils tentent également d’influencer le comportement du public en associant l’idéologie de « justice sociale » à la participation économique via l’ESG.
En d’autres termes, si vous voulez avoir accès au crédit ou à l’argent et avoir la capacité d’être compétitif sur le nouveau marché « inclusif », vous devrez vous plier à la religion éveillée. Si vous refusez, votre accès au commerce pourrait être complètement fermé et vous et votre famille pourriez mourir de faim.
Un facteur plus important dans la guerre mentale, cependant, est le déplacement de la fenêtre d'Overton en transformant les piliers culturels en méchants culturels. Ceci est accompli grâce à la création de la religion de déconstruction, ou ce que nous appelons parfois le « culte du réveil ».
Nommez toute valeur ou principe culturel qui définit le monde occidental, comme la méritocratie, l'indépendance, l'autonomie, la force mentale, la liberté (avec responsabilité), l'héritage du travail acharné et de la famille, la protection des enfants contre les perversions, la discipline plutôt que l'hédonisme, la logique et raisonner sur le fanatisme, la conservation du patrimoine et de l’histoire et, pour beaucoup de gens, les principes du devoir chrétien. Ce sont tous des piliers de notre société que la secte éveillée cherche à détruire. De toutes les manières que je peux imaginer, il s’agit d’une guerre psychologique contre l’Occident, entièrement financée par des milliards de dollars de subventions provenant de groupes de réflexion mondialistes comme la Fondation Ford, la Fondation Rockefeller et l’Open Society Foundation.
Les mondialistes considèrent la manipulation publique et l’ingénierie sociale comme leur droit inné. Ils pensent que c’est leur destin manifeste et suggèrent souvent que l’humanité se décomposerait et s’autodétruirait sans leur influence.
Comme l’a déclaré un jour le célèbre propagandiste Edward Bernays :
« La manipulation consciente et intelligente des habitudes organisées et des opinions des masses est un élément important dans une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme invisible de la société constituent un gouvernement invisible qui est le véritable pouvoir dirigeant de notre pays. …Nous sommes gouvernés, nos esprits sont façonnés, nos goûts formés, nos idées suggérées, en grande partie par des hommes dont nous n’avons jamais entendu parler…
… Dans presque tous les actes de notre vie quotidienne, que ce soit dans le domaine politique ou commercial, dans notre conduite sociale ou notre pensée éthique, nous sommes dominés par un nombre relativement restreint de personnes… qui comprennent les processus mentaux et les modèles sociaux des masses. . Ce sont eux qui tirent les ficelles qui contrôlent l’esprit du public.
Pour des hommes comme Bernays, le but des opérations psychologiques était davantage de maintenir un certain statu quo, avec les puissants de l’establishment fermement aux commandes mais à l’abri autant que possible de la vue (et de la colère) du public. La méthodologie du « gouvernement fantôme » a été construite à l’époque de Bernays. Cependant, ce qui a commencé comme une tactique visant à maintenir la population dans l’ignorance est désormais devenu une stratégie pour lui faire la guerre. La 4e génération de guerre est née du bourbier de la gestion de la perception du public.
Mais vous pourriez vous demander comment nous pouvons être attaqués sans soldats, sans armes, sans bombes, sans chars ou sans drones ? Cela ne semble-t-il pas un peu paranoïaque ?
Dans un document interne autrefois obscur de l’armée américaine intitulé « From Psyop To Mindwar », la valeur militaire du sabotage par les méthodes de 4e génération est décrite en détail. Le traité expose l’idée d’amener une population cible à s’auto-asservir en sapant ses structures fondamentales par le biais d’une guerre psychologique. Le document a été rédigé en 1980 par le lieutenant-colonel Michael Aquino, un fervent sataniste, et le colonel Paul Vallely, qui deviendra plus tard général.
La théorie d’Aquino était essentiellement que l’armée américaine sous-utilisait les opérations psychologiques comme arrière-plan des opérations cinétiques. Il a fait valoir que les opérations psychologiques pouvaient être utilisées comme arme de première ligne pour détruire une nation ennemie (ou contrôler une population nationale) sans utiliser de munitions standard. Comme le suggère Aquino dans une préface de Mindwar de 2003 :
« Essentiellement, vous submergez votre ennemi d’arguments. Vous prenez le contrôle de tous les moyens par lesquels son gouvernement et sa population traitent l’information pour prendre une décision, et vous l’ajustez pour que cette décision soit prise comme vous le désirez. Tout le monde est heureux, personne n’est blessé ou tué et rien n’est détruit.
La fausse bienveillance derrière cette idée est inquiétante. Croyez-le ou non, il s’agissait d’une tentative d’Aquino d’« adoucir » la perception du public à l’égard du document. Il a déploré la révélation de Mindwar parmi les « cercles du complot » et a passé des décennies à tenter de minimiser le rôle de l’occultisme dans les échelons supérieurs de l’armée et du gouvernement. Tout cela n’était qu’un « gros malentendu » selon le sataniste.
Mindwar tente de se déconnecter de la sombre et sale réputation des efforts de propagande parmi les nazis ou les communistes. La propagande est communément, et à juste titre, associée au mensonge. Aquino admet que les nouvelles opérations psychologiques seront utilisées contre les Américains, et pas seulement contre les ennemis étrangers, mais il affirme cette fois qu’elles utiliseront « la vérité » pour manipuler les masses. Et qui peut dicter la vérité ? Eh bien, des fanatiques satanistes comme Aquino, bien sûr.
L’hypocrisie de Mindwar est évidente dans sa prémisse sous-jacente : que l’establishment fera toujours sa propagande en utilisant la vérité, parce que ce qui est un mensonge aujourd’hui peut devenir une vérité demain. Comme le note Aquino :
« Contrairement aux PSYOP, MindWar n’a rien à voir avec la tromperie ou même avec la vérité « sélectionnée » – et donc trompeuse. Il énonce plutôt toute une vérité qui, si elle n’existe pas maintenant, sera forcée à exister par la volonté des États-Unis.»
Mindwar en tant que document est en soi un morceau de propagande qui ne peut s’empêcher de déformer la réalité pour justifier la vision d’hommes qui recherchent le pouvoir par-dessus tout. Je vous invite à lire l'article (lien ci-dessus) ; presque tous les concepts qui y sont décrits sont aujourd’hui utilisés contre le peuple américain et le public occidental. Les arguments tordus avancés dans Mindwar sont exactement les mêmes que ceux utilisés par les gouvernements actuels pour justifier la propagande étatique et la censure massive des opinions opposées comme étant essentielles à la sécurité et au bien commun.
La clé pour comprendre la situation est d’accepter qu’une guerre soit imminente. Woke est une opération psychologique conçue par les mondialistes, et elle se bat actuellement pour devenir le seul et unique système de pensée – un système de pensée moralement relativiste. Pour réussir, elle s’appuie sur une circonstance spécifique : l’idée selon laquelle les hommes occidentaux n’adopteront pas une posture de combat face à une attaque psychologique. Tant que nous continuerons à considérer la guerre uniquement comme un combat armé, nous resterons dociles face à un bombardement culturel plus avancé.
Pour que la guerre de 4e génération prévale, la population cible doit suivre un certain ensemble de règles tandis que l'autre camp opère sans règles. Ils doivent être autorisés à poursuivre la destruction totale contre leur ennemi tandis que l’autre camp est réprimandé pour toute action vaguement défensive, y compris pour s’exprimer. Mais que se passe-t-il lorsque les patriotes ne se soucient plus d’être réprimandés ? Que se passe-t-il lorsque l’optique n’est plus pertinente ? Que se passe-t-il lorsque l’objectif passe de la victoire politique ou dans les débats publics à la victoire dans la conflagration qui se déroule devant nous ?
Lorsque cela se produira, tout changera en Amérique et dans le monde occidental. Le meilleur ou le pire dépendra vraiment de qui restera à reconstruire une fois la fumée dissipée.
Grande manifestation à Karlsruhe : les Droits de l’homme de TOUS les êtres humains plutôt que la privation collective de droits
RépondreSupprimer16.12.2023
www.kla.tv/27704
Et il y a une seule phrase qui m'importe, c'est celle qui se trouve devant vous. Et j'aimerais que vous répétiez cette phrase à tous ceux qui doutent encore. Un État ne doit pas tuer des personnes innocentes. La plupart des gens pensent qu'une telle phrase ne s'applique qu’en temps de guerre ou qu’à la guerre, mais ce n'est pas vrai. Cette phrase s'applique également lorsque l'État oblige les gens à recevoir une substance dans leur corps, alors que même les instituts officiels, comme l'Institut Paul Ehrlich et l'Institut Robert Koch, disent qu'elle peut finir par avoir des effets secondaires mortels. Un État ne doit pas tuer un être humain, un être humain innocent. C'est notre message et portons-le à l'extérieur. Merci beaucoup.
Aujourd'hui, dimanche 10 décembre 2023, à l'occasion de la 75e journée des Droits de l'homme, un événement historique sans précédent et d'une nature très particulière a lieu ici à Karlsruhe.
Dans le cadre d'une grande manifestation avec des rassemblements et un défilé, 599 plaintes pénales sont déposées (dont sept seront ajoutées ultérieurement) auprès du parquet fédéral de Karlsruhe.
Ces plaintes sont dirigées contre les responsables qui se sont engagés pour l'introduction légale d'une vaccination obligatoire dans les professions de santé et chez les membres de l'armée fédérale.
Car l'acceptation de dommages et de décès dus à la vaccination constitue une violation de la Déclaration universelle des droits de l'homme et de l'article 7 du Code pénal international.
Selon l'organisateur, il n'y aura pas de réconciliation tant que les auteurs des mesures illégales de Covid resteront impunis.
Des intervenants réputés et compétents ont été annoncés pour les rassemblements. Leurs interventions souligneront l’ampleur des crimes et la nécessité absolue d'agir.
Tobias Pörsel - Avocat allemand
RépondreSupprimerEn tant que juriste, on a envie de dire, cher procureur, que cela suffit au moins pour un soupçon initial. Et je voudrais également remercier ici les médecins qui ont eu le courage de dire, à l'époque et aujourd'hui, que M. Lauterbach a menti. Et M. Lauterbach n'a pas seulement menti, il a menti en connaissance de cause. Il y a eu et il y a des effets secondaires. Il y a des dommages liés aux vaccins et personne ne pourra plus le nier sérieusement.
Et ceux qui le font veulent se soustraire à leur responsabilité. Et dans un État de droit qui fonctionne, on devrait en fait faire la lumière sur cette question et agir. Et il y a ici quelqu'un, que probablement presque personne ne connaît, qui se promène parfois dans les bus.
Celui qui a affiché cela, il vaut mieux qu'il se présente lui-même, il est parfois un peu timide. Je me permets d'inviter très brièvement Ralf Ludwig à me rejoindre.
Ralf Ludwig - Avocat allemand
Oui, bonjour, merci à tous d'être ici et de soutenir cette cause. J'ai dit en 2021 à Stuttgart, au printemps, que nous allions créer ce centre, que nous ferions le point et que nous ne nous arrêterions pas tant que les responsables des mesures Covid ne seraient pas tenus responsables. Et c'est ce que nous allons commencer à faire aujourd'hui avec les plaintes pénales. Nous avons aujourd'hui de nombreux collègues formidables sur scène, de nombreux juristes qui défendent vos intérêts depuis de nombreuses années, qui vont de tribunal en tribunal depuis de nombreuses années et qui tentent d’une manière ou d’une autre de sauver et de garantir ce qui reste de l'État de droit.
Je remercie vivement ces collègues qui sont ici aujourd'hui sur la scène.
Beaucoup d'entre eux se trouvent également ici, devant la scène, et ont vraiment fait un travail incroyable. Nous avons donc beaucoup, beaucoup de gens formidables et je pense toujours que dans un État où un grand nombre d'avocats se lèvent pour dire que ce qui se passe en ce moment n'est pas normal, il peut y avoir quelque chose qui n'est pas normal. Moi-même, je voudrais rester un peu en retrait aujourd'hui, parce que je pense que le centre d'intérêt aujourd'hui, ce sont les collègues qui se battent depuis des années pour vos droits, pour nos droits, non seulement en Allemagne, mais aussi en Autriche et en Suisse. Et il y a une seule phrase qui m'importe, c'est celle qui se trouve devant vous. Et j'aimerais que vous répétiez cette phrase à tous ceux qui doutent encore. Un État ne doit pas tuer des personnes innocentes. La plupart des gens pensent qu'une telle phrase ne s'applique qu’en temps de guerre ou qu’à la guerre, mais ce n'est pas vrai. Cette phrase s'applique également lorsque l'État oblige les gens à recevoir une substance dans leur corps, alors que même les instituts officiels, comme l'Institut Paul Ehrlich et l'Institut Robert Koch, disent qu'elle peut finir par avoir des effets secondaires mortels. Un État ne doit pas tuer un être humain, un être humain innocent. C'est notre message et portons-le à l'extérieur. Merci beaucoup.
Thomas Seitz - Député au Bundestag (AfD)
RépondreSupprimerNous n'avons pas eu de crise à cause du Covid, mais la crise était la conséquence des mesures Covid.
Ce n'est pas un virus qui a déclenché la véritable crise, mais la politique. Ça a été une période d'état d'urgence juridique, bien que la loi fondamentale ne connaisse absolument pas l'état d'urgence civil pour cause de catastrophes naturelles ou d'épidémies. Alors que les pouvoirs législatif et exécutif se sont surpassés dans les atteintes excessives aux droits fondamentaux, les tribunaux ont presque systématiquement échoué dans leur fonction de gardiens de la liberté et des droits fondamentaux. La justice a donc approuvé tôt ou tard presque toutes les prescriptions juridiques sans les critiquer, alors qu'il n'y avait absolument pas de surmortalité en Allemagne. En tout cas pas avant le début de la campagne de vaccination avec un vaccin qui n'en était pas un, mais une thérapie génique expérimentale. Ma phrase préférée de cette époque dans l'hémicycle du Bundestag allemand est que les « promeneurs-manifestants » défendent l'État de droit et que leur criminalisation est injuste.
Dr. Michael Brunner - Avocat autrichien
À partir de mars 2020, tout ce qui caractérisait jusqu'à présent un État de droit démocratique et qui constituait l'état de la science médicale a été bouleversé. Ceux qui s'y opposaient étaient diffamés, insultés et persécutés. Les médecins ont perdu leur droit d'exercer la médecine, ont été renvoyés de l'université et poursuivis arbitrairement par les autorités disciplinaires des ordres médicaux, en accord avec le pouvoir gouvernemental et les médias achetés, pour finalement les réduire au silence. Ceux qui n’ont pas suivi le narratif et n’ont pas marché à l'unisson avec le courant dominant sont devenus dans le meilleur des cas des marginaux, finalement exclus de la vie publique, calomniés et menacés de mort. Les dommages qui en ont résulté sont énormes. Tous les événements et toutes les injustices doivent être traités et les responsables doivent être tenus pour responsables et rendre des comptes. Les juges et les procureurs critiques en Allemagne ont mis le doigt dessus. L'ordre donné par l'État de vacciner contre le Covid-19 est un homicide volontaire. Il est incompatible avec les droits fondamentaux et les libertés de notre constitution, le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes. Donner des pouvoirs illimités à l'OMS, en cas d'urgence sanitaire mondiale potentielle ou actuelle, des droits de contrôle, de surveillance et de sanction sans possibilité de vérification, sans responsabilité et sans obligation de rendre des comptes, à l’OMS qui n'a été élue démocratiquement par aucun citoyen du monde, à son directeur général, et donc aux élites autoproclamées et arrogantes qui se cachent derrière lui. Ce projet mondialiste, mené par Big Pharma, les multinationales et les élites au pouvoir autocratiques, doit être mis en échec pour préserver la souveraineté des États et pour sauvegarder la souveraineté et l'inviolabilité de la dignité de chaque citoyen.
Claudio Zanetti - Homme politique suisse
RépondreSupprimerNous sommes réunis ici sur la place des droits de l'homme parce qu'aujourd'hui, il y a 75 ans, l'Assemblée générale des Nations unies a adopté la Déclaration des Droits de l'homme. Cela devrait être une raison de se réjouir, car 75 ans est un laps de temps assez important, mais nous devons malheureusement constater que c’était il n’y a même pas encore 100 ans et que ces droits de l'homme sont déjà bafoués. Au tout début de cette Déclaration, l'ONU affirme que tous les êtres humains jouissent, dès leur naissance, des mêmes droits inaliénables et des mêmes libertés fondamentales. La vie, la liberté et la sécurité de la personne, voilà les valeurs dont il est question. Nous reviendrons plus tard sur certaines valeurs, mais le fait est que nous avons les mêmes droits inaliénables et les mêmes libertés fondamentales depuis notre naissance. Et pourquoi avons-nous ces mêmes droits inaliénables et libertés fondamentales ? Parce que nous sommes des êtres humains. Parce que nous sommes des êtres humains, nous avons des droits humains. Il est également dit que tous les êtres humains sont égaux devant la loi et ont droit sans distinction à une protection égale de la part de la loi. Mais vous vous souvenez de ce qu'un homme a dit à la télévision : Celui qui ne suit pas est exclu de la vie sociale.
C'est monstrueux de dire cela. Nous pouvons participer à la vie sociale parce que nous sommes des êtres humains. Pourquoi pouvons-nous participer à la vie sociale ? Exactement. Il y est également dit que personne ne peut être arrêté et détenu arbitrairement. Mais nous constatons que la justice est devenue une arme politique. Pensons à Michael Ballweg, neuf mois de prison et finalement ce n'est même pas suffisant pour un procès.
Dr. Christian Knoche - Avocat allemand
Chers amis, il ne faut pas simplement jeter un voile de silence ou d'oubli sur l'injustice de ces trois dernières années et demie. C'est ce qu'ils aimeraient, ces politiciens à la Scholz qui aiment oublier des choses, les conférences illégales qui rassemblent les présidents des régions. Illégales, car non prévue par la loi fondamentale. Cette vague de criminalisation contre les médecins critiques doit cesser. Je demande donc l'arrêt de toutes les procédures pénales et des amendes, y compris en Allemagne. Plus jamais les années 2020 à 2023 ne doivent se répéter en Allemagne. Plus jamais nous nous opposerons aux commencements et à leurs suites.
C'est ce que nous défendons aujourd'hui à Karlsruhe.
Christian Moser - Avocat allemand
Nous avons appris beaucoup de choses au cours des dernières années. Nous avons appris ce que la peur fait au peuple. Nous avons appris comment la peur peut monter les gens les uns contre les autres et les rendre irréconciliables. Nous avons appris comment une politique de la peur se retourne contre son propre peuple. Et nous avons appris comment la peur a même envoûté la justice. Les victimes de cette politique de la peur n'étaient pas seulement ceux qui critiquaient le gouvernement et qui étaient insultés par ce dernier, maltraités par la police et criminalisés par la justice, mais aussi et surtout les personnes qui, face à la peur, abandonnaient leur volonté de s'affirmer. Nous nous sommes en revanche dressés avec la vérité, non pas avec notre vérité contre celle des autres, mais avec une armée de scientifiques du monde entier, contre une poignée d'experts dont l'opinion ne devait pas être remise en question.
Beate Bahner - Avocate allemande
RépondreSupprimerNous sommes réunis ici à Karlsruhe, dans la soi-disant résidence du droit. Et j'ai donné à mon discours le titre suivant : Là où le droit devient injustice, la résistance devient un devoir. La dignité de l'être humain est inviolable. Ce principe éthique et juridique est intemporel, c’est un principe fondamental. En tant que valeur centrale de la Constitution allemande et en vertu de la clause perpétuelle de la Loi fondamentale, à l'article 79, paragraphe 3 de la Loi fondamentale, la dignité humaine est à jamais absolument inviolable. Le respect de la dignité humaine interdit à l'État de faire de l'homme un simple objet de son action. Mais quand l'État traite-t-il l'homme comme un simple objet ? Lorsqu'il lui dénie le droit de penser par lui-même, d'agir de manière autonome et de décider librement. Lorsque l'État abuse de la confiance de ses citoyens et justifie ses mesures par des hypothèses trompeuses, voire délibérément fausses ; le droit devient alors injustice sur la base de l'affirmation sans scrupules de pandémies par l'OMS, le droit international devient ainsi non seulement une injustice internationale, mais aussi, selon ma grande inquiétude, une terreur pandémique internationale.
Ralf Ludwig - Avocat allemand
Nous voulons une enquête et une remise en ordre. Nous voulons que cette injustice des trois dernières années ne reste pas sans suite, et surtout que les responsables soient vraiment tenus pour responsables. Merci à tous d'être là aujourd'hui, et maintenant je clique sur « envoi du message ».
Dr. Christina Baum – Députée au Bundestag (AfD)
Chers compagnons de lutte, chers amis, c'est merveilleux d'être ici et de vous voir tous.
Vous êtes ceux qui ont contribué à empêcher cette obligation générale de vaccination, même si nous n'avons pas pu empêcher à l'époque l'obligation vaccinale liée aux établissements. Je vous remercie d'être descendus dans la rue et je vous remercie d'être encore là aujourd'hui.
Ralf Ludwig - Avocat allemand
Maintenant nous avons donné un coup d’envoi avec ces plaintes pénales. Maintenant, ça va fonctionner. Nous allons demander des comptes aux personnes qui ont fait cela et je crois que Hubert Aiwanger l'a dit, nous nous réapproprierons notre démocratie. Merci beaucoup d'être là.
Extraits de la conférence de presse qui a eu lieu après la manifestation :
Beate Bahner - Avocate allemande
Nous avons l'obligation pour les États de coopérer et nous avons surtout l'immunité de l'OMS, du Secrétaire général, qui sera pour ainsi dire vraiment seul maître à bord. Aucune possibilité de contrôle, aucune possibilité de vérification juridique et, en fin de compte, il y a l'immunité pénale. Tout cela doit nous préoccuper beaucoup.
Dr. Michael Brunner - Avocat autrichien
RépondreSupprimerNous aurons un mode de crise permanent. Il y aura une situation de pandémie, la situation de pandémie vient du Bundestag allemand, c'est alors une formulation encore plus douce pour une pandémie que la pandémie elle-même dans le RSI ou dans le traité, où on ne travaille ici aussi qu'avec des termes juridiques vagues. Bien sûr, un tel système n'est pas compatible avec les droits de l'homme, il est contraire à la Convention européenne des droits de l'homme, au traité des Nations unies, au pacte social des Nations unies, au traité de l'UE, aux droits de l'homme en général, et surtout à la dignité humaine. C'est pourquoi je suis d'avis, tout comme ma collègue Beate Bahner, qu'un tel ensemble de règles ne peut jamais avoir valeur de norme, car il sape toute dignité humaine.
Claudio Zanetti - Politicien suisse
C'est si simple à dire, une phrase, la dignité de l'homme est inviolable. Mais ce n'est pas pour rien que cette phrase figure en première place de la Loi fondamentale dont tout le monde est si fier. En Allemagne, pour mettre quelqu’un de côté, on dit toujours qu'il quitte le terrain de la Loi fondamentale etc. Mais si un gouvernement dit, oui, maintenant on va en sacrifier 10 pour en sauver 1 000, alors c'est le gouvernement qui a quitté le terrain de la Loi fondamentale. Et c'est sur ce point que nous devons le sanctionner.
Ralf Ludwig - Avocat allemand
Et nous ne devons pas faire la différence entre une vie qui aurait plus de valeur et une vie qui aurait moins de valeur. C'est le fondement de cette plainte pénale. C'est ce qu'a dit notre collègue Claudio Zanetti. L'État ne doit pas tuer un être humain. Pas d’estimation de valeur, c’est la vie. C'est la ligne rouge.
L'État n'a pas le droit de décider qu'il y a des vies de valeur et d'autres qui ne le sont pas.
L'État ne peut pas dire que nous acceptons 0,02% de morts.
de hm
Sources / Liens :
GRANDE MANIFESTATION À KARLSRUHE, dimanche 10 décembre 2023 à partir de 11h, place des droits de l'homme.
www.zaavv.com/de-de/ka1012
https://www.kla.tv/fr
Encore une autre « vérification des faits » erronée sur les données néo-zélandaises
RépondreSupprimerIls ne peuvent pas clarifier leurs faits. Ils ne prennent jamais la peine de vérifier les arguments qu’ils reçoivent s’ils correspondent au récit.
STEVE KIRSCH
17 DÉCEMBRE 2023
Vraiment ? Des nouvelles pour moi. Soyez le juge.
Résumé exécutif
Un autre jour, une autre vérification des faits erronée.
Celui-ci est accompagné d'un bonus sur le professeur Jeffrey Morris. Morris a déclaré au journaliste qu'il était acceptable de télécharger et d'analyser les données néo-zélandaises, mais pas d'en parler.
Je pensais avoir tout entendu, mais c'est nouveau !
OK, donc si aucun scientifique honnête n’est autorisé à parler de ces données, alors comment diable le vérificateur des faits peut-il dire que mon analyse est erronée ??
Un casse-tête, c'est sûr !!!
Alors réfutons d’abord la vérification des faits, puis nous nous amuserons avec le professeur Morris pour le dessert.
Les affirmations de la vérification des faits
La vérification des faits affirme que la raison pour laquelle la mortalité augmente après le tir est que les tirs ont été administrés alors que les décès étaient déficitaires et que les taux de mortalité augmentaient donc.
C’est de la connerie complète. Qu'est-ce que ces gens fument ??? Si seulement je savais !
Les décès tombent chaque mois d’août comme sur des roulettes en Nouvelle-Zélande :
J’ai donc regardé les personnes qui ont reçu le vaccin en août 2021 :
Décès depuis la date d’injection en août 2021. L’axe des X représente le nombre de jours depuis l’injection. l’axe des y représente le nombre de décès au cours de la période. Les frontières sont fermées, pas de COVID et tout effet HVE temporel qui pourrait exister disparaît après la première mesure ici (le premier mois).
Le taux de mortalité a grimpé de 43 % alors qu'il aurait dû baisser de 22 %.
Pas besoin de calculatrice pour celui-là.
RépondreSupprimerJ’ai entendu des gens essayer d’affirmer qu’il s’agissait d’un « HVE temporaire », ou qu’il s’agissait de décès dus au COVID, ou encore du fait qu’on avait vacciné « les personnes fragiles et âgées d’abord ». Il n’y a pas eu de COVID pendant cette période, les frontières étaient fermées et le HVE temporel ne dure jamais plus de 21 jours (et ces données montrent qu’il a disparu au bout de 2 semaines parce que la Nouvelle-Zélande a essentiellement essayé de vacciner tous ceux qui étaient encore en vie parce que « sur le point de mourir ». » étaient considérées comme une menace pour les vivants). Et les « personnes fragiles et âgées » sont complètement fausses parce que ces personnes meurent comme tout le monde : tout groupe fixe de personnes, quel que soit leur âge, mourra à un rythme progressivement plus faible au fil du temps (si rien ne se passe en arrière-plan).
Alors ils s’accrochent à des brins de paille. Cela montre à quel point ils sont désespérés de proposer des explications qui ne correspondent tout simplement pas et n’ont aucun fondement probant.
Cette « vérification des faits » repose donc sur un argument agitant la main sans aucune preuve. Êtes-vous surpris? Ces gens ne prennent jamais la peine de vérifier ce qu’on leur dit. Ils le mangent simplement à l'hameçon, à la ligne et au plomb.
Alors maintenant, vous savez pourquoi je ne trouve personne qualifié pour analyser des données de ce type pour me défier en tête-à-tête sur les données : ces données sont DÉVASTANTES. Ce n'était qu'un petit exemple.
Qui est qualifié pour analyser ces données ?
Apparemment, très peu de gens savent comment procéder correctement.
Je vois des tentatives très boiteuses d'analyser ces données de la part de nombreuses personnes.
Il y a un fil conducteur : chacun lance sa propre méthode !!!! As-tu remarqué? Chacun dit qu’il est l’expert, mais chacun a une méthode différente.
WTF !?!? Allez. Il existe de bonnes façons connues d’analyser ces données, notamment :
série chronologique de cohorte
tracer le temps entre chaque tir et la mort (stratification de l'âge pour un crédit supplémentaire)
faire des tracés triangulaires de tous les décès en utilisant des nombres (pas des points)
Beaucoup de gens abandonnent ces méthodes éprouvées. Ou bien ils les exécutent avec négligence, comme William Briggs l’a fait avec ses intrigues triangulaires.
RépondreSupprimerSeuls quelques-uns y parviennent et peuvent analyser les données et interpréter correctement les résultats. Mais ces analyses ne sont pas encore sorties car elles prennent du temps car les gens qui les font sont prudents.
L’une des raisons pour lesquelles cela est difficile est que personne n’a jamais vu de telles données auparavant. C’est toujours caché. Et les personnes ayant accès aux données dans le cadre de leur travail quotidien sont priées de ne trouver aucun signal de sécurité. C’est donc apparemment un art perdu.
Quiconque prétend être un expert en analyse de données vous dit que vous ne pouvez pas analyser ces données et trouver un signal est soit un imbécile, soit vous égare.
À ce jour, je n’ai pas encore été impressionné par les analyses publiées par des tiers, mais Clare Craig publiera bientôt une analyse qui, je pense, me plaira.
Et maintenant, le dessert…
L'histoire du professeur Jeffrey Morris : a-t-il menti à la presse ou a-t-il été mal cité ?
Avant de rendre publiques les données néo-zélandaises le 30 novembre, j'ai partagé les données avec le professeur Jeffrey Morris pour voir s'il pouvait réfuter mon analyse. En tant que diffuseur professionnel de désinformation comptant des millions de lecteurs dans le monde, je ne peux pas me permettre de commettre des erreurs, surtout sur un sujet aussi important. Je voulais donc voir comment j'allais être attaqué afin de pouvoir défendre mon travail de manière proactive.
Morris a téléchargé les données, puis a écrit du code R pour dupliquer mon analyse de séries chronologiques de cohorte afin de pouvoir comparer ses résultats avec les miens.
Mais le problème est que le journaliste qui vérifie les faits semble penser que Morris n’a pas téléchargé les données parce qu’elles étaient corrompues ! Voici l'extrait :
Quand j'ai lu cela, j'ai contacté Morris et lui ai demandé s'il avait menti au journaliste.
Il a dit que non. Il m'a écrit dans un DM : « « Sa formulation ne reflète pas fidèlement ce que j'ai dit et je lui ai demandé de la corriger. »
Ouah. C’est une énorme erreur d’interprétation de la part d’un journaliste vérifiant les faits.
