La Sierra Leone organise le premier scrutin «gratuit et équitable» au monde
par Tyler Durden Sam, 03/10/2018 - 22:30
Sierra Leone
Et dans un autre triomphe, la première élection nationale à être suivie et vérifiée à l'aide de la technologie blockchain s'est déroulée en Sierra Leone cette semaine. Les votes sont encore comptés, mais Agora supervise le premier test bêta de sa technologie blockchain de surveillance de vote, comme l'a rapporté Coindesk.
Alors que les électeurs se préparaient à voter dans une campagne houleuse entre 16 candidats, à leur insu, Agora, une start-up de blockchain, aidait à garder une trace de tout cela et, grâce à son registre distribué, fournissait un aperçu sans précédent du processus.
Dans ce qui semble être une première mondiale pour la technologie émergente, Agora a utilisé une blockchain privée et autorisée, inspirée de la technologie qui soutient le bitcoin et d'autres cryptocurrences, pour superviser les résultats d'une élection nationale en temps réel. Il a ensuite transmis les données aux personnes chargées de superviser et de vérifier le processus démocratique de la nation.
Bien sûr, la technologie est encore très rudimentaire, et les employés d'Agora ont dû vérifier physiquement les bulletins de vote papier avant de saisir leur contenu dans la base de données blockchain de l'entreprise.
La technologie de l'entreprise, appelée «skipchain», est ce que l'on appelle une blockchain «autorisée» - où seules certaines données entrées dans la base de données sont visibles par le public (dans ce cas, les noms et les informations personnelles des électeurs restera caché, tandis que les résultats du vote et toutes les métadonnées non personnelles associées devraient être disponibles pour tous).
Alors que cet article était en cours d'achèvement, Agora, une fondation basée en Suisse (seule Démocratie au monde !), était en train de compter manuellement les votes et de les enregistrer dans une blockchain.
«Les électeurs remplissent leurs bulletins de vote sur papier et notre équipe avec des observateurs impartiaux les enregistre sur la chaîne de blocs», a expliqué Lukasiewicz, qui a officiellement rejoint l'entreprise en janvier après s'être joint à lui en tant que conseiller.
En retrait, cependant, non seulement c'est la première fois que la blockchain est implémentée lors d'une élection nationale, mais aussi la première implémentation en direct de la pile de services blockchain d'Agora - ce que la société appelle la technologie "skipchain". seulement voir une partie de la blockchain.
À certains égards, la Sierra Leone avait un certain nombre d'avantages qui ont rendu les tests bêta d'Agora faisables. Par exemple, depuis la fin de la guerre civile en 2002, le pays a organisé un certain nombre d'élections en grande partie «libres et équitables». Mais le vote de cette année était également chargé de complications qui sont encore en cours d'élaboration. Plusieurs épisodes de violence politique ont précédé le scrutin, et déjà, avant même que le décompte officiel des voix soit publié, deux partis de l'opposition expriment de «graves inquiétudes» quant à l'équité du vote de cette année, selon Africa News. La Coalition pour le changement et la National Grand Coalition ont déclaré à AN que leurs agents avaient été expulsés de certains bureaux de vote lorsque le décompte des voix a commencé ...
Mais dans son rapport préliminaire, la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) a noté que bien que les élections aient été pacifiques, libres et équitables, certaines questions ont été soulevées, notamment la présence de la sécurité dans les bureaux de vote.
En résumé, le vote soutenu par blockchain est une première et importante étape vers le déploiement d'un système de vote transparent sur la blockchain qui permettrait aux électeurs d'enregistrer leurs choix directement sur la blockchain d'Agora, sans l'intermédiaire papier. Et avec une poignée d'autres Etats africains intéressés à travailler avec Agora pour de futures élections, ce jour pourrait arriver plus tôt que ne le pensent certains sceptiques.
Pour ceux qui ne connaissent pas encore le fonctionnement de la technologie, cette explication de deux minutes pourrait offrir un aperçu. - voir clip sur site :
Voilà pourquoi révéler son athéisme en direct en Égypte n’est pas une bonne idée
11:58 11.03.2018
«S’il n’y a pas de Dieu, comment es-tu né ?»: un animateur de télévision égyptienne a décidé de ne pas poursuivre une discussion avec un athée invité et l’a expulsé du studio en lui conseillant de se faire traiter par un psychiatre.
L'hôte d'une émission de télévision égyptienne, Mahmoud Abd al-Halim, a mis dehors du studio son invité Mohammad Hashem, après que ce dernier s'est ouvert sur le fait d'être athée. De plus, l'animateur lui a recommandé d'aller consulter un psychiatre.
L'athée Mohammad Hashem était invité au studio de la chaîne de télévision pour une discussion avec Mahmoud Ashour, représentant du Centre d'études islamiques al-Azhar. En direct, il a déclaré qu'il était athée.
«Je suis athée, ce qui signifie que je ne crois pas en l'existence de Dieu, je ne crois pas en lui», a déclaré Hashem, ajoutant qu'il n'avait pas besoin de religion pour avoir des valeurs morales ou pour être un membre productif de la société.
Alarmé par cette déclaration, l'animateur a demandé à Hashem comment il expliquait son existence dans l'univers. L'invité a détaillé qu'il existait plusieurs théories qui tentaient d'expliquer l'existence de l'univers et de l'humanité, y compris celle qui prétendait que tout avait été créé par un Dieu.
De son côté, l'animateur de l'émission a déclaré agressivement que les opinions de son invité étaient «inappropriées» et que son comportement et ses «idées destructrices» étaient un «très mauvais exemple pour la jeunesse égyptienne». Il a ensuite ordonné à Hashem de quitter le studio.
«Cher Mohammad, tu as besoin d'un traitement psychiatrique. Aujourd'hui beaucoup de jeunes souffrent de maladies mentales dues à des circonstances matérielles ou morales», a commenté l'autre invité.
L'animateur a approuvé sa proposition et a de nouveau exigé que Hashem quitte le show, s'excusant auprès des téléspectateurs pour avoir donné la parole à un invité «confus et destructeur».
JEFF BEZOS - COMMENT IL EST DEVENU LE PLUS RICHE AU MONDE
Le fondateur d'Amazon a ravi à Bill Gates la première place du classement des milliardaires. Découvrez son parcours. Jeff Bezos s'est rasé la tête et s'est mis à l'exercice, une métamorphose physique spectaculaire.
11.03.2018, 09h41
Jeff Bezos, 54 ans, est désormais l'homme le plus riche du monde grâce au succès planétaire d'Amazon mais ce multimilliardaire plutôt discret a d'autres hobbies, comme la conquête spatiale ou... la construction dans une montagne d'une horloge géante.
Grâce à la hausse des actions Amazon, sa fortune dépasse désormais 110 milliards de dollars (105 milliards de francs), plus que celle du fondateur de Microsoft Bill Gates, passé en deuxième position, selon le classement du magazine Forbes. Sa recette du succès ? «Il faut être agile et robuste, pour pouvoir encaisser les coups, et il faut être rapide, innovant et (aller) très vite, c'est la meilleure défense contre l'avenir. Il faut toujours aller dans le sens de l'avenir. Si on se détourne de l'avenir, (il) gagnera», expliquait-il dans une interview à l'automne.
Fondé dans son garage
De l'eau a coulé sous les ponts depuis 1994, lorsque Jeff Bezos fonda Amazon, dans son garage, selon la légende. Simple libraire en ligne au départ, longtemps déficitaire, le site est devenu aujourd'hui un géant tentaculaire incontournable, qui domine le commerce électronique, l'informatique dématérialisée («cloud») ou les assistants vocaux intelligents, avec Alexa.
En Bourse, le mastodonte de Seattle, dans le nord-ouest du pays, pèse aux alentours de 750 milliards de dollars. La méthode Bezos? Investir tous azimuts et bouleverser des secteurs économiques en baissant les prix, au point d'être surnommé le «perturbateur-en-chef». «Jeff Bezos est méthodique et réfléchi», estimait récemment l'analyste Patricia Orsini du cabinet eMarketer à propos de ses ambitions dans le secteur de la santé.
Métamorphose physique
Des succès qui valent aussi au groupe d'être souvent considéré comme un rouleau compresseur sans état d'âme pour la concurrence, voire pour les conditions de travail de ses propres salariés. Comme Amazon, Jeff Bezos a lui aussi changé: il s'est rasé la tête et s'est mis à l'exercice, une métamorphose physique spectaculaire immortalisée par une série de photos l'été dernier. Et, longtemps discret, il semble progressivement sortir de l'ombre, «plus à l'aise à l'idée d'être sous l’œil du public», selon le New York Times dans un récent portrait.
Mais Jeff Bezos, passionné de science-fiction, a d'autres passions, comme la construction d'une horloge monumentale de 150 mètres de haut. Il a investi 42 millions de dollars dans cette horloge mécanique, censée fonctionner 10'000 ans et symboliser «la réflexion de long-terme». Son installation a commencé fin février à l'intérieur d'une montagne au Texas, creusée spécialement.
Sauver la Terre
«Les humains sont aujourd'hui assez avancés technologiquement pour créer des merveilles extraordinaires mais aussi des problèmes à l'échelle de la civilisation. Nous aurons sans doute besoin de davantage de réflexion de long terme», écrit-il sur un blog dédié au projet.
Jeff Bezos finance aussi Blue Origin, qui veut envoyer des touristes dans l'espace. Un intérêt pour la conquête spatiale et les projets futuristes qui le font de plus en plus ressembler à un autre milliardaire haut en couleur, Elon Musk, patron du groupe automobile Tesla et de l'entreprise spatiale SpaceX.
Blue Origin a aussi pour ambition de construire un vaisseau et un atterrisseur lunaire capables d'assurer des livraisons de fret, et des modules d'habitat sur la Lune, un projet, explique Jeff Bezos, destiné à «sauver la Terre» en envoyant l'industrie dans l'espace. «Grosso modo, ce que je fais, c'est prendre ce que me rapporte Amazon et l'investir» dans Blue Origin, expliquait simplement le milliardaire fin 2016.
Une fusée pour Trump
Depuis 2013, il est aussi propriétaire du quotidien américain Washington Post, cible régulière des attaques du président républicain Donald Trump. Attaqué sur Twitter par ce dernier lorsqu'il n'était pas encore à la Maison-Blanche, Jeff Bezos avait répliqué en proposant de lui «réserver» une place dans une fusée, avec le hashtag «#envoyerDonalddanslespace». De son vrai nom Jeffrey Preston Jorgensen, il fut adopté enfant par son beau-père Miguel Bezos, un immigrant cubain.
Après des études scientifiques et informatiques en Floride puis à la prestigieuse université de Princeton, Jeff Bezos a travaillé plusieurs années à Wall Street, avant de se décider à lancer sa propre entreprise, fasciné par internet. Il est marié depuis 1993 à Mackenzie Bezos, écrivain, et est père de quatre enfants.
(...) un projet, explique Jeff Bezos, destiné à «sauver la Terre» en envoyant l'industrie dans l'espace. (...)
Un peu con, non ?
(...) Après des études scientifiques et informatiques en Floride puis à la prestigieuse université de Princeton, Jeff Bezos (...) ??!
La 'prestigieuse université de Princeton' (New Jersey) ?? voir ci-dessous le post de tout-à-l'heure:
10 mars 2018 à 08:23 Liz Fuller-Wright, Université de Princeton (New Jersey) est elle-même une escroc (payée par le GIEC, Al Gore et les COP ?) qui prétendrait (devant ses élèves ?) que la mer va monter !!!
- Ce qui revient à dire que s'ils sont de la même diarrhée ils vont sentir la même chose !
Dans un jugement daté du 6 mars, le tribunal administratif de Toulouse a condamné l’État pour carence face à son obligation de protéger l’ours dans les Pyrénées.
Le tribunal administratif de Toulouse a condamné le 6 mars 2018 l’État pour carence face à son obligation de protéger l’ours brun (Ursus arctos) dans les Pyrénées, estimant que « les actions mises en œuvre par l’État ne peuvent pas être regardées comme suffisantes » pour préserver l’espèce.
Dans son jugement, le tribunal condamne l’État à payer la somme de 8 000 euros à chacune des associations plaignantes, Pays de l’ours-Adet (association pour le développement des Pyrénées) et Ferus.
Faisant suite à l’audience du 13 février 2018, le tribunal considère que la population ursine dans le massif pyrénéen est « soumise à un risque démographique significatif, au regard de son effectif global insuffisant pour garantir la viabilité de l’espèce à long terme, mais aussi à un risque génétique très élevé, compte tenu de la fréquence des reproductions entre consanguins ».
« Une faute de nature à engager la responsabilité de l’État » « La carence des autorités nationales face à cette obligation constitue une faute de nature à engager la responsabilité de l’État », écrivent encore les juges administratifs, soulignant que l’ours brun est classé dans les « espèces animales protégées » depuis 1971.
Le tribunal administratif de Toulouse déplore que les gouvernements successifs n’aient pas honoré leur promesse de 2010 de procéder « au remplacement systématique des ours décédés accidentellement et notamment de l’ourse tuée en 2007 ». Il juge que « l’importance des oppositions locales à la réintroduction des ours, au regard notamment des difficultés posées par leur coexistence avec les activités d’élevage » ne « sauraient suffire à justifier les huit années de retard dans la définition du nouveau plan d’actions relatif à la conservation de l’ours ».
Les associations Ferus et Pays de l’ours avaient saisi la justice en avril 2015 pour faire reconnaître « l’insuffisance de la politique française ». Dans un communiqué commun, elles se félicitent du jugement et demandent au gouvernement de « programmer dès ce printemps les premiers lâchers de femelles afin d’éviter la disparition de l’espèce dans les Pyrénées occidentales où il ne reste que deux mâles ». Elles réclament également « l’adoption rapide d’un nouveau plan de restauration de l’ours brun dans les Pyrénées ». Le dernier a expiré en 2009, précisent-elles.
29 spécimens en 2015
Dans son jugement, le tribunal administratif fait le point sur la présence de l’ours brun en France, où il ne subsiste que « dans le seul massif des Pyrénées » : après un fort déclin à partir de la fin du XIXe siècle, passant de 150 individus à environ 70 dans les années 1950 pour atteindre un « effectif minimum de 7 à 8 » dans les années 1980, trois ours ont été réintroduits en 1996 et cinq en 2006, le dernier lâcher d’ours en date. Depuis, les effectifs d’ursidés détectés dans la chaîne pyrénéenne se sont élevés à 19 en 2011, 22 en 2012, 25 en 2013, 31 en 2014 et 29 en 2015. 27 d’entre eux sont concentrés au centre du massif pyrénéen, seuls deux mâles se trouvent à l’ouest, tandis que l’espèce a disparu à l’est.
Un loup filmé à quelques centaines de mètres des classes
09.03.18
Le 22 décembre 2017, en quittant son lycée, une élève de terminale a filmé un loup déboulant devant la voiture conduite par sa mère.
Le jour des vacances de Noël, Léa Rouffier, en quittant son lycée agricole (Carmejane dans les Alpes-de-Haute-Provence), a la surprise de voir un loup débouler devant sa voiture. Sa mère est au volant et elle a juste le temps de sortir son téléphone pour suivre l’animal pendant quelques secondes. « Il était affolé et j’avais du mal à le suivre, indique Anne-Marie, la mère de Léa.
Les anti-aéroport « seuls légitimes » à prendre en charge les terres agricoles
09.03.18
Les opposants à l’ex-projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique) sont les « seuls légitimes » à prendre en charge le territoire de la Zad qu’ils ont « sauvé de la destruction programmée », estiment-ils vendredi, alors que l’État s’apprête à ouvrir la concertation sur le devenir des terres agricoles.
Cette concertation s’annonce aussi âpre que longue, les 1 650 hectares de l’ex-emprise aéroportuaire étant convoités à la fois par le mouvement anti-aéroport et par le conseil départemental de la Loire-Atlantique qui souhaite en confier la gestion à la chambre d’agriculture.
« L’abandon du projet d’aéroport est l’aboutissement d’une longue lutte soutenue activement par des dizaines de milliers de personnes », souligne dans un communiqué le mouvement anti-aéroport, qui affirme être le « seul en mesure aujourd’hui de mettre en œuvre un projet cohérent pour ce territoire articulant la pérennisation des habitats, l’impulsion d’une dynamique agricole inédite et le soin apporté aux questions environnementales ».
Une délégation du mouvement a été reçue le 28 février en préfecture, en préalable au premier comité de pilotage « d’apaisement » que présidera le 19 mars la préfète de la Région des Pays de la Loire, Nicole Klein, en présence de représentants du département, d’élus, des syndicats agricoles et d’associations.
Le début d’un long bras de fer
« Loin de marquer l’ouverture d’une négociation apaisée avec l’État, ce rendez-vous semble plutôt le début d’un long bras de fer sur l’avenir de la Zad », considère le mouvement anti-aéroport. La mise en œuvre de son projet collectif de gestion des terres est la « seule façon de préparer un avenir serein sur le territoire de la Zad », assure-t-il.
Alors que la préfète de Région a confirmé jeudi à l’AFP une opération d’expulsion ciblant les occupants « refusant de s’inscrire dans l’état de droit », au terme de la trêve hivernale, les anti-aéroport réaffirment « que toute tentative d’expulsion ferait l’objet d’une réaction forte et immédiate de l’ensemble du mouvement ».
Les anti-aéroport, qui réclament « le gel de l’attribution conventionnelle de l’usage des terres pour trois ans, et l’attribution du pilotage du territoire à l’entité représentative du mouvement », rappellent l’engagement de « nombreuses organisations nationales » et des « 30 000 personnes » (8 500, selon la préfecture) venues célébrer le 10 février l’abandon du projet d’aéroport et défendre le projet de gestion collective des terres.
Les hologrammes du 11 Sptembre sont de retour ! "Qu'est-ce que le F- Est-ce que c'est ?": OVNI en mouvement rapide Stuns États-Unis Navy Pilots
par Tyler Durden Dim, 03/11/2018 - 20:57
Superbe vidéo capturée par les pilotes de la US Navy en 2015 montrant un objet mystérieux "sans ailes ni queues évidentes", et "aucun panache d'échappement" voyageant à grande vitesse sur l'océan Atlantique "très bas au-dessus de l'eau".
La vidéo déclassifiée du Département de la Défense (DoD) a été diffusée par la société d'analyse The Stars Académie des Arts et des Sciences - dont le comité consultatif comprend l'ancien Sous-Secrétaire à la Défense des Renseignements Clinton et Bush, Christopher Mellon.
"Qu'est-ce que c'est que cette chose?" Crie le pilote d'un Super Hornet F / A 18 US Navy équipé d'une nacelle Raytheon AN / ASQ-228 Advanced Forwarding Forward-Looking Infrared (ATFLIR) - l'un des dispositifs d'imagerie les plus avancés utilisé par les militaires qui peuvent localiser et désigner des cibles à des distances supérieures à 40 nm.
Le véhicule non identifié apparaît sous la forme d'une forme ovale blanche se déplaçant à grande vitesse de haut en bas à gauche de l'écran volant très bas au-dessus de l'eau. Initialement, le capteur est incapable de capturer l'objet. L'opérateur des systèmes d'armes (WSO) dirige le capteur en avant de l'objet pour tenter une autre capture. Lors de la troisième tentative, la capture du suivi du capteur est réussie. Le capteur est maintenant en mode "autotrack", où le capteur utilise le contraste et d'autres paramètres pour se verrouiller sur une cible, le gardant automatiquement centré dans le cadre de visualisation des capteurs. -TTSA
Spécifiquement noté par le TTSA;
Il n'y a pas d'ailes ou de queues évidentes sur l'objet. Même l'imagerie IR d'un missile de croisière aurait des ailes visibles à cette portée. Il n'y a pas de panache d'échappement de l'objet. Un panache d'échappement est clairement visible sur les avions conventionnels dans la fréquence infrarouge à ondes moyennes utilisée par l'ATFLIR. La photo ci-dessous montre une image infrarouge à ondes moyennes d'un F-16 en vol. Le capteur est en mode "blanc chaud". Notez que la longueur du panache d'échappement est presque la longueur de l'avion. La vidéo à partir de laquelle il a été extrait montre clairement que le F-16 est subsonique, ce qui signifie que la manette des gaz est à un réglage bas qui crée des températures d'échappement relativement faibles et le volume des gaz d'échappement. Dans un réglage de puissance plus élevé, le panache d'échappement serait beaucoup plus grand et plus lumineux.
Après que le New York Times ait offert les images officielles les plus claires d'une rencontre d'OVNI dans l'histoire en décembre dernier - avec un programme secret de 22 millions de dollars du Pentagone pour analyser des objets volants non identifiés, ce sont les criquets des médias.
«Les images d'un Super Hornet F / A-18 de la Marine montrant un aéronef entouré d'une sorte d'aura rougeoyante qui se déplace à grande vitesse et qui tourne tout en bougeant.» On entend les pilotes de la Marine essayer de comprendre ce qu'ils voient. "On s'exclame que les responsables de la défense ont refusé de révéler le lieu et la date de l'incident."
Christopher Mellon, ancien sous-secrétaire d'Etat à la Défense du renseignement de Clinton et Bush, écrit dans le Washington Post que le silence du Pentagone sur ce qui est clairement plus avancé que ce qui est connu publiquement - qu'il s'agisse d'étrangers ou de gouvernements étrangers - assourdissant.
En décembre, le Département de la Défense a déclassifié deux vidéos documentant des rencontres entre des chasseurs F-18 américains et des avions non identifiés. La première vidéo capture plusieurs pilotes qui observent et discutent un engin étrange, planant en forme d'œuf, apparemment d'une «flotte» de tels objets, selon l'audio du poste de pilotage. La seconde montre un incident similaire impliquant un F-18 attaché au groupement tactique USS Nimitz en 2004.
Les vidéos, ainsi que les observations des pilotes et des opérateurs de radar, semblent fournir des preuves de l'existence d'avions de loin supérieurs à tout ce que possèdent les États-Unis ou leurs alliés. Les fonctionnaires du Département de la Défense qui analysent les renseignements pertinents confirment plus d'une douzaine d'incidents de la côte Est depuis 2015. Dans une autre affaire récente, l'Air Force a lancé des chasseurs F-15 en octobre dernier pour tenter d'intercepter un avion à grande vitesse non identifié. en boucle sur le nord-ouest du Pacifique. -WaPo
"Est-il possible que l'Amérique a été technologiquement bondée par la Russie ou la Chine ?" pose Mellon. "Ou, comme beaucoup de gens se sont demandés après les premières vidéos publiées par le New York Times en décembre, pourraient-elles être la preuve d'une civilisation extraterrestre ?"
