Il est cocasse de noter que les défaillances de l’Accord de Paris avaient été dénoncées par les tenants de l’écologiquement correct, ceux-là mêmes qui aujourd’hui le défendent pour mieux s’insurger contre la décision de Donald Trump.
13 JUIN 2017
Par Fabio Rafael Fiallo.
Les critiques à la décision de Donald Trump de retirer les États-Unis de l’Accord de Paris sur le climat (COP21) ont atteint une virulence hors du commun. À Paris, bien sûr, où Ségolène Royal le jugea un « très grave délit contre l’humanité » et Laurent Fabius, une « faute honteuse ».
De l’autre côté de l’Atlantique, l’ancien vice-président John Kerry n’est pas allé de main morte, qualifiant une telle décision d’acte « insensé », « dangereux » et « indéfendable », cependant que Nancy Pelosi, actuelle leader de la minorité démocrate dans la Chambre des Représentants, affirma que, ce faisant, Trump « déshonore Dieu ».
Cerise sur le gâteau, l’Union américaine pour les libertés civiles (ACLU), organisation de défense des droits civiques aux États-Unis, voit dans ce retrait rien de moins qu’un « assaut contre les communautés de couleur des États-Unis ».
TIRS GROUPÉS DES TENANTS DE L’ÉCOLOGIQUEMENT CORRECT
Devant pareil tir groupé des tenants de l’écologiquement correct, la prudence dicte de la boucler, sous peine d’être accusé de négationnisme écologique.
Et pourtant, il sera difficile de balayer, par la pression des bienpensants, l’argument de ceux qui doutent que le problème du réchauffement climatique soit de nature à être résolu ou même endigué par un accord intergouvernemental comme celui qui nous occupe ; un accord qui, pour être adopté, laisse à chaque pays le loisir de fixer ses propres limites aux émissions de gaz carbonique et, qui plus est, ne comporte pas de dispositions sur l’application de ces promesses.
Ainsi, le Président Obama crut bon engager les États-Unis à réduire de 26 à 28% les émissions de gaz à effet de serre pour 2025. En revanche, la Chine, actuellement le plus grand pollueur de la planète, déclara son intention, non pas de diminuer ses émissions sur la même période, mais, tenez-vous bien, de continuer à les augmenter jusqu’en 2030, après quoi (promis et juré) elle commencerait à les réduire.
COMPARAISON AVEC LA CHINE
Pour justifier ce deux poids deux mesures, d’aucuns font ressortir qu’en Chine, le niveau des émissions de CO2 par habitant est bien inférieur à celui des États-Unis. Ce à quoi on peut aisément riposter que pour produire un même niveau de PIB, la Chine émet déjà deux fois plus de gaz à effet de serre que les États-Unis, et donc qu’il n’y a pas de raison valable pour qu’elle puisse continuer à les augmenter pour une décennie et demie de plus.
Il faut dire que le président Obama n’était pas à son coup d’essai en matière d’engagements hasardeux. Il suffit de rappeler sa fameuse ligne rouge sur l’utilisation d’armes chimiques en Syrie ; ligne rouge franchie par le régime de Bachar el-Assad sans déclencher une réaction quelconque de la part d’Obama. Alors, une ligne rouge irréfléchie de plus, cette fois sur les limites aux émissions de gaz carbonique, pourquoi Obama s’en serait-il privé ?
OPINIONS ÉCOLOGISTES CHANGEANTES SUR L’ACCORD DE PARIS
Il est cocasse de noter que les défaillances de l’Accord de Paris avaient été dénoncées par les tenants de l’écologiquement correct, ceux-là mêmes qui aujourd’hui le défendent, lui trouvant des vertus inouïes, pour mieux s’insurger contre la décision de Donald Trump.
Au moment de la signature de l’accord, ils affirmaient presque à l’unisson que celui-ci était loin de pouvoir atteindre la réduction des émissions de gaz carbonique qu’ils jugent indispensable. Un exemple : la très écologiste ONG Les Amis de la Terre affirmait que la COP21 était une « farce » « condamnée à échouer ».
Leurs critiques d’alors n’étaient pas dépourvues de sens. L’Accord de Paris établit que, pour sauver la planète, il faudrait limiter la hausse de la température mondiale à tout au plus 2 degrés à l’horizon de 2100.
LA TEMPÉRATURE AUGMENTERA QUAND MÊME
Or, une étude réalisée par des scientifiques du Massachusetts Institute of Technology (MIT) montre que si les engagements de la COP21 étaient respectés dans leur intégralité, l’augmentation de la température dépasserait le 2% déjà en 2053 et atteindrait entre 2,7 et 3,6 degrés en 2100 ; c’est-à-dire qu’elle se situerait bien au-dessus du maximum de 2% stipulé par ce même accord.
Curieusement, les auteurs de ce rapport font partie de ceux qui, après avoir reconnu les insuffisances de la COP21, tirent aujourd’hui à boulets rouges contre la décision de Donald Trump, arguant qu’il vaut mieux un accord imparfait que pas d’accord du tout.
