Ancien film de New York en 1911. L'imprimé a survécu en parfait état. Ralentissement des images à un taux naturel et ajouté dans le son pour l'ambiance. Ce film a été pris par la société suédoise Svenska Biografteatern lors d'un voyage en Amérique
Time Machine des années 1860 - Caroline du Sud (extraits corrigés à la vitesse de naissance d'une nation)
La Commission Européenne se spécialise dans la bêtise
RépondreSupprimerle 23 avril 2018
Une directive de la Commission Européenne vient d’être publiée le 11 avril 2018 pour protéger la santé des consommateurs de l’Union. Il s’agit d’une extension d’un autre directive parue en février dernier relative à la couleur des pommes de terre frites. Les Belges ont du apprécier ! Cette fois-ci il s’agit de la couleur du pain et les boulangers apprécieront. Afin de protéger les consommateurs de la présence d’acrylamide qui apparait sous forme de traces lors de la cuisson du pain, comme des frites et aussi lors de la torréfaction du café, il sera conseillé aux boulangers de ne pas trop faire dorer le pain afin d’éviter l’apparition d’acrylamide.
La directive (je ne me suis pas hasardé dans la recherche du document officiel qui ne sera pas publié avant la fin du mois de juin prochain) stipule que les autorités nationales de protection des consommateurs auront le pouvoir d’infliger de manière coordonné des santions effectives, proportionnées et dissuasives. L’amende maximale s’élèvera à 4 % du chiffre d’affaire annuel de l’opérateur contrevenant aux directives. Les Etats membres disposeront d’un pouvoir discrétionnaire pour décider d’amendes plus élevées.
En d’autre termes n’importe quel boulanger peut se retrouver devant la justice si un client mal embouché trouve que les baguettes ou les croissants sont trop grillées et que c’est donc, selon la décision de la Commission de Bruxelles, mauvais pour la santé. S’il y a des consommateurs qui préfèrent un pain « pas trop cuit » pour ménager l’intégrité de leur prothèse dentaire, je veux bien, mais que n’importe quel quidam ait le pouvoir de déposer un recours auprès de la justice pour du pain « trop cuit » selon la Commission de Bruxelles sous le prétexte totalement stupide qu’il contient de l’acrylamide est une porte ouverte à toutes sortes d’abus.
Force est donc de constater que cette Commission dont les coûts de fonctionnement sont astronomiques et payés par les contribuables européens consommateurs de pain a non seulement repoussé les limites de la stupidité mais qu’à l’évidence des écologistes font leur travail de lobbying pour que des lois encadrent les moindres gestes des citoyens de cette Europe qui est devenue de plus en plus totalitaire. En effet, dans la même veine, après les frites la Commission a émis des avis et des régulations au sujet des machines à café, des foyers de cheminée ouverts pour brûler du bois, de la puissance des aspirateurs (c’est vrai ! La puissance des aspirateurs ne doit plus dépasser 900 Watts), des émissions de fumée des tondeuses à gazon ou encore de la puissance des grille-pain, des sèche-cheveux et des bouilloires pour faire chauffer l’eau du thé. Il est facile de comprendre que les Britishs aient choisi de quitter ce panier de crabes …
https://jacqueshenry.wordpress.com
SupprimerA savoir que le pain blanc (donc: pas assez cuit) est très mauvais pour la santé (car la pâte gonfle dans l'estomac) et est possible d'apporter la mort du consommateur suivant l'âge. Donc, veillez a ce que le pain soit cuit et bien cuit mais n'achetez jamais un pain-de-mort. Parlez-en à votre médecin.
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SUISSE - BIENTÔT LA CARTE D'IDENTITÉ BIOMÉTRIQUE OBLIGATOIRE ?
RépondreSupprimerAprès le passeport biométrique, la Suisse va peut-être devoir adopter la carte d'identité biométrique sous la pression de Bruxelles.
La carte d'identité contiendra peut-être une puce avec nos données biométriques.
PAR CHRISTINE TALOS
23.04.2018, 10h25
Après le passeport biométrique, les Suisses vont peut-être être obligés d'avoir des cartes d'identité biométriques. Et ce sous la pression de l'Union européenne (UE), révèlent l'Aargauer Zeitung et la Luzerner Zeitung lundi.
En effet, la Commission européenne a présenté la semaine dernière à Strasbourg un paquet de propositions sur la sécurité. Parmi elles, se trouve l'introduction de cartes d'identité nationales biométriques, un projet qui vise à «contrecarrer la fabrication de documents frauduleux dont les terroristes et les criminels peuvent se servir pour entrer dans l'UE à partir d'un pays tiers», avait expliqué alors la commission.
Suisse obligée de suivre
Si cette proposition devait entrer en vigueur dans l'UE, la Suisse, en tant qu'Etat membre de l'espace Schengen, devra sans doute introduire ces cartes. Elle avait déjà dû en faire autant avec le passeport biométrique en 2010, un passeport approuvé de justesse par le peuple en mai 2009.
Hic: la presse alémanique révélait il y a deux semaines que Berne a gelé son projet d'équiper dès 2021 les futures cartes d'identité d'une puce électronique contenant, comme pour les passeports, les empreintes digitales ainsi qu'une photo du visage de son propriétaire. Car la réglementation internationale ne l'exigerait pas.
Interrogé par le journal, l'Office fédéral de la police, Fedpol, a dit avoir pris note des travaux de la Commission européenne et suivre leur évolution.« Jusqu'ici, seule une introduction de la carte dans les 28 pays de l'UE a été discutée», explique cependant son porte-parole Niklaus Sarbach.« Mais il n'en est pas encore question pour l'espace Schengen», souligne-t-il. Le calendrier suisse reste donc pour l'instant inchangé.
Dans l'espace Schengen aussi
Mais selon les deux journaux alémaniques, qui évoquent un rapport de 140 pages établi par la Commission européenne, les Etats membres de Schengen devraient être concernés par le projet. D'autant que le concept de la libre circulation entre les pays ne peut fonctionner que s'il existe des normes minimales en matière de documents à posséder.
Mais si la carte d'identité biométrique est inévitable, la Suisse serait prête, selon Fedpol. Car sa base juridique a déjà été établie lors de la préparation du passeport biométrique. Et Berne cherche déjà, via un appel d'offres, une entreprise capable de produire les puces électroniques nécessaires.
(nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/bientot-carte-identite-biometrique-obligatoire/story/16808899
Bien-sûr l'argument terroriste présenté est absolument faux. Il s'agit de rendre votre carte d'identité identifiable par votre téléphone portable !!! D'où le conseil de sécurité d'envelopper cette carte (comme TOUTES cartes à puce) dans du papier d'aluminium.
SupprimerCHIMIE RACHAT: LES «SITES SUISSES DE SYNGENTA RENFORCÉS»
RépondreSupprimerL'administrateur principal du groupe bâlois rejette les craintes de certains de voir la recherche et la production délocalisées en Chine.
L'administrateur principal indépendant est convaincu que ChemChina n'est pas intéressé à saigner l'entreprise.
22.04.2018
Le rachat par le groupe chinois ChemChina renforce Syngenta, a déclaré Jürg Witmer, administrateur principal indépendant du groupe agrochimique bâlois, dans une interview à la NZZ am Sonntag. Selon lui, le site de Monthey (VS) va rester la plus grande usine.
«ChemChina est orienté sur le long terme et nous ne devons pas nous justifier à chaque trimestre», a ajouté Jürg Witmer. Selon lui, le nouveau chef Erik Fyrwald a transformé l'entreprise et lui a enlevé ses racines pharmaceutiques.
«C'était nécessaire car nous avions des coûts élevés à Bâle», a ajouté Jürg Witmer, qui a repris la fonction d'administrateur principal indépendant à Michel Demaré après son retrait fin 2017.
Pas de délocalisation
Jürg Witmer rejette les craintes de certains de voir la recherche de Stein (AG) et la production de Monthey (VS) délocalisées en Chine. L'administrateur principal indépendant est convaincu que ChemChina n'est pas intéressé à saigner une entreprise, qu'il a payée 43 milliards de dollars (41,9 milliards de francs au cours actuel).
«Les Chinois ont besoin de nous, exactement comme nous d'eux», a précisé Jürg Witmer. Stein appartient à la pointe de la recherche mondiale agronomique et Monthey reste la plus grande usine. Dans le centre de recherche argovien de Stein, le groupe bâlois emploie 320 personnes et à Monthey 870 collaborateurs.
Jürg Witmer est membre du conseil d'administration de Syngenta depuis 2006. Connaisseur de la Chine, il est la personne de contact avec ChemChina, dont il connaît le président du conseil d'administration Ren Jianxin depuis longtemps. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/economie/rachat-sites-suisses-syngenta-renforces/story/17096537
SupprimerLa Chine (1,300 milliard) tient à préserver la santé de son peuple en rachetant le semencier et les remèdes contre toutes les maladies qui se développent en Europe.
Herding Hamsters et autres reflets cosmiques
RépondreSupprimerPar Fred Reed
23 avril 2018
Pensées désordonnées sur les dernières singeries du National Cockatoo
Un: L'agacement et l'horreur au sujet de la nature terrible, effroyable, choquante etc. de la guerre de gaz est un non-sens. Il n'y a rien d'inhabituellement hideux à propos de l'utilisation de produits chimiques toxiques. Hideux, oui, mais pas anormalement hideux. L'ennui de l'artillerie, que personne ne critique, laisse les enfants regarder maman s'accroupir frénétiquement dans les intestins de son ventre ouvert, laisse les hommes sans jambes essayer de se traîner jusqu'à ce que les artères fémorales jaillissent et finissent la conscience, provoque des lésions cérébrales traumatiques qui laissent ses bénéficiaires baver et barboter pour la vie. Le gaz toxique ne peut pas faire mieux.
Toute l'affaire de WMD, Weapons of Mass Destruction, est deux-tiers twaddle utile pour l'élevage des publics faibles. Le gaz a très rarement été utilisé depuis la première guerre mondiale de Wilfred Owen, non pas à cause de sa vilenie mais parce qu'il ne s'est pas montré particulièrement utile militairement. L'horreur ne dérange pas les soldats, qui sont amoraux quand ils ne sont pas réellement sadiques.
