De plus, AUCUN 'avion' filmé le 11 Septembre 2001 n'avait de plan de vol déposé avant décollage. Donc: Personne ne sait d'où ils auraient pu décoller ! Hahahaha !
'Les passagers' des 'avions' ont... téléphoné au sol alors qu'en 2001 AUCUN système ne permettait encore de pouvoir téléphoner avec des portables depuis un avion ! Hahahaha !
Même la tour n°7 s'est écroulée (de rire ?) de peur d'être touchée par un avion ! Hahahaha !
Gag final, des avions en aluminium seraient susceptibles de couper des upn verticaux en acier ! Hahahaha !
Explosion du vote blanc et d'abstention record : la représentativité de l'Assemblée remise en cause
RépondreSupprimer19 juin 2017, 11:37
18% des inscrits ont voté pour la majorité présidentielle, qui obtient 60% des sièges de l'Assemblée. Alors que l'abstention culmine (57 % !) et que le vote blanc frôle les 10%, certains y voient le signe d'une absence de légitimité de la nouvelle majorité.
Contrastant avec l'ampleur de la majorité dont disposera La République en marche (LREM) à l'Assemblée nationale à l'issue du premier tour de l'élection présidentielle, le nombre d'électeurs inscrits ayant effectivement voté pour les candidats du parti présidentiel ou pour le MoDem s'établit autour de 18,8%. En raison du scrutin majoritaire, ces résultats permettent toutefois à la majorité présidentielle d'obtenir 60% des sièges au palais Bourbon.
Certes, la très forte prime majoritaire du mode de scrutin n'est pas nouvelle. Mais, à titre de comparaison, les Français ayant voté pour la majorité présidentielle socialiste en 2012 ne représentaient environ 22,4% des inscrits – un chiffre traduit à l'Assemblée par une majorité de 57% des sièges. Autrement dit, la très forte démobilisation des électeurs, qui a permis à l'abstention de battre un record en atteignant 57%, se solde par un déficit accru de représentativité.
Ce phénomène ne risque pas d'enrayer la défiance croissante des Français envers leurs institutions. D'autant que la promesse électorale d'Emmanuel Macron d'introduire une «dose» de proportionnelle pour les élections législatives semble avoir été remise à plus tard. Dès l'annonce des résultats, nombreux étaient ceux qui réclamaient, à l'instar de Marine Le Pen ou du Parti communiste français une réforme du code électoral. Cette promesse présidentielle éternellement déçue depuis François Mitterrand, à l'exception des législatives de 1986 organisées pour la première et dernière fois au scrutin proportionnel, permettrait sans doute d'accroître la représentativité du Parlement, mais ses opposants arguent qu'elle menacerait la constitution d'une majorité stable et rendrait le pays ingouvernable.
L'explosion du vote blanc : une réaction face à l'absence de choix ?
C'est un phénomène relativement nouveau qui semble avoir émergé à l'occasion du second tour de la présidentielle. Un nombre croissant d'électeurs, face à l'absence d'un candidat qui leur corresponde, avaient refusé de choisir entre Marine Le Pen et Emmanuel Macron, sans toutefois renoncer à aller voter : plus de quatre millions d'électeurs avaient glissé un bulletin blanc ou nul dans l'urne.
Symbole d'un refus activement exprimé d'arbitrer un duel entre deux offres politiques jugées insatisfaisantes, le vote blanc et nul a connu un nouveau pic le 18 juin. Celui-ci représente plus de 9 % des suffrages exprimés, soit près de deux millions de voix. A titre de comparaison, le Parti socialiste n'a attiré que 1,68 million d'électeurs.
RépondreSupprimerLa carte électorale des bulletins blancs et nuls livre quelques renseignements sur le lien étroit existant entre cette tendance et la configuration politique dans chaque circonscription. Ainsi, dans la première circonscription de l'Aube, où se jouait la seule triangulaire du pays (opposant le Front national, les Républicains et LREM), le nombre de bulletins blancs est l'un des plus faibles (4,32%). A l'opposé, dans la deuxième circonscription de l'Aveyron, le nombre de bulletin blancs explose pour atteindre les 33%, seule la candidate LREM étant en lice après l'abandon de son adversaire LR. Dans les circonscriptions traditionnellement très socialistes de la Creuse, de la Corrèze et de la Haute-Vienne, l'absence du candidat PS au second tour au profit de duels entre LR et LREM a conduit 15% des électeurs à voter blanc ou nul.
Des critiques vis-à-vis de la représentativité de la nouvelle Assemblée se sont rapidement faites entendre dans les heures ayant suivi l'annonce des résultats. «Les Français ne sont pas correctement représentés», a par exemple estimé Florian Philippot, battu dans sa circonscription de Moselle, sur le plateau de BFM-TV. Selon lui, le mode de scrutin autant que le fort taux d'abstention «posent un gros problème démocratique». Profitant de l'occasion pour minimiser la victoire de LREM, David Rachline, sénateur FN du Var a, de son côté, qualifié la «vague Macron» de «vaguelette» sur CNews.
Allant plus loin encore dans l'analyse des significations de la démobilisation électorale, Jean-Luc Mélenchon, élu dans la quatrième circonscription de Marseille, a estimé que les abstentionnistes avaient sciemment choisi de manifester leur mécontentement. «Il faut que, dorénavant, la force de l'abstention devienne la force de la Révolution citoyenne», a-t-il martelé après l'annonce des résultats, prenant à rebours le discours consistant habituellement à ne voir dans l'abstention qu'un désintérêt inversement proportionnel à la vitalité démocratique des institutions. «C'est une grève générale civique», a ajouté le leader de la France insoumise, estimant que la nouvelle majorité n'était «pas légitime» pour remettre en cause l'«ordre social».
