April 29th, 2018
Climat Worriers ont la chance la plus terrible. Toutes les runes étaient alignées pour l'énergie solaire - elle est presque gratuite, coule du ciel, et des millions de personnes semblent avoir besoin d'énergie "assez souvent". De plus, les universités et les gouvernements ont offert vingt ans de publicité gratuite sur son Glorious Wonderfulness. L'énergie solaire est également utilisée par les saints des Célébrités de Gaia, remplissant ainsi les besoins à la mode, spirituels et tribaux. Un bon jour, il remplit aussi des besoins en mégawatts.
Malgré tout cela, sans les paiements forcés des non-utilisateurs involontaires et involontaires de l'énergie solaire, les investisseurs fuient et l'industrie solaire en Allemagne s'effondre. Comment cela peut-il être ?!
Lawrence Solomon: Le solaire et le vent sont-ils finalement moins chers que les combustibles fossiles ? Aucune chance
Financial Post
Après que le gouvernement allemand a décidé de réduire les subventions à l'industrie solaire en 2012, l'industrie a plongé. Cette année-là, pratiquement tous les grands producteurs d'énergie solaire allemands ont connu une baisse, leur nouvelle capacité ayant diminué de 90 % et leurs nouveaux investissements de 92 %. Quelque 80 000 travailleurs - 70 % de la main-d'œuvre solaire - ont perdu leur emploi. La part de marché de l'énergie solaire diminue et les panneaux solaires, ayant survécu à leur utilité, sont retirés sans être remplacés.
L'énergie éolienne fait face à un destin similaire. L'Allemagne compte quelque 29 000 éoliennes, dont la quasi-totalité bénéficie d'un programme de subventions de 20 ans qui a débuté en 2000. À partir de 2020, alors que 5 700 éoliennes sont épuisées, des milliers d'entre elles perdront chaque année leur soutien. rendant le fonctionnement continu de la plupart d'entre eux non rentable sur la base des prix actuels du marché. Pour aggraver les choses, avec un grand nombre de turbines défaillantes et devenant non rentables à maintenir, elles représentent un passif environnemental et posent la possibilité d'abandon. Aucun fonds n'a été mis de côté pour éliminer les pales, qui ne sont pas recyclables, ou pour enlever les bases de béton armé de 3 000 tonnes des turbines qui atteignent des profondeurs de 20 mètres, ce qui les rend dangereuses pour les aquifères qu'elles percent.
Sur le plan positif, 80 000 Allemands peuvent maintenant faire quelque chose de productif.
Chose drôle, quelque chose de similaire s'est passé en Australie en juillet 2014:
Soudain, 97 % des investissements australiens dans les énergies renouvelables se sont asséchés sans subventions:
On nous dit que l'énergie «propre» est viable et rentable. Mais couper les subventions du gouvernement, et 97 pour cent des investisseurs disparaissent (en Australie, il est effondré de 2,6 milliards de dollars par an à 80 millions de dollars).
En Australie, ce bref passage à quelque chose qui ressemblait à un marché libre était dû à une «incertitude» politique à l'époque. La main morte de la certitude du gouvernement est depuis revenue pour choisir les gagnants perdants.
h / t GWPF - Voir leur collection sur Engergiewende
Le grand mensonge : 14.000 éoliènnes abandonnées aux USA.
RépondreSupprimer28 août 2014
Le problème avec l’éolien
On avait appris dans le passé que l’éolien n’est pas rentable, que les éoliennes ne fonctionnent que 25 % du temps, que cette industrie ne vit que grâce aux subventions et qu’au Québec, ça coûte aux contribuables près de 700 millions par an. Et malgré que c’est déficitaire et non rentable, le PQ va continuer à gaspiller l’argent des contribuables dans cette filière.
La vérité c’est que les éoliennes, tout comme les panneaux solaires ne sont pas éternels, ils se brisent et ont une durée de vie limitée. Et tout comme les panneaux solaires, les éoliennes produisent moins d’énergie durant leur durée de vie que ce que ça coûte de les fabriquer.
Fabriquer ces sources d’énergies « vertes » requiers de l’énergie, qui vient en majorité d’énergies fossiles, pour extraire les matériaux (souvent des minéraux rares), transporter, construire, etc.. Et c’est sans compter l’énergie nécessaire pour démanteler et détruire (parce que majoritairement pas recyclable) ces machines quand leur durée de vie finie, (ce qui ne semble pas le cas au U.S.A. avec 14 000 éoliennes abandonnées)
Les éoliennes sont laissés à l’abandon, tel des anciens totems à la religion verte en déclin. Imaginez une seconde si ces installations à l’abandon étaient des équipements pétroliers ou miniers, les verts feraient des manifestations, pour exiger que le promoteur les enlève…
Le secteur éolien est juste une fraude fiscale. Ça marche tant qu’il y a des subventions gouvernementales. C’est très payant pour les promoteurs et les actionnaires de compagnies d’énergie « verte ». Et les politiciens embarquent dans cette arnaque pour plaire aux électeurs qui ont été brainwashés par la religion verte.
Il y a beaucoup de vérités cachées dans le monde idyllique de l’éolien, ses perturbations sur l’environnement, ses dommages incalculables causés aux oiseaux, la fuite des animaux sauvages, leur sous-traitance en Chine, les graves nuisances sur la vie des gens, bruit et électricité statique, sans compter la dégradation des paysages naturels.
Passé la manipulation de l’effet médiatique du réchauffement climatique, les gouvernements ont réduit les subventions et les avantages fiscaux, et les consommateurs paient maintenant pour le privilège d’avoir une source d’énergie très coûteuse, dont la production électrique reste très aléatoire : froid, vitesse du vent trop importante, pas assez de vent, ne souffle pas aux heures de pointe, difficultés et coût prohibitif de la maintenance…
L’expérience américaine des fermes éoliennes, a laissé plus de 14.000 éoliennes abandonnées, des friches en lente dégradation. Ces immenses géants symbolisent une « religion climatique » sur le déclin, vous n’entendrez nulle part les écologistes jouer un requiem où ils décrivent la réalité de la situation, les erreurs gigantesques commises, le gâchis de l’argent publique afin d’endormir le peuple et lui faire croire que l’on allait faire des miracles (Paul : Le nucléaire bat toujours le plein, de nombreuses centrales sont en construction dans le monde et beaucoup d’autres en projet)
Les Etats-Unis ont des parcs éoliens depuis 1981
RépondreSupprimer« Certains disent que Kamaoa est hanté. Il est hanté par les sons mystérieux de « Na leo o Kamaoa» – la voix des 37 éoliennes squelettiques désincarnées, abandonnées à la rouille, sur le site de cents acres de l’ancienne ferme éolienne de Kamaoa …
Les fantômes de Kamaoa ne sont pas les seuls à nous mettre en garde. Cinq autres sites éoliens abandonnés, parsèment les îles hawaïennes, mais c’est en Californie où l’impact des politiques passées et des subventions ce sont fait sentir le plus fortement. Des milliers d’éoliennes abandonnées hantent le mythe de l’énergie renouvelable, et trois lieux en décrépitude : Altamont Pass, Tehachapin et San-Gorgonio, sont considérés comme les meilleurs sites venteux du monde…
Ces fermes éoliennes faisaient de la Californie le producteur de 80% de l’électricité éolienne mondiale. La production a cessé beaucoup plus rapidement que Kamaoa. Dans les meilleurs spots de vent de la terre, plus de 14.000 éoliennes ont été tout simplement abandonnées. Programme post-industriel en désuétude qui ne génère plus rien, mais tue toujours les oiseaux … «
Le problème des éoliennes, quand elles sont abandonnées, reste ses immenses hélices, mais les écologistes restent aveugles :
La ville de Palm Springs a été contrainte de promulguer une ordonnance exigeant leur démantèlement de San Gorgonio. Mais le comté de Kern, en Californie, englobant la région de Tehachapi, n’a pas de telle loi.
Imaginez l’indignation des verts si l’on avait abandonné des appareils de forage pétrolier dans des sites naturels !
Il a fallu près d’une décennie en Californie, depuis les premières éoliennes, pour dissiper la croyance répandue, parmi le public et les investisseurs, que l’énergie éolienne n’était juste qu’une escroquerie fiscale.
Ben Lieberman, analyste politique, spécialiste des questions énergétiques et environnementales pour la Fondation du patrimoine, n’est pas surpris :
« Si l’énergie éolienne a du sens, pourquoi y aurait-il besoin de la subventionner ? C’est une bulle qui éclate dès que les subventions gouvernementales se tarissent »
C’est là que réside la leçon a apprendre par ceux qui cherchent à faire fortune grâce aux subventions payées par le contribuable, à l’ensemble du secteur des énergies renouvelables, de l’énergie solaire, éolienne, de la biomasse, incapable de survivre seule, sans provoquer des bulles financières. Beaucoup d’entreprises et d’ONG, comme le WWF, Amis de la Terre et Greenpeace, pensent maintenant qu’elles sont de droit divin, qu’elles mènent une croisade verte pour sauver le climat, justifiant toutes ces débauches financières inutiles.
Les hélices des éoliennes d’Altamont ont été attachées depuis 2008, pendant quatre mois de chaque année, afin de protéger les oiseaux migrateurs, après que les écologistes aient porté plainte. Selon la Golden Société Audubon, 75 à 110 aigles dorés, 380 chevêche des terriers, 300 buses à queue rousse, la crécerelle d’Amérique et 333 faucons sont tués par des turbines à Altamont chaque année. En Juillet 2008, l’étude menée par les soins de l’Agence du comté d’Alameda, concernant le développement communautaire, chiffre à 10 000 décès annuels d’oiseaux. Audubon décrit Altamont comme «probablement le pire site jamais choisi pour un projet d’énergie éolienne »
Les mêmes zones, qui sont propices à l’implantation des parcs éoliens, sont également propices aux passages des oiseaux de proie et des oiseaux migrateurs, à travers les hélices. Il est honteux qu’aucun militant vert ne se soucie de la nature. Seul compte leur agenda anti-carburants fossiles, à n’importe quel prix.
RépondreSupprimerAprès la débâcle de la ruée vers le vent Californien, l’Union européenne avait battu les Etats-Unis sur les efforts pour subventionner l’énergie « renouvelable », y compris une « avance sur tarif » encore plus lucrative que le contrat ISO4.
Les contribuables qui ont subventionné la construction des fermes éoliennes, ont payé le prix fort pour une source pérenne de production électrique, ils seront finalement roulés dans la farine, bons à payer la facture des dégâts de l’écologie sans conscience.
Les éoliennes se délabrent trop vite
Dans le cadre de cette étude demandée par l’association caritative, des professeurs de l’Université d’Edimbourg ont étudié des années de données sur les performances des parcs éoliens au Royaume-Uni et au Danemark.
12-15 ans, pas plus
Ils ont découvert qu’après plusieurs années, les parcs éoliens ne sont pas aussi performants qu’au départ. Après 10 ans de fonctionnement, la rentabilité d’un parc éolien britannique par rapport à la demande aurait diminué d’un tiers.
L’étude en conclut qu’il ne serait pas rentable d’opérer des parcs éoliens pendant plus de 12 à 15 ans, contrairement à l’autonomie prévue de 20-25 ans. Seule solution : les remplacer par de nouvelles éoliennes, ce qui aurait des conséquences graves pour les investisseurs et le gouvernement. Mais aussi sur l’environnement.
Opinions partagées
Les membres de l’industrie des énergies renouvelables restent cependant sceptiques quant à la véracité des résultats. Scottish Renewables, par exemple, a affirmé que ses plus anciens parcs éoliens en Ecosse avaient 16 ans d’âge et qu’aucun n’avait été démantelé ou réalimenté.
Les opposants aux éoliennes estiment toutefois que ce rapport suffit à freiner la production d’éoliennes et à obliger le gouvernement écossais à repenser à son soutien aux sources d’énergie. Ils prennent l’exemple des États-Unis, où de nombreux « cimetières éoliens » viennent gâcher le paysage.
