le 17 juillet 2018
Comme je l’ai relaté sur ce blog il y a 30 ans James Hansen (Goddard Institute (GISS), NASA) fut invité à présenter ses travaux sur l’évolution du climat au Sénat américain. Les doutes s’accumulent, aujourd’hui, dans la communauté scientifique au sujet de ce réchauffement tant attendu et presque espéré par divers groupes financiers mais qui ne se concrétise toujours pas et Hansen vient de parler et ses confidences vont faire beaucoup de bruit ! L’audition devant le Sénat américain fut organisée en 1988 par le dénommé Al Gore, alors sénateur de son état, pour produire des modèles scientifiques basés sur divers scénarios qui pourraient impacter le climat de la planète.
Selon Hansen Al Gore prit les données relatives au « pire scénario » et les transforma pour les renommer « réchauffement global », ce qui lui permit par la suite d’amasser une fortune se comptant en dizaines de millions de dollars. Toujours selon Hansen le modèle qu’il avait appelé « scénario B » ne prenait pas en considération un certain nombre de facteurs critiques et il était loin d’être le reflet du monde réel. Néanmoins Al Gore ignora sciemment ce détail et il organisa une véritable campagne d’intoxication qui trompa des centaines de millions de personnes dans le monde. Hansen a reconnu que son scénario B n’avait pris en compte que le gaz carbonique intervenant dans ce qu’il avait appelé le forcing radiatif, une notion qui, depuis, a été largement remise en cause par de nombreux spécialistes de l’atmosphère. De plus le scénario B de Hansen incluait également les CFCs et le méthane dont les effets sur ce forcing radiatif furent également largement surestimés à l’époque. De plus Hansen a admis qu’il avait négligé d’inclure les effets du phénomène cyclique El Nino sur les températures globales enregistrées ce qui le conduisit à formuler des prédictions totalement erronées.
Hansen vient donc de faire amende honorable et a reconnu qu’il n’était pas l’auteur du « réchauffement climatique » comme le monde entier l’a reconnu mais que les manipulations subséquentes d’Al Gore, soutenu par le monde politique, relevaient de la pure fiction. Ce dernier point a été parfaitement exposé par le Docteur Ross McKitrick, Professeur d’économie à l’Université de Guelph et le Docteur John Christy, Professeur de sciences de l’atmosphère à l’Université de l’Alabama à Huntsville. Comme l’ont reconnu ces deux personnalités toutes les observations contredisent les prévisions alarmistes pour ne pas dire apocalyptiques d’Al Gore. McKitrick fut aussi considéré comme l’instigateur du « réchauffement climatique » et il a également reconnu ses erreurs d’appréciation largement influencées par l’orchestration planétaire de la propagande « réchauffiste ».
Finalement toute cette histoire de climat est, comme disent les anglo-saxons, un « hoax », en français un canular, qui aura coûté et coûtera encore des centaines de milliards de dollars ou d’euros à tous les contribuables de la planète et en particulier des pays de l’OCDE directement concernés par les accords frauduleux dits de Paris-COP21, qui aura forcé des centaines de milliers de scientifiques à mentir et des dizaines de milliers de politiciens à profiter de cette opportunité pour asseoir leur pouvoir sur les peuples et enfin à d’innombrables ONGs qui se sont engouffrées dans cette problématique pour réaliser des profits monstrueux tout en endoctrinant les populations de façon mensongère. C’est la plus grande « fake news » de la fin du XXe siècle aux conséquences désastreuses et durables.
Il restera à constater si les médias contrôlées par de grands groupes financiers de par le monde vont rendre publique cette information car les enjeux financiers sont tellement importants et planétaires, un « canular » tellement bien inculqué dans les cerveaux de tous les citoyens de tous les pays, et chez les enfants dès l’école primaire, alors il faudra beaucoup de mois sinon d’années pour que les contribuables finissent par se rendre compte qu’ils ont été roulés dans la farine et qu’ils mettent à la retraite tous les politiciens qui les ont abusé, sans oublier les banquiers qui profitent à outrance des naïfs qui ont choisi de placer leur épargne dans les obligations « vertes » (voir un prochain billet sur ce blog). Tous les politiciens et leurs soutiens privés, je pense à diverses associations, devront un jour rendre des comptes aux peuples. Merci Al Gore …
et sur ce blog :
(source : principia-scientific.org)
(...) les manipulations subséquentes d’Al Gore, soutenu par le monde politique, relevaient de la pure fiction. (...)
RépondreSupprimerEn 1997, à Kyoto al Gore a lancé l'escroquerie appelée 'Global Warming' après une photo prise sur l'estrade où il apparaissait au milieu de centaines de vrais scientifiques. Prenant la parole, il parla du contraire des rapports que lui avaient remis les scientifiques !!
Il s'ensuivit une contestation unanime:
Global Warming Petition Project
31,487 American scientists have signed this petition,
including 9,029 with PhDs
http://www.petitionproject.org
CLIMAT - LEUTHARD AU FORUM DES NATIONS UNIES À NEW YORK
RépondreSupprimerLa conseillère fédérale va présenter le rapport suisse sur l'Agenda 2030 lors du Forum de l'ONU sur le développement durable.
17.07.2018, 12h29
La conseillère fédérale Doris Leuthard participe mardi au Forum des Nations Unies sur le développement durable (HLPF) à New York. Elle présente le rapport sur la mise en oeuvre de l'Agenda 2030 en Suisse.
La Suisse et 46 autres pays - dont l'Albanie, le Niger, le Soudan, l'Australie, la Palestine, Bahreïn, la Colombie et l'Irlande - présentent leur inventaire national au Forum des Nations Unies sur le développement durable (HLPF). Doris Leuthard doit présenter les résultats de la Suisse.
Le rapport suisse a été adopté en juin par le Conseil fédéral. Il mentionnait les objectifs de l'Agenda 2030 sur lesquels la Suisse doit agir, dont la biodiversité et la base de financement pour atteindre les objectifs. Elle doit également accroître ses efforts sur la consommation de ressources de biens importés et l'empreinte de gaz à effet de serre de la Suisse.
L'Agenda 2030 est en vigueur depuis janvier 2016. Il appelle tous les Etats membres de l'ONU à contribuer à la réalisation des 17 objectifs de développement durable, comme la lutte contre la pauvreté, la faim et le changement climatique.
Selon le rapport intermédiaire du Conseil fédéral, les statuts de 85 indicateurs vérifiés en Suisse sont majoritairement positifs ou n'ont pas besoin du moins d'être significativement modifiés. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/leuthard-forum-nations-unies-new-york/story/26565222
(...) le changement climatique. (...)
SupprimerDésolé mais IL Y AURA TOUJOURS DES SAISONS ! Et, ces modifications de température ne dépendent ni d'un éventuel rapprochement du soleil ou action des humains et de leurs industries mais UNIQUEMENT des éruptions magmatiques sous-marines et sous-océaniques qui réchauffent (ou pas) les courants.
https://huemaurice5.blogspot.fr/2017/12/est-ce-que-40-000-volcans-sont.html
https://huemaurice5.blogspot.fr/2015/03/les-volcans-sous-marins-finalement-pris.html
https://huemaurice5.blogspot.fr/2018/01/la-terre-est-une-planete-froide.html
https://huemaurice5.blogspot.com/2014/06/surprise-le-volcan-ouest-fait-fondre-la.html
https://huemaurice5.blogspot.com/2018/06/biodiversite-biosphere-et-biomasse-cest.html
Apprenez au moins quelque chose avant de partir en voyage !
Le coût de l'énergie éolienne offshore: pire que ce que nous pensions
RépondreSupprimer17 juillet 2018
Par Andrew Montford
Il y a quelques jours, Roger Harrabin de la BBC a mentionné une nouvelle suggestion que, au lieu de découper les plates-formes pétrolières redondantes, nous devrions les couler simplement au fond de la mer, où ils deviendraient des récifs artificiels qui encourageraient un épanouissement de la flore et la faune marine. Les lecteurs attentifs de son compte Twitter ont bien sûr rapidement fait remarquer que c'est exactement ce que BP avait proposé pour leur plate-forme Brent Spar il y a près de vingt ans. À l'époque, il y avait un déversement d'écologistes, qui ont accusé le géant pétrolier de polluer délibérément les mers. La campagne est devenue vraiment farfelue quand Greenpeace a fait la demande - quels correspondants environnementaux, pour un homme, n'ont pas défié - que la plate-forme était pleine de déchets nucléaires. Ce fut un moment vraiment honteux.
La raison pour laquelle je mentionne cette histoire aujourd'hui est que le ministère des affaires, de l'énergie et de la stratégie industrielle a récemment publié un document sur les coûts potentiels de démantèlement de ces éoliennes offshore qu'ils sont si désireux d'installer. La réponse est la suivante:
Le coût total estimé du déclassement est de 1,28 milliard de livres sterling à 3,64 milliards ...
C'est pour 34 parcs éoliens, donc 100 millions de dollars chacun. Vous pouvez voir pourquoi il pourrait y avoir un regain d'intérêt soudain dans la création de récifs artificiels à partir de grandes structures maritimes plutôt que d'avoir à débourser de l'argent pour les couper et les ramener à terre.
Fait intéressant, le rapport note également ceci:
[...] il a été reconnu que les études antérieures sur le coût actualisé de l'énergie tirée des éoliennes en mer [...] ne tenaient pas compte des coûts de déclassement ni du coût d'acquisition des titres.
Ils estiment que si une garantie de liquidité était requise à l'avance, cela ajouterait près de 5 % au coût nivelé.
https://wattsupwiththat.com/2018/07/17/the-cost-of-offshore-wind-power-worse-than-we-thought/
Supprimer(...) au lieu de découper les plates-formes pétrolières redondantes, nous devrions les couler simplement au fond de la mer, (...)
Les plate-formes offshore sont des derricks en mer et, si la nappe de pétrole est épuisée, les plate-formes comme les derricks terrestres demeurent en place. Pourquoi ? Parce que dans une dizaine d'années, la nappe se sera rerempli et, si la pression est alors suffisante, les extractions peuvent recommencer !
Migration de masse: "Le solvant mortel de l'UE"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar. 17/07/2018 - 03:30
Auteur de Giulio Meotti via The Gatestone Institute,
"Loin de mener à la fusion, la crise migratoire de l'Europe mène à la fission", a récemment écrit l'historien de Stanford, Niall Ferguson. "De plus en plus, je crois que la question de la migration sera considérée par les futurs historiens comme le solvant fatal de l'UE." Semaine après semaine, la prédiction de M. Ferguson semble devenir réalité.
Non seulement l'Europe continue à se fragmenter comme sentiment anti-immigration rassemble la force politique, mais, en raison de la crise des migrants, la zone interne de l'UE sans frontières, prix les plus attendues de l'Europe après la Seconde Guerre mondiale, est désormais définie comme « à risque "par le gouvernement italien, parmi d'autres gouvernements, tels et l'Autriche.
L'immigration redéfinit également le contrat intra-UE.
La République tchèque, la Hongrie, la Pologne et la Slovaquie, appelées "Groupe de Visegrad", ont récemment appelé à la défense des frontières de l'UE. "Nous devons avoir une Europe capable de nous défendre", a déclaré le chancelier autrichien Sebastian Kurz, après avoir été invité à se joindre à la réunion de Visegrad.
Cette année, le chancelier autrichien Sebastian Kurz (deuxième à partir de la gauche) a été invité à se joindre aux dirigeants des quatre pays du «Groupe de Visegrad» (République tchèque, Hongrie, Pologne et Slovaquie) lors de leur sommet du 21 juin. Les questions de migration de masse et de protection des frontières étaient en tête de l'ordre du jour.
Le nouveau gouvernement populiste italien, après que l'Italie a vu plus de 700 000 migrants arriver sur ses côtes au cours des cinq dernières années, a également adopté une politique stricte. Le ministre italien de l'Intérieur, Matteo Salvini, a récemment fermé les ports italiens aux navires de migrants. En Allemagne, après l'affrontement entre la chancelière allemande et l'immigration avec son ministre de l'Intérieur, Horst Seehofer, la politique migratoire pourrait également conduire à «la fin du mandat de Mme Merkel».
"Le nouveau gouvernement populiste de l'Italie signale un défi majeur pour le statu quo européen, mais pas de la façon dont la plupart des observateurs s'attendaient initialement", a récemment commenté l'auteur Walter Russell Mead dans le Wall Street Journal. "La coalition gouvernementale a mis en attente le défi de sa politique de l'euro et se tourne plutôt vers un sujet sur lequel l'establishment européen est plus vulnérable: la migration".
L'ensemble du consensus politique européen se fracture sous l'impact sismique de la vague migratoire. La migration vers l'Europe est devenue une question politique "aussi toxique que jamais", le New York Times vient de faire remarquer le débat actuel au sein de l'Union européenne. Les problèmes actuels de l'UE semblent provenir d'une surdité parmi les élites politiques, qui refusent de prendre en compte les problèmes de leurs citoyens qui ont suivi une immigration de masse non contrôlée.
La migration massive au cours des dernières années a simplement créé des problèmes majeurs pour la stabilité interne de l'Europe. Premièrement, il y a eu un problème de sécurité. Selon un nouveau rapport de la Fondation du patrimoine:
«Près de 1 000 personnes ont été blessées ou tuées dans des attentats terroristes depuis 2014, des demandeurs d'asile ou des réfugiés. La majorité des complots islamistes en Europe concernaient des demandeurs d'asile ou des réfugiés. L'Allemagne est la cible la plus fréquente et les Syriens sont plus fréquemment impliqués que n'importe quelle autre nationalité Près des trois quarts des comploteurs réalisent leurs projets ou voient leur projet contrecarré dans les deux ans suivant leur arrivée en Europe.
RépondreSupprimer...
"Depuis janvier 2014, 44 réfugiés ou demandeurs d'asile ont été impliqués dans 32 complots terroristes islamistes en Europe, ces complots ont conduit à 814 blessés et 182 morts".
Il existe également un grave défi à la coexistence ethnique et religieuse que pose l'immigration. Selon un manifeste signé entre autres par l'ancien président français Nicholas Sarkozy et l'ancien Premier ministre français Manuel Valls, les juifs français ont été victimes d'une forme de nettoyage ethnique.
"Dix pour cent des citoyens juifs de la région parisienne ont été contraints de déménager parce qu'ils n'étaient plus en sécurité dans certains conseils", a déclaré le manifeste. "C'est un nettoyage ethnique silencieux."