Guerre biologique ? Cela semble, comme vous le savez, vraiment effrayant et tout, mais en fait, ce n'est pas séduisant militairement parce que ce n'est pas contrôlable et peut se retourner contre ses utilisateurs. Il sert, cependant, à alerter les publics avec un esprit de basse tension. Nous sommes surtout supposés être des frayeurs de l'anthrax. Comme il n'est pas contagieux, il est plus dans la nature d'un poison et de toute façon difficile à utiliser.
Il n'existe que trois armes de destruction massive: les explosifs nucléaires, l'artillerie et les bombardements aériens. Pensez Dresde, Hiroshima, Guernica, Falluja.
Deux: Quiconque a écrit le discours de Trump pour lui - il ne peut évidemment pas assembler deux phrases avec des clauses dépendantes sans errer sur les rivages lointains de l'incohérence - a travaillé dur la pompe d'indignation morale. L'attaque au gaz, par qui que ce soit fait, tué, l'eeek, grincent, soixante-dix civils et petits enfants. Plus hamster-élevage: git le long de petits dogies poilus. Pendant plusieurs jours au Moyen-Orient, les États-Unis ont tué plus de civils que toutes les attaques au gaz réelles ou inventées pendant toute la guerre. Les pilotes, sans scrupules comme le sont tous les militaires, savent qu'ils le font et s'en fichent. Ils sont payés pour leur humanitarisme. Par nous.
Trois: Quelque chose sent. L'utilisation de toxines, soit par Assad en Syrie, soit par la Russie dans le Pakistan occidental-Angleterre, je veux dire, l'Angleterre, n'a aucun sens. Assad avait gagné sa guerre et n'avait pas besoin de gazer quelques civils. Il devrait savoir que cela donnerait à Washington un prétexte à une attaque. Ce qu'il a fait. Assad est-il si idiot ?
RépondreSupprimerDe même avec l'empoisonnement de ce qui est son espion et sa fille. La Russie n'avait rien à gagner et beaucoup à perdre, comme nous l'avons vu. C'est une chose de croire que M. Poutine est capable de mauvaises choses. Le croire stupide en est une autre. Notez que Theresa May est devenue hystérique avant qu'il ne soit établi que la Russie l'a fait, ce qui n'a toujours pas été établi. L'expulsion orchestrée des diplomates russes par tous les États vassaux, avant même que l'on ait déterminé quoi que ce soit de définitif, était trop mignonne.
Hamster troupeau.
Quatre: Qui avait quelque chose à gagner par l'aventurisme gazeux Réponse: L'Empire américain - pas l'Amérique, pas les Américains - et Israël. Les deux sont désespérés pour empêcher la Syrie de survivre. Notez que Washington a une histoire de mentir le pays dans les guerres. Le Maine en 1898, le golfe du Tonkin, l'imaginaire WMD dans Gulf I. Plus ca change, plus ca ne fait pas.
Cinq: La Syrie n'a aucune importance pour l'Amérique ou les Américains. Il n'a rien que l'Amérique veut ou a besoin. Cela ne représente aucun danger pour l'Amérique. C'est ailleurs. Ce manque d'intérêt vital pour l'Amérique, il partage avec la Corée du Nord, l'Afghanistan, l'Ukraine, la Crimée, la mer de Chine méridionale, et tous les autres endroits où l'Empire cherche la guerre. Alors pourquoi Washington risque-t-il la guerre nucléaire par accident avec la Russie, ce qui ne présente aucun danger pour l'Amérique ?
Parce que l'hégémonie de l'Empire sur le Moyen-Orient, l'Asie et le monde s'affaiblit. L'Empire chancelle. La Syrie est au cœur de la mort imminente.
Les choses vont mal, Empire-sage. Commençons par la guerre contre l'Afghanistan, maintenant rampant vers sa troisième décennie, et le Pakistan voisin. La Chine investit massivement dans les infrastructures au Pakistan: la route de Karakoram, les réacteurs de Karachi, le corridor économique de la Chine au Pakistan, le pipeline IP, Guadar. Si-quand-Amrica part, le Pakistan deviendra un Etat client économique de la Chine, sans qu'un coup de feu ne soit tiré. L'Afghanistan suivra rapidement alors que la Chine investit dans ses minerais. C'est pourquoi Washington ne peut pas partir.
L'Afghanistan est bordé par l'Iran, que Washington considère comme un ennemi à la demande d'Israël. L'Iran borde l'Irak, détruit par les Etats-Unis et partageant une religion avec l'Iran. Sans la menace de la puissance militaire américaine, il pourrait facilement s'aligner sur l'Iran et l'Asie. En Syrie, Assad semble avoir gagné à moins que l'Empire double ou triple. Ainsi le gazage artificiel des enfants et l'attaque de missiles de Trump. La Turquie balance entre l'est et l'ouest et pourrait facilement décider que l'Asie est l'avenir.
L'Empire chancelle, blessé et dangereux.
Six: l'approche de Washington en matière d'hégémonie est militaire, reposant sur des bombardements et des sanctions économiques. Cela nécessite d'énormes dépenses militaires qui paralysent l'économie nationale et produisent d'innombrables pays qui rompraient avec l'Amérique s'ils le pouvaient. En revanche, l'approche de la Chine est économique, plus intelligente et beaucoup moins chère. C'est l'initiative de la ceinture et de Raod de la Chine pour intégrer toute l'Eurasie dans un bloc commercial énorme, excluant qui devine, qui a l'Empire dans une panique. Comment bombardez-vous un accord commercial?
RépondreSupprimerSept: La Russie et la Chine ont un leadership adulte. Poutine et Xi sont stables, intelligents et compétents. Leurs intérêts ne sont pas ceux de Washington et ils feront tout ce qui est dans l'intérêt de leur pays, mais ils ne sont pas stupides, ignorants, faibles, juvéniles ou fous. En revanche, Trump est un huard, ignorant de pratiquement tout, mentalement chaotique, et facilement modifié.
Pensez-vous que cela est excessif ? Réfléchis à ce tweet lumineux
"Préparez-vous la Russie, les missiles vont venir en Syrie, belle et nouvelle et" intelligente "!"
Ce n'est pas une langue adulte. C'est la raillerie d'un enfant de douze ans. Nya hnya nya ! Pourtant, c'est un classique Trump. Cet homme a le pouvoir absolu de lancer des guerres dont nous aurons à supporter les conséquences. N'est-ce pas splendide ?
https://www.lewrockwell.com/2018/04/fred-reed/herding-hamsters-and-other-cosmic-reflections/
Les coraux ont déjà les gènes pour survivre 250 ans de changement climatique
RépondreSupprimerApril 23rd, 2018
Un nouveau document constate qu'il existe déjà suffisamment de variétés génétiques réparties sur la Grande Barrière de Corail pour s'adapter au réchauffement imaginaire "sans précédent" qui se produira dans les deux siècles à venir. Nous n'avons pas besoin de compter sur des mutations aléatoires ou de considérer des solutions imaginaires de filtres solaires océaniques artificiels, de parasols de masse ou de ventilateurs de récifs géants. Les coraux ont déjà un programme d'immigration majeur qui fonctionne assez bien pour jongler avec 200 millions d'années de matériel génétique et ensuite répandre les succès au loin. Interférer les humains peut aider les choses (peut-être) en déplaçant quelques morceaux de corail autour. C'est tout. Annuler la peur s'il vous plaît.
Les sceptiques le disent depuis des années - qui a besoin d'un modèle informatique pour prédire que la barrière de corail s'adaptera ? À quel point le réchauffement climatique pourrait-il être mauvais ? Les océans globaux couvrent une gamme de 32C et les coraux préfèrent les cinq degrés les plus chauds. En effet, il y a une plage de température de cinq degrés d'une extrémité de la Grande Barrière de Corail à l'autre, et les coraux sont manifestement, évidemment, assez heureux. Pendant ce temps, l'atmosphère se réchauffe à un dixième de degré par décennie. Ensuite, il y a le phénomène bien connu que les coraux fraient dans de vastes nuages ??qui sont si grands qu'ils peuvent être vus depuis l'espace et il y a une nouvelle génération de coraux tous les cinq ans. Vous n'avez pas besoin d'être Nostradamus pour comprendre que les survivants de certaines parties du récif vont réensemencer d'autres parties, comme ils l'ont fait depuis des éons. La moitié des genres de coraux existent aujourd'hui depuis l'Oligocène (il y a 23-34 millions d'années).
Les coraux s'adaptent également aux vagues de chaleur en éliminant les symbiotes algales qui ne se développent pas à des températures plus élevées. Ainsi, au-delà de leur propre adaptabilité génétique, ils peuvent également «s'équiper» de différentes manières. Dans le cas improbable où les modèles climatiques du GIEC seraient corrects pour la première fois dans l'histoire, les coraux s'en sortiraient.
- voir carte sur site -
h / t à GWPF qui a une bibliothèque d'informations scientifiques sur les récifs coralliens.
Le changement climatique déplace juste cette large gamme légèrement au sud. Et alors?
- voir carte sur site -
Les coraux sont déjà heureux de faire face à une température de l'eau de cinq degrés.
Si l'eau se réchauffe au sud, les coraux de la grande barrière de corail s'étendront probablement plus loin.
L'île Keppel à l'extrême sud a une population assez différente
Récif corallien, Grande barrière de corail, survie, amplitude de température, changement climatique.
(A) Emplacements des populations échantillonnées où la température moyenne à la surface de la mer au mois d'été différait d'environ 3 ° C. (B) Analyse en composantes principales de la qualité de l'eau et des paramètres de température aux emplacements échantillonnés. Hiver.T-10% quantile de température hivernale, été.T- 90% quantile de température d'été, Daily.T- 90% quantile de plage de température journalière, Phos-phosphore dissous total, Chl-chlorophylle, NO3-nitrate, Secchi Profondeur de Secchi (clarté de l'eau). (C) Analyse en composantes principales de la variation génétique à l'échelle du génome (inset-Acropora millepora). Les étiquettes centroïdes sont des lettres initiales des noms de population comme dans le panneau A. (D) ADMIXTURE graphique des proportions d'ascendance avec K = 2 (l'erreur de validation croisée la plus faible a été observée avec K = 1). Les analyses sur les panneaux C et D étaient basées sur 11 426 SNP espacés d'au moins 2,5 kb et n'incluant pas les valeurs aberrantes FST.