Morris a réussi à faire corriger IMMÉDIATEMENT l’histoire, un exploit remarquable que je n’ai jamais pu accomplir avec aucun « vérificateur de faits ».
Voici le nouveau texte :
RépondreSupprimerCela déforme encore les faits. Morris a téléchargé et analysé les données.
Vous ne pouvez pas réécrire l’histoire.
La preuve qu'il a téléchargé les données néo-zélandaises
Voici:
« Hé, je viens de te rencontrer… et c'est fou… mais voici mon numéro… Alors appelle-moi, peut-être ?
J'essaie toujours d'amener les gentils gens de Health New Zealand qui ignorent leurs propres données sur la santé à examiner leurs propres données.
J'espérais trouver un fan de Carly Rae Jepsen là-bas, mais jusqu'à présent, pas de chance. Appelle-moi peut-être?
Résumé
Un autre vérificateur de faits mord la poussière. Je dois vraiment parler à l’épidémiologiste de Health New Zealand si nous voulons résoudre ce problème.
J’ai demandé à plusieurs reprises à Health New Zealand de publier l’analyse des données vaccinales par ses épidémiologistes ou de me permettre de discuter avec eux afin qu’ils puissent me dire pourquoi je me suis trompé.
La réponse est toujours le silence.
Je me demande de quoi ils ont peur ? La vérité peut-être ?
https://kirschsubstack.com/p/yet-another-flawed-fact-check-on?utm_source=post-email-title&publication_id=548354&post_id=139827072&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=false&r=9atnc&utm_medium=email
Puis, demain, les 'nouveaux terroristes' seront appelés 'les réseaux sociaux' !
SupprimerBig Ag et Big Pharma sont en baisse
RépondreSupprimerEt pas trop tôt non plus
ELIZABETH NICKSON
17 DÉCEMBRE 2023
On peut soutenir que le mouvement environnemental, financé en grande partie par les WEFers, vise à détourner l’attention de l’empoisonnement systématique de notre nourriture et de notre eau. En mettant de côté la géo-ingénierie, que peu d’agriculteurs pratiquent, la science manipulée qui a accompagné Covid a éveillé les soupçons à l’égard de tous les produits des grandes sociétés pharmaceutiques. Et Big Pharma et Big Ag sont mariés. Le Covid et le vaccin ont tout changé et tout le monde, même ceux qui en ont énormément profité, comme les 0,01 pour cent supérieurs. Naomi Wolf a récemment rendu visite aux habitants de l'Upper East Side et a découvert que les anciens Maîtres de l'Univers ressentaient désormais de la honte, devenaient gris, portaient des pantalons de survêtement et avouaient leurs blessures.
Récemment, le MIT a invité Steve Kirsch à parler aux étudiants des dangers du vaccin Covid, un revirement remarquable. Dans un monde plus sauvage et plus vaste, au début des années 2020, un déplacement vers les zones rurales a eu lieu. Beaucoup ont quitté le monde développé pour s’installer dans un pays en développement plus libre (pour eux). Le principal moteur à droite était la suspicion à l’égard du Covid, du vaccin et de l’autoritarisme soudain manifesté par le gouvernement. Mais la « science » et la propagande de la pandémie étaient si flagrantes, si absurdes, que des soupçons ont émergé dans tout le spectre politique à propos de la nourriture que nous mangeons, de l’eau que nous buvons et des produits pharmaceutiques que nous consommons. Même les vaccins destinés aux enfants connaissent aujourd’hui une moindre utilisation.
En Amérique du Sud et en Amérique centrale, de nouvelles communautés prônent la séparation de la superculture et une alimentation, une eau et un air non empoisonnés. Une communauté créée par un couple autrichien, dans les pâturages paraguayens, imprime ses propres maisons, élève son propre bétail, cultive sa propre nourriture et scolarise ses propres enfants. Une particularité est l'aquifère profond sous leurs pieds et l'absence de survols déversant des métaux en aérosol pour protéger le soleil, comme ils le prétendent. Une vidéo sur la communauté a été vue 400 000 fois dès la première semaine. Le Telegraph a ridiculisé ces communautés qui s'étendent géographiquement de l'Afrique, de l'Asie du Sud-Est, de diverses îles à l'Amérique du Sud et centrale, en les qualifiant d'« anti-vaccins » et d'« extrême droite ». Mais la gauche est encore plus déterminée à vivre « proprement », comme elle l’appelle, et à élever des enfants en liberté, et ses communautés « intentionnelles » poussent comme des champignons aux quatre coins de la planète.
Retour aux sources.
RépondreSupprimerL’alimentation biologique et le secteur élargi des produits naturels constituent la tendance de consommation et de style de vie qui connaît la croissance la plus rapide de l’histoire moderne. Big Ag dépense des millions pour essayer de prouver que ses aliments sont sûrs, mais sans grand succès. Au cours des premiers mois de la pandémie, la demande d’aliments biologiques a augmenté de 50 pour cent. Dans un marché de 290 milliards de dollars (sur un marché de produits alimentaires de 1,3 billion de dollars), c’est un signal sérieux.
De même, l’explosion retentissante d’une propagande qui s’est révélée fausse et destructrice a diminué la « croyance » dans le « changement climatique ». Ici au Canada, où pendant un siècle notre oligopole médiatique a dit à tout le monde quoi penser avec bienveillance et où ils le pensaient docilement, a perdu tellement de lecteurs et d'auditeurs qu'aucune subvention ne peut suivre leurs chiffres défaillants. L’écart entre ceux qui pensent que nous devrions mourir de faim ou geler parce qu’un mythique croque-mitaine de l’air arrive, et ceux qui refusent les sacrifices parce que le dioxyde de carbone, un aliment végétal, est dangereux, est énorme. Trudeau ressemble à un homme mort ambulant et son Parti libéral a perdu 75 pour cent de son soutien. Presque tout le pays en dehors de l’axe Toronto-Ottawa-Montréal s’identifie comme étant d’extrême droite.
La semaine dernière, le groupe Monsanto de Bayer a été condamné à un verdict de 1,5 milliard de dollars dans la dernière affaire Roundup. Peu importe le lobbying de Big Ag (163 millions de dollars par an) et ses relations publiques incessantes, personne ne les croit. Une simple recherche sur Google fait apparaître 1,2 million de contre-arguments liant les produits chimiques agricoles au cancer et à d’autres maladies.
Le gâchis de Covid a obligé les gens à se recentrer sur l’implication des Big Pharma dans les Big Ag. Et pendant qu'on y est, l'eau ? Le fluorure, qui a été déversé dans l'eau de la ville depuis des décennies, est largement soupçonné de provoquer des troubles cognitifs, tandis que l'atrazine, un autre produit chimique agricole présent dans l'eau potable, bisexuelle les poissons, et elle, ainsi que les œstrogènes présents dans l'eau potable, pourraient être responsables de certains (sinon de la totalité) de la confusion sexuelle chez les jeunes. Cette recherche Google donne près de deux millions de résultats.
Confusion? Quelle confusion ?
RépondreSupprimerL'une des pires décisions de Trump signifiait que Monsanto/Bayer « contrôlerait effectivement près de 60 pour cent de l'approvisionnement mondial en semences exclusives, 70 pour cent des produits chimiques et des pesticides utilisés pour cultiver des aliments, et la plupart des caractères génétiques des cultures génétiquement modifiées dans le monde, ainsi qu'une grande partie des données sur ce que les agriculteurs cultivent, où et les rendements qu'ils obtiennent », a déclaré le Guardian en 2018. Aucun changement de nom ne sauvera Monsanto d'être complètement détesté. Les personnes qui ont de l'urticaire après avoir mangé du pain ou des pâtes américaines n'ont aucun problème en Italie où l'UE, dans l'une de ses rares mesures sensées, a interdit les OGM et le glyphosate. Nous savons désormais que les semences issues de la bio-ingénierie de Monsanto ont considérablement accru l’utilisation de produits chimiques et la croissance de supermauvaises herbes. Ce qui signifie qu’une entreprise domine l’agriculture mondiale malgré un tsunami de preuves selon lesquelles les graines génétiquement modifiées migrent les toxines dans les fœtus dans l’utérus.
Malgré la « vision » des mondialistes corporatistes du WEF, ils oublient que ce sont les clients, les personnes qui dirigent les marchés, et non les élites de Davos. Leur arrogance signifie qu’ils ont commis des erreurs catastrophiques qui ne peuvent être pardonnées. Comment tout cela n’est-il pas reconnu comme un génocide lent mais inexorable ? Réponse : les premiers utilisateurs de la courbe de commercialisation le reconnaissent, pour parler leur jargon grossier, et cela signifie un désastre titanesque pour la grande agriculture et la grande industrie pharmaceutique.
Bienvenue à Absurdistan est pris en charge par le lecteur. Si vous êtes ici depuis un certain temps, envisagez un abonnement annuel très bon marché.
Elizabeth Nickson a suivi une formation de journaliste au bureau londonien de Time Magazine. Elle est devenue chef du bureau européen du magazine LIFE au cours de ses dernières années de publication mensuelle et, pendant cette période, a négocié et acquis les droits des mémoires de Nelson Mandela avant sa libération de Robben Island. Elle a ensuite écrit pour Harper’s Magazine, le Guardian, l’Observer, l’Independent, le Sunday Telegraph, le Sunday Times Magazine, le Telegraph, le Globe and Mail et le National Post. Son premier livre, The Monkey Puzzle Tree, était une enquête sur le programme de contrôle mental MKULTRA de la CIA et a été publié par Bloomsbury et Knopf Canada. Son livre suivant, Eco-Fascists, How Radical Environmentalists Are Destroying Our Natural Heritage, examinait comment l’environnementalisme, mal pratiqué, détruit l’économie et la culture rurales aux États-Unis et dans le monde entier. Il a été publié par Adam Bellow chez Harper Collins US. Elle est chercheuse principale au Frontier Center for Public Policy.
https://elizabethnickson.substack.com/p/big-ag-big-pharma-are-going-down?utm_source=post-email-title&publication_id=30495&post_id=139825680&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=false&r=9atnc&utm_medium=email
Les « vaccins » à ARNm auto-amplifiants sont-ils des armes biologiques de nouvelle génération ?
RépondreSupprimerPar Mac Slavo
Plan SHTF
18 décembre 2023
L’ARN auto-amplificateur (« saRNA ») est conçu pour produire davantage de copies de lui-même une fois introduit dans les cellules. Il code à la fois pour l’antigène d’intérêt, par exemple la protéine de pointe du COVID, et pour les protéines qui permettent la réplication de l’ARN du vaccin. Mais s’agit-il simplement d’armes biologiques de nouvelle génération conçues pour réduire la population ?
Selon un rapport du Daily Exposé, une société appelée Meiji Seika Pharma a publié une déclaration le 28 novembre, annonçant qu'elle avait reçu l'approbation du ministère japonais de la Santé pour fabriquer et commercialiser son vaccin Kostaive sa-ARNm COVID, également connu sous le nom d'ARCT. -154 (ou au Vietnam, VBC-COV19-154). Meiji Seika Pharma a conclu un partenariat exclusif avec l'entreprise de vaccins de CSL, CSL Seqirus, l'un des plus grands fournisseurs de vaccins contre la grippe au monde, pour distribuer le vaccin.
Le Japon est désormais devenu le premier pays au monde à approuver ces nouveaux vaccins auto-amplificateurs à ARNm (« sa-ARNm »). Avec l'approbation de ce « vaccin » obtenue au Japon, ses développeurs cherchent désormais à obtenir une autorisation en Europe ; une décision réglementaire est attendue l’année prochaine.
Comme l'a rapporté ZeroHedge, l'approbation a été donnée malgré l'essai de phase 3, financé par le gouvernement japonais, qui n'a testé le produit que sur 838 personnes, sans groupe témoin. De plus, les résultats de l’essai n’ont pas été publiés ; le manuscrit est « en préparation », selon le rapport de l’étude de phase 3. Tout comme les injections originales du COVID, le « vaccin » nécessite 2 doses, la seconde étant administrée 28 jours après la première, ainsi qu’une ou plusieurs injections de rappel pour les adultes de 18 ans et plus.
Dans la vidéo ci-dessous, Roman Balmakov en a expliqué davantage.
- voir clip (Rumble) sur site -
Les faits comptent avec Roman Balmakov : Un nouveau « vaccin à ARNm sa » auto-réplicatif approuvé pour la production de masse, 13 décembre 2023 (10 minutes).
RépondreSupprimerLa vraie question est de savoir si ces nouveaux « vaccins » peuvent ou seront utilisés comme armes biologiques contre la classe esclave.
Il est très clair que ces « vaccins » s’auto-répliquent, alors comment le processus s’arrête-t-il ? La réponse simple est que non. S’il s’auto-amplifie mais ne s’auto-arrête pas, nous nous attendons alors à une production incessante de protéine de pointe au fil du temps, provoquant des dommages continus et cumulatifs jusqu’à une défaillance d’organe. Il ne semble y avoir aucun contrôle interne limitant la production de protéine de pointe. Cela signifierait que l’effet de l’ARN auto-amplifié équivaut à une prise de doses répétées indéfiniment !
Cela signifie que si la classe dirigeante parvient à convaincre le grand public de prendre ce type de piqûres, elle pourrait les utiliser comme arme biologique et les laisser éliminer lentement ceux qui leur ont été injectés.
Reprinted with permission from SHTFplan.com.
https://www.lewrockwell.com/2023/12/mac-slavo/are-self-amplifying-mrna-vaccines-next-generation-bioweapons/
Premièrement, comme ils l'ont essayé avec les chemtrails, ils l'ont appliqué directement avec les seringues. Dès lors que les nano-particules d'oxyde de graphène (au nombre de 40 mille milliards par flacons injectables !), l'inoculé (qui après en redemande !) sera soumis aux ondes de son portable et donc obéira aux ordres reçus.
SupprimerDeuxièmement, comme on est pas sûr que çà marche à tous les coups, on été ajoutés (Ne les refusez pas c'est offert !) des spikes, des hydres et diverses maladies animales (de derrière les fagots) avec son petit supplément (gâteau sur la cerise) sa quarantaine de venins différents de serpents !
Si avec çà t'en réchappe, t'auras le Prix Poggy Bouchet (qui a traversé l'Atlantique à la rame !).
Une publication affirmant que le Gardasil réduisait les risques pour les femmes enceintes a été retirée pour faux , les chiffres prouvaient le contraire
RépondreSupprimerle 18 décembre 2023
par pgibertie
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0264410X17315797?ref=pdf_download&fr=RR-2&rr=83769a439c5ad393
Quand une étude promeut un vaccin en inversant des données et que le pot aux roses est découvert, voilà comment on se défend et ce qu’on cache. Sans aucune conséquence judiciaire.
Le Vaccin papillomavirus (HPV) Gardasil chez nous est concerné , on a fait croire que les femmes enceintes prévaccinées étaient protégées contre les fausses couches et les naissances prématurées
- voir doc sur site -
@scholle14000
Des statisticiens ont rétabli la vérité. Les auteurs de l’étude ont prétendu qu’ils n’avaient pas accès aux données brutes. Un des co-auteurs a mis en cause une personne inexistante. L’auteur principal a caché qu’elle est financée par le détenteur des droits sur le vaccin.
L’étude prétendait fournir des « résultats » sur la réduction des naissances prématurées chez les mères vaccinées contre le VPH/ 23% de naissances prématurées en moins
Les auteurs rapportent qu’il y a eu une interprétation incorrecte du rapport de cotes, ce qui signifie qu’au lieu que la vaccination contre le VPH soit potentiellement protectrice, il pourrait y avoir un risque accru d’accouchement prématuré.
https://pgibertie.com/2023/12/18/une-publication-affirmant-que-le-gardasil-reduisait-les-risques-pour-les-femmes-enceintes-a-ete-retiree-pour-faux-les-chiffres-prouvaient-le-contraire/
Un lauréat du prix Nobel cherche à guérir le cancer grâce à la technologie de l'ARNm
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 18 DÉCEMBRE 2023 - 05:20
Rédigé par Naveen Athrappully via The Epoch Times
Le Dr Drew Weissman, lauréat du prix Nobel, a récemment parlé de l'utilisation de la technologie de l'ARNm pour prévenir le développement de cancers chez les personnes vulnérables.
Le Dr Weissman a suggéré d'utiliser des vaccins à ARNm pour prévenir les cancers lors de sa conférence du prix Nobel le 7 décembre. « L'idée ici est de traiter les gens avant qu'ils ne développent un cancer », a-t-il déclaré. Le Dr Weissman a remporté cette année le prix Nobel de médecine avec le Dr Katalin Karikó pour avoir développé une méthode permettant d'empêcher le système immunitaire de lancer des attaques inflammatoires lorsque de l'ARNm fabriqué en laboratoire est injecté dans le corps, permettant ainsi l'utilisation thérapeutique de la technologie médicale.
Cela a permis le développement rapide de vaccins à ARNm contre la COVID-19. Le Dr Weissman et son équipe de l'Université de Pennsylvanie se concentrent désormais sur l'utilisation de la technologie de l'ARNm pour traiter le cancer.
Un vaccin en cours de développement par l’équipe apprend au corps à identifier et à combattre les cellules tumorales. Le vaccin est destiné aux personnes présentant une mutation génétique augmentant leur risque de cancer.
Par exemple, BRCA est un gène qui contribue au risque de cancer du sein. Sur les plus de 18 millions de cancers identifiés chaque année dans le monde, environ cinq à 10 % proviennent de mutations génétiques.
Le lauréat du prix Nobel et son équipe ont étudié des méthodes permettant d'utiliser l'ARNm pour déclencher une réponse immunitaire dans l'organisme qui tuerait les cellules cancéreuses.
Lors d’expériences sur des souris, les chercheurs ont injecté de l’ARNm qui a appris au corps à produire une protéine appelée IL-12. Cette protéine demande à l’organisme de produire des cellules immunitaires appelées cellules T effectrices qui peuvent éliminer le cancer.
"Nous savons qu'il faut cinq ou dix ans pour que les cellules cancéreuses commencent à apparaître avant de former de grosses tumeurs à part entière qui altèrent leur fonction", a déclaré le Dr Weissman lors de sa conférence.
"Si nous traitons ces personnes, peut-être tous les 5 ans, avec un vaccin qui ne produit que des lymphocytes T effecteurs, [il] nettoiera, éliminera, tuera toutes les cellules transformées et empêchera peut-être complètement l'apparition du cancer chez ces patients. .»
RépondreSupprimerTraitements d'ARNm
De nombreuses sociétés pharmaceutiques étudient déjà l’utilisation de l’ARNm pour le traitement du cancer. Ce mois-ci, Moderna et Merck & Co. ont annoncé avoir commencé un essai avancé de leur traitement expérimental personnalisé à base d'ARNm pour les patients atteints d'un type de cancer du poumon.
La thérapie, appelée v940, sera adaptée individuellement à chaque patient afin de déclencher les lymphocytes T. Il sera proposé en association avec le médicament Keytruda. En juillet, les deux sociétés ont lancé une étude de stade avancé sur cette thérapie combinée chez des patients atteints de mélanome, un cancer de la peau.
Plus tôt cette année, BioNTech, la société qui s’est associée à Pfizer pour fabriquer les vaccins à ARNm contre le COVID-19, a annoncé avoir signé un accord avec le gouvernement britannique pour des thérapies personnalisées contre le cancer.
Selon l'accord, jusqu'à 10 000 patients seront inscrits dans des essais cliniques d'ici la fin de 2030. Les thérapies anticancéreuses utiliseront la technologie de l'ARNm dans leurs traitements.
Outre le cancer, la technologie de l'ARNm est étudiée pour son utilisation dans le traitement des allergies, des maladies génétiques, des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, de l'insuffisance cardiaque, des troubles du développement neurologique, du VIH, du paludisme et de la tuberculose.
Développer l’ARNm pour vacciner contre d’autres maladies alors que la technologie existante présente des défauts considérables soulève plusieurs questions de sécurité.
Les chercheurs d’une nouvelle étude historique ont découvert une séquence dans le vaccin Pfizer à ARNm contre le COVID qui produit une « réponse immunitaire involontaire » dans le corps, que les experts qualifient d’« échec de développement et de réglementation » massif.
L’acide ribonucléique messager synthétique (ARNm), tel que celui utilisé dans les vaccins Moderna et Pfizer, permet à l’organisme de créer une protéine de pointe spécifique imitant le SRAS-CoV-2. Le corps réagit à la protéine étrangère et génère une immunité protectrice, qui neutralise théoriquement le vrai virus lorsqu’il pénètre dans le corps.
RépondreSupprimer« Des chercheurs de l’unité de toxicologie du Medical Research Council (MRC) ont découvert que la machinerie cellulaire qui « lit » les ARNm « glisse » lorsqu’elle est confrontée aux répétitions d’une modification chimique couramment trouvée dans les traitements à base d’ARNm. En plus de la protéine cible, ces glissements conduisent à la production de protéines « hors cible » déclenchant une réponse immunitaire involontaire », indique un communiqué de presse de l’étude publié dans Nature le 6 décembre.
La semaine dernière, le chirurgien général de Floride, le Dr Joseph Ladapo, a demandé aux autorités fédérales de la santé de fournir plus d’informations sur la découverte de fragments d’ADN dans les vaccins Pfizer et Moderna contre la COVID-19 « faisant du stop dans les cellules humaines ».
Dans une lettre adressée aux responsables du CDC et de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, il a souligné que la présence de l'ADN promoteur/amplificateur du virus simien 40 (SV40) dans les vaccins présente un « risque accru d'intégration de l'ADN dans les cellules hôtes ». .»
« L’intégration de l’ADN pourrait théoriquement avoir un impact sur les oncogènes humains, c’est-à-dire les gènes qui peuvent transformer une cellule saine en cellule cancéreuse », a-t-il prévenu.
Des recherches ont également montré que les vaccins à ARNm contre la COVID-19 peuvent réduire une bactérie intestinale bénéfique appelée bifidobactérie, dont la présence est associée à une immunité plus élevée contre les agents pathogènes et le cancer.
https://www.zerohedge.com/markets/nobel-prize-winner-seeking-cure-cancer-mrna-technology
Dans quelle mesure les Européens sont-ils sceptiques quant à la vaccination ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 17 DÉCEMBRE 2023 - 15H55
32 % des personnes interrogées en Pologne dans le cadre de l’enquête Consumer Insights de Statista déclarent avoir peu confiance dans la sécurité des vaccinations.
Comme le note Anna Fleck de Statista, le faible taux de vaccination contre la grippe chez les personnes âgées en Pologne met en évidence les conséquences pratiques potentielles de telles attitudes – bien que les données ne démontrent pas de manière concluante une relation causale.
Le graphique suivant met en évidence le manque de confiance dans la sécurité des vaccinations dans plusieurs pays d’Europe.
En Autriche et en France, environ un quart des personnes interrogées ont exprimé des doutes quant à la sécurité des vaccinations, tandis qu'en Allemagne, un peu plus d'une personne sur cinq a exprimé la même chose.
- voir graph sur site -
Infographie : Dans quelle mesure les Européens sont-ils sceptiques quant à la vaccination ? | Statiste
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Selon ces chiffres, la confiance dans la sécurité des vaccins est plus prononcée en Espagne et au Royaume-Uni.
Au Royaume-Uni, les vaccins continuent d’être surveillés même après leur approbation.
L’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) joue un rôle clé dans ce processus, en collectant et en analysant en permanence les données sur la sécurité des vaccins et en enquêtant sur les événements indésirables signalés. De plus amples informations sur les vaccins et leurs effets secondaires potentiels peuvent être obtenues auprès de l'Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA).
https://www.zerohedge.com/medical/how-skeptical-are-europeans-about-vaccinations
SARS-CoV-2 : les révélations terrifiantes d’une équipe de biologistes britanniques au sujet du « vaccin » à ARN messager
RépondreSupprimerle 17 décembre 2023
Lorsque le Docteur Alexandra Henrion-Caude exposa il y a quelques jours que la présence de pseudo-uridine introduite dans la séquence de l’ARN messager qui a été injecté à des milliards de personnes dans le monde dans le but (non prouvé) de les protéger contre le SARS-CoV-2
https://crowdbunker.com/v/jq23DvQWL6
j’ai retrouvé l’article dont elle parlait avec effarement et effroi (lien en fin d’article en accès libre). En effet Alexandra est une généticienne de renommée internationale spécialiste des Acides Ribo-Nucléiques. Elle a été censurée et c’est la raison pour laquelle elle n’a pu exposer son émotion que sur une chaine télévisuelle alternative. C’est donc pour éclairer les lecteurs de ce blog que j’ai écrit cet article un peu technique mais compréhensible. L’ARN messager est produit dans le noyau cellulaire à partir de l’ADN et son but est de servir d’information à la machinerie cellule située hors du noyau pour fabriquer des protéines. Cet équipement complexe s’appelle le ribosome et se trouve dans un ensemble complexe entourant le noyau cellulaire appelé le réticulum endoplasmique. Les protéines synthétisées se répartissent ensuite dans la cellule selon leur fonction. L’information désignant au niveau du ribosome la nature de l’acide aminé à ajouter à la chaine peptidique est un codon, c’est-à-dire un triplet de bases puriques ou pyrimidiques qui dans l’ARN sont l’adénine, l’uridine, la guanine et la cytidine. De nombreuses tentatives antérieures au coronavirus pour mettre au point des techniques thérapeutiques nouvelles utilisant le même principe d’utilisation de l’ARN messager avaient échoué car la molécule d’ARN est très susceptible à une activité enzymatique appelée RNase qui fait le nettoyage dans la cellule et le liquide interstitiel de l’organisme, toute molécule d’ARN pouvant constituer un danger pour l’organisme.
Les sociétés Moderna et Pfizer-BioNtech ont donc appliqué un stratagème pour améliorer la stabilité de l’ARN messager en remplaçant les uridines par une base artificielle appelée pseudo-uridine et en complexant cet ARN modifié avec des acides gras synthétiques le « paquet-cadeau mortel » fut proposé aux autorités sanitaires mondiales et nationales pour protéger les populations contre le SARS-CoV-2. Quand j’écris le paquet-cadeau mortel c’est pour insister sur le fait que ces fabricants n’avaient pas prouvé que cette mixture artificielle ne protégeait pas contre le virus ni ne protégeait contre la transmission mais il apparaît qu’ils ignoraient aussi quels pouvaient être les effets de l’introduction de pseudo-uridine dans cette séquence d’ARN messager. En théorie la protection devait être obtenue en injectant aux individus cet ARN messager codant pour une partie de la protéine de la spicule du coronavirus, la sous-unité 1, afin que l’organisme produise cette protéine puis réagisse contre sa présence indésirable et ainsi s’immunise contre le virus. L’épidémie devrait alors rapidement s’éteindre si les populations étaient contraintes par le pouvoir politique de subir ces injections.
Sur le papier c’était tellement séduisant que personne n’ignore la suite de cette opération mensongère à commencer par les effets secondaires de cette vaccination d’un nouveau type.
RépondreSupprimerMais il y a bien pire, une zone d’ombre que viennent d’exposer une équipe de biologistes britanniques dirigée par le Docteur Anne E. Willis de l’Université de Cambridge. Il s’agit d’un dysfonctionnement des ribosomes quand ils « lisent » l’ARN messager synthétique. La pseudo-uridine est mal reconnue et ignorée par le ribosome et celui-ci reconnaît alors le triplet suivant, ce qui conduit à la synthèse de protéines aberrantes qui n’ont rien à voir avec la séquence de la protéine de la spicule du coronavirus. Personne ne connait les effets de ces protéines néo-synthétisées par les cellules d’une personne ayant subi sous la contrainte l’injection d’un tel ARN messager modifié avec des pseudo-uridines ! Outre le fait que l’efficacité de cette approche vaccinale n’a jamais été prouvée par les fabricants de cette mixture artificielle, elle induit potentiellement une multitude d’effets potentiellement délétères pour l’organisme. Cet article publié le 6 décembre 2023 constitue un argument suffisant afin de poursuivre les laboratoires pharmaceutiques sus-nommés pour tromperie voire escroquerie délibérée. Il est nécessaire que les autorités de sécurité sanitaire sensées protéger la population exigent un abandon immédiat de la technique vaccinale utilisant l’ARN messager compte tenu de ce résultat ignoré par les dits laboratoires pharmaceutiques. Pourquoi faut-il des années pour mettre au point un vaccin ? Tout simplement parce que tous les risques potentiels doivent être systématiquement explorés : personne ne peut se permettre de commercialiser un vaccin qui présente le moindre risque pour la santé, or ce n’est pas le cas des vaccins ChAdOx1 et BNT162b2 qui ont été injectés à des milliards de personnes dans le monde sur recommandation de l’OMS.
Juste pour illustrer graphiquement l’objet de cette étude
https://doi.org/10.1038/s41586-023-06800-3
afin de ne pas compliquer la compréhension de ce présent article, voici schématiquement ce qui se passe de manière totalement hors de contrôle dans la cellule d’un individu soumis à cette pseudo-vaccination, « +1 frameshift » signifiant un glissement du cadre de lecture des triplets (ou codons) de une base pseudo-uridine (capture d’une partie de la fig.2 de l’article) :
- voir schéma sur site -
Le Docteur Henrion-Caude s’était émue de la vitesse avec laquelle la technique « ARN messager » avait été avalisée par l’OMS et les autorités sanitaires nationales et elle avait raison. Elle a été ostracisée, attaquée par les médias à la solde des grands groupes financiers. Qu’on me traite de complotiste, je m’en moque mais les évidences scientifiques sont là, elle sont irréfutables : cette technique est toxique et doit être abandonnée pour revenir à la mise au point de vaccins plus traditionnels comme des virus entiers désactivés compte tenu du fait que les techniques de production de tels vaccins sont rodées et parfaitement connues malgré le fait que les virus pathogènes ayant un ARN comme patrimoine génétique ont la fâcheuse tendance à muter très rapidement et que la mise au point d’un vaccin n’est valable que sur une courte période. Le Docteur Robert Malone, le précurseur dans le domaine de l’utilisation des ARN-messager à des fins thérapeutiques spéciales dans le cas de maladies incurables pour lesquelles toutes les approches curatives avaient échoué. Or dans le cas du coronavirus, les biologistes chinois avaient clairement identifié l’efficacité de l’hydroxychloroquine pour faire baisser la charge virale en tout début de maladie lors de l’épidémie de SRAS il y a vingt ans. L’argument mis en avant par l’OMS d’absence de traitement précoce était donc un autre mensonge afin de mettre en place cette vaccination de masse.