La menace l'Europe est confrontée si elle refuse de fermer et de contrôler les frontières est Examiné par Stephen Smith, spécialiste de l'Afrique et admirées par le président français Emmanuel Macron, dans son nouveau livre, La ruée vers l'Europe: Jeune Afrique sur le chemin de la vieille Continent Aujourd'hui, j'ai des notes, 510 millions d'Européens vivent dans l'Union européenne avec 1,3 milliard d'Africains qui leur font face. "Dans trente-cinq ans, 450 millions d'Européens devront affronter quelque 2,5 milliards d'Africains, soit cinq fois plus", a prédit Smith. Si les Africains suivent l'exemple des autres parties du monde en développement, comme les Mexicains aux États-Unis, « en trente ans », selon Smith, « l'Europe aura entre 150 et 200 millions d'Afro-Européens, contre 9 millions aujourd'hui " Smith a appelé ce scénario "Eurafrique". La plus grande vague migratoire de l'Europe depuis la Seconde Guerre mondiale est également devenue un problème urgent car les populations indigènes d'Europe continuent de vieillir et de diminuer en nombre.
Le système de quota controversé pour les migrants a déjà échoué. Les gouvernements européens ne peuvent pas non plus vraiment expulser les migrants. En 2012, la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) a condamné le gouvernement italien et lui a ordonné de payer des milliers d'euros à deux douzaines d'immigrants qu'elle a déportés en Libye. Les autorités italiennes avaient intercepté les migrants dans la mer Méditerranée alors qu'ils tentaient d'atteindre l'île italienne de Lampedusa depuis la Libye. Trois ans plus tard, la Cour européenne a de nouveau condamné le gouvernement italien pour l'expulsion des migrants. La Cour européenne des droits de l'homme a également condamné l'Espagne dans son jugement d'expulser un groupe de 75 à 80 migrants de l'enclave de Melilla. La CEDH a ensuite condamné la Hongrie pour avoir détenu des migrants. L'Europe ne peut pas arrêter, expulser, arrêter et rapatrier les migrants. Que suggèrent les autorités de Bruxelles ? Amener tout le monde en Europe ?
Andrew Michta, doyen du Collège d'études internationales et de sécurité au Centre européen d'études de sécurité George C. Marshall, a récemment écrit que, sous cette migration de masse, les démocraties européennes risquent leur propre «décomposition». Nous ne verrons pas seulement la «fission» de l'Union européenne déjà fragile, mais aussi celle de la civilisation occidentale.
https://www.zerohedge.com/news/2018-07-16/mass-migration-fatal-solvent-eu
(...) « en trente ans », selon Smith, « l'Europe aura entre 150 et 200 millions d'Afro-Européens, contre 9 millions aujourd'hui "(...)
SupprimerSi l''UE' était en Démocratie il n'y aurait pas un immigrant en Europe.
Pourquoi les européens doivent-ils payer pour partir en vacances à Tahiti alors que d'autres sont payés pour faire le voyage d'Afrique et d'Asie vers l'Europe ?
INDE - ILS ONT VIOLÉ UNE FILLETTE PENDANT DES SEMAINES
RépondreSupprimerUne petite a été violée dans le sud de l'Inde par 17 hommes. Les tortionnaires, qui ont utilisé des drogues et des sédatifs sur leur petite victime, ont été arrêtés.
17.07.2018, 14h26
Dix-sept hommes suspectés d'avoir violé une fillette de 11 ans durant des semaines ont été arrêtés dans le sud de l'Inde. La mineure, qui souffre de troubles de l'audition, aurait été agressée sexuellement dans un complexe résidentiel en grande partie désert de Chennai, capitale de l'État du Tamil Nadu (sud).
Parmi les interpellés figurent des gardes de sécurité de cet ensemble de 300 appartements, un plombier et un steward d'ascenseur, a rapporté la police de la région.
D'après les enquêteurs, le groom d'ascenseur de 66 ans a été le premier à s'en prendre à la fille alors qu'elle revenait de l'école et faisait du vélo autour du bâtiment.
Il aurait ensuite invité d'autres hommes à le suivre, qui se sont filmés violant l'enfant.
Les tortionnaires présumés auraient administré des drogues et sédatifs à la victime.
«Nous n'en sommes qu'au début de l'enquête et nous devons encore approfondir pour connaître les détails», a déclaré à l'AFP un responsable policier de Chennai.
Selon la presse locale, les suspects auraient emmené la mineure dans différents endroits du complexe, comme le sous-sol, la terrasse, la salle de sports et des toilettes publiques, pour la violer. La fille a fini par se confier à sa famille, qui a saisi la police.
Société très patriarcale
Quelque 19'000 viols de mineurs ont été signalés en Inde en 2016, selon des statistiques du gouvernement. Les experts estiment toutefois que ce chiffre ne représente que la partie émergée de l'iceberg, en raison de la culture du silence qui prévaut dans cette société très patriarcale.
Le géant d'Asie du Sud a été secoué en début d'année par le viol et le meurtre d'une fillette musulmane de huit ans par des villageois hindous dans le nord du pays.
Cet événement a provoqué un vif débat de société en Inde et poussé le gouvernement à introduire la peine de mort pour les viols d'enfants de moins de 12 ans. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/viole-fillette-semaines/story/10174609
GARE AU SUCRE ET AU SEL CONTENUS DANS LES JUS DE FRUITS ET DE LÉGUMES
RépondreSupprimerpar OLIVIER SANCERRE
15/07/2018
Ce sont les vedettes de l’été, à l’heure des fortes chaleurs estivales : les jus de fruits et les jus de légumes sont particulièrement populaires. Mais à leur teneur en sucre et en sel, prévient 60 Millions de consommateurs.
Quoi de plus rafraîchissant qu’un jus de fruits ou qu’un jus de légumes quand le soleil frappe si fort dehors ? Oui mais voilà, ces produits ne sont pas aussi sains qu’ils voudraient le faire croire. Leur teneur en sucre et en seul est bien trop élevé, certains dépassent même la dose recommandée par l’Organisation mondiale de la santé. Les smoothies en particulier concentrent beaucoup trop de sucre, comme le relève le magazine. C’est le cas de ce « smoothie antioxydant » qui contient du kiwi, du citron vert et des graines de lin.
Trop de sucre
60 Millions de consommateurs a relevé dans un verre de 25 cl rien moins que 27,5 grammes de sucre. C’est l’équivalent de 4,5 morceaux de sucre... L’OMS recommande une consommation quotidienne de 25 grammes : un seul verre de ce smoothie dépasse donc à lui seul la recommandation de l’organisation. Ces smoothies se révèlent par ailleurs très caloriques avec leur forte teneur en banane et raisin. Et si l’on pensait s’en remettre au jus de légumes pour étancher sa soif, on se trompera.
Trop de sel
Le problème des jus de légumes n’est pas leur teneur en sucre, mais en sel. Un cocktail de légumes Original V8 contient ainsi 1,6 g de sel dans une cannette de 340 ml, soit l’équivalent d’un paquet de 100 grammes de chips. L’OMS recommande une consommation quotidienne de sel de moins de 5 grammes. 60 Millions de consommateurs conseille un verre de 200 ml de jus de fruits ou de légumes purs par jour.
http://www.economiematin.fr/news-gare--sucre-sel-contenus-jus-fruits-legumes
IMMIGRATION DE MASSE VERS L'EUROPE:
RépondreSupprimerDe nouvelles espèces de requins pourraient nager vers le Royaume-Uni
17 juillet 2018,
Université de Southampton
Les recherches de l'université de Southampton suggèrent que de nouveaux types de requins pourraient se diriger vers les eaux britanniques en raison du réchauffement des mers.
Dr Ken Collins, directeur de recherche de l'Université de Southampton, basé au Centre national d'océanographie de Southampton, a prévu 10 espèces de requins trouvés dans les régions chaudes du monde À l'heure actuelle, comme les requins marteaux et pointes noires, peut être nager dans British're dans les 30 ans que le climat change.
Et une nouvelle «carte des requins» révèle les endroits où le poisson se trouve déjà dans les eaux britanniques.
Il nomme Cornwall comme la capitale du requin du pays avec au moins 20 espèces trouvées au large de la côte, suivie par les îles Scilly et Devon.
On estime que 10 millions de petits et 100 000 plus gros requins provenant de 40 espèces différentes se trouvent dans les mers autour du Royaume-Uni.
Plus d'espèces pourraient se diriger vers le Royaume-Uni des lieux: comme la Méditerranée et la côte de l'Afrique as're devenir plus chaud en raison du changement climatique, d'après la recherche commandée pour marquer Nat Geo semaine Wild « de Sharkfest » de la programmation de la télévision cette semaine.
Mais ceux qui se trouvent déjà dans les eaux du Royaume-Uni, tels que les requins-renards, les pèlerins et les nurses, sont en déclin en raison de la surpêche et d'autres problèmes.
Ils ont besoin de protection, selon le Dr Collins, qui était auparavant administrateur du programme britannique de marquage des requins.
Dr. Collins a déclaré: "Il est probable que nous verrons plus de requins se propager des régions plus chaudes telles que la mer Méditerranée vers nos eaux au Royaume-Uni au cours des 30 prochaines années.
"Ceux-ci incluent les goûts de blacktips, les tigres de sable et les requins-marteaux, qui sont actuellement trouvés nageant au large des côtes de l'Espagne et du Portugal."
J'ai ajouté: «Bien que le nombre potentiel d'espèces de requins au Royaume-Uni ait augmenté au cours des prochaines années, le nombre total de requins, en particulier les plus grands, diminuera à cause de la surpêche, des déchets plastiques et des changements climatiques.
"Il est vraiment important que nous travaillions ensemble pour empêcher l'extinction prématurée de ces créatures merveilleuses."
Il a également dit qu'il ne voyait "aucune raison" pourquoi il devrait y avoir de grands requins blancs dans les eaux britanniques, car ils ont été trouvés dans les eaux plus froides au large de l'Afrique du Sud et ont préféré manger des phoques.
Mais les nombres de grands blancs, frappés par un problème d'image depuis le film Jaws, sont en déclin dans le monde entier, de sorte que les chances de les voir au Royaume-Uni chutent chaque année, a-t-il dit.
RépondreSupprimerDes sondages menés auprès de 2 000 adultes britanniques pour Nat Geo WILD ont révélé que quatre personnes sur dix admettaient une peur irrationnelle des requins en nageant dans la mer, tandis que plus de huit sur dix pensent que Hollywood leur a donné une mauvaise réputation.
Un porte-parole Nat Geo sauvage Been requins Dit AVAIT Interprété trop longtemps d'une manière unidimensionnelle, comme les prédateurs terrifiants, et Sharkfest Visant à révéler la « vraie nature grandiose des requins ».
Les 10 nouvelles espèces de requins qui pourraient habiter les eaux britanniques d'ici 2050 sont:
Grand marteau
Requin à pointe noire
Tigre de sable ou requin en dents de scie tacheté
Batteur de thon obèse
Longko mako
Baleinier en bronze ou requin de cuivre
Requin océanique
Requin soyeux
Requin sombre
Requin gobelin
https://phys.org/news/2018-07-shark-species-uk-seas.html#jCp
(...) "Il est vraiment important que nous travaillions ensemble pour empêcher l'extinction prématurée de ces créatures merveilleuses." (...)
SupprimerLes terroristes d'alqaïda arrivent en Europe !
Les OGM au Bangladesh
RépondreSupprimerL'aubergine génétiquement modifiée améliore la vie au Bangladesh
17 juillet 2018
par George Lowery,
Université Cornell
Ansar Ali ne gagnait que 11 000 takas - environ 130 dollars américains dollars - à partir de l'aubergine, il a grandi l'année dernière au Bangladesh. Cette année, après avoir planté des aubergines Bt, j'ai ramené à la maison plus du double de ce montant, 27 000 taka. C'est une amélioration qui change la vie d'un agriculteur de subsistance comme Ali.
L'aubergine Bt, ou brinjal comme on l'appelle au Bangladesh, est la première culture vivrière génétiquement modifiée à avoir été introduite avec succès en Asie du Sud. Bt brinjal aide certains des agriculteurs les plus pauvres du monde à nourrir leurs familles et leurs communautés, à améliorer les profits et à réduire de manière spectaculaire l'utilisation des pesticides. C'est selon Tony Shelton, professeur d'entomologie à Cornell et directeur du projet Bt brinjal financé par l'Agence américaine pour le développement international (USAID). Shelton et Jahangir Hossain, le coordinateur national du projet au Bangladesh, mènent l'initiative Cornell d'entrer dans les mains Ces graines de la petite échelle, les agriculteurs pauvres en ressources cultivent une culture OMS consommée quotidiennement par des millions de Bangladais.
Bt brinjal a d'abord été développé par la société indienne de semences Mahyco au début des années 2000. Les scientifiques ont inséré un gène de la bactérie Bacillus thuringiensis (d'où le nom Bt) en neuf variétés brinjal. Les plantes ont été conçues pour résister au fruit et à la pousse des pousses, un insecte dévastateur dont les larves ont pénétré dans la tige et le fruit d'une aubergine. Les insectes causent jusqu'à 80 % de perte de récolte.
La protéine Bt produite par l'aubergine modifiée provoque l'arrêt de l'alimentation de la larve du fruit et de la pyrale, mais elle est sans danger pour les humains qui consomment l'aubergine, comme le prouvent des années d'essais de biosécurité. En fait, Bt est couramment utilisé par les agriculteurs biologiques pour contrôler les chenilles, mais doit être pulvérisé fréquemment pour être efficace. L'aubergine Bt produit la même protéine que dans le spray. Plus de 80% du maïs et du coton cultivés aux États-Unis contient un gène Bt pour le contrôle des insectes.
«Les agriculteurs qui cultivent du Bt brinjal au Bangladesh voient trois fois la production d'autres variétés, à la moitié du coût de production, et obtiennent de meilleurs prix sur le marché», a déclaré Hossain.
L'aubergine génétiquement modifiée améliore la vie au Bangladesh
Une enquête récente a révélé que 50 % des agriculteurs du Bangladesh ont déclaré avoir souffert d'une maladie due à la pulvérisation intense d'insecticides. La plupart des agriculteurs travaillent pieds nus et sans protection oculaire, ce qui entraîne une exposition aux pesticides causant une irritation des yeux et de la peau et des vomissements.
« Il est terrible pour la santé de ces agriculteurs et la santé de l'environnement à pulvériser tant, » dit Shelton utilisation, l'OMS a trouvé des pesticides sur Bt aubergines a été réduite jusqu'à 92 pour cent dans les plantations commerciales de Bt brinjal. "Bt brinjal est une solution qui fait vraiment une différence dans la vie des gens."
Alhaz Uddin, un fermier du district de Tangail, a fait pousser 6.000 takas de brinjal traditionnel, mais a dû dépenser 4.000 taka pour lutter contre les pesticides et les grenades.