Toutefois, dans les rangs de LREM, on veut croire à l'existence d'un réel soutien à la majorité. «On se réjouit d'avoir une majorité forte pour accompagner l'action du gouvernement», a déclaré le Premier ministre Edouard Philippe au micro de RTL au lendemain du vote. Toutefois, l'optimisme n'était pas de mise pour tous les membres de la majorité présidentielle, certains préférant se montrer plus modestes. «La vraie victoire sera dans cinq ans quand le vote extrême n'existera plus», a estimé le porte-parole du gouvernement, Christophe Castaner, précisant que l'action de son gouvernement au cours du quinquennat poursuivrait l'objectif de faire renouer les Français avec la confiance politique. Faire de la réconciliation des citoyens avec leurs représentants un des enjeux de la réussite de son gouvernement – un chantier colossal dont tout reste à faire.
RépondreSupprimerLire aussi : Cambadélis démissionne de la direction du PS et fustige le «pouvoir absolu» de LREM
https://francais.rt.com/france/39960-explosion-vote-blanc-dabstention-record-representativite-assemblee-remise-cause
La règle de l’intérêt national
RépondreSupprimerMYRET ZAKI
RÉDACTRICE EN CHEF DE BILAN
12 Juin 2017
Pendant des décennies, on a vécu sur des dogmes, qui sont aujourd’hui remis en cause. Libre-échange, globalisation, accords multilatéraux, alliances diplomatiques et militaires, grands blocs économiques étaient les valeurs cardinales de l’ordre mondial.
Puis en novembre dernier est arrivé à la tête de la plus grande puissance porteuse de ces principes un président qui les renie. Un Donald Trump protectionniste, défavorable aux alliances militaires, aux traités multilatéraux, nationaliste au plan économique et identitaire. Il a même été élu pour ces raisons, au moment où les Anglais votaient eux aussi pour sortir de l’Europe.
Certaines réalités ont alors émergé: de larges pans de la population en Amérique comme en Europe ne souscrivent plus aux principes du libéralisme économique, car ils sont perdants dans ce système. Défavorables au libre-échange et à l’ouverture des frontières dont ils s’estiment victimes, ils préfèrent le discours protectionniste, car il promet de protéger leurs emplois, leurs salaires, leur culture et de favoriser les entreprises et les intérêts nationaux.
Face à cela, l’intelligentsia des Etats-Unis et d’Europe défend toujours le discours promondialisation, prolibre-échange. Ses penseurs considèrent même le protectionnisme comme un gros mot, car il contrevient à l’ordre mondial qui a prévalu officiellement depuis la deuxième guerre. Mais en réalité, cela fait dix ans au moins que le protectionnisme est la règle entre puissances économiques. Des exemples?
Depuis onze ans, les négociations sur la libéralisation du commerce international sont enterrées, avec l’échec du Cycle de Doha mené par l’OMC. Le volume des échanges internationaux stagne depuis 2011, et la Cnuced parle d’un déclin de l’interdépendance économique, sorte de dé-globalisation qui n’est pour l’heure qu’une amorce. Les traités transpacifique et transatlantique ont été abandonnés. C’est aussi hors des enceintes multilatérales que se décident les guerres, l’ONU n’ayant plus de prise réelle sur la géopolitique.
Les grands Etats protègent en outre leurs secteurs stratégiques: bien des rachats de fleurons nationaux par des concurrents étrangers ont été bloqués. Il n’y a plus eu d’OPA de taille entre grandes nations depuis au moins dix ans. Sur son marché, la Chine a fait barrage à Apple, Uber, WhatsApp et Tesla.
La Suisse, dont la tradition est intrinsèquement libérale, et où la BNS a renoncé à ancrer le franc suisse à l’euro, quitte à laisser les entreprises se dépêtrer avec un franc trop fort, est vulnérable dans ce contexte. Nombre de ses entreprises - Swiss, Serono, Centerpulse, Synthes, Actelion, Nobel Biocare, Syngenta, Vögele et bien d’autres - se sont fait racheter depuis quinze ans, laissant partir des emplois et des savoir-faire du pays.
RépondreSupprimerEtre libéral au milieu d’Etats protectionnistes constitue un risque pour les intérêts nationaux. Rappelons que la guerre contre le secret bancaire suisse a abouti à renforcer les places financières anglo-saxonnes et asiatiques, qui ont conservé des pratiques de confidentialité bien plus sophistiquées pour capter l’argent des grandes fortunes.
Si la pensée économique en 2017 reste dominée par les écoles classique et néoclassique, favorables au libre-échange, la pratique s’inspire bien plus des idées mercantilistes caractérisant les puissances maritimes protectionnistes du XVIIe siècle. La Suisse doit dès lors protéger son économie, favoriser les emplois locaux, privilégier le recrutement indigène auprès du vivier des jeunes, des chômeurs, des seniors, des femmes en sous-emploi, des personnes en réinsertion. Elle doit contenir plus fermement le tourisme d’achat aux douanes, lutter contre le dumping salarial. Et peut-être aussi considérer certains secteurs de pointe comme étant stratégiques ?
http://www.bilan.ch/myret-zaki/redaction-bilan/regle-de-linteret-national
La Norvège sur le chemin de devenir un voisin hostile aux yeux de la Russie
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
19 juin 2017 5:00 AM
Édité par Peter Korzun via The Strategic Culture Foundation,
La Norvège exécute un changement radical dans sa politique militaire, vers une attitude beaucoup plus agressive. Au total, 330 marines américaines ont été stationnées pour une période d'essai de janvier à la base militaire de Vaernes, à l'est de Trondheim. Le déploiement marque la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale que les troupes étrangères ont été autorisées à stationner en Norvège. L'année dernière, le Parlement norvégien a approuvé une période d'essai d'un an pour la présence militaire américaine, y compris deux tours de six mois. Maintenant, il est prévu de doubler la présence des marins dans le pays de 330 à 650 soldats. La Norvège et les États-Unis discutent maintenant de l'utilité de poursuivre cet accord au-delà de 2017.