RépondreSupprimerAvec les effets persistants de cette thérapie avec ARN messager sur l’espérance de vie les preuves s’accumulent en défaveur de ce qui est appelé abusivement un vaccin. Le cas du Japon constitue incontestablement un exemple du caractère létal de cette approche thérapeutique délibérément bâclée en raison d’une urgence qui n’existait pas. Les Japonais sont obéissants et donc aveuglément dociles. Ils appliquent scrupuleusement les directives gouvernementales et dans le cas de la vaccination avec ARN messager ils se sont pliés à de multiples injections qualifiées de rappels, « boosters », comme vous voudrez. Les effets se font toujours sentir sur le nombre de morts inexpliquées comme l’indique la figure suivante :
- voir graph sur site -
La mortalité a brusquement augmenté à l’issue de l’épidémie de coronavirus au cours des années 2022 et 2023, respectivement de 10 et 8,6 %, alors que durant les années précédentes cette mortalité était monotone croissante en raison du vieillissement de la population.
Patrice Gibertie en a conclu, sur la base de données officielles, que la seule explication de ce phénomène alarmant était la campagne de vaccination délirante à laquelle les Japonais ont consenti en se soumettant parfois à plus de 5 injections de « rappel »
https://pgibertie.com/2023/12/15/japon-quand-un-peuple-se-fait-hara-kiri-la-seringue-a-remplace-le-sabre-et-la-pays-perd-800-000-habitants-par-an/
RépondreSupprimerTous les laboratoires pharmaceutiques qui ont commercialisé à la hâte ce vaccin mal étudié sont donc coupables, appelons un chat un chat, de crime délibéré contre l’humanité ! Ces laboratoires ne seront jamais poursuivis pénalement car ils disposent de tous les arguments pour affirmer que ce n’était pas eux les coupables mais l’OMS et les autorités nationales et internationales de sureté des médicaments.
Ainsi des juristes et des avocats chevronnés sont confrontés à une mission complexe : déterminer la part de responsabilité des fonctionnaires qui composent ces organismes, la FDA aux États-Unis, l’Agence européenne de la sureté du médicament, les organismes publics nationaux équivalents. Ils découvriront alors que tous ces organismes sont totalement corrompus par les puissances financières qui contrôlent ces laboratoires pharmaceutiques. Ce sera donc une mission impossible et tout rentrera dans l’ordre avec de nouvelles épidémies provoquées par des virus manipulés en laboratoire et à nouveau les peuples serviront d’animaux de laboratoire, mourront pour participer au sauvetage du climat, ne pourront plus avoir d’enfants et ceux qui souffriront de séquelles des thérapies imposées par les décideurs politiques seront euthanasiés comme les « vieux » devenus inutiles … Dans quel monde étrange vivrons-nous ?
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/12/17/sars-cov-2-les-revelations-terrifiantes-dune-equipe-de-biologistes-britanniques-au-sujet-du-vaccin-a-arn-messager/
La 'docteure Henrion-Caude' ne s'est JAMAIS souciée des rapport d'examinations attentives et scientifiques des vraies docteures Astrid Stuckelberger et de Carrie Madejd démontrant la composition RÉELLE des flacons injectables !!
SupprimerEntre 95 et 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène !!
+ des hydres ! ( 😎 Qui est l'hydre, cette créature capable de se faire pousser de nouvelles têtes ? Petit polype d'eau douce, l'hydre possède un pouvoir hors du commun : faire repousser les parties de son corps qui ont pu lui être amputées. Une particularité qui lui vaut la réputation d'être immortelle)
+ des spikes !!
+ diverses maladies animales + une quarantaine (source Naturalnews) de venins de serpents différents !
Donc: de passer outre propos ces révélations (ci-dessus) sur la composition des flacons injectables passe pour être d'autres Fouché ou Raoult !
Inspection chez Moderna : des contaminants découverts
RépondreSupprimer18 décembre 2023
par Thomas Oysmüller
De graves défauts de qualité ont été découverts dans le hall de production de Moderna : des seringues Covid ont été contaminées. Moderna essaie de se calmer.
Sérieuses déficiences en matière de contrôle qualité dans la principale usine de fabrication de Moderna. La FDA a également explicitement identifié de graves déficiences dans « l'équipement utilisé pour produire l'ingrédient actif du vaccin contre la COVID-19 ».
« Inspection » de la FDA
Le rapport a même été diffusé par l'agence de presse grand public Reuters, qui elle-même est mêlée au capital pharmaceutique (son rival Pfizer). Reuters a rapporté en exclusivité vendredi les défauts de production massifs de Moderna. Le rapport de la FDA est désormais devenu au moins partiellement public grâce à une demande FOIA (Freedom of Information Act) de l'agence.
Le rapport précise :
"En septembre, les régulateurs américains des médicaments ont découvert des déficiences dans le contrôle qualité dans la principale usine de fabrication de Moderna (MRNA.O), y compris dans l'équipement utilisé pour produire l'ingrédient actif du vaccin COVID-19."
Du 11 au 21 septembre, les États-Unis La Food and Drug Administration (FDA) a mené une « inspection » dans les installations de Moderna à Norwood, dans le Massachusetts. L'usine est utilisée non seulement pour produire le vaccin d'ARNm Covid, mais également pour produire le traitement expérimental contre le cancer à ARNm sur lequel Moderna travaille en collaboration avec Merck & Co. fonctionne.
Le rapport note que Moderna a publié huit lots de la substance ARNm Covid qui avaient été fabriquées à l'aide d'équipements qui avaient échoué aux tests de nettoyage de l'entreprise. Reuters affirme que le rapport laisse des lacunes et prête à confusion. Le rapport ne parle pas directement de la substance Covid, mais plutôt d’une « substance médicamenteuse » contaminée qui était destinée à la substance Covid. Il n’est pas précisé si les lots ont également été mis en circulation. L'autorité n'a pas répondu à une question de Reuters.
La FDA note également dans le rapport que Moderna n’avait pas mis en place les mesures appropriées dans ses installations pour garantir que les matériaux périmés ne soient pas utilisés pour produire des vaccins. Il ne serait pas non plus possible d’empêcher une éventuelle contamination par l’air.
En outre, environ 2 000 articles périmés ont été trouvés dans l'entrepôt et la chambre froide, « qui n'étaient pas stockés dans un endroit séparé ou défini des autres matériaux » . Il a également été constaté que les matériaux avaient été utilisés au-delà de leur date de péremption.
RépondreSupprimerDans sa déclaration, Moderna se lave de son innocence et agit de manière responsable :
« Dès réception des conclusions de la FDA, Moderna a immédiatement et complètement mis à jour les procédures spécifiques identifiées et est convaincue que les mesures prises sont satisfaisantes pour les régulateurs. »
Selon la société mRNA, l’inspection était une « enquête de routine » – en aucun cas une perquisition. De plus, les conclusions de la FDA ne reflètent aucune préoccupation « concernant la qualité ou la sécurité des produits ». Post-scriptum : « Les vaccins contre le Covid-19 sont sûrs et efficaces. »
Reuters déclare explicitement dans le rapport que les carences identifiées, « ont porté préjudice aux personnes qui ont reçu le vaccin Moderna contre la COVID, le seul produit commercialisé. de l'entreprise."
Le rapport est particulièrement explosif en raison de la contamination des nanoparticules lipidiques présentes dans la substance ARNm de Pfizer. Les seringues contaminées qui ont également été trouvées chez Pfizer sont désormais même arrivées à l'ÖRR - TKP a rapporté.
https://
Viande de laboratoire – en proie à une contamination virale et bactérienne
RépondreSupprimer17 décembre 2023
par Dr. Peter F. Mayer
Voudriez-vous sciemment mettre dans votre bouche les produits chimiques utilisés dans la vaisselle et les métaux lourds contenus dans les produits anti-transpirants ? Contrairement au savon et à l’aluminium, les aliments que nous mangeons peuvent sembler inoffensifs et nous les consommons souvent sans vraiment savoir d’où ils viennent, de quoi ils sont faits et s’ils sont contaminés. Un « tsunami de produits alimentaires contrefaits » arrive à notre rencontre, qui est déployé par l'industrie biotechnologique.
Ceci est rapporté dans la vidéo suivante par Elze van Hamelen, qui étudie la technocratie, la surveillance, les systèmes alimentaires, la manipulation comportementale et bien plus encore. Elle écrit pour le « Solari Report » de Catherine Austin Fitts. Elze et également pour notre partenaire média néerlandais De Andere Krant.
L’imitation de viande consiste à évincer les agriculteurs et les éleveurs et à les remplacer par des aliments ultra-transformés qui peuvent être contrôlés par des brevets. La production de viande cultivée en laboratoire est « incroyablement coûteuse » et en proie à une contamination bactérienne et virale. Malgré une production de type pharmaceutique, la viande cultivée en laboratoire n’est pas considérée comme un produit pharmaceutique, ce qui signifie qu’aucun test sur l’homme n’est requis.
Van Hamelen recommande de dépenser de l'argent pour l'alimentation, non pas dans les chaînes de supermarchés ou dans des produits contrefaits, mais dans les petits agriculteurs qui cultivent de la vraie nourriture.
Comment l’industrie biotechnologique cultive de la viande en laboratoire
Pour produire de la viande d'imitation, des lignées cellulaires sont prélevées sur un organisme vivant. Ils sont ensuite manipulés pour qu’ils poussent rapidement et uniformément. « Quelles sont les cellules qui se multiplient rapidement ? Soit des cellules cancéreuses, soit des fœtus. Ils ont des cellules qui se multiplient très rapidement", explique van Hamelen. Lorsqu'il s'agit de viande cultivée en laboratoire, la biotechnologie reste énigmatique lorsqu'il s'agit de savoir quels types de lignées cellulaires sont réellement utilisées.
Normalement, les cellules se développent selon une structure dans votre corps. Les lignées cellulaires cultivées dans des bioréacteurs en laboratoire se développent dans une fine couche ou dans un milieu de croissance. Dans le corps, le milieu de croissance est le sang, explique van Hamelen, une substance complexe que les laboratoires tentent de reproduire à l'aide de sérum fœtal bovin (FBS) – du sang provenant de fœtus de veau vivants.
"La façon dont ce sang est obtenu est vraiment cruelle", dit-elle, soulignant que cela réfute l'affirmation selon laquelle cette viande cultivée en laboratoire est produit sans animaux. Le FBS est souvent utilisé pour la croissance de cultures cellulaires en raison des protéines et des vitamines qu’il contient. Dans une étude de 2013 (titre : L'influence des micronutriments dans la culture cellulaire : une réflexion sur la viabilité et la stabilité génomique ) il est écrit : « Dans de nombreux milieux courants pour les cultures cellulaires, le sérum fœtal bovin (FBS) est la seule source pour les micronutriments… “
Lorsque le poulet cultivé en laboratoire de la startup américaine Eat Just a été lancé à Singapour en 2020 – devenant ainsi la première viande de culture vendue dans un restaurant – il était fabriqué à partir de FBS.
RépondreSupprimerPour développer du « sang » synthétique, on a recours à une fermentation de précision avec des microbes génétiquement modifiés et des hormones artificielles, dont l’ajout aux aliments est interdit dans l’Union européenne. Il faut également se procurer des micronutriments et des minéraux, ce qui rend le processus « incroyablement coûteux », a déclaré van Hamelen.
Combien coûte ? L’utilisation d’un milieu sans FBS peut entraîner un coût de viande cultivée supérieur à 20 000 $ par kilogramme. Un rapport du Good Food Institute (GFI), un groupe à but non lucratif derrière l'industrie des protéines alternatives, suggère que le coût de la viande cultivée a augmenté de 90 % diminuerait si le coût des médias sans FBS pouvait être réduit. Cependant, cela est peu probable.
"Le rapport ne fournit aucune preuve expliquant pourquoi le coût des micronutriments va diminuer", a écrit Joe Fassler, rédacteur en chef adjoint de .h, dans un exposé détaillé sur le contexte scientifique actuel de la viande cultivée en laboratoireThe Counter
Les contaminants peuvent également rendre la viande cultivée en laboratoire inabordable
Dans le cadre d'une fermentation de précision, les microbes génétiquement modifiés tels que les levures et les bactéries sont fermentés dans des cuves de type brasserie dans des conditions stériles de haute technologie. Les impuretés doivent être contrôlées jusqu'à 2 parties par milliard, explique van Hamelen, "car dès qu'il y a une impureté... elle est criblée de bactéries, et vous n'avez pas de culture cellulaire, vous avez une culture bactérienne ».< /span>
Le rapport du GFI suppose que les futures cultures de viande seront adaptées à un usage alimentaire plutôt qu'à un usage pharmaceutique, ce qui augmenterait encore davantage les coûts. Cependant, un rapport de l'ingénieur chimiste David Humbird pour Open Philanthropy a conclu que la viande cultivée pourrait rester trop chère pour être commercialisée si l'on estime qu'en raison de le faible taux de croissance des cellules cultivées, des spécifications de qualité pharmaceutique et des « salles blanches » aseptiques seraient nécessaires.
Cela les rend extrêmement vulnérables à la contamination par des bactéries et des virus. Humbird a expliqué à Fassler :
« Les bactéries se développent toutes les 20 minutes et les cellules animales sont bloquées après 24 heures. En cas de contamination, la culture est détruite en quelques heures... Il existe des cas documentés où le personnel a rendu la culture malade.
RépondreSupprimerPas même parce que l’opérateur lui-même était enrhumé. Mais c'était une particule virale sur un gant. Ou une ligne n'a pas été nettoyée. La culture n'a pas de système immunitaire. S’il existe des particules virales susceptibles d’infecter les cellules, elles le feront. Et généralement, les cellules meurent et il ne reste plus de produit. Jetez-le simplement.
Paul Wood, un ancien cadre de l'industrie pharmaceutique, a ajouté : "Nous disons, les gars, doit être de qualité pharmaceutique parce que le processus l'exigera. Il ne s'agit pas de savoir si quelqu'un vous permettra de travailler avec des spécifications de qualité alimentaire, il s'agit du fait que vous ne pouvez physiquement pas le faire".
Pour aggraver les choses, le corps humain possède des vaisseaux qui non seulement fournissent aux cellules des nutriments, mais évacuent également les toxines. Lors de la culture de viande artificielle, il n’y a pas de système vasculaire, donc la culture commence à produire des toxines et il n’y a aucun moyen de s’en débarrasser.
Un exposé dans Wired met en évidence un certain nombre de défis technologiques dont parle van Hamelen, directement des employés d'Upside Foods, l'une des deux entreprises autorisées vendre de la viande cultivée aux États-Unis. Wired a signalé :
« Un ancien employé raconte qu’entre l’ouverture de l’usine en novembre 2021 et l’été 2022, il a vu des dizaines de tentatives d’utilisation des bioréacteurs pour produire des couches de tissus, mais elles ont rarement abouti à de la viande utilisable. Parfois, les cycles de production étaient ruinés par une contamination qui rendait la viande impropre à la transformation en produit, a déclaré l'ancien employé.
D'anciens employés d'Upside décrivent comment des lots de viande cultivés dans les bioréacteurs construits sur mesure étaient souvent détruits par la contamination et devaient être brûlés. Dès qu’ils avaient un indice de contamination, ils essayaient d’arrêter l’analyse, de récupérer les cellules et d’obtenir le plus de résultats possible », raconte un ancien employé qui connaît le procédé.
Malgré une production de type pharmaceutique, la viande cultivée en laboratoire n'est pas considérée comme un produit pharmaceutique, ce qui signifie qu'aucun test sur l'homme n'est requis. "Si ce produit est commercialisé, ce sera une expérience humaine", déclare van Hamelen.
La fausse nourriture trouve ses racines dans le contrôle central
RépondreSupprimerVan Hamelen décrit également une guerre contre les agriculteurs néerlandais qui menace de les chasser des terres qu'ils cultivent depuis des générations. Lorsque les petites et moyennes exploitations agricoles ferment leurs portes, les gouvernements et les entreprises peuvent racheter les terres, ne laissant aux consommateurs d’autre choix que de manger les aliments cultivés en laboratoire et sans animaux qu’ils proposent.
« En 2021, le réseau Natura 2000 de l'Union européenne a publié une carte montrant les zones des Pays-Bas qui sont désormais protégées des émissions d'azote. Chaque agriculteur néerlandais opérant dans un rayon de 5 kilomètres d'une zone protégée Natura 2000 devrait désormais réduire considérablement ses émissions d'azote, ce qui limiterait sa production », déclare Roman Balmakov< /span>, journaliste d'Epoch Times et animateur de « Facts Matter ».
Nynke Koopmans, une productrice laitière néerlandaise du Forum pour la démocratie, estime que le problème de l'azote est une invention. "C'est un gros mensonge", dit-elle. «L'azote n'a rien à voir avec l'environnement. Il s’agit simplement de se débarrasser des agriculteurs. Un autre agriculteur a déclaré que si les nouvelles règles sur l'azote entrent en vigueur, il devra réduire son troupeau de 58 vaches laitières à six.
Le scientifique de l'azote, le Dr. Jaap C. Hanekamp a travaillé pour un comité gouvernemental d'étude sur l'azote chargé d'analyser le modèle gouvernemental sur l'azote. Il dit à Balmakov :
« L'ensemble de la politique est basée sur le modèle de dépôt pour gérer les émissions d'azote dans les zones naturelles. Et j’ai regardé les études de validation et j’ai réalisé que le modèle était en fait de la merde. Ça ne marche pas. Et cela n'a pas d'importance. Ils continuent néanmoins à l'utiliser. Ce qui est, d’une certaine manière, inquiétant. Je veux dire, pouvons-nous vraiment faire quelque chose comme ça en politique ? Vous utilisez un modèle qui ne fonctionne pas ? Il ne s'agit jamais d'innover, il s'agit toujours de se débarrasser des agriculteurs ».
La fausse nourriture est un « chapitre dangereux » du « grand empoisonnement ».
Une fois débarrassés des agriculteurs, il ne reste plus que des produits cultivés en laboratoire, des insectes et d'autres aliments synthétiques. D'après le Rapport Solari de Fitts :
« Les aliments synthétiques et la viande cultivée en laboratoire représentent un nouveau chapitre dangereux dans ce que j’appelle « le grand empoisonnement ». Malgré une économie qui n’a aucun sens – et malgré l’évidence évidente que ces produits sont dégoûtants pour les consommateurs – l’argent n’est apparemment pas un problème.
Grâce à un capital-risque massif et à des partenariats public-privé en plein essor, des produits comme la farine de grillon et les « œufs » cultivés en laboratoire ont déjà trouvé leur place dans les épiceries – avec un étiquetage inexistant ou trompeur conçu pour contourner les défenses des consommateurs sans méfiance.
RépondreSupprimerComme le montrent les recherches d'Elze, il s'agit d'une attaque à plusieurs volets dans laquelle les aliments synthétiques ciblent également les animaux de compagnie et le bétail. Tout porte à croire que les gouvernements, les entreprises et d’autres acteurs envisagent sérieusement d’introduire un système alimentaire étroitement contrôlé qui remplace les vrais aliments et la vraie viande par des « alternatives » synthétiques d’inspiration pharmaceutique.
La réponse à la sécurité alimentaire réside dans un système alimentaire décentralisé qui relie les communautés aux agriculteurs qui cultivent de la vraie nourriture de manière durable et la distribuent localement. Van Hamelen recommande de diriger l'argent destiné à l'alimentation non pas vers les grandes chaînes de supermarchés, mais vers les petits agriculteurs ou leurs intermédiaires.
Revers pour le WEF et l'agenda de Bill Gates en Italie : interdiction de la viande de laboratoire
Les dangers pour la santé et l'environnement de la viande de laboratoire
Viande de laboratoire provenant des Pays-Bas : un impact environnemental négatif au lieu de sauver le climat (études)
La viande de laboratoire présente des risques élevés de cancer et de santé
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Une bactérie (parfaitement saine qui passait par là) se pose sur la fausse viande franchement faisandée. Rien qu'à l'odeur elle est contaminée et devient microbe. Après, comme le faisait Pablo Escobar, il va faire du trafic de stup entre le laboratoire nazi où sont expérimentés les poisons et les corps humains en vadrouille.
SupprimerCes fausses viandes ("On dirait des vraies !") seront aux rayons du surgelé aux côté des boulettes de merde de vaches avec du sucre dessus. La pisse bio est au rayon soda.
La réduction de la viande bovine sauvera-t-elle notre planète ?
RépondreSupprimer17 Décembre 2023
Lucy M. Stitzer*
Lors du récent sommet sur le climat COP28, les Nations Unies ont déclaré que les pays riches devaient réduire leur consommation de viande rouge et de produits laitiers pour éviter une crise sanitaire mondiale. Mais les éleveurs et les producteurs laitiers ne sont-ils pas déjà en train de réduire de manière proactive les effets de cette crise ?
Les vaches sont-elles vraiment une cause majeure du changement climatique ? Les pays riches n'incitent pas les gens à adopter un régime alimentaire à base de plantes. Cela permettra-t-il vraiment de réduire les émissions ? Quel serait l'impact sur l'environnement d'un régime entièrement végétal pour 8 milliards de personnes ? Sans oublier que nous avons besoin de 30 % de protéines dans notre alimentation. Nous avons étudié cette question il y a deux ans, lorsque Epicurious a décidé de ne plus inclure de recettes à base de viande, et nous avons décidé de la réétudier à la lumière des récentes initiatives prises dans le cadre de la COP28.
Chaque jour, nous choisissons ce que nous mangeons. Autrefois, ce choix n'était pas très important. Mais aujourd'hui, l'alimentation est devenue synonyme de politique. Je comprends. La famille de ma sœur et la mienne sont très unies et ont des avis divergents sur la consommation de viande. Dans notre groupe d'enfants, nous avons deux végétaliens, deux végétariens et quatre mangeurs de viande.
Nous nous aimons beaucoup et nous ne demandons pas aux végétaliens de cuire des steaks, ni aux amateurs de viande de ne préparer que des plats à base de plantes. Au contraire, nous travaillons ensemble pour nous assurer qu'il y a assez de nourriture dans l'assiette de chacun. Ensuite, nous passons notre temps à nous occuper des autres en tant que personnes, et non à nous chamailler sur ce que nous mangeons. C'est une question de respect et de soutien des choix de chacun.
Qu'en est-il de la position de la FAO sur la viande rouge ?
Lors du récent sommet sur le climat COP28 à Dubaï, l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO) a déclaré que les pays développés devront réduire leur production de viande rouge et de produits laitiers pour éviter une crise sanitaire mondiale.
J'ai des conversations informelles avec des amis et des connaissances qui participent assidûment aux « lundis sans viande » ou qui renoncent carrément à la viande rouge parce qu'ils pensent faire une bonne action pour le climat.
« Selon une nouvelle feuille de route de l'organisme mondial chargé de la sécurité alimentaire, les pays riches devront réduire leur consommation de viande et de produits laitiers pour atteindre les objectifs en matière de santé et d'environnement.
La feuille de route de l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture (FAO) présente un moyen de nourrir le monde au cours des 25 prochaines années sans augmenter les émissions et le défrichement qui sont à l'origine du changement climatique et de la perte de biodiversité. »
RépondreSupprimerAlors, est-ce vrai ? Si nous réduisions considérablement la production de viande bovine et de produits laitiers, réduirions-nous également les émissions de manière significative ? Voici une meilleure question : et si tout le monde savait que la viande peut faire partie d'une solution climatique plus large au lieu d'être un problème climatique ?
Nous souhaitons vous donner une perspective plus nuancée, fondée sur des données, afin que vous puissiez parvenir à votre propre conclusion.
Les vaches résolvent-elles le problème du changement climatique ?
Ayant grandi dans le Minnesota, je peux vous dire qu'il n'y a pas de plus beau spectacle que les prairies. À la fin des années 60, la fenêtre de ma chambre donnait sur une prairie humide. Qu'il s'agisse de prairies, de pampas, de steppes ou de savanes, environ un tiers de notre territoire est constitué de prairies ouvertes... de hautes herbes ondulant dans le vent, peuplées de cerfs, d'élans, d'oiseaux chanteurs, de fleurs sauvages et de bétail.
Dans un article récent, The Nature Conservancy a mis en évidence une méta-analyse intitulée « Reducing Climate Impacts of Beef Production » (réduire les impacts climatiques de la production de bœuf), qui montre que les éleveurs, en particulier aux États-Unis et au Brésil, qui possèdent à la fois des prairies et des bœufs, peuvent réduire leurs émissions de 50 %.
Comme l'a dit un éleveur de Caroline du Sud sur 400 hectares à l'un de nous à Dirt to Dinner (D2D), « je suis en fait un producteur d'herbe ». Lorsque le bétail est en liberté, ses sabots creusent la terre, les graines des plantes voisines tombent, le fumier ajoute de l'engrais et les prairies prospèrent. Les terres ouvertes prospèrent parce qu'elles constituent un puits de carbone.
Comme nous l'a dit Meredith Ellis, une éleveuse de bétail du Texas, « notre ranch séquestre 2.500 tonnes de carbone (après les émissions entériques) chaque année, ce qui équivaut à retirer 551 voitures de la circulation ».
Nourris à l'herbe ou finis en parc d'engraissement ?
RépondreSupprimerSaviez-vous qu'environ 95 % des bovins commencent leur vie à l'herbe et terminent le dernier tiers de leur vie dans un parc d'engraissement ? Nombreux sont ceux qui affirment qu'une fois dans le parc d'engraissement, les bovins contribuent au méthane atmosphérique, mais c'est en fait le contraire : les bovins nourris à l'herbe émettent environ 20 % de méthane en plus parce qu'il leur faut environ un an de plus pour atteindre leur poids de marché.
Compte tenu des avantages environnementaux considérables des prairies, nous ne disons pas que toutes les vaches devraient être élevées dans un parc d'engraissement, mais nous soulignons que les bovins nourris au maïs produisent tout simplement moins de méthane.
En outre, de nombreuses entreprises de nutrition animale sont actuellement à la recherche du « Saint-Graal » en matière d'alimentation animale afin de réduire encore davantage les émissions de méthane, de l'ordre de 3 % à 50 %. La raison ? Les éructations sont plus nombreuses lorsque les bovins mangent les fourrages grossiers de l'herbe plutôt qu'un régime hautement nutritif et adapté au parc d'engraissement. C'est lorsque les fourrages grossiers se décomposent que le méthane est produit.
On se meuh ! maintenant pour passer à la digestion du méthane par les vaches laitières
Les producteurs laitiers trouvent également des moyens de contribuer à un environnement plus durable. L'industrie laitière bénéficie depuis des années des digesteurs anaérobies de méthane. Les exploitations laitières collectent le fumier des vaches et le déversent dans des lagunes recouvertes d'une bâche de caoutchouc situées juste à côté des étables.
Chacune de ces couvertures ressemble à un dôme et contribue à capturer le méthane. Ensuite, pour faire court, le méthane est utilisé pour produire de l'électricité pour la ferme ou pour la vendre sur le réseau.
Ces exploitations disposent d'une électricité bon marché et n'émettent pas de gaz à effet de serre (GES) car elles utilisent du méthane plutôt que des combustibles fossiles. En fait, la Californie s'est engagée à réduire de 40 % les émissions de méthane des exploitations laitières d'ici à 2030, rien qu'en utilisant des digesteurs.
Pour vous donner une idée de l'importance de l'alimentation animale, prenons l'exemple de l'Inde...
Ce pays compte 56 millions de vaches laitières, soit plus que l'Union Européenne, le Brésil, les États-Unis et la Russie réunis. Bien entendu, les Indiens ne mangent pas leurs vaches ; ils les utilisent simplement pour fabriquer des produits laitiers.
Leurs systèmes d'alimentation et de traite n'étant pas aussi sophistiqués, une vache ne produit que 1.200 kilos de lait par an, contre 9.500 kilos en moyenne aux États-Unis.
RépondreSupprimerPar conséquent, l'Inde a besoin de huit vaches supplémentaires pour produire la même quantité de lait qu'une vache américaine. Avec 6 millions de têtes, les vaches laitières chinoises ont un taux de production similaire à celui de l'Inde.
Cela fait beaucoup plus de méthane !
Et si nous ne mangions pas de bœuf du tout ?
Les viandes maigres et les végétaux sont essentiels à notre santé. (Avez-vous mangé vos 3 à 5 portions de fruits et légumes aujourd'hui ?) Mais les nutriments apportés par la viande sont également essentiels. Que se passerait-il si nous n'avions le choix qu'entre des plantes et des céréales ? Pour savoir à quoi ressemblerait un pays sans animaux, Robin White et Mary Beth Hall, du Département des Sciences Animales et Avicoles de Virginia Tech et du U.S. Dairy Forage Research Center, ont étudié l'impact d'un pays végétarien sur les émissions, l'économie et la nutrition aux États-Unis.
En résumé, White et Hall ont constaté une réduction des émissions de 2,6 %, soit 28 % des émissions agricoles. Ils expliquent qu'il y aurait 23 % de nourriture en plus, mais que les besoins nutritionnels des États-Unis en minéraux, vitamines et acides gras seraient insuffisants. Par exemple, la consommation d'un steak maigre de 230 grammes apporte 45 grammes de protéines, alors qu'une tasse de haricots noirs n'en apporte que 15 grammes. Vous obtenez plus de protéines avec moins de calories.
Il y aurait également un impact économique. Que dire aux éleveurs, aux agriculteurs, aux engraisseurs, aux transformateurs, aux spécialistes du marketing, etc. qui ont investi des milliards de dollars dans la création de protéines pour la santé humaine, sans parler des retombées sur les économies locales ?
Les vaches sont neutres en carbone. C'est vrai !
RépondreSupprimerContrairement à ce que l'on pense, la réalité est que les vaches sont des émetteurs de carbone neutres ! Comment cela se fait-il ? Au fil du temps, elles n'émettent pas plus de carbone qu'elles n'en mangent. Il est incontestable que les plantes extraient le gaz carbonique de l'air et le combinent avec de l'eau et la lumière du soleil pour produire des hydrates de carbone et de l'oxygène. Les plantes utilisent les hydrates de carbone comme carburant pour leur croissance et rejettent de l'oxygène dans l'air comme sous-produit. C'est très pratique pour nous, car nous en avons besoin pour respirer.