RépondreSupprimerNotez que le document ne suggère pas que nous devons mettre en place un système d'échange de carbone pour améliorer la condition génétique des coraux. Nous pourrions envisager de ramasser quelques morceaux de corail et de les étaler:
Implications pour la gestion des récifs
Nous avons constaté que la diversité génétique d'Acropora millepora n'était pas encore fortement affectée par le changement climatique et que les schémas de migration étaient bien positionnés pour faciliter la persistance de la métapopulation de GBR pendant un siècle ou plus. Nos résultats soulignent le rôle central de la variation génétique permanente et de l'échange des migrants dans la persistance des métapopulations futures, suggérant des interventions de gestion comme le flux génétique assisté [41] en déplaçant des colonies actives reproductives adultes ou en transplantant des descendants issus de différentes populations. . Avec des taux de migration naturelle estimés de l'ordre de 0,1-1% (10-100) par génération, l'échange de génotypes humains pourrait contribuer de manière significative au sauvetage génétique sans risquer de perturber les schémas d'adaptation locaux naturels [42]
Les auteurs soulignent qu'ils ont sous-estimé l'adaptabilité des populations de coraux dans la plupart de leurs estimations. La seule mauvaise partie de l'analyse de leur modèle était que les populations pourraient devenir plus sensibles aux vagues de chaleur aléatoires. Étant donné que cela repose sur les prévisions du modèle GIEC de la température des océans, je ne m'en soucie pas.
Malgré cette capacité d'adaptation, notre modèle prédit que les populations de coraux deviendront de plus en plus sensibles aux fluctuations thermiques aléatoires telles que les cycles ENSO ou les vagues de chaleur, ce qui correspond bien à l'augmentation récente de la fréquence des épisodes catastrophiques de blanchissement corallien.
Quelle augmentation récente des événements «catastrophiques» de blanchissement des coraux? Nous n'avons pas de bonnes données à long terme sur les événements historiques de blanchissement, l'étendue du blanchissement est fortement contestée et les coraux se rétablissent déjà. S'il y a eu un blanchissement massif des coraux en 1066 et que les coraux ne se sont rétablis qu'en 1086, comment le saurions-nous ?
Le contexte de la survie des récifs
RépondreSupprimerL'acidification des océans se produit tous les jours dans certains endroits.
Les poissons semblent mieux se comporter lorsque les réservoirs artificiels imitent ces fluctuations quotidiennes naturelles.
Un peu moins d'alcalinité est préférable pour des centaines d'espèces.
Certains récifs coralliens prospèrent dans un océan plus acide,
Il y a une grande marge de sécurité: les poissons d'élevage semblent faire face à des niveaux de gaz carbonique qui sont même cinquante fois plus élevés qu'aujourd'hui.
Nous avons seulement découvert le blanchissement des coraux dans les années 1980, mais cela dure probablement depuis des millions d'années.
- voir graphique sur site -
Coraux, histoire génétique.
Résumé de l'auteur
Les récifs coralliens à travers le monde souffrent d'une forte mortalité due à des épisodes de stress thermique sévère induits par des phénomènes de réchauffement océaniques aigus. Au rythme actuel du réchauffement, les coraux seront-ils partis avant la fin de ce siècle ? Ici, nous combinons la génomique de la population avec la modélisation biophysique et évolutive pour étudier le potentiel d'adaptation d'un corail de construction récifale commun de la Grande Barrière de Corail. Pour aborder cette tâche, nous avons développé un modèle prédictif d'adaptation polygénique dans un système de multiples populations interconnectées qui existent dans un environnement hétérogène et changeant. En appliquant ce modèle à nos espèces de coraux, nous constatons que les populations s'adaptent avec succès aux diverses températures locales le long de la Grande Barrière malgré l'échange élevé de migrants et devraient collectivement héberger suffisamment de variantes génétiques adaptatives pour alimenter l'adaptation thermique régionale pour un autre siècle et peut-être plus long. Dans le même temps, le modèle prédit que les fluctuations thermiques aléatoires induiront des épisodes de mortalité corallienne de plus en plus graves, ce qui correspond bien aux observations des dernières décennies.
REFERENCES
Matz MV, Treml EA, Aglyamova GV, Bay LK (2018) Potential and limits for rapid genetic adaptation to warming in a Great Barrier Reef coral. PLoS Genet 14(4): e1007220. https://doi.org/10.1371/journal.pgen.1007220
http://joannenova.com.au/2018/04/corals-already-have-the-genes-to-survive-another-250-years-of-climate-change/#more-58453
Primo, de la vie ou de la mort des coraux: le monde entier s'en fout !
SupprimerSecundo, NUL ne peut intervenir pour boucher ou détourner les millions (milliards ?) de volcans sous-océaniques. Ces sources chaudes magmatiques de plusieurs milliers de degrés entretiennent pourtant la vie sous-marine et sous-océanique pour des espèces de grandes profondeurs qui nagent dans des lieux les plus toxiques qu'il puisse y avoir !
Les coraux - ne pouvant ni fuir ni se protéger - subissent ces changements climatiques venus du 'centre de la Terre'. C'est ainsi depuis des milliards d'années et encore pour d'autres milliards d'années.
Quel est le son le plus fort à avoir été recensé sur la planète ?
RépondreSupprimerBrice Louvet
SciencePost
jeu., 19 avr. 2018 09:47 UTC
Le 27 août 1883, à 10 heures du matin heure locale, le volcan Krakatoa, situé entre les îles indonésiennes de Java et de Sumatra, est entré en éruption. Un cataclysme si violent qu'il se fit entendre à 5 000 km de distance. C'est le son plus fort que la planète a connu.
Rendez-vous compte : à environ 3 200 kilomètres du Krakatoa, les habitants de la Nouvelle-Guinée et de l'Australie occidentale ont rapporté avoir entendu « une série de bruits semblables à ceux de l'artillerie dans le sens nord-ouest », explique Aatish Bhatia à Nautilus. Et à plus de 4 800 kilomètres de l'île de Rodrigues, dans l'océan Indien, les habitants ont rapporté avoir entendu ce qui leur semblait être « le rugissement lointain d'un feu nourri ». Ce bruit, c'est celui d'une éruption volcanique record qui propulsa de la fumée à près de 80 kilomètres d'altitude. Des débris brûlants auraient été projetés de l'embouchure du volcan à des vitesses allant jusqu'à 2 575 kilomètres par heure, soit plus du double de la vitesse du son !
L'événement est aujourd'hui connu pour être la plus grande catastrophe naturelle du 19e siècle. Les ondes de choc de l'éruption ont fait le tour du monde à plusieurs reprises, et ont créé un tsunami de plus de 45 mètres pesant 600 tonnes. Ce raz de marée a fini par toucher les côtes de Java et de Sumatra, détruisant complètement les régions côtières. Au loin, dans les eaux sud-africaines, les navires étaient également secoués par une autre série de tsunamis. Le navire britannique Norham Castle se trouvait, par exemple, à 64 kilomètres de Krakatoa au moment de l'explosion. Le capitaine du navire aurait alors écrit dans son journal : « Les explosions sont si violentes que les tympans de plus de la moitié de mon équipage ont été brisés, mes dernières pensées sont avec ma chère épouse, je suis convaincu que le jour du Jugement est arrivé ».
Selon The Independent, la force de l'explosion était 10 000 fois plus puissante que celle d'une bombe à hydrogène, atteignant environ 172 décibels sur 160 kilomètres à la ronde. Rappelons que le seuil humain de la douleur est fixé à 130 décibels. L'éruption aura finalement englouti 165 villages et campements, causant au passage la mort de 40 000 personnes.
- voir clip sur site -
Pour vous donner une idée du choc, cette vidéo filmée par un couple en Papouasie-Nouvelle-Guinée nous montre un volcan en éruption - moins puissant que le Krakatoa, heureusement. L'onde de choc est en revanche déjà très impressionnante.
https://fr.sott.net/article/32246-Quel-est-le-son-le-plus-fort-a-avoir-ete-recense-sur-la-planete
SupprimerIl existe aussi les volcans sous-marins et sous-océaniques qui polluent tout autant mais dont le son ne nous parvient pas.
- Chaque seconde ce sont 1,6 million de tonnes de roches, sables, cailloux qui sont bougés et drainés par les océans et les fleuves de la planète, soit une érosion de 53 milliards de tonnes par an. Autrement dit, l'érosion des sols due aux fleuves et océans représente 1 680 tonnes par seconde.
http://www.planetoscope.com/sols/1478-volume-de-roches-affecte-par-l-erosion-des-fleuves-et-oceans.html
Pour la première depuis 30 ans, de la neige au Pakistan en avril à Nathia Gali et Murree (Vidéo)
RépondreSupprimerPakistan Today
Sott.net
sam., 21 avr. 2018 19:02 UTC
- voir photos sur site -
Le temps de Murree et Nathia Gali s'est refroidi après que les chutes de neige aient frappé la station de montagne pendant le mois d'été.
Selon certains médias, c'est il y a quelque 30 ans qu'il y a eu de la neige à Murree, Nathia Gali et dans les environs au cours du mois d'avril.
"Après que 30 ans soient passés, les chutes de neige ont débuté en avril à Nathiagali et Ayubia. Tout cela grâce au réchauffement climatique. Honte à ceux qui critiquent le projet tsunami de milliards d'arbres", a déclaré un utilisateur de Twitter.
- voir photos sur site -
Des vidéos et des photos des chutes de neige ont été partagées par les gens sur les médias sociaux. Les routes, les toits et les arbres sont recouverts d'une épaisse couche de neige.
