"Préparez-vous au pire résultat possible" Caravane migrante avertie alors qu'elle pénètre aux États-Unis
par Tyler Durden Sam, 28.04.2018 - 20:05
Environ 400 migrants sur le point de traverser San Diego refusent les conseils d'avocats d'immigration, qui affirment que les demandeurs d'asile risquent une longue détention ou d'être séparés de leurs familles, avant d'être expulsés vers l'Amérique centrale.
Kenia Elizabeth Avila, 35 ans, a semblé ébranlée après que les avocats volontaires lui aient dit vendredi que les températures peuvent être froides dans des cellules temporaires et qu'elle pourrait être séparée de ses trois enfants, âgés de 10, 9 et 4 ans.
Mais elle a déclaré dans une interview que le retour à son Salvador natal serait pire. Elle a fui pour des raisons qu'elle a refusé de discuter. -AP
Après avoir traversé Mexicali la semaine dernière, les migrants se sont rassemblés mardi à Tijuana. Beaucoup se seraient rendus compte que l'abri qu'ils occupaient débordait mercredi. La plupart des membres du groupe viennent du Guatemala, du Salvador ou du Honduras et fuient leur foyer, disent-ils, à cause des menaces de mort émanant de gangs locaux ou de la persécution politique.
Selon de nombreuses personnes, cela vaut la peine de traiter avec les autorités américaines et la déportation pour la petite chance qu'ils pourraient obtenir l'asile.
"S'ils vont nous séparer pendant quelques jours, c'est mieux que de me faire tuer dans mon pays", a déclaré Avila.
"Nous sommes les porteurs de nouvelles horribles", a déclaré Nora Phillips, une avocate en immigration de Los Angeles, alors qu'elle faisait une pause dans les ateliers juridiques de Tijuana où une vingtaine d'avocats offrent des informations et des conseils gratuits. "C'est à ça que servent les bons avocats."
Les migrants guatémaltèques, dont beaucoup voyagent en famille, prévoient de tester la détermination du président Trump après avoir ordonné à la garde nationale et à la police des frontières d'arrêter tout migrant surpris en train de se faufiler dans le territoire américain - une initiative du groupe de défense américain Pueblos Sin Fronteras dit est illégal.
L'organisation organise activement un plan pour que les migrants traversent le pont piétonnier principal aux États-Unis dimanche, après avoir réagi avec colère à un plan initial visant à essayer de traverser en plus petits groupes sur une période plus étendue.
Le président Donald Trump et les membres de son cabinet traquent la caravane, la qualifiant de menace pour les États-Unis depuis le 25 mars, dans la ville mexicaine de Tapachula, près de la frontière guatémaltèque. Ils ont promis une réponse sévère et rapide.
Le procureur général Jeff Sessions a qualifié la caravane de «tentative délibérée de miner nos lois et d'accabler notre système», promettant d'envoyer plus de juges de l'immigration à la frontière pour régler les cas si nécessaire. -AP
Kristjen Nielsen, Secrétaire du Département de la sécurité intérieure, a déclaré que les demandes d'asile des migrants seront traitées "de manière efficace et rapide", ajoutant toutefois que les demandeurs d'asile devraient d'abord demander au Mexique s'ils peuvent rester là. (lol)
Tout demandeur d'asile faisant de fausses déclarations aux autorités américaines peut également faire l'objet de poursuites - ainsi que toute personne qui «aide ou encadre» les immigrants sur la façon de faire de fausses déclarations, a ajouté Neilsen. L'administration Trump affirme que la fraude en matière d'asile est en augmentation, et de nombreux migrants sont fortement entraînés sur les «bonnes réponses» pour l'obtenir.
Le groupe de 20 avocats de l'immigration qui donnent des séminaires à Tijuana a nié avoir entraîné quelque 400 personnes de la caravane qui campent actuellement dans des abris de Tijuana.
Certains migrants ont reçu des conseils individuels pour évaluer les mérites de leurs cas et des groupes de migrants avec leurs enfants jouant à proximité ont été informés du fonctionnement de l'asile aux États-Unis.
Les demandeurs d'asile sont généralement détenus jusqu'à trois jours à la frontière et remis aux services de l'immigration et des douanes des États-Unis. S'ils réussissent l'examen initial d'un agent d'asile, ils peuvent être détenus ou relâchés avec des surveillants de la cheville.
Près de 80 % des demandeurs d'asile ont passé l'examen initial d'octobre à décembre, les derniers chiffres disponibles, mais peu sont susceptibles d'obtenir finalement l'asile. -AP
Comme l'a souligné Reuters jeudi, le moment de leur arrivée pourrait saboter les négociations de l'ALENA après que le président Trump ait menacé à plusieurs reprises de mettre fin à l'accord si le Mexique ne faisait pas plus pour empêcher les migrants centraméricains de traverser son territoire.
En passant de ville en ville, la caravane migrante est devenue une pierre d'achoppement pour les relations américano-mexicaines après que Trump ait déclenché une série de tweets début avril, demandant aux autorités mexicaines de les arrêter. Plus de cars de migrants sont arrivés au cours de la journée, débordant du premier abri.
Les groupes locaux d'aide aux migrants ont déclaré que c'était le groupe le plus important qu'ils avaient vu arriver ensemble alors qu'ils se précipitaient pour trouver des places dans dix refuges.
"Grâce à dieu, nous sommes ici", a déclaré l'Aide Hernandez, 34 ans, originaire du Guatemala, qui avait quatre enfants. Elle a dit qu'elle prévoyait de demander l'asile aux États-Unis. Lorsqu'on lui a demandé pourquoi, elle a baissé les yeux, honteuse de détailler un cas de violence conjugale.
[...]
"Le mur n'a pas l'air si grand", a déclaré Kimberly George, une jeune fille de 15 ans du Honduras alors qu'elle regardait vers une barrière rabougrie à quelques mètres. "Je veux vraiment le traverser."
Obtenez le pop-corn, une confrontation frontalière est sur le point de se produire.
Le pistolet du Pentagone peut caler des voitures, des camions avec l'explosion de rayonnement
par Tyler Durden Sam, 28/04/2018 - 17:55
L'utilisation intensive d'engins explosifs improvisés embarqués (VBIED) en Asie occidentale a fait qu'un nombre considérable de militaires et de civils ont été tués ou blessés. Une nouvelle menace se dessine rapidement dans l'Ouest, alors que dix civils ont été fauchés dans une horrible attaque en fourgonnette plus tôt cette semaine à Toronto. Depuis 2014, l'Europe et l'Amérique du Nord ont été inondées par des attentats à la voiture piégée perpétrés par des terroristes contre des civils.
Selon Stratfor Global Intelligence, une attaque contre un véhicule est une nouvelle catégorie de terrorisme moins meurtrière, mais qui pourrait s'avérer plus difficile à prévenir pour les autorités.
En conséquence, la priorité absolue de la Direction des armes non létales (JNLWD) du Département de la Défense depuis le début de la menace au Moyen-Orient a été de faire progresser les technologies et les capacités pour arrêter les véhicules, les camions et même les navires.
L'une de ces technologies non létales est le système RFVS, qui utilise un micro-ondes haute puissance (HPM) pour arrêter les voitures et les camions sans endommager le véhicule ou ses occupants.
Une version miniature du canon à rayons pour arrêter les attaques de véhicules, développé par JNLWD. (Source: Defense One 2018)
Comme l'explique Defence One, «le brouilleur fonctionne en ciblant l'unité de contrôle du moteur de la voiture, ce qui provoque le redémarrage à répétition, ce qui bloque le moteur. Comme une main invisible, les micro-ondes maintiennent la voiture en place. "Tout ce qui a de l'électronique dessus, ces micro-ondes puissantes affecteront", a déclaré David Law, qui dirige la division technologique de JNLWD, en mars. "Tant que la [radio] est allumée, elle maintient le véhicule arrêté."
Dans un rapport sur la défense de l'énergie dirigée non classifiée de 2012, les rouages internes du RFVS sont expliqués:
"Le système RFVS utilise des tubes à magnétron de haute puissance pour générer des impulsions RF intenses qui interfèrent avec l'électronique d'un véhicule, le rendant temporairement inutilisable. Le moteur ne peut pas être redémarré lorsque la fonction RF est activée mais redémarre facilement une fois la fonction RF désactivée. Ainsi, le système RFVS permet le maintien d'une zone d'interdiction de sécurité dans des situations qui pourraient nécessiter l'utilisation d'une force létale. La mesure de succès définie pour ce système est une capacité démontrée et efficace par rapport à plus de 80% de la liste des véhicules-cibles cibles, qui comprend les voitures particulières et les gros véhicules.
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En tant que capacité non létale, les effets sur le véhicule cible sont à court terme et presque toujours réversibles, de sorte que le véhicule ne soit pas échoué, ce qui imposerait au chasseur de charger son retrait. De plus, comme toutes les armes à énergie dirigée, le système RFVS fournit de l'énergie à la vitesse de la lumière. Contrairement à d'autres concepts et systèmes d'arrêt de véhicule non létaux, le RFVS n'a pas besoin d'être prépositionné et possède un magasin illimité. "
Figure 1. Illustration de la configuration du système RFVS candidat pour la protection contre les points de contrôle (Source: DTIC)
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Figure 4. Photographie du système de tableau de bord RFVS et de la configuration de démonstration (Source: DTIC)
Défense One indique que l'intention originale de RFVS était destinée aux bases militaires, mais avec la dernière série d'attaques de véhicules en Europe et en Amérique du Nord, il est possible que ces armes à rayons soient stratégiquement placées dans les villes - dans un avenir proche.
"L'armée développe l'arme pour la protection de la force - comme dans la protection des soldats et des bases. Mais il a aussi des applications pour la police. Placé stratégiquement autour des villes, il pourrait prévenir des attaques comme celles en Europe, au Canada, aux États-Unis et ailleurs. Il y a, cependant, quelques problèmes juridiques délicats impliqués dans l'utilisation de dispositifs de brouillage électroniques et radio aux États-Unis. "
Alors que les militaires ont l'intention d'avoir un prototype en état de fonctionner d'ici l'exercice financier 2019, les armes à énergie dirigée suscitent des préoccupations. Prenez, par exemple, l'électricité pour faire fonctionner le canon à rayons est une énorme turbine à essence qui génère 300 kilowatts d'énergie. Même si l'arme a rétréci, l'appareil gourmand nécessite encore beaucoup de puissance.
Défense One note que JNLWP dispose de deux versions de l'arme à énergie dirigée non létale, une qui glisse dans un petit camion d'une portée d'environ 50 mètres et une autre trois fois plus grande avec une portée d'environ 200 mètres.
Dans un avenir pas trop lointain, les armes à énergie dirigée pour des applications non létales pourraient arriver dans un centre-ville près de chez vous, dans le but de contrecarrer les attaques de véhicules contre les civils.
Aujourd'hui, c'est tout le monde qui s'équipe de micro-ondes haute puissance. HPM qui peut foutre le feu aux voitures électrique comme aux téléphones ! En plus de l'IEM qui bloque tout appareil électrique définitivement (montre a pile, téléphone, voitures, frigos, drones, etc,).
«Une France hospitalière» ? Des Français s'élèvent contre la gestion des flux migratoires
23:02 28.04.2018
Quelque 3.000 migrants sont installés dans le nord de Paris et 550 autres arrivent chaque semaine dans la ville, ce qui crée une situation «inhumaine», selon la maire de Paris, Anne Hidalgo. Des Français ne cachent pas leur grogne concernant tant l’état de choses que la ligne choisie par la maire.
Selon Le Parisien, la situation devient inquiétante puisque les migrants continuent d'affluer à Paris au rythme de près de 80 par jour, soit 550 par semaine. Aujourd'hui, ils sont déjà environ 2.500, originaires en majorité de la corne de l'Afrique, à se blottir dans des tentes.
La maire de Paris, Anne Hidalgo, s'est rendue vendredi dernier dans l'un des campements qu'elle qualifie d'«indignes», celui du Millénaire.
Elle a fait remarquer que la situation était très sérieuse et qu'il était indispensable que «l'État fasse sa part de travail».
«Soyons lucides et disons la vérité aux Français. La crise migratoire que vivent l'Europe et la France est durable», a-t-elle martelé.
Et les simples Français, comment voient-ils cette situation ? Les uns se félicitent de l'activité de la mairie de Paris et d'Anne Hidalgo.
"Il y a du crack et de l'héroïne partout" - Galerie de prise de vue pour les sans-abris à l'intérieur de la station SF BART
par Tyler Durden Sam, 28/04/2018 - 15:00
Les deux crises américaines de santé publique liées au sans-abrisme et à la toxicomanie ont été exposées grotesquement dans un couloir de la station BART de Civic Center à San Francisco - l'une des stations les plus fréquentées de la Bay Area.
Dans un rapport choquant par CBS San Francisco Bay Area, la station documente un groupe de junkies et de toxicomanes qui se rassemblent dans un couloir dans le terminal tôt le matin, où ils s'injectent ouvertement et fument des drogues. Dans les vidéos, les toxicomanes peuvent être vus en train d'injecter des drogues dans les veines près de leurs articulations ou de s'asseoir au milieu de tas de vomissures et d'autres fluides corporels.
Les policiers de la BART disent qu'ils sont trop débordés pour arrêter les congrégations quotidiennes et qu'ils pourraient avoir besoin de l'aide de la police de San Francisco pour empêcher les toxicomanes d'installer ce qui est essentiellement une galerie de tir errante dans les couloirs de la station. Certaines stations, les rapports de CBS, sont souvent laissées complètement sans surveillance.
Le coureur qui a alerté CBS a décrit la situation dans une interview, disant qu'il y a du «crack et de l'héroïne» partout.
Certains peuvent trouver la vidéo choquante. D'autres peuvent trouver cela routinier.
"Tous les jours, tous les matins, de 17 h 30 à 18 h 00. Vous pouvez voir qu'il y en a des douzaines, des aiguilles partout, de la fêlure, de l'héroïne."
[...]
«Un matin, j'ai dit:« Je dois sortir l'appareil photo et montrer à mes amis ceci, ils ne vont pas le croire », a-t-il dit.
Face aux images, un porte-parole de BART a déclaré que l'organisation essayait simplement de faire de son mieux avec les ressources dont elle dispose.
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"C'est une réelle préoccupation pour nos pilotes, et nous apprécions cela", a déclaré le porte-parole de BART, Chris Filippi. "Mais ce que nous devons faire, c'est tirer le meilleur parti des ressources, des ressources limitées dont nous disposons."
Le maire de San Francisco, Mark Farrell, a déclaré à CBS que la situation dans les stations BART est "inacceptable".
"La situation dans nos stations BART est tout simplement inacceptable", a déclaré le maire de San Francisco, Mark Farrell. "Frontières désastreuses."
Bien sûr, ce qu'aucun des deux officiels n'a reconnu, c'est que San Francisco et d'autres villes de la Bay Area (voir: Oakland) fournissent des ressources suffisantes aux sans-papiers, alors que les habitants de la région meurent souvent sans aide et sans compter. une méthode nettement moins efficace pour remédier à la crise des sans-abri: des statistiques délibérément chimériques.
BONN - NÉGOCIATIONS POUR FAIRE AVANCER L'ACCORD DE PARIS
Quelque 200 pays, dont la Suisse, se retrouvent lundi à Bonn pour avancer vers la mise en oeuvre de l'accord de Paris.
29.04.2018, 06h28
Comment éviter un réchauffement hors de contrôle: environ 200 pays, dont la Suisse, se retrouvent lundi à Bonn pour avancer vers la mise en oeuvre de l'accord de Paris, première étape d'une année «cruciale» dans la lutte contre le dérèglement climatique.
«2018 est une année clé pour faire avancer l'action climatique», c'est le moment «le plus critique» depuis la COP21 qui a donné naissance à l'accord de Paris en 2015, commente David Waskow, expert au World Resources Institute.
Cet accord vise à contenir le réchauffement mondial sous les 2°C, voire 1,5°C, par rapport à l'ère préindustrielle. Mais les engagements de réduction d'émissions de gaz à effet de serre pris jusqu'à présent par les Etats signataires conduiraient à un monde à 3°C.
Dans les conditions actuelles, le monde atteindrait déjà 1,5°C d'ici les années 2040, selon un projet de rapport du groupe climat de l'ONU (GIEC), qui estime «extrêmement improbable» de ne pas dépasser 1,5°C sans transformations drastiques et immédiates.
Agir vite et radicalement
Alors que les trois dernières années ont été les plus chaudes jamais enregistrées et que les émissions de gaz carbonique sont reparties à la hausse en 2017, les appels à agir plus vite et plus radicalement se multiplient, à quelques mois de la 24e conférence climat de l'ONU (COP24) de décembre en Pologne, qui permettra d'évaluer la volonté politique des Etats à s'engager plus.
«Un succès dépendra d'un accord ou non des Etats sur un mode d'emploi musclé de l'accord de Paris et de leur volonté à rehausser leurs engagements nationaux d'ici 2020», insiste David Waskow.
L'accord prévoit un premier bilan mondial en 2023, mais la communauté internationale a déjà lancé un dialogue pour encourager les Etats à présenter d'ici 2020 des engagements révisés.
Ce processus baptisé «Talanoa» - mot utilisé dans les îles Fidji qui président actuellement la COP pour qualifier un dialogue permettant de construire la confiance «par l'empathie et la compréhension» - sera officiellement lancé pendant la réunion de Bonn qui commence lundi pour deux semaines.
Tensions Nord-Sud
Les contributions déposées en amont témoignent, selon l'ONU, d'un constat récurrent: «L'ampleur et le rythme de l'action climatique doivent être augmentés radicalement et immédiatement», parce qu'ils ne permettent même pas de respecter les engagements nationaux des Etats.
Avec le retrait annoncé des Etats-Unis de l'accord de Paris, les regards seront tournés vers la Chine, principal émetteur de gaz carbonique, mais aussi vers l'ensemble des pays développés, en particulier l'UE que plusieurs capitales européennes viennent d'appeler à rehausser ses ambitions, voire à poser l'objectif de neutralité carbone pour 2050.
«Il est frustrant d'entendre certains pays développés célébrer leur leadership sur le climat alors qu'ils ne sont pas la hauteur des engagements modestes annoncés au fil des années», a dénoncé le ministre de l'Environnement des Maldives Thoriq Ibrahim, qui préside le groupe des petites îles. «Jusqu'à ce que les pays développés joignent le geste à la parole, notre survie sera menacée».
Les pays du Nord sont également régulièrement rappelés à leur promesse de porter à 100 milliards d'euros par an d'ici 2020 leur aide aux politiques climatiques de ceux du Sud.
Règles d'application
Ces tensions récurrentes entre pays riches et pauvres devraient également être un point de friction des négociations sur les règles d'application de l'accord de Paris, qui doivent être finalisées d'ici la fin de l'année pour permettre l'application du traité en 2020.
Ces règles concernent notamment la «transparence», c'est-à-dire la façon dont les Etats rendent compte de leurs actions, de leurs financements, de leurs résultats. Et le degré de flexibilité qui sera accordé aux pays les plus pauvres focalise les discussions. Ce mode d'emploi «doit donner une crédibilité à l'accord», insiste Lucile Dufour, du Réseau Action Climat.
D'autres événements diplomatiques importants jalonneront les mois conduisant à la COP24, du G7 en juin à la publication du rapport du GIEC à l'automne, en passant par le «sommet» organisé par le gouverneur de Californie en septembre. (ats/nxp)
par Tyler Durden Sam, 28/04/2018 - 14:25 Rédigé par Robert Gore via le blog Straight Line Logic,
Ils dorment sur leur progéniture, puis les enterrent vivants.
Partout dans le pays, les fonds publics de retraite et les fonds médicaux sont au bord de l'insolvabilité. Vous pouvez ignorer les problèmes en attente jusqu'à ce que vous ne puissiez pas. Pour ceux qui apprécient la clarté et la pensée réaliste, ces crises impossibles à ignorer devraient être les bienvenues. Ils attirent l'attention sur un fait incontournable: le monde n'a pas les moyens et la capacité productive nécessaires pour racheter les promesses qui ont été faites contre eux. Quelqu'un va se raidir.
Avec la guerre dans tous les esprits, les fonds publics de retraite et les fonds médicaux délimitent des lignes de bataille inévitables: les gouvernements contre les contribuables, les improductifs contre les productifs, les vieillards contre les jeunes. Ces guerres risquent d'être beaucoup plus conséquentes que celles auxquelles tout le monde s'inquiète dans des pays comme le Moyen-Orient et la Corée du Nord.
Rien n'attire l'attention sur l'absurdité qui remue le système de retraite public tout comme la pension mensuelle de 76 000 $ que Joseph Robertson, chirurgien ophtalmologue, a quittée à la présidence de l'Oregon Health and Science University l'automne dernier.
Dans le bon vieux temps, l'emploi gouvernemental signifiait bas salaire, mais la sécurité d'emploi et une pension décente. Maintenant, ces sinécures signifient des salaires supérieurs à ceux payés dans le secteur privé, plus des pensions beaucoup plus généreuses ... et la sécurité d'emploi. Pour certains chanceux comme le docteur Robertson, leurs retraites sont un jackpot triple 7. L'Oregon calcule les pensions non seulement en fonction des salaires gouvernementaux des bénéficiaires, mais aussi de ce qu'ils reçoivent sur les concerts non gouvernementaux. La pension de Robertson est basée sur sa rémunération en tant que président d'université et sur ce qu'il a fait fonctionner sur les globes oculaires.
C'est ce qui se passe lorsque les tables actuarielles et les taux de rendement réels sont écartés en faveur du pouvoir politique des fonctionnaires et de leurs syndicats, des promesses qui ne peuvent être tenues et des contribuables qui ne savent pas quelle sera la facture finale. être. Les retraites publiques et les crises médicales mettent en évidence l'écriture sur le mur: les gouvernements ne peuvent pas livrer.
Comme l'a récemment souligné Charles Hugh Smith, les obligations de retraite et les frais médicaux augmentent si rapidement qu'aucune hausse des impôts ne peut suivre. Bien avant qu'un taux d'imposition de 100 % ne transforme les contribuables en esclaves, augmenter les taux d'imposition devient contreproductif, produisant moins, pas plus, de revenus. L'un des aspects les plus intéressants de la crise des pensions et des soins médicaux est qu'il est local. En tant que tel, il offre des démonstrations réelles que lorsque les juridictions locales augmentent les taux pour financer leurs retraites, les personnes productives partent.
L'enfant de l'affiche est l'Illinois. L'État jusqu'à ses plus petites subdivisions politiques - comme la ville de Harvey - sont enterrés sous des pensions sous-financées. Les tribunaux de l'Illinois ont statué que les pensions sont inviolables, ce qui laisse les gouvernements face à l'insolvabilité avec seulement deux options: augmenter les impôts et réduire les dépenses.
Harvey a reçu l'ordre d'un tribunal de financer la caisse de retraite de ses pompiers, qui n'est financée qu'à 22 %. Le taux d'impôt foncier de la ville est six fois le taux moyen dans l'Indiana voisin, et Harvey est encore à court. L'État saisit ses recettes fiscales et la ville a annoncé que 40 employés de la sécurité publique seraient licenciés. Pourquoi est-ce que n'importe qui payerait des impôts dans Harvey resterait pour un futur des impôts toujours croissant et des services publics sans cesse décroissants ?
Beaucoup ne le font pas, et Harvey et d'autres localités de l'Illinois, y compris Chicago, perdent des gens. Les statistiques de l'émigration en Illinois, en Californie, au New Jersey, au Connecticut, à New York et dans d'autres États perdants ne rendent pas compte de toute la portée du problème. Si une personne productive se déplace alors qu'une personne improductive emménage et commence à vivre des largesses de l'Etat, il n'y a pas eu d'émigration nette, mais l'Etat subit une perte (évidente pour tout le monde sauf les imbéciles et les charlatans et approche portefeuille ouvert jusqu'à la faillite).
La migration vers l'extérieur s'aggravera pour les États perdants alors que les limitations fiscales fédérales sur la déductibilité des impôts locaux et locaux (SALT) entrent en jeu. Le SALT a été plafonné à 10 000 $. Après cela, les riches doivent payer la pleine mesure des revenus, des biens et des taxes de vente de leurs pays à forte fiscalité. La migration est en train de s'accumuler. Il en coûte déjà deux fois plus cher de louer des services de camions auto-déménageurs de Los Angeles à Dallas à faible imposition, et vice-versa, et cet écart ne fera que s'élargir.
Les gouvernements étatiques et locaux, leurs employés et ceux qui sont au chômage ne peuvent empêcher les productifs de voter avec leurs pieds. Le nombre qui quittent les États-Unis, cependant, est encore un filet. Les problèmes de vieillesse et de financement médical du gouvernement fédéral, des ordres de grandeur plus importants que ceux des États et des municipalités, ne sont plus à l'ordre du jour. ils sont arrivés. Le gouvernement pourrait sceller les frontières pour verrouiller le productif, mais cela n'empêcherait pas la catastrophe au ralenti, mais l'accélération, en cours.
La capacité du gouvernement fédéral à émettre une dette pratiquement illimitée et la machine de monétisation de la dette de la Réserve fédérale masquent la pourriture, mais ne font que créer des problèmes beaucoup plus importants que ceux qu'ils pourraient résoudre. Les faibles taux d'intérêt ont détruit la capacité des États et des fonds locaux à obtenir des rendements relativement sûrs, les forçant à se placer sur la courbe des risques pour atteindre leurs objectifs de taux de rendement, qui sont trop élevés. Sous-financés comme ils le sont maintenant, les marchés baissiers en actions et en obligations les anéantiraient.
Encouragées par les politiques de promotion de la dette de la banque centrale, les dettes individuelles, d'entreprise, locales, étatiques et fédérales ont atteint de nouveaux records. Alors que les faibles taux d'intérêt ont amélioré le fardeau du service de la dette, même s'ils ne peuvent pas contrecarrer la dette du péage, ils prennent le dessus sur l'économie. Ne cherchez pas plus loin que la croissance annuelle réelle du PIB, qui n'a pas atteint 3% depuis que Bush Jr. était au pouvoir. Moins de croissance signifie moins de recettes fiscales, ce qui ne fait qu'exacerber les problèmes de financement.
La génération plus âgée place ses espoirs de retraite sur une génération plus jeune confrontée à une dette énorme, à une hausse perpétuelle des impôts, à une économie en perte de vitesse et à une diminution des opportunités. Ce n'est pas comme si vous espériez que vous pouviez tirer à l'intérieur d'une ligne droite, tout allait bien, échangeant votre main contre cinq nouvelles cartes, et en espérant que vous piquiez quatre as. Bonne chance avec ça.
Les personnes âgées aiment se plaindre que les jeunes sont trop préoccupés par les gadgets et les médias sociaux. Ils souhaitent que ce soit vrai. Les jeunes s'interrogent déjà sur l'imminence de leur servitude pour dettes. Les plus perspicaces s'inspirent des avantages que leur génération leur a accordés et de leur prodigalité sans égal. Vous n'avez pas à chercher trop loin sur internet et les médias sociaux pour voir l'éveil.
Dire aux parents et aux grands-parents qui publient tous les moments précoces de leurs chéris et ne rêveraient pas de les laisser marcher eux-mêmes jusqu'à l'école n'a aucun scrupule à les enterrer vivants dans le cadre des reconnaissances de dette. Dans un monde déchiré par les conflits, la guerre la plus facile à prévoir est celle intergénérationnelle.
Il n'est pas strictement exact de dire que les crises de l'État et des caisses d'assurance-maladie et des caisses d'assurance-maladie sont le canari dans la mine de charbon. Ce n'est qu'une dans une volière de canaris. Le canary fund est in extremis et pourrait bien être le premier à expirer; les autres suivront certainement. Imaginez l'horreur que les canaris adultes et leurs oisillons mènent un combat mortel pour ces dernières molécules d'oxygène.
Plus il y a du monde pour payer les frais moins la part de chacun est grosse. Or, c'est le contraire qui se passe !! Les factures (impôts, taxes, etc) augmentent !
De "Ne rien démocrates" à la "Diaper Genie Administration" - Dîner des correspondants de la Maison-Blanche
par Tyler Durden Dim, 29/04/2018 - 09:05
Le président Trump est absent pour une deuxième année consécutive, le dîner des correspondants de la Maison Blanche, qui réunit des journalistes et des politiciens pour recueillir des fonds pour la charité, tout en disant tout ce qu'ils voulaient dire en public (avant l'arrivée de Trump). que de toute façon) - était, peut-être, un peu plus «égalité des chances» abus politiques la nuit dernière.
La comédienne Michelle Wolf n'a rien donné dans son allocution, mais pour une fois, le président Trump n'était pas la cible solitaire alors que plusieurs autres personnalités de Washington portaient la brûlure de son esprit.
Donc, juste au cas où vous l'auriez manqué - et pour le briefing du président Trump ce matin, The Hill résume les sept cibles «justes et équilibrées» que Wolf a visées lors du dîner d'hier soir:
Il ne faut pas s'étonner que Trump lui-même ait été la cible de nombreuses blagues de Wolf.
La comédienne a peaufiné sur les sujets des commentaires dégradants de Trump sur les femmes à ses propositions pour de nouvelles politiques d'armes à feu.
"Trump n'est pas là, si vous ne l'avez pas remarqué. Il n'est pas là, "dit Wolf. "Et je sais, je sais, je le traînerais ici moi-même, mais il s'avère que le président des Etats-Unis est la seule chatte que tu n'as pas le droit de saisir."
La réplique fait référence à la fameuse cassette "Access Hollywood", un enregistrement sorti lors de la campagne présidentielle de Trump en 2016, dans lequel on peut se vanter de tâtonner et d'embrasser des femmes sans leur consentement.
Dans un autre jab, Wolf étiqueté Trump comme un «gars de l'idée», en indiquant spécifiquement sa proposition que les enseignants soient autorisés à porter des armes sur les campus scolaires.
"Trump est aussi un gars de l'idée. Il a plein d'idées. Tu dois l'aimer pour ça, "dit-elle. "Il veut donner des armes aux enseignants. Et je soutiens cela parce que, alors, ils peuvent les vendre pour les choses dont ils ont besoin - comme les fournitures. "
Wolf a grillé Trump toute la nuit, y compris plusieurs jabs à ses entreprises commerciales passées.
Wolf a visé Mike Pence, l'appelant un "petit type bizarre" et disant qu'il est la raison pour laquelle elle ne veut pas que Trump soit mis en accusation.
"Mike Pence est ce qui se passe quand Anderson Cooper n'est pas gay", a-t-elle dit, comparant le vice-président à l'animateur de CNN.
Pence, plaisanta Wolf, est le genre de gars qui "se brosse les dents et boit du jus d'orange et pense 'mhmm!"
Pence est un adversaire notoire de l'avortement, a souligné Wolf avant d'établir un lien avec le responsable financier du Comité national républicain, Elliott Broidy, qui a démissionné plus tôt ce mois-ci après que des rapports aient révélé qu'il avait imprégné un modèle Playboy.
"Je sais que beaucoup d'entre vous sont très anti-avortement, vous savez, à moins que ce soit celui que vous avez pour votre maîtresse secrète", a déclaré Wolf.
Elle a également pris un coup à des rapports que Pence ne rencontrera d'autres femmes que lorsque sa femme l'accompagnera.
"Quand les gens ont entendu ça, ils étaient comme c'est fou. Mais maintenant, dans le climat actuel, ils sont comme, c'est un bon témoin », a déclaré Wolf au sujet du mouvement #MeToo.
L'ancienne candidate à la présidentielle rivale de Trump a été frappée pour sa stratégie de campagne 2016 pendant le dîner. Trump, Wolf a plaisanté, a fait un meilleur travail de communication avec la Russie que Clinton a communiqué avec les Américains.
"C'est un peu fou que la campagne de Trump soit en contact avec la Russie alors que la campagne Hillary n'était même pas en contact avec le Michigan, c'est un vol direct, c'est tellement proche", plaisanta Wolf.
Mme Clinton a été critiquée pour sa stratégie de campagne de 2016, et beaucoup ont dit qu'elle n'avait pas visité suffisamment d'États clés du Midwest, y compris le Michigan et le Wisconsin.
La fille du président Trump s'est aussi retrouvée la cible des blagues de Wolf.
"Il y a aussi, bien sûr, Ivanka", a déclaré Wolf. «Elle était supposée être une avocate pour les femmes, mais il s'avère qu'elle est aussi utile aux femmes qu'une boîte de tampons vide, elle n'a rien fait pour satisfaire les femmes, alors je suppose, comme un père comme une fille.
"Oh, vous ne pensez pas qu'il est bon au lit, allez," continua Wolf. «Elle nettoie bien, Ivanka nettoie bien, elle est le génie de la couche-culotte de l'administration, à l'extérieur elle a l'air élégante, mais à l'intérieur, elle est encore pleine de merde.
Les démocrates devraient reprendre un certain nombre de sièges à mi-mandat de 2018, mais, plaisante Wolf, la stratégie de campagne du parti est si mauvaise qu'elle va en quelque sorte rattraper ses chances en novembre.
"Mais je veux aussi me moquer des démocrates", commença Wolf. «Les démocrates sont plus difficiles à se moquer de vous parce que vous ne faites rien, les gens pensent que vous pourriez renverser la Chambre et le Sénat en novembre, mais vous trouvez toujours un moyen de le gâcher. indique un gars nommé Jeff Pedophile, médecin nazi.
Les principales porte-parole de Trump
Deux porte-parole clés de Trump, la secrétaire de presse Sarah Huckabee Sanders et la conseillère principale de la Maison Blanche, Kellyanne Conway, ont remporté des succès pour leurs interactions avec la presse.
"Kellyanne Conway a le nom de famille parfait pour ce qu'elle fait - Conway", a déclaré Wolf. "Vous devez arrêter de mettre Kellyanne sur vos spectacles, si vous ne lui donnez pas une plate-forme, elle n'a nulle part où mentir. Si un arbre tombe dans les bois, comment pouvons-nous obtenir Kellyanne sous cet arbre. elle est blessée, juste coincée, coincée sous un arbre.
Wolf alla après Conway et Huckabee Sanders, accusant les deux d'avoir plié la vérité.
"Nous sommes honorés de la présence de Sarah ce soir", a déclaré Wolf à propos de Huckabee Sanders. "Chaque fois que Sarah monte sur le podium, je suis excitée, je ne suis pas sûre de ce que nous allons obtenir, un briefing de presse, un tas de mensonges ou divisés en équipes de softball. et cette fois, ne soyez pas si petite, Jim Acosta.
«En fait, j'aime beaucoup Sarah, je pense qu'elle est très débrouillarde», poursuit Wolf. "Mais elle brûle les faits et ensuite elle utilise cette cendre pour créer un œil smokey parfait, comme peut-être elle est née avec elle, peut-être que c'est des mensonges."
Loup a pris un coup rapide à l'hôte de Fox News Sean Hannity, suggérant que la personnalité médiatique conservatrice n'était même pas assez d'un journaliste pour valoir la peine d'être mentionnée.
"Les gens veulent que je me moque de Sean Hannity ce soir, mais je demande à ne pas le faire", a-t-elle dit. "Ce dîner est pour les journalistes."
Hannity est un fervent partisan et conseiller informel de Trump. Il a été révélé au tribunal récemment que Hannity aurait été un client de Michael Cohen, un associé de longue date et avocat personnel à Trump.
Hannity a nié cette prétention, cependant, en disant qu'il a seulement discuté de l'immobilier avec Cohen:
CANTON DE FRIBOURG - DES BUS SCOLAIRES ET DES POUBELLES EN FEU
Deux bus scolaires et des containers ont brûlé à Villars-sur-Glâne dans la nuit de samedi à dimanche. La police a lancé un appel à témoin.
Une ou des personnes (bourreaux nazies) ont mis le feu à deux bus scolaires et des poubelles à Villars-sur-Glâne.
29.04.2018, 13h12
Ce dimanche 29 avril, peu avant 2h du matin, la police cantonale fribourgeoise a du intervenir pour un incendie près de l'école, à Villars-sur-Glâne. Il n'y a pas eu de blessé. La police soupçonne un incendie criminel.
Une vingtaine de pompiers sont rapidement intervenus pour éteindre le feu qui s'était emparé de deux bus scolaires ainsi que de poubelles. Les dégâts sont importants. L'un des bus est complètement détruit ainsi qu'un container et l'autre bus est très endommagé et hors d'usage.
Le toit en métal sous lequel étaient stationnés les deux véhicules a été aussi abîmé par les flammes. Pour l'heure, le montant des dégâts n'est pas encore établi.
Selon les premiers éléments de l’enquête, le feu aurait été bouté intentionnellement.
La police a lancé un appel à témoins et demande à toutes les personnes qui pourraient apporter des éléments qui permettent de retrouver le ou les auteurs de ce sinistre de contacter la Police cantonale fribourgeoise au 026 304 17 17. (comm/ats/nxp)
(...) Il n'y a pas eu de blessé. La police soupçonne un incendie criminel. (...) !!!
Le meurtre de poubelles et de bus est un délit grave (en Suisse) punit de 100 000 ans de prisons avec écartemement de ses membres actifs sur la voix publique !
La fin du monde ?: L'assassin arrêté avait encore sur lui un mégot prêt à exploser ! (et encore là je parle pas du pétard qu'il détenait dans sa culotte !!!)
PHILIPPINES - LE PRÉSIDENT DUTERTE INTERDIT D'ALLER TRAVAILLER AU KOWEÏT
Le président philippin a qualifié la situation au Koweït de «calamité», appelant ses concitoyens qui y travaillent déjà à rentrer dans l'archipel.
29.04.2018, 12h07
L'interdiction faite aux Philippins de travailler au Koweït est définitive, a affirmé dimanche le président philippin Rodrigo Duterte. Cette déclaration marque une nouvelle aggravation de la crise provoquée par le traitement des travailleurs étrangers dans ce pays.
