- ENTREE de SECOURS -



vendredi 27 juillet 2018

Le débat sur l’huile de palme : un faux problème

le 27 juillet 2018


Les organisations non-gouvernementales préoccupées par le changement du climat et la préservation de la biodiversité sont obsédées par l’huile de palme. Ils considèrent en effet que ce produit n’est pas « durable ». Il apparaît opportun d’analyser la signification de ce dernier adjectif. L’huile de palme est la première huile végétale utilisée dans le monde tant dans l’industrie agro-alimentaire que dans les secteurs de l’énergie, de la pharmacie ou des cosmétiques. Le palmier à huile est un formidable piège à gaz carbonique : un hectare de palmiers immobilise autant de carbone que 6 hectares de soja. Il faut aussi mentionner que la quantité d’intrants, engrais et pesticides, est inférieure à celle utilisée pour toutes les autres cultures d’oléagineux.

Et pourtant les écologistes considèrent que l’huile de palme n’est pas « durable » car elle est nuisible à l’environnement et au biotope tropical puisqu’il faut faire de la place dans les forêts tropicales humides pour créer de nouvelles plantations de palmiers pour satisfaire une demande sans cesse croissante.

Il faudrait que ces organisations fassent un choix : ou bien elles veulent préserver la biodiversité des forêts tropicales ou bien elles choisissent de favoriser cette culture qui est l’un des meilleurs pièges terrestres pour le gaz carbonique afin de préserver le climat qui est également – au cas où il se réchaufferait un peu trop – délétère pour cette biodiversité.

Toute cette histoire se terminera comme il se doit : par de nouvelles taxes sur l’huile de palme comme il y aura aussi de nouvelles taxes sur les produits pétroliers. Contrairement à ce qu’affirment ces organisations une plantation de palmiers à huile fait vivre les populations locales alors qu’il est évident qu’une forêt inviolée ne fait vivre personne. Toute régulation coercitive relative à cette denrée sera immédiatement préjudiciable à d’autres forêts que celles de l’Indonésie, de Malaisie ou de Papouasie-Nouvelle-Guinée, les principaux producteurs d’huile. Le Brésil devra par exemple accélérer la disparition de la forêt amazonienne pour cultiver du soja. Les organisations non-gouvernementales se sont dotées d’une sorte de bras armé pour faire valoir leurs revendications contradictoires. Il s’agit du RSPO, Round table for Sustainable Palm Oil, mais ces mêmes organisations déplorent le peu d’impact de cet organisme sur la déforestation dans les pays cités plus haut. Le débat n’est donc pas clos et il ne le sera que lorsque des taxes dissuasives sur l’huile de palme entraineront automatiquement une dévastation d’autres forêts dans le monde.

26 commentaires:

  1. "J'étais en état de choc": Une femme découvre que son coffre-fort BofA a disparu


    par Tyler Durden
    Ven, 27/07/2018 - 06:01


    Un coffre-fort devrait, par définition, être "sûr". Cependant, à sa grande surprise, c'est exactement le contraire de ce qu'une femme californienne a découvert il y a quelques jours.

    Susan Nomi a dit que quand elle est allée ouvrir le coffre-fort de Bank of America qu'elle avait depuis 16 ans, la boîte entière avait disparu. Le coffre-fort est où elle a gardé les bijoux de sa famille et la collection de pièces de son père.

    "J'étais choqué; J'étais comme ce qui est arrivé à ma boîte ", a déclaré Nomi, cité par CBS Sacramento.

    Pire, Bank of America - qui était la gardienne de la boîte de sécurité - ne pouvait pas expliquer où se trouvaient ses objets de valeur: «Ils n'ont pas de réponse. Ils n'ont pas de réponse. Ils disent merci de nous le faire savoir ", a déclaré Nomi.

    Pour aggraver les choses pour la femme furieuse, elle-même était un employé retraité de Bank of America de 40 ans; et elle n'est pas seule. D'autres se sont plaints que Bank of America a foré leurs coffres-forts sans permission ni préavis.

    Une autre cliente mécontente, Wendy Woo, a déclaré que ses effets personnels avaient été retirés de son coffre-fort et expédiés par la banque: «Tout a été jeté dans un sac en plastique», a déclaré M. Woo. Dans le processus, une bague a disparu et un collier a été endommagé dans le processus.

    "Coffre-fort ... c'est pour ça, sauf", dit-elle, seulement quand le coffre-fort appartient à Bank of America.

    Une deuxième famille s'est plainte que le contenu de leur coffre-fort avait également été renvoyé, mais réclamait 17 000 $ de bijoux manquants.

    "Je viens de me faire voler de la banque", se plaint une autre femme: "Ils ont juste pris mes affaires."

    Inutile de dire que ce qui rend ces situations bizarres, c'est que selon les règles fédérales, les banques peuvent forer une boîte sans permission seulement lorsqu'une ordonnance judiciaire, un mandat de perquisition, des frais de location, des demandes d'administrateurs successoraux ou si la banque ferme une branche. Et pourtant, aucune de ces raisons ne s'applique à aucun de ces cas.

    Le consultant en coffre-fort, Dave Guinn, forme les employés de la banque aux procédures de coffre-fort appropriées. Il dit que la loi fédérale exige que les banques donnent aux clients un préavis suffisant.

    "Une notification doit être faite soit par lettre recommandée ou par lettre de réception certifiée", a déclaré Guinn.

    Pendant ce temps, dans sa défense, BofA a déclaré qu'elle «notifie les clients par courrier conformément à la loi longtemps avant de percer une boîte», mais l'ancien employé Nomi ne l'achète pas: «Je travaillais pour eux. attrape-moi ou quoi que ce soit

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  2. Ajoutant à la frustration de Nomi, Bank of America ne peut toujours pas expliquer ce qui est arrivé à ses objets de valeur, mais a déclaré: «Nous comprenons certainement à quel point cette question est frustrante pour Mme Nomi et nous travaillons avec elle sur une résolution. situation pour nous aider à identifier des opportunités pour éviter des événements similaires à l'avenir, alors que nous continuons à travailler pour améliorer le service à nos clients. Elle a dit "Je ne peux jamais le remplacer, c'est irremplaçable, peu importe combien cela vaut."

    Finalement, une fois que l'équipe de nouvelles de CBS s'est impliquée, la banque a finalement accepté de lui couper un chèque. BofA a également payé pour réparer les bijoux endommagés de Mme Woo, mais a laissé chacun d'entre eux se demander comment un coffre est sûr.

    Nomi a des conseils pour les autres: «Vérifiez ce qu'il y a dans votre boîte» et «Si vous n'y êtes pas depuis un moment, assurez-vous qu'il est là».

    Le contrat de location de Bank of America stipule qu'ils peuvent résilier votre contrat de location pour votre coffre-fort si vous ne fournissez pas une pièce d'identité sur demande. Les clients de ces incidents disent que cela ne s'applique pas à leurs cas.

    Les banques ont des règles strictes à suivre, l'une étant qu'elles doivent avoir deux clés pour entrer dans une boîte, la vôtre et la leur. De plus, si une boîte a été forée ouverte, la banque doit avoir un enregistrement de celui-ci étant foré.