La philosophie et les insuffisances de la COP21 rappellent à s’y méprendre celles d’un accord intergouvernemental négocié en 1975 à Lima, Pérou, dans le cadre de l’Organisation des Nations unies sur le développement industriel (Onudi).
INTERVENTIONNISME MONDIAL
À cette occasion, les gouvernements du monde entier se crurent en mesure de réorganiser – par le biais d’un oukase intergouvernemental –l’activité industrielle mondiale, et ce, dans le but d’accroître à 25%, à l’horizon de l’an 2000, la part qui devait revenir aux pays en développement dans la production totale des articles manufacturés.
In fine, les pays en développement ont réussi à augmenter significativement leur part dans ce domaine (pour preuve, les redoutables délocalisations ), mais non pas grâce à l’Accord de Lima, lequel est resté lettre morte, mais parce qu’ils se mirent à jouer à fond la carte des lois de l’offre et de la demande, devenant de redoutables concurrents dans l’économie mondialisée.
LA LEÇON DE L’ÉCHEC DE L’ACCORD DE LIMA
Les décideurs internationaux d’aujourd’hui seraient bien avisés de s’inspirer de l’expérience dans le domaine de la production industrielle, et de l’échec de l’Accord de Lima, et miser, non pas sur des engagements fantaisistes promis le temps d’une conférence internationale, mais sur les lois de l’offre et de la demande, et sur l’innovation technologique encouragée par celles-ci, pour cette fois lutter contre le réchauffement climatique.
Par ailleurs, le fonctionnement des lois de l’offre et de la demande, et le progrès technologique qui en découle, commence à jouer un rôle important dans la réduction de la production de charbon, un des moutons noirs des pourfendeurs des émissions de gaz à effet de serre.
En effet, selon une récente étude réalisée par Charles Kolstad, de l’université de Stanford, la fracturation hydraulique, et donc la production de pétrole et de gaz de schiste (phénomène qui répond à la recherche de rentabilité suscitée par les lois du marché), a contribué à réduire sensiblement la production de charbon aux États-Unis.
UN ACCORD INTERGOUVERNEMENTAL NE PEUT PAS FAIRE MIEUX QUE LES LOIS DU MARCHÉ
La leçon à tirer aussi bien de l’échec de l’Accord de Lima que de la réduction de la production de charbon grâce à l’essor du gaz et du pétrole de schiste est la même : dans la lutte contre le réchauffement climatique, aucun accord intergouvernemental ne saurait faire mieux que les lois du marché.
Pour autant, bien entendu, que celles-ci ne se voient pas entravées par des réglementations insensées et que l’État se limite à jouer le rôle qui lui revient dans la création des infrastructures énergétiques de base et la promotion de la recherche et le développement.
Qu’on se le dise : l’auteur de cet article n’éprouve aucune sympathie pour l’actuel locataire de la Maison Blanche. Le style le rebute. Le protectionnisme, aussi bien dans le domaine commercial que dans celui des flux migratoires, suscite sa désapprobation.
Puis, les soupçons de connivence entre la Russie et l’équipe de campagne de Trump sont plus qu’inquiétants et doivent, le cas échéant, mener à des sanctions appropriées. Mais de là à considérer la sortie des États-Unis de l’Accord de Paris comme une catastrophe planétaire, voire comme un crime écologique ou même racial, est une posture qui, à la lumière des considérations présentées ci-dessus, ne tient pas debout.
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(...) Ainsi, le Président Obama crut bon engager les États-Unis à réduire de 26 à 28% les émissions de gaz à effet de serre pour 2025. En revanche, la Chine, actuellement le plus grand pollueur de la planète, déclara son intention, non pas de diminuer ses émissions sur la même période, mais, tenez-vous bien, de continuer à les augmenter jusqu’en 2030, après quoi (promis et juré) elle commencerait à les réduire. (...)
RépondreSupprimerPrimo, scientifiquement, il n'y a PAS de 'gaz a effet de serre' à l'extérieur. Secundo, le gaz carbonique n'est PAS un poison et d'en émettre est TRÈS bon pour nous car il profite aux arbres qui le transforment immédiatement en oxygène (comme le font également les phytoplanctons). Tertio, les 'GIEC', 'COP21' et autres définitions savantologues ne sont PAS reconnues par les scientifiques et sont définies comme étant des escroqueries au même titre que le 'Global Warming'. Quarto, TOUS les gaz se recyclent.
Trump: "Fake News Media n'a jamais été aussi mal ou si sale", 9ème circuit de Slams
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
13 juin 2017 7h43
Trump a perdu peu de temps avant de lancer ses salves d'ouverture sur Twitter le mardi matin, lorsque le président a d'abord été après le «Fake News Media» juste après 6h30, accusant la presse de publier des histoires fausses.
"The Fake News Media n'a jamais été si mal ou si sale. Des histoires extrêmement fausses et des sources fausses pour répondre à leur programme de haine. Triste!" Trump a frappé dans son premier tweet mardi.