RépondreSupprimer"J'ai pulvérisé des pesticides plusieurs fois en une semaine", a-t-il dit. "Je suis tombé malade plusieurs fois pendant la pulvérisation."
Mahyco voulait initialement introduire Bt brinjal en Inde et a subi des années de tests de sécurité réussis. Mais en 2010, sous la pression des groupes anti-biotechnologies, le ministre indien de l'environnement a imposé un moratoire sur les semences. Il est toujours en vigueur aujourd'hui, laissant les fermiers brinjal sans la méthode de contrôle efficace et sûre disponible à leurs voisins au Bangladesh.
Avant même que le moratoire indien, les scientifiques de Cornell a accueilli des délégations du Bangladesh qui ont voulu savoir plus sur Bt brinjal et le soutien aux biotechnologies agricoles Projet II (ABSP II), un consortium d'institutions publiques et privées en Asie et en Afrique Destiné à aider au développement commercial, l'approbation réglementaire et la dissémination des cultures transgéniques, y compris Bt brinjal.
Cornell a travaillé avec l'USAID, Mahyco et l'Institut de recherche agricole du Bangladesh pour obtenir l'approbation réglementaire et, en 2014, le gouvernement bangladais a distribué un petit nombre de plants de brinjal Bt à 20 agriculteurs dans quatre districts. L'année suivante, 108 agriculteurs ont cultivé le Bt brinjal, et l'année suivante, le nombre d'agriculteurs a plus que doublé pour atteindre 250. En 2017, le nombre a augmenté à 6 512 et en 2018 à 27 012. Les chiffres sont probablement encore plus élevés, selon Shelton, car il n'y a aucune contrainte contre les agriculteurs qui sauvent des graines et replantent.
« Brinjal des plantes Les agriculteurs qui Bt sont nécessaires pour planter un petit périmètre de brinjal traditionnel autour de la variété Bt, la recherche a montré que les insectes infestent les plantes dans la zone tampon, et cela va ralentir leur développement évolutif de la résistance aux plantes Bt » Shelton a dit.
Lors d'un atelier en mars 2017, le ministre bangladais de l'Agriculture, Begum Matia Chowdhury, a qualifié Bt brinjal d '«histoire réussie de collaboration locale et étrangère».
"Nous serons guidés par l'information basée sur la science, pas par le chuchotement non scientifique d'une section de gens", a déclaré Chowdhury. "En tant qu'êtres humains, notre obligation morale est que tous les habitants de notre pays obtiennent de la nourriture et ne se couchent pas à jeun.» La biotechnologie peut jouer un rôle important à cet égard. "
https://phys.org/news/2018-07-genetically-eggplant-bangladesh.html#jCp
Pourquoi nous gagnons: WUWT obtient plus de pages vues que les deux derniers sites gouvernementaux sur le climat
RépondreSupprimerAnthony Watts
17 juillet 2018
Deux sites gouvernementaux sur le changement climatique survivent à l'époque de Trump
Les rapports sur la science du climat qui ont été effacés des sites Web du gouvernement américain sont arrivés au début du mandat du président Donald Trump. Et les hits continuent à venir. De l'Agence de protection de l'environnement, au Département de l'énergie, au Département d'Etat et au-delà, les références au changement climatique, aux gaz à effet de serre et aux énergies propres ne cessent de disparaître.
Mais même si certains aspects de l'administration Trump sèment un cyber-jardin fertile pour l'industrie des combustibles fossiles, deux sites Web financés par le gouvernement fédéral ont proclamé une vision sans fard des dangers du changement climatique axé sur le carbone.
Les deux sites, Climate.gov et CLEANet.org, se sont étendus à plus de 700 entrées et ont collectivement attiré plus de 68 000 pages vues en mai, soit une augmentation de plus de 50 % par rapport à l'année précédente. Et les leçons livrées par les deux sites - sur la menace posée par une planète réchauffée par des actions humaines - s'étendent bien au-delà de ce public de base. C'est parce que les deux sites s'adressent aux enseignants, qui disent utiliser les sites Web soutenus par les contribuables pour créer des leçons sur tout, de l'augmentation des niveaux de gaz carbonique à la biodiversité menacée au potentiel de l'énergie solaire.
La simple existence des sites pourrait être une surprise pour certains dans Washington hyper-partisan, où les organes de presse rapportent depuis des mois que les ministères fédéraux éliminent ou atténuent les rapports sur la menace du réchauffement climatique. La durabilité des sites Web Climate.gov et CLEANet.org montre que, même sous l'administration d'un président qui a nié le changement climatique comme un «canular», les opinions générales sur le réchauffement climatique peuvent survivre et même prospérer.
"Dans une grande partie du gouvernement fédéral, les scientifiques continuent de faire leur travail et d'être entendus."
"Je pense que ces sites montrent que dans une grande partie du gouvernement fédéral, les scientifiques continuent à faire leur travail et à être entendus", a déclaré Michael Halpern, directeur adjoint du Centre pour la science et la démocratie de l'Union of Concerned Scientists. "Ils publient des données et partagent des informations avec le public américain, jusqu'à ce qu'on leur dise de faire autrement."
Histoire complète ici: https://www.nbcnews.com/news/amp/ncna891806
h / t au Dr. Willie Soon
Alors que NBC News pourrait penser que 68 000 pages vues par mois sont impressionnantes, en comparaison de notre trafic quotidien régulier sur WUWT, il est triste en comparaison. Par exemple, voici un screencap de mon tableau de bord WordPress d'hier, 16 juillet, qui était un jour d'été assez typique pour WUWT. Notez qu'il affiche 92 467 pages vues en une journée.
Et voici les deux dernières semaines: (données à partir de 09h00 PST 07/17/18)
RépondreSupprimerEn été, nous avons habituellement un trafic inférieur d'environ 20% à celui de l'automne jusqu'au printemps, ce qui signifie que les jours de la semaine dépassent souvent les 100 000 pages vues.
Bien que le trafic ne soit pas aussi important que dans les jours grisants, le WUWT dépasse toujours tout autre site Web lié au climat, malgré nos détracteurs.
La tendance générale de l'intérêt dans le climat a été en baisse selon les tendances de Google, qui cherche des recherches par mot-clé. Graphique par Google Trends, les annotations à moi:
- voir graphique sur site -
Source: https://trends.google.com/trends/explore?date=all&geo=US&q=Global%20warming,Climate%20changer
Ce qui est le plus intéressant, c'est que bien qu'il y ait eu une lente augmentation, presque imperceptible, de l'expression «changement climatique», l'expression «réchauffement climatique» devient beaucoup moins utile que lors de la collecte des données en 2004. Le «changement climatique» et le «réchauffement climatique» ont tous deux de faibles intérêts.
Une illustration plus claire de l'échec du «message» sur l'urgence du changement climatique n'a pas pu être faite.
Aussi longtemps que je le pourrai, WUWT continuera.
Merci à tous ceux qui se sont joints à moi, qui ont fait un don pour empêcher le WUWT d'aller voir ce que nous sommes en train de faire, comme les cyber-attaques, la casemate et la politique de limitation de trafic de Google, entre autres.
https://wattsupwiththat.com/2018/07/17/why-were-winning-wuwt-gets-more-page-views-that-the-last-two-remaining-government-websites-on-climate/
Juste comme ça: 48 % des australiens sont heureux de se retirer de Paris
RépondreSupprimerJuly 18th, 2018
L'idée de sortir de Paris est à peine discutée en Australie. Tony Abbott en a fait une discussion nationale pendant cinq minutes la semaine dernière, mais apparemment, c'est tout ce qu'il faut, ou même moins. Après 30 ans d'agitation et des années de bipartisan rah, rah, la solennité de l'histoire en gestation, la vérité est que la plupart des Australiens ne font pas de bêtises. Tout ce que nous avions à faire était de leur demander.
Il s'agit d'une question lourde de sens: «si le retrait peut entraîner une baisse des prix de l'électricité» ... Les puristes peuvent protester contre le fait que cela exagère le résultat. Pas si. Si nous avions une sorte de discussion nationale rationnelle, il serait évident pour tous que le mot «pourrait» est un terme trompeur et chargé, suggérant la possibilité que la suppression ne fasse pas baisser les prix. Si les gens savaient qu'aucune nation sur Terre avec beaucoup de facteurs non fiables n'a aussi une électricité bon marché, encore plus de gens voudraient abandonner Paris.
Par plus de deux pour un, les gens veulent un pouvoir moins cher, pas des points de Paris:
Près des deux tiers (63%) des électeurs ont également affirmé que l'énergie devrait être la priorité des gouvernements, 24% seulement estimant que la réduction des émissions devrait primer.
- voit tableau sur site -
NewsPoll, Australie hors de Paris, juillet 2018.
Dans tout électorat normal, ce serait un numéro chaud sismique. Même un quart des électeurs verts sont prêts à jeter Paris pour des factures d'électricité moins chères. Et c'est clairement une question dominante parmi les électeurs de One Nation. Quelle meilleure façon pour une coalition déchaînée de voler les électeurs de centre-droit et de gagner aussi le centre-gauche? Sauf qu'ils ne le feront pas - Turnbull a abandonné ce cadeau électoral et a presque perdu les dernières élections, tout ce qu'il avait à faire était de suivre l'exemple d'Abbott.
Ce sondage révélateur vient de The Australian, sous le titre:
Les politiques de la Coalition en matière de prix de l'électricité gagnent enfin du terrain auprès des électeurs
Le ministre de l'Energie et de l'Industrie tourne sur:
M. Frydenberg a déclaré à The Australian qu'il croyait que le pays avait maintenant "tourné le coin" sur les prix.
"Quand il s'agit de la politique énergétique, le gouvernement de Turnbull se concentre sur la réduction des prix de l'électricité", a déclaré M. Frydenberg. «Tout ce que nous faisons, c'est de donner la priorité au consommateur et de créer des emplois dans l'économie. Nous avons maintenant tourné le coin sur les prix, suite à une série de réformes des marchés de l'énergie en réseau, de gros et de détail. Les prix de gros de l'électricité ont diminué d'environ 25% par rapport à la même période l'an dernier, et les prix de détail ont baissé le 1er juillet dans le Queensland, la Nouvelle-Galles du Sud et l'Australie-Méridionale.
Clairement, ce n'est pas vrai. S'ils donnaient la priorité au consommateur, nous serions déjà sortis de Paris et les subventions pour une énergie non fiable seraient terminées. Les prix de l'électricité sont seulement «en baisse» par rapport à leurs niveaux de records olympiques. Pour ne pas oublier, décennie après décennie, 30 $ / MWh.
RépondreSupprimerhttp://joannenova.com.au/2018/07/just-like-that-48-of-australians-happy-to-pull-out-of-paris/#more-59645
C'est vrai qu'il y a encore des cons pour croire que l'on pourrait fabriquer soi-même son électricité gratuite avec des éoliennes ou panneaux solaires ! Hahahaha !
SupprimerTdeF
Supprimer18 juillet 2018 à 3:45 ·
Il y a un air de surréalisme avec ce gouvernement. Frydenberg tourne furieusement pour couvrir les jours où ses moulins à vent ne sont pas. La conversation n'est pas si mais quand toutes les stations de charbon seront fermées, en dépit du fait que seulement 5% de l'énergie provient du vent après vingt années de ruptures dans nos factures d'électricité. Hydro dans un pays sec et plat n'a aucun sens quand nous avons besoin d'eau pour l'agriculture et personne n'admet le chiffre de Tony Abbott que le rêve privé de Turnbull nous coûtera, le public, 12 milliards de dollars.
Quand cette folie s'arrêtera-t-elle comme réchauffement de la planète alors que l'Australie subit la période la plus froide de son histoire ? Où sont les titres sur l'ère glaciaire imminente ? Où sont les histoires effrayantes sur la prédiction cohérente et très crédible du Dr Weiss (9,00) d'une chute soudaine des températures mondiales au cours des cinq prochaines années ? Où sont les barrages pour nous protéger de la prochaine sécheresse attendue dans une terre où le climat a toujours été des «sécheresses et des pluies diluviennes» ?
Comment notre PM peut-il dépenser 12 milliards de dollars de notre argent pour sa propre idée de génie, sans même le coûter ? C'est presque 5 régimes Pink Batts ? Pour quoi ? Peut-être pourrions-nous plutôt proposer une grande statue à Canberra ? Ce serait beaucoup moins cher.
Où sont nos nouveaux barrages, nos nouvelles centrales, nos nouvelles usines, nos nouveaux revenus? En tant que mine à ciel ouvert pour le monde, au moins pourrions-nous faire ce que les États pétroliers arabes ont fait, planifier notre propre avenir alors que nos gouvernements sont si occupés à fermer les lieux et à les vendre? Entre les banques d'arnaques, les pirates de retraites et les gouvernements sanguinaires, nous ne sommes que des lapins dans les phares. Ça doit s'arrêter. Le gaz carbonique contrôlé par l'homme est scientifiquement impossible et une excuse incroyablement faible pour détruire toute l'infrastructure de ce pays. Où sont les bénéfices du boom minier ? Tout siphonné à l'étranger par Goldmann Sachs de Turnbull et ses schémas d'émission ?
C'est bien cependant. Tout le monde peut simplement travailler pour la fonction publique, comme en Australie-Méridionale, en Tasmanie, au Queensland et au fédéral. C'est la plus grande entreprise en pleine croissance dans un pays avec des chiffres en plein essor et des salaires en croissance rapide, un pays maintenant même dépendant de la Chine pour posséder nos ports, traiter nos déchets et fournir plus d'éoliennes à nos dépens. Paris est un non-sens. La France est nucléaire. Pas d'émissions là-bas.
http://joannenova.com.au/2018/07/just-like-that-48-of-australians-happy-to-pull-out-of-paris/#more-59645
Commandos Sans Frontières: La croissance mondiale des forces d'opérations spéciales des États-Unis
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ma, 17/07/2018 - 23:55
Rédigé par Nick Turse via TomDispatch.com,
Au début du mois dernier, dans un minuscule poste militaire près de la ville de Jamaame en Somalie, des tirs d'armes légères ont commencé à retentir lorsque des obus de mortier se sont écrasés. Quand l'attaque a été terminée, un soldat somalien avait été blessé - et si cela avait été l'ampleur des pertes, vous n'en auriez jamais entendu parler.
Cependant, des commandos américains opéraient également à partir de cet avant-poste et quatre d'entre eux ont été blessés, trois d'entre eux ayant été suffisamment évacués pour être soignés. Un autre opérateur spécial, le sergent d'état-major Alexander Conrad, membre des forces spéciales de l'armée américaine (également connu sous le nom de bérets verts), a été tué.