« Nous savons déjà qu’une éolienne doit fonctionner pendant deux ans minimum pour rembourser les coûts carbone de la construction,” a déclaré Murdo Fraser, député conservateur. « La décrépitude des éoliennes n’est pas surprenante. Il suffit de voir ce qui se passe de l’autre côté de l’Atlantique pour voir 12 000 éoliennes pourrir dans le désert californien. Combien va coûter le démantèlement de celles-ci et qui va payer ? A quel moment le gouvernement écossais va-t-il comprendre qu’il faut freiner l’énergie éolienne ? »
L’étude évoque également le déclin de la performance des parcs éoliens en mer au Danemark, supérieur à celui des parcs éoliens terrestres britanniques. Dr John Constable, le directeur de l’étude, a affirmé : « En quelques mots, les parcs éoliens en mer et terrestres coûtent trop d’argent et se délabrent trop vite pour offrir au monde émergent une alternative réaliste au charbon.”
RépondreSupprimerVert et prometteur
Pauline Marois a souligné l’intérêt d’investir dans une « filière prometteuse pour l’avenir économique du Québec », rappelant que son gouvernement misait sur les énergies renouvelables, suivie dans ses propos par la ministre des Ressources naturelles, Martine Ouellet, visiblement fière de ce nouveau partenariat. « Le Québec est un leader mondial dans les énergies vertes et nous devons plus que jamais miser sur notre expertise et notre savoir-faire », a déclaré cette dernière.
Les personnalités politiques ne sont toutefois pas les seules à faire l’éloge du projet. Les groupes écologistes font de même. « On n’a qu’à aller voir ce que la Chine fait, par exemple. On investit des centaines de milliards en Chine dans le développement des technologies. L’Union européenne fait la même chose, les États-Unis font la même chose. À ce titre-là, le gouvernement du Québec agit comme tout autre gouvernement qui veut développer et soutenir l’émergence de technologies, et particulièrement dans ce cas-ci, de technologie propre », a noté le président d’Équiterre, Steven Guilbeault, qui faisait partie des invités.
Quant au ministre du Développement durable, également responsable de la Mauricie et du Centre-du-Québec, Yves-François Blanchet, il semblait emballé par les emplois qui pourraient être créés dans la région. « C’est 15 emplois maintenant. Mais c’est une technologie avec la machine de commercialisation de Boeing. On ne peut pas aller plus gros, on ne peut pas aller plus technologique que Boeing. Leur capacité à couvrir l’ensemble du territoire planétaire pour placer le produit va être absolument phénoménale », a-t-il affirmé.
http://lepetitrapporteurdunet.unblog.fr/2014/08/28/le-grand-mensonge-14-000-eoliennes-abandonnees-aux-usa/
http://lebulldozerdanslatete.over-blog.com/article-14000-eoliennes-abandonnees-aux-etats-unis-120464979.html
http://toryaardvark.com/2011/11/17/14000-abandoned-wind-turbines-in-the-usa/
http://huemaurice5.blogspot.fr/2013/01/leolien-coute-cher-et-nest-pas-efficace.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/10/a-propos-denergie-gratuite.html
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2008/10/03/01016-20081003ARTFIG00631-horrifies-a-l-idee-de-voir-eoliennes-en-france-.php
http://www.politique-actu.com/debat/14-eoliennes-abandonnees/949842/
http://www.operationteafortwo.com/2012/01/27/eoliennes-10-millions-de-livres-pour-ne-pas-produire-du-courant/
60 000 PROPRIÉTAIRES MENACÉS DE FAILLITE PAR LES ÉOLIENNES
RépondreSupprimerpar LUDOVIC GRANGEON
03/05/2017
Le coût complet du démantèlement d'une éolienne peut grimper à 850 000 euros.
Vous êtes propriétaire et démarché pour une éolienne, ou vous avez signé un bail, ou encore il y a déjà une éolienne sur votre terrain ? Alors lisez bien et faites lire ceci à vos enfants, à votre avocat ou à votre notaire.... Si votre commune s'en occupe, n'oubliez pas que vous êtes aussi contribuable... et si vous appréciez l'environnement, préservez le.
Les USA comptent 14 000 éoliennes abandonnées, information dans "AmericanThinker" à l'occasion des désastres environnementaux des gigantesques fermes éoliennes dévastées de Kamaoa, de Tehachapi, et bien d'autres. Les sociétés qui les possédaient se sont évanouies. Les recherches de responsabilité sont difficiles ou impossibles. Ce scandale encore peu connu arrive très vite en France car les techniques utilisées sont les mêmes chez nous, puisque ce sont très souvent de mêmes fonds de pension qui possèdent ces éoliennes. Les propriétaires ont loué leurs terrains aux promoteurs éoliens qui leur ont assuré tout prendre en charge et restituer le terrain « en l’état ». Des élus locaux et parfois des fonctionnaires ont aussi "rassuré" ces propriétaires aux côtés des promoteurs. Ils ignorent souvent que les éoliennes sont en fait revendues dès leur mise en service et simplement gérées par les promoteurs. Les promoteurs éoliens constituent pour chaque projet des sociétés coquilles au capital minimum de quelques milliers d’euros dont les actionnaires changent au fil des années, selon des ramifications infinies en France et à l'étranger y compris dans les paradis fiscaux. La recherche de toute responsabilité en cas de problème risque de ne jamais aboutir. Alors que la finance n'hésite pas à abandonner des entreprises avec du personnel, il est encore plus facile d'abandonner des éoliennes.
Les propriétaires subissent deux énormes menaces qui sont des bombes à retardement sur leur patrimoine et leur situation personnelle. Ils devraient faire relire leur bail par des experts ou des avocats indépendants avant qu’il ne soit trop tard. Les jurisprudences les menacent à chaque instant selon la règle « pollueur-payeur » qui frappe le propriétaire des terrains.
La plupart du temps les contrats de location de terrain signés avec les promoteurs éoliens l’ont été à l’amiable, sans la présence d’un expert indépendant ou d’une association agréée de consommateurs. Il existe d’ailleurs de nombreux doutes sur la légalité de ces opérations par rapport à la législation sur la vente à domicile par des professionnels rappelée par la DGCCRF. De nombreux baux risquent d'être non valables en cas de litige.
Deux menaces importantes les concernent : tout d’abord la défaillance pure et simple de la société avec laquelle ils ont contracté, et donc des provisions de démantèlement qui les couvrent. Malgré les dispositions légales contraignantes et le Code de Commerce, la plupart de ces sociétés ne publient même pas leurs comptes. De ce fait, il est souvent impossible de vérifier que les provisions légales de démantèlement sont constituées. Plusieurs défaillances sont déjà survenues.L'un des principaux promoteurs éoliens français ne vient il pas de faire l'objet d'une opération financière atypique sur son parc éolien, devenu la propriété majoritaire d'une curieuse banque egyptienne jusqu'ici inconnue en Europe, et tout cela géré depuis l'étranger ?
RépondreSupprimerL'autre menace est dans les socles en béton dont les propriétaires restent à vie responsables
Par un subterfuge, le démantèlement est prévu au ras du sol selon le Décret 2011-985 du 23 aout 2011. Mais cette astuce occulte les obligations bien plus importantes et réelles des articles L162-9 et suivants de la loi n° 2008-757 du 1er août 2008. Or chaque éolienne nécessite 2 à 3000 tonnes de béton souterrain, parfois plus. Ce béton et ses ferrailles sont d’importantes menaces de pollution ou de perturbation du sol et des nappes phréatiques. A la moindre alerte, à la moindre sommation, c’est donc le propriétaire du terrain et non le promoteur éolien, qui sera recherché, par exemple par la police de l’eau, par un syndicat intercommunal, ou par une association de protection de la nature. Et de toutes façons il faudra restituer le site dans son état initial à la fin du bail. Le coût complet de démantèlement d’une éolienne est chiffré par les entreprises spécialisées de 650 à 850 000 €. Les sommes provisionnées, quand elles le sont, ne sont pas de ce niveau. Le coût d’enlèvement de leur socle en béton hautement ferraillé n’est pas inférieur à 250 000 € , et encore s’il n’y a pas de pollution par les huiles des éoliennes. Chaque éolienne contient 600 litres d’huiles industrielles dont plusieurs fuites ont été observées. Il suffit de dix litres d’huile pour polluer le sol en milieu naturel et atteindre un taux critique.
L'éolien a cessé d'être prioritaire dans les énergies renouvelables avec les leçons décevantes de l'expérience sur 10 ans. Désormais les taxes et les aides vont décliner avec la réforme intervenue en Europe et en France à partir de 2017. Les tarifs de démarrage sont ramenés au niveau du marché, très inférieur, ainsi que vient de le confirmer le 20 avril 2017 une délibération de la Commission de Régulation de l'Energie. Bill Gates a confirmé au Financial Times qu'il doublait à 2 milliards ses investissements dans les énergies renouvelables mais qu'il excluait à présent tout investissement dans l'éolien, non efficace et non rentable. Malgré de gros investissements, son ami Warren Buffett a tout juste retrouvé sa mise dans l'éolien grâce à une défiscalisation massive mais avec un déficit industriel de 35%, et des subventions déjà fortement réduites sous Obama qui n'iront pas mieux avec Trump.
La Californie ou Hawaï sont envahis d’éoliennes rouillées abandonnées. L’Ecosse, ou l'Allemagne, figurent parmi les premiers pays face au casse-tête d'assumer une quantité très importante de déchets de pales d’éoliennes dans les dix prochaines années, car les pales ont une durée de vie limitée et deviennent cassantes. Les seuls déchets de plastique de pales d'éoliennes atteignent 225 000 tonnes par an au niveau mondial selon Scottish Natural Heritage et le département spécialisé des systèmes industriels de l'Université d'Iowa USA (2016). Personne n'avait pensé à ce bilan carbone calamiteux.
RépondreSupprimerEn fait, les propriétaires ont hérité en pleine propriété des immenses socles en béton implantés dans leur terrain, sans les voir, et sans le savoir. De toutes façons, même si le démantèlement atteint son terme, ce qui est très aléatoire et hypothétique pour de nombreux cas, l’enlèvement du socle béton restera à leur charge, soit 250 000 euros par éolienne. Les baux de location signés par les promoteurs ne le disent pas, la plupart du temps. A la moindre pollution, ce coût sera multiplié par trois. Si le promoteur fait défaillance et disparait, comme malheureusement on le prévoit pour un certain nombre, l'intégralité du coût de démantèlement des éoliennes sera à la charge du propriétaire...et de ses enfants... car alors, il faudra débourser de 650 000 à 850 000 € par éolienne... pour garder son terrain !
http://www.economiematin.fr/news-60-000-proprietaires-menaces-de-faillite-par-les-eoliennes
SANTÉ - LE NOMBRE DE CAS DE FIÈVRE DU LAPIN EN HAUSSE
RépondreSupprimerMaladie infectieuse, la fièvre du lapin est en hausse. Elle affecte les rongeurs ou les lièvres. Mais aussi l'être humain via des piqûres de tiques.
30.04.2018, 12h44
La tularémie ou fière du lapin connaît une hausse depuis 2015. Alors que 31 cas en moyenne ont été enregistrés annuellement entre 2010 et 2016, ce nombre a presque quadruplé en 2017 pour atteindre 129. Tous les cantons n'ont pas été touchés de la même manière.
Ceux d'Argovie et de Zurich se situent au-dessus la moyenne nationale. Toutefois, les cantons de Berne, Fribourg, Lucerne St-Gall, Soleure et Vaud ont également vu leur taux de déclaration pour 100'000 habitants augmenter fortement, indique lundi l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) dans son bulletin. La plupart des personnes atteintes ont été infectées par des tiques.
La tularémie est une maladie infectieuse provoquée par la bactérie Francisella tularensis. Elle peut affecter de nombreux organismes tels que les rongeurs, lièvres, lapins et, plus rarement, les ovins, bovins, chevaux, chiens, chats, oiseaux et amphibiens.
Piqûre de tiques
La tularémie se transmet à l'être humain via des piqûres de tiques ou d'autres insectes hématophages comme les taons et les moustiques. L'homme peut aussi être infecté par un contact direct avec un animal malade ou son cadavre, par inhalation de poussière contaminée ou contact avec des déjections, de la terre ou de l'eau contaminées. Une transmission interhumaine n'est pas possible.
Suivant le mode de contamination, des affections spécifiques peuvent se développer, mais la maladie s'accompagne de symptômes généraux tels que fièvre, douleurs musculaires et articulaires. Les piqûres de tiques, taons et moustiques constituent le mode de transmission principal.