De plus, il y a eu une tempête de grêle à Nowshehra le 18 avril. L'un des utilisateurs de Twitter a écrit : "Tempête de grêle à Nowsherwa aujourd'hui. J'y ai servi pendant plus de deux ans et voir un tel temps à la mi-avril est incroyable".
https://fr.sott.net/article/32264-Pour-la-premiere-depuis-30-ans-de-la-neige-au-Pakistan-en-avril-a-Nathia-Gali-et-Murree-Video
Le robot Alexa d'Amazon fait sienne la « théorie conspirationniste des chemtrails »
RépondreSupprimerSputnik
Sott.net
sam., 14 avr. 2018 08:55 UTC
Alexa, l'assistant à domicile virtuel développé par Amazon, semble tomber dans le piège des théories conspirationnistes, ou encore, il se peut qu'elle ait par inadvertance dénoncé les autorités de l'État.
Des images vidéo montrent Alexa en train de répondre à la question "Qu'est-ce qu'un chemtrail ?"
Le robot répond que les traînées "laissées par les avions sont en fait des agents chimiques ou biologiques délibérément pulvérisés à haute altitude dans un but non divulgué au grand public par les fonctionnaires du gouvernement".
La vidéo a été téléchargée sur YouTube par l'utilisateur Matt Landman le 8 avril et compte maintenant plus de 6 000 vues.
-- Commentaire : Elle a été retirée par la suite de Youtube, mais vous pouvez la voir sur la vidéo ci-dessous. --
La théorie des chemtrails postule que les traînées de condensation laissées par les avions sont constituées d'agents chimiques ou biologiques utilisés par le gouvernement pour contrôler et même modifier le temps. Certains supposent même qu'ils pourraient être utilisés comme arme de guerre.
Selon les critiques et commentaires postés juste en dessous de la vidéo, de nombreux utilisateurs souscrivent à la théorie :
Un commentaire dit : "Wow, il a dit la vérité", tandis qu'un autre suggère "Alexa connaît le secret".
Cependant, Amazon, ayant reconnu qu'il s'agissait d'une erreur de programme, s'est empressé d'apporter des corrections au programme d'Alexa. Répondant maintenant à la même question sur les pistes de chimie, l'assistant numérique répond :
"Les traînées chimiques font référence aux traînées de condensation, ou traînées de condensation, laissées par les gaz d'échappement des moteurs à réaction lorsqu'ils entrent en contact avec de l'air froid à haute altitude.
-- Commentaire : On ne devrait probablement pas compter sur Alexa d'Amazon pour penser à notre place : Chemtrails ? Contrails ? Cieux étranges. --
https://fr.sott.net/article/32257-Le-robot-Alexa-d-Amazon-fait-sienne-la-theorie-conspirationniste-des-chemtrails
Trier le vrai du faux: Alexa vs Amazon
SupprimerAlexa dit vrai, Amazon ment volontairement !
Plus de 15 000 avions traversent la France chaque jour (Paris/Marseille, Berlin/Madrid, Genève/N-Y, etc, etc) et, IL N'Y A PAS 15 000 chemtrails !! Pourquoi donc ?
Pourquoi n'y a t-il 'que' 3 ou 4 chemtrails par jour ? Ces trainées chimiques font des centaines de kilomètres par seulement les avions-chemtraillers.
Les villes désertiques telles que Tucson et Phoenix peuvent-elles rendre les sources d'eau durables ?
RépondreSupprimer23 avril 2018
par Emily Litvack, Université de l'Arizona
Un endroit où l'eau est difficile à trouver et où la chaleur est difficile à évacuer peut-il soutenir une population croissante ?
Certains disent qu'il ne peut pas, insistant sur le fait que les villes n'ont pas de place dans le désert. Compte tenu de la gestion de l'eau, de la planification urbaine et de l'architecture soigneusement étudiée et conçue en collaboration, les experts de l'Université de l'Arizona Sharon Megdal, Ladd Keith et Christopher Domin disent le contraire.
Contrairement à l'avenir de l'habitat du désert, les défis de celui-ci sont simples et sans controverse. Ils sont, principalement, la pénurie d'eau et la chaleur.
Les humains ne sont pas intrinsèquement bien préparés à gérer l'un ou l'autre, et pourtant les civilisations ont fait des maisons de déserts inhospitaliers pendant des siècles. Dans le sud de l'Arizona, bien avant que Judith Chafee, célèbre architecte, construise sa célèbre Ramada House de 1975 et enseigne à l'UA, les Hohokam habitaient le paysage, puisant dans les rivières Salt et Gila pour subvenir à leurs besoins.
Mais le nouveau défi incontournable pour le centre et le sud de l'Arizona - qui compte 531 000 habitants à Tucson et 1,62 million à Phoenix - est que la croissance démographique de l'État s'est classée au cinquième rang des États-Unis l'an dernier. Le nombre d'Arizonans ayant besoin d'eau et de répit de la chaleur torride est grand et en croissance.
C'est un défi qui appelle l'optimisme et l'ingéniosité.
À l'occasion du Jour de la Terre (22 avril), Megdal explique comment les villes du désert de l'Arizona trouvent des moyens de conserver et de réutiliser leur approvisionnement en eau, Keith montre comment les cartes thermiques nouvellement développées permettent des décisions de planification prudentes et Domin parle d'architecture stratégique durable.
De la base: les systèmes d'eau de l'Arizona
L'ingéniosité et l'optimisme viennent facilement chez Sharon Megdal, une experte en gestion de l'eau. Elle est directrice du Centre de recherche sur les ressources en eau de l'UA, ou WRRC, et professeur titulaire de science du sol, de l'eau et de l'environnement.
«L'Arizona s'oriente vers une meilleure utilisation des ressources en eau que nous avons», dit-elle. "Parce que quand vous avez une population croissante dans le désert et que vous voulez une économie dynamique et plus de croissance, vous devez être intelligent au sujet de l'utilisation de l'eau."
Pour comprendre l'avenir de l'eau de l'Arizona, Megdal dit que nous devons d'abord comprendre son passé.
En 1902, le président Theodore Roosevelt créa le Bureau of Reclamation des États-Unis. Son premier grand projet d'eau a été la création du projet de Salt River aujourd'hui, y compris la construction d'une série de barrages qui puiseraient l'eau des bassins hydrographiques des rivières Salt et Verde et les livreraient à Phoenix. Le barrage de Roosevelt dans le Globe, le plus visible et le plus coûteux, a été achevé en 1911.
«L'idée était d'exploiter l'eau du bassin versant et de l'amener vers cette zone fertile pour l'agriculture», explique M. Megdal.
RépondreSupprimerContrairement à Yuma, situé tout au long du fleuve Colorado, Phoenix - qui était en train de devenir un centre agricole au début des années 1900 - avait besoin d'un système d'eau construit à partir de zéro.
Grâce à l'avènement et à la vulgarisation de la climatisation et des puits à grande échelle pour pomper les eaux souterraines, le désert était devenu un endroit beaucoup plus vivable dans les années 1950. Et avec les troupes rentrant à la maison de la Seconde Guerre mondiale et cherchant à s'installer avec leurs familles, les Américains ont déménagé en Arizona en masse.
Au fur et à mesure que la population de l'État augmentait, les propriétaires fonciers ont commencé à pomper l'eau fossile à partir du sous-sol sans presque aucune réglementation. En fait, Tucson était devenue la plus grande région métropolitaine du pays dépendant uniquement des eaux souterraines.
L'Arizona épuisait ses aquifères à un rythme alarmant.
En 1968, le président Lyndon B. Johnson a approuvé la construction d'un canal de 336 milles pour acheminer l'eau du Colorado vers le centre et le sud de l'État. Ce serait appelé le projet Central Arizona, ou CAP.
Lorsque le gouvernement fédéral a insisté pour que l'Arizona s'attaque à la surexploitation de son eau fossile avant de financer le nouveau canal, la loi de 1980 sur la gestion des eaux souterraines est née. La loi a désigné Phoenix, Tucson, le comté de Pinal et Prescott comme des «zones de gestion active», imposant la conservation par les utilisateurs agricoles, industriels et municipaux dans ces zones. La nouvelle loi a contribué à limiter la surexploitation des eaux souterraines à travers l'État.
Treize ans et 4 milliards de dollars plus tard, la PAC était terminée; aujourd'hui, il fournit un peu plus de 20% de l'eau de l'État.
Responsabilité et résilience
Créer des infrastructures et des politiques qui favorisent une utilisation durable de l'eau dans le désert demande du temps, de l'argent et de l'expertise. Et, comme l'histoire l'illustre, il s'accompagne d'une courbe d'apprentissage abrupte.
Selon M. Megdal, bien qu'il y ait toujours de la place pour l'amélioration, Tucson et Phoenix relèvent maintenant le défi plus que jamais. Dans les deux villes, l'utilisation de l'eau par habitant diminue. À Tucson, l'utilisation totale de l'eau est la même aujourd'hui qu'elle l'était il y a 30 ans, alors que la population de la ville était plus proche de 420 000 habitants.
Dans le parc national du Saguaro en Arizona, Signal Hill Trail mène aux pétroglyphes de l'ancien peuple Hohokam, qui s'est maintenu dans le désert en puisant dans les rivières Salt et Gila. Crédit: Université de l'Arizona
"Nous devenons plus efficaces dans notre utilisation de l'eau", dit Megdal.
L'une des raisons pour cela, dit-elle, est le recyclage et la réutilisation de l'eau. Le comté de Pima dispose d'une usine de traitement des eaux usées capable de traiter l'eau afin qu'elle réponde aux normes non seulement d'irrigation, mais aussi d'utilisation humaine. L'État utilise également intelligemment ses aquifères via la recharge et la récupération.
"Tucson a longtemps été connu pour son éthique de la conservation de l'eau", dit Megdal. "Avec un dialogue accru entre les architectes, les planificateurs de l'eau et les planificateurs de l'utilisation des terres, Tucson continuera de se superposer aux autres villes du Sud-Ouest."
RépondreSupprimerCartographie de la chaleur dans le désert urbain
Ladd Keith, un expert en urbanisme, est d'accord. Keith est conférencier en urbanisme et président du programme Sustainable Built Environments du Collège d'architecture, de planification et d'architecture de paysage de l'UA.
En dehors de la pénurie d'eau, dit Keith, les villes du désert telles que Tucson doivent tenir compte de ce qu'on appelle l'effet d'îlot de chaleur urbain. Le béton, l'asphalte et les bâtiments retiennent la chaleur et, la nuit, ils évacuent la chaleur qu'ils emmagasinent dans l'air ambiant pendant la journée, ce qui maintient les températures élevées pendant la nuit.
