Pigeon voyageur aux ailes de plastique: quels métiers exercent déjà les drones ?
16:53 02.04.2018
Les drones sont faits pour rester. Non seulement, ils réalisent des missions de surveillance et frappent l’ennemi, mais aussi livrent une pizza et même remplacent les mannequins sur les podiums. L’époque du drone, c’est déjà aujourd’hui, et en voici les exemples les plus marquants !
Les drones sont un secteur d'activité en plein essor. Quel que soit le domaine, une chose est claire: ces appareils robotisés pénètrent même dans les industries les plus conservatrices.
Dans le ciel comme à la guerre
Les missions traditionnelles des militaires vont-elles évoluer? Avec l'arrivée des drones, la réponse à cette question est évidente. Déjà de nos jours, les drones effectuent des vols de renseignement, de surveillance et de reconnaissance et des missions d'appui effectuées avec des bombes et des missiles air-sol.
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Par exemple, le drone Orlan-10 dans l'armée russe, possède un rayon d'action de 120 km et une autonomie de vol de 10 heures. Il est destiné à mener des missions de reconnaissance optique et radio, guider les tirs d'artillerie, à brouiller les signaux GSM des téléphones portables. Le système Orlan lancé par catapulte peut transporter des modules interchangeables équipés d'une caméra thermique, d'une caméra vidéo gyro-stabilisée, d'un appareil photo et de systèmes de transmission.
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Cette année, les États-Unis envoient fréquemment des drones RQ-4B pour surveiller les républiques autoproclamées de Donetsk et de Lougansk et le territoire russe (la Crimée, le territoire de Krasnodar et les régions frontalières des pays baltes). Rien que depuis début mars, des drones de ce type ont réalisé au moins 20 vols dont 11 près de la ligne de démarcation dans le Donbass, sept près de la côte russe de la mer Noire et deux dans la région de la Baltique.
De plus, dans sa lutte antiterroriste en Syrie, l'armée russe a bénéficié de drones pour frapper l'ennemi et recueillir des données.
Est-ce… de l'art ?
Les drones peuvent même être utilisés pour créer des œuvres d'art uniques, quoiqu'étranges. Pour exemple de cet usage créatif, le travail de cet artiste néerlandais qui a transformé le cadavre de son chat décédé Oliver en drone. Grâce à cela, plusieurs internautes se souviendront d'Oliver, qui a perdu la vie sous les roues de la voiture et est ressuscité entre les hélices d'un drone.
L'un des domaines les plus évidents de l'utilisation des drones c'est la livraison de biens et de courrier. Après tout, en conditions urbaines, un petit «pigeon voyageur aux ailes de plastique» accomplira cette tâche beaucoup plus rapidement qu'un courrier qui doit se déplacer le long des rues ou utiliser les transports en commun.
Les ingénieurs d'Amazon ont même développé un drone capable de reconnaître les gestes humains: ainsi, un pouce levé sera perçu comme un signe d'approbation, et de grands gestes comme un signal de menace. Selon la société, une telle fonction sera nécessaire pour que le drone puisse «communiquer» de manière indépendante avec les destinataires de la commande.
Le temps des mannequins sur les podiums est passé
À l'occasion de la Fashion Week de Milan en février, Dolce & Gabbana a fait défiler des drones sur le podium. La marque de luxe a présenté sa nouvelle collection de sacs grâce à des engins volants équipés de caméras.
Les événements vus du ciel
Le journalisme moderne ainsi que les tournages vidéo en général sont aussi fortement renforcés par le développement des drones. L'idée d'utiliser des drones pour présenter la scène sous un nouvel angle a élevé le journalisme à un nouveau niveau.
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Le concept d'utilisation de drones a été approuvé par de nombreuses écoles de journalisme. Un avantage important des drones réside dans la possibilité d'offrir une image directement à partir de l'épicentre des événements sans danger pour la vie et la santé de l'opérateur, notamment dans les zones à haut risque, par exemple, au cours des opérations militaires ou dans les zones contaminées.
Des secours plus rapides
Une catastrophe naturelle à grande échelle peut souvent s'avérer être une catastrophe qui cause des décès, des blessés, des destructions de bâtiments et d'infrastructures.
En raison de leurs avantages, les drones sont largement utilisés par les services de secours: il est beaucoup plus facile de rechercher des personnes disparues avec un petit robot qui utilise également une caméra thermique pour détecter les sources de chaleur même à travers les obstacles. La même chose s'applique à différents espaces difficiles d'accès.
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Le gouvernement américain a utilisé des drones pour trouver des survivants et livrer des médicaments lors du tremblement de terre en Haïti, réduisant ainsi les risques pour les secouristes dans les zones dangereuses.
Les drones agricoles
Les robots modernisent considérablement le secteur agricole. Aujourd'hui, les drones agricoles sont très répandus au Japon: ils sont en charge des récoltes, ils surveillent les animaux et ils dispersent des pesticides.
En mars, la société américaine Walmart a annoncé son intention d'utiliser des drones pour la production de produits végétaux. Certains drones seront censé identifier les zones touchées par les nuisibles, d'autres vont polliniser les plantes. La troisième catégorie de drones permettra de recueillir des statistiques sur la santé des produits cultivés. En utilisant des caméras et des capteurs, les drones seront capables de reconnaître l'état des végétaux. Si nécessaire, les appareils chasseront les insectes et les oiseaux.
Des projets similaires existent en Russie: en 2016, des représentants de l'Institut Central Aérohydrodynamique ont commencé à tester un drone capable de soulever de 50 à 200 kilogrammes de charge et de voler à des vitesses allant jusqu'à 70 km/h.
Un regard vers l'avenir
Évidemment, les drones ont déjà changé la donne dans le domaine de la technologie: bientôt ils pénétreront dans la vie quotidienne et seront omniprésents. De nombreux projets ambitieux sont en train d'être élaborés par des compagnies d'électronique sur l'utilisation de drones.
En Australie, les autorités ont trouvé un moyen fiable de détecter les requins et d'autres prédateurs sous-marins. Un projet prévoit d'utiliser des drones Little Ripper pour observer les plages australiennes où l'apparition de requins est plus fréquente. Les drones les photographieront et enverront les images à un système d'intelligence artificielle capable d'identifier les requins en temps réel avec une précision allant jusqu'à 90 %. La société Little Ripper développe également un «répulsif» électronique censé écarter les requins des nageurs jusqu'à ce que les sauveteurs interviennent.
Une start-up lettone a lancé un projet qui suggère d'envoyer des drones pour éteindre les incendies et nettoyer les turbines.
Les ingénieurs moscovites ont présenté récemment un nouveau drone «Pélican» qui peut être utilisé dans de nombreux domaines: livraison, sauvetage, sécurité, agriculture. Notamment, ces drones patrouilleront au-dessus des étangs et des rivières d'une ville et transmettront des données aux services de secours. En cas d'accident, un drone pourra laisser tomber des gilets de sauvetage dans l'eau.
Ce ne sont que quelques gouttes d'eau dans l'océan des projets avec des drones. Il faut bien comprendre: avec le développement follement rapide des technologies et leur introduction dans la vie quotidienne, l'avenir, ce n'est pas demain, c'est aujourd'hui !
Manger du gras et maigrir grâce au «régime du Kremlin»
17:17 02.04.2018
Le fameux «régime du Kremlin», qui aurait été conçu pour le gouvernement soviétique par les meilleurs nutritionnistes et gardé minutieusement secret pendant des décennies, permet de perdre rapidement du poids tout en consommant des produits copieux et sans avoir faim. Quel est son secret? Le «régime du Kremlin» ou comme on le dit en russe «Kremlevskaya dieta», est un système d'alimentation parfois contesté et entouré par plusieurs mythes. Il est néanmoins censé permettre de perdre 5 kilogrammes par semaine et jusqu'à 15 kilogrammes par mois.
Selon l'une des légendes, le «régime du Kremlin» aurait été créé par les meilleurs nutritionnistes de l'époque soviétique et destiné uniquement aux hauts dirigeants et aux proches du Kremlin, d'où ce nom.
Les 10 méthodes pour maigrir à ne jamais essayer
Cette première théorie poursuit en disant que les «simples mortels» n'auraient jamais dû apprendre ses principes de base, le secret étant révélé uniquement à l'élite du pays. Cependant, cette information aurait été divulguée par le bouche à oreille et désormais toute personne désirant perdre du poids peut s'en servir. Une autre version est que le «régime du Kremlin» aurait initialement été créé pour les astronautes américains. On l'aurait ensuite appris et commencé à l'utiliser au Kremlin.
Une seule chose est sûre: le «régime du Kremlin» est basé sur une consommation réduite de glucides et l'inclusion de réserves de graisse dans la gestion de l'énergie. Elle permet de manger à satiété, ne renonçant qu'à une liste restreinte de produits alimentaires.
Plusieurs personnes qui l'ont testé évoquent des résultats miraculeux, le tout sans se priver de sa nourriture préférée.
L'on doit ainsi manger beaucoup de viande et on est en outre autorisé à boire de l'alcool, le vin sec et la vodka, sans oublier de boire au moins 2 litres d'eau par jour. Les produits sucrés ainsi qu'à base de farine sont interdits.
«Lorsque l'apport en hydrates de carbone, source principale d'énergie, est fortement limité, l'organisme commence à traiter les réserves de graisse accumulées. De la graisse excessive dont vous avez essayé sans succès de vous débarrasser à l'aide d'autres régimes, en vous torturant avec la faim, avec le calcul des calories, etc.», lit-on dans le livre d'Evgeni Tcherbykh «Régime du Kremlin».
M.Tcherbykh ainsi que d’autres auteurs qui ont écrit à ce sujet ne précisent pas les «personnes du Kremlin» ayant suivi ce régime à cause de la confidentialité des informations. Iouri Loujkov, l’ancien maire de Moscou, l’aurait cependant utilisé et perdu 15 kilogrammes.
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L'augmentation de l'activité physique est pourtant indispensable pour obtenir des résultats tangibles, ou dans ce cas, plutôt «palpables».
Le secret de ce régime «miraculeux» se cache dans l'accumulation des points, chaque type de nourriture ayant sa propre valeur en unités conventionnelles basée sur le niveau de contenu en hydrates de carbone.
En consommant en-dessous de 40 points par jour, on peut espérer une perte active de poids. De 40 à 60 points, le poids reste stable tandis qu'en mangeant plus de 60 points par jour, on commence à grossir.
Voici le schéma des différents produits avec leur nombre de points par 100 grammes, dont la base est formée par la viande, le poisson, les oiseaux, les fromages et les produits laitiers.
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Il est interdit de consommer des pommes de terre, toute sorte de friandise, les produits à base de farine ainsi que les fruits riches en sucre. Par exemple, 100 grammes de sucettes valent 70 points tandis que 100 grammes de viande bouillie équivalent à 0 points.
Evgeni Tcherbykh précise cependant dans son livre qu'il faut absolument consulter son médecin avant de suivre ce régime.
par Tyler Durden Lundi, 04/02/2018 - 23:25 Rédigé par Jeff Thomas via InternationalMan.com,
Les colonies américaines étaient composées de gens qui ne pouvaient pas accepter la progression descendante en Europe et disaient: «Je pars.» Cela a pris beaucoup de courage, car ils laissaient leurs quelques conforts connus pour des difficultés inconnues.
Cependant, une fois qu'ils ont fait le pas et surmonté les difficultés de la colonisation, ils ont compris que leur courage avait été récompensé. Ces gens ne regardent jamais en arrière et disent: "Peut-être que nous n'aurions pas dû partir."
Il ne fait aucun doute qu'ils ont enseigné à leurs enfants et petits-enfants les valeurs du courage, de la détermination, du travail acharné et de l'autonomie. Et de plus en plus d'immigrants ont été ajoutés à leur nombre, chacun d'entre eux ayant aussi eu le courage d'abandonner l'Europe pour la liberté et l'opportunité. Ils ont soulevé des générations de personnes avec un «esprit pionnier».
Il n'est donc pas surprenant que, lorsque les colons américains ont été pressés par le roi George pour des augmentations d'impôt, il n'était pas difficile pour eux de refuser. Ils ont choisi de faire cavalier seul, plutôt que de permettre au roi britannique de voler les fruits de leurs travaux.
Bien que le niveau d'imposition à l'époque était de seulement 2 %, c'était le principe que la taxation est un vol qui les a mis en colère. En outre, ils avaient déjà prouvé à eux-mêmes qu'ils avaient toutes les qualités de caractère nécessaires pour déterminer leur propre avenir.
Et ainsi, dans un sens, la Révolution américaine était l'Acte II de la quête de la liberté et, des deux défis, il a pu être le plus facile à faire face.
Cependant, l'Amérique de la fin du XVIIIe siècle n'est pas l'Amérique d'aujourd'hui - et le résultat ne sera pas le même pour les Américains dans l'ère actuelle.
Il est important de se rappeler que seul un très petit pourcentage de personnes a effectivement quitté l'Europe pour trouver la liberté. La grande majorité restait derrière, se plaignant de la perte sans cesse croissante des libertés, mais ne faisant rien à ce sujet. Bien que leurs gouvernements en aient pris de plus en plus, la grande majorité l'a simplement tolérée en disant: «Que pouvez-vous faire ?» Ils sont devenus les victimes éventuelles de cette oppression, comme cela s'est produit tout au long de l'histoire.
Ceux qui sont aujourd'hui en Amérique sont, par essence, un peuple subjugué, tout comme les Européens avant la Révolution américaine. Ils sont habitués au concept d '«État nounou», qui taxe lourdement les gens et rejette une partie de ce qu'ils ont volé sous la forme de «pain et cirques», comme dans la Rome antique.
Les Américains se plaignent continuellement, soit qu'on leur enlève trop d'argent, soit que l'État ne leur accorde pas suffisamment de largesses. Certains se plaignent même des deux en même temps.
Et pourtant, un très grand pourcentage d'Américains dit «espérer» que d'une manière ou d'une autre, le processus s'inversera - qu'un nouveau candidat politique apparaîtra - une «Fée de la Liberté» qui se tiendra devant le train en fuite, l'arrêtera et inversez-le.
Historiquement, cela n'arrive jamais. Ce qui arrive, c'est qu'un petit nombre décide de prendre la mer et de s'échapper. Que ce soit la classe commerciale romaine, qui a quitté ses magasins et a voyagé au nord pour vivre parmi les barbares, plutôt que d'accepter la domination croissante de Rome, ou les Juifs allemands qui ont enfermé leurs magasins et leurs maisons et embarqué à l'ouest, juste avant le lockdown de 1939, chaque nouvelle société «libre» naissante a été créée par le peu qui a pris le courage et a fait une sortie d'une société mourante.
Dans tous les cas, ceux qui sont sortis l'ont fait avec la peur dans leurs coeurs qu'ils échoueraient. Ils laissaient leurs plus grandes possessions derrière eux et voyageaient légers, cousant des pièces de monnaie et des bijoux dans leurs vêtements, ne sachant pas s'ils réussiraient.
Cependant, lorsqu'ils sont arrivés à la nouvelle frontière, ils ont rencontré d'autres personnes partageant les mêmes idées, dont chacune avait également fait preuve de courage et de détermination. Ils ont ensuite créé une nouvelle société basée, de façon prévisible, sur les principes décrits ci-dessus.
Aujourd'hui, un exode similaire se produit. Il est fait de ceux qui placent leur liberté et espèrent un avenir prometteur au-dessus des conforts et des libertés qui, un par un, leur sont enlevés par leurs gouvernements.
Bien sûr, les détails ne sont pas les mêmes. Ils ne voyagent plus en bateau, mais en jet. Personne ne coud d'objets de valeur dans leurs vêtements, car ils ne passeraient jamais par les détecteurs de métaux. Au lieu de cela, ils convertissent leurs actifs en liquidités et achètent des métaux précieux, pour les stocker dans un pays où le risque de confiscation par les gouvernements est réduit.
Comme cela s'est produit tout au long de l'histoire, l'exode est entrepris tranquillement. Ceux qui émigrent ne veulent pas attirer l'attention sur eux-mêmes, mais les gouvernements des pays qu'ils quittent ne le font pas non plus. On ne le voit jamais aux nouvelles, et les chiffres officiels qui partent sont loin en dessous du nombre qui est parti.
Mais les détails de la sortie sont sans importance. Ce qui est important, c'est que lorsque les gens relèvent le défi de sortir pour trouver la liberté et l'autodétermination, ils construisent alors une société extrêmement forte et libre. Et il y a de nombreux endroits dans le monde où cela se passe actuellement.
Mais qu'en est-il de ceux qui restent? Sûrement, les États-Unis actuels sont à un point de rupture et peuvent très bien exploser en désobéissance civile, voire en révolution.
Oui, c'est tout à fait le cas. Et encore une fois, l'histoire nous montre ce qui se passe dans les pays où la majorité a le sentiment d'avoir droit à des soins; que les riches doivent "payer un peu plus" pour leur fournir des largesses. La révolution russe et la révolution française en sont de bons exemples.
Les deux sont marqués par une prédominance de croyance que «quelqu'un doit payer pour que je puisse en bénéficier». Dans les deux révolutions, l'aristocratie a été violemment enlevée et les rebelles se sont démenés pour saisir autant de butin que possible. Le désordre s'est prolongé et les nouveaux dirigeants qui se sont levés étaient, au contraire, plus oppressifs que ceux qu'ils ont remplacés.
Aujourd'hui, en visitant les États-Unis et en discutant avec les Américains, il est palpable que la plupart des Américains aient maintenant l'intuition que cela ne finira certainement pas bien. La plupart espèrent qu'il pourrait y avoir une sorte de transition pacifique. Certains espèrent vainement qu'une «fée de la liberté» émergera.
Mais, les Américains, plus que la plupart des gens dans le monde, croient à tort que la liberté n'existe que dans leur pays et que, lorsqu'elle mourra là-bas, elle mourra partout. C'est loin d'être vrai, mais cela signifie que ceux qui sont nés dans l'ancienne «terre de la liberté» sont plus craintifs et découragés que ceux d'ailleurs. La grande majorité doutent qu'il leur soit possible, individuellement, de choisir la liberté plutôt que de descendre avec le navire. Ils sont, en effet, exactement les mêmes que la grande majorité en Europe au XVIIIe siècle.
Les colonies américaines ont été construites sur le courage de quelques-uns qui ont choisi de quitter la domination et la stagnation en Europe. La même chose est vraie aujourd'hui. Les États-Unis peuvent être un navire qui coule, mais le concept de «l'Amérique» ne l'est pas. C'est un concept mobile et il peut exister partout où les gens ont choisi la liberté future plutôt que le confort provisoire.
* * *
Un «esprit pionnier» n'est pas la seule chose dont vous avez besoin si vous voulez quitter le bateau qui coule et poursuivre la liberté. Vous trouverez des détails sur ce dont vous aurez besoin dans le rapport spécial de Doug Casey, Getting Out of Dodge.
Comme toutes les personnes avec peu d'esprit qui fuient quelque chose... elles le recomposent ailleurs comme un manque !! Càd que les émigrants fuyant les dictatures monarchistes, républicaines ou d'empires ont replacé ailleurs LA dictature rejetée !
C'est pourquoi, la république américaine n'est PAS une Démocratie (comme la Suisse) malgré qu'elle ait un parti dit 'démocrate' (Hahaha !) qui est CONTRE la Démocratie !
Maison Blanche: la surcapacité de la Chine provoque une crise mondiale de l'acier
par Tyler Durden Lundi, 04/02/2018 - 22:25
La Maison Blanche a réagi à la décision de la Chine d'imposer des droits de douane sur 128 catégories différentes d'importations américaines - principalement des denrées alimentaires et des articles industriels. Les tarifs, qui sont entrés en vigueur il y a plus d'une semaine, sont censés être une réponse aux tarifs de l'administration Trump de l'article 232 sur l'acier et l'aluminium (à ne pas confondre avec les 60 milliards de dollars prévus dans l'article 301).
