le 7 juin 2017
Le 29 mai 2017 s’est tenue une réunion très feutrée dans les salons de la Banque Mondiale à Washington réunissant des experts et des économistes de haut rang dont Nicholas Stern ancien économiste en chef de la Banque Mondiale et le lauréat du prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz. Le but de cette réunion était de décider avec quelle sauce de taxes vont être cuits les contribuables des pays solvables – entendez développés – afin de se conformer aux objectifs de l’accord mondial de Paris sur le climat. Mes fidèles lecteurs peuvent aller errer sur le document préparé par la Banque Mondial et le Fond Monétaire International à ce sujet (lien en fin de billet) où ils découvriront les scenarii totalement catastrophiques qui nous attendent tous si nous ne réagissons pas le plus rapidement possible.
Cette commission auto-qualifiée « de haut niveau » a déploré que l’Europe soit à la traine en consentant de substantiels discounts aux entreprises industrielles produisant beaucoup de carbone puisqu’elles doivent s’acquitter actuellement d’une taxe carbone d’à peine 6 euros par tonne (6,71 dollars). Que les pays dits pauvres ou en grandes difficultés financières soient pour l’instant exempts de taxe carbone est un fait mais les pays développés doivent tous s’acheminer d’ici 2020, c’est-à-dire dans moins de trois ans, à une taxe d’au moins 40 dollars par tonne de CO2 émis dans l’atmosphère et 80 dollars ce serait encore mieux pour aller dans la bonne direction d’un contrôle à moins de deux degrés d’augmentation des températures moyennes au sol, l’objectif de la COP21. Pour tous ces experts il est déplorable que les USA ne se plient pas à ces exigences, l’opinion publique, en dehors de la Californie, et les entreprises y étant fermement opposées, redoutant un accroissement massif du chômage dans un pays où déjà près de 100 millions de personnes sont sans emploi ou ne profitent que d’emplois précaires. Je rappelle à ce sujet que 40 millions d’Américains ne survivent que grâce aux aides alimentaires fédérales.
La Commission « de haut niveau » préconise une taxe carbone de 100 dollars par tonne d’ici 2030 au plus tard !
Je me suis donc amusé à calculer les répercussions d’une telle taxe sur les consommateurs y compris les automobilistes, car eux aussi paieront cette taxe incluse dans le prix des carburants comme c’est déjà le cas pour certaines compagnies aériennes comme AirFrance-KLM qui inclut une taxe carbone du kérosène dans le prix du billet d’avion. Une tonne de gaz naturel, soit l’équivalent en carbone de 5 barils de pétrole (approximativement et le calcul est plus simple) produit à la combustion 2,6 tonnes de CO2. Au jour d’aujourd’hui 5 barils de pétrole coûtent 250 dollars et permettent de récupérer 4,4 barils d’essence. Si une taxe carbone est instituée sur les carburants, dans l’hypothèse basse de 40 dollars par tonne, le prix des carburants se renchérira de 56 dollars par tonne produite, soit déjà plus que le prix actuel du marché de gros des produits raffinés ! Dans l’hypothèse haute préconisée par les experts d’une taxe de 100 dollars par tonne de carbone émis, ce prix se renchérira de 140 %. En d’autres termes le consommateur n’aura pas d’autre choix que de payer le litre d’essence 2 fois et demi plus cher. Toujours selon ces experts en la matière les compagnies d’électricité n’y échapperont pas et répercuteront les coûts sur le kW vendu en gros ou au détail car tout le monde sera concerné par le réchauffement du climat inéluctable si personne ne fait rien et continue à polluer allègrement. On comprend dès lors que le Président américain Donald Trump émette quelques doutes au sujet de ces élucubrations de financiers apatrides totalement déconnectés de la réalité quotidienne qui voyagent avec un passeport diplomatique le plus souvent en jets privés. Voilà très approximativement ce que nous réservent la Banque Mondiale et le FMI au sujet du climat … Nous allons tous être piégés et plumés comme des dindons !
Liens : https://leadership/report-of-the-highlevel-commission-on-carbon-prices/ en anglais et en français.
Spying on Trump, vous et moi
RépondreSupprimerJudge Andrew P. Napolitano
le 1 juin 2017
"Les décideurs de notre Constitution ... ont conféré, en ce qui concerne le gouvernement, le droit d'être laissé seul - le plus complet des droits et le droit le plus apprécié par les hommes civilisés". - Le juge Louis D. Brandeis, 1928
Après la fin de l'ère du Watergate et Jimmy Carter était à la Maison Blanche et le Comité de l'Église du Sénat avait tenté de saisir l'ampleur de la surveillance gouvernementale sans loi en Amérique pendant les années LBJ et Nixon, le Congrès a adopté la Loi sur la surveillance des renseignements étrangers. La FISA a déclaré qu'elle constituait la seule source de surveillance fédérale en Amérique à des fins de renseignement.
La FISA exigeait que toute surveillance du renseignement domestique soit autorisée par un tribunal nouvellement créé, le Tribunal de surveillance du renseignement étranger. Depuis 1978, le FISC s'est réuni en secret. Ses documents ne sont pas disponibles pour le public, à moins qu'il n'en décide autrement, et il n'entend que des avocats du ministère de la Justice et de l'Agence de la sécurité nationale. Il n'y a pas d'avocat ou de témoin pour contester le DOJ ou la NSA.
Nonobstant cette nouveauté constitutionnelle pratique, la NSA a rapidement été impatiente avec ses moniteurs et a commencé à fabriquer des arguments nouveaux qui n'ont rencontré aucune résistance. Ces arguments ont supprimé le genre de cause probable spécialisée sur les cibles de surveillance que la Constitution exige en faveur des mandats en fonction de la probabilité que quelqu'un dans un groupe donné puisse fournir des données de renseignement utiles à la sécurité nationale et parce que le FISC a acheté ces arguments, L'ensemble du groupe pourrait être espionné. La FISC a déchaîné la NSA pour espionner des dizaines de millions d'Américains.
Ce n'était toujours pas suffisant pour les espions de la nation. Ainsi, à partir de 2005, le président George W. Bush a permis à la NSA d'interpréter l'ordonnance du président Ronald Reagan 12333 afin de permettre tout l'espionnage à tous les États-Unis, tout le temps. La NSA et Bush ont pris la position que parce que le président est constitutionnellement le commandant en chef de l'armée et parce que la NSA est dans l'armée, le président et la NSA sont légalement indépendants de la FISA.
La NSA ne reconnaît pas cela, mais nous savons par les révélations d'Edward Snowden et par le témoignage d'un ancien haut fonctionnaire de la NSA qui a conçu de nombreux programmes de la NSA.
L'utilisation par les NSA des mandats délivrés par la FISC n'est qu'une des demi-douzaine d'outils que l'ANE utilise, mais c'est le seul outil que la NSA reconnaît publiquement. Les mandats délivrés par la FISC ne nomment pas une personne comme suspect; Ils nomment une catégorie. Par exemple, il pourrait s'agir de clients de Verizon, qui comprennent 115 millions de personnes. Il pourrait s'agir de téléphones et d'ordinateurs situés au 721-725 Fifth Ave. à New York; C'est Trump Tower. Ce pourrait être tous les appareils électroniques dans le code postal 10036; C'est le centre-ville de Manhattan.
Lorsque la NSA obtient un mandat FISA et capture une communication, les participants mentionnent souvent une tierce personne. La loi fédérale de «minimisation» exige que la NSA obtienne un mandat avant de surveiller cette tierce personne. La semaine dernière, nous avons appris que le mois dernier, le FISC a reproché à la NSA de ne pas minimiser en continuant de surveiller les tiers au sixième degré sans mandat.
RépondreSupprimerVoici un exemple de surveillance sans mandat au sixième degré. La NSA surveille A et B conformément à un mandat délivré par la FISC; A et B discutent C; La NSA, sans mandat, les surveillants C parlant à D; C mentionne E, et D mentionne F; La NSA surveille E et F sans mandat, etc. Cela continue de passer à six arrêts de la conversation A-and-B, même si cela est interdit par la loi fédérale. L'arrêt final, qui implique un grand nombre de personnes, a été prouvé qu'il n'y avait aucun lien avec le mandat délivré pour A et B, mais la NSA continue à espionner là-bas.
Mais cela ne s'arrête pas là. L'interprétation de Bush de l'OE 12333 est toujours suivie par la NSA. Sa logique: "Je suis le commandant en chef, et je ferai ce que je dois faire pour nous garder en sécurité, et la NSA peut faire ce que je permets" - permet une surveillance universelle en violation flagrante de la FISA et de la Constitution. Il a été utilisé pour justifier la surveillance de Donald Trump avant d'être inauguré. Il n'en reste pas moins.
La disponibilité de l'information acquise par cette espionnage massif constitue une grave menace pour la démocratie. Nous savons par les admissions de Susan Rice que les gens du gouvernement peuvent acquérir des données générées par le renseignement - des courriels, des messages texte, des enregistrements de conversations téléphoniques - et utilisent ces données à des fins politiques. Demandez simplement au lieutenant général Michael Flynn. Et nous savons, par des tragédies récentes à San Bernardino et à Orlando, même à Manchester, que la NSA souffre de surcharge d'information. Il a trop de données pour filtrer car il ne se concentre pas sur les méchants jusqu'à la fin des tragédies. Avant les tragédies, il n'a pas de focus.
La réprimande publique de la NSA par le FISC est extraordinaire, mais c'est aussi une farce. Le FISC appartient pratiquement à la NSA. Ce tribunal a accordé 99,9 pour cent des demandes faites par la NSA depuis la création du tribunal. Malgré toutes les révélations publiques, la FISC se penche vers l'espionnage NSA non autorisé par la FISC. Les juges de la FISC sont devenus des commis virtuels pour la NSA. Et le FISC est devenu une blague inconstitutionnelle.
Où tout cela nous laisse-t-il? Cela nous permet de reconnaître publiquement que nous sommes les personnes les plus espionnées de l'histoire du monde et que le président lui-même a été victime. Cet automne, la NSA demandera au Congrès de réautoriser certaines autorités d'espionnage qui expirent à la fin de l'année. Le Congrès doit savoir à quel point il est inconstitutionnel, intrusif et infructueux.
Peut-être que le Congrès rédigera des lois qui sont fidèles à la Constitution - et, dans l'affirmative, peut-être que les personnes habilitées par ces lois les suivront.
http://www.judgenap.com/post/spying-on-trump-you-and-me
Des idiots dangereux
RépondreSupprimerPar Paul Robinson
Le 17 mai 2017 -– Source Irussianality
À un moment donné, pendant la campagne présidentielle américaine de l’année dernière, le parti Démocrate a décidé qu’il jouerait la carte russe et accuserait Donald Trump d’être au mieux un idiot utile du Kremlin, au pire un agent russe. Les Démocrates ont ensuite transformé cette carte pour en faire quasiment la pièce maîtresse de leur campagne, répétant sans arrêt ces accusations. Je n’arrive pas à comprendre comment ils pouvaient penser que cette stratégie était la bonne, car elle ne fait que renforcer leur manque de lien avec les électeurs ordinaires américains, mais je suppose qu’après l’avoir répété si souvent ils ont fini par y croire.
Nous savons maintenant qu’après la défaite de Hillary Clinton, ses conseillers se sont réunis pour discuter de la façon de réagir à cette catastrophe électorale et qu’ils ont décidé que la meilleure option était de dire que c’était de la faute des Russes. Encore une fois, je n’arrive pas comprendre pourquoi, sauf peut-être que a) c’est devenu une question de foi, et b) cela leur a permis d’éviter d’avoir à examiner leurs propres faiblesses.
Depuis lors, le parti Démocrate mène une guerre sans fin contre le président Trump, en l’accusant, lui et ses proches, de relations prétendument douteuses avec la Russie. Des membres des services de sécurité et de renseignement sont complices et font fuiter à la presse toutes les informations pouvant aller dans ce sens afin de faire dérailler toute tentative de rapprochement entre les États-Unis et la Fédération de Russie. L’« État profond » (si vous croyez en une telle chose) y travaille dur.
Vous pourriez dire que « tous les coups sont permis, en amour comme à la guerre », et qu’il est tout à fait normal d’utiliser n’importe quelle arme pour attaquer vos adversaires politiques. Mais dans ce cas je pense que ces attaques sont non seulement, et ce depuis longtemps, complètement hors de toute réalité, et qu’elles font également preuve d’une irresponsabilité flagrante.