Quand une vache mange une plante, elle consomme des hydrates de carbone, qui contiennent du carbone. Elle avale la plante dans son estomac à quatre compartiments. La première chambre est massive et contient suffisamment de nourriture pour remplir votre baignoire – environ 200 litres. Une fois la plante entrée dans leur estomac, les vaches la remontent pour la mastiquer davantage – « ruminer ». La nourriture redescend ensuite dans l'estomac pour être digérée par les microbes, appelés méthanogènes.
C'est alors qu'elles en éructent une partie sous forme de méthane, qui est libéré dans l'atmosphère. Ce méthane est le coupable, car il est 28 fois plus puissant que le gaz carbonique en tant que gaz à effet de serre.
La bonne nouvelle, c'est qu'il ne dure que huit à dix ans avant de se transformer en une partie de gaz carbonique et deux parties de H2O par oxydation hydroxyle.
C'est là que les choses deviennent intéressantes : selon Frank Mitloehner, Ph.D., professeur et spécialiste de la qualité de l'air à l'Université de Californie à Davis, « si vous n'ajoutez pas de bétail ou de vaches à la terre, il n'y aura pas de méthane supplémentaire et pas de réchauffement climatique supplémentaire. »
Tant que l'on n'introduit pas davantage de vaches sur la planète, il n'y a pas d'ajout de gaz carbonique. Au cours des dix dernières années, la population mondiale de bovins s'est maintenue autour d'un milliard, alors que la présence annuelle moyenne de méthane n'a cessé d'augmenter. Le Dr Mitloehner poursuit en disant : « Nous, dans l'agriculture, devons faire notre part, mais nous ne devons pas être considérés comme le gorille de 400 kilos que nous ne sommes pas ».
Sources du graphique : noaa.gov, U.S. Department of Agriculture ; USDA Foreign Agricultural Service ; ID 263979.
Mise en perspective
RépondreSupprimerOù se situe l'agriculture par rapport à la contribution mondiale aux émissions de gaz à effet de serre ? Selon l'Agence Américaine de Protection de l'Environnement, elle représente environ 12 %.
Il ne fait aucun doute que le méthane est un puissant gaz à effet de serre que nous voulons empêcher de pénétrer dans l'atmosphère. Mais il ne provient pas uniquement des animaux. Selon la NASA, les sources de méthane se répartissent comme suit : 30 % des zones humides, y compris les étangs, les lacs et les rivières ; 30 % de l'extraction du pétrole, du gaz et du charbon ; 20 % de l'agriculture, y compris l'élevage, la gestion des déchets et la culture du riz ; 20 % des feux de forêt, de la combustion de la biomasse, du pergélisol, des termites, des barrages et de l'océan. Voici une ventilation plus détaillée :
La liberté de choisir
Notre pays est déjà si divisé sur de nombreuses questions politiques et sociales. Pourquoi agir de la sorte avec la nourriture et notre climat ? Oui, le bétail émet du méthane. C'est un fait. Il est également vrai que l'homme s'est adapté de manière créative à une vie de confort et de santé depuis des milliers d'années. Utilisons la réduction du méthane pour le bétail comme une leçon d'innovation pour améliorer notre alimentation et notre planète. Laissons la science parler d'elle-même et ne nous laissons pas emporter par nos émotions.
Je me souviens rapidement de ma famille et moi débattant de questions à table, mais en fin de compte, nous respectons la pensée de chacun. Nous sommes des écologistes. Nous sommes de fervents défenseurs de l'alimentation durable, de l'innovation et de l'amélioration du monde, tout en étant pragmatiques en ce qui concerne la protection des êtres humains et des animaux. Nous sommes également conscients de la chance incroyable que nous avons de pouvoir choisir ce que nous mangeons chaque jour.
LE BILAN
L'élimination d'un secteur entier où des millions de personnes dans le monde dépendent du bétail et des produits laitiers pour leur approvisionnement en protéines n'est pas nécessairement la solution. La feuille de route pour le climat peut inclure une meilleure génétique, une alimentation animale améliorée, une meilleure santé animale et la restauration des pâturages. Pour réussir la politique climatique, il faut « sortir des sentiers battus ».
_________
* Source : Will reducing beef save our planet ? - Dirt to Dinner (dirt-to-dinner.com)
https://seppi.over-blog.com/2023/12/la-reduction-de-la-viande-bovine-sauvera-t-elle-notre-planete.html
(...) Les vaches sont-elles vraiment une cause majeure du changement climatique ? Les pays riches n'incitent pas les gens à adopter un régime alimentaire à base de plantes. (...)
SupprimerLes vaches bouffent... de l'herbe !! Whôôôaw !
« Vous êtes le carbone qu’ils veulent réduire » : une étude britannique révèle que la respiration humaine contribue aux gaz à effet de serre
RépondreSupprimer15/12/2023
Rédacteurs en chef
L’étude du Dr Nicholas Cowan indique que la respiration des citoyens britanniques représente 0,1 % des émissions de gaz à effet de serre du pays, remettant en question les hypothèses concernant l’impact humain sur l’environnement.
(Article republié de YourNews.com)
Une étude récente du Centre britannique d’écologie et d’hydrologie d’Édimbourg a révélé que l’acte de respirer des citoyens britanniques contribue à hauteur d’environ 0,1 % aux émissions de gaz à effet de serre du pays. Le Dr Nicholas Cowan, physicien de l'atmosphère, a mené l'étude qui se concentre sur les émissions de méthane (CH4) et d'oxyde nitreux (N2O) par les humains.
Journal.pone.0295157 par yourNEWS Media
Les recherches du Dr Cowan soulignent que ces émissions, bien que faibles, jouent un rôle dans le réchauffement climatique. Il souligne que l’impact des émissions humaines ne doit pas être négligé, déclarant : « Nous invitons à la prudence quant à l’hypothèse selon laquelle les émissions humaines sont négligeables. »
La couverture médiatique de l’étude dans les grands médias a suscité un débat, certains la considérant comme faisant partie d’un discours plus large qui incite les gens à modifier leur mode de vie pour lutter contre les problèmes environnementaux. Ce récit inclut souvent la réduction de l’utilisation des technologies alimentées au gaz, de la consommation de viande et la limitation de la liberté de déplacement, entre autres changements de style de vie.
RépondreSupprimerLes critiques de cette perspective soutiennent que l’accent devrait être mis davantage sur les grandes entreprises et les pays ayant d’importantes émissions, comme la Chine et l’Inde. Ils soulignent que même si la contribution du Royaume-Uni aux émissions mondiales de gaz à effet de serre est inférieure à 1 %, l’accent mis sur les actions individuelles peut sembler disproportionné.
L’étude a suscité toute une série de réponses en ligne, certains internautes suggérant avec humour que ceux qui préconisent des changements drastiques de mode de vie pour répondre aux préoccupations environnementales devraient montrer l’exemple en réduisant leur propre respiration.
Retenez votre souffle, les amis ! Apparemment, notre existence constitue désormais une menace pour l’environnement. Selon les « scientifiques », le simple fait de respirer contribue à 0,1 % des émissions de gaz à effet de serre du Royaume-Uni.
Alors, arrêtons tous de respirer et sauvons la planète, d'accord ? ?? pic.twitter.com/lZ7VPZCqj1
— Le Monde des Clowns™ ? (@ClownWorld_) 13 décembre 2023
LA RESPIRATION est mauvaise pour l'environnement
Les gaz présents dans l'air expiré par les poumons humains alimentent le réchauffement climatique, rapportent des scientifiques du Centre britannique d'écologie et d'hydrologie à Édimbourg...
Greta Thunberg va-t-elle arrêter de respirer pour sauver notre monde ? ?
Source : https://t.co/nm8Bn85ggT$NATI… pic.twitter.com/aYnnCfKjPa
– IlluminatiCoin (@naticoineth) 14 décembre 2023
Retenez votre souffle pour celui-ci… Maintenant, les scientifiques disent que la RESPIRATION est mauvaise pour l'environnement : les gaz que nous expirons contribuent à 0,1 % des émissions de gaz à effet de serre du Royaume-Uni https://t.co/WHAVbumg4Q pic.twitter.com/pZuqwF7kVw
RépondreSupprimer— ? Les temps de trois milles ? (@Road_Closed1984) 14 décembre 2023
RUPTURE : Les climatologues viennent de quantifier l’effet de la respiration humaine sur le réchauffement climatique.
Leur conclusion ? Ils "appellent à la prudence quant à l'hypothèse selon laquelle les émissions d'origine humaine sont négligeables".
L’agenda anti-humain n’a jamais été aussi clair.https://t.co/OQoRlDWZEe
– Dale Cloudman (@DaleCloudyman) 14 décembre 2023
Pour en savoir plus : YourNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-12-15-uk-study-human-breath-contribute-greenhouse-gases.html
Suite aux inoculations profondes portant le QI des cons à disparaître complètement, des psychopathes en profitent donc pour laisser entendre des énormités dénuées d'intelligence concernant le gaz carbonique. Le gaz carbonique est d'abord un gaz rare (0,041 %) et il n'existerait pas de vie sur Terre s'il e se recyclait pas immédiatement (comme le font aussi tous les autres gaz depuis toujours).
SupprimerMais, quand on s'adresse à des cons...
Endoctrinement climatique chez nos enfants
RépondreSupprimer17 décembre 2023
par Dr. Martin J.F. Steiner
Les manifestations dans la ville de Steyr en Haute-Autriche contre l'arbitraire du Corona ont été célébrées le 19 novembre. Son 150e anniversaire en 2023. La petite équipe parvient toujours à inviter des conférenciers de renom à Steyr. De nombreux sujets sont également abordés en dehors de Corona. Le 24 septembre 2023, l’événement s’est concentré sur les mesures malavisées concernant le changement climatique et en particulier sur la manière dont les enfants sont maltraités.
À la mi-septembre 2023, les étudiants étaient attirés vers des « vendredis pour les futures manifs » avec une « journée sans école ». Je voudrais résumer dans cet article comme suit :
Qu’est-ce que l’endoctrinement (selon Wikipédia « sans méfiance »)
L'opinion de l'avocat des droits de l'homme et président de Vision Autriche, le député Alexander
Thodor Kostic
La position du président du parti fédéral du MFG – M. Joachim Aigner
Une évaluation juridique du sujet par Me Martin Pfeil
L’appréciation des faits par Mme Mag. Sabine Heschgl – psychologue clinicienne et de la santé
et enfin une déclaration de ma part en tant que porte-parole de l'UWB (Conseil consultatif scientifique indépendant) et de ma part personnellement en tant que père.
Qu’est-ce que l’endoctrinement ? (d'après Wikipédia)
L'endoctrinement (latin doctrina 'instruction') est une 'instruction' particulièrement véhémente, sans contradiction et sans < /span> < /span> à éliminer.critique ou intentions idéologiquesinformations de personnes grâce à une sélection contrôlée de manipulation ciblée instruction admissible. Cela se fait grâce à une Discussion
Une caractéristique essentielle ou une méthode centrale d'endoctrinement est la propagande. La forme de présentation de l'information ici est déformée unilatéralement, l'intégralité de l'information disponible est censurée, les informations qui contredisent l'idéologie sont retenues et leur expression menace de désavantages discrets ou de sanctions concrètes.
Les possibilités d'établir un monopole de l'information sur une grande foule sont frappantes dans les dictatures a>éducatifpolitique< a i=14> motivé ou religieux, et < a i=9>autoritaire médias de masseincontrôlé des monopole donné. Mais aussi un
Alexandre Thodor Kostic
Les étudiants ont été attirés au « Vendredi pour les futures démos » avec un jour de congé scolaire, ce qui constitue un abus de la mission éducative.
Vendredi dernier, une « grève pour le climat » a eu lieu partout dans le monde avec plus de 400 manifestations. Les étudiants de Vienne ont été attirés par les soi-disant « vendredis pour les futures manifestations » en déclarant généralement que la journée était libre d'école à Vienne.
RépondreSupprimerCette « grève pour le climat » a donc été déclarée « événement scolaire » par la Direction de l'éducation de Vienne et la participation des étudiants a donc été officiellement rendue possible ou directement soutenue !
Une telle approche représente un abus incroyable du mandat éducatif de l'État, car les installations scolaires sont utilisées à des fins de propagande politique. Logiquement, les étudiants sont généralement tentés d'aller à une manifestation plutôt que d'aller à l'école !
Cette influence idéologique de la Direction de l'Éducation de Vienne représente clairement une violation des droits de l'enfant, qui ont un statut constitutionnel au niveau national et international. Celles-ci visent, entre autres, à garantir que des contenus d'apprentissage équilibrés et pluriels soient transmis au sein de l'enseignement scolaire et qu'il n'y ait pas d'endoctrinement partisan.
Cette politique de gauche verte attaque évidemment de plus en plus sans vergogne les membres les plus jeunes de notre société afin d’introduire le plus tôt possible leur écopolitique absurde dans l’esprit de nos enfants et d’en faire des adeptes volontaires qui manquent de toute capacité naturelle de critique.
Joachim Aigner – MFG
À partir de l’an 2000, il est devenu de plus en plus clair, ou est désormais de plus en plus enseigné dans les écoles, que la Terre serait bientôt débarrassée de la neige et de la glace. Par exemple, Al Gore affirmait en 2009 que l’Arctique serait libre de glace d’ici cinq à sept ans. Aujourd’hui, près de quinze ans plus tard, la situation est exactement la même qu’à l’époque. L'Antarctique est en pleine croissance et le Groenland a plus de neige et de glace qu'il y a 12 ans.
Au lieu d’encourager nos enfants à regarder avec impatience la vie, leur avenir et ce qui les attend, les récits de propagande systémique commencent à être fermement ancrés dans nos esprits dès le début des écoles. En psychologie, il existe le terme « gaslighting » : une forme de manipulation psychologique par laquelle les victimes sont délibérément désorientées, perturbées et progressivement altérées dans leur sens de la réalité et leur confiance en elles.
C’est pourquoi le MFG s’est donné pour objectif de résister activement aux discours de peur et de panique ainsi qu’aux discours des partis du système et de leurs complices (comme la pseudo-science et les pseudo-médias).
RépondreSupprimerBien entendu, une utilisation responsable des ressources, de notre nature et de notre environnement est essentielle. Mais sans recourir à des récits systémiques, sans semer la peur et la panique et sans obscurcir les perspectives d'avenir des enfants.
Mgr Martin Pfeil
J'ai brièvement examiné le sujet mentionné dans le sujet ; Voici mon appréciation purement juridique, et donc sans jugement : Sauf s'il s'agit d'un événement scolaire ou d'un événement lié à l'école, la participation à une manifestation ne peut être que volontaire et avec l'accord écrit des parents. Selon le décret ci-joint du BMBWF, une manifestation climatique peut être un événement scolaire ou un événement lié à l'école (préparation et sensibilisation des élèves au sujet au préalable). Selon l'article 46, paragraphe 2 du SchUG, la participation des élèves à des événements qui ne sont pas des événements scolaires (article 13) ou des événements liés à l'école (article 13a) ne peut être organisée à l'école qu'avec autorisation. Le forum de classe ou d'école ou le comité communautaire scolaire est responsable de la délivrance du permis. En outre, l'approbation peut être accordée par l'autorité scolaire responsable ; Si la participation d'élèves de plusieurs écoles dont différentes autorités scolaires sont responsables doit être organisée, l'approbation peut être accordée par l'autorité scolaire commune responsable de toutes ces écoles. L'approbation ne peut être accordée que s'il est assuré que la participation des étudiants est volontaire et basée sur une déclaration écrite de consentement de leurs tuteurs légaux et qu'il n'y a aucune crainte de danger pour les étudiants, que ce soit moralement ou physiquement, et que le but de l'événement ne peut être réalisé d'aucune autre manière. § 13, paragraphe 1, SchUG : La tâche des manifestations scolaires est de compléter les enseignements du programme par un contact direct et vivant avec la vie économique, sociale et culturelle, par la promotion des talents musicaux des élèves et par l'exercice physique. § 13a. SCHUG
(1) Les événements qui ne sont pas des événements scolaires au sens de l'article 13 peuvent être déclarés événements scolaires s'ils sont basés sur l'enseignement scolaire et servent à remplir la mission de l'école autrichienne conformément à l'article 2 de la loi sur l'organisation scolaire et ne présentent aucun risque pour les élèves, moralement ou physiquement. La déclaration d'un événement comme événement scolaire relève de la responsabilité de la classe ou du forum scolaire (§ 63a) ou du comité communautaire scolaire (§ 64) et ne peut avoir lieu que si les enseignants requis à cet effet acceptent de la réaliser, le financement est assuré et, si nécessaire, les approbations nécessaires auprès d'autres organismes ont été obtenues ; Le directeur doit déterminer si les exigences sont remplies. De plus, l’autorité scolaire responsable peut déclarer un événement comme étant un événement lié à l’école si plusieurs écoles sont concernées.
(2) La participation aux événements scolaires nécessite une inscription préalable de l'étudiant. La participation est interdite si 1. l'élève ne remplit pas les conditions requises pour participer à l'événement lié à l'école ou 2. si, sur la base du comportement antérieur de l'élève, il existe une forte probabilité que la sécurité de l'élève ou d'autres personnes soit compromise. en voie de disparition ou 3. La réussite du niveau scolaire semble être remise en question en raison de la participation à l'événement lié à l'école. Il appartient au directeur ou à un enseignant désigné par lui à cet effet d'accepter l'inscription et de l'interdire ; L'interdiction doit être prononcée après avoir entendu la conférence de classe et être motivée.
RépondreSupprimer(3) Les élèves inscrits pour participer à l'événement scolaire et dont la participation n'a pas été interdite sont tenus d'y participer, sauf s'il existe un motif d'absence au sens du règlement sur l'absence de l'école (§ 45). . Si l'étudiant s'est inscrit à une série d'événements, il peut se désinscrire au plus tôt après le premier événement, mais au plus tard quatre semaines avant un autre événement. Conclusion : Sur la base de cette « disposition facultative », il peut être légal en vertu de la loi actuelle d'exiger la participation des enfants. Pour en être sûr, un examen serait nécessaire au cas par cas.
Mag. Sabine Heschgl – psychologue clinicienne et de la santé
La propagande est la diffusion d'informations intentionnellement fausses ou biaisées afin d'influencer les opinions et le comportement des gens. Cela se fait avec l’aide des médias, mais aussi avec l’aide du système éducatif (livres, chansons, etc.).
Les enfants y sont particulièrement réceptifs car ils ont vécu peu ou pas d’autres expériences et ne sont souvent pas encore capables de relier certaines informations sur le plan cognitif.
Les enfants sont également considérés comme des multiplicateurs qui transmettent des valeurs et des normes politiquement colorées à leurs parents ou à leur famille. Selon la devise : Si vous ne vous faites pas vacciner, vous mettez en danger la santé de votre famille. . . . Ou : Si vous continuez à conduire, nous mourrons tous.
Il est important de reconnaître la propagande et de remettre en question les informations. Vous devez toujours rechercher et comparer plusieurs sources d’information. . . et tenter de découvrir la vérité afin de rester critique et indépendant.
RépondreSupprimerMartin Steiner :
Le récit des médias politiques sur la catastrophe climatique – gaz carbonique – catastrophe climatique – terre en ébullition – vous allez tous brûler
N'est pas physiquement durable
Le gaz carbonique est saturé - le gaz carbonique supplémentaire n'a qu'une influence minime sur une éventuelle augmentation de la température
La température moyenne mondiale (?) n’a pas augmenté depuis 8 ans
Nous assisterons à un refroidissement plutôt qu'à un réchauffement au cours des prochaines décennies – une réduction de l'activité solaire du Soleil, ainsi que des raisons astrophysiques complexes.
La catastrophe climatique ne se produit que dans les médias grand public et en politique – pas dans le monde réel
Le gaz carbonique est la substance de la vie – moins de gaz carbonique signifie moins de nourriture, plus de faim, plus de déserts – de pires moyens de subsistance !!!
Le dénigrement du gaz carbonique est profondément anti-humain
L’ensemble du programme en matière de catastrophe climatique est une redistribution des richesses de nous tous – le plus grand nombre – vers un très petit nombre, combinée à la coercition, à la dictature et à une économie planifiée.
En tant que père, je dis maintenant :
Et après Corona Plandemie – mot clé « si les enfants ne se font pas vacciner, ils tueront grand-mère »….
Nous nous attaquons désormais aux plus faibles et aux plus sans défense de notre société : nos enfants.
Beaucoup sont déjà endoctrinés par les médias et les écoles
RépondreSupprimerDe plus en plus d’enfants ont peur du climat et de l’avenir
Mouvement Birthstrike
Dernière génération etc...
Grève scolaire pour l'avenir...
Retrait, PC, téléphone portable, jeux, mondes virtuels…
Nous les mères, nous les pères, que pouvons-nous faire ?
DONNEZ de l'amour, de la chaleur cardiaque, de la sécurité, de la sécurité à nos enfants et dans notre maison
Apprenez-vous à TOUJOURS TOUT remettre en question, y compris – et surtout – toutes les informations et opinions des enseignants et des soi-disant « autorités ».
expliquer la différence entre l'opinion et la vérité
les enfants apprennent à toujours se forger leurs PROPRES opinions
C'est ainsi que nous pouvons vous aider à devenir des individus sûrs d'eux et déterminés.
Quel est notre pouvoir le plus puissant que nous puissions utiliser ?
Enfin, en tant qu'ingénieur en énergie et scientifique, je dis
- contrairement à la première loi de la thermodynamique - contrairement aux lois de la physique - OUI, il existe une énergie qui se multiplie d'autant plus - plus on la gaspille - c'est une source d'énergie infinie, indomptable, insurmontable - elle est en nous - dans nos cœurs – c'est l'amour pour nos enfants.
Il s’agit d’un pouvoir infini et d’un pouvoir plus fort que toute autre chose.
Et c’est exactement le terreau dont nos enfants ont le plus besoin et que nous, en tant que parents, pouvons et voulons offrir le meilleur et le meilleur.
https://
« La grande réinitialisation » est arrivée : suivez l'argent. « Confinement insensé » de l’économie mondiale, « L’agenda vert »
RépondreSupprimerPar F. William Engdahl
Recherche mondiale,
16 décembre 2023
La réorganisation descendante de l’économie mondiale par une cabale de corporativistes technocratiques, dirigée par le groupe autour du Forum économique mondial de Davos – ce qu’on appelle la Grande Réinitialisation ou Agenda 2030 des Nations Unies – n’est pas une proposition future. C’est en passe de se concrétiser alors que le monde reste dans un confinement insensé à cause d’un virus. Le domaine d’investissement le plus en vogue depuis le début des confinements mondiaux liés au coronavirus est ce qu’on appelle l’investissement ESG.
Ce jeu hautement subjectif et très contrôlé déplace considérablement les flux de capitaux mondiaux vers un groupe sélectionné d’actions et d’obligations d’entreprises « approuvées ». Il fait notamment progresser l’Agenda 2030 dystopique de l’ONU ou l’agenda de la Grande Réinitialisation du WEF. Ce développement constitue l’un des changements les plus dangereux et les moins compris depuis au moins un siècle.
Le programme de l'ONU sur « l'économie durable » est mis en œuvre tranquillement par les mêmes banques mondiales qui ont créé les crises financières de 2008. Cette fois, elles préparent le Grand Forum Klaus Schwab du WEF. Réinitialisez en orientant des centaines de milliards, et bientôt des milliards d'investissements, vers des entreprises « éveillées » triées sur le volet, et loin de celles « non réveillées », comme les sociétés pétrolières et gazières ou le charbon.
Ce que les banquiers et les fonds d’investissement géants comme BlackRock ont fait, c’est créer une nouvelle infrastructure d’investissement qui sélectionne les « gagnants » ou les « perdants » en fonction du sérieux de l’entreprise en matière d’ESG (environnement, valeurs sociales et gouvernance).
Par exemple, une entreprise obtient des notes positives pour le sérieux de son recrutement de cadres et d’employés diversifiés, ou prend des mesures pour éliminer son « empreinte » carbone en rendant ses sources d’énergie vertes ou durables pour reprendre le terme de l’ONU. La manière dont les entreprises contribuent à une gouvernance mondiale durable est la plus vague des ESG et pourrait inclure n'importe quoi, depuis les dons d'entreprises à Black Lives Matter jusqu'au soutien aux agences des Nations Unies telles que l'OMS.
L'objectif central des stratèges ESG est de créer une transition vers des énergies alternatives inefficaces et coûteuses, l'utopie promise par le zéro carbone. Elle est pilotée par les principales institutions financières et banques centrales du monde. Elles ont créé un éventail éblouissant d'organisations pour piloter leur programme d'investissement vert.
En 2013, bien avant le coronavirus, la grande banque de Wall Street, Morgan Stanley, a créé son propre Institut pour l’investissement durable. Cela a rapidement été élargi en 2015 lorsque Morgan Stanley a rejoint le comité directeur du Partnership for Carbon Accounting Financials (PCAF). Sur son site Internet, ils déclarent,
« Le PCAF s'appuie sur la position de l'Accord de Paris sur le climat selon laquelle la communauté mondiale devrait s'efforcer de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C au-dessus des niveaux préindustriels et que la société devrait se décarboner et atteindre zéro émission nette d'ici 2050."
RépondreSupprimerEn 2020, le PCAF comptait plus de 100 banques et institutions financières, dont ABN Amro, Nat West, Lloyds Bank, Barclays, Bank of America, Citi Group, CIBC, Danske Bank et d'autres. Plusieurs banques membres du PCAF ont été inculpées dans des affaires de blanchiment d'argent. Ils perçoivent désormais un nouveau rôle en tant que modèles de vertu pour changer l’économie mondiale, si l’on en croit la rhétorique. Notamment, l'ancien gouverneur de la Banque d'Angleterre, Mark Carney est un « observateur » ou consultant auprès du PCAF.
En août 2020, la PCAF a publié un projet de norme décrivant une approche proposée pour la comptabilisation mondiale du carbone. Cela signifie que les banquiers créent leurs propres règles comptables sur la manière d’évaluer ou de valoriser l’empreinte carbone ou le profil vert d’une entreprise.
Le rôle central de Mark Carney
Mark Carney est au centre de la réorganisation de la finance mondiale pour soutenir l'agenda vert de l'ONU 2030 derrière la Grande Réinitialisation du WEF de Davos, dont il est membre du conseil d'administration. Il est également conseiller du secrétaire général de l'ONU en tant qu'envoyé spécial des Nations Unies pour l'action climatique. Il a décrit le plan PCAF comme suit :
"Pour atteindre la neutralité carbone, nous avons besoin d'une transition économique globale : chaque entreprise, chaque banque, chaque assureur et investisseur devra ajuster son modèle économique et élaborer des plans crédibles pour la transition. et les mettre en œuvre. Pour les sociétés financières, cela signifie examiner bien plus que les émissions générées par leur propre activité. Ils doivent mesurer et déclarer les émissions générées par les entreprises dans lesquelles ils investissent et à qui ils prêtent. Le travail du PCAF visant à standardiser l’approche de mesure des émissions financées constitue une étape importante pour garantir que chaque décision financière tienne compte du changement climatique. »
En tant que gouverneur de la Banque d'Angleterre, Carney a joué un rôle clé pour convaincre les banques centrales mondiales de soutenir l'Agenda vert du programme 2030 des Nations Unies. Les principales banques centrales du monde, par l’intermédiaire de leur Banque des règlements internationaux (BRI) à Bâle, ont créé un élément clé de l’infrastructure mondiale croissante qui oriente les flux d’investissement vers les entreprises « durables » et les éloigne de celles comme les sociétés pétrolières et gazières. juge « insoutenable ».
RépondreSupprimerLorsque Mark Carney, alors gouverneur de la Banque d'Angleterre, était à la tête du Conseil de stabilité financière (FSB) de la BRI, il a créé en 2015 un groupe de travail appelé Task-force on Climate-rated Financial Disclosure (TCFD).
Les banquiers centraux du FSB ont nommé 31 personnes pour former le TCFD. Présidé par le milliardaire Michael Bloomberg, il comprenait outre BlackRock, JP MorganChase ; Banque Barclays; HSBC ; Swiss Re, le deuxième plus grand réassurance au monde ; la banque chinoise ICBC ; Tata Steel, ENI Oil, Dow Chemical, le géant minier BHP et David Blood d'Al Gore's Generation Investment LLC.
Anne Finucane, vice-présidente de la Bank of America, membre à la fois du PCAF et de la TCFD, a noté :
« Nous nous engageons à garantir que les risques et opportunités liés au climat soient correctement gérés au sein de notre entreprise et à travailler avec les gouvernements et les marchés pour accélérer les changements nécessaires… le changement climatique présente des risques pour le monde des affaires, et il est important que les entreprises expliquer comment ces risques sont gérés.
Le vice-président de Bank of America décrit la manière dont il évalue les risques liés à son portefeuille de prêts immobiliers en évaluant « une analyse approfondie des risques physiques sur un échantillon de portefeuille de prêts hypothécaires résidentiels de Bank of America à travers les États-Unis. Chaque propriété a reçu une note basée sur sur le niveau de risque associé à 12 dangers potentiels : tornade, tremblement de terre, cyclone tropical, tempête de grêle, incendies de forêt, crue de rivière, crue soudaine, inondation côtière, foudre , tsunami, volcan et tempête hivernale.
De plus, le « risque » d’investissement des banques dans le pétrole et le gaz ainsi que dans d’autres secteurs industriels est examiné à l’aide des critères du TCFD de Carney. Tous les risques sont définis comme liés au gaz carbonique, malgré le fait qu’il n’existe aucune preuve scientifique concluante que les émissions anthropiques de gaz carbonique sont sur le point de détruire notre planète à cause du réchauffement climatique. Les preuves de l'activité solaire suggèrent plutôt que nous entrons dans une période de refroidissement instable, le Grand Minimum Solaire. Cela n’inquiète pas les intérêts financiers qui risquent de récolter des milliards au cours de la décennie à venir.
Un autre élément clé de la préparation financière pour la Grande Réinitialisation, la transformation fondamentale d'une économie à haute intensité énergétique vers une économie à faible intensité économique. inefficace, est le Sustainability Accounting Standards Board (SASB).