"Malheureusement, nous n'en avons aucune idée, parce que nous ne cherchons même pas de réponses."
Mellon dit que grâce à ses années de travail dans les administrations de Clinton et de George W. Bush, l'armée traite ces incidents comme des événements isolés plutôt que comme une partie d'un modèle justifiant une enquête. Le collègue de Mellon, Luis Elizondo, "avait l'habitude de diriger un programme de renseignement du Pentagone qui examinait des preuves d'avions" anormaux ", mais il a démissionné l'automne dernier pour protester contre l'inattention du gouvernement face aux données empiriques croissantes.
Les rapports de différents services et agences restent "largement ignorés et non évalués", dit Mellon, qui affirme qu'il n'y a pas de processus au Pentagone pour analyser les rapports entre agences. Fox Mulder secouerait la tête ...
Des exploits incroyables
Mellon note qu'il y a de nombreuses preuves provenant de sources gouvernementales officielles de diverses embarcations non identifiées effectuant des acrobaties époustouflantes.
Dans un exemple, au cours de deux semaines en novembre 2004, l'USS Princeton, un croiseur de missiles guidés utilisant un radar naval avancé, a repéré à plusieurs reprises des aéronefs non identifiés opérant dans et autour du groupement tactique Nimitz, qu'il gardait au large des côtes. San Diego. Dans certains cas, selon des rapports d'incidents et des entrevues avec du personnel militaire, ces véhicules descendaient d'altitudes supérieures à 60 000 pieds à des vitesses supersoniques, pour s'arrêter soudainement et planer aussi bas que 50 pieds au-dessus de l'océan. Les États-Unis ne possèdent rien de capable de tels exploits.
À deux reprises au moins, les chasseurs F-18 ont été guidés pour intercepter ces véhicules et ont pu vérifier leur emplacement, leur apparence et leurs performances. Notamment, ces rencontres se sont produites en plein jour et ont été surveillées indépendamment par des radars à bord de plusieurs navires et avions. Selon les aviateurs de la marine dont j'ai longuement parlé, les véhicules mesuraient environ 45 pieds de long et étaient blancs. Pourtant, ces avions mystérieux s'éloignaient facilement des combattants de première ligne des États-Unis et les manœuvraient sans moyen de propulsion perceptible.
Après avoir parlé avec des hauts responsables du Pentagone sur le sujet, Mellon note que "personne ne veut être" le type alien "dans la bureaucratie de sécurité nationale, personne ne veut être ridiculisé ou mis sur la touche pour attirer l'attention sur le problème.
Parties d'OVNI assis à Las Vegas ?
Peut-être l'un des aspects les plus glacés de la pièce de décembre du New York Times sur les OVNIS est-il un projet conjoint de 22 millions de dollars entre l'entrepreneur milliardaire Robert Bigelow, qui travaille actuellement avec la NASA pour produire des vaisseaux spatiaux.
Bigelow est un associé de Harry Reid (D-NV, à la retraite), qui s'intéresse depuis longtemps aux phénomènes spatiaux.
Sur "60 minutes" de CBS en mai, M. Bigelow a dit qu'il était "absolument convaincu" que les extraterrestres existent et que les États-Unis ont visité la Terre. -NYT
Les contrats obtenus par le Times montrent une appropriation du Congrès d'un peu moins de 22 millions de dollars à partir de la fin de 2008 jusqu'en 2011. L'argent a été utilisé pour la gestion du programme, la recherche et les évaluations de la menace posée par les objets.
Le financement a été versé à la compagnie de M. Bigelow, Bigelow Aerospace, qui a embauché des sous-traitants et a sollicité des recherches pour le programme.
Et le kicker:
«Sous la direction de M. Bigelow, l'entreprise a modifié des bâtiments à Las Vegas pour le stockage d'alliages métalliques et d'autres matériaux que M. Elizondo et les entrepreneurs du programme ont déclaré avoir été récupérés de phénomènes aériens non identifiés.
"le stockage d'alliages métalliques et d'autres matériaux ... récupérés à partir de phénomènes aériens non identifiés"
Laisse couler ça ...
De plus: "Les chercheurs ont également étudié des personnes qui ont déclaré avoir subi des effets physiques suite à des rencontres avec des objets et les ont examinées pour détecter des changements physiologiques." Les chercheurs ont également parlé aux membres du service militaire qui ont signalé des avions étranges.
"Nous sommes en quelque sorte dans la situation de ce qui se passerait si vous donniez une porte de garage à Leonardo da Vinci", a déclaré Harold E. Puthoff, un ingénieur qui a mené des recherches sur la perception extrasensorielle pour le C.I.A. et plus tard travaillé comme un entrepreneur pour le programme. "Tout d'abord, il essaierait de comprendre ce qu'est ce truc en plastique. Il ne saurait rien des signaux électromagnétiques impliqués ou de sa fonction. "
Pour ceux qui ont longtemps dit "je veux croire" en ce qui concerne les OVNIS, les militaires américains ont publié assez de séquences officielles au cours des six derniers mois seulement pour faire croire beaucoup plus facilement.
Rendez-vous compte que ces 'petits hommes verts' ont fait des milliards de km/l pour venir et... ne sont même pas descendu prendre un verre, tirer un coup et signer des autographes !!! Çà alors ! Mais que fait la police ??! Hahahaha !
L'escroquerie mondiale des dictatures: Le nuage noir de la dette mondiale de 233 milliards de dollars
par Tyler Durden Dim, 03/11/2018 - 14:15 Auteur d'Alex Deluce via GoldTelegraph.com,
La dette mondiale a atteint des records sans aucun signe de soulagement. Alors que les banquiers centraux essaient d'expliquer le phénomène de ces chiffres hors de contrôle, ce n'est pas vraiment un mystère. La consommation immédiate avec la promesse de remboursement dans le futur a des conséquences.
La dette mondiale est stupéfiante au point que la plus grande partie ne sera jamais remboursée. Certainement pas dans notre génération. Peut-être par nos petits-enfants, mais alors que la dette mondiale continue de monter, l'image est douteuse.
La dette globale par habitant est de 30 000 $. Qui, exactement, fera des remboursements ?
Les économistes insistent sur le fait que la crise financière de 2007 n'aurait pas pu être prédite. Pourtant, tous les signes de crédit hors de contrôle là-bas. Aujourd'hui, les économistes répètent le même mantra, malgré la spirale de la dette mondiale. La question n'est pas de savoir si la prochaine bulle va frapper. C'est une question de quand.
Les maths sont assez simples. Plus un pays augmente sa dette pour simplement rester à flot, plus la dette croissante entraînera un resserrement du crédit. La prochaine étape de l'équation est une bulle éclatée et une crise économique. C'est ce qui s'est passé en 1929, cela s'est encore produit en 2007, et ça se passe maintenant. Le comportement passé est le meilleur prédicteur du comportement futur.
Le crédit hors contrôle ralentira sans aucun doute la croissance économique actuelle des États-Unis. Cela ne provoquera probablement pas de crise pure et simple. D'autres pays peuvent ne pas être aussi chanceux.
Des pays comme la Chine, la Belgique, la Corée du Sud, l'Australie et le Canada connaissent une bulle de crédit sans précédent, avec peu de systèmes en place pour la contrôler. L'inflation qui en résulte ou simplement des annulations de dettes pourrait entraîner un désastre financier mondial que nous n'avions jamais vu auparavant. La reprise économique actuelle est peu susceptible de continuer.
Avant 2007, la mondialisation, l'échange de biens et de services entre les pays, était à son plus haut niveau. Depuis lors, la mondialisation s'est stabilisée. Nous avons peut-être vu le sommet de la mondialisation. Les pays émergents, bénéficiant de la mondialisation, ont élevé leur niveau de vie et les biens bon marché ne traversent plus les frontières avec le même abandon. Les pays mettent en place des mesures protectionnistes nationalistes pour protéger leur propre économie. La mondialisation cède la place à «l'insularisation», où les mouvements de capitaux et de biens transfrontaliers sont limités au lieu d'être étendus. Ce commerce mondial limité, conjugué à des tensions géopolitiques croissantes, aura une incidence négative sur l'expansion économique mondiale, alors que la dette mondiale continue d'échapper à tout contrôle.
L'économie mondiale souffre également actuellement d'une croissance limitée de la productivité. Les raisons en sont multiples: vieillissement de la main-d'œuvre, réduction des investissements, infrastructures négligées, réduction de l'esprit d'entreprise et incertitude générale sur la manière de résoudre ces problèmes.
Si une crise mondiale doit être évitée, les dirigeants doivent agir au lieu de rester complaisants. Une formation adéquate des compétences et une plus grande importance accordée aux investissements peuvent mener à la croissance de la productivité qui peut créer l'expansion mondiale nécessaire pour maîtriser le cycle d'endettement actuel.
Si les dirigeants font les bons choix, nos petits-enfants ne sont peut-être pas confrontés à la crise économique qui apparaît actuellement comme le seul héritage dont ils hériteront.
Une colonne de feu émerge de dessous la terre à Amsterdam (Vidéo)
15:52 11.03.2018
Sur une vidéo terrifiante publiée sur le Net, on voit une puissante explosion en pleine rue à Amsterdam, qui recouvre entièrement un ouvrier stationné à cet endroit.
Une caméra de surveillance a tourné un spectacle macabre qui a eu lieu samedi au centre d'Amsterdam.
Une explosion a retenti sous la terre et une colonne de feu est sortie du sol, recouvrant entièrement un ouvrier qui travaillait à côté, monté sur un marchepied devant un café près du Rijksmuseum, le musée emblématique de la ville.
À la droite de l'homme, on voit le trottoir se déformer soudainement avant qu'un nuage de fumée ne commence à sortir du sol.
Quelques instants plus tard, le sol explose et une énorme boule de feu sort de sous le trottoir et l'homme disparaît complètement de la vue.
Des milliers d'internautes ont été abasourdis par le spectacle depuis que la vidéo a été publiée sur le site Reddit, relate The Daily Star.
«Un éclair puis le noir»: des témoins racontent l’explosion à St-Pétersbourg L'explosion a probablement été provoquée par une panne d'électricité après qu'un travailleur a accidentellement heurté une ligne électrique souterraine. Plus de 25.000 maisons ont été laissées sans électricité à la suite de l'incident et certaines parties du circuit de tramway de la ville ont également été perturbées.
L'homme n'aurait finalement reçu que des brûlures mineures et a été transporté à l'hôpital.
A proximité des pôles, il n'est pas rare de découvrir des sources chaudes, des geysers qui sont employés à chauffer les habitations. La cohabitation de ses dangers fréquents avec des lignes électriques enterrées... peut effectivement faire des étincelles !
Arctique : la Russie se dotera d’une flotte de brise-glace de nouvelle génération
21:37 11.03.2018
La Russie entend développer sa flotte de brise-glace en Arctique pour défendre sa sécurité et ses intérêts nationaux, a indiqué Vladimir Poutine.
Quels sont ces dispositifs dernier cri que la Russie déploie en Arctique ?
Dans le documentaire «Poutine» du journaliste Andreï Kondrachov, le Président russe a fait part des projets que son pays, qui est le seul à posséder une flotte de brise-glace à propulsion nucléaire, a pour progresser davantage dans ce domaine.
Aucun pays au monde n'a de flotte de brise-glace à propulsion nucléaire, excepté la Russie qui l'a héritée de l'Union soviétique, a déclaré Vladimir Poutine, ajoutant que le pays avait des projets concrets pour concevoir des brise-glace de nouvelle génération qui lui permettraient de mettre en valeur ses territoires arctiques.
Il a également souligné l'importance des régions polaires russes pour la sécurité nationale.
«Nous ne menacerons personne, mais, profitant de nos avantages, territoriaux en l'occurrence, nous garantirons la sécurité de la Russie et de ses habitants. De ce point de vue-là, la région arctique est très importante pour la Russie», a-t-il fait remarquer.
Le think tank libéral français Génération libre propose de permettre aux internautes de faire payer leurs données. Tant la FRC qu’economiesuisse s’y opposent, pour des raisons différentes
Richard Werly Anouch Seydtaghia dimanche 11 mars 2018 à 20:25.
Et si les internautes vendaient leurs données à Facebook, Google ou Microsoft ? C’est la proposition provocatrice lâchée par l’observatoire libéral français Génération libre. «Seul le droit de propriété permettra de garantir une maîtrise réelle de nos données. Seule la création d’un marché des data pourra rééquilibrer les rapports de pouvoir entre les plateformes et leurs utilisateurs en dotant chacun d’entre nous d’un véritable capital», écrivait Génération libre dans son rapport «Mes data sont à moi», publié fin janvier. Ce think tank veut faire de la patrimonialité des données personnelles l’instrument de la révolution numérique.
Lire également notre éditorial: Vendre nos données, une fausse bonne idée
«Cette question de la propriété des data n’est pas qu’économique. Elle est le soubassement de l’avenir de nos sociétés. Dans l’histoire, le droit à la propriété a toujours permis de redonner du pouvoir aux individus face aux oligopoles. La question est donc urgente !» affirme Gaspard Koenig, fondateur de Génération libre et auteur de Voyages d’un philosophe aux pays des libertés (Ed. de l’Observatoire). Son rapport d’une centaine de pages précise: «Rendre l’individu juridiquement propriétaire de ses données personnelles est le seul moyen de trouver un meilleur équilibre. Car si les données sont, selon la formule convenue, le pétrole du XXIe siècle, il est temps de poser la question: à qui appartient le pétrole ? Au producteur primaire, qui le revend à d’autres pour le raffinage. C’est-à-dire à vous et à moi, producteurs de données, qui devraient être rémunérés pour la matière première que nous pourvoyons aux algorithmes du Big Data.»
Vers une micro-redevance ?
Selon Génération libre, «même si les données permettent d’offrir des services améliorés aux consommateurs […], la part de valeur restituée aux clients sous forme de ces avantages est sans doute relativement faible par rapport à la valeur totale qu’en retirent les distributeurs via la revente des informations». L’observatoire libéral affirme que deux tiers des personnes interrogées dans une étude se disent prêtes à partager leurs informations personnelles en échange d’une rémunération. Génération libre souhaite que les sites versent une micro-redevance (dont le montant serait à définir) à leurs utilisateurs. Ceux-ci pourraient choisir parmi trois options: un refus total d’utilisation des données (avec le risque que sa facture augmente), la location temporaire des données ou la cession définitive de celles-ci.
Lire aussi: Aux Etats-Unis, les données personnelles sont une marchandise comme les autres
Qu’en penser ? «Nous sommes sceptiques face à cette idée car le problème resterait entier: le consommateur n’obtiendrait que quelques centimes de la part de Facebook, par exemple, et il perdrait ensuite tout droit à contester l’utilisation de ses données, estime Sophie Michaud Gigon, secrétaire générale de la FRC. Il serait aussi très compliqué de savoir quelles données sont concernées et à quel prix.» La responsable rappelle qu’en France la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) s’oppose à cette idée. «Cette idée n’est pas concluante pour rétablir le rapport de force entre le consommateur individuel et les géants de la technologie. La maîtrise des données ne doit pas être réduite à un mécanisme financier, c’est d’abord un droit à la vie privée.»
Une «fausse bonne idée»
Ainsi, la FRC privilégie une loi assurant au consommateur une meilleure maîtrise des données pour établir un meilleur rapport de force. «Le débat mérite d’être mené sur la monétisation, poursuit Sophie Michaud Gigon. Toutefois, à nos yeux, demander un consentement exprès («opt-in») plutôt qu’un consentement supposé («opt-out») permet déjà de préserver les intérêts des consommateurs et d’inciter les entreprises à adopter de bonnes pratiques. Vendre ses données semble donc être plutôt une fausse bonne idée qu’un bon moyen de récupérer la maîtrise de ses données.»
De son côté, economiesuisse s’oppose au droit de propriété des données, mais pour d’autres raisons. Dans un rapport d’une quinzaine de pages publié ce lundi, l’association écrit qu'«actuellement, les données ne sont pas définies comme objets de droit et ne permettent donc pas de faire valoir des droits absolus comme des droits de propriété, par exemple. Cependant, la législation en vigueur garantit, pour toutes les personnes concernées, un traitement sûr des données. Il n’est donc pas nécessaire pour cela de créer un objet de droit.»
Eviter davantage de règles
Economiesuisse plaide ainsi pour une législation aussi légère que possible et s’oppose à «une réglementation étatique préventive en matière de politique des données: dans un environnement technologique dynamique, des règles restrictives décidées à la hâte risquent d’entraver la création de valeur et les développements futurs». L’association aimerait ainsi établir une sorte de code de bonne conduite pour les entreprises. Mais une nouvelle loi sur les données verra bel et bien le jour dans quelques mois… «Nous saluons le fait que le projet de loi suisse reprenne en grande partie la réglementation européenne (le RGPD, qui entrera en vigueur le 25 mai, ndlr), pour éviter de multiplier les standards applicables. Il faut en tout cas éviter d’imposer, en Suisse, davantage de règles que dans l’Union européenne», explique Cécile Rivière, responsable de projets chez economiesuisse.
L’association plaide pour la révision rapide de la loi suisse, afin d’éviter de plonger les entreprises helvétiques dans l’incertitude. De son côté, la FRC estime que le projet de loi ne va pas assez loin. «Il va moins loin que le RGPD européen, par exemple au niveau des pouvoirs du préposé fédéral, des sanctions (montants plus faibles et contre une personne physique et non une personne morale) ou encore au niveau de la portabilité des données, regrette Sophie Michaud Gigon.
Les vedettes de cinéma se font payer très cher pour poser et ne se laissent photographier qu' 'la sauvette'. C'est aussi tous les jours que les merdias tirent leur argent des photos truquées publiées chez eux et sous-titrées de mensonges et grossièretés.
Il est donc tout-à-fait normal que ce qui est personnel ne soit exploitable par des personnes non-autorisées.
Vendez vos pets ! Les offres de gaz « vert » : qu’est-ce que c’est ?
Des nouvelles offres proposent du gaz dit « vert ». Mais est-ce réellement un gaz plus « éco-responsable » ?
Par Michel Gay 12 MARS 2018
Depuis quelques années, les fournisseurs de gaz sont toujours plus nombreux à proposer des offres de « gaz vert ». Comment est-il produit ?
Qualifié de bio ou de renouvelable, le gaz devient presque sympathique, mais qu’entend-t-on par gaz d’origine renouvelable ? Est-il si « vert » que ça ?
Explications.
GAZ « VERT », DE QUOI S’AGIT-IL ?
L’expression « gaz vert » désigne en premier lieu le biométhane comme source d’énergie.
Au contraire du gaz naturel présent dans les sous-sols de la planète, il est obtenu par un procédé chimique et biologique, la « digestion anaérobie » (en l’absence d’oxygène). Ce processus permet de décomposer des déchets de matières organiques grâce à des bactéries qui dégagent un mélange de gaz (le biogaz) dont il faut retirer le gaz carbonique pour produire le méthane baptisé « biométhane ».
Le « gaz vert » ainsi obtenu est donc composé principalement de méthane (à plus de 97 %) qui peut être injecté dans le réseau de gaz naturel qui est aussi majoritairement du méthane.
La production annuelle de biométhane est encore faible en France : 0,4 térawattheures (TWh) pour une consommation nationale de gaz d’environ 400 TWh (soit 0,1%). Néanmoins, elle est appelée à augmenter dans le cadre de la politique de transition énergétique.
DU GAZ DE COMPENSATION
Les offres de gaz vert ne concernent pas seulement le biométhane…
Elles comprennent également le gaz dit « compensé carbone » qui repose en partie sur un Système Communautaire d’Echange de Quotas d’Emissions (SCEQE), une sorte de « bourse du carbone ».
Le principe ? Toute consommation de gaz naturel par un client entraîne des investissements dans des projets « responsables ». Ceux-ci doivent permettre d’éviter des émissions de gaz carbonique « quelque part », dans des proportions au minimum équivalentes aux émissions initiales du client.
Dans le cadre d’une offre de gaz compensé carbone, pour chaque kWh de gaz consommé, le fournisseur s’engage à compenser les émissions de gaz carbonique en achetant des « crédits carbone » auprès d’associations habilitées. Celles-ci mettent en œuvre des projets responsables (localisés n’importe où sur la planète en vertu du principe de neutralité géographique énoncé par le protocole de Kyoto) qui permettent d’éviter les émissions de carbone, ou de capter du gaz à effet de serre émis dans l’atmosphère.
Pour installer des centrales au gaz qualifiés de renouvelables, il suffit donc de remplacer une centrale au charbon par une centrale nucléaire qui ne rejettent pas de gaz carbonique dans un pays exotique, pour vendre du gaz vert dit « compensé carbone ».
INVESTIR DANS LE GAZ VERT POUR PARAÎTRE « ÉCO-RESPONSABLE » ?
Plus coûteux à produire, le gaz vert est aussi beaucoup plus coûteux à l’achat (12 centimes d’euro par kWh (c€/kWh)) au lieu de 1,7 c€/kWh sur le marché du gaz naturel au premier semestre 2017).
Cependant, acheter du gaz vert est une véritable prise de position stratégique à moyen et long terme pour une entreprise. Elle montre ainsi en interne (auprès de ses employés et collaborateurs) et en externe (auprès des clients) qu’elle est soucieuse de son impact environnemental.
Les projets de compensation donnent à l’entreprise une image « responsable » concrète via, par exemple, des actions de lutte contre la déforestation, de protection de ressources hydrauliques… L’entreprise se pare de vert à bon compte grâce à ce « greenwashing » qui permet d’afficher sa volonté de ne pas vouloir seulement « faire du profit ».
Le gaz vert devient un vecteur de communication, une « preuve » que les acteurs économiques sont soucieux de leur impact environnemental, et une composante importante des stratégies de responsabilité sociale des entreprises (RSE).
Reste que du gaz dit « renouvelable » reste toujours du gaz. Le baptiser « biométhane » ne change pas la formule du méthane (c’est toujours CH4) qui est un puissant gaz à effet de serre, et dont la combustion dégage du gaz carbonique.
En réalité, les émissions de gaz carbonique auront été transférées d’un endroit à un autre de la Planète, ce qui est inconciliable avec la décarbonisation de notre mix énergétique imposée par l’Accord de Paris signé par la France en décembre 2015 (COP 21).
Eolien, gaz carbonique: une politique énergétique absurde
La politique énergétique actuelle semble méconnaître les faits et la logique.
Par Jean-Pierre Bardinet.