    Donc, pour tous ces lecteurs qui détiennent encore de l'or dans un coffre-fort de la banque, confiants qu'il y aura de la pluie ou du beau temps, il est peut-être temps d'en sortir tranquillement et d'avoir un petit accident de bateau ...

    https://www.zerohedge.com/news/2018-07-26/i-just-got-robbed-bank-woman-finds-her-bofa-safe-deposit-box-has-vanished

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  3. La France ne veut plus faire la fête


    18:03 27.07.2018
    Mike Beuve


    Près d’un tiers des discothèques ont disparu depuis les années 80. Entre le poids de la réglementation, un changement générationnel et les propriétaires qui n’ont pas su diversifier leur offre, les Français aiment de moins en moins aller s’amuser en boîte de nuit. Retour sur ce phénomène avec Patrick Malvaës, président national du SNDLL.
    En 30 ans, près d'un tiers des discothèques ont disparu, elles étaient près de 4.000 au début des années 80, aujourd'hui on en recense environ 1.500. Une disparition accélérée par une réglementation très stricte pour les établissements de nuit, en témoigne l'augmentation des fermetures administratives. En effet, en 2017 à Paris, 210 bars ont été concernés par une fermeture administrative ce qui représente une hausse de 17.15% comparé à 2016, selon Le Parisien. Or, le poids de cette réglementation pousse certains lieux mythiques à fermer leurs portes, on pourrait par exemple citer La Féline, le célèbre bar rock parisien situé à Ménilmontant. Au-delà de l'aspect légal, la nouvelle génération est moins encline à faire la fête de la même manière que leurs parents. Le monde de la nuit est-il en train de disparaître ?

    Pour Patrick Malvaës, président national du syndicat national des discothèques et lieux de loisirs (SNDLL), s'«il n'y a pas eu de substitution d'une manière de faire la fête à une autre, comme les discothèques avaient pu se substituer aux bals», le président du SNDLL note surtout que l'éventail des loisirs s'est élargi:

    «Autrefois, vous aviez la vie professionnelle et le weekend pour vous défouler, la journée vous travailliez et la nuit vous sortiez. Désormais, c'est beaucoup plus imbriqué notamment avec les phénomènes informatiques et numériques comme les réseaux sociaux […] Il n'y a plus besoin des discothèques pour faire disparaître les démons du jour avec les fantômes de la nuit.»

    Un changement générationnel

    Pourtant, Patrick Malvaës évoque la part de responsabilité de quelques propriétaires dans cette désaffection des Français, surtout des plus jeunes, pour les lieux nocturnes.

    «Il est certain que la crise économique n'a pas aidé mais on peut réfléchir autrement en se disant que l'offre proposée était trop élevé et ne s'est pas adaptée au pouvoir d'achat […] Il faut que la "recette" soit beaucoup plus respectueuse de l'activité à tous les niveaux, à commencer par la qualité musicale, la qualité de l'accueil, la qualité de l'offre. C'est fondamental.»

    Une exigence musicale d'une nouvelle génération qui tranche avec celle de leurs ainés. «À mon époque, nous n'avions pas vraiment de culture musicale. Aujourd'hui, les jeunes ont une vision qualitative de la musique qui est tout à fait différente de celle que l'on avait. Le contexte culturel a changé ainsi que l'appréhension de la musique.»

    «On est effarés lorsque l'on découvre que la chanson la plus jouée dans certains clubs est Magnolia», s'étouffe Patrick Malvaës.

    Par ailleurs, avec l'omniprésence des réseaux sociaux, il n'est plus nécessaire de sortir pour faire des rencontres. «Quand vous avez besoin de rencontrer l'autre, vous n'avez plus besoin d'être dans le même lieu, tout est dématérialisé, c'est Meetic, Tinder, tout ce que vous voulez. Toute cette fonction de rencontre, de mise en relation, a été défaite», regrette le président national du SNDLL.

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  4. En outre, certains propriétaires n'ont malheureusement pas su innover en utilisant de nouveaux outils pour, justement, aller à la rencontre cette nouvelle génération. «Il y a des sites internet qui sont complètement obsolètes avec des photos ringardes. Ils n'ont pas su passer à Instagram ou Snapchat par exemple.»

    «C'est quand même affolant, il y a eu un retard à l'allumage concernant la révolution numérique. Dans la grande mouvance qui est en cours, il y a une grande difficulté à appréhender les désirs et les évolutions. Il y a des gens qui passent à Facebook mais c'est déjà fini chez les jeunes. L'obsolescence n'est pas programmée, elle est inéluctable.»

    Une réglementation obsolète

    Si l'aspect socio-culturel a eu un impact sur l'attractivité des discothèques et autres bars dansant. La réglementation en France a sonné le glas du monde de la nuit. Avant de réussir à obtenir une réforme fondamentale en 2009 [Art. 15 du décret n° 2009-1652 du 23 décembre 2009,ndlr], Patrick Malvaës rappelle que «les discothèques étaient obligées de demander des dérogations à la préfecture de police pour pouvoir fonctionner la nuit.»

    «Cette dérogation était donnée au cas par cas, à la tête du client. Ça a tué les discothèques. Comment voulez-vous qu'une banque prête de l'argent pour monter un établissement alors qu'il est dans la précarité absolu, on ne peut pas prêter à une entreprise dont on ne sait pas si demain elle fonctionnera», déplore Patrick Malvaës.

    Tandis que nos voisins européens ont su capter les grands changements liés à la fête comme «la Movida en Espagne ou encore la chute du mur de Berlin qui a fait exploser le monde de la nuit».

    «En France, on a été très ringard. Il y a un contexte français très particulier, la législation applicable aux discothèques est le code des débits de boisson qui a été édicté sous le gouvernement de Vichy [la Licence IV autorisation créée le 24 septembre 1941, ndlr] à une époque où le disque n'existait pas. C'est donc la législation des bistrots que l'on a calqué pour les discothèques.»

    Propriétaires d'établissement de nuit, coupables de tous les maux

    Avec une législation qui s'est assouplie en matière d'horaire de nuit, pour Patrick Malvaës, «les préfets se reportent désormais sur les fermetures administratives pour reprendre ce qu'ils ont concédé.»

    Les fermetures administratives permettent, sur ordre du préfet ou du maire, de fermer un établissement pour une durée pouvant aller jusqu'à 6 mois maximum (possibilité d'étendre à 12 mois par arrêté du ministre de l'Intérieur, ndlr], en cas d'infractions aux lois et règlements en vigueur, d'actes criminels ou délictueux, ou bien d'atteinte à l'ordre public et à la sécurité de la population. On pourrait citer les Nuits Fauves, une discothèque située sous la Cité de la mode et du design à Paris qui a été fermée un mois, fin 2017, sur ordre de la préfecture car trois clients avaient été hospitalisés après y avoir consommé des stupéfiants. Ou encore l'Espace B à Ménilmontant (Paris) fermé 1 mois sur ordre de la Préfecture de Police en raison des conditions de sécurité de la salle. Sans compter la multitude de fermetures administratives concernant les nuisances sonores.

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  5. Des décisions qualifiées d'«abusives» et «intempestives» par Patrick Malvaës. Et pour cause, «le vrai problème c'est où commence le privée et commence le public […] On est responsable jusqu'aux limites de notre établissement et aux abords immédiats ce qui est tout à fait normal.» Pourtant le président du SNDLL dénonce également le fait que «la responsabilité individuelle n'est jamais pointée du doigt» dans les cas d'état d'ébriété ou de consommation de stupéfiant.

    «Au lieu de rendre la responsabilité aux gens qui font les cons et tout ça, au lieu de s'attaquer à eux. Eh bien non, on dit que c'est de la faute de l'établissement et on ferme l'établissement. C'est d'ailleurs même déresponsabiliser les clients.»