Dans un communiqué publié sur le site Internet du ministère chinois des Finances, la Commission des douanes chinoises a confirmé les rapports du 23 mars indiquant que des droits supplémentaires sur 128 produits d'origine américaine seraient introduits lundi afin de préserver les intérêts de la Chine et d'équilibrer les pertes par les États-Unis des tarifs additionnels. "
En réponse, un secrétaire de presse adjoint de la Maison Blanche, Lindsay Walters, a déclaré que les tarifs américains étaient justifiés parce que la Chine crée une surabondance mondiale d'acier avec son offre excédentaire.
"Au lieu de cibler les exportations américaines équitables, la Chine doit mettre un terme à ses pratiques commerciales déloyales qui nuisent à la sécurité nationale américaine et faussent les marchés mondiaux", a déclaré Walters dans un communiqué.
Pendant ce temps, les Chinois appellent à un nouveau cycle de négociations commerciales avec les Etats-Unis après que les Etats-Unis n'aient pas répondu à la demande de la Chine du 26 mars pour un dialogue sur les tarifs de l'acier et de l'aluminium.
Plus tôt lundi, la secrétaire de presse de la Maison Blanche, Sarah Huckabee Sanders, a déclaré que le président "faisait exactement ce qu'il avait dit qu'il allait faire" pour aider à réduire le déficit commercial américain avec la Chine.
Pour rappel, voici la liste des importations américaines sur lesquelles la Chine a imposé des tarifs compris entre 15% et 25%.
- voir sur site la liste des 78 produits imposés -
Ne vous méprenez pas sur Facebook, Google est le «grand frère» que vous devriez connaître
RT Nouvelles 2 avril 2018
Le scandale de Cambridge Analytica a mis Facebook à rude épreuve ces dernières semaines, perdant 100 milliards de dollars en valeur boursière et provoquant un débat mondial sur la protection de la vie privée sur Internet.
Le géant des médias sociaux a été contraint de s'excuser et de réviser ses pratiques de confidentialité et de partage de données, mais il reste sous les projecteurs des médias et dans le collimateur de la Federal Trade Commission, qui peut être responsable de centaines de millions d'amendes.
Mais au milieu de toute la fureur, une entité monolithique a continué à récolter des données de milliards de personnes dans le monde entier. Les données recueillies comprennent un journal précis de tous vos déplacements et de toutes les recherches sur Internet que vous avez effectuées, chaque courriel que vous avez envoyé, votre routine d'entraînement, votre nourriture préférée et toutes les photos que vous avez prises. Et vous avez permis que cela arrive à vous-même, dans l'intérêt d'un meilleur service et d'une publicité plus pertinente.
Google est un «Big Brother» avec des capacités au-delà des cauchemars les plus fous de George Orwell. Ces capacités sont d'autant plus inquiétantes que la société mère de Google, Alphabet Inc., a coupé sa fameuse ligne «ne soyez pas mauvais» de son code de conduite en 2015.
Tout ce que vous avez recherché sur l'un de vos appareils est enregistré et stocké par Google. C'est fait pour mieux prédire vos futures recherches et accélérer et rationaliser votre navigation. Vous pouvez effacer votre historique de recherche, mais cela ne fonctionne que pour cet appareil particulier. Google conserve toujours un enregistrement de tout. Cliquez ici pour voir tout ce que vous avez déjà recherché sur un appareil Google.
La même chose vaut pour chaque application et extension que vous utilisez. S'il est connecté à Google, vos données sont stockées. Cela signifie que vos messages Facebook ne sont pas seulement exportés vers des sociétés comme Cambridge Analytica, Google les a également à partir de l'application Facebook que vous utilisez.
YouTube, qui est une filiale de Google, stocke également un historique de chaque vidéo que vous regardez. Il saura si vous avez écouté «In the End» de Linkin Park 3 569 fois, ou regardé des heures de vidéos de théorie du complot de la terre plate.
De même, tous les fichiers que vous avez stockés sur Google Drive, les événements Google Agenda auxquels vous avez participé, les photos que vous avez stockées sur Google Photos et tous les e-mails que vous avez envoyés sont stockés. Vous pouvez accéder à une copie de toutes ces données en demandant un lien de Google ici.
Ce qui frappe peut-être le plus, cependant, c'est que Google garde la trace de l'endroit où vous êtes et de la façon dont vous y êtes arrivé, en tout temps. Si vous avez un smartphone, il y a de fortes chances qu'il fonctionne sous le système d'exploitation Android, compte tenu des téléphones Android représentent 82 pour cent de la part du marché mondial. C'est plus de 2 milliards d'utilisateurs actifs par mois.
Et, à moins que vous n'ayez désactivé cette fonctionnalité, cliquer ici vous montrera la liste de tous les trajets que vous avez effectués avec votre téléphone, y compris une estimation de la façon dont vous avez voyagé. Si vous passez d'un emploi à l'autre à la même heure tous les jours, Google sait que c'est votre trajet. Ce trafic lourd avertissement Google Maps vous donne sur votre route de retour à la maison; Google sait qu'il y a un embouteillage car il sait que chaque téléphone Android dans chaque voiture se déplace plus lentement que d'habitude à cette heure de la journée.
Google ne le fait pas derrière votre dos. Sur un bureau, Google Chrome permet aux sites d'accéder par défaut à l'appareil photo et au microphone de votre ordinateur. Sur un smartphone, accepter les conditions d'utilisation d'une application permet à l'application de faire presque n'importe quoi, depuis l'accès à l'appareil photo et à l'emplacement de votre téléphone, jusqu'à l'enregistrement de vos appels et l'enregistrement de vos messages. L'application Facebook, par exemple, nécessite 44 autorisations de ce type.
Il est possible de désactiver la plupart des fonctionnalités de suivi de Google, y compris l'historique des recherches, le calendrier de diffusion et la publicité ciblée, mais cela demande un peu de rigueur dans les menus de paramètres. Et bien sûr, Google affirme que ce n'est pas en associant les données avec vous, en tant que personne - à la place, c'est lié à votre «identifiant publicitaire», et jamais partagé à moins que vous le vouliez. Ou à moins qu'un gouvernement ne demande à Google de le faire - ce que les agences gouvernementales américaines ont fait à elles seules près de 17 000 fois au premier semestre 2017, avec plus de 80% de demandes satisfaites, au moins dans une certaine mesure.
La conspiration du pétrole pour le climat «Fumer le pistolet» monte en fumée
Eric Worrall 2 avril 2018
Le procès contre Californie contre Chevron cinq entreprises pétrolières ne va pas bien pour les verts. Après avoir suggéré que le climatologue Miles Allen a présenté un graphique trompeur sur le gaz carbonique, et après avoir été admis par l'océanographe Gary Griggs que les glaciations et d'autres changements climatiques violents, bien plus importants que le réchauffement actuel, peuvent être causés par des forçages naturels, le juge Alsup pièce maîtresse de la charge de conspiration, le mémo "Smoking Gun".
Les alarmistes du climat peuvent hériter du vent
Ils ont comparé un «tutoriel» de la salle d'audience au procès Scopes Monkey. Mais leur camp a été éduqué.
Par Phelim McAleer 1er avril 2018 13h58 San Francisco
Cinq compagnies pétrolières américaines se retrouvent dans une salle d'audience de San Francisco. Californie v. Chevron est une action civile intentée par les avocats de San Francisco et Oakland, qui accusent les accusés de créer une «nuisance publique» en contribuant au changement climatique et de conspirer pour le couvrir afin qu'ils puissent continuer à tirer profit.
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«Jusqu'à présent, les entreprises de combustibles fossiles ont pu parler de science du climat dans les domaines politiques et médiatiques où la responsabilité est moins redevable», a déclaré Michael Burger du Centre Sabin pour le changement climatique à l'Université Columbia. L'audience a marqué une évolution vers la reddition de comptes - mais peut-être pas de la manière dont les militants auraient aimé.
...
Le juge Alsup a été particulièrement cinglant au sujet de l'allégation de conspiration. Les plaignants ont allégué que les compagnies pétrolières étaient en possession de documents «fumigènes» qui prouveraient leur responsabilité; M. Boutrous a déclaré qu'il s'agissait simplement d'un résumé interne du rapport du GIEC publié en 1995.
Le juge a dit qu'il a lu les allégations du procès pour signifier "qu'il y avait un document de conspiration chez les accusés sur la façon dont ils savaient bien et bien que le réchauffement climatique était juste autour du coin. Et j'ai dit: "OK, ça va être une grosse chose. Je veux le voir. »Eh bien, il s'est avéré que ce n'était pas tout à fait ça. Qu'est-ce que c'était, était un diaporama montrant que quelqu'un était allé au GIEC et rapportait ce que le GIEC avait rapporté, et c'était tout. Rien de plus. Donc, ils étaient au courant de ce que le GIEC a dit à partir de ce document, mais il est difficile de dire qu'ils étaient au courant en secret. À ce moment-là, ils savaient. Tout le monde savait tout au GIEC », a-t-il déclaré.
Le juge Alsup s'est ensuite tourné vers M. Berman: «Si vous voulez répondre, je vous laisse répondre. . . . Tout ce que tu veux dire ? "
"Non", a dit l'avocat des plaignants. Sur quoi le juge Alsup a ajourné la procédure.
En savoir plus (paywalled): https://www.wsj.com/articles/climate-alarmists-may-inherit-the-wind-1522605526
Je suis assez choqué par la piètre préparation de l'affaire du plaignant vert.
Je pensais que nous allions participer à une véritable confrontation, un procès prolongé de plusieurs semaines qui permettrait à toutes les parties de présenter leurs meilleures preuves. Au contraire, à mon avis, il semble de plus en plus probable que les verts n'ont pas de jambe sur laquelle s'appuyer, que cette affaire a été lancée dans l'espoir désespéré que les compagnies pétrolières se contenteraient de plier et de remettre l'argent.
Autant que je sache, les plaignants verts n'ont pas encore présenté un seul élément de preuve contre les compagnies pétrolières qui ne peut être renversé dans les cinq minutes qui suivent le contre-interrogatoire. Même les HSH sont en train de s'en rendre compte, du moins d'après les preuves présentées à ce jour.
La station spatiale chinoise s'écrase sur la Terre à 17 000 milles au large des côtes de Tahiti: une installation de neuf tonnes de la taille d'un bus scolaire s'écrase dans l'atmosphère dans une énorme boule de feu et manque juste le paradis tropical
Par Tim Stickings Pour Mailonline et Rory Tingle Pour Dailymail.com 12:05 BST, 2 avril 2018
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La Chine hors de contrôle La station spatiale Tiangong 1 s'est écrasée sur la Terre à 17 000 miles/h au large de la côte de Tahiti lundi matin et s'est surtout désintégrée en atteignant l'atmosphère de la planète.
La disparition de la station spatiale de neuf tonnes avait fait l'objet de spéculations scientifiques pendant des mois au milieu des craintes que de gros morceaux de cette station puissent descendre près des centres de population.
Les experts ont été incapables de prédire où l'installation, qui est à peu près de la taille d'un autobus scolaire, descendrait mais à la fin, elle est rentrée dans l'atmosphère terrestre au-dessus du Pacifique Sud.
L'engin est rentré dans l'atmosphère autour de 8h15 heure de Beijing (0015 GMT) et la "grande majorité" de celui-ci avait brûlé lors de la rentrée, a indiqué le Bureau d'ingénierie spatial habité de Chine.
La vidéo montre la vie à l'intérieur de la défunte station spatiale chinoise Tiangong-1
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La Chine hors de contrôle La station spatiale Tiangong 1 s'est écrasée sur la Terre à 17 000 miles /h (27358 km/h) au large de la côte de Tahiti lundi matin et s'est en grande partie désintégrée en atteignant l'atmosphère de la planète
La défunte station spatiale Tiangong 1 de la Chine a déferlé vers la Terre et est rentrée dans l'atmosphère lundi. Il est représenté dans une image radar non datée
Quelques minutes plus tôt, leur meilleure estimation a prédit qu'il devrait rentrer au large de la côte brésilienne dans l'Atlantique Sud près des villes de Sao Paulo et de Rio de Janeiro.
L'autorité spatiale chinoise a déclaré dimanche que la station atteindrait des vitesses de près de 17.000 mph (27358 km/h) avant de se désintégrer. Ils ont dit précédemment que sa désintégration ardente offrirait un spectacle «splendide» semblable à une pluie de météores, mais l'endroit éloigné privait probablement les astronomes d'un spectacle de boules de feu tombant du ciel.
Les scientifiques surveillant l'orbite de désintégration de l'engin avaient prévu que l'engin brûlerait principalement et ne poserait que le moindre risque pour les gens. L'analyse du Centre de contrôle aérospatial de Beijing a montré qu'il avait principalement brûlé.
Les autorités ont indiqué que tous les débris de la station spatiale transporteraient de l'hydrazine - un carburant à haute toxicité - et ont averti les gens de s'abstenir de le toucher ou d'inhaler ses émanations.
L'Aerospace Corporation avait prédit plus tôt que la rentrée de Tiangong 1 aurait lieu dans les deux heures de chaque côté de la BST à 1h30 le lundi (20h30 le dimanche à New York et 10h30 le lundi à Sydney).
Le bureau d'ingénierie spatial habité de Chine avait initialement prédit qu'il rentrerait au large de la côte brésilienne dans l'Atlantique Sud près des villes de Sao Paulo et de Rio de Janeiro
Ceci est une impression d'artiste de la station spatiale Tiangong 1 éclatant dans une série de boules de feu à son retour dans l'atmosphère de la terre
Cette image de Flight Aware montre qu'il y avait très peu de vols commerciaux dans la région au moment où la station spatiale est rentrée dans l'atmosphère terrestre
Basé sur l'orbite de la station spatiale, il aurait pu revenir sur Terre quelque part 43 degrés nord et 43 degrés sud, une gamme couvrant la plupart des États-Unis, Chine, Afrique, Europe du Sud, Australie et Amérique du Sud.
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Le 18ème Escadron de Contrôle de l'Espace de l'US Air Force, qui suit et détecte tous les objets artificiels sur l'orbite terrestre, a déclaré avoir également suivi le Tiangong-1 alors qu'il rentrait dans l'atmosphère au-dessus du Pacifique Sud.
Il a indiqué dans une déclaration qu'ils avaient confirmé leur réintégration en coordination avec leurs homologues en Australie, au Canada, en France, en Allemagne, en Italie, au Japon, en Corée du Sud et en Grande-Bretagne.
Jonathan McDowell, un astronome du Centre d'astrophysique de Harvard-Smithsonian, a déclaré que le module a survolé Pyongyang et la ville japonaise de Kyoto pendant la journée, réduisant les chances de le voir avant qu'il ne frappe le Pacifique.
"Cela aurait été amusant pour les gens de le voir, mais il y aura d'autres rentrées", a déclaré McDowell à l'AFP. «Ce qu'il y a de bien, c'est que ça ne cause aucun dommage quand ça tombe et c'est ce que nous aimons.
Les autorités avaient averti que la probabilité qu'une personne soit frappée par des débris était considérée comme inférieure à un billion de dollars par l'Aerospace Corporation.
Le magnétologue Bryan Bennett a déclaré: «Quand il atteindra 65 miles au-dessus de la Terre, il ne pourra plus orbiter et commencera sa rentrée rapide. La débâcle atmosphérique commencera quand elle atteindra 50 milles au-dessus de la Terre et subira une rentrée de feu jusqu'à environ 30 milles.
Seulement environ 10% de l'engin spatial de 8,5 tonnes, de la taille d'un autobus, survivront vraisemblablement au brûlage à la rentrée, principalement ses composants plus lourds tels que ses moteurs.
Re-entrée conceptuelle de la Station spatiale Tiangong dans l'atmosphère
La station spatiale Tiangong 1 pèse 8,5 tonnes et mesure 34,1 pieds (10,4 m) de long. L'atterrissage devait initialement être déclassé en 2013, mais sa mission a été prolongée à plusieurs reprises.
La probabilité qu'un morceau de débris spatiaux frappe une personne au fur et à mesure que les restes tombent a été estimée à moins d'un millionième de million, soit un billion de dollars.
Cependant, les experts conseillent qu'il est préférable de ne pas toucher les débris spatiaux et de ne pas respirer les vapeurs dégagées si quelqu'un entre en contact avec lui.
Les scientifiques ont minimisé toutes les inquiétudes concernant le Tiangong-1 causant des dommages quand il retourne sur Terre. L'Agence spatiale européenne a noté que près de 6 000 réentrées incontrôlées de grands objets ont eu lieu au cours des 60 dernières années sans nuire à qui que ce soit.
Les visiteurs sont assis à côté d'un modèle de la station spatiale Tiangong-1 de Chine en 2010. La station a accueilli deux missions en équipage et a servi de plate-forme d'essai pour perfectionner les procédures d'amarrage et d'autres opérations
De loin le plus grand objet descendu du ciel pour éclabousser à Point Nemo dans l'océan Pacifique Sud, en 2001, était le laboratoire spatial russe MIR, qui pesait 120 tonnes.
Jonathan McDowell, un astronome du Centre d'astrophysique Harvard-Smithsonian, estime que Tiangong-1 est la 50ème réapparition incontrôlée la plus massive d'un objet depuis 1957, quand l'Union Soviétique a lancé Spoutnik 1 - le premier satellite artificiel au monde.
À une altitude de 37 à 43 milles, les débris commenceront à se transformer en «une série de boules de feu», ce qui signifie que les gens au sol «verront un spectacle spectaculaire», a-t-il dit.
Les experts ne connaîtront pas l'emplacement précis et la vitesse de la station spatiale, mais on pense qu'elle voyage à environ 17 000 miles par heure.
La Chine a hissé Tiangong-1, son premier laboratoire spatial habité, dans l'espace en 2011. Elle était prévue pour une rentrée contrôlée mais les ingénieurs au sol ont perdu le contrôle en mars 2016 de l'engin de huit tonnes en mars 2016, date à laquelle elle a commencé descente vers une fin ardente.
Source: Aerospace Corporation
La station devait apparaître samedi à midi, mais a ralenti en raison des changements dans les conditions météorologiques dans l'espace, selon l'Agence spatiale européenne.
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L'agence a déclaré que le temps était plus calme dans l'espace car un flux de particules solaires à haute vitesse n'entraînait pas une augmentation de la densité de la haute atmosphère, comme prévu.
Une telle augmentation de la densité aurait fait baisser le vaisseau spatial plus tôt, il a dit.
La fenêtre de rentrée était «très variable», avait déjà averti l'ESA. Il y avait une incertitude similaire quant à l'endroit où les débris du laboratoire pourraient atterrir aussi bien.
"Les vitesses élevées des satellites qui reviennent signifient qu'ils peuvent parcourir des milliers de kilomètres pendant cette fenêtre, ce qui rend très difficile la prédiction d'un emplacement précis", a déclaré Holger Krag, chef du bureau des débris spatiaux de l'ESA. le site web de l'agence.
L'ESA a ajouté, cependant, que le laboratoire spatial se décomposera probablement au-dessus de l'eau, qui couvre la majeure partie de la surface de la planète. Et il a décrit la probabilité que quelqu'un soit frappé par un morceau de débris de Tiangong-1 comme «10 millions de fois plus petit que la probabilité annuelle d'être frappé par la foudre».
Il n'y a «pas besoin de s'inquiéter», a déclaré le China Manned Space Engineering Office plus tôt sur son compte de médias sociaux WeChat.
Le laboratoire spatial de Tiangong-1 (photographié sur une image non datée prise avant que les équipes au sol n'en prennent le contrôle) a fait un retour en fanfare sur Terre lundi.