Il y a quelque temps, le ministère de la Transition Écologique et Solidaire (qui n’a rien d’écologique ni de solidaire…) a lancé une consultation publique concernant un projet de décret relatif aux éoliennes terrestres et portant diverses dispositions de simplification et clarification du droit de l’environnement.
Que de manière jésuistique ces choses-là sont dites, car il s’agit en fait de supprimer toute possibilité de recours aux associations de riverains et/ou aux associations nationales telle la FED.
Bref, ce projet de décret, émanant de la Commission Lecornu a pour seul objectif de supprimer toute entrave juridique ou administrative à l’implantation d’usines éoliennes partout en France et à laisser les promoteurs avides faire ce qu’ils veulent.
Bien évidemment, comme de coutume, sous couvert de démocratie participative, les conclusions de cette consultation sont déjà connues et ne subiront très vraisemblablement aucun amendement.
J’ai néanmoins participé, sans me faire aucune illusion, en déposant deux commentaires (le premier pour rappeler qu’en matière de production d’électricité ils n’ont rien compris, que leur politique énergétique est totalement incohérente et catastrophique pour notre pays, et le second pour me défouler face à la lourde machinerie techno-bureaucratique, adepte inconditionnelle des thèses du GIEC/IPCC).
UNE POLITIQUE ÉNERGÉTIQUE INCOHÉRENTE
Les politiques climat-énergie de notre pays (et de la plupart de pays de l’UE) sont fondées sur l’hypothèse non prouvée que nos émissions de gaz carbonique ont une action mesurable sur la température moyenne annuelle globale et sur le climat de notre planète.
Il s’ensuit que les politiques énergétiques privilégient en principe les émissions bas carbone et elles sont censées, en outre, fournir des moyens de production conformes aux standards d’une production rationnelle d’énergie électrique, à savoir :
1. Elle doit être pilotable, adaptable en temps réel aux fluctuations de la demande. En particulier, elle doit être capable de gérer les heures de pointe (HP) et de réduire la production en fonction de la baisse de la demande en heures creuses (HC). 2. Elle doit être indépendante des caprices d’Éole et des cycles de Phébus. 3. Elle doit avoir un impact mineur sur l’environnement et la biodiversité 4. Le réseau de transport ne doit pas être soumis à des fluctuations brutales et aléatoires. 5. Le prix du kWh doit être compétitif. 6. La sécurité d’approvisionnement doit être garantie. 7. Elle doit avoir un bilan carbone vertueux.
Contrairement à ce qui nous est affirmé péremptoirement, le bilan carbone des éoliennes intermittentes est mauvais, de manière indirecte, car la gestion de l’intermittence en temps réel nécessite des centrales thermiques en soutien permanent, obligées de fonctionner en régime discontinu, ce qui dégage encore plus de gaz carbonique.
Donc, pour sauver la planète d’un problème vraisemblablement imaginaire, on met en place des filières qui vont à l’encontre de ce qui est souhaité. Comprenne qui pourra !…
Plus généralement, il est facile de vérifier que les éoliennes intermittentes ne satisfont à aucun des standards d’une production rationnelle d’énergie électrique : non pilotables, soumises aux caprices des vents, massacreuses de biodiversité ailée (ce qui perturbe gravement l’équilibre des écosystèmes locaux), sources de nuisances pour les riverains (infrasons), sources de variation brutales du réseau de transport, prix du kWh non compétitif, aucune sécurité d’approvisionnement en HP hivernale du soir, bilan carbone non vertueux, et… racket institutionalisé des ménages (taxe CSPE), ce qui fait que l’on se demande quelle est la justification de leur développement inconsidéré.
Les profits pharaoniques des promoteurs, aux frais des ménages ? Une politique volontariste de décroissance, engendrant misère et graves mouvements sociaux ? Un torpillage en règle du tourisme dans nos belles régions, défigurées par les usines d’éoliennes ? Le soutien dogmatique d’une énergie « verte », alors qu’elle ne l’est pas ? Pour tuer le nucléaire, combat historique des Verts, alors même que son bilan carbone est particulièrement vertueux, ce qui est une seconde incohérence ?
Pour toute personne sensée, les EnR intermittentes, à la technologie du passé, adulées par les chantres de l’écologisme, n’auraient jamais dû voir le jour, car les filières de la surgénération, sur lesquelles travaillent et avancent plusieurs pays, sont bien plus intéressantes.
Bref, l’éolien ne sert à rien et les propositions de la Commission Lecornu, dont l’objectif est de favoriser les implantations d’usines éoliennes en bafouant les droits des citoyens, sont néfastes pour notre pays.
UNE POLITIQUE ÉNERGÉTIQUE QUI MÉCONNAÎT LA SCIENCE
Posons-nous tout d’abord une simple question : l’hypothèse arbitraire, non prouvée, de l’action mesurable du gaz carbonique sur la température, peut-elle être suffisamment robuste pour servir de socle aux projections des modèles numériques et aux politiques énergétiques ? Voyons si cette hypothèse est validée par l’observation.
Depuis 130 ans, la seule période connue de co-variation CO2 -température est 1978-1997. De 1950 à 1977 (approximativement) la température a légèrement baissé alors que nous étions dans les Trente Glorieuses et que nos émissions de gaz satanique étaient en plein essor.
Auparavant, de 1910 à 1940, la température avait augmenté, avec la même pente que sur 1978-1997, mais avec une très faible croissance du taux de gaz carbonique atmosphérique.
Un autre exemple plus lointain : au Cambrien (-500 à -600 millions d’années) le taux de gaz carbonique a été de plusieurs milliers de ppm, et, de -100 Ma à -500 Ma (avec un minimum de quelques centaines de ppm autour de -300 Ma), la moyenne a été de 2000 ppm, sans que cela ne génère un réchauffement cataclysmique.
Si les modèles numériques tournaient avec en entrée un taux de gaz carbonique de quelques milliers de ppm, ils prévoiraient un emballement incontrôlé et exponentiel de la température, ce qui ne s’est pas produit dans le monde réel. Il est donc légitime de douter de la pertinence de la politique climat-énergie de notre pays.
N’oublions pas que le gaz carbonique, quelle que soit son origine, est gaz de la Vie sur Terre : sans lui, pas de photosynthèse, donc pas de végétation, pas de phytoplancton, pas d’oxygène. Il est donc incompréhensible de le considérer comme un polluant et de le taxer. Taxer le gaz de la Vie, n’est-ce pas absurde ?
Cela étant, selon le rapport AR5 du GIEC/IPCC, nos émissions de gaz carbonique ne sont que de 4 à 6% du total des émissions. On nous dit que le gaz carbonique d’origine anthropique s’accumule dans l’atmosphère, son temps de séjour étant estimé par le GIEC/IPCC à une centaine d’années (notons que cette estimation, curieusement, est la seule, 40 autres, provenant de publications scientifiques, mais négligées par le GIEC/IPCC, l’estimant à 8 ans en moyenne).
En fait, le temps de séjour du gaz carbonique dans l’atmosphère, quelle que soit son origine, naturelle ou anthropique, n’est que de 5 à 6 ans environ, et la part de gaz carbonique anthropique dans l’air n’est que d’environ 6% (delta C13).
Donc, même si le gaz carbonique avait une action mesurable sur la température, notre politique climat-énergie, censée agir sur 1% environ du total des émissions mondiales, n’aurait aucun effet, si ce n’est procurer des avantages déraisonnables aux promoteurs de l’éolien (et du solaire), d’augmenter la précarité énergétique, de détruire de l’emploi et de réduire le pouvoir d’achat des ménages. Faire plus absurde, est-ce possible ?
Détails du livre La quête d'Al Gore pour devenir le premier «milliardaire du carbone» au monde - «Profondément» a profité du lobbying climatique
Extrait: "Gore en aurait personnellement bénéficié si le projet de loi sur le plafonnement et l'échange de carbone qu'il soutenait était devenu loi. Les médias n'ont jamais traité son témoignage au Congrès à l'appui des projets de loi sur le climat pour ce qu'il était en réalité - un ancien vice-président soutenant une législation qui le rendrait plus riche. "Al Gore est de loin le joueur fossile le plus richement financé dans le débat sur le réchauffement climatique aujourd'hui."
"Le vice-président de Warren Buffett, Charlie Munger, a déclaré à une petite réunion d'investisseurs en 2017 que Gore n'était" pas très intelligent "et" un idiot "mais qu'il était encore capable d'amasser une fortune personnelle dans le monde de l'investissement. [de] dollars dans votre profession et c'est un idiot, c'est une histoire intéressante. Munger ajouta: "il n'est pas très intelligent, il fumait beaucoup de pot quand il passait par Harvard avec un gentleman's C."
Le vice-président de Warren Buffet: Gore, qui n'est pas très intelligent ? & un idiot, mais est devenu sale riche investissant dans? réchauffement climatique ?
Par: Marc Morano - Climate Depot March 11, 2018 10:54 AM
Lire: Chapitre bonus: Intimider les «négateurs» pour faire appliquer le «consensus» - Les «négationnistes» du climat menacés d'être jetés en prison
Revue: «Le Guide politiquement incorrect du changement climatique» - par le «tueur de planète maléfique Marc Morano» - «Comme une balle, il est maintenant le n ° 1 des nouveaux livres en sciences de l'environnement
Extrait du chapitre du livre:
Faire comme un bandit
Et ce ne sont pas seulement les universités, les professeurs et les organisations vertes qui ont récolté les bénéfices financiers de la panique climatique. L'ancien vice-président Al Gore s'est également très bien débrouillé pour lui-même. Comme l'a rapporté Bloomberg News, "dans le dernier rapport financier personnel qu'il a déposé en tant que vice-président, Gore a révélé le 22 mai 2000 que la valeur de ses actifs s'élevait entre 780 000 et 1,9 million de dollars."
Acheter en 2007, la richesse de Gore avait monté en flèche. À ce moment-là, il avait une valeur nette «bien supérieure à» 100 millions de dollars, y compris des options d'achat d'actions de Google pré-publiques, selon un article de Fast Company. Le scientifique du MIT, Richard Lindzen, a déclaré que Gore voulait devenir le premier «milliardaire du carbone» au monde. Après l'administration Obama a gonflé le climat et les plans de relance énergétique, Gore était sur la voie de cette réussite.
En 2008, Gore était si brillant qu'il a annoncé une campagne de 300 millions de dollars pour promouvoir les peurs climatiques et les soi-disant solutions. Selon un rapport du Washington Post de 2012, «14 entreprises de technologies vertes dans lesquelles Gore a investi ont reçu ou bénéficié directement de plus de 2,5 milliards de dollars de prêts, de subventions et d'allégements fiscaux, une partie de l'effort historique d'Obama. une industrie américaine des énergies renouvelables avec des fonds publics. "
La poste a expliqué que Gore "bénéficié d'un CV puissant et une constellation d'amis dans le monde de l'investissement et à Washington. Et il y a quatre ans, son portefeuille s'alignait harmonieusement avec l'agenda d'une nouvelle administration et son plan de dépenser des milliards de dollars en fonds de relance pour les énergies alternatives. Le politicien en rétablissement poussait la bonne cause au bon moment. L'orbite de Gore s'étendit profondément dans l'administration, avec plusieurs anciens assistants gagnant des postes supérieurs d'énergie propre. "
Le député républicain Fred Upton du Michigan, président du Comité de l'énergie et du commerce, a critiqué le fait que Gore profite des fonds des contribuables en utilisant ses relations avec le gouvernement. Le portefeuille de Gore «reflète un schéma inquiétant selon lequel ceux qui sont les plus proches du président [Obama] ont été récompensés par des milliards de dollars de contribuables et ont bénéficié de la manne verte de l'administration dans la course aux dépenses de relance».
Gore était essentiellement soit un fondateur, un membre, ou un partenaire dans un large éventail de groupes qui profitaient ou seraient en mesure de bénéficier d'un stimulus énergétique vert et des programmes d'échange de carbone mandatés par le gouvernement fédéral s'ils devenaient loi. Gore en aurait personnellement bénéficié si le projet de loi sur le plafonnement et l'échange de carbone qu'il soutenait était devenu loi. Les médias n'ont jamais traité son témoignage au Congrès à l'appui des projets de loi sur le climat pour ce qu'ils étaient réellement - un ancien vice-président soutenant une législation qui le rendrait plus riche. Ces rapports ont incité un sceptique sarcastique à suggérer, "Peut-être que Al Gore devrait faire l'objet d'une enquête RICO."
La puissance des systèmes d'échange de carbone pour enrichir les politiciens et corrompre la politique est l'une des raisons pour lesquelles le gourou de l'environnement James Lovelock a claqué le marché du carbone, déclarant: «La plupart des choses vertes frôlent une escroquerie gigantesque. Le commerce du carbone, avec ses énormes subventions gouvernementales, est exactement ce que la finance et l'industrie voulaient. Ça ne va pas faire n'importe quoi sur le changement climatique, mais ça fera beaucoup d'argent pour beaucoup de gens. "
En 2013, Gore a vendu son réseau Current TV à Al Jazeera, financé par le Qatar, pour un montant de 100 millions de dollars. La vente a inspiré ce titre sur mon site Web du Climate Depot: «AlGorjeera-c'est officiel: Al Gore est de loin le joueur fossile le plus richement financé dans le débat sur le réchauffement climatique aujourd'hui.
J'ai demandé si les médias allaient maintenant étiqueter Gore comme un activiste financé par l'industrie à chaque fois qu'ils le dénonceraient. Gore avait littéralement vendu à gros pétrole et gaz: Al-Jazeera "a reçu son financement initial par un décret de l'émir du Qatar, et le Qatar tire sa richesse de ses vastes réserves de pétrole et de gaz naturel."
Les employés fraîchement licenciés de Current TV n'ont pas hésité à s'en prendre à Gore. "Gore est censé être le visage de l'énergie propre et vient de vendre [la chaîne] à très gros pétrole, l'émir du Qatar! Le courant n'a même jamais pris la grosse publicité de pétrole - et Al Gore, que les taureaux *** ter vend à l'émir? "A déclaré un ancien membre du personnel, selon le New York Post. Un autre membre du personnel a commenté: "Il [Gore] n'a aucune crédibilité."
Pas si intelligent
Le vice-président de Warren Buffett, Charlie Munger, a déclaré à une petite réunion d'investisseurs en 2017 que Gore n'était "pas très intelligent" et "un idiot" mais qu'il était encore capable d'amasser une fortune personnelle dans le monde de l'investissement. "Al Gore a des centaines de millions de dollars dans votre profession. Et c'est un idiot. C'est une histoire intéressante. "Munger a ajouté," il n'est pas très intelligent. Il a fumé beaucoup de pot quand il a traversé Harvard avec un gentleman C. # Extrait du livre final #
Lire: Chapitre bonus: Intimider les «négateurs» pour faire appliquer le «consensus» - Les «négationnistes» du climat menacés d'être jetés en prison
Nouveau livre de vente meilleur «corps claque l'ordre du jour de programme de changement climatique dans le nouveau best-seller»
Nouveau livre: «Le Guide politiquement incorrect du changement climatique» - par le «tueur de planète maléfique Marc Morano» - «Comme une balle, il est maintenant le n ° 1 des nouveaux livres de science de l'environnement
La France va consacrer 700 millions d'euros à l'International Solar Alliance
Sudarshan Varadhan MARCH 11, 2018
NEW DELHI (Reuters) - La France consacrera 700 millions d'euros à l'Alliance solaire internationale (ISA), a déclaré le président Emmanuel Macron lors de la conférence de fondation de l'organisation, réaffirmant l'engagement du pays européen envers l'alliance et l'énergie propre.
Le Premier ministre indien Narendra Modi (R) serre la main du président français Emmanuel Macron alors qu'il arrive à la conférence fondatrice de l'Alliance solaire internationale à New Delhi, en Inde, le 11 mars 2018. REUTERS / Adnan Abidi
L'ISA est une organisation intergouvernementale qui vise à mobiliser 1 billion de dollars en fonds pour la production, le stockage et la technologie solaires à travers le monde. Il compte 60 signataires, dont 30 ont ratifié l'accord.
L'organisation fondée sur les traités, lancée par le Premier ministre indien Narendra Modi en 2015, vise à promouvoir l'énergie solaire dans 121 pays.
S'exprimant lors de la conférence, M. Macron a déclaré que la France avait plus que triplé son engagement envers l'alliance, et que sa contribution monétaire totale à l'alliance s'élevait à un milliard d'euros.
Outre les dirigeants des pays membres, des dirigeants de grandes banques de développement telles que la Banque asiatique de développement et la Banque africaine de développement ont également participé à cet événement, qui devrait signer des accords sur l'énergie solaire. Upendra Tripathy, directeur général de l'ISA, a déclaré à Reuters, vendredi, avant la conférence, que les investissements allaient dans la chaîne d'approvisionnement, y compris dans la fabrication, le développement de projets et le stockage.
Macron, en compagnie d'une délégation de sociétés françaises dont EDF, Dassault Aviation, Schneider Electric et Suez, inaugurera une centrale solaire construite par Engie dans l'Uttar Pradesh dans le cadre d'une tournée de quatre jours en Inde.
Notre pays était fondé sur la primauté du droit et la forte adhésion à la moralité et à la décence. Cela a conduit au concept de «l'individualisme rude, où si vous avez travaillé dur et travaillé vers vos objectifs, vous pourriez aller de l'avant. Mais maintenant les choses ont changé.
Je suis venu en Californie il y a plus de 40 ans. A l'époque c'était en fait le "Golden State". Tant de choses ont changé. La politique identitaire et l'agenda progressiste-socialiste des Démocrates en charge ont fait dépérir et mourir ce grand Etat. Le radicalisme auquel la Californie est confrontée est incontrôlable et préoccupant à travers le pays. La sécession est en cours de discussion et le socialisme qui sévit dans notre État plongera davantage la Californie dans une réplique du tiers monde du Venezuela, une autre zone de domination socialiste à parti unique.
Il ne sera pas mieux après que le gouvernement "Moonbeam" Brown quitte finalement. Le prochain gouverneur peut être quelqu'un comme Kevin DeLeon, un laquais socialiste sous la direction de Tom Steyer. J'ai écrit à propos de Tom Steyer avant,
qui est maintenant un environnementaliste ardent bien qu'il soit devenu un milliardaire fonds de couverture sur le pétrole et le charbon . Plein de syndicalistes avec le pouvoir qui contrôlera notre législature d'État après le départ de Brown, Steyer et DeLeon croient à la coercition de l'État et iront encore plus loin dans les profondeurs du socialisme.
Un autre visage dans la foule est le lieutenant Gov Gavin "Any Twosome" Newsom. Il est un fervent partisan des soins de santé à payeur unique et un fervent partisan de l'immigration clandestine. Les deux vont encore éroder la classe moyenne et la sécurité que la classe moyenne mérite. La reconnaissance de la classe moyenne qu'ils ne sont plus importants pour le socialiste progressiste quittera l'État avec leurs entreprises et leur argent, et la Californie deviendra un tiers monde des tricheurs du bien-être et un commerce de la drogue florissant. Nos politiciens se vantent toujours de la puissance économique élevée qu'est la Californie. Ils n'expliquent pas que toute la croissance va à quelques-uns de leurs amis dans l'industrie de la technologie et les services technologiques à haut revenu qui rendent nos grandes villes comme San Francisco inabordable pour la plupart des Californiens. Alors, qu'est-ce que vous finissez avec Techsters vivant dans leurs voitures et aiguilles dans la rue.
Les principaux points focaux pour ces oligarques, les mondialistes et les ordres du Nouveau Monde sont de prendre le contrôle de la politique identitaire pour diviser davantage notre pays. Pour pousser plus loin la Californie vers le socialisme et l'anarchie, il y a la discussion et la coercition dans l'État sur l'immigration.
Commençant par une politique d'immigration qui permet à sept criminels de rester dans la ville et d'assassiner une jeune fille en promenade avec son père et de le retrouver innocent, c'est une gifle pour tous les citoyens et agents de police de l'État. Le gouvernement de l'état a constaté que la primauté du droit peut être ignorée. Les responsables locaux, jusqu'à notre gouverneur, ont décidé que la loi fédérale n'était pas appropriée ici, qu'ils savaient mieux et qu'ils ne permettraient pas aux autorités locales d'appliquer des lois qui ne leur semblent pas adaptées. Ils considèrent que les personnes détenues par ICE sont illégales et ne retiendront pas les étrangers illégaux pour que ICE puisse les ramasser et les expulser. Ils préfèrent qu'ils parcourent les rues et créent un danger non seulement pour l'application de la loi, mais aussi pour les citoyens ordinaires de nos collectivités.
DHS a confirmé que plus de 540 étrangers criminels ont été libérés dans les régions de San Francisco, de Los Angeles, de San Bernardino, de Santa Barbara, de San Diego et du comté d'Orange. Ces criminels avec des crimes tels que, agression, cambriolage, cruauté envers un enfant, et la violence domestique errent maintenant librement dans les rues parce qu'ils sont dans une «ville sanctuaire» et seront protégés par la police.
Selon le DHS dans un mois en 2014 cite des sanctuaires libérés 8100 étrangers criminels déportables, 3000 avec des crimes condamnables. 1900 ont été plus tard réarrêtés un total de 4300 fois pour 7500 différents crimes. Le Government Accountability Office a montré que plus de 55 000 étrangers criminels ont commis 646 000 crimes pour une moyenne de 13 crimes par étranger illégal. Le même rapport de bureau d'une étude de 2011 a montré que seulement 215 000 étrangers criminels dans les prisons fédérales, étatiques et locales avaient été arrêtés près de 1,7 million de fois pour près de 3 millions d'infractions criminelles.
La législature de l'État de Californie a tourné le dos à ces chiffres, ignorant la violence et les dommages causés à nos communautés afin de recueillir les voix dont elles ont besoin pour rester au pouvoir. Il va même jusqu'à permettre à la police de l'État d'informer l'ACI des criminels violents. À moins que l'ICE ne sache déjà qu'un criminel est en prison, personne dans notre gouvernement ou l'application de la loi n'est requis ou même autorisé à les avertir.
Il y a beaucoup d'acteurs dans notre gouvernement d'état qui font partie de ceci. L'un est Sen, Kamala Harris. J'ai déjà écrit à propos de cette femme, un harridan qui continue à bafouer ses rêveries tout en étant accusé d'avoir sombré dans la nuit.