Prenez, par exemple, les dernières allégations disant que Trump divulgue des secrets aux Russes. Horrifiés par ce supposé abus de pouvoir, des officiers du renseignement anonymes ont divulgué ces secrets, avec l’aide du Washington Post, non seulement aux Russes, mais au MONDE ENTIER. Personnellement, cela ne me dérange par tant que cela; ma propre courte carrière dans le monde du renseignement m’a persuadé que c’est un monde beaucoup moins important que ne le pensent les gens. Néanmoins, il est extraordinairement hypocrite que les critiques de Trump se plaignent de violations du secret d’État tout en enfreignant ce secret à une échelle beaucoup plus grande. Les ennemis de Trump l’accusent d’être irresponsable, mais qui est vraiment irresponsable dans ce cas ?
Ensuite – et je vais oser rendre le fond de ma pensée très clair – je suis fermement d’avis que c’est positif si les États ont de bonnes relations les uns avec les autres. Et il est particulièrement important que les États puissants le fassent. Qu’est ce qui est le mieux ? Un monde dans lequel les grandes puissances sont en conflit les unes avec les autres ou un monde dans lequel elles s’accordent entre elles ? Évidemment, le deuxième choix. Ainsi, l’amélioration des relations américano-russes est une bonne idée. Lorsque Trump a déclaré cela pendant la campagne électorale, il avait tout à fait raison. Cependant, ses ennemis font le maximum pour obtenir le résultat inverse. Dans le but de saper leur président, ils font tout leur possible pour saboter les relations américano-russes. En d’autres termes, ils mettent en danger les intérêts de leur propre pays, et plus largement la sécurité du monde entier, car ils pensent que c’est un bon moyen pour obtenir un avantage politique national. Encore une fois, je pose la question : qui est irresponsable ici ?
RépondreSupprimerEnfin, en cherchant à détruire Trump de cette façon, ses adversaires menacent l’ordre interne de leur propre pays. Une autre explication pour l’obsession de la Russie serait que les « Jamais Trump » ne recherchent pas tant un avantage électoral qu’une forme de « coup d’état rampant » ou de révolution de palais. L’espoir n’est pas tant de nuire aux perspectives électorales de Trump pour 2020 que de le forcer à démissionner ou le faire destituer. Dans le fond, ils essaient d’invalider le processus électoral.
Ce qui rend cette histoire dangereuse, c’est que de nombreux partisans de Trump sont déjà convaincus que les élites qui gouvernent les États-Unis ne se soucient pas de leurs intérêts et ont manipulé le système pour les écraser. Maintenant qu’ils ont finalement élu leur dirigeant, ils ne vont pas trop aimer le voir destituer d’une telle manière. Si cette tactique devait réussir, cela mécontenterait une grande partie de la population encore plus fortement qu’elle ne l’est déjà, et pourrait même, dans les pires scénarios, avoir des conséquences violentes (les milices d’extrême-droite sont déjà responsables de beaucoup plus de violence aux États-Unis que tout autre type de groupe politique). Les Démocrates et leurs alliés dans les services de sécurité et de renseignement jouent avec le feu. Encore une fois, qui est irresponsable ici ?
Parlant à Sotchi aujourd’hui, Vladimir Poutine a bien résumé l’affaire :
« Ils déstabilisent la situation politique aux États-Unis en utilisant des slogans anti-russes. Soit ils ne comprennent pas les dommages qu’ils font à leur propre pays, auquel cas ils sont complètement idiots, ou ils les comprennent tout à fait, et ils sont alors tout simplement dangereux et sans scrupules. »
Quant à moi, je pense qu’ils sont les deux.
Paul Robinson
Traduit par Wayan, relu par nadine pour le Saker Francophone
http://lesakerfrancophone.fr/des-idiots-dangereux
Notons bien que par 'parti démocrate' il NE FAUT SURTOUT PAS ENTENDRE 'DÉMOCRATIE', because que (lorsqu'ils ont été au pouvoir, ils n'ont JAMAIS proposé d'instaurer la 1ère Démocratie aux États-Unis, ni que cette infirmité intellectuelle n'ait indisposé le 'parti républicain' qui est - comme son nom l'indique - encore très loin d'instaurer la Démocratie puisque le mot-même de République est un pseudonyme de monarchie(dans la colle !) !
SupprimerIci c'est donc comme en France où les partis dits d''opposition' ou dits de la 'majorité', n'ont RIEN A VOIR avec la majorité du peuple (abstentionnistes) qui ne veut ni de la 'droite' ou de la 'gauche', ni des extrêmes ou centre !
Les chercheurs suggèrent d'ajouter un doute sur les robots pour les empêcher de dépasser les limites
RépondreSupprimer7 juin 2017
par Bob Yirka
(Tech Xplore) - Une équipe de chercheurs de l'Université de Californie à Berkeley a trouvé des preuves qui suggèrent de rendre les robots moins sécurisés pour les rendre plus faciles à intégrer dans la société. Dans leur papier téléchargé sur le serveur de prépresse arXiv, le groupe explique leur théorie et les résultats d'une simulation qu'ils ont couru pour le tester.
Au fur et à mesure que l'intelligence artificielle et la technologie des robots s'améliorent, nous, les humains, nous allons faire face à certaines décisions - l'un, selon les auteurs, pourrait être combien de confiance en soi pour leur donner. Trop, et ils pourraient essayer d'annuler nos souhaits; Trop peu pourrait les rendre moins utiles.
Pour mieux comprendre le problème, les chercheurs ont créé un modèle mathématique destiné à représenter une interaction entre un robot et un humain avec des paramètres pour ajuster la confiance en soi. Dans une simulation, un robot avec un interrupteur intégré a été invité à effectuer une tâche souhaitée. À ce moment-là, un humain a eu l'option de permettre au robot de continuer ou de frapper son interrupteur. Mais le robot avait la capacité de remplacer son propre interrupteur, et donc les souhaits de l'homme. Les chercheurs ont constaté que les robots recevaient une bonne dose de confiance en soi, comme on pouvait s'y attendre, ont choisi d'annuler les souhaits de l'homme et de se remettre en marche. Lorsqu'il a donné un peu de confiance en soi, d'autre part, le robot est resté, même s'il s'est jugé faire un bon travail.
Dans le monde réel, les chercheurs offrent un exemple de ce que les humains nous connaissons déjà: le fil d'actualité sur Facebook. Ce qui a commencé comme un moyen d'offrir des nouvelles selon lesquelles un robot penserait être utile est devenu une nuisance majeure, car il offre plutôt un courant constant de fausses nouvelles. Cela aurait pu être évité, disent les chercheurs, si le robot avait moins de confiance.
D'autre part, les chercheurs notent, nous devons faire attention à ne pas vous enlever trop de confiance - un robot peut-être besoin d'outrepasser les souhaits d'un enfant, par exemple lorsqu'il est question d'arrêter ou de modifier les itinéraires. Une façon de donner aux robots la bonne quantité de confiance en soi, suggèrent-ils, pourrait être de leur donner plus d'informations pour travailler. Un exemple serait un robot qui ne produirait que du café le matin, car il a appris que c'est quand on veut le café.
Abstrait
RépondreSupprimerIl est clair que l'un des principaux outils que nous pouvons utiliser pour atténuer les risques potentiels d'un système d'IA mal comporté est la capacité de désactiver le système. Au fur et à mesure que les capacités des systèmes AI s'améliorent, il est important de veiller à ce que ces systèmes n'adopteront pas de sous-produits qui empêchent un humain de les éteindre. C'est un défi parce que de nombreuses formulations d'agents rationnels créent de fortes incitations à la préservation de soi. Ceci n'est pas causé par un instinct intégré, mais parce qu'un agent rationnel maximise l'utilité attendue et ne peut pas atteindre l'objectif qu'il a été donné s'il est mort. Notre objectif est d'étudier les incitations qu'un agent doit se permettre d'être désactivé. Nous analysons un jeu simple entre un humain H et un robot R, où H peut appuyer sur l'interrupteur R, mais R peut désactiver l'interrupteur. Un agent traditionnel prend sa fonction de récompense pour acquis: nous montrons que de tels agents sont incités à désactiver l'interrupteur, sauf dans le cas particulier où H est parfaitement rationnel. Notre point de vue clé est que pour que R veut conserver son interrupteur, il doit être incertain quant à l'utilité associée au résultat et traiter les actions de H comme observations importantes à propos de cette utilité. (R n'a pas non plus de motivation à s'interrompre dans ce cadre). Nous concluons que donner aux machines un niveau d'incertitude approprié sur leurs objectifs conduit à des conceptions plus sûres, et nous soutenons que ce paramètre est une généralisation utile du paradigme AI classique de la rationalité agents.
https://techxplore.com/news/2017-06-adding-self-doubt-robots-overstepping-bounds.html
Ainsi, demain, les calculettes électriques dont nous nous servons chaque jour, intègrerons un code sur le résultat: Par exemple 1 + 1 = 2 (env.) ou (a peu près) ou encore (pas trop loin de) !! car, avec les gros cons qui gouvernent, le scepticisme est désormais de rigueur. Le doute fera donc partie des résultats approximatifs comme des évaluations très 'tendances' ou 'tendancielles' voire approximatives pour (par exemple:) excuser les erreurs de diagnostics relevés dans les sondages.
SupprimerLe «GyroDrive» tchèque bat les voitures volantes pour une licence hybride
RépondreSupprimer7 juin 2017
par Jan Flemr Avec Laszlo Juhasz À Bratislava
Le pilote tchèque Pavel Brezina (L), propriétaire de la société Nirvana Autogyro, a réalisé un «GyroDrive» - un mini hélicoptère que vous pouvez conduire.
À mesure que les constructeurs automobiles mondiaux concourent pour mettre la première voiture volante sur le marché, le pilote tchèque Pavel Brezina essaie un point de repère différent: au lieu de créer une voiture qui vole, il a créé un «GyroDrive», un mini hélicoptère que vous pouvez conduire.
L'ingénieur et propriétaire de Nirvana Systems, une société produisant des moteurs pour de petites machines volantes, insiste sur le fait que son véhicule est le premier au monde autorisé à fonctionner à la fois sur les routes et dans les airs.
"C'est le seul véhicule routier certifié par route dont je connais", a déclaré Brezina à l'AFP dans un hangar de l'aéroport de Prerov-Bochor, dans l'est de la République tchèque.
"Tout le monde essaie de faire une voiture à grande vitesse qui peut voler, mais c'est une chose différente", a déclaré le grand, à lunette de 51 ans, qui a 30 ans d'expérience en tant que pilote sous sa ceinture.
Son véhicule GyroDrive est basé sur un gyroplane - un mini-hélicoptère - qui utilise un rotor de type copter pour se déplacer vers le haut et vers le bas, et une "hélice propulseur" d'avion pour aller de l'avant.
La société de Brezina achète des kits de gyroplane d'une entreprise allemande, puis les assemble et les équipe avec un système permettant au conducteur-pilote de basculer entre un moteur à essence propulsant les rotors et un moteur électrique qui entraîne les roues.
Le GyroDrive à deux places a une vitesse de conduite maximale de seulement 40 km / h (25 mi / h) et peut emmener son équipage de deux personnes sur des rouages courts vers une station-service ou un hôtel.
En Slovaquie, la société AeroMobil affirme qu'elle a reçu des dizaines d'ordres de clients pour des voitures volantes telles que celle-ci, qui devrait frapper le marché en 2020.
Il faut moins de 100 mètres (110 yars) pour décoller et atteint une vitesse maximale de 180 km / h dans l'air. Sa portée de vol est de 600 kilomètres.
Après l'atterrissage, le pilote doit seulement réparer les pales du rotor principal le long de l'axe du GyroDrive et retirer une plaque d'immatriculation intégrée pour la transformer en véhicule routier.
Les prix commencent à 1,5 million de couronnes (57 000 euros, 63 500 dollars), mais ils peuvent atteindre quatre millions de couronnes, selon les spécifications.
'Essais robustes'
RépondreSupprimerBien que Brezina envisage déjà de prendre sa femme - également pilote - et deux enfants à Londres à bord de GyroDrives, les inventeurs du monde entier travaillent frénétiquement sur des prototypes de voitures qui volent.
Le véhicule GyroDrive de Pavel Brezina est basé sur un gyroplane - un mini-hélicoptère - qui utilise un rotor de type copter pour monter et descendre,
Le véhicule GyroDrive de Pavel Brezina est basé sur un gyroplane - un mini-hélicoptère - qui utilise un rotor de type copter pour se déplacer vers le haut et vers le bas, et un "propulseur poussoir" d'avion pour aller de l'avant.
Dans la Slovaquie voisine, la société AeroMobil affirme qu'elle a reçu des dizaines d'ordres des clients pour une voiture volante qui devrait frapper le marché en 2020.
«Nous voulons construire un véhicule qui ne pourra pas seulement voler et conduire, mais aussi répondre à toutes les exigences techniques et légales», explique Juraj Vaculik, PDG d'AeroMobil, proposant «un programme de test robuste».