Il n'a pas été immédiatement clair quelle histoire particulière (ou histoires) a provoqué la colère de Trump ce matin. Le dernier tweet du président est arrivé heures avant que le procureur général Jeff Sessions ne comparaisse devant le Comité sénatorial du renseignement et, peu de temps après, Christopher Ruddy, directeur général du site d'information et du réseau de télévision Newsmax, a déclaré lors d'une interview sur "PBS NewsHour" que Trump Pense à licencier un conseiller spécial Robert Mueller.
Comme NBC l'a noté la nuit dernière, on peut se demander comment les commentaires de Ruddy sont fiables. "Il est souvent décrit comme un ami proche de Trump, et les journalistes l'ont repéré à la Maison-Blanche lundi. Mais une source familière avec la visite a déclaré à NBC News que toute réunion que Ruddy aurait eu avec le président a été reportée. Des remarques ont suscité cette réponse sur Twitter du représentant Adam Schiff de Californie, le meilleur démocrate du Comité du renseignement, qui a déclaré que le comité revoit encore Mueller et conseille au président: "Ne perdez pas notre temps".
"Je ne peux pas savoir qu'ils vont être assez fous pour faire face à cette menace", a déclaré Schiff plus tard dans une interview sur "Hardball" de MSNBC, ajoutant: "Je pense que c'est juste un moyen de susciter des doutes à ce sujet Bon homme respecté par les gens des deux côtés de l'allée ".
Ruddy lui-même a dit à PBS: "Personnellement, je pense que ce serait une erreur très importante, même si je ne pense pas qu'il y ait une justification pour un avocat spécial dans cette affaire".
Dans un tweet de suite, le président a de nouveau suivi la Cour d'appel du 9ème circuit mardi après qu'il ait statué contre l'interdiction de voyage du président.
"Eh bien, comme prévu, le 9ème circuit l'a fait à nouveau - Ordonné contre le BANQUE DE VOYAGE à un moment aussi dangereux dans l'histoire de notre pays. S.C." Trump a tweeté, se référant à la Cour suprême.
Comme l'a rapporté lundi, le tribunal de San Francisco a affirmé en grande partie que la décision de la Cour de district de Hawaii bloquant certaines parties de l'ordonnance, qui interdit temporairement aux ressortissants de six pays à majorité musulman d'entrer aux États-Unis, a suspendu l'entrée de tous les réfugiés et réduit la Plafond sur l'admission de réfugiés de 110 000 à 50 000 pour l'année financière de 2017. Lors d'un jugement unanime lundi, un tribunal de trois juges sur le tribunal a déclaré que l'ordonnance révisée de Trump n'offrait pas une justification suffisante pour suspendre l'entrée de plus de 180 millions de personnes sur la base de la nationalité.
RépondreSupprimerTrump plus tôt ce mois-ci a renouvelé le débat sur son ordre à la suite de l'attaque à Londres. Dans une série de tweets suite à l'attaque de Londres, le président a mentionné son ordre comme une «interdiction de voyage» et a insisté sur le fait qu'il fallait garder les États-Unis en sécurité.
Par ailleurs, un groupe de 17 procureurs généraux a déposé une requête devant la Cour suprême, visant à empêcher une audience sur l'appel de Trump, mettant effectivement fin au débat avant même de commencer.
http://www.zerohedge.com/news/2017-06-13/trump-fake-news-media-has-never-been-so-wrong-or-so-dirty-slams-9th-circuit
Les scientifiques font du plastique avec du sucre et du gaz carbonique
RépondreSupprimer13 juin 2017
par Vicky Just
Certains plastiques biodégradables pourraient à l'avenir être fabriqués à l'aide de sucre et de gaz carbonique, en remplaçant les plastiques non durables fabriqués en pétrole brut, suite à des recherches menées par des scientifiques du Centre pour les technologies chimiques durables (CSCT) de l'Université de Bath.
Forme plus sûre de polycarbonate plastique
Le polycarbonate est utilisé pour fabriquer des bouteilles de boissons, des verres pour lunettes et des revêtements résistant aux rayures pour les téléphones, les CD et les DVD
Les procédés de fabrication actuels pour le polycarbonate utilisent le BPA (interdit d'être utilisé dans les biberons) et le phosgène hautement toxique, utilisé comme arme chimique à la Première Guerre mondiale
Les scientifiques de Bath ont fabriqué d'autres polycarbonates à partir de sucres et de gaz carbonique dans un nouveau procédé qui utilise également de faibles pressions et la température ambiante, ce qui rend moins coûteux et plus sûr de produire
Ce nouveau type de polycarbonate peut être biodégradé dans le dioxyde de carbone et le sucre à l'aide d'enzymes provenant de bactéries du sol
Ce nouveau plastique est biocompatible, de sorte qu'il pourrait être utilisé à l'avenir pour les implants médicaux ou comme échafaudages pour l'augmentation des organes de remplacement pour la transplantation.