Les techniciens du Centre spatial de Jiuquan surveillent le vaisseau spatial Shenzhou-9 alors qu'il se prépare à entrer en liaison avec Tiangong-1 en 2012
Tiangong-1 - ou "Heavenly Palace" - a été placé en orbite en septembre 2011 et avait été prévu pour une rentrée contrôlée, mais il a cessé de fonctionner en Mars 2016 et les amateurs de l'espace se préparent pour son retour fougueux depuis.
La station a accueilli deux missions en équipage et a servi de plate-forme d'essai pour perfectionner les procédures d'amarrage et d'autres opérations. Son dernier équipage est parti en 2013 et le contact a été coupé en 2016.
Au cours de sa brève existence, il a accueilli des astronautes chinois à plusieurs reprises alors qu'il effectuait des expériences et qu'il enseignait même une classe qui était diffusée dans les écoles à travers le pays.
L'astronome Jonathan McDowell du Centre d'astrophysique Harvard-Smithsonian a tweeté cette image de lui-même alors qu'il se joignait à d'autres experts pour suivre la descente de Tiangong 1 sur Terre.
L'ESA a déclaré que le laboratoire effectuerait une «rentrée incontrôlée» car les équipes au sol ne sont plus en mesure de tirer ses moteurs ou ses propulseurs pour des ajustements orbitaux.
Le concepteur en chef du laboratoire spatial chinois, Zhu Zongpeng, a nié que Tiangong était hors de contrôle, mais n'a pas fourni de détails sur ce que la Chine faisait pour guider le retour de l'engin sur Terre.
Pékin voit son programme spatial de plusieurs milliards de dollars comme un symbole de l'ascension du pays. Il prévoit d'envoyer une mission habillée sur la lune à l'avenir.
La Chine a envoyé un autre laboratoire, Tiangong-2, en orbite en septembre 2016, en tant que tremplin vers son objectif d'avoir une station spatiale avec équipage d'ici 2022.
Pékin a commencé son programme de vols spatiaux habités en 1990 après avoir acheté la technologie russe qui lui a permis de devenir le troisième pays ayant la capacité de lancer des humains dans l'espace, à la suite de l'ex-Union soviétique et des États-Unis.
Lors de la rentrée, la drague atmosphérique va arracher les réseaux solaires, antennes et autres composants externes à une altitude d'environ 60 miles, selon le bureau spatial chinois.
La chaleur et les frottements s'intensifient, provoquant la destruction ou la destruction de la structure principale, qui devrait se désintégrer à une altitude d'environ 50 milles.
La plupart des fragments se dissiperont dans l'air et une petite quantité de débris tombera relativement lentement avant d'atterrir sur des centaines de kilomètres carrés, très probablement dans l'océan, qui couvre plus de 70% de la surface de la Terre.
Point Nemo, le cimetière aquatique de la Terre pour les vaisseaux spatiaux
Les scientifiques chinois de l'espace ne contrôlaient pas leur laboratoire en orbite autour de Tiangong-1 quand il est retourné sur Terre et dans une partie reculée de l'océan Pacifique lundi. Mais s'ils l'avaient été, ils auraient essayé de le faire atterrir.
Par pur hasard, tout ce qui n'a pas brûlé dans l'atmosphère devrait s'être effondré quelque part près de l'endroit abandonné qui est parmi les endroits les plus reculés de la planète.
Officiellement appelé «pôle océanique d'inaccessibilité», ce cimetière aquatique pour réservoirs de titane et autres débris spatiaux de haute technologie est mieux connu des junkies de l'espace que Point Nemo, en l'honneur du capitaine sous-marin fictif de Jules Verne.
'Point Nemo' est un cimetière aquatique pour les réservoirs de carburant en titane et autres débris spatiaux de haute technologie
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'Nemo' est aussi latin pour 'personne'.
Point Nemo est plus loin de la terre que tout autre point sur le globe: 2 688 kilomètres (environ 1 450 miles) des îles Pitcairn au nord, une des îles de Pâques au nord-ouest et l'île Maher - une partie de l'Antarctique - à Sud.
"Son aspect le plus intéressant pour les rentrées contrôlées est que personne ne vit là-bas", a déclaré Stijn Lemmens, spécialiste des débris spatiaux à l'Agence spatiale européenne à Darmstadt, en Allemagne.
Par coïncidence, il est également biologiquement pas très diversifié. Donc, il est utilisé comme une décharge - «cimetière spatial» serait un terme plus poli - principalement pour les vaisseaux spatiaux de fret », a déclaré à l'AFP.
Quelque 250 à 300 vaisseaux spatiaux - qui ont pour la plupart brûlé en creusant un chemin dans l'atmosphère terrestre - ont été déposés là-bas, a-t-il dit.
De loin, le plus gros objet descendu du ciel pour éclabousser à Point Nemo, en 2001, était le laboratoire spatial russe MIR, qui pesait 120 tonnes.
"Il est couramment utilisé de nos jours par les capsules (russes) Progress, qui vont et viennent à la station spatiale internationale (ISS)", a déclaré Lemmens.
L'énorme ISS de 420 tonnes a aussi rendez-vous avec le destin à Point Nemo, en 2024.
À l'avenir, la plupart des vaisseaux spatiaux seront «conçus pour disparaître» avec des matériaux qui fondent à des températures plus basses, les rendant beaucoup moins susceptibles de survivre à la rentrée et de frapper la surface de la Terre.
La NASA et l'ESA, par exemple, passent du titane à l'aluminium dans la fabrication des réservoirs de carburant.
La Chine a hissé Tiangong-1, son premier laboratoire spatial habité, dans l'espace en 2011. Elle était prévue pour une rentrée contrôlée mais les ingénieurs au sol ont perdu le contrôle de l'engin de huit tonnes en mars 2016, date à laquelle elle a commencé sa descente vers fin ardente.
La disparition du laboratoire a fait l'objet de nombreux bavardages parmi les observateurs de l'espace depuis des mois, l'incertitude de sa rentrée atmosphérique attirant beaucoup d'attention ces derniers jours.
Les scientifiques avaient seulement pu donner la plus générale des prévisions pour exactement quand et où le laboratoire retournerait sur Terre, offrant une énorme bande de la planète qui incluait presque toute l'Amérique du Sud, l'Afrique et l'Asie, ainsi que les parties sud des océans Atlantique et Pacifique.
Malgré l'imprécision de leurs prévisions, les scientifiques ont déclaré qu'ils pouvaient être relativement sûrs que personne ne serait blessé par les restes du laboratoire, et ont déclaré qu'ils atterriraient probablement dans l'océan.
Le rêve de l'espace en Chine: une longue marche vers la lune
Le retour sur Terre d'un ancien laboratoire spatial chinois ne ralentira pas les plans ambitieux de Pékin d'envoyer des humains sur la Lune.
Le module spatial Tiangong-1, qui s'est écrasé lundi, devait servir de tremplin vers une station habitée, mais ses problèmes mettent en évidence les difficultés de l'exploration de l'espace.
Mais la Chine a parcouru un long chemin dans sa course pour rattraper les Etats-Unis et la Russie, qui ont perdu des vaisseaux spatiaux, des astronautes et des cosmonautes au cours des décennies.
Les «taïkonautes» chinois se sont mieux comportés et Pékin considère que son programme spatial dirigé par l'armée est un marqueur de sa stature mondiale croissante et de sa puissance technologique croissante.
De grands rêves d'espace: Un modèle 3D de la station spatiale chinoise Tiangong en orbite autour de la planète Terre
Peu de temps après le lancement de Spoutnik par l'Union Soviétique en 1957, le président Mao Zedong a déclaré: «Nous ferons nous aussi des satellites».
Il a fallu plus d'une décennie, mais en 1970, le premier satellite de la Chine est sorti dans l'espace à l'arrière d'une fusée Longue Marche.
Le vol spatial humain a pris des décennies, avec la première mission réussie en 2003.
A l'approche du lancement de l'astronaute Yang Liwei en orbite, l'angoisse de la viabilité de la mission a poussé Pékin à annuler une émission de télévision en direct à la toute dernière minute.
Malgré le suspense, cela s'est bien passé, Yang étant en orbite autour de la Terre 14 fois pendant son vol de 21 heures à bord du Shenzhou 5.
Depuis lors, la Chine a envoyé des hommes et des femmes dans l'espace avec une régularité croissante.
Sur les traces des États-Unis et de la Russie, la Chine s'efforce d'ouvrir une station spatiale autour de notre planète.
Rôdant la lune: Le "Jade Rabbit" de 300 livres est vu toucher la surface lunaire et laisser des traces profondes sur son sol meuble sur des images de vidéosurveillance de décembre 2013
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Le Tiangong-1 a été abattu en orbite en septembre 2011.
En 2013, la deuxième femme chinoise dans l'espace, Wang Yaping, a donné un cours vidéo à l'intérieur du module spatial retransmis aux enfants du pays le plus peuplé du monde.
Le laboratoire était également utilisé pour des expériences médicales et, plus important encore, pour des tests destinés à préparer la construction d'une station spatiale.
Le laboratoire a été suivi par le rover lunaire «Jade Rabbit» en 2013, qui a d'abord ressemblé à un raté quand il est devenu dormant et a cessé d'envoyer des signaux vers la Terre.
Le rover a fait une reprise spectaculaire, en fin de compte, en observant la surface de la lune pendant 31 mois, bien au-delà de sa durée de vie prévue.
En 2016, la Chine a mis en orbite sa deuxième station, le laboratoire Tiangong-2, à 393 kilomètres au-dessus de la Terre, ce qui, selon les analystes, servira de dernière pierre avant que la Chine ne lance une station spatiale habitée.
Les astronautes qui ont visité la station ont fait des expériences sur la culture du riz et du thale cresson et des vaisseaux spatiaux.
Sous le président Xi Jinping, les plans pour le «rêve spatial» de la Chine, comme il l'appelle, ont été mis en surmultiplication.
La nouvelle superpuissance cherche enfin à rattraper les États-Unis et la Russie après des années d'appariement tardif de leurs jalons spatiaux.
Les ambitions commencent avec une station spatiale qui devrait commencer à assembler des pièces dans l'espace en 2020 avec une utilisation habillée pour commencer vers 2022 - la Chine a délibérément été exclue de l'effort de la Station spatiale internationale.
La Chine envisage également de construire une base sur la lune, a annoncé au début de mars le Global Times, cité par l'Etat, citant le chef du Parti communiste de l'Académie des technologies spatiales de Chine.
L'avant-poste sera d'abord contrôlé par des robots d'intelligence artificielle jusqu'à ce que des humains soient envoyés pour le gérer de temps en temps, selon le responsable.
Mais le travail lunaire a connu un revers l'année dernière lorsque la Longue-5 Y2, une puissante fusée de transport lourd, n'a pas été lancée en juillet pour une mission d'envoi de satellites de communication en orbite.
L'échec a forcé le report du lancement de la sonde lunaire Chang'e-5, initialement prévue pour recueillir des échantillons de la lune dans la seconde moitié de 2017.
L'agence de presse officielle Xinhua a cité un concepteur du Programme lunaire chinois d'exploration qui a déclaré la semaine dernière que le Chang'e 5 devrait atterrir en 2019 et ramener des échantillons de la lune sur Terre.
Un autre robot, le Chang'e-4, doit encore atterrir en 2018 pour le "premier atterrissage en douceur et arpentage de l'autre côté de la lune", a déclaré Zuo Wei, concepteur en chef adjoint du CLEP Ground Application System. .
Les astronautes et les scientifiques chinois ont également parlé des missions habitées sur Mars alors qu'ils s'efforcent de devenir une «puissance spatiale mondiale».
Terminaisons enflammées pour les engins spatiaux: Qu'est-il arrivé aux fusées qui reviennent sur Terre ?
Peu de temps après que la station spatiale Tiangong-1 soit rentrée lundi dans l'atmosphère de la Terre, la plus grande partie a été vaporisée, ont indiqué les responsables de l'espace chinois, les restes étant censés s'être abattus dans l'océan Pacifique.
Le laboratoire de l'espace défunte rejoint une longue liste d'engins qui ont brûlé lorsqu'ils ont regagné la Terre.
Voici les plus célèbres:
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Mir - 2001
Lancée en 1986, la station Mir était autrefois un fier symbole du succès soviétique dans l'espace, malgré une série d'accidents très médiatisés et de problèmes techniques.
Retour à la terre: Des morceaux de la station spatiale russe Mir traverse le ciel au-dessus des Fidji alors qu'il fait sa descente dans l'atmosphère terrestre 23 mars 2001
Mais les autorités russes, à court de liquidités après l'effondrement de l'Union soviétique, ont choisi d'abandonner l'avant-poste en orbite à la fin des années 1990 et de consacrer leurs ressources à la Station spatiale internationale.
La station massive de 140 tonnes a été détruite par l'agence spatiale russe sur l'océan Pacifique entre la Nouvelle-Zélande et le Chili, et ses débris enflammés ont été observés à travers le ciel au-dessus des îles Fidji.
Salyut 7 - 1991
Salyut 7, lancé en 1982, était le dernier laboratoire en orbite sous le programme Salyut de l'Union Soviétique.
Lorsque la station spatiale Mir a été lancée en 1986, les autorités spatiales soviétiques ont poussé Salyut 7 vers une orbite plus haute et l'ont abandonnée là-bas.
Il était censé rester en orbite jusqu'en 1994, mais une augmentation inattendue de la traînée par l'atmosphère terrestre l'a fait dégringoler en 1991.
La station de 40 tonnes s'est rompue à la rentrée et les parties qui ont survécu se sont dispersées au-dessus de l'Argentine.
Russes dans l'espace: la station spatiale Mir est vue depuis une navette spatiale à proximité en 1995
Skylab - 1979
Skylab a été la première station spatiale américaine, lancée par la NASA en 1973, et a été équipée jusqu'en 1974.
Il y avait des propositions pour le remettre à neuf plus tard dans la décennie, mais l'orbite du laboratoire a commencé à se désintégrer et la NASA a dû se préparer pour son retour dans l'atmosphère terrestre avec seulement un contrôle partiel sur où il descendrait.
La descente finale de 85 tonnes de Skylab au-dessus de l'Australie était un événement médiatique mondial, certains journaux offrant des milliers de dollars aux personnes qui ont récupéré des parties de la station qui a atterri.
Columbia - 2003
La désintégration de grands engins spatiaux n'a pas toujours été sans tragédie.
En 2003, la navette spatiale Columbia de la NASA s'est brisée lors de son retour dans l'atmosphère à la fin de la mission STS-107, tuant les sept astronautes à bord.
L'aile gauche de Columbia a été endommagée par un débris lors du lancement, ce qui a empêché la navette de résister aux températures extrêmes générées par la rentrée, ce qui a provoqué son éclatement.
Les débris enflammés de l'engin de 80 tonnes ont été capturés dans le ciel du sud des États-Unis par des chaînes de télévision locales, avec des dizaines de milliers de pièces de la navette condamnées dispersées au Texas et en Louisiane.
(...) Les scientifiques ont minimisé toutes les inquiétudes concernant le Tiangong-1 causant des dommages quand il retourne sur Terre. L'Agence spatiale européenne a noté que près de 6 000 rentrées incontrôlées de grands objets ont eu lieu au cours des 60 dernières années sans nuire à qui que ce soit. (...)
'près de 6 000 rentrées incontrôlées' !!!? HUM-HUM ! Il n'y a jamais 6000 rentrées dites 'incontrôlées' mais plutôt 6000 rentrées contrôlées par la station de Gakona en Alaska ou de Sura en Russie. Car si elle était incontrôlée (!!) malgré que la surface océanique recouvre plus de 74 % de notre planète et qu'il y ait dont 3 chances sur 4 qu'elle tombe à l'eau peut tomber sur un bateau ou une île.
Donc, ne parlons pas de 6000 non-contrôlées !
(...) Malgré l'imprécision de leurs prévisions, les scientifiques ont déclaré qu'ils pouvaient être relativement sûrs que personne ne serait blessé par les restes du laboratoire, et ont déclaré qu'ils atterriraient probablement dans l'océan. (...)
Parlons plutôt de la haute technologie scalaire employée.
La glace recouvrant une zone de la taille de LONDRES a fondu sous l'Antarctique en raison du réchauffement des océans
Par Ellie Zolfagharifard pour MailOnline 16:23 BST, 2 avril 2018
La grande calotte glaciaire de l'Antarctique devient de plus en plus instable.
Une nouvelle étude a trouvé sa perte de terrain car elle est érodée par l'eau chaude de l'océan circulant sous son bord flottant.
En l'espace de six ans seulement, l'océan Austral a fondu 564 m2 (1 463 km2) de glace sous-marine de l'Antarctique - une superficie équivalente à celle du Grand Londres.
Si toutes les calottes glaciaires de l'Antarctique fondaient à cause du réchauffement de la planète, le continent augmenterait le niveau de la mer d'au moins 56 mètres (183 pieds).
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Cette carte montre les changements dans la migration de la ligne de base parallèlement aux conditions océaniques autour de l'Antarctique entre 2010 et 2016
Des recherches menées par le Centre britannique d'observation et de modélisation polaires (CPOM) à l'Université de Leeds ont produit la première carte complète de la façon dont le bord sous-marin de la calotte glaciaire se déplace.
La plupart des glaciers antarctiques s'écoulent directement dans l'océan dans des creux profonds sous-marins.
La ligne d'ancrage est l'endroit où leur base quitte le fond marin et commence à flotter.
L'étude, publiée aujourd'hui dans Nature Geoscience, est menée par une équipe dirigée par le Dr Hannes Konrad de l'Université de Leeds.
Il a constaté que la ligne d'échouement a été extrême à huit des 65 plus grands glaciers de la calotte glaciaire.
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L'Antarctique se rétrécit parce que le fond marin est érodé par l'eau chaude. Sur la photo est une image de fissures de mèches au glacier Rutford à sa ligne d'échouage
Le rythme de la déglaciation depuis la dernière période glaciaire est d'environ 25 mètres par an.
Le recul de la ligne d'échouage sur ces glaciers est plus de cinq fois plus rapide.
Les plus grands changements ont été observés dans l'Antarctique occidental, où plus d'un cinquième de la calotte glaciaire a reculé plus rapidement que le rythme de la déglaciation.
Le Dr Konrad a déclaré: «Notre étude fournit des preuves évidentes que la fonte se produit à travers la nappe de glace en raison de la fonte des océans à sa base, et pas seulement aux quelques endroits qui ont été cartographiés auparavant.
«Cette retraite a eu un impact énorme sur les glaciers intérieurs, car les libérer des fonds marins élimine les frictions, les amenant à accélérer et à contribuer à l'élévation globale du niveau de la mer.»
Les chercheurs ont également trouvé un comportement inattendu.
Bien que le retrait de la ligne de mise à la terre du glacier Thwaites en Antarctique de l'Ouest ait accéléré, le glacier Pine Island voisin - qui était jusqu'à récemment l'un des plus rapides du continent - s'est arrêté.
L'équipe a pu suivre le mouvement de la ligne d'ancrage de l'Antarctique en utilisant CryoSat-2 de l'Agence spatiale européenne sur 16 000 km du littoral
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Ce graphique montre comment le mouvement horizontal des lignes d'échouage des glaciers est détecté à l'aide de mesures satellitaires de leur altitude.
L'équipe a pu suivre le mouvement de la ligne d'ancrage de l'Antarctique en utilisant CryoSat-2 de l'Agence spatiale européenne sur 16 000 km du littoral. Ces graphiques montrent comment le mouvement horizontal des lignes d'échouage des glaciers est détecté à l'aide de mesures satellitaires de leur altitude.
Les graphiques montrent comment les vents en Antarctique peuvent faire fondre les glaciers
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Cela suggère que l'océan qui fond à sa base a peut-être fait une pause.
Dr Konrad a ajouté: «Ces différences soulignent la nature complexe de l'instabilité de la calotte glaciaire à travers le continent, et être en mesure de les détecter nous aide à identifier les zones qui méritent une étude plus approfondie.