L'aéroport de Nord-Trøndelag peut devenir une base aérienne militaire majeure. Le programme de prépositionnement du Corps de marine des États-Unis - la Norvège, stocke déjà de grandes quantités d'équipement militaire dans les grottes. Les caves possèdent actuellement assez pour équiper une force de combat de 4 600 marines. L'armée américaine envisage d'agrandir le stock lui permettant de stocker suffisamment d'armes et d'équipements pour une Brigade expéditionnaire de marine (jusqu'à 16 000 militaires). Les planificateurs complètent une analyse du cache d'engrenage actuel qui devrait se terminer au cours des 12 prochains mois.
Il existe d'autres plans visant à accroître la présence militaire des États-Unis dans le pays. L'été dernier, un groupe d'étude de la marine américaine a visité les deux aéroports d'Andøya et Evenes dans le nord de la Norvège pour voir s'ils pouvaient héberger un avion de patrouille posidon américain P-8.
Selon le rapport du Centre d'études stratégiques et internationales (CSIS) basé à Washington, «L'ancienne base de la Royal Norwegian Navy à Olavsvern est idéale pour soutenir les opérations sous-marines dans l'extrême nord de l'Atlantique et Arctic Seas». Le document indique qu'il est possible pour la Norvège de nationaliser et de rouvrir une partie de l'installation pour soutenir la présence rotative de sous-marins américains. Olavsvern est la base navale la plus proche de l'OTAN dans la péninsule de Kola. Le document note que les États-Unis doivent tirer parti de leurs relations bilatérales avec la Norvège afin de développer et de déployer une nouvelle génération de capacités de détection sous-marine.
La construction d'un nouveau système de radar sophistiqué appelé Globus 3 à Vardø a démarré. Fortement, la mission du radar est de suivre les débris spatiaux, mais c'est un secret que le site est un élément de la défense antimissile balistique de l'OTAN (BMD) dirigée par les États-Unis.
RépondreSupprimerLe radar situé à Svalbard (l'Arctique) peut également être utilisé par les militaires américains à des fins de défense antimissile. Le site a été fréquemment visité par des responsables américains et des politiciens. Ce radar est installé en violation du traité de 1925 qui stipule que Svalbard a un statut démilitarisé.
La Norvège était plutôt sceptique vis-à-vis des plans de BMD. En 2002, la Norvège a condamné la décision des États-Unis de se retirer du Traité ABM. Jens Stoltenberg, l'actuel secrétaire général de l'OTAN, était sceptique quant au système lors d'un sommet à Moscou en 2007. Mais le Premier ministre Erna Solberg a annoncé la décision de rejoindre la défense antimissile de l'OTAN en 2015 - la même année, des navires norvégiens ont participé avec des capteurs radar dans un Exercice de BMD allié.
Le projet de radar commun américain-norvégien est un mouvement ouvertement hostile, qui est devenu un irritant pour avoir une incidence négative sur la relation bilatérale russo-norvégienne. Le bouclier antimissile va modifier l'équilibre stratégique permettant à Washington et à l'OTAN de lancer une première grève nucléaire sur la Russie et de l'empêcher de lancer une contre-grève. En outre, le radar sera utilisé pour la collecte de renseignements qui se situent à seulement 40 milles de la péninsule russe de Kola, où des sous-marins stratégiques et d'autres actifs militaires sont basés.
Selon le professeur Theodore Postol, professeur au Massachusetts Technological Institute et un savant bien connu, la Norvège «serait entraîné dans un conflit entre les grandes puissances ... Le radar à Vardø est du type GBR-P, anciennement déployé sur l'atoll de Kwajalein Dans le Pacifique. Il était autrefois destiné à être le radar le plus important dans le bouclier antimissile américain, destiné à être déployé en République tchèque ».
«La Norvège doit comprendre que, après être devenu un avant-poste de l'OTAN, il devra faire face à la Russie et à l'armée militaire de Russie», a déclaré à l'ambassadeur de Norvège, NRK, Teimuraz Ramishvili, ambassadeur de Russie à Oslo. «Par conséquent, il n'y aura plus d'Arctique pacifique». Fortement, la mission du radar est de suivre les débris spatiaux, mais c'est un secret que le site fait partie du système américain de défense antimissile balistique (BMD), ce qui fait de Norvège un objectif primordial d'attaque en cas de conflit.
RépondreSupprimerLa Norvège prévoit d'avoir plus de 50 avions de guerre F-35 FTS-35 fabriqués aux États-Unis en 2019. Cela lui permettra de franchir les profondeurs du territoire russe. Il souligne que la Norvège sera rapidement attirée sur toute guerre que l'OTAN a lancée contre la Russie. En effet, les préparatifs incontestablement font de la Norvège un objectif pour l'action militaire russe.
