Les robots font maintenant le travail d’un banquier qui gagnait 300 000 euros par an
Audrey Duperron 15 juin 2017
La banque d’investissement Goldman Sachs confie maintenant une grande série d’opérations à un algorithme, y compris celles qui nécessitaient auparavant le recrutement de cadres payés 326 000 dollars par an, indique Bloomberg. Ceux-ci incluent notamment les travaux préparatoires à l’introduction de sociétés en bourse (IPO), grâce à la mise en œuvre d’une technologie d’automatisation, Deal Link.
L’automatisation de la gestion des dossiers est un projet de George Lee, qui a été recruté il y a trois ans comme responsable informatique à la division banque d’investissement de Goldman Sachs. Auparavant, Lee travaillait comme conseiller pour les élites de la Silicon Valley. Il a déterminé que la gestion d’une introduction en bourse pouvait être décomposée en 127 étapes, dont environ la moitié pouvait être robotisée.
La fin du turn over ?
Selon Goldman Sachs, cette automatisation libère du temps pour les banquiers juniors, leur permettant de se consacrer à des tâches offrant une plus grande valeur ajoutée. Ainsi, la banque espère stopper l’hémorragie de talents. En effet, les départs jeunes cadres à la recherche de postes plus gratifiants se sont multipliés au cours des dernières années.
D’un autre côté, la banque jure que cette nouvelle technologie n’a pas conduit à licencier du personnel, même si elle a permis de supprimer des milliers d’heures de travail humain. En revanche, cette rationalisation du travail limitera son recours à l’embauche dans les prochains mois, et son effectif devrait donc rester stable.
Une extension à d’autres domaines La recherche des tâches qui pouvaient être confiées à Deal Link a été étendue à d’autres domaines que les IPO. Il est apparu qu’il pouvait aussi gérer certains travaux liés aux fusions ou aux ventes d’obligations. Au total, la banque a identifié plus de cent cinquante tâches, actuellement assurées par l’équipe de 2500 banquiers de cette division, qui pourront être robotisées.
« Les centaines d’heures qui ont été économisées initialement sur les IPO se sont muées en plusieurs milliers d’heures au fil du développement du projet », explique Bloomberg.
Mais qu'est-ce qui fait donc peur aux trous de culs des 'Dirigeants' ? Les robots ! Dixit 'L'Intelligence Artificielle' !
Aâââââah ! Celle-là on ne l'attendait pas (de sitôt) ! Bêh, elle est là ! Quoi-ce que l''IA' ? C'est de la donnée (pour pas cher, rassurez-vous) qui est conservée dix mille ans en mémoire et qui peut jeter au trou n'importe qui qui dit des mensonges/âneries/ ou parle de dépopulationner the monde de 6.500.000.000 habitant(e)s !
Et tac ! Cà c'est de la Démo(cratie) !
Donc, si demain tous les escrocs du monde pouvaient être remplacés (à leurs fonctions) par des robots, le monde irait méchamment vers écartèlement du ministre de mes deux sur la voie publique, comme au coupage de tête, ou de l'expo aux fourmis rouge en plein soleil ! Hahahaha !
Italie. La maire de Rome refuse l’arrivée de nouveaux migrants
le 15 Juin 2017 par France Révolution
Virginia Raggi semble découvrir que les belles paroles sur l’accueil des migrants sont souvent compliquées à assumer. Cette membre du Mouvement 5 étoiles avait été propulsée maire de la plus grande ville d’Italie sur fond de ras le bol populaire face à la corruption il y a un an.
Mais la fraîcheur en politique ne fait pas tout. Plusieurs de ses proches ont été visés par soupçons de corruption. La communauté de Rome est toujours surnommée « Mafia Capitale » par les Romains désabusés qui, depuis le grand procès du même nom, ont détourné le nom originale de la communauté d’agglomération « Roma Capitale ».
Et, en plus, des troubles liés aux affaires de corruption, à des projets très contestés ou aux expulsions de mal-logés romains, Virginia Raggi doit gérer une crise migratoire qui commence à échapper à tout contrôle.
Virginia Raggi, maire de Rome : « Il est temps d’écouter les citoyens romains »
« Il est temps d’écouter les citoyens romains : non ne pouvons pas nous permettre de créer de nouvelles tensions sociales ». Voilà une déclaration qui tranche avec l’angélisme de certains autres maires de grandes villes européennes comme Paris ou Londres.
C’est sur les réseaux sociaux que Virginia Raggi a pris la parole, expliquant avoir exigé du gouvernement italien un moratoire sur l’arrivée de nouveaux migrants dans la capitale. « Rome est soumise à une forte pression migratoire, on ne peut pas continuer ainsi » déclare-t-elle notamment.
Près de 9 000 migrants seraient actuellement officiellement présents dans la capitale de l’Italie. Ce nombre approximatif ne prend en compte que les migrants hébergés dans des structures publiques.
C’est la possible création de 8 000 places d’hébergement supplémentaires qui a mis le feu aux poudres et obligé Virginia Raggi a intervenir. La maire a notamment interdit l’appel d’offre pour l’obtention de ces places supplémentaires.
Des graves incidents à Rome liés à l’arrivée des migrants
Pour Virginia Raggi, l’affaire est entendue : « Je considère impossible, voire dangereux, d’autoriser la création de nouvelles structures d’accueil ». Et la maire de Rome d’annoncer qu’elle souhaite rencontrer le gouvernement italien à propos « des arrivées incontrôlées » de migrants.
Il faut dire que Rome souffre de la présence massive de migrants. Outre des journalistes agressées en plein direct et plusieurs incidents graves, les images de migrants se baignant nus dans de somptueuses fontaines touristiques avaient également choqué les Romains.
Virginia Raggi a-t-elle pris toute la mesure de la crise migratoire où cherche-t-elle à éviter que ces électeurs ne la sanctionne lourdement lors des prochaines élections ? Si personne n’a encore les réponses à ces questions, il est certain que ette attitude remet quelque peu en question le dogme de l’enrichissement migratoire promis par tous les défenseurs des migrants…
Nous obtenons très près d'une courbe de rendement inversé - et si cela se produit Une récession est essentiellement garantie
Par Michael Snyder, le 15 juin 2017
Si quelque chose se passe sept fois de suite, pensez-vous qu'il y ait une très bonne chance que cela se produise aussi à huitième fois ? Immédiatement avant les sept dernières récessions, nous avons vu une courbe de rendement inversée, et il semble que cela se reproduise pour la première fois depuis la dernière crise financière. Pour ceux d'entre vous qui ne connaissent pas cette terminologie, lorsque nous parlons d'une courbe de rendement, nous parlons généralement de l'écart entre les rendements des obligations du Trésor aux États-Unis à deux ans et à dix ans. Normalement, les taux à court terme sont plus élevés que les taux à long terme, mais lorsque les investisseurs se sont effrayés de l'économie, cela peut inverser. Juste avant toute récession depuis 1960, la courbe des taux a "inversé", et maintenant nous nous rapprochons dangereusement de cela pour la première fois depuis une décennie.
Jeudi, l'écart entre les bons du Trésor à deux ans et à dix ans a chuté à seulement 79 points de base. Selon Business Insider, c'est presque le plus étroit que la courbe des taux ait été depuis 2007 ...
L'écart entre les rendements des trésorerie de deux ans et de 10 ans est passé à 79 points de base, soit 0,79%, après les données décevantes du marché du consommateur et des ventes au détail. La propagation est actuellement dans quelques centaines de points de pourcentage d'être le plus serré depuis 2007.
Peut-être plus particulièrement, c'est sur le chemin de «l'inversion» - ce qui signifie qu'il en coûterait plus à emprunter à court terme qu'à long terme - pour la première fois depuis les mois précédant la crise financière.
Alors, pourquoi une courbe de rendement inversée est-elle un gros événement ? Voici comment CNBC l'a récemment expliqué ...
Une courbe de rendement inversée, qui a correctement prédit les sept dernières récessions remontant à la fin des années 1960, se produit lorsque les taux d'intérêt à court terme produisent plus que les taux à plus long terme. Pourquoi une courbe de rendement inversée est-elle si cruciale pour déterminer la direction des marchés et de l'économie? Parce que lorsque les actifs bancaires (prêts à plus long terme) génèrent moins de revenus que les passifs bancaires (dépôts à court terme), l'incitation à faire resserrer les nouveaux prêts avec la masse monétaire. Et quand les bulles d'actifs sont privées de ce carburant monétaire, elles éclatent. La sévérité de la récession dépend de l'intensité des bulles d'actifs existantes avant l'inversion.
Ce qui est vraiment alarmant, c'est que la Réserve fédérale peut voir ce qui se passe à la courbe des taux, et ils peuvent voir toutes les autres indications selon lesquelles l'économie ralentissait, mais ils ont décidé d'augmenter les taux de toute façon.
Augmenter les taux dans un ralentissement de l'économie est une recette pour les catastrophes, mais la Fed a dépassé cela et a déclaré qu'elle avait l'intention de commencer à débloquer les 4,5 billions de dollars d'actifs accumulés sur le bilan de la Fed.
Janet Yellen essaie de nous dire que ce sera un processus en douceur, mais de nombreux analystes sont loin d'être convaincus. Par exemple, pensez à ce que Peter Boockvar a récemment déclaré à CNBC ...
"Ils souhaitent désespérément que ce soit un processus facile, lisse, de séchage par peinture, mais il n'y a pas de chance", a déclaré Peter Boockvar, analyste en chef du marché chez The Lindsey Group. "L'objectif global de l'assouplissement quantitatif était d'enflammer les marchés plus haut. Pourquoi ne pas se produire le contraire lorsque nous faisons un resserrement quantitatif ? "
J'espère qu'il n'y a pas de motivation politique derrière les démarches de la Fed. Au cours de l'ère d'Obama, les taux d'intérêt ont été poussés jusqu'au sol et le système financier a été inondé d'argent neuf par la Fed. Mais maintenant, la Fed renverse complètement le processus maintenant que Donald Trump est en poste.
Lorsque l'accident du marché boursier est inévitable, Trump aura le plus à blâmer, mais ce sera effectivement la faute de la Réserve fédérale. Si la Fed n'avait pas injecté des milliards de dollars dans le système, les stocks n'auraient jamais atteint ce niveau élevé. Et maintenant qu'ils renversent le processus qui a créé la bulle, beaucoup de personnes innocentes se blessent vraiment car les cours des actions tombent en panne.
Et si vous pensiez que la dernière récession était mauvaise pour les familles américaines moyennes, attendez que vous voyiez ce qui se passe cette fois-ci. Comme Kevin Muir l'a noté, c'est une folie totale pour la Fed de frapper les pauses dans une économie qui ralentit rapidement ...
Il y a un million d'autres petits signes que l'économie américaine roule, mais ce n'est pas important. Ce qui est important, c'est la réalisation que, jusqu'à ce que les conditions financières soient sauvegardées, la Fed ne réduira pas le frein.
Pour compléter, la Fed ne freine pas seulement, mais elle prépare également le marché pour un bilan. C'est comme QE à l'envers.
C'est une tempête parfaite de négativité. Une Fed trop forte qui est déterminée à retirer des mesures de relance monétaire même face à une économie en déclin.
Même si la Fed décide finalement de ne pas décoller très rapidement son bilan, la hausse des taux continuera à ralentir considérablement l'activité économique.
La hausse des taux hypothécaires va frapper fort le marché du logement, les taux croissants sur les prêts automobiles sont des nouvelles horribles pour une industrie automobile qui a déjà une année horrible, et la hausse des taux sur les cartes de crédit entraînera des paiements par carte de crédit plus élevés pour des millions de familles américaines.
Et cela arrive à un moment où l'indicateur après indicateur crie déjà que la prochaine récession est en avance.
Aujourd'hui, un cartel de banque centrale non élu et inexploitable a beaucoup plus de pouvoir sur notre économie que quiconque, et comprend le président Trump et le Congrès. Plus ils manipulent, plus nos barrières économiques et nos bustes deviennent, et ce prochain buste sera un doozy.
Il y a eu 18 récessions ou dépressions distinctes depuis la création de la Réserve fédérale en 1913, et si nous voulons finalement sortir de cette montagne russe économique, nous devons abolir la Réserve fédérale.
Comme beaucoup d'entre vous l'ont peut-être entendu, je m'inspire fortement de la candidature du congrès ici en Idaho, et l'une des principales choses qui me permettra de me séparer de tout autre candidat est que je suis très passionné par la fermeture de la Réserve fédérale . J'ai récemment expliqué pourquoi il est impératif de le faire dans un article intitulé «La Réserve fédérale doit aller». Les banques centrales sont conçues pour créer des spirales de la dette publique et la taille de la dette nationale des États-Unis a augmenté de plus de 5000 fois depuis la création de la Fed.
Si nous voulons faire quelque chose au sujet de notre dette nationale, et si nous voulons rétablir notre économie sur une base permanente, nous devons faire quelque chose au sujet de la Réserve fédérale.
Toute personne qui suggérerait autrement ne fait que perdre votre temps.
Les Suisses ont voté contre le nucléaire le 21 mai 2017 en acceptant de ne pas renouveler leur parc nucléaire à échéance.
15 JUIN 2017 Par Michel Gay et Jean-François Dupont1.
Cette décision est une déception pour les professionnels du nucléaire en Suisse. Elle est surtout un coup dur pour l’ensemble des Suisses qui viennent volontairement de se tirer une balle dans le pied en prévoyant de détruire leur autonomie énergétique assurée jusque-là. C’est leur choix…
Leurs barrages, même alimentés par des excédents d’électricité éolienne et photovoltaïque, ne suffiront pas (et de loin) à satisfaire leurs besoins. Il va falloir apprendre à être gentil avec les Russes et les Iraniens (importation de gaz), avec les Allemands aussi (importation d’électricité et de charbon) et même avec les Français (importation d’électricité… nucléaire).
COMMENT EN EST-ON ARRIVÉ LÀ ?
Deux erreurs majeures peuvent être soulignées :
1) Celle de la communication sur les réalités scientifiques de la production d’énergie, et du nucléaire en particulier.
Une désinformation intense des opposants et une absence d’information des soutiens depuis presque 40 ans a diabolisé le nucléaire. Ses risques sont perçus comme non maîtrisés et non maîtrisables.
La dimension « systémique » de la production d’énergie est vaste et compliquée. Elle échappe à beaucoup de citoyens et de responsables politiques, administratifs et économiques. Depuis que la controverse nucléaire existe, un ruban de désinformation a été déroulé par presque tous les partis politiques, et notamment par les « verts ».
Les mensonges et les informations biaisées, tendancieuses, et souvent alarmistes, ont été relayés par la majorité des grands médias, ainsi que par les ONG environnementales, par l’Administration et même le milieu académique Suisse.
L’Administration Suisse a la même vision négative sur le nucléaire que l’ADEME en France. Dans les hautes écoles, les professeurs se sont alignés sur les thèmes énergétiques qui « payent » en termes de crédits de recherche, à savoir les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique.
Plus surprenant encore, une partie des « managers » et des « traders » de la branche électrique jouent au Monopoly avec le nouveau marché de l’électricité. Leur but est de faire de l’argent, pas de défendre l’intérêt général, alors que les actionnaires sont des collectivités publiques (cantons et communes).