Elle a excorié le procureur général Jeff Sessions pour avoir mentionné la guerre civile et l'esclavage. Encore une fois, parce que Jeff Sessions est blanc, il ne peut prétendre avoir aucune connaissance de la période qu'il a mentionnée. Une autre question que j'ai est que cette administration a les plus bas niveaux de chômage pour tous les groupes, y compris les femmes, les Noirs et les Hispaniques. Comment pouvez-vous prétendre que vous êtes au sujet de ces personnes et ne pas défendre ceux qui ont créé cet ensemble de faits plutôt que de les appeler racistes ? Et pas de sénateur, les villes sanctuaires n'ont rien à voir avec l'avenir, mais tout à faire avec ignorer la primauté du droit. Maintenant, elle déclare que l'application par le gouvernement fédéral de nos lois sur l'immigration est «l'intimidation».
Jerry Brown, notre gouverneur de rayon de lune a qualifié le procureur général Jeff Sessions de "Gestapo" et a déclaré que les Etats-Unis avaient déclaré "guerre" à la Californie. Jerry Brown est considéré comme un véritable croisé pour la Californie, l'homme qui peut sauver l'État. Si cela est vrai, pourquoi 48% des électeurs veulent-ils que vous partiez ? Se pourrait-il que vous ayez fait de nous la risée des États-Unis, et est-ce que vous vous demandez pourquoi la «Nouvelle Californie» commence à prendre de l'ampleur ?
Et puis, il y a le maire d'Oakland, Libby Schaff, qui a déclaré de haut en bas les sessions de l'Attorney General, c'est un "raciste" pour vouloir faire appliquer la loi sur l'immigration. Schaff a mis en garde les étrangers illégaux, dont beaucoup étaient des criminels, d'un prochain raid ICE permettant à 800 des pires criminels de fuir d'Oakland avant l'application.
Dans une déclaration après la conférence de presse de Sessions, Schaff a écrit
"Comment osez-vous vilipender les membres de notre communauté en essayant d'effrayer le public américain en pensant que tous les immigrants sans papiers sont des criminels dangereux - Oakland comme Eusebio et Maria Sanchez, que vous avez arrachés à leurs enfants nés aux États-Unis et les patients atteints de cancer de notre hôpital public qui comptaient sur les compétences infirmières de Maria tous les jours ?
Comment osez-vous distraire le peuple américain d'un système d'immigration raté qui arrache des familles et oblige les travailleurs dont l'économie dépend pour récolter nos récoltes, déployer nos services et construire nos villes pour vivre dans la peur et travailler dans des conditions opprimées ?
Je suis convaincu que les tribunaux régleront le différend entre l'administration et le grand État de Californie. Je suis prêt à retourner au travail en tant que maire d'Oakland - lutter contre l'itinérance, construire des logements abordables, réparer les rues, créer des quartiers sûrs et veiller à ce que les enfants de ma communauté, d'où qu'ils viennent, ils sont arrivés ici, ont toutes les chances de réussir. "
C'est gentil. Prendre soin de discuter des crimes violents que vous commettez de dangereux illégaux sur les citoyens légaux de ce pays ? Voulez-vous discuter de la violence faite par les illégaux dans tout le pays par centaines de milliers ? Vous voulez expliquer comment mettre la population d'Oakland en danger est moins important pour votre politique de frontières ouvertes pour des votes progressistes socialistes pour vous garder le pouvoir ?
Le gouvernement fédéral va sévir contre cette conspiration socialiste progressiste pour ignorer la primauté du droit. Il doit, ou la loi, toute loi ne signifie rien. L'anarchie est ce que les adeptes d'Alinsky veulent, mais notre gouvernement et notre peuple méritent mieux.
LES MEFAITS DU CHANGEMENT CLIMATIQUE SUR LES NEURONES D'UNE MINISTRE:
La ministre canadienne du climat appelle l'attention sur les «impacts sexospécifiques» du changement climatique
par THOMAS D. WILLIAMS, PH.D. 10 mars 2018
La ministre de l'Environnement et du Changement climatique du Canada exhorte les activistes environnementaux à s'attaquer aux «impacts sexospécifiques» du changement climatique, en particulier ses effets sur les femmes et les filles.
Dans une récente publication sur Twitter, Catherine McKenna, 47 ans, nominée par Trudeau au Parti libéral du Canada, a appelé ses partisans à «prendre en compte les impacts sexospécifiques du changement climatique sur les femmes, les filles et les enfants», négociateurs "dans la lutte contre le réchauffement climatique d'origine humaine.
Apparemment, au moins dans l'esprit du ministre, la météo mène maintenant sa propre «guerre contre les femmes».
«Nous devons prendre en compte les impacts sexospécifiques du changement climatique sur les femmes, les filles et les enfants, et je suis fière que le Canada forme des femmes négociatrices afin que nous ayons plus de voix féminines autour de la table»
Ceux qui se demandent quel pourrait être le lien possible entre le «changement climatique» et le genre (autres que d'être à la mode, les préoccupations de gauche) devraient être réconfortés en sachant qu'ils ne sont pas seuls. Pas de loin. Des dizaines d'observateurs ont affiché l'équivalent numérique des sourcils levés, demandant quelle serait la relation possible entre les deux sujets apparemment sans rapport.
Un message représentatif a noté que le climat «affecte à la fois les hommes et les femmes» et que le fait d'avoir plus de femmes à la table n'aura aucun effet sur les conditions météorologiques.
Des commentaires plus caustiques ont renversé la fixation du genre de McKenna, suggérant que le propre travail du ministre est le fruit de «rôles nommés par le sexe pour faire des positions superflues».
Un wag pensait qu'il aurait pu déchiffrer le lien énigmatique entre le genre et le climat et tweeté: «Le premier travail de ma sœur était le baby-sitting. Le mien était en train de pelleter des allées enneigées. C'est ce que tu veux dire ?
Un autre a simplement plaisanté: "Le monde se termine demain. Les femmes et les enfants ont le plus souffert. "
McKenna était en train de tweeter lors du Sommet mondial de l'océan 2018 qui se déroulait dans la station balnéaire de Cancún, au Mexique, qui s'est tenue cette semaine de mercredi à vendredi. L'événement est sponsorisé par le magazine britannique Economist.
En termes dramatiques, les organisateurs d'événements décrivent l'importance critique du sommet pour l'avenir des mers:
"L'océan est en difficulté. Dans le monde entier, les humains ont opéré des changements spectaculaires sur les mers. Une chose est certaine: notre parcours actuel est insoutenable », lit-on dans l'introduction.
Dans son rôle privilégié en tant que ministre du Climat, McKenna a été en mesure de réunir les deux questions qui semblent l'inspirer le plus: l'environnement et les préoccupations des femmes. Avant de travailler en politique, McKenna a été membre du conseil d'administration de la Société Elizabeth Fry d'Ottawa, spécialisée dans les questions touchant les femmes et les filles dans le système de justice.
Dans un post Facebook vendredi, McKenna a souligné les nombreuses femmes qu'elle a rencontrées pendant son temps au Mexique.
«Lors du Sommet des océans, j'ai rencontré et appris de nombreuses femmes extraordinaires qui agissent dans leur communauté pour protéger nos océans», a-t-elle écrit. «Rédacteur en chef, Zanny Minton Beddoes et Sylvia Earle, présidente de Mission Blue, n'en sont que quelques-uns. Rejoignez-nous pour discuter du leadership des femmes ! "
McKenna a terminé son tweet avec le curieux hashtag #RunLikeAGirl.
Connue par ses détracteurs comme "Climate Barbie", McKenna a qualifié l'étiquette d '"insulte sexiste", et même certains de ses fans ont admis sa justesse, Rosie Dimanno avouant que le surnom "la capture parfaitement", si " un troglodyte de réchauffement climatique enclin à lober un brickbat sarcastique visant, vraisemblablement, à prétendue shallowness McKenna. Un peu de malice, c'est tout. "
"La politique est une affaire difficile", a observé Dimanno.
Au cours des dernières années, le «changement climatique» est devenu le bouc émissaire de presque tous les problèmes de la société, du racisme à l'immigration en passant par la pauvreté et les inégalités économiques.
En 2016, le journal The Guardian a lancé la théorie improbable que le réchauffement climatique est une crise «raciste», perpétrée par des Blancs riches contre des Noirs pauvres et vulnérables.
Bien qu'il n'offre aucune preuve, l'article fait l'affirmation follement invraisemblable selon laquelle «les noirs britanniques sont 28 % plus susceptibles que leurs homologues blancs d'être exposés à la pollution de l'air».
L'année suivante, plusieurs médias ont accusé Donald Trump de «racisme environnemental», comme en témoigne sa décision de se retirer de l'accord climatique de Paris. En annonçant son verdict, l'un d'eux a dit que Trump avait continué «sa guerre contre les gens de couleur en Amérique».
Mais le genre et la race ne sont pas les seuls problèmes supposés être affectés par le changement climatique.
L'activiste écologiste Leehi Yona a écrit que le changement climatique est lié à un éventail de problèmes allant de la justice transgenre à la réforme de l'immigration.
En écrivant dans The Nation, Mme Yona a dénoncé le président pour sa nomination d'une série de «négationnistes du changement climatique» avant d'exposer sa propre théorie de la centralité du changement climatique dans la compréhension de toute autre question.
"Le changement climatique ne concerne pas seulement la planète. C'est une question de justice: raciale, sociale, socioéconomique, reproductive et environnementale », écrit-elle. "Il s'agit de la réforme de l'immigration, des droits LGBTQIA + et de la liberté religieuse."
"Je me trouve incapable de penser seul au changement climatique", écrit Yona.
L'incapacité à penser seul au climat, ou même à y penser rationnellement, semble être une épidémie qui affecte beaucoup de gens sur la gauche.
Là encore, s'il s'agit d'une épidémie, elle doit aussi être causée par le changement climatique.
Voici comment il est facile de pirater la voiture de quelqu'un et prendre le contrôle
Par Alanna Ketler Evolution collective 12 mars 2018
"Les voitures sont l'un des ordinateurs les plus chers, les plus gros et les plus dangereux que vous possédez. C'est l'un des rares ordinateurs pouvant parcourir 120 miles à l'heure. Droit ? Comme si c'était une grosse machine exécutée par un logiciel qui peut être piraté et qui, vous le savez, est dangereux. "
"Vous voulez que la technologie progresse, mais en même temps, vous voulez qu'elle soit sécurisée."
C'est quelque chose que la plupart des gens ne réalisent pas à propos de leurs véhicules, en particulier les modèles les plus récents et en particulier ceux avec la technologie d'auto-conduite. Tout comme n'importe quel autre système informatique, ils peuvent être piratés. Ce qui signifie que quelqu'un qui n'est pas dans la voiture, ou n'importe où près de la voiture que vous conduisez peut prendre le contrôle de la voiture et l'amener à faire ce qu'il veut. C'est une question très sérieuse à laquelle s'inquiéter.
Nous avons été prévenus à propos de cela ...
Wikileaks nous a prévenus à ce sujet l'année dernière, révélant que la CIA (Central Intelligence Agency) s'est penchée sur les voitures de piratage, WikiLeaks affirme que cette technologie pourrait être facilement utilisée pour mener des «assassinats presque indétectables», la capacité de contrôler votre véhicule, mais les véhicules pourraient également être volés de cette façon.
En 2013, WikiLeaks avait des soupçons sur la mort d'un journaliste, Michael Hastings, qui a été tué dans un accident de voiture à Los Angeles. Certaines personnes spéculent même que la mort du célèbre acteur, Paul Walker, a été causée de cette façon. En fait, la fille de Walker a poursuivi les fabricants de la voiture que son père conduisait, Porsche, à cause d'un «dysfonctionnement» apparent de la voiture.
En 2015, les chercheurs en sécurité, Charlie Miller et Chris Valasek, ont réussi à pirater une Jeep Cherokee 2014 et à réussir à «tourner le volant, désactiver brièvement les freins et arrêter le moteur». Ils ont également découvert qu'ils pouvaient accéder à des milliers Parmi les autres véhicules qui utilisaient aussi un système de navigation et de divertissement sans fil appelé Uconnect, c'était courant pour les véhicules Dodge, Jeep et Chrysler. Ce piratage a incité Fiat Chrysler à rappeler 1,4 million de véhicules. Regarde,
"Il ne semble pas que les fabricants aient actuellement des méthodes de détection / prévention pour de telles attaques", a déclaré M. Valasek par courriel mardi. "Rappelez-vous, Charlie et moi avons fait toutes ces recherches pendant notre temps libre avec des ressources limitées. "
En 2010, et en 2011, des chercheurs de l'Université de Washington et de l'Université de Californie ont publié des articles montrant que les véhicules pouvaient être compromis lorsque les pirates avaient accès, en personne ou à distance.
En 2016, une autre étude a été publiée en Allemagne où les chercheurs ont réussi à déverrouiller et démarrer 24 véhicules différents avec des porte-clés sans fil en prenant le contrôle de l'appareil à distance et en amplifiant son signal.
Selon le vice-président du marketing chez Argus Cyber Security, Yoni Heilbronn, «l'équation est très simple. Si c'est un ordinateur et qu'il se connecte au monde extérieur, alors c'est piratable. "
Il est important de savoir que des hackers entiers peuvent pirater votre voiture, c'est encore très improbable. Mais indépendamment de ce fait, les entreprises de voiture devraient être un peu plus prudent en ce qui concerne les systèmes de sécurité sur leurs véhicules.
Le système de divertissement dans le véhicule est le plus vulnérable, l'un des plus populaires est appelé QNX, qui exploite les technologies de divertissement et de navigation embarquées. QNX appartient à la société maintenant connue sous le nom de Blackberry. Selon un porte-parole de Blackberry, ce système a été utilisé dans plus de 50 millions de véhicules, dont Audi, Ford et Maserati. "Fournir le plus haut niveau de sécurité a toujours été au cœur de notre mission." surveillent et vérifient constamment leur sécurité pour les vulnérabilités qui doivent être traitées.
La possibilité de pirater pourrait également permettre à l'ICA d'avoir accès à un véhicule, d'écouter les conversations et de surveiller toute autre donnée transitant par le système des véhicules.
Il est difficile de dire quand un véhicule a été piraté, mais il serait sage pour les fabricants d'envisager cela, et de développer une sorte de sécurité autour de toute «activité suspecte» ou une sorte d'alarme pour toute interception extérieure de toute nature.
Les constructeurs automobiles sont bien conscients de ce problème et nous ne pouvons qu'espérer que la sécurité est prise au sérieux et que le problème continuera d'être réglé.
Il est important de savoir que même s'il s'agit d'une préoccupation potentielle, le système d'exploitation des véhicules offre de nombreuses fonctions de sécurité modernes qui peuvent vous sauver la vie, des freins antiblocage, une technologie d'assistance, des avis de collision automatique, des appels mains libres autres. Malheureusement, il n'y a vraiment rien que vous puissiez faire pour éviter les cyber-hacks.
Reproduit avec la permission de Collective Evolution.
Aujourd'hui les voitures sont piratées, les alarmes, les puces RFID, les comptes en banques, demain les satellites et pourquoi pas les soucoupes volantes ? Hahahaha !
Vive l'argent liquide ? Oui mais, ce n'est pas une raison pour pisser n'importe où !
Une épidémie de crocodiles et de serpents balaie le Queensland alors que des pluies torrentielles et des inondations soudaines frappent l'État
Par Claudia Poposki Pour Daily Mail Australia 06h30 GMT, 12 mars 2018
Les inondations du Queensland ont amené un certain nombre d'animaux dans le monde, en particulier dans des zones où ils ne seraient normalement pas visibles.
Maintenant, le ministère de l'Environnement du Queensland a émis un avertissement pour ceux qui sont pris dans la zone de danger.
L'avertissement, partagé sur Facebook, se lit comme suit: «Les crocodiles et les serpents peuvent se retrouver dans des endroits inattendus en raison des fortes pluies et des inondations dans certaines parties du nord du Queensland.
Le ministère de l'Environnement du Queensland a publié un avertissement sur les inondations qui ont amené les crocodiles et les serpents
«Les crocodiles peuvent se déplacer plus en amont lors des marées très hautes et des périodes d'inondation», lit-on dans Crocwise
Le pays de crocodile coule normalement du nord de la rivière Boyne et s'étend vers l'ouest jusqu'à la frontière entre le Queensland et le Territoire du Nord le long de la côte.
Mais le ministère de l'Environnement et des Sciences (DEA), anciennement ministère de l'Environnement et de la Protection du patrimoine, avertit que: «Les crocodiles peuvent se déplacer plus en amont pendant les marées hautes et les périodes d'inondation. Déjà vu.'
Les signes avant-coureurs sont dans les zones que les crocodiles sont connus pour fréquenter, mais que les gens devraient s'attendre à ce que l'animal pourrait être dans toutes les voies navigables du nord du Queensland.
La page Crocwise avertit également que ce n'est pas parce que vous ne pouvez pas voir un crocodile qu'il n'y en a pas un à proximité.
«Les crocodiles peuvent être très patients et peuvent rester sous l'eau pendant au moins quatre heures sans même respirer», écrit la page.
Dans un communiqué de presse, le directeur des opérations sur la faune de Northern Northern, M. Matt Brien, a déclaré: «Les serpents sont de bons nageurs et ils peuvent aussi se retrouver dans des endroits inattendus.
Si vous voyez un serpent, n'essayez pas de l'attraper ou de l'enlever. Téléphonez à un éliminateur de serpents licencié local si vous avez besoin d'aide.
Les crocodiles et les serpents ne sont pas les seuls animaux qui se sont manifestés lors des inondations.
- voir carte sur site -
Le pays de crocodile s'étend du nord de la rivière Boyne et continue vers l'ouest le long de la côte. La zone inondée est marquée sur la carte ci-dessus sur vert
Les signes avant-coureurs sont dans les zones que les crocodiles sont connus pour fréquenter, mais que les gens devraient s'attendre à ce que l'animal pourrait être dans toutes les voies navigables du nord du Queensland
Des séquences vidéo ont émergé d'une tarentule australienne qui avait été chassée de son terrier.
L'araignée avait besoin d'être sauvée des eaux de crue et d'être chassée de son terrier, laissant l'animal vulnérable.
Les gens sont invités à signaler toutes les observations de crocodiles à CrocWatch au 1300 130 372.
Est ce juste pour moi ? Ou en avez-vous marre du levain aussi ? demande CLAUDIA CONNELL
Par Claudia Connell pour le Daily Mail 00:34 GMT, 12 mars 2018
Il y a tellement de choses à organiser avant les vacances que cela peut ne pas valoir la peine. Vous avez besoin de quelqu'un pour nourrir le chat, vous devez annuler les documents. . . et, bien sûr, il y a le gardien du levain.
Oh, vous n'en avez pas sur le numéro abrégé ? Chéri, dans le monde du pain artisanal qui ferait de vous quelque chose d'un paria. Heureusement, dans le monde normal, cela vous rend normal.
Vous ne pouvez pas avoir manqué de remarquer comment le pain ridiculement prétentieux est devenu. Dans certains cercles, admettre que vous avez un faible pour les blancs tranchés provoquera la même réaction si vous aviez juste avoué aimer le peu de cocaïne.
La plus vénérée de tous les pains est le levain, vendant jusqu'à 6 £ par pain. Les femmes cultivées se disputeront la dernière au supermarché, votre avocat sera servi dans un café à la mode et il a même trouvé son chemin dans les bases de pizza. Waitrose rapporte que les ventes de levain ont augmenté d'un tiers l'année dernière.
En raison du long processus de fermentation, le levain serait plus facile à digérer et naturellement faible en gluten, ce qui le rend populaire auprès des millennials qui mangent sainement.
Il a trois ingrédients: farine, sel et eau. Si vous le faites à la maison, il est fait au fil des jours, voire des semaines. Comme la levure n'est pas utilisée, la pâte doit être nourrie, nourrie et arrosée comme une orchidée de prix.
C'est pour cette raison que les boulangers-pâtissiers se procurent des boissons gazeuses ou, comme ils le font en Suède, contrôlent leur seau de gloop dans un «hôtel au levain» où le personnel qualifié répond à tous ses besoins.
Les levains au levain (la culture nécessaire pour commencer un pain) changent de mains jusqu'à 50 £, avec des recettes transmises de génération en génération.
Appelez-moi un philistin, mais je ne veux pas dépenser plus pour un pain que pour un rouge à lèvres. Et personne ne peut me convaincre que le meilleur sandwich du monde - le fromage et le cornichon - devrait être fait en utilisant autre chose que du blanc ordinaire tranché.
Levain ? 100 gr d'eau + 100 gr de farine (T55) dans un bocal. Secouez et laissez 3 jours. N'oubliez pas que pour faire du pain chez soi (ou pizza) il est nécessaire d'avoir un four à pains ! Four électrique avec briques (22x11x3 cm) réfractaires à l'intérieur et extérieur. Posées non cimentées.
La Sierra Leone organise le premier scrutin «gratuit et équitable» au monde
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 03/10/2018 - 22:30
Sierra Leone
Et dans un autre triomphe, la première élection nationale à être suivie et vérifiée à l'aide de la technologie blockchain s'est déroulée en Sierra Leone cette semaine. Les votes sont encore comptés, mais Agora supervise le premier test bêta de sa technologie blockchain de surveillance de vote, comme l'a rapporté Coindesk.
Alors que les électeurs se préparaient à voter dans une campagne houleuse entre 16 candidats, à leur insu, Agora, une start-up de blockchain, aidait à garder une trace de tout cela et, grâce à son registre distribué, fournissait un aperçu sans précédent du processus.
Dans ce qui semble être une première mondiale pour la technologie émergente, Agora a utilisé une blockchain privée et autorisée, inspirée de la technologie qui soutient le bitcoin et d'autres cryptocurrences, pour superviser les résultats d'une élection nationale en temps réel. Il a ensuite transmis les données aux personnes chargées de superviser et de vérifier le processus démocratique de la nation.
Bien sûr, la technologie est encore très rudimentaire, et les employés d'Agora ont dû vérifier physiquement les bulletins de vote papier avant de saisir leur contenu dans la base de données blockchain de l'entreprise.
La technologie de l'entreprise, appelée «skipchain», est ce que l'on appelle une blockchain «autorisée» - où seules certaines données entrées dans la base de données sont visibles par le public (dans ce cas, les noms et les informations personnelles des électeurs restera caché, tandis que les résultats du vote et toutes les métadonnées non personnelles associées devraient être disponibles pour tous).
Alors que cet article était en cours d'achèvement, Agora, une fondation basée en Suisse (seule Démocratie au monde !), était en train de compter manuellement les votes et de les enregistrer dans une blockchain.