Si l 'histoire semble vaguement familière - combat par des commandos américains dans des guerres africaines que l' Amérique ne combat pas techniquement - il devrait le faire. En décembre dernier, les Bérets verts opérant aux côtés des forces locales au Niger ont tué 11 militants de l'État islamique dans une fusillade. Deux mois plus tôt, en octobre, une embuscade d'un groupe terroriste de l'État islamique dans ce même pays, où peu d'Américains (y compris des membres du Congrès) savaient que des opérateurs spéciaux américains étaient stationnés, a laissé quatre soldats américains morts parmi eux. (L'armée a d'abord décrit cette mission comme fournissant des «conseils et de l'aide» aux forces locales, puis comme une «patrouille de reconnaissance» dans le cadre d'une mission plus générale de «formation, conseil et assistance» avant d'être finalement mise à mort. .) En mai dernier, un Navy SEAL a été tué et deux autres soldats américains ont été blessés lors d'un raid en Somalie que le Pentagone a décrit comme une mission de "conseil, assistance et accompagnement". Et un mois plus tôt, un commando américain aurait tué un membre de l'Armée de résistance du Seigneur (LRA), une milice brutale qui terrorise des parties de l'Afrique centrale depuis des décennies.
Et il y avait eu, comme le notait le New York Times en mars, au moins 10 autres attaques non déclarées contre les troupes américaines en Afrique de l'Ouest entre 2015 et 2017. Rien d'étonnant à ce que depuis au moins cinq ans, comme le rapporte Politicorecently, Bérets verts, Marine SEALs et d'autres commandos, opérant sous une autorité légale peu connue appelée Section 127e, ont été impliqués dans des raids de reconnaissance et d'action directe avec des opérateurs spéciaux africains en Somalie, Cameroun, Kenya, Libye, Mali, Mauritanie, Niger, et Tunisie.
Rien de surprenant, car en Afrique et dans le reste de la planète, les forces d'opérations spéciales américaines (SOF) sont régulièrement engagées dans un large éventail de missions, notamment des missions spéciales de reconnaissance et d'offensive à petite échelle, la guerre anticonventionnelle, la contre-terrorisme, le sauvetage des otages et l'assistance de la force de sécurité (c'est-à-dire organiser, entraîner, équiper et conseiller les troupes étrangères). Et chaque jour, presque partout, les commandos américains participent à divers types de formation.
A moins qu'ils ne finissent en catastrophe, la plupart des missions restent dans l'ombre, inconnues de tous, sauf de quelques Américains. Et pourtant, l'année dernière seulement, les commandos américains se sont déployés dans 149 pays - environ 75% des nations de la planète. À la mi-parcours de cette année, selon les chiffres fournis à TomDispatch par le Commandement des opérations spéciales des États-Unis (USSOCOM ou SOCOM), les troupes d'élite américaines ont déjà effectué des missions dans 133 pays. C'est presque autant de déploiements que lors de la dernière année de l'administration Obama et plus du double de ceux des derniers jours de la Maison Blanche de George W. Bush.
RépondreSupprimerAller Commando
"L'USSOCOM joue un rôle essentiel pour contrer les menaces actuelles contre notre nation, protéger le peuple américain, sécuriser notre patrie et maintenir des rapports de force régionaux favorables", a déclaré le général Raymond Thomas, chef du Commandement des opérations spéciales américaines. le Comité des services armés de la Chambre plus tôt cette année. "Cependant, alors que nous nous concentrons sur les opérations d'aujourd'hui, nous devons également nous concentrer sur la transformation future requise. Les FOS doivent adapter, développer, acquérir et exploiter de nouvelles capacités dans le but de continuer à être une partie unique, létale et agile de la force interarmées de demain.
Depuis le 11 septembre 2001, les forces d'opérations spéciales sont en pleine transformation. Au cours des années qui ont suivi, elles se sont développées de toutes les manières possibles - de leur budget à leur taille, au rythme de leurs opérations, au champ géographique des opérations. leurs missions. En 2001, par exemple, en moyenne 2 900 commandos ont été déployés outre-mer au cours d'une semaine donnée. Selon le porte-parole de la SOCOM, Ken McGraw, ce nombre est passé à 8 300. Dans le même temps, le nombre de «positions militaires autorisées» - les troupes de service actif, les réservistes et les gardes nationaux qui font partie de la SOCOM - est passé de 42 800 en 2001 à 63 500 aujourd'hui. Alors que chacune des branches du service militaire - les soi-disant services aux parents - fournit du financement, y compris des salaires, des avantages sociaux et de l'équipement à leurs forces d'élite, le financement des opérations spéciales, qui s'établissait à 3,1 milliards de dollars en 2001, 12,3 milliards de dollars. (L'armée, la marine, l'armée de l'air et le Corps des Marines fournissent également à leurs unités d'opérations spéciales environ 8 milliards de dollars par année.)
Tout cela signifie que, chaque jour, plus de 8 000 opérateurs spéciaux exceptionnellement bien équipés et bien financés d'un commandement d'environ 70 000 membres du personnel en service actif, réservistes et gardes nationaux ainsi que des civils sont déployés dans environ 90 pays. La plupart de ces troupes sont des Bérets verts, des Rangers ou d'autres membres des Opérations spéciales de l'Armée. Selon le général Kenneth Tovo, chef du commandement des opérations spéciales de l'armée américaine jusqu'à sa retraite le mois dernier, cette branche fournit plus de 51% de toutes les forces d'opérations spéciales et représente plus de 60% de leurs déploiements à l'étranger. Chaque jour, seuls les soldats d'élite de l'armée opèrent dans environ 70 pays.
En février, par exemple, les Army Rangers ont effectué plusieurs semaines d'entraînement à la guerre hivernale en Allemagne, tandis que les Green Berets ont pratiqué des missions impliquant des motoneiges en Suède. En avril, les Bérets verts ont pris part à l'exercice annuel d'entraînement des forces d'opérations spéciales Flintlock mené au Niger, au Burkina Faso et au Sénégal impliquant des troupes nigériennes, burkinabés, maliennes, polonaises, espagnoles et portugaises, entre autres.
RépondreSupprimerAlors que la plupart des missions impliquent de la formation, de l'instruction ou des jeux de guerre, les soldats des forces spéciales participent aussi régulièrement aux opérations de combat dans les vastes zones de guerre mondiales des États-Unis. Un mois après Flintlock, par exemple, Green Berets a accompagné des commandos locaux lors d'un raid d'assaut aérien nocturne dans la province de Nangarhar, en Afghanistan, au cours duquel un haut responsable de l'Etat islamique aurait été "éliminé". Le 2e Bataillon du 10e Groupe des forces spéciales, qui venait tout juste de revenir après six mois pour conseiller et aider les commandos afghans, donnait des indications sur les types de missions entreprises dans ce pays. Ces bérets verts ont reçu plus de 60 décorations pour leur valeur - dont 20 médailles d'étoile de bronze et quatre médailles d'étoile d'argent (la troisième plus haute décoration de combat militaire).
Pour sa part, la marine, selon le contre-amiral Tim Szymanski, chef du commandement spécial de guerre navale, compte environ 1 000 chasseurs SEAL ou autre personnel déployés dans plus de 35 pays chaque jour. En février, les forces navales spéciales de guerre et les soldats du Commandement de l'aviation des opérations spéciales de l'Armée ont effectué une formation à bord d'un navire d'assaut amphibie français dans le golfe Persique. Ce même mois, Navy SEALs a rejoint le personnel d'élite de l'US Air Force à l'entraînement aux côtés des opérateurs de Royal Naval Special Warfare pendant le Cobra Gold, un exercice annuel en Thaïlande.
Les troupes du Commandement des opérations spéciales des forces du Corps des Marines des États-Unis, ou MARSOC, se déploient principalement dans les régions du Moyen-Orient, de l'Afrique et de l'Indo-Pacifique pour des rotations de six mois. À tout moment, en moyenne, environ 400 «Raiders» sont engagés dans des missions dans 18 pays.
Selon le général Marshall Webb, chef du Commandement des opérations spéciales de la Force aérienne, le Commandement des opérations spéciales de la Force aérienne, qui compte 19 500 militaires actifs, de réserve et civils, a mené 78 exercices et événements conjoints avec des pays partenaires. En février, par exemple, des commandos de l'armée de l'air ont effectué une formation dans l'Arctique - manoeuvres de ski et opérations aériennes en chute libre - en Suède, mais ces missions d'entraînement ne sont qu'une partie de l'histoire. Des opérateurs spéciaux de la Force aérienne ont, par exemple, été déployés récemment pour aider à sauver 12 garçons et leur entraîneur de football emprisonnés au fond d'une grotte en Thaïlande. La Force aérienne dispose également de trois unités opérationnelles spéciales affectées au Commandement des opérations spéciales de la Force aérienne, dont la 24e Unité spéciale des opérations, une unité tactique spéciale qui intègre les forces aériennes et terrestres aux missions de précision et de récupération du personnel. Lors d'une cérémonie de passation de commandement en mars, il a été noté que son personnel avait mené près de 2 900 missions de combat au cours des deux dernières années.
Addition par soustraction
RépondreSupprimerPendant des années, les forces des opérations spéciales américaines ont été dans un état d'expansion apparemment sans retenue. Nulle part cela n'a été aussi évident qu'en Afrique. En 2006, seulement 1% de tous les commandos américains déployés à l'étranger opéraient sur ce continent. En 2016, ce nombre avait bondi au-dessus de 17%. À ce moment-là, il y avait plus de personnel des opérations spéciales consacré à l'Afrique - 1700 opérateurs spéciaux répartis dans 20 pays - que partout ailleurs sauf au Moyen-Orient.
Récemment, toutefois, le New York Times a rapporté qu'un «examen approfondi du Pentagone» des missions d'opérations spéciales sur ce continent pourrait bientôt entraîner des réductions drastiques du nombre de commandos opérant dans ce pays. ("Nous ne commentons pas les tâches que le secrétaire à la défense ou le chef d'état-major interarmées peut ou non confier à l'USSOCOM", m'a dit le porte-parole Ken McGraw lorsque je lui ai demandé l'examen.) d'examiner quel effet les commandos coupent de 25% sur 18 mois et de 50% sur trois ans sur ses missions antiterroristes. En fin de compte, seulement 700 troupes d'élite - à peu près le même nombre que celles qui étaient stationnées en Afrique en 2014 - seraient laissées là.
Dans la foulée de la débâcle d'octobre 2017 au Niger qui a laissé ces quatre Américains morts et ordres apparents du commandant des forces spéciales des opérations américaines en Afrique que ses commandos "planifient des missions pour rester en dehors du combat direct ou ne vont pas," Un certain nombre d'experts ont suggéré qu'un tel examen indiquait une réévaluation de l'engagement militaire sur le continent. Les réductions proposées semblaient également correspondre à la dernière stratégie de défense nationale du Pentagone, qui mettait en évidence le passage de l'antiterrorisme aux menaces de concurrents proches de la Russie et de la Chine. "Nous continuerons à poursuivre la campagne contre les terroristes", a déclaré le secrétaire à la Défense James Mattis en janvier, "mais la grande compétition de pouvoir - et non le terrorisme - est désormais le principal objectif de la sécurité nationale américaine".
Un large éventail d'analystes ont remis en question ou critiqué la réduction proposée des troupes. Mu Xiaoming, de l'Université de défense nationale de l'Armée populaire de libération de Chine, a comparé cette réduction des troupes américaines à l'abaissement des troupes américaines en Afghanistan en 2014 et a noté la possibilité d'un retour du terrorisme en Afrique. Des commandos américains sur le continent, Donald Bolduc, ont sans surprise fait écho à ces mêmes craintes. "Sans la présence que nous avons là maintenant," a-t-il déclaré à Voice of America, "nous allons simplement augmenter l'efficacité des organisations extrémistes violentes au fil du temps et nous allons perdre la confiance et la crédibilité dans ce domaine et même le déstabiliser. David Meijer, analyste de la sécurité basé à Amsterdam, a déploré le fait que l'Afrique soit de plus en plus importante sur le plan géostratégique et que la Chine y renforce ses liens, "il est ironique que Washington réduise son engagement minimal sur le continent".
Ce n'est toutefois pas une conclusion prévisible. Pendant des années, les membres de la SOCOM, ainsi que les sympathisants du Congrès, des groupes de réflexion et d'ailleurs, se sont plaints à haute voix du rythme effréné des opérations pour les troupes d'élite américaines et des tensions qui en résultent. "La plupart des unités des SOF sont employées à leur limite durable", a déclaré le général Thomas, le chef de la SOCOM, aux membres du Congrès au printemps dernier. «En dépit de la demande croissante de SOF, nous devons prioriser l'approvisionnement de ces demandes alors que nous faisons face à un environnement de sécurité en évolution rapide.» Compte tenu de l'influence de SOCOM, de telles plaintes incessantes mèneraient certainement à des changements de politique.
RépondreSupprimerL'année dernière, en effet, le secrétaire à la Défense Mattis a fait remarquer que les frontières entre les forces des opérations spéciales américaines et les troupes conventionnelles étaient floues et que ces dernières assumeraient probablement des missions précédemment assumées par les commandos, notamment en Afrique. "Donc, les forces polyvalentes peuvent faire beaucoup du genre de travail que vous voyez et, en fait, sont maintenant", a-t-il dit. "En gros, par exemple en Trans-Sahel [au nord-ouest de l'Afrique], beaucoup de ces forces qui soutiennent l'effort mené par les Français ne sont pas des Forces Spéciales. Nous continuerons donc d'élargir les forces générales là où c'est approprié. Je voudrais ... prévoir plus d'utilisation d'entre eux. "
Plus tôt cette année, Owen West, secrétaire adjoint à la Défense pour les opérations spéciales et les conflits de faible intensité, a fait allusion aux commentaires de Mattis en disant aux membres du Comité des services armés de la Chambre qu'il fallait examiner la ligne qui sépare les forces conventionnelles des SOF. et il cherche à tirer le meilleur parti des «capacités communes» de nos forces conventionnelles exceptionnelles. »Il a particulièrement souligné les brigades d'assistance de la force de sécurité de l'armée, récemment créées pour mener des missions de conseil et d'assistance. Ce printemps, le sénateur de l'Oklahoma, James Inhofe, membre du Comité sénatorial des forces armées, a recommandé que l'une de ces unités soit consacrée à l'Afrique.
C'est précisément ce que le sénateur de l'Iowa, Joni Ernst, vétéran de la guerre en Irak et membre du Comité des forces armées, a préconisé. À la fin de l'année dernière, son attaché de presse, Leigh Claffey, a déclaré à TomDispatch que le sénateur pensait que «au lieu de dépendre autant des forces spéciales, nous devrions également engager nos forces conventionnelles pour prendre en charge les missions, le cas échéant. Il y a de fortes chances pour que les commandos américains continuent à mener leurs incursions dans l'ombre de la section 127e aux côtés des forces locales à travers le continent africain tout en laissant plus de formation conventionnelle et de conseil aux troupes de base. En d'autres termes, le nombre de commandos en Afrique peut être réduit, mais le nombre total de troupes américaines ne le peut pas - avec des opérations de combat secrètes pouvant se poursuivre au rythme actuel.