La présence militaire des États-Unis représente un changement de la politique en temps de paix consistant à interdire l'affichage de troupes étrangères en Norvège. Avant de rejoindre l'OTAN en 1949, la Norvège s'est engagée à ne pas permettre le déploiement de militaires étrangers sur son sol «tant qu'il n'est pas attaqué ou menacé d'attaque». Aucun gouvernement norvégien a déclaré qu'il était menacé par la Russie. Bien au contraire, il y a quelques jours, le Premier ministre Erna Solberg a déclaré qu'elle ne considère pas la Russie comme une menace pour la sécurité de la Norvège dans une interview avec le DW allemand. Selon elle, Oslo et Moscou ont un «bon partenariat», en particulier dans l'Arctique. «Nous ne croyons pas que la Russie soit une menace directe pour la Norvège, mais nous pensons que la Russie est devenue plus imprévisible dans ses politiques», a noté le Premier ministre. A peu près, la Russie est très prévisible parce qu'elle n'a pas d'alternative à prendre des mesures en réponse.
La frontière entre la Russie et la Norvège a été pacifique pendant des siècles. Les deux pays ont toujours été de bons voisins. Tout est en train de changer maintenant. Les troupes étrangères sur le sol norvégien et la construction du nouveau radar font partie d'une politique hostile à l'égard de la Russie, qui estime que les mouvements provocateurs sont inacceptables. Peut-être, il devrait être pris en compte par les politiciens norvégiens alors que le pays se rapproche des élections législatives de l'automne.
http://www.zerohedge.com/news/2017-06-18/norway-way-become-unfriendly-neighbor-russias-eyes
N'oublions pas qu'en cas d'attaque américaine depuis les bases européennes ce seront les pays d'accueil qui seront rayés en premier de la carte du monde !
SupprimerAllemagne: La police est sans pouvoir contre les gangs de crime du moyen-orient
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
19 juin 2017 3h30
Auteur de Soeren Kern via The Gatestone Institute,
Les observateurs ont supposé que la vraie raison de la clémence du juge était qu'il craignait que sa famille ne soit soumise à une rétribution du clan.
"Dans leur concept de masculinité, seulement le pouvoir et la force de la matière, si quelqu'un est humain et civil, cela est considéré comme une faiblesse. Dans les structures de clans, dans la culture tribale partout dans le monde, l'éthique est confinée au clan lui-même. Tout à l'extérieur du clan Est un territoire ennemi. " - Ralph Ghadban, politologue libanais-allemand et expert principal sur les clans du moyen-orient en Allemagne.
"L'État promeut le crime organisé avec l'argent des contribuables". - Tom Schreiber, membre de la Chambre des députés de Berlin.
Un tribunal de Hanovre a transmis des peines avec sursis à six membres d'un clan kurde qui ont grièvement blessé deux douzaines de policiers lors d'une violente agression à Hameln. La décision de la cour a été accueillie avec colère et dérision par la police qui a déclaré que c'était un autre exemple du laxisme du système judiciaire politiquement correct de l'Allemagne.
L'affaire remonte à janvier 2014, lorsqu'un membre du clan de 26 ans, arrêté pour vol qualifié, a tenté de s'échapper du bureau du magistrat en sortant d'une salle d'audience du septième étage. Le suspect a été emmené à l'hôpital, où il est décédé. Les membres de son clan ont ensuite saccagé l'hôpital, ainsi que le tribunal, et ont attaqué la police avec des pierres et d'autres projectiles; 24 policiers et six paramédicaux ont été blessés.
Le juge a déclaré qu'il était indulgent parce que les accusés ont été témoins de la mort de 26 ans et ont été traumatisés. Le juge a également révélé qu'il avait conclu un accord avec le clan, qui, entre autres effets, empêchait la police de témoigner devant les tribunaux.
Dietmar Schilff, président du syndicat de police de GdP en Basse-Saxe, a déclaré que la décision avait laissé de nombreux policiers se serrer la tête dans l'incrédulité: "Toutes les forces de police s'attendent à une protection et à un soutien de l'Etat". Il ajouta:
"Si nous voulons protéger ceux qui assurent la sécurité publique, il doit être clair que quiconque attaque des policiers attaque l'État - et doit craindre des conséquences appropriées. Peu importe de quel milieu les auteurs viennent".
Les observateurs ont supposé que la vraie raison de la clémence du juge était qu'il craignait que sa famille ne soit soumise à une rétribution du clan.
Les syndicats du crime du moyen-orient se sont établis en Allemagne, où ils se livrent à des coups de feu, des extorsions, du blanchiment d'argent, du proxénétisme et du trafic d'êtres humains, d'armes et de drogues.
Les syndicats, gérés par de grands clans d'origine au Liban, en Turquie et en Syrie, opèrent en toute impunité car les juges et les procureurs allemands ne peuvent ou ne veulent pas les arrêter.
RépondreSupprimerLes clans - dont certains ont migré vers l'Allemagne pendant la guerre civile du Liban 1975-1990 et ont augmenté jusqu'à des milliers de membres - contrôlent maintenant de vastes étendues de villes et de villes allemandes - des zones qui sont effectivement sans loi et que la police allemande craint de plus en plus d'approcher.
Ralph Ghadban, politologue libanais-allemand et spécialiste des clans du moyen-orient en Allemagne, a déclaré que la décision de Hanovre était un échec massif du système judiciaire allemand. Il a ajouté que la seule façon pour l'Allemagne de contrôler les clans est de les détruire:
"Dans leur concept de masculinité, seulement le pouvoir et la force de la matière, si quelqu'un est humain et civil, cela est considéré comme une faiblesse. Dans les structures de clans, dans la culture tribale partout dans le monde, l'éthique est confinée au clan lui-même. Tout à l'extérieur du clan Est un territoire ennemi. "
Dans une interview accordée à Focus, Ghadban a élaboré:
"J'ai suivi cette tendance depuis des années. Les clans se sentent tellement forts qu'ils attaquent l'autorité de l'État et de la police. Ils n'ont que le mépris pour le pouvoir judiciaire ... Le principal problème de traitement des clans: l'état Les institutions ne donnent aucune résistance. Cela rend les familles de plus en plus agressives - elles n'ont tout simplement aucun respect pour les autorités ...