«Les électeurs remplissent leurs bulletins de vote sur papier et notre équipe avec des observateurs impartiaux les enregistre sur la chaîne de blocs», a expliqué Lukasiewicz, qui a officiellement rejoint l'entreprise en janvier après s'être joint à lui en tant que conseiller.
En retrait, cependant, non seulement c'est la première fois que la blockchain est implémentée lors d'une élection nationale, mais aussi la première implémentation en direct de la pile de services blockchain d'Agora - ce que la société appelle la technologie "skipchain". seulement voir une partie de la blockchain.
À certains égards, la Sierra Leone avait un certain nombre d'avantages qui ont rendu les tests bêta d'Agora faisables. Par exemple, depuis la fin de la guerre civile en 2002, le pays a organisé un certain nombre d'élections en grande partie «libres et équitables». Mais le vote de cette année était également chargé de complications qui sont encore en cours d'élaboration. Plusieurs épisodes de violence politique ont précédé le scrutin, et déjà, avant même que le décompte officiel des voix soit publié, deux partis de l'opposition expriment de «graves inquiétudes» quant à l'équité du vote de cette année, selon Africa News. La Coalition pour le changement et la National Grand Coalition ont déclaré à AN que leurs agents avaient été expulsés de certains bureaux de vote lorsque le décompte des voix a commencé ...
RépondreSupprimerMais dans son rapport préliminaire, la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) a noté que bien que les élections aient été pacifiques, libres et équitables, certaines questions ont été soulevées, notamment la présence de la sécurité dans les bureaux de vote.
En résumé, le vote soutenu par blockchain est une première et importante étape vers le déploiement d'un système de vote transparent sur la blockchain qui permettrait aux électeurs d'enregistrer leurs choix directement sur la blockchain d'Agora, sans l'intermédiaire papier. Et avec une poignée d'autres Etats africains intéressés à travailler avec Agora pour de futures élections, ce jour pourrait arriver plus tôt que ne le pensent certains sceptiques.
Pour ceux qui ne connaissent pas encore le fonctionnement de la technologie, cette explication de deux minutes pourrait offrir un aperçu.
- voir clip sur site :
https://www.zerohedge.com/news/2018-03-09/sierra-leone-holds-worlds-first-free-and-fair-blockchain-backed-election
Voilà pourquoi révéler son athéisme en direct en Égypte n’est pas une bonne idée
RépondreSupprimer11:58 11.03.2018
«S’il n’y a pas de Dieu, comment es-tu né ?»: un animateur de télévision égyptienne a décidé de ne pas poursuivre une discussion avec un athée invité et l’a expulsé du studio en lui conseillant de se faire traiter par un psychiatre.
L'hôte d'une émission de télévision égyptienne, Mahmoud Abd al-Halim, a mis dehors du studio son invité Mohammad Hashem, après que ce dernier s'est ouvert sur le fait d'être athée. De plus, l'animateur lui a recommandé d'aller consulter un psychiatre.
L'athée Mohammad Hashem était invité au studio de la chaîne de télévision pour une discussion avec Mahmoud Ashour, représentant du Centre d'études islamiques al-Azhar. En direct, il a déclaré qu'il était athée.
«Je suis athée, ce qui signifie que je ne crois pas en l'existence de Dieu, je ne crois pas en lui», a déclaré Hashem, ajoutant qu'il n'avait pas besoin de religion pour avoir des valeurs morales ou pour être un membre productif de la société.
Alarmé par cette déclaration, l'animateur a demandé à Hashem comment il expliquait son existence dans l'univers. L'invité a détaillé qu'il existait plusieurs théories qui tentaient d'expliquer l'existence de l'univers et de l'humanité, y compris celle qui prétendait que tout avait été créé par un Dieu.
De son côté, l'animateur de l'émission a déclaré agressivement que les opinions de son invité étaient «inappropriées» et que son comportement et ses «idées destructrices» étaient un «très mauvais exemple pour la jeunesse égyptienne». Il a ensuite ordonné à Hashem de quitter le studio.
«Cher Mohammad, tu as besoin d'un traitement psychiatrique. Aujourd'hui beaucoup de jeunes souffrent de maladies mentales dues à des circonstances matérielles ou morales», a commenté l'autre invité.
L'animateur a approuvé sa proposition et a de nouveau exigé que Hashem quitte le show, s'excusant auprès des téléspectateurs pour avoir donné la parole à un invité «confus et destructeur».
https://fr.sputniknews.com/societe/201803111035457117-athee-egypte-emission/
SupprimerPourquoi n'a t-il pas demandé le nom du créateur de 'dieu' ?
JEFF BEZOS - COMMENT IL EST DEVENU LE PLUS RICHE AU MONDE
RépondreSupprimerLe fondateur d'Amazon a ravi à Bill Gates la première place du classement des milliardaires. Découvrez son parcours.
Jeff Bezos s'est rasé la tête et s'est mis à l'exercice, une métamorphose physique spectaculaire.
11.03.2018, 09h41
Jeff Bezos, 54 ans, est désormais l'homme le plus riche du monde grâce au succès planétaire d'Amazon mais ce multimilliardaire plutôt discret a d'autres hobbies, comme la conquête spatiale ou... la construction dans une montagne d'une horloge géante.
Grâce à la hausse des actions Amazon, sa fortune dépasse désormais 110 milliards de dollars (105 milliards de francs), plus que celle du fondateur de Microsoft Bill Gates, passé en deuxième position, selon le classement du magazine Forbes. Sa recette du succès ? «Il faut être agile et robuste, pour pouvoir encaisser les coups, et il faut être rapide, innovant et (aller) très vite, c'est la meilleure défense contre l'avenir. Il faut toujours aller dans le sens de l'avenir. Si on se détourne de l'avenir, (il) gagnera», expliquait-il dans une interview à l'automne.
Fondé dans son garage
De l'eau a coulé sous les ponts depuis 1994, lorsque Jeff Bezos fonda Amazon, dans son garage, selon la légende. Simple libraire en ligne au départ, longtemps déficitaire, le site est devenu aujourd'hui un géant tentaculaire incontournable, qui domine le commerce électronique, l'informatique dématérialisée («cloud») ou les assistants vocaux intelligents, avec Alexa.
En Bourse, le mastodonte de Seattle, dans le nord-ouest du pays, pèse aux alentours de 750 milliards de dollars. La méthode Bezos? Investir tous azimuts et bouleverser des secteurs économiques en baissant les prix, au point d'être surnommé le «perturbateur-en-chef». «Jeff Bezos est méthodique et réfléchi», estimait récemment l'analyste Patricia Orsini du cabinet eMarketer à propos de ses ambitions dans le secteur de la santé.
Métamorphose physique
Des succès qui valent aussi au groupe d'être souvent considéré comme un rouleau compresseur sans état d'âme pour la concurrence, voire pour les conditions de travail de ses propres salariés. Comme Amazon, Jeff Bezos a lui aussi changé: il s'est rasé la tête et s'est mis à l'exercice, une métamorphose physique spectaculaire immortalisée par une série de photos l'été dernier. Et, longtemps discret, il semble progressivement sortir de l'ombre, «plus à l'aise à l'idée d'être sous l’œil du public», selon le New York Times dans un récent portrait.
Mais Jeff Bezos, passionné de science-fiction, a d'autres passions, comme la construction d'une horloge monumentale de 150 mètres de haut. Il a investi 42 millions de dollars dans cette horloge mécanique, censée fonctionner 10'000 ans et symboliser «la réflexion de long-terme». Son installation a commencé fin février à l'intérieur d'une montagne au Texas, creusée spécialement.
Sauver la Terre
«Les humains sont aujourd'hui assez avancés technologiquement pour créer des merveilles extraordinaires mais aussi des problèmes à l'échelle de la civilisation. Nous aurons sans doute besoin de davantage de réflexion de long terme», écrit-il sur un blog dédié au projet.
Jeff Bezos finance aussi Blue Origin, qui veut envoyer des touristes dans l'espace. Un intérêt pour la conquête spatiale et les projets futuristes qui le font de plus en plus ressembler à un autre milliardaire haut en couleur, Elon Musk, patron du groupe automobile Tesla et de l'entreprise spatiale SpaceX.
RépondreSupprimerBlue Origin a aussi pour ambition de construire un vaisseau et un atterrisseur lunaire capables d'assurer des livraisons de fret, et des modules d'habitat sur la Lune, un projet, explique Jeff Bezos, destiné à «sauver la Terre» en envoyant l'industrie dans l'espace. «Grosso modo, ce que je fais, c'est prendre ce que me rapporte Amazon et l'investir» dans Blue Origin, expliquait simplement le milliardaire fin 2016.
Une fusée pour Trump
Depuis 2013, il est aussi propriétaire du quotidien américain Washington Post, cible régulière des attaques du président républicain Donald Trump. Attaqué sur Twitter par ce dernier lorsqu'il n'était pas encore à la Maison-Blanche, Jeff Bezos avait répliqué en proposant de lui «réserver» une place dans une fusée, avec le hashtag «#envoyerDonalddanslespace». De son vrai nom Jeffrey Preston Jorgensen, il fut adopté enfant par son beau-père Miguel Bezos, un immigrant cubain.
Après des études scientifiques et informatiques en Floride puis à la prestigieuse université de Princeton, Jeff Bezos a travaillé plusieurs années à Wall Street, avant de se décider à lancer sa propre entreprise, fasciné par internet. Il est marié depuis 1993 à Mackenzie Bezos, écrivain, et est père de quatre enfants.
https://www.lematin.ch/monde/devenu-riche-monde/story/25041453
Supprimer(...) un projet, explique Jeff Bezos, destiné à «sauver la Terre» en envoyant l'industrie dans l'espace. (...)
Un peu con, non ?
(...) Après des études scientifiques et informatiques en Floride puis à la prestigieuse université de Princeton, Jeff Bezos (...) ??!
La 'prestigieuse université de Princeton' (New Jersey) ?? voir ci-dessous le post de tout-à-l'heure:
10 mars 2018 à 08:23
Liz Fuller-Wright, Université de Princeton (New Jersey) est elle-même une escroc (payée par le GIEC, Al Gore et les COP ?) qui prétendrait (devant ses élèves ?) que la mer va monter !!!
- Ce qui revient à dire que s'ils sont de la même diarrhée ils vont sentir la même chose !
Ours : l’État condamné pour carence
RépondreSupprimer09.03.18
Dans un jugement daté du 6 mars, le tribunal administratif de Toulouse a condamné l’État pour carence face à son obligation de protéger l’ours dans les Pyrénées.
Le tribunal administratif de Toulouse a condamné le 6 mars 2018 l’État pour carence face à son obligation de protéger l’ours brun (Ursus arctos) dans les Pyrénées, estimant que « les actions mises en œuvre par l’État ne peuvent pas être regardées comme suffisantes » pour préserver l’espèce.
Dans son jugement, le tribunal condamne l’État à payer la somme de 8 000 euros à chacune des associations plaignantes, Pays de l’ours-Adet (association pour le développement des Pyrénées) et Ferus.
Faisant suite à l’audience du 13 février 2018, le tribunal considère que la population ursine dans le massif pyrénéen est « soumise à un risque démographique significatif, au regard de son effectif global insuffisant pour garantir la viabilité de l’espèce à long terme, mais aussi à un risque génétique très élevé, compte tenu de la fréquence des reproductions entre consanguins ».
« Une faute de nature à engager la responsabilité de l’État »
« La carence des autorités nationales face à cette obligation constitue une faute de nature à engager la responsabilité de l’État », écrivent encore les juges administratifs, soulignant que l’ours brun est classé dans les « espèces animales protégées » depuis 1971.
Le tribunal administratif de Toulouse déplore que les gouvernements successifs n’aient pas honoré leur promesse de 2010 de procéder « au remplacement systématique des ours décédés accidentellement et notamment de l’ourse tuée en 2007 ». Il juge que « l’importance des oppositions locales à la réintroduction des ours, au regard notamment des difficultés posées par leur coexistence avec les activités d’élevage » ne « sauraient suffire à justifier les huit années de retard dans la définition du nouveau plan d’actions relatif à la conservation de l’ours ».
Les associations Ferus et Pays de l’ours avaient saisi la justice en avril 2015 pour faire reconnaître « l’insuffisance de la politique française ». Dans un communiqué commun, elles se félicitent du jugement et demandent au gouvernement de « programmer dès ce printemps les premiers lâchers de femelles afin d’éviter la disparition de l’espèce dans les Pyrénées occidentales où il ne reste que deux mâles ». Elles réclament également « l’adoption rapide d’un nouveau plan de restauration de l’ours brun dans les Pyrénées ». Le dernier a expiré en 2009, précisent-elles.
29 spécimens en 2015
Dans son jugement, le tribunal administratif fait le point sur la présence de l’ours brun en France, où il ne subsiste que « dans le seul massif des Pyrénées » : après un fort déclin à partir de la fin du XIXe siècle, passant de 150 individus à environ 70 dans les années 1950 pour atteindre un « effectif minimum de 7 à 8 » dans les années 1980, trois ours ont été réintroduits en 1996 et cinq en 2006, le dernier lâcher d’ours en date. Depuis, les effectifs d’ursidés détectés dans la chaîne pyrénéenne se sont élevés à 19 en 2011, 22 en 2012, 25 en 2013, 31 en 2014 et 29 en 2015. 27 d’entre eux sont concentrés au centre du massif pyrénéen, seuls deux mâles se trouvent à l’ouest, tandis que l’espèce a disparu à l’est.
Un loup filmé à quelques centaines de mètres des classes
RépondreSupprimer09.03.18
Le 22 décembre 2017, en quittant son lycée, une élève de terminale a filmé un loup déboulant devant la voiture conduite par sa mère.
Le jour des vacances de Noël, Léa Rouffier, en quittant son lycée agricole (Carmejane dans les Alpes-de-Haute-Provence), a la surprise de voir un loup débouler devant sa voiture. Sa mère est au volant et elle a juste le temps de sortir son téléphone pour suivre l’animal pendant quelques secondes. « Il était affolé et j’avais du mal à le suivre, indique Anne-Marie, la mère de Léa.
Les loups et les ours ne mangent pas de l'herbe !!!
SupprimerA quand le lâcher de fauves dans la Capitale ?
Les anti-aéroport « seuls légitimes » à prendre en charge les terres agricoles
RépondreSupprimer09.03.18
Les opposants à l’ex-projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique) sont les « seuls légitimes » à prendre en charge le territoire de la Zad qu’ils ont « sauvé de la destruction programmée », estiment-ils vendredi, alors que l’État s’apprête à ouvrir la concertation sur le devenir des terres agricoles.
Cette concertation s’annonce aussi âpre que longue, les 1 650 hectares de l’ex-emprise aéroportuaire étant convoités à la fois par le mouvement anti-aéroport et par le conseil départemental de la Loire-Atlantique qui souhaite en confier la gestion à la chambre d’agriculture.
« L’abandon du projet d’aéroport est l’aboutissement d’une longue lutte soutenue activement par des dizaines de milliers de personnes », souligne dans un communiqué le mouvement anti-aéroport, qui affirme être le « seul en mesure aujourd’hui de mettre en œuvre un projet cohérent pour ce territoire articulant la pérennisation des habitats, l’impulsion d’une dynamique agricole inédite et le soin apporté aux questions environnementales ».
Une délégation du mouvement a été reçue le 28 février en préfecture, en préalable au premier comité de pilotage « d’apaisement » que présidera le 19 mars la préfète de la Région des Pays de la Loire, Nicole Klein, en présence de représentants du département, d’élus, des syndicats agricoles et d’associations.
Le début d’un long bras de fer
« Loin de marquer l’ouverture d’une négociation apaisée avec l’État, ce rendez-vous semble plutôt le début d’un long bras de fer sur l’avenir de la Zad », considère le mouvement anti-aéroport. La mise en œuvre de son projet collectif de gestion des terres est la « seule façon de préparer un avenir serein sur le territoire de la Zad », assure-t-il.
Alors que la préfète de Région a confirmé jeudi à l’AFP une opération d’expulsion ciblant les occupants « refusant de s’inscrire dans l’état de droit », au terme de la trêve hivernale, les anti-aéroport réaffirment « que toute tentative d’expulsion ferait l’objet d’une réaction forte et immédiate de l’ensemble du mouvement ».
Les anti-aéroport, qui réclament « le gel de l’attribution conventionnelle de l’usage des terres pour trois ans, et l’attribution du pilotage du territoire à l’entité représentative du mouvement », rappellent l’engagement de « nombreuses organisations nationales » et des « 30 000 personnes » (8 500, selon la préfecture) venues célébrer le 10 février l’abandon du projet d’aéroport et défendre le projet de gestion collective des terres.
Les hologrammes du 11 Sptembre sont de retour !
RépondreSupprimer"Qu'est-ce que le F- Est-ce que c'est ?": OVNI en mouvement rapide Stuns États-Unis Navy Pilots
par Tyler Durden
Dim, 03/11/2018 - 20:57
Superbe vidéo capturée par les pilotes de la US Navy en 2015 montrant un objet mystérieux "sans ailes ni queues évidentes", et "aucun panache d'échappement" voyageant à grande vitesse sur l'océan Atlantique "très bas au-dessus de l'eau".
La vidéo déclassifiée du Département de la Défense (DoD) a été diffusée par la société d'analyse The Stars Académie des Arts et des Sciences - dont le comité consultatif comprend l'ancien Sous-Secrétaire à la Défense des Renseignements Clinton et Bush, Christopher Mellon.
"Qu'est-ce que c'est que cette chose?" Crie le pilote d'un Super Hornet F / A 18 US Navy équipé d'une nacelle Raytheon AN / ASQ-228 Advanced Forwarding Forward-Looking Infrared (ATFLIR) - l'un des dispositifs d'imagerie les plus avancés utilisé par les militaires qui peuvent localiser et désigner des cibles à des distances supérieures à 40 nm.
Le véhicule non identifié apparaît sous la forme d'une forme ovale blanche se déplaçant à grande vitesse de haut en bas à gauche de l'écran volant très bas au-dessus de l'eau. Initialement, le capteur est incapable de capturer l'objet. L'opérateur des systèmes d'armes (WSO) dirige le capteur en avant de l'objet pour tenter une autre capture. Lors de la troisième tentative, la capture du suivi du capteur est réussie. Le capteur est maintenant en mode "autotrack", où le capteur utilise le contraste et d'autres paramètres pour se verrouiller sur une cible, le gardant automatiquement centré dans le cadre de visualisation des capteurs. -TTSA
Spécifiquement noté par le TTSA;
Il n'y a pas d'ailes ou de queues évidentes sur l'objet. Même l'imagerie IR d'un missile de croisière aurait des ailes visibles à cette portée.
Il n'y a pas de panache d'échappement de l'objet. Un panache d'échappement est clairement visible sur les avions conventionnels dans la fréquence infrarouge à ondes moyennes utilisée par l'ATFLIR. La photo ci-dessous montre une image infrarouge à ondes moyennes d'un F-16 en vol. Le capteur est en mode "blanc chaud". Notez que la longueur du panache d'échappement est presque la longueur de l'avion. La vidéo à partir de laquelle il a été extrait montre clairement que le F-16 est subsonique, ce qui signifie que la manette des gaz est à un réglage bas qui crée des températures d'échappement relativement faibles et le volume des gaz d'échappement. Dans un réglage de puissance plus élevé, le panache d'échappement serait beaucoup plus grand et plus lumineux.
Le Pentagone ignore-t-il les ovnis ? Pourquoi ?
RépondreSupprimerAprès que le New York Times ait offert les images officielles les plus claires d'une rencontre d'OVNI dans l'histoire en décembre dernier - avec un programme secret de 22 millions de dollars du Pentagone pour analyser des objets volants non identifiés, ce sont les criquets des médias.
«Les images d'un Super Hornet F / A-18 de la Marine montrant un aéronef entouré d'une sorte d'aura rougeoyante qui se déplace à grande vitesse et qui tourne tout en bougeant.» On entend les pilotes de la Marine essayer de comprendre ce qu'ils voient. "On s'exclame que les responsables de la défense ont refusé de révéler le lieu et la date de l'incident."
Christopher Mellon, ancien sous-secrétaire d'Etat à la Défense du renseignement de Clinton et Bush, écrit dans le Washington Post que le silence du Pentagone sur ce qui est clairement plus avancé que ce qui est connu publiquement - qu'il s'agisse d'étrangers ou de gouvernements étrangers - assourdissant.
En décembre, le Département de la Défense a déclassifié deux vidéos documentant des rencontres entre des chasseurs F-18 américains et des avions non identifiés. La première vidéo capture plusieurs pilotes qui observent et discutent un engin étrange, planant en forme d'œuf, apparemment d'une «flotte» de tels objets, selon l'audio du poste de pilotage. La seconde montre un incident similaire impliquant un F-18 attaché au groupement tactique USS Nimitz en 2004.
Les vidéos, ainsi que les observations des pilotes et des opérateurs de radar, semblent fournir des preuves de l'existence d'avions de loin supérieurs à tout ce que possèdent les États-Unis ou leurs alliés. Les fonctionnaires du Département de la Défense qui analysent les renseignements pertinents confirment plus d'une douzaine d'incidents de la côte Est depuis 2015. Dans une autre affaire récente, l'Air Force a lancé des chasseurs F-15 en octobre dernier pour tenter d'intercepter un avion à grande vitesse non identifié. en boucle sur le nord-ouest du Pacifique. -WaPo
"Est-il possible que l'Amérique a été technologiquement bondée par la Russie ou la Chine ?" pose Mellon. "Ou, comme beaucoup de gens se sont demandés après les premières vidéos publiées par le New York Times en décembre, pourraient-elles être la preuve d'une civilisation extraterrestre ?"
"Malheureusement, nous n'en avons aucune idée, parce que nous ne cherchons même pas de réponses."
Mellon dit que grâce à ses années de travail dans les administrations de Clinton et de George W. Bush, l'armée traite ces incidents comme des événements isolés plutôt que comme une partie d'un modèle justifiant une enquête. Le collègue de Mellon, Luis Elizondo, "avait l'habitude de diriger un programme de renseignement du Pentagone qui examinait des preuves d'avions" anormaux ", mais il a démissionné l'automne dernier pour protester contre l'inattention du gouvernement face aux données empiriques croissantes.
Les rapports de différents services et agences restent "largement ignorés et non évalués", dit Mellon, qui affirme qu'il n'y a pas de processus au Pentagone pour analyser les rapports entre agences. Fox Mulder secouerait la tête ...
RépondreSupprimerDes exploits incroyables
Mellon note qu'il y a de nombreuses preuves provenant de sources gouvernementales officielles de diverses embarcations non identifiées effectuant des acrobaties époustouflantes.