Keith dirige un projet de recherche pour comprendre comment quatre villes du sud-ouest (Phoenix, Tucson, Albuquerque et Las Cruces) utilisent des données de température, visualisées avec des cartes de chaleur codées en rouge (chaud) et vertes (plus froides). -faire des décisions.
Le projet de deux ans a débuté à l'automne 2017, et Keith dit que l'équipe - qui comprend également Ben McMahan, chercheur scientifique adjoint à l'UA, et Tess Wagner, diplômée en architecture du paysage - a déjà des résultats utiles.
Les villes désertiques telles que Tucson et Phoenix peuvent-elles rendre les sources d'eau durables ?
D'une part, dit-il, en 2008, Tucson est devenue la première des quatre villes à créer sa carte thermique, qui est gérée par l'Association des gouvernements Pima et disponible en ligne. Albuquerque et Las Cruces ont toutes deux créé des cartes à la fin de 2017. Bien que Phoenix ait réalisé des cartes pour plusieurs initiatives, elle est la seule des quatre villes à ne pas avoir de carte municipale accessible au public.
"Certains peuvent trouver cela surprenant, mais Tucson est vraiment un leader dans son utilisation de la carte de chaleur et a été transparent dès le début," dit Keith.
Grâce à la recherche, Keith et son équipe ont découvert que les Tucsoniens utilisent activement la carte thermique pour prendre des décisions.
Lorsque le maire de Tucson, Jonathan Rothschild, a lancé son initiative 10 000 arbres, son bureau a consulté la carte thermique pour décider où planter. Les zones faisant face à un effet d'îlot thermique plus sévère auraient plus d'arbres pour contrer les températures plus élevées. Tucson a utilisé la carte pour évaluer les permis de rezonage pour les aménagements proposés et déterminer les exigences en matière d'aménagement paysager. Le programme Conserve2Enhance, créé par l'équipe de Megdal au WRRC, n'accorde pas de subventions aux projets locaux d'amélioration de l'environnement avant d'avoir d'abord consulté - vous l'aurez deviné - la carte de la chaleur.
«Ce n'est pas que nous n'ayons plus de travail à faire, mais Tucson donne l'exemple pour ce que beaucoup d'autres villes aimeraient faire», dit Keith.
RépondreSupprimerSous le parapluie de «plus de travail à faire» est que la carte de chaleur de Tucson est basée seulement sur une image satellite thermique et n'est pas vérifiée au sol, signifiant qu'il est difficile de dire comment elle se compare aux conditions climatiques moyennes.
Poches de répit
Si les villes du désert doivent être véritablement des oasis durables, cela ne se fera pas en «couvrant toute la ville et en la rendant plus froide à la fois», dit Keith. Pour ce faire serait impossible.
Le centre WEST, dirigé par l'AU, est situé à proximité de l'installation de récupération des eaux du comté de Pima et adjacent aux bassins de recharge d'eau récupérés et aux zones humides construites, qui font tous partie d'un campus de récupération d'eau. Le centre aide le ... plus
«Il s'agira de créer des microclimats confortables dans les bâtiments et les sites où les gens travaillent et jouent et vont à l'école, puis de s'assurer que les corridors sont bien reliés pour que les gens puissent marcher confortablement».
C'est là que l'utilisation ciblée d'une carte de chaleur et d'une architecture soigneusement conçue sont utiles.
Concevoir pour le désert
La cartographie de la chaleur peut vous indiquer où vous devez créer plus de fraîcheur et de confort, mais elle ne peut pas vous dire comment. Le collègue de Keith, Christopher Domin, peut. Domin est professeur agrégé d'architecture à l'UA et l'auteur d'un livre à venir sur la vie et l'œuvre de Judith Chafee. Il se spécialise dans la technologie régionale.
«En tant qu'architecte et éducateur, je suis ravi de la leçon que nous offre le désert», explique Domin. "Si vous regardez comment les plantes et les animaux survivent dans ce climat, ils peuvent enseigner aux humains un peu comment s'adapter à cet écosystème et transférer ces idées dans des environnements bâtis."
Un immeuble de bureaux, un restaurant, une école ou une maison peut-il non seulement survivre à la dureté du désert, mais être durable et confortable pour ceux qui l'habitent? Dit Domin: Oui, avec la bonne stratégie de conception.
Au fil du temps, le bon design a pris de nombreuses formes.
Domin souligne que, parce que le bois a toujours été rare dans le désert, les gens ont historiquement construit en utilisant la terre. Les deux techniques principales sont les mélanges de construction en terre battue-stratification de la vase, du gravier et un peu de construction d'argile et de bloc d'adobe, dans lequel les briques sont faites d'argile et de paille.
Les bâtiments retiennent la chaleur et, la nuit, ils évacuent la chaleur qu'ils emmagasinent dans l'air ambiant pendant la journée, ce qui maintient les températures élevées pendant la nuit. C'est ce qu'on appelle l'effet d'îlot de chaleur urbain, et c'est quelque chose que les villes du désert se battent ... plus
«Ces matériaux ainsi que les éléments de construction traditionnels peuvent nous aider à vivre gracieusement dans ce climat», explique Domin. "En plus d'être abondamment disponibles, ces matériaux permettent aux habitants de tirer parti de notre changement de température diurne élevé pour refroidir les espaces pendant la journée et les réchauffer la nuit."
RépondreSupprimerDomin note que si la construction à base de terre est devenue beaucoup moins courante à l'ère de la climatisation, ces matériaux traditionnels font leur retour alors que les villes du désert se réinventent et se modernisent pour un avenir où la durabilité est un moyen de survie.
En 2012, Tucson a ajouté des modifications à son code résidentiel, estimant que les murs d'adobe et de pisé non isolés étaient conformes.
Dans les années 1920 et 1930, les habitants de Tucson et de Phoenix ont construit des porches pour rester au frais toute la nuit. Dans la soirée, ils migraient vers ces porches endormis et suspendaient des draps trempés dans l'eau le long des côtés du porche.
"Cela a permis le refroidissement par évaporation avant l'avènement de la climatisation", explique Domin. "Les gens ont trouvé des façons de vivre dans des maisons qui répondent aux besoins du climat désertique."
Même les dortoirs UA tels que Maricopa Hall avaient des porches de couchage intégrés en même temps.
Les progrès de la climatisation, ainsi que du béton et d'autres nouveaux matériaux de construction, ont permis aux habitants du désert d'être moins conscients de leurs habitudes et routines. Domin dit que si nous essayons de revenir à une existence plus gracieuse, même si la population grandit, un bon design tiendra compte de l'effet d'îlot de chaleur.
C'est une sorte de calcul, il dit: "Créer plus d'ombre et enlever le béton."
L'architecture de Tucson comporte souvent de grands surplombs (exemple: Old Main) dans le but de créer de l'ombre, mais Domin dit que l'aménagement paysager bien placé peut créer de l'ombre, aussi. Tucson a des ordonnances d'aménagement paysager du désert pour les projets publics et résidentiels. Les ordonnances garantissent des pratiques responsables telles que l'irrigation efficace, la récupération de l'eau et la préservation des plantes indigènes.
Alors que les architectes du Sud-Ouest comptent encore beaucoup sur des matériaux tels que les blocs de béton, Domin parle d'options: «Très souvent, les architectes conçoivent avec des matériaux résistants pour résister à la dureté du désert de Sonora.
Le zinc, dit-il, en est un exemple. La couverture de zinc et le revêtement mural sont durables, ont un écoulement non toxique, ce qui signifie que son effet sur le paysage et les aquifères est bénin.
Les architectes peuvent également concevoir des espaces qui gardent les gens au frais en tenant compte de la ventilation et des angles solaires. Un bâtiment plus étroit (par exemple, une pièce profonde) encouragera une brise à couler partout, plutôt que d'être coupé par des couloirs intérieurs. De plus, en plaçant les bâtiments le long de l'axe est-ouest, avec le côté le plus long du bâtiment orienté vers le sud, et en minimisant les fenêtres orientées vers l'ouest, on garde plus de chaleur.
Facile ? Non. Réalisable ? Oui.
RépondreSupprimerCe que Megdal, Keith et Domin expliquent clairement, c'est que l'habitation dans le désert exige une volonté de le faire fonctionner et une éthique de le faire sans appauvrir l'environnement. C'est un équilibre précaire, dont les chercheurs sont de plus en plus conscients - et les Arizonains tentent de plus en plus de faire mieux.
Est-ce facile ? Tous les trois disent non. Mais le désert est-il gratifiant et réalisable d'une manière durable ? Oui, tant que les populations en croissance restent innovantes, adaptatives et disposées à conserver.
Le désert est un paysage unique qui présente des défis uniques. Mais pour ceux qui continuent à déménager ici, ça vaut le coup. "Le désert est un endroit accueillant et beau à vivre, n'est-ce pas?" Megdal dit, en souriant.
Sa question, bien sûr, est rhétorique.
https://phys.org/news/2018-04-cities-tucson-phoenix-sources-sustainable.html#jCp
Il n'y a pas de rétention d'eau dans le désert. Dans le désert on a QUE le désert.
SupprimerLorsque l'on construit un barrage sur un cours d'eau, le niveau s'élève et déborde, donc, la rétention parfaite serait de construire un mur aussi haut que l'altitude de la source.
Qu'observerions-nous là ? On constaterait l'état d'un lac immense. Mais ce lac immense déborderait. Jusqu'à quelle hauteur ? Jusqu'à la puissance de l'eau projetée depuis le magma.
Donc, arrêtons nous au lac immense. Que se passe t-il dessous ? Le sous-sol poreux va remplir des conduits et nappes phréatiques voire en créer au lieu d'idiotement jeter toute cette eau dans la mer ou l'océan.
Donc, servons nous de notre intelligence pour examiner les faits. Là où l'eau demeure s'établit un atmosphère dont l'hygrométrie est supérieure à bien d'autres endroits.
Où est le problème ? Le lac devient poissonneux, l'eau transite dans le bassin. L'ensemble est vivant. Il n'y a donc plus de désert.