En Suisse, les cas de tularémie, aussi bien chez l'homme que chez l'animal, doivent être déclarés depuis 2004 car une dose minime suffit pour déclencher la maladie. De plus, comme la bactérie survit longtemps dans l'environnement, qu'elle est disséminée par voie aérienne et peut avoir des conséquences graves, elle pourrait être utilisée comme arme biologique, note l'OFSP.
Traitable avec des antibiotiques
En 2017, l'OFSP a enregistré la plus forte augmentation chez les plus de 65 ans (29 cas). Avec 84 cas, les hommes sont presque deux fois plus touchés que les femmes. Dans 58 cas (45%) une hospitalisation a été nécessaire, une proportion en baisse par rapport à 2010 (60%).
L'OFPS indique que la cause de l'augmentation actuelle n'est pas clarifiée et rappelle que la tularémie reste une maladie rare. Il importe donc que les médecins fassent preuve d'attention en évaluant le risque d'exposition. Lorsque le diagnostic est établi rapidement, la maladie peut être traitée efficacement avec des antibiotiques. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/sante-environnement/sante/nombre-cas-fievre-lapin-hausse/story/15410380
(...) La tularémie se transmet à l'être humain via des piqûres de tiques ou d'autres insectes hématophages comme les taons et les moustiques. L'homme peut aussi être infecté par un contact direct avec un animal malade ou son cadavre, par inhalation de poussière contaminée ou contact avec des déjections, de la terre ou de l'eau contaminées. Une transmission interhumaine n'est pas possible. (...)
SupprimerBref, disons que TOUT LE MONDE est susceptible d'attraper 'la fièvre du lapin' (ou de lapine), par un moustique !
ADN étrangers contaminants dans les vaccins : le pédiatre américain Palevsky tire la sonnette d'alarme
RépondreSupprimerDr Palevsky,M.D., pédiatre
Initiative Citoyenne
ven., 20 avr. 2018 21:48 UTC
En 2005, la FDA a publié un rapport sur les contaminants de l'ADN étranger dans les vaccins.
Dans leur présentation ils ont expliqué : « Nous ne savons pas si certains contaminants provenant d'ADN étrangers qui existent dans les vaccins pourraient provoquer des incidents de quelque nature que ce soit. »
Ils ne savaient pas à quel type d'incident cela pourrait conduire, que ce soit une prise de contrôle de l'ADN du corps, un cancer, une mort cellulaire, une inflammation. Ils n'en avaient pas la moindre idée.
Ayant, en 2005, reconnu qu'inévitablement, il existait des particules d'ADN étrangers dans les vaccins, ils ont dit : « Nous ne savons pas si l'une ou l'autre de ces particules d'ADN peuvent provoquer un incident (de quelque nature que ce soit) ».
Interview, extrait du documentaire THE TRUTH ABOUT VACCINES réalisé par Ty Bollinger et son équipe, Avril 2017.
- voir clip sur site :
https://fr.sott.net/article/32312-ADN-etrangers-contaminants-dans-les-vaccins-le-pediatre-americain-Palevsky-tire-la-sonnette-d-alarme
La théorie du complot skripal du gouvernement britannique (ou comment tenir une masse de pensées contradictoires dans votre tête)
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 30/04/2018 - 05:00
Auteur de Rob Slane via TheBlogMire.com,
Le récit officiel sur l'empoisonnement de Sergei et de Yulia Skripal est un recueil de déclarations et d'affirmations illogiques qui ne peuvent être faites pour s'assembler, qui n'ont aucun sens rationnel, et qui nous obligeraient à tenir une masse de pensées contradictoires dans notre tête si nous devait l'accepter. C'est en somme une théorie de la conspiration, et une théorie particulièrement mauvaise à ce sujet.
Comme je l'ai déjà souligné, je ne cherche pas à contrer cette théorie du complot avec l'une des miennes. Je ne prétends pas savoir ce qui s'est passé dans l'incident de Skripal. Je dis simplement que l'histoire que le gouvernement britannique et les médias ont jusqu'à présent demandé au public de croire ne peut pas être vraie, car elle est pleine de divergences et de revendications qui sont impossibles à concilier avec les faits connus.
Ils sont, bien sûr, les bienvenus à tout moment pour montrer comment ces contradictions et affirmations improbables peuvent être conciliées, mais jusqu'à ce qu'ils avancent une explication convaincante et cohérente, les observateurs rationnels et objectifs devront juste supposer que ces contradictions existent pour un raison - à savoir que le récit officiel de ce qui s'est passé dans l'affaire Skripal n'est pas ce qui s'est réellement passé dans l'affaire Skripal.
Alors, quels sont exactement ces éléments contradictoires et ces affirmations improbables dans le récit officiel, qui le placent fermement sur le territoire d'une très mauvaise théorie du complot ? Il y en a beaucoup, mais en dessous sont 10 des plus évidents:
1. Un agent neurotoxique létal suivi d'une boisson et d'un repas
Le récit officiel exige que vous croyiez non seulement que Sergei et Yulia Skripal ont été empoisonnés par l'agent neurotoxique de grade militaire A-234, une substance qui serait 5-8 dix fois plus toxique que l'agent neurotoxique VX (qui a lui-même une médiane dose létale de 10 mg), et dont les effets sont censés avoir lieu dans les 30 secondes à deux minutes.
... Mais aussi qu'après être entré en contact avec cette substance, ils ont ensuite passé les quatre prochaines heures à dîner et à manger dans la ville de Salisbury.
2. Un agent neurotoxique mortel sans antidote, mais où tout le monde va bien
Le récit officiel vous demande non seulement de croire que M. et Mlle Skripal ont été empoisonnés par un agent neurotoxique mortel sans antidote connu (selon Gary Aitkenhead, directeur général de Porton Down), et pour lesquels un traitement est "pratiquement impossible", selon Le manuel de toxicologie des agents de guerre chimique.
... Mais aussi que quelques semaines plus tard, les deux allaient bien et l'un d'eux au moins était apte à être sorti de l'hôpital.
3. Symptômes qui ne correspondent pas à ceux produits par la substance prétendument utilisée
Le récit officiel vous oblige à croire que les Skripals ont été empoisonnés par une substance qui produit les symptômes suivants:
"Les concentrations d'acétylcholine augmentent alors aux jonctions neuromusculaires pour provoquer la contraction involontaire de tous les muscles squelettiques. Cela conduit alors à un arrêt respiratoire et cardiaque (car les muscles du cœur et du diaphragme de la victime ne fonctionnent plus normalement) et finalement à la mort par insuffisance cardiaque ou suffocation, alors que de vastes sécrétions liquidiennes remplissent les poumons de la victime.
RépondreSupprimer... Pourtant, selon des témoins au banc de The Maltings, M. Skripal faisait des «mouvements de mains étranges», «regardant vers le ciel» et «en regardant» - des symptômes qui suggèrent fortement un empoisonnement hallucinogène, tel que BZ ou Fentanyl, et non A-234, qui tend à produire la mort, plutôt que des hallucinations.
4. Que l'hôpital du district de Salisbury a confondu les symptômes d'un agent neurotoxique de grade militaire pour un empoisonnement aux opioïdes
Le récit officiel vous oblige à croire que les Skrips ont été victimes d'un empoisonnement par un agent neurotoxique mortel, qui produit les symptômes mentionnés ci-dessus, y compris "contraction involontaire de tous les muscles squelettiques", "arrêt respiratoire et cardiaque" et "mort par coeur" échec ou suffocation. "
... Pourtant, il faut aussi croire que l'hôpital du district de Salisbury a complètement confondu les symptômes d'empoisonnement par un agent neurotoxique pour une intoxication aux opioïdes - même si les symptômes sont très différents - puisque le jour suivant, un communiqué de presse annonçait qu'ils traitaient la paire. exposition au fentanyl:
(Soit dit en passant, c'est extrêmement intéressant.) La capture d'écran ci-dessus est le rapport original sur le site Web de Clinical Services Journal, et il peut maintenant être trouvé sur le site web, web.archive.org. depuis été mis à jour sur le Clinical Services Journal, pas avec une correction, mais avec la référence à Fentanyl étant complètement supprimé (comparer ici avec ici Dilyana Gaytandzhiev)
- voir sur site -
5. Un agent neurotoxique létal qui peut être traité par l'eau et les lingettes pour bébé
Le récit officiel vous demande non seulement de croire que la substance qui a empoisonné les Skripals est si mortelle que la maison de M. Skripal peut devoir être démolie et qu'un nettoyage de plusieurs millions de livres de Salisbury avec des chaps dans les HazMats est une nécessité.
... Mais que la même substance peut être traitée avec de l'eau chaude, du savon et des lingettes pour bébés, comme en témoigne le conseil donné par Public Health England (PHE) une semaine après l'incident, à toute personne ayant pu entrer en contact avec elle:
"Lavez les vêtements que vous portiez dans une machine à laver ordinaire en utilisant votre détergent habituel à la température recommandée pour les vêtements. Essuyez les objets personnels tels que téléphones, sacs à main et autres articles électroniques avec des lingettes nettoyantes ou pour bébé et jetez les lingettes dans la poubelle (élimination des ordures ménagères ordinaires) ... Autres articles tels que bijoux et lunettes qui ne peuvent pas être lavés ou nettoyés avec nettoyants ou lingettes pour bébés, doivent être lavés à la main avec de l'eau chaude et un détergent, puis rincés à l'eau froide et propre. S'il vous plaît se laver soigneusement les mains avec de l'eau et du savon après avoir nettoyé tous les articles. "
6. L'agent neurotoxique n'a pas été détecté sur une poignée de porte pendant des semaines
RépondreSupprimerLe récit officiel vous demande non seulement de croire que les assassins ont versé un agent neurotoxique sous forme liquide sur la poignée de la porte d'entrée de M. Skripal et que le gouvernement britannique était en possession d'un «manuel d'assassin» du FSB détaillant cette procédure. .
... Mais en dépit de ce manuel, la théorie de la poignée de porte n'a été mentionnée que plus de trois semaines après l'incident, au cours duquel de nombreuses personnes (comme la policière sans méfiance au sommet de cette pièce) sont arrivées à quelques mètres d'un porte apparemment barbouillé d'agent neurotoxique létal, sans vêtements protecteurs, et n'a subi aucun effet néfaste.
7. L'agent neurotoxique hautement volatil qui était encore très pur des semaines plus tard
Le récit officiel vous demande non seulement de croire que la substance examinée dans des échantillons de sang et d'environnement par l'OIAC, des semaines après l'incident était:
"... de grande pureté. Ce dernier est conclu de l'absence presque totale d'impuretés. "
... Mais aussi que la substance utilisée est connue pour être à la fois instable et vulnérable à l'eau - et Salisbury a certainement eu une pluie abondante et même de la neige entre l'incident et la venue de l'OIAC!
8. Que la substance utilisée est la preuve de la culpabilité de l'État russe
Le récit officiel vous oblige à croire que parce que la substance prétendument utilisée a d'abord été développée en Russie (en réalité l'Union Soviétique), il n'y a que deux explications à l'empoisonnement:
C'était un acte de l'Etat russe
Que l'Etat russe a perdu le contrôle de ses stocks
... Pourtant, vous devez le croire en sachant que non seulement les autres pays l'ont produit (les Etats-Unis brevettent des produits "Novichok" depuis des années, l'Iran l'a produit en 2016 et le Royaume-Uni en possède des échantillons), mais selon le président de l'OIAC, Ahmet Uzumcu, A-234 pourrait être produit:
"... dans n'importe quel pays où il y aurait une expertise chimique."
9. Que les mouvements du sergent-détective Bailey le 4 mars ne peuvent être officiellement confirmés
Le récit officiel vous oblige à croire non seulement que le sergent-détective Nick Bailey, qui est membre du Service de renseignement criminel du Wiltshire (CID), a été empoisonné avec la même substance que les Skripals.
... Mais que ses mouvements ne peuvent être établis, car il n'a toujours pas été officiellement confirmé s'il était au banc dans The Maltings ou chez M. Skripal (et en fait, chaque scénario est remarquablement étrange, puisque DS Bailey est un membre de CID, et il n'y avait aucune suggestion au moins 24 heures après l'incident qu'un crime peut avoir été commis).