Dans un exemple, au cours de deux semaines en novembre 2004, l'USS Princeton, un croiseur de missiles guidés utilisant un radar naval avancé, a repéré à plusieurs reprises des aéronefs non identifiés opérant dans et autour du groupement tactique Nimitz, qu'il gardait au large des côtes. San Diego. Dans certains cas, selon des rapports d'incidents et des entrevues avec du personnel militaire, ces véhicules descendaient d'altitudes supérieures à 60 000 pieds à des vitesses supersoniques, pour s'arrêter soudainement et planer aussi bas que 50 pieds au-dessus de l'océan. Les États-Unis ne possèdent rien de capable de tels exploits.
À deux reprises au moins, les chasseurs F-18 ont été guidés pour intercepter ces véhicules et ont pu vérifier leur emplacement, leur apparence et leurs performances. Notamment, ces rencontres se sont produites en plein jour et ont été surveillées indépendamment par des radars à bord de plusieurs navires et avions. Selon les aviateurs de la marine dont j'ai longuement parlé, les véhicules mesuraient environ 45 pieds de long et étaient blancs. Pourtant, ces avions mystérieux s'éloignaient facilement des combattants de première ligne des États-Unis et les manœuvraient sans moyen de propulsion perceptible.
Après avoir parlé avec des hauts responsables du Pentagone sur le sujet, Mellon note que "personne ne veut être" le type alien "dans la bureaucratie de sécurité nationale, personne ne veut être ridiculisé ou mis sur la touche pour attirer l'attention sur le problème.
Parties d'OVNI assis à Las Vegas ?
Peut-être l'un des aspects les plus glacés de la pièce de décembre du New York Times sur les OVNIS est-il un projet conjoint de 22 millions de dollars entre l'entrepreneur milliardaire Robert Bigelow, qui travaille actuellement avec la NASA pour produire des vaisseaux spatiaux.
Bigelow est un associé de Harry Reid (D-NV, à la retraite), qui s'intéresse depuis longtemps aux phénomènes spatiaux.
Sur "60 minutes" de CBS en mai, M. Bigelow a dit qu'il était "absolument convaincu" que les extraterrestres existent et que les États-Unis ont visité la Terre. -NYT
Les contrats obtenus par le Times montrent une appropriation du Congrès d'un peu moins de 22 millions de dollars à partir de la fin de 2008 jusqu'en 2011. L'argent a été utilisé pour la gestion du programme, la recherche et les évaluations de la menace posée par les objets.
Le financement a été versé à la compagnie de M. Bigelow, Bigelow Aerospace, qui a embauché des sous-traitants et a sollicité des recherches pour le programme.
RépondreSupprimerEt le kicker:
«Sous la direction de M. Bigelow, l'entreprise a modifié des bâtiments à Las Vegas pour le stockage d'alliages métalliques et d'autres matériaux que M. Elizondo et les entrepreneurs du programme ont déclaré avoir été récupérés de phénomènes aériens non identifiés.
"le stockage d'alliages métalliques et d'autres matériaux ... récupérés à partir de phénomènes aériens non identifiés"
Laisse couler ça ...
De plus: "Les chercheurs ont également étudié des personnes qui ont déclaré avoir subi des effets physiques suite à des rencontres avec des objets et les ont examinées pour détecter des changements physiologiques." Les chercheurs ont également parlé aux membres du service militaire qui ont signalé des avions étranges.
"Nous sommes en quelque sorte dans la situation de ce qui se passerait si vous donniez une porte de garage à Leonardo da Vinci", a déclaré Harold E. Puthoff, un ingénieur qui a mené des recherches sur la perception extrasensorielle pour le C.I.A. et plus tard travaillé comme un entrepreneur pour le programme. "Tout d'abord, il essaierait de comprendre ce qu'est ce truc en plastique. Il ne saurait rien des signaux électromagnétiques impliqués ou de sa fonction. "
Pour ceux qui ont longtemps dit "je veux croire" en ce qui concerne les OVNIS, les militaires américains ont publié assez de séquences officielles au cours des six derniers mois seulement pour faire croire beaucoup plus facilement.
https://www.zerohedge.com/news/2018-03-11/what-f-thing-fast-moving-ufo-stuns-us-navy-pilots
SupprimerRendez-vous compte que ces 'petits hommes verts' ont fait des milliards de km/l pour venir et... ne sont même pas descendu prendre un verre, tirer un coup et signer des autographes !!! Çà alors ! Mais que fait la police ??! Hahahaha !
L'escroquerie mondiale des dictatures:
RépondreSupprimerLe nuage noir de la dette mondiale de 233 milliards de dollars
par Tyler Durden
Dim, 03/11/2018 - 14:15
Auteur d'Alex Deluce via GoldTelegraph.com,
La dette mondiale a atteint des records sans aucun signe de soulagement. Alors que les banquiers centraux essaient d'expliquer le phénomène de ces chiffres hors de contrôle, ce n'est pas vraiment un mystère. La consommation immédiate avec la promesse de remboursement dans le futur a des conséquences.
La dette mondiale est stupéfiante au point que la plus grande partie ne sera jamais remboursée. Certainement pas dans notre génération. Peut-être par nos petits-enfants, mais alors que la dette mondiale continue de monter, l'image est douteuse.
La dette globale par habitant est de 30 000 $. Qui, exactement, fera des remboursements ?
Les économistes insistent sur le fait que la crise financière de 2007 n'aurait pas pu être prédite. Pourtant, tous les signes de crédit hors de contrôle là-bas. Aujourd'hui, les économistes répètent le même mantra, malgré la spirale de la dette mondiale. La question n'est pas de savoir si la prochaine bulle va frapper. C'est une question de quand.
Les maths sont assez simples. Plus un pays augmente sa dette pour simplement rester à flot, plus la dette croissante entraînera un resserrement du crédit. La prochaine étape de l'équation est une bulle éclatée et une crise économique. C'est ce qui s'est passé en 1929, cela s'est encore produit en 2007, et ça se passe maintenant. Le comportement passé est le meilleur prédicteur du comportement futur.
Le crédit hors contrôle ralentira sans aucun doute la croissance économique actuelle des États-Unis. Cela ne provoquera probablement pas de crise pure et simple. D'autres pays peuvent ne pas être aussi chanceux.
Des pays comme la Chine, la Belgique, la Corée du Sud, l'Australie et le Canada connaissent une bulle de crédit sans précédent, avec peu de systèmes en place pour la contrôler. L'inflation qui en résulte ou simplement des annulations de dettes pourrait entraîner un désastre financier mondial que nous n'avions jamais vu auparavant. La reprise économique actuelle est peu susceptible de continuer.
Avant 2007, la mondialisation, l'échange de biens et de services entre les pays, était à son plus haut niveau. Depuis lors, la mondialisation s'est stabilisée. Nous avons peut-être vu le sommet de la mondialisation. Les pays émergents, bénéficiant de la mondialisation, ont élevé leur niveau de vie et les biens bon marché ne traversent plus les frontières avec le même abandon. Les pays mettent en place des mesures protectionnistes nationalistes pour protéger leur propre économie. La mondialisation cède la place à «l'insularisation», où les mouvements de capitaux et de biens transfrontaliers sont limités au lieu d'être étendus. Ce commerce mondial limité, conjugué à des tensions géopolitiques croissantes, aura une incidence négative sur l'expansion économique mondiale, alors que la dette mondiale continue d'échapper à tout contrôle.
L'économie mondiale souffre également actuellement d'une croissance limitée de la productivité. Les raisons en sont multiples: vieillissement de la main-d'œuvre, réduction des investissements, infrastructures négligées, réduction de l'esprit d'entreprise et incertitude générale sur la manière de résoudre ces problèmes.
RépondreSupprimerSi une crise mondiale doit être évitée, les dirigeants doivent agir au lieu de rester complaisants. Une formation adéquate des compétences et une plus grande importance accordée aux investissements peuvent mener à la croissance de la productivité qui peut créer l'expansion mondiale nécessaire pour maîtriser le cycle d'endettement actuel.
Si les dirigeants font les bons choix, nos petits-enfants ne sont peut-être pas confrontés à la crise économique qui apparaît actuellement comme le seul héritage dont ils hériteront.
https://www.zerohedge.com/news/2018-03-11/233-trillion-dollar-dark-cloud-global-debt
- Il faudra 398 879 561 ans pour rembourser la dette du gouvernement américain
Supprimerjeudi 23 octobre 2014
http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/10/il-faudra-398-879-561-ans-pour.html
Une colonne de feu émerge de dessous la terre à Amsterdam (Vidéo)
RépondreSupprimer15:52 11.03.2018
Sur une vidéo terrifiante publiée sur le Net, on voit une puissante explosion en pleine rue à Amsterdam, qui recouvre entièrement un ouvrier stationné à cet endroit.
Une caméra de surveillance a tourné un spectacle macabre qui a eu lieu samedi au centre d'Amsterdam.
Une explosion a retenti sous la terre et une colonne de feu est sortie du sol, recouvrant entièrement un ouvrier qui travaillait à côté, monté sur un marchepied devant un café près du Rijksmuseum, le musée emblématique de la ville.
À la droite de l'homme, on voit le trottoir se déformer soudainement avant qu'un nuage de fumée ne commence à sortir du sol.
Quelques instants plus tard, le sol explose et une énorme boule de feu sort de sous le trottoir et l'homme disparaît complètement de la vue.
Des milliers d'internautes ont été abasourdis par le spectacle depuis que la vidéo a été publiée sur le site Reddit, relate The Daily Star.
«Un éclair puis le noir»: des témoins racontent l’explosion à St-Pétersbourg
L'explosion a probablement été provoquée par une panne d'électricité après qu'un travailleur a accidentellement heurté une ligne électrique souterraine.
Plus de 25.000 maisons ont été laissées sans électricité à la suite de l'incident et certaines parties du circuit de tramway de la ville ont également été perturbées.
L'homme n'aurait finalement reçu que des brûlures mineures et a été transporté à l'hôpital.
https://fr.sputniknews.com/insolite/201803111035461175-amsterdam-explosion-video/
SupprimerA proximité des pôles, il n'est pas rare de découvrir des sources chaudes, des geysers qui sont employés à chauffer les habitations. La cohabitation de ses dangers fréquents avec des lignes électriques enterrées... peut effectivement faire des étincelles !
Arctique : la Russie se dotera d’une flotte de brise-glace de nouvelle génération
RépondreSupprimer21:37 11.03.2018
La Russie entend développer sa flotte de brise-glace en Arctique pour défendre sa sécurité et ses intérêts nationaux, a indiqué Vladimir Poutine.
Quels sont ces dispositifs dernier cri que la Russie déploie en Arctique ?
Dans le documentaire «Poutine» du journaliste Andreï Kondrachov, le Président russe a fait part des projets que son pays, qui est le seul à posséder une flotte de brise-glace à propulsion nucléaire, a pour progresser davantage dans ce domaine.
Aucun pays au monde n'a de flotte de brise-glace à propulsion nucléaire, excepté la Russie qui l'a héritée de l'Union soviétique, a déclaré Vladimir Poutine, ajoutant que le pays avait des projets concrets pour concevoir des brise-glace de nouvelle génération qui lui permettraient de mettre en valeur ses territoires arctiques.
Il a également souligné l'importance des régions polaires russes pour la sécurité nationale.
«Nous ne menacerons personne, mais, profitant de nos avantages, territoriaux en l'occurrence, nous garantirons la sécurité de la Russie et de ses habitants. De ce point de vue-là, la région arctique est très importante pour la Russie», a-t-il fait remarquer.
https://fr.sputniknews.com/russie/201803111035465795-arctique-russie-brise-glace/
A l'heure où des idiots parlent de 'la fonte des glaces !' la Russie se dote de brises-glace supplémentaires ! Çà alors !
SupprimerEt si nous vendions nos données ?
RépondreSupprimerLe think tank libéral français Génération libre propose de permettre aux internautes de faire payer leurs données. Tant la FRC qu’economiesuisse s’y opposent, pour des raisons différentes
Richard Werly
Anouch Seydtaghia
dimanche 11 mars 2018 à 20:25.
Et si les internautes vendaient leurs données à Facebook, Google ou Microsoft ? C’est la proposition provocatrice lâchée par l’observatoire libéral français Génération libre. «Seul le droit de propriété permettra de garantir une maîtrise réelle de nos données. Seule la création d’un marché des data pourra rééquilibrer les rapports de pouvoir entre les plateformes et leurs utilisateurs en dotant chacun d’entre nous d’un véritable capital», écrivait Génération libre dans son rapport «Mes data sont à moi», publié fin janvier. Ce think tank veut faire de la patrimonialité des données personnelles l’instrument de la révolution numérique.
Lire également notre éditorial: Vendre nos données, une fausse bonne idée
«Cette question de la propriété des data n’est pas qu’économique. Elle est le soubassement de l’avenir de nos sociétés. Dans l’histoire, le droit à la propriété a toujours permis de redonner du pouvoir aux individus face aux oligopoles. La question est donc urgente !» affirme Gaspard Koenig, fondateur de Génération libre et auteur de Voyages d’un philosophe aux pays des libertés (Ed. de l’Observatoire). Son rapport d’une centaine de pages précise: «Rendre l’individu juridiquement propriétaire de ses données personnelles est le seul moyen de trouver un meilleur équilibre. Car si les données sont, selon la formule convenue, le pétrole du XXIe siècle, il est temps de poser la question: à qui appartient le pétrole ? Au producteur primaire, qui le revend à d’autres pour le raffinage. C’est-à-dire à vous et à moi, producteurs de données, qui devraient être rémunérés pour la matière première que nous pourvoyons aux algorithmes du Big Data.»
Vers une micro-redevance ?
Selon Génération libre, «même si les données permettent d’offrir des services améliorés aux consommateurs […], la part de valeur restituée aux clients sous forme de ces avantages est sans doute relativement faible par rapport à la valeur totale qu’en retirent les distributeurs via la revente des informations». L’observatoire libéral affirme que deux tiers des personnes interrogées dans une étude se disent prêtes à partager leurs informations personnelles en échange d’une rémunération. Génération libre souhaite que les sites versent une micro-redevance (dont le montant serait à définir) à leurs utilisateurs. Ceux-ci pourraient choisir parmi trois options: un refus total d’utilisation des données (avec le risque que sa facture augmente), la location temporaire des données ou la cession définitive de celles-ci.
Lire aussi: Aux Etats-Unis, les données personnelles sont une marchandise comme les autres
RépondreSupprimerQu’en penser ? «Nous sommes sceptiques face à cette idée car le problème resterait entier: le consommateur n’obtiendrait que quelques centimes de la part de Facebook, par exemple, et il perdrait ensuite tout droit à contester l’utilisation de ses données, estime Sophie Michaud Gigon, secrétaire générale de la FRC. Il serait aussi très compliqué de savoir quelles données sont concernées et à quel prix.» La responsable rappelle qu’en France la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) s’oppose à cette idée. «Cette idée n’est pas concluante pour rétablir le rapport de force entre le consommateur individuel et les géants de la technologie. La maîtrise des données ne doit pas être réduite à un mécanisme financier, c’est d’abord un droit à la vie privée.»
Une «fausse bonne idée»
Ainsi, la FRC privilégie une loi assurant au consommateur une meilleure maîtrise des données pour établir un meilleur rapport de force. «Le débat mérite d’être mené sur la monétisation, poursuit Sophie Michaud Gigon. Toutefois, à nos yeux, demander un consentement exprès («opt-in») plutôt qu’un consentement supposé («opt-out») permet déjà de préserver les intérêts des consommateurs et d’inciter les entreprises à adopter de bonnes pratiques. Vendre ses données semble donc être plutôt une fausse bonne idée qu’un bon moyen de récupérer la maîtrise de ses données.»
De son côté, economiesuisse s’oppose au droit de propriété des données, mais pour d’autres raisons. Dans un rapport d’une quinzaine de pages publié ce lundi, l’association écrit qu'«actuellement, les données ne sont pas définies comme objets de droit et ne permettent donc pas de faire valoir des droits absolus comme des droits de propriété, par exemple. Cependant, la législation en vigueur garantit, pour toutes les personnes concernées, un traitement sûr des données. Il n’est donc pas nécessaire pour cela de créer un objet de droit.»
Eviter davantage de règles
Economiesuisse plaide ainsi pour une législation aussi légère que possible et s’oppose à «une réglementation étatique préventive en matière de politique des données: dans un environnement technologique dynamique, des règles restrictives décidées à la hâte risquent d’entraver la création de valeur et les développements futurs». L’association aimerait ainsi établir une sorte de code de bonne conduite pour les entreprises. Mais une nouvelle loi sur les données verra bel et bien le jour dans quelques mois… «Nous saluons le fait que le projet de loi suisse reprenne en grande partie la réglementation européenne (le RGPD, qui entrera en vigueur le 25 mai, ndlr), pour éviter de multiplier les standards applicables. Il faut en tout cas éviter d’imposer, en Suisse, davantage de règles que dans l’Union européenne», explique Cécile Rivière, responsable de projets chez economiesuisse.
L’association plaide pour la révision rapide de la loi suisse, afin d’éviter de plonger les entreprises helvétiques dans l’incertitude. De son côté, la FRC estime que le projet de loi ne va pas assez loin. «Il va moins loin que le RGPD européen, par exemple au niveau des pouvoirs du préposé fédéral, des sanctions (montants plus faibles et contre une personne physique et non une personne morale) ou encore au niveau de la portabilité des données, regrette Sophie Michaud Gigon.
https://www.letemps.ch/economie/vendions-nos-donnees
Les vedettes de cinéma se font payer très cher pour poser et ne se laissent photographier qu' 'la sauvette'. C'est aussi tous les jours que les merdias tirent leur argent des photos truquées publiées chez eux et sous-titrées de mensonges et grossièretés.
SupprimerIl est donc tout-à-fait normal que ce qui est personnel ne soit exploitable par des personnes non-autorisées.
Vendez vos pets !
RépondreSupprimerLes offres de gaz « vert » : qu’est-ce que c’est ?
Des nouvelles offres proposent du gaz dit « vert ». Mais est-ce réellement un gaz plus « éco-responsable » ?
Par Michel Gay
12 MARS 2018
Depuis quelques années, les fournisseurs de gaz sont toujours plus nombreux à proposer des offres de « gaz vert ». Comment est-il produit ?
Qualifié de bio ou de renouvelable, le gaz devient presque sympathique, mais qu’entend-t-on par gaz d’origine renouvelable ? Est-il si « vert » que ça ?
Explications.
GAZ « VERT », DE QUOI S’AGIT-IL ?
L’expression « gaz vert » désigne en premier lieu le biométhane comme source d’énergie.
Au contraire du gaz naturel présent dans les sous-sols de la planète, il est obtenu par un procédé chimique et biologique, la « digestion anaérobie » (en l’absence d’oxygène). Ce processus permet de décomposer des déchets de matières organiques grâce à des bactéries qui dégagent un mélange de gaz (le biogaz) dont il faut retirer le gaz carbonique pour produire le méthane baptisé « biométhane ».
Le « gaz vert » ainsi obtenu est donc composé principalement de méthane (à plus de 97 %) qui peut être injecté dans le réseau de gaz naturel qui est aussi majoritairement du méthane.
La production annuelle de biométhane est encore faible en France : 0,4 térawattheures (TWh) pour une consommation nationale de gaz d’environ 400 TWh (soit 0,1%). Néanmoins, elle est appelée à augmenter dans le cadre de la politique de transition énergétique.
DU GAZ DE COMPENSATION
Les offres de gaz vert ne concernent pas seulement le biométhane…
Elles comprennent également le gaz dit « compensé carbone » qui repose en partie sur un Système Communautaire d’Echange de Quotas d’Emissions (SCEQE), une sorte de « bourse du carbone ».
Le principe ? Toute consommation de gaz naturel par un client entraîne des investissements dans des projets « responsables ». Ceux-ci doivent permettre d’éviter des émissions de gaz carbonique « quelque part », dans des proportions au minimum équivalentes aux émissions initiales du client.
Dans le cadre d’une offre de gaz compensé carbone, pour chaque kWh de gaz consommé, le fournisseur s’engage à compenser les émissions de gaz carbonique en achetant des « crédits carbone » auprès d’associations habilitées. Celles-ci mettent en œuvre des projets responsables (localisés n’importe où sur la planète en vertu du principe de neutralité géographique énoncé par le protocole de Kyoto) qui permettent d’éviter les émissions de carbone, ou de capter du gaz à effet de serre émis dans l’atmosphère.
Pour installer des centrales au gaz qualifiés de renouvelables, il suffit donc de remplacer une centrale au charbon par une centrale nucléaire qui ne rejettent pas de gaz carbonique dans un pays exotique, pour vendre du gaz vert dit « compensé carbone ».
INVESTIR DANS LE GAZ VERT POUR PARAÎTRE « ÉCO-RESPONSABLE » ?
RépondreSupprimerPlus coûteux à produire, le gaz vert est aussi beaucoup plus coûteux à l’achat (12 centimes d’euro par kWh (c€/kWh)) au lieu de 1,7 c€/kWh sur le marché du gaz naturel au premier semestre 2017).
Cependant, acheter du gaz vert est une véritable prise de position stratégique à moyen et long terme pour une entreprise. Elle montre ainsi en interne (auprès de ses employés et collaborateurs) et en externe (auprès des clients) qu’elle est soucieuse de son impact environnemental.
Les projets de compensation donnent à l’entreprise une image « responsable » concrète via, par exemple, des actions de lutte contre la déforestation, de protection de ressources hydrauliques… L’entreprise se pare de vert à bon compte grâce à ce « greenwashing » qui permet d’afficher sa volonté de ne pas vouloir seulement « faire du profit ».
Le gaz vert devient un vecteur de communication, une « preuve » que les acteurs économiques sont soucieux de leur impact environnemental, et une composante importante des stratégies de responsabilité sociale des entreprises (RSE).
Reste que du gaz dit « renouvelable » reste toujours du gaz. Le baptiser « biométhane » ne change pas la formule du méthane (c’est toujours CH4) qui est un puissant gaz à effet de serre, et dont la combustion dégage du gaz carbonique.
En réalité, les émissions de gaz carbonique auront été transférées d’un endroit à un autre de la Planète, ce qui est inconciliable avec la décarbonisation de notre mix énergétique imposée par l’Accord de Paris signé par la France en décembre 2015 (COP 21).
https://www.contrepoints.org/2018/03/12/311545-les-offres-de-gaz-vert-quest-ce-que-cest
Eolien, gaz carbonique: une politique énergétique absurde
RépondreSupprimerLa politique énergétique actuelle semble méconnaître les faits et la logique.