Les polycarbonates provenant des sucres offrent une alternative plus durable au polycarbonate traditionnel du BPA, mais le procédé utilise un produit chimique hautement toxique appelé phosgène. Maintenant, les scientifiques de Bath ont développé une alternative beaucoup plus sûre, encore plus durable, qui ajoute du gaz carbonique au sucre à de faibles pressions et à température ambiante.
Biodegradable et biocompatible
Le plastique résultant a des propriétés physiques similaires à celles dérivées de produits pétrochimiques, étant forte, transparente et résistante aux rayures. La différence cruciale est qu'ils peuvent être dégradés dans le gaz carbonique et le sucre en utilisant les enzymes trouvées dans les bactéries du sol.
Le nouveau plastique sans BPA pourrait éventuellement remplacer les polycarbonates actuels dans des articles tels que des biberons et des récipients alimentaires, et comme le plastique est biocompatible, il pourrait également être utilisé pour des implants médicaux ou comme échafaudages pour la culture de tissus ou d'organes pour la transplantation.
Le Dr Antoine Buchard, chercheur de recherche de Whorrd dans le département de chimie de l'Université, a déclaré: «Avec une population toujours croissante, il y a une demande croissante pour les plastiques. Ce nouveau plastique est une alternative renouvelable aux polymères à base de combustibles fossiles, peu coûteux et, parce qu'il est biodégradable, ne contribuera pas à la croissance de l'océan et des déchets d'enfouissement.
RépondreSupprimer"Notre procédé utilise du gaz carbonique au lieu du phosgène chimique hautement toxique, et produit un plastique exempt de BPA, donc non seulement le plastique est plus sûr, mais le processus de fabrication est plus propre".
Utilisation de la nature pour l'inspiration
Le Dr Buchard et son équipe du Centre for Sustainable Chemical Technologies ont publié leur travail dans une série d'articles dans les revues Polymer Chemistry and Macromolecules.
En particulier, ils ont utilisé la nature comme source d'inspiration pour le processus, en utilisant le sucre trouvé dans l'ADN appelé thymidine comme élément de construction pour créer un nouveau polycarbonate plastique avec beaucoup de potentiel.
Le doctorant et premier auteur des articles, Georgina Gregory, a expliqué: «La thymidine est l'une des unités qui composent l'ADN. Parce qu'elle est déjà présente dans le corps, cela signifie que ce plastique sera biocompatible et peut être utilisé en toute sécurité pour Applications d'ingénierie tissulaire.
«Les propriétés de ce nouveau plastique peuvent être ajustées en ajustant la structure chimique - par exemple, nous pouvons rendre le plastique chargé positivement afin que les cellules puissent s'en tenir à cela, ce qui le rend utile comme échafaudage pour l'ingénierie tissulaire. De tels travaux d'ingénierie tissulaire ont déjà commencé en collaboration avec le Dr Ram Sharma de Chemical Engineering, également une partie du CSCT.
Utiliser les sucres comme alternatives renouvelables à la pétrochimie
Les chercheurs ont également examiné l'utilisation d'autres sucres tels que le ribose et le mannose.
Le Dr Buchard a ajouté: «Les chimistes ont 100 ans d'expérience avec l'utilisation de la pétrochimie comme matière première, donc nous devons recommencer à utiliser des matières premières renouvelables comme les sucres comme base pour des matériaux synthétiques mais durables. C'est tôt, mais le futur est prometteur.
https://phys.org/news/2017-06-scientists-plastic-sugar-carbon-dioxide.html
Le secret de défense de la bactérie E. coli a révélé
RépondreSupprimer13 juin 2017
par Bill Steele
En marquant les protéines d'une cellule avec des balises fluorescentes, les chercheurs de Cornell ont découvert comment les bactéries E. coli se défendent contre les antibiotiques et autres poisons. Probablement pas de bonnes nouvelles pour les bactéries.
Lorsque des molécules indésirables apparaissent, la cellule bactérienne ouvre un tunnel à travers ses cellules; Mur et "efflux", ou pompes, les intrus.
"L'assemblage dynamique de ces tunnels a longtemps fait l'objet d'une hypothèse", a déclaré Peng Chen, professeur de chimie et de biologie chimique. "Maintenant, nous les voyons".
Les résultats pourraient conduire à des moyens de lutter contre les bactéries résistantes aux antibiotiques avec un «cocktail» de drogues, il suggère: «L'un est d'inhiber l'assemblage du tunnel, le prochain consiste à tuer les bactéries».
Pour étudier le processus défensif des bactéries, Chen et ses collègues de Cornell ont sélectionné une souche de E. coli connue pour pomper des atomes de cuivre qui autrement empoisonneraient les bactéries. Les chercheurs l'ont génétiquement modifié, ajoutant à l'ADN qui code pour une protéine défensive une séquence d'ADN supplémentaire qui code pour une molécule fluorescente.
Sous un microscope puissant, ils ont exposé une cellule bactérienne à un environnement contenant des atomes de cuivre et ont périodiquement zapped la cellule avec un laser infrarouge pour induire une fluorescence. Après les feux clignotants, ils ont eu un «film» montrant où la protéine marquée a voyagé dans la cellule. Ils ont encore génétiquement modifié les diverses protéines pour activer et désactiver leur capacité de liaison au métal et ont observé les effets.