    Patrick Malvaës rappelle d'ailleurs qu'il existe dans le droit pénal français, une infraction prévue par le code de la santé publique pour ivresse publique et manifeste (IPM) réprimant l'état d'ébriété sur la voie publique, une loi «jamais appliquée».

    Néanmoins, si l'état des lieux pourrait sembler alarmant, les discothèques restent, toujours, une échappatoire pour les Français.

    «Les gens mènent une vie de plus en plus difficile, ils sortent pour oublier un peu la vigueur de la journée. On est des régulateurs du système. À ce titre-là, on est des assistantes sociales naturelles et on devrait être aidés dans cette fonction-là. Il y a aussi les aspirations de l'être humain mais si la société n'accompagne pas ses citoyens, forcément il y a un hiatus. Et c'est le problème des discothèques en ce moment», conclut Patrick Malvaës.

    https://fr.sputniknews.com/societe/201807271037391519-discotheques-changement-generationnel/

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    1. De l'orchestre monté sur l'estrade qui jouait en plein jour on est passé à l'orchestre enfermé dans une grande pièce éteinte où tournait des boules à facettes puis, effacement de l'orchestre au profit de disques et de lumières aveuglantes et clignotantes avec 'musique' assourdissante.

      La convivialité a disparue avec la cherté de payer un changeur de disques et des prix de conso à rester chez soi ! (Idem pour les bars depuis la hausse de 20 % du prix des bières sous Hollande et le dégoût de ne pouvoir consommer en fumant dedans !!

      Tout est fait pour que chacun reste chez soi et communique uniquement avec des appareils espionnés pour savoir qui est qui et surtout le ce qu'il pense et dit aux micros !

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  6. Un média australien dévoile quand les USA pourraient frapper l’Iran


    11:11 27.07.2018



    Washington s’apprêterait à frapper en août les installations nucléaires iraniennes, affirme la chaîne de télévision ABC en se référant à des sources au sein du gouvernement australien. Ces allégations ont toutefois été réfutées par le Premier ministre du pays.

    Les États-Unis pourraient frapper les installations nucléaires iraniennes début août, estime des responsables hauts placés du gouvernement australien cités par la chaîne de télévision locale ABC.

    Selon le média, les systèmes de défense australiens ainsi que les agences de renseignement britanniques pourraient contribuer à l'identification des cibles sur le territoire iranien.
    Dans le même temps, le Premier ministre australien Malcolm Turnbull a déclaré vendredi qu'il n'avait aucune raison de croire que Donald Trump entendait bombarder l'Iran.

    «Aujourd'hui, j'ai vu le reportage à ce sujet sur ABC qui cite des sources gouvernementales haut placées. Il s'agit des spéculations, elle [la chaîne, ndlr] cite des sources anonymes», a-t-il précisé.

    Les allégations concernant une possible frappe américaine contre l'Iran interviennent sur fond de déclarations hostiles entre Donald Trump et Hassan Rohani.

    Lundi 23 juillet, Donald Trump avait averti l'Iran sur sa page Twitter de ne jamais menacer les États-Unis.

    «Ne menacez plus jamais les États-Unis ou vous allez subir des conséquences telles que peu au cours de l'histoire en ont connues auparavant. Nous ne sommes plus un pays qui supportera vos paroles démentes de violence et de mort. Faites attention!», avait-il écrit.

    Auparavant, le Président iranien avait appelé Donald Trump à «ne pas jouer avec la queue du lion» soulignant que Téhéran «ne faisait la guerre à personne» et «qu'une guerre avec l'Iran serait la mère de toutes les guerres».

    Les relations entre les deux pays se sont détériorées depuis mai 2018, lorsque le Président américain a annoncé le retrait de son pays de l'accord sur le nucléaire iranien et a décidé d'imposer à nouveau des sanctions unilatérales à Téhéran. Cette décision a été contestée par la Russie, la Chine, l'Allemagne, la France, le Royaume-Uni et l'UE, qui ont confirmé leur engagement en faveur de l'accord nucléaire.

    https://fr.sputniknews.com/international/201807271037384225-australie-frappe-usa-iran/

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    1. Frapper des centrales nucléaires veut dire: semer sans pouvoir contenir les radiations aux pays touché et aux voisins ! C'est-à-dire: refaire des Fukushima par autant de centrales détruites !

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  7. Benalla et les codes nucléaires: Macron mord à l’hameçon d’un site parodique belge ?


    15:06 27.07.2018


    «Alexandre Benalla a déjà retrouvé du travail auprès de… Marion Maréchal Le Pen», c'est un des nombreux titres sur l'affaire Benalla que propose Nordpresse. D’après Franceinfo, les informations sur les codes nucléaires «détenus» par Alexandre Benalla proviennent de cette même source. Certains les ont pourtant prises au premier degré.

    Le 24 juillet, Emmanuel Macron s'est prononcé sur l’affaire Alexandre Benalla et a démenti une série d’informations relayées par la presse. Il a notamment affirmé qu' «Alexandre Benalla n'a jamais détenu le code nucléaire».

    D'après Franceinfo, c’est une publication parue sur Nordpresse qui est à l’origine de cette rumeur. On peut justement y lire que «Le Général Pierre de Villiers a expliqué aujourd’hui à BFMTV qu’il avait dû donner les codes nucléaires à Alexandre Benalla lors de sa première rencontre avec le proche du Président. Une information qui relance toutes les théories sur les raisons de la protection du personnage par le sommet de l’État».

    Et bien que ce site parodique précise que certaines informations qu’il présente sont satiriques, conseillant de conserver un esprit critique, certains ont mordu à l’hameçon et se sont précipités pour s’indigner sur les réseaux sociaux sans prendre le temps de la réflexion.


    ?Interviewé par Franceinfo, celui qui est derrière cette supercherie avoue: «J’ai halluciné quand j’ai entendu ça. J’avais l’impression de vivre dans une caméra cachée tellement ça devenait énorme».

    Or, la liste de ceux qui ont pris cette intox pour argent comptant n'est pas vraiment courte et compte notamment Eric Pauget, député Les Républicains des Alpes-Maritimes.

    Celui qui se présente sous le pseudonyme de Vincent Flibustier explique que le ressort principal de son site, Nordpresse, «c’est de brosser les gens dans le sens du poil».
    «C’est toute cette post-vérité qui fait que les gens ont envie de croire à la chose. Plus on a envie de croire, plus on est dans l’émotionnel. Je trouve ça plutôt intéressant de piéger les gens et de continuer à les piéger parce que fatalement ça stimule l’intellect», explique-t-il dans son entretien à ce média français.

    Et il ajoute que nombreux sont ceux qui considèrent que ce qu'il fait est dangereux parce que les gens ne sont toujours pas capables de décrypter. A ceux-là, il répond qu'«ils vont apprendre. C’est notre société qui doit leur apprendre à débunker les infos».

    https://fr.sputniknews.com/france/201807271037388406-benalla-codes-nucleaires-fake/

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    1. (...) «Alexandre Benalla a déjà retrouvé du travail auprès de… Marion Maréchal Le Pen» (...)

      Ce qui ne m'étonnerait NULLEMENT !

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  8. Comme il faisait plus chaud en Espagne, moins de gens sont morts. Merci la climatisation et l'électricité.