Il a déclaré à l'AFP qu'AeroMobil envisageait initialement de produire 500 unités de sa voiture à ailes, qui utilise une turbo-hélice pour descendre du sol.
L'AeroMobil devrait atteindre une vitesse de pointe du sol de 160 km / h et jusqu'à 360 km / h dans l'air, avec une portée de vol et de conduite de quelque 700 kilomètres.
À la mi-mai, la Toyota du Japon a également dévoilé des plans pour lancer une voiture volante à trois roues baptisée SkyDrive à l'aide d'ailes rétractables et de la technologie drone.
"Tout le monde essaie de faire une voiture à grande vitesse qui peut voler, mais c'est une chose différente", déclare Pavel Brezina (L), propriétaire de Nirvana Autogyro, qui a développé un mini hélicoptère que vous pouvez conduire.
Le véhicule devrait avoir une vitesse de vol supérieure à environ 100 km / h, en oscillant à environ 10 mètres du sol. Il aura une vitesse de pointe à environ 150 km / h.
Le lancement de la voiture volante de Silicon Valley, Kitty Hawk, soutenu par le cofondateur de Google Larry Page, a publié une vidéo en avril de son prototype aérien et a annoncé des projets pour les livraisons d'une «machine à voler personnel» cette année.
D'autres entreprises, y compris le service de partage de trajet Uber, ont également de grandes ambitions pour leurs prototypes de voitures volantes.
Pas pour tout le monde
RépondreSupprimerBrezina a obtenu les plaques d'immatriculation pour son GyroDrive en mars, trois ans après le démarrage du projet.
Pour son premier voyage, il a volé à environ 230 kilomètres à l'ouest dans un aéroport situé à la périphérie de Prague, puis a conduit la ville pour prendre une tasse de café dans la place centrale de la capitale tchèque, et a été arrêté par la police en route.
"Eh bien, si vous avez vu cette conduite à travers Prague, n'arrêteriez-vous pas ? Je voudrais," rire Brezina, en ajoutant que la police a simplement vérifié ses papiers et a fait un test d'alcool.
Brezina a déclaré à l'AFP qu'il avait déjà volé des gyrophares dans toute l'Europe et au-delà depuis sept ans avec un groupe d'amis.
"Je le comparerais à un groupe de motards, c'est en fait une moto 3D. Nous voyagons également dans d'autres continents où nous louons des gyroplans", a-t-il déclaré.
En ce qui concerne l'avenir, Brezina a dit qu'il doute que GyroDrive reprenne les routes et les voies aériennes.
Les inventeurs du monde entier travaillent frénétiquement sur des prototypes de voitures pouvant voler.
"Tout d'abord, il faut un certain nombre de qualités pour devenir un pilote de gyroplane, et deuxièmement, il ne s'agit pas seulement de pousser un bouton. Je pense qu'il se propagera, mais pas sur une échelle de masse".
Cofinancé par le gouvernement slovaque, AeroMobil ne sera pas la voiture volante de tous, en raison de son prix incroyable de 1,2 à 1,5 million d'euros (1,35-1,7 millions de dollars) par unité.
Il servira plutôt de «quelque sorte de service Uber volant», a déclaré M. Vaculik.
"Notre concept est que peu de gens seraient propriétaires de cette voiture volante, mais beaucoup pourront l'utiliser", a-t-il ajouté.
https://phys.org/news/2017-06-czech-gyrodrive-cars-hybrid-licence.html
El Nino et le réchauffement climatique se combinent pour provoquer une chaleur record en Asie du Sud-Est
RépondreSupprimer6 juin 2017
Les scientifiques de l'Institut de géophysique de l'Université du Texas (UTIG) ont constaté qu'une combinaison dévastatrice de réchauffement climatique et d'El Niño est responsable d'avoir causé des températures extrêmes en avril 2016 en Asie du Sud-Est.
La recherche, publiée le 6 juin dans la revue Nature Communications, montre que El Niño a déclenché la chaleur, provoquant environ la moitié du réchauffement, alors que le réchauffement climatique a causé un tiers et a élevé la chaleur dans des territoires records, selon l'analyse de l'équipe. El Niño est un modèle climatique qui a un impact sur le Pacifique tropical et qui porte généralement des températures plus chaudes en Asie du Sud-Est en avril.
En avril 2016, les températures élevées dans le sud-est de l'Asie continentale ont brisé tous les records précédents, aggravant la consommation d'énergie, perturbant la production végétale et causant de graves inconforts humains au Cambodge, en Thaïlande et dans d'autres pays de la région. Les températures particulièrement élevées de 2016 ont permis aux chercheurs d'étudier les facteurs qui sous-tendent cette extrême chaleur, y compris l'impact de l'El Niño record de 2015 et si le réchauffement climatique continu a joué un rôle important dans l'événement.
Les chercheurs ont utilisé des simulations de modèles informatiques conçues pour démêler les causes naturelles et humaines de la chaleur extrême. Ils ont également utilisé les observations des systèmes de surveillance des terres et des océans et ont constaté que le réchauffement à long terme a joué un rôle croissant dans la montée des températures d'avril en Asie du Sud-Est. Depuis 1980, cette tendance a provoqué un nouveau record de température en avril après un El Niño.
"Le système El Niño incarne le continent asiatique du Sud-Est pour les extrêmes, bien que le réchauffement à long terme exagère sans aucun doute ces chaudes fraches", a déclaré le collègue post-doctorant de l'UTIG, Kaustubh Thirumalai, qui a dirigé l'étude. UTIG est une unité de recherche de l'UT Austin Jackson School of Geosciences.
Les chercheurs ont utilisé des techniques statistiques pour quantifier les contributions d'El Niño et du réchauffement à long terme. Leur analyse a examiné les 15 températures les plus chaudes d'avril au cours des 80 dernières années. Tous se sont produits après 1980, et tous, sauf un, ont coïncidé avec El Niño. Ils ont constaté que bien que l'impact d'El Niño ait fluctué au cours des années, l'impact du réchauffement climatique a régulièrement augmenté avec le temps.
"Bien que près de 50 pour cent de l'événement d'avril 2016 soit dû à 2015-16 El Niño, au moins 30 pour cent de l'anomalie était due au réchauffement à long terme, et il y a certainement plus à venir dans le futur", a déclaré Thirumalai.
RépondreSupprimerEn ce qui concerne les prévisions modèles pour les 50 prochaines années, les chercheurs ont constaté que l'impact du changement climatique pourrait amplifier les effets de chaque El Niño, ce qui entraînerait une rupture plus rapide des enregistrements de température.
"En raison du réchauffement à long terme, même un phénomène plus faible de El Niño que l'événement 2015-16 au milieu du XXIe siècle pourrait causer des impacts plus importants", a déclaré le coauteur Pedro DiNezio, associé de recherche chez UTIG.
Malgré toutes les preuves indiquant une aggravation des extrêmes, les chercheurs ont souligné que la préparation pourrait permettre aux sociétés de cette région de faire face au changement climatique.
"La doublure en argent est que ceux-ci peuvent être prévus quelques mois à l'avance car ils se produisent après le sommet d'un El Niño", a déclaré Thirumalai.
https://phys.org/news/2017-06-el-nino-global-combine-record-breaking.html
Operation Temperer - U.K. Will Likely Institute Martial Law Measures Within A Year
RépondreSupprimerby Tyler Durden
Jun 8, 2017 12:30 AM
Authored by Brandon Smith via Alt-Market.com,
Après l'attentat-suicide de Manchester il y a seulement deux semaines, j'ai prévenu mes lecteurs que la répétition des attaques terroristes engendrerait une certaine complaisance au sein du public, en Europe de manière plus sévère. Il n'est pas rare maintenant que des attaques tuant des dizaines soient oubliées dans une semaine de l'événement. Les flux de nouvelles sont inondés de distraction, et bien sûr, parfois, ces événements eux-mêmes agissent comme des distractions.
Dans un nouveau bulletin d'information de "Morning Joe" de MSNBC, l'ancre de Katy Kay a déclaré:
"L'Europe s'habitue à des attaques comme celle-ci, Mika. Ils doivent, parce que nous ne pourrons jamais effacer complètement ça ... "
Pour moi, cette attitude est plutôt indicative de la mentalité européenne de la culture de la victime. Beaucoup en Europe (pas tous, mais beaucoup) semblent profiter d'une routine régulière d'auto-flagellation. D'innombrables siècles du système des sœurs féodaux le feront à une société. Les Britanniques continuent de payer des impôts pour maintenir une famille royale, après tout. Je pense également que les résultats du vote de Brexit au Royaume-Uni pourraient induire ceux d'entre nous en Amérique à penser que les Britanniques renversent une nouvelle feuille en termes de liberté et de valeurs conservatrices. Bien que je pense qu'il existe une volonté féroce de protéger la souveraineté de la nation britannique, l'individu britannique a presque tous abandonné tout espoir de leur propre souveraineté personnelle et de leur auto-détermination.
En Europe continentale, le citoyen naturel né à l'auto-dévouement est devenu un atout majeur et a été pleinement exploité par l'établissement globaliste. En particulier, la grande peur des Européens à prédominance libérale est un retour à la ferveur nationaliste qu'ils croient engendrer la montée du nazisme et du Troisième Reich (j'ai écrit de nombreux articles décrivant l'implication de l'élite corporative et bancaire dans le financement et la fourniture de technologies essentielles Aux nazis avant et pendant la Seconde Guerre mondiale). C'est cette «culpabilité» d'association avec l'héritage nazi qui a laissé l'Europe vulnérable à la manipulation de l'autre extrémité du spectre politique - la fin socialiste / marxiste.
C'est aussi cette mentalité qui a permis aux mondialistes d'injecter avec force des millions d'immigrants musulmans à travers des politiques ouvertes des frontières et des politiques de réfugiés dans les pays de l'UE sans procédures de vérification appropriées. La majorité des Européens qui considèrent la politique comme irrationnelle et dangereuse ont peur de dire quelque chose de peur qu'ils soient qualifiés de "fascistes".
La plus grande menace n'est pas seulement le conditionnement de la population à accepter l'invasion culturelle sans assimilation. La plus grande menace n'est pas la pacification de la population face à des attaques terroristes prolifiques. Non, la menace majeur est ce qui va inévitablement venir ensuite - l'apathie d'une nation dans le sillage de la loi martiale progressive et de la mort de la liberté personnelle.
La semaine dernière, une équipe de trois hommes musulmans a frappé les piétons avec une fourgonnette blanche, puis a émergé brandissant des couteaux de chasse dans une avancée vers une place nocturne bondée de Londres. Il s'agit d'une seule attaque dans un flux régulier qui a eu de l'Europe depuis que le programme Cloward-Piven de déménagement musulman a permis à des millions de "réfugiés" d'entrer dans les frontières de l'UE. Le groupe de terrorisme vaporisé d'ISIS a depuis revendiqué sa responsabilité.
RépondreSupprimerEn réponse, la Premier ministre Theresa May a déclaré "c'est assez, çà suffit" et a réclamé un examen de la stratégie antiterroriste du Royaume-Uni. La police de Londres a été invitée à s'adapter à de nouvelles conditions tactiques, à patrouiller des rues fortement armées et à utiliser des hélicoptères de surveillance à l'aide d'unités de forces spéciales.
NOTE - Après avoir terminé cet article dimanche, je trouve cette citation de Theresa May mardi:
"Nous devrions faire encore plus pour restreindre la liberté et les mouvements de suspects terroristes lorsque nous avons suffisamment de preuves pour savoir qu'ils représentent une menace, mais pas assez de preuves pour les poursuivre en pleine justice".
"Et si les lois sur les droits de l'homme empêchent ces choses, nous modifierons ces lois pour nous assurer que nous pouvons les faire ..."
Le déploiement de plus de 5000 troupes britanniques à des endroits stratégiques par Theresa May fait partie d'un plan établi en 2015 intitulé «Opération Temperer». Le plan prévoit le déploiement de troupes dans la frontière britannique en réponse à des «menaces terroristes majeures». Essentiellement, c'est un programme de loi martiale qui agit progressivement, plutôt que de façon ouverte. Une fois mis en œuvre, Temperer serait difficile à inverser. Comme les chefs militaires du Royaume-Uni ont mis en garde lorsque l'opération a été publiquement exposée, les troupes ne seraient probablement pas retirées après un engagement, à moins que la menace terroriste ne soit «réduite», ce qui laisserait la définition du «niveau de menace» ouverte pour une interprétation assez large.