Les élus politiques qui les représentent dans les conseils d’administration partagent souvent des opinions antinucléaires. Les responsables qui connaissent les techniques et l’économie de base de l’électricité sont relégués aux tâches techniques d’exploitation des ouvrages.
Dans ce contexte, le silence permanent des « autorités » qui savent est lourd de conséquences.
Pourtant, les analyses et les arguments du réseau de spécialistes existent et sont conformes à la réalité scientifique. Ils confirment le fait, paradoxal, que la sécurité et la gestion des déchets sont des points forts du nucléaire, contrairement aux allégations bruyantes des antinucléaires.
Mais cette réalité scientifique tourne dans un cercle restreint fermé et reste confinée à ce réseau.
PLUS GRAVE ENCORE, LE DÉBAT A DORÉNAVANT QUITTÉ LE PLAN TECHNIQUE POUR CELUI DE LA MORALE
La condamnation qui pèse sur le nucléaire est aujourd’hui de nature morale, comme pour l’industrie du tabac qui fait des profits en « vendant des cancers ». Le discours rationnel est impuissant contre une condamnation morale, surtout si ce sont des ingénieurs, accusés d’avance de faire partie du « lobby nucléaire », qui le tienne. Ceux qui « savent » sont priés de se taire.
Le nucléaire est pourtant aujourd’hui la ressource énergétique qui produit le plus de chaleur contrôlée au coût le plus bas, et avec le moins de nuisances environnementales. Pour les mouvements antinucléaires, le reconnaître serait renier leur identité et ruiner leur fonds de commerce.
Ce gigantesque écart entre réalité et perception (en Suisse et ailleurs) pourrait être corrigé à trois conditions :
a) inciter les milieux professionnels à dire la réalité et à sortir du politiquement correct, b) réaliser des reportages réguliers sur des professionnels du nucléaire (exploitation, autorités, chercheurs) expliquant leur activité et le sens de leurs travaux (ça ne se voit jamais), c) entreprendre un effort de communication de masse (sur plusieurs années) de la branche électrique avec le soutien du monde académique et de simples citoyens-consommateurs. 2) La deuxième erreur est de cultiver le syndrome de culpabilité écologique des couches aisées de la population qui semblent avoir honte de leur niveau de vie.
Des déclarations telles que « il faudra bien se retreindre, nous consommons trop de tout, on va dans le mur, les arbres ne montent pas jusqu’au ciel, il faut décroître… » fascinent et séduisent une population en mal de repères techniques. Certains rêvent même d’une forme de « décroissance pour tous ». La rédemption par la pénurie organisée par une dictature verte…
Ce syndrome dépasse le débat technico-économique sur l’énergie. Il est lié à l’accroissement de la population mondiale et à celle de son niveau de vie qui augmente la « charge » sur l’environnement. L’humanité doit-elle renoncer à améliorer son niveau de vie pour sauver la planète ? L’austérité serait-elle inéluctable ?
Ce syndrome de nature psycho-sociale est obscurantiste. Il est à l’opposé du progrès et des « lumières ». Cette vision, qui repose sur le besoin de se faire peur et de rêver, est un piège qui peut conduire au cauchemar.
LES PRIVATIONS NE SONT PAS LA SEULE ISSUE
Les progrès, notamment dans l’énergie grâce au nucléaire, permettent de réduire la charge sur l’environnement en augmentant le niveau de vie. Il existe de nombreux arguments pour soutenir ce point de vue. Mais les spécialistes du nucléaire sont bâillonnés sur ce terrain de la morale qui est plutôt celui des philosophes et des sociologues (sociologue dans les sciences n’est que ruine de l’homme…).
En conclusion, oui, une partie importante des Suisses a peur du nucléaire à cause des deux erreurs évoquées (mauvaise communication et syndrome de culpabilité des nantis) qui ont débouché sur un débat moral irrationnel.
Le philosophe suisse Thomas Held avait déclaré lors d’une AG du Forum nucléaire suisse que « l’attaque portée contre le nucléaire n’est technique qu’en apparence. En réalité elle est essentiellement morale et, après analyse, c’est le discours des opposants qui est profondément immoral».
Dans ses chroniques du Figaro, le philosophe Luc Ferry a livré récemment des réflexions qui valent aussi pour le débat sur l’énergie « …on aimerait (…) qu’à côté d’une exigence de transparence et de moralité tous azimuts (…) on fasse d’avantage droit à la compétence, à l’expérience et au courage, à commencer par celui de dire la vérité (…) ». (01 juin 2017).
Ou encore « … seule une certaine abondance peut nous permettre d’affronter les interrogations métaphysiques. (…) Il est urgent que nos politiques replacent les progrès qu’ils sont censés favoriser dans la perspective d’un grand dessein… » (08 juin 2017).
Cette urgence ne concerne pas que « nos politiques », mais aussi nos industriels de l’électricité, le monde académique et les médias qui seraient bien inspirés de « replacer les progrès dans la perspective d’un grand dessein« .
Jean-François Dupont est Dr ès Sciences techniques, ingénieur-physicien EPFL. Ancien chercheur à l’Institut Paul Scherrer – PSI, (anciennement Eidgenössisches Institut für Reaktorforschung – EIR). Recherche sur la sécurité de réacteurs de 4e génération. Ancien responsable de prospective, veille technologique et politique, et communication chez Énergie Ouest Suisse – EOS (fusionnée avec Aar et Tessin d’Électricité – Atel dans Alpiq). ?
Primo, l'énergie nucléaire est incomparable et réputée SANS danger dès lors qu'elle est maîtrisée (les automobiles ont tué des millions de fois plus de personnes que le nucléaire !)
Secundo, la pollution est sans frontière; et, ce ne sont pas les fumées toxiques des centrales allemandes, Tchernobyl ou de Fukushima qui diront le contraire !
Tertio, le VRAI côté épouvantable de Fukushima est: SONT REFUS D'EXPLICATION ou plutôt: SON REFUS D'ACCEPTER LA VÉRITÉ ! Le 11 Mars 2011, un tremblement de terre (dans le Pacifique) de mag.9 a causé un raz de marée qui a balayé une grande partie de la commune nippone mais PAS sa centrale électrique ! Çà alors !
Pourquoi ? Parce que les centrales NUCLÉAIRE sont construites comme des place-forte/châteaux-forts et leur blindage peut résister à une magnitude bien supérieure ! Ce sont des 'cocotte-minute' à côté des marmites utilisées dans les centrales électrique à gaz, charbon ou fuel.
Pourtant il y a eu explosion de 3 auto-cuiseurs !
Explosion due au MANQUE D'EAU qui a fait monter la température intérieure des réacteurs de 300 à 3000 °C ! Càd que les tubes renfermant les pastilles d'Uranium ont fondu et libéré de l'hydrogène. D'où le déchapeautage de 3 réacteurs.
Seul le réacteur n°4 a résisté est a été victime d'un affaissement de terrain sous lui sans conséquence pour la suite sinon qu'un pont-roulant intérieur a chuté dans l'eau du réacteur n°4
Donc, la tragédie de Fukushima est due UNIQUEMENT au non respect des règles de sécurité obligeant à alimenter les réacteurs en eau quoi qu'il arrive.
C'est-à-dire aussi que, si d'autres réacteurs dans le monde (construits du MÊME MODÈLE) ont des tuyauteries d'alimentation en eau qui serpentent au sol sans être montées sur vérin, il se passera ailleurs la MÊME CHOSE qu'à Fukushima !
Les gigantesques responsabilités de la Commission Européenne
le 16 juin 2017
Il y a quelques jours je me suis trouvé surpris devant le rayon fromages de mon petit-supermarché. Il y avait en vente sur le rayon du « Gruyère français » à côté du Roquefort et du Camembert. J’ai bien mis un G majuscule puisqu’il s’agit du nom du charmant village de Gruyères qui se trouve en Suisse dans le canton de Fribourg et non pas en France. J’en étais resté à l’emmenthal, au comté et autres fromages de Savoie en ce qui concerne ce type de fromage et pour moi le Gruyère provenait exclusivement de Suisse. Hélas, j’ai constaté que j’étais dans l’erreur car j’ignorais que la Commission Européenne avait légiféré – à la demande conjointe de la France et de la Suisse – au sujet des appellations d’origine contrôlée (AOC), des appellations d’origine protégée (AOP) et des indications géographiques protégées (IGP) – il faut apprécier la subtilité de ces nuances considérables … Les Suisses, on les comprend aisément, voyaient d’un très mauvais oeil que les Français usurpent l’origine de leur fromage provenant presque exclusivement de la vallée de la Saane.
Puisqu’il était nullement question de se faire la guerre pour des morceaux de fromages (la France et la Suisse sont en paix depuis la célèbre bataille de Marignan-1515) les deux pays se sont mis d’accord après moult discussions autour d’une table largement approvisionnée en gruyères et vins blancs secs du Valais tout proche pour qu’il existe une distinction visuelle entre les deux fromages : le gruyère suisse n’a pas de trous, comme le Comté, et le « gruyère français » doit avoir des petits trous, moins gros que ceux de l’emmenthal, appréciez encore la nuance. Tout est donc rentré dans l’ordre fin 2013 et depuis lors l’emballage doit préciser l’origine géographique (IGP) du gruyère français (AOP), l’appellation d’origine contrôlée (AOC) étant exclusivement réservée au fromage suisse.
Le morceau de « gruyère français » que j’ai donc acheté, fort bon par ailleurs mais que je qualifierais de comté plutôt que de « Gruyère » de par sa fermeté moindre et sa saveur plutôt plus douce que son homologue suisse, est commercialisé par la Société Entremont basée à Annecy en France et fabriqué dans le Jura (FR 39.555.0 CE) et il est bien spécifié qu’il s’agit d’une dénomination géographique protégée (denominacion geografica protegida) conformément aux directives de la Commission Européenne. Il s’agit donc bien de comté (fabriqué dans le Jura, 39) puisqu’il n’a pas de trous, ce qu’exigent les Suisses, et non de « gruyère français » si on veut couper le morceau en quatre, mais la seule explication que j’aie pu trouver à cette ambigüité est le fait que les Espagnols connaissent le nom de « Gruyère » et ignorent qu’il existe un fromage français en tous points identique, ou presque, appelé comté. Il reste que cette histoire rocambolesque de fromages a bien fait chauffer les neurones des fonctionnaires de la Commission Européenne.
Des experts prédisent que l'Intelligence Artificielle va dominer les humains dans moins de 50 ans
Coriolan Developpez.com ven., 09 juin 2017 18:07 UTC
La question de l'IA qui va remplacer les employés humains est devenue l'un des sujets les plus chauds de l'actualité, et pour cause, les études continuent de faire l'éloge du potentiel de croissance et de richesse que présente l'IA en raison de l'augmentation de la productivité. En même temps, d'autres rapports mettent en garde contre les menaces de l'emploi et l'aggravation de l'inégalité des salaires entre les salariés qualifiés et ceux moins qualifiés.
En dépit de ces alertes, rien ne semble arrêter le progrès technologique. Selon une dernière étude publiée par les prestigieuses universités de Yale et d'Oxford, l'IA devrait dépasser les humains dans tous les domaines en moins de 50 ans. Pour arriver à cette prédiction, les deux universités se sont tournées vers des spécialistes de l'intelligence artificielle du monde entier. Ces derniers estiment que l'IA devrait nous dominer d'ici 2062, la probabilité de cette prédiction a été de 50 %. Néanmoins, il faudra attendre encore plus d'un siècle jusqu'à 2137 pour voir l'IA dominer toutes les activités humaines.
L'intelligence artificielle devrait maitriser beaucoup d'activités bien avant cette date. Dès 2024, les spécialistes s'attendent à ce que les machines deviennent meilleures que les humains dans la traduction des langues. De même, elles devront dominer des activités comme la rédaction de dissertations de lycée avant 2026, conduire un camion avant 2027 et remplacer les humains au commerce avant 2031. Les machines seront même aptes à écrire des livres best-sellers dès 2049 et à s'occuper de la chirurgie en 2053. En réalité, tous les jobs occupés par les humains seront automatisés dans les prochains 120 ans, ont dit les participants au sondage.
Le sondage de l'étude menée par les deux universités a été envoyé aux spécialistes de l'IA qui ont publié en 2015 des recherches dans l'une des deux grandes conférences de la discipline (la Conference on Neural Information Processing Systems et l'International Conference on Machine Learning). Au total, 352 chercheurs ont participé à l'étude.
Ces résultats ont « des conséquences sociales de grande portée », a dit Katja Grace de la Machine Intelligence Research Institute à Berkeley en Californie. Comment les enseignants vont-ils agir si l'on sait que les dissertations générées par ordinateur seront impossibles à distinguer des dissertations rédigées par les élèves, par exemple ?
Néanmoins, les humains seront toujours là pour gérer les problèmes qui suivront le déploiement de l'IA. Les spécialistes ont donné une probabilité de 5 % seulement de disparition de notre espèce, et ce malgré l'engouement des médias et le débat très tendu des dangers de l'IA.
L'intelligence artificielle a déjà dépassé les humains dans plusieurs tâches. Dernièrement, AlphaGo, l'IA conçue par DeepMind (une filiale de Google) a réussi à battre le meilleur joueur du monde du jeu de stratégie le plus complexe qui puisse exister, le jeu de Go. D'autres systèmes peuvent lire sur les lèvres mieux que les professionnels, et des systèmes peuvent même aider les enquêteurs à trier les données de police. Cependant, chaque système maitrise une tâche unique et est sans intérêt lorsqu'il s'agit de faire d'autres tâches, à moins qu'il soit entrainé.
« Il y a des preuves que les machines vont dominer l'intelligence humaine dans des tâches complexes, mais spécifiques », a dit Eleni Vasilaki de l'Université de Sheffield au Royaume-Uni. Mais il n'y a pas beaucoup de preuves qu'une IA dotée de la même polyvalence que les humains va faire son apparition prochainement, dit-elle.
Les résultats de l'étude n'ont pas montré de relation entre l'âge des chercheurs et leurs prédictions, mais leur emplacement géographique a eu un impact sur leurs prédictions. Ainsi, les chercheurs en Asie ont avancé des dates bien plus proches que leurs pairs d'Amérique du Nord.
Cette étude s'est concentrée sur les aspects cognitifs de l'intelligence qui correspondent à des tâches bien définies. « Mais des éléments de l'intelligence, comme l'intelligence émotionnelle, vont au-delà du cognitif », a dit Georgios Yannakakis, de l'Université de Malte. « Il serait intéressant de se demander quand l'IA va dépasser les humains qui critiquent les œuvres d'art ou les films. »
La sécession traoneuse des États de la Confédération climatique
Par Tyler Durden 16 juin 2017 22h15 Auteur de Daniel Greenfield via FrontPageMag.com,
Après que le président Trump a rejeté le traité sur le climat de Paris, qui n'a jamais été ratifié par le Sénat, l'Union européenne a annoncé qu'elle fonctionnerait avec une confédération climatique des États américains sécessionnistes.
L'Écosse et les ministres de l'environnement de la Norvège ont mentionné l'accent mis sur les différents États américains. Et les gouvernements sécessionnistes de la Californie, de New York et de Washington ont annoncé qu'ils entreraient unilatéralement et illégalement dans un traité étranger rejeté par le Président des États-Unis.