    July 27th, 2018


    L'énergie bon marché pourrait sauver plus de vies que l'énergie «changeante du climat» chère ?

    Les chercheurs ont examiné 47 grandes villes en Espagne, de 1980 à 2015 et vérifié 554 491 décès. Même si les températures ont augmenté, moins de personnes meurent de chaleur en Espagne. Apparemment, l'ingéniosité humaine, l'énergie et les climatiseurs étaient plus que capables de suivre le changement climatique. La population est plus âgée mais moins vulnérable à la chaleur aujourd'hui qu'il y a quarante ans.

    Les climatiseurs sont passés de 5 % de la population à 35 % au cours de la période d'étude.

    - voir graphiques sur site -

    Oh le dilemme - pour sauver des vies, devrions-nous construire plus de moulins à vent pour essayer de changer le climat global ou viser à obtenir 100 % des ménages l'accès à un climatiseur ?

    Bienvenue à la terrible menace du changement climatique:

    Décès dus aux causes cardio-vasculaires et respiratoires, chaleur, mortalité, graphique, Espagne.
    Le risque relatif de décès a diminué à mesure que les températures augmentaient (selon le modèle utilisé). Voir la légende ci-dessous.
    De la discussion dans le document:

    L'évolution temporelle des risques de mortalité liés à la chaleur ici est, en général, cohérente avec celles rapportées par des études antérieures dans d'autres pays [12-15], qui démontrent une diminution de la vulnérabilité au réchauffement climatique malgré le vieillissement des sociétés. Par exemple, en Espagne, la proportion de personnes âgées de plus de 64 ans est passée de 11,6 % à 15,0% chez les hommes et de 15,9 % à 19,6 % chez les femmes entre 1991 et 2011 [40]. La tendance générale à la baisse des risques de mortalité a été attribuée par certains chercheurs au développement socioéconomique et aux transformations structurelles, telles que l'amélioration des services de santé et de logement [12-15], ou même à des interventions spécifiques de santé publique [16-18]. Les grands progrès socio-économiques qui ont eu lieu en Espagne au cours des dernières décennies pourraient également avoir contribué à cette réponse, réduisant ainsi l'effet des risques de mortalité au fil du temps. Par exemple, le produit intérieur brut (de 8 798 € en 1991 à 22 813 € en 2009), l'espérance de vie à la naissance (de 77,08 ans à 81,58), les dépenses de santé (de 605 € à 2 182 €) et la protection sociale (de 1 845 euros par habitant à 5 746 euros) et le nombre de médecins (de 3 930 par million d'habitants à 4 760 par million d'habitants) ont fortement augmenté en Espagne [41]. En outre, l'utilisation de la climatisation, qui a été postulée comme un contributeur majeur à la réduction de la mortalité liée à la chaleur aux États-Unis [13], a également connu une forte augmentation des ménages espagnols dans la période analysée (5,3 % à 35,5 %) [42].

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  9. Les chercheurs ne sont pas sûrs que cette tendance se poursuivra à mesure que le monde se réchauffera. Mais si les gens peuvent se permettre de faire fonctionner leurs climatiseurs, pourquoi pas ?

    Légende:

    Fig 4. Evolution temporelle de la mortalité RR au 99ème percentile de température à partir du modèle avec interaction (DLNM variant dans le temps).

    Dans les panneaux de la colonne de gauche, les estimations RR correspondent au 99e percentile de température des séries temporelles d'été pour l'ensemble de la période étudiée, tandis que dans les graphiques de la colonne droite, elles correspondent au 99e percentile de température des jours d'été. le 99e centile des 122 valeurs estivales quotidiennes de l'année, calculées séparément pour chaque année). Les zones ombrées représentent l'intervalle de confiance empirique à 95 %. DLNM, modèle non linéaire à décalage distribué; RR, risque relatif.

    https://doi.org/10.1371/journal.pmed.1002617.g004

    h / t GWPF

    RÉFÉRENCE

    Achebak H, Devolder D, Ballester J (2018) Tendances de la mortalité liée à la chaleur sous le réchauffement climatique récent en Espagne: Une étude observationnelle de 36 ans. PLoS Med 15 (7): e1002617.

    http://joannenova.com.au/2018/07/as-it-got-hotter-in-spain-less-people-died-thank-air-conditioning-and-electricity/#more-59771

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  10. EN 2018, LE « JOUR DE LIBÉRATION FISCALE ET SOCIALE » TOMBE LE 27 JUILLET


    par ANTON KUNIN
    27/07/2018


    Pourtant mieux payés que les Danois, les salariés français disposent de 33 % de pouvoir d'achat en moins.

    En 2018, les Français ont travaillé jusqu’au 27 juillet pour financer les dépenses publiques. Cela peut paraître paradoxal, mais ce n’est qu’à partir d’aujourd’hui qu’ils peuvent enfin jouir du fruit de leur travail, ont calculé les spécialistes de l'Institut économique Molinari.

    Les prélèvements obligatoires s’élèvent à 56,73% du salaire brut en France

    C’est bien connu : dans tous les pays du monde, avant de pouvoir travailler pour soi, il faut d’abord travailler pour l’État. Cette idée peut sembler farfelue de prime abord, mais à y regarder de plus près, c’est vrai. Les salariés français laissent 56,73 % de leur salaire brut en prélèvements obligatoires (charges sociales, impôts). Autrement dit, plus de la moitié de l’année, nous ne travaillons pas pour nous, mais pour financer la dépense publique. Et sur le calendrier de 2018, ces 56,73 % tombent le 27 juillet, « jour de libération fiscale et sociale », comme l’appelle l’Institut économique Molinari.

    Ce chiffre de 56,73 %, calculé par EY, nous permet aussi de nous rendre compte d’une chose : en France, les charges sociales représentent plus que le pouvoir d’achat réel. Étant donné que le salaire annuel brut s’établit à 56 815 euros en moyenne en France, on peut dire qu’un salarié moyen laisse 28 039 euros en charges sociales, et n’a que 24 582 euros en salaire net pour lui. Le fait que le montant des charges sociales dépasse celui des salaires nets est d’ailleurs une situation unique dans l’Union européenne.

    Sur 100 euros de pouvoir d’achat, un Français en laisse 131 en prélèvements obligatoires

    Étant donné cette pression fiscale et sociale, on peut dire qu’avant de disposer de 100 euros de pouvoir d’achat réel en 2018, le salarié moyen doit faire face à 131 euros de charges et d’impôts en France, contre 84 euros en moyenne dans les autres pays de l’Union européenne. La France détient d’ailleurs le triste record en la matière, puisque notre pays arrive premier dans le palmarès des pays où la pression fiscale et sociale est la plus forte. Pour disposer de 100 euros de pouvoir d’achat, les Autrichiens et les Belges doivent débourser 119 euros en prélèvements obligatoires, les Allemands 109 euros, les Italiens 106 euros, les Suédois 90 euros et les Néerlandais 89 euros.

    Il est également intéressant de noter que, pourtant mieux payé que le Suédois ou le Danois, le salarié moyen français dispose de 21% de pouvoir d’achat en moins que le premier et de 33% en moins que le second. Alors que son employeur fait face à un coût du travail du même ordre que dans les pays du Nord de l’Union européenne, le salarié moyen a un pouvoir d’achat intermédiaire entre celui des pays du Nord et des pays du Sud.

    http://www.economiematin.fr/news-jour-liberation-fiscale-sociale-juillet-2018-institut-economique-molinari

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    1. C'est pourquoi les 'immigrés climatique' ne vont pas en Europe pour chercher du travail mais seulement pour les allocations !