L'opération Temperer est maintenant en plein essor alors que les services de police demandent une aide militaire. Le Premier ministre a obligé, remplaçant des officiers dans de nombreux endroits avec des unités militaires en patrouille. Alors, cette «loi martiale»? Peut-être pas tout à fait, mais il est très proche de la ligne, et c'est ainsi que la tyrannie est communément implémentée; Pas tout à la fois, mais un tremplin à la fois.
Tout d'abord, je voudrais souligner que May a introduit les mesures de Temperer après le bombardement de Manchester, et ils ne semblent pas avoir fait beaucoup pour perturber la dernière attaque à Londres. Deuxièmement, je voudrais également souligner que les élections générales du Royaume-Uni pour le Parlement ne sont qu'un aujourd'hui, et il est fort probable que les dernières attaques solidifieront Theresa May et sa base Brexit.
Le moment est plutôt intéressant ...
RépondreSupprimerBeaucoup dans le mouvement de la liberté diront que c'est une bonne chose; Que les Britanniques pourront finalement inverser l'invasion culturelle forcée d'une masse musulmane incompatible. Je dirais que tout cela fait partie du plan.
Comme je l'ai soutenu depuis avant le vote de Brexit l'année dernière, nous assistons peut-être au plus grand 4ème psy-op de l'histoire. Les mondialistes ont délibérément conçu des conditions dans lesquelles les nations européennes en particulier seront enveloppées par une idéologie étrangère sans protection de leurs propres gouvernements, ou elles devront répondre avec des contre-mesures globales. En d'autres termes, les Européens ont eu un faux choix entre le culte idéologique du multiculturalisme ou les conditions de la loi martiale.
À mon avis, le Royaume-Uni a été prévu pour cette dernière mesure, et cela a du bon sens si vous comprenez le plan de jeu des mondialistes.
Brexit et, par extension, la montée de Donald Trump aux États-Unis a été PERMISE de se produire. Malgré les délires de certains dans le mouvement de la liberté, le soi-disant «état profond» est parfaitement positionné pour profiter des deux événements. Ils ne s'y opposent pas du tout. Pourquoi ? Parce qu'il s'agit de détruire le nom du nationalisme souverain et des principes conservateurs. Il s'agit du jeu long.
Le Royaume-Uni semble être le premier dans l'alignement. Les attaques terroristes augmentent, May a déjà lancé l'opération Temperer, et les attaques se sont poursuivies de toute façon. La solution qu'ils présenteront sera plus de militarisation, pas moins. C'est ma prédiction qu'après une année d'accroissement progressif et d'attaques continuelles, l'ensemble du Royaume-Uni sera au milieu de ce que beaucoup de gens définiront comme loi martiale à spectre complet. Le gouvernement britannique pourrait ne pas l'appeler ouvertement, mais c'est ce qu'il sera.
Bien que je trouve personnellement que les sociétés basées sur les musulmans soient odieuses dans leur attitude envers la liberté individuelle, je vois une tendance inquiétante se développer de l'autre côté de la médaille. Les pays occidentaux comme le Royaume-Uni et les États-Unis ont tout le droit de défendre leurs frontières, de nier l'immigration de n'importe QUELLE-CI, pour quelque raison que ce soit, et d'expulser les immigrants illégaux et les immigrants avec des liens probables avec les groupes terroristes. Cependant, la ligne qui ne doit pas être traversée, mais probablement celle-ci sera franchie, c'est la persécution ou la déportation de personnes simplement pour avoir des vues idéologiques particulières.
Même si la majorité des citoyens ne soutiennent pas nécessairement une large réponse à toutes les personnes qui considèrent les opinions musulmanes comme des terroristes potentiels, la tentation sera écrasante, et nos gouvernements respectifs l'obligeront. Une fois que nous entrons dans le monde du crime de la pensée, il n'y a pas de retour en arrière.
RépondreSupprimerEt ce que cela fait, c'est de peindre les mouvements conservateurs / nationalistes comme monstrueux aux yeux des générations futures. On leur apprend que les globalistes «ont averti le monde» au sujet des dangereux populistes «racistes» et des groupes d'alt-droite, et regardent ce qui s'est passé quand ils sont arrivés au pouvoir; Ils ont vaporisé l'économie (voir mes articles précédents sur le récit Trump bouc émissaire) et ont rassemblé des innocents à cause de leur système de croyance, même s'ils n'ont commis aucun délit spécifique. Ma crainte est que ce qui se passe ici, c'est que les mouvements conservateurs vont être conduits à une telle folie au nom de la sécurité que nous allons réellement faire en sorte que les globalistes ressemblent à des «bons» par comparaison.
Alors, quelle est la solution ? Eh bien, regardez les choix offerts aux Britanniques: acceptez la sublimation multiculturelle sans poser de questions, ou entreprenez un contrôle militaire complet et sacrifiez la liberté personnelle. N'y a-t-il pas d'autres options disponibles ?
Qu'en est-il de ceci: la citoyenneté du Royaume-Uni DEMANDE le retour de leur droit à l'autodéfense et la légalisation de la possession d'armes à feu pour ceux qui ne sont pas criminels ? La vraie solution est que les citoyens britanniques commencent à fournir leur propre sécurité, à ne pas transférer leur pays à la militarisation parce qu'ils sont tous désarmés et effrayés.
Cela se produira-t-il ? Je le doute sérieusement. Mais, je tiens à souligner qu'il existe clairement un autre chemin bien supérieur à celui offert.
Encore une fois, je crois que le Royaume-Uni sera sous la loi martiale dans un an. À moins que les gens du Royaume-Uni ne font quelque chose maintenant pour affirmer leur droit de déterminer leur propre sécurité, ils entreront dans un cadre totalitaire total. Et, à long terme, ils n'aident que les très globalistes dans lesquels le mouvement Brexit cherchait en particulier à se battre. Ils feront cela en piétinant l'image du nationalisme et de la souveraineté avec la philosophie de la sécurité externalisée et de la dépendance gouvernementale, ce qui fait que le globalisme, l'antithèse proposée, semble agréable et tolérable en rétrospective.
http://www.zerohedge.com/news/2017-06-07/operation-temperer-uk-will-likely-institute-martial-law-measures-within-year
(...) Les Britanniques continuent de payer des impôts pour maintenir une famille royale, après tout. Je pense également que les résultats du vote de Brexit au Royaume-Uni pourraient induire ceux d'entre nous en Amérique à penser que les Britanniques renversent une nouvelle feuille en termes de liberté et de valeurs conservatrices. Bien que je pense qu'il existe une volonté féroce de protéger la souveraineté de la nation britannique, l'individu britannique a presque tous abandonné tout espoir de leur propre souveraineté personnelle et de leur auto-détermination. (...)
SupprimerComme ailleurs (sauf en Suisse) PERSONNE au monde n'aspire à la démocratie car... ils croient qu'elle existe chez eux !!!
Aussi con que les téléspectateurs du 11 Septembre 2001 qui voyaient des avions rentrer à toute vitesse dans les tours du WTC sans comprendre que le choc contre le bâtiment aurait dû ralentir/EMPÊCHER les avions de pénétrer ! ILS REFUSENT DE CROIRE QUE C'ÉTAIT DES HOLOGRAMMES !
Suffit pourtant de voir et revoir des centaines de vidéo sur youtube pour voir que c'était des hologrammes !
La nouvelle ruée vers l'or ... pour les coffres-forts d'or
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
7 juin 2017 11:55 PM
Les taux d'intérêt négatifs et le soulèvement populiste qui ont poussé le Royaume-Uni à voter pour Brexit et les Américains pour élire Trump ont aidé à réinitier une précipitation vers des actifs physiques sûrs comme l'or et l'argent, ce qui a entraîné une pénurie de lieux sûrs où stocker les précieux Les métaux (contrairement à la bitcoine, l'or a effectivement une dimension physique). Et maintenant, les entreprises qui exploitent des installations de stockage de métaux précieux et d'autres objets de valeur augmentent leur capacité à contribuer à l'augmentation de la demande d'installations de stockage.
Deux entreprises ont déclaré à Bloomberg qu'ils envisagent d'ouvrir des voûtes en Europe capables de détenir plus de 100 millions d'euros (112 millions de dollars) en or, offrant aux clients des coûts plus bas que les produits négociés en bourse et la protection contre la hausse des prix.
Comme nous l'avons signalé l'année dernière, la demande de coffres-forts et autres espaces de stockage sécurisés parmi les acheteurs suisses, allemands et japonais a augmenté lorsque l'un après l'autre central a adopté des taux d'intérêt négatifs. Beaucoup d'investisseurs plus âgés, inquiets de leurs dépôts pourraient bientôt être taxés, ont opté pour accumuler de l'argent sous le matelas - exactement ce que les banquiers centraux comme Kuroda espéraient ne se produirait pas.
"J'avais affaire à un client ici en Allemagne qui a reçu des taux d'intérêt négatifs sur son compte bancaire", a déclaré Daniel Marburger, CEO de CoinInvest.com, par courrier électronique de Francfort. Le client a décidé d'acheter de l'or et de l'argent avec une partie de son argent.
"C'est certainement un facteur moteur et entraînera plus de ventes et plus de clients de stockage".
En plus de la déflation, les investisseurs s'inquiètent également, vous l'avez deviné, une inflation en fuite, ce qui réduirait la valeur des portefeuilles à revenu fixe.
"L'inflation est une préoccupation majeure pour beaucoup de nos clients", a déclaré Ross Norman, directeur général du marchand d'outillage Sharps Pixley Ltd., qui exploite une voûte en or à distance de marche du palais de Buckingham. "Un atout sûr n'est pas seulement ce que vous achetez, mais c'est aussi l'endroit où vous le conservez."
Un tel courtier en or européen, CoinInvest, négocie la construction d'une voûte de 100 mètres carrés (1 076 pieds carrés) qui détiendrait plus de 100 millions d'euros de métaux précieux. Le coffre-fort pesera 82 tonnes métriques, la porte seule faisant basculer les écailles à 1,5 tonne. Les utilisateurs de la plus grande plate-forme en ligne pour le commerce de l'or physique, BullionVault.com, ont ajouté environ 3 tonnes de métal dans les 12 mois jusqu'au mois de mai, ce qui porte leurs avoirs combinés à près de 38 tonnes, d'une valeur de 1,5 milliard de dollars aux prix courants. La société détient l'or dans des voûtes à Zurich, Londres, New York, Singapour et Toronto, a déclaré Paul Tustain, l'un des fondateurs de l'entreprise, a déclaré Bloomberg.
Pendant ce temps, l'or en entrepôt à la Banque d'Angleterre qui exploite l'une des plus grandes voûtes commerciales, a grimpé d'environ 6% depuis le début de 2016 à 5 067 tonnes en février. La banque centrale détient de l'or pour le Trésor du Royaume-Uni, d'autres banques centrales et des entreprises privées. Une société qui cherche à capitaliser sur ce boom est INTL FCStone, qui a lancé une plate-forme permettant aux investisseurs avec de l'or dans des volets de négocier entre eux, à savoir un service de troc d'or. Depuis le début de février, il a relié 1 500 sites avec plus d'une centaine de clients actifs sur le marché professionnel de l'or de 170 milliards de dollars. Plus de 10 tonnes d'or ont échangé.
RépondreSupprimer«J'ai été sur le marché de l'or 30 ans et soudain, j'ai demandé aux gens d'être sur la plate-forme dont je n'ai jamais entendu parler», a déclaré Barry Canham, qui dirige la division des métaux précieux de l'entreprise, dans une interview de Londres.
"Ils sortent de la menuiserie".
http://www.zerohedge.com/news/2017-06-07/new-gold-rush-vaults
Trader cherche pigeons ! HAHAHAHAHA !
SupprimerApportez votre or chez moi... il sera en sécurité ! Hahahaha !
IL N'Y A JAMAIS EU UN 'MARCHÉ' DE L'OR !
5 tendances qui détruit la classe moyenne en Amérique
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
7 juin 2017 16h25
Édité par Michael Snyder via le blog The American Dream,
La classe moyenne en Amérique a diminué depuis des décennies, et nos dirigeants semblent impuissants à faire quelque chose à ce sujet. Il y a deux ans, la classe moyenne est devenue une minorité dans ce pays pour la première fois. En d'autres termes, la classe moyenne représente maintenant moins de 50% de la population. Mais au début des années 1970, la classe moyenne représentait plus de 60% de la population. J'ai souvent comparé l'être dans la classe moyenne à jouer à un jeu vraiment bizarre de chaises musicales. Lorsque la musique cesse de jouer chaque mois, plus de chaises sont retirées de la classe moyenne, et la plupart d'entre nous espèrent simplement que nous aurons encore une chaise pour le prochain tour.
Plus tôt aujourd'hui, j'ai rencontré un article de USA Today qui a discuté de certains facteurs qui, lentement mais sûrement, éviscèrent la classe moyenne. Je vais partager quatre de ces facteurs avec vous, et à la fin, je vais ajouter un extra.