Les lignes d'échouage se trouvent généralement à un kilomètre ou plus au-dessous du niveau de la mer et sont inaccessibles même aux submersibles, de sorte que les méthodes de télédétection pour les détecter sont extrêmement précieuses.
L'équipe a pu suivre le mouvement de la ligne d'ancrage de l'Antarctique en utilisant CryoSat-2 de l'Agence spatiale européenne sur 16 000 km du littoral.
Bien que CryoSat-2 soit conçu pour mesurer les changements dans l'élévation de la calotte glaciaire, ceux-ci peuvent être traduits en mouvement horizontal à la ligne d'ancrage en utilisant la connaissance de la géométrie du glacier et du fond marin. la hauteur de sa surface.
Le co-auteur de l'étude, le professeur Andy Shepherd de l'Ecole de la Terre et de l'Environnement de Leeds, a déclaré: «Ce sont des endroits inaccessibles par le dessous, généralement invisibles sur le terrain. et comprendre le changement environnemental.
COMMENT POURRAIT REDUIRE LES NIVEAUX DE MER DE L'ANTARCTIQUE ?
L'Antarctique contient une énorme quantité d'eau.
Les trois nappes de glace qui recouvrent le continent contiennent environ 70% de l'eau douce de notre planète - et tout ceci est pour réchauffer l'air et les océans.
Si toutes les calottes glaciaires fondaient en raison du réchauffement climatique, l'Antarctique augmenterait les niveaux de la mer d'au moins 56 mètres.
Compte tenu de leur taille, même de petites pertes dans les calottes glaciaires pourraient avoir des conséquences mondiales.
En plus de l'élévation du niveau de la mer, l'eau de fonte ralentirait la circulation océanique mondiale, tandis que la modification des ceintures pourrait affecter le climat de l'hémisphère sud.
En février 2018, la NASA a révélé que les épisodes El Niño provoquaient la fonte de la plate-forme glaciaire antarctique jusqu'à 25 cm (10 pouces) chaque année.
El Niño et La Niña sont des événements distincts qui modifient la température de l'eau de l'océan Pacifique.
L'océan oscille périodiquement entre plus chaud que la moyenne pendant El Niños et plus froid que la moyenne pendant La Niñas.
En utilisant l'imagerie satellite de la Nasa, les chercheurs ont constaté que les phénomènes océaniques font fondre les plates-formes de glace de l'Antarctique tout en augmentant les chutes de neige.
En Mars 2018, il a été révélé que plus d'un glacier géant de taille France en Antarctique flotte sur l'océan que ce que l'on pensait auparavant.
Cela a fait craindre qu'il pourrait fondre plus vite à mesure que le climat se réchaufferait et qu'il aurait un impact dramatique sur l'élévation du niveau de la mer.
(...) Si toutes les calottes glaciaires de l'Antarctique fondaient à cause du réchauffement de la planète, le continent augmenterait le niveau de la mer d'au moins 56 mètres (183 pieds). (...)
Un peu con, non ? Si la glace fond: elle PERD du volume et non en gagne. Mettre une bouteille d'eau en plastique au congélateur et regardez là, elle 'double' de volume. Par contre, au soleil: elle PERD du volume ! Cà alors !!!
Les pôles ont aussi des sources chaudes sous la glace:
Ne pas oublier que: Depuis des millions d'années, ce sont des milliards de km³ d'eaux douce (venues des pluies, des fleuves et des rivières) qui se sont déversés dans les océans (et continuent à le faire !) SANS QUE 'LA MER MONTE' !!! Çà alors !!
L'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océanique vers le magma où elle est chauffée/brûlée et ressort toute propre (et GRATUITEMENT !) aux nappes phréatique, sources terrestres et sous-marines (chaude, froide et/ou gazeuse).
Un sur 100 des crimes sur Internet se termine par une condamnation et 99% des escrocs échappent à la justice, selon un commissaire de police, qui affirme que les systèmes «ne pourraient pas faire face» si tous les rapports étaient transmis
Par Rebecca Camber Crime Correspondant Pour le Daily Mail 00h44 BST, 3 avril 2018
Un seul cas de cybercriminalité sur dix fait l'objet d'une enquête policière et 99 % des escrocs échappent à la justice, des statistiques choquantes révélées la nuit dernière.
Le commissaire de police de la ville de Londres, Ian Dyson, a reconnu que «nous ne pouvons pas nous en sortir pour sortir de ce problème».
M. Dyson a déclaré que l'explosion de la fraude et de la cybercriminalité signifie qu'il est impossible de transporter tous les coupables devant les tribunaux, ajoutant: "Vous avez plus de chance de recevoir de l'argent en ligne que vous êtes dans la rue."
L'agent, qui a été victime d'une fraude par carte, a également déclaré que certaines escroqueries en ligne étaient si simples à mettre en place, il a demandé pourquoi les criminels prendraient la peine de voler une banque.
Il estime que l'ampleur du problème est si vaste que le système national de déclaration «ne pourrait pas faire face» si les banques transmettaient tous leurs rapports de fraude à la police.
Décrivant la cybercriminalité comme une «industrie», M. Dyson a déclaré que ses agents devaient être honnêtes avec les victimes quant aux risques de capture des coupables: «Dès le début, nous gérons les attentes, mais ce que nous ne voulons pas, c'est un état d'esprit dit qu'il ne sert à rien de nous rapporter parce que nous n'allons rien faire.
M. Dyson a déclaré que les nouveaux chiffres montraient qu'il y avait eu 735 098 fraudes et cybercrimes au Royaume-Uni au cours des 12 mois précédant mars 2017. Mais dans la même période, seulement 71 133 rapports - moins de 10 % - ont fait l'objet d'une enquête. Les chiffres montrent que 8 214 personnes ont été poursuivies, ce qui représente seulement 1 % des cas.
Interrogé sur le fait que le public devrait accepter que dans la majorité des cas les fraudeurs ne seront pas traduits en justice, M. Dyson a déclaré: "Je pense que c'est le cas maintenant, mais c'est un message subtil. Je voudrais que les gens le signalent, mais pour comprendre qu'il s'agit plutôt de dire que vous ne pouvez pas vous en sortir pour résoudre ce problème.
«L'application de la loi est un élément clé, mais ce que nous pouvons faire, c'est prendre toutes les informations dont nous disposons pour mieux protéger le public».
Il a ajouté: «Je veux que les gens soient réalistes sur le résultat, donc je pense qu'il s'agit de dire que je rapporte cela parce que cela aide la police à protéger tout le monde contre cela.
"Si nous savons assez tôt qu'il n'y a pas de possibilité réelle de poursuites, parce que tout ce que nous devons faire est une adresse IP anonyme et c'est probablement quelque part dans une juridiction que nous trouverons difficile, nous avons Pour être honnête, disons que nous ne pouvons pas en faire autant. »L'an dernier, sa police a annoncé la publication d'un faux site Web sur Facebook pour sensibiliser à la fraude liée à la vente de billets. Il a offert des tickets de parodie pour les concerts de vente, et a trompé 1500 personnes. M. Dyson a déclaré: «Dans huit heures, nous aurions pris 75 000 £ si nous avions choisi de le faire.
«Alors pourquoi voleriez-vous une banque alors que vous pouvez réellement fonctionner à cette échelle et que c'est une méthodologie très simple?
"Vous n'avez pas besoin d'être informaticien - vous avez juste besoin de vous attaquer à la vulnérabilité."
Au cours de l'année écoulée, le Bureau national de lutte contre la fraude dirigé par M. Dyson a fermé 170 856 comptes bancaires, sites Web et lignes téléphoniques associés à des fraudes. Il a dit que le public avait tendance à perdre ses «ficelles du bon sens» quand ils vont en ligne et le nombre de victimes continuera d'augmenter à mesure que nos affaires se font en ligne.
Le commissaire a révélé qu'il avait été victime de fraudeurs il y a trois ans: «Quelqu'un a passé Noël dans un Travelodge sur ma carte de crédit, puis il a essayé de renouveler son assurance automobile et c'était une grosse somme d'argent.
Il a ajouté que la police aurait toujours besoin de plus de ressources pour lutter contre la cybercriminalité, mais que la solution n'était pas de repousser les policiers pour qu'ils recherchent des contrevenants en ligne, ajoutant: «Quand cela m'est arrivé, j'étais un peu démontée. que quelqu'un avait utilisé mon compte bancaire, pour être honnête.
Mais devrais-je voter pour dire que je veux voir moins d'agents patrouiller dans la région à cause de cela ?
"Je ne suis pas sûr ... il y a un équilibre à avoir."
L'appelant lui avait dit que les deux banques qu'il utilisait étaient impliquées dans une affaire de fraude et qu'il serait plus sûr de transférer ses économies dans un autre compte.
La police utilise l'affaire pour mettre en évidence la fraude financière et avertir les gens d'être sur leurs gardes.
Le PC David Hall, de la police du nord du Pays de Galles, a déclaré que la police traitait «plusieurs appels tous les jours». Les fraudeurs ciblent généralement les gens par courriel et par téléphone, par lettre et en personne.
La victime âgée, originaire du nord-est du Pays de Galles et qui ne veut pas être identifiée, a involontairement remis plus de 270 000 livres sterling, a ajouté M. Hall.
Une demande de prêt frauduleuse de £ 25 000 a également été faite en utilisant ses coordonnées.
Les criminels incitent souvent les gens à passer les vérifications de contrôle de leurs banques en leur donnant l'incitation à répondre à leurs questions avant que leur argent ne soit transféré.
M. Hall a déclaré à la BBC: «Cette victime a été absolument dévastée quand l'horrible vérité est apparue. L'escroc promis que l'argent serait retourné à son compte une fois l'enquête par usurpation terminée, mais, bien sûr, il n'a jamais été. Pendant ces quelques semaines, la victime n'a jamais soupçonné que quelque chose n'allait pas.
Les lampadaires LED modernes, moins chers et moins polluants, endommagent les yeux et éblouissent les automobilistes.
Par Miles Dilworth pour le Daily Mail 01h48 BST, 3 avril 2018
Des centaines de milliers de lampadaires ont été remplacés par des LED moins chères à utiliser et moins polluantes.
Mais Public Health England (PHE) a déclaré que les lumières «inconfortables» pourraient causer des dommages à long terme à la vue des gens, leur laissant des problèmes de santé semblables à «décalage horaire permanent».
Il a également averti que l'utilisation accrue des lumières LED sur les nouvelles voitures risquait d'éblouir les conducteurs venant en sens inverse, en particulier s'ils étaient âgés. Des douzaines de conseils remplacent les lampadaires au mercure et au sodium par des solutions de rechange à DEL, selon le rapport annuel du médecin hygiéniste en chef.
Les lampadaires modernes peuvent garder les gens éveillés la nuit et endommager leur vue, a averti un rapport
Les conseils affirment qu'ils réduisent jusqu'à 40% la consommation d'énergie. Kent County Council installe 118.000 lampadaires LED, Leicestershire prévoit d'en avoir 68.000, Manchester 56.000 et Gloucestershire 55.000. Le rapport a averti que si le changement était motivé uniquement par «l'efficacité énergétique et le coût», cela pourrait conduire à des installations qui «pourraient ne pas être adaptées». Alors que la plupart des lumières artificielles ont des moyens de protéger les gens de l'éblouissement, certaines installations LED ne le font pas.
Le rapport dit: «Certains luminaires pour réverbères ont des sources LED qui peuvent être vues se projeter physiquement sous le luminaire, devenant une source d'éblouissement ou une pollution lumineuse.
«Le spectre de la lumière peut être enrichi en bleu, ce qui peut être bénéfique pour garder les conducteurs alertes, mais beaucoup trouveront la lumière inconfortable.
"Des niveaux élevés de lumière bleue sont connus pour causer des dommages à la rétine dans l'œil."
PHE a suggéré que les autorités locales devraient limiter l'impact des lampadaires LED.
Il a déclaré: «Il est possible d'avoir un éclairage public à LED qui dirige la lumière vers les zones qui doivent être éclairées, en minimisant la lumière qui va dans le ciel. Ils peuvent également être fournis dans une gamme de températures de couleur, où les couleurs plus chaudes sont susceptibles d'être plus appropriées pour les zones peuplées.
Des centaines de milliers de lampadaires ont été remplacés par des LED moins chères à utiliser et moins polluantes
Un porte-parole de l'Association des gouvernements locaux a déclaré: «Les conseils ont adopté les lampadaires LED pour aider l'environnement et gérer les pressions financières tout en assurant le maintien de l'éclairage public.
Il a ajouté: «La perturbation du système circadien [cycle du sommeil] peut avoir un impact majeur sur la qualité du sommeil et la vigilance diurne, ce qui a un impact sur le bien-être et la sécurité. C'est un peu comme avoir un décalage horaire permanent.
Santé publique Angleterre a suggéré que les préoccupations ont été reprises aux Etats-Unis, où un rapport de l'American Medical Association a averti que la lumière bleue émise par les LED pouvait affecter les rythmes du sommeil, entraînant un fonctionnement diurne altéré et l'obésité.
Public Health England a déclaré que les lumières «inconfortables» pourraient causer des dommages à long terme à la vue des gens
Le rapport de l'AMA appelle les villes à utiliser les LED de plus faible intensité possibles et à mieux les abattre pour réduire l'éblouissement, ce qui, selon elle, peut également nuire aux animaux sauvages.
«Les luminaires d'éclairage public à LED sont soigneusement conçus pour tirer pleinement parti de la lumière qu'ils génèrent en ne les dirigeant que vers les zones à éclairer, ce qui constitue en soi un moyen de réduire la consommation d'énergie et les émissions associées.
«La lumière naturelle et artificielle a le potentiel d'endommager l'œil. Il est préférable d'éviter de regarder une source de lumière directement pendant un certain temps.
Delingpole: Enfin, le «changement climatique» obtient son champ d'application Monkey Trial-and the Bad Guys vont perdre
Par James Delingpole Breitbart 3 avril 2018
Le juge William Alsup a ri des suggestions selon lesquelles il préside actuellement l'équivalent du «réchauffement de la planète» du procès Scopes Monkey.
Mais que ce soit ou non, c'est essentiellement ce qui se joue actuellement dans un tribunal fédéral américain à San Francisco.
Les alarmistes du climat ont finalement eu leur journée au tribunal contre ces gens intelligents embêtants et libres de penser qu'ils appellent les «négationnistes du climat».
Grosse erreur. Les alarmistes trop confiants semblent avoir mordu plus qu'ils ne peuvent mâcher. Ils ont imaginé qu'ils pourraient faire croire au monde qu'il s'agissait d'un cas où des citoyens ordinaires et lésés - en particulier les villes de San Francisco et d'Oakland voisines - assument la puissance diabolique et destructrice de la planète Big Oil.
En réalité, comme on le voit de jour en jour, c'est la «science» du changement climatique qui est vraiment à l'essai ici. Et étant donné que la «science» du changement climatique est si fragile qu'elle pourrait aussi bien s'appeler «sorcellerie», ce n'est pas une discussion qui risque de bien se terminer pour les escrocs qui la promeuvent ...
Contexte
Les origines de cette affaire se trouvent dans #Exxonknew. Son but est d'attaquer l'industrie des combustibles fossiles en utilisant à peu près les mêmes méthodes autrefois utilisées contre l'industrie du tabac. Le plan a été imaginé en 2012 par un petit groupe de militants du climat réunis à La Jolla, en Californie.
Les villes de San Francisco et Oakland intentent des poursuites contre cinq grandes sociétés pétrolières - Chevron, Exxon Mobil, ConocoPhillips, BP et Royal Dutch Shell - alléguant qu'elles ont conspiré, dans le style de Big Tobacco, pour dissimuler les préjudices de leurs produits. Apparemment, ces majors pétrolières devraient être obligées de payer des milliards de dollars en compensation pour les dommages qu'elles ont causés, entre autres en provoquant une hausse du niveau de la mer.
Déjà, les demandeurs ont rencontré un problème majeur. Le juge William Alsup - qui, de fait, aurait dû être l'un de leurs gars, étant donné qu'il est un homme nommé Clinton qui vit en Californie - s'avère être la vraie affaire. Comme cet excellent aperçu par Tony Thomas dans les notes de Quadrant, il a la réputation de ne pas prendre n'importe qui pour le mot:
En présidant Uber v. Waymo, par exemple, il a demandé un tutoriel sur la technologie automobile autonome. Dans Oracle v. Google, il s'est enseigné un langage de programmation Java, pour aider à comprendre l'affaire.
La dernière chose dont les plaignants avaient besoin était un juge qui fait ses devoirs. Ils avaient besoin d'un qui prendrait leur science indésirable à leur valeur nominale.
Déjà, le juge Alsup a à peu près rejeté la théorie de la conspiration d'Exxonknew. "D'après ce que j'ai vu, et n'hésitez pas à m'envoyer d'autres documents, mais tout ce que j'ai vu jusqu'ici, c'est que quelqu'un [d'un major pétrolier] est allé à la conférence du GIEC et a pris des notes. Ce n'est pas une conspiration ", a-t-il dit.
Cela n'augure rien de bon pour les plaignants.
Big Oil
Les majors du pétrole ont été aussi utiles qu'un garde-feu au chocolat dans ce cas. On pourrait penser qu'avec tous ces milliards, ils auraient un peu à mettre de côté pour faire un combat décent pour la défense de leur propre industrie. Mais en fait, pour des raisons allant de la lâcheté à la commodité au cynisme, la plupart d'entre eux sont fortement investis dans la cause alarmiste. Rex Tillerson d'Exxon voulait que les États-Unis restent dans l'Accord de Paris sur le climat; Le PDG de Shell, Ben Van Beurden, est un véritable Uriah Heep quand il s'agit de se pencher sur les maux de son industrie; Un jour, BP a tenté de se rebaptiser «Beyond Petroleum», de peur que personne ne le confonde avec une entreprise dont le modèle économique dépendait de l'extraction de substance noire collante du sol.
Lorsque le juge a demandé aux différentes parties de lui donner un tutoriel sur le changement climatique, seule Chevron a pris la peine de le faire. Au lieu de cela, la plupart des meilleurs arguments scientifiques ont été faits pour eux par des sceptiques offrant amicus curiae - «amis de la cour» - mémoires. Malgré ce que vous entendez dire par les alarmistes du climat, les sceptiques reçoivent peu ou pas de soutien financier de l'industrie pétrolière parce que l'industrie pétrolière ne veut tout simplement pas le flak - et elle sait que les sceptiques sont si dévoués à leur cause des choses gratuitement, alors pourquoi s'embêter ?
Pigeon voyageur aux ailes de plastique: quels métiers exercent déjà les drones ?
RépondreSupprimer16:53 02.04.2018
Les drones sont faits pour rester. Non seulement, ils réalisent des missions de surveillance et frappent l’ennemi, mais aussi livrent une pizza et même remplacent les mannequins sur les podiums. L’époque du drone, c’est déjà aujourd’hui, et en voici les exemples les plus marquants !
Les drones sont un secteur d'activité en plein essor. Quel que soit le domaine, une chose est claire: ces appareils robotisés pénètrent même dans les industries les plus conservatrices.
Dans le ciel comme à la guerre
Les missions traditionnelles des militaires vont-elles évoluer? Avec l'arrivée des drones, la réponse à cette question est évidente. Déjà de nos jours, les drones effectuent des vols de renseignement, de surveillance et de reconnaissance et des missions d'appui effectuées avec des bombes et des missiles air-sol.
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Par exemple, le drone Orlan-10 dans l'armée russe, possède un rayon d'action de 120 km et une autonomie de vol de 10 heures. Il est destiné à mener des missions de reconnaissance optique et radio, guider les tirs d'artillerie, à brouiller les signaux GSM des téléphones portables. Le système Orlan lancé par catapulte peut transporter des modules interchangeables équipés d'une caméra thermique, d'une caméra vidéo gyro-stabilisée, d'un appareil photo et de systèmes de transmission.