Si quoi que ce soit, les forces des opérations spéciales américaines vont probablement se développer et non se contracter l'an prochain. La demande de budget de SOCOM pour 2019 prévoit l'ajout d'environ 1 000 personnes à ce qui constituerait alors une force de 71 000 personnes. En avril, lors d'une réunion du Sous-comité sénatorial sur les menaces et les capacités émergentes présidé par Ernst, le sénateur néo-zélandais Martin Heinrich a noté que SOCOM était sur la bonne voie pour «augmenter d'environ 2 000 personnes» dans les années à venir. La commande est également prête à faire de 2018 une autre année historique d'envergure mondiale. Si les opérateurs spéciaux de Washington se déploient dans seulement 17 autres pays d'ici la fin de l'année fiscale, ils dépasseront le total record de l'année dernière.
RépondreSupprimer"USSOCOM continue de recruter, d'évaluer et de sélectionner les meilleurs. Nous formons ensuite et habilitons nos coéquipiers à résoudre les problèmes de sécurité nationale les plus décourageants », a déclaré le général Thomas, commandant de la SOCOM, au Sous-comité sur les menaces et les capacités émergentes de la Chambre au début de l'année. Pourquoi les Bérets verts et les Navy SEAL doivent-ils résoudre les problèmes de sécurité nationale - des questions stratégiques qui devraient être abordées par les décideurs - est une question qui est restée longtemps sans réponse. C'est peut-être une des raisons pour lesquelles, depuis que les Bérets verts ont «libéré» l'Afghanistan en 2001, les États-Unis ont participé aux combats et, au fil des années, une pléthore d'autres fronts pour toujours, dont le Cameroun, l'Irak et le Kenya. , Libye, Mauritanie, Mali, Niger, Philippines, Somalie, Syrie, Tunisie et Yémen.
"La créativité, l'esprit d'initiative et l'esprit des gens qui composent la Force d'opérations spéciales ne peuvent être surestimés. Ils sont notre plus grand atout ", a déclaré Thomas. Et il est probable que de tels actifs vont croître en 2019 ...
https://www.zerohedge.com/news/2018-07-17/commandos-sans-frontieres-global-growth-us-special-operations-forces
Paul Craig Roberts: "Le président Trump est-il un traître parce qu'il veut la paix avec la Russie ?"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar. 17/07/2018 - 23:15
Auteur de Paul Craig Roberts,
Le parti démocrate américain est déterminé à mener le monde vers la guerre thermonucléaire plutôt que d'admettre que Hillary Clinton a perdu l'élection présidentielle. Le Parti démocrate a été totalement corrompu par le régime de Clinton, et maintenant il est complètement fou. Les dirigeants du Parti démocrate, comme Nancy Pelosi et Chuck Schumer, mon ancien co-auteur du New York Times, ont réagi de manière non-démocratique à la première mesure prise par le président Trump pour réduire les tensions extrêmement dangereuses avec la Russie. les régimes Clinton, George W. Bush et Obama créés entre les deux superpuissances.
Oui, la Russie est une superpuissance. Les armes russes sont tellement supérieures à la jonque produite par le complexe militaire / sécuritaire américain, qui est rempli de déchets, que l'insouciant contribuable américain sait que les États-Unis sont une puissance militaire de seconde zone. Si les néoconservateurs insensés, tels que Max Boot, William Kristol, et le reste de l'écume des néocons se frayent un chemin, les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Europe seront une ruine radioactive pendant des milliers d'années.
La leader démocrate de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi (CA), leader minoritaire de la Chambre des représentants des États-Unis, a déclaré que par crainte d'une rétribution indéfinie de Poutine, un dossier sur Trump, le président des États-Unis a vendu le peuple américain à la Russie. il veut faire la paix: "Cela pose la question, qu'est-ce que Vladimir Poutine, qu'est-ce que les Russes ont sur Donald Trump - personnellement, politiquement et financièrement qu'il devrait se comporter de cette manière ?" La "telle manière" Pelosi parle à propos de faire la paix au lieu de la guerre.
Pour être clair, le chef de la minorité démocratique de la Chambre des représentants des États-Unis a accusé Donald Trump de haute trahison contre les États-Unis. Il n'y a pas de tollé contre cette fausse accusation flagrante, totalement dénuée de preuves.
Les médias de presse au lieu de protester contre cette tentative de coup d'État contre le président des États-Unis, font de l'accusation une vérité évidente. Trump est un traître parce qu'il veut la paix avec la Russie.
Voici le sénateur démocrate Chuck Schumer (NY) répétant la fausse accusation de Pelosi: «Des millions d'Américains continueront à se demander si la seule explication possible de ce comportement dangereux est la possibilité que le président Poutine détient des informations préjudiciables sur le président Trump. crois que cela est orchestré entre Pelosi et Schumer, vous êtes stupide au-delà de la croyance.
Voici John Brennan, directeur de la CIA Obama, un dirigeant de la fausse campagne de Russi contre le président Trump afin d'empêcher Trump de faire la paix avec la Russie et de rendre le monde plus sûr, menaçant le budget massif et injustifié de l'armée / sécurité. Complexe: "La conférence de presse de Donald Trump à Helsinki atteint et dépasse le seuil des hauts crimes et délits. Ce n'était rien d'autre que de la trahison. Non seulement les commentaires de Trump étaient imbéciles, mais il est entièrement dans la poche de Poutine. Patriotes républicains: Où êtes-vous ? "
Voici beaucoup plus ...
RépondreSupprimerEt voici plus de la CIA achetée et payée pour la BBC ...
AVIS QU'IL N'Y A PAS UNE SOURCE DES MÉDIAS OCCIDENTAUX CÉLÉBRANT ET RECONNAISSANT TRUMP ET POUTINE POUR FAVORISER LES TENSIONS CRÉÉES PAR L'ARTIFICIELLE QUI MENAIT LA GUERRE NUCLÉAIRE. COMMENT SE PEUT-IL ? Comment se peut-il que les médias occidentaux soient si opposés à la paix ? QU'EST-CE QUE L'EXPLICATION ?
Les Russes, les Chinois, les Iraniens et les Nord-Coréens, ainsi que le reste du monde, ont désespérément besoin de remarquer la réaction extrêmement hostile à la paix de la part du Parti démocrate américain, de nombreux membres du Parti républicain, y compris les méprisables sénateurs républicains américains John McCain et Lindsey Graham, et le Western Presstitute Media, une collection de personnes sur la liste de paie de la CIA selon le rédacteur en chef du journal allemand, Udo Ulfkotte, et la CIA elle-même.
Nancy Pelosi, Chuck Schumer, John McCain, Lindsey Graham et le reste de la saleté corrompue qui règne sur nous sont tous à la solde du complexe militaire / sécurité. Il suffit d'aller enquêter sur les dons à leurs campagnes de réélection. Le budget de 1 000 milliards de dollars du complexe militaro-sécuritaire, amplifié par les entreprises de façade et les narcotiques de la CIA, fournit des sommes énormes pour acheter les sénateurs et les représentants que les électeurs américains insouciants pensent qu'ils choisissent.
Savez-vous combien est de 1 000 milliards ? Vous devrez vivre pendant des milliers d'années et ne rien faire pour 24 heures sur 24, sauf compter pour atteindre ce chiffre. C'est une somme qui nourrit les destinataires, et les bénéficiaires la considèrent comme méritant d'être protégée.
Par conséquent, le public américain n'est pas représenté, mais des mensonges qui justifient la guerre et les conflits. Le complexe militaire / sécuritaire, sur lequel le président Eisenhower a mis en garde le peuple américain, a désespérément besoin d'un ennemi. En obéissance au complexe militaire / sécuritaire, les régimes Clinton, George W. Bush et Obama ont fait de la Russie cet ennemi. Si Trump et Poutine ne comprennent pas cela, ils seront facilement hors de propos.
Ils peuvent tous deux être assassinés, et c'est ce que les déclarations de Pelosi, Schumer, McCain, Lindsey Graham, et. al., répété sans cesse dans le ministère de la propagande que la presse occidentale, encourage. Trump peut être assassiné ou renversé dans un coup politique pour vendre l'Amérique à la Russie, comme le prétendent les membres des deux partis politiques et comme les médias trompent sans cesse. Poutine peut facilement être assassiné par les agents de la CIA que le gouvernement russe permet stupidement d'opérer dans toute la Russie dans les ONG et les médias occidentaux / américains et parmi les intégrationnistes atlantistes, la colonne Firth de Washington en Russie servant les objectifs de Washington. Ces traîtres russes servent dans le propre gouvernement de Poutine !
Les Américains sont tellement inconscients qu'ils n'ont aucune idée du risque que prend le président Trump en contestant le complexe de sécurité militaire américain. Par exemple, durant la dernière moitié des années 1970, j'étais membre du personnel du Sénat américain. Je travaillais avec un membre du personnel du sénateur républicain américain de Californie, S. I. Hayakawa, pour faire avancer la compréhension d'un remède de politique économique de l'offre à la stagflation qui menaçait la capacité du budget américain à remplir ses obligations. Les sénateurs républicains Hatch, Roth et Hayakawa essayaient d'introduire une politique économique axée sur l'offre pour guérir la stagflation qui menaçait l'économie américaine. Les démocrates, qui plus tard au Sénat ont ouvert la voie à une politique de l'offre, étaient, à ce moment-là, opposés (voir Paul Craig Roberts, The Supply-Side Revolution, Harvard University Press, 1984). Les démocrates ont affirmé que la politique aggraverait le déficit budgétaire, la seule fois où les démocrates se souciaient du déficit budgétaire. Les démocrates ont déclaré qu'ils soutiendraient les réductions de taux d'imposition si les républicains soutenaient des réductions compensatoires dans le budget pour soutenir un budget équilibré. C'était un stratagème pour mettre les républicains sur la sellette pour enlever les subventions de certains groupes afin de «réduire les taux d'imposition pour les riches».
RépondreSupprimerLa politique de l'offre n'exigeait pas de coupes budgétaires, mais pour démontrer le manque de sincérité des démocrates, l'aide de Hayakawa et moi-même demandaient à nos sénateurs d'introduire une série de coupes budgétaires avec des réductions d'impôts sur une base statique (sans compter le retour des revenus des incitations des taux d'imposition inférieurs) a maintenu le budget même, et les démocrates ont voté contre eux chaque fois.
Lorsque la combinaison de réductions d'impôts et de coupes budgétaires dans le domaine de la défense a été votée, le légendaire sénateur Strom Thurmond, membre du Sénat américain depuis 48 ans et originaire de Caroline du Sud, m'a tapé sur l'épaule. Il a dit: "Mon fils, ne mets jamais ton sénateur contre le complexe militaire / sécuritaire. Il ne sera pas réélu, et vous serez sans emploi. »J'ai répondu que nous étions en train d'établir que les Démocrates, qui voulaient plus de gouvernement, voteraient pour une réduction du taux d'imposition, même si était un cas qui permettrait de guérir la stagflation. Il a répondu: "fils, le complexe militaire / sécurité s'en fiche".
Mon émergence de The Matrix a commencé avec la tape de Thurmond sur mon épaule. Il a grandi avec mon temps au Wall Street Journal quand j'ai appris que certaines choses véridiques ne pouvaient tout simplement pas être dites. Au Trésor, j'ai fait l'expérience de la façon dont ces intérêts extérieurs à la politique d'un président rassemblent leurs forces et les médias qu'ils possèdent pour le bloquer. Plus tard, en tant que membre d'un comité présidentiel secret, j'ai vu comment la CIA a tenté d'empêcher le président Reagan de mettre fin à la guerre froide.
Aujourd'hui, en ce moment, nous sommes confrontés à un effort massif du complexe militaro-sécuritaire, des néoconservateurs, du Parti démocrate et des médias de la presse pour discréditer le président élu des États-Unis et le renverser afin que l'élite complètement corrompue qui règne sur l'Amérique peut continuer à garder le pouvoir et à protéger le budget massif du complexe militaro-sécuritaire qui, avec le lobby israélien, finance les élections de ceux qui nous gouvernent. Trump, comme Reagan, était une exception, et ce sont les exceptions qui accumulent la colère de la gauche corrompue, achetée avec de l'argent, et la colère des médias, concentrée dans de petits groupes de propriété étroite endettés à ceux qui ont permis la concentration illégale de un média américain autrefois indépendant et diversifié qui servait autrefois, à l'occasion, de chien de garde sur le gouvernement. La droite, enveloppée dans le drapeau, rejette toute vérité comme "anti-américaine".
RépondreSupprimerSi Poutine, Lavrov, le gouvernement russe, la traîtresse russe cinquième colonne - les intégrationnistes atlantistes - les Chinois, les Iraniens, les Nord-Coréens pensent que toute paix ou considération peut sortir de l'Amérique, ils sont fous. Leurs délires se préparent à la destruction. Il n'y a aucune institution en Amérique, gouvernementale ou privée, qui puisse être digne de confiance. N'importe quel gouvernement ou personne qui fait confiance à l'Amérique ou à n'importe quel pays occidental est stupide au delà de la croyance.
L'ensemble du canular de Russiagate est une orchestration orchestrée par John Brennan, Comey et Rosenstein. Le but est de discréditer le président Trump pour deux raisons. L'un est d'empêcher toute normalisation des relations avec la Russie. L'autre est de supprimer l'ordre du jour de Trump comme une alternative à l'ordre du jour du parti démocratique.
Le président Trump est presque impuissant. Poutine, les Chinois, les Iraniens et les Nord-Coréens devraient le reconnaître avant qu'il ne soit trop tard pour eux. Le président Trump ne peut pas tirer et arrêter pour haute trahison Mueller et Rosenstein. Et Trump ne peut pas accuser Hillary pour ses nombreux crimes incontestables à la vue de tout le monde, ou Comey ou Brennan, qui déclare Trump "être entièrement dans la poche de Poutine", pour avoir tenté de renverser le président élu des États-Unis. Trump ne peut pas demander au Secret Service de questionner Pelosi et Schumer et McCain et Lindsey Graham pour de fausses accusations qui encouragent l'assassinat du président des États-Unis.
Trump ne peut même pas faire confiance au Secret Service, dont les preuves accumulées suggèrent qu'il était complice de l'assassinat du président John F. Kennedy et de Robert Kennedy.
Si Poutine et Lavrov, si anxieux d'être amis de Washington, laissent tomber leurs gardes, ils sont l'histoire.