10. Le nettoyage des hotspots de Salisbury, mais pas tous les hotspots de Salisbury
Le récit officiel exige que vous croyiez non seulement que certaines parties de Salisbury peuvent être contaminées par une substance létale, et que cela nécessitera une opération de nettoyage impliquant des milliers d'heures-hommes, coûtant des millions, et prendra des mois à compléter.
... Mais que certains de ces domaines n'étaient pas un danger pour le public pendant un mois et demi, quand ils ont été bouclés avec rien de plus que de la bande de police. De plus, certaines des zones où les Skripals étaient connus après avoir apparemment été en contact avec la substance, comme la marche du marché, étaient libres de traverser le public depuis le début de l'incident et demeuraient complètement ouvertes. (Je le sais personnellement, car en tant que résident de Salisbury, j'ai traversé la marche du marché au cours des derniers jours).
RépondreSupprimer* * *
Mettez toutes ces choses ensemble - et cela ne veut même pas parler de la situation actuelle et des allées et venues des Skrips - et ce que vous avez est une théorie dans laquelle les revendications sont carrément contredites par des faits de base, beaucoup de soi-disant faits ne sont simplement pas des faits. et les assertions sont faites sans aucun recours à la réalité sur le terrain. Il est très clair que le récit officiel n'est pas seulement arrivé; ça ne peut pas être arrivé. En l'état actuel des choses, il est "hautement probable" que ce qu'on nous ait dit soit une théorie de conspiration de "grande pureté", "d'un type développé par Whitehall".
https://www.zerohedge.com/news/2018-04-29/uk-governments-skripal-conspiracy-theory-or-how-hold-mass-contradictory-thoughts
Un nouveau type de pauvreté écrase la classe moyenne
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 30/04/2018 - 04:00
Comme si le système monétaire mondial actuel ne désavantageait pas la classe moyenne par rapport aux riches, en les taxant de façon disproportionnée par l'inflation, en encourageant le travail (revenu ordinaire) à disséquer et taxer beaucoup plus que le capital (gains à long terme), nous découvrons maintenant que la classe moyenne a une nouvelle raison pour laquelle elle est poussée dans la pauvreté: les banques essaient volontiers de les y implanter.
Dans un rapport du Sydney Morning Herald, le journal note que plus d'Australiens de la classe moyenne sont poussés dans la pauvreté. La simple explication de cette situation: les banques australiennes essaient de déterminer exactement combien elles peuvent facturer aux clients avant de les pousser dans la pauvreté; pour ce faire, ils utilisent une formule qui incorpore un indice de pauvreté pour calculer le dernier dollar marginal de revenu disponible que la classe moyenne a pour les frais et les charges.
Voici plus:
La commission royale des banques et des finances a mis en lumière un nouveau type de pauvreté qui émerge dans notre société: la pauvreté des classes moyennes.
Pour le comprendre, nous devons revenir à une enquête gouvernementale antérieure: la Commission d'enquête sur la pauvreté de 1972, dirigée par le professeur Ronald Henderson. Cette commission n'a eu aucun impact politique réel, mais son impact culturel était profond. Il a mis en évidence l'indice de pauvreté Henderson: une mesure de la consommation décrite par Henderson comme si austère qu'elle était incontestable. Les versions mises à jour de cet index demeurent un repère standard de la pauvreté.
Mais plus de 45 ans plus tard, la Commission royale d'enquête sur les finances révèle que la pauvreté ne concerne plus seulement le faible revenu. La commission a entendu que les banques australiennes ont adopté des pratiques de prêt (distinctes de leur politique de prêt) qui réclament tant de revenus pour les paiements contractuels que les emprunteurs sont privés d'argent pour financer les niveaux de consommation de base: ils vivent dans la pauvreté.
Ce n'est pas un accident: c'est une politique stratégique des banques. Combien les banques pensent-elles que les ménages ont besoin pour leur vie quotidienne? Selon la soumission de l'Australian Prudential Regulation Authority à la commission royale, les banques «utilisent généralement la mesure des dépenses des ménages [une mesure de pauvreté relative] ou l'indice de pauvreté Henderson dans les calculateurs de prêt pour estimer les frais de subsistance d'un emprunteur».
Et les régulateurs en Australie ne font pas grand-chose pour aider - en fait, ils ont simplement fait une déclaration de type «ne vous inquiétez pas pour ça» tout en menant un «examen ciblé»:
Ainsi, les mesures conçues pour capturer les impacts des faibles revenus ciblent désormais les ménages à revenu moyen en difficulté financière, et non comme une déclaration de honte sociale, mais comme des objets stratégiques de la politique bancaire.
Cela a causé de l'embarras à APRA, l'organisme de réglementation chargé de superviser ces pratiques bancaires. En réponse, il a été permis de présenter une soumission supplémentaire à la commission royale en mars.
RépondreSupprimerL'APRA se distancie désormais de l'utilisation de ces mesures modestes, les qualifiant de «sous-estimation» des dépenses du ménage. Il signale qu'en 2017, il a procédé à un examen ciblé d'un échantillon de dossiers de prêt, en faisant appel à des cabinets d'audit externes pour garantir son intégrité.
Après l'examen, une conclusion «révolutionnaire» a émergé:
L'examen a soutenu que le prêt sur la base de l'un ou l'autre indice de pauvreté n'est pas compatible avec une saine gestion des risques. Il assure que ses discussions avec les banques conduisent à des améliorations.
Mais cela ne s'arrête pas là car les régulateurs avaient déjà identifié le problème il y a plus de 10 ans et n'ont rien fait pour y remédier:
L'urgence de cette attention est fallacieuse. En 2007, le président de l'APRA, John Laker, a révélé qu'une enquête de l'APRA montrait que «la plupart des banques utilisent l'indice de pauvreté d'Henderson ou les données (plus élevées) du Household Bureau of Statistics comme base de calcul de leurs frais de subsistance. ... Notre examen a révélé que de nombreux prêteurs utilisaient à l'époque des estimations des dépenses de subsistance inférieures à l'IPH ou ne mettaient pas régulièrement à jour leurs estimations.
Il y a une dizaine d'années, l'APRA avait déjà nommé publiquement le problème, exactement comme il l'appelle maintenant. Il a simplement observé que la pratique consistant à utiliser un indice de pauvreté pour mesurer la capacité d'un client à rembourser un prêt est devenue une culture normalisée.
Une conséquence de la négligence de l'APRA est que la «pauvreté» va maintenant considérablement augmenter l'échelle des revenus, bien dans ce que nous appelons généralement la classe moyenne.
Comme le précise le rapport, la classe moyenne est beaucoup plus susceptible de tomber dans la pauvreté en raison de ses profils financiers par rapport à la classe supérieure ou inférieure:
Les personnes à revenu moyen constituent la cohorte présentant le plus grand risque financier. Ils sont fortement endettés: ils dépensent plus de leur revenu sur les remboursements de prêt que les gens avec des revenus plus élevés.
Deuxièmement, leurs actifs ne sont pas diversifiés: ils possèdent des compétences sur le marché du travail, une certaine valeur nette de la maison et une certaine pension de retraite.
Troisièmement, ces actifs sont illiquides (pas faciles à vendre): vous ne pouvez pas transférer vos compétences à un autre, les maisons coûtent cher à vendre et la pension de retraite est généralement inaccessible. En revanche, les personnes au sommet de la distribution des revenus ont également plus de dettes, mais leurs actifs sont plus diversifiés et liquides, et beaucoup génèrent des flux de revenus. À l'inverse, les personnes à faible revenu ont une dette proportionnellement moindre et sont plus diversifiées que le milieu: elles n'ont pas leurs actifs (plus maigres) immobilisés dans le logement.
Quatrièmement, les personnes à revenu moyen sont sous-assurées ou, en termes financiers, non couvertes. Leur assurance ne suit pas leur emprunt. Les personnes à faible revenu sont relativement bien assurées. Ils font face à une assurance obligatoire, comme pour les voitures et la santé. Les personnes à revenu élevé n'ont pas non plus augmenté leur assurance, mais leur besoin est moindre, car elles sont plus diversifiées et disposent de plus de fonds discrétionnaires.
RépondreSupprimerDans un contexte commercial, les unités financières fortement endettées, non diversifiées, illiquides et non couvertes sont considérées comme présentant un risque élevé.
Alors, qui plaide pour les intérêts de cette cohorte? Pas les régulateurs. Leur mandat est de veiller à ce que les ménages ne fassent pas défaut à des taux inattendus et créent des problèmes de solvabilité des institutions financières (préoccupation de l'APRA) ou de stabilité financière plus large (préoccupation de la RBA). Le fait que les gens vivent sur le seuil de pauvreté de Henderson n'est pas une préoccupation en soi pour les régulateurs; cela n'a d'importance que s'ils arrêtent de payer leurs factures.
L'auteur de l'article, un professeur émérite d'économie politique à l'Université de Sydney, conclut que le système de réglementation est truqué de manière à ce que les banques puissent continuer à arnaquer la classe moyenne, plutôt que de s'assurer que le consommateur réellement protégé:
Ainsi, le cadre réglementaire australien veille à ce que les ménages ne créent pas de problèmes de stabilité pour le système financier, mais aucun régulateur n'a pour mandat de veiller à ce que le système financier ne crée pas de problèmes de stabilité pour les ménages. Quelqu'un ou quelque chose doit assumer ce rôle, car la montée de la pauvreté et le risque de défaillance vont certainement se transformer en une crise sociale, et pas seulement financière.
Cela laisse la question évidente: si les contribuables sont assujettis à une réglementation qui profite aux banques au détriment de la classe moyenne, pourquoi les contribuables (c'est-à-dire la classe moyenne) ont-ils renfloué les banques mondiales il y a dix ans ?
https://www.zerohedge.com/news/2018-04-30/new-type-poverty-crushing-middle-class
Comment les fausses opérations de drapeau sont effectuées aujourd'hui
RépondreSupprimerPar Philip Giraldi
Culture stratégique
30 avril 2018
False Flag est un concept qui remonte à plusieurs siècles. Il a été considéré comme un stratagème légitime par les Grecs et les Romains, où une force militaire prétendrait être amicale pour se rapprocher d'un ennemi avant de laisser tomber le prétexte et lever ses bannières pour révéler sa propre affiliation juste avant de lancer une attaque. Dans les batailles navales du XVIIIe siècle entre l'Espagne, la France et la Grande-Bretagne hissant un drapeau ennemi à la place du sien pour confondre l'adversaire était considéré comme une ruse de guerre légitime, mais il était seulement "honorable" si on retournait à son propre drapeau avant de s'engager dans le combat.
Les fausses opérations d'aujourd'hui sont généralement menées par des agences de renseignement et des acteurs non gouvernementaux, y compris des groupes terroristes, mais elles ne sont considérées comme réussies que si la véritable attribution d'une action reste secrète. Il n'y a rien d'honorable à leur sujet, car leur intention est de blâmer une partie innocente pour quelque chose qu'elle n'a pas fait. Il y a eu beaucoup de ces activités ces derniers temps et il était intéressant d'apprendre, par une fuite, que la CIA (Central Intelligence Agency) a développé une capacité à imiter les empreintes digitales d'autres services de renseignement étrangers. Cela signifie que lorsque les médias claironnent que les Russes ou les Chinois ont piraté les sites Web du gouvernement américain ou les sites de grandes entreprises, il se pourrait que la CIA ait procédé à cette intrusion et qu'elle soit née à Moscou ou à Pékin. Compte tenu de cette capacité, il y a eu beaucoup de spéculations dans les médias alternatifs que c'était en fait la CIA qui s'est ingérée dans les élections nationales de 2016 aux États-Unis.
Les faux drapeaux peuvent également être impliqués dans d'autres types d'activités. Les deux principales attaques chimiques présumées de l'année dernière contre des civils syriens qui ont abouti au lancement de 160 missiles de croisière par le président Donald Trump et ses associés sont clairement des fausses opérations menées par les rebelles et les groupes terroristes qui contrôlaient les zones touchées. L'attaque la plus récente signalée le 7 avril n'aurait peut-être pas eu lieu, selon les médecins et autres témoins qui se trouvaient à Douma. Parce que les rebelles ont réussi à convaincre une grande partie du monde que le gouvernement syrien avait mené les attaques, on pourrait considérer que leurs faux efforts ont été extrêmement fructueux.