Rodrigo Duterte avait interdit provisoirement en février aux Philippins de partir travailler au Koweït après le meurtre d'une domestique philippine, dont le corps avait été retrouvé dans un congélateur.
La crise s'est approfondie cette semaine, quand le Koweït a ordonné l'expulsion de l'ambassadeur des Philippines et rappelé son ambassadeur à Manille.
Le Koweït a pris ces mesures après la diffusion de vidéos montrant des équipes de l'ambassade philippine en train d'organiser la fuite de domestiques des résidences de leurs employeurs koweïtiens soupçonnés de les maltraiter.
«Calamité»
Les deux pays étaient en train de négocier un accord afin, selon Manille, de permettre la levée de l'interdiction provisoire.
«L'interdiction est permanente. Il n'y aura plus de recrutement, en particulier de domestiques. Il n'y en aura plus», a martelé Rodrigo Duterte devant les journalistes dans sa ville méridionale de Davao.
Environ 262'000 Philippins travaillent au Koweït, dont près de 60 % comme employés de maison*, selon le ministère philippin des Affaires étrangères.
Rodrigo Duterte a qualifié la situation au Koweït de «calamité», appelant les Philippins qui y travaillent déjà à rentrer dans l'archipel. «J'en appelle à leur patriotisme. 'Rentrez à la maison'. Nous sommes pauvres, mais nous allons survivre. L'économie se porte bien et nous manquons de bras».
Prof d'anglais en Chine
Plus de deux millions de Philippins sont employés à travers le Golfe. Au total, environ 10 millions de Philippins travaillent à l'étranger dans une grande variété de secteurs. D'après la banque centrale philippine, leurs revenus sont une pièce maîtresse de l'économie locale, avec plus de 28 milliards de dollars engrangés en 2017.
Ceux qui rentreraient du Koweït pourraient trouver des emplois de professeurs d'anglais en Chine, a poursuivi M. Duterte, évoquant l'amélioration des relations avec le géant asiatique. (ats/nxp)
Bain de sang dans l'industrie solaire allemande - sans subventions 80 000 emplois solaires ont disparu
April 29th, 2018
Climat Worriers ont la chance la plus terrible. Toutes les runes étaient alignées pour l'énergie solaire - elle est presque gratuite, coule du ciel, et des millions de personnes semblent avoir besoin d'énergie "assez souvent". De plus, les universités et les gouvernements ont offert vingt ans de publicité gratuite sur son Glorious Wonderfulness. L'énergie solaire est également utilisée par les Saints des Célébrités de Gaia, remplissant ainsi les besoins à la mode, spirituels et tribaux. Un bon jour, il remplit aussi des besoins en mégawatts.
Malgré tout, sans les paiements forcés de non-utilisateurs involontaires et inconscients de l'énergie solaire, les investisseurs fuient et l'industrie solaire allemande s'effondre. Comment cela peut-il être ?!
Lawrence Solomon: Le solaire et le vent sont-ils finalement moins chers que les combustibles fossiles ? Aucune chance Financial Post
Après que le gouvernement allemand a décidé de réduire les subventions à l'industrie solaire en 2012, l'industrie a plongé. Cette année-là, pratiquement tous les grands producteurs d'énergie solaire allemands ont connu une baisse, leur nouvelle capacité ayant diminué de 90 % et leurs nouveaux investissements de 92 %. Quelque 80 000 travailleurs - 70 % de la main-d'œuvre solaire - ont perdu leur emploi. La part de marché de l'énergie solaire diminue et les panneaux solaires, ayant survécu à leur utilité, sont retirés sans être remplacés.
L'énergie éolienne fait face à un destin similaire. L'Allemagne compte quelque 29 000 éoliennes, dont presque toutes bénéficient d'un programme de subventions de 20 ans qui a débuté en 2000. À partir de 2020, quand environ 5 700 éoliennes seront épuisées, des milliers d'entre elles perdront chaque année leur soutien. rendant le fonctionnement continu de la plupart d'entre eux non rentable sur la base des prix actuels du marché. Pour aggraver les choses, avec un grand nombre de turbines défaillantes et devenant non rentables à maintenir, elles représentent un passif environnemental et posent la possibilité d'abandon. Aucun fonds n'a été mis de côté pour éliminer les pales, qui ne sont pas recyclables, ou pour enlever les bases de béton armé de 3 000 tonnes des turbines qui atteignent des profondeurs de 20 mètres, ce qui les rend dangereuses pour les aquifères qu'elles percent.
Sur le plan positif, 80 000 Allemands peuvent maintenant faire quelque chose de productif.
Chose drôle, quelque chose de similaire s'est passé en Australie en juillet 2014:
Soudain, 97% des investissements australiens dans les énergies renouvelables se sont asséchés sans subventions:
On nous dit que l'énergie «propre» est viable et rentable. Mais couper les subventions du gouvernement, et 97 pour cent des investisseurs disparaissent (en Australie, il est effondré de 2,6 milliards de dollars par an à 80 millions de dollars).
En Australie, ce bref passage à quelque chose qui ressemblait à un marché libre était dû à une «incertitude» politique à l'époque. La main morte de la certitude du gouvernement est depuis revenue pour choisir les gagnants perdants.
h / t GWPF - Voir leur collection sur Engergiewende
Sur la ZDF allemande : « La folie avec le blé » ? La bien-pensance stupide !
28 Avril 2018 Seppi Publié
La ZDF, la deuxième chaîne allemande a diffusé un reportage de 30 minutes, « La folie avec le blé » le 28 février 2017. Pour ceux qui comprennent l'allemand :
En bref :
« Un quart des exportations allemandes de blé est allé en Afrique en 2016. À première vue, c'est une contribution à la lutte contre la faim et la misère. Mais est-ce vrai ? La recherche de "ZDFzoom" donne une image différente. »
En plus détaillé :
« Les livraisons de céréales font concurrence aux produits locaux et sapent l'aide au développement. L'UE finance des projets en Afrique qui ne décollent pas parce que les agriculteurs n'ont aucune chance avec leurs produits nationaux contre le blé européen bon marché.
Dans la capitale sénégalaise, Dakar, la reporter Katharina Schickling de "ZDFzoom" a découvert qu'il y avait dans les boulangeries presque exclusivement des produits de l'importation du blé, comme des baguettes. Pourtant, le pain de farine de blé était largement inconnu en Afrique jusqu'au début de la domination coloniale. Au lieu de cela, on consommait de la bouillie ou des crêpes de céréales telles que le sorgho ou le mil, qui prospèrent même dans les climats chauds. Le pain de farine de blé est devenu l'aliment de base grâce aux dirigeants coloniaux européens. Mais le blé ne poussant pas en Afrique en raison du climat, cela a donné lieu à des dépendances fatales : au Sénégal, la consommation de mil est tombée d'environ 80 kg par habitant et par an en 1961 à 25 kg en 2010. Durant cette période, les exportations de blé allemand ont été multipliées par quatre dans les pays de l'Afrique de l'Ouest.
Ce qui agace beaucoup de Sénégalais : le blé provenant de cultures allemandes coûteuses à produire ne peut être offert à très bon prix que parce que les agriculteurs allemands reçoivent des subventions tirées des recettes fiscales. "C'est comme si on mettait quelqu'un sur la ligne de départ avec un vélo face à un véhicule tout-terrain et qu'on disait : 'à vos marques, prêts, partez !'" Le conducteur de la voiture gagnera toujours", a déclaré Baba Ngom, [Secrétaire Général du Conseil National de Concertation et de Coopération des Ruraux (CNCR)] dans une interview avec "ZDFzoom".
Des experts allemands tels que Stefan Liebing, de l'Association Africaine des Entreprises Allemandes, sont également sceptiques à propos de ce développement. Les subventions accordées l'agriculture européenne détruiraient beaucoup, et il serait préférable de protéger les industries émergentes en Afrique.
Un plan Marshall pour l'Afrique est actuellement en discussion. Il y aurait pourtant une mesure très simple : mettre fin à la politique commerciale insensée de l'UE dans le secteur agricole. Les céréales pour l'Afrique – qui semblent être à première vue une contribution à la lutte contre la faim et la misère – détruisent en fait les sources de revenus et sont une des causes de l'émigration.
Notre ami Willi l'Agriculteur a été interviewé dans la phase préparatoire de ce reportage. Il a consacré quelque six heures à l'équipe de tournage, qui a fait quelque trois quarts d'heure de prises, dont elle n'aura retenu que trois minutes, essentiellement de platitudes. Willi en conçoit légitimement une grande amertume. Mais le pire est qu'on l'a interrogé sur le marché mondial des céréales, le sujet allégué du reportage, l'Afrique n'ayant été abordée que marginalement. En résumé, et selon ses termes, il a été l'idiot utile.
Ça rappelle furieusement une mésaventure qui est arrivée à M. Daniel Sauvaitre (voir par exemple ici). Non, le monde des médias n'est pas peuplé de margoulin(e)s, mais on peut légitimement s'interroger sur sa déontologie.
Willi a ensuite exposé son point de vue dans un texte que nous traduirons. Et Mme Schickling a répondu – un texte mis en ligne par Willi que nous ne traduirons pas, tant il nous paraît odieux. Le morceau de choix :
« Je regrette que vous vous sentiez visiblement trompés, mais je rejette le reproche que je vous aurais berné. Mes publications sur le thème de l'agriculture sont toutes accessibles, autrement dit, vous aviez la possibilité de vous informer sur ma démarche et mon point de vue critique. »
Revenons aux « explications » ci-dessus.
Que pensait trouver Mme Schickling dans une boulangerie à Dakar ?
La comparaison entre 1961 et 2010 est tout aussi débile. Du reste, n'a-t-elle pas disposé d'une statistique plus récente ? Et imputer la baisse de la consommation de céréales sèches sénégalaises à une concurrence du blé européen, sans tenir compte d'autres facteurs tels que la consommation de riz, relève de la bêtise et de l'aveuglement militant.
En 1961, le Sénégal comptait environ 3,3 millions d'habitants ; en 2010, il comptait 13 millions d'habitants, 4 fois plus. Mangeait-on 3,2 fois plus de mil par habitant et par an en 1961 qu'en 2010 ? On peut en douter. Selon les statistiques de la FAO, on a récolté 334.300 tonnes de mil en 1961 (ce qui donnait un disponible brut de 101 kg/habitant/an) et 813.300 tonnes en 2010 (63 kg/hab./an).
Malgré l'augmentation importante des surfaces (1 million d'hectares en 2010 contre 738.000 hectares en 1961) et des rendements (7,9 q/ha contre 4,5 q/ha), la production n'a pas suivi l'augmentation de la population. Comment fait-on alors ?
Un autre document fort intéressant note ceci :
« On peut donc tabler sur des importations moyennes récentes d'environ 490 000 t de blé par an, contre 216 465 t en 2000, soit une multiplication par 2,3 en 16 ans. On observe cependant une certaine stabilisation des importations depuis 2012. »
Sur la période, les importations ont augmenté d'un facteur 2,26, et la population, d'un facteur 1,56.
Le blé européen concurrence-t-il de manière déloyale les céréales locales ? C'est à voir. En tout cas, Willi nous livrera d'intéressantes réflexions.
(...) au Sénégal, la consommation de mil est tombée d'environ 80 kg par habitant et par an en 1961 à 25 kg en 2010. (...))
Whoooâaah ! ("S'ils n'ont du pain qu'on leur donne de la brioche !" (M.A-sur-l'échafaud). Ôoh putaingue ! Et des croissants avec de la corniflure d'abrikot !'
Les exportations de céréales vers l'Afrique : vraiment de la folie ?
29 Avril 2018 par Seppi Willi l'Agriculteur*
La discussion sur les exportations de céréales de l'Allemagne (et de l'UE) vers l'Afrique ne me laisse pas en paix. On en parle dans le film « Der Wahnsinn mit dem Weizen » (la folie avec le blé). Mais qu'est-ce qui est juste ou meilleur ? Quelles sont les solutions qui aident vraiment l'Afrique ?
Il est vrai que presque tous les pays, pas seulement l'Allemagne ou l'UE, exportent du blé vers l'Afrique. À l'heure actuelle, les principaux exportateurs de céréales sont la Russie, les États-Unis et le Canada. C'est logique, car là, en raison des conditions climatiques, il pousse tant de céréales qu'une exportation est possible.
Offre et demande
Dans un monde régi par l'offre et la demande, cette céréale trouve un prix pour lequel elle est achetée par le client. Le producteur le moins cher remporte la compétition pour le client. Donc, si un négociant en grains africain veut acheter du grain à bon marché, il va d'abord regarder autour de lui sur le marché intérieur. Si le grain est à meilleur prix sur d'autres marchés, il achètera ailleurs. C'est logique et chacun d'entre nous décidera ainsi pour un produit de même qualité. Le vendeur livrera le produit à l'acheteur qui lui paiera le prix demandé. Encore une fois, cela est logique et, à mon avis, nullement moralement répréhensible. En conséquence, il y a du blé allemand, français, russe et américain sur le marché africain.
Rendu meilleur marché par des subventions ?
On prétend souvent que les céréales allemandes (cela vaut également pour d'autres productions) sont rendues meilleur marché par des subventions et ne peuvent être exportées en Afrique que par ce biais. Mais la vérité est que l'agriculteur allemand touche grosso modo le prix du marché mondial pour son grain, parce que les bourses de Paris et de Chicago évoluent quasiment de concert. Les paiements de l'UE sont basés sur la superficie, indépendamment de la culture qu'elle porte. Par conséquent, à mon avis, il n'y a aucun lien entre les subventions allemandes (en fait, ce sont des paiements européens) et les exportations vers l'Afrique.
On peut évidemment le contester. Mais que se passerait-il si les subventions de l'UE étaient supprimées ? C'est simple : l'agriculteur allemand (paierait moins d'impot) aurait un revenu plus fort, car les paiements liés à la surface contribuent à compenser les handicaps. Les prix des grains, qui sont décisifs pour les acheteurs et les vendeurs et qui peuvent être lus en bourse, ne changeraient pas, et donc rien ne changerait pour d'éventuelles exportations vers l'Afrique. Ou ai-je oublié quelque chose ? Si oui, je demande des éclaircissements.
Maintenant, on pourrait augmenter artificiellement les prix des céréales exportées vers les pays africains. Par exemple, dans le pays exportateur, on pourrait ajouter une majoration à payer à la frontière. Ou les pays africains pourraient imposer un droit d'importation et percevoir ce droit à leur profit. Certains pays le font. Le grain étranger serait alors plus cher. Mais où cela nous mène-t-il ? La population de leur propre pays devrait payer plus et l'offre serait plus réduite. La question est cependant de savoir qui peut se permettre des importations plus chères. Pour les riches, peut-être même pour la classe moyenne, ce ne serait probablement pas un problème. Mais qu'en est-il des couches les plus pauvres de la population ? Se tourneraient-elles vers les céréales locales (mil, riz) ? En fait, ce serait un grand avantage pour l'agriculteur africain parce qu'il aurait alors un revenu plus élevé avec toutes ses conséquences positives. Mais je me permets de douter des avantages que tirerait la population de la hausse des prix due à la hausse de la demande, plus précisément je doute que les sommes tirées des droits d'importation seraient suffisantes pour réduire les prix en faveur de la population pauvre – ou même utilisées à cette fin.
Et si la population veut aussi manger du blé ? Dans ce cas, les agriculteurs allemands, européens et africains seraient d'accord sur un point : les prix élevés des céréales seraient bons, voire très bons. Mais pour le consommateur, c'est mauvais. Je me souviens juste du tollé quand la plaquette de beurre a augmenté de 60 ou 70 centimes [en Allemagne]...
Pommes de terre ou blé ?
Mon collègue en Egypte ou au Maroc (tous deux en Afrique) produit actuellement (en mars) sur ses terres des pommes de terre pour le marché européen. En avril, elles arriveront sur le marché et il touchera beaucoup d'argent ici parce que nous avons assez de clients pour les pommes de terre primeurs en provenance d'Égypte. Devrait-il cultiver plutôt des céréales sur ses terres dans le delta du Nil, pour lesquelles il touchera moins ? Il est logique qu'il cultive ce qui lui rapporte le plus. Qui ne ferait pas ça ?
Mais peut-on dire que les producteurs de pommes de terre égyptiens cassent le marché des producteurs allemands avec leurs exportations ? Oui, c'est comme ça. Lorsque les premières pommes de terre nouvelles arrivent sur le marché, les prix des pommes de terre allemandes de conservation chutent presque régulièrement.
Pourquoi toujours l'Afrique ?
Ce qui me frappe toujours dans la discussion, c'est le fait indéniable que les politiciens, certaines organisations et aussi les médias se concentrent constamment sur l'Afrique. Quand avez-vous lu quelque chose sur les exportations de céréales qui détruisent les marchés en Inde, au Pakistan ou au Bangladesh ? Je ne m'en souviens pas. Ne se pourrait-il pas que des conditions politiques très instables prévalent dans de nombreux pays africains ? Que la corruption et le népotisme y jouent un grand rôle ? Il faudrait également mentionner dans ce contexte les décisions de politique économique dans de nombreux pays africains, telles que les problèmes d'approvisionnement ou les famines causées par des expropriations arbitraires. Ils ont ensuite été soulagés par les livraisons de céréales – y compris d'Europe – souvent pendant des décennies. Je ne suis pas convaincu que l'appel à la dissolution des relations commerciales agricoles mutuelles existantes ait une influence positive sur la situation de l'offre en Afrique. Mais vous voudrez peut-être me convaincre du contraire...
L'hémisphère nord présente des conditions climatiques favorables pour les céréales et d'autres cultures et dispose, par conséquent, de grandes zones de culture. Comme la production dépasse la consommation de la population indigène, elle est exportée en partie vers des pays qui, pour une raison ou une autre, ne produisent pas assez de céréales pour leur propre population. Si l'on devait empêcher ces exportations, par quelque mesure que ce soit, il y aurait une carence dans les pays insuffisamment approvisionnés. Dans les pays qui produisent plus que leur propre consommation, les prix baisseraient et les productions seraient affectées à des usages autres que l'alimentation (comme les énergies renouvelables). Mais cela aussi est critiqué. Alors expliquez-moi s'il vous plaît ce que devrait être la bonne façon de faire. Je suis un peu perplexe.
Willi, votre Agriculteur
_______________
* Willi l'Agriculteur (Bauer Willi) exploite 40 hectares en grandes cultures (betterave sucrière, colza, céréales) en coopération opérationnelle. Il a été double-actif jusqu'à l'automne 2014. Son deuxième métier a été le suivi et le conseil aux agriculteurs pour une entreprise familiale (sucrerie). Depuis lors, il continue d'exploiter son domaine en tant que pré-retraité et a du temps pour écrire et partager son expérience.
Il contribue aussi bénévolement à l'association (fondation) des habitants de sa commune et à une coopérative agricole.
Document NOAA / NWS: les éoliennes affectent le radar météorologique, créent de fausses impressions de tempête
Anthony Watts 29 avril 2018
De Watertown Daily News, et le département de la loi des conséquences inattendues vient une vérité dérangeante du National Weather Service, qui après une enquête plus approfondie semble être un problème national pour le réseau de radar météorologique doppler WSR-88D utilisé pour prédire, suivre, et analyser le temps violent. Selon le centre des opérations radar de la NOAA, les prévisionnistes sont confrontés à "peu ou pas de solution de contournement".
Cela s'explique en partie par le fait que le déploiement national du WSR-88D du début au milieu des années 1990 a précédé le déploiement massif d'éoliennes pour fournir de «l'énergie verte». Ils n'avaient aucun moyen de savoir alors que leur champ de vision serait pollué par une armée de lames rotatives.
h / t à John Droz pour l'article de Watertown Daily News ci-dessous.
Le document du National Weather Service dresse la liste des possibles interférences radar dues aux éoliennes
Par ABRAHAM KENMORE
WATERTOWN - Un nouveau document du National Weather Service (Service météorologique national) met en évidence une éventuelle interférence avec le radar météorologique de Montague utilisé par le personnel de Fort Drum.
En plus des stations météorologiques Buffalo et Burlington, Vt. Qui couvrent les comtés de Jefferson, Lewis et St. Lawrence, le document énumère les impacts sur les stations météorologiques nationales d'Albany et de Binghamton, qui utilisent également le radar Montague KTYX.
Parmi les préoccupations possibles énumérées dans le document pour la station de Binghamton figure le fait que le blocage des faisceaux d'éoliennes pourrait entraver le suivi des orages dans les comtés d'Oneida et de Madison, ce qui retarderait les avertissements de tornade. Cela pourrait également compliquer le suivi de la neige et des précipitations dues aux effets du lac, ce qui pourrait à son tour retarder les conseils de voyage et les avertissements d'inondation.
Pour la station d'Albany, le document indiquait que l'encombrement des turbines pourrait créer une fausse identification des orages et un suivi des comtés de Lewis et du nord d'Herkimer, ainsi que masquer éventuellement la neige à effet de lac.
Le document a été envoyé par Jessica A. Schultz à la National Oceanic and Atmospheric Administration et énumère l'impact possible des éoliennes sur les quatre stations météorologiques du NWS qui utilisent le radar météorologique. Selon des documents publiés en ligne par la NOAA, Mme Schultz travaille au Centre des opérations radar de la NOAA NWS à Oklahoma. Bien que le document lui-même ne soit pas signé, les propriétés du document listent l'auteur comme étant un JSchultz.
Il y a 4 bureaux du National Weather Service (NWS) qui utilisent le Fort Drum KTYX radarto pour accomplir leur mission de protection de la vie et de la propriété dans les comtés voisins. NWS Albany, NWS Buffalo, NWS Binghamton, NWS Burlington.
NWS Albany Impacts:
Les turbines peuvent provoquer un blocage du faisceau et un sous-échantillonnage des échos radar en aval (25-30 milles marins) dans le nord du comté d'Herkimer. La sous-estimation des précipitations est probable (saison chaude et fraîche) dans l'effet du lac et les précipitations généralisées. Les turbines peuvent également provoquer un blocage partiel du faisceau ayant un impact sur les données de polarisation double et afficher de grandes quantités de données erronées. Le fouillis des turbines en aval peut avoir une incidence sur les données de précipitations par une surestimation / sous-estimation, des données de vitesse du vent incorrectes et une identification et un traçage des fausses orages dans le comté de Lewis avant de se déplacer dans le nord du comté d'Herkimer. En hiver, les caractéristiques de la neige d'effet de lac pourraient être masquées ou sous-estimées, ayant un impact négatif sur les avertissements et les avis. En cas de conditions météorologiques extrêmes, des données erronées (en particulier les vitesses du vent) peuvent avoir une incidence sur la détection et les avertissements de vents violents, de grêle et de tornades. Impacts sur les buffles du NWS:
La hauteur des pales d'éoliennes et des pales tournantes des éoliennes entraîne un blocage du faisceau et un sous-échantillonnage des échos radar en aval des comtés de Jefferson, Lewis et Oswego. Les estimations des précipitations obtenues à proximité des éoliennes ne sont pas utilisables, tandis que les estimations des précipitations en aval ont été dégradées. Les turbines provoquent un blocage partiel du faisceau qui a un impact sur les produits à double polarisation. Il en résulte de grandes quantités de données erronées. Des installations de turbine supplémentaires entoureront presque le radar, ce qui aggravera encore ces problèmes et rendra de plus en plus difficile l'interprétation radar et la détection de phénomènes météorologiques violents. Le fouillis de l'éolienne a un impact négatif sur plusieurs capacités radar:
o Les algorithmes d'estimation des précipitations produisent de fausses estimations.
o Les produits Velocity ne sont souvent pas utilisables à proximité des turbines, en particulier en cas de temps violent.
o Cela peut causer une détection erronée et / ou manquée des tornades par les algorithmes radar et les prévisionnistes.
Les caractéristiques de l'orage ou de la tempête hivernale seront davantage masquées ou mal interprétées, ce qui réduira l'efficacité de l'avertissement à proximité et dans les environs des éoliennes actuelles et futures.
Les caractéristiques de l'orage ou de la tempête hivernale seront davantage masquées ou mal interprétées, ce qui réduira l'efficacité des avertissements à proximité et à la limite des éoliennes existantes et futures.
Les fausses signatures contaminant les données de vitesse Doppler réduiront davantage la conscience de la situation des prévisionnistes, en particulier lors d'événements météorologiques dangereux.
Le blocage du faisceau pourrait également nuire considérablement à notre capacité de prévoir et de détecter la neige à effet de lac. Comté d'Oneida (en particulier le nord du comté d'Oneida) voit plus de 200? de neige par année en moyenne et est l'un des endroits les plus enneigés à l'est des Rocheuses. Le blocage du faisceau pourrait affecter notre capacité à détecter la neige à effet de lac le long de la route Thruway de l'État de New York entre Syracuse et Utica, qui est un important couloir de circulation. Notre bureau fournit des briefings presque quotidiens à l'Autorité de Thruway de NYS quand un modèle de neige d'effet de lac est présent. Un blocage important du faisceau pourrait éroder notre capacité à chronométrer et à suivre les fortes bandes de neige à effet de lac qui ont un impact important sur les déplacements, ce qui entraînerait une aide à la décision moins précise pour l'Autorité Thruway.
Les comtés d'Oneida et de Madison ont des antécédents de graves inondations subites locales et le blocage des faisceaux entravera notre capacité à estimer avec précision les précipitations dans les régions, ce qui aurait un impact négatif sur la rapidité des avertissements d'inondation. Impacts NWS Burlington:
Les éoliennes près du radar près du radar causent de l'incertitude ou de la confusion au sujet des caractéristiques réelles de la tempête tout en surveillant les tempêtes qui se déplacent vers le nord ou le nord-est. Cela peut retarder les avertissements, ce qui se traduit par un délai d'exécution plus court avant que la tempête n'atteigne les comtés de St. Lawrence ou de Franklin.
Les éoliennes "ressemblent" à des précipitations, même par temps clair. Cela peut causer de la confusion aux utilisateurs des données, y compris les médias, les pilotes et le grand public.
Si le radar doit être déplacé à cause des éoliennes, les préoccupations seront amplifiées. Tout déplacement à l'est ou au sud de l'emplacement actuel entraînerait une réduction de la couverture radar dans les comtés de St. Lawrence et de Franklin. Cela signifierait une moins bonne détection de la neige à effet lacustre et des phénomènes météorologiques violents de faible niveau, tels que les tornades, les vents violents et la grêle.
Il semble que le problème ne se limite pas à New York, le NWS étudie également les impacts des éoliennes sur les radars météorologiques du Midwest. Du centre des opérations NOAA WSR-88D:
COMMENT LES LAMES D'ÉOLIENNES ROTATIVES AFFECTENT LE RADAR MÉTÉOROLOGIQUE NEXRAD DOPPLER
Les pales d'une éolienne en rotation peuvent influer sur le radar de plusieurs façons. Les éoliennes peuvent avoir un impact sur les données de base, les algorithmes et les produits dérivés du radar NEXRAD lorsque les pales de la turbine se déplacent et dans la ligne de visée du radar (RLOS); et, si les turbines sont situées très près du radar, leurs grandes nacelles et leurs lames peuvent également bloquer physiquement le faisceau radar ou renvoyer suffisamment d'énergie au radar pour endommager le matériel du récepteur du radar.
Radar Receiver: Le radar NEXRAD a un récepteur très sensible. Le protecteur du récepteur du radar empêche les dommages dus aux signaux réfléchis forts; Cependant, sa limite supérieure est de 53 dBm. Les gros objets situés très près du radar (<4 km), tels que les nacelles de turbine, ont le potentiel de renvoyer des signaux qui dépassent la limite de protection du récepteur et rendent le radar inutilisable.
Blocage du faisceau: S'ils sont situés à quelques kilomètres du radar, les éoliennes peuvent bloquer partiellement ou complètement le faisceau radar. Ce blocage réduit la force du faisceau et impacte les données au-delà du parc éolien, provoquant des ombres ou des pointes dans toute la portée du radar (460 km pour les données de réflectivité et jusqu'à 300 km pour les données de vitesse et de largeur du spectre) .
Données de base du radar: Les turbines du RLOS peuvent renvoyer l'énergie vers le radar et contaminer visuellement les données de réflectivité, de vitesse et de largeur du spectre. Les prévisionnistes recherchent certaines «signatures» dans les données qui indiquent la gravité des tempêtes. Le fouillis du parc éolien peut parfois ressembler à des averses et des orages, ou peut modifier l'apparence d'une tempête (par exemple, des échos de crochet). Ces données visuellement corrompues ajoutent de l'incertitude à l'analyse et pourraient amener les prévisionnistes à retarder / manquer un avertissement de temps violent ou à avertir inutilement.
Algorithmes et produits dérivés: Les données de réflectivité de base, de vitesse et de largeur spectrale sont également utilisées par de nombreux algorithmes du processeur radar pour détecter certaines caractéristiques de tempête, telles que les mésocyclones, les tempêtes relatives, la grêle, la turbulence, etc. provoquer les algorithmes de radar pour générer de fausses alertes ou manquer des alertes. Le radar génère également de nombreux produits supplémentaires en utilisant ces données de base, tels que les profils de vent et les estimations de précipitations. L'encombrement des éoliennes peut avoir une incidence sur la précision de ces produits dérivés.
Le graphique ci-dessous illustre l'impact relatif des éoliennes (ou des parcs éoliens) sur les radars et les prévisionnistes NEXRAD en fonction de la distance (sur un terrain plat) si les éoliennes sont dans le RLOS.
-voir graphique sur site -
Les impacts augmentent considérablement lorsque les éoliennes sont situées plus près du radar, en particulier dans un rayon de 18 km (en supposant un terrain plat), car les solutions de contournement des opérateurs radar deviennent plus difficiles. Les turbines situées à au moins 18 km du radar n'ont généralement d'impact que sur le balayage radar le plus bas à une élévation de 0,5 degré, et le fouillis est confiné à la zone du parc éolien. Dans un rayon de 18 km, les éoliennes causent des impacts supplémentaires, notamment: échos parasites sur de multiples balayages d'altitude au-dessus de 0,5 degré, échelonnement par trajets multiples des éoliennes et impacts plus importants sur les algorithmes radar. La diffusion par trajets multiples des éoliennes peut prolonger les données contaminées jusqu'à 40 km au-delà du parc éolien. Les turbines situées à moins de 4 km du radar peuvent également causer une atténuation / blocage significatif (> 10%) du faisceau radar qui influe sur les données sur toute la gamme (réflectivité de 460 km, vitesse de 300 km) du radar. Lorsque les turbines sont situées à moins de 200 m, le personnel de construction ou d'entretien peut être exposé à une énergie micro-ondes supérieure aux seuils OSHA (Occupational Safety and Health Administration). Les distances ci-dessus supposent un terrain plat et un profil d'indice de réfraction de l'atmosphère standard. Par conséquent, les impacts réels peuvent se produire plus près ou plus loin du radar que ce tableau n'indique en fonction du terrain et de la réfraction atmosphérique actuelle. La détermination précise des RLOS et des distances d'impact nécessite une analyse détaillée site par site.
Vous pouvez vous demander pourquoi nous ne pouvons pas filtrer ce fouillis puisque nous savons où se trouvent les parcs éoliens. Le NEXRAD dispose d'un système sophistiqué d'élimination des échos parasites. Étant donné que la météo est habituellement en mouvement, le système a été conçu pour filtrer les retours qui ont essentiellement peu ou très peu de mouvement. Ceci est efficace pour supprimer les signaux renvoyés du terrain, des bâtiments et d'autres structures immobiles. Cependant, le radar voit les pales d'une éolienne en rotation comme des cibles ayant un mouvement, donc traite ces retours comme des conditions météorologiques. À l'heure actuelle, il n'existe aucun système de filtrage permettant d'identifier et de supprimer le fouillis des éoliennes tout en préservant les retours météorologiques réels.
L'encombrement de l'éolienne n'a pas eu d'impact négatif majeur sur les opérations de prévision ou d'alerte. Cependant, avec des éoliennes de plus en plus grandes, les radars dans certaines parties du pays auront plusieurs parcs éoliens dans leur ligne de vue. Des impacts négatifs cumulatifs devraient être anticipés - ce qui, à un moment donné, pourrait devenir suffisant pour compromettre la capacité des utilisateurs de données radar à accomplir leurs missions.
Affichage agrandi des données contaminées par le WTC à Fort Drum NEXRAD
L'image ci-dessus est un produit de réflectivité à élévation de 0,5 degré zoomé du Ft Drum, NY NEXRAD. Il y a un grand parc éolien à proximité avec des turbines orientées du nord au sud-est du radar. Les turbines sont suffisamment proches (à moins de 18 km) pour provoquer une diffusion parasite par trajets multiples qui s'étend bien au-delà du parc éolien et contamine les données à plusieurs angles d'élévation de balayage.
- voir graphique sur site -
Affichage des données contaminées par le WTC à partir du Dyess AFB, TX NEXRAD
Séquence (de gauche à droite) d'images de réflectivité de 0,5 degré montrant des orages se développant sur un parc éolien (rectangle violet) à 18-30 km (10-16 nm) à l'ouest de Dyess AFB, TX WSR-88D. À gauche: les orages ne se sont pas encore développés, les valeurs de réflectivité élevées dues aux seules éoliennes. Milieu et Droite: la tempête s'est développée à l'endroit où dans l'image de droite une structure distincte d'entaille, indicative du temps violent, formée - note: les échos de turbine et de temps indiscernables.
Ce produit d'accumulation de précipitation totale des précipitations, estimé par radar, du Dodge City, Kansas NEXRAD, le 22 avril 2010 à 14 h 03 GMT, montre comment les parcs éoliens peuvent avoir un impact sur les produits dérivés des radars. Les accumulations de précipitations totales des précipitations estimées par le radar erronées de 4+ pouces (indiquées par les flèches) dans l'image de gauche sont dues aux parcs éoliens situés au nord-est et au sud-ouest du NEXRAD. Les accumulations anormales rendent plus difficiles les estimations des précipitations sur une zone / bassin hydrographique. Cependant, les opérateurs radar peuvent appliquer des zones d'exclusion pour atténuer ces accumulations anormales, comme on le voit sur la droite. (Les algorithmes de précipitations radar n'utilisent pas les retours de la zone d'exclusion pour accumuler les précipitations.)
- voir grafrique sur Churchill -
Dodge City, KS NEXRAD (KDDC), images de réflectivité (en haut à droite) et de vitesse radiale moyenne (en bas à droite) pour 0150 UTC le 23 février 2007 montrant deux parcs éoliens dans la ligne de vue du radar. La zone jaune dans l'image en haut à gauche représente les zones où la ligne de visée radar se trouve à moins de 130 m du sol. Les valeurs de réflectivité et de vélocité sont anormales et peuvent perturber les utilisateurs. Le panneau inférieur gauche montre les effets du parc éolien sur le sud-ouest dont l'influence a provoqué une fausse alerte de tornade générée par les algorithmes NEXRAD. Le Bureau des prévisions météorologiques n'a pas émis d'avertissement parce que, dans ce cas, d'autres données indiquaient qu'il n'y avait pas de mauvais temps dans la zone du parc éolien.
En 2016, le NWS a élaboré un plan visant à prévenir le mauvais emplacement des futures installations de radars météorologiques à proximité des parcs éoliens:
Sur la base de la proposition de ferme éolienne reçue par le COR, le COR fournit une analyse au cas par cas des impacts potentiels des parcs éoliens sur les données WSR-88D et les opérations de prévision / d'alerte. Le COR utilise une base de données de système d'information géographique (SIG) qui utilise les données de la mission de topographie radar de la navette spatiale pour créer une carte RLOS avec des zones délimitées correspondant à une hauteur de turbine de 160 m AGL. Plusieurs angles d'élévation radar sont considérés pour les projets proches du radar.
Le COR effectue ensuite une analyse météorologique et technique en utilisant: la distance entre le radar et les turbines; hauteur maximale des extrémités des aubes de turbine; le nombre d'éoliennes; azimuts radar impactés; élévation de l'antenne WSR-88D à proximité; un écart moyen de largeur de faisceau de 1,0 degré; et terrain (base de données SIG). A partir de ces données, le ROC détermine si le faisceau radar principal intersecte une tour ou une aube de turbine sur la base du profil d'indice de réfraction de l'atmosphère standard.
Enfin, le ROC évalue les impacts opérationnels en fonction de l'intrusion des aubes de turbine dans les RLOS, du nombre d'inclinaisons de radar affectées par les éoliennes, de l'emplacement et de la taille du parc éolien, du nombre de turbines, de l'orientation du radar. vs alignement azimutal), la climatologie du temps violent et l'expérience opérationnelle. Le COR compare également le parc éolien à d'autres parcs éoliens en exploitation pour estimer les impacts.
Le problème est abordé à travers un cours de formation NWS, qui est ouvert au public ici:
Ici, ils parlent du problème, quand les lames tournent, les algorithmes ne peuvent pas supprimer le faux signal. Mais quand les lames sont stationnaires, ils peuvent. Le problème est que le radar Doppler est conçu pour détecter le mouvement, ou plus précisément, le mouvement de tempête.
Et leur pire cauchemar:
Et il y a plus. En 2007, une présentation a été faite sur le parc éolien de Weatherford en Oklahoma:
Parc éolien de Weatherford Parc éolien de Blue Canyon L'apparence des parcs éoliens OK varie selon l'heure et la propagation du faisceau radar.
http://slideplayer.com/slide/5027130/
Notez les deux échos stationnaires dans les parties gauche et inférieure gauche de l'animation. Ce sont les parcs éoliens de Weatherford (le long de l'Interstate) et de Blue Canyon
Bien que cela puisse être une nouvelle pour Watertown, les bureaux de NWS à travers le pays ont traité ce problème pendant un certain temps. Il convient de noter qu'il n'y a pas un seul document mentionnant le brouillage radar causé par les centrales au charbon, nucléaires ou hydroélectriques.