Tout d'abord, l'article a souligné une baisse de la fabrication et l'augmentation des «emplois de service» comme l'une des principales tendances qui modifie la nature du travail en Amérique ...
«Une fois que les industries dominantes, comme la fabrication - qui a bien payé même sans diplôme universitaire - ont été dépassées par les emplois du secteur des services, dont la plupart sont peu rémunérés, selon le Bureau of Labor Statistics.
Dans le passé, même si vous n'aviez pas d'enseignement supérieur, vous pourriez soutenir une famille de classe moyenne en travaillant dans la fabrication. Nous étions la plus grande société manufacturière que le monde ait jamais vue, et Detroit a eu le revenu per capita le plus élevé dans tout le pays. Mais après des décennies d'envoi d'emplois manufacturiers à l'étranger, la part de fabrication de l'économie des États-Unis est à l'heure actuelle faible et les anciennes villes manufacturières telles que Detroit sont devenues pourries, en décomposition.
Deuxièmement, l'article de USA Today a souligné le coût croissant d'une éducation collégiale ...
«Le coût d'obtenir un diplôme d'études collégiales est supérieur à 1 000 % depuis 1978, selon Bloomberg».
C'est un animal de compagnie particulier, parce que je paye toujours mes anciens crédits scolaires. Nous encourageons nos étudiants à obtenir autant d'éducation que possible et à ne pas s'inquiéter de toute la dette, mais des millions d'entre eux se trouvent financièrement paralysés et sans bons emplois une fois qu'ils sont diplômés. Cela rend extrêmement difficile pour beaucoup de nos jeunes d'entrer dans la classe moyenne.
Troisièmement, l'article USA Today a soulevé des salaires stagnants et la hausse du coût de la vie ...
«Des décennies de salaires stagnants signifient que les deux parents doivent souvent travailler pour joindre les deux bouts, ce qui crée un besoin de garde d'enfants et de soins aux aînés qui n'existaient pas en 1950, par exemple lorsque les deux tiers des femmes étaient des" femmes au foyer "à temps plein Soignants, selon le Bureau of Labor Statistics. '
Il était une fois, un seul revenu pourrait facilement fournir une grande famille de classe moyenne en Amérique. Mais aujourd'hui, tant de familles ont les deux parents à travailler, et pourtant beaucoup d'entre elles trouvent encore très difficile de payer les factures chaque mois. En fait, les enquêtes ont révélé que quelque soit environ les deux tiers de l'ensemble du pays est le salaire payé au chèque de paie.
Quatrièmement, l'article USA Today a mentionné "l'économie gig" comme un problème majeur ...
RépondreSupprimer«Le gig economy (Uber, Airbnb) a explosé, offrant aux travailleurs plus de contrôle et de flexibilité, mais moins d'avantages ou de protections légales».
Le travail indépendant et le travail contractuel sont devenus des tendances sociétales majeures, et cela ne disparaît pas bientôt. Ces types d'emplois ne sont généralement pas accompagnés d'une assurance maladie, de prestations de retraite, etc. et c'est quelque chose dont notre pays va devoir lutter.
Cinquièmement, j'aimerais lancer le déclin des petites entreprises et de l'entrepreneuriat en Amérique. Travailler pour vous-même ou commencer une entreprise a toujours été la façon de vous soulever dans la classe moyenne dans ce pays, mais aujourd'hui, il est plus difficile que jamais à devenir indépendant. Le gouvernement tue absolument les petites entreprises et les entrepreneurs avec des règles, des règlements, des formalités administratives et des impôts élevés, et un petit soulagement semble venir prochainement.
À ce stade, le pourcentage d'Américains qui travaillent à eux seuls se situent près du record record de tous les temps, et si nous espérons avoir une classe moyenne prospère, nous devons régler ce problème.
Nous devons également former nos jeunes pour les emplois du 21ème siècle. À un moment donné, nous avons eu l'un des meilleurs systèmes d'éducation sur toute la planète, mais aujourd'hui, notre système d'éducation publique est devenu une blague mondiale.
Et je n'exagère pas un peu quand je dis cela.
Pour vous donner une idée de la faiblesse de la qualité de nos effectifs, je souhaite partager avec vous quelque chose que le propriétaire d'une petite entreprise de fabrication a publié dans un forum de discussion sur Internet ...
Je possède une petite entreprise de fabrication. La plupart des travaux d'assemblage se font sur un banc, avec des outils à main. Le travail n'est pas difficile, mais la qualité et la cohérence sont primordiales.
Nous entrons dans notre période d'activité la plus animée, et une croissance constante combinée à la perte d'une de nos techniciens supérieurs de banc m'a amené à publier des publicités (après avoir diffusé le mot à vos amis et associés).
Je suis impliqué dans l'industrie manufacturière depuis environ 30 ans et j'ai vu des milliers de CV.
Les deux dernières semaines, j'ai examiné une douzaine de souvenirs par jour. Ce que je vois maintenant, c'est étonnant et décevant. Quand les gens ont-ils cessé d'apprendre à composer une phrase ? Quand ont-ils décidé qu'un résumé composé de deux phrases est en quelque sorte complet ? Le mauvais niveau d'orthographe, de grammaire et d'effort franche m'a fait perplexe et perpétuellement face-palming.
Jusqu'à présent, j'ai deux CV qui n'ont pas été immédiatement archivés. Seulement deux.
RépondreSupprimerSi c'est l'état actuel de notre force de travail potentielle, nous sommes en difficulté.
Cela a vraiment marqué avec moi, parce que j'ai beaucoup entendu parler de tant de propriétaires d'entreprises au fil des années.
Des décennies de suivi de l'«agenda progressif», et je parle à la fois des démocrates et des républicains, ont été absolument désastreuses pour notre société.
Nous avons désespérément besoin d'une révolution culturelle complète et totale, et cela signifie revenir aux valeurs et aux principes sur lesquels cette nation a été fondée.
Si nous continuons sur le même chemin que nous sommes actuellement, la classe moyenne continuera de se détériorer et notre nation dans son ensemble continuera de diminuer.
Nous pouvons faire mieux, et nous devons faire mieux.
http://www.zerohedge.com/news/2017-06-07/5-trends-are-destroying-middle-class-america
Supprimer(...) Il était une fois, un seul revenu pourrait facilement fournir une grande famille de classe moyenne en Amérique. Mais aujourd'hui, tant de familles ont les deux parents à travailler, et pourtant beaucoup d'entre elles trouvent encore très difficile de payer les factures chaque mois. (...)
Plutôt bizarre que de constater l'état de chose ! Alors qu'aujourd'hui il y a les machines, les ordinateurs, l'on devrait donc moins travailler et gagner plus, or, dans ce qui a changé (et trompe certains citoyens) est qu'il ne faut PAS confondre la hausse des salaires et le pouvoir d'achat !
C'est le pouvoir d'achat qui n'y est plus ! Trop de taxes, d'impôts, d'eau gratuite à payer, d'air à payer !!
Qu'allons-nous laisser à nos enfants ? (pour celles & ceux qui en ont): Des dettes ! Une montagne de (FAUSSES) dettes et de VRAI ESCLAVAGE !
SupprimerEnvironnement: la filière agroalimentaire se cherche une dynamique commune
RépondreSupprimerJUSTINE BABIN
Le 29/05 à 11:39
Afin de limiter son impact sur l’environnement, la filière agroalimentaire, de l’agriculture aux distributeurs, teste de nouveaux modèles.
Gaz à effet de serre, érosion des sols, réduction de la biodiversité... La phase de production des matières premières agricoles concentre l'essentiel de l'impact environnemental de la filière agroalimentaire. Du champ au consommateur, des initiatives fleurissent pour réduire cette empreinte écologique mais sont freinées par un manque de synergies.
Parmi ces initiatives, un ensemble de pratiques agricoles, souvent rassemblées sous le terme d'« agroécologie », a vu le jour depuis la fin du XXe siècle en marge du système d'exploitation conventionnel, remettant notamment en cause la tendance à la monoculture et à l'utilisation intensive d'intrants chimiques. « L'agroécologie a pour double objectif de désartificialiser le milieu tout en laissant s'exprimer le fonctionnement naturel des écosystèmes », explique Jean-Roger Estrade, professeur d'agronomie à l'Inra.
Des défis techniques et culturels
Ces nouvelles méthodes ne concernent cependant aujourd'hui que 20 % des exploitations françaises. En effet, les agriculteurs tentés de les adopter sont notamment confrontés à un manque de références techniques. « C'est une agriculture innovante. Il faut expérimenter et accepter de se lancer avec plus d'incertitudes », reconnaît Fabien Labrunie, président de l'association Base (Biodiversité, agriculture, sol et environnement), qui regroupe aujourd'hui un réseau de près de 1.200 exploitants convertis à l'« agriculture de conservation » et désireux de mettre en commun leurs apprentissages.
AGRICULTURE DE CONSERVATION, QUÉSAKO ?
L'agriculture de conservation est un système de production agroécologique qui s'inspire de la nature, en plaçant le sol au coeur du système. Elle vise à protéger et augmenter la fertilité du sol par une réduction voire un abandon du travail de la terre, la pratique du semis direct, la mise en place d'un couvert végétal sur les parcelles et une utilisation raisonnée d'intrants chimiques.
Le blocage n'est d'ailleurs pas seulement matériel, il est aussi culturel. « Reconnaître avoir décidé de faire pousser du colza sans travailler la terre n'est pas une chose évidente pour un agriculteur... Le système français repose sur ce principe », ajoute Benoît Lavier, président de l'Apad (Association pour la promotion d'une agriculture durable), autre association de promotion de l'agriculture de conservation, dont l'un des objectifs est de faire reconnaître ce mode de production auprès des pouvoirs publics. « Nous souhaitons que ce système, qui a fait ses preuves économiquement, soit davantage encouragé aux niveaux national et européen par la mise en place de réglementations », affirme-t-il. L'agroécologie n'est donc pas un mouvement pouvant se limiter à la seule phase de production agricole. Pour se développer, il doit concerner de fait tous les autres échelons de la filière agroalimentaire.
RépondreSupprimerTimide alignement des industriels
Du côté des entreprises industrielles qui transforment ces matières premières, ces pratiques en rupture avec le système agricole traditionnel sont pourtant encore assez inégalement mises en valeur. Spontanément, ces dernières tendent à concentrer leurs efforts sur l'impact direct des usines et des réseaux logistiques, plus qu'à collaborer avec leurs fournisseurs dont l'empreinte environnementale est pourtant bien plus élevée.
Quelques pionniers ont néanmoins pris ce virage. Le biscuitier LU a ainsi instauré en 2008 sur sa filière blé la charte LU Harmony, contractualisant avec quelque 1.700 agriculteurs la mise en place de parcelles fleuries en bordure des champs pour abriter les insectes pollinisateurs ou encore de cultures intermédiaires pour protéger le sol pendant l'automne.
Lutte anti-gaspillage et circuits courts
A l'autre bout de la chaîne, restaurateurs et distributeurs prennent eux aussi progressivement part à cette évolution. La chaîne de fast-food McDonald's a par exemple lancé en 2010 un plan d'expérimentation de pratiques innovantes dans 80 fermes et parcelles de références afin d'évaluer leur efficacité environnementale et économique.
L'enseigne Intermarché s'appuie quant à elle sur son statut de producteur-commerçant depuis 2014 pour lutter contre le gaspillage alimentaire en mettant en vente à prix cassés ses « fruits et légumes moches », n'entrant habituellement pas dans les normes de calibrage des grandes surfaces.
De multiples initiatives issues de la société civile vont dans le sens de la transformation agroécologique.
Le consommateur final détient, enfin, le dernier mot. De multiples initiatives issues de la société civile vont dans le sens de la transformation agroécologique. En témoigne le mouvement citoyen des Amap (Association pour le maintien d'une agriculture paysanne) né en 2001, qui favorise les circuits courts en mettant en relation des individus avec des fermes de proximité dans une logique d'agriculture durable. Mais les consommateurs engagés restent encore minoritaires. En cause, « la peur d'une hausse des prix mais aussi une sous-estimation du rôle fondamental de l'alimentation sur la santé », évalue Didier Livio, responsable RSE chez Deloitte. « Il faut une massification du mouvement afin de donner un véritable coup d'accélérateur à cette transition ! »
https://www.lesechos.fr/thema/030347203344-environnement-la-filiere-agroalimentaire-se-cherche-une-dynamique-commune-2090208.php
(...) Afin de limiter son impact sur l’environnement (...) !!!
