La Cour des comptes écrit que la politique de soutien aux énergies renouvelables s’est parfois écartée ces dernières années de la rationalité économique et du bon usage des deniers publics.
Par Michel Gay
25 MAI 2018
Le rapport de la Cour des comptes publié en mars 2018 s’alarme en termes feutrés des dépenses publiques incontrôlées versées en soutien aux énergies renouvelables (EnR), et notamment aux éoliennes et panneaux photovoltaïques.
Elle dénonce l’incohérence (l’incompétence ? l’aveuglement idéologique ?) des promoteurs de cette politique énergétique dispendieuse.
A la lecture de ce rapport, le citoyen est en droit de se demander qui a bien pu décider et laisser se développer cette dérive financière extravagante et ruineuse à long terme pour la majorité des Français.
En substance, la Cour des comptes écrit que la politique de soutien aux EnR s’est parfois écartée ces dernières années de la rationalité économique et du bon usage des deniers publics.
Elle montre que les subventions aux EnR, notamment électriques, coûtent très chères (plusieurs milliards d’euros chaque année), qu’elles vont coûter de plus en plus chères mais qu’il est difficile d’en avoir une idée précise tant les organismes étatiques impliqués sont épars et ne semblent pas eux même le savoir.
En somme, c’est « table ouverte » aux frais de tous les contribuables.
LA COUR DES COMPTES ÉCRIT NOTAMMENT :
Page 7 (P7) : « Malgré les efforts entrepris dans le déploiement des énergies renouvelables, la Cour constate, comme en 20131, un décalage persistant au regard des objectifs affichés. Elle note également que, faute d’avoir établi une stratégie claire et des dispositifs de soutien stables et cohérents, le tissu industriel français a peu profité du développement des EnR.
Une clarification des ambitions industrielles françaises en matière d’EnR s’impose donc.
P8 : Ce bilan industriel décevant doit être mis en regard des moyens considérables qui sont consacrés au développement des énergies renouvelables, en particulier aux EnR électriques.
En France, la somme des dépenses publiques de soutien aux EnR est estimée pour 2016 à 5,3 milliards d’euros (Md€). Cette mobilisation financière va connaître une progression forte : si la France réalise la trajectoire qu’elle s’est fixée, les dépenses relatives aux EnR électriques pourraient ainsi atteindre 7,5 Md€ en 2023. Les EnR électriques bénéficient de l’essentiel de ces dépenses publiques avec, en 2016, 4,4 Md€ contre 567 M€ pour les EnR thermiques.
Les soutiens octroyés par l’État se sont aussi avérés disproportionnés par rapport à la contribution de certaines filières aux objectifs de développement des EnR : pour le photovoltaïque par exemple, les garanties accordées avant 2011 représenteront 2 Md€ par an jusqu’en 2030 (soit 38,4 Md€ en cumulé) pour un volume de production équivalent à 0,7 % du mix électrique.
Ainsi, la pleine réalisation des appels d’offres de 2011 et 2013 sur l’éolien offshore coûterait aux finances publiques 2 Md€ par an pendant 20 ans (soit 40,7 Md€ en cumulé) pour un volume équivalent à 2 % de la production électrique.
Afin d’éclairer les décisions publiques prises à l’avenir, la Cour considère désormais indispensable de calculer et révéler le coût complet du mix énergétique programmé et les soutiens publics induits, et d’asseoir les décisions de programmation énergétique sur ces informations.
P21 : Les objectifs français en matière d’EnR électriques sont d’autant plus ambitieux que la France se distingue parmi ses voisins européens par la place qu’occupent déjà les sources d’énergies non carbonées dans son mix énergétique. La prépondérance de l’énergie de source nucléaire conduit en effet à ce que l’électricité française produite soit décarbonée à 98 % et que les émissions de gaz à effet de serre françaises du fait de la production d’énergie soient donc limitées comparativement aux autres pays de l’UE.
P22 : Telle qu’elle a été construite en 2016, la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE) n’a pas permis de rendre compatibles l’objectif de réduire la part du nucléaire à 50 % du mix électrique à horizon 2025 et la montée en puissance simultanée des énergies renouvelables électriques.
P24 : Faute de cohérence, la crédibilité de l’intégration des EnR à la politique de l’énergie française s’est trouvée remise en cause par cet exercice de programmation conduit en 2016. Les acteurs du monde de l’énergie – même au sein des administrations intéressées – sont nombreux à ne pas avoir cru dans les objectifs et la trajectoire définis par la PPE. Ce faisant, cet outil a failli à l’objectif qu’il s’était donné, celui d’offrir un cadre prévisible et consolidé de l’évolution de la politique énergétique jusqu’en 2023.
La PPE doit également être objectivée par des considérations économiques et reposer sur une analyse des coûts des différentes filières de production d’énergie, pour pouvoir mieux objectiver les choix de politique de soutien mis en œuvre au regard des objectifs à atteindre.
P43 : Les soutiens publics sont nécessaires en raison de l’absence, à ce jour, de compétitivité des EnR. Les montants concernés sont très importants, en particulier s’agissant des EnR électriques, et sont appelés à croître significativement du fait des ambitions françaises.
Les engagements pris jusque fin 2017 représenteront 121 Md€ – en euros courants – entre 2018 et l’échéance des contrats (la plus tardive intervenant en 2046).
P47 : le poids des engagements antérieurs à 2011 aura encore pendant de longues années un impact majeur sur les dépenses de soutien. Selon la Commission de régulation de l’énergie (CRE), les arrêtés antérieurs au moratoire de 2010 auront engendré un coût pour les finances publiques de 38,4 Md€, pour un productible annuel de 4 térawattheures (TWh), soit environ 0,7 % de la production électrique française. Cela représente un coût du soutien de l’ordre de 480 €/MWh(2). Ces arrêtés pèseront encore à hauteur de 2 Md€ par an jusqu’en 2030, soit 30 % de l’ensemble des charges liées aux énergies renouvelables en 2018.
P50 : L’analyse du poids des décisions passées dans les charges futures conduit à s’interroger sur la place de l’évaluation préalable de l’impact sur les volumes de soutien des différents mix de production envisagés à court, moyen et long termes. Jusqu’à présent cette démarche n’a pas été au cœur de l’exercice de planification du mix énergique : la PPE se limite ainsi, pour l’évolution des dépenses, à un horizon relativement rapproché (2018-2023), alors que les soutiens engagés auront des répercussions sur les finances publiques pendant au moins 20 ans.
Le poids des dispositifs de soutien à la production d’électricité renouvelable ne cesse de croître. Ce montant est passé de 1,5 Md€ au titre des charges de 2011, à 4,4 Md€ au titre des charges de 2016, soit une multiplication par trois en l’espace de cinq ans.
D’après les estimations initiales réalisées dans le cadre de la PPE, ces charges devaient atteindre en 2023 entre 9,7 Md€ et 10,4 Md€ (fourchettes basse et haute).
P52 : Les impacts du mix retenu par la PPE en termes de besoin de soutien ne se limiteront pas aux cinq prochaines années : les soutiens engagés aujourd’hui auront des répercussions sur les finances publiques pendant au moins 20 ans. Il semble dès lors nécessaire d’étendre l’exercice de projection financière à des horizons beaucoup plus lointains que celui de la PPE (2023). Ces projections permettraient de réaliser des arbitrages énergétiques qui tiennent véritablement compte de la contrainte durable de moyens pesant sur les finances publiques.
P69 : La politique de soutien à la filière du solaire intégré au bâti (IAB), qui se voulait être une stratégie d’excellence technologique et d’innovation française, n’a quant à elle pas connu les résultats escomptés.
Dès sa mise en œuvre, la prime IAB a créé un fort appel d’air chez les producteurs qui a essentiellement profité aux entreprises existantes, la plupart allemandes. L’effet d’aubaine subi par le dispositif de soutien au bâti a eu pour conséquence une explosion des volumes financiers supportés par l’État.
L’IAB a ainsi créé des obligations d’achat pour l’État pour vingt ans, dont le montant total a été estimé par la Cour à 8,6 Md€ (dont 7,4 Md€ pour les engagements pris avant 2011). De nombreuses fraudes ont également été constatées dans l’attribution de la prime IAB et aucune évaluation de son efficacité économique ou énergétique n’a été établie.
Ces principes ne pourront être pleinement appliqués sans un cadre de gouvernance repensé. Le Parlement doit être mieux associé à la définition des objectifs de développement des énergies renouvelables (EnR) et des volumes financiers de soutien aux EnR. La définition de la programmation énergétique ne peut se faire que dans un cadre interministériel renforcé sous l’égide du Premier ministre, apportant ainsi la légitimité nécessaire à la prise de décisions stratégiques et garantissant l’alignement des ministères dans leur mise en œuvre. Ce cadre renouvelé permettra également de mieux asseoir les critères de succès de la politique conduite et de clarifier les ambitions associées à sa mise en œuvre.
LES RECOMMANDATIONS DE LA COUR DES COMPTES
La Cour formule les recommandations suivantes :
– créer, à l’image du Conseil d’orientation des retraites (COR) et en remplacement d’autres instances existantes, un comité chargé d’éclairer les choix gouvernementaux relatifs à l’avenir de la politique de l’énergie ;
– mettre en place une instance de pilotage interministériel de la politique énergétique placée auprès du Premier ministre ».
Il reste à espérer que ce rapport circonstancié, précis et constructif qui dénonce les dysfonctionnements ruineux des soutiens aux EnR, notamment à l’éolien et au photovoltaïque, ne finira pas simplement au fond d’un placard comme son prédécesseur en 2013 qui n’a pas été suivi d’effet (ou peu).
Post-scriptum : Pour ceux qui n’ont pas le temps ou ne souhaitent pas lire les 117 pages du rapport mais qui veulent cependant en savoir davantage, une compilation plus complète d’extraits essentiellement centrés sur les EnR électriques est fournie dans l’annexe de 7 pages à cet article ici (les références et les sources figurent dans le rapport. Les caractères gras sont de l’auteur).
1 - Cour des comptes, rapport public thématique, la politique de développement des énergies renouvelables, juillet 2013.
2 - Pour mémoire, le prix de vente moyen de l’électricité sur le marché est d’environ 40€/MWh (Remarque de Michel Gay)
Le grand mensonge : 14.000 éoliènnes abandonnées aux USA.
RépondreSupprimer28 août 2014
par lepetitrapporteur
Le problème avec l’éolien
On avait appris dans le passé que l’éolien n’est pas rentable, que les éoliennes ne fonctionnent que 25% du temps, que cette industrie ne vit que grâce aux subventions et qu’au Québec, ça coûte aux contribuables près de 700 millions par an. Et malgré que c’est déficitaire et non rentable, le PQ va continuer à gaspiller l’argent des contribuables dans cette filière.
La vérité c’est que les éoliennes, tout comme les panneaux solaires ne sont pas éternels, ils se brisent et ont une durée de vie limitée. Et tout comme les panneaux solaires, les éoliennes produisent moins d’énergie durant leur durée de vie que ce que ça coûte de les fabriquer.
Fabriquer ces sources d’énergies « vertes » requiers de l’énergie, qui vient en majorité d’énergies fossiles, pour extraire les matériaux (souvent des minéraux rares), transporter, construire, etc.. Et c’est sans compter l’énergie nécessaire pour démanteler et détruire (parce que majoritairement pas recyclable) ces machines quand leur durée de vie finie, (ce qui ne semble pas le cas au U.S.A. avec 14 000 éoliennes abandonnées)
Les éoliennes sont laissés à l’abandon, tel des anciens totems à la religion verte en déclin. Imaginez une seconde si ces installations à l’abandon étaient des équipements pétroliers ou miniers, les verts feraient des manifestations, pour exiger que le promoteur les enlève…
Le secteur éolien est juste une fraude fiscale. Ça marche tant qu’il y a des subventions gouvernementales. C’est très payant pour les promoteurs et les actionnaires de compagnies d’énergie « verte ». Et les politiciens embarquent dans cette arnaque pour plaire aux électeurs qui ont été brainwashés par la religion verte.
Il y a beaucoup de vérités cachées dans le monde idyllique de l’éolien, ses perturbations sur l’environnement, ses dommages incalculables causés aux oiseaux, la fuite des animaux sauvages, leur sous-traitance en Chine, les graves nuisances sur la vie des gens, bruit et électricité statique, sans compter la dégradation des paysages naturels.