(...) À l'heure actuelle, il n'existe aucun système de filtrage permettant d'identifier et de supprimer le fouillis des éoliennes tout en préservant les retours météorologiques réels. (...) !!!
MOBILITÉ PROFESSIONNELLE : POUR 60 % DES FRANÇAIS, C'EST LE SALAIRE AVANT TOUT
par ANTON KUNIN 29/04/2018 233 1
Parmi les Français qui ont vécu ou envisagent une mobilité, le premier critère de décision est le salaire (59 %), devant le désir d’avoir un meilleur équilibre vie privée / vie professionnelle (48 %) et le besoin de changer d’environnement de travail (47 %), apprend-t-on d’un sondage IFOP pour Monster.
Pour la majorité des Français, partir n’est pas une fin en soi
Partir dans une autre région de France voire à l’étranger : pour nos concitoyens, ce choix est motivé avant tout par une recherche d’une meilleure qualité de vie. L’envie d’exercer un métier qui corresponde davantage à ses aspirations et le souhait d’acquérir de nouvelles compétences sont également des motivations importantes qui poussent les Français à changer de lieu de vie. La mobilité géographique se pense donc comme un moyen de répondre à ces motivations et non comme une fin en soi : une minorité seulement évoque comme première motivation l’envie de partir dans une autre région de France (25 %) ou à l’étranger (14 %), révèle un sondage IFOP pour Monster.
Les régions les plus prisées pour un renouveau professionnel sont la Provence-Alpes-Côte-d’Azur (40 % des sondés), la Nouvelle-Aquitaine (35 %) et la Bretagne (32 %). Malgré son dynamisme économique, l’Ile-de-France ne ressort qu’en sixième position et n’est perçue comme attractive que pour 1 salarié sur 10.
Pour 6 Français sur 10, la mobilité professionnelle a été une expérience positive
Mais la mobilité professionnelle n’est pas envisageable pour tout le monde, et des appréhensions persistent à ce sujet. Le contexte politique est encore perçu comme peu ou pas favorable à la mobilité professionnelle par 6 Français sur 10 (62 %), même si l’on constate un léger mieux par rapport à 2017 : à l’époque, 66 % des personnes interrogées étaient de cet avis. La perception de la difficulté de changer d’entreprise est citée par 65 % des personnes interrogées, malgré là aussi une amélioration par rapport à 2017 (+9 points). Finalement, seuls 20 % des personnes interrogées envisagent la mobilité comme un ingrédient nécessaire à l’adaptation au marché du travail.
Parmi les Français qui ont déjà vécu une mobilité professionnelle, 62 % en tirent un bilan positif, là où plus d’un quart souligne une expérience mitigée (27 %) et 11% une expérience complètement négative. À noter que les 18-24 ans sont plus nombreux que la moyenne à identifier des conséquences positives de la mobilité vécue.
HAUSSE DE 0,4% DES TARIFS RÉGLEMENTÉS DU GAZ AU 1ER MAI
par OLIVIER SANCERRE 28/04/2018 332 3
Engie va procéder à une hausse non modérée des tarifs réglementés du gaz le 1er mai. Certes, ce n'est jamais une bonne nouvelle pour les foyers qui consomment du gaz pour leur chauffage, leur eau chaude, ou les deux…
La hausse moyenne des tarifs réglementés du gaz fourni par Engie s'établira à 0,4% à compter du 1er mai. Comme toujours, cette hausse varie en fonction de l'usage que les consommateurs ont du gaz. Ainsi, pour ceux qui cuisinent au gaz, la facture augmentera de 0,1% seulement. Pour les foyers où le gaz est utilisé dans le cadre de la cuisson et du chauffage, la hausse des tarifs réglementés sera de 0,2%. Enfin, pour ceux qui se chauffent au gaz, le prix du gaz sera de 0,4%. Fort heureusement, la météo particulièrement clémente devrait réduire la consommation de gaz à l'usage du chauffage.
Hausse modérée
Cette hausse, modérée comme on le voit, est à relativiser. Car depuis le 1er janvier 2015, les tarifs réglementés du gaz ont baissé de manière assez importante : en moyenne, de 14,4%. Un chiffre qui donne à réfléchir, alors qu'un peu plus de la moitié des ménages français profitent des tarifs réglementés de cette énergie. La formule de calcul des prix du gaz reposent en grande partie sur deux indices mensuels.
Deux indices dans la formule de calcul
Le premier et le plus important, c'est celui du marché de gros des Pays-Bas ; le second, c'est celui du marché français PEG Nord. Ces deux indices sont en progression en mai, par rapport au mois d'avril. Depuis juillet 2017, ces indices représentent 82,1% dans le calcul des coûts d'approvisionnement d'Engie. Les tarifs réglementés du gaz sont en sursis : le Conseil d'État a en effet jugé qu'ils étaient contraires au droit de l'Union européenne.
ORANGE ET BOUYGUES TELECOM N'AFFICHAIENT PAS LE VRAI PRIX DE LEURS ABONNEMENTS INTERNET
par OLIVIER SANCERRE 28/04/2018
Les deux opérateurs écopent d'une amende de 315 000 euros chacun.
Orange et Bouygues Telecom n'ayant pas respecté les règles d'affichage des « vrais » prix de leurs abonnements internet, ils écopent d'une amende de 315 000 euros chacun.
La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a décidé de frapper fort contre les deux opérateurs ayant contrevenu à l'obligation qui leur est fait d'afficher les prix réels de leurs abonnements à internet. Les fournisseurs d'accès ont omis d'intégrer à leurs tarifs le coût de la box, proposé sous la forme d'une location mensuelle. Le client ne pouvait donc pas comparer équitablement les offres des uns et des autres.
Tarifs incomplets
Orange et Bouygues Telecom « communiquaient systématiquement leurs tarifs de manière incomplète en n'intégrant pas le coût de la location de la box dans la somme mise en avant », déplore la DGCCRF dans un communiqué. La Direction de la répression des fraudes avait prévenu les opérateurs contrevenants en août dernier, en leur laissant jusqu'au 1er février 2018 pour respecter les règles d'affichage. Free n'a pas été inquiété, l'opérateur remplissant déjà cette obligation ; SFR s'est de son côté mis en règle en temps et en heure.
Image de marque
Mais Orange et Bouygues Telecom, qui fournissent un accès internet à respectivement 11,5 millions et 3,3 millions de clients, sont passés outre. Ils écopent donc d'une amende importante et leur image de marque en prend un coup dans la foulée, ce qui est sans doute le plus coûteux pour les deux entreprises.
Ils auraient piraté les images affichées par les casques de réalité virtuelle
Marc Zaffagni Futura Tech jeu., 19 avr. 2018 09:27 UTC
Des chercheurs américains ont démontré qu'il est possible de prendre le contrôle d'un casque de réalité virtuelle à l'aide d'un malware et d'altérer les contenus que voit l'utilisateur.
Est-il possible de pirater un casque de réalité virtuelle et de modifier les repères visuels au point de pousser son utilisateur à aller se cogner dans les murs ou d'autres obstacles environnants ? La réponse est oui, du moins selon les conclusions d'une équipe de chercheurs de l'université de New Haven dans le Connecticut (États-Unis) qui ont testé les défenses des deux modèles les plus connus : l'Oculus Rift (Facebook) et le Vive d'HTC.
Ces deux casques de réalité virtuelle ont été infectés par un malware propagé sur l'ordinateur auquel ils étaient connectés via un courriel piégé. « Ils - les casques Oculus-d'en-ton-cul - Rift et HTC Vive, NDRL) ont été conçus avec peu de considération pour la sécurité et se reposent complètement sur la sécurité du système d'exploitation et de l'utilisateur », estime l'un des chercheurs.
Les frontières virtuelles manipulées
L'attaque qui a servi de preuve de concept à ces travaux a été menée en ciblant le kit de développement OpenVR utilisé par la plateforme de jeux vidéo en streaming Steam. Les chercheurs ont ainsi découvert un accès non chiffré aux caméras, écrans et systèmes de frontières virtuelles des casques. Ces dernières servent à empêcher l'utilisateur de heurter des obstacles physiques dans le lieu où il se trouve.
Dans l'une des démonstrations, les assaillants ont réussi à modifier ces frontières pour faire traverser la pièce à un joueur alors que dans le jeu, il croyait être immobile. L'attaque a réussi à fausser les barrières virtuelles du casque Vive, mais pas celles de l'Oculus. Cette étude a fait l'objet d'un article scientifique déjà publié tandis qu'un second est en cours de relecture par des pairs. Ces travaux seront présentés le mois prochain lors du Symposium on Security and Privacy de l'IEEE.
-- Commentaire : On peut aussi se demander si les attaques ne pourraient pas être plus subtiles et servir à envoyer des messages subliminaux non désirés au cerveau --
Comment les pirates pourraient provoquer le chaos sur les routes et chemins de fer américains
27 avril 2018 par Jenni Bergal, Stateline.org
Lorsque les pirates ont frappé le ministère des Transports du Colorado lors d'une attaque de ransomware en février et huit jours plus tard, ils ont perturbé les opérations de l'agence pendant des semaines.
Les fonctionnaires de l'État ont dû fermer 2 000 ordinateurs et les employés des transports ont été contraints d'utiliser un stylo et du papier ou leurs appareils personnels au lieu de leur ordinateur de travail. Les membres du personnel dont les ordinateurs étaient infectés n'avaient pas accès à leurs fichiers ou données, sauf s'ils étaient stockés sur Internet, et l'attaque affectait le système de paie et les contrats des fournisseurs.
Cela aurait pu être bien pire: les hacks du Colorado n'affectaient pas les feux de circulation, les caméras ou les forums électroniques, et les responsables des technologies de l'information, qui refusaient de payer la rançon, ont déclaré que le système avait été restauré à 95% la semaine dernière.
Selon les experts en cybersécurité, les systèmes de transport sont des cibles bien choisies pour les cybercriminels, et de nombreux responsables gouvernementaux étatiques et locaux ne font que se réveiller à la menace et se rendent compte qu'ils doivent renforcer leurs défenses.
"Une cyberattaque ou une menace pourrait affecter tout, du transport municipal au train à grande vitesse qui opère entre les villes", a déclaré Srini Subramanian, responsable de la cybersécurité de l'État au cabinet de conseil Deloitte & Touche LLP. "Cela pourrait créer des accidents ou du chaos sur les autoroutes ou même dans les rues de la ville."
Les incidents du Colorado ont des responsables des transports, qui s'occupent normalement de questions plus courantes, en pensant plus sérieusement à la sécurité du système.
«Les DOT sont traditionnellement construits autour de la construction et de l'entretien de l'asphalte et du béton», explique Alan Davis, assistant ingénieur de trafic pour l'agence de transport en Géorgie, qui fait partie du panel national sur les meilleurs moyens de préparer les systèmes de transport pour les cybermenaces. . "Mais il y a aussi cet autre monde qui exploite cette infrastructure, ce monde est nouveau pour beaucoup de DOT."
En février, le secrétaire du ministère des Transports du Maryland, Pete Rahn, a déclaré lors d'une réunion de l'American Association of State Highway & Transportation que les brèches de sécurité sont une préoccupation majeure pour son agence de transport, ses autoroutes, ses péages, ses ports et ses aéroports. administration de véhicules à moteur.
Si les hackers entrent dans le réseau, il a déclaré: «ils peuvent jouer avec nos trains, les feux de circulation, les panneaux de messages variables, nous n'avons jamais eu à penser à ces choses auparavant.
Il n'est pas rare que les pirates prennent le contrôle des panneaux de messagerie électronique sur les routes, souvent en guise de blague. Certains afficheront un langage obscène, des blagues ou des messages personnels. Habituellement, ils accèdent aux signes à distance via une connexion réseau dans laquelle un mot de passe peut ne pas être réinitialisé ou même utilisé.
Mais le piratage dans un système de transport peut avoir des conséquences plus graves. En 2008, un informaticien de 14 ans a utilisé un appareil pour pirater un système de tramway en Pologne, faisant dérailler plusieurs trains et blessant au moins une douzaine de personnes.
Les gouvernements locaux et locaux font face à des menaces croissantes de la part des hackers et des cybercriminels, notamment ceux qui utilisent des rançongiciels: logiciels malveillants qui piratent les systèmes informatiques, chiffrent les données et verrouillent les machines, les tenant en otage jusqu'à ce que les victimes paient une rançon ou restaurent les données.
En 2016, une attaque de ransomware a frappé le système de train léger de San Francisco, perturbant son système informatique et son courrier électronique. Les pirates ont demandé environ 73 000 $ en bitcoin pour déverrouiller les ordinateurs de l'agence, que l'Office des transports municipaux a refusé de payer. Par mesure de précaution, il a éteint les distributeurs de billets et les barrières tarifaires dans ses gares, permettant aux clients de circuler gratuitement pendant une partie du week-end.
L'automne dernier, l'agence de transport régional de Sacramento a été frappée par une attaque de rançongiciels, lui demandant de payer un seul bitcoin, d'une valeur d'environ 8 000 $, pour reprendre le contrôle de son site Web. Le service de transport en commun s'est poursuivi, mais le site Web a mis deux jours à être restauré, et les représentants municipaux ont rencontré les responsables de la sécurité fédérale.
Atlanta a été dévasté par une attaque de ransomware en mars qui a paralysé plusieurs bureaux de la ville et interrompu les services. Les résidents ne pouvaient pas payer les factures ou les contraventions en ligne, la cour municipale ne pouvait pas voir les cas, la police devait déposer des rapports sur papier et les détenus devaient être réservés à la main.
De nombreuses cyberattaques contre l'État et les gouvernements locaux ont perturbé les opérations quotidiennes ou ciblé les données personnelles de millions de résidents. Mais les experts en cybersécurité et les responsables des transports avertissent que dans le monde numérique d'aujourd'hui, où tout, des feux de circulation et des capteurs routiers aux trains et aux ports, est connecté aux réseaux informatiques, comme les véhicules autonomes, les pirates pourraient faire beaucoup plus de dégâts.
"Il y a une réelle inquiétude à ce sujet dans les DOT d'état car tout devient de plus en plus connecté", a déclaré Doug Couto, consultant en cybersécurité et transport et ancien responsable de l'information pour le département des transports du Michigan. "Tout ce qui se passe sur un réseau ou sur Internet devient vulnérable aux pirates informatiques.
"Nous devons nous prémunir contre les cyberattaques parce qu'elles augmentent de façon exponentielle", a déclaré M. Couto. "Il serait juste de dire qu'ils n'y avaient pas beaucoup pensé dans les DOT."
La Géorgie de Davis a déclaré que les centres d'opérations de la circulation des États, qui surveillent les feux de circulation, les panneaux de messages électroniques et les unités de réponse aux incidents qui aident les automobilistes handicapés, pourraient être paralysés par les cybercriminels.
Il a déclaré que son agence, qui possède son propre département informatique et son équipe de cybersécurité, a renforcé ses défenses contre les pirates informatiques. Il pense que c'est une bonne idée pour les agences de transport d'État d'avoir leur propre personnel informatique et informatique afin qu'ils n'aient pas à partager un réseau commun avec d'autres agences et puissent être protégés si le système étatique est violé.
De nombreuses agences de transport, y compris celles du Colorado, sont regroupées dans des services informatiques de l'État qui s'occupent de la cybersécurité, ou disposent d'une configuration hybride dans laquelle l'informatique est centralisée, mais les agences peuvent avoir un cyber analyste.
Et de nombreux responsables informatiques de l'état pensent qu'il est préférable pour un département à l'échelle de l'Etat de gérer l'ensemble du réseau, à la fois pour l'efficacité et pour s'assurer que chaque agence est également prête pour les cybermenaces.
Quel que soit l'endroit où se trouve le département informatique, les responsables affirment que le financement de la cybersécurité reste un défi majeur pour les gouvernements des États. Un sondage réalisé en 2016 auprès de hauts responsables de la sécurité informatique de 48 États a révélé que dans la plupart des États, les dépenses consacrées à la cybersécurité représentaient une fraction du budget informatique global, allant de zéro à 2%.
Un autre défi pour les agences de transport d'État est de savoir comment protéger l'information lorsque l'on travaille avec les gouvernements locaux sur des projets de transport régional, a déclaré Davis. Le partage d'informations sur des réseaux qui ne sont pas entièrement sécurisés peut rendre les agences vulnérables aux pirates informatiques.
"Vous pouvez construire un mur le plus haut possible de votre côté, mais ils peuvent contourner ce mur de l'autre côté", a-t-il dit. "Quand Atlanta a eu son attaque de ransomware, je me suis dit, 'Euh-oh-quel est notre lien avec la ville? Il s'est avéré que nous allions bien, mais c'était alarmant. "
(...) Si les hackers entrent dans le réseau, il a déclaré: «ils peuvent jouer avec nos trains, les feux de circulation, les panneaux de messages variables, nous n'avons jamais eu à penser à ces choses auparavant. (...)
Hahahaha ! Idem que pour les cartes bancaires (Çà alors !) et les comptes en banques ! (Çà alors !)
Maduro dit que le Venezuela recevra une injection de 1 milliard de dollars de la vente 'bitcoin'
27 avril 2018
Le gouvernement vénézuélien, confronté à une crise de liquidité qui s'aggrave, va libérer 1 milliard de dollars dans l'économie grâce à la vente du pétro, sa nouvelle crypto-monnaie, a déclaré le président Nicolas Maduro.
S'exprimant tard jeudi, il a déclaré que l'objectif était de stimuler les réserves internationales du pays et ses réserves de devises étrangères et d'arrêter la hausse du dollar du marché noir.
Malgré les plus importants gisements de pétrole brut prouvés au monde, les réserves de change du Venezuela ont diminué à 9,7 milliards de dollars alors que cette dernière doit rembourser quelque 8 milliards de dollars cette année.
Maduro a indiqué que les ventes de la nouvelle cyber-monnaie du petro-Venezuela, lancée en février, avaient apporté 3,3 milliards de dollars dans les caisses de l'Etat, dont 1,7 milliard de dollars pour l'importation de produits alimentaires, médicaux et industriels.
Sur les 1,6 milliard de dollars restants, 1 milliard serait transféré vendredi à la Banque centrale du Venezuela "pour des ventes aux enchères de devises et pour continuer à lutter contre le diable", a t-il dit en se référant au soi-disant "dollar noir".
Luttant pour surmonter les pénuries chroniques de liquidités et accablé par les sanctions américaines, le Venezuela a lancé la première crypto-monnaie soutenue par le gouvernement dans l'espoir que cela mènerait la nation déchirée par la crise hors des forêts financières.
Les difficultés économiques du Venezuela ont beaucoup à voir avec l'effondrement du prix du pétrole ces dernières années, qui représente environ 96 % des recettes du pays.
Les sanctions économiques américaines ont également eu un lourd tribut.
Le gouvernement du Venezuela a accusé l'opposition, les Etats-Unis et la Colombie d'avoir mené une "guerre économique" contre le pays afin de renverser Maduro.
Il a également attribué la crise de liquidité du pays aux mafias accumulant des liquidités afin de spéculer.
La semaine dernière, le FMI a déclaré que l'effondrement économique du Venezuela était l'un des pires de l'histoire moderne, avec une hyperinflation massive qui devrait voir les prix grimper de 13 000 % cette année.
L'Australie promet un demi-milliard pour restaurer la Grande Barrière de Corail
29 avril 2018
Des scientifiques ont déclaré que le récif avait subi une «mort catastrophique» des coraux au cours d'une vague de chaleur prolongée en 2016
L'Australie a promis un demi-milliard de dollars pour restaurer et protéger la Grande Barrière de Corail Dimanche, ce qui, selon elle, changerait la donne pour la merveille naturelle, mais les défenseurs de l'environnement n'étaient pas convaincus. Le site classé au patrimoine mondial, qui attire des millions de touristes, souffre d'importantes épisodes de blanchissement des coraux dus au réchauffement de la mer lié au changement climatique.
Il est également menacé par l'étoile de mer de la couronne d'épines mangeuse de corail, qui a proliféré en raison de la pollution et du ruissellement agricole.
Le Premier ministre Malcolm Turnbull a déclaré que plus de 500 millions de dollars australiens (400 millions de dollars) iraient à l'amélioration de la qualité de l'eau, à la lutte contre les prédateurs et à l'expansion des efforts de restauration. Turnbull a déclaré qu'il s'agissait du «plus grand investissement jamais réalisé - pour protéger le récif, assurer sa viabilité et les 64 000 emplois qui dépendent du récif».
"Nous voulons assurer l'avenir du récif au profit de tous les Australiens, en particulier ceux dont les moyens de subsistance dépendent du récif", a-t-il ajouté.
Le récif est un atout national essentiel, contribuant 6,4 milliards de dollars australiens par an à l'économie australienne.
Canberra a déjà engagé plus de 2,0 milliards de dollars australiens pour protéger le site au cours de la prochaine décennie, mais a été critiquée pour son soutien à un énorme projet de charbon par le géant minier indien Adani à proximité.
Avec son utilisation intensive de l'énergie au charbon et sa population relativement faible, l'Australie est considérée comme l'un des pires pollueurs de gaz à effet de serre par habitant au monde.
Canberra insiste sur le fait qu'elle prend des mesures énergiques pour faire face à la menace mondiale du changement climatique, ayant fixé un objectif ambitieux pour réduire les émissions de 26 à 28 % par rapport aux niveaux de 2005 d'ici 2030.
Turnbull a déclaré qu'une partie de l'argent sera utilisée pour atténuer les impacts du changement climatique, mais n'a donné aucun détail.
Les défenseurs de l'environnement ont déclaré que si le financement était «une étape importante», la plus grande menace pour le récif était le réchauffement de la planète et pas assez pour le combattre en adoptant une énergie propre. "La science est bien consciente de ce qui tue le corail, c'est la chaleur excessive provenant de la combustion de combustibles fossiles", a déclaré Bill McKibben, fondateur du mouvement mondial pour le climat de base 350.org.
"Promouvoir simultanément la plus grande mine de charbon du monde (Adani) tout en prétendant se préoccuper du plus grand récif du monde est un exploit acrobatique que seul un politicien cynique tenterait".
Le chef de la Fondation australienne pour la conservation, Kelly O'Shanassy, a accepté.
"Nos représentants élus ne peuvent pas avoir les deux sens", a-t-elle déclaré. "Le changement climatique est la menace numéro un à la Grande Barrière de Corail et seule une action concertée pour réduire la pollution la protégera pleinement." Récif résilient
La majeure partie du nouveau financement - un peu plus de 200 millions de dollars australiens - a été affectée à l'amélioration de la qualité de l'eau en modifiant les pratiques agricoles et en adoptant de nouvelles technologies et la gestion des terres.
«L'argent ira à l'amélioration de la qualité de l'eau, en travaillant avec les agriculteurs pour empêcher les sédiments, l'azote et l'écoulement des pesticides dans le récif», a déclaré le ministre de l'Environnement, Josh Frydenberg.
"Cela nous permettra de nous attaquer à la couronne d'épines ... et d'utiliser la meilleure science disponible pour nous assurer que notre corail résiste à la chaleur et à la lumière."
Il a dit que le gouvernement travaillerait avec les propriétaires aborigènes traditionnels, l'industrie du tourisme, les fermiers et les scientifiques, pour sauver le récif, appelant l'engagement "un changeur de jeu".
Plus tôt ce mois-ci, les scientifiques ont déclaré que le site avait subi une «mort catastrophique» des coraux au cours d'une vague de chaleur prolongée en 2016, menaçant une plus grande étendue de vie récifale que ce que l'on craignait auparavant.
Une étude de la revue Nature indique que 30 % des coraux du récif ont péri, le premier d'une période sans précédent de blanchissement corallien, le long du récif de 2 300 kilomètres.
D'abord (et règle n°1): supprimer les prédateurs autres que les humains, car, en matière de concurrence féroce, certains gros poissons nous ôtent le caviar de la boite ! et encore là, je ne parle pas des bestioles qui volent (en tout sens du terme) et qui s'appellent Mouettes, Albatros, ou Hirondelles de mer et consorts. Secundo, s'occuper des animaux sauvages de types carnassiers qui prélèvent pour nous des gigots de gazelles qui manquent après sur les tables. Là, déjà, nous avons fait un bon bout de chemin dans l'auto-suffisance au rayon consommateurs. Ainsi, en l'absence de candidats à manger en nos assiettes, peuvent se développer (élevages ?) des viandes sélectionnées.
Ainsi, dès lors que nous savons tous que 16 porte-containers polluent plus que toutes les voitures du monde ( http://huemaurice7.blogspot.fr/2009/12/16-porte-containers-polluent-plus-que.html) et que le nombre de 'porte-containers' qui sillonnent le globe est bien plus important que cela, et, que ces derniers seraient susceptibles de nous apporter de 10.000 km ce que nous avons déjà tout sur place, et que les serres ne sont pas faites pour les chiens, ni la bonne information non plus, l'on pourrait donc par cette compréhension envisager de faire des économies.
Ainsi, comme l'énergie se ferait rare, il serait temps de penser à mettre de larges roues à aubes sur les fleuves et rivières afin d'exploiter cette énergie gratuite, éternelle et non polluante qui alimenteront (entr'autres) nos chères imprimantes 3D qui nous permettent de fabriquer sur place ce que nous étions obligés d'aller chercher 'au bout du monde' !
Ajoutons à cela que si les fonctionnaires ne sont plus payés à rien foutre ils auront encore la possibilité de découvrir le travail à la ferme en plantant des salades et vivre enfin du fruit de leurs efforts. Notons que la présence quotidienne de chemtrails a permis entr'autres la baisse de fertilité masculine et donc, que moins il y a d'enfants... plus il y a de vieux. Mais, comme ces 'vieux' ont cotisé toute leur vie et que les caisses de retraite... sont vides, l'explication de la mise en place de robots valides en pleine forme et surtout armés pour contrer toutes rebellions est arrivé juste à temps.
Donc, face aux réalités que le pétrole abiotique est éternel et que l'eau ne manquera jamais et qu'elle ressort propre toute seule aux sources, l'Administration aux bras qui tombent s'est-elle résolue à ne plus savoir que faire face aux têtes pleines qui les dépassent et aux conflits de gestion où les citoyens osent répondre !
Donc, les 'autorités' se voyant dépassées, ont-elles choisi de commencer l'hégémonie d'éclaircissage par des 'petites' guerres/épidémies où le nombre de morts réels sera plus proche de millions, car, après tout, le domaine du recensement ne leur appartient-il pas ?
Mais, à la lecture de tout cela, si l'on découvre la solution et qu'il n'y aurait donc plus à s'en faire, reste le problème pyramidal de la dette fabriquée par 'la majorité au pouvoir' ainsi que par 'son opposition qui la remplace'. D'où la planche-à-billets et les 'réserves d'or' qui sont vides (depuis belle lurette) et que... çà finit par se voir !
Donc, s'il y a 'effondrement' il ne peut qu'être du côté de ceux qui pompeusement se nomment 'élite' (Hahaha !), et non du côté des citoyens lamda qui eux... s'en sortiront toujours !
L’apparition de la vie sur Terre : une étape décisive franchie
23 novembre 2017
Croire béatement en une intervention divine expliquant l’origine de la vie sur la Terre est une illusion et une attitude totalement anti-scientifique. Il y a des millions de milliards d’étoiles dans « notre » galaxie et il est tout aussi illusoire de considérer que la vie sur la Terre est un fait unique dans l’Univers. Tout l’univers est constitué des mêmes éléments chimiques que ceux retrouvés sur la Terre et il n’y a aucune raison pour que nous vivions sur une planète plus favorisée qu’une autre pour que les conditions favorisant l’apparition de la vie y aient été plus propices. Il y a eu la théorie de la génération spontanée démontée admirablement par Pasteur sur laquelle des générations de penseurs et de théologiens se sont raccrochés pour conforter leurs thèses relatives à une origine divine de la vie. Le vaste domaine de la chimie prébiotique va peut-être dans quelques années mettre aussi à mal cette idée insupportable pour un scientifique d’une origine divine de la vie.
La chimie prébiotique, c’est-à-dire pour simplifier l’étude de l’hypothèse de l’apparition de la vie dans les conditions qui prévalaient sur la Terre il y a 3 à 4 milliards d’années, reste toujours un domaine qui préoccupe les scientifiques. En effet arriver à expliquer par quel processus la vie est apparue sur la Terre mérite l’attention des chimistes, des biochimistes et des biophysiciens mais aussi des géologues et de leurs collègues géophysiciens. Pour imaginer une approche expérimentale à ce problème qui apporterait bien des réponses aux questions existentielles que l’on peut se poser il faut d’abord considérer quelle était la composition de l’atmosphère terrestre en ces temps reculés avant l’apparition de la vie. L’une des premières approches choisies fut la fameuse expérience de Stanley Miller (illustration, Wikipedia) réalisée en 1952. Elle consista à soumettre un mélange d’eau, de méthane, d’ammoniac et d’hydrogène à des décharges électriques et d’observer ce qui se passait au bout d’un certain nombre de jours, de semaines ou de mois. Les moyens d’investigation analytique étaient à l’époque rudimentaires et les petits tubes scellés laissés par Miller furent analysés à nouveau par un de ses étudiants après sa mort en 2007. Il apparut que la reconstitution de cette « soupe primordiale » propice à l’apparition de la vie comme l’avait imaginée Charles Darwin sous forme d’un marais chaud avait été un franc succès.
Aujourd’hui encore, en particulier à l’institut de recherche Scripps de La Jolla près de San Diego, tenter d’expliquer l’apparition de la vie reste la préoccupation majeure d’une équipe de chimistes qui ont en quelque sorte repris les expériences de Miller en les étendant à d’autres conditions comme par exemple la présence de sels minéraux, d’acide cyanhydrique et quelques autres éléments pouvant entrer dans la composition de l’atmosphère primitive de la Terre, composés qui sont présents dans l’univers. Il restait cependant un très gros problème à résoudre. Compte tenu du fait que tous les êtres vivants, depuis les bactéries jusqu’aux vertébrés en passant par le phytoplancton, nécessitent la présence de phosphore sous forme de phosphate, comment un tel éléments chimique a-t-il bien pu apparaître dans des composés relativement simples qui ont pu éventuellement évoluer vers des structures complexes résultant de processus d’auto-assemblage ? Dans de nombreuses voies de synthèse biologique le phosphate est d’une importance incontournable et il en est de même pour l’énergie des cellules vivantes avec notamment l’ATP (adénosine triphosphate) et la phosphocréatine dans les cellules musculaires. Ce dernier composé d’une extrême importance biologique contient d’ailleurs une liaison phosphore-azote. Ajouter du phosphate et une pincée de métaux comme du zinc ou encore du fer dans la reconstitution de la « soupe primordiale » ne permet pas de voir apparaître au cours du temps, parfois des semaines dans une épaisse solution dans l’eau de ces ingrédients, un quelconque métabolite phosphaté ou, comme disent les spécialistes, phosphorylé.
C’est après un long cheminement que l’équipe du Docteur Ramanarayanan Krishnamurty de l’Institut Scripps a enfin découvert le chainon manquant qui permet d’obtenir toutes sortes de molécules biologiques d’importance contenant dans leur structure un groupement phosphate. Il s’agit d’un composé pouvant apparaître lorsque du cyclotriphosphate, appelé aussi métatriphosphate, se trouve en présence d’ammoniaque dans un milieu aqueux et ce n’est pas fortuit car dans certains environnements géologiques particuliers comme les sources chaudes d’origine volcanique la présence d’un tel processus chimique a été démontrée. Ce « chainon manquant » est le diamidophosphate (DAP, illustration Scripps).
Sachant maintenant avec certitude que l’expérience de Miller reprise et améliorée par la suite dans plusieurs laboratoires de recherche prébiotique permet l’apparition de la plupart des molécules d’importance biologique comme des sucres, des acides gras, pratiquement tous les amino-acides ainsi que les bases puriques et pyrimidiques qu’on retrouve dans l’ADN et l’ARN, du DAP a été mis en présence de tous ces métabolites. Avec une surprise indicible l’équipe de Ram Krishnamurty a constaté par analyse fine l’apparition de petits peptides, de brins d’acides nucléiques ou encore de phospholipides. Ces derniers, constituants fondamentaux des membranes cellulaires, forment spontanément des vésicules au cours de cette « incubation » parfois longue des ingrédients de la « soupe primordiale » comme s’il s’agissait de proto-cellules vivantes :
- voir graphique sur site -
Avec cette ébauche de vivant le temps a ensuite fait son travail et il y a peut-être trois milliards d’années, alors que la Terre était soumise à une intense activité volcanique et encore bombardée par des météorites, évènements favorisants l’apparition de ces constituants de la vie et du DAP qui pouvait se former dans un tel environnement et en présence d’eau, les premières cellules vivantes primitives se sont organisées et ont lentement évolué pour devenir celles que nous connaissons aujourd’hui. Comme tous les constituants du « vivant » se retrouvent dans l’Univers et par conséquent également sur la Terre et n’importe quelle autre planète gravitant autour de n’importe quelle étoile, la vie est très probablement apparue avec ces mêmes « briques » biologiques qui apparaissent lorsque ces conditions « primordiales » sont réunies. Contrairement à ce qu’affirmait Aristote le facteur temps a joué un rôle incontournable et ce temps a réconcilié en quelque sorte les deux facteurs nécessaires à l’apparition de la vie si chers à Jacques Monod, le hasard et la nécessité. Pour paraphraser Monod, le hasard a fait apparaître les éléments constitutifs du vivant qui se sont organisés avec le temps d’une façon telle qu’elle semble une nécessité pour l’apparition de la vie.
Sources : Scripps News Release du 6 novembre 2017 et aussi : Nature (doi : 10.1038/nchem.2878), article aimablement communiqué par le Docteur Ram Krishnamurty qui est très vivement remercié ici. Illustrations : Scripps Institute et Wikipedia
À Yellowstone, le plus grand geyser du monde présente une activité suspecte
20:23 29.04.2018
Le geyser Steamboat situé dans le parc national de Yellowstone aux États-Unis est entré en éruption trois fois en six semaines, notent les géologues qui affirment que cette activité est inhabituelle.
Le geyser Steamboat, considéré comme le plus grand geyser actif du monde à ce jour, présente ces derniers temps une intense activité, annoncent des géologues américains. Ils précisent qu'au cours des six dernières semaines, le geyser est entré en éruption trois fois, dont une la semaine dernière, et affirment qu'une telle fréquence est peu typique du Steamboat, rapporte Reuters.
Steamboat Geyser at Yellowstone National Park erupts for third time in six weeks https://t.co/2NeREhhWV7 pic.twitter.com/SeRkCeRBit — CBS News (@CBSNews) 28 2018.
C'est dans le célèbre parc national de Yellowstone aux États-Unis que l'impressionnant spectacle de la nature se produit. La réserve naturelle abrite également un immense volcan, mais les scientifiques assurent que les jets d'eau chaude ne présagent pas du tout une éruption volcanique à venir.
A few of my images of a small Steamboat Geyser eruption to go with the article I just tweeted. It’s a tough one to catch, very unpredictable. Yellowstone National Park pic.twitter.com/IUqcP8c9N3 — Capt. Cris Moore (@Pilot0360) 29 2018.
Une anomalie découverte au-dessous du super-volcan américain de Yellowstone
Yellowstone compte parmi les plus grands super-volcans du monde. C'est dans cette région que se produisent fréquemment des secousses sismiques et où l'activité géothermale est la plus forte du continent. Le Steamboat peut quant à lui s'élever jusqu'à 90 mètres de hauteur. Il est entré en éruption le 15 mars ainsi que les 19 et 27 avril. La dernière fois, trois éruptions similaires ont été enregistrées en 2003.
«Les USA sont déterminés à réprimer la liberté d’expression incarnée par WikiLeaks»
18:30 29.04.2018
WikiLeaks a appelé à un boycott global de Coinbase après la fermeture de son compte sur la plateforme d’échange de cryptomonnaies au motif de violation de règles financières des États-Unis sans que soit toutefois précisé de quelles règles il s’agissait au juste. Sputnik s’en est entretenu avec Greg Barns, de l’équipe juridique de Julian Assange.
La bourse d'échange de cryptomonnaies Coinbase a suspendu le compte de WikiLeaks sans avoir fourni d'explications pour justifier cette mesure, en avançant seulement une violation des règles financières américaines par la structure dirigée par Julian Assange, a rappelé Greg Barns à Sputnik.
«La démarche de Coinbase suscite une vive préoccupation. Nul doute que la plateforme d'échange de cryptomonnaies la plus populaire du monde a cédé à la pression, notamment de la part des États-Unis. Cela montre une fois de plus que les États-Unis sont déterminés à réprimer la liberté d'expression incarnée par WikiLeaks», a déclaré l'interlocuteur de l'agence.
Et de relever que des sociétés telles que Coinbase étaient cotées sur les marchés.
«Elles ont besoin de plus en plus de clients qui n'apprécient cependant pas les entreprises qui plient sous une pression politique, notamment sous celle des États-Unis», a poursuivi l'homme de droit.
Selon ce dernier, WikiLeaks a raison d'appeler à boycotter Coinbase, «un membre inapte de la communauté crypto», qui a bloqué les paiements dans le WikiLeaks Shop.
«Assange […] peut raconter beaucoup de choses au sujet des États-Unis. […] C'est un pays qui célèbre la liberté d'expression et le fait dans sa Constitution, mais en réalité la liberté d'expression y est strictement limitée et la situation ne cesse de se dégrader», a indiqué M.Barns.
Et de conclure qu'il ne s'agissait au fond que d'une des formes d'hypocrisie qui étaient très nombreuses aux États-Unis.