Comme je l'ai dit plus haut, Russiagate est une orchestratration pour empêcher la paix entre les Etats-Unis et la Russie. Les principaux experts du complexe militaire / de sécurité, y compris la personne qui a fourni le briefing quotidien du président des États-Unis à la CIA et la personne qui a conçu le programme d'espionnage de l'Agence de sécurité nationale, ont prouvé de façon concluante que Russiagate était un canular. dans le but d'empêcher le président Trump de normaliser les relations entre les États-Unis et la Russie, qui a le pouvoir de détruire l'intégralité du monde occidental à volonté.
Voici le rapport des professionnels de la sécurité à la retraite qui, contrairement à ceux qui sont encore en poste, ne peuvent pas être renvoyés et privés d'un conseil pour dire la vérité.
RépondreSupprimerVoici ce que le ministre russe de la Défense, Shoigu, a à dire à propos des actions agressives de l'Occident contre la patrie russe. Si Poutine ne l'écoute pas, la Russie est dans la poubelle de l'histoire.
Gardez à l'esprit qu'aucun média ne vous informe mieux que mon site Web. Si mon site Web tombe en panne, vous serez laissé dans l'obscurité. Aucune information valide ne vient du gouvernement des États-Unis ou des médias occidentaux. Si vous êtes assis devant l'écran de télévision en regardant les médias occidentaux, vous êtes soumis à un lavage de cerveau au-delà de tout espoir. Même pas je peux te sauver. Ni Dieu lui-même.
Les Américains, et même les Russes eux-mêmes, sont incapables de le réaliser, mais il y a une chance que Trump soit renversé et qu'un assaut occidental soit lancé contre la poignée de pays qui insistent sur la souveraineté.
Je doute que quelques-uns des Américains qui ont élu Trump seront pris en charge par la propagande anti-Trump, mais ils ne sont pas organisés et n'ont pas de pouvoir armé. La police, militarisée par George W. Bush et Obama, sera opposée à eux. Les rébellions seront locales et réprimées par toutes les violations de la Constitution américaine par les puissances privées qui gouvernent Washington, comme cela a toujours été le cas des rébellions en Amérique.
En Occident, à laquelle les Russes sont si impatients d'adhérer, toutes les libertés sont mortes - liberté de réunion, liberté de parole, liberté d'association, liberté d'enquête, liberté de la vie privée, liberté de recherche arbitraire, absence d'arrestation arbitraire les protections constitutionnelles de la procédure régulière et de l'habeas corpus. Aujourd'hui, il n'y a pas de pays moins libres que les États-Unis d'Amérique.
Pourquoi les intégrationnistes atlantistes russes veulent-ils rejoindre un monde occidental libre ? Sont-ils lavés par Western Propaganda ?
Si Poutine écoute ces imbéciles trompés, Poutine détruira la Russie.
Il y a quelque chose qui ne va pas avec la perception russe de Washington. Apparemment, l'élite russe, à l'exception de Shoigu et de quelques autres, est incapable de comprendre la tendance néoconservatrice à l'hégémonie mondiale des États-Unis et la détermination néoconservatrice de détruire la Russie comme une contrainte à l'unilatéralisme américain. Le gouvernement russe estime, malgré toutes les preuves du contraire, que l'hégémonie de Washington est négociable.
https://www.zerohedge.com/news/2018-07-17/paul-craig-roberts-president-trump-traitor-because-he-wants-peace-russia
Chris Hedges: La guerre contre Assange est une guerre contre la liberté de la presse
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar. 17/07/2018 - 21:55
Auteur de Chris Hedges via TruthDig.com,
L'échec des médias de l'establishment à défendre Julian Assange, pris au piège de l'ambassade d'Equateur à Londres depuis 2012, a été dénié de communication avec le monde extérieur depuis mars et semble faire face à une expulsion et une arrestation imminentes, est étonnant. L'extradition de l'éditeur - l'objectif maniaque du gouvernement des États-Unis - créerait un précédent juridique qui criminaliserait toute surveillance journalistique ou enquête sur l'État corporatif. Cela transformerait les fuites et les dénonciations en trahison. Il garderait un secret total sur les actions des élites mondiales au pouvoir.
Si Assange est extradé aux États-Unis et condamné, le New York Times, le Washington Post et tous les autres médias, aussi tièdes que soient leurs couvertures de l'État corporatif, seraient soumis à la même censure draconienne. Dans le cadre du précédent, la Cour suprême de Donald Trump respecterait avec enthousiasme l'arrestation et l'emprisonnement de tout éditeur, rédacteur en chef ou journaliste au nom de la sécurité nationale.
Source: Mr.Fish
Il y a de plus en plus de signes que le gouvernement équatorien de Lenín Moreno s'apprête à expulser Assange et à le livrer à la police britannique. Moreno et son ministre des Affaires étrangères, José Valencia, ont confirmé qu'ils sont en négociations avec le gouvernement britannique pour "résoudre" le sort d'Assange. Moreno, qui se rendra en Grande-Bretagne dans quelques semaines, appelle Assange un «problème hérité» et «une pierre dans la chaussure» et l'a qualifié de «hacker». Il semble que sous un gouvernement Moreno, Assange n'est plus le bienvenu Equateur. Son seul espoir maintenant est le passage sûr à son Australie natale ou à un autre pays prêt à lui donner l'asile.
"L'Equateur a cherché une solution à ce problème", a commenté Valencia à la télévision. "Le refuge n'est pas pour toujours, on ne peut pas s'attendre à ce qu'il dure des années sans que nous examinions cette situation, y compris parce que cela viole les droits du réfugié."
Le prédécesseur de Moreno, Rafael Correa, qui a accordé l'asile à Assange à l'ambassade et qui a fait de lui un citoyen équatorien l'année dernière, a averti que les jours d'Assange étaient comptés. Il a accusé Moreno d'avoir interrompu les communications d'Assange. du US Southern Command - le «chasserait de l'ambassade à la première pression des États-Unis».
Assange, qui est apparemment en mauvaise santé, a demandé l'asile à l'ambassade pour éviter l'extradition vers la Suède pour répondre à des questions sur les accusations d'infractions sexuelles. Il craignait qu'une fois en détention suédoise pour ces accusations, qu'il a dites être fausses, il serait extradé vers les États-Unis. Le bureau des procureurs suédois a mis fin à sa demande d '«enquête» et d'extradition auprès de la Grande-Bretagne en mai 2017 et n'a pas porté d'accusations d'infraction sexuelle contre Assange. Mais le gouvernement britannique a déclaré qu'Assange serait néanmoins arrêté et emprisonné pour avoir violé ses conditions de libération sous caution.
La persécution d'Assange fait partie d'un vaste assaut contre les organisations de presse anticapitalistes et anti-impérialistes. Les élites dirigeantes, qui refusent d'assumer la responsabilité d'une profonde inégalité sociale ou des crimes de l'empire, n'ont aucun vernis idéologique pour justifier leur cupidité, leur ineptie et leur pillage. Le capitalisme mondial et sa justification idéologique, le néolibéralisme, sont discrédités en tant que forces pour la démocratie et la répartition équitable des richesses. Le système économique et politique contrôlé par les entreprises est aussi détesté par les populistes de droite que par le reste de la population. Cela rend les critiques du corporatisme et de l'impérialisme - journalistes, écrivains, dissidents et intellectuels déjà poussés en marge du paysage médiatique - dangereux et en fait des cibles privilégiées. Assange est en tête de liste.
RépondreSupprimerJ'ai participé avec des dizaines d'autres, dont Daniel Ellsberg, William Binney, Craig Murray, Peter Van Buren, Slavoj Zizek, George Galloway et Cian Westmoreland, il y a une semaine à une manifestation internationale de 36 heures demandant la liberté pour l'éditeur WikiLeaks. La veille a été organisée par Suzie Dawson, chef du Parti de l'Internet en Nouvelle-Zélande. C'était la troisième veille d'Unity4J depuis que toute la communication d'Assange avec le monde extérieur a été rompue par les autorités équatoriennes et les visites avec lui ont été suspendues en mars, une partie de la pression accrue que les Etats-Unis ont exercée sur le gouvernement équatorien. Assange a depuis mars été autorisé à rencontrer seulement ses avocats et les fonctionnaires consulaires de l'ambassade d'Australie.
La Cour interaméricaine des droits de l'homme a jugé vendredi que ceux qui demandaient l'asile politique avaient le droit de se réfugier dans les ambassades et les complexes diplomatiques. La cour a déclaré que les gouvernements sont tenus d'assurer un passage sûr du pays aux personnes auxquelles l'asile a été accordé. La décision n'a pas nommé Assange, mais c'était une réprimande puissante au gouvernement britannique, qui a refusé de laisser passer le cofondateur de WikiLeaks en toute sécurité à l'aéroport.
Les élites dirigeantes n'ont plus de contre-argument à leurs critiques. Ils ont eu recours à des formes de contrôle plus grossières. Celles-ci comprennent la censure, la calomnie et l'assassinat (qui a malheureusement été couronné de succès), la mise sur liste noire, l'étranglement financier, l'intimidation, l'emprisonnement en vertu de la loi sur l'espionnage et les dissidents en tant qu'agents d'une puissance étrangère. Les médias corporatifs amplifient ces accusations, qui n'ont aucune crédibilité mais qui deviennent une partie de la langue vernaculaire commune par la répétition constante. La mise sur liste noire, l'emprisonnement et la déportation de dizaines de milliers de personnes de conscience pendant les Peurs rouges des années 1920 et 1950 sont de retour avec une vengeance. C'est un nouveau maccarthysme.
La Russie a-t-elle tenté d'influencer les élections ? Indubitablement. C'est ce que font les gouvernements. Les Etats-Unis ont interféré dans 81 élections de 1945 à 2000, selon le professeur Dov Levin de l'Université Carnegie Mellon. Ses statistiques n'incluent pas les nombreux coups d'Etat que nous avons orchestrés dans des pays comme la Grèce, l'Iran, le Guatemala et le Chili ou l'invasion désastreuse de la Baie des Cochons à Cuba. Nous avons indirectement financé la campagne de réélection de Boris Eltsine, le bouffon russe, à hauteur de 2,5 milliards de dollars.
Mais la Russie, comme le prétend l'establishment du Parti démocrate, a-t-elle fait basculer l'élection à Trump? Trump n'est pas la marionnette de Vladimir Poutine. Il fait partie de la vague des populistes de droite, de Nigel Farage et Boris Johnson en Grande-Bretagne à Viktor Orbán en Hongrie, qui ont exploité la rage et la frustration née d'un système économique et politique dominé par le capitalisme mondial et sous lequel les aspirations des travailleurs et des travailleuses n'ont pas d'importance.
RépondreSupprimerL'establishment du Parti démocrate, comme les élites libérales dans la plupart du reste du monde industrialisé, serait balayé du pouvoir dans un processus politique ouvert dépourvu d'argent des entreprises. L'élite du parti, y compris Chuck Schumer et Nancy Pelosi, est une création de l'État corporatif. Le financement des campagnes et la réforme électorale sont les dernières choses que la hiérarchie du parti a l'intention de défendre. Il n'appellera pas de programmes sociaux et politiques qui aliéneront ses maîtres d'entreprise. Cette myopie et cet intérêt personnel peuvent assurer un second mandat à Donald Trump; il peut encore renforcer la frange lunatique qui est fidèle à Trump; il peut continuer à éroder la crédibilité du système politique. Mais le choix devant les élites du Parti démocrate est clair: l'oubli politique ou le maintien du pouvoir d'un démagogue. Ils ont choisi ce dernier. Ils ne sont pas intéressés par la réforme. Ils sont déterminés à faire taire n'importe qui, comme Assange, qui expose la pourriture au sein de la classe dirigeante.
L'establishment du Parti démocrate bénéficie de notre système de corruption légalisée. Il profite de la déréglementation de Wall Street et de l'industrie des combustibles fossiles. Il bénéficie des guerres sans fin. Il profite de la réduction des libertés civiles, y compris du droit à la vie privée et à une procédure régulière. Il bénéficie de la police militarisée. Il bénéficie de programmes d'austérité. Il bénéficie d'une incarcération de masse. C'est un facilitateur de la tyrannie, pas un empêchement.
Les démagogues comme Trump, Farage et Johnson, bien sûr, n'ont pas l'intention de modifier le système du pillage corporatif. Au contraire, ils accélèrent le pillage, ce qui est arrivé avec l'adoption de la réduction massive des impôts américains pour les sociétés. Ils détournent la colère du public vers des groupes diabolisés tels que les musulmans, les travailleurs sans papiers, les personnes de couleur, les libéraux, les intellectuels, les artistes, les féministes, la communauté LGBT et la presse. Les diabolisés sont blâmés pour le dysfonctionnement social et économique, tout comme les Juifs ont été faussement blâmés pour la défaite de l'Allemagne dans la Première Guerre mondiale et l'effondrement économique qui a suivi. Des sociétés telles que Goldman Sachs, au milieu de la décadence, continuent à faire un assassinat financier.
Les titans corporatifs, qui sortent souvent des universités d'élite et sont soignés dans des institutions comme Harvard Business School, trouvent ces démagogues grossiers et vulgaires. Ils sont embarrassés par leur imbécillité, leur mégalomanie et leur incompétence. Mais ils supportent leur présence plutôt que de permettre aux socialistes ou aux politiciens gauchistes d'entraver leurs profits et de détourner les dépenses gouvernementales vers des programmes sociaux, loin des fabricants d'armes, des militaires, des prisons privées, des grandes banques et des hedge funds. les forces paramilitaires, les sociétés de renseignements privés et les programmes pour animaux de compagnie conçus pour permettre aux entreprises de cannibaliser l'État.
L'ironie est qu'il y avait une ingérence sérieuse dans l'élection présidentielle, mais elle ne venait pas de Russie.
RépondreSupprimerLe Parti démocrate, surpassant les ruses de Richard Nixon, purgea des centaines de milliers d'électeurs primaires, refusa à ceux qui étaient enregistrés comme indépendants le droit de voter aux primaires, utilisa des superdélégués pour balancer le vote à Hillary Clinton, détourna le Le Comité national démocrate pour servir la campagne de Clinton, contrôlait le message des médias tels que MSNBC et le New York Times, volait le caucus du Nevada, dépensait des centaines de millions de dollars d'argent "sombre" pour la campagne Clinton et fixait les débats primaires .
Cette ingérence, qui a volé la nomination de Bernie Sanders, qui aurait probablement pu vaincre Trump, n'est pas mentionnée. La hiérarchie du parti ne fera rien pour réformer son processus de nomination corrompu.