Passé la manipulation de l’effet médiatique du réchauffement climatique, les gouvernements ont réduit les subventions et les avantages fiscaux, et les consommateurs paient maintenant pour le privilège d’avoir une source d’énergie très coûteuse, dont la production électrique reste très aléatoire : froid, vitesse du vent trop importante, pas assez de vent, ne souffle pas aux heures de pointe, difficultés et coût prohibitif de la maintenance…
L’expérience américaine des fermes éoliennes, a laissé plus de 14.000 éoliennes abandonnées, des friches en lente dégradation. Ces immenses géants symbolisent une « religion climatique » sur le déclin, vous n’entendrez nulle part les écologistes jouer un requiem où ils décrivent la réalité de la situation, les erreurs gigantesques commises, le gâchis de l’argent publique afin d’endormir le peuple et lui faire croire que l’on allait faire des miracles (Paul : Le nucléaire bat toujours le plein, de nombreuses centrales sont en construction dans le monde et beaucoup d’autres en projet)
Les Etats-Unis ont des parcs éoliens depuis 1981
RépondreSupprimer« Certains disent que Kamaoa est hanté. Il est hanté par les sons mystérieux de « Na leo o Kamaoa» – la voix des 37 éoliennes squelettiques désincarnées, abandonnées à la rouille, sur le site de cents acres de l’ancienne ferme éolienne de Kamaoa …
Les fantômes de Kamaoa ne sont pas les seuls à nous mettre en garde. Cinq autres sites éoliens abandonnés, parsèment les îles hawaïennes, mais c’est en Californie où l’impact des politiques passées et des subventions ce sont fait sentir le plus fortement. Des milliers d’éoliennes abandonnées hantent le mythe de l’énergie renouvelable, et trois lieux en décrépitude : Altamont Pass, Tehachapin et San-Gorgonio, sont considérés comme les meilleurs sites venteux du monde…
Ces fermes éoliennes faisaient de la Californie le producteur de 80% de l’électricité éolienne mondiale. La production a cessé beaucoup plus rapidement que Kamaoa. Dans les meilleurs spots de vent de la terre, plus de 14.000 éoliennes ont été tout simplement abandonnées. Programme post-industriel en désuétude qui ne génère plus rien, mais tue toujours les oiseaux … «
Le problème des éoliennes, quand elles sont abandonnées, reste ses immenses hélices, mais les écologistes restent aveugles :
La ville de Palm Springs a été contrainte de promulguer une ordonnance exigeant leur démantèlement de San Gorgonio. Mais le comté de Kern, en Californie, englobant la région de Tehachapi, n’a pas de telle loi.
Imaginez l’indignation des verts si l’on avait abandonné des appareils de forage pétrolier dans des sites naturels !
Il a fallu près d’une décennie en Californie, depuis les premières éoliennes, pour dissiper la croyance répandue, parmi le public et les investisseurs, que l’énergie éolienne n’était juste qu’une escroquerie fiscale.
Ben Lieberman, analyste politique, spécialiste des questions énergétiques et environnementales pour la Fondation du patrimoine, n’est pas surpris :
« Si l’énergie éolienne a du sens, pourquoi y aurait-il besoin de la subventionner ? C’est une bulle qui éclate dès que les subventions gouvernementales se tarissent »
C’est là que réside la leçon a apprendre par ceux qui cherchent à faire fortune grâce aux subventions payées par le contribuable, à l’ensemble du secteur des énergies renouvelables, de l’énergie solaire, éolienne, de la biomasse, incapable de survivre seule, sans provoquer des bulles financières. Beaucoup d’entreprises et d’ONG, comme le WWF, Amis de la Terre et Greenpeace, pensent maintenant qu’elles sont de droit divin, qu’elles mènent une croisade verte pour sauver le climat, justifiant toutes ces débauches financières inutiles.
Les hélices des éoliennes d’Altamont ont été attachées depuis 2008, pendant quatre mois de chaque année, afin de protéger les oiseaux migrateurs, après que les écologistes aient porté plainte. Selon la Golden Société Audubon, 75 à 110 aigles dorés, 380 chevêche des terriers, 300 buses à queue rousse, la crécerelle d’Amérique et 333 faucons sont tués par des turbines à Altamont chaque année. En Juillet 2008, l’étude menée par les soins de l’Agence du comté d’Alameda, concernant le développement communautaire, chiffre à 10 000 décès annuels d’oiseaux. Audubon décrit Altamont comme «probablement le pire site jamais choisi pour un projet d’énergie éolienne »
Les mêmes zones, qui sont propices à l’implantation des parcs éoliens, sont également propices aux passages des oiseaux de proie et des oiseaux migrateurs, à travers les hélices. Il est honteux qu’aucun militant vert ne se soucie de la nature. Seul compte leur agenda anti-carburants fossiles, à n’importe quel prix.
RépondreSupprimerAprès la débâcle de la ruée vers le vent Californien, l’Union européenne avait battu les Etats-Unis sur les efforts pour subventionner l’énergie « renouvelable », y compris une « avance sur tarif » encore plus lucrative que le contrat ISO4.
Les contribuables qui ont subventionné la construction des fermes éoliennes, ont payé le prix fort pour une source pérenne de production électrique, ils seront finalement roulés dans la farine, bons à payer la facture des dégâts de l’écologie sans conscience.
Les éoliennes se délabrent trop vite
Dans le cadre de cette étude demandée par l’association caritative, des professeurs de l’Université d’Edimbourg ont étudié des années de données sur les performances des parcs éoliens au Royaume-Uni et au Danemark.
12-15 ans, pas plus
Ils ont découvert qu’après plusieurs années, les parcs éoliens ne sont pas aussi performants qu’au départ. Après 10 ans de fonctionnement, la rentabilité d’un parc éolien britannique par rapport à la demande aurait diminué d’un tiers.
L’étude en conclut qu’il ne serait pas rentable d’opérer des parcs éoliens pendant plus de 12 à 15 ans, contrairement à l’autonomie prévue de 20-25 ans. Seule solution : les remplacer par de nouvelles éoliennes, ce qui aurait des conséquences graves pour les investisseurs et le gouvernement. Mais aussi sur l’environnement.
Opinions partagées
Les membres de l’industrie des énergies renouvelables restent cependant sceptiques quant à la véracité des résultats. Scottish Renewables, par exemple, a affirmé que ses plus anciens parcs éoliens en Ecosse avaient 16 ans d’âge et qu’aucun n’avait été démantelé ou réalimenté.
Les opposants aux éoliennes estiment toutefois que ce rapport suffit à freiner la production d’éoliennes et à obliger le gouvernement écossais à repenser à son soutien aux sources d’énergie. Ils prennent l’exemple des États-Unis, où de nombreux « cimetières éoliens » viennent gâcher le paysage.
« Nous savons déjà qu’une éolienne doit fonctionner pendant deux ans minimum pour rembourser les coûts carbone de la construction,” a déclaré Murdo Fraser, député conservateur. « La décrépitude des éoliennes n’est pas surprenante. Il suffit de voir ce qui se passe de l’autre côté de l’Atlantique pour voir 12 000 éoliennes pourrir dans le désert californien. Combien va coûter le démantèlement de celles-ci et qui va payer ? A quel moment le gouvernement écossais va-t-il comprendre qu’il faut freiner l’énergie éolienne ? »
L’étude évoque également le déclin de la performance des parcs éoliens en mer au Danemark, supérieur à celui des parcs éoliens terrestres britanniques. Dr John Constable, le directeur de l’étude, a affirmé : « En quelques mots, les parcs éoliens en mer et terrestres coûtent trop d’argent et se délabrent trop vite pour offrir au monde émergent une alternative réaliste au charbon.”
Sources:
RépondreSupprimerhttp://www.greenetvert.fr/2013/01/07/les-eoliennes-se-delabrent-trop-vit…
http://www.ref.org.uk/publications/280-analysis-of-wind-farm-performance…
La solution ? Des millions pour expérimenter des hydroliennes
Le Québec est sur le point de devenir le plus important bassin d’expérimentation au monde pour l’énergie hydrolienne en fleuve et en rivière, grâce à un projet de parc hydrolien de démonstration dans le fleuve Saint-Laurent de 130 millions de dollars, auquel contribuera le gouvernement du Québec à hauteur de 85 millions.
L’annonce a été faite lundi à la toute nouvelle usine de RER Hydro à Bécancour par la première ministre Pauline Marois.
Le succès de la première phase expérimentale du projet, soit l’installation depuis 2010 d’une hydrolienne près du pont de la Concorde, à Montréal, qui fonctionne de façon continue, permet maintenant de lancer la deuxième phase du projet, soit l’installation sur trois ans de six turbines hydroliennes d’une capacité totale de 0,75 mégawatt dans le même secteur.
Cette vitrine technologique, qui représente un investissement de 51,5 millions de dollars, dont 25 millions proviennent du gouvernement du Québec sous forme de capitaux et de prêts, servira à mener des évaluations approfondies de la technologie.
La troisième phase, qui doit débuter en 2016, consistera à installer un parc de démonstration de 40 hydroliennes d’une capacité de neuf mégawatts, toujours dans le même secteur. Il s’agira cette fois d’un projet de 81 millions de dollars, dont 60 millions sous forme de prêts à redevances du gouvernement du Québec.
Il s’agira alors du plus important parc de démonstration en rivière au monde.
Les phases deux et trois du projet permettront la création de 75 emplois chez RER Hydro, à son centre de recherche à Montréal, mais surtout à son usine de Bécancour, où les 46 turbines seront fabriquées, en plus de 40 emplois directs et 80 emplois indirects chez les fournisseurs.
Si la technologie québécoise s’avère un succès et génère de l’intérêt, l’usine de Bécancour serait en mesure de fabriquer environ 500 unités par année, créant ainsi quelque 600 emplois directs et indirects.
Le projet est réalisé par RER Hydro en partenariat avec le gouvernement du Québec, Hydro-Québec – qui s’est engagée à acheter l’électricité produite par les hydroliennes – et Boeing, qui obtient les droits exclusifs de vente et de mise en marché des turbines sur le marché mondial. Boeing agit également en soutien pour la gestion, l’ingénierie et la fabrication des turbines et fournira le service après-vente.
La technologie hydrolienne consiste à placer une turbine dans un cours d’eau où le courant peut la faire tourner et générer de l’électricité sans qu’il soit nécessaire de construire un barrage. L’impact environnemental est minime et plusieurs études ont démontré que les hydroliennes ne nuisent pas à la faune aquatique.
Vert et prometteur
RépondreSupprimerPauline Marois a souligné l’intérêt d’investir dans une « filière prometteuse pour l’avenir économique du Québec », rappelant que son gouvernement misait sur les énergies renouvelables, suivie dans ses propos par la ministre des Ressources naturelles, Martine Ouellet, visiblement fière de ce nouveau partenariat. « Le Québec est un leader mondial dans les énergies vertes et nous devons plus que jamais miser sur notre expertise et notre savoir-faire », a déclaré cette dernière.
Les personnalités politiques ne sont toutefois pas les seules à faire l’éloge du projet. Les groupes écologistes font de même. « On n’a qu’à aller voir ce que la Chine fait, par exemple. On investit des centaines de milliards en Chine dans le développement des technologies. L’Union européenne fait la même chose, les États-Unis font la même chose. À ce titre-là, le gouvernement du Québec agit comme tout autre gouvernement qui veut développer et soutenir l’émergence de technologies, et particulièrement dans ce cas-ci, de technologie propre », a noté le président d’Équiterre, Steven Guilbeault, qui faisait partie des invités.
Quant au ministre du Développement durable, également responsable de la Mauricie et du Centre-du-Québec, Yves-François Blanchet, il semblait emballé par les emplois qui pourraient être créés dans la région. « C’est 15 emplois maintenant. Mais c’est une technologie avec la machine de commercialisation de Boeing. On ne peut pas aller plus gros, on ne peut pas aller plus technologique que Boeing. Leur capacité à couvrir l’ensemble du territoire planétaire pour placer le produit va être absolument phénoménale », a-t-il affirmé.
http://lepetitrapporteurdunet.unblog.fr/2014/08/28/le-grand-mensonge-14-000-eoliennes-abandonnees-aux-usa/
A propos d'énergie gratuite
1 oct. 2012,
http://huemaurice5.blogspot.com/2012/10/la-crise-politico-financiere.html
Par 'Énergie Renouvelables' il faut entendre le charbon qui est fabriqué grâce au gaz carbonique (une partie est transformée en oxygène par la végétation, et l'autre, est absorbée par le phytoplancton à la surface des eaux (flaques d'eau, brouillards, pluies, lacs, mers & océans) et est transformée en nano-particule de carbone (charbon). C'est-à-dire que le charbon (comme le pétrole abiotique) est éternel lui aussi et est donc une énergie renouvelable comme l'eau (il ne manque pas une goutte d'eau sur Terre depuis des milliards d'années) et l'air où TOUS les gaz se recyclent continuellement, éternellement et gratuitement !
SupprimerBrève : Fake news à la sauce hollandaise !
RépondreSupprimerle 25 mai 2018
Selon les enquêteurs « internationaux » à l’oeuvre aux Pays-Bas au sujet du vol MH17 abattu au dessus de la partie orientale de l’Ukraine le 17 juillet 2014, il s’agit d’un acte d’agression caractérisé de l’armée russe, le missile de type Bouk-Telar ayant été tiré – ou acheminé, nuance importante qui laisse planer un doute – depuis la base militaire russe de Koursk. Ces enquêteurs à la solde de la CIA n’ont même pas utilisé le conditionnel pour divulguer cette information. En d’autres termes ils en sont absolument certains. Qu’ils demandent donc des explications à Vladimir Poutine qui a toujours nié une quelconque implications de son pays dans cette affaire, ils seront bien reçus !
C’est dire à quel point les pays européens et pas seulement les Pays-Bas sont téléguidés depuis Washington qui a mis en place à Kiev un régime fantoche à sa solde et de plus fasciste, corrompu et anti-russe, la dernière qualification étant la plus importante. L’armée ukrainienne disposait de missiles « made in Russia » entre les mains d’opérateurs plutôt inexpérimentés et ils ont cru abattre l’avion dans lequel se trouvait Vladimir Poutine alors que ce dernier avait volé dans les alentours de l’espace aérien dit « civil » quelques 30 minutes auparavant. Apparemment cette information bien connue n’a pas eu l’air de préoccuper ces « enquêteurs ».