SupprimerHahaha ! Le ton est donné ! Primo, les volcans polluent des millions de fois plus que toute l'industrie humaine et, secundo, TOUS les gaz se recyclent (comme l'eau bue, pissée, suée, crachée, près de 400 fois depuis Cléopatre).
(...) Gaz à effet de serre, érosion des sols, réduction de la biodiversité... (...)
Il n'y a PAS de 'gaz à effet de serre' puisque nous sommes dehors espèce de conn sse !. L'érosion des sols est due aux vents, à la pluie ou arrosage, mais, comme les fleuves et rivières ne sont pas dragués depuis plus de 50 ans (on pourra bientôt traverser les fleuves à pieds secs !), la terre n'est volontairement pas récupérée (afin de créer des inondations et milliers de morts) et s'en va à la mer !
(...) faire pousser du colza sans travailler la terre n'est pas une chose évidente pour un agriculteur (...)
Hahahaha ! Il y a des cons, (des gros cons de la ville) qui sèment SANS avoir retourné la terre ni apporté des engrais afin de donner à manger aux plantes qui pourraient y pousser !
C-à-d que quelques minutes après 'le geste auguste du semeur', un milliers d'oiseaux arrivent et bouffent les céréales dispersées à leur intention ! HAHAHAHAHA ! Puis, le connard qui veut innover dans l'agriculture attend que çà germe, pousse et se récolte ! HAHAHAHA ! C'est l'idiot de la monoculture de son bureau-poubelle dans son hlm pollué qui veut donner conseil aux paysans !! Hahahaha !
(...) La chaîne de fast-food McDonald's a par exemple lancé en 2010 un plan d'expérimentation de pratiques innovantes dans 80 fermes et parcelles de références afin d'évaluer leur efficacité environnementale et économique.
L'enseigne Intermarché s'appuie quant à elle sur son statut de producteur-commerçant depuis 2014 pour lutter contre le gaspillage alimentaire en mettant en vente à prix cassés ses « fruits et légumes moches », n'entrant habituellement pas dans les normes de calibrage des grandes surfaces. (...)
Que la chaîne 'Mc Do' ou Cie ait lancé une expérience est un fait. Qu'elle apporte un résultat... en est un autre ! Hahahaha !
mettant en vente à prix cassés ses « fruits et légumes moches »
Bêrk ! Servez-vous à la poubelle ! C'est gratuit ! Oui ! Vous avez bien entendu ! GRA-TUIT ! Allez aussi faire la tournée des chiottes !
Les attardé(e)s mentaux(ales) sont payé(e)s lorsqu'ils ou elles travaillent et sont payé(e)s lorsqu'ils ou elle ne travaillent pas. Seuls les paysans, les artisans & commerçants travaillent pour gagner leur vie.
Voiture électrique : premiers nuages sur les subventions publiques
RépondreSupprimerMAXIME AMIOT
Le 08/06 à 06:00
Certains pays commencent à réduire leur soutien, avec des conséquences immédiates sur les ventes.
Si le phénomène reste marginal, il pose la question du modèle économique de la technologie.
Quel est le point commun entre la Géorgie (Etats-Unis), le Danemark, et la Chine ? Tous font face à une tendance inattendue : une baisse des ventes de voitures électriques, un marché pourtant en pleine croissance, sur fond de multiplication de l'offre des constructeurs et de soutien des politiques publiques. En Géorgie, les ventes ont plongé de 80 % en 2016, tandis que les immatriculations de véhicules à nouvelles énergies (NEV) sont en recul de 4,7 % en Chine sur les trois premiers mois de l'année. Au Danemark, le recul des immatriculations est de 60 % entre janvier et avril.
Le point commun : les autorités ont décidé de réduire les incitations publiques dédiées aux voitures électriques. Dès 2015, l'Etat de Géorgie décidait ainsi de supprimer le bonus de 5.000 dollars attribué aux Tesla, Nissan LEAF et autres, pour préserver ses finances publiques, alors même que les immatriculations de l'Etat pesaient, à elles seules, 17 % des ventes de voitures électriques aux Etats-Unis. De son côté, le Danemark a décidé, en 2016, de réintégrer les véhicules électriques dans la taxe à l'achat automobile, tuant immédiatement le marché national, passé de 5.300 unités en 2015 à 2.000 à peine un an plus tard. Et, depuis début 2017, les ventes sont encore en baisse de 60 %, incitant le gouvernement à revoir sa copie en réintégrant une partie des aides... Enfin, en Chine, le premier marché mondial de la voiture électrique depuis 2015, les pouvoirs publics freinent progressivement leur soutien : la subvention du gouvernement central a été réduite de 20 % en janvier, et la subvention des autorités locales a été plafonnée à 50 % de celle offerte par le pouvoir central...
Nuances
Ces exemples doivent être nuancés : ils ne concernent que de faibles volumes et ne remettent pas en cause la forte croissance des ventes de voitures électriques : +37 % entre janvier et avril en Europe, +18 % aux Etats-Unis... Quant à la Chine, elle reste promise à un « avenir électrique », tant la technologie a été érigée en priorité nationale pour l'ensemble de la filière (batteries, voiture autonome, sources d'énergie...). Outre l'offensive de l'ensemble des grands constructeurs mondiaux, qui promettent l'arrivée de modèles à plus forte autonomie, la technologie peut compter sur le soutien actif de nouveaux pays, comme l'Allemagne, qui a mis en place une prime de 5.000 euros en 2016, tandis que d'autres valeurs sûres, comme la Norvège, n'entendent pas lever le pied sur leurs subventions.
Reste que ces contre-exemples rappellent une réalité souvent oubliée : la voiture électrique reste un marché subventionné, qui n'est pas encore suffisamment compétitif pour vivre de lui-même, sans aides publiques. De quoi constituer une vraie incertitude sur le long terme, même si la hausse des volumes et l'amélioration de la technologie permettront petit à petit aux constructeurs de proposer des offres plus attractives. En France, la Cour des comptes s'interrogeait fin mai sur « la question du maintien à moyen terme d'une aide » au vu de la croissance des ventes (+8,3 %) et donc des dépenses engagées - 322 millions d'euros anticipés pour 2017, à raison de 6.000 euros de bonus par véhicule.
https://www.lesechos.fr/industrie-services/automobile/030371156306-voiture-electrique-premiers-nuages-sur-les-subventions-publiques-2092636.php
SupprimerUne voiture électrique (sauf les auto-scooters de la fête foraine ou TGV sous caténaire) n'a PAS encore le pouvoir de transporter gratuitement (ou presque) les automobilistes tentés par l'énergie gratuite ! Hahahaha !
Et donc, l'arrivée bénéfique de Donald Trump au pouvoir a permis de remettre les choses en place. Car: PERSONNE ne peut contredire LA vérité scientifique. Même pas les adversaires du président étatsuniens !
Rapport Finkel: les gouvernements devraient contrôler le marché de l'électricité pour changer le temps
RépondreSupprimerJune 8th, 2017
Demain, le scientifique en chef Alan Finkel publie un rapport qui pourrait diviser le Parti libéral. Turnbull a été lancé par le parti en 2009 parce qu'il a soutenu le système d'échange de droits d'émission bancaire. Maintenant, le débat est de nouveau sous une forme différente - appelée un programme LET (cible à faible émission), ou un régime de l'AEC (Clean Energy Target). Les détails sont insuffisants en ce moment. Sur le côté positif, il semble que ce ne soit pas forcément un système commercial (code pour la monnaie fiat du conducteur bancaire) et qu'il vise les «émissions» directement au lieu des «énergies renouvelables» (ce qui le rend légèrement plus direct et donne au marché un peu plus de liberté, sauf bien sûr, le marché ne peut pas choisir "Nukes".). À la baisse, il reste un gaspillage inutile de milliards de dollars dans une tentative futile de ralentir les tempêtes pour nos petits-enfants. Si elle réussit à réduire les émissions, elle réduira l'engrais des plantes en suspension dans l'air.
Split est-il revenu dans le Parti libéral à nouveau ?
Tony Abbott a averti le gouvernement fédéral qu'il commettrait une grave erreur s'il adoptait une cible à faible émission qui rendait difficile la construction de nouvelles centrales électriques au charbon plus efficaces. L'ancien premier ministre a exprimé son inquiétude autour des rapports concernant l'examen par le scientifique en chef Alan Finkel du secteur énergétique national. Son inquiétude est que le rapport Finkel, qui sera livré vendredi, recommandera un scénario selon lequel les énergies renouvelables se situeraient à 70% d'ici 2030.
Trois ans pour fermer votre entreprise perdante ?
On parle d'une nouvelle règle pour que les stations au charbon donnent trois ans d'avertissement avant qu'ils ne renoncent. Comment cela va-t-il fonctionner ?
Les plus grandes centrales au charbon du pays devront donner un préavis d'au moins trois ans de tout projet de fermeture, dans le cadre d'une nouvelle règle stricte qui vise à éviter la fermeture soudaine de l'approvisionnement électrique en électricité. ... recommandera les règles nouvelles et difficiles afin d'éviter une répétition des fermetures qui ont nuire au marché national de l'électricité.
Est-ce que les entreprises qui commencent à perdre de l'argent veulent rester et dépenser davantage pour tenter de les réparer ou renoncer rapidement ? Est-ce que les investisseurs à l'électricité australienne «prix dans ce risque» et payer moins pour les actifs d'électricité à partir de maintenant ? Peut-être que les entreprises notifieront le marché qu'ils ferment, puis «voir ce qui se passe» et ne pas être proche - nous pourrions avoir la certitude d'un ordre de fermeture constant et de longue date afin que les entreprises conservent le droit de dire à tout moment - «C'est fini et nous avons donné. Vous avez trois ans d'avertissement ".
Libs reprend une élection perdant une politique du type du travail, Labor dit "that is OK"
Le travail offre de garder l'esprit ouvert au sujet des libéraux qui adoptent une longue politique du travail. Comment "généreux".
Raccourcit le terrain pour les négociations sur la guerre du climat
L'Australien, RHIAN DEUTROM
RépondreSupprimerLe chef du travail a écrit au Premier ministre Malcolm Turnbull pour promettre que l'opposition abordera les recommandations d'examen d'Alan Finkel avec un esprit ouvert, rapporte le PAA.
La réponse est toujours un schéma qui nous coûte de l'argent et fait une différence incommensurable pour le climat:
Le scientifique en chef de l'Australie, Alan Finkel, déposera prochainement son rapport de réforme énergétique tant attendu au Conseil des gouvernements australiens, ce qui favorisera un schéma de réduction des émissions (LET).
Abandonneront-ils tous les autres régimes, ou quadrupleront-ils la complexité ?
Les deux principaux partis sont plus proches que jamais de s'entendre sur le LET, avec Bill Shorten cette semaine en écrivant au Premier ministre en admettant qu'il serait prêt à accepter un LET, en dépit de la promotion d'un programme d'intensité des émissions plus sévère (EIE).
M. Butler a déclaré qu'il espérait que la branche d'olivier de M. Shorten marquerait la fin du conflit politique sur le changement climatique.
Quelle «branche d'olivier» ? Il semble que les Libs adoptent une politique qui a aidé le Parti travailliste à perdre les deux dernières élections:
"Nous avons entendu très clairement de la part du monde des affaires qu'ils s'inquiètent de la crise de l'énergie", a commenté M. Butler au programme RN de ABC ce matin.
La crise de l'énergie est la création d'une régulation folle pour utiliser des sources d'énergie pour changer le climat. La réponse est le marché libre.
"Expert après expert nous dit qu'il y a un manque de certitude quant à la politique énergétique, alors nous devons faire tout notre possible pour nous asseoir et résoudre cela avec le gouvernement".
Le «manque de certitude» est résolu si le gouvernement sort du marché de l'énergie, non pas en jouant plus de politique avec lui.
Le fakery comprend la description de ce que les électeurs rejettent, comme «le centre»:
Selon M. Butler, l'offre du parti de se déplacer vers le centre sur le changement climatique viendrait avec des conditions.
Les études montrent qu'un peu plus de la moitié de la population australienne est sceptique selon laquelle l'humanité peut contrôler la météo en changeant les légumes et en installant des moulins à vent. Les Australiens veulent «sauver la planète», mais ils ne veulent pas payer beaucoup pour cela, et 80% ne le font pas non plus.
Cela pourrait diviser les Libs:
RépondreSupprimerL'ancien Premier ministre, Tony Abbott, s'est avéré un adversaire ferme d'un LET, avertissant hier que la politique éliminerait les centrales électriques à haute efficacité au charbon.
"Le parti libéral doit être le parti du pouvoir bon marché, que le travail soit le parti d'un pouvoir coûteux", a-t-il déclaré à la radio 2 Go hier.