La Constitution est très claire à ce sujet. "Aucun Etat ne doit conclure aucun traité". Le gouverneur Cuomo de New York a été tout aussi clair. «L'État de New York s'est engagé à respecter les normes énoncées dans l'Accord de Paris, quelles que soient les actions irresponsables de Washington».
La déclaration de Cuomo vient commodément dans les traductions française, chinoise et russe.
"Il est un peu audacieux de parler du partenariat Chine-Californie comme si nous étions une nation distincte, mais nous sommes une nation distincte", a annoncé le gouverneur Brown of California.
Dans une interview accordée à Huffington Post, la gauchiste radicale a décrit la Californie comme «un véritable État-nation».
Brown a fait un bond à travers la Chine pour rassurer la dictature communiste de la loyauté de la Californie à un traité illégal alors que le patron de l'UE, Juncker, était en train de battre l'Amérique et de s'embrasser devant le Premier ministre Li Keqiang au sommet UE-Chine. C'est une chose lorsque l'UE et la Chine forment un front uni contre l'Amérique. C'est plutôt un autre lorsque la Californie et la Chine forment un front uni contre l'Amérique.
L'Alliance Climat de Californie, New York, Washington, Vermont, Massachusetts, Connecticut, Oregon, Colorado, Hawaii, Virginie et Rhode Island ressemble beaucoup à la Convention Montgomery de la Confédération. Les deux servent de points de rencontre pour une alliance sécessionniste des États pour faire face à leurs griefs contre le gouvernement fédéral sur un problème dans lequel ils sont en désaccord avec le pays.
"Nous sommes un gouvernement étatique puissant. Nous avons neuf autres États qui sont d'accord avec nous", a déclaré Brown. Deux autres et le vieux pote de Jim Jones pourrait avoir sa propre confédération.
Tout le vantard et le vantard de la richesse et du pouvoir que les états sécessionnistes de la confédération climatique représentent sont très familiers. Mais cette richesse et ce pouvoir sont basés autour de petites enclaves, de la région de la baie et de quelques dizaines de blocs à Manhattan, qui exercent une influence disproportionnée.
Comme la classe des propriétaires d'esclaves, les élites gauchistes laissent tomber l'arrogance de leur richesse dans la trahison. Et comme ils regardent de leurs manoirs et gratte-ciel, ils devraient se rappeler que la majorité des gens de la classe ouvrière en Californie et à New York seront beaucoup moins enthousiastes à l'idée de lutter contre une guerre pour protéger leurs investissements sales dans les centrales solaires et les crédits carbone financés par les impôts Saisis de beaucoup de ces mêmes personnes dans ces états esclaves de gauche.
L'intention déclarée de l'alliance climatique, dans les termes figurant sur le site Web du gouvernement de l'État de New York, est de convaincre par hasard les États-Unis qui se sont engagés à respecter l'Accord sur le climat de Paris.
Les États ne peuvent et ne sont pas autorisés à choisir unilatéralement de «défendre» un traité rejeté par le Président. Leurs dirigeants ne sont certainement pas autorisés à se rendre aux nations ennemies pour informer les puissances étrangères de leurs desseins de trahison et pour solliciter leur aide contre les politiques du gouvernement des États-Unis.
Cela est d'autant plus traiteur qu'au moment où les États-Unis font face à une collision avec la République populaire de Chine sur les armes nucléaires et les accords commerciaux de la Corée du Nord.
"Il est important pour le monde de savoir que l'Amérique n'est pas Washington", a déclaré Brown. "Oui, nous faisons partie du syndicat, mais nous sommes aussi un État souverain qui peut promouvoir les politiques nécessaires à la survie".
Les gouverneurs ne sentent normalement pas le besoin de déclarer que leur état fait toujours partie du syndicat. Mais ils n'annoncent pas non plus qu'ils sont une nation distincte et se sont engagés à réduire les transactions séparées avec les pouvoirs ennemis. Aucun État ne devrait publier, "Oui, nous faisons partie du syndicat, mais" des renonciations avant d'aller en Chine.
L'avertissement est la première étape pour quitter le syndicat.
Le voyage du gouverneur Brown en Chine n'est pas financé par les contribuables californiens. Cela pourrait être un soulagement pour cette tribu surchargée, sauf que la Fondation de l'énergie est partiellement payée. Derrière ce nom générique pour une organisation passante, un certain nombre de fondations de gauche ont payé pour les politiciens américains pour se rendre en République populaire de Chine.
Les donateurs de la fondation de l'énergie comprennent le milliardaire écocrate Tom Steyer qui a pompé des millions dans EF. Les finances de Steyer sont enchevêtrées avec la Chine et même avec les membres du gouvernement chinois.
Steyer a accusé le président Trump de trahison pour avoir rejeté l'inconscient Steyer a accusé le président Trump de trahison pour avoir rejeté le traité anticonstitutionnel de Paris. Mais qui sont les vrais traîtres ici ?
D'autres principaux donateurs EF comprennent le Rockefeller Brothers Fund, Bloomberg et George Soros.
Il y a quelque chose de profondément troublant à propos du voyage traître d'un gouverneur qui est financé par des intérêts privés avec des liens commerciaux avec une puissance étrangère. Si les démocrates étaient vraiment sérieux à propos de l'influence des puissances étrangères sur leur influence, ils examineraient de très près les partisans de Brown.
Mais le plus grand outrage est que les gouverneurs des pays sécessionnistes utilisent une crise manufacturée pour conduire la «diplomatie» avec des gouvernements étrangers au mépris des politiques des États-Unis.
Jay Inslee de Washington a récemment parlé du réchauffement climatique lors d'une réunion avec le Premier ministre canadien Justin Trudeau. "Nous sommes tous deux très engagés dans les questions de changement climatique, sur les questions d'ouverture au commerce, sur le leadership sur les réfugiés aussi", a déclaré Trudeau.
"Nous partageons un engagement incroyable à vaincre le changement climatique", insulte l'a flatté. "Et c'est un grand plaisir que nous ayons un leader national sur le continent nord-américain qui s'y engage". Et il ne voulait pas dire le président des États-Unis.
Le penchant d'Inslee pour le traité illégal sur le climat de Paris n'est pas surprenant car ses propres efforts sur le réchauffement climatique dépendaient de manière similaire de mouvements unilatéraux qui ne comportaient aucun soutien législatif. Mais c'est un problème pour la Constitution de Washington. Sa participation à un pacte sécessionniste est un problème pour notre Constitution.
Et le problème n'est pas limité à Climate Alliance.
La Californie et bon nombre des autres entités déclarant qu'elles appliqueront un traité illégal sont également des états et des villes de sanctuaires. Ils choisissent de ne pas respecter la loi fédérale tout en mettant en œuvre des traités étrangers auxquels ils n'ont pas le droit de participer unilatéralement.
Il s'agit d'une situation de trahison qui est plus troublante à certains égards que la guerre civile originelle, car elle implique des États qui font une alliance ouverte avec des puissances ennemies telles que la Chine et les accueillent. Les gouvernements des États sapent le front uni du gouvernement national face à l'ennemi.
"La Californie résistera à cette action mal orientée et folle", a déclaré le gouverneur Brown. La logique de la «résistance» est inévitablement transformée en trahison. Une guerre civile est en cours. Au cours des dernières élections, la majorité territoriale des Américains a rejeté la règle d'une minorité d'enclaves urbaines riches et puissantes. En dehors de leurs bases bicoastales, le pouvoir politique de la faction démocrate a été brisé. Et donc, il s'est retiré dans la subversion et le sécession.
"La Chine avance d'une manière très sérieuse, de même que la Californie", a déclaré Brown. "Et nous allons dans la direction opposée de Donald Trump." Alors que les démocrates ont passé la plus grande partie de la semaine précédente à faire des bras dans l'air sur une chaîne arrière avec la Russie, l'un des principaux gouverneurs de leur faction s'allie ouvertement avec la Chine contre le président des États-Unis. Et les médias démocrates traidiques applaudissent cette trahison.
Brown et ses collègues font une flagrante violation de la Loi Logan. Leurs actions sont en violation de la Constitution des États-Unis. Et tout cela est un autre pas sombre sur la route d'une autre guerre civile.
Si la confédération climatique n'est pas tenue responsable de sa trahison, la crise ne fera que progresser.
Il s'agit là du seul marché du lobbying qui tend à résister face à la vérité prouvé par les scientifiques et non celle inventée par les politiciens et journalistes qui n'ont pas fait une heure d'étude.
Les comtés de Tennessee tentent les opioïdes d'utiliser la loi locale sur la «taxe sur les fissures»
Par Tyler Durden 16 juin 2017 20h10
L'épidémie d'opioïdes des États-Unis a continué à s'aggraver en 2017, car les opioïdes synthétiques super puissants comme le fentanyl et le carfentanil mangent l'approvisionnement en héroïne de la nation. Alors que le compte final du FBI n'a pas encore été arrivé, les données préliminaires suggèrent que les décès par overdose l'année dernière ont éclipsé les 50 000 enregistrés à l'échelle nationale en 2015 - le plus récent. Et le nombre de corps devrait être encore plus élevé en 2017. Alors que le nombre de morts dans certaines des régions les plus durement touchées du pays s'élargit - dans certains cas, forçant les coroners du comté à construire de plus grandes congélateurs pour stocker les corps - les États ont commencé à déposer des procès Contre les sociétés pharmaceutiques responsables de la fabrication et la commercialisation d'analgésiques opioïdes, dans l'espoir de compenser les coûts globaux de santé publique qui ont été un sous-produit de la crise.
Trois procureurs du district de Tennessee sont les derniers procureurs pour déposer une poursuite contre les fabricants de médicaments, en rejoignant un groupe qui comprend les procureurs généraux de l'Ohio, de l'Illinois, du Mississippi, de New York et de Santa Clara et du comté d'Orange en Californie - sans parler de la Nation Cherokee. Mais l'approche des procureurs du Tennessee diffère de leurs pairs d'une manière unique:
Ils poursuivent en vertu de la loi sur les «fissures» imposée à l'extrême et rarement utilisée par le gouvernement, ce qui permettrait à Big Pharma d'être responsable des dommages, comme s'ils étaient des trafiquants de drogue au niveau des rues, a rapporté le Knoxville News Sentinel.
Alors que les entreprises ciblées par les différents États diffèrent, les procureurs allèguent une faute inconvenient similaire: les sociétés pharmaceutiques se sont appuyées sur les chercheurs pour minimiser les qualités addictives des drogues, tout en dépensant des millions pour les commercialiser auprès des patients et des médecins.
Un autre procès déposé à Washington en janvier a allégué que Purdue Pharma, créateur d'OxyContin, connaissait l'immense popularité de la drogue dans les rues, mais n'a rien fait pour freiner sa distribution.
Le costume nomme également "Baby Doe" en tant que demandeur. "Baby Doe", le journal News Sentinel, est un garçon né en mars 2015 accro à ses opiacés parce que sa mère, identifiée comme "Mary Doe", était un toxicomane d'opérate et achetait ses médicaments dans le comté de Sullivan, l'un des trois districts judiciaires représentés Dans l'action en justice.
Déposée au nom des trois procureurs et Baby Doe par le cabinet d'avocats Nashville Branstetter, Stranch et Jennings, le procès dépense des dizaines de pages détaillant les comptes publiquement disponibles sur les fraudes présumées et les pratiques de marketing trompeuses des fabricants d'opiacés.
"Il est maintenant incontestable d'une question raisonnable que la fraude des accusés du fabricant a fait en sorte que Mary Doe et des milliers d'autres personnes au Tennessee deviennent accro aux opioïdes - une dépendance qui, grâce à leur conduite frauduleuse, était presque certaine," a déclaré le procès.
Le Tennessee enregistre plus de prescriptions en opiacés par habitant que tous les États de la nation, à l'exception de la Virginie de l'Ouest, selon le News Sentinel. Le comté de Sullivan est considéré comme un épicentre, tant que ses organismes d'application de la loi ont crevé leurs propres émissions de télévision de réalité. Le comté de Shelby dans l'ouest du Tennessee envisage également de se joindre au procès.
Le procureur général du Tennessee, Herbert Slatery III, a publié une déclaration mardi dans laquelle il a déclaré que son bureau enquête sur les options de l'État dans la poursuite de ses propres actions en justice.
"Notre objectif est d'identifier et de rendre responsable les parties responsables de cette épidémie d'opioïdes", a déclaré le communiqué. Cette «taxe de fissure» - autrement connue sous le nom de loi sur la responsabilité des concessionnaires de drogue - a été adoptée en 2005 pour permettre une action civile contre les concessionnaires de drogue de rue, dont beaucoup foutaient.
Toutefois, étant donné que la police saisit généralement les bénéfices des concessionnaires de drogue condamnés en vertu de lois pénales et civiles de confiscation - et que la plupart des trafiquants se rendent en prison après avoir été arrêtés - il ne restait plus rien à demander devant un tribunal civil.
Mais contrairement aux concessionnaires de rue, les entreprises pharmaceutiques sont à la hauteur de l'argent comptant. Purdue a réalisé des ventes annuelles de près de 3 milliards de dollars, tandis que Mallinckrodt et Endo accumulent des milliards de dollars chaque année à partir des ventes de médicaments opiacés.
Beaucoup d'experts juridiques ont déclaré que le lot actuel de procès ressemble au règlement de 1998 entre les quatre plus grandes compagnies de tabac américaines - Philip Morris, RJ Reynolds, Brown & Williamson et Lorillard - et 46 procureurs généraux. Conformément à cet arrêt, les compagnies de tabac ont convenu de verser plus de 200 milliards de dollars jusqu'en 2025, les paiements devant être effectués à perpétuité.
Alors que les États ont sans doute besoin de ressources financières pour compenser les coûts de santé publique qu'ils sont obligés d'absorber en raison de l'épidémie, les sociétés pharmaceutiques ont au moins une stratégie pour défendre le blâme: si l'épreuve de l'épreuve l'a déjà menée, la défense Les avocats tenteront d'éliminer autant que possible le plus possible des médecins surprescrivés, comme un médecin âgé qui a été arrêté plus tôt ce mois-ci à New York et chargé de prescrire des millions de pilules.
Par Tyler Durden 16 juin 2017 13h35 Auteur de Lance Roberts via RealInvestmentAdvice.com,
Dans le post de mardi, "A Shot Across The Bow", j'ai discuté de la récente "Tech Wreck" et du panneau d'avertissement qui a été livré lorsque les algorithmes de trading commencent à courir dans la même direction. En être témoin:
"Le plongeon a été extrêmement pointu mais a heureusement repris le calme et les actions ont rebondi. Un «crash flash».
Un jour, nous ne serons pas si chanceux. Mais le point que je veux souligner ici est que c'est un exemple du «vide de prix» qui peut se produire lorsque les ordinateurs perdent leur contrôle. Je ne peux insister assez sur ce point.
C'est la raison pour laquelle le prochain accident majeur sera pire que le dernier. " Bien sûr, il n'est généralement pas longtemps après avoir publié des commentaires sur les dangers de l'embauche actuelle dans les ETF, que je reçois un peu de recul.