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Cette année, les États-Unis envoient fréquemment des drones RQ-4B pour surveiller les républiques autoproclamées de Donetsk et de Lougansk et le territoire russe (la Crimée, le territoire de Krasnodar et les régions frontalières des pays baltes). Rien que depuis début mars, des drones de ce type ont réalisé au moins 20 vols dont 11 près de la ligne de démarcation dans le Donbass, sept près de la côte russe de la mer Noire et deux dans la région de la Baltique.
De plus, dans sa lutte antiterroriste en Syrie, l'armée russe a bénéficié de drones pour frapper l'ennemi et recueillir des données.
Est-ce… de l'art ?
Les drones peuvent même être utilisés pour créer des œuvres d'art uniques, quoiqu'étranges. Pour exemple de cet usage créatif, le travail de cet artiste néerlandais qui a transformé le cadavre de son chat décédé Oliver en drone. Grâce à cela, plusieurs internautes se souviendront d'Oliver, qui a perdu la vie sous les roues de la voiture et est ressuscité entre les hélices d'un drone.
Le dîner est servi !
RépondreSupprimerL'un des domaines les plus évidents de l'utilisation des drones c'est la livraison de biens et de courrier. Après tout, en conditions urbaines, un petit «pigeon voyageur aux ailes de plastique» accomplira cette tâche beaucoup plus rapidement qu'un courrier qui doit se déplacer le long des rues ou utiliser les transports en commun.
Les ingénieurs d'Amazon ont même développé un drone capable de reconnaître les gestes humains: ainsi, un pouce levé sera perçu comme un signe d'approbation, et de grands gestes comme un signal de menace. Selon la société, une telle fonction sera nécessaire pour que le drone puisse «communiquer» de manière indépendante avec les destinataires de la commande.
Le temps des mannequins sur les podiums est passé
À l'occasion de la Fashion Week de Milan en février, Dolce & Gabbana a fait défiler des drones sur le podium. La marque de luxe a présenté sa nouvelle collection de sacs grâce à des engins volants équipés de caméras.
Les événements vus du ciel
Le journalisme moderne ainsi que les tournages vidéo en général sont aussi fortement renforcés par le développement des drones. L'idée d'utiliser des drones pour présenter la scène sous un nouvel angle a élevé le journalisme à un nouveau niveau.
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Le concept d'utilisation de drones a été approuvé par de nombreuses écoles de journalisme. Un avantage important des drones réside dans la possibilité d'offrir une image directement à partir de l'épicentre des événements sans danger pour la vie et la santé de l'opérateur, notamment dans les zones à haut risque, par exemple, au cours des opérations militaires ou dans les zones contaminées.
Des secours plus rapides
Une catastrophe naturelle à grande échelle peut souvent s'avérer être une catastrophe qui cause des décès, des blessés, des destructions de bâtiments et d'infrastructures.
En raison de leurs avantages, les drones sont largement utilisés par les services de secours: il est beaucoup plus facile de rechercher des personnes disparues avec un petit robot qui utilise également une caméra thermique pour détecter les sources de chaleur même à travers les obstacles. La même chose s'applique à différents espaces difficiles d'accès.
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Le gouvernement américain a utilisé des drones pour trouver des survivants et livrer des médicaments lors du tremblement de terre en Haïti, réduisant ainsi les risques pour les secouristes dans les zones dangereuses.
Les drones agricoles
Les robots modernisent considérablement le secteur agricole. Aujourd'hui, les drones agricoles sont très répandus au Japon: ils sont en charge des récoltes, ils surveillent les animaux et ils dispersent des pesticides.
En mars, la société américaine Walmart a annoncé son intention d'utiliser des drones pour la production de produits végétaux. Certains drones seront censé identifier les zones touchées par les nuisibles, d'autres vont polliniser les plantes. La troisième catégorie de drones permettra de recueillir des statistiques sur la santé des produits cultivés. En utilisant des caméras et des capteurs, les drones seront capables de reconnaître l'état des végétaux. Si nécessaire, les appareils chasseront les insectes et les oiseaux.
RépondreSupprimerDes projets similaires existent en Russie: en 2016, des représentants de l'Institut Central Aérohydrodynamique ont commencé à tester un drone capable de soulever de 50 à 200 kilogrammes de charge et de voler à des vitesses allant jusqu'à 70 km/h.
Un regard vers l'avenir
Évidemment, les drones ont déjà changé la donne dans le domaine de la technologie: bientôt ils pénétreront dans la vie quotidienne et seront omniprésents. De nombreux projets ambitieux sont en train d'être élaborés par des compagnies d'électronique sur l'utilisation de drones.
En Australie, les autorités ont trouvé un moyen fiable de détecter les requins et d'autres prédateurs sous-marins. Un projet prévoit d'utiliser des drones Little Ripper pour observer les plages australiennes où l'apparition de requins est plus fréquente. Les drones les photographieront et enverront les images à un système d'intelligence artificielle capable d'identifier les requins en temps réel avec une précision allant jusqu'à 90 %. La société Little Ripper développe également un «répulsif» électronique censé écarter les requins des nageurs jusqu'à ce que les sauveteurs interviennent.
Une start-up lettone a lancé un projet qui suggère d'envoyer des drones pour éteindre les incendies et nettoyer les turbines.
Les ingénieurs moscovites ont présenté récemment un nouveau drone «Pélican» qui peut être utilisé dans de nombreux domaines: livraison, sauvetage, sécurité, agriculture. Notamment, ces drones patrouilleront au-dessus des étangs et des rivières d'une ville et transmettront des données aux services de secours. En cas d'accident, un drone pourra laisser tomber des gilets de sauvetage dans l'eau.
Ce ne sont que quelques gouttes d'eau dans l'océan des projets avec des drones. Il faut bien comprendre: avec le développement follement rapide des technologies et leur introduction dans la vie quotidienne, l'avenir, ce n'est pas demain, c'est aujourd'hui !
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201804021035769510-drones-domaines-utilisation/
Manger du gras et maigrir grâce au «régime du Kremlin»
RépondreSupprimer17:17 02.04.2018
Le fameux «régime du Kremlin», qui aurait été conçu pour le gouvernement soviétique par les meilleurs nutritionnistes et gardé minutieusement secret pendant des décennies, permet de perdre rapidement du poids tout en consommant des produits copieux et sans avoir faim. Quel est son secret?
Le «régime du Kremlin» ou comme on le dit en russe «Kremlevskaya dieta», est un système d'alimentation parfois contesté et entouré par plusieurs mythes. Il est néanmoins censé permettre de perdre 5 kilogrammes par semaine et jusqu'à 15 kilogrammes par mois.
Selon l'une des légendes, le «régime du Kremlin» aurait été créé par les meilleurs nutritionnistes de l'époque soviétique et destiné uniquement aux hauts dirigeants et aux proches du Kremlin, d'où ce nom.
Les 10 méthodes pour maigrir à ne jamais essayer
Cette première théorie poursuit en disant que les «simples mortels» n'auraient jamais dû apprendre ses principes de base, le secret étant révélé uniquement à l'élite du pays. Cependant, cette information aurait été divulguée par le bouche à oreille et désormais toute personne désirant perdre du poids peut s'en servir.
Une autre version est que le «régime du Kremlin» aurait initialement été créé pour les astronautes américains. On l'aurait ensuite appris et commencé à l'utiliser au Kremlin.
Une seule chose est sûre: le «régime du Kremlin» est basé sur une consommation réduite de glucides et l'inclusion de réserves de graisse dans la gestion de l'énergie. Elle permet de manger à satiété, ne renonçant qu'à une liste restreinte de produits alimentaires.
Plusieurs personnes qui l'ont testé évoquent des résultats miraculeux, le tout sans se priver de sa nourriture préférée.
L'on doit ainsi manger beaucoup de viande et on est en outre autorisé à boire de l'alcool, le vin sec et la vodka, sans oublier de boire au moins 2 litres d'eau par jour. Les produits sucrés ainsi qu'à base de farine sont interdits.
«Lorsque l'apport en hydrates de carbone, source principale d'énergie, est fortement limité, l'organisme commence à traiter les réserves de graisse accumulées. De la graisse excessive dont vous avez essayé sans succès de vous débarrasser à l'aide d'autres régimes, en vous torturant avec la faim, avec le calcul des calories, etc.», lit-on dans le livre d'Evgeni Tcherbykh «Régime du Kremlin».
M.Tcherbykh ainsi que d’autres auteurs qui ont écrit à ce sujet ne précisent pas les «personnes du Kremlin» ayant suivi ce régime à cause de la confidentialité des informations. Iouri Loujkov, l’ancien maire de Moscou, l’aurait cependant utilisé et perdu 15 kilogrammes.
- voir sur site -
L'augmentation de l'activité physique est pourtant indispensable pour obtenir des résultats tangibles, ou dans ce cas, plutôt «palpables».
Le secret de ce régime «miraculeux» se cache dans l'accumulation des points, chaque type de nourriture ayant sa propre valeur en unités conventionnelles basée sur le niveau de contenu en hydrates de carbone.
En consommant en-dessous de 40 points par jour, on peut espérer une perte active de poids. De 40 à 60 points, le poids reste stable tandis qu'en mangeant plus de 60 points par jour, on commence à grossir.
RépondreSupprimerVoici le schéma des différents produits avec leur nombre de points par 100 grammes, dont la base est formée par la viande, le poisson, les oiseaux, les fromages et les produits laitiers.
- voir sur site -
Il est interdit de consommer des pommes de terre, toute sorte de friandise, les produits à base de farine ainsi que les fruits riches en sucre. Par exemple, 100 grammes de sucettes valent 70 points tandis que 100 grammes de viande bouillie équivalent à 0 points.
Evgeni Tcherbykh précise cependant dans son livre qu'il faut absolument consulter son médecin avant de suivre ce régime.
https://fr.sputniknews.com/societe/201804021035769904-regime-kremlin-maigrir-perdre-poids/
La révolution américaine en deux actes
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi, 04/02/2018 - 23:25
Rédigé par Jeff Thomas via InternationalMan.com,
Les colonies américaines étaient composées de gens qui ne pouvaient pas accepter la progression descendante en Europe et disaient: «Je pars.» Cela a pris beaucoup de courage, car ils laissaient leurs quelques conforts connus pour des difficultés inconnues.
Cependant, une fois qu'ils ont fait le pas et surmonté les difficultés de la colonisation, ils ont compris que leur courage avait été récompensé. Ces gens ne regardent jamais en arrière et disent: "Peut-être que nous n'aurions pas dû partir."
Il ne fait aucun doute qu'ils ont enseigné à leurs enfants et petits-enfants les valeurs du courage, de la détermination, du travail acharné et de l'autonomie. Et de plus en plus d'immigrants ont été ajoutés à leur nombre, chacun d'entre eux ayant aussi eu le courage d'abandonner l'Europe pour la liberté et l'opportunité. Ils ont soulevé des générations de personnes avec un «esprit pionnier».
Il n'est donc pas surprenant que, lorsque les colons américains ont été pressés par le roi George pour des augmentations d'impôt, il n'était pas difficile pour eux de refuser. Ils ont choisi de faire cavalier seul, plutôt que de permettre au roi britannique de voler les fruits de leurs travaux.
Bien que le niveau d'imposition à l'époque était de seulement 2 %, c'était le principe que la taxation est un vol qui les a mis en colère. En outre, ils avaient déjà prouvé à eux-mêmes qu'ils avaient toutes les qualités de caractère nécessaires pour déterminer leur propre avenir.
Et ainsi, dans un sens, la Révolution américaine était l'Acte II de la quête de la liberté et, des deux défis, il a pu être le plus facile à faire face.
Cependant, l'Amérique de la fin du XVIIIe siècle n'est pas l'Amérique d'aujourd'hui - et le résultat ne sera pas le même pour les Américains dans l'ère actuelle.
Il est important de se rappeler que seul un très petit pourcentage de personnes a effectivement quitté l'Europe pour trouver la liberté. La grande majorité restait derrière, se plaignant de la perte sans cesse croissante des libertés, mais ne faisant rien à ce sujet. Bien que leurs gouvernements en aient pris de plus en plus, la grande majorité l'a simplement tolérée en disant: «Que pouvez-vous faire ?» Ils sont devenus les victimes éventuelles de cette oppression, comme cela s'est produit tout au long de l'histoire.
Ceux qui sont aujourd'hui en Amérique sont, par essence, un peuple subjugué, tout comme les Européens avant la Révolution américaine. Ils sont habitués au concept d '«État nounou», qui taxe lourdement les gens et rejette une partie de ce qu'ils ont volé sous la forme de «pain et cirques», comme dans la Rome antique.
Les Américains se plaignent continuellement, soit qu'on leur enlève trop d'argent, soit que l'État ne leur accorde pas suffisamment de largesses. Certains se plaignent même des deux en même temps.
Et pourtant, un très grand pourcentage d'Américains dit «espérer» que d'une manière ou d'une autre, le processus s'inversera - qu'un nouveau candidat politique apparaîtra - une «Fée de la Liberté» qui se tiendra devant le train en fuite, l'arrêtera et inversez-le.
RépondreSupprimerHistoriquement, cela n'arrive jamais. Ce qui arrive, c'est qu'un petit nombre décide de prendre la mer et de s'échapper. Que ce soit la classe commerciale romaine, qui a quitté ses magasins et a voyagé au nord pour vivre parmi les barbares, plutôt que d'accepter la domination croissante de Rome, ou les Juifs allemands qui ont enfermé leurs magasins et leurs maisons et embarqué à l'ouest, juste avant le lockdown de 1939, chaque nouvelle société «libre» naissante a été créée par le peu qui a pris le courage et a fait une sortie d'une société mourante.
Dans tous les cas, ceux qui sont sortis l'ont fait avec la peur dans leurs coeurs qu'ils échoueraient. Ils laissaient leurs plus grandes possessions derrière eux et voyageaient légers, cousant des pièces de monnaie et des bijoux dans leurs vêtements, ne sachant pas s'ils réussiraient.
Cependant, lorsqu'ils sont arrivés à la nouvelle frontière, ils ont rencontré d'autres personnes partageant les mêmes idées, dont chacune avait également fait preuve de courage et de détermination. Ils ont ensuite créé une nouvelle société basée, de façon prévisible, sur les principes décrits ci-dessus.
Aujourd'hui, un exode similaire se produit. Il est fait de ceux qui placent leur liberté et espèrent un avenir prometteur au-dessus des conforts et des libertés qui, un par un, leur sont enlevés par leurs gouvernements.
Bien sûr, les détails ne sont pas les mêmes. Ils ne voyagent plus en bateau, mais en jet. Personne ne coud d'objets de valeur dans leurs vêtements, car ils ne passeraient jamais par les détecteurs de métaux. Au lieu de cela, ils convertissent leurs actifs en liquidités et achètent des métaux précieux, pour les stocker dans un pays où le risque de confiscation par les gouvernements est réduit.
Comme cela s'est produit tout au long de l'histoire, l'exode est entrepris tranquillement. Ceux qui émigrent ne veulent pas attirer l'attention sur eux-mêmes, mais les gouvernements des pays qu'ils quittent ne le font pas non plus. On ne le voit jamais aux nouvelles, et les chiffres officiels qui partent sont loin en dessous du nombre qui est parti.
Mais les détails de la sortie sont sans importance. Ce qui est important, c'est que lorsque les gens relèvent le défi de sortir pour trouver la liberté et l'autodétermination, ils construisent alors une société extrêmement forte et libre. Et il y a de nombreux endroits dans le monde où cela se passe actuellement.
Mais qu'en est-il de ceux qui restent? Sûrement, les États-Unis actuels sont à un point de rupture et peuvent très bien exploser en désobéissance civile, voire en révolution.
Oui, c'est tout à fait le cas. Et encore une fois, l'histoire nous montre ce qui se passe dans les pays où la majorité a le sentiment d'avoir droit à des soins; que les riches doivent "payer un peu plus" pour leur fournir des largesses. La révolution russe et la révolution française en sont de bons exemples.
Les deux sont marqués par une prédominance de croyance que «quelqu'un doit payer pour que je puisse en bénéficier». Dans les deux révolutions, l'aristocratie a été violemment enlevée et les rebelles se sont démenés pour saisir autant de butin que possible. Le désordre s'est prolongé et les nouveaux dirigeants qui se sont levés étaient, au contraire, plus oppressifs que ceux qu'ils ont remplacés.
RépondreSupprimerAujourd'hui, en visitant les États-Unis et en discutant avec les Américains, il est palpable que la plupart des Américains aient maintenant l'intuition que cela ne finira certainement pas bien. La plupart espèrent qu'il pourrait y avoir une sorte de transition pacifique. Certains espèrent vainement qu'une «fée de la liberté» émergera.
Mais, les Américains, plus que la plupart des gens dans le monde, croient à tort que la liberté n'existe que dans leur pays et que, lorsqu'elle mourra là-bas, elle mourra partout. C'est loin d'être vrai, mais cela signifie que ceux qui sont nés dans l'ancienne «terre de la liberté» sont plus craintifs et découragés que ceux d'ailleurs. La grande majorité doutent qu'il leur soit possible, individuellement, de choisir la liberté plutôt que de descendre avec le navire. Ils sont, en effet, exactement les mêmes que la grande majorité en Europe au XVIIIe siècle.
Les colonies américaines ont été construites sur le courage de quelques-uns qui ont choisi de quitter la domination et la stagnation en Europe. La même chose est vraie aujourd'hui. Les États-Unis peuvent être un navire qui coule, mais le concept de «l'Amérique» ne l'est pas. C'est un concept mobile et il peut exister partout où les gens ont choisi la liberté future plutôt que le confort provisoire.
* * *
Un «esprit pionnier» n'est pas la seule chose dont vous avez besoin si vous voulez quitter le bateau qui coule et poursuivre la liberté. Vous trouverez des détails sur ce dont vous aurez besoin dans le rapport spécial de Doug Casey, Getting Out of Dodge.
https://www.zerohedge.com/news/2018-04-02/american-revolution-two-acts
SupprimerComme toutes les personnes avec peu d'esprit qui fuient quelque chose... elles le recomposent ailleurs comme un manque !! Càd que les émigrants fuyant les dictatures monarchistes, républicaines ou d'empires ont replacé ailleurs LA dictature rejetée !
C'est pourquoi, la république américaine n'est PAS une Démocratie (comme la Suisse) malgré qu'elle ait un parti dit 'démocrate' (Hahaha !) qui est CONTRE la Démocratie !
Maison Blanche: la surcapacité de la Chine provoque une crise mondiale de l'acier
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi, 04/02/2018 - 22:25
La Maison Blanche a réagi à la décision de la Chine d'imposer des droits de douane sur 128 catégories différentes d'importations américaines - principalement des denrées alimentaires et des articles industriels. Les tarifs, qui sont entrés en vigueur il y a plus d'une semaine, sont censés être une réponse aux tarifs de l'administration Trump de l'article 232 sur l'acier et l'aluminium (à ne pas confondre avec les 60 milliards de dollars prévus dans l'article 301).
Dans un communiqué publié sur le site Internet du ministère chinois des Finances, la Commission des douanes chinoises a confirmé les rapports du 23 mars indiquant que des droits supplémentaires sur 128 produits d'origine américaine seraient introduits lundi afin de préserver les intérêts de la Chine et d'équilibrer les pertes par les États-Unis des tarifs additionnels. "
En réponse, un secrétaire de presse adjoint de la Maison Blanche, Lindsay Walters, a déclaré que les tarifs américains étaient justifiés parce que la Chine crée une surabondance mondiale d'acier avec son offre excédentaire.
"Au lieu de cibler les exportations américaines équitables, la Chine doit mettre un terme à ses pratiques commerciales déloyales qui nuisent à la sécurité nationale américaine et faussent les marchés mondiaux", a déclaré Walters dans un communiqué.