Répète après moi. L'électricité au charbon en gros est de 3 à 4 c KWhr. Pourquoi est-il illégal que le pouvoir de charbon soit vendu dans un marché libre aux Australiens qui le souhaitent ?
http://joannenova.com.au/2017/06/finkel-report-governments-should-control-electricity-market-to-change-weather/
“La Chine n’est plus le pays le plus peuplé du monde”
RépondreSupprimerAudrey Duperron
7 juin 2017
La Chine est encore officiellement reconnue comme le pays le plus peuplée du monde, mais dans ce domaine, elle pourrait déjà avoir été dépassée par l’Inde, indique un démographe indépendant chinois, Yi Fuxian.
Yi Fuxian, qui est professeur de démographie à l’Université du Wisconsin, affirme en effet que les officiels chinois se sont trompés avec un taux de fertilité trop optimiste, et qu’en conséquence, ils ont surestimé la population de la Chine de près de 90 millions d’âmes. Ils ont en effet attribué un taux de natalité de 1,6 enfant par femme, mais d’après Yi Fuxian, le chiffre réel serait plus proche de 1,05 naissance par femme.
Si les estimations de Yi Fuxian sont correctes, la population de la Chine à la fin de l’année dernière n’aurait été « que » de 1,29 milliard de personnes, contre 1,38 milliard de citoyens, selon les données officielles. Or, l’Inde a officiellement une population de 1,33 milliard de personnes.
La politique de l’enfant unique
Les chiffres de Yi Fuxian, qui est un critique de longue date de la politique de l’enfant unique qui a prévalu en Chine pendant plus de trois décennies, et qui n’a été assouplie qu’en 2015, indiquent que l’Empire du Milieu est confronté à une grave crise démographique. Les effectifs de la population active chinoise ont commencé à décliner en 2012, et cette tendance ne s’est jamais inversée. « Le pays sera vieux avant de devenir riche », résument les économistes.
Selon ces derniers, la Chine a atteint prématurément le « point de retournement de Lewis », à partir duquel l’offre de main d’œuvre est devenue moins élastique en raison des pressions démographiques induites par la politique de l’enfant unique. En vertu de cette loi économique, les salaires commencent à grimper lorsque la population active d’un pays se réduit, et qu’elle devient plus qualifiée. Du coup, le pays parvient plus difficilement à générer des gains de productivité.
Yi Fuxian, dont les ouvrages ont été censurés en Chine jusqu’en 2013, estime que sans la politique de l’enfant unique, la population chinoise aurait atteint 1,6 milliard de personnes en 2040, et qu’elle n’aurait alors commencé à se contracter qu’à ce moment. Ce supplément de croissance démographique aurait permis au pays de profiter d’un essor économique dont il ne bénéficiera probablement jamais.
Les membres de la Commission nationale de la santé et de la planification familiale chinoise, responsable du contrôle de la population, réfutent l’analyse du démographe, et affirment que le taux de fécondité actuel du pays s’établit à 1,7 pour cent.
https://fr.express.live/2017/06/07/chine-pays-le-plus-peuple-du-monde-inde/
Figurez-vous que TOUT ce qui se recycle réapparait donc en sa forme originelle et n'a donc (comme l'air ou l'eau) pas de prix.
RépondreSupprimerMais... comme TOUT ce qui existe sur Terre se recycle et que nous consommons tous les jours des fruits & des légumes qui ont puisé dans le sol des restes humains ou animaliers ou même végétaux, notre corps est donc construit de TOUTES ces pollutions car, qu'elles soient consommées/retenue par notre organismes ou rejetées: c'est du pareil au même et la forme ne varie pas !
Donc, ce qui demeure payant est le travail.
Or, pour l'air, la nature s'en charge et instantanément notre gaz carbonique se transforme en oxygène par la respiration des plantes et l'absorbtion des flaques d'eau, humidité dans l'air comme phytoplanton. Pour l'eau, c'est pareil, c'est gratuit et l'eau se purifie continuellement depuis des milliers de siècles en passant par la bouilloire magmatique sous nos pieds pour ressortir aux nappes phréatique et sources froides ou chaudes.
Seules demeurent donc l'extraction des minerais du sol confiée de plus en plus aux machines (qui travaillent 24/24 h) et l'agriculture avec l'élevage dont il faut bien s'en occuper.
Voir aussi la construction des maisons sur programmes 3D.
Facebook veut prendre le contrôle de la caméra de votre smartphone
RépondreSupprimerArnaud Lefebvre
7 juin 2017
Le réseau social Facebook souhaiterait utiliser le smartphone des utilisateurs pour espionner et mesurer grâce à la caméra, leurs réactions à des messages, des commentaires et des publicités, ressort-il de brevets délivrés à Facebook par l’Office américain des brevets.
Grâce aux expressions du visage enregistrées par la caméra, la technologie pourrait estimer l’état d’esprit de l’utilisateur et Facebook pourrait ainsi sélectionner des messages publicitaires adéquats.
Selon le consultant CB Insights, ce brevet accordé en mai permettrait maintenant au réseau social de déterminer vos émotions via l’analyse d’images de la caméra de votre smartphone.
Champ de mines éthique
« Lorsque l’utilisateur réagit positivement ou avec joie au contenu affiché, Facebook peut décider de lui présenter des messages similaires », souligne CB Insight. Quand par contre, l’attitude de l’utilisateur est négative ou triste, des messages de ce genre pourraient être évités.
Le consultant signale que l’entreprise a obtenu ce brevet il y a deux ans, mais qu’elle ne semble jusqu’ici qu’avoir peu fait usage de cette application. Deux brevets supplémentaires laissent cependant penser, selon CB Insight, que Facebook caresse le projet de revenir à l’utilisation de l’application.
Facebook a en effet obtenu un brevet concernant un système de messages qui utiliserait la manière dont l’utilisateur frappe sur les touches de son clavier, alors qu’une deuxième application se rapporte à l’emploi d’un émoji se basant sur l’expression du visage de la personne.
Selon CB Insight, ces technologies peuvent devenir un véritable champ de mines éthique pour Facebook et représentent en outre un très grand défi pour les relations publiques du réseau. L’entreprise a cependant refusé de confirmer qu’elle avait des plans concrets en ce qui concerne ces applications.
https://fr.express.live/2017/06/07/facebook-veut-prendre-controle-de-camera-de-smartphone/
SupprimerDevra t-on demain toutes et tous nous promener avec un masque d''anonymous' ou burqa pour échapper aux assassins ?
Vik (Islande) : 572 habitants, 1,7 millions de touristes
RépondreSupprimerArnaud Lefebvre
7 juin 2017
La petite localité de Vik, l’une des plus grandes attractions touristiques d’Islande, s’attend à recevoir cette année environ 1,2 millions de touristes.
Située au pied du glacier Myrdalsjökull et à moins de 200 km de la capitale Reykjavik, Vik longe une petite route pittoresque de la côte sud du pays.
Vik a connu une forte évolution sur le plan touristique et profite de la popularité grandissante dont jouit l’Islande auprès des voyageurs étrangers.
Ce succès est cependant difficile à gérer par une communauté de moins de 600 habitants, répartis sur un territoire comptant dix rues.
Vik possède d’innombrables atouts touristiques. Selon divers observateurs, ce village compte l’une des plus belles plages au monde. En outre, le visiteur y découvre les traditionnelles images de l’Islande telles que les icebergs, les glaciers et les chutes d’eau.
Pendant le mois de mars, une moyenne de près de 3.000 voyageurs a été recensée par jour. En 2012, le touriste à Vik se voyait exclusivement en été. Entre juin et octobre, la ville était désertée.
Protection
Cette période semble appartenir définitivement au passé. Entre-temps, Vik, qui va ouvrir l’an prochain son troisième hôtel, peut héberger 1.800 hôtes. Pour l’été prochain, aucune chambre n’est plus disponible dans un rayon de 50 km. Pour une famille de 4 personnes, il faut compter un montant d’au moins 400 euros par nuitée.
Un phénomène identique s’observe dans toute l’Islande. Au milieu de la décennie passée, on a comptabilisé environ 400.000 visiteurs par an. L’an dernier, 1,7 millions de touristes ont été recensés et cette année, environ 2,3 million de personnes sont attendues.
A Vik, des mesures doivent cependant être prises pour alléger la pression du tourisme. Entre autres, la location de logements à des hôtes étrangers est strictement limitée pour ne pas compromettre les installations de la population locale.
https://fr.express.live/2017/06/07/vik-islande-572-habitants-17-millions-de-touristes/
Les banques centrales possèdent maintenant des stocks et des obligations qui méritent des trillions - et ils risqueraient d'ébranler les marchés en les vendant
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 7 juin 2017
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi les stocks semblent continuer à augmenter, peu importe ce qui se passe ? Pendant des années, les marchés financiers se sont comportés de manière à défier toute explication rationnelle, mais une fois que vous comprenez le rôle que les banques centrales ont joué, tout commence à avoir un sens. Au lendemain de la grande crise financière de 2008, les banques centrales mondiales ont commencé à acheter des actions, des obligations et d'autres actifs financiers en très grandes quantités et n'ont pas cessé depuis. En fait, comme vous le verrez ci-dessous, les banques centrales mondiales sont en avance pour acheter des actions et des obligations de 3,6 billions de dollars cette année seulement. À ce stade, la Banque nationale suisse détient plus d'actions cotées en bourse de Facebook que Mark Zuckerberg, et la Banque du Japon est maintenant le propriétaire du top cinq dans 81 différentes grandes entreprises japonaises. Ces banques centrales mondiales pompent sans vergogne les marchés boursiers mondiaux, mais parce qu'ils ont maintenant de vastes avoirures, ils pourraient également provoquer un déboursement de marché global débauché tout simplement en commençant à vendre leurs portefeuilles.
Au cours des années, on m'a souvent posé des questions sur l'équipe de protection des plongeurs, mais la vérité est que les banques centrales mondiales sont la véritable «équipe de protection contre les plongeons». Si les stocks commencent à augmenter plus haut en un jour particulier pour apparemment aucune raison, c'est probablement le travail d'une banque centrale. Parce qu'ils peuvent injecter des milliards de dollars sur les marchés chaque fois qu'ils le veulent, cela leur permet essentiellement de «jouer Dieu» et de déplacer les marchés dans n'importe quelle direction qu'ils souhaitent.
Mais bien sûr, ce qu'ils ont fait est essentiellement détruire le marché. Un "marché libre" pour les stocks n'existe plus essentiellement à cause de toute cette manipulation de la banque centrale. J'aime vraiment comment Bruce Wilds a fait ce point ...
Une indication de la façon dont les problèmes et les défauts des marchés mondiaux sont devenus est reflété dans la façon dont les banques centrales à travers le monde achètent maintenant des stocks. Cela est devenu une partie de leur réponse à la correction des forces des excès passés. Leur incursion dans ce bastion des signaux des marchés libres nous sommes entrés dans l'ère où la vraie découverte de prix n'existe plus. Les banques centrales sont souvent considérées comme des acheteurs insensibles aux prix, de sorte que cet afflux incestueux d'argent est, en quelque sorte, la distorsion ultime.
Selon Business Insider, les banques centrales mondiales sont à la vitesse de l'achat d'un incroyable 3,6 billions de dollars en actions et obligations en 2017.
Dans l'ensemble, les cinq plus grandes banques centrales mondiales disposent collectivement de 14,6 trillions de dollars d'actifs sur leurs bilans.
Vous pouvez en appeler beaucoup de choses, mais ce n'est certainement pas un capitalisme de marché gratuit.
La Banque nationale suisse est l'un des plus gros contrevenants. Au cours des trois premiers mois de cette année, il a acheté des actions américaines de 17 milliards de dollars, ce qui a entraîné le total de la Banque nationale suisse qui détient actuellement plus de 80 milliards de dollars.
RépondreSupprimerVous êtes-vous déjà demandé pourquoi les parts de Apple semblent continuer à augmenter et à augmenter ?
Eh bien, la Banque nationale suisse a acheté près de 4 millions de parts de Apple au cours des mois de janvier, février et mars.
Et comme je l'ai mentionné ci-dessus, la Banque nationale suisse "détient maintenant plus de parts cotées en bourse dans Facebook que Mark Zuckerberg" ...
La banque centrale de la Suisse détient maintenant plus de parts publiques de Facebook que Mark Zuckerberg, qui fait partie d'un portefeuille de stock de plus en plus susceptible de progresser encore plus loin.
Le fondateur et le PDG du géant technologique ont d'autres façons de contrôler son entreprise: Zuckerberg détient la plus grande partie de sa participation dans une catégorie de stock différente. Néanmoins, cet exemple illustre comment la Banque nationale suisse est devenue un investisseur en capital de plusieurs milliards de dollars en raison de sa campagne de maintien du franc suisse.