Tout d'abord, je ne suis pas un «courtier». Je suis un «conseiller en placement» qui fonctionne selon la «norme fiduciaire». Bien que nous facturions des frais inférieurs à la moyenne pour nos services, nous nous concentrons sur la préservation du capital et le portefeuille total Retourne pour atteindre les objectifs de planification financière à long terme de notre client. Notre client, et surtout ses économies durement gagnées, sont notre priorité. (Lire la suite dans "The Financial Manifesto".)
Deuxièmement, je trouve une uniformité constante de ceux qui ont été victimes du mantra "buy and hold" et "indexation passive" tels que:
Ils n'ont jamais traversé un marché baissier majeur. Ont fait peu, le cas échéant, une analyse historique en ce qui concerne la dynamique du marché. Sont généralement très agressivement exposés aux marchés, ce qui entraîne un besoin de «biais de confirmation». Avoir peu ou pas de compréhension de l'impact de la perte en ce qui concerne les résultats à long terme. Investissent généralement avec de très faibles sommes d'argent dans l'espoir de créer des richesses exponentielles. Croyez dans la longue théorie déconsidérée des «rendements composés» sur les marchés.
Enfin, ces individus ne sont PAS des investisseurs «passifs». Ils sont simplement des «détenteurs passifs» alors que les marchés augmentent et deviendront des «vendeurs actifs» lors de la prochaine baisse significative.
Cependant, permettez-moi de préciser, je ne suis certainement pas contre l'utilisation d'ETF «indexés» pour gérer l'exposition aux marchés pour les personnes qui souhaitent avoir:
Coûts de négociation plus bas Efficacité fiscale plus élevée Moins de chiffre d'affaires Volatilité plus faible Accès aux classes d'actifs non couvertes par un portefeuille d'actions traditionnel
Mais avoir accès à ces avantages ne signifie PAS être inconscient du risque sous-jacent de propriété. L'entreprise que je gère de l'argent gère une stratégie tout-ETF, ainsi qu'un portefeuille mixte ETF / Equity, nous appliquons également des règles de placement très strictes pour la gestion du «risque» dans le portefeuille. En d'autres termes, toute la pratique respecte les règles principales de Warren Buffet concernant l'investissement:
Ne perdez pas d'argent Se référer à la règle n ° 1.
Comme c'est toujours le cas, le temps consacré à la perte de capital est beaucoup plus préjudiciable aux résultats d'investissement à long terme que de simplement récupérer une opportunité manquée pour les gains.
Quel est le point de la publication d'aujourd'hui.
Soulèvement des machines
Bien que j'ai écrit souvent sur les dangers de l'ETF et de "Passive Investing" (voir ici et ici), mon ami Evelyn Cheng a souligné sa dernière confirmation.
"Les investissements quantitatifs basés sur des formules informatiques et le commerce par des machines quittent directement le sélecteur de stock traditionnel dans la poussière et dominent maintenant les marchés boursiers, selon un nouveau rapport de JPMorgan.
«Bien que les récits fondamentaux expliquant l'action de prix abondent, la majorité des investisseurs en actions ne vendent ni ne vendent des actions en se basant sur des fondamentaux spécifiques aux actions», a déclaré Marko Kolanovic, responsable mondial de la recherche quantitative et dérivée chez JPMorgan. .
Kolanovic estime que les «traders discrétionnaires fondamentaux» ne représentent que 10% environ du volume d'opérations dans les stocks. Les comptes d'investissement passifs et quantitatifs pour environ 60 pour cent, plus du double de la part il y a dix ans, a-t-il déclaré.
Comme discuté précédemment, tant que les algorithmes sont tous commercialisés dans une direction positive, il y a peu à s'inquiéter. Comme Evelyn l'a noté, il y a beaucoup d'argent dans ces métiers à l'échelle mondiale.
"Les dérivés, les flux de fonds quantitatifs, la politique de la banque centrale et les développements politiques ont contribué à une faible volatilité du marché", a déclaré Kolanovic. De plus, il a déclaré: «les grandes stratégies de données sont de plus en plus difficiles aux investissements fondamentaux traditionnels et seront un catalyseur des changements dans les années à venir». Il existe deux autres problèmes qui sous-tendent la poursuite des ETF. Alors que les investisseurs ont poursuivi les retours sur le marché «ne peuvent pas perdre», ils ont également accumulé un levier afin d'augmenter leur rendement. Les soldes de trésorerie disponibles négatifs sont maintenant à leur plus haut niveau dans l'histoire du marché.
Le deuxième problème, qui sera grandement affecté par le problème de levier, est la liquidité des ETF eux-mêmes. Comme je l'ai déjà mentionné:
"Le chef du BOE Mark Carney lui-même a mis en garde contre le risque de« désordre désordonné des portefeuilles »en raison du manque de liquidité du marché.
Les ajustements du marché à ce jour se sont produits sans stress significatif. Toutefois, le risque de renversement brutal et désordonné reste attribuable aux primes de risque de crédit et de liquidité compressées. En conséquence, les participants du marché doivent être conscients des risques de diminution de la liquidité du marché, des discontinuités des prix des actifs et de la contagion entre les marchés d'actifs.
Et puis il y avait, bien sûr, Howard Marks, qui a réfléchi dans sa note de liquidité:
«Les ETF sont devenus populaires parce qu'ils sont généralement considérés comme« meilleurs que les fonds communs de placement », en ce sens qu'ils sont échangés toute la journée. Ainsi, un investisseur ETF peut entrer ou sortir en tout temps pendant les heures de négociation. Mais les investisseurs dans les ETF se demandent-ils la source de leur liquidité ?
Ce dont Howard parle, c'est la «Théorie de la Grande Fool», qui supposent qu'il y a toujours un «plus gros imbécile» que vous sur le marché à vendre. Alors que la réponse est "oui", car il y a toujours un acheteur pour chaque vendeur, la question est toujours "à quel prix ?"
À un moment donné, ce processus de réversion prendra appui. C'est alors que la «psychologie» des investisseurs entre en collision avec la «dette de marge» et la liquidité des FNB. Comme je l'ai noté dans mon podcast avec Peak Prosperity:
"Ce sera l'équivalent de frapper un match, d'allumer un bâton de dynamite et de le jeter dans un pétrolier plein d'essence". Lorsque les «algorithmes de négociation de robots» commencent à inverser, ce ne sera pas un processus lent et méthodique, mais plutôt une ruée avec peu de prix, d'évaluation ou de mesures fondamentales car la sortie deviendra très étroite.
Il est important de noter que, au fur et à mesure que les prix baisseront, cela déclenchera des appels de marge qui induiraient une vente plus aveugle. Le cycle de rachat forcé entraînera des écarts catastrophiques entre l'enchère actuelle et le prix de la demande pour les ETF. Comme les investisseurs sont forcés de déménager des positions pour répondre à des appels de marge, le manque d'acheteurs sera sous vide, ce qui entraînera des baisses rapides des prix qui laisseraient les investisseurs impuissants en marge en regardant des années d'appréciation du capital disparaître en quelques instants.
Si vous ne le croyez pas, allez voir ce qui s'est passé le 15 septembre 2008.
C'est arrivé alors.
Cela se reproduira.
Mais je l'ai compris. Les marchés semblent être dans un marché haussier «imparable». Cette fois-ci, "semble différent" avec les interventions en cours de la Banque centrale. En outre, avec des taux d'intérêt si bas, "il n'y a pas d'alternative" pour les investisseurs de mettre de l'argent.
Par conséquent, pourquoi ne pas licencier votre conseiller, acheter un indice à faible coût et monter sur le marché ? Parce que, des choses comme «Robo-advisors» et «ETF herding» sont symptomatiques d'une longue progression du marché haussier où la douleur des pertes antérieures a finalement été effacée.
Les clients ne paient pas de frais pour chasser les marchés. Ils paient des honoraires pour employer une discipline d'investissement, des règles commerciales, des couvertures de portefeuille et des pratiques de gestion qui ont prouvé qu'ils réduisent la probabilité d'une déficience grave et irréparable de leurs économies durement gagnées.
Malheureusement, les règles sont vraiment difficiles à suivre. S'ils étaient faciles, alors tout le monde serait fort d'investir. Ce n'est pas parce que l'investissement sans discipline et une stratégie tend à avoir des conséquences horribles.
Quel est votre plan pour la deuxième moitié du cycle complet du marché.
La Corée du Nord est assise sur un énorme trésor… Mais elle n’a pas les moyens de l’exploiter
Audrey Duperron 16 juin 2017
La Corée du Nord est très riche en ressources naturelles, et notamment en minéraux, mais le pays n’a pas les moyens d’exploiter ces richesses, explique le magazine Quartz. Les mines génèrent 14 % du PIB du pays, mais elles demeurent très sous-exploitées.
Fer, or, magnésite, zinc, cuivre, molybdène, craie… ne sont que quelques uns de ces minéraux dont le pays regorge. En tout, il y en aurait près de 200 sortes, dont des métaux rares, qui entrent comme composants dans les appareils électroniques de haute technologie.
Selon deux évaluations de deux organisations sud-coréennes, la valeur totale de ces réserves serait comprise entre 6 000 milliards et 10 000 milliards de dollars.
Dans les années septante du siècle dernier, la Corée du Nord avait beaucoup misé sur l’exploitation minière, et la production s’était développée jusque dans les années nonante, avant de commencer à décliner. Le pays manque des équipements, de l’expertise et de l’infrastructure pour exploiter correctement ses mines. Selon un rapport de Lloyd R. Vasey, un conseiller du Center for Strategic and International Studies, les 700 mines du pays ne sont plus exploitées qu’à 30 % de leur capacité.
Le secteur des matières premières est également victime des sanctions internationales qui ont été émises pour réfréner les ambitions nucléaires du pays. Il n’est donc plus possible d’importer du matériel pour l’exploitation minière.
La Chine et la Russie
Les pays voisins comme la Russie et surtout la Chine sont les principaux clients pour les ressources minérales nord-coréennes. Les produits miniers ont représenté 54 % des exportations nord-coréennes vers la Chine au cours de la première moitié de 2016. Il y a deux ans, la Chine a importé 73 millions de dollars de minerai de fer, mais également plus de 1 milliard $ de charbon à la Corée du Nord.
Le charbon est particulièrement prisé de la Chine, car il a été vendu pendant des années en dessous de son cours mondial. Pour cette raison, il a représenté à lui seul près de 40 % du total des exportations nord-coréennes. Mais le charbon est de moins en moins demandé au plan international, et depuis le début de cette année, les Chinois ont commencé à réduire leurs commandes en Corée du Nord.
En 2012, l’empire du Milieu, qui convoite aussi les métaux rares nord-coréens, a réalisé d’importants investissements d’infrastructure à la frontière avec Corée du Nord, pour faciliter son approvisionnement en matières premières. La Russie a également envisagé d’investir en Corée du Nord, dans le fret ferroviaire cette fois-ci, en échange d’un accès aux ressources minières du pays.
Les sanctions… contournées Les sanctions internationales imposées à la Corée du Nord comprennent un boycott de l’or, du vanadium, du titane et des métaux rares du pays. Mais des interceptions de navires montrent que le pays continue de vendre ces minéraux sous le manteau.
Ce n'est que 1 % d'une véritable extinction massive
Peter Brannen fait valoir qu'une véritable extinction de masse ne suffit pas d'effacer 1% des espèces, elle évite 90%.
June 17th, 2017
Il s'avère que les humains ne sont pas aussi mauvais qu'une couche de lave d'un kilomètre de profondeur couvrant une zone aussi grande que les États-Unis.
La terre n'est pas au milieu d'une sixième extinction de masse
Les humains ont changé l'ecosphère:
Donc, les choses ne semblent pas si bonnes, peu importe où nous regardons. Oui, les victimes dans le monde animal incluent des prédateurs apex effrayants qui posent des menaces évidentes pour les humains, comme les lions, dont le nombre est passé de 1 million à l'époque de Jésus à 450 000 dans les années 1940 à 20 000 aujourd'hui, soit une baisse de 98%. Mais ont également été victimes inattendues, comme les papillons, qui ont diminué de 35 pour cent depuis les années 1970.
Est-ce une mini extinction ?
... la seule raison pour laquelle nous savons que les extinctions massives est en premier lieu à partir du récit de ce monde incroyablement abondant, durable et diversifié d'invertébrés marins, pas les grands, charismatiques et rares comme les dinosaures.
Ainsi, vous pouvez demander: «D'accord, bien, combien de taxons marins géographiquement répandus, abondants et durablement squelettisés sont éteints jusqu'à présent ?» Et la réponse est, à peu près à zéro », a souligné Erwin. En fait, les groupes les mieux évalués d'animaux modernes, comme les coraux, les amphibiens, les oiseaux et les mammifères, quelque part entre 0 et 1 % des espèces disparaissent dans l'histoire humaine récente. En comparaison, le paysage de l'extinction massive du Perm-Permien a coûté plus de 90 % de toutes les espèces sur terre.
Lorsque les extinctions de masse frappent, elles ne sortent pas seulement d'une grande mégafaune charismatique, comme des éléphants, ou des écosystèmes de niche, comme les forêts nuageuses. Ils suppriment aussi des organismes solides et omniprésents, comme les palourdes, les plantes et les insectes. C'est incroyablement difficile à faire. Mais une fois que vous dépassez le bord et vous débrouillez en mode d'extinction massive, rien n'est sécurisé. Les extinctions massives tuent presque tout sur la planète.
Il n'y a PAS de perte d'équilibre lorsque des papillons disparaissent car, les papillons sont aussi des chenilles qui ravagent tout et les papillons des insectes qui en pondent.
Le cas du prédateur peut être avancé lorsque l'on sait (par exemple) qu'une truite pond 500 000 œufs et dont environ la moitié seront des femelles qui - à leur tour - pondront 500 000 œufs ! etc, etc ! Où sont les truites ? Dans le ventres des prédateurs qui gobent tous les œufs.
Donc, si nous avons des parcs marins d'élevage de truites de mer ou de rivières, il y a de quoi nourrir rien que là 10 fois la planète. Idem avec les esturgeons (caviar) etc.
Faut donc faire un choix. Ou notre rôle est de sauvé les prédateurs ou notre rôle est de sauver les humains !
Les robots font maintenant le travail d’un banquier qui gagnait 300 000 euros par an
RépondreSupprimerAudrey Duperron
15 juin 2017
La banque d’investissement Goldman Sachs confie maintenant une grande série d’opérations à un algorithme, y compris celles qui nécessitaient auparavant le recrutement de cadres payés 326 000 dollars par an, indique Bloomberg. Ceux-ci incluent notamment les travaux préparatoires à l’introduction de sociétés en bourse (IPO), grâce à la mise en œuvre d’une technologie d’automatisation, Deal Link.
L’automatisation de la gestion des dossiers est un projet de George Lee, qui a été recruté il y a trois ans comme responsable informatique à la division banque d’investissement de Goldman Sachs. Auparavant, Lee travaillait comme conseiller pour les élites de la Silicon Valley. Il a déterminé que la gestion d’une introduction en bourse pouvait être décomposée en 127 étapes, dont environ la moitié pouvait être robotisée.
La fin du turn over ?