Pendant ce temps, les Chinois appellent à un nouveau cycle de négociations commerciales avec les Etats-Unis après que les Etats-Unis n'aient pas répondu à la demande de la Chine du 26 mars pour un dialogue sur les tarifs de l'acier et de l'aluminium.
Plus tôt lundi, la secrétaire de presse de la Maison Blanche, Sarah Huckabee Sanders, a déclaré que le président "faisait exactement ce qu'il avait dit qu'il allait faire" pour aider à réduire le déficit commercial américain avec la Chine.
Pour rappel, voici la liste des importations américaines sur lesquelles la Chine a imposé des tarifs compris entre 15% et 25%.
- voir sur site la liste des 78 produits imposés -
https://www.zerohedge.com/news/2018-04-02/white-house-chinas-overcapacity-causing-global-steel-crisis
Ne vous méprenez pas sur Facebook, Google est le «grand frère» que vous devriez connaître
RépondreSupprimerRT Nouvelles
2 avril 2018
Le scandale de Cambridge Analytica a mis Facebook à rude épreuve ces dernières semaines, perdant 100 milliards de dollars en valeur boursière et provoquant un débat mondial sur la protection de la vie privée sur Internet.
Le géant des médias sociaux a été contraint de s'excuser et de réviser ses pratiques de confidentialité et de partage de données, mais il reste sous les projecteurs des médias et dans le collimateur de la Federal Trade Commission, qui peut être responsable de centaines de millions d'amendes.
Mais au milieu de toute la fureur, une entité monolithique a continué à récolter des données de milliards de personnes dans le monde entier. Les données recueillies comprennent un journal précis de tous vos déplacements et de toutes les recherches sur Internet que vous avez effectuées, chaque courriel que vous avez envoyé, votre routine d'entraînement, votre nourriture préférée et toutes les photos que vous avez prises. Et vous avez permis que cela arrive à vous-même, dans l'intérêt d'un meilleur service et d'une publicité plus pertinente.
Google est un «Big Brother» avec des capacités au-delà des cauchemars les plus fous de George Orwell. Ces capacités sont d'autant plus inquiétantes que la société mère de Google, Alphabet Inc., a coupé sa fameuse ligne «ne soyez pas mauvais» de son code de conduite en 2015.
Tout ce que vous avez recherché sur l'un de vos appareils est enregistré et stocké par Google. C'est fait pour mieux prédire vos futures recherches et accélérer et rationaliser votre navigation. Vous pouvez effacer votre historique de recherche, mais cela ne fonctionne que pour cet appareil particulier. Google conserve toujours un enregistrement de tout. Cliquez ici pour voir tout ce que vous avez déjà recherché sur un appareil Google.
La même chose vaut pour chaque application et extension que vous utilisez. S'il est connecté à Google, vos données sont stockées. Cela signifie que vos messages Facebook ne sont pas seulement exportés vers des sociétés comme Cambridge Analytica, Google les a également à partir de l'application Facebook que vous utilisez.
YouTube, qui est une filiale de Google, stocke également un historique de chaque vidéo que vous regardez. Il saura si vous avez écouté «In the End» de Linkin Park 3 569 fois, ou regardé des heures de vidéos de théorie du complot de la terre plate.
De même, tous les fichiers que vous avez stockés sur Google Drive, les événements Google Agenda auxquels vous avez participé, les photos que vous avez stockées sur Google Photos et tous les e-mails que vous avez envoyés sont stockés. Vous pouvez accéder à une copie de toutes ces données en demandant un lien de Google ici.
Ce qui frappe peut-être le plus, cependant, c'est que Google garde la trace de l'endroit où vous êtes et de la façon dont vous y êtes arrivé, en tout temps. Si vous avez un smartphone, il y a de fortes chances qu'il fonctionne sous le système d'exploitation Android, compte tenu des téléphones Android représentent 82 pour cent de la part du marché mondial. C'est plus de 2 milliards d'utilisateurs actifs par mois.
Et, à moins que vous n'ayez désactivé cette fonctionnalité, cliquer ici vous montrera la liste de tous les trajets que vous avez effectués avec votre téléphone, y compris une estimation de la façon dont vous avez voyagé. Si vous passez d'un emploi à l'autre à la même heure tous les jours, Google sait que c'est votre trajet. Ce trafic lourd avertissement Google Maps vous donne sur votre route de retour à la maison; Google sait qu'il y a un embouteillage car il sait que chaque téléphone Android dans chaque voiture se déplace plus lentement que d'habitude à cette heure de la journée.
RépondreSupprimerGoogle ne le fait pas derrière votre dos. Sur un bureau, Google Chrome permet aux sites d'accéder par défaut à l'appareil photo et au microphone de votre ordinateur. Sur un smartphone, accepter les conditions d'utilisation d'une application permet à l'application de faire presque n'importe quoi, depuis l'accès à l'appareil photo et à l'emplacement de votre téléphone, jusqu'à l'enregistrement de vos appels et l'enregistrement de vos messages. L'application Facebook, par exemple, nécessite 44 autorisations de ce type.
Il est possible de désactiver la plupart des fonctionnalités de suivi de Google, y compris l'historique des recherches, le calendrier de diffusion et la publicité ciblée, mais cela demande un peu de rigueur dans les menus de paramètres. Et bien sûr, Google affirme que ce n'est pas en associant les données avec vous, en tant que personne - à la place, c'est lié à votre «identifiant publicitaire», et jamais partagé à moins que vous le vouliez. Ou à moins qu'un gouvernement ne demande à Google de le faire - ce que les agences gouvernementales américaines ont fait à elles seules près de 17 000 fois au premier semestre 2017, avec plus de 80% de demandes satisfaites, au moins dans une certaine mesure.
Reproduit de RT News.
https://www.lewrockwell.com/2018/04/no_author/never-mind-facebook-google-is-the-all-seeing-big-brother-you-should-know-about/
La conspiration du pétrole pour le climat «Fumer le pistolet» monte en fumée
RépondreSupprimerEric Worrall
2 avril 2018
Le procès contre Californie contre Chevron cinq entreprises pétrolières ne va pas bien pour les verts. Après avoir suggéré que le climatologue Miles Allen a présenté un graphique trompeur sur le gaz carbonique, et après avoir été admis par l'océanographe Gary Griggs que les glaciations et d'autres changements climatiques violents, bien plus importants que le réchauffement actuel, peuvent être causés par des forçages naturels, le juge Alsup pièce maîtresse de la charge de conspiration, le mémo "Smoking Gun".
Les alarmistes du climat peuvent hériter du vent
Ils ont comparé un «tutoriel» de la salle d'audience au procès Scopes Monkey. Mais leur camp a été éduqué.
Par Phelim McAleer
1er avril 2018 13h58
San Francisco
Cinq compagnies pétrolières américaines se retrouvent dans une salle d'audience de San Francisco. Californie v. Chevron est une action civile intentée par les avocats de San Francisco et Oakland, qui accusent les accusés de créer une «nuisance publique» en contribuant au changement climatique et de conspirer pour le couvrir afin qu'ils puissent continuer à tirer profit.
...
«Jusqu'à présent, les entreprises de combustibles fossiles ont pu parler de science du climat dans les domaines politiques et médiatiques où la responsabilité est moins redevable», a déclaré Michael Burger du Centre Sabin pour le changement climatique à l'Université Columbia. L'audience a marqué une évolution vers la reddition de comptes - mais peut-être pas de la manière dont les militants auraient aimé.
...
Le juge Alsup a été particulièrement cinglant au sujet de l'allégation de conspiration. Les plaignants ont allégué que les compagnies pétrolières étaient en possession de documents «fumigènes» qui prouveraient leur responsabilité; M. Boutrous a déclaré qu'il s'agissait simplement d'un résumé interne du rapport du GIEC publié en 1995.
Le juge a dit qu'il a lu les allégations du procès pour signifier "qu'il y avait un document de conspiration chez les accusés sur la façon dont ils savaient bien et bien que le réchauffement climatique était juste autour du coin. Et j'ai dit: "OK, ça va être une grosse chose. Je veux le voir. »Eh bien, il s'est avéré que ce n'était pas tout à fait ça. Qu'est-ce que c'était, était un diaporama montrant que quelqu'un était allé au GIEC et rapportait ce que le GIEC avait rapporté, et c'était tout. Rien de plus. Donc, ils étaient au courant de ce que le GIEC a dit à partir de ce document, mais il est difficile de dire qu'ils étaient au courant en secret. À ce moment-là, ils savaient. Tout le monde savait tout au GIEC », a-t-il déclaré.
Le juge Alsup s'est ensuite tourné vers M. Berman: «Si vous voulez répondre, je vous laisse répondre. . . . Tout ce que tu veux dire ? "
"Non", a dit l'avocat des plaignants. Sur quoi le juge Alsup a ajourné la procédure.
...
RépondreSupprimerEn savoir plus (paywalled): https://www.wsj.com/articles/climate-alarmists-may-inherit-the-wind-1522605526
Je suis assez choqué par la piètre préparation de l'affaire du plaignant vert.
Je pensais que nous allions participer à une véritable confrontation, un procès prolongé de plusieurs semaines qui permettrait à toutes les parties de présenter leurs meilleures preuves. Au contraire, à mon avis, il semble de plus en plus probable que les verts n'ont pas de jambe sur laquelle s'appuyer, que cette affaire a été lancée dans l'espoir désespéré que les compagnies pétrolières se contenteraient de plier et de remettre l'argent.
Autant que je sache, les plaignants verts n'ont pas encore présenté un seul élément de preuve contre les compagnies pétrolières qui ne peut être renversé dans les cinq minutes qui suivent le contre-interrogatoire. Même les HSH sont en train de s'en rendre compte, du moins d'après les preuves présentées à ce jour.
https://wattsupwiththat.com/2018/04/02/climate-oil-conspiracy-smoking-gun-goes-up-in-smoke/
Il est certain que la GIEC qui ne regroupe aucun scientifique ne peut parler de science.
SupprimerLa station spatiale chinoise s'écrase sur la Terre à 17 000 milles au large des côtes de Tahiti: une installation de neuf tonnes de la taille d'un bus scolaire s'écrase dans l'atmosphère dans une énorme boule de feu et manque juste le paradis tropical
RépondreSupprimerPar Tim Stickings Pour Mailonline et Rory Tingle
Pour Dailymail.com
12:05 BST, 2 avril 2018
- voir photos sur site -
La Chine hors de contrôle La station spatiale Tiangong 1 s'est écrasée sur la Terre à 17 000 miles/h au large de la côte de Tahiti lundi matin et s'est surtout désintégrée en atteignant l'atmosphère de la planète.
La disparition de la station spatiale de neuf tonnes avait fait l'objet de spéculations scientifiques pendant des mois au milieu des craintes que de gros morceaux de cette station puissent descendre près des centres de population.
Les experts ont été incapables de prédire où l'installation, qui est à peu près de la taille d'un autobus scolaire, descendrait mais à la fin, elle est rentrée dans l'atmosphère terrestre au-dessus du Pacifique Sud.
L'engin est rentré dans l'atmosphère autour de 8h15 heure de Beijing (0015 GMT) et la "grande majorité" de celui-ci avait brûlé lors de la rentrée, a indiqué le Bureau d'ingénierie spatial habité de Chine.
La vidéo montre la vie à l'intérieur de la défunte station spatiale chinoise Tiangong-1
- voir photos sur site -
La Chine hors de contrôle La station spatiale Tiangong 1 s'est écrasée sur la Terre à 17 000 miles /h (27358 km/h) au large de la côte de Tahiti lundi matin et s'est en grande partie désintégrée en atteignant l'atmosphère de la planète
La défunte station spatiale Tiangong 1 de la Chine a déferlé vers la Terre et est rentrée dans l'atmosphère lundi. Il est représenté dans une image radar non datée
Quelques minutes plus tôt, leur meilleure estimation a prédit qu'il devrait rentrer au large de la côte brésilienne dans l'Atlantique Sud près des villes de Sao Paulo et de Rio de Janeiro.
L'autorité spatiale chinoise a déclaré dimanche que la station atteindrait des vitesses de près de 17.000 mph (27358 km/h) avant de se désintégrer. Ils ont dit précédemment que sa désintégration ardente offrirait un spectacle «splendide» semblable à une pluie de météores, mais l'endroit éloigné privait probablement les astronomes d'un spectacle de boules de feu tombant du ciel.
Les scientifiques surveillant l'orbite de désintégration de l'engin avaient prévu que l'engin brûlerait principalement et ne poserait que le moindre risque pour les gens. L'analyse du Centre de contrôle aérospatial de Beijing a montré qu'il avait principalement brûlé.
Les autorités ont indiqué que tous les débris de la station spatiale transporteraient de l'hydrazine - un carburant à haute toxicité - et ont averti les gens de s'abstenir de le toucher ou d'inhaler ses émanations.
L'Aerospace Corporation avait prédit plus tôt que la rentrée de Tiangong 1 aurait lieu dans les deux heures de chaque côté de la BST à 1h30 le lundi (20h30 le dimanche à New York et 10h30 le lundi à Sydney).
Le bureau d'ingénierie spatial habité de Chine avait initialement prédit qu'il rentrerait au large de la côte brésilienne dans l'Atlantique Sud près des villes de Sao Paulo et de Rio de Janeiro
RépondreSupprimerCeci est une impression d'artiste de la station spatiale Tiangong 1 éclatant dans une série de boules de feu à son retour dans l'atmosphère de la terre
Cette image de Flight Aware montre qu'il y avait très peu de vols commerciaux dans la région au moment où la station spatiale est rentrée dans l'atmosphère terrestre
Basé sur l'orbite de la station spatiale, il aurait pu revenir sur Terre quelque part 43 degrés nord et 43 degrés sud, une gamme couvrant la plupart des États-Unis, Chine, Afrique, Europe du Sud, Australie et Amérique du Sud.
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Le 18ème Escadron de Contrôle de l'Espace de l'US Air Force, qui suit et détecte tous les objets artificiels sur l'orbite terrestre, a déclaré avoir également suivi le Tiangong-1 alors qu'il rentrait dans l'atmosphère au-dessus du Pacifique Sud.
Il a indiqué dans une déclaration qu'ils avaient confirmé leur réintégration en coordination avec leurs homologues en Australie, au Canada, en France, en Allemagne, en Italie, au Japon, en Corée du Sud et en Grande-Bretagne.
Jonathan McDowell, un astronome du Centre d'astrophysique de Harvard-Smithsonian, a déclaré que le module a survolé Pyongyang et la ville japonaise de Kyoto pendant la journée, réduisant les chances de le voir avant qu'il ne frappe le Pacifique.
"Cela aurait été amusant pour les gens de le voir, mais il y aura d'autres rentrées", a déclaré McDowell à l'AFP. «Ce qu'il y a de bien, c'est que ça ne cause aucun dommage quand ça tombe et c'est ce que nous aimons.
Les autorités avaient averti que la probabilité qu'une personne soit frappée par des débris était considérée comme inférieure à un billion de dollars par l'Aerospace Corporation.
Le magnétologue Bryan Bennett a déclaré: «Quand il atteindra 65 miles au-dessus de la Terre, il ne pourra plus orbiter et commencera sa rentrée rapide. La débâcle atmosphérique commencera quand elle atteindra 50 milles au-dessus de la Terre et subira une rentrée de feu jusqu'à environ 30 milles.
Seulement environ 10% de l'engin spatial de 8,5 tonnes, de la taille d'un autobus, survivront vraisemblablement au brûlage à la rentrée, principalement ses composants plus lourds tels que ses moteurs.
Re-entrée conceptuelle de la Station spatiale Tiangong dans l'atmosphère
La station spatiale Tiangong 1 pèse 8,5 tonnes et mesure 34,1 pieds (10,4 m) de long. L'atterrissage devait initialement être déclassé en 2013, mais sa mission a été prolongée à plusieurs reprises.
La probabilité qu'un morceau de débris spatiaux frappe une personne au fur et à mesure que les restes tombent a été estimée à moins d'un millionième de million, soit un billion de dollars.
Cependant, les experts conseillent qu'il est préférable de ne pas toucher les débris spatiaux et de ne pas respirer les vapeurs dégagées si quelqu'un entre en contact avec lui.
Les scientifiques ont minimisé toutes les inquiétudes concernant le Tiangong-1 causant des dommages quand il retourne sur Terre. L'Agence spatiale européenne a noté que près de 6 000 réentrées incontrôlées de grands objets ont eu lieu au cours des 60 dernières années sans nuire à qui que ce soit.
RépondreSupprimerLes visiteurs sont assis à côté d'un modèle de la station spatiale Tiangong-1 de Chine en 2010. La station a accueilli deux missions en équipage et a servi de plate-forme d'essai pour perfectionner les procédures d'amarrage et d'autres opérations
De loin le plus grand objet descendu du ciel pour éclabousser à Point Nemo dans l'océan Pacifique Sud, en 2001, était le laboratoire spatial russe MIR, qui pesait 120 tonnes.
Jonathan McDowell, un astronome du Centre d'astrophysique Harvard-Smithsonian, estime que Tiangong-1 est la 50ème réapparition incontrôlée la plus massive d'un objet depuis 1957, quand l'Union Soviétique a lancé Spoutnik 1 - le premier satellite artificiel au monde.
À une altitude de 37 à 43 milles, les débris commenceront à se transformer en «une série de boules de feu», ce qui signifie que les gens au sol «verront un spectacle spectaculaire», a-t-il dit.
Les experts ne connaîtront pas l'emplacement précis et la vitesse de la station spatiale, mais on pense qu'elle voyage à environ 17 000 miles par heure.
La Chine a hissé Tiangong-1, son premier laboratoire spatial habité, dans l'espace en 2011. Elle était prévue pour une rentrée contrôlée mais les ingénieurs au sol ont perdu le contrôle en mars 2016 de l'engin de huit tonnes en mars 2016, date à laquelle elle a commencé descente vers une fin ardente.
Source: Aerospace Corporation
La station devait apparaître samedi à midi, mais a ralenti en raison des changements dans les conditions météorologiques dans l'espace, selon l'Agence spatiale européenne.
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L'agence a déclaré que le temps était plus calme dans l'espace car un flux de particules solaires à haute vitesse n'entraînait pas une augmentation de la densité de la haute atmosphère, comme prévu.
Une telle augmentation de la densité aurait fait baisser le vaisseau spatial plus tôt, il a dit.
La fenêtre de rentrée était «très variable», avait déjà averti l'ESA. Il y avait une incertitude similaire quant à l'endroit où les débris du laboratoire pourraient atterrir aussi bien.
"Les vitesses élevées des satellites qui reviennent signifient qu'ils peuvent parcourir des milliers de kilomètres pendant cette fenêtre, ce qui rend très difficile la prédiction d'un emplacement précis", a déclaré Holger Krag, chef du bureau des débris spatiaux de l'ESA. le site web de l'agence.
L'ESA a ajouté, cependant, que le laboratoire spatial se décomposera probablement au-dessus de l'eau, qui couvre la majeure partie de la surface de la planète. Et il a décrit la probabilité que quelqu'un soit frappé par un morceau de débris de Tiangong-1 comme «10 millions de fois plus petit que la probabilité annuelle d'être frappé par la foudre».
Il n'y a «pas besoin de s'inquiéter», a déclaré le China Manned Space Engineering Office plus tôt sur son compte de médias sociaux WeChat.
Le laboratoire spatial de Tiangong-1 (photographié sur une image non datée prise avant que les équipes au sol n'en prennent le contrôle) a fait un retour en fanfare sur Terre lundi.
RépondreSupprimerLes techniciens du Centre spatial de Jiuquan surveillent le vaisseau spatial Shenzhou-9 alors qu'il se prépare à entrer en liaison avec Tiangong-1 en 2012
Tiangong-1 - ou "Heavenly Palace" - a été placé en orbite en septembre 2011 et avait été prévu pour une rentrée contrôlée, mais il a cessé de fonctionner en Mars 2016 et les amateurs de l'espace se préparent pour son retour fougueux depuis.