Assad: l’Occident soutient les «terroristes depuis le 1er jour de la guerre»
RépondreSupprimer19:09 23.04.2018
Les pays, qui ont mené les frappes contre la Syrie, soutiennent les terroristes depuis le début de la guerre, a déclaré Bachar el-Assad lors d'une réunion avec le vice-ministre iranien des Affaires étrangères Hossein Jaberi Ansari.
Les pays occidentaux, qui ont effectué une attaque contre la Syrie dans la nuit du 13 au 14 avril, ont apporté leur soutien aux terroristes depuis le «premier jour de la guerre» en Syrie, a indiqué Bachar el-Assad, selon le service de presse de la présidence syrienne.
«Les États-Unis et les groupes qui sont leurs instruments, dans les pays de la région, ont soutenu les terroristes depuis le premier jour de la guerre en Syrie. Leur agression directe observée ces derniers temps n'a pas pu arrêter la lutte contre le terrorisme qui continuera jusqu'à ce que la Syrie ne récupère tous ses territoires», a souligné le Président syrien.
Hossein Jaberi Ansari a indiqué, à son tour, que les États-Unis, la France et le Royaume-Uni avaient procédé à ces frappes à cause des victoires de l'armée syrienne et de ses alliés sur les terroristes.
Dans la nuit du 13 au 14 avril, les États-Unis, le Royaume-Uni et la France ont porté des frappes contre la Syrie. Sur 103 missiles tirés, 71 ont été interceptés par la DCA syrienne, a déclaré le ministre russe de la Défense.
Le bombardement a été mené sous le prétexte d'une opération visant à détruire des armes chimiques présumées de cet État, suite à l'attaque chimique qui aurait été perpétrée le 7 avril à Douma, près de Damas, selon les pays occidentaux. La Russie a démenti les informations concernant une bombe au chlore qui aurait été larguée par les forces gouvernementales syriennes. Les militaires russes ont qualifié de fausses les photos de victimes de la présumée attaque chimique à Douma, publiées par les Casques blancs sur les réseaux sociaux. Moscou estime que l'objectif de ces informations mensongères est de protéger les terroristes et de justifier d'éventuelles actions extérieures.
https://fr.sputniknews.com/international/201804231036071019-assad-occident-terroristes-guerre/
RépondreSupprimerTout est une question de moralité
lundi 12 mai 2014
Pourquoi aucune personne au monde ne peut s'identifier à 100% à un parti politique ? Parce qu'aucun n'affiche ce que désire le peuple. Ainsi, la création d'un parti politique, se réfère à un groupuscule de personnes qui entendent amener vers lui des sympathisants auxquelles seulement quelques mesures sont bénéfiques.
Donc, nous entrons là dans un univers anti-démocratique qui rejette d'emblée l'idée de référendum à laquelle toute une liste de propositions aurait des cases à cocher. Ce serait là répondre à "Que demande le peuple ?". Sur quoi serait bien-sûr ajoutée une espace blanc où chacun pourrait y inscrire/soumettre ses propres suggestions.
Mais 'bizarre' qu'aucun 'chef de parti' n'ait eu l'idée d'une telle construction ! Ainsi, et nous pouvons toutes & tous le voir après chaque élections... les promesses ne sont jamais tenues !
Cette oligarchie tend à se perpétuer sous le couvert de fausses statistiques résultant de 'sondages d'opinions' où se dégagerait une fausse majorité approuvant telle ou telle mesure. Telle est la définition constatée des pouvoirs en place qui 'n'en font qu'à leurs têtes'. Ainsi, sous le prétexte énorme de traiter toutes les demandes sont orientées des mesures visant à qualifier de 'terroristes' celles & ceux qui ne seraient pas de leur avis ! Belle mentalité !
Le plus grave dans le monde pour tous ceux qui y vivent est que si leur chef de l'Etat, gouvernement, parle mal d'un autre pays ou va jusqu'à lui déclarer la guerre, immédiatement le reste du monde juge non pas le chef de l'Etat qui parle ou son gouvernement, mais... le pays ! C'est sur tout un pays qu'est jeté l'opprobre à cause d'un ou d'une poignée de personnes malfaisantes ! (Remarquez qu'un pays n'est plus déclaré 'bon' ou 'mauvais' suite à un changement de chef d'Etat alors que les habitants du pays sont demeurés les mêmes. Il est donc important de faire le distingo)
Ainsi même, de fil en aiguille, la presse gouvernementale prend le relais de ce comportement et tend à entrainer toute la population à rejeter l'attitude de tout un pays.
Un pays c'est quoi, çà tient par quoi ?
Un pays ce n'est pas çà, un pays c'est ce que les gens veulent et non une poignée d'assassins. Or, ce que les gens veulent ce sont des référendums, c'est-à-dire des lois adoptées/votées par toutes & tous et non pas par de faux-représentants du peuple qui adoptent le contraire. Cà au moins c'est du sondage d'opinions. Sondages d'opinions bien réels, bien vrais pour une fois !
Une société est faite d'individualisme telle qu'est constituée une famille ou chacun entreprend ce qui est bon pour elle. Chacun a regard sur la gestion des revenus et les meilleures définitions pour la maintenir en état. Or, si les 'étiquettes' ont toujours fait peur, celle de la Liberté correspond pourtant à tout le monde. Cà alors !
https://huemaurice5.blogspot.fr/2014/05/tout-est-une-question-de-moralite.html
Ex-Facebook Executive: "Vous ne le réalisez pas mais vous êtes programmé"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 23/04/2018 - 18:35
Auteur de Mustapha Itani via Medium.com,
Il y a quelques mois, l'un des premiers pionniers de Facebook et de son premier président, Sean Parker, a exprimé ses regrets concernant la création de médias sociaux sous la forme que nous connaissons aujourd'hui:
"Je ne sais pas si j'ai vraiment compris les conséquences de ce que je disais, à cause des conséquences involontaires d'un réseau quand il atteint un milliard ou 2 milliards de personnes et cela change littéralement votre relation avec la société, les uns avec les autres" ...
"Dieu seul sait ce qu'il fait au cerveau de nos enfants."
Parker dit que le site de réseautage social exploite les vulnérabilités psychologiques humaines à travers une boucle de rétroaction de validation qui incite les gens à publier constamment pour obtenir encore plus de goûts et de commentaires.
"C'est exactement le genre de chose qu'un hacker comme moi pourrait imaginer, parce que vous exploitez une vulnérabilité de la psychologie humaine", a-t-il dit.
"Les inventeurs, les créateurs - c'est moi, c'est Mark [Zuckerberg], c'est Kevin Systrom sur Instagram, c'est l'ensemble de ces gens - l'ont compris consciemment. Et nous l'avons fait de toute façon. "
Plus tard, un autre ancien dirigeant de Facebook s'est ouvert aux mêmes préoccupations.
Chamath Palihapitiya, ancien vice-président de la croissance des utilisateurs chez Facebook, a déclaré lors d'une récente discussion publique à la Stanford Graduate School of Business: «Je pense que nous avons créé des outils qui déchirent le tissu social de la société.
"Les boucles de feedback à court terme, dopaminergiques que nous avons créées détruisent le fonctionnement de la société", a déclaré Palihapitiya.
"Pas de discours civil, pas de coopération; désinformation, mistruth. Et ce n'est pas un problème américain - il ne s'agit pas de publicités russes. C'est un problème global. "
Palihapitiya a ensuite exprimé le sentiment de culpabilité, "Je ressens une énorme culpabilité. Je pense que nous savions tous dans le fond de nos esprits - même si nous avons feint toute cette ligne de, comme, il n'y a probablement pas de mauvaises conséquences non intentionnelles. Je pense que dans le fond, profonds, profonds recoins de, nous savions que quelque chose de mauvais pouvait arriver. Mais je pense que la façon dont nous l'avons défini n'était pas comme ça. "
"Donc nous sommes dans un très mauvais état de choses en ce moment, à mon avis. Il érode le fondement de la façon dont les gens se comportent les uns par rapport aux autres. Et je n'ai pas une bonne solution. Ma solution est que je n'utilise plus ces outils. Je n'ai pas depuis des années. "
En ce qui concerne la question des médias sociaux dans leur ensemble, Palihapitiya a déclaré qu'il ne l'utilisait plus puisqu'il «ne voulait pas être programmé de façon innée». Et quant à ses enfants, «ils ne sont pas autorisés à utiliser cette merde. "
Puis il continue à exprimer des sentiments très forts:
RépondreSupprimer"Les mauvais acteurs peuvent maintenant manipuler de larges bandes de personnes pour faire ce que vous voulez. C'est un mauvais état de choses. Et nous compliquons le problème. Nous organisons nos vies autour de ce sentiment de perfection perçu, parce que nous sommes récompensés dans ces signaux à court terme: Cœurs, goûts, les pouces vers le haut. Et nous confondons cela avec la valeur et nous l'assimilons à la vérité, et au lieu de cela, c'est une fausse popularité qui est à court terme et qui vous laisse encore plus, et l'admet, vide et vide avant que vous ne le fassiez. Parce que cela vous force à entrer dans ce cercle vicieux sur ce que je dois faire ensuite, parce que j'en ai besoin. Et pensez à cela composé de deux milliards de personnes. "
"Tout le monde doit chercher un peu plus sur ce que vous êtes prêt à faire", at-il dit.
"Parce que vos comportements, vous ne le réalisez pas, mais vous êtes programmé. C'était involontaire, mais maintenant tu dois décider combien tu es prêt à abandonner, quelle part de ton indépendance intellectuelle.
Il finit en disant au public de ne pas penser qu'ils sont trop intelligents pour tomber sous le coup des implications des médias sociaux, et a déclaré que ceux qui sont les meilleurs et les plus brillants sont les plus susceptibles d'y tomber, "parce que vous êtes putain check-boxe toute ta vie de Goddamn. "
Maintenant, ce sont des choses très fortes, surtout venant directement de la bouche de Frankenstein
https://www.zerohedge.com/news/2018-04-23/ex-facebook-executive-you-dont-realize-it-you-are-being-programmed
La BCE capitule sur le désamorçage de la «bombe à retardement de 1 billion de dollars de la zone euro»
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 23/04/2018 - 18:22
Fin 2017, la BCE a surpris les observateurs des banques centrales, brièvement effrayé les marchés, et mis en colère de nombreux Italiens, avec son plan d'éradiquer ce que beaucoup ont surnommé la "bombe à retardement" au cœur de la zone euro, à savoir le milliard de dollars - des prêts performants dans les banques européennes (un chiffre sensiblement plus élevé dans la réalité, car les banques européennes ont récemment été prises en flagrant délit).