Selon Goldman Sachs, cette automatisation libère du temps pour les banquiers juniors, leur permettant de se consacrer à des tâches offrant une plus grande valeur ajoutée. Ainsi, la banque espère stopper l’hémorragie de talents. En effet, les départs jeunes cadres à la recherche de postes plus gratifiants se sont multipliés au cours des dernières années.
D’un autre côté, la banque jure que cette nouvelle technologie n’a pas conduit à licencier du personnel, même si elle a permis de supprimer des milliers d’heures de travail humain. En revanche, cette rationalisation du travail limitera son recours à l’embauche dans les prochains mois, et son effectif devrait donc rester stable.
Une extension à d’autres domaines
La recherche des tâches qui pouvaient être confiées à Deal Link a été étendue à d’autres domaines que les IPO. Il est apparu qu’il pouvait aussi gérer certains travaux liés aux fusions ou aux ventes d’obligations. Au total, la banque a identifié plus de cent cinquante tâches, actuellement assurées par l’équipe de 2500 banquiers de cette division, qui pourront être robotisées.
« Les centaines d’heures qui ont été économisées initialement sur les IPO se sont muées en plusieurs milliers d’heures au fil du développement du projet », explique Bloomberg.
https://fr.express.live/2017/06/15/goldman-sachs-automatisation-taches-banquier/
Mais qu'est-ce qui fait donc peur aux trous de culs des 'Dirigeants' ? Les robots ! Dixit 'L'Intelligence Artificielle' !
SupprimerAâââââah ! Celle-là on ne l'attendait pas (de sitôt) ! Bêh, elle est là ! Quoi-ce que l''IA' ? C'est de la donnée (pour pas cher, rassurez-vous) qui est conservée dix mille ans en mémoire et qui peut jeter au trou n'importe qui qui dit des mensonges/âneries/ ou parle de dépopulationner the monde de 6.500.000.000 habitant(e)s !
Et tac ! Cà c'est de la Démo(cratie) !
Donc, si demain tous les escrocs du monde pouvaient être remplacés (à leurs fonctions) par des robots, le monde irait méchamment vers écartèlement du ministre de mes deux sur la voie publique, comme au coupage de tête, ou de l'expo aux fourmis rouge en plein soleil ! Hahahaha !
(Vivement que ces robots arrivent !).
Italie. La maire de Rome refuse l’arrivée de nouveaux migrants
RépondreSupprimerle 15 Juin 2017
par France Révolution
Virginia Raggi semble découvrir que les belles paroles sur l’accueil des migrants sont souvent compliquées à assumer. Cette membre du Mouvement 5 étoiles avait été propulsée maire de la plus grande ville d’Italie sur fond de ras le bol populaire face à la corruption il y a un an.
Mais la fraîcheur en politique ne fait pas tout. Plusieurs de ses proches ont été visés par soupçons de corruption. La communauté de Rome est toujours surnommée « Mafia Capitale » par les Romains désabusés qui, depuis le grand procès du même nom, ont détourné le nom originale de la communauté d’agglomération « Roma Capitale ».
Et, en plus, des troubles liés aux affaires de corruption, à des projets très contestés ou aux expulsions de mal-logés romains, Virginia Raggi doit gérer une crise migratoire qui commence à échapper à tout contrôle.
Virginia Raggi, maire de Rome : « Il est temps d’écouter les citoyens romains »
« Il est temps d’écouter les citoyens romains : non ne pouvons pas nous permettre de créer de nouvelles tensions sociales ». Voilà une déclaration qui tranche avec l’angélisme de certains autres maires de grandes villes européennes comme Paris ou Londres.
C’est sur les réseaux sociaux que Virginia Raggi a pris la parole, expliquant avoir exigé du gouvernement italien un moratoire sur l’arrivée de nouveaux migrants dans la capitale. « Rome est soumise à une forte pression migratoire, on ne peut pas continuer ainsi » déclare-t-elle notamment.
Près de 9 000 migrants seraient actuellement officiellement présents dans la capitale de l’Italie. Ce nombre approximatif ne prend en compte que les migrants hébergés dans des structures publiques.
C’est la possible création de 8 000 places d’hébergement supplémentaires qui a mis le feu aux poudres et obligé Virginia Raggi a intervenir. La maire a notamment interdit l’appel d’offre pour l’obtention de ces places supplémentaires.
Des graves incidents à Rome liés à l’arrivée des migrants
Pour Virginia Raggi, l’affaire est entendue : « Je considère impossible, voire dangereux, d’autoriser la création de nouvelles structures d’accueil ». Et la maire de Rome d’annoncer qu’elle souhaite rencontrer le gouvernement italien à propos « des arrivées incontrôlées » de migrants.
Il faut dire que Rome souffre de la présence massive de migrants. Outre des journalistes agressées en plein direct et plusieurs incidents graves, les images de migrants se baignant nus dans de somptueuses fontaines touristiques avaient également choqué les Romains.
Virginia Raggi a-t-elle pris toute la mesure de la crise migratoire où cherche-t-elle à éviter que ces électeurs ne la sanctionne lourdement lors des prochaines élections ? Si personne n’a encore les réponses à ces questions, il est certain que ette attitude remet quelque peu en question le dogme de l’enrichissement migratoire promis par tous les défenseurs des migrants…
http://france-revolution-investigative-reporter.over-blog.com/2017/06/italie.la-maire-de-rome-refuse-l-arrivee-de-nouveaux-migrants.html
Nous obtenons très près d'une courbe de rendement inversé - et si cela se produit Une récession est essentiellement garantie
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 15 juin 2017
Si quelque chose se passe sept fois de suite, pensez-vous qu'il y ait une très bonne chance que cela se produise aussi à huitième fois ? Immédiatement avant les sept dernières récessions, nous avons vu une courbe de rendement inversée, et il semble que cela se reproduise pour la première fois depuis la dernière crise financière. Pour ceux d'entre vous qui ne connaissent pas cette terminologie, lorsque nous parlons d'une courbe de rendement, nous parlons généralement de l'écart entre les rendements des obligations du Trésor aux États-Unis à deux ans et à dix ans. Normalement, les taux à court terme sont plus élevés que les taux à long terme, mais lorsque les investisseurs se sont effrayés de l'économie, cela peut inverser. Juste avant toute récession depuis 1960, la courbe des taux a "inversé", et maintenant nous nous rapprochons dangereusement de cela pour la première fois depuis une décennie.
Jeudi, l'écart entre les bons du Trésor à deux ans et à dix ans a chuté à seulement 79 points de base. Selon Business Insider, c'est presque le plus étroit que la courbe des taux ait été depuis 2007 ...
L'écart entre les rendements des trésorerie de deux ans et de 10 ans est passé à 79 points de base, soit 0,79%, après les données décevantes du marché du consommateur et des ventes au détail. La propagation est actuellement dans quelques centaines de points de pourcentage d'être le plus serré depuis 2007.
Peut-être plus particulièrement, c'est sur le chemin de «l'inversion» - ce qui signifie qu'il en coûterait plus à emprunter à court terme qu'à long terme - pour la première fois depuis les mois précédant la crise financière.
Alors, pourquoi une courbe de rendement inversée est-elle un gros événement ? Voici comment CNBC l'a récemment expliqué ...
Une courbe de rendement inversée, qui a correctement prédit les sept dernières récessions remontant à la fin des années 1960, se produit lorsque les taux d'intérêt à court terme produisent plus que les taux à plus long terme. Pourquoi une courbe de rendement inversée est-elle si cruciale pour déterminer la direction des marchés et de l'économie? Parce que lorsque les actifs bancaires (prêts à plus long terme) génèrent moins de revenus que les passifs bancaires (dépôts à court terme), l'incitation à faire resserrer les nouveaux prêts avec la masse monétaire. Et quand les bulles d'actifs sont privées de ce carburant monétaire, elles éclatent. La sévérité de la récession dépend de l'intensité des bulles d'actifs existantes avant l'inversion.
Ce qui est vraiment alarmant, c'est que la Réserve fédérale peut voir ce qui se passe à la courbe des taux, et ils peuvent voir toutes les autres indications selon lesquelles l'économie ralentissait, mais ils ont décidé d'augmenter les taux de toute façon.
Augmenter les taux dans un ralentissement de l'économie est une recette pour les catastrophes, mais la Fed a dépassé cela et a déclaré qu'elle avait l'intention de commencer à débloquer les 4,5 billions de dollars d'actifs accumulés sur le bilan de la Fed.
Janet Yellen essaie de nous dire que ce sera un processus en douceur, mais de nombreux analystes sont loin d'être convaincus. Par exemple, pensez à ce que Peter Boockvar a récemment déclaré à CNBC ...
RépondreSupprimer"Ils souhaitent désespérément que ce soit un processus facile, lisse, de séchage par peinture, mais il n'y a pas de chance", a déclaré Peter Boockvar, analyste en chef du marché chez The Lindsey Group. "L'objectif global de l'assouplissement quantitatif était d'enflammer les marchés plus haut. Pourquoi ne pas se produire le contraire lorsque nous faisons un resserrement quantitatif ? "
J'espère qu'il n'y a pas de motivation politique derrière les démarches de la Fed. Au cours de l'ère d'Obama, les taux d'intérêt ont été poussés jusqu'au sol et le système financier a été inondé d'argent neuf par la Fed. Mais maintenant, la Fed renverse complètement le processus maintenant que Donald Trump est en poste.
Lorsque l'accident du marché boursier est inévitable, Trump aura le plus à blâmer, mais ce sera effectivement la faute de la Réserve fédérale. Si la Fed n'avait pas injecté des milliards de dollars dans le système, les stocks n'auraient jamais atteint ce niveau élevé. Et maintenant qu'ils renversent le processus qui a créé la bulle, beaucoup de personnes innocentes se blessent vraiment car les cours des actions tombent en panne.
Et si vous pensiez que la dernière récession était mauvaise pour les familles américaines moyennes, attendez que vous voyiez ce qui se passe cette fois-ci. Comme Kevin Muir l'a noté, c'est une folie totale pour la Fed de frapper les pauses dans une économie qui ralentit rapidement ...
Il y a un million d'autres petits signes que l'économie américaine roule, mais ce n'est pas important. Ce qui est important, c'est la réalisation que, jusqu'à ce que les conditions financières soient sauvegardées, la Fed ne réduira pas le frein.
Pour compléter, la Fed ne freine pas seulement, mais elle prépare également le marché pour un bilan. C'est comme QE à l'envers.
C'est une tempête parfaite de négativité. Une Fed trop forte qui est déterminée à retirer des mesures de relance monétaire même face à une économie en déclin.
Même si la Fed décide finalement de ne pas décoller très rapidement son bilan, la hausse des taux continuera à ralentir considérablement l'activité économique.
La hausse des taux hypothécaires va frapper fort le marché du logement, les taux croissants sur les prêts automobiles sont des nouvelles horribles pour une industrie automobile qui a déjà une année horrible, et la hausse des taux sur les cartes de crédit entraînera des paiements par carte de crédit plus élevés pour des millions de familles américaines.
RépondreSupprimerEt cela arrive à un moment où l'indicateur après indicateur crie déjà que la prochaine récession est en avance.
Aujourd'hui, un cartel de banque centrale non élu et inexploitable a beaucoup plus de pouvoir sur notre économie que quiconque, et comprend le président Trump et le Congrès. Plus ils manipulent, plus nos barrières économiques et nos bustes deviennent, et ce prochain buste sera un doozy.
Il y a eu 18 récessions ou dépressions distinctes depuis la création de la Réserve fédérale en 1913, et si nous voulons finalement sortir de cette montagne russe économique, nous devons abolir la Réserve fédérale.
Comme beaucoup d'entre vous l'ont peut-être entendu, je m'inspire fortement de la candidature du congrès ici en Idaho, et l'une des principales choses qui me permettra de me séparer de tout autre candidat est que je suis très passionné par la fermeture de la Réserve fédérale . J'ai récemment expliqué pourquoi il est impératif de le faire dans un article intitulé «La Réserve fédérale doit aller». Les banques centrales sont conçues pour créer des spirales de la dette publique et la taille de la dette nationale des États-Unis a augmenté de plus de 5000 fois depuis la création de la Fed.
Si nous voulons faire quelque chose au sujet de notre dette nationale, et si nous voulons rétablir notre économie sur une base permanente, nous devons faire quelque chose au sujet de la Réserve fédérale.
Toute personne qui suggérerait autrement ne fait que perdre votre temps.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/we-are-getting-very-close-to-an-inverted-yield-curve-and-if-that-happens-a-recession-is-essentially-guaranteed
Les Suisses ont-ils peur du nucléaire ?
RépondreSupprimerLes Suisses ont voté contre le nucléaire le 21 mai 2017 en acceptant de ne pas renouveler leur parc nucléaire à échéance.
15 JUIN 2017
Par Michel Gay et Jean-François Dupont1.
Cette décision est une déception pour les professionnels du nucléaire en Suisse. Elle est surtout un coup dur pour l’ensemble des Suisses qui viennent volontairement de se tirer une balle dans le pied en prévoyant de détruire leur autonomie énergétique assurée jusque-là. C’est leur choix…
Leurs barrages, même alimentés par des excédents d’électricité éolienne et photovoltaïque, ne suffiront pas (et de loin) à satisfaire leurs besoins. Il va falloir apprendre à être gentil avec les Russes et les Iraniens (importation de gaz), avec les Allemands aussi (importation d’électricité et de charbon) et même avec les Français (importation d’électricité… nucléaire).
COMMENT EN EST-ON ARRIVÉ LÀ ?
Deux erreurs majeures peuvent être soulignées :
1) Celle de la communication sur les réalités scientifiques de la production d’énergie, et du nucléaire en particulier.
Une désinformation intense des opposants et une absence d’information des soutiens depuis presque 40 ans a diabolisé le nucléaire. Ses risques sont perçus comme non maîtrisés et non maîtrisables.
La dimension « systémique » de la production d’énergie est vaste et compliquée. Elle échappe à beaucoup de citoyens et de responsables politiques, administratifs et économiques. Depuis que la controverse nucléaire existe, un ruban de désinformation a été déroulé par presque tous les partis politiques, et notamment par les « verts ».
Les mensonges et les informations biaisées, tendancieuses, et souvent alarmistes, ont été relayés par la majorité des grands médias, ainsi que par les ONG environnementales, par l’Administration et même le milieu académique Suisse.
L’Administration Suisse a la même vision négative sur le nucléaire que l’ADEME en France. Dans les hautes écoles, les professeurs se sont alignés sur les thèmes énergétiques qui « payent » en termes de crédits de recherche, à savoir les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique.
Plus surprenant encore, une partie des « managers » et des « traders » de la branche électrique jouent au Monopoly avec le nouveau marché de l’électricité. Leur but est de faire de l’argent, pas de défendre l’intérêt général, alors que les actionnaires sont des collectivités publiques (cantons et communes).
Les élus politiques qui les représentent dans les conseils d’administration partagent souvent des opinions antinucléaires. Les responsables qui connaissent les techniques et l’économie de base de l’électricité sont relégués aux tâches techniques d’exploitation des ouvrages.
Dans ce contexte, le silence permanent des « autorités » qui savent est lourd de conséquences.