Leur recherche a été rapportée Jybe 12 dans l'édition Early Online des Actes de l'Académie nationale des sciences la semaine du 12 juin. Les chercheurs de Cornell ont également collaboré avec des scientifiques de l'Université de Houston, de l'Université de l'Arizona et de l'Université de Californie, Los Angeles.
La protéine clé, connue sous le nom de CusB, réside dans le périplasme, l'espace entre les membranes interne et externe qui forment la paroi cellulaire de la bactérie. Lorsque CusB se lie à un intrus - dans cette expérience, un atome de cuivre - qui a traversé la membrane extérieure poreuse, change de forme pour s'attacher entre deux protéines apparentées dans les membranes interne et externe pour former un complexe connu sous le nom de CusCBA qui agit comme un tunnel à travers le mur cellulaire. La protéine interne a un mécanisme pour attraper l'intrus et le faire passer.
Le tunnel verrouille les membranes interne et externe, rendant le périplasme moins flexible et interférant avec ses fonctions normales. La capacité d'assembler le tunnel uniquement lorsque cela est nécessaire, plutôt que de le maintenir définitivement, donne à la cellule un avantage, soulignent les chercheurs.
Ce mécanisme pour défendre les métaux toxiques peut également expliquer comment les bactéries développent une résistance aux antibiotiques, en muetant leurs protéines défensives pour les reconnaître. Des mécanismes similaires peuvent être trouvés dans d'autres espèces de bactéries, ont suggéré les chercheurs.
https://phys.org/news/2017-06-coli-bacteria-defense-secret-revealed.html
Les leaders alpha ont tendance à être des candidats
RépondreSupprimer13 juin 2017
Les principes du darwinisme social ont peut-être perdu de leur retard, mais l'essor du populisme politique au 21ème siècle continue de soutenir la maxime selon laquelle «les forts survivent» et sont les plus habiles à conduire pendant les périodes difficiles.
Les recherches menées par le Professeur associé de comportement organisationnel Niro Sivanathan et le candidat au doctorat Hemant Kakkar à London Business School révèlent qu'en période d'incertitude, les leaders dominants sont préférés aux candidats respectés et admirés.
La recherche, intitulée «Lorsque l'attrait d'un leader dominant est supérieur à celui d'un leader de prestige» (publié dans les Actes de l'Académie nationale des sciences, juin 2017), se reflète également sur la théorie de l'évolution, dans laquelle elle est dominée et prestige sont considérés comme des voies doubles pour atteindre le statut et le leadership.
"La recherche offre une explication situationnelle et psychologique pour quand et pourquoi les dirigeants dominants, y compris le président actuel Trump des États-Unis, sont préférés aux candidats respectés et admirés", explique le Dr Niro Sivanathan.
"Bien qu'il ne soit pas toujours toujours vrai que" les gars gentils finissent en dernier ", nous soutenons que certaines communautés confrontées à la menace d'incertitude préféreront les individus affirmés et estimés comme leur choix de leadership", a déclaré M. Hemant Kakkar.
Kakkar et Dr. Sivanathan ont testé leurs hypothèses aux États-Unis, employant une analyse statistique des codes postaux imbriqués dans chacun des 50 états. Lorsque l'incertitude économique dans un code postal particulier a été compté, Kakkar & Sivanathan a observé que, lorsqu'il y avait une insécurité financière accrue, les leaders dominants préféraient beaucoup plus, alors que les leaders prestigieux étaient ouvertement moins souhaitables.
Ils ont ensuite répliqué ces résultats, en utilisant des indicateurs macroéconomiques objectifs d'incertitude économique en utilisant les données de la Banque mondiale, comprenant plus de 138 000 personnes, couvrant 69 pays sur une vingtaine d'années.
Avec des sections de la communauté alarmées par le populisme et luttant pour comprendre ce que tout cela veut dire idéologiquement, Sivanathan et Kakkar offrent une alternative aux nombreuses personnalités politiques et personnalisées.
"Guidé par la théorie de l'évolution pour l'émergence du leadership, nous nous sommes engagés à examiner de manière empirique la récente dynamique d'appel mondial pour les leaders dominants", explique le Dr Sivanathan. "Notre affirmation centrale est que la menace psychologique imposée par son environnement augmente l'attrait d'un agent dominant externe qui, selon nous, est mieux capable de réduire ces menaces et le sens permanent que le contrôle personnel a perdu", a déclaré M. Hemant Kakkar.
Étant donné certaines conditions - stress économique; Les préoccupations concernant le terrorisme - les personnes, selon Sivanathan et Kakkar, préféreront généralement un leader perçu comme décisif, autorisé et dominant, sur une personne respectée, bien informée, admirée et permissive.
https://phys.org/news/2017-06-alpha-leaders-tend-front-runner-candidates.html
(...) «les forts survivent» et sont les plus habiles à conduire pendant les périodes difficiles. (...)