La BCE a alors rapidement essuyé des critiques - la plupart venant d'Italie dont les banques ont le plus grand nombre de créances douteuses - pour avoir exigé que les banques mettent de côté plus de capital comme amortisseur de pertes lorsque 900 milliards d'euros de créances irrécouvrables sont finalement libérés.
Six mois plus tard, il apparaît maintenant que la banque centrale européenne est venue et s'est enfuie face à ce qui semble maintenant être un problème insurmontable: comme l'a rapporté Reuters ce matin, la BCE «envisage de suspendre les règles prévues aurait forcé les banques à mettre de côté plus d'argent contre leur stock de prêts impayés, après avoir subi une réaction politique. "
Les directives NPL, qui avaient déjà été reportées d'un mois et attendues en mars, ont été présentées comme un élément clé du plan de la BCE visant à réduire la pile de 930 milliards de dollars de crédits non performants qui ont paralysé les banques de la zone euro ces dix dernières années. notamment en Grèce, à Chypre, au Portugal et en Italie.
Au lieu de cela, la BCE envisage maintenant de capituler tactiquement car le problème des prêts non productifs s'est avéré trop important pour que les banques puissent les aborder officiellement, ou comme Reuters l'a fait beaucoup plus politiquement ». des prêts performants étaient nécessaires en fonction des progrès réalisés par les différentes banques. " Bien sûr, comme il n'y a guère eu de progrès dans la résolution de ce problème, la conclusion est simple: la BCE n'insiste plus pour une résolution de prêts non performants, car elle n'est tout simplement pas viable.
Alors, que fera la BCE pour perpétuer l'illusion de la solvabilité? Selon des sources de Reuters, si les règles proposées sont abandonnées - comme cela semble maintenant probable - les superviseurs "continueront à faire pression sur les banques en difficulté en utilisant les pouvoirs existants".
En d'autres termes, la BCE ne fera rien alors que les choses reviendront à l'état où elles se trouvaient avant que la BCE ne prétende pouvoir résoudre l'éléphant dans le coffre des banques européennes.
Le conseil d'administration du mécanisme de surveillance unique (MSU) de la BCE discutera de la question lors d'une réunion le mois prochain, avec une décision finale attendue en juin, a indiqué l'une des sources.
Bien sûr, une capitulation de la BCE signifie que toute nouvelle ingérence financière dans la zone euro s'arrêterait brutalement: rappelons que pour le soutien de l'Europe, l'Allemagne, un nettoyage des bilans des banques à partir des actifs toxiques est la condition préalable pour se mettre d'accord sur assurance commune de la zone euro sur les dépôts bancaires. Et sans cela, les rêves bruxellois d'un État fédéral d'Europe ne peuvent jamais se réaliser.
RépondreSupprimerAlors, qui est responsable? Pas de surprise là-dessus: comme les détails de Reuters, la BCE a reçu un rejet d'un ensemble de lignes directrices distinctes sur les prêts qui aigre à l'avenir de plusieurs membres du Parlement européen, en particulier de l'Italie, et les lobbyistes.
Ceux-ci donnent aux banques sept ans pour fournir de nouveaux prêts douteux qui sont garantis par des garanties et deux pour ceux qui ne le sont pas.
Et si le plan initial de la BCE envisageait d'appliquer des lignes directrices similaires au stock de créances douteuses existantes, cela semble de plus en plus improbable, ont indiqué des sources de la banque centrale. Une raison: cela obligerait les banques à augmenter d'une manière ou d'une autre des dizaines, voire des centaines de milliards de capital pour «combler le fossé». Hélas, cela semble impossible.
Pendant ce temps, dans un charmant rappel du chaos bureaucratique de l'Europe, les législateurs avaient objecté que la BCE empiétait sur leurs prérogatives en adoptant des règles qui s'appliquent à toutes les banques, plutôt que de travailler sur des cas individuels. Finalement, ces règles sur le soi-disant «flux» de prêts qui aigre ont été dévoilés dans une forme un peu adouci le mois dernier.
Bien sûr, le problème est qu'en laissant les politiciens entre les mains des politiciens, le problème ne fera que s'aggraver, ce que même la BCE admet: "une étude d'impact réalisée par le personnel de la politique monétaire de la BCE qui simulait "Flow" règles sur le stock complet de prêts impayés actuellement assis dans les banques de la zone euro, mis en évidence des risques pour le système financier. "
Alors, que proposera la BCE ?
Eh bien, le mécanisme de surveillance unique de la BCE, qui est formellement séparé du reste de la BCE, a abouti à un résultat plus "bénin" en supposant que les banques continueraient à réduire leur stock de créances douteuses, comme elles l'ont fait ces deux dernières années.
En d'autres termes, la BCE supposera que l'environnement qui a commencé en 2016 avec le lancement de son QE d'entreprise par la BCE et qui a poussé les rendements à des niveaux historiquement bas persistera indéfiniment, même si la BCE elle-même admet qu'elle commencera bientôt le resserrement des conditions financières, entraînant le chaos sur le marché obligataire, une augmentation des défauts de paiement et des centaines de milliards de créances improductives.
La BCE ne pourrait pas obtenir plus circulaire si elle a essayé.
Cela dit, la bonne nouvelle - pour les taureaux - est que la capitulation de la BCE garantit quasiment un autre épisode de QE suivra peu de temps après que la BCE aura "mis fin" à l'actuel.
https://www.zerohedge.com/news/2018-04-23/ecb-capitulates-defusing-eurozones-1-trillion-ticking-time-bomb
Rappelez vous bien d'une chose: La 'dette' n'existe pas !
SupprimerLes banques (fauchées) ont créé de l'argent qu'elles n'avaient pas et, vous réclament de l'argent réel !!
Si la dette (mondiale) existait, le prix de l'or aurait été multiplié par 100 depuis des décennies. Ce qui n'est pas le cas ! Çà alors !
Vous êtes vous mêmes endetté ? Votre voiture, logement, etc ? Donc vous vous serrez la ceinture.
Par contre, les mairies qui sont endettées comme toutes autres continuent de dépenser et construire à tout-va ! Çà alors !!
Vous imaginez vous avec vos dettes actuelles acheter un bateau ou un avion ? Pour vous c'est impossible, c'est refusé. Pour les mairies c'est possible ! Suffit de demander !
Des chercheurs enseignent aux neurones comment sexuer une personne à partir d'un texte
RépondreSupprimer08:00 24.04.2018
Un collectif de scientifiques de l’Université nationale de recherche nucléaire (MEPhI), du Centre national de recherche «Institut Kourtchatov» et de l’Université d’État de Voronej ont développé une méthode permettant à un ordinateur de définir le sexe d’une personne selon un texte qu'ils ont écrit dans 80% des cas.
Cette étude scientifique, qui se rapporte à la linguistique numérique, a été menée grâce à une bourse de la Fondation scientifique russe. Ses résultats ont été publiés par la revue Procedia Computer Science.
Beaucoup d'études scientifiques montrent qu'un texte écrit reflète inévitablement les caractéristiques de son auteur et notamment son sexe, ses particularités psychologiques ou son niveau d'éducation. Le langage est un outil précieux de diagnostic psychologique, utilisé par les experts en ressources humaines des grandes entreprises ou encore par les services de sécurité.
L'analyse du langage peut permettre de dépister la présence de certaines maladies (la démence ou la dépression) ou un penchant suicidaire. La nécessité d'établir les caractéristiques des auteurs de textes est de plus en plus importante dans le contexte du développement des communications par internet: il est notamment crucial pour les entreprises de savoir quels groupes préfèrent leurs produits ou leurs services.
Les scientifiques travaillant dans ce domaine (les linguistes, les psychologues, les informaticiens) s'appuient sur la signification de différents paramètres d'un texte pour créer des modèles mathématiques destinés à «diagnostiquer» telle ou telle caractéristique personnelle de son auteur.
Le collectif russe a examiné l'efficacité des différentes technologies d'apprentissage automatique recourant aux réseaux de neurones pour analyser les textes.
Pour cette étude, ils ont comparé la précision de la résolution du problème de l'identification du genre sur la base de deux approches des modèles de données: d'un côté ils ont essayé les algorithmes d'apprentissage automatique (la méthode des machines à vecteurs de support et le gradient boosting), de l'autre ils ont testé les réseaux de neurones d'apprentissage profond (les réseaux de neurones convolutifs et les réseaux de neurones récurrents ayant une longue mémoire à court terme).
«Nous avons obtenu des résultants considérables dans la définition du sexe de l'auteur du texte grâce aux modèles avancés des réseaux de neurones dans les conditions où l'auteur ne dissimule pas son sexe. Le prochain objectif est de définir le sexe dans des conditions où il est consciemment dissimulé», explique Alexandre Sboev, maître de conférences au MEPhI.
Ainsi, en analysant des textes publiés initialement sur un site de rencontres, le réseau de neurones trouve sans problème la tromperie dans dix cas sur dix, même si l'auteur signe son texte avec le nom d'une personne de l'autre sexe.
Ce texte a été écrit par une jeune fille: «Je suis un homme joli et musclé de 30 ans. Je travaille dans une grande entreprise pétrogazière à un bon poste avec un salaire décent. J'habite dans mon propre appartement à Moscou et possède une petite maison sympathique dans un village italien. Je fais du sport, notamment du football. J'aime partir quelque part le week-end, je déteste les femmes casanières. Je cherche une fille discrète et jolie, qui doit avoir une silhouette attractive selon les standards modernes. Elle doit partager mes intérêts, ne pas être jalouse et ne pas tenter de susciter ma jalousie. Je n'ai aucune envie d'avoir une jeune femme à ma charge car, à mon avis, les deux membres d'un couple doivent travailler. Je préfère également que le budget familial soit géré séparément. Je ne tolérerait pas l'adultère».