Coinbase a refusé d'offrir ses services à WikiLeaks, une décision qui a des conséquences importantes au niveau international et que l'ONG estime particulièrement injuste. Le WikiLeaks Shop est un site sur lequel il est possible d'acheter des t-shirts, posters, coques de téléphone et toutes sortes de produits à l'effigie de l'organisation. Les utilisateurs ont la possibilité de payer en dollars avec leur carte bancaire et aussi dans différentes cryptomonnaies.
Contrôle de la population : En Chine un homme reconnu par reconnaissance faciale au milieu d'une foule de 50 000 personnes
JdG ven., 13 avr. 2018 17:03 UTC
Ce chinois recherché pour "crime économique" ne pensait pas pouvoir être repéré au milieu d'une telle foule. Les technologies de reconnaissance faciales, de plus en plus présentes en Chine, n'ont cependant eu aucun mal à l'identifier.
Il ne serait jamais allé à ce concert s'il avait pensé une seconde pouvoir se faire repérer. Perdu parmi les quelques 50 000 spectateurs venus assister au concert de Jacky Cheung, ce chinois identifié sous le nom Ao et recherché pour "crime économique" n'imaginait cependant pas courir le moindre risque. C'était sans compter les technologies de reconnaissance faciale déployées en Chine.
La police chinoise a en effet été à même de procéder à l'arrestation d'Ao lors du concert après que celui-ci a été identifié par les caméras de sécurité de la salle de spectacle. "Il était stupéfait et avait le visage très pâle lorsque nous l'avons attrapé", a indiqué l'officier Li Jin. Comme Ao l'a indiqué aux autorités, il ne pensait effectivement pas courir le moindre risque en se rendant à cet événement. C'est pourtant loin d'être la première fois que la reconnaissance faciale est utilisée en Chine.
Un taux d'exactitude très proche des 100 %
L'an dernier, 25 suspects ont par exemple été arrêtés à un festival de bière de Qingdao après avoir été repérés par des caméras de sécurité. D'après les autorités de la ville, le système est capable d'identifier les visages consignés dans la base de données de la police avec un taux d'exactitude de 98,1%. De tels repérages devraient d'ailleurs se produire de plus en plus fréquemment maintenant que les fonctionnaires de police chinois sont équipés de lunettes de soleil dotées d'une fonction de reconnaissance faciale.
Celle-ci est d'ailleurs utilisée en Chine pour bien d'autres raisons. Le système de surveillance mis en place sur le festival de bière de Qingdao a par exemple également été utilisé pour refuser l'entrée à des personnes ayant un casier judiciaire ou des antécédents de problème avec la drogue. Cette technologie a également été installée à certains carrefours afin de jeter l'opprobre sur les personnes qui traversent en dehors des clous. Une fois celles-ci identifiées, leur photo et des extraits de leur numéro de carte d'identité et de leur adresse sont publiés sur des panneaux d'affichage dans la rue.
China, camera Le parc du Temple du ciel à Pékin a même opté pour cette méthode afin de rationner la quantité de papier toilette que les visiteurs peuvent utiliser. Pour obtenir deux feuilles, ils doivent être préalablement scannés par la machine. Et impossible ensuite de se resservir pendant neuf minutes. Une utilisation qui peut prêter à sourire mais qui montre bien à quel point cette technologie est déjà utilisée en Chine pour contrôler les moindres faits et gestes de la population.
Les citoyens ayant une mauvaise "note sociale" n'auront plus le droit de prendre le train
Couplé à l'effrayant système de notation sociale que la Chine est en train de mettre en place, de telles technologies pourraient avoir un impact redoutable sur le quotidien des citoyens chinois.
Les modalités de ce système de notation qui sera mis en place en 2020 sont en effet, à elles seules, pour le moins inquiétantes : les Chinois se verront ainsi attribuer des points lorsqu'ils manifestent de "bons" comportements comme par exemple acheter des produits chinois ou vanter l'économie nationale sur les réseaux sociaux. Manifester des avis politiques dissidents ou faire des recherches en ligne jugées suspectes seront considérés comme des "mauvais" comportements et conduiront à des suppressions de points.
Le problème étant que le résultat final aura un impact très concret sur la vie des citoyens chinois. Dès le 1er mai prochain, ceux ayant une mauvaise note sociale se verront par exemple interdire l'achat de billets de trains ou d'avions pendant une période pouvait s'étendre à un an. Et ce n'est à priori que la première sanction d'une future longue liste de punitions.
Trump, GigapixelIl y a aussi la caméra ARGUS (2013) : 1,8 milliards de pixels pour vous espionner à l'aide d'un drone à 6 km d'altitude
Dans le passé, les gens comprenaient que l'esprit humain et l'expérience humaine collective influencent les phénomènes cosmiques et terrestres. Les archives historiques révèlent une forte corrélation entre les périodes d'oppression autoritaire et les désastres naturels ainsi que les catastrophes et d'origine cosmique. Voir : « Les changements terrestres et la connexion anthropocosmique ».
Regardez: Le chaos éclate alors que la "caravane" des clandestins échelles barrière frontalière des États-Unis, en encourageant "Gracias Mexique"
par Tyler Durden Dim, 29/04/2018 - 20:15
Des dizaines de migrants rassemblés à la frontière américaine ont commencé à escalader le «mur» de San Diego en criant «Gracias, Mexique ! sans doute pour remercier le gouvernement mexicain de leur avoir permis de voyager de l'Amérique centrale à la frontière américaine dans l'espoir d'obtenir l'asile de l'administration Trump.
Images AUJOURD'HUI des Américains du centre de la Caravane atteignant le "mur" frontalier de San Diego. Les migrants escaladent la clôture et encouragent "Gracias, México!"
- voir photos sur site -
Le manque de respect pour nos frontières et pour notre pays est incroyable. C'est une tentative d'invasion. #StopTheCaravan RT pic.twitter.com/XUIKoWI66a
- Lauren Rose (@LaurenRoseUltra) 29 avril 2018 Les immigrants clandestins escaladent la barrière frontalière de la frontière sud pic.twitter.com/DbdKf0rOnl - Ryan Saavedra (@RealSaavedra) 29 avril 2018
Les gens escaladent la barrière frontalière à Tijuana alors que la caravane migrante se prépare à demander l'asile aux États-Unis. Https://t.co/usIX6vNlW3 pic.twitter.com/Vas2CdwcTw - # NBC7 San Diego (@nbcsandiego) 29 avril 2018 Les membres de l'Amérique centrale commencent à arriver à la frontière et sont très excités. pic.twitter.com/9NpmptnNTM - Adolfo Flores (@aflores) 29 avril 2018
Quelque 200 migrants, dont beaucoup voyageaient avec des enfants, ont tenté de demander l'asile au poste frontalier San Ysidro de San Diego, à environ six milles à l'intérieur des terres, pour se faire dire que le port d'entrée est plein.
"Actuellement, nous avons atteint la capacité au point d'entrée de San Ysidro pour les agents du CBP afin de pouvoir amener d'autres personnes sans documents d'entrée appropriés au point d'entrée pour traitement", a déclaré le commissaire Kevin McAleenan dans un communiqué. "Ces personnes devront peut-être attendre au Mexique car les agents du CBP travaillent pour traiter ceux qui sont déjà dans nos installations."
Les fonctionnaires du CBP ont publié une déclaration disant qu'ils sont à la capacité pour la journée d'accepter les demandeurs d'asile au port d'entrée de San is Ysidro au moment de l'arrivée de #caravan. "C'est pour plaire à Donald Trump", a déclaré un organisateur. pic.twitter.com/dD6MNNTnPD
- Daniel Gonzalez (@azdangonzalez) 29 avril 2018 Ou ils peuvent juste aller six miles à l'ouest et hop la clôture.
Malgré le fait que le port de San Ysidro était à pleine capacité, environ 200 migrants ont commencé à marcher vers lui.
Rodulfo Figueroa, le principal responsable de l'immigration mexicaine dans l'état de Baja California, a dit aux organisateurs de caravanes d'envoyer un premier groupe de 20 migrants pour voir si les inspecteurs des frontières américains recevraient leur demande d'asile.
M. Figueroa a déclaré qu'il ne savait pas s'ils seraient autorisés à entrer et n'avaient pas reçu de nouvelles des services de l'immigration des États-Unis.
Nicole Ramos, avocate travaillant pour le compte des membres de la caravane, a exprimé son incrédulité à l'effet que les autorités américaines ne peuvent pas traiter davantage de demandeurs d'asile tant que leur retard ne se sera pas atténué. -AP
"Ils ont bien compris qu'une caravane arrivera à la frontière", a-t-elle déclaré lors d'une conférence de presse. «L'incapacité à se préparer et à ne pas avoir suffisamment d'agents et de ressources n'est pas la faute des plus vulnérables d'entre nous: nous pouvons construire une base en Irak en moins d'une semaine, nous ne pouvons pas traiter 200 réfugiés. "
- voir carte sur site -
Comme nous l'avons rapporté hier, les quelque 400 migrants sur le point de traverser San Diego ont refusé l'avis des avocats d'immigration, qui disent que les demandeurs d'asile risqueraient une longue détention ou d'être séparés de leurs familles avant leur expulsion vers l'Amérique centrale.
Kenia Elizabeth Avila, 35 ans, a semblé ébranlée après que les avocats volontaires lui aient dit vendredi que les températures peuvent être froides dans des cellules temporaires et qu'elle pourrait être séparée de ses trois enfants, âgés de 10, 9 et 4 ans.
Mais elle a déclaré dans une interview que le retour à son Salvador natal serait pire. Elle a fui pour des raisons qu'elle a refusé de discuter. -AP
Après avoir traversé Mexicali la semaine dernière, les migrants se sont rassemblés mardi à Tijuana. Beaucoup se seraient rendus compte que l'abri qu'ils occupaient débordait mercredi. La plupart des membres du groupe viennent du Guatemala, du Salvador ou du Honduras et fuient leur foyer, disent-ils, à cause des menaces de mort émanant de gangs locaux ou de la persécution politique.
Selon de nombreuses personnes, cela vaut la peine de traiter avec les autorités américaines et la déportation pour la petite chance qu'ils pourraient obtenir l'asile.
"S'ils vont nous séparer pendant quelques jours, c'est mieux que de me faire tuer dans mon pays", a déclaré Avila.
Comme l'a souligné Reuters jeudi, le moment de leur arrivée pourrait saboter les négociations de l'ALENA après que le président Trump ait menacé à plusieurs reprises de mettre fin à l'accord si le Mexique ne faisait pas plus pour empêcher les migrants centraméricains de traverser son territoire.
"L'État islamique complote pour déclencher une vague de migration massive en Europe"
27 AVRIL 2018 Audrey Duperron
Le responsable du Programme Alimentaire mondial (WFP, ou PAM) des Nations unies, David Beasley, affirme que les anciens chefs de l'État islamique qui sont parvenus à fuir la Syrie conspirent pour déclencher une nouvelle vague de migration à destination de l'Europe.
La coalition occidentale est parvenue à débusquer le soi-disant "califat", confiné désormais à une bande de territoire dans la vallée de l'Euphrate, proche de la frontière irakienne. Cependant, on dénombrerait encore 2200 combattants de l'État islamique retranchés à l'est de la Syrie.
Utiliser la faim comme arme
Selon Beasley, ces anciens gradés de l'État islamique cherchent à s'associer avec d'autres groupes extrémistes comme Boko Haram et Al Qaïda pour s'infiltrer dans les territoires des pays du Sahel et y déclencher une nouvelle vague de migration en exploitant le manque de nourriture.
"Mon commentaire à l'attention des Européens, c’est que si vous croyiez que vous aviez un problème avec une nation de 20 millions d'habitants comme la Syrie en raison de la déstabilisation et des conflits liés à la migration, attendez de voir ce qui se passera quand la région du Grand Sahel, avec ses 500 millions d'habitants, sera encore plus déstabilisée. C'est maintenant que la communauté européenne et la communauté internationale doivent se réveiller".
Le manque de financements du WFP est une menace
Selon Beasley, les États-Unis vont porter à 3 milliards de dollars (environ 2,5 milliards d’euros) le financement qu’ils accordent au WFP. En 2016, ils lui avaient consacré 1,9 milliards de dollars (environ 1,6 milliard d’euros), une somme qui s'était avérée insuffisante. En conséquence, l'Agence avait dû revoir à la baisse les rations alimentaires partout dans le monde, et dresser des priorités.
Or, 5,6 millions de réfugiés, massés à la frontière sud de la Syrie, meurent actuellement de faim. "À l'intérieur de la Syrie, il nous manque 310 millions d'euros. Notre objectif est d'atteindre 4 millions de personnes, sur les 6,5 millions qui se trouvent en grave détresse alimentaire. Et à ce stade, nous n'en touchons que 3 millions, en raison du manque de ressources. Hors de la Syrie, en Turquie, en Jordanie, au Liban et en Libye, nos besoins de financement pour l'année 2018 sont de 1,38 milliard de dollars (environ 1,14 milliard d’euros), et sur cette somme il nous manque 340 millions de dollars (environ 281 millions d’euros). À ce stade, nous devrons stopper de donner la nourriture à 500 000 personnes en Jordanie à partir du mois de juin".
La lassitude des donneurs
Selon Beasley, les problèmes de financement du programme sont liés à la lassitude des donneurs, en raison des nombreux conflits. On dénombre une vingtaine de pays en conflit prolongé, et le Grand Sahel est en effervescence. L’officiel se réjouit des efforts fournis par le Royaume-Uni et l'Allemagne, mais attend mieux de la France : "J'espère toujours que la France va augmenter ses efforts, elle ne l'a pas fait en ce qui nous concerne", dit-il.
"Mais on ne peut pas se permettre de laisser la Jordanie et le Liban se déstabiliser. Cela apportera un véritable chaos dans la région. Davantage de chaos mènerait à des conséquences prévisibles".
Et de conclure : "La communauté internationale, en particulier les Européens, ont appris une leçon au tout début de la guerre de Syrie : si vous n'apportez pas la sécurité alimentaire, il y aura des conséquences indésirables. J'ai parlé à des gens, pas seulement Syrie, des femmes qui disent : 'mon mari ne voulait pas rejoindre l'État islamique, mais nous n'avions rien à manger, nous n'avions pas le choix'. Ils ont une stratégie".
"Eruptions inhabituelles" au plus grand geyser actif du monde à Yellowstone Stoke "Supervolcano" Peurs
par Tyler Durden Dim, 29/04/2018 - 21:33
Un mois après nous avons signalé que les craintes d'une éruption au supervolcan de Yellowstone continuent de croître suite à la première éruption du plus grand geyser actif du monde pour la première fois depuis 2014, nuit après Reuters a signalé des "éruptions inhabituelles" au même endroit. geyser a éclaté pas moins de trois fois au cours des six dernières semaines, y compris une fois cette semaine.
La bonne nouvelle, selon les géologues, est que même si la tendance est «inhabituelle», elle n'indique pas une éruption volcanique plus destructrice se déroulant sous le Wyoming.
La mauvaise nouvelle, c'est que les événements géologiques à Yellowstone étant de plus en plus décrits par les médias et les universitaires les plus «réputés» comme étant «inhabituels», le grand public a du mal à croire que tout est normal.
C'est ce qui s'est passé: Steamboat Geyser, qui peut tirer de l'eau jusqu'à 300 pieds (91 mètres) dans l'air, est entré en éruption le 15 mars, le 19 avril et le vendredi.
Geyser de bateau à vapeur
Comme l'ajoute le Bozeman Daily Chronicle, l'éruption du Steamboat Geyser a été rapportée vendredi par un visiteur du parc et aurait commencé à 6h30 du matin; Cette personne était probablement la seule à en être témoin, puisque les promenades menant à la zone sont fermées en raison des fortes chutes de neige à Gizmodo.
Pourquoi est-ce inhabituel ? Parce que la dernière fois qu'il a éclaté trois fois par an en 2003, l'observatoire du volcan Yellowstone de l'US Geological Survey a dit. A noter également: la dernière fois qu'elle a eu lieu avant mars, il y a plus de trois ans en septembre 2014.
Bien que les éruptions de cette année aient été (jusqu'à présent) plus petites qu'une éruption Steamboat habituelle, les deux en avril étaient environ 10 fois plus grandes qu'une éruption du célèbre geyser Old Faithful du parc en termes de quantité d'eau déversée, selon les géologues cités par Reuters.
Comme prévu, les scientifiques locaux ont rapidement émergé de leurs laboratoires pour apaiser les inquiétudes du public quant à l'imminence d'une importante éruption de Yellowstone: «Rien n'indique qu'une éruption volcanique soit imminente», a déclaré Michael Poland, responsable de l'observatoire, a déclaré à Reuters dans un e-mail.
Pourtant, malgré les mots apaisants, les géologues n'ont pas été en mesure de déterminer la raison de la dernière série d'éruptions, qui pourraient indiquer une perturbation thermique dans le bassin du geyser, ou que Steamboat pourrait avoir de plus petites éruptions au lieu d'une grande.
Bien sûr, il pourrait être simplement "aléatoire":
Puisque la plupart des geysers n'éclatent pas régulièrement, "cela pourrait refléter le caractère aléatoire des geysers", a déclaré la Pologne.
Seul le Waimangu Geyser en Nouvelle-Zélande a atteint des sommets plus élevés que Steamboat, mais pas pendant plus de 100 ans, a déclaré le Service des parcs nationaux des États-Unis.
Pourquoi les plus grandes peurs ? Parce que, comme nous le rapportons périodiquement, le mois dernier, Yellowstone se trouve au sommet d'un supervolcan qui a créé un cratère massif; Son plateau abrite les systèmes hydrothermaux continentaux les plus divers et les plus vastes du monde, y compris les sources multicolores, les vasières et les geysers pour lesquels le parc est connu.
Quelle que soit la cause des «éruptions inhabituelles» à Steamboat, il n'y a pas lieu de paniquer: ce qui serait bien plus inquiétant, ce serait l'eau qui se dessèche dans les systèmes hydrothermaux, ce qui pourrait indiquer que le magma super chaud son chemin à la surface.
"Yellowstone n'a pas eu d'éruption volcanique depuis 70 000 ans! Les geysers surgissent tout le temps », a déclaré Jake Lowenstern, un géologue de recherche de l'USGS spécialisé dans les volcans.
La phase vapeur de Steamboat Geyser en 2014
Et bien que 70 000 ans se soient écoulés depuis le dernier grand événement de lave à Yellowstone, la région est encore très active et pourrait potentiellement éclater à un moment donné, peut-être désastreusement: comme l'a rapporté le Washington Post la semaine dernière, un événement Yellowstone pourrait être des milliers de fois plus puissant que l'explosion de Mount St. Helens en 1980; l'United States Geological Survey prédit qu'une éruption suffisamment puissante, bien que peu probable, laisserait une grande partie des Rocheuses septentrionales ensevelies sous des pieds de cendres. Les coulées de lave peuvent couvrir un rayon allant jusqu'à 30 ou 40 milles de diamètre, avec des accumulations «désastreuses» de 10 centimètres ou plus dans un rayon de 500 milles.
Bien sûr, c'est le pire des cas, et les scientifiques ont tendance à souligner que même une éruption volcanique modérée y a peu de chance de se produire, même si on peut se demander si les scientifiques des banques centrales diraient jamais le contraire. l'ordinaire provoquerait une panique de masse et une évacuation.
Pendant ce temps, bien qu'il reste encore des années à prévoir les futures éruptions, les scientifiques des réseaux de surveillance de l'Observatoire du volcan de Yellowstone détecteraient probablement «des mouvements soudains ou forts ou des changements de chaleur qui indiqueraient une activité croissante».
Pendant ce temps, les scientifiques des réseaux de surveillance de l'Observatoire du volcan de Yellowstone détecteraient probablement «des mouvements brusques ou soudains ou des changements de chaleur qui indiqueraient une activité croissante», écrit le National Park Service, et qu'une «catastrophe "L'éruption serait probablement précédée de semaines à des années de signes avant-coureurs. On espère seulement que ces signes seraient mis à la disposition du grand public.
Analyse: Il est grand temps de mettre fin à la «science secrète» à l'EPA
29 avril 2018
L'administrateur Pruitt initie les changements en retard pour apporter la transparence, l'intégrité à la réglementation
Opinion de Paul Driessen
L'administrateur de l'Environmental Protection Agency, Scott Pruitt, a proposé de mettre fin à la pratique de longue date de l'EPA consistant à utiliser des données scientifiques secrètes, souvent discutables, voire trompeuses, pour appuyer les politiques et les initiatives réglementaires des agences. Ses règles proposées garantiront que toute science sous-tendant les actions de l'agence est transparente et publiquement disponible pour que des experts indépendants puissent l'examiner et la valider - ou en souligner les défauts.
Il répond également aux préoccupations croissantes selon lesquelles des recherches scientifiques approfondies dans des domaines environnementaux, médicaux ou autres ne peuvent être reproduites par d'autres scientifiques ou compromises par des données choisies, une conception de recherche médiocre, une analyse bâclée ou des chercheurs biaisés. La situation a conduit à des appels en faveur d'un partage accru des données et des méthodologies, d'une évaluation par les pairs plus indépendante et d'autres actions visant à éliminer les problèmes. Il n'y a aucune excuse pour cacher des données lorsque les études sont financées par les contribuables ou utilisées pour justifier des règlements.
La situation a été particulièrement aiguë à l'EPA. Comme l'a fait remarquer M. Pruitt, «la capacité de tester, d'authentifier et de reproduire les résultats scientifiques est essentielle à l'intégrité du processus d'élaboration des règles. Les Américains méritent d'évaluer la légitimité de la science qui sous-tend les décisions de l'EPA susceptibles d'avoir un impact sur leur vie. "
Cela est particulièrement vrai pour les réglementations qui exigent des millions ou des milliards de coûts de conformité, affectent des milliers d'emplois, ciblent les industries et les producteurs d'électricité au charbon que les régulateurs veulent fermer ou cherchent à remplacer toute utilisation de combustibles fossiles par de l'énergie renouvelable. Avec l'impact économique cumulatif de la réglementation fédérale atteignant près de 2 billions de dollars par an, la réforme de la recherche est absolument essentielle.
Nous avons besoin d'une réglementation et d'un contrôle de la pollution - mais cela doit reposer sur une science solide, reproductible et honnête.
Le député Lamar Smith (R-TX) a tenu des audiences et défendu plusieurs projets de loi pour régler le problème. Plusieurs ont été adoptés par la Chambre des représentants, pour ensuite rester au Sénat. Avec les tribunaux offrant peu ou pas d'aide, l'action de l'exécutif peut être la seule solution restante.
La science trompeuse et erronée sur la pollution par les particules fines (PM2.5) a été le fondement de la guerre de l'EPA contre le charbon. Les particules ne vous rendent pas seulement malade; ils sont directement liés à «mourir plus tôt que vous ne devriez», a déclaré à tort l'administratrice de l'EPA, Lisa Jackson, au Congrès. Il n'y a pas de niveau "où les effets de la mortalité prématurée ne se produisent pas", a déclaré le prochain administrateur de M. Obama, Gina McCarthy, malhonnête.
En même temps ils ont fait ces déclarations, ils présidaient des expériences illégales sur les humains - y compris les personnes souffrant d'asthme, de diabète et de maladie cardiaque - qui ont été soumis à huit, 30 ou même 60 fois plus de particules par volume, jusqu'à deux heures, que ce que l'EPA prétend être dangereux ou mortel. Aucun d'entre eux n'est tombé malade, prouvant que les affirmations de l'EPA étaient fausses. L'agence a refusé de corriger ses revendications.
L'EPA a adopté une position similaire sur le mercure - affirmant que les émissions des centrales électriques provoquaient des niveaux dangereusement élevés de mercure chez les enfants américains et les femmes enceintes. En réalité, les centrales électriques américaines ne représentent que 0,5 % de tout le mercure contenu dans l'air des Américains, et le mercure sanguin des femmes et des enfants américains est bien inférieur aux niveaux excessivement sûrs de l'EPA, selon les Centers for Disease Control.
Comment la science de la malbouffe de l'EPA, les expériences illégales et les règlements sévères sont-ils passés ? D'une part, la politique dictait trop souvent la science. En outre, l'organisme a versé plus de 180 millions de dollars sur une période de 16 ans aux institutions représentées par les membres de son Comité consultatif scientifique sur l'air pur (CASAC), qui ont souvent interdit les études et les conclusions.
En ce qui concerne le réchauffement climatique, l'EPA a publié un «Endangerment Finding» qui affirmait que les émissions de gaz carbonique (fertilisant) provenant de la combustion de combustibles fossiles menaçaient la santé et le bien-être des citoyens américains.
Il est parvenu à cette conclusion en examinant uniquement des études et des modèles informatiques du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, tout en ignorant les volumes d'études menées par des scientifiques indépendants qui n'ont trouvé aucune menace de ce genre. Les responsables de l'EPA ont même dit à l'un des experts de l'agence que ses études ne seraient pas partagées avec le personnel de l'agence et qu'il cesserait tout travail sur le changement climatique, car ses analyses "n'aident pas les arguments juridiques ou politiques pour cette décision". les émissions de gaz carbonique des combustibles fossiles mettent en danger les Américains.
L'EPA était également un des principaux acteurs du système de «coût social du carbone» censé calculer combien les changements climatiques entraînés par le gaz carbonique coûteraient aux États-Unis et comment ces coûts seraient réduits en coupant la consommation de combustibles fossiles. Le coût présumé des dommages a commencé à un montant arbitraire de 22 dollars par tonne de gaz carbonique rejeté en 2010, puis a grimpé à un montant également aléatoire de 30 dollars la tonne en 2013 et de 40 dollars la tonne en 2016.
Incroyablement, les modélisateurs de l'EPA ont également affirmé qu'ils pouvaient prévoir avec précision les températures mondiales, le climat et les conditions météorologiques, les progrès technologiques, le développement économique et les dommages causés aux civilisations et aux écosystèmes par les émissions de gaz carbonique des États-Unis. De plus, dans le monde réel, les avantages de l'utilisation de carburants à base de carbone et l'amélioration de la croissance des cultures, des forêts et des prairies par des niveaux supérieurs de gaz carbonique atmosphérique dépassent les coûts hypothétiques d'au moins 50 pour 1 jusqu'à 500 pour 1.
Une «science» trompeuse, politisée et axée sur les politiques a imprégné les mesures réglementaires de l'EPA pendant de trop nombreuses années. Réaction aux actions correctives de M. Pruitt montrent à quel point ses critiques peuvent être mal informés.
Les changements obligeront les chercheurs à révéler des informations personnelles ou confidentielles sur les participants aux études sur la santé. Non, ils ne le feront pas. De telles informations ne sont pas nécessaires et peuvent facilement être rédigées.
L'EPA peut nous protéger des produits chimiques nocifs uniquement si elle tire pleinement parti de toutes les recherches scientifiques disponibles. La santé et la sécurité publiques dépendent du fait que les recherches et les données censées le soutenir soient rendues publiques et soigneusement examinées par de multiples experts, afin de garantir leur exactitude et leur intégrité. EPA profitera pleinement de toutes les recherches disponibles qui passent ces tests. Les études financées par l'impôt devraient toutes être publiques !
Les règles excluront les études qui reposent sur des sources de financement externes limitant l'accès aux données sous-jacentes. Ces études devraient être exclues. Les bailleurs de fonds doivent réviser leurs politiques pour assurer l'intégrité.
Les règles excluront tellement de recherches qu'elles mettront en danger la santé publique. Pas si. Les seules études que l'EPA ne verra probablement pas sont ce que les chercheurs savent ne pas réussir à rassembler, et donc ne pas soumettre. Le vrai danger vient d'une recherche basée sur des données de mauvaise qualité, des algorithmes, des modèles et des analyses que les chercheurs du passé ont pu garder secrets. C'est précisément ce que les règles vont révéler et corriger.
Pruitt a retiré les scientifiques qui reçoivent un financement EPA de participer à des comités consultatifs. Comme indiqué ci-dessus, ces scientifiques avaient reçu des millions de dollars en échange d'un soutien aux analyses, initiatives et réglementations de l'EPA. Pruitt veut des contributions d'experts dont les points de vue peuvent être approuvés.
Pruitt a critiqué le processus d'évaluation par les pairs. Trop de revues par les pairs ont été menées par des cercles fermés de scientifiques associés qui comptent sur des subventions gouvernementales et appuient les décisions réglementaires pour maintenir le financement. Certains ont refusé de partager des données avec des experts qui pourraient critiquer leur travail - ou ont travaillé pour maintenir la recherche à contre-courant hors des revues scientifiques. Le fait que certaines revues exigent rarement l'accès ou l'examen des données sous-jacentes démontre davantage pourquoi le processus d'évaluation par les pairs doit également être réformé.
Trop de politiques de l'EPA ont été utilisées pour forcer la nation à abandonner les combustibles fossiles qui fournissent encore 80% de l'énergie américaine et mondiale - et passer à des installations d'énergie éolienne et solaire coûteuses, intermittentes et non fiables qui nécessiteront des quantités insoutenables de terres et de matières premières, tout en détruisant les habitats fauniques et en abattant des oiseaux et des chauves-souris par millions.
Ces actions ont également tué de nombreux emplois et laissé de nombreuses communautés appauvries. En termes simples, le danger pour la santé et le bien-être des Américains, leurs moyens de subsistance et leur niveau de vie est une réglementation imposée en réponse à une science secrète, bâclée et de mauvaise qualité qui a mal servi l'EPA et la nation.
Les accusations d'éthique contre M. Pruitt devraient être évaluées dans cet esprit - et tout en reconnaissant que les membres du Congrès qui lui reprochent ne se sont jamais plaints des abus de paiement de Lisa Jackson ou de Gina McCarthy, des expériences illégales sur des sujets humains, des faux témoignages sur les particules Des procès en justice, qui ont imposé des milliards de règlements tout en enrichissant les groupes écologistes ... et des règlements sur la science de la malbouffe qui ont coûté aux États-Unis des milliards de dollars incalculables n'ont apporté aucun bénéfice environnemental et ont nui au bien-être de millions de personnes.
Les réformes de Pruitt sont attendues depuis longtemps. Les politiciens honnêtes, les journalistes et les électeurs vont l'applaudir et les applaudir. D'autres agences gouvernementales devraient initier des réformes scientifiques et réglementaires similaires.
Paul Driessen est analyste principal des politiques pour le Comité pour un avenir constructif (www.CFACT.org) et auteur de livres et d'articles sur la politique énergétique et environnementale
La Chine met au point des substituts de Windows et Android
22:57 29.04.2018
L’entreprise chinoise Huawei perfectionne actuellement son propre système d’exploitation censé se substituer à Android et Windows, signale South China Morning Post.
Le géant chinois Huawei continue d'améliorer son propre système d'exploitation qui pourrait remplacer Android et Windows si les Etats-Unis prenaient des sanctions contre lui, relate South China Morning Post.
Selon le média, qui se réfère à des sources au sein de Huawei, le système élaboré par l'entreprise est moins avancé qu'Android. Donc, la société n'entend pas le produire si elle peut continuer à utiliser les technologies américaines.
Huawei a commencé à développer ce système en 2012, après que les États-Unis ont introduit des sanctions contre une autre entreprise chinoise, ZTE, précise South China Morning Post. Ainsi, Huawei voulait anticiper des mesures similaires qui auraient pu être prises à son égard par les autorités américaines.
La «guerre» entre les États-Unis et la Chine se poursuit dans le domaine du commerce. Washington a décidé d'appliquer des droits de douane augmentés sur 1.300 biens chinois, dont les téléviseurs et les produits technologiques. Réponse quasi immédiate de Pékin: le soja, les voitures et les avions américains se verront appliquer des taxes de 25% à leur entrée en Chine.
«Les États-Unis sont eux-mêmes le principal pays sponsor du terrorisme»
22:36 29.04.2018
Le sénateur républicain américain Cory Gardner s’applique à faire passer un projet législatif visant à inscrire la Russie sur la liste des «pays sponsors du terrorisme». Sputnik s’en est entretenu avec Manuel Ochsenreiter, directeur du Centre allemand de recherches eurasiatiques et rédacteur en chef du magazine allemand Zuerst.
On est en pleine escalade dans la guerre de l'information au cours de laquelle les États-Unis s'emploient à mettre la main sur l'Europe, en épinglant une étiquette de «pays sponsor du terrorisme» sur la Russie, a relevé Manuel Ochsenreiter dans un entretien accordé à Sputnik.
«Cette guerre de l'information a pour objectif de faire en sorte que les alliés européens se sentent plus protégés s'ils se rangent du côté de Washington», a précisé l'interlocuteur de l'agence.
Selon ce dernier, si les États-Unis déclarent la Russie comme étant un «pays sponsor du terrorisme», les pays de l'Union européenne devront tôt ou tard les imiter.
«Il est absolument indispensable aux États-Unis de maintenir l'Europe à leurs côtés, pour que celle-ci soit hostile envers la Russie. La Russie est toutefois un partenaire naturel pour les pays européens, la Russie étant leur fournisseur de ressources», a poursuivi M.Ochsenreiter.
Et d'expliquer que l'Allemagne avait par exemple d'excellents produits high-tech, dont le marché russe a grand besoin.
«Néanmoins, les États-Unis veulent diviser ces deux marchés ou ces deux sphères politiques. Ils s'appliquent à s'attacher plus étroitement l'Europe. Les États-Unis savent que si l'Europe est perdue pour eux, ils se retrouveront hors du jeu», a indiqué le politologue.
Il a ajouté que l'Iran et le Hezbollah libanais figuraient eux aussi sur la liste des terroristes ou des sponsors du terrorisme.
«Mais si on regarde la situation au Proche-Orient, on constatera que ces pays et ces groupes que les États-Unis qualifient de terroristes ou de sponsors du terrorisme sont dans bien des cas ces forces qui luttent pour la stabilité et combattent le terrorisme», a indiqué l'interlocuteur de Sputnik.
Et de rappeler que l'Iran faisait partie de ces principales forces qui soutenaient la Syrie dans sa lutte contre Daech*. À part l'Iran, la Russie est le seul pays qui se trouve en Syrie de manière légitime, c'est-à-dire à l'invitation du gouvernement syrien, alors que les Américains, les Britanniques, les Français et d'autres forces s'y trouvent illégalement, l'État syrien ne les ayant jamais invités à l'aider dans sa lutte contre le terrorisme.
«On a par conséquent tout lieu de constater que les États-Unis sont eux-mêmes le principal pays sponsor du terrorisme. […] Daech* n'existe que parce que les États-Unis se sont autrefois ingérés dans les affaires intérieures des pays en Asie occidentale», a résumé Manuel Ochsenreiter.
"Préparez-vous au pire résultat possible" Caravane migrante avertie alors qu'elle pénètre aux États-Unis
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 28.04.2018 - 20:05
Environ 400 migrants sur le point de traverser San Diego refusent les conseils d'avocats d'immigration, qui affirment que les demandeurs d'asile risquent une longue détention ou d'être séparés de leurs familles, avant d'être expulsés vers l'Amérique centrale.
Kenia Elizabeth Avila, 35 ans, a semblé ébranlée après que les avocats volontaires lui aient dit vendredi que les températures peuvent être froides dans des cellules temporaires et qu'elle pourrait être séparée de ses trois enfants, âgés de 10, 9 et 4 ans.
Mais elle a déclaré dans une interview que le retour à son Salvador natal serait pire. Elle a fui pour des raisons qu'elle a refusé de discuter. -AP
Après avoir traversé Mexicali la semaine dernière, les migrants se sont rassemblés mardi à Tijuana. Beaucoup se seraient rendus compte que l'abri qu'ils occupaient débordait mercredi. La plupart des membres du groupe viennent du Guatemala, du Salvador ou du Honduras et fuient leur foyer, disent-ils, à cause des menaces de mort émanant de gangs locaux ou de la persécution politique.
Selon de nombreuses personnes, cela vaut la peine de traiter avec les autorités américaines et la déportation pour la petite chance qu'ils pourraient obtenir l'asile.
"S'ils vont nous séparer pendant quelques jours, c'est mieux que de me faire tuer dans mon pays", a déclaré Avila.
"Nous sommes les porteurs de nouvelles horribles", a déclaré Nora Phillips, une avocate en immigration de Los Angeles, alors qu'elle faisait une pause dans les ateliers juridiques de Tijuana où une vingtaine d'avocats offrent des informations et des conseils gratuits. "C'est à ça que servent les bons avocats."
Les migrants guatémaltèques, dont beaucoup voyagent en famille, prévoient de tester la détermination du président Trump après avoir ordonné à la garde nationale et à la police des frontières d'arrêter tout migrant surpris en train de se faufiler dans le territoire américain - une initiative du groupe de défense américain Pueblos Sin Fronteras dit est illégal.
L'organisation organise activement un plan pour que les migrants traversent le pont piétonnier principal aux États-Unis dimanche, après avoir réagi avec colère à un plan initial visant à essayer de traverser en plus petits groupes sur une période plus étendue.
Le président Donald Trump et les membres de son cabinet traquent la caravane, la qualifiant de menace pour les États-Unis depuis le 25 mars, dans la ville mexicaine de Tapachula, près de la frontière guatémaltèque. Ils ont promis une réponse sévère et rapide.
Le procureur général Jeff Sessions a qualifié la caravane de «tentative délibérée de miner nos lois et d'accabler notre système», promettant d'envoyer plus de juges de l'immigration à la frontière pour régler les cas si nécessaire. -AP
Kristjen Nielsen, Secrétaire du Département de la sécurité intérieure, a déclaré que les demandes d'asile des migrants seront traitées "de manière efficace et rapide", ajoutant toutefois que les demandeurs d'asile devraient d'abord demander au Mexique s'ils peuvent rester là. (lol)
Tout demandeur d'asile faisant de fausses déclarations aux autorités américaines peut également faire l'objet de poursuites - ainsi que toute personne qui «aide ou encadre» les immigrants sur la façon de faire de fausses déclarations, a ajouté Neilsen. L'administration Trump affirme que la fraude en matière d'asile est en augmentation, et de nombreux migrants sont fortement entraînés sur les «bonnes réponses» pour l'obtenir.