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  11. Les meurtres records au Mexique dans la première moitié de 2018: "Les chiffres sont horribles"


    par Tyler Durden
    Ven, 27/07/2018 - 22:45


    Le prochain président mexicain, Andrés Manuel López Obrador, ancien maire de Mexico et critique virulent de l'establishment politique, se bat intensément après son investiture en tant que président le 01 décembre: la violence meurtrière dans le pays s'intensifie et atteint un record absolu haute.

    Le Mexique a enregistré ses plus hauts taux d'homicides, avec un nouveau rapport du gouvernement dimanche montrant des meurtres dans le pays ont augmenté de 16 pour cent dans la première moitié de 2018.

    Le ministère de l'Intérieur a déclaré qu'il y a eu 15 973 homicides au cours de la première moitié de l'année, comparativement à 13 751 homicides commis au cours de la même période en 2017.

    Selon l'AP, les homicides records ont surpassé la violence observée durant les années sombres de la guerre contre la drogue au Mexique en 2011, en plus de surpasser toutes les données gouvernementales depuis le début des enregistrements en 1997.

    À ces niveaux de crise, le taux d'homicides du département pour le pays se situe autour de 22 pour 100 000 habitants pour les estimations de fin d'année - près du niveau de Columbia 24,2 et du Guatemala 26,0.

    L'analyste de la sécurité Alejandro Hope a déclaré à l'AP, "les chiffres sont horribles, mais il y a des signes qui sont à moitié encourageants".

    Par exemple, la croissance des homicides pourrait ralentir; Le nombre de meurtres n'a augmenté que d'environ 4% par rapport à la seconde moitié de 2017. «La courbe risque de s'estomper», a souligné Hope, bien qu'il ait prévenu que ses prévisions pourraient être incorrectes.

    Hope a fait remarquer que l'État frontalier de Baja California, au nord du pays, a connu la plus forte hausse des taux d'homicides, tandis que d'autres ont connu des baisses.

    «Baja California, qui abrite la ville frontalière de Tijuana, a enregistré 1 463 homicides au premier semestre, soit une augmentation de 44% par rapport à la même période en 2017. Les autorités ont attribué cette série de meurtres aux combats entre les cartels de la drogue de Jalisco et Sinaloa pour le contrôle des routes du trafic en Basse-Californie. L'État est maintenant le deuxième pays le plus violent du Mexique, avec un taux d'homicides pour les six premiers mois de l'année équivalent à 71 meurtres pour 100 000 habitants ", a déclaré AP.

    En comparaison, El Salvador et le Venezuela sont parmi les pays les plus meurtriers du monde - ont des taux d'homicides d'environ 54 à 60 pour 100.000.

    Grâce au cartel de la drogue de Jalisco, l'État le plus dangereux du Mexique est Colima, sur la côte centrale du Pacifique, qui a connu une augmentation de 27% des meurtres et qui a maintenant un taux d'homicide choquant d'environ 80 pour 100 000

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  12. Guanajuato, un état du centre du Mexique, a connu une augmentation de 122 pour cent des homicides, qui a maintenant un taux d'environ 40 pour 100.000. Les représentants du gouvernement ont signalé que la plupart des crimes violents sont liés à des gangs de voleurs de carburant qui forent des robinets dans les pipelines du gouvernement.

    Voici les huit États les plus violents du Mexique selon le taux annuel d'homicides, d'après les données fédérales. Au cours des dernières années, les massacres ont rebondi dans les États de Basse-Californie et de Chihuahua:

    Le Mexique est en train d'accélérer la violence record de 2017. Les 15 973 meurtres commis au cours des six premiers mois de 2018 dépassent les 13 503 signalés au cours de la même période l'année dernière.

    Les itinéraires de trafic de drogue superposés aux taux d'homicides (2015) - remarquez une tendance ?

    Plus tôt cette année, le Département d'État des États-Unis a publié un nouveau système de conseils de voyage à plusieurs niveaux pour avertir les citoyens américains de se rendre au Mexique. Les avis de voyage vont du niveau 1 («prendre des précautions normales») au niveau 4 («ne pas voyager»).

    Selon l'Institut Igarapé, un groupe de réflexion basé au Brésil qui se concentre sur les questions émergentes de sécurité et de développement, l'épidémie de meurtre ne se limite pas au Mexique, mais à toute l'Amérique latine.

    L'Institut a déclaré que la situation actuelle est incroyablement complexe et résulte de décennies de corruption, de trafic de drogue, de crime organisé, de contrebande, d'exploitation minière illégale, de droits fonciers et, dans certains cas, de violence de la part des forces militaires étatiques.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-07-25/record-murders-plague-mexico-first-half-2018-figures-are-horrible

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  13. Ce que Google sait de vous: Guide complet (automatique)


    par Tyler Durden
    Ven, 27/07/2018 - 20:25
    Auteur de John Mason via TheBestVPN.com,


    Combien Google sait-il de vous ? Nous avons fait un plongeon dans les données que l'entreprise recueille pour découvrir ...

    Google pourrait juste vous connaître mieux que quiconque.

    Grâce aux données collectées par le géant de la technologie afin de vendre des annonces, Google dispose d'une mine d'informations sur vous: de votre apparence à l'endroit où vous vivez et où vous avez voyagé. La société peut même être en mesure de deviner votre nourriture préférée.

    Comment Google sait-il tout cela ? Aller à notre infographie pour un aperçu rapide de tout ce que Google sait de vous, ou consultez notre guide complet en cliquant sur les icônes ci-dessous.

    Bien que "Google it" soit officiellement entré dans le lexique culturel, la méga-corporation est bien plus qu'un moteur de recherche. C'est à travers ses applications, ses services liés à Internet, ses entreprises acquises et plus encore que la société de technologie recueille des données sur vous. Vous trouverez ci-dessous l'application, le produit ou le service que Google utilise le plus fréquemment pour suivre les données, ainsi qu'un aperçu des données spécifiques collectées.

    De ce que vous avez recherché en ligne et les sites Web que vous avez visités à qui sont vos contacts et ce dont vous parlez, Google en sait beaucoup sur vous. La société est alors en mesure de prendre cette information et de prendre des décisions éclairées concernant ce qui pourrait vous intéresser, qu'elle vous montre sous la forme d'annonces.

    Les applications de Google donnent à l'entreprise une mine d'informations sur vous, à partir des informations personnelles qui vous définissent, de vos voyages passés et de vos objectifs futurs.

    Qui tu es

    De la reconnaissance faciale aux enregistrements audio et à la recherche intuitive, Google est en mesure de créer un profil complet - et incroyablement correct - sur ce qui vous fait, vous.

    Ton apparence

    Grâce à la reconnaissance faciale dans Google Photos, le moteur de recherche a probablement une bonne idée de ce à quoi vous ressemblez. En fait, vous pouvez créer une «étiquette» dans Google Photos qui est essentiellement une étiquette pour chaque personne dans vos images, et Google est en mesure de séparer cette personne de chaque photo que vous téléchargez - même si la photo ne comprend qu'une image partielle ou obscurci.

    Ta voix

    Si vous avez déjà utilisé des commandes vocales avec Google Home, un appareil Android ou tout autre produit ou appareil Google, le site dispose d'un journal. En fait, non seulement vous pouvez voir vos commandes vocales passées dans la section «Voix et audio» de la section Mon activité de Google, vous pouvez également les entendre. Le site conserve un historique complet de vos commandes audio, y compris les enregistrements vocaux.