RépondreSupprimerCe texte a été écrit par un homme: «Bonjour ! Je suis très, très mécontente! Qu'est-ce que vous vous permettez avec nous ?! Nous sommes nous aussi êtres humains, nous sommes égaux ! Êtes-vous sexiste ? Je ne vais plus le tolérer ! Je vais casser ta voiture, la couvrir de peinture ! Prépare-toi, porc ! T'es fini !»
Les résultats de l'étude ont montré que l'approche se basant sur les réseaux de neurones convolutifs et les méthodes d'apprentissage profond était optimale pour définir le sexe de l'auteur d'un texte.
Les chercheurs travaillent actuellement à des méthodes qui permettront d'identifier l'âge de l'auteur.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201804241036070110-chercheurs-russes-neurones-texte-sexe/
FLASHBACK: Il y a vingt ans aujourd'hui, le tristement célèbre "bâton de hockey" a été publié dans Nature
RépondreSupprimerAnthony Watts
23 avril 2018
Il y a vingt ans aujourd'hui: Le tristement célèbre graphique du «bâton de hockey» qui a cristallisé le réchauffement climatique et déclenché la guerre contre le climat a été publié et est devenu connu sous le nom de MBH98. La science en elle était si mauvaise, qu'on lui attribue la naissance du mouvement sceptique du climat moderne.
Michael E. Mann écrit dans l'ancien Scientific American:
Il y a deux décennies, cette semaine, deux collègues et moi-même avons publié le graphique original du «bâton de hockey» dans Nature, qui coïncidait avec les observances du Jour de la Terre 1998. Le graphique montre que la température de la Terre, relativement stable depuis 500 ans, a augmenté au cours du 20e siècle. Un an plus tard, nous remettrions le graphique dans le temps à 1 000 dinars, démontrant ainsi que cette augmentation était sans précédent depuis au moins un millénaire - aussi loin que nous pouvions aller avec les données que nous avions.
- voir graphique sur site -
Graphique de température d'origine du "bâton de hockey" dans Nature, 1998. L'axe des Y montre la température moyenne de l'hémisphère Nord, en degrés Celsius; la ligne zéro correspond à la moyenne de 1902-1980. Crédit: «Les modèles de température à l'échelle mondiale et le forçage climatique au cours des six derniers siècles», par Michael E. Mann et al. dans la nature, vol. 392, 23 avril 1998
Même si je ne m'en rendais pas compte à l'époque, publier le bâton de hockey allait changer ma vie de façon fondamentale. J'ai été soudainement mis à l'honneur. Presque tous les grands journaux et chaînes de télévision ont couvert notre étude. L'attention générale était exaltante, voire intimidante pour un nerd scientifique avec peu ou pas d'expérience - ou franchement, inclination à l'époque - dans la communication avec le public.
Rien dans ma formation de scientifique n'aurait pu me préparer aux batailles très publiques auxquelles je ferais bientôt face. Le bâton de hockey racontait une histoire simple: il y a quelque chose d'inédit dans le réchauffement que nous connaissons aujourd'hui et, implicitement, cela a quelque chose à voir avec nous et notre brûlante consommation de combustibles fossiles. L'histoire était une menace pour les entreprises qui tiraient profit des combustibles fossiles, et les fonctionnaires du gouvernement faisaient leur appel d'offres, qui s'opposaient tous aux efforts visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre. En tant que premier auteur junior vulnérable de l'article (j'étais chercheur postdoctoral), je me suis retrouvé dans le collimateur de chiens d'attaque financés par l'industrie cherchant à discréditer le symbole emblématique de l'impact humain sur notre climat ... en me discréditant personnellement.
- voir graphique sur site -
La reconstruction de la température du bâton de hockey à partir de 1999 (en bleu) avec le fichier de données (en rouge) et la reconstruction en 2013 de la température «PAGES2k» (en vert). Crédit: Klaus Bittermann via Wikimedia Commons (CC BY-SA 4.0)
Dans mon livre de 2013, The Hockey Stick et Climate Wars: Dispatches from the Front Lines, j'ai donné un nom à ce mode opératoire des critiques scientifiques: la stratégie du Serengeti. Le terme décrit comment les intérêts particuliers de l'industrie et leurs facilitateurs choisissent les chercheurs individuels pour attaquer, de la même manière que les lions du Serengeti distinguent un zèbre individuel du troupeau. En nombre il y a de la force; les individus sont beaucoup plus vulnérables.
RépondreSupprimerLe but de cette stratégie, toujours en vigueur aujourd'hui, est double: saper la crédibilité de la communauté scientifique, compromettant ainsi les scientifiques en tant que messagers et communicateurs; et de décourager les autres chercheurs de relever la tête au-dessus du parapet et de s'engager dans un discours public sur la science politique pertinente. Si les agresseurs réussissent, comme je l'ai déjà dit, nous perdons tous - sous la forme de politiques qui favorisent des intérêts particuliers par rapport à nos intérêts.
Lisez le reste du "pauvre moi" du Dr Mann en plaidant ici (ou non)
Entre-temps, Climategate a eu lieu en novembre 2009, avec "Mike's Nature Trick"
par Jean S le 20 novembre 2009
Jusqu'à présent, l'un des courriels les plus diffusés du CRU Hack est le suivant de Phil Jones aux auteurs originaux de bâton de hockey - Michael Mann, Raymond Bradley et Malcolm Hughes.
De: Phil Jones
Pour: ray bradley, mann @ xxxxx.xxx, mhughes@xxxx.xxx
Objet: Schéma de la déclaration de l'OMM
Date: Mar, 16 Nov 1999 13:31:15 +0000
Cc: k.briffa @ xxx.xx.xx, t.osborn @ xxxx.xxx
Cher Ray, Mike et Malcolm,
Une fois que Tim aura un diagramme ici, nous l'enverrons soit plus tard aujourd'hui ou première chose demain.
Je viens de terminer l'astuce de Mike's Nature d'ajouter dans les temps réels à chaque série pour les 20 dernières années (à partir de 1981) et 1961 pour Keith pour cacher le déclin. La série de Mike a l'annuel valeurs terrestres et marines tandis que les deux autres ont avril-sept pour les terres NHN de 20N. Les deux derniers sont réels pour 1999, tandis que l'estimation pour 1999 pour NH combiné est + 0,44C par rapport à 61-90. L'estimation globale pour 1999 avec les données jusqu'à Oct sont + 0.35C cf. 0,57 pour 1998.
Merci pour les commentaires, Ray.
À votre santé
Phil
Prof. Phil Jones
Unité de recherche climatique Téléphone +44 (0) xxxxx
École des sciences de l'environnement Fax +44 (0) xxxx
Université d'East Anglia
Norwich Email p.jones@xxxx.xxx
NR4 7TJ
Royaume-Uni
L'e-mail concerne la déclaration de l'OMM sur l'état du climat mondial en 1999 - ou plus précisément sur son image de couverture.
RépondreSupprimerEn décembre 2004, John Finn a posé une question sur «la divergence» entre le mythe et le fait concernant le «bâton de hockey» - le fil de RealClimate.org.
Quelle que soit la raison de la divergence, il semblerait suggérer que la pratique consistant à greffer le dossier du thermomètre sur un enregistrement de température indirect - comme je crois l'avoir fait dans le cas du «bâton de hockey» - est pour le moins douteux.
La réponse de Mike parle d'elle-même.
Aucun chercheur dans ce domaine n'a jamais, à notre connaissance, "greffé le dossier du thermomètre sur" une quelconque reconstruction. Il est quelque peu décevant de trouver cette affirmation spécieuse (que nous trouvons habituellement provenant de sites web de désinformation sur le climat financés par l'industrie) figurant dans ce forum.
Mais il y a une tournure intéressante ici: greffer le thermomètre sur une reconstruction n'est pas en fait le "truc de Mike's Nature" original! Mann n'a pas entièrement greffé le thermomètre sur une reconstruction, mais il a arrêté la série lissée dans leurs années de fin. L'astuce est plus sophistiquée, et a été découvert par UC ici.
En lissant ces séries temporelles, l'équipe a eu un problème: les reconstructions réelles "divergent" de la série instrumentale dans la dernière partie du 20ème siècle. Par exemple, dans le bâton de hockey original (fin 1980), les dernières 30-40 années de données pointent légèrement vers le bas. Afin de lisser ces séries temporelles, il faut "tamponner" la série au-delà de la fin, et peu importe la méthode utilisée, cela conduit à un graphique lissé pointant vers le bas à la fin alors que la série instrumentale lissée pointe vers le haut - une divergence . La solution de Mann fut donc d'utiliser l'enregistrement instrumental pour le padding, qui change la série lissée pour pointer vers le haut comme on le voit clairement dans la figure de UC (violet original, vert sans "truc de Mike's Nature").
TGIF-magazine a déjà interrogé Jones sur le courriel, et il a nié avoir trompé qui que ce soit, mais s'est souvenu de la greffe.
"Non, c'est complètement faux. Dans le sens où ils parlent de deux choses différentes ici. Ils parlent des données instrumentales qui ne sont pas modifiées - mais ils parlent de données de proxy remontant dans le temps, un millier d'années, et de la façon dont vous ajoutez ces dernières années, parce que lorsque vous obtenez des données proxy, goûter à des choses comme des cernes d'arbres et des carottes de glace, et ils n'ont pas toujours eu ces dernières années. Donc, un moyen consiste à ajouter sur les données instrumentales pour les dernières années. "
Jones a dit à TGIF qu'il n'avait aucune idée de ce que je voulais dire en utilisant les mots «cacher le déclin».
"C'était un email d'il y a dix ans. Pouvez-vous vous souvenir du contexte exact de ce que vous avez écrit il y a dix ans?
Peut-être que cela aide le Dr Jones à se souvenir du contexte exact, s'il inspecte soigneusement la silhouette d'UC. Chez CA, nous sommes plus que ravis de pouvoir aider de si jolies personnes dans ces domaines.
https://wattsupwiththat.com/2018/04/23/flashback-twenty-years-ago-today-the-infamous-hockey-stick-was-published-in-nature/