"L'État doit détruire les structures du clan. Des policiers forts et bien formés doivent être respectés dans la rue. C'est un mauvais exemple si les membres du clan sont autorisés à blesser sérieusement 24 policiers et six autres sans avoir à craindre des conséquences réelles. Les avocats et les juges doivent être formés. Les tribunaux émettent des jugements faibles basés sur une fausse compréhension du multiculturalisme et la peur de la stigmatisation d'être qualifiés de racistes ...
"Les clans adhèrent à un groupe religieux, une sorte de secte avec une orientation islamique. La compréhension islamique de leur chef spirituel, Sheikh al-Habashi, décédé il y a quelques années, justifie la violence contre les incroyants. Il a enseigné qu'il n'y a que la Maison de guerre [Dar al-Harb], qui justifie de piller les incroyants et de posséder leurs femmes ... "
A Berlin, une douzaine de clans libanais dominent le crime organisé dans la capitale allemande, selon Die Welt. Ils contrôlent efficacement les quartiers de Charlottenburg, Kreuzberg, Moabit, Neukölln et Wedding. Les clans s'engagent à contrebalancer, à traiter les drogues, à voler les banques et les grands magasins de cambriolage. Les experts estiment qu'environ 9 000 personnes à Berlin sont membres de clans.
Les clans rejettent l'autorité de l'Etat allemand. Au lieu de cela, ils organisent un «système de justice parallèle» dans lequel les différends sont résolus entre eux avec des médiateurs d'autres familles criminelles. Un rapport de police classé a été divulgué à Bild. Il décrit comment les clans utilisent des paiements en espèces et des menaces de violence pour influencer les témoins chaque fois que la police ou les procureurs allemands s'impliquent.
RépondreSupprimerLes clans cherchent maintenant des refuges de réfugiés à la recherche d'hommes jeunes et physiquement forts pour rejoindre leurs rangs. Le procureur général Sjors Kamstra a expliqué:
"Les réfugiés viennent ici sans argent. On leur montre comment l'argent peu coûteux peut être obtenu très rapidement. La pauvreté rend cela séduisant. Beaucoup d'entre eux ne parlent pas l'allemand et sont naturellement vulnérables quand ils sont abordés par quelqu'un dans leur langue maternelle. Les réfugiés sont les bienvenus des nouveaux arrivants, car ils sont nouveaux ici et ne sont pas connus de la police ".
Les clans sont également entrés dans les affaires de réfugiés en achetant des biens immobiliers et en louant ces propriétés aux demandeurs d'asile à des prix exorbitants. Le magazine Focus a déclaré qu'ils blanchissaient de l'argent sale tout en étant payés par l'État allemand pour accueillir les migrants.
Les journalistes de Focus ont visité un appartement délabré à Berlin, dans lequel cinq réfugiés syriens ont été accueillis en 20 mètres carrés (215 pieds carrés). Sur le marché de location régulier, l'appartement aurait à peine gagné 300 € (335 $) par mois en location, mais le clan recueille environ 3 700 € (4 125 $) par mois auprès de l'État allemand, qui paie les propriétaires pour accueillir les migrants. «Les affaires avec les réfugiés sont maintenant plus rentables que le trafic de drogue», a déclaré Heinz Buschkowsky, ancien maire de Neukölln.
L'Office de police de Berlin (Landeskriminalamt) a confirmé que "le produit des infractions pénales, y compris le crime organisé, a été investi dans l'immobilier par les personnes concernées ou par des tiers". Tom Schreiber, membre de la Chambre des députés de Berlin, a déclaré que les clans ont exposé la faillite morale du gouvernement allemand: "L'État promeut le crime organisé avec l'argent des contribuables".
"Berlin est perdu", a déclaré Michael Kuhr, un consultant reconnu en sécurité à Berlin. "Ces structures de clans se sont installées dans tous les domaines du crime organisé. Nous ne reviendrons jamais sur la façon dont il y a 20 ans. De plus, ces personnes sont très dangereuses et ont perdu tout respect pour le pouvoir de l'État".
À Duisburg, un rapport de police divulgué révèle que dans le district de Marxloh, les rues sont effectivement contrôlées par des clans libanais qui rejettent l'autorité de la police allemande. Ils ont repris des rues entières pour mener des activités commerciales illégales. Les nouveaux migrants en provenance de Bulgarie et de Roumanie contribuent aux problèmes. Les rues de Marxloh servent de frontières invisibles entre les groupes ethniques, selon Die Welt. Les résidents parlent de "la route kurde" ou "la route roumaine".
RépondreSupprimerLa police dit qu'ils sont alarmés par l'agressivité et la brutalité des clans, qui sont censés considérer le crime comme une activité de loisir. Si la police ose intervenir, des centaines de membres de clan sont mobilisés pour faire face à la police. Une femme locale interrogée par la radio Deutschlandfunk a déclaré qu'elle avait peur pour sa sécurité: "Après le sombre, je ne resterais pas ici parce qu'il y a beaucoup de conflits entre étrangers, surtout entre les Libanais et les Turcs".
Un rapport de 17 pages préparé pour le parlement d'état en Rhénanie-du-Nord-Westphalie (NRW) a révélé que les clans libanais à Duisburg divisent les quartiers afin de poursuivre des activités criminelles. Ces clans ne reconnaissent pas l'autorité de la police. Leurs membres sont des hommes âgés de 15 à 25 ans et «près de 100%» d'entre eux sont connus de la police.