La station a accueilli deux missions en équipage et a servi de plate-forme d'essai pour perfectionner les procédures d'amarrage et d'autres opérations. Son dernier équipage est parti en 2013 et le contact a été coupé en 2016.
Au cours de sa brève existence, il a accueilli des astronautes chinois à plusieurs reprises alors qu'il effectuait des expériences et qu'il enseignait même une classe qui était diffusée dans les écoles à travers le pays.
L'astronome Jonathan McDowell du Centre d'astrophysique Harvard-Smithsonian a tweeté cette image de lui-même alors qu'il se joignait à d'autres experts pour suivre la descente de Tiangong 1 sur Terre.
L'ESA a déclaré que le laboratoire effectuerait une «rentrée incontrôlée» car les équipes au sol ne sont plus en mesure de tirer ses moteurs ou ses propulseurs pour des ajustements orbitaux.
Le concepteur en chef du laboratoire spatial chinois, Zhu Zongpeng, a nié que Tiangong était hors de contrôle, mais n'a pas fourni de détails sur ce que la Chine faisait pour guider le retour de l'engin sur Terre.
Pékin voit son programme spatial de plusieurs milliards de dollars comme un symbole de l'ascension du pays. Il prévoit d'envoyer une mission habillée sur la lune à l'avenir.
La Chine a envoyé un autre laboratoire, Tiangong-2, en orbite en septembre 2016, en tant que tremplin vers son objectif d'avoir une station spatiale avec équipage d'ici 2022.
Pékin a commencé son programme de vols spatiaux habités en 1990 après avoir acheté la technologie russe qui lui a permis de devenir le troisième pays ayant la capacité de lancer des humains dans l'espace, à la suite de l'ex-Union soviétique et des États-Unis.
Lors de la rentrée, la drague atmosphérique va arracher les réseaux solaires, antennes et autres composants externes à une altitude d'environ 60 miles, selon le bureau spatial chinois.
La chaleur et les frottements s'intensifient, provoquant la destruction ou la destruction de la structure principale, qui devrait se désintégrer à une altitude d'environ 50 milles.
La plupart des fragments se dissiperont dans l'air et une petite quantité de débris tombera relativement lentement avant d'atterrir sur des centaines de kilomètres carrés, très probablement dans l'océan, qui couvre plus de 70% de la surface de la Terre.
Point Nemo, le cimetière aquatique de la Terre pour les vaisseaux spatiaux
Les scientifiques chinois de l'espace ne contrôlaient pas leur laboratoire en orbite autour de Tiangong-1 quand il est retourné sur Terre et dans une partie reculée de l'océan Pacifique lundi. Mais s'ils l'avaient été, ils auraient essayé de le faire atterrir.
Par pur hasard, tout ce qui n'a pas brûlé dans l'atmosphère devrait s'être effondré quelque part près de l'endroit abandonné qui est parmi les endroits les plus reculés de la planète.
RépondreSupprimerOfficiellement appelé «pôle océanique d'inaccessibilité», ce cimetière aquatique pour réservoirs de titane et autres débris spatiaux de haute technologie est mieux connu des junkies de l'espace que Point Nemo, en l'honneur du capitaine sous-marin fictif de Jules Verne.
'Point Nemo' est un cimetière aquatique pour les réservoirs de carburant en titane et autres débris spatiaux de haute technologie
- voir photos sur site -
'Nemo' est aussi latin pour 'personne'.
Point Nemo est plus loin de la terre que tout autre point sur le globe: 2 688 kilomètres (environ 1 450 miles) des îles Pitcairn au nord, une des îles de Pâques au nord-ouest et l'île Maher - une partie de l'Antarctique - à Sud.
"Son aspect le plus intéressant pour les rentrées contrôlées est que personne ne vit là-bas", a déclaré Stijn Lemmens, spécialiste des débris spatiaux à l'Agence spatiale européenne à Darmstadt, en Allemagne.
Par coïncidence, il est également biologiquement pas très diversifié. Donc, il est utilisé comme une décharge - «cimetière spatial» serait un terme plus poli - principalement pour les vaisseaux spatiaux de fret », a déclaré à l'AFP.
Quelque 250 à 300 vaisseaux spatiaux - qui ont pour la plupart brûlé en creusant un chemin dans l'atmosphère terrestre - ont été déposés là-bas, a-t-il dit.
De loin, le plus gros objet descendu du ciel pour éclabousser à Point Nemo, en 2001, était le laboratoire spatial russe MIR, qui pesait 120 tonnes.
"Il est couramment utilisé de nos jours par les capsules (russes) Progress, qui vont et viennent à la station spatiale internationale (ISS)", a déclaré Lemmens.
L'énorme ISS de 420 tonnes a aussi rendez-vous avec le destin à Point Nemo, en 2024.
À l'avenir, la plupart des vaisseaux spatiaux seront «conçus pour disparaître» avec des matériaux qui fondent à des températures plus basses, les rendant beaucoup moins susceptibles de survivre à la rentrée et de frapper la surface de la Terre.
La NASA et l'ESA, par exemple, passent du titane à l'aluminium dans la fabrication des réservoirs de carburant.
La Chine a hissé Tiangong-1, son premier laboratoire spatial habité, dans l'espace en 2011. Elle était prévue pour une rentrée contrôlée mais les ingénieurs au sol ont perdu le contrôle de l'engin de huit tonnes en mars 2016, date à laquelle elle a commencé sa descente vers fin ardente.
La disparition du laboratoire a fait l'objet de nombreux bavardages parmi les observateurs de l'espace depuis des mois, l'incertitude de sa rentrée atmosphérique attirant beaucoup d'attention ces derniers jours.
Les scientifiques avaient seulement pu donner la plus générale des prévisions pour exactement quand et où le laboratoire retournerait sur Terre, offrant une énorme bande de la planète qui incluait presque toute l'Amérique du Sud, l'Afrique et l'Asie, ainsi que les parties sud des océans Atlantique et Pacifique.
Malgré l'imprécision de leurs prévisions, les scientifiques ont déclaré qu'ils pouvaient être relativement sûrs que personne ne serait blessé par les restes du laboratoire, et ont déclaré qu'ils atterriraient probablement dans l'océan.
RépondreSupprimerLe rêve de l'espace en Chine: une longue marche vers la lune
Le retour sur Terre d'un ancien laboratoire spatial chinois ne ralentira pas les plans ambitieux de Pékin d'envoyer des humains sur la Lune.
Le module spatial Tiangong-1, qui s'est écrasé lundi, devait servir de tremplin vers une station habitée, mais ses problèmes mettent en évidence les difficultés de l'exploration de l'espace.
Mais la Chine a parcouru un long chemin dans sa course pour rattraper les Etats-Unis et la Russie, qui ont perdu des vaisseaux spatiaux, des astronautes et des cosmonautes au cours des décennies.
Les «taïkonautes» chinois se sont mieux comportés et Pékin considère que son programme spatial dirigé par l'armée est un marqueur de sa stature mondiale croissante et de sa puissance technologique croissante.
De grands rêves d'espace: Un modèle 3D de la station spatiale chinoise Tiangong en orbite autour de la planète Terre
Peu de temps après le lancement de Spoutnik par l'Union Soviétique en 1957, le président Mao Zedong a déclaré: «Nous ferons nous aussi des satellites».
Il a fallu plus d'une décennie, mais en 1970, le premier satellite de la Chine est sorti dans l'espace à l'arrière d'une fusée Longue Marche.
Le vol spatial humain a pris des décennies, avec la première mission réussie en 2003.
A l'approche du lancement de l'astronaute Yang Liwei en orbite, l'angoisse de la viabilité de la mission a poussé Pékin à annuler une émission de télévision en direct à la toute dernière minute.
Malgré le suspense, cela s'est bien passé, Yang étant en orbite autour de la Terre 14 fois pendant son vol de 21 heures à bord du Shenzhou 5.
Depuis lors, la Chine a envoyé des hommes et des femmes dans l'espace avec une régularité croissante.
Sur les traces des États-Unis et de la Russie, la Chine s'efforce d'ouvrir une station spatiale autour de notre planète.
Rôdant la lune: Le "Jade Rabbit" de 300 livres est vu toucher la surface lunaire et laisser des traces profondes sur son sol meuble sur des images de vidéosurveillance de décembre 2013
- voir photos sur site -
Le Tiangong-1 a été abattu en orbite en septembre 2011.
En 2013, la deuxième femme chinoise dans l'espace, Wang Yaping, a donné un cours vidéo à l'intérieur du module spatial retransmis aux enfants du pays le plus peuplé du monde.
Le laboratoire était également utilisé pour des expériences médicales et, plus important encore, pour des tests destinés à préparer la construction d'une station spatiale.
Le laboratoire a été suivi par le rover lunaire «Jade Rabbit» en 2013, qui a d'abord ressemblé à un raté quand il est devenu dormant et a cessé d'envoyer des signaux vers la Terre.
RépondreSupprimerLe rover a fait une reprise spectaculaire, en fin de compte, en observant la surface de la lune pendant 31 mois, bien au-delà de sa durée de vie prévue.
En 2016, la Chine a mis en orbite sa deuxième station, le laboratoire Tiangong-2, à 393 kilomètres au-dessus de la Terre, ce qui, selon les analystes, servira de dernière pierre avant que la Chine ne lance une station spatiale habitée.
Les astronautes qui ont visité la station ont fait des expériences sur la culture du riz et du thale cresson et des vaisseaux spatiaux.
Sous le président Xi Jinping, les plans pour le «rêve spatial» de la Chine, comme il l'appelle, ont été mis en surmultiplication.
La nouvelle superpuissance cherche enfin à rattraper les États-Unis et la Russie après des années d'appariement tardif de leurs jalons spatiaux.
Les ambitions commencent avec une station spatiale qui devrait commencer à assembler des pièces dans l'espace en 2020 avec une utilisation habillée pour commencer vers 2022 - la Chine a délibérément été exclue de l'effort de la Station spatiale internationale.
La Chine envisage également de construire une base sur la lune, a annoncé au début de mars le Global Times, cité par l'Etat, citant le chef du Parti communiste de l'Académie des technologies spatiales de Chine.
L'avant-poste sera d'abord contrôlé par des robots d'intelligence artificielle jusqu'à ce que des humains soient envoyés pour le gérer de temps en temps, selon le responsable.
Mais le travail lunaire a connu un revers l'année dernière lorsque la Longue-5 Y2, une puissante fusée de transport lourd, n'a pas été lancée en juillet pour une mission d'envoi de satellites de communication en orbite.
L'échec a forcé le report du lancement de la sonde lunaire Chang'e-5, initialement prévue pour recueillir des échantillons de la lune dans la seconde moitié de 2017.
L'agence de presse officielle Xinhua a cité un concepteur du Programme lunaire chinois d'exploration qui a déclaré la semaine dernière que le Chang'e 5 devrait atterrir en 2019 et ramener des échantillons de la lune sur Terre.
Un autre robot, le Chang'e-4, doit encore atterrir en 2018 pour le "premier atterrissage en douceur et arpentage de l'autre côté de la lune", a déclaré Zuo Wei, concepteur en chef adjoint du CLEP Ground Application System. .
Les astronautes et les scientifiques chinois ont également parlé des missions habitées sur Mars alors qu'ils s'efforcent de devenir une «puissance spatiale mondiale».
Terminaisons enflammées pour les engins spatiaux: Qu'est-il arrivé aux fusées qui reviennent sur Terre ?
Peu de temps après que la station spatiale Tiangong-1 soit rentrée lundi dans l'atmosphère de la Terre, la plus grande partie a été vaporisée, ont indiqué les responsables de l'espace chinois, les restes étant censés s'être abattus dans l'océan Pacifique.
Le laboratoire de l'espace défunte rejoint une longue liste d'engins qui ont brûlé lorsqu'ils ont regagné la Terre.
Voici les plus célèbres:
- voir photos sur site -
Mir - 2001
Lancée en 1986, la station Mir était autrefois un fier symbole du succès soviétique dans l'espace, malgré une série d'accidents très médiatisés et de problèmes techniques.
Retour à la terre: Des morceaux de la station spatiale russe Mir traverse le ciel au-dessus des Fidji alors qu'il fait sa descente dans l'atmosphère terrestre 23 mars 2001
Mais les autorités russes, à court de liquidités après l'effondrement de l'Union soviétique, ont choisi d'abandonner l'avant-poste en orbite à la fin des années 1990 et de consacrer leurs ressources à la Station spatiale internationale.
RépondreSupprimerLa station massive de 140 tonnes a été détruite par l'agence spatiale russe sur l'océan Pacifique entre la Nouvelle-Zélande et le Chili, et ses débris enflammés ont été observés à travers le ciel au-dessus des îles Fidji.
Salyut 7 - 1991
Salyut 7, lancé en 1982, était le dernier laboratoire en orbite sous le programme Salyut de l'Union Soviétique.
Lorsque la station spatiale Mir a été lancée en 1986, les autorités spatiales soviétiques ont poussé Salyut 7 vers une orbite plus haute et l'ont abandonnée là-bas.
Il était censé rester en orbite jusqu'en 1994, mais une augmentation inattendue de la traînée par l'atmosphère terrestre l'a fait dégringoler en 1991.
La station de 40 tonnes s'est rompue à la rentrée et les parties qui ont survécu se sont dispersées au-dessus de l'Argentine.
Russes dans l'espace: la station spatiale Mir est vue depuis une navette spatiale à proximité en 1995
Skylab - 1979
Skylab a été la première station spatiale américaine, lancée par la NASA en 1973, et a été équipée jusqu'en 1974.
Il y avait des propositions pour le remettre à neuf plus tard dans la décennie, mais l'orbite du laboratoire a commencé à se désintégrer et la NASA a dû se préparer pour son retour dans l'atmosphère terrestre avec seulement un contrôle partiel sur où il descendrait.
La descente finale de 85 tonnes de Skylab au-dessus de l'Australie était un événement médiatique mondial, certains journaux offrant des milliers de dollars aux personnes qui ont récupéré des parties de la station qui a atterri.
Columbia - 2003
La désintégration de grands engins spatiaux n'a pas toujours été sans tragédie.
En 2003, la navette spatiale Columbia de la NASA s'est brisée lors de son retour dans l'atmosphère à la fin de la mission STS-107, tuant les sept astronautes à bord.
L'aile gauche de Columbia a été endommagée par un débris lors du lancement, ce qui a empêché la navette de résister aux températures extrêmes générées par la rentrée, ce qui a provoqué son éclatement.
Les débris enflammés de l'engin de 80 tonnes ont été capturés dans le ciel du sud des États-Unis par des chaînes de télévision locales, avec des dizaines de milliers de pièces de la navette condamnées dispersées au Texas et en Louisiane.
http://www.dailymail.co.uk/news/article-5567801/Chinese-space-station-hurtling-Earth-set-enter-atmosphere-hours.html#ixzz5Ba8UFAco
(...) Les scientifiques ont minimisé toutes les inquiétudes concernant le Tiangong-1 causant des dommages quand il retourne sur Terre. L'Agence spatiale européenne a noté que près de 6 000 rentrées incontrôlées de grands objets ont eu lieu au cours des 60 dernières années sans nuire à qui que ce soit. (...)
Supprimer'près de 6 000 rentrées incontrôlées' !!!? HUM-HUM ! Il n'y a jamais 6000 rentrées dites 'incontrôlées' mais plutôt 6000 rentrées contrôlées par la station de Gakona en Alaska ou de Sura en Russie. Car si elle était incontrôlée (!!) malgré que la surface océanique recouvre plus de 74 % de notre planète et qu'il y ait dont 3 chances sur 4 qu'elle tombe à l'eau peut tomber sur un bateau ou une île.
Donc, ne parlons pas de 6000 non-contrôlées !
(...) Malgré l'imprécision de leurs prévisions, les scientifiques ont déclaré qu'ils pouvaient être relativement sûrs que personne ne serait blessé par les restes du laboratoire, et ont déclaré qu'ils atterriraient probablement dans l'océan. (...)
Parlons plutôt de la haute technologie scalaire employée.
La glace recouvrant une zone de la taille de LONDRES a fondu sous l'Antarctique en raison du réchauffement des océans
RépondreSupprimerPar Ellie Zolfagharifard
pour MailOnline
16:23 BST, 2 avril 2018
La grande calotte glaciaire de l'Antarctique devient de plus en plus instable.
Une nouvelle étude a trouvé sa perte de terrain car elle est érodée par l'eau chaude de l'océan circulant sous son bord flottant.
En l'espace de six ans seulement, l'océan Austral a fondu 564 m2 (1 463 km2) de glace sous-marine de l'Antarctique - une superficie équivalente à celle du Grand Londres.
Si toutes les calottes glaciaires de l'Antarctique fondaient à cause du réchauffement de la planète, le continent augmenterait le niveau de la mer d'au moins 56 mètres (183 pieds).
- voir carte sur site -
Cette carte montre les changements dans la migration de la ligne de base parallèlement aux conditions océaniques autour de l'Antarctique entre 2010 et 2016
Des recherches menées par le Centre britannique d'observation et de modélisation polaires (CPOM) à l'Université de Leeds ont produit la première carte complète de la façon dont le bord sous-marin de la calotte glaciaire se déplace.
La plupart des glaciers antarctiques s'écoulent directement dans l'océan dans des creux profonds sous-marins.
La ligne d'ancrage est l'endroit où leur base quitte le fond marin et commence à flotter.
L'étude, publiée aujourd'hui dans Nature Geoscience, est menée par une équipe dirigée par le Dr Hannes Konrad de l'Université de Leeds.
Il a constaté que la ligne d'échouement a été extrême à huit des 65 plus grands glaciers de la calotte glaciaire.
- voir photo sur site -
L'Antarctique se rétrécit parce que le fond marin est érodé par l'eau chaude. Sur la photo est une image de fissures de mèches au glacier Rutford à sa ligne d'échouage
Le rythme de la déglaciation depuis la dernière période glaciaire est d'environ 25 mètres par an.
Le recul de la ligne d'échouage sur ces glaciers est plus de cinq fois plus rapide.
Les plus grands changements ont été observés dans l'Antarctique occidental, où plus d'un cinquième de la calotte glaciaire a reculé plus rapidement que le rythme de la déglaciation.
Le Dr Konrad a déclaré: «Notre étude fournit des preuves évidentes que la fonte se produit à travers la nappe de glace en raison de la fonte des océans à sa base, et pas seulement aux quelques endroits qui ont été cartographiés auparavant.
«Cette retraite a eu un impact énorme sur les glaciers intérieurs, car les libérer des fonds marins élimine les frictions, les amenant à accélérer et à contribuer à l'élévation globale du niveau de la mer.»
Les chercheurs ont également trouvé un comportement inattendu.
Bien que le retrait de la ligne de mise à la terre du glacier Thwaites en Antarctique de l'Ouest ait accéléré, le glacier Pine Island voisin - qui était jusqu'à récemment l'un des plus rapides du continent - s'est arrêté.
RépondreSupprimerL'équipe a pu suivre le mouvement de la ligne d'ancrage de l'Antarctique en utilisant CryoSat-2 de l'Agence spatiale européenne sur 16 000 km du littoral
- voir photo sur site -
Ce graphique montre comment le mouvement horizontal des lignes d'échouage des glaciers est détecté à l'aide de mesures satellitaires de leur altitude.
L'équipe a pu suivre le mouvement de la ligne d'ancrage de l'Antarctique en utilisant CryoSat-2 de l'Agence spatiale européenne sur 16 000 km du littoral. Ces graphiques montrent comment le mouvement horizontal des lignes d'échouage des glaciers est détecté à l'aide de mesures satellitaires de leur altitude.
Les graphiques montrent comment les vents en Antarctique peuvent faire fondre les glaciers
- voir photo sur site -
Cela suggère que l'océan qui fond à sa base a peut-être fait une pause.