Naturellement les Hollandais, des marionnettes les plus dociles des USA dans le genre ont du cogiter près de 4 ans pour monter un scénario totalement inacceptable qui va dans le sens de la propagande anti-russe organisée par le parti démocrate américain. Il se trouve que les Bataves ont un peu de retard et qu’ils semblent lents dans leurs décisions car la machination anti-russe fomentée par la CIA, le FBI, le DOJ (Department of Justice) et la NSA, en résumé le « Deep State » pourrait être décimé dans peu de temps par des emprisonnements massifs de personnalités bien connues des médias, y compris les médias européens, et peut-être bien Hillary elle-même. C’est ce que certains sites américains affirment.
Quant aux Hollandais ils s’affirment dans le genre faux-cul, un vrai délire qui pourrait bien avoir des conséquences assez catastrophiques compte tenu de la situation au Proche-Orient.
Source de l’information : AFP, dépêche du 24 mai 2018, 10h11. Notes à l’intention de mes lecteurs fidèles : pas de billet ce samedi 26 mai 2018 et il vous suffit d’entrer MH17 dans l’onglet recherche de ce blog ce n’est pas la première fois que je disserte sur ce sujet honteusement manipulé par les pays occidentaux et en particulier l’OTAN. Relire à ce sujet
: https://jacqueshenry.wordpress.com/2016/07/19/vol-mh17-2-ans-et-2-jours-plus-tard/
https://jacqueshenry.wordpress.com/2018/05/25/breve-fake-news-a-la-sauce-hollandaise/
La Défense russe démontre les lacunes de l’enquête du crash du MH17
RépondreSupprimer08:29 25.05.2018
Les témoignages des habitants locaux sont négligés par l’équipe internationale qui enquête sur le crash du MH17, a déclaré le ministère russe de la Défense. Les informations fournies par les témoins contredisent les résultats de l’enquête rendue publique jeudi.
Les spécialistes hollandais qui enquêtent sur le crash du Boeing 777 de la Malaysia Airlines en juillet 2014 ne prennent pas en compte les déclarations des témoins selon lesquelles un missile a été lancé depuis le territoire contrôlé par l'armée ukrainienne, indique le ministère russe de la Défense.
«Nous voulons souligner que les enquêteurs hollandais négligent et renient les déclarations des témoins des villages situés près de la zone de la catastrophe, selon lesquelles un missile a été tiré depuis le territoire contrôlé par les forces ukrainiennes», a déclaré la Défense russe.
Selon lui, il ne s'agit pas d'«images impersonnelles publiées sur les réseaux sociaux», mais de témoignages enregistrés.
Auparavant, le ministère avait souligné qu'aucun système sol-air russe n'avait «jamais franchi la frontière russo-ukrainienne».
Le 24 mai, les enquêteurs internationaux ont affirmé avoir définitivement établi que le missile sol-air Bouk à cause duquel le Boeing de la Malaysia Airlines a été abattu dans l'est de l'Ukraine le 17 juillet 2014 provenait de la 53e brigade antiaérienne de l'armée russe basée dans la ville de Koursk. Leur conclusion est basée sur l'analyse de vidéos et de photos mises en ligne sur les réseaux sociaux.
Le Boeing 777 de la Malaysia Airlines reliant Amsterdam à Kuala Lumpur s'est écrasé dans le Donbass (est de l'Ukraine) le 17 juillet 2014, faisant 298 morts, en majorité des Néerlandais.
https://fr.sputniknews.com/international/201805251036518523-defense-russe-lacunes-enquete-crash-boeing/
La fin du monde unipolaire se profile alors que le «nouvel ordre mondial» répond aux demandes américaines sur l'Iran
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Jeu., 24/05/2018 - 23:45
Auteur de F. Michael Maloof, op-ed via RT.com,
Si l'ultimatum de Mike Pompeo à l'Iran, après le retrait des Etats-Unis de l'accord nucléaire iranien, était réalisé, il infligerait une guerre économique au pays et mettrait en échec Téhéran tout en réaffirmant un ordre mondial unipolaire dirigé par les Etats-Unis.
Cependant, il est voué à l'échec. Comme l'a souligné le président iranien Hassan Rouhani à la suite de la déclaration du secrétaire d'Etat américain reflétant les vues du nouveau conseiller à la sécurité nationale du président Donald Trump, John Bolton, l'époque où les Etats-Unis "décideront pour le monde" est terminée.
Pompeo a présenté les 12 revendications sur l'Iran dans un discours prononcé le 21 mai devant le think-tank américain Heritage Foundation. Même un grand nombre de participants conservateurs semblaient sceptiques quant à l'efficacité de ces demandes pour empêcher les États-Unis d'imposer des sanctions plus lourdes à la République islamique.
L'ultimatum de Pompeo a exigé que l'Iran arrête tout enrichissement d'uranium, avec accès à "tous les sites" "n'importe où, n'importe quand". Pourtant, la République Islamique est signataire du traité de non-prolifération nucléaire qui lui permet d'enrichir l'uranium à usage civil. l'accord nucléaire iranien, anciennement connu sous le nom de Plan d'action global commun, ou JCPOA.
L'ultimatum allait bien au-delà du programme nucléaire iranien - exigeant que la République islamique arrête son développement de missiles, son soutien au Hezbollah et au Hamas et exigeait qu'elle retire toutes ses forces du Corps des gardiens de la révolution iranienne (IRGC) de Syrie. se sont battus avec le Hezbollah contre l'État islamique et al-Qaïda à l'invitation du président syrien Bachar al-Assad.
Non-dit dans les demandes de Pompeo était que les Etats-Unis sont en Syrie sans invitation, soutenant les salafistes djihadistes qui sont également soutenus par Israël et l'Arabie Saoudite et menacent la Syrie, le Liban, l'Irak et l'Iran lui-même.
Barbara Slavin, qui dirige l'initiative sur l'avenir de l'Iran au Conseil de l'Atlantique, a fait observer que:
Le discours de Pompeo "n'a presque aucune chance de travailler. Il est susceptible d'aliéner davantage les alliés économiques des États-Unis, de renforcer la Chine en tant que puissance économique et politique mondiale et de réjouir les extrémistes iraniens à la recherche de plus de raisons de lancer des activités nucléaires proscrites pour poursuivre leurs interventions en Asie occidentale.
En anglais, ce que Pompeo et Bolton veulent par leur guerre économique contre l'Iran, c'est un changement de régime. Pompeo signale un effort pour réaffirmer la direction américaine d'un ordre mondial occidental sur les pays, en Asie occidentale tout comme les pays de l'Union européenne à résister à la nouvelle guerre économique de Trump.
Le virage à 180 degrés de Trump représente un changement stratégique par rapport à sa position précédente de vouloir se retirer en Asie occidentale. Étrangement, cela arrive au même moment où les Américains à la maison commencent tout juste à réaliser les avantages de la réduction d'impôt et la création de plus d'emplois à la maison, des promesses que Trump a déclaré qu'il remplirait pendant la campagne.
Mais il a également promis de déplacer l'ambassade américaine à Jérusalem et abandonner le JCPOA. Ce qui est arrivé, c'est qu'une promesse de campagne a annulé les avantages de l'autre parce que Trump a imposé des sanctions non seulement à l'Iran mais aussi à des entreprises du monde qui ont des contrats avec des entreprises américaines mais continuent de commercer avec l'Iran.
RépondreSupprimerÀ son tour, il a créé de nouvelles tensions en Asie occidentale, faisant grimper le prix du baril de 70 à 80 dollars le baril au cours de la semaine où j'étais en Iran. Une telle augmentation se reflète déjà dans la hausse des prix de l'essence que les Américains doivent payer, ce qui minimise tout bénéfice d'économies d'impôt.
Les actions de Trump reflètent le fait que les néo-conservateurs qui le conseillent sont de retour en pleine fureur poursuivant une nouvelle stratégie géopolitique qui reflète ce qui a été laissé derrière l'invasion américaine de l'Irak en 2003 lorsque Saddam Hussein a été retiré dans le cadre d'une politique préemptive de changement de régime à travers en Asie de l'ouest.
Quand j'étais au Département de la Défense pendant cette période, j'ai eu l'occasion de parler à Bolton à un moment où il a décrit un changement de régime non seulement en Irak, mais en Syrie, en Iran, en Libye et en Arabie Saoudite. étaient considérés comme des ennemis d'Israël. Comme à l'époque, nous assistons à l'administration Trump mettant en œuvre la politique étrangère israélienne.
Compte tenu de la résistance initiale des pays de l'Union européenne aux sanctions de Trump et à l'abandon du JCPOA - un moment décisif - ils ont signalé qu'ils restaient dans l'accord. Mais cela pourrait ne pas durer en raison des sanctions que les États-Unis peuvent imposer aux entreprises européennes qui ont des contrats avec des entreprises américaines qui continuent de commercer avec l'Iran.
Récemment, j'étais en Iran pour parler aux autorités iraniennes juste après que Trump ait annoncé son abandon du JCPOA. J'étais là lors de la 6ème conférence internationale New Horizons tenue dans la ville spirituelle de Mashhad en Iran.
Ce qui a émergé de la conférence de trois jours était un appel à résister aux actions de Trump de réaffirmer sa version d'un ordre unipolaire dirigé par les USA en adoptant une approche "multipolaire" qui verra un nouvel ordre économique, avec l'idée de séparer les pays de Dépendance économique américaine et isolement des États-Unis et d'Israël.
Ce qui évolue en réponse à l'abandon du JCPOA par les États-Unis est un nouvel ordre mondial qui pourrait commencer à voir l'Iran, la Chine, la Russie, les pays d'Europe de l'Est et d'Asie centrale créer leur propre moteur économique pour minimiser l'influence américaine.
Il pourrait inclure une Organisation de coopération de Shanghai revigorée fondée par la Chine et la Russie et les pays d'Asie centrale. Avec l'achèvement imminent de l'initiative One Belt, One Road d'Asie vers l'Europe, la Chine pourrait ouvrir la voie aux pays européens membres de l'UE et de l'Europe de l'Est pour développer le commerce et échapper au joug de l'influence économique américaine. Ce développement semble déjà se produire.
Le Premier ministre britannique Theresa May a traité le Brexit, un processus long et fastidieux de séparation de l'UE. Elle avait espéré se tourner vers les États-Unis comme un marché alternatif, plus favorable. Pourtant, elle a annoncé qu'elle a l'intention de résister aux sanctions de Trump. Ses efforts, cependant, peuvent être de courte durée, puisque la Grande-Bretagne est seulement la taille de l'Indiana et ses entreprises ne pourraient pas survivre sans le marché américain. Par conséquent, elle a commencé à considérer la Chine comme un marché alternatif.
RépondreSupprimerEn réponse à l'action récente de Trump sur le JCPOA, le président russe Vladimir Poutine pourrait à nouveau inviter l'Iran à rejoindre l'OCS. Poutine a déjà déclaré qu'il ne voyait aucun obstacle à ce que l'Iran rejoigne l'OCS.
Son adhésion avait été proposée après l'achèvement de l'accord nucléaire de 2015. Cependant, l'effort a été rejeté. Cette fois, cela pourrait être différent, puisque l'Iran respecte pleinement le PAGC mais Trump a rompu avec cet accord.
https://www.zerohedge.com/news/2018-05-24/end-unipolar-world-looms-new-world-order-responds-us-demands-iran
La pauvreté, la maladie et la guerre entraîneront-elles 3 milliards de personnes de moins ?
RépondreSupprimerPar Egon von Greyerz
Or Suisse
25 mai 2018
Il y a 51 millions de foyers américains qui n'arrivent pas à joindre les deux bouts. Cela signifie que 43% des ménages américains ne peuvent pas se permettre une vie de classe moyenne. Parmi ceux-ci, 35 millions sont baptisés ALICE, ce qui signifie Asset Limited, Income Contrained, Employed avec 16 autres millions de ménages vivant dans la pauvreté.
Il est absolument remarquable que, dans le pays le plus grand et le plus «riche» du monde, un peu moins de 50% des ménages luttent pour s'offrir une vie de classe moyenne et que 50 millions de personnes vivent dans la pauvreté. Et ceci après des décennies de prospérité et de croissance économique. Ce que cela prouve, c'est que la personne moyenne aux États-Unis ne voit aucune prospérité du tout. Tous les chiffres officiels de l'emploi, de la production, de la croissance, du PIB, etc. ne sont que des bêtises. Ce sont des données fausses qui sont complètement trompeuses et qui donnent une image totalement fausse. Le taux de chômage officiel est de 4% mais le chiffre réel est de 22%. Il y a 95 millions d'Américains capables de travailler qui ne font pas partie de la population active.
L'économie américaine se compose d'une petite minorité qui a considérablement bénéficié de l'expansion du crédit et de l'impression d'argent. Et puis, il y a la grande majorité des personnes à faible revenu qui ont d'énormes dettes et qui ont de la difficulté à faire des paiements d'intérêts sur des dettes qu'ils ne peuvent jamais rembourser. Les salaires horaires médians réels n'ont pas augmenté aux États-Unis depuis 50 ans ! Aujourd'hui, 66 % des Américains gagnent moins de 20 $ l'heure (17,14€).