    Vos croyances religieuses / politiques

    Avez-vous cherché dans Google comment faire un don à une campagne politique ? Vous avez visité le site Web d'un candidat ? Vous avez regardé un sermon sur YouTube ? Google utilise toutes ces informations pour construire un profil complet qui couvre tout, que vous soyez plus religieux ou spirituel et que vous votiez probablement pour la prochaine élection.

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  14. Votre état de santé

    Si vous utilisez Google Fit, l'entreprise a probablement une bonne vue d'ensemble de votre santé, de votre niveau d'activité physique aux calories que vous brûlez chaque jour à vos objectifs de fitness. Mais même si vous n'utilisez pas cette application Google, le site a probablement une bonne compréhension de l'état de votre système immunitaire - ou du moins comment vous le voyez - à partir de vos recherches Google. En fait, compiler les données des moteurs de recherche et les recouper avec les modèles peut même permettre à Google de savoir si vous tombez malade ou si vous avez un problème médical.

    Vos informations personnelles

    Google recherché pour le meilleur lait sans lactose ? Pour quoi s'attendre quand vous vous attendez ? Pour apprendre l'espagnol rapidement ? Tout ce que vous cherchez est suivi par Google, qui peut être utilisé pour mieux comprendre les détails personnels de votre vie, de savoir si vous avez des restrictions alimentaires à quelles langues vous parlez.

    Partout où vous avez été

    Le suivi de localisation est l'un des domaines dans lesquels Google excelle - grâce à la technologie de reconnaissance de localisation avancée, l'entreprise sait tout d'où vous êtes allé en vacances il y a deux étés à quel restaurant vous mangez le plus souvent.

    Votre maison et votre bureau

    Les téléphones Android, qui fonctionnent à partir des services de Google, et Pixel, le propre téléphone de Google, suivent et enregistrent votre position par plusieurs moyens, y compris le Wi-Fi, le GPS et les réseaux cellulaires. Cela signifie que le téléphone sait où vous êtes, tous les jours, et combien de temps vous êtes là.

    Google est capable d'interpréter ces données et d'en tirer des conclusions - par exemple, où vous habitez est probablement où votre téléphone est pour la majorité des nuits et des week-ends. En fait, Google Now ne prend que trois jours pour déterminer votre lieu de résidence. Pour ceux qui utilisent des appareils Apple ou d'autres systèmes d'exploitation, Google Maps fonctionne de la même manière.

    Lieux que vous visitez

    En plus de recueillir des informations sur votre lieu de résidence et de travail, Google est en mesure de suivre les autres lieux que vous visitez le plus souvent. Avez-vous un café préféré ? Une route en cours ? Une garderie vous

    Lieux que vous visitez

    En plus de recueillir des informations sur votre lieu de résidence et de travail, Google est en mesure de suivre les autres lieux que vous visitez le plus souvent. Avez-vous un café préféré ? Une route en cours ? Une garderie que vous utilisez tous les jours de la semaine ? Google le sait probablement.

    Les endroits que vous avez voyagés

    Google ne connaît pas seulement les tenants et les aboutissants de votre vie quotidienne. La société de technologie sait où vous avez voyagé aussi, que ce soit une escapade d'un week-end ou un voyage d'un mois dans un pays différent.

    Google peut non seulement suivre les lieux que vous avez visités, mais il peut également voir ce que vous avez fait pendant votre séjour. Si vous avez visité un musée à Paris ou si vous avez dansé au Texas, Google sait - jusqu'à l'heure exacte de votre arrivée, combien de temps vous êtes resté et combien de temps il vous a fallu pour vous rendre d'une destination à l'autre. Le suivi de localisation peut même indiquer la méthode de transport que vous avez utilisée, comme si vous marchiez ou preniez un train.

    En outre, l'acquisition de Waze par Google signifie que le site peut collecter des données sur l'endroit où vous vous trouvez, même si vous n'êtes pas connecté à Maps ou sur un appareil Google.

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  15. Qui sont vos amis ?

    Entre vos contacts et vos conversations dans Gmail et Hangouts et les rendez-vous que vous avez définis dans Google Agenda, l'entreprise sait tout de qui vous parlez, où et quand vous les voyez.

    À qui vous parlez

    Si vous utilisez Gmail pour vos e-mails personnels ou professionnels, Google vous propose une liste de tous vos contacts, y compris ceux auxquels vous parlez le plus: accédez à la section "Contacts fréquents" de Google pour savoir quels contacts Gmail passent le plus de temps à converser. (et de vérifier si l'évaluation de Google de qui vous aimez le plus s'aligne avec le vôtre). Les utilisateurs d'Android et de Pixel donnent également à Google l'accès à leurs contacts téléphoniques et à leurs messages texte.

    Où vous rencontrez

    Rencontrer un ami pour le café plus tard ? Si c'est dans votre Google Agenda, la société le sait et, grâce au suivi de localisation, vous pouvez tracer votre trajet de votre domicile au café-restaurant. Si vous prenez une photo avec votre ami au magasin et que vous l'importez sur Google Photos, Google peut utiliser la reconnaissance faciale pour l'ajouter à son propre album photo. Vous pouvez également marquer l'emplacement où la photo a été prise.

    Si, des années plus tard, vous essayez de vous souvenir de qui vous avez pris un café ce jour-là, Google peut vous aider à vous en souvenir.

    De quoi tu parles

    Google tient-il compte de ce dont vous parlez sur Gmail? C'est une question à débattre - la société a annoncé en 2017 qu'elle arrêterait de lire des courriels pour créer des publicités ciblées. Qu'ils aient vraiment cessé de les lire est une autre affaire.

    Ce que vous aimez et n'aimez pas

    Google a pour mission de savoir dans quoi vous êtes - c'est ainsi que le moteur de recherche crée et vend une expérience publicitaire aussi personnalisée. De votre genre de film préféré à votre type de nourriture préféré, Google connaît vos préférences.

    Nourriture, livres et films

    Google peut utiliser les données des moteurs de recherche, comme les recettes que vous avez recherchées ou les livres que vous avez recherchés, pour avoir une idée de ce que vous aimez et n'aimez pas. Certaines applications telles que Google Livres, qui conserve les traces des livres que vous avez consultés et lus, approfondissent ces connaissances. De plus, Google est propriétaire de YouTube, ce qui signifie qu'il connaît les bandes-annonces de films que vous recherchez.

    Google utilise ces informations, ainsi que les sites Web que vous avez visités et les annonces sur lesquelles vous avez cliqué, pour créer un profil des sujets qui vous intéressent. Vous pouvez voir une liste complète de ceux qu'ils pensent être - À quelles émissions vous regardez et quels loisirs que vous poursuivez pendant votre temps libre - dans le tableau de bord de leurs annonces.

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  16. Où vous achetez et ce que vous achetez

    Si vous avez déjà utilisé Google Shopping pour comparer les prix des fournisseurs en ligne, Google le sait. Ils connaissent également les produits que vous avez consultés et cliqués via la recherche Google et peuvent suivre les visites de votre site Web et les produits que vous avez consultés sur les sites Web des détaillants via Google Chrome.