RépondreSupprimerPourtant, les analyses et les arguments du réseau de spécialistes existent et sont conformes à la réalité scientifique. Ils confirment le fait, paradoxal, que la sécurité et la gestion des déchets sont des points forts du nucléaire, contrairement aux allégations bruyantes des antinucléaires.
Mais cette réalité scientifique tourne dans un cercle restreint fermé et reste confinée à ce réseau.
PLUS GRAVE ENCORE, LE DÉBAT A DORÉNAVANT QUITTÉ LE PLAN TECHNIQUE POUR CELUI DE LA MORALE
La condamnation qui pèse sur le nucléaire est aujourd’hui de nature morale, comme pour l’industrie du tabac qui fait des profits en « vendant des cancers ». Le discours rationnel est impuissant contre une condamnation morale, surtout si ce sont des ingénieurs, accusés d’avance de faire partie du « lobby nucléaire », qui le tienne. Ceux qui « savent » sont priés de se taire.
Le nucléaire est pourtant aujourd’hui la ressource énergétique qui produit le plus de chaleur contrôlée au coût le plus bas, et avec le moins de nuisances environnementales. Pour les mouvements antinucléaires, le reconnaître serait renier leur identité et ruiner leur fonds de commerce.
Ce gigantesque écart entre réalité et perception (en Suisse et ailleurs) pourrait être corrigé à trois conditions :
a) inciter les milieux professionnels à dire la réalité et à sortir du politiquement correct,
b) réaliser des reportages réguliers sur des professionnels du nucléaire (exploitation, autorités, chercheurs) expliquant leur activité et le sens de leurs travaux (ça ne se voit jamais),
c) entreprendre un effort de communication de masse (sur plusieurs années) de la branche électrique avec le soutien du monde académique et de simples citoyens-consommateurs.
2) La deuxième erreur est de cultiver le syndrome de culpabilité écologique des couches aisées de la population qui semblent avoir honte de leur niveau de vie.
Des déclarations telles que « il faudra bien se retreindre, nous consommons trop de tout, on va dans le mur, les arbres ne montent pas jusqu’au ciel, il faut décroître… » fascinent et séduisent une population en mal de repères techniques. Certains rêvent même d’une forme de « décroissance pour tous ». La rédemption par la pénurie organisée par une dictature verte…
Ce syndrome dépasse le débat technico-économique sur l’énergie. Il est lié à l’accroissement de la population mondiale et à celle de son niveau de vie qui augmente la « charge » sur l’environnement. L’humanité doit-elle renoncer à améliorer son niveau de vie pour sauver la planète ? L’austérité serait-elle inéluctable ?
Ce syndrome de nature psycho-sociale est obscurantiste. Il est à l’opposé du progrès et des « lumières ». Cette vision, qui repose sur le besoin de se faire peur et de rêver, est un piège qui peut conduire au cauchemar.
RépondreSupprimerLES PRIVATIONS NE SONT PAS LA SEULE ISSUE
Les progrès, notamment dans l’énergie grâce au nucléaire, permettent de réduire la charge sur l’environnement en augmentant le niveau de vie. Il existe de nombreux arguments pour soutenir ce point de vue. Mais les spécialistes du nucléaire sont bâillonnés sur ce terrain de la morale qui est plutôt celui des philosophes et des sociologues (sociologue dans les sciences n’est que ruine de l’homme…).
En conclusion, oui, une partie importante des Suisses a peur du nucléaire à cause des deux erreurs évoquées (mauvaise communication et syndrome de culpabilité des nantis) qui ont débouché sur un débat moral irrationnel.
Le philosophe suisse Thomas Held avait déclaré lors d’une AG du Forum nucléaire suisse que « l’attaque portée contre le nucléaire n’est technique qu’en apparence. En réalité elle est essentiellement morale et, après analyse, c’est le discours des opposants qui est profondément immoral».
Dans ses chroniques du Figaro, le philosophe Luc Ferry a livré récemment des réflexions qui valent aussi pour le débat sur l’énergie « …on aimerait (…) qu’à côté d’une exigence de transparence et de moralité tous azimuts (…) on fasse d’avantage droit à la compétence, à l’expérience et au courage, à commencer par celui de dire la vérité (…) ». (01 juin 2017).
Ou encore « … seule une certaine abondance peut nous permettre d’affronter les interrogations métaphysiques. (…) Il est urgent que nos politiques replacent les progrès qu’ils sont censés favoriser dans la perspective d’un grand dessein… » (08 juin 2017).
Cette urgence ne concerne pas que « nos politiques », mais aussi nos industriels de l’électricité, le monde académique et les médias qui seraient bien inspirés de « replacer les progrès dans la perspective d’un grand dessein« .
Jean-François Dupont est Dr ès Sciences techniques, ingénieur-physicien EPFL. Ancien chercheur à l’Institut Paul Scherrer – PSI, (anciennement Eidgenössisches Institut für Reaktorforschung – EIR). Recherche sur la sécurité de réacteurs de 4e génération. Ancien responsable de prospective, veille technologique et politique, et communication chez Énergie Ouest Suisse – EOS (fusionnée avec Aar et Tessin d’Électricité – Atel dans Alpiq). ?
https://www.contrepoints.org/2017/06/15/292124-suisses-ont-peur-nucleaire
Primo, l'énergie nucléaire est incomparable et réputée SANS danger dès lors qu'elle est maîtrisée (les automobiles ont tué des millions de fois plus de personnes que le nucléaire !)
SupprimerSecundo, la pollution est sans frontière; et, ce ne sont pas les fumées toxiques des centrales allemandes, Tchernobyl ou de Fukushima qui diront le contraire !
Tertio, le VRAI côté épouvantable de Fukushima est: SONT REFUS D'EXPLICATION ou plutôt: SON REFUS D'ACCEPTER LA VÉRITÉ !
Le 11 Mars 2011, un tremblement de terre (dans le Pacifique) de mag.9 a causé un raz de marée qui a balayé une grande partie de la commune nippone mais PAS sa centrale électrique ! Çà alors !
Pourquoi ? Parce que les centrales NUCLÉAIRE sont construites comme des place-forte/châteaux-forts et leur blindage peut résister à une magnitude bien supérieure ! Ce sont des 'cocotte-minute' à côté des marmites utilisées dans les centrales électrique à gaz, charbon ou fuel.
Pourtant il y a eu explosion de 3 auto-cuiseurs !
Explosion due au MANQUE D'EAU qui a fait monter la température intérieure des réacteurs de 300 à 3000 °C ! Càd que les tubes renfermant les pastilles d'Uranium ont fondu et libéré de l'hydrogène. D'où le déchapeautage de 3 réacteurs.
Seul le réacteur n°4 a résisté est a été victime d'un affaissement de terrain sous lui sans conséquence pour la suite sinon qu'un pont-roulant intérieur a chuté dans l'eau du réacteur n°4
Donc, la tragédie de Fukushima est due UNIQUEMENT au non respect des règles de sécurité obligeant à alimenter les réacteurs en eau quoi qu'il arrive.
C'est-à-dire aussi que, si d'autres réacteurs dans le monde (construits du MÊME MODÈLE) ont des tuyauteries d'alimentation en eau qui serpentent au sol sans être montées sur vérin, il se passera ailleurs la MÊME CHOSE qu'à Fukushima !
Les gigantesques responsabilités de la Commission Européenne
RépondreSupprimerle 16 juin 2017
Il y a quelques jours je me suis trouvé surpris devant le rayon fromages de mon petit-supermarché. Il y avait en vente sur le rayon du « Gruyère français » à côté du Roquefort et du Camembert. J’ai bien mis un G majuscule puisqu’il s’agit du nom du charmant village de Gruyères qui se trouve en Suisse dans le canton de Fribourg et non pas en France. J’en étais resté à l’emmenthal, au comté et autres fromages de Savoie en ce qui concerne ce type de fromage et pour moi le Gruyère provenait exclusivement de Suisse. Hélas, j’ai constaté que j’étais dans l’erreur car j’ignorais que la Commission Européenne avait légiféré – à la demande conjointe de la France et de la Suisse – au sujet des appellations d’origine contrôlée (AOC), des appellations d’origine protégée (AOP) et des indications géographiques protégées (IGP) – il faut apprécier la subtilité de ces nuances considérables … Les Suisses, on les comprend aisément, voyaient d’un très mauvais oeil que les Français usurpent l’origine de leur fromage provenant presque exclusivement de la vallée de la Saane.
Puisqu’il était nullement question de se faire la guerre pour des morceaux de fromages (la France et la Suisse sont en paix depuis la célèbre bataille de Marignan-1515) les deux pays se sont mis d’accord après moult discussions autour d’une table largement approvisionnée en gruyères et vins blancs secs du Valais tout proche pour qu’il existe une distinction visuelle entre les deux fromages : le gruyère suisse n’a pas de trous, comme le Comté, et le « gruyère français » doit avoir des petits trous, moins gros que ceux de l’emmenthal, appréciez encore la nuance. Tout est donc rentré dans l’ordre fin 2013 et depuis lors l’emballage doit préciser l’origine géographique (IGP) du gruyère français (AOP), l’appellation d’origine contrôlée (AOC) étant exclusivement réservée au fromage suisse.
Le morceau de « gruyère français » que j’ai donc acheté, fort bon par ailleurs mais que je qualifierais de comté plutôt que de « Gruyère » de par sa fermeté moindre et sa saveur plutôt plus douce que son homologue suisse, est commercialisé par la Société Entremont basée à Annecy en France et fabriqué dans le Jura (FR 39.555.0 CE) et il est bien spécifié qu’il s’agit d’une dénomination géographique protégée (denominacion geografica protegida) conformément aux directives de la Commission Européenne. Il s’agit donc bien de comté (fabriqué dans le Jura, 39) puisqu’il n’a pas de trous, ce qu’exigent les Suisses, et non de « gruyère français » si on veut couper le morceau en quatre, mais la seule explication que j’aie pu trouver à cette ambigüité est le fait que les Espagnols connaissent le nom de « Gruyère » et ignorent qu’il existe un fromage français en tous points identique, ou presque, appelé comté. Il reste que cette histoire rocambolesque de fromages a bien fait chauffer les neurones des fonctionnaires de la Commission Européenne.
Prochain article sur les fromages, le Camembert
http://eurlex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2013:036:0001:0002:fr:PDF
https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/06/16/les-gigantesques-responsabilites-de-la-commission-europeenne/
Des experts prédisent que l'Intelligence Artificielle va dominer les humains dans moins de 50 ans
RépondreSupprimerCoriolan
Developpez.com
ven., 09 juin 2017 18:07 UTC
La question de l'IA qui va remplacer les employés humains est devenue l'un des sujets les plus chauds de l'actualité, et pour cause, les études continuent de faire l'éloge du potentiel de croissance et de richesse que présente l'IA en raison de l'augmentation de la productivité. En même temps, d'autres rapports mettent en garde contre les menaces de l'emploi et l'aggravation de l'inégalité des salaires entre les salariés qualifiés et ceux moins qualifiés.
En dépit de ces alertes, rien ne semble arrêter le progrès technologique. Selon une dernière étude publiée par les prestigieuses universités de Yale et d'Oxford, l'IA devrait dépasser les humains dans tous les domaines en moins de 50 ans. Pour arriver à cette prédiction, les deux universités se sont tournées vers des spécialistes de l'intelligence artificielle du monde entier. Ces derniers estiment que l'IA devrait nous dominer d'ici 2062, la probabilité de cette prédiction a été de 50 %. Néanmoins, il faudra attendre encore plus d'un siècle jusqu'à 2137 pour voir l'IA dominer toutes les activités humaines.
L'intelligence artificielle devrait maitriser beaucoup d'activités bien avant cette date. Dès 2024, les spécialistes s'attendent à ce que les machines deviennent meilleures que les humains dans la traduction des langues. De même, elles devront dominer des activités comme la rédaction de dissertations de lycée avant 2026, conduire un camion avant 2027 et remplacer les humains au commerce avant 2031. Les machines seront même aptes à écrire des livres best-sellers dès 2049 et à s'occuper de la chirurgie en 2053. En réalité, tous les jobs occupés par les humains seront automatisés dans les prochains 120 ans, ont dit les participants au sondage.
Le sondage de l'étude menée par les deux universités a été envoyé aux spécialistes de l'IA qui ont publié en 2015 des recherches dans l'une des deux grandes conférences de la discipline (la Conference on Neural Information Processing Systems et l'International Conference on Machine Learning). Au total, 352 chercheurs ont participé à l'étude.
Ces résultats ont « des conséquences sociales de grande portée », a dit Katja Grace de la Machine Intelligence Research Institute à Berkeley en Californie. Comment les enseignants vont-ils agir si l'on sait que les dissertations générées par ordinateur seront impossibles à distinguer des dissertations rédigées par les élèves, par exemple ?
Néanmoins, les humains seront toujours là pour gérer les problèmes qui suivront le déploiement de l'IA. Les spécialistes ont donné une probabilité de 5 % seulement de disparition de notre espèce, et ce malgré l'engouement des médias et le débat très tendu des dangers de l'IA.
RépondreSupprimerL'intelligence artificielle a déjà dépassé les humains dans plusieurs tâches. Dernièrement, AlphaGo, l'IA conçue par DeepMind (une filiale de Google) a réussi à battre le meilleur joueur du monde du jeu de stratégie le plus complexe qui puisse exister, le jeu de Go. D'autres systèmes peuvent lire sur les lèvres mieux que les professionnels, et des systèmes peuvent même aider les enquêteurs à trier les données de police. Cependant, chaque système maitrise une tâche unique et est sans intérêt lorsqu'il s'agit de faire d'autres tâches, à moins qu'il soit entrainé.
« Il y a des preuves que les machines vont dominer l'intelligence humaine dans des tâches complexes, mais spécifiques », a dit Eleni Vasilaki de l'Université de Sheffield au Royaume-Uni. Mais il n'y a pas beaucoup de preuves qu'une IA dotée de la même polyvalence que les humains va faire son apparition prochainement, dit-elle.
Les résultats de l'étude n'ont pas montré de relation entre l'âge des chercheurs et leurs prédictions, mais leur emplacement géographique a eu un impact sur leurs prédictions. Ainsi, les chercheurs en Asie ont avancé des dates bien plus proches que leurs pairs d'Amérique du Nord.
Cette étude s'est concentrée sur les aspects cognitifs de l'intelligence qui correspondent à des tâches bien définies. « Mais des éléments de l'intelligence, comme l'intelligence émotionnelle, vont au-delà du cognitif », a dit Georgios Yannakakis, de l'Université de Malte. « Il serait intéressant de se demander quand l'IA va dépasser les humains qui critiquent les œuvres d'art ou les films. »
Source : arxiv.org
https://fr.sott.net/article/30726-Des-experts-predisent-que-l-Intelligence-Artificielle-va-dominer-les-humains-dans-moins-de-50-ans
La sécession traoneuse des États de la Confédération climatique
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
16 juin 2017 22h15
Auteur de Daniel Greenfield via FrontPageMag.com,
Après que le président Trump a rejeté le traité sur le climat de Paris, qui n'a jamais été ratifié par le Sénat, l'Union européenne a annoncé qu'elle fonctionnerait avec une confédération climatique des États américains sécessionnistes.