SupprimerPar 'forts' il faut entendre la masse d'argent injectée pour faire croire à une supériorité, or, l'implication seule de la démocratie dans un pays permet instantanément de détruire/nettoyer ces bas-fonds où croupissent les dictateurs.
Rappelons qu'il y a aujourd'hui plus de 4 % de surdoués dans le monde soit plus de 280 millions de personnes au-dessus des 'chefs' d'États. Ce qui revient à dire que NUL ne peut combattre/effacer la réalité, la vérité et leurs valeurs scientifiques.
Lorsque ces mêmes attardés mentaux nazional-socialiste disent que demain le niveau des océans va monter est une escroquerie car, même un enfant de cinq ans peut expliquer pourquoi depuis des millions d'années, des milliards de km3 d'eaux (venues des pluies, fleuves & rivières) se sont déversés dans la mer sans qu'elle ne s'élève ! Çà alors !
Pourtant, cette déficience d'intelligence semble avoir gagner du terrain grâce aux merdias qui leur transfusent l'incompétence de la réflexion et, le peuple atteint, n'a même plus de réflexe à réfléchir à ce qui leur est inculqué !!
Finkel: Transformer l'ensemble du pays en Australie du Sud d'ici 2030 - 42% "renouvelable"
RépondreSupprimerJune 13th, 2017
Dans l'un des messages de vente de spin-doctor les plus massés dans l'histoire australienne, le rapport Finkel est ici pour "sortir de la politique" et résoudre notre instabilité énergétique et nos prix hors contrôle. Mais il s'agit en fait d'un programme de contrôle météorologique vert-gauche agressif où le coût et la stabilité sont secondaires à l'objectif tacite, mais principal, qui consiste à ralentir les tempêtes en 2100. Si Finkel cherchait réellement à la stabilité et au contrôle des prix, il laisserait fonctionner le marché libre, retirerez le gouvernement de notre réseau électrique et examinerez les preuves qui montrent que les panneaux solaires et les parcs éoliens ne le font pas et ne peuvent pas fonctionner comme climatiseurs mondiaux pour nous ou nos petits-enfants.
Les Australiens, lisent cette ligne et pleurent:
"La modélisation pour l'examen estime que d'ici 2030, 42% de la demande d'électricité seront satisfaits par la production renouvelable".
C'est là que l'Australie du Sud est actuellement, mais elle a une bouée de sauvetage au pouvoir du charbon à Victoria chaque fois qu'il en a besoin. Que se passe-t-il lorsque l'ensemble de la grille nationale a besoin d'une ligne de vie ? Retirez votre porte-monnaie ...
Combien coûte un câble sous-marin en Nouvelle-Zélande ? C'est seulement 2 000 km.
Pour le même prix, nous pourrions être en mesure de payer une nouvelle usine de charbon ultra-supercritique et de rattraper l'Indonésie à la place.
Résoudre notre stabilité énergétique est vraiment simple et très bon marché et, si tel était son but, Finkel n'est pas même tentant. Les efforts du gouvernement pour contrôler le climat planétaire ont créé les pannes d'électricité et les fournisseurs d'électricité peu coûteux sont hors entreprises. La «solution» de Finkel est plus pareille mais avec une saveur différente. Tout est pour toutes les personnes, "enfin ici" et nous allons tous avoir une glace gratuite, mais s'il vous plaît, personne ne demande combien d'électricité coûterait si le gouvernement était hors de portée. Personne ne mentionne que les volts au charbon en gros sont 4 c par kilowatt-heure.
Si vous aimez votre charbon, vous pouvez le garder (sous le sol)
Neutre de technologie. Mon pied !
Il est important de noter que le régime serait neutre en technologie, c'est-à-dire que toutes les formes de production d'électricité seraient éligibles, y compris le charbon avec captage et stockage de gaz ou de gaz, à condition qu'elles soient inférieures au seuil d'intensité des émissions.
Finkel n'a rien contre le charbon, tant que les gens rencontrent des conditions qui défient les lois de la chimie. Supposons que les stations à charbon doivent remplir un volume massif d'engrais aérien bénéfique dans un petit trou chaud sous terre. Les nouvelles usines de charbon "capture du carbone" coûteraient quelque chose comme 60 % de plus à construire, tout en gaspillant environ 40% de l'énergie qu'ils génèrent. La capture de carbone est un code secret pour «la mort des usines de charbon», et il n'est pas étonnant que, dans la vie réelle, ils se brisent et brûlent dans des boules de feu financières.
Qu'appelez-vous «payer beaucoup plus» ? C'est votre "récompense"
RépondreSupprimerFinkel-spin dit que l'électricité sera moins cher qu'un hypothétique scénario pire:
Les consommateurs seront récompensés financièrement s'ils acceptent de gérer leur demande et de partager leurs ressources telles que les panneaux solaires et le stockage de la batterie. Les prix pour tous les consommateurs, et pas seulement ceux qui possèdent des panneaux solaires ou des batteries, seront inférieurs à ce qu'ils seraient autrement;
Bienvenue dans votre avenir renouvelable - la gestion de la demande signifie ne pas avoir d'air conditionné quand il fait vraiment chaud et vous en avez vraiment besoin. Et quel genre de prix sont "plus bas qu'ils ne le seraient"? Toute sorte. Théoriquement, tout prix infiniment élevé est encore inférieur à celui qu'il serait par ailleurs comparé à un plan infiniment plus. Tout dépend de la modélisation.