C'est maintenant le huitième plus grand investisseur public du monde, les données du Forum officiel des institutions monétaires et financières.
Mais aussi sans vergogne que la Banque nationale suisse, la Banque du Japon est encore pire.
Aujourd'hui, le Nikkei est essentiellement un simulacre géant. La Banque du Japon entre régulièrement et commence à acheter tout en vue, et selon Bloomberg, ils sont sur le point de devenir le plus grand actionnaire de dizaines de sociétés japonaises les plus en vue d'ici la fin de 2017 ...
Déjà propriétaire de 81 entreprises au Japon Nikkei 225 Stock Average, le BOJ est en train de devenir l'actionnaire n ° 1 dans 55 de ces entreprises d'ici la fin de l'année prochaine, selon les estimations compilées par Bloomberg auprès de la banque centrale Fonds de placement négociés en bourse.
Si les banques centrales mondiales ont le pouvoir de pomper ces marchés, elles ont également le pouvoir de les bloquer.
Pourquoi voudraient-ils faire une telle chose ?
Je peux répondre à cette question avec seulement deux mots ...
Donald Trump.
Si l'angle Comey ne fonctionne pas, l'élite pourrait tenter de détruire Trump en engendrant un crash boursier absolument dévastateur. Près de la moitié de la population américaine n'aime pas Trump de toute façon, il serait donc assez facile de croire que les politiques de Trump ont provoqué une nouvelle crise financière. Bien sûr, ce serait une absurdité complète, mais dans notre société d'aujourd'hui, la vérité n'a pas vraiment d'importance.
Et sans aucun doute, la preuve continue de croître que l'économie réelle commence à ralentir considérablement. Par exemple, nous avons juste appris que les faillites ont augmenté encore une fois en mai. Voici ce qui vient de Wolf Richter ...
RépondreSupprimerDonc, nous y revoilà. Les faillites totales des entreprises américaines en mai ont augmenté de 4,7% d'une année sur l'autre à 3 572 dépôts, selon l'American Bankruptcy Institute. Cela représente une hausse de 40 % par rapport à mai 2015 et de 10% par rapport à mai 2014.
Et il y a une autre préoccupation: les dépôts de faillite sont très saisonniers. Ils dépassent la saison des impôts - Mars ou Avril - et tombent ensuite. La baisse en avril après le pic en mars était dans ce schéma saisonnier. Au cours des dernières années, les dépôts ont chuté en mai. Mais pas cette année.
Sans une intervention sans précédent des banques centrales mondiales, les marchés financiers s'étaient écrasés depuis longtemps.
Et s'ils continuent à augmenter leurs achats d'actions et d'obligations, les banques centrales peuvent être en mesure de rétablir un temps plus longtemps.
Qui sait? Peut-être avec suffisamment d'ingénierie financière, ils pourraient garder cette bulle pendant des années. Bien sûr, les choses commenceraient à devenir vraiment gênantes une fois qu'ils auront fini par posséder pratiquement tout, mais j'ai l'impression que les choses ne vont jamais arriver aussi loin.
J'ai l'impression que les banques centrales mondiales finiront par trouver une excuse pour commencer à «dérouler leurs bilans», et j'ai le sentiment que ce sera à un moment très gênant pour le président Trump.
Si l'angle Comey ne fonctionne pas, l'élite pourrait tenter de détruire Trump en engendrant un crash boursier absolument dévastateur. Près de la moitié de la population américaine n'aime pas Trump de toute façon, il serait donc assez facile de croire que les politiques de Trump ont provoqué une nouvelle crise financière. Bien sûr, ce serait une absurdité complète, mais dans notre société d'aujourd'hui, la vérité n'a pas vraiment d'importance.
Et sans aucun doute, la preuve continue de croître que l'économie réelle commence à ralentir considérablement. Par exemple, nous avons juste appris que les faillites ont augmenté encore une fois en mai. Voici ce qui vient de Wolf Richter ...
Donc, nous y revoilà. Les faillites totales des entreprises américaines en mai ont augmenté de 4,7% d'une année sur l'autre à 3 572 dépôts, selon l'American Bankruptcy Institute. Cela représente une hausse de 40% par rapport à mai 2015 et de 10% par rapport à mai 2014.
Et il y a une autre préoccupation: les dépôts de faillite sont très saisonniers. Ils dépassent la saison des impôts - Mars ou Avril - et tombent ensuite. La baisse en avril après le pic en mars était dans ce schéma saisonnier. Au cours des dernières années, les dépôts ont chuté en mai. Mais pas cette année.
Sans une intervention sans précédent des banques centrales mondiales, les marchés financiers s'étaient écrasés depuis longtemps.
RépondreSupprimerEt s'ils continuent à augmenter leurs achats d'actions et d'obligations, les banques centrales peuvent être en mesure de rétablir un temps plus longtemps.
Qui sait? Peut-être avec suffisamment d'ingénierie financière, ils pourraient garder cette bulle pendant des années. Bien sûr, les choses commenceraient à devenir vraiment gênantes une fois qu'ils auront fini par posséder pratiquement tout, mais j'ai l'impression que les choses ne vont jamais arriver aussi loin.
J'ai l'impression que les banques centrales mondiales finiront par trouver une excuse pour commencer à «dérouler leurs bilans», et j'ai le sentiment que ce sera à un moment très gênant pour le président Trump.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/central-banks-now-own-stocks-and-bonds-worth-trillions-and-they-could-crash-the-markets-by-selling-them
Supprimer(...) Selon Business Insider (le 'France-Dimanche', 'Voici', 'Moncul Finance' français !) , les banques centrales mondiales sont à la vitesse de l'achat d'un incroyable 3,6 billions de dollars en actions et obligations en 2017. (...)
Hahahaha ! RIEN ne dit que cela est vrai ! Car PERSONNE ne l'a contrôlé ! Donc: $ = 0. Le prix de l'or a toujours été faux et ne reflète nullement le volume des transactions car, son prix (compte tenu du volume restreint du cube mondial de 20,50 m d'arête) serait multiplié peut être par 50 si le marché était libre/réel/honnête !
Une fois dans un temps, une bonne fuite
RépondreSupprimerPar Andrew P. Napolitano
8 juin 2017
Le week-end dernier, le FBI a arrêté un employé d'une société à Augusta, en Géorgie, qui avait un contrat avec l'Agence nationale de sécurité et l'avait chargé d'espionnage. L'espionnage survient lorsque quelqu'un qui a été confié pour sauvegarder les secrets d'état ne le fait pas. Dans ce cas, le gouvernement allègue que la personne à qui les secrets d'Etat ont été confiés est Reality Leigh Winner, âgé de 25 ans, qui a obtenu une autorisation de sécurité nationale top secret.
Le gouvernement affirme que Winner a téléchargé et imprimé un rapport NSA top secret, a supprimé la version imprimée du rapport des locaux de son employeur, puis l'a envoyé à The Intercept, un média international très reconnu qui expose les actes répréhensibles du gouvernement.
Le gouvernement dit qu'il a appris cela lorsque les gens de The Intercept ont appelé la NSA et ont dit aux agents ce qu'ils avaient reçu et ce qu'ils prévoyaient publier. Après avoir entendu les agents décrire le risque potentiel de leur travail si le rapport complet devait être publié, The Intercept a accepté de redresser certaines parties, bien qu'il ait publié la majeure partie du rapport.
Le temps d'acheter d'anciennes pièces d'or américaines
Le rapport est surprenant, car il révèle que la NSA a découvert que les pirates russes à la fin d'octobre et au début de novembre 2016 ont planté des cookies (liens attrayants et personnalisés) dans les sites Web de 122 commis de la ville et de comté américains chargés de compter les bulletins de vote dans l'élection présidentielle. Cela signifie que, si un employé de ces bureaux de clercs a cliqué sur un cookie, les pirates ont eu accès - et donc à la possibilité d'interférer avec - le tabulation des votes. Ce rapport de la NSA est en contradiction avec les refus de la participation de la Russie aux élections présidentielles de 2016 réalisées l'an dernier par le président Barack Obama et a été promu la semaine dernière par le président russe Vladimir Poutine et il est profondément plus détaillé et alarmant que tout ce que le gouvernement fédéral a donc Très révélée.
Le public américain n'a-t-il pas le droit de savoir ce que les Russes ont fait lors des élections ? Est-ce nécessairement criminel de rendre ces choses publiques ? La NSA n'est-elle pas censée nous protéger contre les pirates étrangers qui tentent d'interférer avec le processus électoral américain de base - l'élection du président - et ne pas nous garder dans l'obscurité s'il ne le fait pas ?
Voici l'histoire du dos.
J'ai discuté depuis 2013, lorsque nous avons appris par les révélations d'Edward Snowden que la NSA a recueilli trop de données sur trop d'innocents depuis 2005, qu'elle le fait en violation de la Constitution et de la loi fédérale et qu'elle souffre d'une surcharge d'information - ce qui signifie qu'il a plus de données brutes qu'il a des ressources à examiner de manière rapide et efficace.
Le résultat de tout cela est la perte de la liberté - car les innocents ont leur vie privée envahie et, comme nous le savons, parfois même révélée au public à des fins politiques - et notre sécurité a été compromise, car la NSA a révélé à plusieurs reprises qu'il avait toutes les communications pertinentes des tueurs avant les meurtres, mais ne relie pas les points jusqu'à trop tard, comme à Boston, à San Bernardino et à Orlando; Et on peut en dire autant pour nos partenaires britanniques à Manchester et à Londres au cours des deux dernières semaines.
RépondreSupprimerLe but déclaré de tout ce soupçon sans soupçon d'espionnage sur nous tous le temps est de nous garder en sécurité. Pourtant, nous savons que la NSA a échoué à ce sujet, et nous savons, d'après une récente condamnation judiciaire de la NSA, qu'elle n'a pas réussi à protéger nos libertés. Maintenant, nous savons qu'il n'a pas réussi à protéger nos élections présidentielles.
Est-ce un crime de révéler ce que le FBI a déclaré Winner ? En un mot, oui. Pourtant, je me préoccupe de comprendre l'image complète ici. Si elle a fait comme le FBI allègue, elle a commis une violation de la loi fédérale. Cependant, il semble qu'elle ne l'a pas fait pour des raisons mineures, politiques, financières ou vénales; Plutôt, elle l'a peut-être fait pour que le peuple américain sache que les espions qui nous ont échoué nous garderont ignorants et vulnérables.
L'interception peut-elle être poursuivie pour avoir révélé le matériel top secret au public ? En un mot, non. La Cour suprême a précisé dans l'affaire Pentagon Papers en 1971 qu'une entité médiatique peut librement publier des questions qui sont utiles à l'intérêt public, nonobstant la source des questions ou le comportement de la source qui l'a transmis. Cela est fondé sur l'essence de la liberté personnelle dans une société libre. En matière d'intérêt matériel pour le public, le droit du public de savoir ce que le gouvernement fait ou n'a pas réussi à accomplir de façon constitutionnelle atteste le droit du gouvernement au secret.
Où tout cela nous laisse-t-il ? Reality Winner peut très bien être un patriote qui a risqué sa carrière et sa liberté pour avertir le public américain de ce que le gouvernement avait peur de reconnaître - que l'espionnage de masse ne nous garde ni sûr ni gratuit. Sans aucun doute, le gouvernement ne le voit pas de cette façon. Cette affaire a gêné le gouvernement, et elle sera probablement poursuivie. J'espère que le juge, dans son cas, laisse ses avocats affirmer que, parce que nous vivons en période de péril, les gens ont le droit de savoir ce que le gouvernement fait et ne fait pas en notre nom pour faire face au péril afin que nous puissions changer le gouvernement lorsqu'il échoue.
Le remède à la révélation de la vérité devrait consister en la capacité de la vérité à s'épanouir sur le marché des idées plutôt que dans la punition du révélateur. Le principe fondamental de la démocratie est que les personnes ont consenti au gouvernement. Lorsque le gouvernement garde les secrets vitaux de nous - en particulier les secrets qui l'embarrassent, des secrets qui nous font voir différemment, des secrets d'échec - nous finissons avec un gouvernement que nous ne connaissons pas ou ne faisons pas confiance. Et qui, en définitive, manque de notre consentement.
Reproduit avec l'autorisation de l'auteur.
https://lewrockwell.com/2017/06/andrew-p-napolitano/a-good-leak/
(...) Le principe fondamental de la démocratie est que les personnes ont consenti au gouvernement. (...)
SupprimerHeu, là, monsieur le juge, la démocratie est de ne PAS avoir de 'gouvernement' inutile, car, primo, la démocratie n'a JAMAIS existé aux USA et n'existe qu'en Suisse. Renseignez-vous.
Il ne faut pas confondre 'république' et son contraire: democratie.