WikiLeaks a dévoilé une grande partie de cette corruption en publiant des dizaines de milliers de messages piratés par le compte de courrier électronique du président de la campagne Clinton, John Podesta. Les messages ont mis en lumière les efforts déployés par les dirigeants du Parti démocrate pour contrecarrer la nomination de Sanders, et ils ont révélé les liens étroits de Clinton avec Wall Street, y compris ses discours lucratifs de Wall Street. Ils ont également soulevé de sérieuses questions sur les conflits d'intérêts avec la Fondation Clinton et si Clinton a reçu des informations préliminaires sur les questions du débat primaire.
Le Comité National Démocratique, pour cette raison, dirige l'hystérie russe et la persécution d'Assange. Il a intenté un procès qui qualifie WikiLeaks et Assange de co-conspirateurs avec la Russie et la campagne Trump dans un prétendu effort pour voler l'élection présidentielle.
Mais ce n'est pas seulement Assange et WikiLeaks qui sont attaqués en tant que pions russes. Par exemple, le Washington Post, qui s'est rangé du côté du Parti démocrate dans la guerre contre Trump, a publié sans analyse critique un rapport sur une liste noire publiée par le site anonyme PropOrNot. La liste noire était composée de 199 sites que PropOrNot alléguait, sans aucune preuve, «faisant écho à la propagande russe». Plus de la moitié de ces sites étaient des sites d'extrême droite et de conspiration. Mais environ 20 de ces sites étaient des points de vente progressifs majeurs, y compris AlterNet, Black Agenda Report, Démocratie Maintenant !, Capitalisme nu, Truthdig, Truthout, CounterPunch et le World Socialist Web Site. PropOrNot, abréviation de Propaganda or Not, a accusé ces sites de diffusion de "fausses nouvelles" au nom de la Russie. Le titre de la poste était sans équivoque: "L'effort de propagande russe a aidé à répandre de" fausses nouvelles "pendant l'élection, disent les experts."
En plus d'offrir aucune preuve, PropOrNot n'a même jamais révélé qui dirigeait le site. Même ainsi, sa charge a été utilisée pour justifier l'imposition d'algorithmes par Google, Facebook, Twitter et Amazon pour diriger le trafic loin des sites ciblés. Ces algorithmes, ou filtres, supervisés par des milliers d '«évaluateurs», dont beaucoup sont recrutés par l'appareil militaire et de sécurité et de surveillance, recherchent des mots clés tels que «U.S. militaire, "" l'inégalité "et" le socialisme ", avec des noms personnels tels que Julian Assange et Laura Poitras. Les mots-clés sont appelés "impressions". Avant l'imposition des algorithmes, un lecteur pouvait taper le nom Julian Assange et être dirigé vers un article sur l'un des sites ciblés. Après que les algorithmes ont été mis en place, ces impressions ont orienté les lecteurs uniquement vers des sites grand public tels que le Washington Post. Le trafic de référence généré par les impressions sur la plupart des sites ciblés a chuté, souvent de plus de la moitié. Cet isolement sera aggravé par l'abolition de la neutralité du net.
RépondreSupprimerToute information ou média qui aborde la réalité de notre démocratie défaillante et expose les crimes de l'empire sera visé. Le directeur du National Intelligence Report de janvier 2017 a passé sept pages sur RT America, où j'ai un spectacle, "On Contact". Le rapport n'accuse pas RT America de diffuser la propagande russe, mais il prétend que le réseau exploite les divisions au sein de la société américaine. donner du temps d'antenne aux dissidents et aux critiques, y compris les dénonciateurs, les anti-impérialistes, les anticapitalistes, les activistes de Black Lives Matter, les militants anti-fracturation et les candidats tiers que l'establishment cherche à rendre muets.
Si les États-Unis avaient un système public de radiodiffusion exempt de l'argent des entreprises ou d'une presse commerciale qui n'était pas sous contrôle de l'entreprise, ces voix dissidentes seraient incluses dans le discours dominant. Mais nous ne le faisons pas. Howard Zinn, Noam Chomsky, Malcolm X, Sheldon Wolin, Ralph Nader, James Baldwin, Susan Sontag, Angela Davis et Edward Said se produisaient régulièrement à la télévision publique. Maintenant, les critiques comme celles-ci sont interdites, remplacées par des courtisans insipides comme le chroniqueur David Brooks. RT America a été contrainte de s'enregistrer en vertu de la Foreign Agent Registration Act (FARA). Cet acte exige des Américains qui travaillent pour une partie étrangère de s'enregistrer en tant qu'agents étrangers. L'enregistrement FARA fait partie de l'assaut plus large sur tous les médias indépendants, y compris l'effort de faire taire Assange.
La publication de WikiLeak en 2017 sur 8 761 fichiers de la CIA, connue sous le nom de Vault 7, a semblé être la dernière indignité. Vault 7 comprenait une description des cyber-outils utilisés par la CIA pour pirater des systèmes informatiques et des dispositifs tels que les smartphones. L'ancien ingénieur logiciel de la CIA, Joshua Adam Schulte, a été inculpé pour violation de la loi sur l'espionnage en laissant supposer que les documents avaient été divulgués.
La publication de Vault 7 a vu les Etats-Unis augmenter de manière significative leurs pressions sur le gouvernement équatorien pour isoler et expulser Assange de l'ambassade. Mike Pompeo, alors directeur de la CIA, a déclaré en réponse aux fuites que le gouvernement américain "ne peut plus laisser la liberté à Assange et ses collègues d'utiliser les valeurs de la liberté de parole contre nous." Le procureur général Jeff Sessions a déclaré que "
C'est à nous de nous mobiliser pour protéger Assange. Sa vie est en danger. Le gouvernement équatorien, violant ses droits fondamentaux, a transformé son asile en une forme d'incarcération. En coupant son accès à Internet, cela l'a privé de la capacité de communiquer et de suivre les événements mondiaux. Le but de cet isolement est de faire sortir Assange de l'ambassade pour qu'il puisse être saisi par la police de Londres, jeté dans une prison britannique et livré entre les mains de Pompeo, John Bolton et du bourreau de la CIA, Gina Haspel.
RépondreSupprimerAssange est un éditeur courageux et intrépide qui est persécuté pour avoir dénoncé les crimes de l'État corporatiste et de l'impérialisme. Sa défense est à la fine pointe de la lutte contre la répression gouvernementale de nos droits démocratiques les plus importants et les plus fondamentaux. Le gouvernement du Premier ministre Malcolm Turnbull, en Australie, où Assange est né, doit être poussé à lui fournir la protection à laquelle il a droit en tant que citoyen. Il doit intercéder pour mettre fin à la persécution illégale du journaliste par les gouvernements britannique, américain et équatorien. Il doit sécuriser son retour en Australie. Si nous ne protégeons pas Assange, nous ne nous protégeons pas.
https://www.zerohedge.com/news/2018-07-17/chris-hedges-war-assange-war-press-freedom
Chicago envisage un projet pilote de revenu de base universel de 6 millions de dollars
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar. 17/07/2018 - 21:35
Citant l'automatisation des dangers pour les emplois à faible revenu, Ameya Pawar de Chicago veut remettre de l'argent à chaque homme, femme et enfant de la ville selon The Intercept - alors que le système de retraite de la ville a déjà coûté 11 000 $.
Soulignant les investissements dans des véhicules autonomes par des entreprises comme Tesla, Amazon et Uber, Pawar a observé que les emplois de camionnage sur de longues distances, historiquement une source d'emplois de la classe moyenne, peuvent devenir obsolètes. Davantage de personnes au chômage signifie une plus grande polarisation politique, dit Pawar. «Nous devons commencer à parler de la race, de la classe et de la géographie, mais aussi commencer à parler de l'avenir du travail en ce qui concerne l'automatisation. Tout cela est entrelacé. "-L'interception
Un espoir unique pour le gouverneur de l'Illinois jusqu'à ce qu'il a été dépassé par deux milliardaires, Pawar a été éloquent sur les politiciens qui opposent des groupes de pauvres les uns contre les autres pour semer la discorde.
"Vous savez, les Britanniques opposent les hindous et les musulmans les uns aux autres", a déclaré Pawar à The Intercept à l'époque, en s'inspirant de son héritage indo-américain. «Placer les gens les uns contre les autres en fonction de la classe et de la géographie, de la caste ... ce n'est pas différent. Chicago contre l'état de Down. Downstate contre Chicago. Noir, blanc, brun l'un contre l'autre. Tous les pauvres se battent pour des déchets. "
Et avec la baisse des emplois due à l'automatisation, le Chicago Alderman fait valoir que Universal Basic Income (UBI) est la seule solution.
Pawar pense qu'une façon de combattre le ressentiment racial est de s'attaquer à la précarité économique que les politiciens ont utilisée pour l'attiser. Il a décidé d'approuver le revenu de base universel - une idée qui a pris de l'ampleur à travers le monde. -L'interception
«Du point de vue de la course et de la classe, sachez que 66 % des conducteurs de camions long-courrier sont des hommes blancs d'âge moyen», a-t-il observé. "Donc, si vous les mettez au chômage sans investir dans de nouveaux emplois ou dans un système de soutien social afin qu'ils puissent passer d'un emploi à un autre, ces différences de race, de classe et d'origine géographique vont augmenter."
Les partisans de Universal Basic Income veulent une alternative au système actuel de distribution de biens en nature, comme c'est le cas avec le Programme d'aide nutritionnelle supplémentaire (SNAP). Ils disent que les programmes de transfert d'argent (UBI) «évitent les coûts administratifs de la distribution de biens en nature», rapporte The Intercept, tout en évitant la stigmatisation des coupons alimentaires.
À cette fin, Pawar a déployé une proposition pilote pour UBI qui irait à 1000 ménages:
Pawar a récemment lancé un projet pilote pour un programme UBI à Chicago. Dans le cadre de son programme, 500 $ par mois seraient remis à 1 000 familles de Chicago - sans conditions. De plus, la proposition modifierait le programme de crédit d'impôt sur le revenu gagné pour les mêmes 1 000 familles, de sorte qu'elles recevraient des paiements mensuels plutôt qu'à la fin de l'année - un processus appelé «lissage» permettant aux familles d'intégrer la taxe crédit dans leurs budgets mensuels. -L'interception
RépondreSupprimerPawar a convaincu la plupart des législateurs de Chicago de coparrainer le plan, et il espère que le maire Rahm Emanuel travaillera avec le conseil municipal de Chicago pour le mettre en œuvre.
Ameya Pawar
@Ameya_Pawar_IL
Ma législation appelant à la création d'un projet pilote Chicago #UniversalBasicIncome compte 36 co-sponsors! Au Comité du développement de la main-d'œuvre et de la vérification. Le président du comité @ 40thWard est également un sponsor. Plus à venir! #UBI
20h00 - 27 juin 2018
"Près de 70 % des Américains ne disposent pas de 1 000 $ en cas d'urgence", a déclaré M. Pawar à The Intercept. "UBI pourrait être un avantage incroyable pour les personnes qui travaillent et qui ont du mal à joindre les deux bouts ou à mettre de la nourriture sur la table à la fin du mois. ... Il est temps de commencer à penser aux transferts directs d'argent aux gens afin qu'ils puissent commencer à planifier comment ils vont s'en sortir. »-L'interception
Mardi, l'ancien patron d'Emanuel, l'ancien président Obama, a plaidé pour Universal Basic Income en prenant la parole lors de la conférence de Nelson Mandela en 2018.
Jeremy Slevin
@jeremyslevin
Whoa Obama vient d'endosser un UBI.
«Ce n'est pas seulement de l'argent que procure un emploi, mais aussi de la dignité et de la structure, un sentiment d'appartenance et un sens du but, donc nous devrons envisager de nouvelles façons de penser à ces problèmes, comme un revenu universel.
16h46 - 17 juillet 2018
Si le plan de Pawar est mis en œuvre, Chicago sera la plus grande ville à tester un plan UBI. Le défenseur de l'UBI et fondateur du People's Policy Project a déclaré à The Intercept qu'il était sceptique quant à la capacité des grandes municipalités à mener à bien des programmes UBI en raison de la capacité limitée d'une grande ville à percevoir des revenus.
"Cela ressemble à un programme pilote UBI, ce qui est une bonne idée, juste pour étudier ses effets et produire des données qui peuvent aider à guider d'autres efforts UBI", at-il déclaré à The Intercept.
"Notre espoir, que je sais, sera né dans ce projet pilote, c'est qu'il montrera que lorsque nous allégerons l'EITC, et que nous fournirons un revenu de base mensuel à 1000 familles, qu'ils seront en mesure de planifier les dépenses, ils Ils peuvent prendre des décisions en matière d'épargne, ils peuvent prendre des décisions en matière d'investissement, ils peuvent prendre des décisions sur la façon dont ils pourraient gérer une situation d'urgence financière, comme le font toutes les familles », a déclaré M. Pawar à The Intercept. "Et une fois mis en œuvre, nous serons en mesure de le faire évoluer."
RépondreSupprimerCela dit, à Pawar - la question n'est pas de savoir si les États-Unis peuvent se permettre de mettre en œuvre UBI, plutôt, si elle peut se permettre de ne pas le faire.
"Ma réponse à Amazon, et Tesla, et Ford, et Uber ... nous devons commencer à avoir une conversation sur l'automatisation et un cadre réglementaire afin que si les emplois disparaissent, que ferons-nous avec la main-d'œuvre? ... Si [ces entreprises] sont réticentes à payer leur juste part d'impôts et veulent toujours des incitations fiscales et en même temps automatiser les emplois, que pensez-vous qu'il va se passer ? ", A demandé Pawar.
"Ces divisions vont grandir et, à bien des égards, nous sommes assis sur un baril de poudre."
Pour donner à l'ensemble des 2,7 millions d'habitants de Chicago, un chèque de 500 dollars par mois coûterait 1,35 milliard de dollars par mois, soit 16,2 milliards de dollars par an. Compte tenu de l'endettement de 71 milliards de dollars de la ville - dont environ 40 milliards de dollars de dettes de retraite, UBI ajouterait près de 23 % par an à cette bombe à retardement.
Mais bon, c'est une bonne idée que nous sommes sûrs de traduire en beaucoup de votes.
https://www.zerohedge.com/news/2018-07-17/chicago-considering-6-million-universal-basic-income-pilot
L'arrivée aux foyers d'une machine à laver n'a JAMAIS mis au chômage la femme qui s'occupait de laver le linge au lavoir ou à la lessiveuse ! Simplement la famille a bénéficié de temps de repos supplémentaire... pour faire autre chose !
SupprimerAujourd'hui, nous en sommes arrivé au point où les machines ont atteint leur but comme le notre et, semble t-il, elles n'irons guère plus loin dans les temps à avenir. C'est ce qui est appelé la stagnation.