L'Écosse et les ministres de l'environnement de la Norvège ont mentionné l'accent mis sur les différents États américains. Et les gouvernements sécessionnistes de la Californie, de New York et de Washington ont annoncé qu'ils entreraient unilatéralement et illégalement dans un traité étranger rejeté par le Président des États-Unis.
La Constitution est très claire à ce sujet. "Aucun Etat ne doit conclure aucun traité". Le gouverneur Cuomo de New York a été tout aussi clair. «L'État de New York s'est engagé à respecter les normes énoncées dans l'Accord de Paris, quelles que soient les actions irresponsables de Washington».
La déclaration de Cuomo vient commodément dans les traductions française, chinoise et russe.
"Il est un peu audacieux de parler du partenariat Chine-Californie comme si nous étions une nation distincte, mais nous sommes une nation distincte", a annoncé le gouverneur Brown of California.
Dans une interview accordée à Huffington Post, la gauchiste radicale a décrit la Californie comme «un véritable État-nation».
Brown a fait un bond à travers la Chine pour rassurer la dictature communiste de la loyauté de la Californie à un traité illégal alors que le patron de l'UE, Juncker, était en train de battre l'Amérique et de s'embrasser devant le Premier ministre Li Keqiang au sommet UE-Chine. C'est une chose lorsque l'UE et la Chine forment un front uni contre l'Amérique. C'est plutôt un autre lorsque la Californie et la Chine forment un front uni contre l'Amérique.
L'Alliance Climat de Californie, New York, Washington, Vermont, Massachusetts, Connecticut, Oregon, Colorado, Hawaii, Virginie et Rhode Island ressemble beaucoup à la Convention Montgomery de la Confédération. Les deux servent de points de rencontre pour une alliance sécessionniste des États pour faire face à leurs griefs contre le gouvernement fédéral sur un problème dans lequel ils sont en désaccord avec le pays.
"Nous sommes un gouvernement étatique puissant. Nous avons neuf autres États qui sont d'accord avec nous", a déclaré Brown.
Deux autres et le vieux pote de Jim Jones pourrait avoir sa propre confédération.
Tout le vantard et le vantard de la richesse et du pouvoir que les états sécessionnistes de la confédération climatique représentent sont très familiers. Mais cette richesse et ce pouvoir sont basés autour de petites enclaves, de la région de la baie et de quelques dizaines de blocs à Manhattan, qui exercent une influence disproportionnée.
Comme la classe des propriétaires d'esclaves, les élites gauchistes laissent tomber l'arrogance de leur richesse dans la trahison. Et comme ils regardent de leurs manoirs et gratte-ciel, ils devraient se rappeler que la majorité des gens de la classe ouvrière en Californie et à New York seront beaucoup moins enthousiastes à l'idée de lutter contre une guerre pour protéger leurs investissements sales dans les centrales solaires et les crédits carbone financés par les impôts Saisis de beaucoup de ces mêmes personnes dans ces états esclaves de gauche.
RépondreSupprimerL'intention déclarée de l'alliance climatique, dans les termes figurant sur le site Web du gouvernement de l'État de New York, est de convaincre par hasard les États-Unis qui se sont engagés à respecter l'Accord sur le climat de Paris.
Les États ne peuvent et ne sont pas autorisés à choisir unilatéralement de «défendre» un traité rejeté par le Président. Leurs dirigeants ne sont certainement pas autorisés à se rendre aux nations ennemies pour informer les puissances étrangères de leurs desseins de trahison et pour solliciter leur aide contre les politiques du gouvernement des États-Unis.
Cela est d'autant plus traiteur qu'au moment où les États-Unis font face à une collision avec la République populaire de Chine sur les armes nucléaires et les accords commerciaux de la Corée du Nord.
"Il est important pour le monde de savoir que l'Amérique n'est pas Washington", a déclaré Brown. "Oui, nous faisons partie du syndicat, mais nous sommes aussi un État souverain qui peut promouvoir les politiques nécessaires à la survie".
Les gouverneurs ne sentent normalement pas le besoin de déclarer que leur état fait toujours partie du syndicat. Mais ils n'annoncent pas non plus qu'ils sont une nation distincte et se sont engagés à réduire les transactions séparées avec les pouvoirs ennemis. Aucun État ne devrait publier, "Oui, nous faisons partie du syndicat, mais" des renonciations avant d'aller en Chine.
L'avertissement est la première étape pour quitter le syndicat.
Le voyage du gouverneur Brown en Chine n'est pas financé par les contribuables californiens. Cela pourrait être un soulagement pour cette tribu surchargée, sauf que la Fondation de l'énergie est partiellement payée. Derrière ce nom générique pour une organisation passante, un certain nombre de fondations de gauche ont payé pour les politiciens américains pour se rendre en République populaire de Chine.
Les donateurs de la fondation de l'énergie comprennent le milliardaire écocrate Tom Steyer qui a pompé des millions dans EF. Les finances de Steyer sont enchevêtrées avec la Chine et même avec les membres du gouvernement chinois.
Steyer a accusé le président Trump de trahison pour avoir rejeté l'inconscient
Steyer a accusé le président Trump de trahison pour avoir rejeté le traité anticonstitutionnel de Paris. Mais qui sont les vrais traîtres ici ?
D'autres principaux donateurs EF comprennent le Rockefeller Brothers Fund, Bloomberg et George Soros.
RépondreSupprimerIl y a quelque chose de profondément troublant à propos du voyage traître d'un gouverneur qui est financé par des intérêts privés avec des liens commerciaux avec une puissance étrangère. Si les démocrates étaient vraiment sérieux à propos de l'influence des puissances étrangères sur leur influence, ils examineraient de très près les partisans de Brown.
Mais le plus grand outrage est que les gouverneurs des pays sécessionnistes utilisent une crise manufacturée pour conduire la «diplomatie» avec des gouvernements étrangers au mépris des politiques des États-Unis.
Jay Inslee de Washington a récemment parlé du réchauffement climatique lors d'une réunion avec le Premier ministre canadien Justin Trudeau. "Nous sommes tous deux très engagés dans les questions de changement climatique, sur les questions d'ouverture au commerce, sur le leadership sur les réfugiés aussi", a déclaré Trudeau.
"Nous partageons un engagement incroyable à vaincre le changement climatique", insulte l'a flatté. "Et c'est un grand plaisir que nous ayons un leader national sur le continent nord-américain qui s'y engage".
Et il ne voulait pas dire le président des États-Unis.
Le penchant d'Inslee pour le traité illégal sur le climat de Paris n'est pas surprenant car ses propres efforts sur le réchauffement climatique dépendaient de manière similaire de mouvements unilatéraux qui ne comportaient aucun soutien législatif. Mais c'est un problème pour la Constitution de Washington. Sa participation à un pacte sécessionniste est un problème pour notre Constitution.
Et le problème n'est pas limité à Climate Alliance.
La Californie et bon nombre des autres entités déclarant qu'elles appliqueront un traité illégal sont également des états et des villes de sanctuaires. Ils choisissent de ne pas respecter la loi fédérale tout en mettant en œuvre des traités étrangers auxquels ils n'ont pas le droit de participer unilatéralement.
Il s'agit d'une situation de trahison qui est plus troublante à certains égards que la guerre civile originelle, car elle implique des États qui font une alliance ouverte avec des puissances ennemies telles que la Chine et les accueillent. Les gouvernements des États sapent le front uni du gouvernement national face à l'ennemi.
RépondreSupprimer"La Californie résistera à cette action mal orientée et folle", a déclaré le gouverneur Brown. La logique de la «résistance» est inévitablement transformée en trahison.
Une guerre civile est en cours. Au cours des dernières élections, la majorité territoriale des Américains a rejeté la règle d'une minorité d'enclaves urbaines riches et puissantes. En dehors de leurs bases bicoastales, le pouvoir politique de la faction démocrate a été brisé. Et donc, il s'est retiré dans la subversion et le sécession.
"La Chine avance d'une manière très sérieuse, de même que la Californie", a déclaré Brown. "Et nous allons dans la direction opposée de Donald Trump."
Alors que les démocrates ont passé la plus grande partie de la semaine précédente à faire des bras dans l'air sur une chaîne arrière avec la Russie, l'un des principaux gouverneurs de leur faction s'allie ouvertement avec la Chine contre le président des États-Unis. Et les médias démocrates traidiques applaudissent cette trahison.
Brown et ses collègues font une flagrante violation de la Loi Logan. Leurs actions sont en violation de la Constitution des États-Unis. Et tout cela est un autre pas sombre sur la route d'une autre guerre civile.
Si la confédération climatique n'est pas tenue responsable de sa trahison, la crise ne fera que progresser.
http://www.zerohedge.com/news/2017-06-16/treasonous-secession-climate-confederacy-states
Il s'agit là du seul marché du lobbying qui tend à résister face à la vérité prouvé par les scientifiques et non celle inventée par les politiciens et journalistes qui n'ont pas fait une heure d'étude.
SupprimerLes comtés de Tennessee tentent les opioïdes d'utiliser la loi locale sur la «taxe sur les fissures»
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
16 juin 2017 20h10
L'épidémie d'opioïdes des États-Unis a continué à s'aggraver en 2017, car les opioïdes synthétiques super puissants comme le fentanyl et le carfentanil mangent l'approvisionnement en héroïne de la nation. Alors que le compte final du FBI n'a pas encore été arrivé, les données préliminaires suggèrent que les décès par overdose l'année dernière ont éclipsé les 50 000 enregistrés à l'échelle nationale en 2015 - le plus récent. Et le nombre de corps devrait être encore plus élevé en 2017. Alors que le nombre de morts dans certaines des régions les plus durement touchées du pays s'élargit - dans certains cas, forçant les coroners du comté à construire de plus grandes congélateurs pour stocker les corps - les États ont commencé à déposer des procès Contre les sociétés pharmaceutiques responsables de la fabrication et la commercialisation d'analgésiques opioïdes, dans l'espoir de compenser les coûts globaux de santé publique qui ont été un sous-produit de la crise.
Trois procureurs du district de Tennessee sont les derniers procureurs pour déposer une poursuite contre les fabricants de médicaments, en rejoignant un groupe qui comprend les procureurs généraux de l'Ohio, de l'Illinois, du Mississippi, de New York et de Santa Clara et du comté d'Orange en Californie - sans parler de la Nation Cherokee. Mais l'approche des procureurs du Tennessee diffère de leurs pairs d'une manière unique:
Ils poursuivent en vertu de la loi sur les «fissures» imposée à l'extrême et rarement utilisée par le gouvernement, ce qui permettrait à Big Pharma d'être responsable des dommages, comme s'ils étaient des trafiquants de drogue au niveau des rues, a rapporté le Knoxville News Sentinel.
Alors que les entreprises ciblées par les différents États diffèrent, les procureurs allèguent une faute inconvenient similaire: les sociétés pharmaceutiques se sont appuyées sur les chercheurs pour minimiser les qualités addictives des drogues, tout en dépensant des millions pour les commercialiser auprès des patients et des médecins.
Un autre procès déposé à Washington en janvier a allégué que Purdue Pharma, créateur d'OxyContin, connaissait l'immense popularité de la drogue dans les rues, mais n'a rien fait pour freiner sa distribution.
Le costume nomme également "Baby Doe" en tant que demandeur. "Baby Doe", le journal News Sentinel, est un garçon né en mars 2015 accro à ses opiacés parce que sa mère, identifiée comme "Mary Doe", était un toxicomane d'opérate et achetait ses médicaments dans le comté de Sullivan, l'un des trois districts judiciaires représentés Dans l'action en justice.
Déposée au nom des trois procureurs et Baby Doe par le cabinet d'avocats Nashville Branstetter, Stranch et Jennings, le procès dépense des dizaines de pages détaillant les comptes publiquement disponibles sur les fraudes présumées et les pratiques de marketing trompeuses des fabricants d'opiacés.
"Il est maintenant incontestable d'une question raisonnable que la fraude des accusés du fabricant a fait en sorte que Mary Doe et des milliers d'autres personnes au Tennessee deviennent accro aux opioïdes - une dépendance qui, grâce à leur conduite frauduleuse, était presque certaine," a déclaré le procès.
Le Tennessee enregistre plus de prescriptions en opiacés par habitant que tous les États de la nation, à l'exception de la Virginie de l'Ouest, selon le News Sentinel. Le comté de Sullivan est considéré comme un épicentre, tant que ses organismes d'application de la loi ont crevé leurs propres émissions de télévision de réalité. Le comté de Shelby dans l'ouest du Tennessee envisage également de se joindre au procès.
RépondreSupprimerLe procureur général du Tennessee, Herbert Slatery III, a publié une déclaration mardi dans laquelle il a déclaré que son bureau enquête sur les options de l'État dans la poursuite de ses propres actions en justice.
"Notre objectif est d'identifier et de rendre responsable les parties responsables de cette épidémie d'opioïdes", a déclaré le communiqué.
Cette «taxe de fissure» - autrement connue sous le nom de loi sur la responsabilité des concessionnaires de drogue - a été adoptée en 2005 pour permettre une action civile contre les concessionnaires de drogue de rue, dont beaucoup foutaient.
Toutefois, étant donné que la police saisit généralement les bénéfices des concessionnaires de drogue condamnés en vertu de lois pénales et civiles de confiscation - et que la plupart des trafiquants se rendent en prison après avoir été arrêtés - il ne restait plus rien à demander devant un tribunal civil.
Mais contrairement aux concessionnaires de rue, les entreprises pharmaceutiques sont à la hauteur de l'argent comptant. Purdue a réalisé des ventes annuelles de près de 3 milliards de dollars, tandis que Mallinckrodt et Endo accumulent des milliards de dollars chaque année à partir des ventes de médicaments opiacés.
Beaucoup d'experts juridiques ont déclaré que le lot actuel de procès ressemble au règlement de 1998 entre les quatre plus grandes compagnies de tabac américaines - Philip Morris, RJ Reynolds, Brown & Williamson et Lorillard - et 46 procureurs généraux. Conformément à cet arrêt, les compagnies de tabac ont convenu de verser plus de 200 milliards de dollars jusqu'en 2025, les paiements devant être effectués à perpétuité.
Alors que les États ont sans doute besoin de ressources financières pour compenser les coûts de santé publique qu'ils sont obligés d'absorber en raison de l'épidémie, les sociétés pharmaceutiques ont au moins une stratégie pour défendre le blâme: si l'épreuve de l'épreuve l'a déjà menée, la défense Les avocats tenteront d'éliminer autant que possible le plus possible des médecins surprescrivés, comme un médecin âgé qui a été arrêté plus tôt ce mois-ci à New York et chargé de prescrire des millions de pilules.
http://www.zerohedge.com/news/2017-06-14/tennessee-counties-sue-opioid-makers-using-local-crack-tax-law
La montée des robots et le risque de passer
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
16 juin 2017 13h35
Auteur de Lance Roberts via RealInvestmentAdvice.com,
Dans le post de mardi, "A Shot Across The Bow", j'ai discuté de la récente "Tech Wreck" et du panneau d'avertissement qui a été livré lorsque les algorithmes de trading commencent à courir dans la même direction. En être témoin:
"Le plongeon a été extrêmement pointu mais a heureusement repris le calme et les actions ont rebondi. Un «crash flash».