    Vos plans d'avenir

    La connaissance de Google ne se limite pas à ce que vous avez fait dans le passé ou que vous faites dans le présent. L'entreprise peut également utiliser les données de ses applications et de son moteur de recherche pour faire des prédictions sur ce que vous ferez dans le futur.

    Ce que vous êtes intéressé à acheter, voir ou manger

    Intéressé à voir un nouveau film? Vérifier un nouveau restaurant ou prendre un week-end dans une nouvelle ville ? Si vous avez utilisé la recherche Google pour consulter les horaires des films, faire une réservation en ligne ou découvrir la meilleure activité touristique, Google le sait.

    Prochains voyages et réservations

    Avez-vous cherché des restaurants à manger et des spectacles à visiter dans la ville que vous visitez? Avez-vous créé un itinéraire dans Google Agenda? Google peut collecter ces données afin d'évaluer vos voyages à venir. Google analyse également vos e-mails pour voir les vols que vous avez effectués et peut ajouter automatiquement des réservations de restaurants à votre horaire en fonction des confirmations envoyées à Gmail.

    Plans de vie futurs

    Avez-vous été à la recherche d'accession à la propriété ? A propos de quand le meilleur âge pour avoir des enfants est ? Sur les conseils pour voyager en Chine ? Google utilise ces informations pour mieux vous connaître et savoir ce que vous voulez à l'avenir, afin de mieux adapter les publicités en ligne à vos besoins.

    Votre vie en ligne

    À la base, Google est un moteur de recherche et une société de services Internet. Donc, il n'est pas surprenant que, en plus de connaître la richesse de vos données personnelles, le site sache aussi tout ce qu'il faut savoir sur ce que vous faites en ligne.

    Sites Web que vous avez visités

    Google conserve une liste complète de tous les sites que vous avez visités sur Chrome, à partir de n'importe quel appareil. Le site conserve également un onglet de chaque recherche que vous avez effectuée, de chaque annonce sur laquelle vous avez cliqué et de chaque vidéo YouTube que vous avez regardée.

    Vos habitudes de navigation

    Du nombre de sites que vous avez marqués au nombre de mots de passe que Chrome remplit automatiquement, Google comprend parfaitement les habitudes de votre navigateur, notamment:

    Vos applications depuis le Chrome Web Store et le Google Play Store

    Vos extensions du Chrome Web Store

    Les paramètres du navigateur que vous avez modifiés dans Chrome

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  17. Les adresses e-mail, les adresses et les numéros de téléphone que vous avez définis pour l'auto-remplissage dans Chrome

    Toutes les adresses de sites Web que vous avez déjà entrées dans la barre d'adresse

    Les pages que vous avez marquées dans Chrome

    Tous les mots de passe que vous avez demandés à Chrome pour vous

    Une liste de sites que vous avez dit à Chrome de ne pas enregistrer les mots de passe pour

    Tous les onglets Chrome ouverts sur vos appareils

    Le nombre de conversations Gmail que vous avez eu

    Combien de recherches Google avez-vous effectuées ce mois-ci ?

    Si vous êtes gêné par la quantité d'informations que Google a sur vous, il existe plusieurs étapes que vous pouvez suivre pour contourner le suivi incessant de l'entreprise.

    1. Utilisez un VPN

    Un réseau privé virtuel (VPN) est une option sécurisée qui empêche Google de vous suivre lorsque vous êtes en ligne. Bien que les réseaux privés virtuels ne puissent pas empêcher l'entreprise d'accéder à vos données, ils masquent votre adresse IP, cryptent votre trafic Internet et rendent votre historique de navigation confidentiel, ce qui permet de sécuriser davantage vos actions en ligne.

    2. Utilisez la navigation privée

    Utilisez le mode de navigation privée de Google pour vous assurer que les pages auxquelles vous accédez n'apparaîtront pas dans votre historique de navigation ou dans l'historique des recherches. Sachez toutefois que d'autres sites Web peuvent toujours recueillir et partager des informations vous concernant, même lorsque vous utilisez la navigation privée.

    3. Ajustez vos paramètres de confidentialité

    Consultez les contrôles d'activité de Google pour modifier les données stockées à votre sujet et accédez à votre page d'activité pour supprimer l'historique et l'activité stockés.

    4. Désactiver les rapports de localisation

    Dans Google Maps, ainsi que dans les paramètres de votre appareil Android et Pixel, si vous utilisez ces produits, désactivez les rapports de localisation pour empêcher Google de suivre votre position et votre destination. Toutefois, si vous utilisez Google Maps ou Waze pour obtenir des instructions, la société peut toujours collecter des données de localisation sur vous lorsque vous utilisez ces applications.

    5. Utilisez un navigateur et un moteur de recherche différents

    Pour empêcher Google de suivre vos recherches et visites de sites Web, vous pouvez utiliser un autre navigateur et un autre moteur de recherche, tels que Microsoft Internet Explorer et Bing. Cependant, cela n'empêchera pas Google de vous suivre - Microsoft (ou toute autre société possédant le navigateur sur lequel vous passez) obtiendra vos données à la place.

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  18. 6. Supprimez vos comptes Google

    Pour vraiment arrêter le géant de la technologie de vous suivre, vous devrez prendre des mesures drastiques - à savoir, désavouant l'utilisation de l'un des produits de la société. Cela signifie supprimer toutes les applications liées à l'entreprise, y compris Gmail, Google Drive et tous les appareils Android, et passer à un autre navigateur et moteur de recherche.

    Google a rendu la vie beaucoup plus simple à bien des égards. Google Search a apporté des réponses en un clic. Google Maps a rendu les directions faciles à trouver et à comprendre. Google Drive a rendu le travail sur plusieurs plates-formes transparent.

    Cette commodité a un prix: la vie privée. Si vous êtes préoccupé par la façon dont Google vous surveille - et ce qu'il fait avec les données - suivez les étapes ci-dessus pour rester en sécurité, et visitez le site de confidentialité de Google pour un aperçu plus complet des données suivies par Google. utilise le.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-07-27/what-does-google-know-about-you-complete-guide

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  19. Facebook suit l'exemple de YouTube, bloque les pages d'Alex Jones


    par Tyler Durden
    Ven. 27/07/2018 - 18:00


    Quelques jours après que YouTube ait empêché Alex Jones de diffuser en direct pendant 90 jours, et le président Trump est entré dans le "shadowbanning" Twitter du fiasco des conservateurs, CNBC rapporte que Facebook, au milieu de sa pire semaine, a interdit à Alex Jones journées.

    Plusieurs pages Facebook liées à Alex Jones, y compris les pages officielles d'Infowars et Alex Jones lui-même, sont sur le point d'être retirées de la plate-forme pour avoir enfreint plusieurs fois ses normes communautaires, a déclaré un porte-parole de Facebook à CNBC.

    Le compte personnel de Jones a été temporairement banni de Facebook jeudi pendant 30 jours après qu'il a été jugé responsable de télécharger quatre vidéos qui allaient à l'encontre des normes communautaires. Les clips ont été affichés sur différentes pages exploitées par Infowars et Alex Jones. Jones avait déjà été averti qu'il pourrait être bloqué par Facebook pour d'autres infractions, selon un porte-parole de Facebook.

    Une des vidéos retirées montre un homme qui pousse un enfant sur le terrain pour «empêcher le libéralisme», tandis qu'un autre discute brutalement les drag queens et suggère qu'ils sont des prédateurs sexuels d'enfants. Un autre suggère que les musulmans ont "conquis" l'Europe, qu'ils vont tuer tout le monde et agresser sexuellement les femmes.