On s'arrête de travailler ? BRAVO ! Les machines travaillent à notre place !
Le Peuple n'a pas besoin de dictateurs de merde pour fournir des allocations, le Peuple se suffit à lui-même et, comme en Suisse, aspire un jour à vivre en Démocratie.
Pepe Escobar: Russophobia est une industrie 24/7
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar. 17/07/2018 - 19:55
Auteur de Pepe Escobar via The Asia Times,
Le président des États-Unis attise un nid de frelons avec sa conférence de presse aux côtés de son homologue russe, mais il semble qu'aucun «grand marché» n'ait été conclu contre la Syrie, et sur l'Iran, ils semblent fortement en désaccord
"La guerre froide est une chose du passé." Au moment où le président Poutine en a fait autant lors des remarques préliminaires lors de sa conférence de presse conjointe avec le président Trump à Helsinki, il était clair que cela ne durerait pas dans la guerre froide 2.0.
La russophobie est une industrie ouverte 24h / 24 et 7j / 7, et tous les intéressés, y compris les médias, restent absolument livides avec le "Trompeur" de Trump-Poutine. Trump a «comploté avec la Russie». Comment le président des États-Unis pourrait-il promouvoir «l'équivalence morale» avec un «voyou de classe mondiale» ?
De nombreuses occasions d'indignation apoplectique étaient en ordre.
Trump: "Notre relation n'a jamais été pire que maintenant. Cependant, cela a changé. Il y a environ quatre heures. "
Poutine: "Les Etats-Unis pourraient être plus décisifs en poussant le leadership ukrainien."
Trump: "Il n'y avait pas de collusion ... J'ai battu Hillary Clinton facilement."
Poutine: "Nous devrions être guidés par des faits. Pouvez-vous nommer un seul fait qui prouverait définitivement la collusion? Ça n'a pas de sens."
Ensuite, l'argument décisif: le président russe appelle le «bluff» de Robert Mueller, qui propose d'interroger les Russes accusés d'ingérence électorale aux États-Unis si Mueller fait une demande officielle à Moscou. Mais en échange, la Russie s'attendrait à ce que les Etats-Unis interrogent les Américains sur la question de savoir si Moscou devrait faire face à des accusations d'actions illégales.
Trump le frappe hors du parc lorsqu'on lui demande s'il croit que les services secrets américains, qui ont conclu que la Russie s'est mêlée des élections, ou Poutine, qui le nient fermement.
"Le président Poutine dit que ce n'est pas la Russie. Je ne vois aucune raison de le faire. "
Comme si cela ne suffisait pas, Trump double l'appel du serveur du Comité National Démocratique (DNC). "Je veux vraiment voir le serveur. Où est le serveur? Je veux savoir. Où est le serveur et que dit le serveur ? "
Il était inévitable qu'un sommet stratégiquement crucial entre les présidences russe et américaine soit pris en otage par la démence du cycle des nouvelles américaines.
Trump était imperturbable. Il sait que les disques durs de l'ordinateur DNC - la source d'un prétendu "piratage" - ont simplement "disparu" alors qu'ils étaient sous la garde des Etats-Unis, y compris le FBI. Il sait que la bande passante nécessaire pour le transfert de fichiers était beaucoup plus grande qu'un piratage aurait pu le faire dans le temps imparti. C'était une fuite, un téléchargement dans un lecteur flash.
En outre, Poutine sait que Mueller sait qu'il ne sera jamais capable de traîner 12 agents de renseignement russes dans une salle d'audience américaine. Ainsi, l'acte d'accusation - démystifié, annoncé trois jours seulement avant Helsinki, n'était rien d'autre qu'une grenade à main judiciaire préemptive.
RépondreSupprimerPas étonnant que John Brennan, un ancien directeur de la CIA sous l'administration Obama, fulmine. "La conférence de presse de Donald Trump à Helsinki a dépassé le seuil des" hauts crimes et délits ", ce qui n'était rien moins que traître. Non seulement les commentaires de Trump étaient imbéciles, mais il est entièrement dans la poche de Poutine. "
Comment la Syrie et l'Ukraine sont liées
Cependant, il y a des raisons de s'attendre à des progrès minimaux sur trois fronts à Helsinki: une solution pour la tragédie syrienne, un effort pour limiter les armes nucléaires et sauver le traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire signé en 1987 par Reagan et Gorbatchev. conduire à normaliser les relations américano-russes, loin de la guerre froide 2.0.
Trump savait qu'il n'avait rien à offrir à Poutine pour négocier sur la Syrie. L'Armée arabe syrienne (ASA) contrôle désormais près de 90% du territoire national. La Russie est solidement implantée en Méditerranée orientale, notamment après la signature d'un accord de 49 ans avec Damas.
Même en tenant compte des mentions prudentes d'Israël des deux côtés, Poutine n'a certainement pas accepté de forcer l'Iran à quitter la Syrie.
Aucun "grand marché" sur l'Iran ne semble être dans les cartes. Le principal conseiller de l'ayatollah Khamenei, Ali Akbar Velayati, était à Moscou la semaine dernière. L'entente cordiale de Moscou-Téhéran semble incassable. Parallèlement, comme l'a appris l'Asia Times, Bachar al-Assad a déclaré à Moscou qu'il pourrait même accepter que l'Iran quitte la Syrie, mais Israël devrait rendre les hauteurs du Golan. Donc, le statu quo demeure.
Poutine a mentionné que les deux présidents ont discuté de l'accord nucléaire iranien ou du plan d'action global commun et qu'ils sont, essentiellement, d'accord pour ne pas être d'accord. Le secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo et le secrétaire au Trésor Steven Mnuchin ont écrit une lettre rejetant formellement un appel pour des exclusions dans les domaines de la finance, de l'énergie et des soins de santé en Allemagne, en France et au Royaume-Uni. Un blocus économique maximum reste le nom du jeu. Poutine a peut-être impressionné Trump sur les conséquences désastreuses d'un embargo pétrolier américain sur l'Iran, et même le scénario (tiré par les cheveux) de Téhéran qui bloque le détroit d'Ormuz.
A en juger par ce que les deux présidents ont dit, et ce qui a été divulgué jusqu'ici, Trump n'a peut-être pas offert une reconnaissance explicite de la Crimée par les Etats-Unis à la Russie ou un assouplissement des sanctions liées à l'Ukraine.
Il est raisonnable d'imaginer un ballet très délicat en termes de ce qu'ils ont vraiment discuté en rapport avec l'Ukraine. Une fois de plus, la seule chose que Trump pourrait offrir à l'Ukraine est un assouplissement des sanctions. Mais pour la Russie, les enjeux sont beaucoup plus élevés.
Poutine voit clairement l'Asie du Sud-Ouest et l'Europe centrale et orientale comme totalement intégrées. Le bassin de la mer Noire est l'endroit où la Russie croise l'Ukraine, la Turquie, l'Europe de l'Est et le Caucase. Ou, historiquement, où convergeaient les anciens empires russe, ottoman et des Habsbourg.
RépondreSupprimerUne Grande Mer Noire implique la convergence géopolitique de ce qui se passe en Syrie et en Ukraine. C'est pourquoi, pour le Kremlin, seul un ensemble global est important. Ce n'est pas par hasard que Washington a identifié ces deux nœuds - déstabiliser Damas et renverser les rôles à Kiev - pour causer des problèmes à Moscou.
Poutine considère qu'une Syrie stable et une Ukraine stable sont essentielles pour alléger son fardeau dans les négociations avec les Balkans et les pays baltes. Nous revenons encore une fois à cette caractéristique géopolitique classique, l'Intermarium («entre les mers»). C'est le territoire ultra-contesté de l'Estonie au nord à la Bulgarie au sud - et au Caucase à l'est. Une fois, cela servait à encadrer l'affrontement entre l'Allemagne et la Russie. Maintenant, cela encadre le choc entre les États-Unis et la Russie.
Dans un écho fascinant du sommet d'Helsinki, les stratèges occidentaux perdent leur jeu du sommeil sur la Russie qui pourrait «Finlandiser» tout ce territoire.
Et cela nous amène inévitablement à ce que l'on pourrait appeler la question allemande. Quel est l'objectif ultime de Poutine: une relation commerciale et stratégique assez étroite avec l'Allemagne (les entreprises allemandes sont favorables) ? Ou une sorte d'entente cordiale avec les États-Unis ? Les diplomates de l'UE à Bruxelles discutent ouvertement que sous le tonnerre et la foudre, c'est le Saint des Saints.
Promenez-vous du côté sauvage
La recette clé désormais célèbre d'une interview de Trump à son club de golf à Turnberry, en Écosse, avant Helsinki, peut offrir quelques indices.
"Eh bien, je pense que nous avons beaucoup d'ennemis. Je pense que l'Union européenne est un ennemi, ce qu'ils nous font dans le commerce. Maintenant, vous ne penseriez pas à l'Union européenne, mais ils sont un ennemi. La Russie est un ennemi à certains égards. La Chine est un ennemi économique, certainement, ils sont un ennemi. Mais cela ne veut pas dire qu'ils sont mauvais. Cela ne veut rien dire. Cela signifie qu'ils sont compétitifs. "
Poutine le sait certainement. Mais même Trump, sans être un stratège de Clausewitz, a pu avoir l'intuition que l'ordre libéral post-Seconde Guerre mondiale, construit par un US hégémonique et se penchant sur l'hégémonie militaire américaine permanente sur la masse continentale eurasienne tout en soumettant une Europe vassale, diminue.
Alors que Trump brûle les États-Unis d'Europe comme un concurrent «injuste» des États-Unis, il est essentiel de se rappeler que c'est la Maison Blanche qui a demandé le sommet d'Helsinki, pas le Kremlin.
Trump traite l'UE avec un dédain non dissimulé. Il n'aimerait rien de mieux que de dissoudre l'UE. Ses «partenaires» arabes peuvent être facilement contrôlés par la peur. Il a pratiquement déclaré la guerre économique à la Chine et est en train de surpasser les tarifs - même si le FMI prévient que l'économie mondiale court le risque de perdre environ 500 milliards de dollars dans le processus. Et il fait face à l'intraitable ultime, l'axe Chine-Russie-Iran de l'intégration eurasienne, qui ne va tout simplement pas disparaître.
Donc, parler à "voyou de classe mondiale" Poutine - dans la terminologie suspecte habituelle - est un must. Une division-et-régner ici, une affaire là-bas - qui sait ce que quelque bousculade apportera ? Pour paraphraser Lou Reed, New Trump City "est l'endroit où l'on dit" Hey bébé, promenez-vous du côté sauvage ".
RépondreSupprimerPendant le pressage d'Helsinki, Poutine, fraîchement sorti du spectaculaire coup de force de la Russie en Coupe du Monde, a passé un ballon de football à Trump. Le président américain a dit qu'il le donnerait à son fils, Barron, et passerait le ballon à la Première Dame Melania. Eh bien, la balle est maintenant dans le camp de Melania.
https://www.zerohedge.com/news/2018-07-17/pepe-escobar-russophobia-247-industry
Des centaines de clients Tesla doivent rembourser la subvention du gouvernement allemand
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar. 17/07/2018 - 16:20
Le PDG de Tesla Elon Musk est sur le point d'être amèrement déçu, tout comme des centaines de ses clients.
Alors que Musk s'efforce de convaincre les acheteurs d'être patients alors que la production augmente à Fremont Factory de Tesla (avec un ou deux petits accrocs), le journal allemand Handlesblatt publie une histoire qui pourrait annoncer une chute des ventes européennes soutenues par le gouvernement.
Grâce à un désaccord entre Tesla et un régulateur allemand, plus de 800 clients allemands qui ont acheté la Tesla Model S devront rembourser la subvention d'achat soutenue par le gouvernement que les régulateurs européens ont exigée - pour les véhicules entièrement électriques, ce montant est d'environ 5 000 $.
Conformément à la réglementation, le bonus est uniquement censé s'appliquer aux voitures ayant un prix net maximum de 60 000 euros (environ 70 000 $). Tesla avait d'abord déclaré qu'elle délivrerait ses voitures sans "confort" pour rester en deçà de la limite de prix mais un régulateur allemand l'a quand même retirée d'une liste de voitures éligibles, disant que la subvention ne s'applique qu'au prix de la version "basique". . Depuis lors, les régulateurs ont été en contact avec l'entreprise pour essayer de trouver une solution, mais maintenant que la date limite du 1er juillet pour les Allemands est passée, les "reversements" des subventions doivent être payés.
Les acheteurs touchés qui ont acheté un Tesla S avant le 6 mars seront contactés par les régulateurs. Fait intéressant, les acheteurs qui ont acheté les voitures après la date limite pour le programme peuvent toujours demander la subvention en soumettant des informations supplémentaires, y compris les détails sur le programme.
Tesla
Compte tenu de l'étiquette de prix pour un Tesla, cet argent incitatif a été un facteur décisif majeur pour les acheteurs de véhicules électriques, y compris Teslas.
L'Association des constructeurs européens d'automobiles (ACEA) a démontré par inadvertance la puissance de ces subventions l'an dernier en publiant des chiffres sur les ventes de véhicules à charge électrique (y compris les véhicules hybrides rechargeables). Au premier trimestre, les ventes ont été soutenues, progressant de 80 % en Y / an dans la Suède éco-responsable, 78 % en Allemagne, un peu plus de 40 % en Belgique à environ 30 % dans l'Union européenne ... mais pas au Danemark: Au Danemark, les ventes ont cédé plus de 60% pour une raison simple: le gouvernement a éliminé progressivement les subventions des contribuables.
Tesla
Et avec la guerre commerciale du président Trump qui menace de rendre les produits américains plus chers à l'étranger, Tesla a déjà augmenté les prix en Chine, où elle prévoit de construire une usine pour assurer son accès au plus grand "marché de croissance" du monde.
Bien que Musk ait apparemment réussi une chose: l'innovation de la batterie qui a permis à Tesla d'étirer encore plus cher les métaux précieux des terres rares comme le cobalt. Une analyse par un laboratoire allemand a récemment conclu que les batteries de Tesla n'étaient que de 2,8% de cobalt, ce qui est apparemment meilleur que beaucoup de ses concurrents allemands.
RépondreSupprimerOn se demande quand même si une baisse des ventes allemandes (sans parler de la liste des véhicules électriques introduits par les constructeurs automobiles allemands, ce qui est certainement curieux compte tenu de la décision du gouvernement) annoncera une retraite pour Tesla en Europe ? Elon Musk, qui est encore sous le coup de son scandale de tweets pédophiles thaïlandais après avoir à peine atteint son objectif de production pour le mois de Juin, ne devrait pas espérer.
https://www.zerohedge.com/news/2018-07-17/hundreds-tesla-customers-must-repay-german-government-subsidy