Le rapport décrit également la situation dans le district de Laar de Duisburg, où deux grandes familles libanaises appellent les tirs: «Les rues sont réellement considérées comme un territoire distinct. Les étrangers sont agressés physiquement, volés et harcelés. L'expérience montre que les clans libanais peuvent mobiliser plusieurs centaines Personnes en très peu de temps au moyen d'un appel téléphonique ".
Peter Biesenbach, des démocrates-chrétiens (CDU), a déclaré: "Si ce n'est pas un domaine non-go, alors je ne sais pas ce qui est." Il a appelé à une enquête officielle pour déterminer la véritable portée des clans criminels dans NRW.
Le ministre de l'Intérieur de NRW, Ralf Jäger, a rejeté cette demande parce qu'une telle étude serait politiquement incorrecte:
"La collecte de données supplémentaires n'est pas légalement permise. À l'intérieur comme à l'extérieur, toute classification qui pourrait être utilisée pour déprécier les êtres humains doit être évitée. À cet égard, l'utilisation du terme« clan familial »(Familienclan) est interdite du point de la police de vue."
Dans les environs de Gelsenkirchen, les clans kurdes et libanais rivalisent pour le contrôle des rues de la ville, dont certaines sont devenues des zones hors limites pour les autorités allemandes. Dans un incident, la police patrouillait dans une zone située dans la partie sud de la ville quand ils ont été soudainement entourés et agressés physiquement par plus de 60 membres d'un clan.
Dans un autre incident, deux policiers ont arrêté un conducteur après avoir couru un feu rouge. Le conducteur sortit de la voiture et s'enfuit. Lorsque la police l'a rattrapé, ils ont été confrontés à plus de 50 membres de clan. Un homme de 15 ans a attaqué un policier par derrière et l'a étranglé au point de l'inconscience.
Des membres seniors du département de police de Gelsenkirchen ont ensuite tenu une réunion secrète avec des représentants de trois clans arabes afin de "cultiver la paix sociale entre les Allemands et les Libanais". Un rapport de police divulgué révèle que les clans ont déclaré au chef de la police Ralf Feldmann que «la police ne peut pas gagner une guerre avec les Libanais parce que nous sommes plus nombreux que ceux-ci». Les membres du clan ont ajouté: "Cela s'applique à tous les Gelsenkirchen, si nous le choisissons".
RépondreSupprimerLorsque Feldman a répondu qu'il envoyait les renforts de la police pour perturber ses activités, les membres du clan se mirent à rire et disaient: "Le gouvernement n'a pas assez d'argent pour déployer le nombre de policiers nécessaires pour affronter les Libanais". Le rapport de la police a conclu que les autorités allemandes ne devraient pas susciter d'illusions quant à l'équilibre actuel des pouvoirs: "La police serait vaincue".
Un autre rapport de police divulgué a révélé que les clans sont le «corps exécutif d'un système judiciaire parallèle existant pour statuer sur les affaires entre les grandes familles kurdes et libanaises dans la région ouest de la Ruhr». Ces clans «méprisent la police et les tribunaux allemands» et «réglent leurs affaires selon leurs propres conditions».
Le Frankfurter Neue Presse a rapporté que les clans kurdes, libanais et roumains ont divisé les districts de Gelsenkirchen de Bismarck, Rotthausen et Ückendorf, y compris autour de la gare centrale, et ont «réclamé des rues individuelles pour eux-mêmes».
Arnold Plickert, le chef de l'union de la police en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, a prévenu: «Plusieurs groupes de rockeurs concurrents, ainsi que des clans libanais, turcs, roumains et bulgares se battent pour la suprématie des rues. Ils font leurs propres règles; La police n'a plus rien à dire.
A Düsseldorf, deux membres d'un clan ont agressé brutalement une femme de 49 ans qui a été témoin d'un accident de voiture dans le district de Flingern. Son erreur, apparemment, était de corroborer la «mauvaise» version de ce qu'elle voyait. Le Rheinische Post a appelé le gouvernement allemand à combattre les clans:
"La menace demeure, en particulier partout où les grandes familles, principalement des immigrants, placent le prétendu besoin de protection de leurs proches avant tout. La volonté de la violence est excellente, le seuil d'inhibition est faible. La punition des lois existantes empêche à toute personne . "
À Naumburg, la police a confisqué le permis de conduire d'Ahmed A., un membre de 21 ans d'un clan syrien lors d'un arrêt de circulation. Presque immédiatement, la police était entourée d'une foule d'autres membres du clan. La police s'est retirée. La foule s'est ensuite rendue au poste de police, qui a procédé au renvoi.
Ahmed A., un délinquant en série dont la demande d'asile a été rejetée, mais qui reste en Allemagne, a déclaré: "Fermez-moi. Je n'ai rien à perdre. Je vais mettre une balle à la tête de tous les agents de police. Je ferai Votre vie se sent comme l'enfer. Ensuite, je serai un tueur de policiers. " Il a également averti le policier qui a saisi sa licence: «Je vais détruire sa vie. Je sais exactement où il vit». Il a ensuite expliqué ce qu'il ferait à la femme et à la fille de l'officier. Ahmed A. a été autorisé à marcher librement; La police a déclaré qu'il n'y avait pas de motifs suffisants pour son arrestation.
RépondreSupprimerLa police de Naumburg a défendu sa faible réponse en raison d'un manque de personnel, mais le parlementaire régional Daniel Sturm a souligné l'image: «Nous parlons de résistance au pouvoir de l'État». Le ministre de l'Intérieur de Saxe-Anhalt, Holger Stahlknecht, a déclaré qu'il semblait que le clan syrien avait établi une «société parallèle» à Naumburg. Un journal local a noté que l'échec de la police à agir "ressemble à la capitulation de l'état de droit (Rechtsstaat)".