RépondreSupprimerLe SASB affirme qu'il « fournit un ensemble clair de normes pour la communication d'informations sur le développement durable dans un large éventail de domaines… » Cela semble rassurant jusqu'à ce que nous regardions qui compose les membres du SASB qui donneront l'Imprimatur respectueuse du climat. Les membres comprennent, outre le plus grand gestionnaire de fonds au monde, BlackRock (plus de 7 000 milliards de dollars sous gestion), également Vanguard Funds, Fidelity Investments, Goldman Sachs, State Street Global, Carlyle Group, Rockefeller Capital Management et de nombreuses grandes banques telles que Bank d'Amérique et UBS. Beaucoup d’entre eux sont responsables de l’effondrement financier mondial de 2008.
Que fait ce groupe-cadre ? Selon leur site Web, « Depuis 2011, nous travaillons vers un objectif ambitieux consistant à développer et à maintenir des normes comptables durables pour 77 industries."
Le but de tout cela est de créer un réseau d’entités financières basées à l’échelle mondiale qui contrôlent la richesse combinée, y compris les fonds d’assurance et de pension, pour ce qu’ils prétendent valoir 100 000 milliards de dollars. Ils fixent les règles et définiront une entreprise ou même un pays en fonction du degré d’émission de carbone qu’ils génèrent.
Si vous êtes propre et vert, vous obtenez potentiellement des investissements.
Si vous êtes considéré comme un pollueur de carbone comme le sont aujourd’hui les industries du pétrole, du gaz et du charbon, les flux de capitaux mondiaux désinvestiront ou éviteront de vous financer.
La cible immédiate de cette cabale financière est l’épine dorsale de l’économie mondiale, l’industrie pétrolière et gazière ainsi que le charbon. [Cela a également des implications géopolitiques et stratégiques].
Les hydrocarbures attaqués
RépondreSupprimerLa cible immédiate de ce cartel financier est l'épine dorsale de l'économie mondiale, le secteur du pétrole, du charbon et du gaz naturel. Les analystes de l’industrie pétrolière prédisent qu’au cours des cinq prochaines années ou moins, les flux d’investissement dans le plus grand secteur énergétique du monde diminueront considérablement. "Étant donné l'importance cruciale de la transition énergétique pour les perspectives de croissance de chaque entreprise, nous demandons aux entreprises de divulguer un plan sur la façon dont leur modèle commercial sera compatible avec une économie nette zéro", a déclaré le président-directeur général de BlackRock Larry Fink a écrit dans sa lettre de 2021 aux PDG. Blackrock est le plus grand groupe d’investissement au monde avec plus de 7 000 milliards de dollars à investir. Un autre responsable de BlackRock a déclaré lors d'une récente conférence sur l'énergie : "là où BlackRock va, d'autres suivront."
"Pour continuer à attirer des capitaux, les portefeuilles doivent être construits autour d'actifs de base privilégiés : des barils à faible coût, à longue durée de vie et à faible intensité de carbone", a déclaré. une>conseil en énergie, vice-président de l'exploration mondiale chez WoodMac, un Andrew Latham
L’administration Biden tient déjà sa promesse d’éliminer progressivement le pétrole et le gaz en interdisant les nouvelles concessions sur les terres fédérales et offshore ainsi que l’oléoduc Keystone XL. Le secteur pétrolier et gazier et ses dérivés comme la pétrochimie sont au cœur de l’économie mondiale. Les 50 plus grandes sociétés pétrolières et gazières du monde, qu’elles soient publiques ou cotées en bourse, ont enregistré des revenus d’environ 5 400 milliards de dollars en 2015.
Alors que la nouvelle administration Biden renforce son opposition idéologique aux soi-disant combustibles fossiles, le monde connaîtra un déclin précipité des investissements pétroliers et gaziers. Le rôle des mondialistes de Davos et des acteurs financiers ESG est là pour garantir cela.
Et les perdants seront nous.
Les prix de l'énergie vont monter en flèche, comme ils l'ont fait lors des récentes tempêtes de neige au Texas. Le coût de l’électricité dans les pays industrialisés deviendra prohibitif pour l’industrie manufacturière. Mais repose-toi bien. Tout cela fait partie de la Grande Réinitialisation en cours et de sa nouvelle doctrine d'investissement ESG.
En 2010, le chef du Groupe de travail 3 du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations Unies, le Dr Otmar Edenhofer, a déclaré lors d'un entretien : « ... il faut dire clairement que nous redistribuons de facto la richesse mondiale par la politique climatique. Il faut se libérer de l’illusion selon laquelle la politique climatique internationale est une politique environnementale. Cela n'a presque plus rien à voir avec la politique environnementale… » La grande réinitialisation du WEF n'est pas simplement une grande idée de Klaus Schwab réfléchissant à la dévastation économique du coronavirus. Cela a été planifié depuis longtemps par les maîtres de l'argent.
https://www.globalresearch.ca/great-reset-follow-money/5740424
Corrélation à 100 % des températures moyennes avec les heures d’ensoleillement ! Le gaz carbonique n’y est pour rien !Heureusement moins de pollution c’est moins de nuages et plus d’ensoleillement et donc de chaleur
RépondreSupprimerle 17 décembre 2023
par pgibertie
C’est ici…. Corrélation à 100 % des températures moyennes avec les heures d’ensoleillement : Les 5 dernières années, toutes deux en hausse de 10 % sur une moyenne de 100 ans. Les 10 dernières années, en hausse de 5 % sur 40 ans en moyenne Corrélation nulle avec le gaz carbonique 2022 18,8 % de soleil en plus que dans les années 1960.
Albdéo inférieur et couverture nuageuse → température plus élevée Le soleil influence les GCR (rayons cosmiques galactiques) qui influencent la formation de la couverture nuageuse
Selon les données CERES (disponibles ici : https://ceres-tool.larc.nasa.gov/ord-tool/jsp/EBAFTOA42Selection.jsp… ), l’albédo planétaire de la Terre a diminué de 0,5 %-0 ,6 % entre le début des années 2000 et aujourd’hui. Cela a augmenté la quantité de lumière solaire absorbée par la planète de près de 2,5 W m-2, provoquant le réchauffement observé au cours des 23 dernières années.
On peut aussi se demander si la réduction de la pollution en EUROPE (et c’est une bonne chose) n’explique pas la réduction des aérosols et donc des nuages…. C ‘est tout bête mais scientifique:
https://acp.copernicus.org/articles/22/12221/2022/
En conclusion, il existe des signaux clairs, robustes et cohérents indiquant une baisse nette de l’influence des aérosols anthropiques sur le climat au cours de la période depuis 2000, c’est-à-dire la période pour laquelle des récupérations satellitaires de haute qualité de toutes les quantités pertinentes sont disponibles. Les régions dans lesquelles les émissions d’aérosols ont diminué (en particulier l’Amérique du Nord, l’Europe et l’Asie de l’Est) dominent les régions où les tendances sont à la hausse.
La recherche suggère que la réduction des émissions de polluants en Europe, grâce à la réglementation, conduit à une réduction des quantités d’aérosols dans l’atmosphère. Cela conduit à une augmentation du rayonnement solaire atteignant la surface, avec des impacts potentiels sur l’intensité des vagues de chaleur et les températures de l’eau de surface, ce qui pourrait augmenter la gravité des sécheresses.
https://www.climato-realistes.fr/contribution-des-aerosols-au-changement-climatique-observe-en-europe/
Les données au Royaume Uni et en dessous en Europe, les heures d’ensoleillement et les températures
- voir graph sur site -
Marco Nius:
RépondreSupprimerLe Giec a une « très grande confiance » dans le fait que les modèles soient incertains en raison de la faible compréhension des processus nuageux
Dr Brigitte Van Vliet-Lanoë, Directeur de recherche CNRS, émérite
La majeure partie du réchauffement climatique récent étant due à des changements dans l’activité solaire et des vents solaires, ce réchauffement est principalement d’origine naturelle, probablement tidale, au sein du système solaire (Connely et al, 2021). Il présente en outre de très fortes similarités avec les perturbations de la période préindustrielle et plus particulièrement les DO ou évènements de Bond qui ont rythmés l’Holocène et au moins le dernier glaciaire.
La deuxième moitié du XXe siècle a été marquée par un pic d’activité solaire, également modélisé par l’IPCC (GIEC ; fig.3). Ce pic mesuré s’est terminé depuis l’an 2003, et le cycle solaire 24 (2008-2019) a été marqué par une première réduction spectaculaire d’activité solaire. Plusieurs auteurs annoncent un premier minimum d’activité pour les cycles 25 à 27 (2020-2053) comme Keeling & Whorf (2000) et Zharkova et al. (2015). L’activité solaire devrait donc continuer à se réduire par étapes pour atteindre un nouveau Grand minimum comparable à celui de Maunder au XXIVe siècle (Keeling & Whorf, 2000). Ce Grand Minimum et la période clame qui suit, pourrait signer vers 2300 l’entrée très progressive de la planète Terre dans la prochaine glaciation, comme pour la majorité des cyclicités, après un interglaciaire qui aura duré pratiquement 10.000 ans ou 15.000 ans si on se refaire au début de la déglaciation dans l’hémisphère sud.
Cette réduction d’activité solaire est à mettre en regard (i) du ralentissement rapide de la circulation thermohaline, (ii) du rabattement progressif du Gulf Stream vers l’Afrique du Nord au détriment de l’Atlantique Nord, et enfin, (iii) de la remontée estivale en latitude anormalement faible de l’ITCZ vers le nord : tous ces éléments accompagnent un processus de refroidissement de l’Atlantique Nord et du Pacifique Nord qui ont déjà démarré et se font nettement sentir cette année 2022. Cette tendance est renforcée des précipitations dépressionnaires limitées mais parfois exceptionnelles en hiver, des remontées « caniculaires » d’air tropical ou désertique marquées même en hiver. Cette situation a pour résultat un déficit pluviométrique estival majeur couplé à un ensoleillement élevé depuis la fin avril sur l’Europe et une aridification similaire à celle des années 1960-1980.
https://www.climato-realistes.fr/les-anticyclones-mobiles-polaires-ou-amp-mecanismes-logiques-de-forcage-de-la-meteo-2-2/
https://pgibertie.com/2023/12/17/correlation-a-100-des-temperatures-moyennes-avec-les-heures-densoleillement-le-co2-ny-est-pour-rien-heureusement-moins-de-pollution-cest-moins-de-nuages-et-plus-densoleillement/
31% des humains produisent du méthane et menacent la planète ! Que faire d’eux dans le monde woke de demain ?
RépondreSupprimerle 18 décembre 2023
par pgibertie
L’écolo wokisme est une idéologie dangereuse qui détruit les économies occidentales et qui s’en prend maintenant aux vaches, au chiens et chats. A quand les humains?
La très sérieuse étude suivante n’en est pas loin…
Le but de cette étude est avoué: culpabiliser (en attendant plus) les carnivores ! Hélas les végétariens produisent autant de méthane que les autres. Une piste cependant, 40% des vieux produisent du méthane contre 20% des jeunes… Coucou les boomers! L’eugénisme serait elle une piste?
Et pourtant,
https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0295157
L’haleine humaine expirée peut contenir de petites concentrations élevées de méthane (CH4) et d’oxyde nitreux (N2O), qui contribuent tous deux au réchauffement climatique. Ces émissions humaines ne sont pas bien comprises et sont rarement quantifiées dans les inventaires mondiaux de gaz à effet de serre. Cette étude a étudié les émissions de CH4 et de N2O dans l’haleine humaine. auprès de 104 volontaires de la population britannique, pour mieux comprendre les causes de ces émissions et quantifier les estimations à l’échelle nationale.
Sur la base d’un échantillon de 104 volontaires, nous estimons que la population productrice de méthane (MP) au Royaume-Uni est de 25 % pour les personnes âgées de moins de 30 ans et de 40 % pour celles de plus de 30 ans. Nous n’avons trouvé aucune corrélation entre l’alimentation et les émissions
nous invitons à la prudence quant à l’hypothèse selon laquelle les émissions d’origine humaine sont négligeables. Nous rapportons uniquement les émissions respiratoires dans cette étude, et les émissions de flatulences sont susceptibles d’augmenter ces valeurs de manière significative, bien qu’aucune littérature ne caractérise ces émissions pour les habitants du Royaume-Uni.
Le but de cette étude était exploratoire, afin de déterminer si certains régimes alimentaires génériques avaient un impact global sur les émissions de ces gaz par un individu, ce qui ne semble pas être le cas. Amélioration de la concentration de CH4 et de N2O dans la respiration de les végétariens et les consommateurs de viande sont de même ampleur. Sur la base de ces résultats, nous pouvons affirmer que, lors de l’estimation des émissions d’une population au Royaume-Uni, il est peu probable que le régime alimentaire ou les futurs changements de régime alimentaire soient importants lors de l’estimation des émissions dans l’ensemble du Royaume-Uni.
RépondreSupprimerhttps://pgibertie.com/2023/12/18/31-des-humains-produisent-du-methane-et-menacent-la-planete-que-faire-deux-dans-le-monde-woke-de-demain/
(...) 31% des humains produisent du méthane et menacent la planète ! (...)
Supprimer31% des humains produisent du méthane qui se recycle IMMÉDIATEMENT et 'menacent' la planète !
Une « méga explosion froide » frappe la Chine alors que les températures atteignent des niveaux record
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 18 DÉCEMBRE 2023 - 02:25
La plus forte vague de froid de cet hiver a frappé de vastes étendues de Chine alors que les températures dans le Shanxi, le Hebei et le Liaoning ont plongé dimanche à leurs niveaux les plus bas jamais enregistrés.
Reuters a cité un prévisionniste météorologique de la ville de Yichun dans le Heilongjiang, située dans le nord-est du pays, qui a déclaré que les températures pourraient atteindre un minimum record de moins 47,9 °C au début de la semaine prochaine.
Les données de Bloomberg montrent que les températures moyennes à travers la Chine ont plongé bien en dessous des tendances sur 30, 10 et 5 ans pour cette période de l'année, à environ 27 °C.
- voir graph sur site -
"Le temps en Chine, y compris à Pékin, est le mois de décembre le plus froid depuis plus de 50 ans. Des avertissements d'urgence climatique ont été déclarés pour un froid extrême", a écrit Ryan Maue, météorologue et ancien scientifique en chef de la NOAA, sur X.
RUPTURE : La météo en Chine 🇨🇳, y compris à Pékin, est la température de décembre la plus froide depuis plus de 50 ans. Des avertissements d’urgence climatique ont été déclarés pour des froids extrêmes.
ZBAA 172000Z 00000MPS CAVOK M18/M20 Q1036 NOSIG
-18°C = -0,4°F pic.twitter.com/LHc2rjWhd2
– Ryan Maue (@RyanMaue) 17 décembre 2023
La vague de froid en Chine a été rapide et brutale.
Du chaud record au froid record ! Aujourd'hui, 30 stations du nord de la Chine ont battu le record de température la plus basse du mois de décembre, et 5 stations ont battu le record de température la plus basse de toute l'année ! @extremetemps @ThierryGooseBC pic.twitter.com/urBA1wI7I0
– Jim Yang (@yangyubin1998) 17 décembre 2023
Pendant ce temps, la Russie bénéficie de « la méga-explosion continue de froid extrême », a déclaré Maue.
Pendant la méga-explosion de froid extrême en cours, les flux de gaz naturel russe transitant par le gazoduc Power of Siberia ont atteint des niveaux records. https://t.co/w0TH3fRs2Q pic.twitter.com/HbLSYAM2KQ
RépondreSupprimer– Ryan Maue (@RyanMaue) 17 décembre 2023
Vendredi, les médias chinois Xinhua ont déclaré que le président Xi Jinping avait appelé à « des efforts tous azimuts » en réponse d'urgence au temps froid.
Alors que la Chine gèle, le blog météo Severe Weather Europe a averti la semaine dernière que « des anomalies de froid dans une grande partie du centre, du sud et de l'est des États-Unis » pourraient commencer après la nouvelle année.
https://www.zerohedge.com/weather/mega-cold-blast-hits-china-temps-hit-record-lows
Il est temps d’introduire l’énergie nucléaire dans le 21e siècle
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 17 DÉCEMBRE 2023 - 15H20
Rédigé par Jack Spencer via RealClear Politics,
Le côté positif de la conférence COP28 des Nations Unies sur le réchauffement climatique qui se tient ce mois-ci est le consensus croissant selon lequel l’énergie nucléaire est essentielle pour atteindre les objectifs nationaux de réduction du dioxyde de carbone.
Refuser au monde l’accès à des carburants propres et abordables comme le gaz, le pétrole et le charbon est un réel problème. Mais reconnaître que l’énergie nucléaire doit jouer un rôle central dans notre avenir énergétique est un grand pas en avant, qui devrait bénéficier d’un large soutien, quelle que soit l’opinion de chacun sur la réduction des émissions de gaz carbonique.
Mais pour se lancer dans le nucléaire, il faut réfléchir en profondeur à la politique énergétique nucléaire, ce qui implique de remettre en question la mentalité de subvention d’abord qui définit la politique énergétique américaine depuis des décennies.
L’objectif ne devrait pas être de construire quelques centrales nucléaires. Nous devrions plutôt nous efforcer de créer une industrie nucléaire économiquement durable, compétitive, innovante et typiquement américaine.
Cela nécessitera un réalignement des responsabilités. Le rôle du gouvernement devrait être de protéger la santé et la sécurité du public. Le rôle du secteur privé devrait être d’exploiter un secteur nucléaire commercial compétitif.
Cela signifie se débarrasser des subventions, repenser la réglementation et sortir Washington de la gestion des déchets nucléaires. Washington devrait avoir un rôle de réglementation, mais pas son rôle actuel de PDG du nucléaire.
La raison est simple : les gouvernements ne sont pas bons en affaires, car ils prennent des décisions basées sur la politique plutôt que sur le bon sens économique. Cela ne donne jamais lieu à une industrie prospère.
Certains soutiennent que l’énergie nucléaire nécessite davantage de contrôle gouvernemental, suggérant que le nucléaire présente plus de risques financiers, techniques et politiques que d’autres industries.
RépondreSupprimerMais tous les grands projets comportent des risques financiers. Les raffineries de pétrole privées peuvent coûter des milliards de dollars, et des projets tels que des gratte-ciel, des terminaux d’exportation de gaz naturel liquéfié et d’autres grands projets industriels nécessitent tous d’énormes dépenses en capital. Les entreprises et les particuliers prennent régulièrement de gros risques financiers.
Ensuite, il y a le risque technologique. Mais le nucléaire n’est pas vraiment différent des autres industries. Avec 440 réacteurs nucléaires en activité dans le monde, le risque technique pour la technologie existante est relativement faible. L’industrie sait comment construire et exploiter des centrales nucléaires.
Les risques technologiques possibles liés aux nouvelles conceptions ne dépassent pas ceux posés par l’innovation dans d’autres secteurs de pointe, comme la fracturation hydraulique ou l’exploration énergétique offshore. e. Au-delà de cela, en ce qui concerne l’énergie nucléaire, il existe une vaste infrastructure de recherche fédérale à laquelle le secteur privé peut accéder pour aider à atténuer ce risque.
Toutefois, le risque politique est réel et particulièrement élevé dans le domaine de l’énergie nucléaire, et il exacerbe les calculs de risques financiers et techniques. Toute justification de l’intervention gouvernementale repose sur l’atténuation des risques imposés par le gouvernement.
Mais voici le problème.
Lorsque le gouvernement intervient pour atténuer un risque qu’il a créé, il ajoute une autre couche de risque politique. Pire encore, cela crée une dépendance, fausse les flux de capitaux, encourage la recherche de rente et le lobbying, et oblige les entreprises à allouer des ressources pour satisfaire les politiciens et les bureaucrates plutôt que d’améliorer leurs activités.
Cela crée des désalignements entre les responsabilités et les autorités et compromet l’efficacité économique.
Pire encore, la politique change souvent, ce qui rend difficile la construction d’un modèle économique durable autour des préférences politiques. Au mieux, cette approche pourrait produire quelques réacteurs ou maintenir certaines entreprises hors de l’eau, mais elle ne produira pas une industrie nucléaire robuste, compétitive et innovante. L’échec est probable.
La question majeure est la suivante : comment l’Amérique minimise-t-elle le risque politique et permet-elle au secteur privé de gérer d’autres risques, afin qu’une industrie robuste puisse émerger ?
RépondreSupprimerCela nécessitera de modifier le rôle du ministère de l’Énergie, de réformer la réglementation audacieuse et de résoudre le problème de la gestion des déchets nucléaires.
Nous devons retirer totalement le ministère de l’Énergie du secteur de la commercialisation du nucléaire. Le problème n’est pas que les gens ne font pas leur travail, le problème réside dans la nature du gouvernement.
Le Ministère ne devrait pas financer de subventions, de prêts ou de projets de démonstration. Il ne devrait pas non plus tenter d’améliorer le fonctionnement ou la rentabilité des usines existantes ou des nouvelles technologies. Le secteur privé peut y parvenir mieux que le gouvernement.
Le ministère de l’Énergie a un rôle important à jouer dans la recherche nucléaire et la découverte scientifique, mais il doit s’éloigner le plus possible de toute commercialisation ou opération commerciale.
Qu’en est-il de la réglementation ?
Des efforts utiles sont déployés pour améliorer la Commission de réglementation nucléaire. Un processus réglementaire efficace, prévisible et abordable pour les nouvelles technologies de réacteurs est essentiel.
Mais l’Amérique doit voir plus grand.
Par exemple, les États pourraient être autorisés à jouer un rôle plus important dans la réglementation des centrales nucléaires. La loi sur l’énergie atomique de 1954 autorise déjà les États à réglementer certaines matières nucléaires. Cela devrait être élargi. Les États pourraient réglementer la technologie des réacteurs existants et la NRC pourrait se concentrer sur les nouvelles technologies. Tous les États ne profiteront pas de cette opportunité, mais certains le feront.
Il s’agit d’une proposition raisonnable dans la mesure où les services publics américains exploitent en toute sécurité de grands réacteurs à eau légère depuis plus de 50 ans. L’Amérique ne devrait pas réglementer les grands réacteurs à eau légère en les considérant comme une technologie nouvelle et effrayante, car elle n’est ni nouvelle ni effrayante. Le fardeau réglementaire devrait être considérablement allégé pour ces réacteurs.
Le personnel du CNRC ne devrait pas être le seul à pouvoir examiner les demandes de permis et autres travaux d'examen réglementaire. Les entreprises privées devraient pouvoir rivaliser pour ce secteur. Ils allégeraient la charge du CNRC et feraient probablement un travail plus rapide et à moindre coût.
RépondreSupprimerEnfin, les entreprises devraient être autorisées à construire des réacteurs en dehors du régime réglementaire existant de la NRC si elles souscrivent leur propre assurance responsabilité civile contre les accidents. En échange, ils renonceraient à participer au programme fédéral Price-Anderson qui offre actuellement une couverture responsabilité civile.
Certains pourraient se demander si les assureurs privés couvriraient un réacteur nucléaire en l’absence d’un filet de sécurité gouvernemental. Mais étant donné les résultats exceptionnels en matière de sécurité des réacteurs existants et les promesses selon lesquelles les nouvelles technologies seraient plus sûres, cela devrait être une option. L’assurance prend de nombreuses formes et personne ne peut prédire ce qui pourrait en résulter.
Quoi qu’il en soit, le secteur de l’assurance est extraordinairement sophistiqué et fait un travail formidable en matière de tarification des risques. Il sera efficace pour garantir que seules les centrales nucléaires les plus sûres soient construites.
Enfin, se pose la question de savoir que faire des déchets nucléaires – ou, plus précisément, du combustible nucléaire usé.
Le gouvernement fédéral a assumé la responsabilité de la gestion du combustible nucléaire usé du pays en 1982. En retirant la responsabilité aux producteurs de combustible usé, la Loi sur la politique en matière de déchets nucléaires de 1982 a supprimé toute incitation pour l'industrie nucléaire à intégrer la gestion du combustible usé dans sa planification commerciale à long terme et il a plutôt laissé le soin aux bureaucrates de Washington. Cela ne devrait surprendre personne que le plan ait échoué.
Des réformes sont nécessaires pour reconnecter l’industrie nucléaire à la gestion des déchets. Les réformes permettraient l’émergence d’une industrie privée du combustible usé qui stimulerait l’innovation dans les technologies des réacteurs et le traitement du combustible usé. Ils permettraient à l'industrie nucléaire et aux communautés de s'engager dans de véritables négociations, liées par des contrats légaux, pour construire et exploiter des installations de gestion du combustible usé.
Il ne fait aucun doute que les réformes proposées constituent un changement majeur par rapport au statu quo, mais elles sont raisonnables et non radicales. Ils favoriseraient la bonne gouvernance et le progrès économique dans l’industrie. Alors que les représentants de la COP28 discutent de la manière de réduire les émissions de carbone tout en augmentant le niveau de vie mondial, l’énergie nucléaire devrait être au premier plan.
RépondreSupprimerJack Spencer est chercheur principal en politique énergétique et environnementale à la Heritage Foundation.
https://www.zerohedge.com/energy/time-bring-nuclear-energy-21st-century
Plus de charbon brûlé sur Terre en 2023 que jamais auparavant dans l’histoire de l’humanité
RépondreSupprimerPar Jo Nova
December 18th, 2023
Le secret le mieux gardé au monde est que les humains utilisent plus de charbon que jamais.
Voilà pour le « bien mort échoué ». En 2022, le monde a établi un nouveau record absolu de consommation de charbon, atteignant 8,4 milliards de tonnes. En 2023, malgré tous les milliards de dépenses Net Zero, malgré le boom des éoliennes et des panneaux solaires, la demande mondiale de charbon dépassera 8,54 milliards de tonnes.
L’AIE est « l’Agence internationale de l’énergie » – censée être la servante impartiale des contribuables de 31 pays. Pourtant, ils ont décidé d’ignorer le record mondial et de nous dire à la place comment le charbon est appelé à décliner. C’est ce qu’ils pensent que les contribuables doivent entendre. Leur communiqué de presse :
La demande mondiale de charbon devrait diminuer dans les années à venir
C’est presque comme si l’AIE travaillait pour l’industrie des énergies renouvelables et ses investisseurs bancaires ? M. Vestas lui-même aurait difficilement pu écrire un titre plus réussi pour cacher la vérité et tromper les contribuables.
L’AIE prédit depuis des années la fin du charbon. En 2017, l’AIE nous disait que la Chine abandonnerait le charbon, car d’ici 2025-2030, « l’énergie solaire serait moins chère que le charbon ». Au lieu de cela, la Chine brûle plus de charbon que jamais et la saison des rapports trimestriels a été un bain de sang pour les industries solaire et éolienne, car des projets sont annulés en raison de la hausse de leurs coûts.
En 2023, la Chine utilise plus de la moitié du charbon total de la planète, soit 4,5 milliards de tonnes sur un total de 8,5 milliards de tonnes.
Les trois plus grands producteurs de charbon au monde sont la Chine, l’Inde et l’Indonésie, qui représentent 70 % de la production mondiale. L’AIE est convaincue que la consommation de charbon diminuera d’un jour à l’autre, mais le taux de croissance de la consommation de charbon en Chine était de 5 % en 2023, et celui de l’Inde de 8 %. Ce ne sont guère des signes du plateau avant l’automne.
- voir graph sur site -
La production de charbon atteint un niveau record. Graphique AIE.
RépondreSupprimerNotez comment l'AIE ajoute sa « projection » préférée à la fin
Pour mettre en perspective le succès de la transition vers les énergies renouvelables dans la réduction du charbon : l’Australie possède plus de panneaux solaires par habitant que tout autre pays, et bien que la consommation mondiale de charbon soit de 8 536 Mt, en 2022, la consommation australienne de charbon a diminué de 5 Mt au total. a dû dépenser dix milliards de dollars pour y parvenir :
La consommation globale de charbon en Australie est passée de 100 Mt en 2021 à 95 Mt en
2022 et on estime qu’il a poursuivi sa baisse au cours de 2023 avec une réduction de 4%.
Réjouissez-vous, la consommation mondiale de charbon est réduite de six centièmes de pour cent grâce à l'objectif australien en matière d'énergies renouvelables et au marché des émissions du mécanisme de sauvegarde.
En Occident, les plus grandes réductions de la consommation de charbon sont venues des usines exportant vers la Chine, ce qui, bien entendu, ne réduit pas du tout la consommation mondiale de charbon. Et réfléchissez à la rapidité incroyable avec laquelle la transition vers le charbon a été – de l’Ouest vers l’Est :
Cette année, la Chine, l’Inde et l’Asie du Sud-Est devraient représenter les trois quarts de la consommation mondiale, contre seulement un quart environ en 1990.
Il y a juste une génération…
https://joannenova.com.au/2023/12/more-coal-burned-on-earth-in-2023-than-ever-before-in-human-history/
Insecticides et spermatozoïdes : autopsie d'un désastre médiatique sur fond d'article scientifique sujet à critiques
RépondreSupprimer18 Décembre 2023
Selon une méta-analyse ayant exploité une vingtaine d'articles scientifiques (seulement... et l'article scientifique que nous commentons n'est pas clair sur ce point) la différence moyenne [...] de la concentration de sperme entre les hommes adultes plus ou moins exposés aux insecticides était de moins 30 %... Ah oui, mais il s'agit des seuls insecticides organophosphorés et carbamates. Ah oui, mais l'intervalle de confiance se rapproche de la non-signification (-49 % – -10 %)... Ah oui, mais il y a quelques soucis... Ah oui, mais trois auteurs sont liés au sulfureux Institut Ramazzini...
La George Mason University, dont relève l'auteure principale publie un communiqué de presse critiquable, avec des déclarations anxiogènes... des médias s'engouffrent...
Slate : petite immersion dans un certain « journalisme »
La page d'accueil de mon ordinateur – MSN – m'a branché sur un article de Slate, « Les insecticides tuent aussi les spermatozoïdes ». Il a été « [r]epéré par Léa Polverini », ce qui signale une maladie endémique de la faune médiatique : le copier-paraphraser.
En chapô :
« Dans les champs ou via l'alimentation, l'exposition aux pesticides peut réduire la fertilité masculine. »
On appréciera la logique de la prose : les « insecticides » (en général, notons-le déjà à ce stade) du titre putaclic deviennent des « pesticides » dans le chapô... L'affirmation péremptoire du titre devient conjecturale dans le chapô... De l'excellent journalisme, donc.
On appréciera aussi la photo d'illustration, un montage propagandiste au mieux risible. On imagine le personnage traiter un champ plutôt immense (la photo a été recadrée) avec un pulvérisateur à dos...