Judith Sloan n'est pas impressionnée: "Malcolm Turnbull, je parie que les factures de puissance ne tombent pas 90 $"
Si vous pensez que votre facture annuelle d'électricité tombera de 90 $ par année pour la prochaine décennie, vous croirez tout.
Cette prévision politiquement attrayante de la baisse des prix de l'électricité reflète le résultat de la modélisation également ridicule découlant de l'examen de Warburton sur l'objectif d'énergie renouvelable publié en 2015. On nous a demandé de croire que les prix en gros de l'électricité seraient effectivement tomber si le RET était retenu dans sa forme actuelle, avec une cible de 41 000 gigawattheures d'ici 2020. (Cela a été ajusté à 33 000 GWh.) C'est vrai: les prix de l'électricité allaient tomber entre 2015 et 2020.
Mais regardez ce qui est arrivé aux prix de gros de l'électricité - et, avec un décalage, les prix de détail - dans le contexte du RET en cours, un résultat complètement divergent de celui que les modélistes nous ont assuré.
Les prix en gros de l'électricité ont grimpé de 50 $ le mégawatt-heure en moyenne à environ 150 $. Les prix de détail sont augmentés dans un certain nombre d'états entre 15 % et 30 %. Un ménage confronté à une facture annuelle de l'électricité de 2000 $ par année peut facilement être embêté de 400 $ à 600 $.
Fake News est partout - aucun mot sensible n'est laissé en forme
L'examen Finkel supposément met "la sécurité énergétique et la stabilité du centre". Demandez à tout ingénieur en électricité comment faire cela et ils vous diront d'augmenter l'inertie du filage - c'est-à-dire le charbon, le gaz, les armes nucléaires et l'hydroélectricité -, en particulier le charbon, sont des maîtres pas chers et faciles de sécurité et de stabilité. Au lieu de cela, Finkel met les «réductions d'émissions» sous tout et «la stabilité» n'est que le milliard de dollars de la balle et de la chaîne, traînée dans la chasse à la météorite sacrée contrôlant l'électron.
À l'ABC, le rapport est improbable "en supprimant la politique" en adoptant une option de gauche verte que les électeurs australiens ont rejetée.
RépondreSupprimerSi par hasard, vous ne pensez pas que nous devrions être forcés d'acheter de l'électricité coûteuse pour changer la météo, l'ABC ne vous appellera pas «sensible», «pragmatique» ou «sage», vous êtes «pro-charbon». Dans les politiciens de la terre ABC, ils ne critiquent pas le rapport, mais les députés d'arrière-ban pro-charbon "le sapent". C'est une nuance. Heureusement, l'ABC est remplie de génies nationaux de grille d'énergie, afin qu'ils puissent faire la différence.
Il n'est pas surprenant qu'il y ait une rébellion dans les rangs
- Certains députés de la coalition ont averti que le Premier ministre Malcolm Turnbull pourrait encore une fois être confronté à une rébellion ouverte à la politique climatique.
Oui bien. Nous l'avons déjà vu. Combien de carrières politiques devons-nous casser sur la roue carbone ?
La mauvaise menace que posent les politiciens,
Est-ce que le «carbone» causera un jour du jugement,
Alors attendez-vous à l'électricité,
Que ce soit chaleureux ou sceptique,
Toutes les augmentations exorbitantes augmentent.
- Ruairi
RÉFÉRENCE: Examen indépendant sur le futur Sécurité du marché national de l'électricité, toutes les 212 pages amusantes.
http://joannenova.com.au/2017/06/finkel-turn-the-whole-country-into-south-australia-by-2030-42-renewable/
En toutes dictatures (Australie y compris) ce sont les anti-scientifiques qui parlent et dirigent les peuples qui se refusent à comprendre la physique la plus simple.
SupprimerL'administration Trump annule les limites proposées pour les mammifères marins et les tortues marines emprisonnées dans les filets de pêche
RépondreSupprimerDan Weikel Contact Reporter
L'administration Trump a annoncé lundi qu'il avait annulé les limites proposées pour le nombre de baleines en danger, les dauphins et les tortues marines qui peuvent être tués ou blessés par des filets de pêche à l'épée sur la côte ouest.
Bien que la restriction, proposée en 2015, soit soutenue par l'industrie de la pêche et les groupes environnementaux, la division des pêches de l'Administration nationale océanique et atmosphérique a déclaré que les études montrent que la règle en attente n'est pas justifiée parce que d'autres protections ont considérablement réduit le nombre de mammifères et de tortues marines piégé dans de longs et à la dérive des filets maillants.