Trump était bien sûr au courant de la situation de l'Américain moyen pendant la campagne électorale. Et en faisant appel à ce groupe, il a remporté l'élection. Mais malheureusement, faire des promesses est beaucoup plus facile que de résoudre un problème de dette insoluble. Les économies américaine et mondiale vont bientôt être écrasées par l'énorme dette mondiale, comme je l'ai souligné dans mon article la semaine dernière à propos d'Alice in Horrorland. Puisque 1/3 des Américains ont moins de 5 000 $ d'économies, ils n'ont rien à se reprocher quand ils perdent leur emploi et frappent des moments difficiles. À ce stade, le gouvernement fera défaut et il n'y aura pas de filet de sécurité sociale. Ils vont bien sûr imprimer des quantités illimitées d'argent, qui seront totalement sans valeur et n'auront donc aucun effet sauf pour provoquer l'hyperinflation.
LA DETTE CORPORATIVE PROVOQUE UNE CRISE ÉCONOMIQUE IMMINENTE
Ce n'est pas seulement la situation de la dette personnelle aux États-Unis qui est préoccupante. La dette des entreprises est maintenant extrême et dans une position similaire à celle des crises économiques et des effondrements boursiers de 1990, 2000 et 2008. Comme le montre le graphique ci-dessous, la dette des entreprises envers le PIB donne actuellement l'alerte que le prochain déclin de l'économie et du marché est imminent. Le fait que la dette nationale américaine ait doublé depuis 2009 ne va certainement pas faciliter la situation
- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerUN MONDE PAUVRE
Mais ces problèmes ne sont pas limités aux États-Unis. Près de 50 % de la population mondiale, soit plus de 3 milliards de personnes, vit avec moins de 2,50 dollars (2,14€) par jour. Et 17 % vivent dans l'extrême pauvreté avec moins de 1,25 dollar (1,07€) par jour. La Banque mondiale a défini le «seuil de pauvreté international» comme 1,90 dollar par jour et 2,5 milliards de personnes environ sont en dessous de cette limite.
La population mondiale va-t-elle disparaître ?
Ainsi, après plus de 100 ans de croissance importante du PIB, des innovations technologiques, de l'industrialisation, de la production alimentaire, des soins de santé, etc., il reste 2,5 milliards de personnes en dessous du seuil de pauvreté. Une raison majeure est le fait que la population mondiale a explosé au cours des 175 dernières années. Dans les années 1850, la population mondiale était de 1 milliard et nous sommes aujourd'hui à 7,5 milliards. Un graphique d'un échantillon majeur, comme la population mondiale, qui est une pointe vers le haut, va à un moment donné se transformer en pic vers le bas. Cela signifie que la population mondiale diminuera considérablement en raison de la pauvreté, de la maladie, de la guerre ou d'une combinaison des trois facteurs. Ainsi, une baisse importante de la population mondiale est probable dans les prochaines décennies à peut-être la moitié ou 3 milliards. Cela semble dramatique et terrifiant, mais des réductions similaires se sont produites tout au long de l'histoire.
Ainsi, malgré un siècle de croissance remarquable, d'expansion du crédit et d'impression d'argent, le monde connaît un important problème économique et de pauvreté. Malheureusement, cela ne se terminera pas bien lorsque la dette mondiale actuelle et les bulles d'actifs éclateront. Nous verrons une contagion globale des défauts et de la misère économique. Les banques centrales se lanceront dans l'impression illimitée d'argent dans une tentative futile de sauver le monde, mais cette fois, elle échouera. L'argent imprimé a une valeur nulle et n'aura donc aucun effet. Vous ne pouvez pas résoudre un problème d'endettement en émettant plus de dettes.
DEBACLE IN THE EU
Le désordre en Europe s'aggrave. Les Etats-Unis ont rompu l'accord avec l'Iran et exercent maintenant une pression massive sur Merkel et le reste de l'Europe pour faire de même. Mais les pays européens ne veulent pas s'y conformer. Les Etats-Unis menacent de sanctionner n'importe quel pays qui commercerait avec l'Iran et aussi avec la Russie mais l'Europe ne répondra pas bien à ce harcèlement.
Les bureaucrates non élus et irresponsables à Bruxelles subissent des pressions croissantes. Ils font tout ce qu'ils peuvent pour arrêter le Brexit. Theresa May a une très faible main en tant que leader d'un parti qui n'a pas la majorité au parlement. Le problème est qu'elle n'arrive même pas à s'entendre dans son propre cabinet. Cela la rend si faible qu'elle est peu susceptible d'atteindre l'accord Brexit que la majorité des Britanniques ont voté pour. La mafia bruxelloise en profite habilement et parvient actuellement à empêcher le Royaume-Uni d'aller n'importe où. Mais encore, l'Union européenne est devenue une tentative ratée de construire un super-État européen dirigé par l'élite bruxelloise.
RépondreSupprimerUn syndicat libre était une excellente idée, mais l'union politique, qui est l'objectif de Bruxelles, est une catastrophe qui risque de se produire. En outre, une monnaie commune ne peut jamais fonctionner pour une région dans une région aussi disparate, avec des cultures différentes, des taux de salaires, des taux de croissance, l'inflation et une mobilité limitée du travail. Le rêve de l'élite d'une politique budgétaire et économique commune ne sera jamais accepté par la plupart des États membres.
Personnellement, je suis totalement contre l'Union européenne en tant qu'Union politique, car je ne crois pas en une élite non élue et irresponsable décidant de plus de 500 millions de personnes qui ont très peu en commun. Au lieu de cela, petit est beau. Plus un pays est petit, plus les politiciens redeviennent responsables. D'autant plus quand le pouvoir est décentralisé vers les régions et quand il y a une démocratie directe comme en Suisse. Même si la Suisse a ses propres problèmes, le système politique est supérieur à tout autre pays dans le monde. C'est pourquoi l'économie et la monnaie suisses ont toujours été les plus fortes au monde.
Malheureusement, le système bancaire suisse et la Banque nationale suisse sont aussi mal gérés que la plupart des banques du monde. En outre, le système financier suisse est aussi vulnérable que le reste du monde et beaucoup trop important pour le pays. Par conséquent, je ne garderais aucun actif majeur dans les banques suisses et dans aucune autre banque d'ailleurs.
https://www.lewrockwell.com/2018/05/egon-von-greyerz/will-poverty-disease-war-lead-to-3-billion-fewer-people/
(...) 2,5 milliards de personnes en dessous du seuil de pauvreté. Une raison majeure est le fait que la population mondiale a explosé au cours des 175 dernières années. (...)
SupprimerFAUX ! Plus il y a de naissance = plus il y a de travailleurs. Une personne peut d'ailleurs faire vivre toute une famille. Le prix des fruits et légumes est à 0$ ou 0€. Seules les taxes et les frais de ramassages et transports ont augmenté.
Sans les taxes, c'est TOUT LE MONDE QUI SERAIT RICHE ! Car, figurez-vous que les routes & bâtiments publics ont déjà été payés 100 mille fois depuis leurs constructions ! Et, plus il y a des habitants, moins la part de la facture est importante. Or, c'est le contraire ! Pourquoi ? Pourquoi à l'heure des milliards de machines, robots, ordinateurs qui travaillent gratuitement pour nous sommes nous toujours pauvres ?
C'est le résultat de la dictature en place qui ne parle JAMAIS de la Démocratie !
La Démocratie c'est Le Peuple qui gouverne !
Il n'y a qu'UN SEUL PAYS AU MONDE en Démocratie !! La Suisse.
Pourquoi les 'chefs d'États' n'en parlent-ils pas ?
Pourquoi les 'Députés et Sénateurs n'en parlent-ils pas ?
Pourquoi les 'membres de l'opposition' n'en parlent-ils pas ?
Pourquoi les merdias n'en parlent-ils pas ?
USA/CORÉE CRÉÉE POUR RIEN, LA «PIÈCE SOUVENIR» DU SOMMET FAIT RIRE LE WEB
RépondreSupprimerEn vue de la rencontre entre Trump et Kim, la Maison-Blanche avait fait fabriquer une médaille commémorative. L'opération tombe à plat.
25.05.2018, 13h00
Donald Trump a annulé jeudi son sommet prévu le 12 juin avec le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un à Singapour: peu importe, le magasin de souvenirs de la Maison-Blanche propose toujours sur son site internet de commander une pièce commémorant la rencontre.
Et c'est même «la bonne affaire du jour»: il ne faut débourser que 19,95 dollars au lieu de 24,95 dollars auparavant. «La pièce sera fabriquée, que le sommet ait lieu ou non comme prévu», assurait le site internet. «La thématique se rapproche de la paix et célèbre l'acte de communication entre pays».
La boutique a expliqué être disposée à rembourser si le sommet n'avait pas lieu mais «la plupart des personnes ont indiqué qu'elles veulent ce symbole de l'histoire politique, peu importe le dénouement». La pièce est ornée des profils de MM. Trump et Kim, qualifié de «leader suprême», sur fond de drapeaux américain et nord-coréen. L'expression «pourparlers de paix» figure en haut de la médaille, tandis que l'année «2018» est inscrite en bas.
Les internautes, eux, ont sauté sur l'occasion pour «redécorer» à leur manière cette médaille devenue collector.
- voir pièces amusantes sur site -
«Si la réunion avec la Corée du Nord est annulée, puis-je obtenir un Prix Nobel de la paix pour vendre ces belles pièces commémoratives ?»
«TU AIMERAIS UNE PIÈCE COMMÉMORATIVE ?!»
(Le Matin)
https://www.lematin.ch/monde/ameriques/creee-piece-souvenir-sommet-marrer-web/story/15519469
Les nouvelles règles de protection des données de l'UE entrent en vigueur
RépondreSupprimer25 mai 2018
par Lachlan Carmichael
Le règlement général de l'UE sur la protection des données (GDPR) entre en vigueur vendredi 25 Mai.
Les nouvelles lois sur la protection des données de l'Union européenne sont entrées en vigueur vendredi, et Bruxelles a déclaré que ces changements protégeraient les consommateurs contre le fait d'être "des gens nus dans un aquarium".
Le règlement général de l'UE sur la protection des données (GDPR) a été blâmé pour un flot d'e-mails et de messages de spam ces dernières semaines, les entreprises se dépêchant de demander le consentement explicite des utilisateurs pour les contacter.
Même si les règles ont été officiellement adoptées il y a deux ans, avec une période de grâce jusqu'à maintenant pour s'y adapter, les entreprises ont été lentes à agir, ce qui a donné lieu à une mêlée de dernière minute cette semaine.
Le Bureau du Commissaire à l'information (ICO), responsable de la protection des données, a déclaré que son site avait connu «quelques interruptions» au moment où la date butoir était imminente, mais a déclaré que «tout fonctionne maintenant».
Bruxelles insiste sur le fait que les lois deviendront une référence mondiale pour la protection de l'information en ligne des personnes, en particulier à la suite du scandale Facebook de collecte de données.
"Les nouvelles règles permettront aux Européens de reprendre le contrôle de leurs données", a déclaré la commissaire à la Justice de l'UE, Vera Jourova.
"Quand il s'agit de données personnelles aujourd'hui, les gens sont nus dans un aquarium."
Les entreprises peuvent être condamnées à une amende pouvant aller jusqu'à 20 millions d'euros (24 millions de dollars) ou 4% du chiffre d'affaires mondial annuel pour avoir enfreint les règles strictes relatives aux nouvelles données pour l'UE, un marché de 500 millions de personnes.
Consentement explicite
La loi établit le principe clé selon lequel les individus doivent accorder explicitement la permission d'utiliser leurs données.
La nouvelle loi de l'UE établit également le «droit de savoir» des consommateurs qui traite leurs informations et à quoi elles serviront.
Les gens pourront bloquer le traitement de leurs données pour des raisons commerciales et même supprimer des données dans le cadre du «droit à l'oubli».
Scandale de données Facebook
Top 10 des pays et des États américains touchés par le scandale des données Facebook.
Les parents décideront pour les enfants jusqu'à ce qu'ils atteignent l'âge du consentement, que les États membres fixeront entre 13 et 16 ans.
Les arguments en faveur des nouvelles règles ont été renforcés par le récent scandale concernant la collecte des données des utilisateurs de Facebook par Cambridge Analytica, une firme de recherche politique américano-britannique, pour l'élection présidentielle américaine de 2016.
La violation a touché 87 millions d'utilisateurs, mais Facebook a déclaré mercredi qu'il n'a trouvé aucune preuve que des données provenant d'Européens ont été vendus à Cambridge Analytica.
RépondreSupprimerLe chef de Facebook, Mark Zuckerberg, a déclaré mardi lors d'une audition devant le Parlement européen que son entreprise sera non seulement "entièrement conforme" à la législation de l'UE, mais fera également d'énormes investissements pour protéger les utilisateurs.
Zuckerberg a dit qu'il était "désolé" pour les violations Cambridge Analytica, mais aussi pour son incapacité à sévir contre l'ingérence électorale, les "fausses nouvelles" et autres abus de données.