Dr Konrad a ajouté: «Ces différences soulignent la nature complexe de l'instabilité de la calotte glaciaire à travers le continent, et être en mesure de les détecter nous aide à identifier les zones qui méritent une étude plus approfondie.
Les lignes d'échouage se trouvent généralement à un kilomètre ou plus au-dessous du niveau de la mer et sont inaccessibles même aux submersibles, de sorte que les méthodes de télédétection pour les détecter sont extrêmement précieuses.
L'équipe a pu suivre le mouvement de la ligne d'ancrage de l'Antarctique en utilisant CryoSat-2 de l'Agence spatiale européenne sur 16 000 km du littoral.
Bien que CryoSat-2 soit conçu pour mesurer les changements dans l'élévation de la calotte glaciaire, ceux-ci peuvent être traduits en mouvement horizontal à la ligne d'ancrage en utilisant la connaissance de la géométrie du glacier et du fond marin. la hauteur de sa surface.
Le co-auteur de l'étude, le professeur Andy Shepherd de l'Ecole de la Terre et de l'Environnement de Leeds, a déclaré: «Ce sont des endroits inaccessibles par le dessous, généralement invisibles sur le terrain. et comprendre le changement environnemental.
COMMENT POURRAIT REDUIRE LES NIVEAUX DE MER DE L'ANTARCTIQUE ?
L'Antarctique contient une énorme quantité d'eau.
Les trois nappes de glace qui recouvrent le continent contiennent environ 70% de l'eau douce de notre planète - et tout ceci est pour réchauffer l'air et les océans.
Si toutes les calottes glaciaires fondaient en raison du réchauffement climatique, l'Antarctique augmenterait les niveaux de la mer d'au moins 56 mètres.
Compte tenu de leur taille, même de petites pertes dans les calottes glaciaires pourraient avoir des conséquences mondiales.
RépondreSupprimerEn plus de l'élévation du niveau de la mer, l'eau de fonte ralentirait la circulation océanique mondiale, tandis que la modification des ceintures pourrait affecter le climat de l'hémisphère sud.
En février 2018, la NASA a révélé que les épisodes El Niño provoquaient la fonte de la plate-forme glaciaire antarctique jusqu'à 25 cm (10 pouces) chaque année.
El Niño et La Niña sont des événements distincts qui modifient la température de l'eau de l'océan Pacifique.
L'océan oscille périodiquement entre plus chaud que la moyenne pendant El Niños et plus froid que la moyenne pendant La Niñas.
En utilisant l'imagerie satellite de la Nasa, les chercheurs ont constaté que les phénomènes océaniques font fondre les plates-formes de glace de l'Antarctique tout en augmentant les chutes de neige.
En Mars 2018, il a été révélé que plus d'un glacier géant de taille France en Antarctique flotte sur l'océan que ce que l'on pensait auparavant.
Cela a fait craindre qu'il pourrait fondre plus vite à mesure que le climat se réchaufferait et qu'il aurait un impact dramatique sur l'élévation du niveau de la mer.
http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-5569573/Warming-oceans-melting-Antarctica-beneath.html#ixzz5BaI4y3Ib
(...) Si toutes les calottes glaciaires de l'Antarctique fondaient à cause du réchauffement de la planète, le continent augmenterait le niveau de la mer d'au moins 56 mètres (183 pieds). (...)
SupprimerUn peu con, non ? Si la glace fond: elle PERD du volume et non en gagne. Mettre une bouteille d'eau en plastique au congélateur et regardez là, elle 'double' de volume. Par contre, au soleil: elle PERD du volume ! Cà alors !!!
Les pôles ont aussi des sources chaudes sous la glace:
https://huemaurice5.blogspot.fr/2017/12/est-ce-que-40-000-volcans-sont.html
https://huemaurice5.blogspot.fr/2015/03/les-volcans-sous-marins-finalement-pris.html
https://www.ventusky.com
https://huemaurice5.blogspot.fr/2018/01/la-terre-est-une-planete-froide.html
Ne pas oublier que: Depuis des millions d'années, ce sont des milliards de km³ d'eaux douce (venues des pluies, des fleuves et des rivières) qui se sont déversés dans les océans (et continuent à le faire !) SANS QUE 'LA MER MONTE' !!! Çà alors !!
L'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océanique vers le magma où elle est chauffée/brûlée et ressort toute propre (et GRATUITEMENT !) aux nappes phréatique, sources terrestres et sous-marines (chaude, froide et/ou gazeuse).
Comment expliqueriez vous çà Mr Ellie Zolfagharifard ? Hahahaha !
Un sur 100 des crimes sur Internet se termine par une condamnation et 99% des escrocs échappent à la justice, selon un commissaire de police, qui affirme que les systèmes «ne pourraient pas faire face» si tous les rapports étaient transmis
RépondreSupprimerPar Rebecca Camber Crime Correspondant
Pour le Daily Mail
00h44 BST, 3 avril 2018
Un seul cas de cybercriminalité sur dix fait l'objet d'une enquête policière et 99 % des escrocs échappent à la justice, des statistiques choquantes révélées la nuit dernière.
Le commissaire de police de la ville de Londres, Ian Dyson, a reconnu que «nous ne pouvons pas nous en sortir pour sortir de ce problème».
M. Dyson a déclaré que l'explosion de la fraude et de la cybercriminalité signifie qu'il est impossible de transporter tous les coupables devant les tribunaux, ajoutant: "Vous avez plus de chance de recevoir de l'argent en ligne que vous êtes dans la rue."
L'agent, qui a été victime d'une fraude par carte, a également déclaré que certaines escroqueries en ligne étaient si simples à mettre en place, il a demandé pourquoi les criminels prendraient la peine de voler une banque.
Il estime que l'ampleur du problème est si vaste que le système national de déclaration «ne pourrait pas faire face» si les banques transmettaient tous leurs rapports de fraude à la police.
Décrivant la cybercriminalité comme une «industrie», M. Dyson a déclaré que ses agents devaient être honnêtes avec les victimes quant aux risques de capture des coupables: «Dès le début, nous gérons les attentes, mais ce que nous ne voulons pas, c'est un état d'esprit dit qu'il ne sert à rien de nous rapporter parce que nous n'allons rien faire.
M. Dyson a déclaré que les nouveaux chiffres montraient qu'il y avait eu 735 098 fraudes et cybercrimes au Royaume-Uni au cours des 12 mois précédant mars 2017. Mais dans la même période, seulement 71 133 rapports - moins de 10 % - ont fait l'objet d'une enquête. Les chiffres montrent que 8 214 personnes ont été poursuivies, ce qui représente seulement 1 % des cas.
Interrogé sur le fait que le public devrait accepter que dans la majorité des cas les fraudeurs ne seront pas traduits en justice, M. Dyson a déclaré: "Je pense que c'est le cas maintenant, mais c'est un message subtil. Je voudrais que les gens le signalent, mais pour comprendre qu'il s'agit plutôt de dire que vous ne pouvez pas vous en sortir pour résoudre ce problème.
«L'application de la loi est un élément clé, mais ce que nous pouvons faire, c'est prendre toutes les informations dont nous disposons pour mieux protéger le public».
Il a ajouté: «Je veux que les gens soient réalistes sur le résultat, donc je pense qu'il s'agit de dire que je rapporte cela parce que cela aide la police à protéger tout le monde contre cela.
"Si nous savons assez tôt qu'il n'y a pas de possibilité réelle de poursuites, parce que tout ce que nous devons faire est une adresse IP anonyme et c'est probablement quelque part dans une juridiction que nous trouverons difficile, nous avons Pour être honnête, disons que nous ne pouvons pas en faire autant. »L'an dernier, sa police a annoncé la publication d'un faux site Web sur Facebook pour sensibiliser à la fraude liée à la vente de billets. Il a offert des tickets de parodie pour les concerts de vente, et a trompé 1500 personnes. M. Dyson a déclaré: «Dans huit heures, nous aurions pris 75 000 £ si nous avions choisi de le faire.
RépondreSupprimer«Alors pourquoi voleriez-vous une banque alors que vous pouvez réellement fonctionner à cette échelle et que c'est une méthodologie très simple?
"Vous n'avez pas besoin d'être informaticien - vous avez juste besoin de vous attaquer à la vulnérabilité."
Au cours de l'année écoulée, le Bureau national de lutte contre la fraude dirigé par M. Dyson a fermé 170 856 comptes bancaires, sites Web et lignes téléphoniques associés à des fraudes. Il a dit que le public avait tendance à perdre ses «ficelles du bon sens» quand ils vont en ligne et le nombre de victimes continuera d'augmenter à mesure que nos affaires se font en ligne.
Le commissaire a révélé qu'il avait été victime de fraudeurs il y a trois ans: «Quelqu'un a passé Noël dans un Travelodge sur ma carte de crédit, puis il a essayé de renouveler son assurance automobile et c'était une grosse somme d'argent.
Il a ajouté que la police aurait toujours besoin de plus de ressources pour lutter contre la cybercriminalité, mais que la solution n'était pas de repousser les policiers pour qu'ils recherchent des contrevenants en ligne, ajoutant: «Quand cela m'est arrivé, j'étais un peu démontée. que quelqu'un avait utilisé mon compte bancaire, pour être honnête.
Mais devrais-je voter pour dire que je veux voir moins d'agents patrouiller dans la région à cause de cela ?
"Je ne suis pas sûr ... il y a un équilibre à avoir."
L'appelant lui avait dit que les deux banques qu'il utilisait étaient impliquées dans une affaire de fraude et qu'il serait plus sûr de transférer ses économies dans un autre compte.
La police utilise l'affaire pour mettre en évidence la fraude financière et avertir les gens d'être sur leurs gardes.
Le PC David Hall, de la police du nord du Pays de Galles, a déclaré que la police traitait «plusieurs appels tous les jours». Les fraudeurs ciblent généralement les gens par courriel et par téléphone, par lettre et en personne.
La victime âgée, originaire du nord-est du Pays de Galles et qui ne veut pas être identifiée, a involontairement remis plus de 270 000 livres sterling, a ajouté M. Hall.
Une demande de prêt frauduleuse de £ 25 000 a également été faite en utilisant ses coordonnées.
Les criminels incitent souvent les gens à passer les vérifications de contrôle de leurs banques en leur donnant l'incitation à répondre à leurs questions avant que leur argent ne soit transféré.
M. Hall a déclaré à la BBC: «Cette victime a été absolument dévastée quand l'horrible vérité est apparue. L'escroc promis que l'argent serait retourné à son compte une fois l'enquête par usurpation terminée, mais, bien sûr, il n'a jamais été. Pendant ces quelques semaines, la victime n'a jamais soupçonné que quelque chose n'allait pas.
http://www.dailymail.co.uk/news/article-5570959/Just-one-100-crimes-web-ends-conviction.html#ixzz5BaOqeHCH
1 % d'arrêté et 99 % de la NSA ! Hahahaha !
SupprimerLes lampadaires LED modernes, moins chers et moins polluants, endommagent les yeux et éblouissent les automobilistes.
RépondreSupprimerPar Miles Dilworth pour le Daily Mail
01h48 BST, 3 avril 2018
Des centaines de milliers de lampadaires ont été remplacés par des LED moins chères à utiliser et moins polluantes.
Mais Public Health England (PHE) a déclaré que les lumières «inconfortables» pourraient causer des dommages à long terme à la vue des gens, leur laissant des problèmes de santé semblables à «décalage horaire permanent».
Il a également averti que l'utilisation accrue des lumières LED sur les nouvelles voitures risquait d'éblouir les conducteurs venant en sens inverse, en particulier s'ils étaient âgés. Des douzaines de conseils remplacent les lampadaires au mercure et au sodium par des solutions de rechange à DEL, selon le rapport annuel du médecin hygiéniste en chef.
Les lampadaires modernes peuvent garder les gens éveillés la nuit et endommager leur vue, a averti un rapport
Les conseils affirment qu'ils réduisent jusqu'à 40% la consommation d'énergie. Kent County Council installe 118.000 lampadaires LED, Leicestershire prévoit d'en avoir 68.000, Manchester 56.000 et Gloucestershire 55.000. Le rapport a averti que si le changement était motivé uniquement par «l'efficacité énergétique et le coût», cela pourrait conduire à des installations qui «pourraient ne pas être adaptées». Alors que la plupart des lumières artificielles ont des moyens de protéger les gens de l'éblouissement, certaines installations LED ne le font pas.
Le rapport dit: «Certains luminaires pour réverbères ont des sources LED qui peuvent être vues se projeter physiquement sous le luminaire, devenant une source d'éblouissement ou une pollution lumineuse.
«Le spectre de la lumière peut être enrichi en bleu, ce qui peut être bénéfique pour garder les conducteurs alertes, mais beaucoup trouveront la lumière inconfortable.
"Des niveaux élevés de lumière bleue sont connus pour causer des dommages à la rétine dans l'œil."
PHE a suggéré que les autorités locales devraient limiter l'impact des lampadaires LED.
Il a déclaré: «Il est possible d'avoir un éclairage public à LED qui dirige la lumière vers les zones qui doivent être éclairées, en minimisant la lumière qui va dans le ciel. Ils peuvent également être fournis dans une gamme de températures de couleur, où les couleurs plus chaudes sont susceptibles d'être plus appropriées pour les zones peuplées.
Des centaines de milliers de lampadaires ont été remplacés par des LED moins chères à utiliser et moins polluantes
Un porte-parole de l'Association des gouvernements locaux a déclaré: «Les conseils ont adopté les lampadaires LED pour aider l'environnement et gérer les pressions financières tout en assurant le maintien de l'éclairage public.
Il a ajouté: «La perturbation du système circadien [cycle du sommeil] peut avoir un impact majeur sur la qualité du sommeil et la vigilance diurne, ce qui a un impact sur le bien-être et la sécurité. C'est un peu comme avoir un décalage horaire permanent.
RépondreSupprimerSanté publique Angleterre a suggéré que les préoccupations ont été reprises aux Etats-Unis, où un rapport de l'American Medical Association a averti que la lumière bleue émise par les LED pouvait affecter les rythmes du sommeil, entraînant un fonctionnement diurne altéré et l'obésité.
Public Health England a déclaré que les lumières «inconfortables» pourraient causer des dommages à long terme à la vue des gens
Le rapport de l'AMA appelle les villes à utiliser les LED de plus faible intensité possibles et à mieux les abattre pour réduire l'éblouissement, ce qui, selon elle, peut également nuire aux animaux sauvages.
«Les luminaires d'éclairage public à LED sont soigneusement conçus pour tirer pleinement parti de la lumière qu'ils génèrent en ne les dirigeant que vers les zones à éclairer, ce qui constitue en soi un moyen de réduire la consommation d'énergie et les émissions associées.
«La lumière naturelle et artificielle a le potentiel d'endommager l'œil. Il est préférable d'éviter de regarder une source de lumière directement pendant un certain temps.
http://www.dailymail.co.uk/news/article-5571531/Modern-LED-street-lights-damage-peoples-eyesight-dazzle-motorists.html#ixzz5BaQmtej6
Delingpole: Enfin, le «changement climatique» obtient son champ d'application Monkey Trial-and the Bad Guys vont perdre
RépondreSupprimerPar James Delingpole
Breitbart
3 avril 2018
Le juge William Alsup a ri des suggestions selon lesquelles il préside actuellement l'équivalent du «réchauffement de la planète» du procès Scopes Monkey.
Mais que ce soit ou non, c'est essentiellement ce qui se joue actuellement dans un tribunal fédéral américain à San Francisco.
Les alarmistes du climat ont finalement eu leur journée au tribunal contre ces gens intelligents embêtants et libres de penser qu'ils appellent les «négationnistes du climat».
Grosse erreur. Les alarmistes trop confiants semblent avoir mordu plus qu'ils ne peuvent mâcher. Ils ont imaginé qu'ils pourraient faire croire au monde qu'il s'agissait d'un cas où des citoyens ordinaires et lésés - en particulier les villes de San Francisco et d'Oakland voisines - assument la puissance diabolique et destructrice de la planète Big Oil.
En réalité, comme on le voit de jour en jour, c'est la «science» du changement climatique qui est vraiment à l'essai ici. Et étant donné que la «science» du changement climatique est si fragile qu'elle pourrait aussi bien s'appeler «sorcellerie», ce n'est pas une discussion qui risque de bien se terminer pour les escrocs qui la promeuvent ...
Contexte
Les origines de cette affaire se trouvent dans #Exxonknew. Son but est d'attaquer l'industrie des combustibles fossiles en utilisant à peu près les mêmes méthodes autrefois utilisées contre l'industrie du tabac. Le plan a été imaginé en 2012 par un petit groupe de militants du climat réunis à La Jolla, en Californie.
Les villes de San Francisco et Oakland intentent des poursuites contre cinq grandes sociétés pétrolières - Chevron, Exxon Mobil, ConocoPhillips, BP et Royal Dutch Shell - alléguant qu'elles ont conspiré, dans le style de Big Tobacco, pour dissimuler les préjudices de leurs produits. Apparemment, ces majors pétrolières devraient être obligées de payer des milliards de dollars en compensation pour les dommages qu'elles ont causés, entre autres en provoquant une hausse du niveau de la mer.
Le juge
RépondreSupprimerDéjà, les demandeurs ont rencontré un problème majeur. Le juge William Alsup - qui, de fait, aurait dû être l'un de leurs gars, étant donné qu'il est un homme nommé Clinton qui vit en Californie - s'avère être la vraie affaire. Comme cet excellent aperçu par Tony Thomas dans les notes de Quadrant, il a la réputation de ne pas prendre n'importe qui pour le mot:
En présidant Uber v. Waymo, par exemple, il a demandé un tutoriel sur la technologie automobile autonome. Dans Oracle v. Google, il s'est enseigné un langage de programmation Java, pour aider à comprendre l'affaire.
La dernière chose dont les plaignants avaient besoin était un juge qui fait ses devoirs. Ils avaient besoin d'un qui prendrait leur science indésirable à leur valeur nominale.
Déjà, le juge Alsup a à peu près rejeté la théorie de la conspiration d'Exxonknew. "D'après ce que j'ai vu, et n'hésitez pas à m'envoyer d'autres documents, mais tout ce que j'ai vu jusqu'ici, c'est que quelqu'un [d'un major pétrolier] est allé à la conférence du GIEC et a pris des notes. Ce n'est pas une conspiration ", a-t-il dit.
Cela n'augure rien de bon pour les plaignants.
Big Oil
Les majors du pétrole ont été aussi utiles qu'un garde-feu au chocolat dans ce cas. On pourrait penser qu'avec tous ces milliards, ils auraient un peu à mettre de côté pour faire un combat décent pour la défense de leur propre industrie. Mais en fait, pour des raisons allant de la lâcheté à la commodité au cynisme, la plupart d'entre eux sont fortement investis dans la cause alarmiste. Rex Tillerson d'Exxon voulait que les États-Unis restent dans l'Accord de Paris sur le climat; Le PDG de Shell, Ben Van Beurden, est un véritable Uriah Heep quand il s'agit de se pencher sur les maux de son industrie; Un jour, BP a tenté de se rebaptiser «Beyond Petroleum», de peur que personne ne le confonde avec une entreprise dont le modèle économique dépendait de l'extraction de substance noire collante du sol.
Lorsque le juge a demandé aux différentes parties de lui donner un tutoriel sur le changement climatique, seule Chevron a pris la peine de le faire. Au lieu de cela, la plupart des meilleurs arguments scientifiques ont été faits pour eux par des sceptiques offrant amicus curiae - «amis de la cour» - mémoires. Malgré ce que vous entendez dire par les alarmistes du climat, les sceptiques reçoivent peu ou pas de soutien financier de l'industrie pétrolière parce que l'industrie pétrolière ne veut tout simplement pas le flak - et elle sait que les sceptiques sont si dévoués à leur cause des choses gratuitement, alors pourquoi s'embêter ?
https://www.lewrockwell.com/2018/04/no_author/algorean-fools-and-frauds/