Le recours contre les opérations sous fausse bannière, comme le récent en Syrie, consiste, bien sûr, à éviter de prendre l'appât et à attendre jusqu'à ce qu'une inspection approfondie et objective de la preuve ait eu lieu. Les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France ne l'ont pas fait, préférant plutôt réagir aux reportages hystériques en «faisant quelque chose». Si l'enquête de l'ONU sur l'attaque présumée n'aboutit à rien, il est peu probable qu'ils s'excusent. avoir commis un crime de guerre.
L'autre grand faux drapeau qui a récemment fait surface est l'empoisonnement de Sergei Skripal et de sa fille Yulia à Salisbury en Angleterre le 4 mars. La Russie n'avait aucun motif crédible pour mener l'attaque et avait, en fait, de bonnes raisons de ne pas le faire. Les allégations du Premier ministre britannique, Theresa May, selon lesquelles l'agent neurotoxique revendiqué serait «très probable» d'origine russe, ont été démenties, en partie par l'examen du propre laboratoire d'armes chimiques du Royaume-Uni. Mai, attaquée même au sein de son propre parti, avait besoin d'une bonne histoire et d'un ennemi puissant pour consolider sa propre emprise sur le pouvoir, donc un faux signalement à la Russie semblait probablement être le billet car Moscou ne pourrait pas nier les "faits" être inventé à Londres. Malheureusement, May s'est révélée fausse et le débat enflammé sur ses actions, qui comprenait l'expulsion de vingt-trois diplomates russes, lui a causé de graves dommages. Peu de gens pensent maintenant que la Russie a réellement commis l'empoisonnement et il y a de plus en plus d'opinions qui suggèrent qu'il s'agissait en fait d'un faux drapeau exécuté par le gouvernement britannique ou même par la CIA.
RépondreSupprimerLa leçon qui devrait être tirée de la Syrie et de Skripal est que si "un incident" semble n'avoir aucun motif évident, il y a une forte probabilité que ce soit un faux drapeau. Un peu de prudence dans l'attribution du blâme est approprié étant donné que l'alternative serait une réaction précipitée et probablement disproportionnée qui pourrait facilement dégénérer en une fusillade.
https://www.lewrockwell.com/2018/04/phil-giraldi/how-false-flag-operations-are-carried-out-today/
Syrie : le mensonge de Macron, Trump et May
RépondreSupprimerle 30 avril 2018
Ces trois personnalités en charge de leurs pays respectifs sont confrontées à des difficultés domestiques et le meilleur moyen de faire diversion auprès de l’opinion publique surtout quand la presse leur est dévouée est de s’engager dans une opération d’éclat à l’extérieur. Et comme pour l’Irak avec le Général Colin Powell en 2003 afin de justifier l’attaque de ce pays en raison de la présence d’ « énormes » stocks d’armes chimiques le Général Kenneth McKenzie, directeur de l’état-major au Pentagone a réitéré exactement le même type de mensonge au sujet de la Syrie pour justifier l’attaque conjointe, hors-la-loi et criminelle, de la France, de la Grande-Bretagne et des USA pour détruire des cible syriennes considérées comme des centres de recherche et de production d’armes chimiques. Ce mensonge avait été méticuleusement préparé par le Foreign Office depuis Londres avec l’entremise des « casques blancs », des membres d’une ONG financée par Londres et présente en Syrie pour dénoncer les atteintes aux droits de l’homme, qui sont en contact étroit avec les groupes terroristes financés par le Qatar et l’Arabie Saoudite pour tenter de renverser le régime légitime de Damas depuis maintenant 7 ans. La Syrie, comme beaucoup d’autres pays, possède un centre d’analyses pour la sécurité de l’eau et des aliments qui fait partie d’un centre de recherches sur les antibiotiques. Il est situé dans la banlieue de Damas à Barzeh. Il a été pris pour cible et bombardé par l’alliance franco-anglo-américaine ainsi qu’une petite usine fabriquant des détergents. Le centre de Barzeh, dans le cadre des accords signés par la Syrie sur le démantèlement et la destruction des armes chimiques avait été encore inspecté en février 2018 et le treize mars l’organisation pour l’interdiction des armes chimiques (Opcw en anglais ou Oiac en français) et les experts de cette organisation avaient déclaré n’avoir décelé aucune activité suspecte dans ce centre. C’était un mois avant les bombardements …
Les casques blancs ont fait depuis leur travail qui a abouti à un fait de guerre qui aurait pu rapidement dégénérer au niveau régional mais également au niveau international. Force est de constater que les Anglais sont tout aussi menteurs que les Américains et que Macron a fait preuve d’une grande naïveté dans cette affaire. Accuser le régime de Damas d’une attaque chimique qui n’a jamais eu lieu pour justifier un bombardement contraire à toutes les conventions internationales, en particulier la Charte des Nations-Unies, rend les trois personnalités citées plus haut coupables de crime contre l’humanité. Si Trump a subi la pression du Pentagone qui a délégué ses pouvoir à l’OTAN pour organiser ce crime, Theresa May et Emmanuel Macron sont coupables et devront rendre compte de leurs actes un jour ou l’autre.
RépondreSupprimerColin Powell a fini par avouer en 2016 qu’il savait très bien que Saddam Hussein ne possédait pas d’armes chimiques, May et Macron avoueront-ils un jour leur forfaiture ? L’Italie s’est déclarée neutre dans cette affaire mais pas tant que ça car elle a autorisé l’OTAN à participer à cette action criminelle depuis les bases de Sigonella et Niscemi situées en Sicile. Ce pays doit être donc considéré comme complice. Mais tous ces politiciens qui se sont auto-déclarés au dessus des lois feront-ils amende honorable, pas vraiment.
Après le reportage du très respecté Robert Fisk c’était au tour du journaliste Uli Gack de la ZDF de faire part de ses impressions au sujet de l’attaque chimique qui fut imputée au régime de Damas. Il a confirmé en tous points le reportage de Fisk après avoir rencontré des centaines de personnes qui ont bien confirmé qu’il s’agissait d’une mise en scène des « casques blancs ». Le Foreign Office et par conséquent Theresa May sont coupables de répandre de fausses informations d’une gravité exceptionnelle. Que peut-on alors croire des allégations du même genre émanant du gouvernement britannique au sujet de l’empoisonnement du transfuge russe Skripal ?
Inspiré d’un article de Manlio Dinucci paru sur le site voltaire.net le 17 avril 2018 et d’un bref article paru sur le site ZeroHedge le 21 avril 2018.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2018/04/30/syrie-le-mensonge-de-macron-trump-et-may/
Cigarette, whisky et p'tites pépées
RépondreSupprimermercredi 24 juillet 2013
L'essence est aussi vitale pour la voiture que l'est la cigarette et l'alcool pour l'homme. Donc, ne nous y trompons pas, si ces moyens de subsistances sont lourdement taxés c'est bien pour une raison. Après une journée de boulot ou le supporter pendant, rien ne vaut la pose cigarette comme celle aussi de fumer en travaillant. C'est nécessaire (voire obligatoire) pour avoir l'idée claire d'un bon rendement comme le sont les dimanches et périodes de vacances.
Donc là - me direz-vous - ce sont des mesures allant à l'encontre du bon rendement qui incluent la satisfaction et donc les Dirigeants ne semblent pas 'prêcher pour leur paroisse' que de les taxer. Exact. Mais, compte tenu de leur position d'arme-à-la-main: ils n'en n'ont rien à foutre ! Il sont comme les banquiers qui apparaissent gentils parce qu'ils acceptent de vous rendre une partie de votre argent !
Il n'est nullement besoin de sortir de 'grandes écoles' pour s'apercevoir que si l'essence n'était plus taxée: le pays serait remis debout en moins d'un mois et que tout irait pour le mieux. Mais, à cette idée de faire plaisir à tout le monde est venue se greffer que l'essence pollue et donc qu'il serait nécessaire de passer à l'électrique rechargée sur éoliennes ! (Hahahaha !) Cà, c'est comme les idiots qui prétendent que de mettre des panneaux solaire au Sahara permettrait d'alimenter le monde entier en électricité !! Primo: l'électricité est très mal transportable (1/3 pour pousser, 1/3 qui se perd en cours de route et 1/3 qui arrive au consommateur). Secundo: Ce n'est parce que c'est le Sahara qu'il fait jour 24/24 h ! et Tertio: Il est préférable de faire d'abord un essais de rentabilité sur une petite surface (je ne parle pas là de la tête du chercheur) avant de jeter l'argent par les fenêtres ! (voir aussi la tristesse japonaise avec ses panneaux photovoltaïque et ses éoliennes et... la remise en marche vite-fait des centrales nucléaire nécessaires à tous développements !). Donc, pour en revenir au pétrole abiotique et ses taxes qui n'en finissent pas, cela montre bien que ceux qui se disent 'les élus de la Nation' ne l'ont jamais été car ils ne reflètent nullement l'opinion générale mais seulement leurs idées monstrueuses de psychopathes qu'ils peuvent avoir dans leur Palais présidentiel. Et que, si le peuple arrêtait de gober tout ce que dit la télé il pourrait réfléchir au con s/canapé face aux webcam de la box-'décodeur' qui fait rigoler ceux d'en face ! Hahahaha !
https://huemaurice5.blogspot.fr/2013/07/cigarette-whisky-et-ptites-pepees.html
L'IDIOTIE DU JOUR:
RépondreSupprimerLe «glacier le plus dangereux du monde» qui pourrait s'effondrer dans les DÉCENNIES et augmenter le niveau de la mer de 10 pieds sera étudié par une mission conjointe US-UK de 20 millions de livres sterling
Par Tim Collins pour Mailonline
13:41 BST, 30 avril 2018
Un glacier antarctique «catastrophique» qui pourrait s'effondrer en quelques décennies et provoquer une élévation de 10 pieds (3 mètres) du niveau de la mer sera étudié par une mission conjointe américano-britannique «sans précédent».
Le glacier Thwaites, dans l'ouest de l'Antarctique, s'étend sur 182 000 kilomètres carrés - une région de la taille de la Grande-Bretagne - et est décrit comme le «glacier le plus dangereux du monde».
Le Natural Environment Research Council (NERC) du Royaume-Uni et la National Science Foundation (NSF) des États-Unis ont lancé un budget de 20 millions de livres sterling (27,5 millions de dollars) pour l'étudier.
Avec l'aide de plus de 100 scientifiques, ils veulent déterminer à quelle vitesse il pourrait s'effondrer et comment cela pourrait affecter les niveaux de la mer à l'échelle mondiale.
L'effondrement d'un gigantesque glacier antarctique qui pourrait éventuellement élever le niveau de la mer de plus de 10 pieds (trois mètres) fait l'objet d'un nouveau projet de recherche. Une équipe internationale d'experts se rendra au glacier Thwaites, dans l'Antarctique de l'Ouest (photo)
On pense que le glacier Thwaites a représenté à lui seul environ quatre pour cent de l'élévation globale du niveau de la mer.
Il a le potentiel de provoquer une élévation mondiale du niveau de la mer de plus de trois pieds (un mètre) d'ici la fin du siècle et trois fois plus qu'à long terme.
L'effondrement du glacier pourrait commencer dans les prochaines décennies ou siècles, selon les chercheurs.
Un effondrement déstabiliserait d'autres parties de la calotte glaciaire, entraînant une élévation potentielle totale du niveau de la mer de près de 10 pieds (trois mètres).
Le dernier projet est le plus grand projet conjoint des deux pays de l'Antarctique depuis les années 1940.
La NERC et la NSF déploieront des scientifiques à travers huit projets à grande échelle pour rassembler les données nécessaires pour comprendre si l'effondrement du glacier pourrait commencer dans les prochaines décennies ou siècles.
Les autres pays impliqués dans la recherche comprennent la Corée du Sud, l'Allemagne, la Suède, la Nouvelle-Zélande et la Finlande.
Les scientifiques sur le terrain utiliseront du matériel sophistiqué pour recueillir les données nécessaires pour mesurer les taux de changement de volume de glace et de masse de glace.