«Norme mondiale»
Les grandes plateformes comme Facebook, WhatsApp et Twitter semblent bien préparées pour les nouvelles lois, tandis que les petites entreprises ont exprimé leur inquiétude.
Mais les responsables de l'UE disent qu'ils se concentrent initialement sur les grandes entreprises, dont les modèles commerciaux utilisent une mine d'informations personnelles pour la publicité, tout en offrant aux petites entreprises plus de temps pour s'adapter.
Pendant ce temps, Bruxelles a exprimé son impatience avec les huit pays - sur les 28 de l'UE - qui disent qu'ils n'auront pas mis à jour leurs lois d'ici vendredi.
La commissaire européenne Jourova a déclaré que les nouvelles règles établissent "une norme mondiale de confidentialité".
Beaucoup d'Américains qui critiquaient autrefois l'Europe comme trop rapide pour réguler le nouveau moteur de l'économie mondiale voient maintenant la nécessité du GDPR, insistent les responsables de l'UE.
"Je vois une version du GDPR se faire rapidement adopter au moins aux Etats-Unis", a expliqué à l'AFP Param Vir Singh, professeur de commerce à l'Université Carnegie Mellon.
Le Japon, la Corée du Sud, l'Inde et la Thaïlande s'inspirent également "de l'inspiration" de Bruxelles pour débattre ou adopter des lois similaires, a déclaré un autre responsable européen.
https://phys.org/news/2018-05-eu-effect.html#jCp
Bonne journée GDPR - mais pas pour certains sites américains (Mise à jour)
RépondreSupprimer25 mai 2018
Les nouvelles lois phares de l'UE sur la protection des données sont entrées en vigueur vendredi, mais ont connu un début d'accrochage alors que plusieurs sites d'information importants ont été bloqués aux utilisateurs européens.
Les journaux du Los Angeles Times et du Chicago Tribune figuraient parmi ceux qui étaient inaccessibles de l'autre côté de l'Atlantique à la suite de l'entrée en vigueur du Règlement général sur la protection des données (GDPR).
Séparément, Facebook et Google sont déjà confrontés à leurs premiers cas juridiques en vertu de la nouvelle loi après qu'un agent de la vie privée autrichienne les a accusés de forcer efficacement les utilisateurs à donner leur consentement à l'utilisation de leurs informations personnelles.
L'UE a déclaré que le GDPR constituait le plus grand remaniement de la réglementation en matière de protection des données depuis la naissance du Web, affirmant que ce dernier établissait de nouvelles normes à la suite du récent scandale Facebook sur la collecte de données.
Mais il a également été accusé d'un flot de courriels et de messages au cours des dernières semaines que les entreprises inquiètes se précipitent pour demander le consentement explicite des utilisateurs.
Le hashtag #HappyGDPRDay a pris son envol sur les médias sociaux alors que les gens célébraient sarcastiquement la fin du déluge de spam.
Même si les règles ont été officiellement adoptées il y a deux ans, avec une période de grâce jusqu'à maintenant pour s'y adapter, les entreprises ont été lentes à agir, ce qui a donné lieu à une mêlée de dernière minute cette semaine.
Les entreprises peuvent être condamnées à une amende pouvant aller jusqu'à 20 millions d'euros (24 millions de dollars) ou 4% du chiffre d'affaires mondial annuel pour avoir enfreint les règles strictes relatives aux nouvelles données pour l'UE, un marché de 500 millions de personnes.
'Actuellement indisponible'
Plusieurs entreprises ont connu des problèmes concrets concernant le respect des lois de l'UE, avec des journaux américains appartenant au groupe Tronc, anciennement connu sous le nom de Tribune Publishing, affirmant qu'ils étaient bloqués aux Européens pour le moment.
"Malheureusement, notre site est actuellement indisponible dans la plupart des pays européens", a déclaré le message véhiculé par le LA Times, le Chicago Tribune, le New York Daily News, le Baltimore Sun et Orlando Sentinel.
"Nous sommes engagés sur la question et nous nous engageons à examiner les options qui soutiennent notre gamme complète d'offres numériques sur le marché de l'UE.Nous continuons à identifier des solutions de conformité technique qui fourniront à tous les lecteurs notre journalisme primé."
Les journaux américains locaux appartenant à Lee Enterprises, notamment le St. Louis Post Dispatch et l'Arizona Daily Sun, étaient également hors de portée, accusant explicitement le GDPR.
La Commission européenne a insisté sur le fait qu'elle n'était pas responsable de la panne d'électricité de certains sites américains, déclarant qu'elle était "fière d'établir des normes élevées de protection des données" pour les 500 millions de citoyens du bloc.
RépondreSupprimer"Nous avons vu les rapports de presse, mais il n'appartient pas à la Commission de commenter les politiques des entreprises individuelles en termes d'offre de services dans l'UE", a déclaré un porte-parole dans un courrier électronique adressé à l'AFP.
"Nous attendons de toutes les entreprises qu'elles se conforment pleinement au règlement général sur la protection des données dès aujourd'hui.Avec les nouvelles règles, les autorités européennes chargées de la protection des données veilleront à leur bonne application dans toute l'UE et garantiront la pleine conformité."
"Consentement forcé"
Pendant ce temps, le militant Max Schrems a déclaré qu'il avait lancé quatre procès vendredi, en vertu de la nouvelle loi.
Ils ciblent Google en France, le site de partage d'images Instagram en Belgique, WhatsApp en Allemagne et Facebook dans son pays natal, l'Autriche.
Le problème avec tous ces sites, a-t-il dit, est avec les pop-ups apparus ces dernières semaines, demandant aux utilisateurs d'accepter de nouvelles conditions d'utilisation, ajoutant que cela équivaut à un système de "consentement forcé" des utilisateurs.
Un précédent cas introduit par Schrems contre Facebook a déclenché l'effondrement d'un précédent accord de partage de données entre l'UE et les États-Unis.
Bruxelles affirme que les nouvelles lois ont permis aux Européens de "reprendre le contrôle" de leurs données.
"Quand il s'agit de données personnelles aujourd'hui, les gens sont nus dans un aquarium", a déclaré la commissaire à la Justice de l'UE, Vera Jourova.
La loi stipule que les individus doivent explicitement autoriser l'utilisation de leurs données. Il établit également leur «droit de savoir» qui traite leurs informations et à quoi elles serviront; et leur donne le "droit d'être oublié".
Les parents décideront pour les enfants jusqu'à ce qu'ils atteignent l'âge du consentement, que les États membres fixeront entre 13 et 16 ans.
Les arguments en faveur des nouvelles règles ont été renforcés par le récent scandale concernant la collecte des données des utilisateurs de Facebook par Cambridge Analytica, une firme de recherche politique américano-britannique, pour l'élection présidentielle américaine de 2016.
Le chef de Facebook, Mark Zuckerberg, a déclaré mardi au Parlement européen qu'il s'excusait sur le scandale selon lequel son entreprise serait "pleinement conforme" à la législation de l'UE.
https://phys.org/news/2018-05-news-websites-blocked-eu-law.html#jCp
Ultrasons-pare-feu pour les téléphones mobiles
RépondreSupprimer25 mai 2018,
Université des Sciences Appliquées St. Poelten
La mise en réseau permanente des appareils mobiles peut mettre en danger la vie privée des utilisateurs et conduire à de nouvelles formes de surveillance. Les nouvelles technologies telles que Google Nearby et Silverpush utilisent des ultrasons pour échanger des informations entre les appareils via des haut-parleurs et des microphones (également appelés «données sur audio»).
Les appareils communiquent de plus en plus via ce canal de communication inaudible. La communication par ultrasons permet d'associer des dispositifs et d'échanger des informations. Il permet également de suivre les utilisateurs et leur comportement sur un certain nombre d'appareils, un peu comme les cookies sur le Web. Presque tous les appareils dotés d'un microphone et d'un haut-parleur peuvent envoyer et recevoir des sons ultrasoniques. Les utilisateurs ne sont généralement pas au courant de cette transmission de données inaudible et cachée.
Le projet SoniControl de l'Université des Sciences Appliquées de St. Pölten a développé une application mobile qui détecte les cookies acoustiques, les signale aux utilisateurs et, si désiré, bloque le suivi. L'application est donc, dans un sens, le premier pare-feu à ultrasons disponible pour smartphones et tablettes. "La partie la plus difficile du développement de l'application consistait à concevoir une méthode capable de détecter les techniques existantes de transmission d'ultrasons de manière fiable et en temps réel", a déclaré Matthias Zeppelzauer, responsable du projet et chercheur senior du groupe de recherche Media Computing. CreativeMedia / Technologies à St. Pölten UAS.
Déterminer les intérêts et l'emplacement
De tels signaux ultrasonores peuvent être utilisés pour ce qu'on appelle le "suivi multi-appareils". Cela permet de suivre le comportement de l'utilisateur sur plusieurs périphériques, et les profils utilisateur pertinents peuvent être fusionnés les uns avec les autres. De cette manière, des profils d'utilisateurs plus précis peuvent être créés pour la publicité ciblée et le filtrage du contenu Internet.
Jusqu'à présent, il n'a pas été possible de bloquer les cookies acoustiques. "Afin d'accepter les commandes vocales, le microphone du téléphone mobile est souvent actif en permanence.Toute application mobile qui a accès au microphone ainsi que le système d'exploitation lui-même peuvent, à tout moment et sans préavis, activer le microphone d'un appareil mobile, détecter les cookies acoustiques et synchroniser sur Internet", a déclaré Zeppelzauer. Les utilisateurs ne sont souvent pas informés de cette transmission d'informations pendant le fonctionnement. Seule une désactivation permanente du microphone suffirait, rendant l'appareil inutilisable en tant que téléphone.
Masquage des cookies à ultrasons
Dans le projet SoniControl, Zeppelzauer et ses collègues Peter Kopciak, Kevin Pirner, Alexis Ringot et Florian Taurer ont développé une procédure pour exposer les cookies et informer les utilisateurs de l'appareil. Pour masquer et bloquer le transfert de données par ultrasons, les signaux d'interférence sont transmis via le haut-parleur de l'appareil mobile. Ainsi, les cookies acoustiques peuvent être neutralisés avant que les systèmes d'exploitation ou les applications mobiles puissent y accéder. Les utilisateurs peuvent bloquer de manière sélective les cookies sans affecter les fonctionnalités du smartphone.
Le masquage des cookies se fait au moyen d'ultrasons, inaudible pour l'homme. "Il n'existe actuellement sur le marché aucune technologie capable de détecter et de bloquer les cookies acoustiques, l'application développée dans ce projet représente la première approche qui permet aux gens de contrôler ce type de suivi", a déclaré Zeppelzauer.
RépondreSupprimerTous les résultats du projet et l'application ont été rendus publics. Le système est donc directement utilisable et extensible pour tout le monde. Tous les résultats du projet ont été publiés sous licence Creative Commons.
Échange de données par ultrasons dans l'Internet-of-Things
La technologie est actuellement développée dans un projet de suivi, SoniTalk. Grâce aux technologies IoT (Internet-of-Things), un nombre croissant d'appareils communiquent entre eux. La communication par ultrasons est de plus en plus utilisée pour l'échange de données entre téléphones mobiles et appareils. Ainsi, la communication par ultrasons est une technologie alternative pour l'échange de données ad hoc, la communication en champ proche (NFC) et comme canal d'authentification à deux facteurs qui prouve l'identité des utilisateurs en combinant deux composants différents et indépendants.
Le nouveau projet SoniTalk veut donner aux utilisateurs un contrôle total sur ce qui est autorisé à être envoyé par quelle application et devrait effectivement aider à protéger la vie privée des utilisateurs. Le but de SoniTalk est un protocole open source, transparent et entièrement orienté vers la sphère privée pour la communication par ultrasons. SoniTalk cherche à jeter les bases d'un nouveau standard gratuit dans le domaine de la communication par ultrasons qui permet une communication sécurisée et protège la vie privée des utilisateurs.
https://phys.org/news/2018-05-ultrasound-firewall-mobile.html#jCp
France: Macron enterre un plan pour réhabiliter les «zones interdites»
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ve, 25/05/2018 - 03:30
Auteur de Soeren Kern via The Gatestone Institute,
La réaction initiale au discours de Macron fut une déception presque unanime à propos d'une occasion manquée. "Nous attendions des politiques concrètes", a déclaré le maire d'Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza. "Pour l'instant, il n'y a rien de pratique, je suis sorti les mains vides."
Environ six millions de personnes - environ un dixième de la population française - vivent dans 1 500 quartiers classés par le gouvernement comme zones urbaines sensibles (ZUS), cibles prioritaires du renouveau urbain.
De retour à Paris, Macron a admis que la France avait "perdu la bataille sur le trafic de drogue dans de nombreuses villes". Il a promis d'annoncer un nouveau plan de lutte contre le trafic de drogue "d'ici juillet".
Le président Emmanuel Macron a considérablement réduit les plans de réhabilitation des banlieues françaises - quartiers pauvres et infestés par la criminalité avec de grandes populations musulmanes - et a appelé les maires locaux et les groupes de la société civile à trouver des solutions au niveau local.
Le renversement de la politique fait suite à des semaines de débats internes pour déterminer si une approche descendante ou ascendante est le meilleur moyen d'améliorer la vie dans les banlieues troublées, qui sont des terreaux du fondamentalisme islamique et sont souvent qualifiées de zones interdites à cause de les conditions dangereuses là pour la police et d'autres représentants de l'autorité de l'Etat.