RépondreSupprimerLe groupe de 20 avocats de l'immigration qui donnent des séminaires à Tijuana a nié avoir entraîné quelque 400 personnes de la caravane qui campent actuellement dans des abris de Tijuana.
Certains migrants ont reçu des conseils individuels pour évaluer les mérites de leurs cas et des groupes de migrants avec leurs enfants jouant à proximité ont été informés du fonctionnement de l'asile aux États-Unis.
Les demandeurs d'asile sont généralement détenus jusqu'à trois jours à la frontière et remis aux services de l'immigration et des douanes des États-Unis. S'ils réussissent l'examen initial d'un agent d'asile, ils peuvent être détenus ou relâchés avec des surveillants de la cheville.
Près de 80 % des demandeurs d'asile ont passé l'examen initial d'octobre à décembre, les derniers chiffres disponibles, mais peu sont susceptibles d'obtenir finalement l'asile. -AP
Comme l'a souligné Reuters jeudi, le moment de leur arrivée pourrait saboter les négociations de l'ALENA après que le président Trump ait menacé à plusieurs reprises de mettre fin à l'accord si le Mexique ne faisait pas plus pour empêcher les migrants centraméricains de traverser son territoire.
En passant de ville en ville, la caravane migrante est devenue une pierre d'achoppement pour les relations américano-mexicaines après que Trump ait déclenché une série de tweets début avril, demandant aux autorités mexicaines de les arrêter. Plus de cars de migrants sont arrivés au cours de la journée, débordant du premier abri.
Les groupes locaux d'aide aux migrants ont déclaré que c'était le groupe le plus important qu'ils avaient vu arriver ensemble alors qu'ils se précipitaient pour trouver des places dans dix refuges.
"Grâce à dieu, nous sommes ici", a déclaré l'Aide Hernandez, 34 ans, originaire du Guatemala, qui avait quatre enfants. Elle a dit qu'elle prévoyait de demander l'asile aux États-Unis. Lorsqu'on lui a demandé pourquoi, elle a baissé les yeux, honteuse de détailler un cas de violence conjugale.
[...]
"Le mur n'a pas l'air si grand", a déclaré Kimberly George, une jeune fille de 15 ans du Honduras alors qu'elle regardait vers une barrière rabougrie à quelques mètres. "Je veux vraiment le traverser."
Obtenez le pop-corn, une confrontation frontalière est sur le point de se produire.
https://www.zerohedge.com/news/2018-04-28/prepare-worst-possible-outcome-migrant-caravan-warned-it-enters-us
Le pistolet du Pentagone peut caler des voitures, des camions avec l'explosion de rayonnement
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 28/04/2018 - 17:55
L'utilisation intensive d'engins explosifs improvisés embarqués (VBIED) en Asie occidentale a fait qu'un nombre considérable de militaires et de civils ont été tués ou blessés. Une nouvelle menace se dessine rapidement dans l'Ouest, alors que dix civils ont été fauchés dans une horrible attaque en fourgonnette plus tôt cette semaine à Toronto. Depuis 2014, l'Europe et l'Amérique du Nord ont été inondées par des attentats à la voiture piégée perpétrés par des terroristes contre des civils.
Selon Stratfor Global Intelligence, une attaque contre un véhicule est une nouvelle catégorie de terrorisme moins meurtrière, mais qui pourrait s'avérer plus difficile à prévenir pour les autorités.
En conséquence, la priorité absolue de la Direction des armes non létales (JNLWD) du Département de la Défense depuis le début de la menace au Moyen-Orient a été de faire progresser les technologies et les capacités pour arrêter les véhicules, les camions et même les navires.
L'une de ces technologies non létales est le système RFVS, qui utilise un micro-ondes haute puissance (HPM) pour arrêter les voitures et les camions sans endommager le véhicule ou ses occupants.
Une version miniature du canon à rayons pour arrêter les attaques de véhicules, développé par JNLWD. (Source: Defense One 2018)
Comme l'explique Defence One, «le brouilleur fonctionne en ciblant l'unité de contrôle du moteur de la voiture, ce qui provoque le redémarrage à répétition, ce qui bloque le moteur. Comme une main invisible, les micro-ondes maintiennent la voiture en place. "Tout ce qui a de l'électronique dessus, ces micro-ondes puissantes affecteront", a déclaré David Law, qui dirige la division technologique de JNLWD, en mars. "Tant que la [radio] est allumée, elle maintient le véhicule arrêté."
Dans un rapport sur la défense de l'énergie dirigée non classifiée de 2012, les rouages internes du RFVS sont expliqués:
"Le système RFVS utilise des tubes à magnétron de haute puissance pour générer des impulsions RF intenses qui interfèrent avec l'électronique d'un véhicule, le rendant temporairement inutilisable. Le moteur ne peut pas être redémarré lorsque la fonction RF est activée mais redémarre facilement une fois la fonction RF désactivée. Ainsi, le système RFVS permet le maintien d'une zone d'interdiction de sécurité dans des situations qui pourraient nécessiter l'utilisation d'une force létale. La mesure de succès définie pour ce système est une capacité démontrée et efficace par rapport à plus de 80% de la liste des véhicules-cibles cibles, qui comprend les voitures particulières et les gros véhicules.
- voir sur site -
En tant que capacité non létale, les effets sur le véhicule cible sont à court terme et presque toujours réversibles, de sorte que le véhicule ne soit pas échoué, ce qui imposerait au chasseur de charger son retrait. De plus, comme toutes les armes à énergie dirigée, le système RFVS fournit de l'énergie à la vitesse de la lumière. Contrairement à d'autres concepts et systèmes d'arrêt de véhicule non létaux, le RFVS n'a pas besoin d'être prépositionné et possède un magasin illimité. "
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RépondreSupprimerFigure 1. Illustration de la configuration du système RFVS candidat pour la protection contre les points de contrôle (Source: DTIC)
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Figure 4. Photographie du système de tableau de bord RFVS et de la configuration de démonstration (Source: DTIC)
Défense One indique que l'intention originale de RFVS était destinée aux bases militaires, mais avec la dernière série d'attaques de véhicules en Europe et en Amérique du Nord, il est possible que ces armes à rayons soient stratégiquement placées dans les villes - dans un avenir proche.
"L'armée développe l'arme pour la protection de la force - comme dans la protection des soldats et des bases. Mais il a aussi des applications pour la police. Placé stratégiquement autour des villes, il pourrait prévenir des attaques comme celles en Europe, au Canada, aux États-Unis et ailleurs. Il y a, cependant, quelques problèmes juridiques délicats impliqués dans l'utilisation de dispositifs de brouillage électroniques et radio aux États-Unis. "
Alors que les militaires ont l'intention d'avoir un prototype en état de fonctionner d'ici l'exercice financier 2019, les armes à énergie dirigée suscitent des préoccupations. Prenez, par exemple, l'électricité pour faire fonctionner le canon à rayons est une énorme turbine à essence qui génère 300 kilowatts d'énergie. Même si l'arme a rétréci, l'appareil gourmand nécessite encore beaucoup de puissance.
Défense One note que JNLWP dispose de deux versions de l'arme à énergie dirigée non létale, une qui glisse dans un petit camion d'une portée d'environ 50 mètres et une autre trois fois plus grande avec une portée d'environ 200 mètres.
Dans un avenir pas trop lointain, les armes à énergie dirigée pour des applications non létales pourraient arriver dans un centre-ville près de chez vous, dans le but de contrecarrer les attaques de véhicules contre les civils.
https://www.zerohedge.com/news/2018-04-28/pentagons-ray-gun-can-stall-cars-trucks-radiation-blast
Aujourd'hui, c'est tout le monde qui s'équipe de micro-ondes haute puissance. HPM qui peut foutre le feu aux voitures électrique comme aux téléphones ! En plus de l'IEM qui bloque tout appareil électrique définitivement (montre a pile, téléphone, voitures, frigos, drones, etc,).
Supprimer«Une France hospitalière» ? Des Français s'élèvent contre la gestion des flux migratoires
RépondreSupprimer23:02 28.04.2018
Quelque 3.000 migrants sont installés dans le nord de Paris et 550 autres arrivent chaque semaine dans la ville, ce qui crée une situation «inhumaine», selon la maire de Paris, Anne Hidalgo. Des Français ne cachent pas leur grogne concernant tant l’état de choses que la ligne choisie par la maire.
Selon Le Parisien, la situation devient inquiétante puisque les migrants continuent d'affluer à Paris au rythme de près de 80 par jour, soit 550 par semaine. Aujourd'hui, ils sont déjà environ 2.500, originaires en majorité de la corne de l'Afrique, à se blottir dans des tentes.
La maire de Paris, Anne Hidalgo, s'est rendue vendredi dernier dans l'un des campements qu'elle qualifie d'«indignes», celui du Millénaire.
Elle a fait remarquer que la situation était très sérieuse et qu'il était indispensable que «l'État fasse sa part de travail».
«Soyons lucides et disons la vérité aux Français. La crise migratoire que vivent l'Europe et la France est durable», a-t-elle martelé.
Et les simples Français, comment voient-ils cette situation ? Les uns se félicitent de l'activité de la mairie de Paris et d'Anne Hidalgo.
https://fr.sputniknews.com/france/201804281036154915-france-probleme-migrants-maire-paris/
"Il y a du crack et de l'héroïne partout" - Galerie de prise de vue pour les sans-abris à l'intérieur de la station SF BART
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 28/04/2018 - 15:00
Les deux crises américaines de santé publique liées au sans-abrisme et à la toxicomanie ont été exposées grotesquement dans un couloir de la station BART de Civic Center à San Francisco - l'une des stations les plus fréquentées de la Bay Area.
Dans un rapport choquant par CBS San Francisco Bay Area, la station documente un groupe de junkies et de toxicomanes qui se rassemblent dans un couloir dans le terminal tôt le matin, où ils s'injectent ouvertement et fument des drogues. Dans les vidéos, les toxicomanes peuvent être vus en train d'injecter des drogues dans les veines près de leurs articulations ou de s'asseoir au milieu de tas de vomissures et d'autres fluides corporels.
Les policiers de la BART disent qu'ils sont trop débordés pour arrêter les congrégations quotidiennes et qu'ils pourraient avoir besoin de l'aide de la police de San Francisco pour empêcher les toxicomanes d'installer ce qui est essentiellement une galerie de tir errante dans les couloirs de la station. Certaines stations, les rapports de CBS, sont souvent laissées complètement sans surveillance.
Le coureur qui a alerté CBS a décrit la situation dans une interview, disant qu'il y a du «crack et de l'héroïne» partout.
Certains peuvent trouver la vidéo choquante. D'autres peuvent trouver cela routinier.
"Tous les jours, tous les matins, de 17 h 30 à 18 h 00. Vous pouvez voir qu'il y en a des douzaines, des aiguilles partout, de la fêlure, de l'héroïne."
[...]
«Un matin, j'ai dit:« Je dois sortir l'appareil photo et montrer à mes amis ceci, ils ne vont pas le croire », a-t-il dit.
Face aux images, un porte-parole de BART a déclaré que l'organisation essayait simplement de faire de son mieux avec les ressources dont elle dispose.
- voir sur site -
"C'est une réelle préoccupation pour nos pilotes, et nous apprécions cela", a déclaré le porte-parole de BART, Chris Filippi. "Mais ce que nous devons faire, c'est tirer le meilleur parti des ressources, des ressources limitées dont nous disposons."
Le maire de San Francisco, Mark Farrell, a déclaré à CBS que la situation dans les stations BART est "inacceptable".
"La situation dans nos stations BART est tout simplement inacceptable", a déclaré le maire de San Francisco, Mark Farrell. "Frontières désastreuses."
Bien sûr, ce qu'aucun des deux officiels n'a reconnu, c'est que San Francisco et d'autres villes de la Bay Area (voir: Oakland) fournissent des ressources suffisantes aux sans-papiers, alors que les habitants de la région meurent souvent sans aide et sans compter. une méthode nettement moins efficace pour remédier à la crise des sans-abri: des statistiques délibérément chimériques.
https://www.zerohedge.com/news/2018-04-27/theres-crack-and-heroin-everywhere-homeless-set-shooting-gallery-inside-sf-bart
BONN - NÉGOCIATIONS POUR FAIRE AVANCER L'ACCORD DE PARIS
RépondreSupprimerQuelque 200 pays, dont la Suisse, se retrouvent lundi à Bonn pour avancer vers la mise en oeuvre de l'accord de Paris.
29.04.2018, 06h28
Comment éviter un réchauffement hors de contrôle: environ 200 pays, dont la Suisse, se retrouvent lundi à Bonn pour avancer vers la mise en oeuvre de l'accord de Paris, première étape d'une année «cruciale» dans la lutte contre le dérèglement climatique.
«2018 est une année clé pour faire avancer l'action climatique», c'est le moment «le plus critique» depuis la COP21 qui a donné naissance à l'accord de Paris en 2015, commente David Waskow, expert au World Resources Institute.
Cet accord vise à contenir le réchauffement mondial sous les 2°C, voire 1,5°C, par rapport à l'ère préindustrielle. Mais les engagements de réduction d'émissions de gaz à effet de serre pris jusqu'à présent par les Etats signataires conduiraient à un monde à 3°C.
Dans les conditions actuelles, le monde atteindrait déjà 1,5°C d'ici les années 2040, selon un projet de rapport du groupe climat de l'ONU (GIEC), qui estime «extrêmement improbable» de ne pas dépasser 1,5°C sans transformations drastiques et immédiates.
Agir vite et radicalement
Alors que les trois dernières années ont été les plus chaudes jamais enregistrées et que les émissions de gaz carbonique sont reparties à la hausse en 2017, les appels à agir plus vite et plus radicalement se multiplient, à quelques mois de la 24e conférence climat de l'ONU (COP24) de décembre en Pologne, qui permettra d'évaluer la volonté politique des Etats à s'engager plus.
«Un succès dépendra d'un accord ou non des Etats sur un mode d'emploi musclé de l'accord de Paris et de leur volonté à rehausser leurs engagements nationaux d'ici 2020», insiste David Waskow.
L'accord prévoit un premier bilan mondial en 2023, mais la communauté internationale a déjà lancé un dialogue pour encourager les Etats à présenter d'ici 2020 des engagements révisés.
Ce processus baptisé «Talanoa» - mot utilisé dans les îles Fidji qui président actuellement la COP pour qualifier un dialogue permettant de construire la confiance «par l'empathie et la compréhension» - sera officiellement lancé pendant la réunion de Bonn qui commence lundi pour deux semaines.
Tensions Nord-Sud
Les contributions déposées en amont témoignent, selon l'ONU, d'un constat récurrent: «L'ampleur et le rythme de l'action climatique doivent être augmentés radicalement et immédiatement», parce qu'ils ne permettent même pas de respecter les engagements nationaux des Etats.
Avec le retrait annoncé des Etats-Unis de l'accord de Paris, les regards seront tournés vers la Chine, principal émetteur de gaz carbonique, mais aussi vers l'ensemble des pays développés, en particulier l'UE que plusieurs capitales européennes viennent d'appeler à rehausser ses ambitions, voire à poser l'objectif de neutralité carbone pour 2050.
«Il est frustrant d'entendre certains pays développés célébrer leur leadership sur le climat alors qu'ils ne sont pas la hauteur des engagements modestes annoncés au fil des années», a dénoncé le ministre de l'Environnement des Maldives Thoriq Ibrahim, qui préside le groupe des petites îles. «Jusqu'à ce que les pays développés joignent le geste à la parole, notre survie sera menacée».
RépondreSupprimerLes pays du Nord sont également régulièrement rappelés à leur promesse de porter à 100 milliards d'euros par an d'ici 2020 leur aide aux politiques climatiques de ceux du Sud.
Règles d'application
Ces tensions récurrentes entre pays riches et pauvres devraient également être un point de friction des négociations sur les règles d'application de l'accord de Paris, qui doivent être finalisées d'ici la fin de l'année pour permettre l'application du traité en 2020.
Ces règles concernent notamment la «transparence», c'est-à-dire la façon dont les Etats rendent compte de leurs actions, de leurs financements, de leurs résultats. Et le degré de flexibilité qui sera accordé aux pays les plus pauvres focalise les discussions. Ce mode d'emploi «doit donner une crédibilité à l'accord», insiste Lucile Dufour, du Réseau Action Climat.
D'autres événements diplomatiques importants jalonneront les mois conduisant à la COP24, du G7 en juin à la publication du rapport du GIEC à l'automne, en passant par le «sommet» organisé par le gouverneur de Californie en septembre. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/negociations-avancer-accord-paris/story/19759878
Supprimer(...) Comment éviter un réchauffement hors de contrôle (...)
??? ! Ils veulent boucher des millions (milliards ?) de volcans sous-marins !!! HAHAHAHAHAHAHAHA !
La débilité des escrocs !
Courir sur le vide
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 28/04/2018 - 14:25
Rédigé par Robert Gore via le blog Straight Line Logic,
Ils dorment sur leur progéniture, puis les enterrent vivants.
Partout dans le pays, les fonds publics de retraite et les fonds médicaux sont au bord de l'insolvabilité. Vous pouvez ignorer les problèmes en attente jusqu'à ce que vous ne puissiez pas. Pour ceux qui apprécient la clarté et la pensée réaliste, ces crises impossibles à ignorer devraient être les bienvenues. Ils attirent l'attention sur un fait incontournable: le monde n'a pas les moyens et la capacité productive nécessaires pour racheter les promesses qui ont été faites contre eux. Quelqu'un va se raidir.
Avec la guerre dans tous les esprits, les fonds publics de retraite et les fonds médicaux délimitent des lignes de bataille inévitables: les gouvernements contre les contribuables, les improductifs contre les productifs, les vieillards contre les jeunes. Ces guerres risquent d'être beaucoup plus conséquentes que celles auxquelles tout le monde s'inquiète dans des pays comme le Moyen-Orient et la Corée du Nord.
Rien n'attire l'attention sur l'absurdité qui remue le système de retraite public tout comme la pension mensuelle de 76 000 $ que Joseph Robertson, chirurgien ophtalmologue, a quittée à la présidence de l'Oregon Health and Science University l'automne dernier.
Dans le bon vieux temps, l'emploi gouvernemental signifiait bas salaire, mais la sécurité d'emploi et une pension décente. Maintenant, ces sinécures signifient des salaires supérieurs à ceux payés dans le secteur privé, plus des pensions beaucoup plus généreuses ... et la sécurité d'emploi. Pour certains chanceux comme le docteur Robertson, leurs retraites sont un jackpot triple 7. L'Oregon calcule les pensions non seulement en fonction des salaires gouvernementaux des bénéficiaires, mais aussi de ce qu'ils reçoivent sur les concerts non gouvernementaux. La pension de Robertson est basée sur sa rémunération en tant que président d'université et sur ce qu'il a fait fonctionner sur les globes oculaires.
C'est ce qui se passe lorsque les tables actuarielles et les taux de rendement réels sont écartés en faveur du pouvoir politique des fonctionnaires et de leurs syndicats, des promesses qui ne peuvent être tenues et des contribuables qui ne savent pas quelle sera la facture finale. être. Les retraites publiques et les crises médicales mettent en évidence l'écriture sur le mur: les gouvernements ne peuvent pas livrer.
Comme l'a récemment souligné Charles Hugh Smith, les obligations de retraite et les frais médicaux augmentent si rapidement qu'aucune hausse des impôts ne peut suivre. Bien avant qu'un taux d'imposition de 100 % ne transforme les contribuables en esclaves, augmenter les taux d'imposition devient contreproductif, produisant moins, pas plus, de revenus. L'un des aspects les plus intéressants de la crise des pensions et des soins médicaux est qu'il est local. En tant que tel, il offre des démonstrations réelles que lorsque les juridictions locales augmentent les taux pour financer leurs retraites, les personnes productives partent.
L'enfant de l'affiche est l'Illinois. L'État jusqu'à ses plus petites subdivisions politiques - comme la ville de Harvey - sont enterrés sous des pensions sous-financées. Les tribunaux de l'Illinois ont statué que les pensions sont inviolables, ce qui laisse les gouvernements face à l'insolvabilité avec seulement deux options: augmenter les impôts et réduire les dépenses.
RépondreSupprimerHarvey a reçu l'ordre d'un tribunal de financer la caisse de retraite de ses pompiers, qui n'est financée qu'à 22 %. Le taux d'impôt foncier de la ville est six fois le taux moyen dans l'Indiana voisin, et Harvey est encore à court. L'État saisit ses recettes fiscales et la ville a annoncé que 40 employés de la sécurité publique seraient licenciés. Pourquoi est-ce que n'importe qui payerait des impôts dans Harvey resterait pour un futur des impôts toujours croissant et des services publics sans cesse décroissants ?
Beaucoup ne le font pas, et Harvey et d'autres localités de l'Illinois, y compris Chicago, perdent des gens. Les statistiques de l'émigration en Illinois, en Californie, au New Jersey, au Connecticut, à New York et dans d'autres États perdants ne rendent pas compte de toute la portée du problème. Si une personne productive se déplace alors qu'une personne improductive emménage et commence à vivre des largesses de l'Etat, il n'y a pas eu d'émigration nette, mais l'Etat subit une perte (évidente pour tout le monde sauf les imbéciles et les charlatans et approche portefeuille ouvert jusqu'à la faillite).
La migration vers l'extérieur s'aggravera pour les États perdants alors que les limitations fiscales fédérales sur la déductibilité des impôts locaux et locaux (SALT) entrent en jeu. Le SALT a été plafonné à 10 000 $. Après cela, les riches doivent payer la pleine mesure des revenus, des biens et des taxes de vente de leurs pays à forte fiscalité. La migration est en train de s'accumuler. Il en coûte déjà deux fois plus cher de louer des services de camions auto-déménageurs de Los Angeles à Dallas à faible imposition, et vice-versa, et cet écart ne fera que s'élargir.
Les gouvernements étatiques et locaux, leurs employés et ceux qui sont au chômage ne peuvent empêcher les productifs de voter avec leurs pieds. Le nombre qui quittent les États-Unis, cependant, est encore un filet. Les problèmes de vieillesse et de financement médical du gouvernement fédéral, des ordres de grandeur plus importants que ceux des États et des municipalités, ne sont plus à l'ordre du jour. ils sont arrivés. Le gouvernement pourrait sceller les frontières pour verrouiller le productif, mais cela n'empêcherait pas la catastrophe au ralenti, mais l'accélération, en cours.
La capacité du gouvernement fédéral à émettre une dette pratiquement illimitée et la machine de monétisation de la dette de la Réserve fédérale masquent la pourriture, mais ne font que créer des problèmes beaucoup plus importants que ceux qu'ils pourraient résoudre. Les faibles taux d'intérêt ont détruit la capacité des États et des fonds locaux à obtenir des rendements relativement sûrs, les forçant à se placer sur la courbe des risques pour atteindre leurs objectifs de taux de rendement, qui sont trop élevés. Sous-financés comme ils le sont maintenant, les marchés baissiers en actions et en obligations les anéantiraient.
Encouragées par les politiques de promotion de la dette de la banque centrale, les dettes individuelles, d'entreprise, locales, étatiques et fédérales ont atteint de nouveaux records. Alors que les faibles taux d'intérêt ont amélioré le fardeau du service de la dette, même s'ils ne peuvent pas contrecarrer la dette du péage, ils prennent le dessus sur l'économie. Ne cherchez pas plus loin que la croissance annuelle réelle du PIB, qui n'a pas atteint 3% depuis que Bush Jr. était au pouvoir. Moins de croissance signifie moins de recettes fiscales, ce qui ne fait qu'exacerber les problèmes de financement.
RépondreSupprimerLa génération plus âgée place ses espoirs de retraite sur une génération plus jeune confrontée à une dette énorme, à une hausse perpétuelle des impôts, à une économie en perte de vitesse et à une diminution des opportunités. Ce n'est pas comme si vous espériez que vous pouviez tirer à l'intérieur d'une ligne droite, tout allait bien, échangeant votre main contre cinq nouvelles cartes, et en espérant que vous piquiez quatre as. Bonne chance avec ça.
Les personnes âgées aiment se plaindre que les jeunes sont trop préoccupés par les gadgets et les médias sociaux. Ils souhaitent que ce soit vrai. Les jeunes s'interrogent déjà sur l'imminence de leur servitude pour dettes. Les plus perspicaces s'inspirent des avantages que leur génération leur a accordés et de leur prodigalité sans égal. Vous n'avez pas à chercher trop loin sur internet et les médias sociaux pour voir l'éveil.
Dire aux parents et aux grands-parents qui publient tous les moments précoces de leurs chéris et ne rêveraient pas de les laisser marcher eux-mêmes jusqu'à l'école n'a aucun scrupule à les enterrer vivants dans le cadre des reconnaissances de dette. Dans un monde déchiré par les conflits, la guerre la plus facile à prévoir est celle intergénérationnelle.
Il n'est pas strictement exact de dire que les crises de l'État et des caisses d'assurance-maladie et des caisses d'assurance-maladie sont le canari dans la mine de charbon. Ce n'est qu'une dans une volière de canaris. Le canary fund est in extremis et pourrait bien être le premier à expirer; les autres suivront certainement. Imaginez l'horreur que les canaris adultes et leurs oisillons mènent un combat mortel pour ces dernières molécules d'oxygène.
https://www.zerohedge.com/news/2018-04-28/running-empty
Plus il y a du monde pour payer les frais moins la part de chacun est grosse. Or, c'est le contraire qui se passe !! Les factures (impôts, taxes, etc) augmentent !
SupprimerCe serait autrement en Démocratie.
De "Ne rien démocrates" à la "Diaper Genie Administration" - Dîner des correspondants de la Maison-Blanche
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 29/04/2018 - 09:05
Le président Trump est absent pour une deuxième année consécutive, le dîner des correspondants de la Maison Blanche, qui réunit des journalistes et des politiciens pour recueillir des fonds pour la charité, tout en disant tout ce qu'ils voulaient dire en public (avant l'arrivée de Trump). que de toute façon) - était, peut-être, un peu plus «égalité des chances» abus politiques la nuit dernière.
La comédienne Michelle Wolf n'a rien donné dans son allocution, mais pour une fois, le président Trump n'était pas la cible solitaire alors que plusieurs autres personnalités de Washington portaient la brûlure de son esprit.
Donc, juste au cas où vous l'auriez manqué - et pour le briefing du président Trump ce matin, The Hill résume les sept cibles «justes et équilibrées» que Wolf a visées lors du dîner d'hier soir:
Il ne faut pas s'étonner que Trump lui-même ait été la cible de nombreuses blagues de Wolf.
La comédienne a peaufiné sur les sujets des commentaires dégradants de Trump sur les femmes à ses propositions pour de nouvelles politiques d'armes à feu.
"Trump n'est pas là, si vous ne l'avez pas remarqué. Il n'est pas là, "dit Wolf. "Et je sais, je sais, je le traînerais ici moi-même, mais il s'avère que le président des Etats-Unis est la seule chatte que tu n'as pas le droit de saisir."
La réplique fait référence à la fameuse cassette "Access Hollywood", un enregistrement sorti lors de la campagne présidentielle de Trump en 2016, dans lequel on peut se vanter de tâtonner et d'embrasser des femmes sans leur consentement.
Dans un autre jab, Wolf étiqueté Trump comme un «gars de l'idée», en indiquant spécifiquement sa proposition que les enseignants soient autorisés à porter des armes sur les campus scolaires.
"Trump est aussi un gars de l'idée. Il a plein d'idées. Tu dois l'aimer pour ça, "dit-elle. "Il veut donner des armes aux enseignants. Et je soutiens cela parce que, alors, ils peuvent les vendre pour les choses dont ils ont besoin - comme les fournitures. "
Wolf a grillé Trump toute la nuit, y compris plusieurs jabs à ses entreprises commerciales passées.
Wolf a visé Mike Pence, l'appelant un "petit type bizarre" et disant qu'il est la raison pour laquelle elle ne veut pas que Trump soit mis en accusation.
"Mike Pence est ce qui se passe quand Anderson Cooper n'est pas gay", a-t-elle dit, comparant le vice-président à l'animateur de CNN.
Pence, plaisanta Wolf, est le genre de gars qui "se brosse les dents et boit du jus d'orange et pense 'mhmm!"
Pence est un adversaire notoire de l'avortement, a souligné Wolf avant d'établir un lien avec le responsable financier du Comité national républicain, Elliott Broidy, qui a démissionné plus tôt ce mois-ci après que des rapports aient révélé qu'il avait imprégné un modèle Playboy.
"Je sais que beaucoup d'entre vous sont très anti-avortement, vous savez, à moins que ce soit celui que vous avez pour votre maîtresse secrète", a déclaré Wolf.
Elle a également pris un coup à des rapports que Pence ne rencontrera d'autres femmes que lorsque sa femme l'accompagnera.
"Quand les gens ont entendu ça, ils étaient comme c'est fou. Mais maintenant, dans le climat actuel, ils sont comme, c'est un bon témoin », a déclaré Wolf au sujet du mouvement #MeToo.
L'ancienne candidate à la présidentielle rivale de Trump a été frappée pour sa stratégie de campagne 2016 pendant le dîner. Trump, Wolf a plaisanté, a fait un meilleur travail de communication avec la Russie que Clinton a communiqué avec les Américains.
RépondreSupprimer"C'est un peu fou que la campagne de Trump soit en contact avec la Russie alors que la campagne Hillary n'était même pas en contact avec le Michigan, c'est un vol direct, c'est tellement proche", plaisanta Wolf.
Mme Clinton a été critiquée pour sa stratégie de campagne de 2016, et beaucoup ont dit qu'elle n'avait pas visité suffisamment d'États clés du Midwest, y compris le Michigan et le Wisconsin.
La fille du président Trump s'est aussi retrouvée la cible des blagues de Wolf.
"Il y a aussi, bien sûr, Ivanka", a déclaré Wolf. «Elle était supposée être une avocate pour les femmes, mais il s'avère qu'elle est aussi utile aux femmes qu'une boîte de tampons vide, elle n'a rien fait pour satisfaire les femmes, alors je suppose, comme un père comme une fille.
"Oh, vous ne pensez pas qu'il est bon au lit, allez," continua Wolf. «Elle nettoie bien, Ivanka nettoie bien, elle est le génie de la couche-culotte de l'administration, à l'extérieur elle a l'air élégante, mais à l'intérieur, elle est encore pleine de merde.
Les démocrates devraient reprendre un certain nombre de sièges à mi-mandat de 2018, mais, plaisante Wolf, la stratégie de campagne du parti est si mauvaise qu'elle va en quelque sorte rattraper ses chances en novembre.
"Mais je veux aussi me moquer des démocrates", commença Wolf. «Les démocrates sont plus difficiles à se moquer de vous parce que vous ne faites rien, les gens pensent que vous pourriez renverser la Chambre et le Sénat en novembre, mais vous trouvez toujours un moyen de le gâcher. indique un gars nommé Jeff Pedophile, médecin nazi.
Les principales porte-parole de Trump
Deux porte-parole clés de Trump, la secrétaire de presse Sarah Huckabee Sanders et la conseillère principale de la Maison Blanche, Kellyanne Conway, ont remporté des succès pour leurs interactions avec la presse.
"Kellyanne Conway a le nom de famille parfait pour ce qu'elle fait - Conway", a déclaré Wolf. "Vous devez arrêter de mettre Kellyanne sur vos spectacles, si vous ne lui donnez pas une plate-forme, elle n'a nulle part où mentir. Si un arbre tombe dans les bois, comment pouvons-nous obtenir Kellyanne sous cet arbre. elle est blessée, juste coincée, coincée sous un arbre.
Wolf alla après Conway et Huckabee Sanders, accusant les deux d'avoir plié la vérité.
"Nous sommes honorés de la présence de Sarah ce soir", a déclaré Wolf à propos de Huckabee Sanders. "Chaque fois que Sarah monte sur le podium, je suis excitée, je ne suis pas sûre de ce que nous allons obtenir, un briefing de presse, un tas de mensonges ou divisés en équipes de softball. et cette fois, ne soyez pas si petite, Jim Acosta.
«En fait, j'aime beaucoup Sarah, je pense qu'elle est très débrouillarde», poursuit Wolf. "Mais elle brûle les faits et ensuite elle utilise cette cendre pour créer un œil smokey parfait, comme peut-être elle est née avec elle, peut-être que c'est des mensonges."
Loup a pris un coup rapide à l'hôte de Fox News Sean Hannity, suggérant que la personnalité médiatique conservatrice n'était même pas assez d'un journaliste pour valoir la peine d'être mentionnée.
"Les gens veulent que je me moque de Sean Hannity ce soir, mais je demande à ne pas le faire", a-t-elle dit. "Ce dîner est pour les journalistes."
Hannity est un fervent partisan et conseiller informel de Trump. Il a été révélé au tribunal récemment que Hannity aurait été un client de Michael Cohen, un associé de longue date et avocat personnel à Trump.
Hannity a nié cette prétention, cependant, en disant qu'il a seulement discuté de l'immobilier avec Cohen:
http://thehill.com
https://www.zerohedge.com/news/2018-04-29/do-nothing-democrats-diaper-genie-administration-white-house-correspondents-dinner
CANTON DE FRIBOURG - DES BUS SCOLAIRES ET DES POUBELLES EN FEU
RépondreSupprimerDeux bus scolaires et des containers ont brûlé à Villars-sur-Glâne dans la nuit de samedi à dimanche. La police a lancé un appel à témoin.
Une ou des personnes (bourreaux nazies) ont mis le feu à deux bus scolaires et des poubelles à Villars-sur-Glâne.
29.04.2018, 13h12
Ce dimanche 29 avril, peu avant 2h du matin, la police cantonale fribourgeoise a du intervenir pour un incendie près de l'école, à Villars-sur-Glâne. Il n'y a pas eu de blessé. La police soupçonne un incendie criminel.
Une vingtaine de pompiers sont rapidement intervenus pour éteindre le feu qui s'était emparé de deux bus scolaires ainsi que de poubelles. Les dégâts sont importants. L'un des bus est complètement détruit ainsi qu'un container et l'autre bus est très endommagé et hors d'usage.
Le toit en métal sous lequel étaient stationnés les deux véhicules a été aussi abîmé par les flammes. Pour l'heure, le montant des dégâts n'est pas encore établi.
Selon les premiers éléments de l’enquête, le feu aurait été bouté intentionnellement.
La police a lancé un appel à témoins et demande à toutes les personnes qui pourraient apporter des éléments qui permettent de retrouver le ou les auteurs de ce sinistre de contacter la Police cantonale fribourgeoise au 026 304 17 17. (comm/ats/nxp)
https://www.lematin.ch/faits-divers/bus-scolaires-poubelles-feu/story/31514319
(...) Il n'y a pas eu de blessé. La police soupçonne un incendie criminel. (...) !!!
SupprimerLe meurtre de poubelles et de bus est un délit grave (en Suisse) punit de 100 000 ans de prisons avec écartemement de ses membres actifs sur la voix publique !
La fin du monde ?: L'assassin arrêté avait encore sur lui un mégot prêt à exploser ! (et encore là je parle pas du pétard qu'il détenait dans sa culotte !!!)
PHILIPPINES - LE PRÉSIDENT DUTERTE INTERDIT D'ALLER TRAVAILLER AU KOWEÏT
RépondreSupprimerLe président philippin a qualifié la situation au Koweït de «calamité», appelant ses concitoyens qui y travaillent déjà à rentrer dans l'archipel.
29.04.2018, 12h07
L'interdiction faite aux Philippins de travailler au Koweït est définitive, a affirmé dimanche le président philippin Rodrigo Duterte. Cette déclaration marque une nouvelle aggravation de la crise provoquée par le traitement des travailleurs étrangers dans ce pays.
Rodrigo Duterte avait interdit provisoirement en février aux Philippins de partir travailler au Koweït après le meurtre d'une domestique philippine, dont le corps avait été retrouvé dans un congélateur.
La crise s'est approfondie cette semaine, quand le Koweït a ordonné l'expulsion de l'ambassadeur des Philippines et rappelé son ambassadeur à Manille.
Le Koweït a pris ces mesures après la diffusion de vidéos montrant des équipes de l'ambassade philippine en train d'organiser la fuite de domestiques des résidences de leurs employeurs koweïtiens soupçonnés de les maltraiter.
«Calamité»
Les deux pays étaient en train de négocier un accord afin, selon Manille, de permettre la levée de l'interdiction provisoire.
«L'interdiction est permanente. Il n'y aura plus de recrutement, en particulier de domestiques. Il n'y en aura plus», a martelé Rodrigo Duterte devant les journalistes dans sa ville méridionale de Davao.
Environ 262'000 Philippins travaillent au Koweït, dont près de 60 % comme employés de maison*, selon le ministère philippin des Affaires étrangères.
Rodrigo Duterte a qualifié la situation au Koweït de «calamité», appelant les Philippins qui y travaillent déjà à rentrer dans l'archipel. «J'en appelle à leur patriotisme. 'Rentrez à la maison'. Nous sommes pauvres, mais nous allons survivre. L'économie se porte bien et nous manquons de bras».
Prof d'anglais en Chine
Plus de deux millions de Philippins sont employés à travers le Golfe. Au total, environ 10 millions de Philippins travaillent à l'étranger dans une grande variété de secteurs. D'après la banque centrale philippine, leurs revenus sont une pièce maîtresse de l'économie locale, avec plus de 28 milliards de dollars engrangés en 2017.