Le projet quinquennal débutera en octobre en utilisant une foule d'outils - dont une étude de sismographe sensible à la terre dirigée par la Pennsylvania State University.
Les experts concentreront leurs travaux durant les étés antarctiques de 2019 à 2020 et de 2020 à 2021.
RépondreSupprimerLes océanographes de l'Université d'East Anglia à Norwich examineront les eaux chaudes qui pénètrent dans l'Antarctique.
Dans un mouvement sans précédent, un nouveau véhicule autonome développé par le Georgia Institute of Technology à Atlanta sera largué à travers un forage pour explorer la zone d'échouement.
- voir photos sur site -
Avec une superficie similaire à la Grande-Bretagne, sa rencontre avec l'océan avec une falaise (à gauche) s'étendant sur 120 kilomètres (75 miles)
Le glacier Thwaites (à droite), connu sous le nom de «talon d'Achille de la calotte glaciaire antarctique», est l'un des plus grands de l'Antarctique avec une superficie similaire à celle du Royaume-Uni. kilomètres (75 miles)
C'est la région où le glacier passe d'une nappe de glace au sol à une plate-forme de glace flottant librement.
Des chercheurs de l'Université de St Andrews, en Écosse, prévoient d'utiliser la modélisation informatique pour examiner comment la désintégration du glacier pourrait augmenter le débit de glace dans l'océan.
L'équipe prévoit utiliser des phoques pour contourner l'inaccessibilité de la zone pour les navires de recherche pendant l'hiver, lorsque la surface de l'océan est couverte de glace de mer.
Le Dr Lars Boehme, de l'unité de recherche sur les mammifères marins de l'Université St Andrews, a déclaré: «Nous allons attacher des instruments d'origine animale aux phoques de Weddell et d'éléphants dans cette région.
«Ces minuscules capteurs, qui sont temporairement collés à la fourrure des animaux et tombent pendant la mue, nous permettront de recueillir des observations océanographiques essentielles pendant l'hiver, ainsi que de fournir une meilleure indication de la vulnérabilité des phoques aux changements climatiques . '
LA RETRAITE DU GLACIER DE THWAITES
Le glacier de Thwaites est légèrement plus petit que la taille totale du Royaume-Uni, approximativement la même taille que l'état de Washington, et est situé dans la mer d'Amundsen.
Il mesure jusqu'à 4 000 mètres (13 100 pieds d'épaisseur) et est considéré comme une clé pour faire des projections de l'élévation du niveau de la mer à l'échelle mondiale.
Le glacier recule face au réchauffement de l'océan et est considéré comme instable car son intérieur se trouve à plus de deux kilomètres au-dessous du niveau de la mer alors que, sur la côte, le fond du glacier est assez peu profond.
Le glacier Thwaites est de la taille de la Floride et est situé dans la mer d'Amundsen. Il mesure jusqu'à 4 000 mètres d'épaisseur et est considéré comme une clé pour faire des projections de l'élévation du niveau de la mer à l'échelle mondiale
Le glacier Thwaites a connu une accélération significative du débit depuis les années 1970.
De 1992 à 2011, le centre de la ligne de mise à la terre de Thwaites a reculé de près de 14 kilomètres (neuf milles).
Le débit annuel de glace de cette région dans son ensemble a augmenté de 77% depuis 1973.
RépondreSupprimerParce que son intérieur se connecte à la vaste portion de l'inlandsis antarctique de l'ouest qui se trouve profondément sous le niveau de la mer, le glacier est considéré comme une passerelle vers la contribution potentielle du niveau de la mer de l'Antarctique occidental.
L'effondrement du glacier Thwaites provoquerait une augmentation du niveau de la mer globale entre un et deux mètres (trois et six pieds), avec un potentiel de plus du double de celui de l'ensemble de l'inlandsis antarctique occidental.
Doug Benn, professeur de changement environnemental à St Andrews, a ajouté: «Le glacier Thwaites s'est aminci et accéléré en raison de la fonte accrue sous sa langue flottante.
«Notre inquiétude est que la fragmentation de la langue de glace pourrait grandement accélérer le taux de perte de glace dans un avenir proche, avec un impact important sur le niveau de la mer.
«Une élévation d'un mètre (trois pieds) du niveau de la mer signifierait une plus grande fréquence d'inondations côtières lors d'événements météorologiques extrêmes, tels que les ondes de tempête, les ouragans et lorsque les grandes rivières coïncident avec les hautes marées.
Le glacier de Thwaites est l'un des plus grands de l'Antarctique qui rencontre l'océan avec une falaise s'étendant sur 120 kilomètres (75 miles).
L'étude impliquera le collage de thermomètres aux phoques d'éléphants pour mesurer la chaleur de l'océan - une influence majeure sur le taux de fusion de la partie flottante du glacier. Cela vise à contourner l'inaccessibilité de la zone pour les navires de recherche pendant l'hiver
Des scientifiques de l'Université de St Andrews - en collaboration avec d'autres chercheurs de Finlande, d'Alaska, d'East Anglia et du Michigan - utiliseront également la modélisation informatique pour examiner comment l'effondrement du glacier pourrait augmenter le débit de glace dans l'océan.
Il déverse 126 GigaTonnes de glace dans l'océan chaque année.
Les chutes de neige ne font que remplacer environ 75 GigaTonnes par an, ce qui laisse environ 50 GigaTonnes d'eau à ajouter chaque année à l'océan, contribuant ainsi à l'élévation du niveau de la mer dans le monde.
Son débit est passé de trois kilomètres (1,8 miles) par an à quatre kilomètres (2,5 miles) par an depuis 2006.
Il représente déjà environ quatre pour cent de la hausse mondiale du niveau de la mer - un volume qui a doublé depuis le milieu des années quatre-vingt-dix.
COMMENT POURRAIT REDUIRE LES NIVEAUX DE MER DE L'ANTARCTIQUE ?
L'Antarctique contient une énorme quantité d'eau.
Les trois nappes de glace qui recouvrent le continent contiennent environ 70 % de l'eau douce de notre planète - et tout ceci est pour réchauffer l'air et les océans.
Si toutes les calottes glaciaires fondaient en raison du réchauffement climatique, l'Antarctique augmenterait les niveaux de la mer d'au moins 56 mètres.
Compte tenu de leur taille, même de petites pertes dans les calottes glaciaires pourraient avoir des conséquences mondiales.
RépondreSupprimerEn plus de l'élévation du niveau de la mer, l'eau de fonte ralentirait la circulation océanique mondiale, tandis que la modification des ceintures pourrait affecter le climat de l'hémisphère sud.
En février 2018, la NASA a révélé que les épisodes El Niño provoquaient la fonte de la plate-forme glaciaire antarctique jusqu'à 25 cm (10 pouces) chaque année.
El Niño et La Niña sont des événements distincts qui modifient la température de l'eau de l'océan Pacifique.
L'océan oscille périodiquement entre plus chaud que la moyenne pendant El Niños et plus froid que la moyenne pendant La Niñas.
En utilisant l'imagerie satellite de la Nasa, les chercheurs ont constaté que les phénomènes océaniques font fondre les plates-formes de glace de l'Antarctique tout en augmentant les chutes de neige.
En Mars 2018, il a été révélé que plus d'un glacier géant de taille France en Antarctique flotte sur l'océan que ce que l'on pensait auparavant.
Cela a fait craindre qu'il pourrait fondre plus vite à mesure que le climat se réchaufferait et qu'il aurait un impact dramatique sur l'élévation du niveau de la mer.
L'Antarctique rétrécit alors que le fond de la mer est érodé par l'eau chaude*
http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-5673591/Joint-UK-research-project-study-Antarctic-glacier-collapse-decades.html#ixzz5EA2B9qIW
Depuis des millions d'années il y a des milliards de km³ d'eaux douces (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans... SANS QU'ELLES OU ILS NE MONTENT !!! Çà alors ! Tout simplement parce que l'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océaniques et maritimes vers le magma où cette soupe toxique (les poissons chient dans la mer !) y est chauffée/bouillie et remonte donc (comme dans une cafetière électrique) vers les sources (chaudes ou froides suivant l'altitude) et vers les nappes phréatique qu'elle remplit.
Supprimer* https://huemaurice5.blogspot.fr/2017/12/est-ce-que-40-000-volcans-sont.html
https://huemaurice5.blogspot.fr/2015/03/les-volcans-sous-marins-finalement-pris.html
https://huemaurice5.blogspot.fr/2018/01/la-terre-est-une-planete-froide.html
On sait désormais combien le constructeur automobile Tesla perd chaque minute
RépondreSupprimer16:50 30.04.2018
Le fabricant de véhicules électriques Tesla, fondé par Elon Musk, est une entreprise très déficitaire. Selon l'agence Bloomberg, cette société perd environ 6.500 dollars par minute, ce qui lui fait courir le risque d'une faillite à court terme.
Face à Elon Musk et SpaceX, Roscosmos annonce la couleur
Elon Musk a de quoi s'inquiéter compte tenu que son entreprise Tesla perd de l'argent avec la vitesse spectaculaire de 6.500 dollars par minute, écrit Bloomberg.
Selon l'agence, à la fin de l'année 2017, l'entreprise disposait de 3.4 milliards de dollars de liquidités et était endettée à hauteur de 9.4 milliards de dollars. Ainsi, à ce rythme, Tesla risque de ne plus disposer d'aucune liquidité d'ici à la fin de l'année 2018.
Fondée en 2003, Tesla a fonctionné jusqu'en 2010 grâce à des investissements privés, à l'argent de fonds de capital-risque et aux capitaux injectés par Elon Musk. En même temps, à la différence d'autres constructeurs automobiles, la société bénéficie de l'appui financier du gouvernement américain. Par exemple, en 2010, la société a obtenu du département de l'Énergie des États-Unis un prêt de 465 millions de dollars qui a été remboursé en 2013.
Les problèmes financiers n'empêchent pas Tesla d'augmenter ses effectifs. Si, en 2010, elle n'employait que 899 personnes, au début de 2018, elle avait environ 40.000 salariés. L'agence souligne qu'avec un tel nombre d'employés la société ne fait que perdre son argent: entre 2014 et 2017, ce nombre a triplé tandis que le revenu provenant d'un employé reste le même.
En outre, la société a échoué à réaliser le projet de la construction de la voiture Tesla Model 3. Tout cela fait réfléchir sur le sort de la société, souligne l'agence qui rappelle que Tesla doit présenter un nouveau rapport financier ce mercredi.
https://fr.sputniknews.com/economie/201804301036166122-constructeur-automobile-tesla/
Petite sœur de l'escroquerie sur les éoliennes, les voitures sur batteries ne peuvent marcher QU'AVEC les subventions du contribuable !
SupprimerBachar el-Assad révèle les causes du comportement des ennemis de la Syrie
RépondreSupprimer16:07 30.04.2018
Bachar el-Assad a expliqué que c’était le succès de son gouvernement dans la lutte contre le terrorisme qui ne laisse d’autre choix à ses ennemis que de recourir à la force. Cette déclaration a été faite lors d’une rencontre avec un responsable iranien qui a de son côté souligné l’échec des États-Unis et de leurs alliés en Syrie.
Le succès du gouvernement syrien dans sa lutte contre les groupements terroristes et les fantoches de certains pays pousse les adversaires de la Syrie à recourir à des actes d'agression directe, a déclaré le Président du pays Bachar el-Assad lors d'une rencontre avec Alaeddin Boroujerdi, président de la Commission iranienne pour la Sécurité nationale et les Affaires étrangères.
«Il est évident que la région passe par une période de redessinage de la carte du monde. Et le fait que nous observions l'escalade de l'agression contre la Syrie et le passage des pays adversaires à l'agression directe après la chute de leurs cellules et complices contribue davantage au désir des Syriens de mettre fin au terrorisme sous toutes ses formes», a martelé le Président syrien, cité par l'agence Sana.
Il a souligné le droit du peuple syrien de défendre sa souveraineté et de définir son avenir.
M.Boroujerdi a, quant à lui, indiqué que les États-Unis et leurs alliés avaient subi un échec en Syrie, leur dernière attaque de missiles témoignant de «la pérennité et la fermeté de l'axe de résistance».