Reproduisons encore le premier paragraphe qui a l'avantage de résumer le propos... et de fournir un lien :
« Au cours des cinquante dernières années, la concentration de spermatozoïdes a chuté de près de la moitié. D'après une récente étude publiée par des chercheuses dans la revue scientifique Environmental Health Perspectives, la diffusion massive des insecticides à travers le monde pourrait avoir sa part de responsabilités dans cette menace pour la fertilité masculine.
RépondreSupprimerOh là là ! Une « diffusion massive », toujours « des insecticides »... Une « menace pour la fertilité »... Mais avec un semi-auxiliaire au conditionnel... On n'est jamais trop prudent !
Avez-vous dit « sciences », Futura-Sciences ?
Mais où Mme Léa Polverini a-t-elle pu trouver son inspiration ? Un autre article, plus ancien, en français a été publié par Futura-Sciences. Le titre – « Les chercheurs associent le déclin mondial du nombre de spermatozoïdes avec les insecticides » – est presque tout aussi putaclic : deux articles définis...
Et voici le chapô :
« Comment expliquer la baisse du nombre de spermatozoïdes de ces cinquante dernières années ? Les facteurs environnementaux (perturbateurs endocriniens, pesticides, radiations) constituent une piste intéressante. Une méta-analyse montre une association forte entre cette baisse et les insecticides comme le controversé glyphosate. »
Et bing ! Le glyphosate est un insecticide...
TF1 (dés-)Info insiste sur le glyphosate
TF1 Info a aussi publié un article le 20 novembre 2023 en l'assortissant d'une séquence vidéo certes relative aux problèmes de fertilité, mais sans lien avec le sujet traité. Le titre – « Infertilité : un lien "fort" entre les pesticides et la baisse des spermatozoïdes, selon une étude » – serait presque raisonnable... mais il y a « les pesticides »...
Les points forts :
Une analyse menée sur cinquante ans met en évidence l’effet néfaste d'insecticides répandus sur la fertilité masculine, dont le glyphosate.
Ces derniers contribueraient à faire diminuer nettement la concentration en spermatozoïdes.
Et dans le gloubi-boulga :
« Alors que la Commission européenne vient pour rappel de renouveler l’autorisation du glyphosate pour dix ans, Melissa Perry, premier auteur de l’étude s'alarme de ce lien de cause à effet désormais avéré : "Les preuves disponibles ont atteint un point où nous devons prendre des mesures réglementaires pour réduire l’exposition aux insecticides". »
RépondreSupprimerTop Santé, top insanité...
Pour Mme Catherine Cordonnier, « [p]roductrice de contenu pour les rubriques médecine, médecines douces, nutrition, minceur », l'affaire est pliée. En titre : « Voici pourquoi vous avez moins de spermatozoïdes que votre grand-père » !
J'ai une petite envie de m'amuser : si ma tante en avait, je l'appellerais « mon oncle »...
Qu'a-t-elle dans le ventre, cette étude ?
La source de l'excitation française semble être un articulet de Reporterre, « Plus de pesticides, moins de spermatozoïdes, prouvent 50 ans d’études », publié le 15 novembre 2023. Trois paragraphes, dont :
- voir cadre sur site -
« Il existe un lien "fort, robuste et constant" entre l’exposition aux insecticides et une faible concentration en spermatozoïdes dans le sperme. C’est ce que montre une méta-analyse publiée le 15 novembre dans la revue scientifique Environmental Health Perspectives. »
La méta-analyse, c'est « Adult Organophosphate and Carbamate Insecticide Exposure and Sperm Concentration: A Systematic Review and Meta-Analysis of the Epidemiological Evidence » (exposition des adultes aux insecticides organophosphorés et carbamates et concentration dans le sperme : une revue systématique et une méta-analyse des preuves épidémiologiques) de Lauren B. Ellis et al.
En voici le résumé :
« Contexte :
Les preuves de l'impact négatif de l'utilisation contemporaine des insecticides sur la concentration en spermatozoïdes se sont multipliées au cours des dernières décennies ; toutefois, les méta-analyses sur ce sujet sont rares.
RépondreSupprimerObjectifs :
Cette étude a évalué la force qualitative et quantitative des preuves épidémiologiques concernant l'exposition des adultes à deux classes d'insecticides d'usage contemporain – les organophosphorés (OP) et les carbamates N-méthyliques (NMC) – ainsi que leur impact sur la concentration en spermatozoïdes en utilisant des méthodes d'examen systématique et de méta-analyse robustes et reproductibles.
Méthodes :
Trois bases de données scientifiques (PubMed, Scopus et Web of Science), deux bases de données du gouvernement américain (NIOSHTIC-2 et Science.gov) et cinq sites Web d'organisations non gouvernementales ont été consultés pour trouver des études épidémiologiques primaires pertinentes publiées dans n'importe quelle langue jusqu'au 11 août 2022. Le risque de biais et la force des preuves ont été évalués conformément à la méthodologie d'examen systématique du Guide de navigation. Les tailles d'effet de la différence moyenne standardisée corrigée des biais ont été calculées et regroupées à l'aide d'un modèle de méta-analyse à effets aléatoires multivariés à trois niveaux avec estimation de la variance en grappes.
Résultats :
Sur 20 études, 21 populations étudiées, 42 tailles d'effet et 1.774 hommes adultes, la différence moyenne standardisée ajustée aux biais et regroupée de la concentration de sperme entre les hommes adultes plus ou moins exposés aux insecticides OP et NMC était de –0,30 (IC À 95 % : –0,49, –0,10) ; PSatt < 0,01). Des analyses de sensibilité et de sous-groupes ont exploré l'hétérogénéité statistique et validé la robustesse du modèle. Bien que l'estimation de l'effet regroupé ait été modifiée par le risque de biais, la classe d'insecticides, le contexte d'exposition et le contexte de recrutement, elle est restée négative dans toutes les méta-analyses. L'ensemble des preuves a été jugé de qualité moyenne, avec des preuves suffisantes d'une association entre une exposition plus élevée aux insecticides OP et NMC chez l'adulte et une concentration plus faible en spermatozoïdes.
Discussion :
Cette enquête exhaustive a permis de trouver des preuves suffisantes d'une association entre une exposition plus élevée aux insecticides OP et NMC et une concentration plus faible de spermatozoïdes chez les adultes. Bien que des études de cohortes supplémentaires puissent être utiles pour combler les lacunes des données, la force des preuves justifie la réduction de l'exposition aux insecticides OP et NMC dès à présent afin de prévenir les dommages persistants sur la reproduction masculine. https://doi.org/10.1289/EHP12678
Et donc...
RépondreSupprimerSe fondant sur un article scientifique au titre explicite, les auteurs des articles décrits ci-dessus, et de quelques autres, se réfèrent sans vergogne qui aux insecticides, en général, qui même aux pesticides en général !
On arrive même à incriminer le glyphosate !
Qu'a-t-elle dans le ventre, cette étude ? (Bis)
L'article scientifique a été commenté dans « Invited Perspective: Risk of Bias Assessments, Target Trials, and the Strengths of Environmental Epidemiology » (point de vue invité : évaluations du risque de biais, essais ciblés et forces de l'épidémiologie environnementale) de Jonathan Huang.
Cet auteur en dit beaucoup de bien, mais sur le plan de la méthodologie des méta-analyses. Dont acte.
Comme d'autres méta-analyses, cette étude a le mérite de nous montrer l'ampleur d'un problème de la littérature scientifique : partant de 2.436 publications, les auteurs ont fini par n'en retenir que... 20.
Mais selon le tableau 1, qui décrit leurs caractéristiques générales, il y en aurait eu... 25. Et 27 selon la liste des origines géographiques. Ça fait tout de même désordre... et ça a passé les fourches (en principe) caudines de l'examen par les pairs.
Il y a sans doute eu de bonnes raisons pour l'extraordinaire élagage, mais il y en a qui interrogent, telles 116 études éliminées car affligées d'un mauvais protocole.
On rappellera ici que l'activisme est prompt à instrumentaliser toute étude qui va dans le sens de ses préjugés et, surtout, de son intérêt. Et n'a-t-on pas vu récemment des procès en partialité de la science réglementaire qui aurait écarté 95 % des études académiques sur le glyphosate ? Ici, on est à 99,18 % !
L'étude finale, comme indiqué dans le résumé, s'est donc limitée à 1.774 hommes adultes pour 21 populations étudiées et 42 tailles d'effet. Soit 84 personnes par population en moyenne, à répartir entre les cas et les témoins ou, selon les termes du résumé, les « plus ou moins exposés aux insecticides OP et NMC » – comprenne qui pourra.
Que faut-il penser des résultats ? Une différence moyenne standardisée […] « entre les hommes adultes plus ou moins exposés aux insecticides OP et NMC » de –0,30 (IC à 95 % : –0,49, –0,10) ? L'intervalle de confiance est proche de la non-signification.
Cela peut être visualisé dans le tableau ci-dessous.
RépondreSupprimer- voir cadre sur site -
Les auteurs écrivent dans leur discussion :
« Comme prévu, les expositions professionnelles ont montré une association plus forte avec une concentration de spermatozoïdes plus faible que les expositions environnementales. Ce résultat représente une relation dose-réponse étant donné que les travailleurs exposés en milieu professionnel subissent généralement des expositions plus élevées que la population générale.118 Il convient de noter que l'estimation de l'effet groupé dans les études sur l'exposition environnementale était faible et statistiquement non significative, ce qui peut être lié au nombre limité d'études disponibles sur l'exposition environnementale. Néanmoins, étant donné l'exposition généralisée à ces produits chimiques dans l'environnement,27 même une faible ampleur de l'effet pourrait avoir des conséquences sur la concentration de spermatozoïdes au niveau de la population. »
Quatre phrases... quatre assertions qui nous emmènent loin dans la « science » alternative. Comme trouver une relation dose-réponse à partir d'une exposition environnementale – avec un effet non significatif – et une exposition professionnelle. Ou expliquer la non-significativité d'un effet groupé par le nombre limité d'études, plutôt que par les niveaux de signification de chacune de ces études. Quant à la dernière phrase, il y a de quoi rester bouche bée ; c'est du style « les petits ruisseaux font les grandes rivières », étant entendu qu'en effet insignifiant sur une personne exposée par l'environnement reste un effet... insignifiant.
Et donc... (bis)
Et donc nos journaleux ont produit, ou plutôt reproduit, des articles anxiogènes sur la base d'une étude qui ne traite que des expositions à des insecticides organophosphorés et/ou carbamates occupationnelles ou « environnementales »... et qui fournit dans son résumé une différence moyenne globale, sans autres précisions.
Il faut donc entrer dans l'article pour s'apercevoir que les expositions « environnementales » n'ont pas produit un effet groupé statistiquement significatif.
Cela vient du reste avec une suggestion d'explication qui laisse sceptique, sinon pantois : les sept études concernées totalisaient en effet 1.774 personnes, soit 75 % de l'effectif total. Une explication bien plus vraisemblable est que l'absence de différence statistique est due à... une absence de différence statistique, liée à une absence d'effets sur le sperme. Mais nous nous répétons ici.
RépondreSupprimerDans les études « environnementales », on a comparé les qualités du sperme en fonction, par exemple, de la teneur des urines en métabolites des insecticides. Il y en a une, danoise, sur 251 agriculteurs, ventilés en trois groupes selon leur consommation de produits biologiques. Les auteurs de cette étude ont conclu que « l'apport alimentaire estimé de 40 pesticides n'entraîne pas de risque d'altération de la qualité du sperme ».
Ah, l'Institut Ramazzini...
Exposition professionnelle ? Le tableau 2 nous apprend que 6 entrées sur 25 (8 études sur 27 référencées dans la liste bibliographique) portaient sur des travailleurs de l'industrie agrochimique. Et, à la louche, l'effet groupé est nul ou quasiment dans leur cas.
L'étude ne précise pas les modalités de l'exposition professionnelle des applicateurs. Un monde sépare ceux qui utilisent un pulvérisateur à dos et ceux qui manipulent des bidons au moment de la préparation de la bouillie et traitent ensuite avec un tracteur à cabine fermée et climatisée.
Autrement dit, il y a le problème du danger, et celui du risque.
Est-il bien raisonnable de produire une recommandation de politique de santé publique – restrictive – dans le résumé quand la grande majorité des études ont été réalisées dans des pays en développement ? Et un tiers dans des usines ?
Les auteurs de l'étude écrivent dans la partie « Résultats » de leur résumé : « L'ensemble des preuves a été jugé de qualité moyenne... ». C'est sans doute honnête. Ils ajoutent : « ...avec des preuves suffisantes d'une association... ». C'est plus discutable.
Mais la partie « Discussion » se fait péremptoire : « la force des preuves justifie la réduction de l'exposition aux insecticides OP et NMC dès à présent afin de prévenir les dommages persistants sur la reproduction masculine. » Mais cela vient tout de même avec une précaution oratoire : c'est « réduction » et pas « interdiction »... Cela reste néanmoins du domaine de l'entourloupe activiste. D'autant plus que, sauf erreur, il n'a pas été démontré de dommages « persistants ».
Si on peut se permettre un ad hominem, ce n'est pas surprenant. Deux des auteurs, émargent à l'Institut Ramazzini, à la sulfureuse réputation de producteur d'études anxiogènes : Daria Sgargi et Daniele Mandrioli, directeur de son centre de recherche sur le cancer Cesare Maltoni.
RépondreSupprimerQuant à l'auteur principal, Melissa J. Perry, à l'impressionnant pédigrée, elle siège au comité scientifique de l'Institut Ramazzini.
Cela ne préjuge en rien de la qualité intrinsèque de l'étude, mais met la conclusion du résumé en perspective.
Ah, la communication institutionnelle...
La source du problème – au-delà de l'incompétence et du panurgisme des auteurs d'articles de médias – est à chercher prioritairement dans une communication institutionnelle qui amplifie les problèmes d'imprécision et surtout de dérive militante que nous avons identifiés dans l'article scientifique lui-même.
La George Mason University, dont relève l'auteure principale Melissa J. Perry, a produit un communiqué de presse intitulé : « New study finds association between insecticide exposure and lower sperm concentration in adult men » (une nouvelle étude établit un lien entre l'exposition aux insecticides et la baisse de la concentration de spermatozoïdes chez les hommes adultes).
Voilà la source de la référence aux insecticides en général. On peut aussi ergoter sur ce titre : si un lien a été établi, c'est par les études de base.
En chapô :
« Un examen systématique complet de 25 études réalisées sur une période de 25 ans révèle des preuves cohérentes d'un lien entre l'exposition aux insecticides et la baisse de la concentration de spermatozoïdes. »
Outre l'ambiguïté sur l'exposition aux insecticides («insecticide exposure », sans article), on a une nouvelle exagération sur les « preuves cohérentes ». Un simple regard sur le Forest plot du tableau/figure ci-dessus montre que c'est loin d'être le cas.
Notons incidemment que les « 25 ans » de ce communiqué deviennent... « 50 ans » dans une partie de la littérature médiatique française (exemple)...
RépondreSupprimerUne des auteurs est citée pour une déclaration générale, angoissante à souhait :
« "Il est essentiel de comprendre comment les insecticides affectent la concentration de spermatozoïdes chez l'homme, compte tenu de leur omniprésence dans l'environnement et des risques avérés pour la reproduction. Les insecticides sont une préoccupation pour la santé publique et pour tous les hommes, qui y sont exposés principalement par la consommation d'eau et d'aliments contaminés", déclare M. Ellis. »
C'est bateau et ballot ! Leur étude n'a apporté aucune contribution sur le « comment ». Et pour l'« omniprésence » et les « risques avérés », elle nous aura plutôt montré une absence de liens entre exposition environnementale aux insecticides organophosphorés et carbamates et réduction du nombre de spermatozoïdes (ne pas tirer de conclusions trop hâtives de ce constat).
Mais le but principal de cette communication n'est-il pas de faire parler de l'étude et de ses auteurs ? L'exactitude scientifique et l'impact sur une « clientèle » peu ou pas informée – et réfractaire à l'effort de compréhension – sont secondaires...
Une partie de la médiasphère française vient de nous le démontrer. Le plus préoccupant, à cet égard, est l'irresponsabilité de nombre de sites qui se consacrent à la santé.
https://seppi.over-blog.com/2023/12/insecticides-et-spermatozoides-autopsie-d-un-desastre-mediatique-sur-fond-d-article-scientifique-sujet-a-critiques.html
Allemagne : il ne s'agit pas seulement du gazole agricole...
RépondreSupprimer18 Décembre 2023
Willi l'agriculteur*
Ma note : En Allemagne aussi, l'exaspération grandit.
Au cours des dernières 24 heures, j'ai lu d'innombrables informations et opinions sur les réseaux sociaux et ailleurs. J'ai constaté que tant le FDP que les Verts se trouvent manifestement en ce moment dans l'opposition. Ils se déclarent actuellement l'un l'autre responsable des projets visant à faire payer à l'agriculture 1 milliard d'augmentation d'impôts.
Le soi-disant chancelier Olaf Scholz (juriste, SPD) ne s'exprime pas, mais il est actuellement à Bruxelles, où il ne dit rien non plus.
Mme Carina Konrad (agricultrice, FDP) nous calcule qu'avec 21 € de coûts supplémentaires par hectare, un rendement de blé supérieur de 100 kg suffit déjà à compenser les coûts. Cela ne s'applique qu'au gazole agricole, la taxation plus élevée de nos véhicules agricoles n'est pas incluse dans son calcul. Merci pour cela.
M. Cem Özdemir (pédagogue social, Die Grünen) raconte à la télévision que les agriculteurs n'ont pas d'alternative au tracteur diesel. Il dit qu'il comprend les agriculteurs et leur colère. Il ne savait vraiment rien avant ? Peu importe, donnons-lui une chance de redresser les plans.
« Ne vous mettez pas dans cet état »
On m'a demandé si je ne pourrais pas supporter cela dans mon exploitation. Jusqu'à présent, nous avons toujours dû faire face à des coûts plus élevés, nous y sommes habitués. Mais ce qui change maintenant, c'est que sur les 3 milliards de subventions dites « nuisibles au climat », un groupe professionnel de 250.000 entreprises doit supporter à lui seul 1 milliard. Nous ne pouvons pratiquement pas répercuter ces coûts plus élevés, qui s'ajoutent à d'autres augmentations de coûts (prix du gazole plus élevé, taxe sur le gaz carbonique, salaire minimum plus élevé, prix de l'énergie plus élevés, etc.). Le commerce a en effet la possibilité d'acheter nos produits de masse anonymes (céréales, viande, lait, fruits, légumes...) moins chers à l'étranger. Mais je ne peux pas délocaliser mon exploitation à l'étranger. D'accord, je pourrais vendre ma ferme ici et m'installer ailleurs. Parfois, j'y pense même brièvement. Mais cela ne résout que mon problème.
Ce qui est prévu jusqu'à présent : une manifestation aura lieu lundi vers 10 heures à la porte de Brandebourg à Berlin. Les associations d'agriculteurs (DBV, LBV) ont lancé l'invitation et LSV soutient également la manifestation. Que ceux qui ne peuvent pas se rendre à Berlin (ce n'est pas possible pour moi pour des raisons très privées) s'organisent avec leurs voisins. Un conseil : trois tracteurs dans un rond-point qui ne trouvent pas la sortie pendant un certain temps...
RépondreSupprimerPour ceux qui ne veulent ou ne peuvent pas conduire de tracteur : en haut de l'image, vous voyez un gilet de sécurité. On peut aussi l'accrocher à la porte de la ferme. Ceux qui veulent nous soutenir, nous les agriculteurs, peuvent accrocher le gilet à la clôture de leur jardin. Les gilets peuvent être verts ou jaunes, la couleur n'a pas d'importance.
Faites quelque chose et faites-le vite, s'il vous plaît. Oui, c'est la période de Noël, mais les plans de la coalition des feux tricolores ne doivent pas devenir réalité. Celui qui ne se bouscule pas maintenant, sera bousculé.
Je pourrais écrire encore tellement de choses, mais cela devrait suffire pour l'instant.
https://seppi.over-blog.com/2023/12/allemagne-il-ne-s-agit-pas-seulement-du-gazole-agricole.html
Comment la « biosphère chaude et profonde » de la Terre détermine-t-elle le climat ?
RépondreSupprimer18 décembre 2023
de A. Agérus
L'Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique) propose des modèles qui, jusqu’à présent, n’ont pas été capables de décrire le passé avec désinvolture ni de prédire correctement l’avenir. Outre le manque de compréhension du rôle du gaz carbonique, cela peut être dû à deux omissions majeures : ni l'influence du soleil ni celle de la terre ne sont examinées et intégrées dans les modèles climatiques. Pas même les cycles d’activité solaire de 11 ans facilement observables, ni ce qui se passe au plus profond de la Terre, même si du magma remonte parfois à la surface, comme on le voit en Islande. La dynamo terrestre et les changements du champ magnétique sont également tout simplement ignorés.
Notre auteur invité A. Agerius fournit d'abord un bref résumé des thèses essentielles du professeur Thomas Gold, 1999 « La biosphère chaude et profonde : le mythe des combustibles fossiles »édition de poche en anglais). Puis une analyse de la confirmation indirecte de l'approche Deep Hot de Gold par les scientifiques de la NASA sur Pluton et les scientifiques chinois sur la Lune. Enfin, la mise en œuvre de l'approche Deep Hot dans un modèle permettant de déterminer le profil de température à la surface de la Terre.
Partie 1 Résumé de l'anglais Édition, 1999, « La biosphère profonde et chaude »
Le livre est disponible en allemand sous le titre « La biosphère des profondeurs chaudes et le mythe des combustibles fossiles ».
Tout d'abord à propos de l'auteur : Prof. Dr. em. Thomas Gold, né et élevé à Vienne, émigré aux États-Unis, était physicien, astrophysicien et géophysicien. Th. Gold fut le premier à prédire que la surface lunaire était recouverte d'une couche poudreuse (régolithe lunaire). La découverte la plus célèbre de Gold était que les pulsars sont des étoiles à neutrons en rotation. Gold a reçu un doctorat honorifique de l'Université de Cambridge. En 1985, il a reçu la médaille d'or de la Royal Astronomical Society pour l'ensemble de sa carrière.
À propos du livre : Je réduis le contenu de manière structurée aux aspects chimiques/physiques essentiels, formulés sous forme de thèses afin de donner au lecteur intéressé par la science une petite impression dans avance.
RépondreSupprimerL’avant-propos de Freeman Dyson est également remarquable. Gold affirme que la chaleur ambiante - il parle d'une moyenne d'environ 15 °C à la surface de la Terre - ne peut pas être la source d'énergie nécessaire à la vie à la surface de la Terre. Raison : Le flux ou le transport de chaleur ne peut se produire que d’un corps plus chaud vers un corps plus froid pour être converti en d’autres formes d’énergie. (Il suit ici le principe de ce que l'on appelle en physique la deuxième loi de la thermodynamique.) Gold considère une sorte de microvolcan (sources chaudes) dans les profondeurs de la mer, d'environ 2 m de haut, des « fumeurs noirs ». Les microbes (bactéries et arachées) y vivent dans la chaleur, c'est-à-dire une vie sans soleil, mais dans la chaleur des températures chaudes.
Il avance une première thèse selon laquelle la vie microbienne est beaucoup plus importante en volume. Il calcule jusqu'à une profondeur de 10 km.
Sa deuxième thèse est que la vie microbienne est bien plus ancienne que la vie basée sur la photosynthèse. La couche de photosynthèse végétale à la surface de la terre ne mesure que quelques mètres, tout au plus la hauteur d'un arbre de la jungle.
Troisième thèse : la photosynthèse ne peut pas piloter directement tous les processus organiques.
Sous-thèse à la troisième : Premièrement, le métabolisme cellulaire (un autre mot pour métabolisme cellulaire) requis est 10 fois plus fort que l'énergie fournie par un seul photon. Deuxième sous-thèse : « un photon n'a pas de patience ». Le photon n’a pas de patience, c’est à dire qu’il réagit à la vitesse de la lumière. Le sucre doit être accumulé par un détour. Le sucre a besoin d'oxygène, d'oxygène atmosphérique et non de carbone C pur oxydé. Dans les profondeurs marines, il n'y a pas de lumière solaire, bien qu'il y ait du gaz carbonique dissous, mais pas d'énergie pour les processus de conversion chimique. Il y a une chaleur beaucoup plus élevée dans la croûte profonde de la Terre pour les transformations chimiques/énergétiques nécessaires. À quoi ressemble l’oxygène pur dans la croûte terrestre ? Celui-ci provient de l'oxyde de fer FE O3 et du dioxyde de soufre ou sulfates SO2 ou H2SO4. Une fois décomposé, SOn se révèle être le deuxième ion négatif le plus abondant dans l’eau de mer.
Hexa est le préfixe grec ancien pour 6. Les hexanes sont des composés chimiques constitués de 6 atomes de carbone « C ». Il existe deux formes apparentées ou étroitement apparentées : l'hydrocarbure anglais C6H14 ou l'hexane allemand. Ce n'est pas encore de l'essence, mais ça sent légèrement l'essence et les glucides anglais C6H12O6, en allemand « glucose » ou comme autre mot pour cela « dextrose ». Gold écrit que l'un est de la nourriture pour les êtres vivants, l'autre est un poison.
RépondreSupprimerGold fait référence aux grottes de Roumanie. En 1986, des formes de vie isolées du monde extérieur y ont été découvertes, sans lumière. L'énergie chimique de cette forme de vie est basée sur des gaz réduits. (Lors de l'oxydation, un ou plusieurs électrons sont perdus ; lors de la réduction, des électrons sont gagnés.) Des araignées et des mille-pattes ont même été découverts, soit un total de 33 nouvelles espèces. En 1997, une grotte comparable a été découverte au Mexique. En 2001, près de Vostok en Russie, un lac abritant une vie microbienne a été découvert sous une couche de glace d'un kilomètre d'épaisseur. Cela confirme la théorie selon laquelle sans lumière du soleil, il y a beaucoup de vie dans la sphère profonde, la croûte terrestre. L'or fait référence à la lune Europe de Jupiter. Il y a une épaisse couche de glace et d’eau en dessous. Cela signifie qu’il doit y avoir une source de chaleur en dessous, sinon tout se cristalliserait jusqu’au cœur sur des milliards d’années. Je laisse de côté la chimie des hydrates de méthane de l'or, sinon cela devient trop compliqué. Concernant les microbes, Gold écrit qu’ils se développent mieux à 80°C. Il se lance également dans des forages profonds dans la croûte terrestre.
Dans ce que je considère comme la quatrième thèse (supérieure), le professeur Gold formule : « La Terre génère sa propre chaleur à partir de la compression, du tri aérovitatoire et de la décomposition radioactive à l'intérieur de son noyau. et le manteau" La Terre génère sa propre chaleur par compression (condensation de la nébuleuse de poussière lors de la formation de la Terre) et par tri gravitationnel, désintégration radioactive au plus profond de son noyau et de son manteau.
Il convient de noter ici : la « théorie établie » scientifique dominante ne compte que le manteau supérieur jusqu'à la croûte avec la radioactivité. Gold écrit dans le chapitre sur sa nouvelle « Théorie des gaz des profondeurs terrestres », qu'il étudie depuis 1977 : « Les nouvelles idées scientifiques ne sont pas justes simplement parce qu'elles sont nouvelles. ” À titre d'exemple, Gold se réfère à la théorie alors complètement nouvelle du déplacement des plaques continentales d'A. Wegener. [Contenu ajouté par moi pour le lecteur : La côte est de l'Amérique du Sud correspond à la côte ouest de l'Afrique en termes de littoraux et de formations géologiques. Il y a 100 ans, il y avait une contre-théorie selon laquelle la Terre était plus petite et se serait gonflée comme un ballon. Mais il y a la fosse des Mariannes au milieu. Le magma s'élève et pousse contre l'Amérique du Sud à gauche et contre l'Afrique à droite. Tous les 11 000 ans, le pôle nord magnétique alterne avec le pôle sud. Les minerais magnétiques contenus dans la lave se solidifient et laissent un motif de lignes magnétiques parallèles avec l'alignement polaire entre l'Amérique du Sud et l'Afrique, preuve de la thèse d'A. Wegner. Les plaques continentales s’écartent et se rapprochent ailleurs. L'un plonge ensuite sous l'autre. Par exemple la tranchée de San Francisco sur la côte ouest des États-Unis. Les mesures correctes du champ magnétique n'ont eu lieu que 2 générations plus tard].
RépondreSupprimerOn se moquait de Wegener à l'époque. Aujourd'hui, l'Institut polaire allemand de Bremerhafen porte tristement son nom. Gold écrit également dans ce chapitre : «Un jeune - aussi brillant soit-il - sans statut scientifique qui tenterait de le faire n'aurait aucun espoir de passer l'examen par les pairs (le système d'examen scientifique en vigueur) ni pour obtenir fonds ou pour avoir publié des résultats contraires."
Les études climatiques non conformes aux normes de l'IPCC n’ont aucune chance dans le monde scientifique. EIKE en rend régulièrement compte. Ajouté par moi : L'un des scientifiques les plus célèbres au monde, John P.A.Ioannidis, de l'Université de Stanford, aux États-Unis, critique massivement le système actuel d'évaluation par les pairs, comme le fait Thomas Gold ailleurs dans son livre.
Gold concerne également les gisements de pétrole et de gaz et le transport de l’hélium depuis les profondeurs. Il l'enrichit de cartes et donne de nombreuses autres vues intéressantes qui ne peuvent être discutées brièvement ici.
RépondreSupprimerPartie 2 Confirmation indirecte de l'approche DEEP HOT du professeur Gold par des scientifiques chinois a) sur la Lune et b) de la NASA sur Pluton
a) Lune : La mission lunaire chinoise chang'e de 2010 a fourni une carte micro-ondes complète de la répartition de la chaleur à sa surface. Ils fournissent également, pour la première fois, des informations complètes sur l'énergie à l'intérieur – Deep Hot – du satellite terrestre, selon Yong-Chun Zheng et Kwing Chan de l'Académie chinoise des sciences. Le journaliste scientifique Axel Bojanowski : « Une observation sur la carte nocturne laisse cependant les astronomes perplexes : la surface lunaire est parsemée de zones froides la nuit, qui se transforment en points chauds lors d'une éclipse lunaire. < a i=3>“ 3
b) Pluton : On supposait auparavant que - si loin - elle était complètement gelée. Selon une étude de la NASA, Pluton possède de la glace d'azote qui se déplace lentement et une couche sous-jacente de glace d'eau. Il a été prouvé que certains composés chimiques abaissent considérablement le point de congélation. Ce mouvement de glace visqueuse a été confirmé par des tests en laboratoire avec de l'azote liquide. Toutefois, cela n’est possible qu’avec une source d’énergie supplémentaire. Selon la NASA, il s'agit d'une désintégration radioactive à l'intérieur en tant que source d'énergie permanente.