    Ces quatre vidéos auraient été retirées plus tôt dans la semaine par YouTube, ce qui aurait également empêché Jones de diffuser en direct pendant 90 jours.

    - voir clip sur site -

    Owen Troyer d'InfoWars fournit plus de couleur sur ce qui vient de se passer ...

    https://www.zerohedge.com/news/2018-07-27/facebook-follows-youtubes-lead-blocks-alex-jones-pages

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  20. 80 km/h : 7 raisons pour lesquelles Macron va se prendre un platane


    Macron a bénéficié du soutien de tout l’appareil d’État, grâce aux voix d’étatistes de gauche et de droite. Dans un monde où la démocratie recule, la mesure de limitation de la vitesse à 80Km/heure fait donc inconsciemment peur.


    Par Hector Allain.
    28 JUILLET 2018


    Si plusieurs raisons expliquent le décrochage de Macron dans l’opinion, la loi sur les 80 km/h est sans doute la goutte d’eau de trop dans ce déluge de contraintes et de vexations fiscales. Cette loi technocratique et mal expliquée est en effet symptomatique. Elle est l’expression d’un État étouffant, affamé et méprisant. Sept raisons pour lesquelles cette loi passera mal, qu’elle soit utile ou non :

    Pour le Français, la loi ne s’attaque pas aux vraies causes de la mortalité

    Si la vitesse est un facteur aggravant, l’alcool, les stupéfiants, la fatigue constituent les vraies causes de mortalité. Plus étrange encore, la Ligue contre la violence routière reconnait dans un rapport récent que 50% des tués sur routes sans séparateurs médians se concentrent sur 15% des distances. Pourquoi diable ne pas réduire la vitesse uniquement sur ces segments ? Mal ciblée, la nouvelle loi aura des résultats – on en obtiendrait encore plus en roulant à 10 km – mais au prix d’un effort mal compris.

    L’État devrait commencer à faire son travail sur la sécurité
    Malgré des impôts en hausse constante et un record mondial des taxes, l’état de nos routes se dégrade. Comme celui de nos trains, de notre éducation et de notre police. À Paris, la chaussée est criblée de nids-de-poule. La signalétique souvent bâclée perturbe aussi la conduite. Dispose-t-on des statistiques sur le rôle de cet amateurisme administratif sur les accidents routiers ? Plus généralement, d’où vient ce paradoxe qui fait que le citoyen en ait moins alors qu’il paie toujours plus cher ? La raison est malheureusement simple : à l’instar d’un obèse de 150 kg, plus l’État grossit, plus il devient inefficace et plus sa voracité s’accroît. L’absentéisme des fonctionnaires, l’imbroglio des règlements, l’empilement des structures continuent d’augmenter année après année. Pour l’État, il semble plus facile de s’en prendre aux automobilistes que de demander aux cantonniers de travailler pour améliorer la chaussée.

    L’exemple d’autres pays pose question

    Les comparatifs européens de pays similaires, notamment du Danemark ou de l’Allemagne incitent à la méfiance. Ces débats techniques ont été superbement ignorés par les technocrates français. Une approche intelligente aurait été de procéder à une campagne de tests qui aurait mis tout le monde d’accord. Les Français sont évidemment favorables à la sécurité, mais ils attendent des éléments factuels.

    L’État est obsédé par l’argent

    La mesure des 80 km/h s’inscrit dans une série noire fiscale. Elle vient après l’augmentation majeure des contraventions, qui sont passées à Paris de 17 à 50 €. La maire Anne Hidalgo a confié l’exploitation des contraventions à un partenaire privé autrement plus efficace que ses contractuels fatigués. Au niveau national, on va privatiser les radars. Dans l’administration, on déteste le secteur privé mais on a recours à lui quand il s’agit de réaliser les basses œuvres. Le citoyen préfèrerait sans doute qu’on privatise le nettoyage des rues particulièrement sales à Paris ou le traitement des demandes administratives qui se font de plus en plus lentement.

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  21. On veut nous refaire le coût de la vignette

    L’arrogance de Macron est son talon d’Achille. Avec la promesse de réallouer les revenus des radars aux victimes, le gouvernement prend les Français pour des idiots. La vignette supposée aider les anciens a finalement renfloué le budget global. Les victimes de la route étant déjà prises en charge par la Sécurité sociale, les fonds collectés connaîtront le même sort. Les jeux d’écritures comptables ne sont que de la poudre aux yeux.

    Il existe d’autres causes prioritaires mais peu rentables pour l’État

    Sait-on que plus de 20 000 personnes meurent chaque année des suites d’accidents domestiques ? Cette statistique est particulièrement effroyable car elle concerne 2000 enfants. Qui prend la parole pour ces victimes ? Qui vient nous faire des leçons de morale pour pacifier les maisons ? Même si des mesures européennes ont amélioré depuis 30 ans la sécurité des foyers, l’État brille par son absence. Des campagnes de préventions ciblées auraient un impact fort, sans doute en milliers de vies sauvées. Un levier sans doute beaucoup plus efficace que l’ennuyeuse mesure sur les 80 Km/h. Mais comme il est difficile en effet de mettre un radar/collecteur de taxes dans chaque maison, l’État fait preuve d’une sentimentalité sélective.

    Cette mesure est perçue comme liberticide

    Personne ne conteste évidemment la nécessité de sécurité mais le Français aime sa voiture et la liberté qu’elle représente. Les États ont toujours utilisé le prétexte de la sécurité pour limiter les libertés citoyennes. Le mur de Berlin a été construit officiellement pour protéger les Allemands de l’Est des intrusions du monde libre.

    La voiture a une particularité par rapport au système étatique : elle entre en concurrence avec le business des transports en commun qui représente des milliards d’euros. Ce combat de titan n’est pas seulement économique, il est aussi idéologique. En France, les transports en commun font l’objet d’un dogme presque religieux qui permet d’occulter une réalité parfois sombre : un service qui se dégrade malgré une dette et des prix qui grimpent, des trains électriques que l’on fait rouler grâce au nucléaire dont les prochaines générations paieront le prix écologique, des métaux lourds qui infestent les couloirs du métro…

    Le gouvernement actuel est libéral par pragmatisme mais foncièrement étatique par sa culture. Macron a bénéficié du soutien de tout l’appareil d’État, grâce aux voix d’étatistes de gauche et de droite. Dans un monde où la démocratie recule, la mesure de limitation de la vitesse à 80Km/heure fait donc inconsciemment peur. En France, un État big brother se dessine à petites touches, accompagnées d’un sirop douçeâtre de technologie et de bonne conscience. Fondée ou pas, cette mesure coûtera cher au gouvernement actuel qui a péché par orgueil et manque de discernement.

    Hector Allain est l’auteur de À la découverte du fabuleux miracle français.

    https://www.contrepoints.org/2018/07/28/321349-80-km-h-7-raisons-pour-lesquels-macron-va-se-prendre-un-platane

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    1. Le platane qui cache LA VRAIE raison:

      Plus la vitesse est ralentie sur routes ou en villes, plus les gens passent du temps à polluer. Si vous pouvez traverser une ville à 50 km/h vous polluerez moins qu'à 20 ou 25 km/h comme c'est le cas !!

      N'oubliez surtout pas qu'en France il y a plus de 40 000 morts par an par le diesel !! (comme en Allemagne ou Angleterre).

      Et, les 'dirigeants' LE SAVENT !!

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