Par Jean-Pierre Bardinet.
Il y a quelque temps, le ministère de la Transition Écologique et Solidaire (qui n’a rien d’écologique ni de solidaire…) a lancé une consultation publique concernant un projet de décret relatif aux éoliennes terrestres et portant diverses dispositions de simplification et clarification du droit de l’environnement.
Que de manière jésuistique ces choses-là sont dites, car il s’agit en fait de supprimer toute possibilité de recours aux associations de riverains et/ou aux associations nationales telle la FED.
Bref, ce projet de décret, émanant de la Commission Lecornu a pour seul objectif de supprimer toute entrave juridique ou administrative à l’implantation d’usines éoliennes partout en France et à laisser les promoteurs avides faire ce qu’ils veulent.
Bien évidemment, comme de coutume, sous couvert de démocratie participative, les conclusions de cette consultation sont déjà connues et ne subiront très vraisemblablement aucun amendement.
J’ai néanmoins participé, sans me faire aucune illusion, en déposant deux commentaires (le premier pour rappeler qu’en matière de production d’électricité ils n’ont rien compris, que leur politique énergétique est totalement incohérente et catastrophique pour notre pays, et le second pour me défouler face à la lourde machinerie techno-bureaucratique, adepte inconditionnelle des thèses du GIEC/IPCC).
UNE POLITIQUE ÉNERGÉTIQUE INCOHÉRENTE
Les politiques climat-énergie de notre pays (et de la plupart de pays de l’UE) sont fondées sur l’hypothèse non prouvée que nos émissions de gaz carbonique ont une action mesurable sur la température moyenne annuelle globale et sur le climat de notre planète.
Il s’ensuit que les politiques énergétiques privilégient en principe les émissions bas carbone et elles sont censées, en outre, fournir des moyens de production conformes aux standards d’une production rationnelle d’énergie électrique, à savoir :
1. Elle doit être pilotable, adaptable en temps réel aux fluctuations de la demande. En particulier, elle doit être capable de gérer les heures de pointe (HP) et de réduire la production en fonction de la baisse de la demande en heures creuses (HC).
2. Elle doit être indépendante des caprices d’Éole et des cycles de Phébus.
3. Elle doit avoir un impact mineur sur l’environnement et la biodiversité
4. Le réseau de transport ne doit pas être soumis à des fluctuations brutales et aléatoires.
5. Le prix du kWh doit être compétitif.
6. La sécurité d’approvisionnement doit être garantie.
7. Elle doit avoir un bilan carbone vertueux.
Contrairement à ce qui nous est affirmé péremptoirement, le bilan carbone des éoliennes intermittentes est mauvais, de manière indirecte, car la gestion de l’intermittence en temps réel nécessite des centrales thermiques en soutien permanent, obligées de fonctionner en régime discontinu, ce qui dégage encore plus de gaz carbonique.
Donc, pour sauver la planète d’un problème vraisemblablement imaginaire, on met en place des filières qui vont à l’encontre de ce qui est souhaité. Comprenne qui pourra !…
RépondreSupprimerPlus généralement, il est facile de vérifier que les éoliennes intermittentes ne satisfont à aucun des standards d’une production rationnelle d’énergie électrique : non pilotables, soumises aux caprices des vents, massacreuses de biodiversité ailée (ce qui perturbe gravement l’équilibre des écosystèmes locaux), sources de nuisances pour les riverains (infrasons), sources de variation brutales du réseau de transport, prix du kWh non compétitif, aucune sécurité d’approvisionnement en HP hivernale du soir, bilan carbone non vertueux, et… racket institutionalisé des ménages (taxe CSPE), ce qui fait que l’on se demande quelle est la justification de leur développement inconsidéré.
Les profits pharaoniques des promoteurs, aux frais des ménages ? Une politique volontariste de décroissance, engendrant misère et graves mouvements sociaux ? Un torpillage en règle du tourisme dans nos belles régions, défigurées par les usines d’éoliennes ? Le soutien dogmatique d’une énergie « verte », alors qu’elle ne l’est pas ? Pour tuer le nucléaire, combat historique des Verts, alors même que son bilan carbone est particulièrement vertueux, ce qui est une seconde incohérence ?
Pour toute personne sensée, les EnR intermittentes, à la technologie du passé, adulées par les chantres de l’écologisme, n’auraient jamais dû voir le jour, car les filières de la surgénération, sur lesquelles travaillent et avancent plusieurs pays, sont bien plus intéressantes.
Bref, l’éolien ne sert à rien et les propositions de la Commission Lecornu, dont l’objectif est de favoriser les implantations d’usines éoliennes en bafouant les droits des citoyens, sont néfastes pour notre pays.
UNE POLITIQUE ÉNERGÉTIQUE QUI MÉCONNAÎT LA SCIENCE
Posons-nous tout d’abord une simple question : l’hypothèse arbitraire, non prouvée, de l’action mesurable du gaz carbonique sur la température, peut-elle être suffisamment robuste pour servir de socle aux projections des modèles numériques et aux politiques énergétiques ? Voyons si cette hypothèse est validée par l’observation.
Depuis 130 ans, la seule période connue de co-variation CO2 -température est 1978-1997. De 1950 à 1977 (approximativement) la température a légèrement baissé alors que nous étions dans les Trente Glorieuses et que nos émissions de gaz satanique étaient en plein essor.
Auparavant, de 1910 à 1940, la température avait augmenté, avec la même pente que sur 1978-1997, mais avec une très faible croissance du taux de gaz carbonique atmosphérique.
Un autre exemple plus lointain : au Cambrien (-500 à -600 millions d’années) le taux de gaz carbonique a été de plusieurs milliers de ppm, et, de -100 Ma à -500 Ma (avec un minimum de quelques centaines de ppm autour de -300 Ma), la moyenne a été de 2000 ppm, sans que cela ne génère un réchauffement cataclysmique.
RépondreSupprimerSi les modèles numériques tournaient avec en entrée un taux de gaz carbonique de quelques milliers de ppm, ils prévoiraient un emballement incontrôlé et exponentiel de la température, ce qui ne s’est pas produit dans le monde réel. Il est donc légitime de douter de la pertinence de la politique climat-énergie de notre pays.
N’oublions pas que le gaz carbonique, quelle que soit son origine, est gaz de la Vie sur Terre : sans lui, pas de photosynthèse, donc pas de végétation, pas de phytoplancton, pas d’oxygène. Il est donc incompréhensible de le considérer comme un polluant et de le taxer. Taxer le gaz de la Vie, n’est-ce pas absurde ?
Cela étant, selon le rapport AR5 du GIEC/IPCC, nos émissions de gaz carbonique ne sont que de 4 à 6% du total des émissions. On nous dit que le gaz carbonique d’origine anthropique s’accumule dans l’atmosphère, son temps de séjour étant estimé par le GIEC/IPCC à une centaine d’années (notons que cette estimation, curieusement, est la seule, 40 autres, provenant de publications scientifiques, mais négligées par le GIEC/IPCC, l’estimant à 8 ans en moyenne).
En fait, le temps de séjour du gaz carbonique dans l’atmosphère, quelle que soit son origine, naturelle ou anthropique, n’est que de 5 à 6 ans environ, et la part de gaz carbonique anthropique dans l’air n’est que d’environ 6% (delta C13).
Donc, même si le gaz carbonique avait une action mesurable sur la température, notre politique climat-énergie, censée agir sur 1% environ du total des émissions mondiales, n’aurait aucun effet, si ce n’est procurer des avantages déraisonnables aux promoteurs de l’éolien (et du solaire), d’augmenter la précarité énergétique, de détruire de l’emploi et de réduire le pouvoir d’achat des ménages. Faire plus absurde, est-ce possible ?
https://www.contrepoints.org/2018/03/12/311517-eolien-co2-une-politique-energetique-absurde
Détails du livre La quête d'Al Gore pour devenir le premier «milliardaire du carbone» au monde - «Profondément» a profité du lobbying climatique
RépondreSupprimerExtrait: "Gore en aurait personnellement bénéficié si le projet de loi sur le plafonnement et l'échange de carbone qu'il soutenait était devenu loi. Les médias n'ont jamais traité son témoignage au Congrès à l'appui des projets de loi sur le climat pour ce qu'il était en réalité - un ancien vice-président soutenant une législation qui le rendrait plus riche.
"Al Gore est de loin le joueur fossile le plus richement financé dans le débat sur le réchauffement climatique aujourd'hui."
"Le vice-président de Warren Buffett, Charlie Munger, a déclaré à une petite réunion d'investisseurs en 2017 que Gore n'était" pas très intelligent "et" un idiot "mais qu'il était encore capable d'amasser une fortune personnelle dans le monde de l'investissement. [de] dollars dans votre profession et c'est un idiot, c'est une histoire intéressante. Munger ajouta: "il n'est pas très intelligent, il fumait beaucoup de pot quand il passait par Harvard avec un gentleman's C."
Le vice-président de Warren Buffet: Gore, qui n'est pas très intelligent ? & un idiot, mais est devenu sale riche investissant dans? réchauffement climatique ?
Par: Marc Morano - Climate Depot
March 11, 2018 10:54 AM
Lire: Chapitre bonus: Intimider les «négateurs» pour faire appliquer le «consensus» - Les «négationnistes» du climat menacés d'être jetés en prison
Revue: «Le Guide politiquement incorrect du changement climatique» - par le «tueur de planète maléfique Marc Morano» - «Comme une balle, il est maintenant le n ° 1 des nouveaux livres en sciences de l'environnement
Extrait du chapitre du livre:
Faire comme un bandit
Et ce ne sont pas seulement les universités, les professeurs et les organisations vertes qui ont récolté les bénéfices financiers de la panique climatique. L'ancien vice-président Al Gore s'est également très bien débrouillé pour lui-même. Comme l'a rapporté Bloomberg News, "dans le dernier rapport financier personnel qu'il a déposé en tant que vice-président, Gore a révélé le 22 mai 2000 que la valeur de ses actifs s'élevait entre 780 000 et 1,9 million de dollars."
Acheter en 2007, la richesse de Gore avait monté en flèche. À ce moment-là, il avait une valeur nette «bien supérieure à» 100 millions de dollars, y compris des options d'achat d'actions de Google pré-publiques, selon un article de Fast Company. Le scientifique du MIT, Richard Lindzen, a déclaré que Gore voulait devenir le premier «milliardaire du carbone» au monde. Après l'administration Obama a gonflé le climat et les plans de relance énergétique, Gore était sur la voie de cette réussite.
En 2008, Gore était si brillant qu'il a annoncé une campagne de 300 millions de dollars pour promouvoir les peurs climatiques et les soi-disant solutions. Selon un rapport du Washington Post de 2012, «14 entreprises de technologies vertes dans lesquelles Gore a investi ont reçu ou bénéficié directement de plus de 2,5 milliards de dollars de prêts, de subventions et d'allégements fiscaux, une partie de l'effort historique d'Obama. une industrie américaine des énergies renouvelables avec des fonds publics. "
RépondreSupprimerLa poste a expliqué que Gore "bénéficié d'un CV puissant et une constellation d'amis dans le monde de l'investissement et à Washington. Et il y a quatre ans, son portefeuille s'alignait harmonieusement avec l'agenda d'une nouvelle administration et son plan de dépenser des milliards de dollars en fonds de relance pour les énergies alternatives. Le politicien en rétablissement poussait la bonne cause au bon moment. L'orbite de Gore s'étendit profondément dans l'administration, avec plusieurs anciens assistants gagnant des postes supérieurs d'énergie propre. "
Le député républicain Fred Upton du Michigan, président du Comité de l'énergie et du commerce, a critiqué le fait que Gore profite des fonds des contribuables en utilisant ses relations avec le gouvernement. Le portefeuille de Gore «reflète un schéma inquiétant selon lequel ceux qui sont les plus proches du président [Obama] ont été récompensés par des milliards de dollars de contribuables et ont bénéficié de la manne verte de l'administration dans la course aux dépenses de relance».
Gore était essentiellement soit un fondateur, un membre, ou un partenaire dans un large éventail de groupes qui profitaient ou seraient en mesure de bénéficier d'un stimulus énergétique vert et des programmes d'échange de carbone mandatés par le gouvernement fédéral s'ils devenaient loi. Gore en aurait personnellement bénéficié si le projet de loi sur le plafonnement et l'échange de carbone qu'il soutenait était devenu loi. Les médias n'ont jamais traité son témoignage au Congrès à l'appui des projets de loi sur le climat pour ce qu'ils étaient réellement - un ancien vice-président soutenant une législation qui le rendrait plus riche. Ces rapports ont incité un sceptique sarcastique à suggérer, "Peut-être que Al Gore devrait faire l'objet d'une enquête RICO."
La puissance des systèmes d'échange de carbone pour enrichir les politiciens et corrompre la politique est l'une des raisons pour lesquelles le gourou de l'environnement James Lovelock a claqué le marché du carbone, déclarant: «La plupart des choses vertes frôlent une escroquerie gigantesque. Le commerce du carbone, avec ses énormes subventions gouvernementales, est exactement ce que la finance et l'industrie voulaient. Ça ne va pas faire n'importe quoi sur le changement climatique, mais ça fera beaucoup d'argent pour beaucoup de gens. "
En 2013, Gore a vendu son réseau Current TV à Al Jazeera, financé par le Qatar, pour un montant de 100 millions de dollars. La vente a inspiré ce titre sur mon site Web du Climate Depot: «AlGorjeera-c'est officiel: Al Gore est de loin le joueur fossile le plus richement financé dans le débat sur le réchauffement climatique aujourd'hui.
RépondreSupprimerJ'ai demandé si les médias allaient maintenant étiqueter Gore comme un activiste financé par l'industrie à chaque fois qu'ils le dénonceraient. Gore avait littéralement vendu à gros pétrole et gaz: Al-Jazeera "a reçu son financement initial par un décret de l'émir du Qatar, et le Qatar tire sa richesse de ses vastes réserves de pétrole et de gaz naturel."
Les employés fraîchement licenciés de Current TV n'ont pas hésité à s'en prendre à Gore. "Gore est censé être le visage de l'énergie propre et vient de vendre [la chaîne] à très gros pétrole, l'émir du Qatar! Le courant n'a même jamais pris la grosse publicité de pétrole - et Al Gore, que les taureaux *** ter vend à l'émir? "A déclaré un ancien membre du personnel, selon le New York Post. Un autre membre du personnel a commenté: "Il [Gore] n'a aucune crédibilité."
Pas si intelligent
Le vice-président de Warren Buffett, Charlie Munger, a déclaré à une petite réunion d'investisseurs en 2017 que Gore n'était "pas très intelligent" et "un idiot" mais qu'il était encore capable d'amasser une fortune personnelle dans le monde de l'investissement. "Al Gore a des centaines de millions de dollars dans votre profession. Et c'est un idiot. C'est une histoire intéressante. "Munger a ajouté," il n'est pas très intelligent. Il a fumé beaucoup de pot quand il a traversé Harvard avec un gentleman C.
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Extrait du livre final
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Lire: Chapitre bonus: Intimider les «négateurs» pour faire appliquer le «consensus» - Les «négationnistes» du climat menacés d'être jetés en prison
Nouveau livre de vente meilleur «corps claque l'ordre du jour de programme de changement climatique dans le nouveau best-seller»
Nouveau livre: «Le Guide politiquement incorrect du changement climatique» - par le «tueur de planète maléfique Marc Morano» - «Comme une balle, il est maintenant le n ° 1 des nouveaux livres de science de l'environnement
http://www.climatedepot.com/2018/03/11/book-details-al-gore-quest-to-become-worlds-first-carbon-billionaire-profited-off-climate-lobbying/
La France va consacrer 700 millions d'euros à l'International Solar Alliance
RépondreSupprimerSudarshan Varadhan
MARCH 11, 2018
NEW DELHI (Reuters) - La France consacrera 700 millions d'euros à l'Alliance solaire internationale (ISA), a déclaré le président Emmanuel Macron lors de la conférence de fondation de l'organisation, réaffirmant l'engagement du pays européen envers l'alliance et l'énergie propre.
Le Premier ministre indien Narendra Modi (R) serre la main du président français Emmanuel Macron alors qu'il arrive à la conférence fondatrice de l'Alliance solaire internationale à New Delhi, en Inde, le 11 mars 2018. REUTERS / Adnan Abidi
L'ISA est une organisation intergouvernementale qui vise à mobiliser 1 billion de dollars en fonds pour la production, le stockage et la technologie solaires à travers le monde. Il compte 60 signataires, dont 30 ont ratifié l'accord.
L'organisation fondée sur les traités, lancée par le Premier ministre indien Narendra Modi en 2015, vise à promouvoir l'énergie solaire dans 121 pays.
S'exprimant lors de la conférence, M. Macron a déclaré que la France avait plus que triplé son engagement envers l'alliance, et que sa contribution monétaire totale à l'alliance s'élevait à un milliard d'euros.
Outre les dirigeants des pays membres, des dirigeants de grandes banques de développement telles que la Banque asiatique de développement et la Banque africaine de développement ont également participé à cet événement, qui devrait signer des accords sur l'énergie solaire. Upendra Tripathy, directeur général de l'ISA, a déclaré à Reuters, vendredi, avant la conférence, que les investissements allaient dans la chaîne d'approvisionnement, y compris dans la fabrication, le développement de projets et le stockage.
Macron, en compagnie d'une délégation de sociétés françaises dont EDF, Dassault Aviation, Schneider Electric et Suez, inaugurera une centrale solaire construite par Engie dans l'Uttar Pradesh dans le cadre d'une tournée de quatre jours en Inde.
https://www.reuters.com/article/us-india-solar-alliance/france-to-commit-700-million-euros-to-international-solar-alliance-idUSKCN1GN0JU
Le chaos en Californie
RépondreSupprimerPar John Velisek
Dim, 11 mars 2018
Notre pays était fondé sur la primauté du droit et la forte adhésion à la moralité et à la décence. Cela a conduit au concept de «l'individualisme rude, où si vous avez travaillé dur et travaillé vers vos objectifs, vous pourriez aller de l'avant. Mais maintenant les choses ont changé.
Je suis venu en Californie il y a plus de 40 ans. A l'époque c'était en fait le "Golden State". Tant de choses ont changé. La politique identitaire et l'agenda progressiste-socialiste des Démocrates en charge ont fait dépérir et mourir ce grand Etat. Le radicalisme auquel la Californie est confrontée est incontrôlable et préoccupant à travers le pays. La sécession est en cours de discussion et le socialisme qui sévit dans notre État plongera davantage la Californie dans une réplique du tiers monde du Venezuela, une autre zone de domination socialiste à parti unique.
Il ne sera pas mieux après que le gouvernement "Moonbeam" Brown quitte finalement. Le prochain gouverneur peut être quelqu'un comme Kevin DeLeon, un laquais socialiste sous la direction de Tom Steyer. J'ai écrit à propos de Tom Steyer avant,
(http://www.intellectualconservative.com/the-man-behind-the-commercials/)
qui est maintenant un environnementaliste ardent bien qu'il soit devenu un milliardaire fonds de couverture sur le pétrole et le charbon . Plein de syndicalistes avec le pouvoir qui contrôlera notre législature d'État après le départ de Brown, Steyer et DeLeon croient à la coercition de l'État et iront encore plus loin dans les profondeurs du socialisme.
Un autre visage dans la foule est le lieutenant Gov Gavin "Any Twosome" Newsom. Il est un fervent partisan des soins de santé à payeur unique et un fervent partisan de l'immigration clandestine. Les deux vont encore éroder la classe moyenne et la sécurité que la classe moyenne mérite. La reconnaissance de la classe moyenne qu'ils ne sont plus importants pour le socialiste progressiste quittera l'État avec leurs entreprises et leur argent, et la Californie deviendra un tiers monde des tricheurs du bien-être et un commerce de la drogue florissant. Nos politiciens se vantent toujours de la puissance économique élevée qu'est la Californie. Ils n'expliquent pas que toute la croissance va à quelques-uns de leurs amis dans l'industrie de la technologie et les services technologiques à haut revenu qui rendent nos grandes villes comme San Francisco inabordable pour la plupart des Californiens. Alors, qu'est-ce que vous finissez avec Techsters vivant dans leurs voitures et aiguilles dans la rue.
Les principaux points focaux pour ces oligarques, les mondialistes et les ordres du Nouveau Monde sont de prendre le contrôle de la politique identitaire pour diviser davantage notre pays. Pour pousser plus loin la Californie vers le socialisme et l'anarchie, il y a la discussion et la coercition dans l'État sur l'immigration.
Commençant par une politique d'immigration qui permet à sept criminels de rester dans la ville et d'assassiner une jeune fille en promenade avec son père et de le retrouver innocent, c'est une gifle pour tous les citoyens et agents de police de l'État. Le gouvernement de l'état a constaté que la primauté du droit peut être ignorée. Les responsables locaux, jusqu'à notre gouverneur, ont décidé que la loi fédérale n'était pas appropriée ici, qu'ils savaient mieux et qu'ils ne permettraient pas aux autorités locales d'appliquer des lois qui ne leur semblent pas adaptées. Ils considèrent que les personnes détenues par ICE sont illégales et ne retiendront pas les étrangers illégaux pour que ICE puisse les ramasser et les expulser. Ils préfèrent qu'ils parcourent les rues et créent un danger non seulement pour l'application de la loi, mais aussi pour les citoyens ordinaires de nos collectivités.
RépondreSupprimerDHS a confirmé que plus de 540 étrangers criminels ont été libérés dans les régions de San Francisco, de Los Angeles, de San Bernardino, de Santa Barbara, de San Diego et du comté d'Orange. Ces criminels avec des crimes tels que, agression, cambriolage, cruauté envers un enfant, et la violence domestique errent maintenant librement dans les rues parce qu'ils sont dans une «ville sanctuaire» et seront protégés par la police.
Selon le DHS dans un mois en 2014 cite des sanctuaires libérés 8100 étrangers criminels déportables, 3000 avec des crimes condamnables. 1900 ont été plus tard réarrêtés un total de 4300 fois pour 7500 différents crimes. Le Government Accountability Office a montré que plus de 55 000 étrangers criminels ont commis 646 000 crimes pour une moyenne de 13 crimes par étranger illégal. Le même rapport de bureau d'une étude de 2011 a montré que seulement 215 000 étrangers criminels dans les prisons fédérales, étatiques et locales avaient été arrêtés près de 1,7 million de fois pour près de 3 millions d'infractions criminelles.