À Mülheim, environ 80 membres de deux clans rivaux sont entrés dans une bagarre de masse suite à un conflit entre deux adolescents. Lorsque la police est arrivée, ils ont été attaqués avec des bouteilles et des pierres. Plus de 100 policiers soutenus par des hélicoptères ont été déployés pour rétablir l'ordre. Cinq personnes ont été mises en détention mais ont été libérées.
À Munich, la police a arrêté 20 femmes membres d'un clan croate qui seraient responsables de jusqu'à 20% de tous les cambriolages commis en Allemagne. Les enquêteurs croient que le clan compte au moins 500 membres dans toute l'Allemagne.
À Brême, la police s'est effectivement rendue à des clans du Kurdistan et des Balkans en raison de la nécessité de conserver des ressources limitées en personnel pour lutter contre la spirale de la criminalité de rue par les jeunes migrants.
Rainer Wendt, responsable de l'Union policière allemande (DPolG), a critiqué les responsables de la ville pour leur manque de résolution. "Bremen a capitulé à des clans extrêmement dangereux. Le monopole de l'état de l'utilisation légitime de la force physique [Gewaltmonopol des Staates] devient maintenant la loi de la jungle. La sécurité continue de s'effondrer".
http://www.zerohedge.com/news/2017-06-18/germany-police-powerless-against-middle-eastern-crime-gangs
Comme en tout pays où la démocratie est absente c'est la dictature qui prédomine. Les allemands ne sont donc pas défendu contre l'agression étrangère encouragée par la chef d'État !
SupprimerDe tous temps les humains ont appris à copier ce qui marche, ainsi s'est développé le progrès avec tous ses outils améliorés. Mais, bizarrement, alors qu'il y a des pays qui marchent et font rêver, et attirent chaque années des millions de personnes qui immigrent, les pays qui se dépeuplent demeurent idiotement dans leur béatitude de la stagnation !
Pire encore, à l'heure de l'Internet dans le monde, aucun des pays sous-développé ne prend pour exemple ceux qui attirent ! Çà alors !
C'est donc à ce refus de culture des masses invasives que sont confrontés aujourd'hui les pays avancés.
Illinois Death Watch continue ...
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
19 juin 2017 10:32
Auteur de John Rubino via DollarCollapse.com,
Il a fallu longtemps, mais la catastrophe financière lente de l'Illinois est maintenant une nouvelle page. Quelques exemples récents:
Travaux routiers pourraient s'arrêter dans l'Illinois en raison de l'impasse budgétaire
(Chicagoist) - Le travail de la route à travers l'Illinois pourrait s'arrêter à la fin de juin en raison de l'impasse du budget de l'état continu, a annoncé mercredi un représentant du ministère des Transports de l'Illinois (IDOT). L'IDOT sera incapable de payer les entrepreneurs le 1er juillet, à moins que l'État ne prenne une mesure de financement Stopgap.
IDOT a déclaré aux entrepreneurs que «tous les travaux de construction doivent être fermés le 30 juin», selon un communiqué. "Les entrepreneurs seront invités à sécuriser les zones de travail pour assurer leur sécurité lors d'un arrêt éventuel".
L'Illinois est passé près de deux années complètes sans budget d'État, ce qui a frappé le financement de l'éducation dans l'ensemble de l'État et a généré plus de 14 milliards de dollars de factures impayées.
L'été est à la fois une saison de construction en grand volume et un temps vaguement sinistre pour cesser les réparations routières; La semaine dernière, IDOT a publié une déclaration indiquant que la chaleur pourrait conduire à un «flambage ou soufflage» de la chaussée.
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Powerball, Mega Millions pour arrêter la loterie de l'Illinois en raison de l'incapacité de l'État à payer les gagnants
(Mish) - Les deux loteries Powerball et Mega Millions vont sortir de l'Illinois le 30 juin en raison de l'impasse budgétaire.
Sans un budget en place, l'État n'est pas autorisé à effectuer des paiements à l'association ou à Mega Millions.
Le produit de la loterie représente environ 2% du revenu de l'État. En ce qui concerne les recettes, la perception de l'impôt sur le revenu des sociétés a diminué de 41,3%. Les taxes de vente sont plates. Comment cela devrait-il fonctionner ?
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L'Illinois pourrait-il être le premier État à déposer sa faillite ?
(CBS) - Les résidents de l'Illinois peuvent se sentir solidaires avec les goûts de Porto Rico et de Detroit.
Une crise financière est en train de devenir un grave problème pour les législateurs de l'Illinois, incitant certains observateurs à se demander si l'état pourrait faire l'histoire en devenant le premier à faire faillite. À l'heure actuelle, il est impossible pour un État de déposer une demande de protection contre la faillite, qui n'est accordée qu'aux comtés et aux municipalités comme Detroit.
Le chapitre 9 de la protection contre la faillite pourrait être étendu aux États si le Congrès a abordé le problème, bien que le professeur de l'école de droit de Stanford, Michael McConnell, a noté dans un article l'année dernière qu'il croyait que les précédents sont douteux pour étendre l'option aux États. Néanmoins, l'Illinois est dans un piqueur financier sérieux, c'est pourquoi des options radicales telles que la faillite sont lancées comme des solutions potentielles.
RépondreSupprimerL'agence de notation Moody's Investor Service, au début de ce mois, a dégradé les obligations d'obligations générales de l'Illinois à sa plus faible note d'investissement, citant l'augmentation croissante des factures impayées par l'État et son déficit de retraite croissant. Illinois, en passant, a la cote de crédit la plus faible de n'importe quel état. Des notes plus faibles signifient des coûts d'emprunt plus élevés, puisque les prêteurs considèrent ces emprunteurs comme des paris plus risqués.