Les scientifiques américains du NASA AMES RESEARCH CENTER, en Californie, sont Michelle Thaller, Phil Plait, Orkan Umurhan et Will Grandy. Dans leur propre film, ils présentent leurs résultats sur la formation de cryovolcans par chaleur profonde, y compris leur vérification par des tests en laboratoire.
De ce film (ici) sur Pluton, je cite maintenant le résultat qui est essentiel pour cet article et confirme indirectement celui du Pr Thomas Gold Approche Deep Hot, de Min 18:55, Willy Grandy (NASA), citation : « Toutes les données indiquent que profondément sous la surface de Pluton, un océan d'eau liquide entoure le noyau rocheux, cette eau riche en les gaz dissous et l'antigel seraient chauffés par la désintégration des matières radioactives dans le noyau et, à mesure que l'eau se réchauffe, elle se dilate et pousse vers le haut avec la pression, elle bouillonne à la surface, en s'écoulant, elle gèle, formant progressivement les cônes volcaniques, qui s'élèvent. à 4 km. Il a désormais fallu une génération pour confirmer une thèse par des mesures." (selon la source 4, à partir de min. 18h55)
Partie 3 Implémentation de l'approche Deep Hot dans un modèle de détermination de la température sur Terre
RépondreSupprimerLe tri aavitationnel explique comment les éléments radioactifs lourds en particulier l'uranium 235 et 238 (HWZ 4,47 milliards d'années), le potassium 40 (HWZ 1,25 milliards d'années) ans) et le thorium 232 (HWZ 14,05 milliards d'années) sont particulièrement concentrés dans la zone du noyau chaud et des couches inférieures du manteau lors de la formation des planètes.
Nous connaissons suffisamment ces isotopes du manteau supérieur et de la croûte terrestre grâce au modèle ESB. Le professeur Clauser l'exprime ainsi : « Au cours de la désintégration radioactive, la masse est convertie en énergie. À l’exception de la petite partie des antineutrinos ou neutrinos, qui sont générés lors des désintégrations ß- et ß+ ou lors de la capture d’électrons, toute l’énergie est convertie en chaleur. Les pics caractéristiques dans les spectres γ respectifs correspondent aux séries de désintégrations respectives, au spectre de fond continu de la diffusion Compton et de l'absorption photoélectrique.“ 8
Grâce à ces processus continus de désintégration radioactive des isotopes à vie longue et donc à un dégagement continu de chaleur de l'intérieur Deep Hot vers l'extérieur, vers l'extérieur, le rayonnement à ondes longues traverse la structure du noyau rocheux cristallisé de Pluton et de la Lune. La cartographie infrarouge chinoise de la Lune, voir source partie 2, montre une température maximale de 130 °C. Cela ne peut pas être réalisé sur la Lune avec le Soleil seul, tout comme la température globale moyenne calculée de 15 °C sur Terre peut être atteinte. On peut montrer que la Lune manque de 300 W/m² (9 p.153) comme puissance de rayonnement à ondes longues provenant des profondeurs pour une température mesurée de 130 °C. Ils peuvent s'expliquer par leur origine radioactive sur la Lune. La Lune et la Terre ont une structure similaire, même si la Lune est probablement apparue comme un produit dérivé de la Terre.
Vous pouvez décrire la chaleur profonde Deep Hot comme un rayonnement d'origine radioactive, comme le très distingué professeur Thomas Gold la décrit comme "désintégration radioactive au plus profond de son noyau “ pour la terre décrite dans la partie 1 de l'article peut être calculé de manière réaliste entre 250 W/m² et 272 W/m². Cela signifie que toutes les températures présentes à la surface de la Terre peuvent se former sans effet de serre. La modélisation informatique complète de ceux-ci, y compris les concentrations d'uranium, de potassium et de thorium, jusqu'à et y compris la formation des températures aux différentes latitudes de la Terre, avec des comparaisons d'un spectre de rayonnement moyen de la Terre avec des valeurs satellitaires, avec diverses preuves que l'effet de serre ne peut pas exister, avec la preuve que le gaz carbonique n'a aucun effet thermique, même si le gaz carbonique peut absorber un rayonnement mineur dans de très petites plages de bande, peut être trouvée (ici)9. Au lieu d'un effet de serre, la chaleur continuellement libérée par les processus de désintégration radioactive, que le professeur Gold a acceptée comme thèse, explique bien mieux les températures à la surface de la Terre.
Sources:
RépondreSupprimer1 Prof. Thomas Gold, 1999, LA BIOSPHÈRE CHAUDE PROFONDE, Springer Science New York.
2 Prof. Thomas Gold, 1999, La biosphère des profondeurs chaudes et le mythe des combustibles fossiles, Institut européen du climat et de l'énergie .
3 Axel Bojanowski (Boj), 09/02/2010 https://www.spiegel.de/forschung/weltall/microwavemap-atlas-shows-temperatures-on- dem-mond-a-718606.html . ou
4 Youtube : Série : Dépouiller le cosmos - Les secrets de Pluton - Planètes naines aux confins du système solaire - Documentaire HD du 18 juin 2023. 43 : 15 min, citation voir transcription de 18 :55 min. < /span> ouhttps://www.youtube.com/watch?v=M-SJBvUzhn4
5 ZDF Mediathek : Strip the Cosmos - Pluto's Secrets - Dwarf Planets on the Edge of the Solar System 43 min à partir du 30 décembre 2021 Vidéo disponible dans la ZDF Mediathek en Allemagne jusqu'au 30 septembre 2025. ou
6 Documentaire N24 HD du 7 août 2023 Strip the Cosmos - Les secrets de Pluton - Planètes naines aux confins du système solaire 50 min ou
7 welt.de, https://www.welt.de/mediathek/documentation/space/strip-the-cosmos/sender192540459/Strip-the-Cosmos-Plutos -Secrets.html à partir de 18h40 min.
8 Prof. Christoph Clauser, 2016, Introduction to Geophysics, 2e édition, Springer Spektrum, chap. 6.3.2.Production de chaleur radiogénique, p.278, colonne de gauche, 1er paragraphe. Est ce que je:10.1007/978-3-662-46884-5.
9 A. Agerius, 2023, Formation des températures diurnes et nocturnes à la surface de la Terre selon les latitudes, Tredition Hamburg, ISBN 978-3 -347-950405.
Liens connexes:
Existe-t-il ou non un effet de serre naturel ?
Des réserves inépuisables de gaz naturel et de pétrole brut dans les couches plus profondes du manteau terrestre
Physique et chimie sur le gaz carbonique : quasiment aucune influence sur le climat et le minimum historique
Le livre le plus dangereux du monde
https://
Le fils de Pablo Escobar révèle que son père « travaillait pour la CIA en vendant de la cocaïne » — Media Silent
RépondreSupprimerPar Claire Bernish
Recherche mondiale,
15 décembre 2023
Cet article a été publié pour la première fois sur le Free Thought Project, publié sur Global Research le 18 mai. 2018
Juan Pablo Escobar Henao, fils du célèbre chef de file du cartel de la drogue de Medellín, Pablo Escobar, affirme désormais que son père "travaillait pour la CIA".
Dans un nouveau livre, "Pablo Escobar In Fraganti", Escobar, qui vit sous le pseudonyme de Juan Sebastián Marroquín, explique son " mon père travaillait pour la CIA en vendant de la cocaïne pour financer la lutte contre le communisme en Amérique centrale. »
«Le secteur de la drogue est très différent de ce dont nous rêvions», poursuit-il. "Ce que faisait la CIA, c'était d'acheter les contrôles nécessaires pour faire entrer la drogue dans leur pays et d'obtenir une excellente affaire."
"Il n'a pas gagné de l'argent tout seul", Marroquín a expliqué dans une interview, "mais avec des agences américaines qui lui ont permis d'accéder à cet argent. Il avait des relations directes avec la CIA. »
Marroquín a notamment ajouté : « la personne qui a vendu le plus de drogue à la CIA était Pablo Escobar. »
Là où son premier livre traitait principalement d'Escobar, le deuxième de Marroquín — qui vient de sortir en Argentine — se penche sur les « liens internationaux de corruption dans lesquels mon père a participé activement, parmi lesquels avec la CIA américaine", a-t-il a déclaré dans une récente interview.
Ces associés du gouvernement « étaient pratiquement ses partenaires », ce qui a permis à Escobar de défier la loi et lui a donné presque le même pouvoir qu'un gouvernement.
Comme on pouvait s'y attendre, cette information est commodément absente des gros titres des médias américains.
Si le trafic de cocaïne par la CIA vers les États-Unis ressemble à une théorie du complot en aluminium, détrompez-vous. Leur rôle présumé dans le trafic de drogue a été révélé en 1996 dans une série d'enquête explosive « Dark Alliance » réalisée par Gary Webb pour le San Jose Mercury News. L'enquête, dirigée par Webb a révélé des liens entre la CIA, les Contras nicaraguayens et le trafic de crack qui ravage les communautés afro-américaines.
RépondreSupprimerL'enquête a provoqué des protestations massives et des audiences au Congrès, ainsi qu'une réaction manifeste de la part des grands médias pour discréditer les reportages de Webb. Cependant, des décennies plus tard, des responsables se sont manifestés pour soutenir l'enquête initiale de Webb.
Le sénateur John Kerry de l'époque a même publié un rapport détaillé affirmant que non seulement il existait des « preuves considérables » liant les efforts des Contra au trafic de drogue. drogues et armes – mais que le gouvernement américain était au courant.
El Patron, comme on l'appelait Escobar, a amassé plus de richesses que presque tous les trafiquants de drogue de l'histoire - à un moment donné, engrangeant environ 420 millions de dollars de revenus par semaine - et aurait fourni environ 80 % de la cocaïne mondiale. Escobar a atterri sur la liste Forbes des milliardaires internationaux pendant sept années consécutives et, bien que la nature de l'entreprise rend impossible l'acquisition de chiffres solides, son était d'environ 30 milliards de dollars.estimée
Escobar et le cartel de Medellín ont introduit clandestinement 15 tonnes de cocaïne aux États-Unis – chaque jour – et ont laissé une traînée de milliers de cadavres vers faites-le.
"C'était une distance de neuf cents milles depuis la côte nord de la Colombie et c'était tout simplement grand ouvert", le journaliste Ioan Grillo a écrit dans le livre « El Narco : Au cœur de l'insurrection criminelle du Mexique ». "Les Colombiens et leurs homologues américains larguaient des tonnes de bombes en mer, d'où elles étaient transportées à terre dans des hors-bord, ou même les faisaient voler directement sur le continent de Floride et les laissaient s'écraser dans la campagne."
Si ce que Marroquín révèle dans le nouveau livre est effectivement vrai, cela signifierait que la CIA a joué un rôle majeur en garantissant aux Américains l’accès à des quantités illimitées de cocaïne – tandis que le gouvernement américain s’en prenait à la drogue pour promouvoir la guerre contre la drogue.
En fait, comme le fait remarquer Marroquín, la prohibition des drogues constitue la meilleure propagande en faveur des drogues - la nature d'une chose étant illégale donne naturellement cela rend plus attrayant.
RépondreSupprimerCette interdiction garantissait que le règne sanglant d’Escobar serait d’autant plus violent. Marroquín croit désormais que « son chemin de guérison est la réconciliation avec les proches de ceux que son père a ordonné de tuer ».
Même si Escobar a certainement utilisé la violence, ou a ordonné à d'autres d'utiliser la violence, pour fomenter et maintenir efficacement le pouvoir, il n'était pas dépourvu d'un os charitable dans son corps. Comme Business Insider le note, "Il a été surnommé 'Robin des Bois' après avoir distribué de l'argent aux pauvres, construit des logements pour les sans-abri et construit 70 terrains de football communautaires. et construire un zoo. »
El Patron a connu son sort en 1993, par balle alors qu'il tentait de fuir après que sa maison ait été encerclée. Cependant, les circonstances entourant sa mort sont encore débattues aujourd'hui. Marroquín insiste sur le fait que son père s'est suicidé plutôt que d'être abattu ou capturé par les forces de police envoyées pour le traquer ; tandis que d'autres pensent qu'Escobar a été complètement tué par la police.
Quoi qu’il en soit, l’accumulation de richesses d’Escobar pourrait être considérée comme accessoire au rôle qu’il a joué pour la CIA et la guerre contre la drogue – une hypocrisie massive servant à maintenir les gens accros à une substance considérée comme illégale par l’État, afin que l’État puisse ensuite récolter les fruits de son travail. les profits générés par les tribunaux, les prisons et le travail de la police sont « nécessaires » pour « combattre » la « guerre contre la drogue ».
"Mon père était un rouage d'un grand trafic de drogue universel", Marroquín explique, et lorsqu'il n'a plus servi de but à ceux qui l'utilisaient de cette façon, des tueurs ont été envoyé pour éliminer le problème — le problème que tant de personnes ont contribué à créer.
Marroquín, qui révélé se révèle être le fils d'Escobar en 2009, dit qu'il a dû pardonner aux membres de sa famille leur implication dans le trafic de drogue. affaires et trahison de son père — mais note que le pardon ne signifie pas oublier ce qui s'est passé.
Mais il a mesuré son point de vue sur l’homme qui a brutalement dirigé l’industrie de la cocaïne.
RépondreSupprimer"Pablo Escobar n'est en aucun cas un modèle", affirme-t-il.
« J'admire Pablo, mon père, qui m'a éduqué. Pas Escobar, le mafieux.
Marroquín a noté que les barons de la drogue comme son père peuvent sembler avoir tout, car leur statut et leur nom attirent l'attention, mais ces gains matériels, en réalité, finissent par prendre le contrôle.
« Plus mon père avait de pouvoir, plus il vivait pauvre. »
https://www.globalresearch.ca/pablo-escobars-son-reveals-his-dad-worked-for-the-cia-selling-cocaine-media-silent/5576222
L'utilisation de doses complètes d'herbicides homologués pour le maïs est la stratégie qui fonctionne
RépondreSupprimer16 Décembre 2023
Ryan Tipps, AGDAILY*
Ma note : C'est un article écrit pour le compte de Syngenta, mais il comporte des éléments importants.
Une dose complète, indiquée sur l'étiquette – en conjonction avec le calendrier – est l'une des choses les plus importantes qu'un producteur puisse faire pour mettre en œuvre un programme d'herbicide qui réussit à garder les rangs propres, à maximiser les rendements et à empêcher les mauvaises herbes de développer une résistance.
La dose d'application est particulièrement importante à une époque où les finances agricoles sont serrées et où les producteurs de maïs se sentent obligés de trouver de nouveaux moyens de réduire les coûts. Des stratégies d'économie malavisées ont eu tendance à utiliser des herbicides moins chers ou à réduire les taux d'application, ce qui peut avoir des conséquences à long terme sur la saison de végétation et la durabilité de la terre.
Les initiés du secteur notent que ces approches peuvent être en partie dues à l'expérience passée et à la difficulté qu'ont les agriculteurs à comprendre comment le paysage a changé. Par exemple, un agriculteur peut avoir réussi à utiliser une dose plus faible d'herbicide pour le maïs il y a seulement cinq ou dix ans, mais il est très probable que les populations de mauvaises herbes étaient alors plus faibles ou que les herbicides semblaient plus efficaces parce que les mauvaises herbes les plus gênantes n'avaient pas encore fait leur apparition dans les champs.
Une dose complète, indiquée sur l'étiquette, appliquée au bon moment, est une étape importante pour les producteurs qui souhaitent maintenir des rangs propres, améliorer les rendements et empêcher la levée des mauvaises herbes.
RépondreSupprimer« Il ne faut pas lésiner sur le contrôle des mauvaises herbes, car les mauvaises herbes non contrôlées produiront des graines. Et si vous ne les contrôlez pas bien, si vous les laissez produire des graines, vous devrez les combattre au moins trois à cinq ans plus tard », a déclaré le Dr Stevan Knezevic, du Département d'Agronomie et d'Horticulture de l'Université de Nebraska-Lincoln. « Je ne recommanderais pas de réduire les doses. »
La réduction des doses d'herbicides est une mauvaise idée pour de multiples raisons et, dans tous les cas, il n'y a pas d'avantages financiers à long terme qui justifient l'utilisation d'une dose partielle.
Tout d'abord, l'utilisation d'une dose complète d'herbicide pour le maïs signifie que le producteur bénéficie de la durée totale de l'activité résiduelle, qui est de quatre à six semaines pour de nombreux produits, alors que pour les technologies les plus récentes, comme l'herbicide Storen™ de Syngenta, cette durée peut atteindre neuf semaines.1
M. Knezevic, dont les recherches comprennent l'analyse de données sur les périodes critiques de contrôle des mauvaises herbes, a également déclaré que la réduction de la dose indiquée sur l'étiquette signifie que les producteurs courent le risque de ne pas tuer les mauvaises herbes et pourraient par inadvertance encourager un changement de population vers des espèces ou des biotypes de mauvaises herbes plus résistants.
« Vous handicapez [la mauvaise herbe]. Et faute d'un meilleur terme, vous n'avez qu'un contrôle partiel, et ces plantes peuvent survivre », a-t-il expliqué.
Chaque fois qu'une mauvaise herbe peut se développer après l'application d'un herbicide, une descendance résistante à l'herbicide devient possible. L'industrie a constaté ce phénomène avec le glyphosate, qui a été utilisé pendant de nombreuses années à toutes sortes de doses différentes. L'émergence de mauvaises herbes résistantes en a été le résultat malheureux.
M. Shawn Hock, chef de produit chez Syngenta pour les herbicides destinés au maïs, explique que lorsqu'il est contacté par un agriculteur qui n'est pas satisfait de l'efficacité du contrôle des mauvaises herbes, l'une des questions qu'il lui pose est la suivante : « Quelle dose avez-vous utilisée ? »
RépondreSupprimerC'est tellement simple, mais c'est essentiel pour comprendre où se situent les lacunes d'un programme de lutte contre les mauvaises herbes.
« C'est souvent l'une des premières choses que je dois surmonter avec les producteurs, pour leur montrer que l'utilisation d'une dose complète, indiquée sur l'étiquette, permet d'obtenir le contrôle des mauvaises herbes qu'ils souhaitent », a déclaré M. Hock. « Chaque année est différente. Certaines années, une dose de deux tiers peut sembler être une dose complète dans le champ, mais ce n'est pas le cas lors d'une année plus difficile. Comme on ne sait pas quel type d'année on va avoir avant d'implanter la culture ou de pulvériser l'herbicide, le mieux est d'utiliser une dose complète dès le départ pour obtenir les meilleurs résultats. »
Les ingrédients actifs de Storen sont la bicyclopyrone pour le brûlage et le contrôle résiduel des dicotylédones et des graminées annuelles dans le maïs, la mésotrione pour le brûlage et le contrôle résiduel des dicotylédones, le S-métolachlore pour le contrôle résiduel des graminées annuelles et des dicotylédones à petites graines, et le pyroxasulfone pour le contrôle résiduel des graminées annuelles et des dicotylédones.
« Lorsque vous mettez ensemble quatre des meilleures matières actives à effet résiduel qui contrôlent les mauvaises herbes sujettes à la résistance, il n'est pas étonnant que nous observions un niveau de contrôle plus élevé avec Storen, lorsqu'il est utilisé à la pleine dose indiquée sur l'étiquette, que n'importe quel autre produit. C'est de loin l'herbicide résiduel le plus impressionnant dans nos essais d'herbicides pour le maïs », a déclaré M. Brett Miller, responsable régional du développement sur le terrain pour Syngenta Crop Protection.
Ce qui nous amène à l'autre raison majeure de l'utilisation de doses complètes d'herbicides homologués pour le maïs : l'optimisation du rendement.
Les doses plus élevées d'un produit de pré-émergence moderne tel que Storen présentent des avantages impressionnants en termes de rendement, explique M. Chris Munsterman, représentant du service agronomique de Syngenta. Les essais indiquent un avantage de rendement de 4 à 5 boisseaux par an [2,7 à 3,4 quintaux/hectare]2 pour les producteurs de maïs utilisant Storen, qui a été testé dans des régions où l'amarante de Palmer et l'amarante tuberculée sont particulièrement difficiles à combattre.
RépondreSupprimer« Si vous n'en utilisez qu'un tout petit peu, cela n'ajoute aucun avantage à l'herbicide, si ce n'est d'exposer les mauvaises herbes à une dose sublétale, ce qui sélectionne en fait la résistance », a déclaré M. Munsterman.
En outre, l'amarante de Palmer et l'amarante tuberculée sont des espèces dioïques, ce qui signifie qu'il y a des plantes mâles et femelles. Ainsi, lorsque la pollinisation a lieu entre des plantes mâles et femelles distinctes, il se produit une hybridation qui rend ces plantes propices au développement d'une résistance.
Pour résoudre ce genre de problèmes, M. Munsterman explique que ses collègues et lui parlent beaucoup de résidus qui se chevauchent. Alors que Storen, par exemple, utiliserait 2,4 quarts par saison [5,6 litres/hectare], M. Munsterman a déclaré qu'il recommandait souvent d'utiliser 1,6 quart [3,75 L/ha lors du premier passage au moment de la plantation, puis de revenir 21 jours plus tard avec 0,8 quart [1,9 L/ha] pour chevaucher cette quantité résiduelle et recharger le taux d'herbicide dans le sol.
Dans les régions où l'amarante de Palmer est trop active, les mauvaises herbes métabolisent facilement les herbicides de post-levée –elles les « mangent comme Pac-Man », illustre M. Munsterman. Lorsque les mauvaises herbes atteignent une certaine taille, elles deviennent beaucoup plus difficiles à contrôler. En arrêtant les mauvaises herbes avant qu'elles ne se développent, on réduit la concurrence pour l'eau, l'azote, la lumière, l'espace et d'autres ressources au fur et à mesure que leaplante de maïs grandit.
« Il y a une pénalité de rendement d'environ 2 % pour chaque stade de feuille de maïs de retard dans le contrôle », a déclaré M. Knezevic.
RépondreSupprimerUne application d'herbicide à pleine dose empêche les mauvaises herbes de pousser et permet aux cultures de se développer plus rapidement.
« Vous voulez un herbicide qui fonctionne dans tous les champs et à toutes les périodes de végétation », a déclaré M. Hock.
Et dans un réseau biologique de mauvaises herbes où la résistance est le gène dominant et se transmet facilement à la descendance, il devient de plus en plus vital d'utiliser des doses complètes d'herbicides pour le maïs qui empêchent la résistance de se multiplier dans l'exploitation pour les années à venir.
https://seppi.over-blog.com/2023/12/l-utilisation-de-doses-completes-d-herbicides-homologues-pour-le-mais-est-la-strategie-qui-fonctionne.html
Un système semblable à une tempête tropicale va frapper la côte Est
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 16 DÉCEMBRE 2023 - 13:35
La saison des ouragans s'est terminée il y a deux semaines, mais les météorologues de X prévoient le développement d'une forte zone de dépression dans le golfe du Mexique ce week-end qui soulèvera la côte est avec des vents violents, des pluies torrentielles et de violents orages.
La trajectoire de la tempête pourrait être parallèle à l'Interstate 95 ce week-end, provoquant des perturbations de la circulation dans des millions de personnes dans les grandes villes de la côte Est - à un moment où l'AAA appelle à une saison de voyages de Noël chargée. La plupart des perturbations sont attendues entre dimanche et lundi.
Les météorologues s'attendent à ce que les conditions de tempête arrivent tard samedi en Floride, en Géorgie, dans les Carolines et même dans la région du centre de l'Atlantique dimanche et lundi.
Dernier radar du futur GFS/EURO. La dépression du golfe se dirige vers la Floride, augmentant les pluies/tempêtes. Puis direction les États de la côte Est avec le même. https://t.co/Hk3pbO7x8H pic.twitter.com/oQgaMaVodQ
– Page météo de Mike (@tropicalupdate) 15 décembre 2023
Durant les conditions El Niño, les tempêtes de type cyclone venant du sud du pays ne sont pas rares.
Puisque cela me rappelle un peu le Blizzard de 1993 en termes de piste, mais sans l'air FROID, les chutes de neige épiques, les rafales d'ouragan et la basse pression de 960 Mo qu'il finirait par posséder, il y a eu un événement météorologique GRAVE robuste alors que la dépression de surface en développement traversait Floride. Nous… pic.twitter.com/CEsP3ZJfMc
– Jim Cantore (@JimCantore) 15 décembre 2023
En savoir plus sur les tempêtes provoquées par El Niño.
J'ai déjà publié ces graphiques. Un fort phénomène El Nino et la Floride entraînent historiquement davantage d'inondations et de tempêtes plus violentes en automne et en hiver. J'ai déjà fait quelques tours cette saison. Cette dépression du Golfe soulève des questions sur sa gravité réelle pour samedi soir et la nuit. En le surveillant de près… pic.twitter.com/RTyUSe7Z2h
– Page météo de Mike (@tropicalupdate) 15 décembre 2023
Regarder vers l'avant...
RépondreSupprimerLe jour 15 d'un mélange GEFS/EPS montre une belle tendance évoluant pour clôturer le mois de décembre et ouvrir la nouvelle année.
La confiance augmente lors d'un changement de tendance vers le 27 du mois.
Tempête aussi ? ❄️#natgas https://t.co/NbZ8MYaz00 pic.twitter.com/jJOAsXq5kE
– Météo BAM (BAMWX) (@bamwxcom) 15 décembre 2023
Le Mid-Atlantique et le Nord-Est ont juste besoin d’une dose d’air froid pour la prochaine grosse tempête de neige.
https://www.zerohedge.com/technology/tropical-storm-system-will-slam-eastern-seaboard
La domination de l'Occident, qui dure depuis 500 ans, touche à sa fin, prévient le ministre russe des Affaires étrangères
RépondreSupprimer15/12/2023
Cassie B.
Le ministre russe des Affaires étrangères a récemment exprimé un sentiment qui a pesé sur l’esprit de nombreux pays occidentaux ces dernières années : les 500 ans de domination occidentale sur la scène mondiale touchent à leur fin brutale.
S'adressant au Forum de Doha dans un discours vidéo, Sergueï Lavrov a expliqué qu'il n'était pas en mesure d'assister personnellement à l'événement et d'entendre les discussions : « Mais je suppose que vous parliez du monde multipolaire, qui émerge après 500 ans de domination de ce qui nous appelons « l’Occident collectif ».
Lavrov a déclaré que les BRICS, l'ASEAN, l'Union africaine et l'Organisation de coopération de Shanghai, entre autres, constitueront les éléments constitutifs du « nouveau monde polycentrique ».
Il a également critiqué les nations occidentales pour la manière dont elles ont acquis leur domination, affirmant que celle-ci était « fondée sur une histoire diversifiée, notamment sur l’exploitation impitoyable des peuples et des territoires d’autres pays ».
Selon Lavrov, les ennemis de l’Occident ont utilisé les mêmes tactiques pour réduire sa domination.
"Cependant, d'autres pays, utilisant exactement les principes et les instruments de la mondialisation occidentale, ont réussi à battre l'Occident sur leur propre terrain, en construisant leurs économies sur la base de la souveraineté nationale, sur la base d'un équilibre des intérêts avec les autres pays", a-t-il déclaré. dit.
Il a ajouté que l’émergence de nouvelles zones d’influence politique et de croissance financière a transformé l’équilibre des pouvoirs mondial.
Lavrov estime que l’Amérique et ses alliés ont tenté d’arrêter ce type de développement en déplaçant leur attention de la mondialisation vers un « ordre mondial fondé sur des règles » qui a été utilisé pour aider l’Occident à poursuivre ses objectifs.
Cela, dit-il, se voit « dans divers conflits que l'Occident déclenche partout dans le monde », citant l'Ukraine comme exemple. « Tout est bon pour maintenir l'hégémonie. Intervention dans les affaires intérieures, sanctions contre tous les principes de la concurrence, un changement de régime et, bien sûr, des interventions militaires directes, comme nous l’avons vu en Yougoslavie, en Irak, en Libye, en Syrie et ailleurs.
Lavrov a ensuite lancé une autre attaque contre les États-Unis, en demandant : « Existe-t-il un seul endroit où les États-Unis sont intervenus avec la force militaire, où la vie est devenue meilleure ? Je pense que tu connais la réponse."
RépondreSupprimerLa guerre en Ukraine est la preuve de l’affaiblissement de la domination occidentale
Il ne s’agit pas seulement de l’opinion de quelqu’un qui se considère comme étant du côté des gagnants d’un changement de pouvoir à l’échelle mondiale ; L’ancien Premier ministre britannique Tony Blair a également cité la guerre en Ukraine comme une preuve de l’affaiblissement de la domination occidentale. Il a déclaré que le monde entrait dans un tournant dans lequel l’Occident se retrouvait du côté des perdants alors que la Chine s’approchait du statut de superpuissance en collaboration avec la Russie.
Dans une conférence qu'il a donnée à Londres l'année dernière, il a déclaré : « Nous arrivons à la fin de la domination politique et économique occidentale. »
"Le monde sera au moins bipolaire et peut-être multipolaire", a-t-il ajouté. "Le plus grand changement géopolitique de ce siècle viendra de la Chine et non de la Russie."
Avec l’économie chinoise qui devrait prendre le pas sur celle des États-Unis d’ici une décennie et ses efforts de premier plan dans des domaines tels que la médecine régénérative et l’intelligence artificielle, le pays est devenu un véritable prétendant au titre de première superpuissance mondiale, selon l’estimation de Blair.
"La place de la Chine en tant que superpuissance est naturelle et justifiée. Ce n'est pas l'Union soviétique", a-t-il déclaré.
Cependant, Blair a averti que l’Occident devait prendre des mesures pour empêcher la Chine de le dépasser en termes de puissance militaire. Il a déclaré : « Nous devrions augmenter les dépenses de défense et maintenir la supériorité militaire », ajoutant que l'Amérique et ses alliés « devraient être suffisamment supérieurs pour parer à toute éventualité ou type de conflit et dans tous les domaines ».