Dimanche soir plusieurs objets militaires syriens situés dans les provinces de Hama et d'Alep dont un dépôt d'armes ont été frappés par des «missiles ennemis».
https://fr.sputniknews.com/international/201804301036165805-assad-comportement-ennemis-syrie/
Le récit d’un garçon syrien «pulvérise toute l’histoire» de l’«attaque chimique» à Douma
RépondreSupprimer15:54 30.04.2018
Lors d’une conférence de presse de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) à La Haye a été présenté le témoignage d’un garçon syrien de 11 ans qui a participé malgré lui à l’«attaque chimique» de Douma. Ammar Waqqaf, spécialiste britannique du Proche-Orient, a donné son avis à Sputnik.
Pour la première fois, une «attaque chimique» aurait été perpétrée sur un territoire contrôlé par l'armée syrienne et, pour la première fois, on entend un témoignage selon lequel l'attaque chimique présumée à Douma n'a été qu'une mise en scène pure et simple, a rappelé Ammar Waqqaf à Sputnik.
«N'est-ce pas une révolution ? Nous avons vu une personne qui aurait subi une "attaque chimique" et qui déclare haut et fort qu'il n'y avait eu rien de pareil. "On nous a dit d'y venir, on a versé de l'eau sur nous, et on m'a donné quelque chose d'insolite". Mais cela pulvérise toute l'histoire imposée depuis les deux dernières semaines», a poursuivi l'interlocuteur de l'agence.
Et d'ajouter qu'en Occident, on ne faisait pratiquement aucun cas des témoignages.
«Ainsi, l'ancien chef du Foreign office britannique William Hague avait affirmé détenir des preuves solides de la responsabilité des troupes d'Assad, bien que par la suite l'enquête de l'Onu ne l'ait pas confirmée», a indiqué M.Waqqaf.
Selon ce dernier, il est peu probable que l'Occident change d'attitude après avoir pris connaissance du témoignage du petit Syrien.
«Par le passé, on a également entendu des démentis. Néanmoins, il y avait quelqu'un qui savait très bien qu'il n'y avait aucune attaque [chimique, ndlr], mais qui se préparait à frapper la Syrie. On a aussi entendu des accusations à l'endroit de la Russie et de la Syrie qui auraient dénaturé les témoignages. Il y avait aussi ceux qui s'en moquaient tout simplement, et ce d'autant plus que l'OIAC n'a désigné une seule fois l'auteur d'aucune attaque chimique en Syrie», a expliqué l'expert.
Et de résumer que les Occidentaux se servaient de la moindre occasion pour rappeler aux Syriens et à leurs alliés qu'ils étaient toujours dans le jeu, qu'il fallait bien compter avec leurs intérêts et qu'ils étaient capables de provoquer une escalade des tensions.
Les grands médias occidentaux semblent ignorer les témoignages des Syriens qui affirment que l'attaque chimique présumée à Douma a été mise en scène, ne mentionnant que d'un mot l'histoire du petit Syrien, Hassan Diab, qui a été forcé d'apparaître dans la vidéo des Casques blancs sur les événements de cette ville de la banlieue est de Damas.
https://fr.sputniknews.com/international/201804301036165298-attaque-chimie-douma-garcon-syrien-occident/
Un ancien inspecteur des armes de l'ONU: l'histoire de l'attaque au gaz syrienne soulève des questions sérieuses
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lundi, 30 avril 2011 à 13h30
Scott Ritter est sans doute l'inspecteur d'armes américain le plus expérimenté et dans cette interview avec Dennis J. Bernstein, il évalue franchement les affirmations du gouvernement américain sur l'utilisation des armes chimiques.
Ritter: "Ils inventent juste ça."
Auteur de Dennis Bernstein via ConsortiumNews.com,
Dans les années 1980, Scott Ritter était un officier du Marine Corps des États-Unis, spécialisé dans le renseignement. En 1987, Ritter a été affecté à l'Agence d'inspection sur place, qui a été constituée pour aller en Union soviétique et superviser la mise en œuvre du Traité sur les forces nucléaires intermédiaires. C'était la première fois que l'inspection sur place avait été utilisée dans le cadre d'un processus de vérification du désarmement.
Ritter a été l'un des pionniers dans l'élaboration de techniques et de méthodologies d'inspection sur place. Fort de cette expérience unique, Ritter a été invité en 1991, à la fin de la guerre du Golfe, à rejoindre la Commission spéciale des Nations Unies, chargée par le Conseil de sécurité de superviser le désarmement des armes de destruction massive iraquiennes. De 1991 à 1998, Ritter a été inspecteur en chef des armes et a dirigé un certain nombre d'équipes en Irak.
Selon Ritter, dans l'interview suivante de Flashpoints Radio menée par Dennis Bernstein le 23 avril, les Etats-Unis, les Britanniques et les Français prétendent que le gouvernement syrien a utilisé des armes chimiques contre des civils le mois dernier semble être totalement faux.
Dennis Bernstein: Vous avez parlé récemment de l'utilisation d'armes chimiques en Syrie. Pourriez-vous décrire votre cas ?
Scott Ritter: Il y a beaucoup de similitudes entre le cas syrien et le cas irakien. Les deux pays possèdent des armes de destruction massive. La Syrie avait un très grand programme d'armes chimiques.
En 2013, il y a eu un incident dans la banlieue de Damas appelé Ghouta, la même banlieue où la controverse actuelle a lieu. Les allégations étaient que le gouvernement syrien a utilisé un agent neurotoxique sarin contre la population civile. Le gouvernement syrien a nié cela, mais à la suite de cet incident, la communauté internationale s'est réunie et a obligé la Syrie à signer la Convention sur les armes chimiques, déclarant la totalité de ses stocks d'armes chimiques et s'ouvrant pour être désarmée par des inspections de l'Organisation. Interdiction des armes chimiques. La Russie a été choisie pour être le garant de la conformité de la Syrie. L'essentiel est que la Syrie avait les armes mais a été vérifiée en 2016 comme étant en conformité à 100 %. La totalité du programme d'armes chimiques de la Syrie a été éliminée.
En même temps que se déroulait ce processus de désarmement, la Syrie était plongée dans une guerre civile qui avait débouché sur une crise humanitaire. Plus d'un demi-million de personnes sont mortes. C'est une guerre qui oppose le gouvernement syrien à une variété de forces anti-régime, dont beaucoup sont de nature islamique: l'État islamique, Al Nusra, Al-Qaïda. Certaines de ces factions islamiques se trouvent à proximité de Ghouta depuis 2012.
Plus tôt cette année, le gouvernement syrien a lancé une offensive pour libérer cette zone de ces factions. Les combats ont été très violents, des milliers de civils ont été tués, avec des bombardements aériens massifs. Les forces gouvernementales dominaient et, le 6 avril, les militants se préparaient à se rendre.
RépondreSupprimerSoudainement, les allégations ont révélé qu'il y avait eu cette attaque d'armes chimiques. Ce n'était pas une attaque massive d'armes chimiques, il s'agissait de larguer une ou deux «bombes à baril», des engins improvisés contenant des cartouches de gaz chloré. Selon les militants, entre 40 et 70 personnes ont été tuées et jusqu'à 500 personnes ont été malades. Les États-Unis et d'autres pays ont repris à ce sujet, en disant que c'était la preuve positive que la Syrie mentait sur son programme d'armes chimiques et que la Russie était derrière la rétention des armes chimiques par la Syrie. C'est le cas des Etats-Unis pour lancer leur attaque au missile [le 14 avril].
Il y a beaucoup de problèmes avec ce scénario. Encore une fois, pourquoi le gouvernement syrien, au moment de la victoire, aurait-il utilisé une attaque chimique piégée sans valeur militaire ? Il n'ajouta rien à la campagne militaire et invita la colère de l'Occident à un moment critique, lorsque les rebelles imploraient l'intervention occidentale.
Beaucoup, y compris le gouvernement russe, croient qu'il s'agissait d'un événement organisé. Aucune preuve tangible n'a été avancée par qui que ce soit qu'une attaque a eu lieu. Peu de temps après que les allégations de l'attaque soient parvenues, toute la ville de Douma a été prise en charge par l'armée syrienne pendant que les rebelles étaient évacués.
Les lieux qui auraient été attaqués ont été inspectés par des spécialistes russes des armes chimiques, qui n'ont trouvé aucune trace d'activité d'armes chimiques. Les mêmes inspecteurs qui ont supervisé le désarmement de la Syrie ont été mobilisés pour retourner en Syrie et faire une enquête. Ils devaient commencer leur travail le week-end dernier [21-22 avril]. Ils sont arrivés à Damas le lendemain des frappes de missiles, mais ils n'ont toujours pas été sur les sites. Les États-Unis, la France et la Grande-Bretagne ont tous admis que les seules preuves qu'ils ont utilisées pour justifier cette attaque étaient les photographies et bandes vidéo qui leur ont été envoyées par les forces rebelles.
Je suis très préoccupé par le fait que les États-Unis mènent une attaque contre une nation souveraine sans aucune preuve tangible. Plus nous attendons, plus il faudra de temps pour faire venir les inspecteurs sur le site, plus nous aurons de revendications que les Russes l'auront assainie. Je crois que la dernière chose que les États-Unis voulaient, c'était que les inspecteurs se rendent sur les lieux et mènent une enquête médico-légale qui aurait permis de conclure qu'une attaque chimique n'avait pas eu lieu.
DB: C'est un peu comme nettoyer une scène de crime de police avant de vérifier la preuve.
SR: Les Etats-Unis n'ont pas bombardé le site attaqué. Ils ont bombardé trois autres installations. L'un était dans la banlieue de Damas, une grande région métropolitaine. Les généraux ont dit qu'ils croyaient qu'il y avait des quantités d'agent nerveux là-bas. Donc, dans un bâtiment dans une zone densément peuplée où nous croyons que l'agent neurotoxique est stocké, que faisons-nous? Nous explosons! S'il y avait effectivement eu un agent neurotoxique, cela aurait entraîné des centaines, voire des milliers de morts. Le fait que personne n'est mort est la preuve la plus claire à ce jour qu'il n'y avait pas d'agent neurotoxique. Les États-Unis ne font qu'allumer le pays.
L'une des tragédies, c'est que nous ne pouvons plus faire confiance à nos militaires, à nos services de renseignement, à nos politiciens. Ils fabriqueront le récit dont ils ont besoin pour justifier une action qu'ils jugent politiquement opportune.
RépondreSupprimerDB: N'est-il pas également vrai qu'il y a eu des problèmes avec les allégations concernant la Syrie utilisant des armes chimiques en 2013 et encore en 2015 ? Je crois que le New York Times a dû se rétracter leur histoire de 2013.
SR: Ils ont raconté que des milliers de personnes avaient perdu la vie, affirmant que cela avait été fait par le gouvernement syrien. Il s'est avéré plus tard que le nombre de morts était beaucoup plus bas et que les systèmes d'armes utilisés étaient probablement en possession des rebelles. C'était un cas où les rebelles organisaient une attaque chimique pour que le monde intervienne en leur faveur.
Un scénario similaire s'est déroulé l'année dernière quand le gouvernement syrien a largué deux ou trois bombes sur un village et soudainement il y a eu des rapports indiquant qu'un agent neurotoxique sarin et du chlore gazeux traversaient le village, tuant des dizaines de personnes. Des bandes vidéo ont été prises sur des personnes mortes, mourantes et souffrantes, ce qui a incité Trump à intervenir. Les inspecteurs ne sont jamais allés sur le site. Au lieu de cela, ils s'appuyaient sur des preuves recueillies par les rebelles.
En tant qu'inspecteur des armes, je peux vous dire que la chaîne de possession de tout échantillon qui doit être utilisé dans le cadre de l'enquête est absolue. Vous devez être sur le site quand il est collecté, il doit être certifié pour être en votre possession jusqu'au laboratoire. Toute interruption de la chaîne de traçabilité rend cette preuve inutile pour une enquête légitime. Nous avons donc des preuves recueillies par les rebelles. Ils se sont filmés en effectuant l'inspection, en portant des tenues d'entraînement qui ne les auraient pas protégés du tout des armes chimiques! Comme presque tout ce qui concerne ces rebelles, c'était un événement organisé, un acte de théâtre.
DB: Qui a soutenu ce groupe particulier de rebelles ?