"La pêche a été pressée pendant des années pour réduire son impact, et cela a été très réussi à faire cela", a déclaré Michael Milstein, un porte-parole des pêches de la NOAA. "Le plafond aurait imposé un coût à l'industrie pour résoudre un problème qui a déjà été abordé".
La décision a suscité des critiques immédiates des groupes environnementaux qui ont rejoint le Pacific Fishery Management Council dans le but de protéger davantage une variété de mammifères et de tortues marines.
La liste comprenait la nageoire, la bosse et les cachalades menacées d'extinction; Les baleines pilotes à ailettes courtes et les dauphins à becs communs; Ainsi que les tortues luth en péril, les tortues marines, les tortues oléagues et les tortues vertes.
- Todd Steiner, directeur du Turtle Island Restoration Network
"L'administration Trump a déclaré la guerre aux baleines, aux dauphins et aux tortues au large de la Californie", a déclaré Todd Steiner, directeur du Turtle Island Restoration Network, basé au nord de la Californie. "Cette détermination ne mènera à plus de litiges potentiels et à la législation impliquant cette pêcherie. Ce n'est pas un bon signe. "
Catherine Kilduff, avocate principale du groupe environnemental Centre for Biological Diversity, a déclaré que l'action est l'une des premières par l'administration Trump à cibler les protections pour les espèces menacées le long de la côte du Pacifique.
Elle a noté que le président veut démanteler d'autres programmes fédéraux qui protègent les mammifères marins en voie de disparition.
RépondreSupprimerLe Conseil de gestion des pêches du Pacifique de 14 membres, qui gère les pêches en Californie, en Oregon et à Washington, a recommandé que le gouvernement fédéral adopte les restrictions en 2015.
En vertu de la proposition, si deux baleines en danger ou des tortues marines menacées sont tuées ou gravement blessées au cours d'une période de deux ans, la pêche au filet maillant serait fermée jusqu'à deux ans.
La pêche serait également fermée si une combinaison de quatre baleines pilotes à ailettes courtes et des dauphins à grive a été gravement blessée ou tuée dans un délai de deux ans.
Nous avons reconnu que la pêche a fait beaucoup pour nettoyer son acte.
- Michael Milstein, porte-parole national de l'Administration océanique et atmosphérique
Après que le conseil de gestion des pêches a recommandé les limites au gouvernement fédéral, Milstein a déclaré, NOAA Fisheries a étudié les propositions et a pris des commentaires publics de personnes pour et contre les casquettes.
L'analyse de la NOAA a conclu que les coûts de la protection compensent largement les avantages et que l'industrie de la pêche a mis en place des mesures qui ont considérablement réduit les décès et les blessures de mammifères marins protégés.
Les précautions comprenaient une meilleure formation pour les skippers des bateaux de pêche, des avertissements sonores ou des pingers attachés à des filets de pêche et des ouvertures plus larges au sommet des filets qui donnaient aux éleveurs les baleines, les dauphins et les tortues.
Les statistiques de la NOAA indiquent que les décès et les blessures des baleines protégées ont diminué de plus de 50 en 1992 à pas plus d'un ou deux par an d'ici 2015. Au cours de la même période, les chiffres pour les dauphins communs ont diminué de près de 400 à seulement quelques-uns.
Pendant ce temps, les chiffres montrent que les décès et les blessures des tortues luthues du Pacifique en voie de disparition sont passés de 17 en 1993 à plus d'un an par an d'ici 2015.
"Nous avons reconnu que la pêche a fait beaucoup pour nettoyer son acte", a déclaré Milstein, de NOAA.
Il a ajouté que la Loi sur la protection des mammifères marins et la Loi sur les espèces en voie de disparition s'appliquent toujours et que les zones de protection des tortues bêlées et des tortues luth fermées à la pêche au filet maillant ont été installées sur les côtes de l'Oregon et de la Californie.
RépondreSupprimerKilduff a déclaré, cependant, que des protections sont encore nécessaires parce que les espèces rares, comme les tortues luth, les baleines à bosse et les spermatozoïdes, sont encore tuées et blessées dans les filets maillants.
Il y a si peu d'exemples de certaines espèces que, si les filets maillants tue même un ou deux, l'effet global peut être dévastateur, at-elle dit.
"Les scientifiques du gouvernement ont déclaré que les pêches de la côte ouest ne peuvent pas attraper plus d'une personne
http://www.latimes.com/local/lanow/la-me-ln-trump-marine-mammals-20170612-story.html
Tout le monde a le droit de manger ! Et, si ce n'est pas l'humain qui mange les produits marins ce seront les poissons (car les poissons mangent des poissons ! Pas de blague !) qui le feront à notre place !
SupprimerA savoir pour seul exemple que la truite pond 500 000 œufs ! D'où (environ la moitié) éclorons 250 000 truites femelles qui - a leur tour - pondrons chacune 500 000 œufs, etc, etc !
Rappelons également qu'il n'y a pas que des poissons et des américains qui mangent mais aussi toute une foule de pays qui pêchent dans le monde pour... se nourrir ! Çà alors !