Dans un discours très attendu à l'Élysée le 22 mai, Macron a annoncé des initiatives modestes, non budgétisées, pour les banlieues, notamment un plan d'embauche de policiers, une répression du trafic de drogue et un programme de stages en entreprise pour les jeunes défavorisés.
S'adressant à 600 invités, y compris des législateurs, des entrepreneurs, des dirigeants communautaires et des résidents, Macron a déclaré qu'il n'annoncerait pas encore un autre «plan Marshall pour les banlieues», comme l'annonçait un plan de rénovation urbaine en 2008. ont échoué:
"Je n'annoncerai pas un plan de ville ou un plan de banlieue parce que cette stratégie est aussi vieille que moi.Le premier plan a été présenté par [l'ancien Premier ministre français] Raymond Barre à propos de ma naissance ... nous sommes à la fin de ce que cette méthode est capable de produire. "
Macron a appelé à "une mobilisation générale" pour jeter les bases d'une "politique d'émancipation et de dignité" basée sur "une philosophie d'action" et "un changement de méthode" pour sortir les habitants des quartiers pauvres de "l'assignation à résidence". En termes de sécurité, Macron a appelé à «une société de vigilance» construite avec des préfets, des élus et des résidents où «tout le monde est un acteur de la sécurité collective».
Macron a également appelé les 120 premières entreprises françaises à «faire leur part» dans la lutte contre la discrimination contre les Africains, Arabes et Musulmans: «Nous allons étendre les tests pour vérifier les comportements et nous assurer qu'il n'y a pas de discrimination dans les pratiques d'embauche. "
RépondreSupprimerLes propositions de Macron sont loin d'un plan ambitieux annoncé il y a moins d'un mois par l'ancien ministre Jean-Louis Borloo, qui avait été chargé par Macron de concevoir une grande stratégie pour les banlieues.
Le rapport de 164 pages «Vivre ensemble, bien vivre: vers une réconciliation nationale» («Vivre ensemble, vivre en grand: Pour une réconciliation nationale») - dévoilé le 26 avril après neuf mois de travail, énumérait 19 propositions visant à à propos de "changement radical". Ils ont mis l'accent sur l'éducation, l'emploi et la rénovation des bâtiments et des infrastructures en déclin. Le plan coûterait 38 milliards d'euros (45 milliards de dollars) à mettre en œuvre.
"Je veux que le visage de nos quartiers change à la fin de mon mandat de cinq ans, non parce que nous avons investi un certain montant d'argent, mais parce que nous aurons changé nos méthodes", a déclaré M. Macron.
"Cela n'a aucun sens que deux hommes blancs qui ne vivent pas dans ces districts aient échangé un rapport, ce qui ne fonctionne plus".
La réaction initiale au discours de Macron fut une déception presque unanime à propos d'une occasion manquée. "Nous attendions des politiques concrètes", a déclaré le maire d'Aulnay-sous-Bois, Bruno Beschizza. "Pour l'instant, il n'y a rien de pratique, je suis sorti les mains vides."
Stéphanie Daumin, maire de Chevilly-Larue, commune de la banlieue sud de Paris, a tweeté:
"Nous nous attendions à des actes et des engagements forts et nous n'avons eu droit qu'à des mots Douche froide pour ceux qui ont travaillé sur #RapportBorloo et qui veulent rééquilibrer les territoires et le retour de l'égalité républicaine."
Le leader des Républicains de centre-droit, Laurent Wauquiez, a qualifié le discours de Macron de «show politique à ne rien faire» et de «photo-opportunité».
Éric Coquerel, député du parti d'extrême-gauche La France Insoumise, a accusé Macron d '"enterrer" le rapport Borloo et d' "humilier" ceux qui y travaillaient. Il a ajouté que Macron avait "proposé une série de mesures sans financement, investissement ou nouveauté".
Stéphane Le Foll, ancien porte-parole
Stéphane Le Foll, ancien porte-parole du gouvernement socialiste du président François Hollande, a tweeté: "Nous assistons à la liquidation du plan Borloo".
Marine Le Pen, présidente du Front national, a noté que Macron n'avait pas abordé les questions de l'immigration et de l'islamisme:
«A peine un mot sur l'immigration, à peine un mot sur l'intégrisme islamique, nous savons parfaitement que ces problèmes sont en partie à l'origine des difficultés de la banlieue: refuser de voir la réalité, c'est se condamner à l'échec.
RépondreSupprimerEnviron six millions de personnes - environ un dixième de la population française - vivent dans 1 500 quartiers classés par le gouvernement comme zones urbaines sensibles (ZUS), cibles prioritaires du renouveau urbain.
En octobre 2011, un rapport historique de 2200 pages, «Banlieue de la République», a constaté que de nombreuses banlieues françaises sont en train de devenir des «sociétés islamiques distinctes» coupées de l'État français et où la loi islamique est rapidement déplaçant le droit civil français. Le rapport indique que les immigrés musulmans rejettent de plus en plus les valeurs françaises et se plongent plutôt dans l'islam radical.
Le rapport, commandé par l'influent groupe de réflexion français, L'Institut Montaigne, a été dirigé par Gilles Kepel, un éminent politologue et spécialiste de l'Islam, avec cinq autres chercheurs français.
Les auteurs du rapport ont montré que la France - qui compte aujourd'hui 6,5 millions de musulmans (la plus grande population musulmane de l'Union européenne) - est au bord d'une explosion sociale majeure en raison de l'incapacité des musulmans à s'intégrer dans la société française.
Le rapport a également montré comment le problème est exacerbé par les prédicateurs musulmans radicaux, qui favorisent la marginalisation sociale des immigrés musulmans afin de créer une société musulmane parallèle en France qui est régie par la charia.
La recherche s'est principalement déroulée dans les cantons de Clichy-sous-Bois et de Montfermeil en Seine-Saint-Denis, deux banlieues à zéro pour les émeutes musulmanes de l'automne 2005, lorsque des foules musulmanes ont incendié plus de 9 000 voitures.
Le rapport décrit la Seine-Saint-Denis comme un «désert de désindustrialisation» et indique que dans certaines régions, «un tiers de la population de la ville ne possède pas la nationalité française et de nombreux résidents sont attirés par une identité islamique».
- voir sur site -
Sur la photo: Une rue résidentielle dans le canton français de Clichy-sous-Bois, une partie de la banlieue parisienne de Seine-Saint-Denis, qui a été décrite dans un récent rapport comme un "désert de désindustrialisation" où "un tiers des la population de la ville ne possède pas la nationalité française, et de nombreux résidents sont attirés par une identité islamique. " (Source de l'image: Marianna / Wikimedia Commons)
Un autre canton de Seine-Saint-Denis est Aubervilliers. Parfois désigné comme l'un des «territoires perdus de la République française», sa population est plus de 70% musulmane. Les trois quarts des jeunes de moins de 18 ans du canton sont étrangers ou français d'origine étrangère, principalement originaires du Maghreb ou d'Afrique subsaharienne. On dit que la police française s'aventure rarement dans certaines des parties les plus dangereuses du canton.
Un jour avant le discours de Macron, les chaînes de télévision françaises ont diffusé des images de tireurs masqués ouvrant le feu en plein jour dans la ville portuaire de Marseille. Les assaillants, vêtus de noir et portant des fusils d'assaut Kalachnikov, ont kidnappé un individu, l'ont placé dans une voiture et l'ont emmené au loin alors que la police restait impassible. Les gangsters, qui seraient impliqués dans une guerre de territoire pour le contrôle du trafic de drogue dans la ville, "ne craignent ni la police ni la justice", selon un officier, qui a déclaré que la police "n'avait aucune chance" parce qu'ils étaient démunis. et outmaneuvered.
RépondreSupprimerDe retour à Paris, Macron a admis que la France avait "perdu la bataille sur le trafic de drogue dans de nombreuses villes". Il a promis d'annoncer un nouveau plan de lutte contre le trafic de drogue "d'ici juillet".
https://www.zerohedge.com/news/2018-05-24/france-macron-buries-plan-rehabilitate-no-go-zones
(...) contre les Africains, Arabes et Musulmans (...)
SupprimerSeulement contre les 'africains' ? Puis au lieu de citer la religion d'adolf hitler ils marquent 'arabe' ! (langue parlée par la nazional socialiste et musulmans).
C'est comment Alexa enregistre et partage des conversations privées d'Amazon sans votre permission
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven. 25/05/2018 - 08:07
Il s'avère que le scandale concernant l'enregistrement par Alexa d'un assistant personnel contrôlé par Amazon et le partage de conversations privées avec des pirates et avec des personnes figurant sur la liste de contacts des utilisateurs est beaucoup plus grave que ce que craignait l'entreprise.
Comme l'a rapporté Bloomberg, Amazon a répondu à un rapport de KIRO 7 sur un couple qui a reçu un appel d'un ami disant "débranchez vos appareils Alexa dès maintenant, vous êtes piraté" après que l'appareil de l'entreprise ait partagé une conversation privée sans autorisation explicite.
Amazon a proposé une «explication» complexe et sinueuse pour la série de coïncidences étranges qui ont poussé Alexa à enregistrer et à partager la conversation privée d'un couple. Il a commencé avec le déclenchement d'Alexa quand il a entendu un mot qui ressemblait à "Alexa" - la commande de la technologie active. Voici les détails:
Amazon a expliqué la série d'événements qui ont déclenché l'épisode dans une déclaration envoyée par courrier électronique. L'Echo s'est réveillé après avoir entendu un mot dans la conversation du couple qui ressemblait à "Alexa" - le déclencheur habituel pour commencer l'enregistrement. L'orateur a ensuite entendu "envoyer un message" pendant la conversation, à quel moment l'appareil a demandé "à qui?" La paire a continué à parler en arrière-plan et le système de l'Echo a interprété une partie de la conversation pour identifier un nom dans la liste de contacts du couple. Alexa a ensuite demandé à haute voix si elles voulaient envoyer un message à ce contact et entendu "juste" dans plus de conversation de fond.
"Aussi improbable que soit cette série d'événements, nous évaluons des options pour rendre cette affaire encore moins probable", a indiqué la compagnie.
Le rapport a renforcé les préoccupations en matière de protection de la vie privée, car les appareils connectés à Internet, comme Amazon Echo, sont omniprésents dans les foyers. Amazon en 2014 a introduit la nouvelle ligne de périphériques, qui peuvent également diffuser de la musique et commander des marchandises à partir d'Amazon via la commande vocale. Il a été occupé à introduire des versions mises à jour et à ajouter des fonctionnalités pour vendre plus d'appareils que ses rivaux comme Alphabet Inc. et Apple Inc., qui offrent leurs propres versions.
L '«explication» suggère que les consommateurs devraient faire extrêmement attention à ce qu'ils disent autour de leurs assistants personnels au point où plus d'utilisateurs devraient envisager de désactiver l'appareil lorsqu'il n'est pas utilisé. Et il y en a plein: plus de 60 millions de consommateurs américains utiliseront un haut-parleur intelligent au moins une fois par mois cette année, et plus de 40 millions d'entre eux utiliseront les appareils d'Amazon, selon eMarketer Inc.
RépondreSupprimerRyan Calo, un professeur de droit associé à l'Université de Washington qui étudie l'intersection du droit et de la technologie, a déclaré que cet incident pourrait causer des dommages durables non seulement à la marque Alexa, et donc Amazon, mais aussi aux assistants personnels. et Apple font leur propre modèle).
Ryan Calo, professeur de droit associé à l'Université de Washington, explique comment le droit s'applique à la technologie. «Les gens ont été prêts à ignorer les problèmes dans l'Echo, comme si cela s'était déclenché accidentellement ou sans que le mot d'ordre ne soit prononcé. Cet incident est plus alarmant depuis qu'une conversation privée a été enregistrée et envoyée à un tiers, at-il dit.
"Pensez à quel point les millions de gens qui possèdent ces choses se sentent mal à l'aise", a déclaré Calo. "Le véritable mal est l'invasion dans la solitude que les gens vivent maintenant dans leurs maisons."
Sans parler des dommages qu'elle pourrait causer à la technologie plus largement, alors que la paranoïa entourant la vie privée continue de s'intensifier, selon Daniel Kahn Gillmor, technologue interne à l'American Civil Liberties Union.
https://www.zerohedge.com/news/2018-05-25/how-amazons-alexa-records-and-shares-private-conversations-without-your-permission
RUSSIE - POUTINE LAISSE PLANER LE DOUTE SUR SON AVENIR
RépondreSupprimerLe dirigeant russe a laissé entendre qu'il respectera la Constitution et qu'il abandonnera la présidence en 2024.
Vladimir Poutine aura 71 ans en 2024, quand il achèvera son mandat.
25.05.2018, 20h48
Vladimir Poutine a laissé planer le doute vendredi sur son avenir après son quatrième mandat, qui s'achève en 2024, laissant entendre qu'il pourrait redevenir Premier ministre comme il l'avait fait en 2008.
«Je m'en suis toujours tenu et je m'en tiens à la Constitution de la Russie. Dans la Constitution, il est écrit clairement: pas plus de deux mandats» consécutifs, a-t-il déclaré lors du Forum économique de Saint-Pétersbourg alors qu'il était interrogé pour savoir s'il quitterait réellement le pouvoir après 2024.