La législature de l'État de Californie a tourné le dos à ces chiffres, ignorant la violence et les dommages causés à nos communautés afin de recueillir les voix dont elles ont besoin pour rester au pouvoir. Il va même jusqu'à permettre à la police de l'État d'informer l'ACI des criminels violents. À moins que l'ICE ne sache déjà qu'un criminel est en prison, personne dans notre gouvernement ou l'application de la loi n'est requis ou même autorisé à les avertir.
Il y a beaucoup d'acteurs dans notre gouvernement d'état qui font partie de ceci. L'un est Sen, Kamala Harris. J'ai déjà écrit à propos de cette femme, un harridan qui continue à bafouer ses rêveries tout en étant accusé d'avoir sombré dans la nuit.
(http://www.intellectualconservative.com/president-kamala-harris/).
RépondreSupprimerElle a excorié le procureur général Jeff Sessions pour avoir mentionné la guerre civile et l'esclavage. Encore une fois, parce que Jeff Sessions est blanc, il ne peut prétendre avoir aucune connaissance de la période qu'il a mentionnée. Une autre question que j'ai est que cette administration a les plus bas niveaux de chômage pour tous les groupes, y compris les femmes, les Noirs et les Hispaniques. Comment pouvez-vous prétendre que vous êtes au sujet de ces personnes et ne pas défendre ceux qui ont créé cet ensemble de faits plutôt que de les appeler racistes ? Et pas de sénateur, les villes sanctuaires n'ont rien à voir avec l'avenir, mais tout à faire avec ignorer la primauté du droit. Maintenant, elle déclare que l'application par le gouvernement fédéral de nos lois sur l'immigration est «l'intimidation».
Jerry Brown, notre gouverneur de rayon de lune a qualifié le procureur général Jeff Sessions de "Gestapo" et a déclaré que les Etats-Unis avaient déclaré "guerre" à la Californie. Jerry Brown est considéré comme un véritable croisé pour la Californie, l'homme qui peut sauver l'État. Si cela est vrai, pourquoi 48% des électeurs veulent-ils que vous partiez ? Se pourrait-il que vous ayez fait de nous la risée des États-Unis, et est-ce que vous vous demandez pourquoi la «Nouvelle Californie» commence à prendre de l'ampleur ?
Et puis, il y a le maire d'Oakland, Libby Schaff, qui a déclaré de haut en bas les sessions de l'Attorney General, c'est un "raciste" pour vouloir faire appliquer la loi sur l'immigration. Schaff a mis en garde les étrangers illégaux, dont beaucoup étaient des criminels, d'un prochain raid ICE permettant à 800 des pires criminels de fuir d'Oakland avant l'application.
Dans une déclaration après la conférence de presse de Sessions, Schaff a écrit
"Comment osez-vous vilipender les membres de notre communauté en essayant d'effrayer le public américain en pensant que tous les immigrants sans papiers sont des criminels dangereux - Oakland comme Eusebio et Maria Sanchez, que vous avez arrachés à leurs enfants nés aux États-Unis et les patients atteints de cancer de notre hôpital public qui comptaient sur les compétences infirmières de Maria tous les jours ?
Comment osez-vous distraire le peuple américain d'un système d'immigration raté qui arrache des familles et oblige les travailleurs dont l'économie dépend pour récolter nos récoltes, déployer nos services et construire nos villes pour vivre dans la peur et travailler dans des conditions opprimées ?
Je suis convaincu que les tribunaux régleront le différend entre l'administration et le grand État de Californie. Je suis prêt à retourner au travail en tant que maire d'Oakland - lutter contre l'itinérance, construire des logements abordables, réparer les rues, créer des quartiers sûrs et veiller à ce que les enfants de ma communauté, d'où qu'ils viennent, ils sont arrivés ici, ont toutes les chances de réussir. "
C'est gentil. Prendre soin de discuter des crimes violents que vous commettez de dangereux illégaux sur les citoyens légaux de ce pays ? Voulez-vous discuter de la violence faite par les illégaux dans tout le pays par centaines de milliers ? Vous voulez expliquer comment mettre la population d'Oakland en danger est moins important pour votre politique de frontières ouvertes pour des votes progressistes socialistes pour vous garder le pouvoir ?
RépondreSupprimerLe gouvernement fédéral va sévir contre cette conspiration socialiste progressiste pour ignorer la primauté du droit. Il doit, ou la loi, toute loi ne signifie rien. L'anarchie est ce que les adeptes d'Alinsky veulent, mais notre gouvernement et notre peuple méritent mieux.
http://www.floppingaces.net/2018/03/11/the-chaos-in-california/
LES MEFAITS DU CHANGEMENT CLIMATIQUE SUR LES NEURONES D'UNE MINISTRE:
RépondreSupprimerLa ministre canadienne du climat appelle l'attention sur les «impacts sexospécifiques» du changement climatique
par THOMAS D. WILLIAMS, PH.D.
10 mars 2018
La ministre de l'Environnement et du Changement climatique du Canada exhorte les activistes environnementaux à s'attaquer aux «impacts sexospécifiques» du changement climatique, en particulier ses effets sur les femmes et les filles.
Dans une récente publication sur Twitter, Catherine McKenna, 47 ans, nominée par Trudeau au Parti libéral du Canada, a appelé ses partisans à «prendre en compte les impacts sexospécifiques du changement climatique sur les femmes, les filles et les enfants», négociateurs "dans la lutte contre le réchauffement climatique d'origine humaine.
Apparemment, au moins dans l'esprit du ministre, la météo mène maintenant sa propre «guerre contre les femmes».
«Nous devons prendre en compte les impacts sexospécifiques du changement climatique sur les femmes, les filles et les enfants, et je suis fière que le Canada forme des femmes négociatrices afin que nous ayons plus de voix féminines autour de la table»
Ceux qui se demandent quel pourrait être le lien possible entre le «changement climatique» et le genre (autres que d'être à la mode, les préoccupations de gauche) devraient être réconfortés en sachant qu'ils ne sont pas seuls. Pas de loin. Des dizaines d'observateurs ont affiché l'équivalent numérique des sourcils levés, demandant quelle serait la relation possible entre les deux sujets apparemment sans rapport.
Un message représentatif a noté que le climat «affecte à la fois les hommes et les femmes» et que le fait d'avoir plus de femmes à la table n'aura aucun effet sur les conditions météorologiques.
Des commentaires plus caustiques ont renversé la fixation du genre de McKenna, suggérant que le propre travail du ministre est le fruit de «rôles nommés par le sexe pour faire des positions superflues».
Un wag pensait qu'il aurait pu déchiffrer le lien énigmatique entre le genre et le climat et tweeté: «Le premier travail de ma sœur était le baby-sitting. Le mien était en train de pelleter des allées enneigées. C'est ce que tu veux dire ?
Un autre a simplement plaisanté: "Le monde se termine demain. Les femmes et les enfants ont le plus souffert. "
McKenna était en train de tweeter lors du Sommet mondial de l'océan 2018 qui se déroulait dans la station balnéaire de Cancún, au Mexique, qui s'est tenue cette semaine de mercredi à vendredi. L'événement est sponsorisé par le magazine britannique Economist.
En termes dramatiques, les organisateurs d'événements décrivent l'importance critique du sommet pour l'avenir des mers:
RépondreSupprimer"L'océan est en difficulté. Dans le monde entier, les humains ont opéré des changements spectaculaires sur les mers. Une chose est certaine: notre parcours actuel est insoutenable », lit-on dans l'introduction.
Dans son rôle privilégié en tant que ministre du Climat, McKenna a été en mesure de réunir les deux questions qui semblent l'inspirer le plus: l'environnement et les préoccupations des femmes. Avant de travailler en politique, McKenna a été membre du conseil d'administration de la Société Elizabeth Fry d'Ottawa, spécialisée dans les questions touchant les femmes et les filles dans le système de justice.
Dans un post Facebook vendredi, McKenna a souligné les nombreuses femmes qu'elle a rencontrées pendant son temps au Mexique.
«Lors du Sommet des océans, j'ai rencontré et appris de nombreuses femmes extraordinaires qui agissent dans leur communauté pour protéger nos océans», a-t-elle écrit. «Rédacteur en chef, Zanny Minton Beddoes et Sylvia Earle, présidente de Mission Blue, n'en sont que quelques-uns. Rejoignez-nous pour discuter du leadership des femmes ! "
McKenna a terminé son tweet avec le curieux hashtag #RunLikeAGirl.
Connue par ses détracteurs comme "Climate Barbie", McKenna a qualifié l'étiquette d '"insulte sexiste", et même certains de ses fans ont admis sa justesse, Rosie Dimanno avouant que le surnom "la capture parfaitement", si " un troglodyte de réchauffement climatique enclin à lober un brickbat sarcastique visant, vraisemblablement, à prétendue shallowness McKenna. Un peu de malice, c'est tout. "
"La politique est une affaire difficile", a observé Dimanno.
Au cours des dernières années, le «changement climatique» est devenu le bouc émissaire de presque tous les problèmes de la société, du racisme à l'immigration en passant par la pauvreté et les inégalités économiques.
En 2016, le journal The Guardian a lancé la théorie improbable que le réchauffement climatique est une crise «raciste», perpétrée par des Blancs riches contre des Noirs pauvres et vulnérables.
Bien qu'il n'offre aucune preuve, l'article fait l'affirmation follement invraisemblable selon laquelle «les noirs britanniques sont 28 % plus susceptibles que leurs homologues blancs d'être exposés à la pollution de l'air».
L'année suivante, plusieurs médias ont accusé Donald Trump de «racisme environnemental», comme en témoigne sa décision de se retirer de l'accord climatique de Paris. En annonçant son verdict, l'un d'eux a dit que Trump avait continué «sa guerre contre les gens de couleur en Amérique».
Mais le genre et la race ne sont pas les seuls problèmes supposés être affectés par le changement climatique.
RépondreSupprimerL'activiste écologiste Leehi Yona a écrit que le changement climatique est lié à un éventail de problèmes allant de la justice transgenre à la réforme de l'immigration.
En écrivant dans The Nation, Mme Yona a dénoncé le président pour sa nomination d'une série de «négationnistes du changement climatique» avant d'exposer sa propre théorie de la centralité du changement climatique dans la compréhension de toute autre question.
"Le changement climatique ne concerne pas seulement la planète. C'est une question de justice: raciale, sociale, socioéconomique, reproductive et environnementale », écrit-elle. "Il s'agit de la réforme de l'immigration, des droits LGBTQIA + et de la liberté religieuse."
"Je me trouve incapable de penser seul au changement climatique", écrit Yona.
L'incapacité à penser seul au climat, ou même à y penser rationnellement, semble être une épidémie qui affecte beaucoup de gens sur la gauche.
Là encore, s'il s'agit d'une épidémie, elle doit aussi être causée par le changement climatique.
http://www.breitbart.com/big-government/2018/03/10/canadian-climate-minister-urges-attention-gendered-impacts-climate-change/
Voici comment il est facile de pirater la voiture de quelqu'un et prendre le contrôle
RépondreSupprimerPar Alanna Ketler
Evolution collective
12 mars 2018
"Les voitures sont l'un des ordinateurs les plus chers, les plus gros et les plus dangereux que vous possédez. C'est l'un des rares ordinateurs pouvant parcourir 120 miles à l'heure. Droit ? Comme si c'était une grosse machine exécutée par un logiciel qui peut être piraté et qui, vous le savez, est dangereux. "
"Vous voulez que la technologie progresse, mais en même temps, vous voulez qu'elle soit sécurisée."
C'est quelque chose que la plupart des gens ne réalisent pas à propos de leurs véhicules, en particulier les modèles les plus récents et en particulier ceux avec la technologie d'auto-conduite. Tout comme n'importe quel autre système informatique, ils peuvent être piratés. Ce qui signifie que quelqu'un qui n'est pas dans la voiture, ou n'importe où près de la voiture que vous conduisez peut prendre le contrôle de la voiture et l'amener à faire ce qu'il veut. C'est une question très sérieuse à laquelle s'inquiéter.
Nous avons été prévenus à propos de cela ...
Wikileaks nous a prévenus à ce sujet l'année dernière, révélant que la CIA (Central Intelligence Agency) s'est penchée sur les voitures de piratage, WikiLeaks affirme que cette technologie pourrait être facilement utilisée pour mener des «assassinats presque indétectables», la capacité de contrôler votre véhicule, mais les véhicules pourraient également être volés de cette façon.
En 2013, WikiLeaks avait des soupçons sur la mort d'un journaliste, Michael Hastings, qui a été tué dans un accident de voiture à Los Angeles. Certaines personnes spéculent même que la mort du célèbre acteur, Paul Walker, a été causée de cette façon. En fait, la fille de Walker a poursuivi les fabricants de la voiture que son père conduisait, Porsche, à cause d'un «dysfonctionnement» apparent de la voiture.
En 2015, les chercheurs en sécurité, Charlie Miller et Chris Valasek, ont réussi à pirater une Jeep Cherokee 2014 et à réussir à «tourner le volant, désactiver brièvement les freins et arrêter le moteur». Ils ont également découvert qu'ils pouvaient accéder à des milliers Parmi les autres véhicules qui utilisaient aussi un système de navigation et de divertissement sans fil appelé Uconnect, c'était courant pour les véhicules Dodge, Jeep et Chrysler. Ce piratage a incité Fiat Chrysler à rappeler 1,4 million de véhicules. Regarde,
"Il ne semble pas que les fabricants aient actuellement des méthodes de détection / prévention pour de telles attaques", a déclaré M. Valasek par courriel mardi. "Rappelez-vous, Charlie et moi avons fait toutes ces recherches pendant notre temps libre avec des ressources limitées. "
Les cas de piratage de voiture
RépondreSupprimerEn 2010, et en 2011, des chercheurs de l'Université de Washington et de l'Université de Californie ont publié des articles montrant que les véhicules pouvaient être compromis lorsque les pirates avaient accès, en personne ou à distance.
En 2016, une autre étude a été publiée en Allemagne où les chercheurs ont réussi à déverrouiller et démarrer 24 véhicules différents avec des porte-clés sans fil en prenant le contrôle de l'appareil à distance et en amplifiant son signal.
Selon le vice-président du marketing chez Argus Cyber Security, Yoni Heilbronn, «l'équation est très simple. Si c'est un ordinateur et qu'il se connecte au monde extérieur, alors c'est piratable. "
Il est important de savoir que des hackers entiers peuvent pirater votre voiture, c'est encore très improbable. Mais indépendamment de ce fait, les entreprises de voiture devraient être un peu plus prudent en ce qui concerne les systèmes de sécurité sur leurs véhicules.
Le système de divertissement dans le véhicule est le plus vulnérable, l'un des plus populaires est appelé QNX, qui exploite les technologies de divertissement et de navigation embarquées. QNX appartient à la société maintenant connue sous le nom de Blackberry. Selon un porte-parole de Blackberry, ce système a été utilisé dans plus de 50 millions de véhicules, dont Audi, Ford et Maserati. "Fournir le plus haut niveau de sécurité a toujours été au cœur de notre mission." surveillent et vérifient constamment leur sécurité pour les vulnérabilités qui doivent être traitées.
La possibilité de pirater pourrait également permettre à l'ICA d'avoir accès à un véhicule, d'écouter les conversations et de surveiller toute autre donnée transitant par le système des véhicules.
Il est difficile de dire quand un véhicule a été piraté, mais il serait sage pour les fabricants d'envisager cela, et de développer une sorte de sécurité autour de toute «activité suspecte» ou une sorte d'alarme pour toute interception extérieure de toute nature.
Les constructeurs automobiles sont bien conscients de ce problème et nous ne pouvons qu'espérer que la sécurité est prise au sérieux et que le problème continuera d'être réglé.
Il est important de savoir que même s'il s'agit d'une préoccupation potentielle, le système d'exploitation des véhicules offre de nombreuses fonctions de sécurité modernes qui peuvent vous sauver la vie, des freins antiblocage, une technologie d'assistance, des avis de collision automatique, des appels mains libres autres. Malheureusement, il n'y a vraiment rien que vous puissiez faire pour éviter les cyber-hacks.
Reproduit avec la permission de Collective Evolution.
https://www.lewrockwell.com/2018/03/no_author/heres-how-easy-it-is-to-hack-into-someones-car-take-over-control/
SupprimerAujourd'hui les voitures sont piratées, les alarmes, les puces RFID, les comptes en banques, demain les satellites et pourquoi pas les soucoupes volantes ? Hahahaha !
Vive l'argent liquide ? Oui mais, ce n'est pas une raison pour pisser n'importe où !
Une épidémie de crocodiles et de serpents balaie le Queensland alors que des pluies torrentielles et des inondations soudaines frappent l'État
RépondreSupprimerPar Claudia Poposki
Pour Daily Mail Australia
06h30 GMT, 12 mars 2018
Les inondations du Queensland ont amené un certain nombre d'animaux dans le monde, en particulier dans des zones où ils ne seraient normalement pas visibles.
Maintenant, le ministère de l'Environnement du Queensland a émis un avertissement pour ceux qui sont pris dans la zone de danger.
L'avertissement, partagé sur Facebook, se lit comme suit: «Les crocodiles et les serpents peuvent se retrouver dans des endroits inattendus en raison des fortes pluies et des inondations dans certaines parties du nord du Queensland.
Le ministère de l'Environnement du Queensland a publié un avertissement sur les inondations qui ont amené les crocodiles et les serpents
«Les crocodiles peuvent se déplacer plus en amont lors des marées très hautes et des périodes d'inondation», lit-on dans Crocwise
Le pays de crocodile coule normalement du nord de la rivière Boyne et s'étend vers l'ouest jusqu'à la frontière entre le Queensland et le Territoire du Nord le long de la côte.
Mais le ministère de l'Environnement et des Sciences (DEA), anciennement ministère de l'Environnement et de la Protection du patrimoine, avertit que: «Les crocodiles peuvent se déplacer plus en amont pendant les marées hautes et les périodes d'inondation. Déjà vu.'
Les signes avant-coureurs sont dans les zones que les crocodiles sont connus pour fréquenter, mais que les gens devraient s'attendre à ce que l'animal pourrait être dans toutes les voies navigables du nord du Queensland.
La page Crocwise avertit également que ce n'est pas parce que vous ne pouvez pas voir un crocodile qu'il n'y en a pas un à proximité.
«Les crocodiles peuvent être très patients et peuvent rester sous l'eau pendant au moins quatre heures sans même respirer», écrit la page.
Dans un communiqué de presse, le directeur des opérations sur la faune de Northern Northern, M. Matt Brien, a déclaré: «Les serpents sont de bons nageurs et ils peuvent aussi se retrouver dans des endroits inattendus.
Si vous voyez un serpent, n'essayez pas de l'attraper ou de l'enlever. Téléphonez à un éliminateur de serpents licencié local si vous avez besoin d'aide.
Les crocodiles et les serpents ne sont pas les seuls animaux qui se sont manifestés lors des inondations.
- voir carte sur site -
Le pays de crocodile s'étend du nord de la rivière Boyne et continue vers l'ouest le long de la côte. La zone inondée est marquée sur la carte ci-dessus sur vert
Les signes avant-coureurs sont dans les zones que les crocodiles sont connus pour fréquenter, mais que les gens devraient s'attendre à ce que l'animal pourrait être dans toutes les voies navigables du nord du Queensland
RépondreSupprimerDes séquences vidéo ont émergé d'une tarentule australienne qui avait été chassée de son terrier.
L'araignée avait besoin d'être sauvée des eaux de crue et d'être chassée de son terrier, laissant l'animal vulnérable.
Les gens sont invités à signaler toutes les observations de crocodiles à CrocWatch au 1300 130 372.
http://www.dailymail.co.uk/news/article-5489083/Flooded-Queensland-towns-warned-crocodiles-snakes-epidemic.html#ixzz59WE2xnfc
Est ce juste pour moi ? Ou en avez-vous marre du levain aussi ? demande CLAUDIA CONNELL
RépondreSupprimerPar Claudia Connell
pour le Daily Mail
00:34 GMT, 12 mars 2018
Il y a tellement de choses à organiser avant les vacances que cela peut ne pas valoir la peine. Vous avez besoin de quelqu'un pour nourrir le chat, vous devez annuler les documents. . . et, bien sûr, il y a le gardien du levain.
Oh, vous n'en avez pas sur le numéro abrégé ? Chéri, dans le monde du pain artisanal qui ferait de vous quelque chose d'un paria. Heureusement, dans le monde normal, cela vous rend normal.
Vous ne pouvez pas avoir manqué de remarquer comment le pain ridiculement prétentieux est devenu. Dans certains cercles, admettre que vous avez un faible pour les blancs tranchés provoquera la même réaction si vous aviez juste avoué aimer le peu de cocaïne.
La plus vénérée de tous les pains est le levain, vendant jusqu'à 6 £ par pain. Les femmes cultivées se disputeront la dernière au supermarché, votre avocat sera servi dans un café à la mode et il a même trouvé son chemin dans les bases de pizza. Waitrose rapporte que les ventes de levain ont augmenté d'un tiers l'année dernière.
En raison du long processus de fermentation, le levain serait plus facile à digérer et naturellement faible en gluten, ce qui le rend populaire auprès des millennials qui mangent sainement.
Il a trois ingrédients: farine, sel et eau. Si vous le faites à la maison, il est fait au fil des jours, voire des semaines. Comme la levure n'est pas utilisée, la pâte doit être nourrie, nourrie et arrosée comme une orchidée de prix.
C'est pour cette raison que les boulangers-pâtissiers se procurent des boissons gazeuses ou, comme ils le font en Suède, contrôlent leur seau de gloop dans un «hôtel au levain» où le personnel qualifié répond à tous ses besoins.
Les levains au levain (la culture nécessaire pour commencer un pain) changent de mains jusqu'à 50 £, avec des recettes transmises de génération en génération.
Appelez-moi un philistin, mais je ne veux pas dépenser plus pour un pain que pour un rouge à lèvres. Et personne ne peut me convaincre que le meilleur sandwich du monde - le fromage et le cornichon - devrait être fait en utilisant autre chose que du blanc ordinaire tranché.
http://www.dailymail.co.uk/femail/article-5488897/Is-just-sick-sourdough-too.html#ixzz59WF5RUPB
Levain ? 100 gr d'eau + 100 gr de farine (T55) dans un bocal. Secouez et laissez 3 jours.
SupprimerN'oubliez pas que pour faire du pain chez soi (ou pizza) il est nécessaire d'avoir un four à pains !
Four électrique avec briques (22x11x3 cm) réfractaires à l'intérieur et extérieur. Posées non cimentées.