Ceux qui rentreraient du Koweït pourraient trouver des emplois de professeurs d'anglais en Chine, a poursuivi M. Duterte, évoquant l'amélioration des relations avec le géant asiatique. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/duterte-interdit-travailler-koweit/story/11357878
* putes-du-jour.
SupprimerBain de sang dans l'industrie solaire allemande - sans subventions 80 000 emplois solaires ont disparu
RépondreSupprimerApril 29th, 2018
Climat Worriers ont la chance la plus terrible. Toutes les runes étaient alignées pour l'énergie solaire - elle est presque gratuite, coule du ciel, et des millions de personnes semblent avoir besoin d'énergie "assez souvent". De plus, les universités et les gouvernements ont offert vingt ans de publicité gratuite sur son Glorious Wonderfulness. L'énergie solaire est également utilisée par les Saints des Célébrités de Gaia, remplissant ainsi les besoins à la mode, spirituels et tribaux. Un bon jour, il remplit aussi des besoins en mégawatts.
Malgré tout, sans les paiements forcés de non-utilisateurs involontaires et inconscients de l'énergie solaire, les investisseurs fuient et l'industrie solaire allemande s'effondre. Comment cela peut-il être ?!
Lawrence Solomon: Le solaire et le vent sont-ils finalement moins chers que les combustibles fossiles ? Aucune chance
Financial Post
Après que le gouvernement allemand a décidé de réduire les subventions à l'industrie solaire en 2012, l'industrie a plongé. Cette année-là, pratiquement tous les grands producteurs d'énergie solaire allemands ont connu une baisse, leur nouvelle capacité ayant diminué de 90 % et leurs nouveaux investissements de 92 %. Quelque 80 000 travailleurs - 70 % de la main-d'œuvre solaire - ont perdu leur emploi. La part de marché de l'énergie solaire diminue et les panneaux solaires, ayant survécu à leur utilité, sont retirés sans être remplacés.
L'énergie éolienne fait face à un destin similaire. L'Allemagne compte quelque 29 000 éoliennes, dont presque toutes bénéficient d'un programme de subventions de 20 ans qui a débuté en 2000. À partir de 2020, quand environ 5 700 éoliennes seront épuisées, des milliers d'entre elles perdront chaque année leur soutien. rendant le fonctionnement continu de la plupart d'entre eux non rentable sur la base des prix actuels du marché. Pour aggraver les choses, avec un grand nombre de turbines défaillantes et devenant non rentables à maintenir, elles représentent un passif environnemental et posent la possibilité d'abandon. Aucun fonds n'a été mis de côté pour éliminer les pales, qui ne sont pas recyclables, ou pour enlever les bases de béton armé de 3 000 tonnes des turbines qui atteignent des profondeurs de 20 mètres, ce qui les rend dangereuses pour les aquifères qu'elles percent.
Sur le plan positif, 80 000 Allemands peuvent maintenant faire quelque chose de productif.
Chose drôle, quelque chose de similaire s'est passé en Australie en juillet 2014:
Soudain, 97% des investissements australiens dans les énergies renouvelables se sont asséchés sans subventions:
On nous dit que l'énergie «propre» est viable et rentable. Mais couper les subventions du gouvernement, et 97 pour cent des investisseurs disparaissent (en Australie, il est effondré de 2,6 milliards de dollars par an à 80 millions de dollars).
En Australie, ce bref passage à quelque chose qui ressemblait à un marché libre était dû à une «incertitude» politique à l'époque. La main morte de la certitude du gouvernement est depuis revenue pour choisir les gagnants perdants.
h / t GWPF - Voir leur collection sur Engergiewende
http://joannenova.com.au/2018/04/bloodbath-in-the-german-solar-industry-without-subsidies-80000-solar-jobs-are-gone/
RépondreSupprimerSur la ZDF allemande : « La folie avec le blé » ? La bien-pensance stupide !
28 Avril 2018
Seppi Publié
La ZDF, la deuxième chaîne allemande a diffusé un reportage de 30 minutes, « La folie avec le blé » le 28 février 2017. Pour ceux qui comprennent l'allemand :
En bref :
« Un quart des exportations allemandes de blé est allé en Afrique en 2016. À première vue, c'est une contribution à la lutte contre la faim et la misère. Mais est-ce vrai ? La recherche de "ZDFzoom" donne une image différente. »
En plus détaillé :
« Les livraisons de céréales font concurrence aux produits locaux et sapent l'aide au développement. L'UE finance des projets en Afrique qui ne décollent pas parce que les agriculteurs n'ont aucune chance avec leurs produits nationaux contre le blé européen bon marché.
Dans la capitale sénégalaise, Dakar, la reporter Katharina Schickling de "ZDFzoom" a découvert qu'il y avait dans les boulangeries presque exclusivement des produits de l'importation du blé, comme des baguettes. Pourtant, le pain de farine de blé était largement inconnu en Afrique jusqu'au début de la domination coloniale. Au lieu de cela, on consommait de la bouillie ou des crêpes de céréales telles que le sorgho ou le mil, qui prospèrent même dans les climats chauds. Le pain de farine de blé est devenu l'aliment de base grâce aux dirigeants coloniaux européens. Mais le blé ne poussant pas en Afrique en raison du climat, cela a donné lieu à des dépendances fatales : au Sénégal, la consommation de mil est tombée d'environ 80 kg par habitant et par an en 1961 à 25 kg en 2010. Durant cette période, les exportations de blé allemand ont été multipliées par quatre dans les pays de l'Afrique de l'Ouest.
Ce qui agace beaucoup de Sénégalais : le blé provenant de cultures allemandes coûteuses à produire ne peut être offert à très bon prix que parce que les agriculteurs allemands reçoivent des subventions tirées des recettes fiscales. "C'est comme si on mettait quelqu'un sur la ligne de départ avec un vélo face à un véhicule tout-terrain et qu'on disait : 'à vos marques, prêts, partez !'" Le conducteur de la voiture gagnera toujours", a déclaré Baba Ngom, [Secrétaire Général du Conseil National de Concertation et de Coopération des Ruraux (CNCR)] dans une interview avec "ZDFzoom".
Des experts allemands tels que Stefan Liebing, de l'Association Africaine des Entreprises Allemandes, sont également sceptiques à propos de ce développement. Les subventions accordées l'agriculture européenne détruiraient beaucoup, et il serait préférable de protéger les industries émergentes en Afrique.
Un plan Marshall pour l'Afrique est actuellement en discussion. Il y aurait pourtant une mesure très simple : mettre fin à la politique commerciale insensée de l'UE dans le secteur agricole. Les céréales pour l'Afrique – qui semblent être à première vue une contribution à la lutte contre la faim et la misère – détruisent en fait les sources de revenus et sont une des causes de l'émigration.
Notre ami Willi l'Agriculteur a été interviewé dans la phase préparatoire de ce reportage. Il a consacré quelque six heures à l'équipe de tournage, qui a fait quelque trois quarts d'heure de prises, dont elle n'aura retenu que trois minutes, essentiellement de platitudes. Willi en conçoit légitimement une grande amertume. Mais le pire est qu'on l'a interrogé sur le marché mondial des céréales, le sujet allégué du reportage, l'Afrique n'ayant été abordée que marginalement. En résumé, et selon ses termes, il a été l'idiot utile.
Ça rappelle furieusement une mésaventure qui est arrivée à M. Daniel Sauvaitre (voir par exemple ici). Non, le monde des médias n'est pas peuplé de margoulin(e)s, mais on peut légitimement s'interroger sur sa déontologie.
Willi a ensuite exposé son point de vue dans un texte que nous traduirons. Et Mme Schickling a répondu – un texte mis en ligne par Willi que nous ne traduirons pas, tant il nous paraît odieux. Le morceau de choix :
RépondreSupprimer« Je regrette que vous vous sentiez visiblement trompés, mais je rejette le reproche que je vous aurais berné. Mes publications sur le thème de l'agriculture sont toutes accessibles, autrement dit, vous aviez la possibilité de vous informer sur ma démarche et mon point de vue critique. »
Revenons aux « explications » ci-dessus.
Que pensait trouver Mme Schickling dans une boulangerie à Dakar ?
La comparaison entre 1961 et 2010 est tout aussi débile. Du reste, n'a-t-elle pas disposé d'une statistique plus récente ? Et imputer la baisse de la consommation de céréales sèches sénégalaises à une concurrence du blé européen, sans tenir compte d'autres facteurs tels que la consommation de riz, relève de la bêtise et de l'aveuglement militant.
En 1961, le Sénégal comptait environ 3,3 millions d'habitants ; en 2010, il comptait 13 millions d'habitants, 4 fois plus. Mangeait-on 3,2 fois plus de mil par habitant et par an en 1961 qu'en 2010 ? On peut en douter. Selon les statistiques de la FAO, on a récolté 334.300 tonnes de mil en 1961 (ce qui donnait un disponible brut de 101 kg/habitant/an) et 813.300 tonnes en 2010 (63 kg/hab./an).
Malgré l'augmentation importante des surfaces (1 million d'hectares en 2010 contre 738.000 hectares en 1961) et des rendements (7,9 q/ha contre 4,5 q/ha), la production n'a pas suivi l'augmentation de la population. Comment fait-on alors ?
Un autre document fort intéressant note ceci :
« On peut donc tabler sur des importations moyennes récentes d'environ 490 000 t de blé par an, contre 216 465 t en 2000, soit une multiplication par 2,3 en 16 ans. On observe cependant une certaine stabilisation des importations depuis 2012. »
Sur la période, les importations ont augmenté d'un facteur 2,26, et la population, d'un facteur 1,56.
Le blé européen concurrence-t-il de manière déloyale les céréales locales ? C'est à voir. En tout cas, Willi nous livrera d'intéressantes réflexions.
http://seppi.over-blog.com/2018/04/sur-la-zdf-allemande-la-folie-avec-le-ble-la-bien-pensance-stupide.html
(...) au Sénégal, la consommation de mil est tombée d'environ 80 kg par habitant et par an en 1961 à 25 kg en 2010. (...))
SupprimerWhoooâaah ! ("S'ils n'ont du pain qu'on leur donne de la brioche !" (M.A-sur-l'échafaud). Ôoh putaingue ! Et des croissants avec de la corniflure d'abrikot !'
Les exportations de céréales vers l'Afrique : vraiment de la folie ?
RépondreSupprimer29 Avril 2018
par Seppi
Willi l'Agriculteur*
La discussion sur les exportations de céréales de l'Allemagne (et de l'UE) vers l'Afrique ne me laisse pas en paix. On en parle dans le film « Der Wahnsinn mit dem Weizen » (la folie avec le blé). Mais qu'est-ce qui est juste ou meilleur ? Quelles sont les solutions qui aident vraiment l'Afrique ?
Il est vrai que presque tous les pays, pas seulement l'Allemagne ou l'UE, exportent du blé vers l'Afrique. À l'heure actuelle, les principaux exportateurs de céréales sont la Russie, les États-Unis et le Canada. C'est logique, car là, en raison des conditions climatiques, il pousse tant de céréales qu'une exportation est possible.
Offre et demande
Dans un monde régi par l'offre et la demande, cette céréale trouve un prix pour lequel elle est achetée par le client. Le producteur le moins cher remporte la compétition pour le client. Donc, si un négociant en grains africain veut acheter du grain à bon marché, il va d'abord regarder autour de lui sur le marché intérieur. Si le grain est à meilleur prix sur d'autres marchés, il achètera ailleurs. C'est logique et chacun d'entre nous décidera ainsi pour un produit de même qualité. Le vendeur livrera le produit à l'acheteur qui lui paiera le prix demandé. Encore une fois, cela est logique et, à mon avis, nullement moralement répréhensible. En conséquence, il y a du blé allemand, français, russe et américain sur le marché africain.
Rendu meilleur marché par des subventions ?
On prétend souvent que les céréales allemandes (cela vaut également pour d'autres productions) sont rendues meilleur marché par des subventions et ne peuvent être exportées en Afrique que par ce biais. Mais la vérité est que l'agriculteur allemand touche grosso modo le prix du marché mondial pour son grain, parce que les bourses de Paris et de Chicago évoluent quasiment de concert. Les paiements de l'UE sont basés sur la superficie, indépendamment de la culture qu'elle porte. Par conséquent, à mon avis, il n'y a aucun lien entre les subventions allemandes (en fait, ce sont des paiements européens) et les exportations vers l'Afrique.
On peut évidemment le contester. Mais que se passerait-il si les subventions de l'UE étaient supprimées ? C'est simple : l'agriculteur allemand (paierait moins d'impot) aurait un revenu plus fort, car les paiements liés à la surface contribuent à compenser les handicaps. Les prix des grains, qui sont décisifs pour les acheteurs et les vendeurs et qui peuvent être lus en bourse, ne changeraient pas, et donc rien ne changerait pour d'éventuelles exportations vers l'Afrique. Ou ai-je oublié quelque chose ? Si oui, je demande des éclaircissements.
Des prix élevés – bien ou mal ?
Maintenant, on pourrait augmenter artificiellement les prix des céréales exportées vers les pays africains. Par exemple, dans le pays exportateur, on pourrait ajouter une majoration à payer à la frontière. Ou les pays africains pourraient imposer un droit d'importation et percevoir ce droit à leur profit. Certains pays le font. Le grain étranger serait alors plus cher. Mais où cela nous mène-t-il ? La population de leur propre pays devrait payer plus et l'offre serait plus réduite. La question est cependant de savoir qui peut se permettre des importations plus chères. Pour les riches, peut-être même pour la classe moyenne, ce ne serait probablement pas un problème. Mais qu'en est-il des couches les plus pauvres de la population ? Se tourneraient-elles vers les céréales locales (mil, riz) ? En fait, ce serait un grand avantage pour l'agriculteur africain parce qu'il aurait alors un revenu plus élevé avec toutes ses conséquences positives. Mais je me permets de douter des avantages que tirerait la population de la hausse des prix due à la hausse de la demande, plus précisément je doute que les sommes tirées des droits d'importation seraient suffisantes pour réduire les prix en faveur de la population pauvre – ou même utilisées à cette fin.
RépondreSupprimerEt si la population veut aussi manger du blé ? Dans ce cas, les agriculteurs allemands, européens et africains seraient d'accord sur un point : les prix élevés des céréales seraient bons, voire très bons. Mais pour le consommateur, c'est mauvais. Je me souviens juste du tollé quand la plaquette de beurre a augmenté de 60 ou 70 centimes [en Allemagne]...
Pommes de terre ou blé ?
Mon collègue en Egypte ou au Maroc (tous deux en Afrique) produit actuellement (en mars) sur ses terres des pommes de terre pour le marché européen. En avril, elles arriveront sur le marché et il touchera beaucoup d'argent ici parce que nous avons assez de clients pour les pommes de terre primeurs en provenance d'Égypte. Devrait-il cultiver plutôt des céréales sur ses terres dans le delta du Nil, pour lesquelles il touchera moins ? Il est logique qu'il cultive ce qui lui rapporte le plus. Qui ne ferait pas ça ?
Mais peut-on dire que les producteurs de pommes de terre égyptiens cassent le marché des producteurs allemands avec leurs exportations ? Oui, c'est comme ça. Lorsque les premières pommes de terre nouvelles arrivent sur le marché, les prix des pommes de terre allemandes de conservation chutent presque régulièrement.
Pourquoi toujours l'Afrique ?
Ce qui me frappe toujours dans la discussion, c'est le fait indéniable que les politiciens, certaines organisations et aussi les médias se concentrent constamment sur l'Afrique. Quand avez-vous lu quelque chose sur les exportations de céréales qui détruisent les marchés en Inde, au Pakistan ou au Bangladesh ? Je ne m'en souviens pas. Ne se pourrait-il pas que des conditions politiques très instables prévalent dans de nombreux pays africains ? Que la corruption et le népotisme y jouent un grand rôle ? Il faudrait également mentionner dans ce contexte les décisions de politique économique dans de nombreux pays africains, telles que les problèmes d'approvisionnement ou les famines causées par des expropriations arbitraires. Ils ont ensuite été soulagés par les livraisons de céréales – y compris d'Europe – souvent pendant des décennies. Je ne suis pas convaincu que l'appel à la dissolution des relations commerciales agricoles mutuelles existantes ait une influence positive sur la situation de l'offre en Afrique. Mais vous voudrez peut-être me convaincre du contraire...
Qu'est-ce qui est bien, qu'est-ce qui est mal ?
RépondreSupprimerL'hémisphère nord présente des conditions climatiques favorables pour les céréales et d'autres cultures et dispose, par conséquent, de grandes zones de culture. Comme la production dépasse la consommation de la population indigène, elle est exportée en partie vers des pays qui, pour une raison ou une autre, ne produisent pas assez de céréales pour leur propre population. Si l'on devait empêcher ces exportations, par quelque mesure que ce soit, il y aurait une carence dans les pays insuffisamment approvisionnés. Dans les pays qui produisent plus que leur propre consommation, les prix baisseraient et les productions seraient affectées à des usages autres que l'alimentation (comme les énergies renouvelables). Mais cela aussi est critiqué. Alors expliquez-moi s'il vous plaît ce que devrait être la bonne façon de faire. Je suis un peu perplexe.
Willi, votre Agriculteur
_______________
* Willi l'Agriculteur (Bauer Willi) exploite 40 hectares en grandes cultures (betterave sucrière, colza, céréales) en coopération opérationnelle. Il a été double-actif jusqu'à l'automne 2014. Son deuxième métier a été le suivi et le conseil aux agriculteurs pour une entreprise familiale (sucrerie). Depuis lors, il continue d'exploiter son domaine en tant que pré-retraité et a du temps pour écrire et partager son expérience.
Il contribue aussi bénévolement à l'association (fondation) des habitants de sa commune et à une coopérative agricole.
Source : http://www.bauerwilli.com/exporte-nach-afrika-wirklich-wahnsinn/
http://seppi.over-blog.com/2018/04/les-exportations-de-cereales-vers-l-afrique-vraiment-de-la-folie.html
Crèvattitude contre pétrole ? Jusqu'où les petits noirs du matin peuvent-ils incomber dans la démarche salumerkative de l'halle Magne-toi-le-train ?!
SupprimerVoir la wdéo sur: 'Et si je faisez la pute come mais paran ?'
Document NOAA / NWS: les éoliennes affectent le radar météorologique, créent de fausses impressions de tempête
RépondreSupprimerAnthony Watts
29 avril 2018
De Watertown Daily News, et le département de la loi des conséquences inattendues vient une vérité dérangeante du National Weather Service, qui après une enquête plus approfondie semble être un problème national pour le réseau de radar météorologique doppler WSR-88D utilisé pour prédire, suivre, et analyser le temps violent. Selon le centre des opérations radar de la NOAA, les prévisionnistes sont confrontés à "peu ou pas de solution de contournement".
Cela s'explique en partie par le fait que le déploiement national du WSR-88D du début au milieu des années 1990 a précédé le déploiement massif d'éoliennes pour fournir de «l'énergie verte». Ils n'avaient aucun moyen de savoir alors que leur champ de vision serait pollué par une armée de lames rotatives.
h / t à John Droz pour l'article de Watertown Daily News ci-dessous.
Le document du National Weather Service dresse la liste des possibles interférences radar dues aux éoliennes
Par ABRAHAM KENMORE
WATERTOWN - Un nouveau document du National Weather Service (Service météorologique national) met en évidence une éventuelle interférence avec le radar météorologique de Montague utilisé par le personnel de Fort Drum.
En plus des stations météorologiques Buffalo et Burlington, Vt. Qui couvrent les comtés de Jefferson, Lewis et St. Lawrence, le document énumère les impacts sur les stations météorologiques nationales d'Albany et de Binghamton, qui utilisent également le radar Montague KTYX.
Parmi les préoccupations possibles énumérées dans le document pour la station de Binghamton figure le fait que le blocage des faisceaux d'éoliennes pourrait entraver le suivi des orages dans les comtés d'Oneida et de Madison, ce qui retarderait les avertissements de tornade. Cela pourrait également compliquer le suivi de la neige et des précipitations dues aux effets du lac, ce qui pourrait à son tour retarder les conseils de voyage et les avertissements d'inondation.
Pour la station d'Albany, le document indiquait que l'encombrement des turbines pourrait créer une fausse identification des orages et un suivi des comtés de Lewis et du nord d'Herkimer, ainsi que masquer éventuellement la neige à effet de lac.
Le document a été envoyé par Jessica A. Schultz à la National Oceanic and Atmospheric Administration et énumère l'impact possible des éoliennes sur les quatre stations météorologiques du NWS qui utilisent le radar météorologique. Selon des documents publiés en ligne par la NOAA, Mme Schultz travaille au Centre des opérations radar de la NOAA NWS à Oklahoma. Bien que le document lui-même ne soit pas signé, les propriétés du document listent l'auteur comme étant un JSchultz.
Voici le document du NWS, qui selon les propriétés du document a été créé par JSchultz - également reproduit ci-dessous.
RépondreSupprimerhttps://www.scribd.com/document/377510647/NWS-Summary-of-Impacts-Fort-Drum-KTYX-Wind-Turbines#from_embed
Impacts de la ferme éolienne KTYX
Il y a 4 bureaux du National Weather Service (NWS) qui utilisent le Fort Drum KTYX radarto pour accomplir leur mission de protection de la vie et de la propriété dans les comtés voisins. NWS Albany, NWS Buffalo, NWS Binghamton, NWS Burlington.
NWS Albany Impacts:
Les turbines peuvent provoquer un blocage du faisceau et un sous-échantillonnage des échos radar en aval (25-30 milles marins) dans le nord du comté d'Herkimer.
La sous-estimation des précipitations est probable (saison chaude et fraîche) dans l'effet du lac et les précipitations généralisées.
Les turbines peuvent également provoquer un blocage partiel du faisceau ayant un impact sur les données de polarisation double et afficher de grandes quantités de données erronées.
Le fouillis des turbines en aval peut avoir une incidence sur les données de précipitations par une surestimation / sous-estimation, des données de vitesse du vent incorrectes et une identification et un traçage des fausses orages dans le comté de Lewis avant de se déplacer dans le nord du comté d'Herkimer.
En hiver, les caractéristiques de la neige d'effet de lac pourraient être masquées ou sous-estimées, ayant un impact négatif sur les avertissements et les avis.
En cas de conditions météorologiques extrêmes, des données erronées (en particulier les vitesses du vent) peuvent avoir une incidence sur la détection et les avertissements de vents violents, de grêle et de tornades.
Impacts sur les buffles du NWS:
La hauteur des pales d'éoliennes et des pales tournantes des éoliennes entraîne un blocage du faisceau et un sous-échantillonnage des échos radar en aval des comtés de Jefferson, Lewis et Oswego.
Les estimations des précipitations obtenues à proximité des éoliennes ne sont pas utilisables, tandis que les estimations des précipitations en aval ont été dégradées.
Les turbines provoquent un blocage partiel du faisceau qui a un impact sur les produits à double polarisation. Il en résulte de grandes quantités de données erronées.
Des installations de turbine supplémentaires entoureront presque le radar, ce qui aggravera encore ces problèmes et rendra de plus en plus difficile l'interprétation radar et la détection de phénomènes météorologiques violents.
Le fouillis de l'éolienne a un impact négatif sur plusieurs capacités radar:
o Les algorithmes d'estimation des précipitations produisent de fausses estimations.
RépondreSupprimero Les produits Velocity ne sont souvent pas utilisables à proximité des turbines, en particulier en cas de temps violent.
o Cela peut causer une détection erronée et / ou manquée des tornades par les algorithmes radar et les prévisionnistes.
Les caractéristiques de l'orage ou de la tempête hivernale seront davantage masquées ou mal interprétées, ce qui réduira l'efficacité de l'avertissement à proximité et dans les environs des éoliennes actuelles et futures.
Les caractéristiques de l'orage ou de la tempête hivernale seront davantage masquées ou mal interprétées, ce qui réduira l'efficacité des avertissements à proximité et à la limite des éoliennes existantes et futures.
Les fausses signatures contaminant les données de vitesse Doppler réduiront davantage la conscience de la situation des prévisionnistes, en particulier lors d'événements météorologiques dangereux.
Le blocage du faisceau pourrait également nuire considérablement à notre capacité de prévoir et de détecter la neige à effet de lac. Comté d'Oneida (en particulier le nord du comté d'Oneida) voit plus de 200? de neige par année en moyenne et est l'un des endroits les plus enneigés à l'est des Rocheuses. Le blocage du faisceau pourrait affecter notre capacité à détecter la neige à effet de lac le long de la route Thruway de l'État de New York entre Syracuse et Utica, qui est un important couloir de circulation. Notre bureau fournit des briefings presque quotidiens à l'Autorité de Thruway de NYS quand un modèle de neige d'effet de lac est présent. Un blocage important du faisceau pourrait éroder notre capacité à chronométrer et à suivre les fortes bandes de neige à effet de lac qui ont un impact important sur les déplacements, ce qui entraînerait une aide à la décision moins précise pour l'Autorité Thruway.
Les comtés d'Oneida et de Madison ont des antécédents de graves inondations subites locales et le blocage des faisceaux entravera notre capacité à estimer avec précision les précipitations dans les régions, ce qui aurait un impact négatif sur la rapidité des avertissements d'inondation.
Impacts NWS Burlington:
Les éoliennes près du radar près du radar causent de l'incertitude ou de la confusion au sujet des caractéristiques réelles de la tempête tout en surveillant les tempêtes qui se déplacent vers le nord ou le nord-est. Cela peut retarder les avertissements, ce qui se traduit par un délai d'exécution plus court avant que la tempête n'atteigne les comtés de St. Lawrence ou de Franklin.
Les éoliennes "ressemblent" à des précipitations, même par temps clair. Cela peut causer de la confusion aux utilisateurs des données, y compris les médias, les pilotes et le grand public.
Si le radar doit être déplacé à cause des éoliennes, les préoccupations seront amplifiées. Tout déplacement à l'est ou au sud de l'emplacement actuel entraînerait une réduction de la couverture radar dans les comtés de St. Lawrence et de Franklin. Cela signifierait une moins bonne détection de la neige à effet lacustre et des phénomènes météorologiques violents de faible niveau, tels que les tornades, les vents violents et la grêle.
RépondreSupprimerIl semble que le problème ne se limite pas à New York, le NWS étudie également les impacts des éoliennes sur les radars météorologiques du Midwest. Du centre des opérations NOAA WSR-88D:
COMMENT LES LAMES D'ÉOLIENNES ROTATIVES AFFECTENT LE RADAR MÉTÉOROLOGIQUE NEXRAD DOPPLER
Les pales d'une éolienne en rotation peuvent influer sur le radar de plusieurs façons. Les éoliennes peuvent avoir un impact sur les données de base, les algorithmes et les produits dérivés du radar NEXRAD lorsque les pales de la turbine se déplacent et dans la ligne de visée du radar (RLOS); et, si les turbines sont situées très près du radar, leurs grandes nacelles et leurs lames peuvent également bloquer physiquement le faisceau radar ou renvoyer suffisamment d'énergie au radar pour endommager le matériel du récepteur du radar.
Radar Receiver: Le radar NEXRAD a un récepteur très sensible. Le protecteur du récepteur du radar empêche les dommages dus aux signaux réfléchis forts; Cependant, sa limite supérieure est de 53 dBm. Les gros objets situés très près du radar (<4 km), tels que les nacelles de turbine, ont le potentiel de renvoyer des signaux qui dépassent la limite de protection du récepteur et rendent le radar inutilisable.
Blocage du faisceau: S'ils sont situés à quelques kilomètres du radar, les éoliennes peuvent bloquer partiellement ou complètement le faisceau radar. Ce blocage réduit la force du faisceau et impacte les données au-delà du parc éolien, provoquant des ombres ou des pointes dans toute la portée du radar (460 km pour les données de réflectivité et jusqu'à 300 km pour les données de vitesse et de largeur du spectre) .
Données de base du radar: Les turbines du RLOS peuvent renvoyer l'énergie vers le radar et contaminer visuellement les données de réflectivité, de vitesse et de largeur du spectre. Les prévisionnistes recherchent certaines «signatures» dans les données qui indiquent la gravité des tempêtes. Le fouillis du parc éolien peut parfois ressembler à des averses et des orages, ou peut modifier l'apparence d'une tempête (par exemple, des échos de crochet). Ces données visuellement corrompues ajoutent de l'incertitude à l'analyse et pourraient amener les prévisionnistes à retarder / manquer un avertissement de temps violent ou à avertir inutilement.
Algorithmes et produits dérivés: Les données de réflectivité de base, de vitesse et de largeur spectrale sont également utilisées par de nombreux algorithmes du processeur radar pour détecter certaines caractéristiques de tempête, telles que les mésocyclones, les tempêtes relatives, la grêle, la turbulence, etc. provoquer les algorithmes de radar pour générer de fausses alertes ou manquer des alertes. Le radar génère également de nombreux produits supplémentaires en utilisant ces données de base, tels que les profils de vent et les estimations de précipitations. L'encombrement des éoliennes peut avoir une incidence sur la précision de ces produits dérivés.
Le graphique ci-dessous illustre l'impact relatif des éoliennes (ou des parcs éoliens) sur les radars et les prévisionnistes NEXRAD en fonction de la distance (sur un terrain plat) si les éoliennes sont dans le RLOS.
RépondreSupprimer-voir graphique sur site -
Les impacts augmentent considérablement lorsque les éoliennes sont situées plus près du radar, en particulier dans un rayon de 18 km (en supposant un terrain plat), car les solutions de contournement des opérateurs radar deviennent plus difficiles. Les turbines situées à au moins 18 km du radar n'ont généralement d'impact que sur le balayage radar le plus bas à une élévation de 0,5 degré, et le fouillis est confiné à la zone du parc éolien. Dans un rayon de 18 km, les éoliennes causent des impacts supplémentaires, notamment: échos parasites sur de multiples balayages d'altitude au-dessus de 0,5 degré, échelonnement par trajets multiples des éoliennes et impacts plus importants sur les algorithmes radar. La diffusion par trajets multiples des éoliennes peut prolonger les données contaminées jusqu'à 40 km au-delà du parc éolien. Les turbines situées à moins de 4 km du radar peuvent également causer une atténuation / blocage significatif (> 10%) du faisceau radar qui influe sur les données sur toute la gamme (réflectivité de 460 km, vitesse de 300 km) du radar. Lorsque les turbines sont situées à moins de 200 m, le personnel de construction ou d'entretien peut être exposé à une énergie micro-ondes supérieure aux seuils OSHA (Occupational Safety and Health Administration). Les distances ci-dessus supposent un terrain plat et un profil d'indice de réfraction de l'atmosphère standard. Par conséquent, les impacts réels peuvent se produire plus près ou plus loin du radar que ce tableau n'indique en fonction du terrain et de la réfraction atmosphérique actuelle. La détermination précise des RLOS et des distances d'impact nécessite une analyse détaillée site par site.
Vous pouvez vous demander pourquoi nous ne pouvons pas filtrer ce fouillis puisque nous savons où se trouvent les parcs éoliens. Le NEXRAD dispose d'un système sophistiqué d'élimination des échos parasites. Étant donné que la météo est habituellement en mouvement, le système a été conçu pour filtrer les retours qui ont essentiellement peu ou très peu de mouvement. Ceci est efficace pour supprimer les signaux renvoyés du terrain, des bâtiments et d'autres structures immobiles. Cependant, le radar voit les pales d'une éolienne en rotation comme des cibles ayant un mouvement, donc traite ces retours comme des conditions météorologiques. À l'heure actuelle, il n'existe aucun système de filtrage permettant d'identifier et de supprimer le fouillis des éoliennes tout en préservant les retours météorologiques réels.
L'encombrement de l'éolienne n'a pas eu d'impact négatif majeur sur les opérations de prévision ou d'alerte. Cependant, avec des éoliennes de plus en plus grandes, les radars dans certaines parties du pays auront plusieurs parcs éoliens dans leur ligne de vue. Des impacts négatifs cumulatifs devraient être anticipés - ce qui, à un moment donné, pourrait devenir suffisant pour compromettre la capacité des utilisateurs de données radar à accomplir leurs missions.
Exemples d'encombrement des éoliennes
Affichage agrandi des données contaminées par le WTC à Fort Drum NEXRAD
RépondreSupprimerL'image ci-dessus est un produit de réflectivité à élévation de 0,5 degré zoomé du Ft Drum, NY NEXRAD. Il y a un grand parc éolien à proximité avec des turbines orientées du nord au sud-est du radar. Les turbines sont suffisamment proches (à moins de 18 km) pour provoquer une diffusion parasite par trajets multiples qui s'étend bien au-delà du parc éolien et contamine les données à plusieurs angles d'élévation de balayage.
- voir graphique sur site -
Affichage des données contaminées par le WTC à partir du Dyess AFB, TX NEXRAD
Séquence (de gauche à droite) d'images de réflectivité de 0,5 degré montrant des orages se développant sur un parc éolien (rectangle violet) à 18-30 km (10-16 nm) à l'ouest de Dyess AFB, TX WSR-88D. À gauche: les orages ne se sont pas encore développés, les valeurs de réflectivité élevées dues aux seules éoliennes. Milieu et Droite: la tempête s'est développée à l'endroit où dans l'image de droite une structure distincte d'entaille, indicative du temps violent, formée - note: les échos de turbine et de temps indiscernables.
Ce produit d'accumulation de précipitation totale des précipitations, estimé par radar, du Dodge City, Kansas NEXRAD, le 22 avril 2010 à 14 h 03 GMT, montre comment les parcs éoliens peuvent avoir un impact sur les produits dérivés des radars. Les accumulations de précipitations totales des précipitations estimées par le radar erronées de 4+ pouces (indiquées par les flèches) dans l'image de gauche sont dues aux parcs éoliens situés au nord-est et au sud-ouest du NEXRAD. Les accumulations anormales rendent plus difficiles les estimations des précipitations sur une zone / bassin hydrographique. Cependant, les opérateurs radar peuvent appliquer des zones d'exclusion pour atténuer ces accumulations anormales, comme on le voit sur la droite. (Les algorithmes de précipitations radar n'utilisent pas les retours de la zone d'exclusion pour accumuler les précipitations.)
- voir grafrique sur Churchill -
Dodge City, KS NEXRAD (KDDC), images de réflectivité (en haut à droite) et de vitesse radiale moyenne (en bas à droite) pour 0150 UTC le 23 février 2007 montrant deux parcs éoliens dans la ligne de vue du radar. La zone jaune dans l'image en haut à gauche représente les zones où la ligne de visée radar se trouve à moins de 130 m du sol. Les valeurs de réflectivité et de vélocité sont anormales et peuvent perturber les utilisateurs. Le panneau inférieur gauche montre les effets du parc éolien sur le sud-ouest dont l'influence a provoqué une fausse alerte de tornade générée par les algorithmes NEXRAD. Le Bureau des prévisions météorologiques n'a pas émis d'avertissement parce que, dans ce cas, d'autres données indiquaient qu'il n'y avait pas de mauvais temps dans la zone du parc éolien.
En 2016, le NWS a élaboré un plan visant à prévenir le mauvais emplacement des futures installations de radars météorologiques à proximité des parcs éoliens:
https://www.roc.noaa.gov/WSR88D/WindFarm/Analyses.aspxwid=dev
RépondreSupprimerSur la base de la proposition de ferme éolienne reçue par le COR, le COR fournit une analyse au cas par cas des impacts potentiels des parcs éoliens sur les données WSR-88D et les opérations de prévision / d'alerte. Le COR utilise une base de données de système d'information géographique (SIG) qui utilise les données de la mission de topographie radar de la navette spatiale pour créer une carte RLOS avec des zones délimitées correspondant à une hauteur de turbine de 160 m AGL. Plusieurs angles d'élévation radar sont considérés pour les projets proches du radar.
Le COR effectue ensuite une analyse météorologique et technique en utilisant: la distance entre le radar et les turbines; hauteur maximale des extrémités des aubes de turbine; le nombre d'éoliennes; azimuts radar impactés; élévation de l'antenne WSR-88D à proximité; un écart moyen de largeur de faisceau de 1,0 degré; et terrain (base de données SIG). A partir de ces données, le ROC détermine si le faisceau radar principal intersecte une tour ou une aube de turbine sur la base du profil d'indice de réfraction de l'atmosphère standard.
Enfin, le ROC évalue les impacts opérationnels en fonction de l'intrusion des aubes de turbine dans les RLOS, du nombre d'inclinaisons de radar affectées par les éoliennes, de l'emplacement et de la taille du parc éolien, du nombre de turbines, de l'orientation du radar. vs alignement azimutal), la climatologie du temps violent et l'expérience opérationnelle. Le COR compare également le parc éolien à d'autres parcs éoliens en exploitation pour estimer les impacts.
Le problème est abordé à travers un cours de formation NWS, qui est ouvert au public ici:
https://training.weather.gov/wdtd/modules/windfarms/
Ici, ils parlent du problème, quand les lames tournent, les algorithmes ne peuvent pas supprimer le faux signal. Mais quand les lames sont stationnaires, ils peuvent. Le problème est que le radar Doppler est conçu pour détecter le mouvement, ou plus précisément, le mouvement de tempête.
Et leur pire cauchemar:
Et il y a plus. En 2007, une présentation a été faite sur le parc éolien de Weatherford en Oklahoma:
Parc éolien de Weatherford Parc éolien de Blue Canyon L'apparence des parcs éoliens OK varie selon l'heure et la propagation du faisceau radar.
http://slideplayer.com/slide/5027130/
Notez les deux échos stationnaires dans les parties gauche et inférieure gauche de l'animation. Ce sont les parcs éoliens de Weatherford (le long de l'Interstate) et de Blue Canyon
Bien que cela puisse être une nouvelle pour Watertown, les bureaux de NWS à travers le pays ont traité ce problème pendant un certain temps. Il convient de noter qu'il n'y a pas un seul document mentionnant le brouillage radar causé par les centrales au charbon, nucléaires ou hydroélectriques.
https://wattsupwiththat.com/2018/04/29/noaa-nws-document-wind-turbines-affect-weather-radar-create-false-storm-impressions/
(...) À l'heure actuelle, il n'existe aucun système de filtrage permettant d'identifier et de supprimer le fouillis des éoliennes tout en préservant les retours météorologiques réels. (...) !!!