«Aujourd'hui, j'en suis à mon deuxième mandat», a-t-il ajouté avant de rappeler qu'en 2008, il avait abandonné son poste de président pour devenir Premier ministre avant de revenir au pouvoir quatre ans plus tard.
Redevenir Premier ministre ?
«J'ai abandonné le poste de président parce que la Constitution n'autorisait pas à être élu une troisième fois. Voilà tout. Je suis prêt à m'en tenir à cette règle à l'avenir», a-t-il déclaré, laissant ainsi entendre qu'il pourrait appliquer la même méthode et redevenir Premier ministre.
En 2008, après son deuxième mandat comme président, Vladimir Poutine avait confié le Kremlin à Dmitri Medvedev. Mais Vladimir Poutine, devenu Premier ministre, était resté le véritable homme fort du pays, s'exprimant sur tous les dossiers cruciaux et prenant les principales décisions, selon les observateurs.
Interrogé en mars par un journaliste au soir de sa victoire à l'élection présidentielle sur un éventuel nouveau mandat en 2030, Vladimir Poutine avait semblé écarter une telle hypothèse: «Vous devez plaisanter! Qu'est-ce je dois faire ? Rester ici jusqu'à mes 100 ans ? Non». Le président russe, né le 7 octobre 1952, aura 71 ans en 2024, quand il achèvera son mandat. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/poutine-laisse-planer-doute-avenir/story/11303517
Un test de missile surface-air russe secret est le plus long jamais réalisé au monde
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ve, 25/05/2018 - 21:35
CNBC vient d'annoncer, citant une source militaire anonyme, que la Russie a mené silencieusement le plus long test du système de missiles antiaériens au monde, détruisant des cibles ennemies fictives à une portée record.
Si et quand ce système de missiles sera déployé, cela pourrait être un déclencheur pour les militaires russes, avec des capacités accrues de déni de zone en Europe, en Asie de l'Est et au Moyen-Orient - cela effraiera sans aucun doute Washington.
- voir dessins sur site -
Dessin futuriste du système de missile antiaérien S-500. (Source: Almaz-Antey)
La source ayant une connaissance directe des renseignements américains concernant le S-500 Prometey, aussi connu sous le nom de 55R6M "Triumfator-M", un système de missile sol-air / anti-balistique destiné à remplacer le système de missiles A-135 et à S-400, a déclaré que le test de missile a atteint une cible à 299 miles de distance - 50 miles de plus que le système existant S-400.
Composants du système S-500
Moscou prétend que le S-500 est un système de missiles sol-air de nouvelle génération et qu'il a la capacité «d'intercepter des missiles hypersoniques, des drones et des avions ainsi que des avions de combat furtifs comme le F-22 et le F-35. Le système S-500 augmenterait les capacités du Kremlin à engager plusieurs cibles avec des frappes de précision ", a déclaré CNBC.
La gamme de systèmes de défense antiaérienne S-400 de la Russie en 2016 en Europe, en Asie et en Russie.
Outre les missiles balistiques et hypersoniques, Moscou prétend également que le S-500 dispose d'une portée capable d'intercepter les satellites en orbite basse, les armes spatiales lancées à partir d'avions hypersoniques et les plateformes orbitales hypersoniques.
Cependant, la source militaire anonyme a négligé de fournir à CNBC des connaissances spécifiques sur le moment et l'emplacement du test.
La vidéo ci-dessous est un test du système de missile anti-balistique S-400
- voir sur site -
Plus tôt ce mois-ci, le président russe Vladimir Poutine a déclaré que Almaz-Antey, le concepteur de l'arme, avait été averti de préparer les systèmes de missiles S-500 pour la production de masse.
"L'une des tâches clés consiste à améliorer les moyens de guerre anti-précision. Il est nécessaire de développer et de développer des bases technologiques dans le domaine de la défense aérienne, de poursuivre la modernisation des systèmes Pantsir, de terminer le développement et les préparatifs pour la production en série des systèmes les plus récents S-500 capables de frapper des cibles à très haute altitude, », a déclaré M. Poutine lors d'une réunion avec les plus hauts gradés de Russie et les dirigeants des entreprises du secteur de la défense.
Bien que ni Poutine ni le concepteur d'armes n'aient encore fait de déclarations officielles à propos des tests, il semble que la production du système de missiles soit sur le point de s'accélérer pour la date de déploiement de 2020. Pendant ce temps, avec la plus longue gamme de missiles surface-air du monde, associée à une affirmation selon laquelle elle peut détruire les chasseurs furtifs et les hypersoniques américains, le système de missiles S-500 a sans aucun doute choqué Washington. Quelle sera la réponse de Trump? Eh bien, bien sûr, plus de dépenses de défense jusqu'à ce que le pays fasse faillite.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/news/2018-05-25/secretive-russian-surface-air-missile-test-worlds-longest
Voici quand la Chine va gagner la course aux armements avec les États-Unis, et comment BofA la négocie
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ve, 25/05/2018 - 22:15
Mike Hartnett, de Bank of America, écrit que la «guerre commerciale» de 2018 devrait être reconnue pour ce qu'elle est en réalité: la première étape d'une nouvelle course aux armements entre les États-Unis et la Chine. atteindre la supériorité nationale de la technologie à plus long terme grâce à l'informatique quantique, à l'intelligence artificielle, aux avions de guerre hypersoniques, aux véhicules électroniques, à la robotique et à la cybersécurité.
Ce n'est pas un secret, car la stratégie chinoise est présentée dans son plan «Made in China 2025»: elle vise à transformer la «base industrielle de la Chine» en une centrale «intelligente de fabrication» via une compétitivité accrue et une érosion du leadership technologique du commerce industriel rivaux, par exemple Allemagne, États-Unis, Corée du Sud; C'est précisément ce à quoi Peter Navarro fait rage et dans l'espoir d'intercepter l'ascension de la Chine dès que possible.
A la pointe du plan de croissance ambitieux de la Chine, les investissements de Pékin dans les technologies avancées d'Internet et de communication, les systèmes embarqués et les machines intelligentes visent à garantir que 40% des puces téléphoniques chinoises, 70% des robots industriels, 75% 80% des équipements d'énergie renouvelable sont "Made in China" d'ici 2025.
Pendant ce temps, la stratégie China First sera abordée de front par une stratégie d'America First. D'où la «course aux armements» dans les dépenses technologiques qui, dans les deux pays, est intimement liée aux dépenses de défense. Le FMI prévoit que les dépenses militaires des États-Unis et de la Chine augmenteront considérablement au cours des prochaines décennies, mais le choc est que d'ici 2050, la Chine dépassera les États-Unis, dépensant 4 milliards de dollars pour ses forces armées, et 1 billion de dollars ou 3tn $.
Cela signifie que vers 2038, dans deux décennies environ, la Chine dépassera les dépenses militaires américaines et deviendra la superpuissance dominante dans le monde, non seulement en termes de croissance démographique et économique, mais aussi en Chine d'ici 2032. - mais aussi dans la force militaire et l'influence mondiale.
- voir graphique sur site -
Et, comme l'explique clairement Thucydides Trap, ce genre de transition sans précédent de la superpuissance - dans laquelle la monnaie de réserve mondiale passe de l'état A à l'état B - a toujours lieu dans le contexte d'une guerre.
Ce qui explique la recommandation stratégique à long terme de BofA: «Nous croyons que les investisseurs devraient détenir des actions mondiales de défense, de technologie et de cybersécurité, en particulier des sociétés considérées comme« champions de la sécurité nationale »au cours des 10 prochaines années.
Et voici la raison pour laquelle:
- voir graphique sur site -
Parce qu'on pourrait aussi bien gagner de l'argent avant la prochaine guerre mondiale ...
https://www.zerohedge.com/news/2018-05-25/heres-when-china-will-win-arms-race-us-and-how-bofa-trading-it
"Massacre": le pirate des Caraïbes attaque 160 %
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ve, 25/05/2018 - 20:55
Les attaques de pirates modernes dans les Caraïbes et en Amérique latine sont hors de contrôle, selon un rapport de mercredi qui a trouvé une pointe de 163 % dans l'activité des pirates qui a conduit à la perte de 948.690 $ de biens volés. Le rapport, produit par le groupe à but non lucratif Oceans Beyond Piracy, a révélé que 59 % des attaques impliquaient des vols sur des yachts.
- voir graphique suir site -
"Nous avons observé une augmentation significative des incidents violents et des crimes d'ancrage, en particulier dans les mouillages du Venezuela et les récents incidents violents au large du Surinam dans la première partie de cette année", explique Maise Pigeon, auteur principal du rapport. "L'activité des pirates en 2017 démontre clairement que les groupes de pirates conservent leur capacité à organiser et à mettre en œuvre des attaques contre les navires qui transitent dans la région."
Les pirates ont frappé les eaux au large des côtes du Suriname.
En avril, au moins une douzaine de pêcheurs guyaniens ont disparu ou ont été redoutés après une attaque de pirates dans la région.
Le président du Guyana, David Granger, a qualifié l'attaque de "massacre".
Et un capitaine de bateau de pêche a été abattu après que son navire a été attaqué en mai. Le reste de son équipage a survécu.
Les boucaniers ont également attaqué des mouillages au Venezuela, à Saint-Vincent-et-les Grenadines, en Colombie et à Sainte-Lucie. -Marketwatch
- voir graphique suir site -
Selon le rapport, "854 marins ont été touchés par la piraterie et les vols à main armée en Amérique latine et dans les Caraïbes, contre 527 en 2016. Une augmentation significative a été constatée dans les arraisonnements et les attaques ainsi que dans les vols qualifiés".
https://www.zerohedge.com/news/2018-05-25/massacre-caribbean-pirate-attacks-160
Après toutes les villes et campagnes de l'arc antillais, les 'pirates' (les mêmes étrangers qu'au Venezuela avec le même objectif) s'attaquent aux bateaux qui osent accoster dans la Caraïbe !
SupprimerCe ne sont pas les 'paradis fiscaux' qui sont visés par l'inondation voulue de drogues et d'armes mais la population totale qui ose vivre sous les cocotiers.
Faut dire qu'en cas de guerre ailleurs...
Les soldats du Nebraska saisissent suffisamment de fentanyl pour tuer 26 millions d'Américains
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 25/05/2018 - 20:15
Selon la Patrouille d'État du Nebraska, 118 kilos de stupéfiants ont été saisis par des soldats en avril, ce qui, du jour au lendemain, a été confirmé par le NSP Crime Lab comme du fentanyl. C'est non seulement la plus grande saisie de Fentanyl dans l'histoire du Nebraska, mais aussi la plus grande jamais aux États-Unis - assez pour tuer plus de 26 millions de personnes.
@NEStatePatrol
Rupture: Les 118 livres d'opiacés saisis par les soldats en avril ont été confirmés en tant que laboratoires de criminalistique du NSP comme étant entièrement du fentanyl.
La saisie la plus importante de fentanyl dans l'histoire du Nebraska et l'une des plus importantes aux États-Unis.
17h14 - 24 mai 2018
Jeudi, le gouverneur du Nebraska, Pete Ricketts, a annoncé publiquement le buste record et a loué le travail des soldats qui étaient responsables de la saisie.
Les autorités ont saisi le fentanyl lors d'un arrêt de circulation le jeudi 26 avril, lorsque des soldats ont soupçonné un camion-tracteur et une semi-remorque Freightliner 2013 de conduire sur l'accotement près du repère kilométrique 280. Les soldats ont fouillé le véhicule et découvert un compartiment secret situé dans le remorque vide. Le 01 mai, la patrouille d'État du Nebraska a déclaré que «le compartiment contenait 42 paquets emballés sous film d'aluminium contenant 73 livres de cocaïne et 44 livres d'une poudre inconnue soupçonnée d'être du fentanyl».
Narcotiques trouvés dans un compartiment secret de la remorque vide. (Source: Patrouille d'État du Nebraska)
Au début, les soldats pensaient avoir découvert surtout de la cocaïne - probablement dirigée vers un comptoir de négociation à Wall Street - mais une analyse plus approfondie a montré qu'il s'agissait de fentanyl pur, et probablement destiné à rouiller les villes.
En raison des protocoles de recherche et de saisie, les soldats n'ont pas effectué d'essais sur le terrain en raison de «la nature dangereuse de la substance».
Le fentanyl peut être 30 à 50 fois plus puissant que l'héroïne et 50 à 100 fois plus mortel que la morphine. Application de la loi (DEA).
- voir graphique sur site -
Le camionneur, Felipe Genao-Minaya, 46 ans, et le passager, Nelson Nunez, 52 ans, tous deux originaires du New Jersey, ont été arrêtés pour possession de stupéfiants avec l'intention de livrer, selon la Patrouille d'État du Nebraska. Les hommes ont été retenus à la prison du comté de Buffalo et sont détenus avec une caution de 100 000 $.
Alors que la Nebraska State Patrol a enregistré une saisie record de fentanyl et a sauvé tous les niveaux de gouvernement des millions de dollars en dépenses pour de futures overdoses d'opioïdes, le dernier rapport du Federal Reserve Board sur le bien-être économique des ménages américains disent qu'ils connaissent quelqu'un accro au fentanyl, à l'héroïne, aux opioïdes et aux antidouleurs sur ordonnance.