"Le blocage législatif a détourné les efforts non seulement pour répondre aux besoins des retraités, mais aussi pour atteindre l'équilibre budgétaire, ce qui permet à un arriéré de factures d'atteindre 15 milliards de dollars, soit environ 40% du budget d'exploitation de l'État", a souligné l'agence.
Comme l'a noté le Financial Times, l'Illinois est le seul État qui fonctionne sans un budget équilibré et complet depuis près de deux ans.
"Nous sommes comme une république bananière. Nous ne pouvons pas gérer notre argent ", a déclaré le gouverneur Bruce Rauner après que l'Assemblée législative de l'Illinois n'ait pas réussi à produire un budget complet de 2017 plus tôt ce mois-ci.
Deux grandes questions
Compte tenu de l'immensité de ses obligations en matière de retraite, des obstacles juridiques à la simple réduction des avantages et à la baisse des recettes fiscales, l'Illinois est un verrou à défaut de certaines ou de toutes ses obligations au cours des prochaines années. C'est un problème pour les retraités, les entrepreneurs de l'État et presque tous ceux qui se soucient des services publics locaux. En d'autres termes, la vie va devenir beaucoup plus difficile pour les personnes vivant dans l'État, et surtout pour ceux qui vivent dans Chicago à double guichet.
Mais l'impact réel sera ressenti plus loin, lorsque tout le monde avec de l'argent à risque commence à demander qui est le prochain - et à trouver une longue liste de suspects probables.
RépondreSupprimerSi l'Illinois défait, combien le derrière peut-il être le New Jersey, le Kentucky ou le Connecticut ? Non loin, selon les tendances actuelles. Et si ces États suivent l'Illinois, que valent les obligations italiennes? Pas tant.
La deuxième grande question est la suivante: comment les gouvernements plus forts répondront-ils à l'implosion des plus faibles ? Si les états échoués sont renfloués par le solvant résiduel, qu'est-ce que cela fait pour les bilans des derniers ? Dans certains cas, il les décime.
Le dilemme ? Permettre aux états échoués de défrayer le système bancaire mondial, mais les renflouer remplace une crise de la dette par une crise de la monnaie. Dans un monde à prix raisonnable, l'un ou l'autre conduira à une reprise globale des actifs - autrement dit, un marché boursier épique.
http://www.zerohedge.com/news/2017-06-19/illinois-death-watch-continues
Les 100 meilleures entreprises du monde: revenus par rapport aux bénéfices
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
19 juin 2017 2:45
Il y a un peu plus d'un mois, Visual Capitalist a publié une visualisation de données très détaillée qui a résumé les 50 meilleures entreprises au monde grâce aux revenus, selon les données de Forbes.
Mais, comme le note Jeff Desjardins, il suffit de regarder les chiffres de revenus sans donner une image complète de la comparaison de ces sociétés - et de nombreux investisseurs s'occupent beaucoup plus d'une mesure de performance différente: le bénéfice.
La visualisation de données de Roday d'Ishtyaq Habib montre les 100 plus grandes entreprises par valeur de marché, mais utilise des cercles pour représenter à la fois les revenus et les bénéfices pour chaque entreprise. Il existe également une version interactive du même tableau, qui met en évidence les chiffres spécifiques de chaque entreprise.
- voir graphique sur site -
Courtoisie de: Visual Capitalist
APPLE = UNE MACHINE D'ARGENT
La première différence notable dans cette version ?
C'est que Apple est sans équivalent dans sa capacité à gagner de l'argent. En fait, le bénéfice 2016 de Apple de 45 milliards de dollars est beaucoup plus grand que n'importe quelle autre société, dont Berkshire Hathaway (24 milliards de dollars), JPMorgan Chase (24 milliards de dollars), Wells Fargo (22 milliards de dollars), Alphabet (19 milliards de dollars), Samsung (19 milliards de dollars) , Toyota (17 milliards de dollars), Johnson & Johnson (16 milliards de dollars) ou Walmart (14 milliards de dollars).
Les seules entreprises qui peuvent se comparer avec Apple étaient des banques chinoises comme ICBC, Agricultural Bank of China ou China Construction Bank, mais à bien des égards, ces entreprises publiques sont sur un terrain de jeu entièrement différent de toute façon.
Également impressionnant: les bénéfices d'Apple sont plus importants que les revenus d'entreprises massives comme Coca-Cola (41,5 milliards de dollars) ou Facebook (27,6 milliards de dollars).
MARGINS, SCHMARGINS
Malheureusement, toutes les entreprises ne peuvent pas faire une marge bénéficiaire de 21% sur un chiffre d'affaires de 217 milliards de dollars, comme Apple.
D'autres organisations doivent s'appuyer sur des marges et des volumes minces pour que les choses fonctionnent. Walmart a seulement généré un profit de 14 milliards de dollars sur un chiffre d'affaires de 485 milliards de dollars, soit une marge de seulement 2,8%. Pendant ce temps, l'Amazone à croissance rapide était dans un bateau similaire avec des marges de 1,7%, largement fourni par son service AWS extrêmement prospère.
RépondreSupprimerEnfin, il convient de noter que certains de la liste n'ont pas marqué la totalité. Ce sont principalement des entreprises qui souffrent des défis des cycles de baisse des ressources naturelles. Chevron et le géant minier Glencore, par exemple, étaient deux des 100 premières entreprises qui ont tous deux perdu de l'argent en 2016, tandis que BP a essentiellement failli.
http://www.zerohedge.com/news/2017-06-18/worlds-top-100-companies-revenue-versus-profits