SupprimerMOBILITÉ PROFESSIONNELLE : POUR 60 % DES FRANÇAIS, C'EST LE SALAIRE AVANT TOUT
RépondreSupprimerpar ANTON KUNIN
29/04/2018 233 1
Parmi les Français qui ont vécu ou envisagent une mobilité, le premier critère de décision est le salaire (59 %), devant le désir d’avoir un meilleur équilibre vie privée / vie professionnelle (48 %) et le besoin de changer d’environnement de travail (47 %), apprend-t-on d’un sondage IFOP pour Monster.
Pour la majorité des Français, partir n’est pas une fin en soi
Partir dans une autre région de France voire à l’étranger : pour nos concitoyens, ce choix est motivé avant tout par une recherche d’une meilleure qualité de vie. L’envie d’exercer un métier qui corresponde davantage à ses aspirations et le souhait d’acquérir de nouvelles compétences sont également des motivations importantes qui poussent les Français à changer de lieu de vie. La mobilité géographique se pense donc comme un moyen de répondre à ces motivations et non comme une fin en soi : une minorité seulement évoque comme première motivation l’envie de partir dans une autre région de France (25 %) ou à l’étranger (14 %), révèle un sondage IFOP pour Monster.
Les régions les plus prisées pour un renouveau professionnel sont la Provence-Alpes-Côte-d’Azur (40 % des sondés), la Nouvelle-Aquitaine (35 %) et la Bretagne (32 %). Malgré son dynamisme économique, l’Ile-de-France ne ressort qu’en sixième position et n’est perçue comme attractive que pour 1 salarié sur 10.
Pour 6 Français sur 10, la mobilité professionnelle a été une expérience positive
Mais la mobilité professionnelle n’est pas envisageable pour tout le monde, et des appréhensions persistent à ce sujet. Le contexte politique est encore perçu comme peu ou pas favorable à la mobilité professionnelle par 6 Français sur 10 (62 %), même si l’on constate un léger mieux par rapport à 2017 : à l’époque, 66 % des personnes interrogées étaient de cet avis. La perception de la difficulté de changer d’entreprise est citée par 65 % des personnes interrogées, malgré là aussi une amélioration par rapport à 2017 (+9 points). Finalement, seuls 20 % des personnes interrogées envisagent la mobilité comme un ingrédient nécessaire à l’adaptation au marché du travail.
Parmi les Français qui ont déjà vécu une mobilité professionnelle, 62 % en tirent un bilan positif, là où plus d’un quart souligne une expérience mitigée (27 %) et 11% une expérience complètement négative. À noter que les 18-24 ans sont plus nombreux que la moyenne à identifier des conséquences positives de la mobilité vécue.
http://www.economiematin.fr/news-mobilite-professionnelle-depart-changer-region-partir-sondage
La pipe à 9,90€ au boit du Boulogne passe à 2,99€ € aux Champs Elysée !
SupprimerHAUSSE DE 0,4% DES TARIFS RÉGLEMENTÉS DU GAZ AU 1ER MAI
RépondreSupprimerpar OLIVIER SANCERRE
28/04/2018 332 3
Engie va procéder à une hausse non modérée des tarifs réglementés du gaz le 1er mai. Certes, ce n'est jamais une bonne nouvelle pour les foyers qui consomment du gaz pour leur chauffage, leur eau chaude, ou les deux…
La hausse moyenne des tarifs réglementés du gaz fourni par Engie s'établira à 0,4% à compter du 1er mai. Comme toujours, cette hausse varie en fonction de l'usage que les consommateurs ont du gaz. Ainsi, pour ceux qui cuisinent au gaz, la facture augmentera de 0,1% seulement. Pour les foyers où le gaz est utilisé dans le cadre de la cuisson et du chauffage, la hausse des tarifs réglementés sera de 0,2%. Enfin, pour ceux qui se chauffent au gaz, le prix du gaz sera de 0,4%. Fort heureusement, la météo particulièrement clémente devrait réduire la consommation de gaz à l'usage du chauffage.
Hausse modérée
Cette hausse, modérée comme on le voit, est à relativiser. Car depuis le 1er janvier 2015, les tarifs réglementés du gaz ont baissé de manière assez importante : en moyenne, de 14,4%. Un chiffre qui donne à réfléchir, alors qu'un peu plus de la moitié des ménages français profitent des tarifs réglementés de cette énergie. La formule de calcul des prix du gaz reposent en grande partie sur deux indices mensuels.
Deux indices dans la formule de calcul
Le premier et le plus important, c'est celui du marché de gros des Pays-Bas ; le second, c'est celui du marché français PEG Nord. Ces deux indices sont en progression en mai, par rapport au mois d'avril. Depuis juillet 2017, ces indices représentent 82,1% dans le calcul des coûts d'approvisionnement d'Engie. Les tarifs réglementés du gaz sont en sursis : le Conseil d'État a en effet jugé qu'ils étaient contraires au droit de l'Union européenne.
http://www.economiematin.fr/news-hausse-tarifs-reglementes-gaz-1er-mai
ORANGE ET BOUYGUES TELECOM N'AFFICHAIENT PAS LE VRAI PRIX DE LEURS ABONNEMENTS INTERNET
RépondreSupprimerpar OLIVIER SANCERRE
28/04/2018
Les deux opérateurs écopent d'une amende de 315 000 euros chacun.
Orange et Bouygues Telecom n'ayant pas respecté les règles d'affichage des « vrais » prix de leurs abonnements internet, ils écopent d'une amende de 315 000 euros chacun.
La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a décidé de frapper fort contre les deux opérateurs ayant contrevenu à l'obligation qui leur est fait d'afficher les prix réels de leurs abonnements à internet. Les fournisseurs d'accès ont omis d'intégrer à leurs tarifs le coût de la box, proposé sous la forme d'une location mensuelle. Le client ne pouvait donc pas comparer équitablement les offres des uns et des autres.
Tarifs incomplets
Orange et Bouygues Telecom « communiquaient systématiquement leurs tarifs de manière incomplète en n'intégrant pas le coût de la location de la box dans la somme mise en avant », déplore la DGCCRF dans un communiqué. La Direction de la répression des fraudes avait prévenu les opérateurs contrevenants en août dernier, en leur laissant jusqu'au 1er février 2018 pour respecter les règles d'affichage. Free n'a pas été inquiété, l'opérateur remplissant déjà cette obligation ; SFR s'est de son côté mis en règle en temps et en heure.
Image de marque
Mais Orange et Bouygues Telecom, qui fournissent un accès internet à respectivement 11,5 millions et 3,3 millions de clients, sont passés outre. Ils écopent donc d'une amende importante et leur image de marque en prend un coup dans la foulée, ce qui est sans doute le plus coûteux pour les deux entreprises.
http://www.economiematin.fr/news-orange--bouygues-telecom-affichaient-pas-prix-abonnements-internet
Ils auraient piraté les images affichées par les casques de réalité virtuelle
RépondreSupprimerMarc Zaffagni
Futura Tech
jeu., 19 avr. 2018 09:27 UTC
Des chercheurs américains ont démontré qu'il est possible de prendre le contrôle d'un casque de réalité virtuelle à l'aide d'un malware et d'altérer les contenus que voit l'utilisateur.
Est-il possible de pirater un casque de réalité virtuelle et de modifier les repères visuels au point de pousser son utilisateur à aller se cogner dans les murs ou d'autres obstacles environnants ? La réponse est oui, du moins selon les conclusions d'une équipe de chercheurs de l'université de New Haven dans le Connecticut (États-Unis) qui ont testé les défenses des deux modèles les plus connus : l'Oculus Rift (Facebook) et le Vive d'HTC.
Ces deux casques de réalité virtuelle ont été infectés par un malware propagé sur l'ordinateur auquel ils étaient connectés via un courriel piégé. « Ils - les casques Oculus-d'en-ton-cul - Rift et HTC Vive, NDRL) ont été conçus avec peu de considération pour la sécurité et se reposent complètement sur la sécurité du système d'exploitation et de l'utilisateur », estime l'un des chercheurs.
Les frontières virtuelles manipulées
L'attaque qui a servi de preuve de concept à ces travaux a été menée en ciblant le kit de développement OpenVR utilisé par la plateforme de jeux vidéo en streaming Steam. Les chercheurs ont ainsi découvert un accès non chiffré aux caméras, écrans et systèmes de frontières virtuelles des casques. Ces dernières servent à empêcher l'utilisateur de heurter des obstacles physiques dans le lieu où il se trouve.
Dans l'une des démonstrations, les assaillants ont réussi à modifier ces frontières pour faire traverser la pièce à un joueur alors que dans le jeu, il croyait être immobile. L'attaque a réussi à fausser les barrières virtuelles du casque Vive, mais pas celles de l'Oculus. Cette étude a fait l'objet d'un article scientifique déjà publié tandis qu'un second est en cours de relecture par des pairs. Ces travaux seront présentés le mois prochain lors du Symposium on Security and Privacy de l'IEEE.
-- Commentaire : On peut aussi se demander si les attaques ne pourraient pas être plus subtiles et servir à envoyer des messages subliminaux non désirés au cerveau --
https://fr.sott.net/article/32314-Ils-ont-pirate-les-images-affichees-par-les-casques-de-realite-virtuelle
Comment les pirates pourraient provoquer le chaos sur les routes et chemins de fer américains
RépondreSupprimer27 avril 2018
par Jenni Bergal, Stateline.org
Lorsque les pirates ont frappé le ministère des Transports du Colorado lors d'une attaque de ransomware en février et huit jours plus tard, ils ont perturbé les opérations de l'agence pendant des semaines.
Les fonctionnaires de l'État ont dû fermer 2 000 ordinateurs et les employés des transports ont été contraints d'utiliser un stylo et du papier ou leurs appareils personnels au lieu de leur ordinateur de travail. Les membres du personnel dont les ordinateurs étaient infectés n'avaient pas accès à leurs fichiers ou données, sauf s'ils étaient stockés sur Internet, et l'attaque affectait le système de paie et les contrats des fournisseurs.
Cela aurait pu être bien pire: les hacks du Colorado n'affectaient pas les feux de circulation, les caméras ou les forums électroniques, et les responsables des technologies de l'information, qui refusaient de payer la rançon, ont déclaré que le système avait été restauré à 95% la semaine dernière.
Selon les experts en cybersécurité, les systèmes de transport sont des cibles bien choisies pour les cybercriminels, et de nombreux responsables gouvernementaux étatiques et locaux ne font que se réveiller à la menace et se rendent compte qu'ils doivent renforcer leurs défenses.
"Une cyberattaque ou une menace pourrait affecter tout, du transport municipal au train à grande vitesse qui opère entre les villes", a déclaré Srini Subramanian, responsable de la cybersécurité de l'État au cabinet de conseil Deloitte & Touche LLP. "Cela pourrait créer des accidents ou du chaos sur les autoroutes ou même dans les rues de la ville."
Les incidents du Colorado ont des responsables des transports, qui s'occupent normalement de questions plus courantes, en pensant plus sérieusement à la sécurité du système.
«Les DOT sont traditionnellement construits autour de la construction et de l'entretien de l'asphalte et du béton», explique Alan Davis, assistant ingénieur de trafic pour l'agence de transport en Géorgie, qui fait partie du panel national sur les meilleurs moyens de préparer les systèmes de transport pour les cybermenaces. . "Mais il y a aussi cet autre monde qui exploite cette infrastructure, ce monde est nouveau pour beaucoup de DOT."
En février, le secrétaire du ministère des Transports du Maryland, Pete Rahn, a déclaré lors d'une réunion de l'American Association of State Highway & Transportation que les brèches de sécurité sont une préoccupation majeure pour son agence de transport, ses autoroutes, ses péages, ses ports et ses aéroports. administration de véhicules à moteur.
Si les hackers entrent dans le réseau, il a déclaré: «ils peuvent jouer avec nos trains, les feux de circulation, les panneaux de messages variables, nous n'avons jamais eu à penser à ces choses auparavant.
Les peurs de Rahn ne sont pas exagérées.
RépondreSupprimerIl n'est pas rare que les pirates prennent le contrôle des panneaux de messagerie électronique sur les routes, souvent en guise de blague. Certains afficheront un langage obscène, des blagues ou des messages personnels. Habituellement, ils accèdent aux signes à distance via une connexion réseau dans laquelle un mot de passe peut ne pas être réinitialisé ou même utilisé.
Mais le piratage dans un système de transport peut avoir des conséquences plus graves. En 2008, un informaticien de 14 ans a utilisé un appareil pour pirater un système de tramway en Pologne, faisant dérailler plusieurs trains et blessant au moins une douzaine de personnes.
Les gouvernements locaux et locaux font face à des menaces croissantes de la part des hackers et des cybercriminels, notamment ceux qui utilisent des rançongiciels: logiciels malveillants qui piratent les systèmes informatiques, chiffrent les données et verrouillent les machines, les tenant en otage jusqu'à ce que les victimes paient une rançon ou restaurent les données.
En 2016, une attaque de ransomware a frappé le système de train léger de San Francisco, perturbant son système informatique et son courrier électronique. Les pirates ont demandé environ 73 000 $ en bitcoin pour déverrouiller les ordinateurs de l'agence, que l'Office des transports municipaux a refusé de payer. Par mesure de précaution, il a éteint les distributeurs de billets et les barrières tarifaires dans ses gares, permettant aux clients de circuler gratuitement pendant une partie du week-end.
L'automne dernier, l'agence de transport régional de Sacramento a été frappée par une attaque de rançongiciels, lui demandant de payer un seul bitcoin, d'une valeur d'environ 8 000 $, pour reprendre le contrôle de son site Web. Le service de transport en commun s'est poursuivi, mais le site Web a mis deux jours à être restauré, et les représentants municipaux ont rencontré les responsables de la sécurité fédérale.
Atlanta a été dévasté par une attaque de ransomware en mars qui a paralysé plusieurs bureaux de la ville et interrompu les services. Les résidents ne pouvaient pas payer les factures ou les contraventions en ligne, la cour municipale ne pouvait pas voir les cas, la police devait déposer des rapports sur papier et les détenus devaient être réservés à la main.
De nombreuses cyberattaques contre l'État et les gouvernements locaux ont perturbé les opérations quotidiennes ou ciblé les données personnelles de millions de résidents. Mais les experts en cybersécurité et les responsables des transports avertissent que dans le monde numérique d'aujourd'hui, où tout, des feux de circulation et des capteurs routiers aux trains et aux ports, est connecté aux réseaux informatiques, comme les véhicules autonomes, les pirates pourraient faire beaucoup plus de dégâts.
"Il y a une réelle inquiétude à ce sujet dans les DOT d'état car tout devient de plus en plus connecté", a déclaré Doug Couto, consultant en cybersécurité et transport et ancien responsable de l'information pour le département des transports du Michigan. "Tout ce qui se passe sur un réseau ou sur Internet devient vulnérable aux pirates informatiques.
"Nous devons nous prémunir contre les cyberattaques parce qu'elles augmentent de façon exponentielle", a déclaré M. Couto. "Il serait juste de dire qu'ils n'y avaient pas beaucoup pensé dans les DOT."
La Géorgie de Davis a déclaré que les centres d'opérations de la circulation des États, qui surveillent les feux de circulation, les panneaux de messages électroniques et les unités de réponse aux incidents qui aident les automobilistes handicapés, pourraient être paralysés par les cybercriminels.
RépondreSupprimerIl a déclaré que son agence, qui possède son propre département informatique et son équipe de cybersécurité, a renforcé ses défenses contre les pirates informatiques. Il pense que c'est une bonne idée pour les agences de transport d'État d'avoir leur propre personnel informatique et informatique afin qu'ils n'aient pas à partager un réseau commun avec d'autres agences et puissent être protégés si le système étatique est violé.
De nombreuses agences de transport, y compris celles du Colorado, sont regroupées dans des services informatiques de l'État qui s'occupent de la cybersécurité, ou disposent d'une configuration hybride dans laquelle l'informatique est centralisée, mais les agences peuvent avoir un cyber analyste.
Et de nombreux responsables informatiques de l'état pensent qu'il est préférable pour un département à l'échelle de l'Etat de gérer l'ensemble du réseau, à la fois pour l'efficacité et pour s'assurer que chaque agence est également prête pour les cybermenaces.
Quel que soit l'endroit où se trouve le département informatique, les responsables affirment que le financement de la cybersécurité reste un défi majeur pour les gouvernements des États. Un sondage réalisé en 2016 auprès de hauts responsables de la sécurité informatique de 48 États a révélé que dans la plupart des États, les dépenses consacrées à la cybersécurité représentaient une fraction du budget informatique global, allant de zéro à 2%.
Un autre défi pour les agences de transport d'État est de savoir comment protéger l'information lorsque l'on travaille avec les gouvernements locaux sur des projets de transport régional, a déclaré Davis. Le partage d'informations sur des réseaux qui ne sont pas entièrement sécurisés peut rendre les agences vulnérables aux pirates informatiques.
"Vous pouvez construire un mur le plus haut possible de votre côté, mais ils peuvent contourner ce mur de l'autre côté", a-t-il dit. "Quand Atlanta a eu son attaque de ransomware, je me suis dit, 'Euh-oh-quel est notre lien avec la ville? Il s'est avéré que nous allions bien, mais c'était alarmant. "
https://phys.org/news/2018-04-hackers-chaos-america-roads-railways.html#jCp
Supprimer(...) Si les hackers entrent dans le réseau, il a déclaré: «ils peuvent jouer avec nos trains, les feux de circulation, les panneaux de messages variables, nous n'avons jamais eu à penser à ces choses auparavant. (...)
Hahahaha ! Idem que pour les cartes bancaires (Çà alors !) et les comptes en banques ! (Çà alors !)
Maduro dit que le Venezuela recevra une injection de 1 milliard de dollars de la vente 'bitcoin'
RépondreSupprimer27 avril 2018
Le gouvernement vénézuélien, confronté à une crise de liquidité qui s'aggrave, va libérer 1 milliard de dollars dans l'économie grâce à la vente du pétro, sa nouvelle crypto-monnaie, a déclaré le président Nicolas Maduro.
S'exprimant tard jeudi, il a déclaré que l'objectif était de stimuler les réserves internationales du pays et ses réserves de devises étrangères et d'arrêter la hausse du dollar du marché noir.
Malgré les plus importants gisements de pétrole brut prouvés au monde, les réserves de change du Venezuela ont diminué à 9,7 milliards de dollars alors que cette dernière doit rembourser quelque 8 milliards de dollars cette année.
Maduro a indiqué que les ventes de la nouvelle cyber-monnaie du petro-Venezuela, lancée en février, avaient apporté 3,3 milliards de dollars dans les caisses de l'Etat, dont 1,7 milliard de dollars pour l'importation de produits alimentaires, médicaux et industriels.
Sur les 1,6 milliard de dollars restants, 1 milliard serait transféré vendredi à la Banque centrale du Venezuela "pour des ventes aux enchères de devises et pour continuer à lutter contre le diable", a t-il dit en se référant au soi-disant "dollar noir".
Luttant pour surmonter les pénuries chroniques de liquidités et accablé par les sanctions américaines, le Venezuela a lancé la première crypto-monnaie soutenue par le gouvernement dans l'espoir que cela mènerait la nation déchirée par la crise hors des forêts financières.
Les difficultés économiques du Venezuela ont beaucoup à voir avec l'effondrement du prix du pétrole ces dernières années, qui représente environ 96 % des recettes du pays.
Les sanctions économiques américaines ont également eu un lourd tribut.
Le gouvernement du Venezuela a accusé l'opposition, les Etats-Unis et la Colombie d'avoir mené une "guerre économique" contre le pays afin de renverser Maduro.
Il a également attribué la crise de liquidité du pays aux mafias accumulant des liquidités afin de spéculer.
La semaine dernière, le FMI a déclaré que l'effondrement économique du Venezuela était l'un des pires de l'histoire moderne, avec une hyperinflation massive qui devrait voir les prix grimper de 13 000 % cette année.
https://phys.org/news/2018-04-maduro-venezuela-bn-bitcoin-sale.html#jCp
L'Australie promet un demi-milliard pour restaurer la Grande Barrière de Corail
RépondreSupprimer29 avril 2018
Des scientifiques ont déclaré que le récif avait subi une «mort catastrophique» des coraux au cours d'une vague de chaleur prolongée en 2016
L'Australie a promis un demi-milliard de dollars pour restaurer et protéger la Grande Barrière de Corail Dimanche, ce qui, selon elle, changerait la donne pour la merveille naturelle, mais les défenseurs de l'environnement n'étaient pas convaincus.
Le site classé au patrimoine mondial, qui attire des millions de touristes, souffre d'importantes épisodes de blanchissement des coraux dus au réchauffement de la mer lié au changement climatique.
Il est également menacé par l'étoile de mer de la couronne d'épines mangeuse de corail, qui a proliféré en raison de la pollution et du ruissellement agricole.
Le Premier ministre Malcolm Turnbull a déclaré que plus de 500 millions de dollars australiens (400 millions de dollars) iraient à l'amélioration de la qualité de l'eau, à la lutte contre les prédateurs et à l'expansion des efforts de restauration. Turnbull a déclaré qu'il s'agissait du «plus grand investissement jamais réalisé - pour protéger le récif, assurer sa viabilité et les 64 000 emplois qui dépendent du récif».
"Nous voulons assurer l'avenir du récif au profit de tous les Australiens, en particulier ceux dont les moyens de subsistance dépendent du récif", a-t-il ajouté.
Le récif est un atout national essentiel, contribuant 6,4 milliards de dollars australiens par an à l'économie australienne.
Canberra a déjà engagé plus de 2,0 milliards de dollars australiens pour protéger le site au cours de la prochaine décennie, mais a été critiquée pour son soutien à un énorme projet de charbon par le géant minier indien Adani à proximité.
Avec son utilisation intensive de l'énergie au charbon et sa population relativement faible, l'Australie est considérée comme l'un des pires pollueurs de gaz à effet de serre par habitant au monde.
Canberra insiste sur le fait qu'elle prend des mesures énergiques pour faire face à la menace mondiale du changement climatique, ayant fixé un objectif ambitieux pour réduire les émissions de 26 à 28 % par rapport aux niveaux de 2005 d'ici 2030.
Turnbull a déclaré qu'une partie de l'argent sera utilisée pour atténuer les impacts du changement climatique, mais n'a donné aucun détail.
Les défenseurs de l'environnement ont déclaré que si le financement était «une étape importante», la plus grande menace pour le récif était le réchauffement de la planète et pas assez pour le combattre en adoptant une énergie propre.
"La science est bien consciente de ce qui tue le corail, c'est la chaleur excessive provenant de la combustion de combustibles fossiles", a déclaré Bill McKibben, fondateur du mouvement mondial pour le climat de base 350.org.
"Promouvoir simultanément la plus grande mine de charbon du monde (Adani) tout en prétendant se préoccuper du plus grand récif du monde est un exploit acrobatique que seul un politicien cynique tenterait".
RépondreSupprimerLe chef de la Fondation australienne pour la conservation, Kelly O'Shanassy, a accepté.
"Nos représentants élus ne peuvent pas avoir les deux sens", a-t-elle déclaré. "Le changement climatique est la menace numéro un à la Grande Barrière de Corail et seule une action concertée pour réduire la pollution la protégera pleinement."
Récif résilient
La majeure partie du nouveau financement - un peu plus de 200 millions de dollars australiens - a été affectée à l'amélioration de la qualité de l'eau en modifiant les pratiques agricoles et en adoptant de nouvelles technologies et la gestion des terres.
«L'argent ira à l'amélioration de la qualité de l'eau, en travaillant avec les agriculteurs pour empêcher les sédiments, l'azote et l'écoulement des pesticides dans le récif», a déclaré le ministre de l'Environnement, Josh Frydenberg.
"Cela nous permettra de nous attaquer à la couronne d'épines ... et d'utiliser la meilleure science disponible pour nous assurer que notre corail résiste à la chaleur et à la lumière."
Il a dit que le gouvernement travaillerait avec les propriétaires aborigènes traditionnels, l'industrie du tourisme, les fermiers et les scientifiques, pour sauver le récif, appelant l'engagement "un changeur de jeu".
Plus tôt ce mois-ci, les scientifiques ont déclaré que le site avait subi une «mort catastrophique» des coraux au cours d'une vague de chaleur prolongée en 2016, menaçant une plus grande étendue de vie récifale que ce que l'on craignait auparavant.
Une étude de la revue Nature indique que 30 % des coraux du récif ont péri, le premier d'une période sans précédent de blanchissement corallien, le long du récif de 2 300 kilomètres.
https://phys.org/news/2018-04-australia-pledges-billion-great-barrier.html#jCp
L'effondrement (?)
RépondreSupprimermardi 25 mars 2014
D'abord (et règle n°1): supprimer les prédateurs autres que les humains, car, en matière de concurrence féroce, certains gros poissons nous ôtent le caviar de la boite ! et encore là, je ne parle pas des bestioles qui volent (en tout sens du terme) et qui s'appellent Mouettes, Albatros, ou Hirondelles de mer et consorts. Secundo, s'occuper des animaux sauvages de types carnassiers qui prélèvent pour nous des gigots de gazelles qui manquent après sur les tables. Là, déjà, nous avons fait un bon bout de chemin dans l'auto-suffisance au rayon consommateurs. Ainsi, en l'absence de candidats à manger en nos assiettes, peuvent se développer (élevages ?) des viandes sélectionnées.
Ainsi, dès lors que nous savons tous que 16 porte-containers polluent plus que toutes les voitures du monde ( http://huemaurice7.blogspot.fr/2009/12/16-porte-containers-polluent-plus-que.html) et que le nombre de 'porte-containers' qui sillonnent le globe est bien plus important que cela, et, que ces derniers seraient susceptibles de nous apporter de 10.000 km ce que nous avons déjà tout sur place, et que les serres ne sont pas faites pour les chiens, ni la bonne information non plus, l'on pourrait donc par cette compréhension envisager de faire des économies.
Ainsi, comme l'énergie se ferait rare, il serait temps de penser à mettre de larges roues à aubes sur les fleuves et rivières afin d'exploiter cette énergie gratuite, éternelle et non polluante qui alimenteront (entr'autres) nos chères imprimantes 3D qui nous permettent de fabriquer sur place ce que nous étions obligés d'aller chercher 'au bout du monde' !
Ajoutons à cela que si les fonctionnaires ne sont plus payés à rien foutre ils auront encore la possibilité de découvrir le travail à la ferme en plantant des salades et vivre enfin du fruit de leurs efforts. Notons que la présence quotidienne de chemtrails a permis entr'autres la baisse de fertilité masculine et donc, que moins il y a d'enfants... plus il y a de vieux. Mais, comme ces 'vieux' ont cotisé toute leur vie et que les caisses de retraite... sont vides, l'explication de la mise en place de robots valides en pleine forme et surtout armés pour contrer toutes rebellions est arrivé juste à temps.
Donc, face aux réalités que le pétrole abiotique est éternel et que l'eau ne manquera jamais et qu'elle ressort propre toute seule aux sources, l'Administration aux bras qui tombent s'est-elle résolue à ne plus savoir que faire face aux têtes pleines qui les dépassent et aux conflits de gestion où les citoyens osent répondre !
Donc, les 'autorités' se voyant dépassées, ont-elles choisi de commencer l'hégémonie d'éclaircissage par des 'petites' guerres/épidémies où le nombre de morts réels sera plus proche de millions, car, après tout, le domaine du recensement ne leur appartient-il pas ?
Mais, à la lecture de tout cela, si l'on découvre la solution et qu'il n'y aurait donc plus à s'en faire, reste le problème pyramidal de la dette fabriquée par 'la majorité au pouvoir' ainsi que par 'son opposition qui la remplace'. D'où la planche-à-billets et les 'réserves d'or' qui sont vides (depuis belle lurette) et que... çà finit par se voir !
Donc, s'il y a 'effondrement' il ne peut qu'être du côté de ceux qui pompeusement se nomment 'élite' (Hahaha !), et non du côté des citoyens lamda qui eux... s'en sortiront toujours !
http://lebulldozerdanslatete.over-blog.com/article-l-effondrement-123092234.html
L’apparition de la vie sur Terre : une étape décisive franchie
RépondreSupprimer23 novembre 2017
Croire béatement en une intervention divine expliquant l’origine de la vie sur la Terre est une illusion et une attitude totalement anti-scientifique. Il y a des millions de milliards d’étoiles dans « notre » galaxie et il est tout aussi illusoire de considérer que la vie sur la Terre est un fait unique dans l’Univers. Tout l’univers est constitué des mêmes éléments chimiques que ceux retrouvés sur la Terre et il n’y a aucune raison pour que nous vivions sur une planète plus favorisée qu’une autre pour que les conditions favorisant l’apparition de la vie y aient été plus propices. Il y a eu la théorie de la génération spontanée démontée admirablement par Pasteur sur laquelle des générations de penseurs et de théologiens se sont raccrochés pour conforter leurs thèses relatives à une origine divine de la vie. Le vaste domaine de la chimie prébiotique va peut-être dans quelques années mettre aussi à mal cette idée insupportable pour un scientifique d’une origine divine de la vie.
La chimie prébiotique, c’est-à-dire pour simplifier l’étude de l’hypothèse de l’apparition de la vie dans les conditions qui prévalaient sur la Terre il y a 3 à 4 milliards d’années, reste toujours un domaine qui préoccupe les scientifiques. En effet arriver à expliquer par quel processus la vie est apparue sur la Terre mérite l’attention des chimistes, des biochimistes et des biophysiciens mais aussi des géologues et de leurs collègues géophysiciens. Pour imaginer une approche expérimentale à ce problème qui apporterait bien des réponses aux questions existentielles que l’on peut se poser il faut d’abord considérer quelle était la composition de l’atmosphère terrestre en ces temps reculés avant l’apparition de la vie. L’une des premières approches choisies fut la fameuse expérience de Stanley Miller (illustration, Wikipedia) réalisée en 1952. Elle consista à soumettre un mélange d’eau, de méthane, d’ammoniac et d’hydrogène à des décharges électriques et d’observer ce qui se passait au bout d’un certain nombre de jours, de semaines ou de mois. Les moyens d’investigation analytique étaient à l’époque rudimentaires et les petits tubes scellés laissés par Miller furent analysés à nouveau par un de ses étudiants après sa mort en 2007. Il apparut que la reconstitution de cette « soupe primordiale » propice à l’apparition de la vie comme l’avait imaginée Charles Darwin sous forme d’un marais chaud avait été un franc succès.
Aujourd’hui encore, en particulier à l’institut de recherche Scripps de La Jolla près de San Diego, tenter d’expliquer l’apparition de la vie reste la préoccupation majeure d’une équipe de chimistes qui ont en quelque sorte repris les expériences de Miller en les étendant à d’autres conditions comme par exemple la présence de sels minéraux, d’acide cyanhydrique et quelques autres éléments pouvant entrer dans la composition de l’atmosphère primitive de la Terre, composés qui sont présents dans l’univers. Il restait cependant un très gros problème à résoudre. Compte tenu du fait que tous les êtres vivants, depuis les bactéries jusqu’aux vertébrés en passant par le phytoplancton, nécessitent la présence de phosphore sous forme de phosphate, comment un tel éléments chimique a-t-il bien pu apparaître dans des composés relativement simples qui ont pu éventuellement évoluer vers des structures complexes résultant de processus d’auto-assemblage ? Dans de nombreuses voies de synthèse biologique le phosphate est d’une importance incontournable et il en est de même pour l’énergie des cellules vivantes avec notamment l’ATP (adénosine triphosphate) et la phosphocréatine dans les cellules musculaires. Ce dernier composé d’une extrême importance biologique contient d’ailleurs une liaison phosphore-azote. Ajouter du phosphate et une pincée de métaux comme du zinc ou encore du fer dans la reconstitution de la « soupe primordiale » ne permet pas de voir apparaître au cours du temps, parfois des semaines dans une épaisse solution dans l’eau de ces ingrédients, un quelconque métabolite phosphaté ou, comme disent les spécialistes, phosphorylé.
RépondreSupprimerC’est après un long cheminement que l’équipe du Docteur Ramanarayanan Krishnamurty de l’Institut Scripps a enfin découvert le chainon manquant qui permet d’obtenir toutes sortes de molécules biologiques d’importance contenant dans leur structure un groupement phosphate. Il s’agit d’un composé pouvant apparaître lorsque du cyclotriphosphate, appelé aussi métatriphosphate, se trouve en présence d’ammoniaque dans un milieu aqueux et ce n’est pas fortuit car dans certains environnements géologiques particuliers comme les sources chaudes d’origine volcanique la présence d’un tel processus chimique a été démontrée. Ce « chainon manquant » est le diamidophosphate (DAP, illustration Scripps).
- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerSachant maintenant avec certitude que l’expérience de Miller reprise et améliorée par la suite dans plusieurs laboratoires de recherche prébiotique permet l’apparition de la plupart des molécules d’importance biologique comme des sucres, des acides gras, pratiquement tous les amino-acides ainsi que les bases puriques et pyrimidiques qu’on retrouve dans l’ADN et l’ARN, du DAP a été mis en présence de tous ces métabolites. Avec une surprise indicible l’équipe de Ram Krishnamurty a constaté par analyse fine l’apparition de petits peptides, de brins d’acides nucléiques ou encore de phospholipides. Ces derniers, constituants fondamentaux des membranes cellulaires, forment spontanément des vésicules au cours de cette « incubation » parfois longue des ingrédients de la « soupe primordiale » comme s’il s’agissait de proto-cellules vivantes :
- voir graphique sur site -
Avec cette ébauche de vivant le temps a ensuite fait son travail et il y a peut-être trois milliards d’années, alors que la Terre était soumise à une intense activité volcanique et encore bombardée par des météorites, évènements favorisants l’apparition de ces constituants de la vie et du DAP qui pouvait se former dans un tel environnement et en présence d’eau, les premières cellules vivantes primitives se sont organisées et ont lentement évolué pour devenir celles que nous connaissons aujourd’hui. Comme tous les constituants du « vivant » se retrouvent dans l’Univers et par conséquent également sur la Terre et n’importe quelle autre planète gravitant autour de n’importe quelle étoile, la vie est très probablement apparue avec ces mêmes « briques » biologiques qui apparaissent lorsque ces conditions « primordiales » sont réunies. Contrairement à ce qu’affirmait Aristote le facteur temps a joué un rôle incontournable et ce temps a réconcilié en quelque sorte les deux facteurs nécessaires à l’apparition de la vie si chers à Jacques Monod, le hasard et la nécessité. Pour paraphraser Monod, le hasard a fait apparaître les éléments constitutifs du vivant qui se sont organisés avec le temps d’une façon telle qu’elle semble une nécessité pour l’apparition de la vie.
Sources : Scripps News Release du 6 novembre 2017 et aussi : Nature (doi : 10.1038/nchem.2878), article aimablement communiqué par le Docteur Ram Krishnamurty qui est très vivement remercié ici. Illustrations : Scripps Institute et Wikipedia
https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/11/23/lapparition-de-la-vie-sur-terre-une-etape-decisive-franchie/
https://huemaurice5.blogspot.fr/2017/11/lapparition-de-la-vie-sur-terre-une.html
À Yellowstone, le plus grand geyser du monde présente une activité suspecte
RépondreSupprimer20:23 29.04.2018
Le geyser Steamboat situé dans le parc national de Yellowstone aux États-Unis est entré en éruption trois fois en six semaines, notent les géologues qui affirment que cette activité est inhabituelle.
Le geyser Steamboat, considéré comme le plus grand geyser actif du monde à ce jour, présente ces derniers temps une intense activité, annoncent des géologues américains. Ils précisent qu'au cours des six dernières semaines, le geyser est entré en éruption trois fois, dont une la semaine dernière, et affirment qu'une telle fréquence est peu typique du Steamboat, rapporte Reuters.
Steamboat Geyser at Yellowstone National Park erupts for third time in six weeks https://t.co/2NeREhhWV7 pic.twitter.com/SeRkCeRBit
— CBS News (@CBSNews) 28 2018.
C'est dans le célèbre parc national de Yellowstone aux États-Unis que l'impressionnant spectacle de la nature se produit.
La réserve naturelle abrite également un immense volcan, mais les scientifiques assurent que les jets d'eau chaude ne présagent pas du tout une éruption volcanique à venir.
A few of my images of a small Steamboat Geyser eruption to go with the article I just tweeted. It’s a tough one to catch, very unpredictable. Yellowstone National Park pic.twitter.com/IUqcP8c9N3
— Capt. Cris Moore (@Pilot0360) 29 2018.
Une anomalie découverte au-dessous du super-volcan américain de Yellowstone
Yellowstone compte parmi les plus grands super-volcans du monde. C'est dans cette région que se produisent fréquemment des secousses sismiques et où l'activité géothermale est la plus forte du continent. Le Steamboat peut quant à lui s'élever jusqu'à 90 mètres de hauteur. Il est entré en éruption le 15 mars ainsi que les 19 et 27 avril. La dernière fois, trois éruptions similaires ont été enregistrées en 2003.
https://fr.sputniknews.com/societe/201804291036161315-yellowstone-geyser-erruption/
There is 1,328.85 km of distance between Yellowstone National Park and Los Angeles and there are 1,057 miles by road.