«Le sondage de cette année révèle que la hausse des niveaux d'emploi se traduit par une amélioration des conditions financières pour beaucoup d'Américains, mais pas tous. Un tiers d'entre eux déclarent vivre confortablement et 40% d'entre eux se disent en bonne santé. Brainard.
RépondreSupprimer"Même avec l'amélioration des perspectives financières, cependant, 40 pour cent disent toujours qu'ils ne peuvent pas couvrir une dépense d'urgence de 400 $, ou le feraient en empruntant ou en vendant quelque chose. Nous avons appris qu'environ un adulte sur cinq connaît quelqu'un qui a une dépendance aux opioïdes ou aux analgésiques; les Blancs sont environ deux fois plus susceptibles d'avoir une telle exposition que les Noirs et les Hispaniques; et l'exposition ne varie pas beaucoup selon le niveau d'éducation ou la conjoncture économique locale », a ajouté M. Brainard.
Décès nationaux par surdose, de 2000 à 2016
- voir graphique sur site -
Parmi les plus de 64 000 décès par surdose de drogue estimés en 2016, la plus forte augmentation est survenue parmi les décès liés au fentanyl et aux analogues du fentanyl (opioïdes synthétiques) avec plus de 20 000 décès par surdose. (Source: CDC)
Les overdoses de drogue ont tué plus d'Américains en 2016 que la guerre du Vietnam.
Alors que les autorités du Nebraska ont déjoué une bombe au Fentanyl d'un océan à l'autre, la crise des opioïdes en Amérique est loin d'être terminée, la surdose de drogue continue à ravager le pays, tuant plus d'Américains que pendant la guerre du Vietnam.
https://www.zerohedge.com/news/2018-05-25/nebraska-troopers-seize-enough-fentanyl-kill-26-million-americans
Un milliard de poulets peut mourir au moment où la grève des camionneurs paralyse le Brésil
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven. 25/05/2018 - 18:55
Un milliard de poulets brésiliens et 20 millions de cochons peuvent mourir dans les jours qui suivent - en train de mourir de faim au milieu d'une grève nationale des camionneurs contre l'envolée des prix des carburants qui empêche les approvisionnements essentiels tels que les aliments pour animaux d'atteindre leurs destinations.
[E] xport groupe ABPA a déclaré qu'un milliard de poulets et 20 millions de porcs peuvent mourir dans les prochains jours en raison d'un manque de fourrage. "-Bloomberg
Alors que la grève entre dans sa cinquième journée de vendredi - ignorant complètement un accord du jeudi soir, Sao Paulo a déclaré l'état d'urgence en raison du manque de ressources vitales pour ses plus de 12 millions d'habitants.
Le président Michel Temer a déployé des forces de sécurité nationales pour débloquer les routes au milieu des avertissements que les perturbations d'approvisionnement risquent de causer une calamité publique.
"J'ai demandé aux forces de sécurité fédérales de débloquer les autoroutes et je demande aux gouverneurs de faire de même", a déclaré Temer dans un discours télévisé vendredi. "Nous ne laisserons pas la population se passer de ses besoins primaires."
"Ceux qui agissent de manière radicale font du tort à la population et ils seront tenus responsables."
Temer a choisi de déployer des forces fédérales après avoir rencontré des ministres pour une «évaluation de la sécurité» dans le pays, alors que la grève des camionneurs continuait, malgré l'accord entre le gouvernement et les représentants de la catégorie jeudi soir.
Le gouvernement a également appelé la Cour suprême fédérale pour la grève des camionneurs à être déclarée illégale. -Globo
Alors que la grève a commencé lundi sur les prix du carburant, elle s'est rapidement transformée en une protestation généralisée contre les scandales de corruption du gouvernement impliquant plusieurs politiciens éminents - y compris Temer.
Malgré le déploiement des forces, Carlos Marun, ministre du Département du gouvernement, a admis que les demandes des camionneurs en grève sont «justes». Lorsqu'on lui a demandé si le gouvernement avait négocié avec les «mauvaises personnes», puisque les routes continuaient d'être bloquées malgré l'accord de jeudi, Marun a plaisanté en disant qu'il n'était pas possible de parler à tous les camionneurs en même temps.
"C'est un mouvement dispersé et diffus, et je reconnais que les dirigeants à qui nous parlons n'ont pas le pouvoir d'éteindre le mouvement comme quelqu'un qui éteint un interrupteur d'alimentation", a déclaré Maron, ajoutant: "Nous avons parlé à qui nous devions nous avons parlé, nous nous sommes préparés depuis dimanche, et compte tenu des réclamations justes, nous avons décidé de négocier avant de prendre des mesures plus radicales. "
Le ministre du gouvernement a cependant noté que le manque d'action des camionneurs a provoqué le déploiement des forces gouvernementales vendredi et l'utilisation possible de la force.
"En raison de la non-conformité, nous devrons utiliser ce que nous ne voudrions pas, l'utilisation possible de la force ... afin de ne pas diminuer le mouvement, nous utilisons les mesures qui sont nécessaires., Pour le moment, il est nécessaire », a-t-il dit.
RépondreSupprimerPendant ce temps, les supermarchés et les restaurants de São Paulo et de Rio de Janeiro sont à court de fournitures, plusieurs usines ont été fermées et les services d'autobus ont été considérablement réduits en raison de la grève.
Pour tenter de mettre fin au conflit, la compagnie pétrolière Petrobas a baissé le prix du diesel de 10% pendant deux semaines - mais tout ce qui a été fait, ce sont les investisseurs effrayés. Les camionneurs n'ont pas été impressionnés, étant donné qu'ils ont subi des hausses de prix du carburant d'environ 50% au cours de la dernière année.
Les actions de Petrobras ont plongé après l'annonce et sont en baisse d'au moins 20% cette semaine, entraînant des pertes dans l'indice Ibovespa, qui a perdu 4,3% sur la période. Cela a poussé la chute mensuelle du marché boursier à 7,7%, l'un des moins bons parmi les principaux indices de référence mondiaux.
La monnaie a perdu 4,3% en mai en raison de la tourmente généralisée sur les marchés émergents et de l'arrêt inattendu de la banque centrale de son cycle d'assouplissement.
La grève affectera pratiquement tous les aspects de l'économie brésilienne. RTL Today rapporte que l'industrie automobile brésilienne a complètement fermé ses portes vendredi à cause de la grève.
"Les lignes de montage des constructeurs automobiles brésiliens se sont arrêtées, la grève des camionneurs affectera considérablement nos résultats, y compris pour les exportations", a déclaré l'Association nationale des constructeurs automobiles, le cinquième jour de la grève.
Pendant ce temps, l'aéroport de Brasilia signale que ses réserves de kérosène s'épuisent, forçant American Airlines à annuler un vol de Miami initialement destiné à la ville de Capitol vendredi matin, avec un vol de retour le soir. Et dans un autre signe de calamité imminente, le plus grand port d'Amérique latine serait à court de soja.
La grève a également considérablement endommagé la réputation du président conservateur Temer, ainsi que ceux de son orbite.
Alors que le président a abandonné son projet de se présenter à une réélection en octobre, les candidats associés à son gouvernement ou même ceux qui sont simplement sympathiques à son programme favorable au marché ont subi un coup majeur. Les candidats à la présidence du Brésil ont été réticents à critiquer les grévistes, bien que certains aient remis en question leurs tactiques.
Raul Jungmann, ministre de la Sécurité publique, a déclaré que les autorités enquêteraient pour savoir si les entreprises de camionnage interdisent aux employeurs de travailler, ce qui constituerait une violation des lois du «lock-out» du Brésil.
https://www.zerohedge.com/news/2018-05-25/one-billion-chickens-may-die-trucker-strike-paralyzes-brazil
La hausse des prix (taxes) du pétrole contraint la totalité de la population prise en otage de dépenser plus pour circuler pour aller travailler, plus pour les aliments transportés et plus pour les bus, métro, taxis et chauffage.
SupprimerQu'est-ce qui menace l'économie mondiale ?
RépondreSupprimer22:53 25.05.2018
Le Président russe a indiqué les principales menaces que l'économie mondiale affrontait aujourd'hui et a donné les recettes qui pourraient l'aider à surmonter la crise.
La situation actuelle dans le monde met à l'épreuve les relations internationales dans leurs aspects essentiels dont l'économie, la politique et le commerce, a souligné le Président russe lors de la session plénière du Forum économique international de Saint-Pétersbourg.
Poutine: la «spirale des sanctions» continue de se propager
«Le système de coopération multilatérale, qui a été construit pendant des décennies, au lieu d'évoluer naturellement, s'effondre, et assez grossièrement. La violation des règles devient un règle à part entière», a souligné le Président.
Vladimir Poutine a également noté que malgré les déclarations sur la solidarité et les accords conclus précédemment, la spirale des sanctions se propageait et touchait de nouveaux pays.
«Une sortie de l'une des parties contractantes du cadre juridique et une violation des accords impliquent toujours des risques et des pertes. C'est un axiome du monde des affaires. Mais à l'échelle mondiale, un tel comportement — surtout s'il s'agit des centres de pouvoirs — pourrait entraîner des conséquences plus que négatives et destructives. Encore plus maintenant, alors que le mépris des normes existantes et la perte de confiance mutuelle pourraient coïncider avec l'imprévisibilité et la turbulence de changements colossaux. Cette conjonction de facteurs peut conduire à une crise systématique que le monde n'a jamais rencontré», a déclaré M.Poutine.
Pour faire face à ces menaces, le monde a besoin d'une économie de confiance, d'une paix commerciale à long terme et non d'une trêve temporaire.
«Je suis convaincu que la vie elle-même indique que le rôle de la confiance en tant que facteur de développement va augmenter», a-t-il ajouté.
Selon le Président, le commerce mondial a besoin d'un mécanisme légitime qui permettra de se débarrasser des normes archaïques, mais de préserver le meilleur.
«Bien sûr, le monde change, ensemble nous devons développer et mettre en œuvre un mécanisme légitime dans le cadre duquel la communauté mondiale pourra se débarrasser de normes archaïques, parfois inefficaces, tout en préservant les meilleures et en créant de nouveaux outils répondant aux exigences de l'époque», a-t-il conclu.
En outre, le Président a souligné que la Russie défendait la liberté de commerce et d'intégration économique, ainsi qu'un dialogue de partenariat constructif. Il a appelé les États-Unis, l'Europe, l'Asie et les autres régions du monde à s'unir pour un développement durable.
https://fr.sputniknews.com/economie/201805251036529899-economie-mondiale-menace/
Plus de riches et plus de pauvres va se traduire par l'arrivée de magasins chers où seuls les riches achèteront.
SupprimerPar contre, en TOUS PAYS, si vous supprimez les taxes: c'est TOUT LE MONDE qui est riche ! Tout-à-coup du jour au lendemain presque zéro chômeur !!
Vous imaginez vous l'essence à 10 cts le litre ?
Voyez au Venezuela: Électricité gratuite, carburants gratuits, fruits et légumes qui poussent tout seuls sous les tropiques toute l'année !
"Quelle est la différence entre un pro et un amateur? Les professionnels recherchent ce qui ne va pas avec une configuration. Les amateurs ne cherchent que ce qui est juste. "
États-Unis ont la plus grande dette de l'histoire mondiale, le dollar perdra le statut de devise n ° 1 - Jim Rogers
RépondreSupprimerRT Nouvelles
26 mai 2018
Le dollar américain devient moins attrayant pour les investisseurs alors que la dette américaine continue de grimper et que le billet vert est imprimé pour le couvrir, a déclaré l'investisseur Jim Rogers au Forum économique international de Saint-Pétersbourg (SPIEF).
La devise américaine perdra le statut de monnaie de réserve principale beaucoup plus tôt que 2030, a déclaré Rogers lors de la session de discussion du Club Valdai, organisée dans le cadre de SPIEF.
"Le dollar va être plus élevé que maintenant parce que la tourmente arrive. Ensuite, cela va être trop cher et les gens vont regarder autour de lui et dire: «L'Amérique a la plus grande dette de l'histoire du monde. Il imprime de l'argent aussi vite que possible », a déclaré l'investisseur.
Les gens vont regarder ce que font le Brésil, la Russie, la Chine, l'Inde, l'Iran et d'autres pays en développement, a déclaré Rogers. "Ils forment actuellement une monnaie concurrente", a-t-il ajouté. Ainsi, l'alternative du dollar viendra des pays qui ont été «dirigés par les Etats-Unis, et ils n'aiment pas ça, mais ont assez de pouvoir pour faire quelque chose à ce sujet».
Rogers a poursuivi en disant que des organisations telles que le Fonds monétaire international et la Banque mondiale «n'ont jamais eu raison» et qu'elles devraient être abolies, car elles dépendent politiquement des États-Unis depuis des décennies.
Parlant séparément à RT, l'homme d'affaires a déclaré que les sanctions et les guerres commerciales sont la plus grande menace à la stabilité économique mondiale. "Le monde a appris à travers l'histoire que la fermeture n'est pas bonne, l'ouverture est bonne", a déclaré Rogers.
https://www.lewrockwell.com/2018/05/no_author/abolish-the-imf-and-world-bank/