Un jour, nous ne serons pas si chanceux. Mais le point que je veux souligner ici est que c'est un exemple du «vide de prix» qui peut se produire lorsque les ordinateurs perdent leur contrôle. Je ne peux insister assez sur ce point.
C'est la raison pour laquelle le prochain accident majeur sera pire que le dernier. "
Bien sûr, il n'est généralement pas longtemps après avoir publié des commentaires sur les dangers de l'embauche actuelle dans les ETF, que je reçois un peu de recul.
Tout d'abord, je ne suis pas un «courtier». Je suis un «conseiller en placement» qui fonctionne selon la «norme fiduciaire». Bien que nous facturions des frais inférieurs à la moyenne pour nos services, nous nous concentrons sur la préservation du capital et le portefeuille total Retourne pour atteindre les objectifs de planification financière à long terme de notre client. Notre client, et surtout ses économies durement gagnées, sont notre priorité. (Lire la suite dans "The Financial Manifesto".)
Deuxièmement, je trouve une uniformité constante de ceux qui ont été victimes du mantra "buy and hold" et "indexation passive" tels que:
Ils n'ont jamais traversé un marché baissier majeur.
Ont fait peu, le cas échéant, une analyse historique en ce qui concerne la dynamique du marché.
Sont généralement très agressivement exposés aux marchés, ce qui entraîne un besoin de «biais de confirmation».
Avoir peu ou pas de compréhension de l'impact de la perte en ce qui concerne les résultats à long terme.
Investissent généralement avec de très faibles sommes d'argent dans l'espoir de créer des richesses exponentielles.
Croyez dans la longue théorie déconsidérée des «rendements composés» sur les marchés.
Enfin, ces individus ne sont PAS des investisseurs «passifs». Ils sont simplement des «détenteurs passifs» alors que les marchés augmentent et deviendront des «vendeurs actifs» lors de la prochaine baisse significative.
Cependant, permettez-moi de préciser, je ne suis certainement pas contre l'utilisation d'ETF «indexés» pour gérer l'exposition aux marchés pour les personnes qui souhaitent avoir:
Coûts de négociation plus bas
Efficacité fiscale plus élevée
Moins de chiffre d'affaires
Volatilité plus faible
Accès aux classes d'actifs non couvertes par un portefeuille d'actions traditionnel
Mais avoir accès à ces avantages ne signifie PAS être inconscient du risque sous-jacent de propriété. L'entreprise que je gère de l'argent gère une stratégie tout-ETF, ainsi qu'un portefeuille mixte ETF / Equity, nous appliquons également des règles de placement très strictes pour la gestion du «risque» dans le portefeuille. En d'autres termes, toute la pratique respecte les règles principales de Warren Buffet concernant l'investissement:
RépondreSupprimerNe perdez pas d'argent
Se référer à la règle n ° 1.
Comme c'est toujours le cas, le temps consacré à la perte de capital est beaucoup plus préjudiciable aux résultats d'investissement à long terme que de simplement récupérer une opportunité manquée pour les gains.
Quel est le point de la publication d'aujourd'hui.
Soulèvement des machines
Bien que j'ai écrit souvent sur les dangers de l'ETF et de "Passive Investing" (voir ici et ici), mon ami Evelyn Cheng a souligné sa dernière confirmation.
"Les investissements quantitatifs basés sur des formules informatiques et le commerce par des machines quittent directement le sélecteur de stock traditionnel dans la poussière et dominent maintenant les marchés boursiers, selon un nouveau rapport de JPMorgan.
«Bien que les récits fondamentaux expliquant l'action de prix abondent, la majorité des investisseurs en actions ne vendent ni ne vendent des actions en se basant sur des fondamentaux spécifiques aux actions», a déclaré Marko Kolanovic, responsable mondial de la recherche quantitative et dérivée chez JPMorgan. .
Kolanovic estime que les «traders discrétionnaires fondamentaux» ne représentent que 10% environ du volume d'opérations dans les stocks. Les comptes d'investissement passifs et quantitatifs pour environ 60 pour cent, plus du double de la part il y a dix ans, a-t-il déclaré.
Comme discuté précédemment, tant que les algorithmes sont tous commercialisés dans une direction positive, il y a peu à s'inquiéter. Comme Evelyn l'a noté, il y a beaucoup d'argent dans ces métiers à l'échelle mondiale.
"Les dérivés, les flux de fonds quantitatifs, la politique de la banque centrale et les développements politiques ont contribué à une faible volatilité du marché", a déclaré Kolanovic. De plus, il a déclaré: «les grandes stratégies de données sont de plus en plus difficiles aux investissements fondamentaux traditionnels et seront un catalyseur des changements dans les années à venir».
Il existe deux autres problèmes qui sous-tendent la poursuite des ETF. Alors que les investisseurs ont poursuivi les retours sur le marché «ne peuvent pas perdre», ils ont également accumulé un levier afin d'augmenter leur rendement. Les soldes de trésorerie disponibles négatifs sont maintenant à leur plus haut niveau dans l'histoire du marché.
Le deuxième problème, qui sera grandement affecté par le problème de levier, est la liquidité des ETF eux-mêmes. Comme je l'ai déjà mentionné:
"Le chef du BOE Mark Carney lui-même a mis en garde contre le risque de« désordre désordonné des portefeuilles »en raison du manque de liquidité du marché.
RépondreSupprimerLes ajustements du marché à ce jour se sont produits sans stress significatif. Toutefois, le risque de renversement brutal et désordonné reste attribuable aux primes de risque de crédit et de liquidité compressées. En conséquence, les participants du marché doivent être conscients des risques de diminution de la liquidité du marché, des discontinuités des prix des actifs et de la contagion entre les marchés d'actifs.
Et puis il y avait, bien sûr, Howard Marks, qui a réfléchi dans sa note de liquidité:
«Les ETF sont devenus populaires parce qu'ils sont généralement considérés comme« meilleurs que les fonds communs de placement », en ce sens qu'ils sont échangés toute la journée. Ainsi, un investisseur ETF peut entrer ou sortir en tout temps pendant les heures de négociation. Mais les investisseurs dans les ETF se demandent-ils la source de leur liquidité ?
Ce dont Howard parle, c'est la «Théorie de la Grande Fool», qui supposent qu'il y a toujours un «plus gros imbécile» que vous sur le marché à vendre. Alors que la réponse est "oui", car il y a toujours un acheteur pour chaque vendeur, la question est toujours "à quel prix ?"
À un moment donné, ce processus de réversion prendra appui. C'est alors que la «psychologie» des investisseurs entre en collision avec la «dette de marge» et la liquidité des FNB. Comme je l'ai noté dans mon podcast avec Peak Prosperity:
"Ce sera l'équivalent de frapper un match, d'allumer un bâton de dynamite et de le jeter dans un pétrolier plein d'essence".
Lorsque les «algorithmes de négociation de robots» commencent à inverser, ce ne sera pas un processus lent et méthodique, mais plutôt une ruée avec peu de prix, d'évaluation ou de mesures fondamentales car la sortie deviendra très étroite.
Il est important de noter que, au fur et à mesure que les prix baisseront, cela déclenchera des appels de marge qui induiraient une vente plus aveugle. Le cycle de rachat forcé entraînera des écarts catastrophiques entre l'enchère actuelle et le prix de la demande pour les ETF. Comme les investisseurs sont forcés de déménager des positions pour répondre à des appels de marge, le manque d'acheteurs sera sous vide, ce qui entraînera des baisses rapides des prix qui laisseraient les investisseurs impuissants en marge en regardant des années d'appréciation du capital disparaître en quelques instants.
Si vous ne le croyez pas, allez voir ce qui s'est passé le 15 septembre 2008.
C'est arrivé alors.
Cela se reproduira.
Mais je l'ai compris. Les marchés semblent être dans un marché haussier «imparable». Cette fois-ci, "semble différent" avec les interventions en cours de la Banque centrale. En outre, avec des taux d'intérêt si bas, "il n'y a pas d'alternative" pour les investisseurs de mettre de l'argent.
Par conséquent, pourquoi ne pas licencier votre conseiller, acheter un indice à faible coût et monter sur le marché ? Parce que, des choses comme «Robo-advisors» et «ETF herding» sont symptomatiques d'une longue progression du marché haussier où la douleur des pertes antérieures a finalement été effacée.
RépondreSupprimerLes clients ne paient pas de frais pour chasser les marchés. Ils paient des honoraires pour employer une discipline d'investissement, des règles commerciales, des couvertures de portefeuille et des pratiques de gestion qui ont prouvé qu'ils réduisent la probabilité d'une déficience grave et irréparable de leurs économies durement gagnées.
Malheureusement, les règles sont vraiment difficiles à suivre. S'ils étaient faciles, alors tout le monde serait fort d'investir. Ce n'est pas parce que l'investissement sans discipline et une stratégie tend à avoir des conséquences horribles.
Quel est votre plan pour la deuxième moitié du cycle complet du marché.
http://www.zerohedge.com/news/2017-06-16/rise-robots-risk-passive
La Corée du Nord est assise sur un énorme trésor… Mais elle n’a pas les moyens de l’exploiter
RépondreSupprimerAudrey Duperron
16 juin 2017
La Corée du Nord est très riche en ressources naturelles, et notamment en minéraux, mais le pays n’a pas les moyens d’exploiter ces richesses, explique le magazine Quartz. Les mines génèrent 14 % du PIB du pays, mais elles demeurent très sous-exploitées.
Fer, or, magnésite, zinc, cuivre, molybdène, craie… ne sont que quelques uns de ces minéraux dont le pays regorge. En tout, il y en aurait près de 200 sortes, dont des métaux rares, qui entrent comme composants dans les appareils électroniques de haute technologie.
Selon deux évaluations de deux organisations sud-coréennes, la valeur totale de ces réserves serait comprise entre 6 000 milliards et 10 000 milliards de dollars.
Dans les années septante du siècle dernier, la Corée du Nord avait beaucoup misé sur l’exploitation minière, et la production s’était développée jusque dans les années nonante, avant de commencer à décliner. Le pays manque des équipements, de l’expertise et de l’infrastructure pour exploiter correctement ses mines. Selon un rapport de Lloyd R. Vasey, un conseiller du Center for Strategic and International Studies, les 700 mines du pays ne sont plus exploitées qu’à 30 % de leur capacité.
Le secteur des matières premières est également victime des sanctions internationales qui ont été émises pour réfréner les ambitions nucléaires du pays. Il n’est donc plus possible d’importer du matériel pour l’exploitation minière.
La Chine et la Russie
Les pays voisins comme la Russie et surtout la Chine sont les principaux clients pour les ressources minérales nord-coréennes. Les produits miniers ont représenté 54 % des exportations nord-coréennes vers la Chine au cours de la première moitié de 2016. Il y a deux ans, la Chine a importé 73 millions de dollars de minerai de fer, mais également plus de 1 milliard $ de charbon à la Corée du Nord.
Le charbon est particulièrement prisé de la Chine, car il a été vendu pendant des années en dessous de son cours mondial. Pour cette raison, il a représenté à lui seul près de 40 % du total des exportations nord-coréennes. Mais le charbon est de moins en moins demandé au plan international, et depuis le début de cette année, les Chinois ont commencé à réduire leurs commandes en Corée du Nord.
RépondreSupprimerEn 2012, l’empire du Milieu, qui convoite aussi les métaux rares nord-coréens, a réalisé d’importants investissements d’infrastructure à la frontière avec Corée du Nord, pour faciliter son approvisionnement en matières premières. La Russie a également envisagé d’investir en Corée du Nord, dans le fret ferroviaire cette fois-ci, en échange d’un accès aux ressources minières du pays.
Les sanctions… contournées
Les sanctions internationales imposées à la Corée du Nord comprennent un boycott de l’or, du vanadium, du titane et des métaux rares du pays. Mais des interceptions de navires montrent que le pays continue de vendre ces minéraux sous le manteau.
https://fr.express.live/2017/06/16/coree-du-nord-mineraux-sous-exploitation-mines/
Comme il en a été pour le Venezuela qui a les plus grandes réserves prouvées de pétrole au monde, la Corée du Nord devient intéressante !
SupprimerCe n'est que 1 % d'une véritable extinction massive
RépondreSupprimerPeter Brannen fait valoir qu'une véritable extinction de masse ne suffit pas d'effacer 1% des espèces, elle évite 90%.
June 17th, 2017
Il s'avère que les humains ne sont pas aussi mauvais qu'une couche de lave d'un kilomètre de profondeur couvrant une zone aussi grande que les États-Unis.
La terre n'est pas au milieu d'une sixième extinction de masse
Les humains ont changé l'ecosphère:
Donc, les choses ne semblent pas si bonnes, peu importe où nous regardons. Oui, les victimes dans le monde animal incluent des prédateurs apex effrayants qui posent des menaces évidentes pour les humains, comme les lions, dont le nombre est passé de 1 million à l'époque de Jésus à 450 000 dans les années 1940 à 20 000 aujourd'hui, soit une baisse de 98%. Mais ont également été victimes inattendues, comme les papillons, qui ont diminué de 35 pour cent depuis les années 1970.
Est-ce une mini extinction ?
... la seule raison pour laquelle nous savons que les extinctions massives est en premier lieu à partir du récit de ce monde incroyablement abondant, durable et diversifié d'invertébrés marins, pas les grands, charismatiques et rares comme les dinosaures.
Ainsi, vous pouvez demander: «D'accord, bien, combien de taxons marins géographiquement répandus, abondants et durablement squelettisés sont éteints jusqu'à présent ?» Et la réponse est, à peu près à zéro », a souligné Erwin. En fait, les groupes les mieux évalués d'animaux modernes, comme les coraux, les amphibiens, les oiseaux et les mammifères, quelque part entre 0 et 1 % des espèces disparaissent dans l'histoire humaine récente. En comparaison, le paysage de l'extinction massive du Perm-Permien a coûté plus de 90 % de toutes les espèces sur terre.
Lorsque les extinctions de masse frappent, elles ne sortent pas seulement d'une grande mégafaune charismatique, comme des éléphants, ou des écosystèmes de niche, comme les forêts nuageuses. Ils suppriment aussi des organismes solides et omniprésents, comme les palourdes, les plantes et les insectes. C'est incroyablement difficile à faire. Mais une fois que vous dépassez le bord et vous débrouillez en mode d'extinction massive, rien n'est sécurisé. Les extinctions massives tuent presque tout sur la planète.
- L'Atlantique
http://joannenova.com.au/2017/06/this-is-only-1-percent-of-a-real-mass-extinction/
Il n'y a PAS de perte d'équilibre lorsque des papillons disparaissent car, les papillons sont aussi des chenilles qui ravagent tout et les papillons des insectes qui en pondent.
SupprimerLe cas du prédateur peut être avancé lorsque l'on sait (par exemple) qu'une truite pond 500 000 œufs et dont environ la moitié seront des femelles qui - à leur tour - pondront 500 000 œufs ! etc, etc ! Où sont les truites ? Dans le ventres des prédateurs qui gobent tous les œufs.
Donc, si nous avons des parcs marins d'élevage de truites de mer ou de rivières, il y a de quoi nourrir rien que là 10 fois la planète. Idem avec les esturgeons (caviar) etc.
Faut donc faire un choix. Ou notre rôle est de sauvé les prédateurs ou notre rôle est de sauver les humains !