Supprimer«Les USA sont déterminés à réprimer la liberté d’expression incarnée par WikiLeaks»
RépondreSupprimer18:30 29.04.2018
WikiLeaks a appelé à un boycott global de Coinbase après la fermeture de son compte sur la plateforme d’échange de cryptomonnaies au motif de violation de règles financières des États-Unis sans que soit toutefois précisé de quelles règles il s’agissait au juste. Sputnik s’en est entretenu avec Greg Barns, de l’équipe juridique de Julian Assange.
La bourse d'échange de cryptomonnaies Coinbase a suspendu le compte de WikiLeaks sans avoir fourni d'explications pour justifier cette mesure, en avançant seulement une violation des règles financières américaines par la structure dirigée par Julian Assange, a rappelé Greg Barns à Sputnik.
«La démarche de Coinbase suscite une vive préoccupation. Nul doute que la plateforme d'échange de cryptomonnaies la plus populaire du monde a cédé à la pression, notamment de la part des États-Unis. Cela montre une fois de plus que les États-Unis sont déterminés à réprimer la liberté d'expression incarnée par WikiLeaks», a déclaré l'interlocuteur de l'agence.
Et de relever que des sociétés telles que Coinbase étaient cotées sur les marchés.
«Elles ont besoin de plus en plus de clients qui n'apprécient cependant pas les entreprises qui plient sous une pression politique, notamment sous celle des États-Unis», a poursuivi l'homme de droit.
Selon ce dernier, WikiLeaks a raison d'appeler à boycotter Coinbase, «un membre inapte de la communauté crypto», qui a bloqué les paiements dans le WikiLeaks Shop.
«Assange […] peut raconter beaucoup de choses au sujet des États-Unis. […] C'est un pays qui célèbre la liberté d'expression et le fait dans sa Constitution, mais en réalité la liberté d'expression y est strictement limitée et la situation ne cesse de se dégrader», a indiqué M.Barns.
Et de conclure qu'il ne s'agissait au fond que d'une des formes d'hypocrisie qui étaient très nombreuses aux États-Unis.
Coinbase a refusé d'offrir ses services à WikiLeaks, une décision qui a des conséquences importantes au niveau international et que l'ONG estime particulièrement injuste. Le WikiLeaks Shop est un site sur lequel il est possible d'acheter des t-shirts, posters, coques de téléphone et toutes sortes de produits à l'effigie de l'organisation. Les utilisateurs ont la possibilité de payer en dollars avec leur carte bancaire et aussi dans différentes cryptomonnaies.
https://fr.sputniknews.com/international/201804291036160629-usa-wikiLeaks-coinbase-cryptomonnaies-suspension-comptes-boycott/
Contrôle de la population : En Chine un homme reconnu par reconnaissance faciale au milieu d'une foule de 50 000 personnes
RépondreSupprimerJdG
ven., 13 avr. 2018 17:03 UTC
Ce chinois recherché pour "crime économique" ne pensait pas pouvoir être repéré au milieu d'une telle foule. Les technologies de reconnaissance faciales, de plus en plus présentes en Chine, n'ont cependant eu aucun mal à l'identifier.
Il ne serait jamais allé à ce concert s'il avait pensé une seconde pouvoir se faire repérer. Perdu parmi les quelques 50 000 spectateurs venus assister au concert de Jacky Cheung, ce chinois identifié sous le nom Ao et recherché pour "crime économique" n'imaginait cependant pas courir le moindre risque. C'était sans compter les technologies de reconnaissance faciale déployées en Chine.
La police chinoise a en effet été à même de procéder à l'arrestation d'Ao lors du concert après que celui-ci a été identifié par les caméras de sécurité de la salle de spectacle. "Il était stupéfait et avait le visage très pâle lorsque nous l'avons attrapé", a indiqué l'officier Li Jin. Comme Ao l'a indiqué aux autorités, il ne pensait effectivement pas courir le moindre risque en se rendant à cet événement. C'est pourtant loin d'être la première fois que la reconnaissance faciale est utilisée en Chine.
Un taux d'exactitude très proche des 100 %
L'an dernier, 25 suspects ont par exemple été arrêtés à un festival de bière de Qingdao après avoir été repérés par des caméras de sécurité. D'après les autorités de la ville, le système est capable d'identifier les visages consignés dans la base de données de la police avec un taux d'exactitude de 98,1%. De tels repérages devraient d'ailleurs se produire de plus en plus fréquemment maintenant que les fonctionnaires de police chinois sont équipés de lunettes de soleil dotées d'une fonction de reconnaissance faciale.
Celle-ci est d'ailleurs utilisée en Chine pour bien d'autres raisons. Le système de surveillance mis en place sur le festival de bière de Qingdao a par exemple également été utilisé pour refuser l'entrée à des personnes ayant un casier judiciaire ou des antécédents de problème avec la drogue. Cette technologie a également été installée à certains carrefours afin de jeter l'opprobre sur les personnes qui traversent en dehors des clous. Une fois celles-ci identifiées, leur photo et des extraits de leur numéro de carte d'identité et de leur adresse sont publiés sur des panneaux d'affichage dans la rue.
China, camera Le parc du Temple du ciel à Pékin a même opté pour cette méthode afin de rationner la quantité de papier toilette que les visiteurs peuvent utiliser. Pour obtenir deux feuilles, ils doivent être préalablement scannés par la machine. Et impossible ensuite de se resservir pendant neuf minutes. Une utilisation qui peut prêter à sourire mais qui montre bien à quel point cette technologie est déjà utilisée en Chine pour contrôler les moindres faits et gestes de la population.
Les citoyens ayant une mauvaise "note sociale" n'auront plus le droit de prendre le train
RépondreSupprimerCouplé à l'effrayant système de notation sociale que la Chine est en train de mettre en place, de telles technologies pourraient avoir un impact redoutable sur le quotidien des citoyens chinois.
Les modalités de ce système de notation qui sera mis en place en 2020 sont en effet, à elles seules, pour le moins inquiétantes : les Chinois se verront ainsi attribuer des points lorsqu'ils manifestent de "bons" comportements comme par exemple acheter des produits chinois ou vanter l'économie nationale sur les réseaux sociaux. Manifester des avis politiques dissidents ou faire des recherches en ligne jugées suspectes seront considérés comme des "mauvais" comportements et conduiront à des suppressions de points.
Le problème étant que le résultat final aura un impact très concret sur la vie des citoyens chinois. Dès le 1er mai prochain, ceux ayant une mauvaise note sociale se verront par exemple interdire l'achat de billets de trains ou d'avions pendant une période pouvait s'étendre à un an. Et ce n'est à priori que la première sanction d'une future longue liste de punitions.
Trump, GigapixelIl y a aussi la caméra ARGUS (2013) : 1,8 milliards de pixels pour vous espionner à l'aide d'un drone à 6 km d'altitude
Dans le passé, les gens comprenaient que l'esprit humain et l'expérience humaine collective influencent les phénomènes cosmiques et terrestres. Les archives historiques révèlent une forte corrélation entre les périodes d'oppression autoritaire et les désastres naturels ainsi que les catastrophes et d'origine cosmique. Voir : « Les changements terrestres et la connexion anthropocosmique ».
https://fr.sott.net/article/32318-Controle-de-la-population-En-Chine-un-homme-reconnu-par-reconnaissance-faciale-au-milieu-d-une-foule-de-50-000-personnes
Regardez: Le chaos éclate alors que la "caravane" des clandestins échelles barrière frontalière des États-Unis, en encourageant "Gracias Mexique"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 29/04/2018 - 20:15
Des dizaines de migrants rassemblés à la frontière américaine ont commencé à escalader le «mur» de San Diego en criant «Gracias, Mexique ! sans doute pour remercier le gouvernement mexicain de leur avoir permis de voyager de l'Amérique centrale à la frontière américaine dans l'espoir d'obtenir l'asile de l'administration Trump.
Images AUJOURD'HUI des Américains du centre de la Caravane atteignant le "mur" frontalier de San Diego. Les migrants escaladent la clôture et encouragent "Gracias, México!"
- voir photos sur site -
Le manque de respect pour nos frontières et pour notre pays est incroyable. C'est une tentative d'invasion. #StopTheCaravan RT pic.twitter.com/XUIKoWI66a
- Lauren Rose (@LaurenRoseUltra) 29 avril 2018
Les immigrants clandestins escaladent la barrière frontalière de la frontière sud pic.twitter.com/DbdKf0rOnl
- Ryan Saavedra (@RealSaavedra) 29 avril 2018
Les gens escaladent la barrière frontalière à Tijuana alors que la caravane migrante se prépare à demander l'asile aux États-Unis. Https://t.co/usIX6vNlW3 pic.twitter.com/Vas2CdwcTw
- # NBC7 San Diego (@nbcsandiego) 29 avril 2018
Les membres de l'Amérique centrale commencent à arriver à la frontière et sont très excités. pic.twitter.com/9NpmptnNTM
- Adolfo Flores (@aflores) 29 avril 2018
Quelque 200 migrants, dont beaucoup voyageaient avec des enfants, ont tenté de demander l'asile au poste frontalier San Ysidro de San Diego, à environ six milles à l'intérieur des terres, pour se faire dire que le port d'entrée est plein.
"Actuellement, nous avons atteint la capacité au point d'entrée de San Ysidro pour les agents du CBP afin de pouvoir amener d'autres personnes sans documents d'entrée appropriés au point d'entrée pour traitement", a déclaré le commissaire Kevin McAleenan dans un communiqué. "Ces personnes devront peut-être attendre au Mexique car les agents du CBP travaillent pour traiter ceux qui sont déjà dans nos installations."
Les fonctionnaires du CBP ont publié une déclaration disant qu'ils sont à la capacité pour la journée d'accepter les demandeurs d'asile au port d'entrée de San is Ysidro au moment de l'arrivée de #caravan. "C'est pour plaire à Donald Trump", a déclaré un organisateur. pic.twitter.com/dD6MNNTnPD
- Daniel Gonzalez (@azdangonzalez) 29 avril 2018
Ou ils peuvent juste aller six miles à l'ouest et hop la clôture.
Malgré le fait que le port de San Ysidro était à pleine capacité, environ 200 migrants ont commencé à marcher vers lui.
Rodulfo Figueroa, le principal responsable de l'immigration mexicaine dans l'état de Baja California, a dit aux organisateurs de caravanes d'envoyer un premier groupe de 20 migrants pour voir si les inspecteurs des frontières américains recevraient leur demande d'asile.
M. Figueroa a déclaré qu'il ne savait pas s'ils seraient autorisés à entrer et n'avaient pas reçu de nouvelles des services de l'immigration des États-Unis.
RépondreSupprimerNicole Ramos, avocate travaillant pour le compte des membres de la caravane, a exprimé son incrédulité à l'effet que les autorités américaines ne peuvent pas traiter davantage de demandeurs d'asile tant que leur retard ne se sera pas atténué. -AP
"Ils ont bien compris qu'une caravane arrivera à la frontière", a-t-elle déclaré lors d'une conférence de presse. «L'incapacité à se préparer et à ne pas avoir suffisamment d'agents et de ressources n'est pas la faute des plus vulnérables d'entre nous: nous pouvons construire une base en Irak en moins d'une semaine, nous ne pouvons pas traiter 200 réfugiés. "
- voir carte sur site -
Comme nous l'avons rapporté hier, les quelque 400 migrants sur le point de traverser San Diego ont refusé l'avis des avocats d'immigration, qui disent que les demandeurs d'asile risqueraient une longue détention ou d'être séparés de leurs familles avant leur expulsion vers l'Amérique centrale.
Kenia Elizabeth Avila, 35 ans, a semblé ébranlée après que les avocats volontaires lui aient dit vendredi que les températures peuvent être froides dans des cellules temporaires et qu'elle pourrait être séparée de ses trois enfants, âgés de 10, 9 et 4 ans.
Mais elle a déclaré dans une interview que le retour à son Salvador natal serait pire. Elle a fui pour des raisons qu'elle a refusé de discuter. -AP
Après avoir traversé Mexicali la semaine dernière, les migrants se sont rassemblés mardi à Tijuana. Beaucoup se seraient rendus compte que l'abri qu'ils occupaient débordait mercredi. La plupart des membres du groupe viennent du Guatemala, du Salvador ou du Honduras et fuient leur foyer, disent-ils, à cause des menaces de mort émanant de gangs locaux ou de la persécution politique.
Selon de nombreuses personnes, cela vaut la peine de traiter avec les autorités américaines et la déportation pour la petite chance qu'ils pourraient obtenir l'asile.
"S'ils vont nous séparer pendant quelques jours, c'est mieux que de me faire tuer dans mon pays", a déclaré Avila.
Comme l'a souligné Reuters jeudi, le moment de leur arrivée pourrait saboter les négociations de l'ALENA après que le président Trump ait menacé à plusieurs reprises de mettre fin à l'accord si le Mexique ne faisait pas plus pour empêcher les migrants centraméricains de traverser son territoire.
Développement...
https://www.zerohedge.com/news/2018-04-29/watch-chaos-erupts-caravan-illegals-scales-us-border-fence-cheering-gracias-mexico
"L'État islamique complote pour déclencher une vague de migration massive en Europe"
RépondreSupprimer27 AVRIL 2018
Audrey Duperron
Le responsable du Programme Alimentaire mondial (WFP, ou PAM) des Nations unies, David Beasley, affirme que les anciens chefs de l'État islamique qui sont parvenus à fuir la Syrie conspirent pour déclencher une nouvelle vague de migration à destination de l'Europe.
La coalition occidentale est parvenue à débusquer le soi-disant "califat", confiné désormais à une bande de territoire dans la vallée de l'Euphrate, proche de la frontière irakienne. Cependant, on dénombrerait encore 2200 combattants de l'État islamique retranchés à l'est de la Syrie.
Utiliser la faim comme arme
Selon Beasley, ces anciens gradés de l'État islamique cherchent à s'associer avec d'autres groupes extrémistes comme Boko Haram et Al Qaïda pour s'infiltrer dans les territoires des pays du Sahel et y déclencher une nouvelle vague de migration en exploitant le manque de nourriture.
"Mon commentaire à l'attention des Européens, c’est que si vous croyiez que vous aviez un problème avec une nation de 20 millions d'habitants comme la Syrie en raison de la déstabilisation et des conflits liés à la migration, attendez de voir ce qui se passera quand la région du Grand Sahel, avec ses 500 millions d'habitants, sera encore plus déstabilisée. C'est maintenant que la communauté européenne et la communauté internationale doivent se réveiller".
Le manque de financements du WFP est une menace
Selon Beasley, les États-Unis vont porter à 3 milliards de dollars (environ 2,5 milliards d’euros) le financement qu’ils accordent au WFP. En 2016, ils lui avaient consacré 1,9 milliards de dollars (environ 1,6 milliard d’euros), une somme qui s'était avérée insuffisante. En conséquence, l'Agence avait dû revoir à la baisse les rations alimentaires partout dans le monde, et dresser des priorités.
Or, 5,6 millions de réfugiés, massés à la frontière sud de la Syrie, meurent actuellement de faim. "À l'intérieur de la Syrie, il nous manque 310 millions d'euros. Notre objectif est d'atteindre 4 millions de personnes, sur les 6,5 millions qui se trouvent en grave détresse alimentaire. Et à ce stade, nous n'en touchons que 3 millions, en raison du manque de ressources. Hors de la Syrie, en Turquie, en Jordanie, au Liban et en Libye, nos besoins de financement pour l'année 2018 sont de 1,38 milliard de dollars (environ 1,14 milliard d’euros), et sur cette somme il nous manque 340 millions de dollars (environ 281 millions d’euros). À ce stade, nous devrons stopper de donner la nourriture à 500 000 personnes en Jordanie à partir du mois de juin".
La lassitude des donneurs
Selon Beasley, les problèmes de financement du programme sont liés à la lassitude des donneurs, en raison des nombreux conflits. On dénombre une vingtaine de pays en conflit prolongé, et le Grand Sahel est en effervescence. L’officiel se réjouit des efforts fournis par le Royaume-Uni et l'Allemagne, mais attend mieux de la France : "J'espère toujours que la France va augmenter ses efforts, elle ne l'a pas fait en ce qui nous concerne", dit-il.
"Mais on ne peut pas se permettre de laisser la Jordanie et le Liban se déstabiliser. Cela apportera un véritable chaos dans la région. Davantage de chaos mènerait à des conséquences prévisibles".
RépondreSupprimerEt de conclure : "La communauté internationale, en particulier les Européens, ont appris une leçon au tout début de la guerre de Syrie : si vous n'apportez pas la sécurité alimentaire, il y aura des conséquences indésirables. J'ai parlé à des gens, pas seulement Syrie, des femmes qui disent : 'mon mari ne voulait pas rejoindre l'État islamique, mais nous n'avions rien à manger, nous n'avions pas le choix'. Ils ont une stratégie".
https://fr.express.live/2018/04/27/letat-islamique-complote-pour-declencher-une-vague-de-migration-massive-en-europe
"Eruptions inhabituelles" au plus grand geyser actif du monde à Yellowstone Stoke "Supervolcano" Peurs
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 29/04/2018 - 21:33
Un mois après nous avons signalé que les craintes d'une éruption au supervolcan de Yellowstone continuent de croître suite à la première éruption du plus grand geyser actif du monde pour la première fois depuis 2014, nuit après Reuters a signalé des "éruptions inhabituelles" au même endroit. geyser a éclaté pas moins de trois fois au cours des six dernières semaines, y compris une fois cette semaine.
La bonne nouvelle, selon les géologues, est que même si la tendance est «inhabituelle», elle n'indique pas une éruption volcanique plus destructrice se déroulant sous le Wyoming.
La mauvaise nouvelle, c'est que les événements géologiques à Yellowstone étant de plus en plus décrits par les médias et les universitaires les plus «réputés» comme étant «inhabituels», le grand public a du mal à croire que tout est normal.
C'est ce qui s'est passé: Steamboat Geyser, qui peut tirer de l'eau jusqu'à 300 pieds (91 mètres) dans l'air, est entré en éruption le 15 mars, le 19 avril et le vendredi.
Geyser de bateau à vapeur
Comme l'ajoute le Bozeman Daily Chronicle, l'éruption du Steamboat Geyser a été rapportée vendredi par un visiteur du parc et aurait commencé à 6h30 du matin; Cette personne était probablement la seule à en être témoin, puisque les promenades menant à la zone sont fermées en raison des fortes chutes de neige à Gizmodo.
Pourquoi est-ce inhabituel ? Parce que la dernière fois qu'il a éclaté trois fois par an en 2003, l'observatoire du volcan Yellowstone de l'US Geological Survey a dit. A noter également: la dernière fois qu'elle a eu lieu avant mars, il y a plus de trois ans en septembre 2014.
Bien que les éruptions de cette année aient été (jusqu'à présent) plus petites qu'une éruption Steamboat habituelle, les deux en avril étaient environ 10 fois plus grandes qu'une éruption du célèbre geyser Old Faithful du parc en termes de quantité d'eau déversée, selon les géologues cités par Reuters.
Comme prévu, les scientifiques locaux ont rapidement émergé de leurs laboratoires pour apaiser les inquiétudes du public quant à l'imminence d'une importante éruption de Yellowstone: «Rien n'indique qu'une éruption volcanique soit imminente», a déclaré Michael Poland, responsable de l'observatoire, a déclaré à Reuters dans un e-mail.
Pourtant, malgré les mots apaisants, les géologues n'ont pas été en mesure de déterminer la raison de la dernière série d'éruptions, qui pourraient indiquer une perturbation thermique dans le bassin du geyser, ou que Steamboat pourrait avoir de plus petites éruptions au lieu d'une grande.
Bien sûr, il pourrait être simplement "aléatoire":
Puisque la plupart des geysers n'éclatent pas régulièrement, "cela pourrait refléter le caractère aléatoire des geysers", a déclaré la Pologne.
Seul le Waimangu Geyser en Nouvelle-Zélande a atteint des sommets plus élevés que Steamboat, mais pas pendant plus de 100 ans, a déclaré le Service des parcs nationaux des États-Unis.
Pourquoi les plus grandes peurs ? Parce que, comme nous le rapportons périodiquement, le mois dernier, Yellowstone se trouve au sommet d'un supervolcan qui a créé un cratère massif; Son plateau abrite les systèmes hydrothermaux continentaux les plus divers et les plus vastes du monde, y compris les sources multicolores, les vasières et les geysers pour lesquels le parc est connu.
RépondreSupprimerQuelle que soit la cause des «éruptions inhabituelles» à Steamboat, il n'y a pas lieu de paniquer: ce qui serait bien plus inquiétant, ce serait l'eau qui se dessèche dans les systèmes hydrothermaux, ce qui pourrait indiquer que le magma super chaud son chemin à la surface.
"Yellowstone n'a pas eu d'éruption volcanique depuis 70 000 ans! Les geysers surgissent tout le temps », a déclaré Jake Lowenstern, un géologue de recherche de l'USGS spécialisé dans les volcans.
La phase vapeur de Steamboat Geyser en 2014
Et bien que 70 000 ans se soient écoulés depuis le dernier grand événement de lave à Yellowstone, la région est encore très active et pourrait potentiellement éclater à un moment donné, peut-être désastreusement: comme l'a rapporté le Washington Post la semaine dernière, un événement Yellowstone pourrait être des milliers de fois plus puissant que l'explosion de Mount St. Helens en 1980; l'United States Geological Survey prédit qu'une éruption suffisamment puissante, bien que peu probable, laisserait une grande partie des Rocheuses septentrionales ensevelies sous des pieds de cendres. Les coulées de lave peuvent couvrir un rayon allant jusqu'à 30 ou 40 milles de diamètre, avec des accumulations «désastreuses» de 10 centimètres ou plus dans un rayon de 500 milles.
Bien sûr, c'est le pire des cas, et les scientifiques ont tendance à souligner que même une éruption volcanique modérée y a peu de chance de se produire, même si on peut se demander si les scientifiques des banques centrales diraient jamais le contraire. l'ordinaire provoquerait une panique de masse et une évacuation.
Pendant ce temps, bien qu'il reste encore des années à prévoir les futures éruptions, les scientifiques des réseaux de surveillance de l'Observatoire du volcan de Yellowstone détecteraient probablement «des mouvements soudains ou forts ou des changements de chaleur qui indiqueraient une activité croissante».
Pendant ce temps, les scientifiques des réseaux de surveillance de l'Observatoire du volcan de Yellowstone détecteraient probablement «des mouvements brusques ou soudains ou des changements de chaleur qui indiqueraient une activité croissante», écrit le National Park Service, et qu'une «catastrophe "L'éruption serait probablement précédée de semaines à des années de signes avant-coureurs. On espère seulement que ces signes seraient mis à la disposition du grand public.
https://www.zerohedge.com/news/2018-04-29/unusual-eruptions-worlds-largest-active-geyser-yellowstone-stoke-supervolcano-fears
Analyse: Il est grand temps de mettre fin à la «science secrète» à l'EPA
RépondreSupprimer29 avril 2018
L'administrateur Pruitt initie les changements en retard pour apporter la transparence, l'intégrité à la réglementation
Opinion de Paul Driessen
L'administrateur de l'Environmental Protection Agency, Scott Pruitt, a proposé de mettre fin à la pratique de longue date de l'EPA consistant à utiliser des données scientifiques secrètes, souvent discutables, voire trompeuses, pour appuyer les politiques et les initiatives réglementaires des agences. Ses règles proposées garantiront que toute science sous-tendant les actions de l'agence est transparente et publiquement disponible pour que des experts indépendants puissent l'examiner et la valider - ou en souligner les défauts.
Il répond également aux préoccupations croissantes selon lesquelles des recherches scientifiques approfondies dans des domaines environnementaux, médicaux ou autres ne peuvent être reproduites par d'autres scientifiques ou compromises par des données choisies, une conception de recherche médiocre, une analyse bâclée ou des chercheurs biaisés. La situation a conduit à des appels en faveur d'un partage accru des données et des méthodologies, d'une évaluation par les pairs plus indépendante et d'autres actions visant à éliminer les problèmes. Il n'y a aucune excuse pour cacher des données lorsque les études sont financées par les contribuables ou utilisées pour justifier des règlements.
La situation a été particulièrement aiguë à l'EPA. Comme l'a fait remarquer M. Pruitt, «la capacité de tester, d'authentifier et de reproduire les résultats scientifiques est essentielle à l'intégrité du processus d'élaboration des règles. Les Américains méritent d'évaluer la légitimité de la science qui sous-tend les décisions de l'EPA susceptibles d'avoir un impact sur leur vie. "
Cela est particulièrement vrai pour les réglementations qui exigent des millions ou des milliards de coûts de conformité, affectent des milliers d'emplois, ciblent les industries et les producteurs d'électricité au charbon que les régulateurs veulent fermer ou cherchent à remplacer toute utilisation de combustibles fossiles par de l'énergie renouvelable. Avec l'impact économique cumulatif de la réglementation fédérale atteignant près de 2 billions de dollars par an, la réforme de la recherche est absolument essentielle.
Nous avons besoin d'une réglementation et d'un contrôle de la pollution - mais cela doit reposer sur une science solide, reproductible et honnête.
Le député Lamar Smith (R-TX) a tenu des audiences et défendu plusieurs projets de loi pour régler le problème. Plusieurs ont été adoptés par la Chambre des représentants, pour ensuite rester au Sénat. Avec les tribunaux offrant peu ou pas d'aide, l'action de l'exécutif peut être la seule solution restante.
La science trompeuse et erronée sur la pollution par les particules fines (PM2.5) a été le fondement de la guerre de l'EPA contre le charbon. Les particules ne vous rendent pas seulement malade; ils sont directement liés à «mourir plus tôt que vous ne devriez», a déclaré à tort l'administratrice de l'EPA, Lisa Jackson, au Congrès. Il n'y a pas de niveau "où les effets de la mortalité prématurée ne se produisent pas", a déclaré le prochain administrateur de M. Obama, Gina McCarthy, malhonnête.
En même temps ils ont fait ces déclarations, ils présidaient des expériences illégales sur les humains - y compris les personnes souffrant d'asthme, de diabète et de maladie cardiaque - qui ont été soumis à huit, 30 ou même 60 fois plus de particules par volume, jusqu'à deux heures, que ce que l'EPA prétend être dangereux ou mortel. Aucun d'entre eux n'est tombé malade, prouvant que les affirmations de l'EPA étaient fausses. L'agence a refusé de corriger ses revendications.
RépondreSupprimerL'EPA a adopté une position similaire sur le mercure - affirmant que les émissions des centrales électriques provoquaient des niveaux dangereusement élevés de mercure chez les enfants américains et les femmes enceintes. En réalité, les centrales électriques américaines ne représentent que 0,5 % de tout le mercure contenu dans l'air des Américains, et le mercure sanguin des femmes et des enfants américains est bien inférieur aux niveaux excessivement sûrs de l'EPA, selon les Centers for Disease Control.
Comment la science de la malbouffe de l'EPA, les expériences illégales et les règlements sévères sont-ils passés ? D'une part, la politique dictait trop souvent la science. En outre, l'organisme a versé plus de 180 millions de dollars sur une période de 16 ans aux institutions représentées par les membres de son Comité consultatif scientifique sur l'air pur (CASAC), qui ont souvent interdit les études et les conclusions.
En ce qui concerne le réchauffement climatique, l'EPA a publié un «Endangerment Finding» qui affirmait que les émissions de gaz carbonique (fertilisant) provenant de la combustion de combustibles fossiles menaçaient la santé et le bien-être des citoyens américains.
Il est parvenu à cette conclusion en examinant uniquement des études et des modèles informatiques du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, tout en ignorant les volumes d'études menées par des scientifiques indépendants qui n'ont trouvé aucune menace de ce genre. Les responsables de l'EPA ont même dit à l'un des experts de l'agence que ses études ne seraient pas partagées avec le personnel de l'agence et qu'il cesserait tout travail sur le changement climatique, car ses analyses "n'aident pas les arguments juridiques ou politiques pour cette décision". les émissions de gaz carbonique des combustibles fossiles mettent en danger les Américains.
L'EPA était également un des principaux acteurs du système de «coût social du carbone» censé calculer combien les changements climatiques entraînés par le gaz carbonique coûteraient aux États-Unis et comment ces coûts seraient réduits en coupant la consommation de combustibles fossiles. Le coût présumé des dommages a commencé à un montant arbitraire de 22 dollars par tonne de gaz carbonique rejeté en 2010, puis a grimpé à un montant également aléatoire de 30 dollars la tonne en 2013 et de 40 dollars la tonne en 2016.
Incroyablement, les modélisateurs de l'EPA ont également affirmé qu'ils pouvaient prévoir avec précision les températures mondiales, le climat et les conditions météorologiques, les progrès technologiques, le développement économique et les dommages causés aux civilisations et aux écosystèmes par les émissions de gaz carbonique des États-Unis. De plus, dans le monde réel, les avantages de l'utilisation de carburants à base de carbone et l'amélioration de la croissance des cultures, des forêts et des prairies par des niveaux supérieurs de gaz carbonique atmosphérique dépassent les coûts hypothétiques d'au moins 50 pour 1 jusqu'à 500 pour 1.
Une «science» trompeuse, politisée et axée sur les politiques a imprégné les mesures réglementaires de l'EPA pendant de trop nombreuses années. Réaction aux actions correctives de M. Pruitt montrent à quel point ses critiques peuvent être mal informés.
RépondreSupprimerLes changements obligeront les chercheurs à révéler des informations personnelles ou confidentielles sur les participants aux études sur la santé. Non, ils ne le feront pas. De telles informations ne sont pas nécessaires et peuvent facilement être rédigées.
L'EPA peut nous protéger des produits chimiques nocifs uniquement si elle tire pleinement parti de toutes les recherches scientifiques disponibles. La santé et la sécurité publiques dépendent du fait que les recherches et les données censées le soutenir soient rendues publiques et soigneusement examinées par de multiples experts, afin de garantir leur exactitude et leur intégrité. EPA profitera pleinement de toutes les recherches disponibles qui passent ces tests. Les études financées par l'impôt devraient toutes être publiques !
Les règles excluront les études qui reposent sur des sources de financement externes limitant l'accès aux données sous-jacentes. Ces études devraient être exclues. Les bailleurs de fonds doivent réviser leurs politiques pour assurer l'intégrité.
Les règles excluront tellement de recherches qu'elles mettront en danger la santé publique. Pas si. Les seules études que l'EPA ne verra probablement pas sont ce que les chercheurs savent ne pas réussir à rassembler, et donc ne pas soumettre. Le vrai danger vient d'une recherche basée sur des données de mauvaise qualité, des algorithmes, des modèles et des analyses que les chercheurs du passé ont pu garder secrets. C'est précisément ce que les règles vont révéler et corriger.
Pruitt a retiré les scientifiques qui reçoivent un financement EPA de participer à des comités consultatifs. Comme indiqué ci-dessus, ces scientifiques avaient reçu des millions de dollars en échange d'un soutien aux analyses, initiatives et réglementations de l'EPA. Pruitt veut des contributions d'experts dont les points de vue peuvent être approuvés.
Pruitt a critiqué le processus d'évaluation par les pairs. Trop de revues par les pairs ont été menées par des cercles fermés de scientifiques associés qui comptent sur des subventions gouvernementales et appuient les décisions réglementaires pour maintenir le financement. Certains ont refusé de partager des données avec des experts qui pourraient critiquer leur travail - ou ont travaillé pour maintenir la recherche à contre-courant hors des revues scientifiques. Le fait que certaines revues exigent rarement l'accès ou l'examen des données sous-jacentes démontre davantage pourquoi le processus d'évaluation par les pairs doit également être réformé.
Trop de politiques de l'EPA ont été utilisées pour forcer la nation à abandonner les combustibles fossiles qui fournissent encore 80% de l'énergie américaine et mondiale - et passer à des installations d'énergie éolienne et solaire coûteuses, intermittentes et non fiables qui nécessiteront des quantités insoutenables de terres et de matières premières, tout en détruisant les habitats fauniques et en abattant des oiseaux et des chauves-souris par millions.
Ces actions ont également tué de nombreux emplois et laissé de nombreuses communautés appauvries. En termes simples, le danger pour la santé et le bien-être des Américains, leurs moyens de subsistance et leur niveau de vie est une réglementation imposée en réponse à une science secrète, bâclée et de mauvaise qualité qui a mal servi l'EPA et la nation.
Les accusations d'éthique contre M. Pruitt devraient être évaluées dans cet esprit - et tout en reconnaissant que les membres du Congrès qui lui reprochent ne se sont jamais plaints des abus de paiement de Lisa Jackson ou de Gina McCarthy, des expériences illégales sur des sujets humains, des faux témoignages sur les particules Des procès en justice, qui ont imposé des milliards de règlements tout en enrichissant les groupes écologistes ... et des règlements sur la science de la malbouffe qui ont coûté aux États-Unis des milliards de dollars incalculables n'ont apporté aucun bénéfice environnemental et ont nui au bien-être de millions de personnes.
RépondreSupprimerLes réformes de Pruitt sont attendues depuis longtemps. Les politiciens honnêtes, les journalistes et les électeurs vont l'applaudir et les applaudir. D'autres agences gouvernementales devraient initier des réformes scientifiques et réglementaires similaires.
Paul Driessen est analyste principal des politiques pour le Comité pour un avenir constructif (www.CFACT.org) et auteur de livres et d'articles sur la politique énergétique et environnementale
https://wattsupwiththat.com/2018/04/29/analysis-ending-the-secret-science-at-epa-is-long-overdue/
La Chine met au point des substituts de Windows et Android
RépondreSupprimer22:57 29.04.2018
L’entreprise chinoise Huawei perfectionne actuellement son propre système d’exploitation censé se substituer à Android et Windows, signale South China Morning Post.
Le géant chinois Huawei continue d'améliorer son propre système d'exploitation qui pourrait remplacer Android et Windows si les Etats-Unis prenaient des sanctions contre lui, relate South China Morning Post.
Selon le média, qui se réfère à des sources au sein de Huawei, le système élaboré par l'entreprise est moins avancé qu'Android. Donc, la société n'entend pas le produire si elle peut continuer à utiliser les technologies américaines.
Huawei a commencé à développer ce système en 2012, après que les États-Unis ont introduit des sanctions contre une autre entreprise chinoise, ZTE, précise South China Morning Post. Ainsi, Huawei voulait anticiper des mesures similaires qui auraient pu être prises à son égard par les autorités américaines.
La «guerre» entre les États-Unis et la Chine se poursuit dans le domaine du commerce. Washington a décidé d'appliquer des droits de douane augmentés sur 1.300 biens chinois, dont les téléviseurs et les produits technologiques. Réponse quasi immédiate de Pékin: le soja, les voitures et les avions américains se verront appliquer des taxes de 25% à leur entrée en Chine.
https://fr.sputniknews.com/international/201804291036162356-chine-substituts-windows-android/
«Les États-Unis sont eux-mêmes le principal pays sponsor du terrorisme»
RépondreSupprimer22:36 29.04.2018
Le sénateur républicain américain Cory Gardner s’applique à faire passer un projet législatif visant à inscrire la Russie sur la liste des «pays sponsors du terrorisme». Sputnik s’en est entretenu avec Manuel Ochsenreiter, directeur du Centre allemand de recherches eurasiatiques et rédacteur en chef du magazine allemand Zuerst.
On est en pleine escalade dans la guerre de l'information au cours de laquelle les États-Unis s'emploient à mettre la main sur l'Europe, en épinglant une étiquette de «pays sponsor du terrorisme» sur la Russie, a relevé Manuel Ochsenreiter dans un entretien accordé à Sputnik.
«Cette guerre de l'information a pour objectif de faire en sorte que les alliés européens se sentent plus protégés s'ils se rangent du côté de Washington», a précisé l'interlocuteur de l'agence.
Selon ce dernier, si les États-Unis déclarent la Russie comme étant un «pays sponsor du terrorisme», les pays de l'Union européenne devront tôt ou tard les imiter.
«Il est absolument indispensable aux États-Unis de maintenir l'Europe à leurs côtés, pour que celle-ci soit hostile envers la Russie. La Russie est toutefois un partenaire naturel pour les pays européens, la Russie étant leur fournisseur de ressources», a poursuivi M.Ochsenreiter.
Et d'expliquer que l'Allemagne avait par exemple d'excellents produits high-tech, dont le marché russe a grand besoin.
«Néanmoins, les États-Unis veulent diviser ces deux marchés ou ces deux sphères politiques. Ils s'appliquent à s'attacher plus étroitement l'Europe. Les États-Unis savent que si l'Europe est perdue pour eux, ils se retrouveront hors du jeu», a indiqué le politologue.
Il a ajouté que l'Iran et le Hezbollah libanais figuraient eux aussi sur la liste des terroristes ou des sponsors du terrorisme.
«Mais si on regarde la situation au Proche-Orient, on constatera que ces pays et ces groupes que les États-Unis qualifient de terroristes ou de sponsors du terrorisme sont dans bien des cas ces forces qui luttent pour la stabilité et combattent le terrorisme», a indiqué l'interlocuteur de Sputnik.
Et de rappeler que l'Iran faisait partie de ces principales forces qui soutenaient la Syrie dans sa lutte contre Daech*. À part l'Iran, la Russie est le seul pays qui se trouve en Syrie de manière légitime, c'est-à-dire à l'invitation du gouvernement syrien, alors que les Américains, les Britanniques, les Français et d'autres forces s'y trouvent illégalement, l'État syrien ne les ayant jamais invités à l'aider dans sa lutte contre le terrorisme.
«On a par conséquent tout lieu de constater que les États-Unis sont eux-mêmes le principal pays sponsor du terrorisme. […] Daech* n'existe que parce que les États-Unis se sont autrefois ingérés dans les affaires intérieures des pays en Asie occidentale», a résumé Manuel Ochsenreiter.
*Organisation terroriste interdite en Russie
https://fr.sputniknews.com/international/201804291036162064-russie-pays-sponsor-terrorisme-usa-europe-daech-guerre-information/