Les sources de cet article incluent :
RT.com
Reuters.com
https://www.naturalnews.com/2023-12-15-western-dominance-coming-to-end-russian-fm.html
Ces trois expériences scientifiques confirment la récupération massive de l'or et la pureté des Goldbacks
RépondreSupprimer15/12/2023
Ethan Huff
Récemment, le Health Ranger a décidé de mener une série d'expériences en laboratoire sur les Goldbacks pour déterminer s'ils contiennent réellement ou non les quantités d'or indiquées sur leurs dénominations respectives. Il a finalement vérifié que oui, et a présenté les résultats dans la vidéo suivante.
Les trois tests scientifiques menés par le Health Ranger afin de vérifier la légitimité des Goldbacks sont les suivants :
1) Une extraction au four en deux phases (fusion) combinée à une balance analytique précise et une analyse gravimétrique (pesée) de l'or.
2) Une analyse élémentaire ICP-MS de l'or extrait à l'aide d'un équipement de spectroscopie de masse Agilent (ICP-MS) dans un laboratoire accrédité ISO.
3) Un test d'acide et de pierre d'or disponible dans le commerce, souvent utilisé par les marchands d'or, pour étudier la composition en 24 carats de l'or récupéré.
Pour rappel, les Goldbacks sont une forme de valeur réelle qui implique un billet au design complexe composé de polymère laminé avec une couche cachée d'or physique 24 carats.
Les billets dorés portent des dénominations de 1, 5, 10, 25 et 50, et chaque « 1 » dans leurs dénominations représente 1/1 000ème d’once troy d’or 24 carats.
Pour lire vous-même l’analyse complète des résultats, assurez-vous de consulter VerifiedGoldbacks.com.
(Connexe : Saviez-vous qu'un certain nombre d'États américains reconnaissent déjà l'or et l'argent comme monnaie légale et sont prêts à commencer à les utiliser comme monnaie saine une fois que le billet de la Réserve fédérale s'effondrera inévitablement ?)
Les Goldbacks ont une valeur réelle ; Les billets de la Réserve fédérale ne sont qu’une monnaie fiduciaire
Contrairement au papier-monnaie auquel la plupart des gens sont habitués, les Goldbacks ne sont pas une monnaie papier. Ils ne peuvent pas être imprimés à volonté pour financer des guerres et manipuler la masse monétaire puisque chacun contient, comme l’a découvert le Health Ranger, au moins la quantité d’or spécifiée, ce qui lui confère une valeur inhérente.
RépondreSupprimerLes billets d'or ne nécessitent aucune « confiance » dans un gouvernement, une institution ou une banque, de la même manière que les dollars, car il existe une quantité fixe d'entre eux et chacun contient de l'or réel à l'intérieur de sa conception.
Si le pays tout entier commençait à utiliser les Goldbacks, l’inflation n’existerait plus car il n’y aurait aucune possibilité de dilution puisque les Goldbacks ne peuvent pas simplement être imprimés ou saisis dans un ordinateur sans limite (en raison de la rareté de l’or).
Jusqu'à présent, le problème avec les Goldbacks est qu'ils ne contiennent peut-être pas réellement la quantité d'or indiquée, c'est pourquoi le Health Ranger a décidé d'extraire et de tester l'or des Goldbacks pour voir s'ils sont vraiment à la hauteur de leur nom.
L'analyse ICP-MS a confirmé que l'or récupéré dans les Goldbacks est pur à plus de 99,99 %, ce qui dépasse les exigences de pureté pour l'or 24 carats. Les autres analyses ont également confirmé que chaque Goldback contient au moins 100 pour cent de la masse d’or ciblée, généralement comprise entre 102 et 107 %.
En d’autres termes, les Goldbacks contiennent encore plus d’or que ce que leur dénomination indique. Et cet or est plus pur que ne l’exigent les normes de 24 carats, ce qui fait des Goldbacks un choix solide et facile pour de l’argent réel qui peut facilement circuler à des fins commerciales.
"Les Goldbacks que nous avons testés contiennent la quantité d'or REQUISE (et un peu plus), et il est confirmé que l'or qu'ils contiennent contient plus de 99,99 % d'or (mieux que la composition minimale requise en or 24 carats)", explique VerifiedGoldbacks.com.
"À notre connaissance, personne d'autre n'a soumis les Goldbacks à ce niveau de surveillance. Heureusement, nous possédons un laboratoire de spécifications de masse accrédité ISO, nous possédons donc des instruments ICP-MS, des balances analytiques, des équipements de manipulation d'acides (tels que des sorbonnes) et d'autres équipements de laboratoire qui rendent ces tests très faciles à réaliser.
VerifiedGoldbacks.com est un site affilié pour Goldbacks. Sans frais supplémentaires pour le client, cet éditeur gagne un petit pourcentage d'affiliation sur chaque vente via VerifiedGoldbacks.com, qui aide à financer cette plateforme, le laboratoire scientifique et les tests en cours des goldbacks qui nécessitent leur destruction au cours du processus.
RépondreSupprimerLes sources de cet article incluent :
Brighteon.com
VérifiéGoldbacks.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-12-15-three-experiments-gold-mass-recovery-purity-goldbacks.html
La tyrannie climatique, une tactique de subversion de la Chine communiste pour rendre l’Amérique « accro aux technologies vertes »
RépondreSupprimer15/12/2023
Ethan Huff
D’ici 2049, la Chine communiste prévoit d’avoir déjà pris le dessus sur les États-Unis et de devenir la puissance dominante du monde. Et le régime dictatorial y parvient effectivement grâce à la tyrannie des « technologies vertes ».
Tout le brouhaha dont nous entendons toujours parler concernant les combustibles « fossiles » terrestres qui « polluent » la planète avec du gaz carbonique et d’autres « gaz à effet de serre » est une farce conçue pour aspirer l’Amérique à sec économiquement et faire passer le statut de superpuissance à Big Red. (Chine).
La Chine a déjà réussi à rendre les États-Unis « accros aux technologies vertes », selon les termes d’un média. Les analystes sont convaincus que tout ce qui se passe actuellement au nom de l’arrêt du réchauffement climatique n’est qu’une ruse visant à détruire les États-Unis et à élever la Chine communiste sur la scène mondiale.
« Le régime communiste chinois a élaboré une stratégie visant à prendre le contrôle des États-Unis en tant que puissance dominante du monde d'ici 2049 », rapporte Epoch Times. "Pendant ce temps, les Etats-Unis réduisent leur sécurité nationale en se rendant volontairement plus dépendants de 'l'énergie verte' que domine la Chine, affirment les analystes."
(Connexe : Saviez-vous que la plupart des soi-disant projets de « compensation » carbone sont de véritables arnaques ?)
Une escroquerie verte transférant la domination mondiale des États-Unis à la Chine
Selon Steve Malloy, juriste principal à l'Institut juridique de l'énergie et de l'environnement, la Chine est en train de subvertir activement les États-Unis avec une tyrannie de l'arnaque « verte » pour s'enrichir aux dépens de l'Amérique.
« La Chine utilise le climat pour renverser les États-Unis », a déclaré Malloy dans l'émission « American Thought Leaders » d'Epoch TV. "La Chine a rendu les États-Unis et l'Europe occidentale, et en réalité tous les pays développés, accros aux technologies vertes."
Les technologies énergétiques dites « alternatives » ou « renouvelables », comme ils les appellent, sont des noms de code pour les industries sous contrôle chinois qui contrôlent les « ingrédients » ou les pièces nécessaires à la production de tout, des éoliennes aux panneaux solaires en passant par les véhicules électriques (VE). , qui nécessitent des minéraux de terres rares comme le graphite pour être produits.
RépondreSupprimerLa Chine est de loin le premier fournisseur et transformateur mondial de nombreux matériaux nécessaires à la technologie verte, ce qui signifie que les États-Unis sont en déclin économiquement et du point de vue de l'indépendance énergétique, tandis que la plus grande dictature communiste du monde s'élève au sommet.
"Je pense que leur stratégie consiste à rendre le monde occidental dépendant de la Chine pour la technologie", a ajouté Malloy. "C'est un combat sans combat."
Un exemple partagé par Malloy concernait l’utilisation de minéraux de terres rares, qui comprennent 17 éléments différents sur lesquels la Chine détient un monopole quasi mondial.
"Et toutes ces terres rares entrent dans la technologie éolienne et solaire, les véhicules électriques, ainsi que nos téléphones portables et nos ordinateurs", a déclaré Malloy. "Le monde entier dépend réellement de la Chine pour cela."
Il s’avère que les minéraux dits de terres rares ne sont pas techniquement rares en termes d’approvisionnement quelque part sur terre. C’est juste qu’aux États-Unis, les terres rares ne sont pas tellement exploitées, ce qui signifie qu’elles doivent être fournies par la Chine et d’autres pays.
L'United States Geological Survey (USGS) décrit les terres rares, comme on les appelle aussi, comme étant « relativement abondantes ».
"C'est juste qu'ils sont présents dans le sol à de très faibles concentrations", a expliqué Malloy. "Donc tu dois démonter le mien pour faire ça."
Malloy estime que l'une des raisons pour lesquelles l'Occident a pratiquement cessé toute exploitation minière de terres rares à l'ère moderne est la pression environnementale imposée par l'exploitation minière à ciel ouvert.
"Mais vous pouvez démanteler les mines en Chine", a expliqué Malloy, soulignant que les lois de protection de l'environnement de la Chine communiste sont fondamentalement inexistantes. "Ils n'ont pas de réglementation environnementale. La Chine s'est donc portée volontaire pour le faire."
RépondreSupprimerLes dernières données compilées par l’USGS révèlent que la Chine représente environ 70 % de l’ensemble de l’exploitation minière et de la production mondiale de minéraux de terres rares.
Les dernières nouvelles sur l’implication de la Chine communiste dans la direction du mouvement de la tyrannie verte peuvent être trouvées sur GreenTyranny.news.
Les sources de cet article incluent :
TheEpochTimes.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-12-15-climate-tyranny-subversion-china-america-green-technology.html
ÉMIRATS ARABES UNIS. s’associe à la société nucléaire de Bill Gates pour construire des RÉACTEURS NUCLÉAIRES AVANCÉS
RépondreSupprimer15/12/2023
Laura Harris
Les Émirats arabes unis ont signé un accord avec la société nucléaire de Bill Gates, TerraPower, pour explorer le développement potentiel de réacteurs nucléaires avancés dans cet État du Golfe.
Lors de la conférence sur le climat COP28 des Nations Unies à Dubaï le 4 décembre, Mohamed al-Hammadi, PDG de la société gouvernementale Emirates Nuclear Energy Corporation (ENEC), a déclaré que les Émirats arabes unis est déterminé à faire progresser sa capacité en matière d’énergie nucléaire.
"Pour les Émirats arabes unis, nous recherchons un avenir pour les électrons et les molécules propres qui seront concrétisés par des réacteurs avancés", a déclaré Al-Hammadi lors de la cérémonie de signature avec le président-directeur général de TerraPower, Chris Levesque. (Connexe : De nombreux pays investissent dans la production d’énergie nucléaire tandis que l’Amérique LANGUE à la recherche d’énergies renouvelables moins performantes.)
Pour sa part, Lévesque a déclaré que « la mise sur le marché de technologies nucléaires avancées est essentielle pour atteindre les objectifs mondiaux de décarbonation ». En d’autres termes, le partenariat vise à faire progresser la recherche et le développement dans le domaine de l’énergie nucléaire afin d’ouvrir la voie à des solutions de pointe dans la lutte contre le soi-disant changement climatique.
Les E.A.U. ne dispose actuellement que d’une seule centrale nucléaire traditionnelle située près d’Abu Dhabi. Elle a commencé à produire de l’électricité pour cet État du Golfe, largement dépendant du pétrole, en 2020.
Pendant ce temps, TerraPower prépare un projet de démonstration pour son réacteur avancé Natrium dans le Wyoming qui, espère-t-il, sera pleinement opérationnel d'ici 2030.
ÉMIRATS ARABES UNIS. espère que la recherche sur les réacteurs nucléaires avancés pourra contribuer à atteindre ses objectifs en matière d'énergie verte
Les réacteurs avancés des Émirats arabes unis. que l'on espère construire avec l'aide de TerraPower sont censées être plus petites, plus faciles à construire et plus dynamiques que les centrales nucléaires traditionnelles. Les organisations et les nations qui s’appuient davantage sur des sources d’énergie dites propres considèrent l’utilisation de réacteurs avancés comme un complément stable et vital à l’intermittence à laquelle on peut s’attendre de l’énergie éolienne et solaire.
Dans le protocole d'accord signé entre ENEC et TerraPower, les deux sociétés exploreraient les utilisations des réacteurs nucléaires avancés, telles que le stockage de l'électricité sur le réseau et la fourniture de l'énergie nécessaire pour produire de l'hydrogène et décarboner les usines de charbon, d'acier et d'aluminium.
RépondreSupprimerAbu Dhabi continue également d'investir dans d'autres sources d'énergie renouvelables. L’État du Golfe a signé plus tôt cette année un accord énergétique avec la Malaisie et s’associe à l’Égypte pour construire le plus grand parc éolien d’Afrique, qui devrait déplacer près de 24 millions de tonnes de dioxyde de carbone.
Les E.A.U. s'associe également à un autre État du Golfe et à un proche allié, l'Arabie saoudite, pour rechercher de nouveaux investissements dans des projets d'énergie verte, y compris le nucléaire.
Et tandis que les Émirats arabes unis. explore les possibilités associées à l'énergie nucléaire et investit dans le développement de sa base d'énergies renouvelables, la BBC a noté qu'Abou Dhabi a également profité de la COP28 sur son propre territoire pour conclure des accords pétroliers bilatéraux avec des gouvernements étrangers.
En mars, les Émirats arabes unis. a signé un accord pour fournir 65 000 tonnes de gaz naturel liquéfié à la Chine, un accord remarquable car il évite le dollar américain pour le règlement de l'accord et utilise à la place le yuan ou le renminbi chinois.
Apprenez-en davantage sur la production d’énergie renouvelable et nucléaire sur EnergySupply.news.
Regardez ce clip de "Secret Harbor Sessions" pendant que Tony Lambert discute d'un type de technologie d'énergie propre que le monde a supprimé.
Cette vidéo provient de la chaîne Secret Harbour Sessions sur Brighteon.com.
Plus d'histoires connexes:
RépondreSupprimerLa centrale nucléaire chinoise de 4e génération est désormais ENTIÈREMENT OPÉRATIONNELLE.
La guerre au Moyen-Orient deviendra obsolète une fois que les réactions nucléaires à faible énergie pourront se développer, fournissant au monde une énergie à faible coût.
L’économie allemande s’effondre après que le pays a abandonné l’énergie nucléaire – les prix montent en flèche, les industries implosent.
Percée en matière d'énergie propre : le microréacteur nucléaire eVinci de Westinghouse reçoit un contrat du DOE.
John Kerry admet que l’ÉNERGIE NUCLÉAIRE est nécessaire, mais continue de promouvoir l’énergie éolienne et solaire.
Les sources incluent :
Nouveau.theCradle.co
Reuters.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-12-15-uae-bill-gates-build-advanced-nuclear-reactors.html
L’avenir de l’Union européenne, vraiment ? (Partie 1)
RépondreSupprimerOlivier Frot pour France-Soir
le 14 décembre 2023 - 21:15
L'Europe : bientôt un État autoritaire sous domination germanique ? Et si le rideau de fer était déjà tombé ?
TRIBUNE - Une personne âgée vit dans sa petite maison de famille dont elle est propriétaire, dans un village français. Une loi décidée par le gouvernement de l’Europe impose la rénovation énergétique après un contrôle obligatoire, aux frais du propriétaire. Disposant d’une petite pension de réversion, n’ayant pas connaissance de ce texte, la dame n’entreprend aucun contrôle ni travaux. Ses faibles revenus l’empêchent de se chauffer correctement pendant l‘hiver. Commanditée par l’administration pour des contrôles aléatoires, une équipe d’inspecteurs lui rend visite. Méfiante, elle leur refuse l’entrée de son domicile. Résultat : 5 000 euros d’amende pour non-respect de l’ordonnance sur les contrôles aléatoires des autorités, assortie d’une injonction de faire réaliser des travaux d’isolation du plafond de l’étage supérieur sous peine d’une amende de 50 000 euros…
Cela paraît fou, mais cela existe déjà en Allemagne : et demain pourrait être décidé par l’Europe sans que la France puisse s’y opposer.
La règle de l’unanimité et la majorité qualifiée
La “construction européenne” est, selon ses termes mêmes, “sui generis”, c’est-à-dire sans aucune autre organisation comparable. Mettant en avant des prétendues valeurs démocratiques, cette organisation se caractérise au contraire par la confusion des pouvoirs aux mains de technocrates non élus (la Commission) et un Parlement dont on peine à comprendre l’utilité réelle, dans la mesure où il n’a pas l’initiative des lois et où des partis apparemment de sensibilité différente votent le plus souvent dans le même sens (PPE, socialistes, Verts, libéraux…). Le Conseil européen, composé des chefs d’États ou de gouvernement, détient la compétence décisionnaire, soumise à la règle de l’unanimité. Certains domaines sont soumis à la décision de la majorité qualifiée : aujourd’hui, ils concernent la politique agricole commune, certaines politiques économiques et financières, la politique de la concurrence, l’environnement et certaines politiques sociales. Le vote à la majorité qualifiée est un système de voix pondéré : chaque membre se voit attribuer un certain nombre de voix en fonction de sa population, avec, au minimum, trois voix pour les pays les moins peuplés. La majorité qualifiée représente au moins 55 % des voix des États membres représentant au moins 65 % de la population de l’UE. De plus, la décision doit être soutenue par au moins quatorze pays. Ce système est supposé faciliter les décisions en évitant le blocage par le veto d’un pays.
Une réflexion à propos de l’avenir de l’Europe s’est tenue en 2022, présidée par le député européen belge Guy Verhofstadt, les propositions ayant été élaborées par des “panels de citoyens européens”, déposées sur la plateforme en ligne de la conférence.
Ces propositions ont été reprises dans un récent rapport présenté par Guy Verhofstadtet quatre autres députés, tous allemands, membres de la commission des affaires constitutionnelles du Parlement européen (PE).
La Commission transformée en gouvernement…
RépondreSupprimerLes perspectives annoncées, outre l’extension des décisions à la majorité qualifiée dans de nombreux nouveaux domaines, verraient la transformation de la Commission en un gouvernement, dont le président serait élu et choisirait ses commissaires. Ainsi, des domaines relevant encore de la compétence exclusive des États membres seraient remontés au niveau de l’UE. On trouve dans le rapport “les menaces sanitaires transfrontalières, y compris la santé et les droits sexuels et génésiques, la protection civile, l’industrie et l’éducation”. Mais également qu’il “faudrait développer davantage les compétences partagées dans les domaines de l’énergie, des affaires étrangères, de la sécurité extérieure et de la défense, de la politique des frontières extérieures et des infrastructures transfrontières”. De plus, un nouveau cycle d’élargissement serait initié, sans droit de veto possible, avec de nouveaux candidats tels que la Macédoine du Nord, le Kosovo (que pourtant cinq pays — Espagne, Grèce, Roumanie, Slovaquie, Chypre — de l’UE n’ont pas reconnu en tant qu’État), ou encore la Moldavie, l’Albanie, la Géorgie et… l’Ukraine.
Le Parlement européen a récemment voté en faveur de ces propositions visant à modifier les traités pour étendre les décisions relevant de la majorité qualifiée au détriment de l’unanimité et pour conférer au Parlement un rôle accru et notamment un droit d’initiative législative, ce droit relevant actuellement de la seule Commission…
… et un Etat européen obsédé par le contrôle
Une telle modification des traités reviendrait à entériner la constitution d’un État européen, de nature fédérale dans les termes, mais plutôt jacobin, centralisé si l’on prend l’ensemble des compétences transférées. Un État autoritaire, sous une direction de fait, allemande, visant à tout contrôler en allant encore plus loin que la politique de censure récemment mise en place avec le Digital Service Act (DSA), initié par Thierry Breton, tout cela, bien évidemment, en mettant en avant de bons sentiments et des principes, maintenant habituels, d’inclusion, de développement durable, d’Etat de droit…
Il convient de noter que l’Assemblée nationale a voté une résolution validant ce processus. Le rapport a été présenté par le député Jean-Louis Bourlanges (Modem). Cette résolution a été votée par 123 votants, pour 118 suffrages exprimés dont 72 pour (Renaissance et le centre, deux socialistes présents), et 40 contre (essentiellement RN et LFI). Les députés LR présents se sont abstenus.
Même si le vote de cette résolution n’a qu’un caractère indicatif et symbolique, on peut s’étonner de la faible participation à ce vote (123 sur 577 députés…) et la facilité avec laquelle un tel bouleversement potentiel a été entériné, dans la plus grande discrétion.
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/l-avenir-de-l-union-europeenne-vraiment-partie-1
Dévastation de 4e génération : l’Occident a été la cible d’une lâche guerre mentale mondialiste
RépondreSupprimerPar Brandon Smith
Alt-Market.us
18 décembre 2023
Lorsque j’ai découvert pour la première fois le concept de guerre de 4e génération, il y a environ 20 ans, j’étudiais les bases de la propagande et son fonctionnement. Bien que la question centrale soit profondément troublante à plusieurs niveaux, je l’ai également trouvée fascinante : la manière dont les gouvernements et les élitistes ont tenté de contrôler les masses tout en essayant d’éviter autant que possible la confrontation directe.
Avec l’avènement de populations civiles armées d’armes de qualité militaire et familiarisées avec l’entraînement requis pour le combat, les groupes élitistes ont réalisé (après la Révolution américaine) que dominer le public avec la puissance militaire n’était plus une valeur sûre. Ils ont dû s’engager dans un nouveau type de guerre en utilisant des attaques psychologiques jusqu’à ce qu’ils puissent affaiblir et désarmer la population. Le nouveau système d’oppression concernait la coercition mentale ; faire croire que l’idéal autoritaire est inévitable.
Une partie de cette stratégie consiste à utiliser un levier économique pour l’ingénierie sociale. Il y a cent ans, il s’agissait plutôt pour les banques de créer une série infinie de mécanismes d’endettement et de contrôler l’émission de devises. Aujourd’hui, les élites du monde des affaires se développent – elles veulent changer la nature même de l’argent grâce aux monnaies numériques des banques centrales (CBDC). Par extension, ils tentent également d’influencer le comportement du public en associant l’idéologie de « justice sociale » à la participation économique via l’ESG.
En d’autres termes, si vous voulez avoir accès au crédit ou à l’argent et avoir la capacité d’être compétitif sur le nouveau marché « inclusif », vous devrez vous plier à la religion éveillée. Si vous refusez, votre accès au commerce pourrait être complètement fermé et vous et votre famille pourriez mourir de faim.
Un facteur plus important dans la guerre mentale, cependant, est le déplacement de la fenêtre d'Overton en transformant les piliers culturels en méchants culturels. Ceci est accompli grâce à la création de la religion de déconstruction, ou ce que nous appelons parfois le « culte du réveil ».
Nommez toute valeur ou principe culturel qui définit le monde occidental, comme la méritocratie, l'indépendance, l'autonomie, la force mentale, la liberté (avec responsabilité), l'héritage du travail acharné et de la famille, la protection des enfants contre les perversions, la discipline plutôt que l'hédonisme, la logique et raisonner sur le fanatisme, la conservation du patrimoine et de l’histoire et, pour beaucoup de gens, les principes du devoir chrétien. Ce sont tous des piliers de notre société que la secte éveillée cherche à détruire. De toutes les manières que je peux imaginer, il s’agit d’une guerre psychologique contre l’Occident, entièrement financée par des milliards de dollars de subventions provenant de groupes de réflexion mondialistes comme la Fondation Ford, la Fondation Rockefeller et l’Open Society Foundation.
RépondreSupprimerLes mondialistes considèrent la manipulation publique et l’ingénierie sociale comme leur droit inné. Ils pensent que c’est leur destin manifeste et suggèrent souvent que l’humanité se décomposerait et s’autodétruirait sans leur influence.
Comme l’a déclaré un jour le célèbre propagandiste Edward Bernays :
« La manipulation consciente et intelligente des habitudes organisées et des opinions des masses est un élément important dans une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme invisible de la société constituent un gouvernement invisible qui est le véritable pouvoir dirigeant de notre pays. …Nous sommes gouvernés, nos esprits sont façonnés, nos goûts formés, nos idées suggérées, en grande partie par des hommes dont nous n’avons jamais entendu parler…
… Dans presque tous les actes de notre vie quotidienne, que ce soit dans le domaine politique ou commercial, dans notre conduite sociale ou notre pensée éthique, nous sommes dominés par un nombre relativement restreint de personnes… qui comprennent les processus mentaux et les modèles sociaux des masses. . Ce sont eux qui tirent les ficelles qui contrôlent l’esprit du public.
Pour des hommes comme Bernays, le but des opérations psychologiques était davantage de maintenir un certain statu quo, avec les puissants de l’establishment fermement aux commandes mais à l’abri autant que possible de la vue (et de la colère) du public. La méthodologie du « gouvernement fantôme » a été construite à l’époque de Bernays. Cependant, ce qui a commencé comme une tactique visant à maintenir la population dans l’ignorance est désormais devenu une stratégie pour lui faire la guerre. La 4e génération de guerre est née du bourbier de la gestion de la perception du public.
Mais vous pourriez vous demander comment nous pouvons être attaqués sans soldats, sans armes, sans bombes, sans chars ou sans drones ? Cela ne semble-t-il pas un peu paranoïaque ?
Dans un document interne autrefois obscur de l’armée américaine intitulé « From Psyop To Mindwar », la valeur militaire du sabotage par les méthodes de 4e génération est décrite en détail. Le traité expose l’idée d’amener une population cible à s’auto-asservir en sapant ses structures fondamentales par le biais d’une guerre psychologique. Le document a été rédigé en 1980 par le lieutenant-colonel Michael Aquino, un fervent sataniste, et le colonel Paul Vallely, qui deviendra plus tard général.
La théorie d’Aquino était essentiellement que l’armée américaine sous-utilisait les opérations psychologiques comme arrière-plan des opérations cinétiques. Il a fait valoir que les opérations psychologiques pouvaient être utilisées comme arme de première ligne pour détruire une nation ennemie (ou contrôler une population nationale) sans utiliser de munitions standard. Comme le suggère Aquino dans une préface de Mindwar de 2003 :
RépondreSupprimer« Essentiellement, vous submergez votre ennemi d’arguments. Vous prenez le contrôle de tous les moyens par lesquels son gouvernement et sa population traitent l’information pour prendre une décision, et vous l’ajustez pour que cette décision soit prise comme vous le désirez. Tout le monde est heureux, personne n’est blessé ou tué et rien n’est détruit.
La fausse bienveillance derrière cette idée est inquiétante. Croyez-le ou non, il s’agissait d’une tentative d’Aquino d’« adoucir » la perception du public à l’égard du document. Il a déploré la révélation de Mindwar parmi les « cercles du complot » et a passé des décennies à tenter de minimiser le rôle de l’occultisme dans les échelons supérieurs de l’armée et du gouvernement. Tout cela n’était qu’un « gros malentendu » selon le sataniste.
Mindwar tente de se déconnecter de la sombre et sale réputation des efforts de propagande parmi les nazis ou les communistes. La propagande est communément, et à juste titre, associée au mensonge. Aquino admet que les nouvelles opérations psychologiques seront utilisées contre les Américains, et pas seulement contre les ennemis étrangers, mais il affirme cette fois qu’elles utiliseront « la vérité » pour manipuler les masses. Et qui peut dicter la vérité ? Eh bien, des fanatiques satanistes comme Aquino, bien sûr.
L’hypocrisie de Mindwar est évidente dans sa prémisse sous-jacente : que l’establishment fera toujours sa propagande en utilisant la vérité, parce que ce qui est un mensonge aujourd’hui peut devenir une vérité demain. Comme le note Aquino :
« Contrairement aux PSYOP, MindWar n’a rien à voir avec la tromperie ou même avec la vérité « sélectionnée » – et donc trompeuse. Il énonce plutôt toute une vérité qui, si elle n’existe pas maintenant, sera forcée à exister par la volonté des États-Unis.»
Mindwar en tant que document est en soi un morceau de propagande qui ne peut s’empêcher de déformer la réalité pour justifier la vision d’hommes qui recherchent le pouvoir par-dessus tout. Je vous invite à lire l'article (lien ci-dessus) ; presque tous les concepts qui y sont décrits sont aujourd’hui utilisés contre le peuple américain et le public occidental. Les arguments tordus avancés dans Mindwar sont exactement les mêmes que ceux utilisés par les gouvernements actuels pour justifier la propagande étatique et la censure massive des opinions opposées comme étant essentielles à la sécurité et au bien commun.
La clé pour comprendre la situation est d’accepter qu’une guerre soit imminente. Woke est une opération psychologique conçue par les mondialistes, et elle se bat actuellement pour devenir le seul et unique système de pensée – un système de pensée moralement relativiste. Pour réussir, elle s’appuie sur une circonstance spécifique : l’idée selon laquelle les hommes occidentaux n’adopteront pas une posture de combat face à une attaque psychologique. Tant que nous continuerons à considérer la guerre uniquement comme un combat armé, nous resterons dociles face à un bombardement culturel plus avancé.
RépondreSupprimerPour que la guerre de 4e génération prévale, la population cible doit suivre un certain ensemble de règles tandis que l'autre camp opère sans règles. Ils doivent être autorisés à poursuivre la destruction totale contre leur ennemi tandis que l’autre camp est réprimandé pour toute action vaguement défensive, y compris pour s’exprimer. Mais que se passe-t-il lorsque les patriotes ne se soucient plus d’être réprimandés ? Que se passe-t-il lorsque l’optique n’est plus pertinente ? Que se passe-t-il lorsque l’objectif passe de la victoire politique ou dans les débats publics à la victoire dans la conflagration qui se déroule devant nous ?
Lorsque cela se produira, tout changera en Amérique et dans le monde occidental. Le meilleur ou le pire dépendra vraiment de qui restera à reconstruire une fois la fumée dissipée.
Reprinted with permission from Alt-Market.us.
https://www.lewrockwell.com/2023/12/brandon-smith/4th-generation-devastation-the-west-has-been-targeted-in-a-cowardly-globalist-mind-war/