SR: D'une part, nous avons les combattants actuels, l'Armée de l'Islam, un groupe fondamentaliste soutenu par les Saoudiens qui sont extraordinairement brutaux. Au sein des combattants se trouvent une variété d'ONG occidentales et financées par l'Occident telles que les White Helmets et la Syrian-American Medical Society. Mais leur objectif principal n'est pas le sauvetage, dans le cas des casques blancs, ni les soins médicaux dans le cas de la Société médicale syro-américaine, mais plutôt la propagande anti-régime. De nombreux rapports issus de Douma sont issus de ces deux ONG.
DB: Vous avez parlé de «chaîne de traçabilité». C'est ce qu'il y avait de plus ridicule à envoyer des inspecteurs. La première chose que vous voudriez faire est d'établir la chaîne de possession et de clouer la scène du crime.
SR: J'ai participé à la guerre du Golfe et nous avons passé la majeure partie de cette guerre à mener une campagne aérienne massive contre l'Irak. J'étais l'une des personnes qui a aidé à trouver la liste de cibles utilisée pour attaquer. Chaque cible devait avoir un but.
Regardons ce qui s'est passé en Syrie [le 14 avril]. Nous avons bombardé trois cibles, un centre de recherche à Damas et deux installations de stockage dans l'ouest de la Syrie. Il a été affirmé que les trois cibles étaient impliquées dans un programme d'armes chimiques syrien. Mais le programme d'armement syrien a été vérifié pour être désarmé. Alors, de quel programme d'armes chimiques parlons-nous? Les autorités américaines ont ensuite déclaré que l'un de ces sites stockait des agents neurotoxiques sarin et des équipements de production chimique. C'est une déclaration très spécifique. Maintenant, si la Syrie a été vérifiée pour être désarmée l'année dernière, avec tout ce matériel éliminé, de quoi parlent-ils? Quelle preuve ont-ils que l'un de ces matériaux existe? Ils inventent juste ça.
RépondreSupprimerSi j'avais été membre de cette équipe d'inspection, j'aurais pu vous dire avec certitude 100 % ce qui s'est passé sur ce site. Il n'y a pas si longtemps que les allégations ont eu lieu, il existe de très bonnes techniques médico-légales qui peuvent être appliquées. Nous serions en mesure de désosser ce site et de vous dire exactement ce qui s'est passé quand. Disons qu'une équipe d'inspection est entrée et que nous avons découvert qu'il y avait un agent neurotoxique sarin. Maintenant, le gouvernement américain peut dire qu'il n'y a pas d'agent neurotoxique sarin en Syrie, donc nous pouvons affirmer que les Syriens ont une capacité cachée d'agent neurotoxique sarin. Mais vous ne savez toujours pas où c'est, alors maintenant vous devez dire que nous évaluons que cela pourrait être dans ce bunker.
Nous avons bombardé des bâtiments vides. Nous n'avons pas dégradé la capacité d'armement chimique de la Syrie. Ils s'en sont débarrassés. Nous étions parmi les nations qui ont certifié qu'elles avaient été désarmées. Nous venons de créer cette menace fantôme à partir de rien afin de pouvoir attaquer la Syrie et notre président pourrait être considéré comme étant présidentiel, en tant que commandant en chef à un moment où sa crédibilité était attaquée sur le front intérieur.
DB: Incroyable. Cela aide à clarifier la situation. Bien sûr, cela nous laisse aussi terrifiés parce que nous sommes si loin de la vérité.
SR: En tant que citoyen américain qui possède des connaissances sur le fonctionnement des inspections d'armes, sur la façon dont les décisions sont prises en matière de guerre, je suis désillusionné au-delà de toute croyance.
Ce n'est pas la première fois que le président nous ment. Mais nous avons été menti par des officiers militaires qui sont supposés être au-dessus de ça. Trois officiers supérieurs du Corps des Marines se sont tenus devant le peuple américain et ont raconté des mensonges chauves à propos de ce qui se passait. Nous avons été menti par le Congrès, qui est censé être les représentants du peuple qui fournissent une vérification contre la portée excessive de l'exécutif. Et nous avons été menti par les médias corporatifs, un tas de porte-parole payés qui répètent ce que le gouvernement leur dit sans poser de questions.
Donc, Donald Trump peut dire qu'il y a des armes chimiques en Syrie, que les généraux répètent ses mots, que le Congrès hoche la tête et que les médias le répètent encore et encore au public américain.
DB: Êtes-vous inquiet que nous puissions finir dans une guerre avec la Russie à ce stade ?
SR: Il y a une semaine j'étais très inquiet. Si je vais donner des félicitations à Jim Mattis, c'est parce qu'il a accepté la volonté de Trump et de Bolton de créer une crise majeure avec la Russie au sujet des allégations d'utilisation d'armes chimiques syriennes et a été capable d'organiser un spectacle pour le peuple américain. Nous avons averti les Russes à l'avance, il n'y a pas eu de victimes, nous avons fait exploser trois bâtiments vides. Nous avons dépensé un quart de milliard de dollars de l'argent des contribuables et nous devons nous féliciter et dire à tout le monde à quel point nous sommes bons. Mais nous avons évité une confrontation inutile avec les Russes et je suis beaucoup plus calme aujourd'hui sur le potentiel d'une guerre de tir avec la Russie qu'il y a une semaine.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/news/2018-04-30/former-un-weapons-inspector-syrian-gas-attack-story-raises-serious-questions
New York, sa statue de la Liberté, son Empire State Building, et... ses fermes verticales
RépondreSupprimer30 AVRIL 2018
Audrey Duperron
Les fermes d'intérieur sont de plus en plus nombreuses à pousser à New York, et désormais, on en trouve dans la plupart des quartiers de la ville. Leurs productions sont très variées, et s'adressent aux marchés locaux, aux supermarchés, et aux restaurants.
L'agriculture d'intérieur, aussi appelée agriculture verticale, agriculture hydroponique, ou agriculture en environnement contrôlé, ne craint ni le gel, ni la sécheresse. Elle ne nécessite pas de pesticides, car il n'y a pas d'insectes dans ces environnements, à part ceux qui sont introduits, parce qu'ils sont utiles pour les cultures. Contrairement aux conditions naturelles, “l’ensoleillement” est permanent et contrôlé, grâce à un éclairage artificiel par LED, qui accélère la pousse des plantes, et l’hygrométrie est idéale. L'agriculture hydroponique recycle l'eau qui est utilisée pour donner des nutriments aux plantes, ce qui implique que ces fermes utilisent 90 à 97 % moins d'eau que l'agriculture traditionnelle.
Elle est aussi très économe en espace : les plantes peuvent être placées en étagères dans des containers, eux-mêmes disposés sur plusieurs étages d'un immeuble. Il est ainsi possible de produire plus de nourriture au mètre carré que sur un champ traditionnel.
De même, cette forme de culture n'est pas soumise au cycle des saisons, et il est possible de récolter les productions toute l'année. Enfin, la production réalisée directement dans l'univers citadin peut être immédiatement livrée, sans nécessiter de transport coûteux et polluant, assurant une fraîcheur maximale aux consommateurs.
D'ici 2050, nous aurons besoin d'un Canada en surface de terres cultivables
Le concept de l’agriculture verticale a été développé par le microbiologiste américain Dickson Despommier, un ancien professeur de l’université de Colombia, pionnier de la culture hydroponique, en 1999. Il avait calculé que lorsque la population de la Terre atteindrait 9 milliards de personnes en 2050, Il faudrait 1 milliard d’hectares de culture supplémentaires, ce qui représente grosso modo la superficie du Canada. Mais comme les ? des terres arables sont déjà cultivés, il serait nécessaire de supprimer toutes les forêts pour gagner cette surface, ce qui aboutirait à un désastre écologique.
La solution consisterait à produire les fruits et légumes dans les immeubles ou les gens vivront, d'autant qu'à ce moment-là, 70 % des gens vivront dans des villes.
New York City, un site idéal pour l'agriculture d'intérieur
À New York, le message a été entendu. FarmOne, Gotham Greens, Sky Vegetables, sont quelques unes des pionnières de ce mouvement. Elles ont déjà commencé à exploiter les toits d'immeubles et les bâtiments vacants pour y installer des containers de culture hydroponique. Certaines fermes verticales ont commencé à coloniser les banlieues des villes pour réaliser des économies sur les loyers.
Dans le sous-sol d'un immeuble, FarmOne produit plus de 170 variétés d'herbes rares, de salades et de fleurs comestibles. Certaines d'entre elles ne poussent pas normalement à cette latitude, et encore moins en hiver. « New York City est l'un des meilleurs endroits pour l'agriculture d'intérieur, en raison de ses restaurants gastronomiques, les chefs apprécient vraiment nos produits. De même, une ville densément habitée, avec un bon système de transport est adaptée à nos méthodes de livraison, parce que nous utilisons les transports publics », explique son CEO, Robert Liang.
Une chaîne de distribution ultra-réduite
RépondreSupprimerÀ Brooklyn, Gotham Greens vend ses barquettes de laitue aux supermarchés locaux, y compris low cost, un prix comparable à celui des autres salades, alors qu'elles sont bien plus fraîches : « La plupart des produits à base de légumes à feuilles sont amenés à New York en provenance de la Californie ou de l'Arizona, donc lorsqu'ils atteignent les étagères des supermarchés, ils ont déjà une semaine d'existence, et encore au-delà lorsqu'ils atteignent le consommateur. Les nôtres sont livrés seulement quelques heures après leur cueillette », explique le cofondateur de Gotham Greens, Viraj Puri. Gotham Greens dispose même d'un site de production sur le toit d'un supermarché Whole Foods qui vend ses produits.
Tous les producteurs sont unanimes : le succès est là, le marché est loin d'être saturé, on doit donc s'attendre à l'arrivée de nouveaux acteurs.
https://fr.express.live/2018/04/30/new-york-sa-statue-de-la-liberte-son-empire-state-building-et-ses-fermes-verticales
SupprimerCe qu'ils 'oublient' de dire c'est que ce type de culture est bien connu et n'a aucune saveur. C'est comme des feuilles en plastique, suffit d'y mettre beaucoup de vinaigrette et, çà a le goût de la vinaigrette !
Voir les fruits et légumes qui poussent déjà en Hollande sous serres sans soleil !
Bientôt ils remplaceront un bon diner avec des hologrammes !
JURA - DES ESSAIMS D’ABEILLES DÉTRUITS EN AJOIE
RépondreSupprimerUn cas de loque européenne a été découvert. Un vétérinaire a ordonné une zone de restriction à Boncourt.
La loque européenne compromet la production de miel.
30.04.2018
Le canton du Jura est à son tour touché par la loque européenne des abeilles. Toutes les colonies ainsi que le matériel des ruchers contaminés découverts en Ajoie ont été détruits. C'est le 22e cas annoncé en Suisse depuis le début de l'année. Cette maladie contagieuse tue les larves dans les ruches.
Le vétérinaire cantonal a ordonné une zone de restriction dans la commune de Boncourt, a annoncé lundi le canton du Jura. Cela signifie que les apiculteurs dont les ruchers sont situés dans ce périmètre ont l'interdiction d'offrir, de déplacer, d'introduire ou de sortir des abeilles ou des rayons.
La loque européenne compromet la production de miel. Difficile à détruire et d'évolution rapide, elle impose la destruction des colonies touchées ou suspectes. Cette maladie n'est pas dangereuse pour l'homme. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/essaims-abeilles-detruits-ajoie/story/20690226
SupprimerLa loque européenne, loque bénigne ou loque puante1 (en anglais european foulbrood - EFB) est une maladie pluribactérienne du couvain d'abeille.
C’est une pathologie enzootique par son caractère endémique, infectieuse par l’agent infectieux qui la provoque, contagieuse par son caractère transmissible2.
L’agent causal principal est une bactérie : Melissococcus plutonius3. Comme cette bactérie ne sporule pas, la loque européenne a un caractère de moindre gravité que la loque américaine. D’autres germes se développent après l’infection créée par M. plutonius.
La loque européenne touche essentiellement le couvain ouvert de différentes espèces d’abeilles et notamment Apis mellifera, Apis cerana, Apis laboriosa. La loque européenne n’a d’européen que le nom, c’est en effet une pathologie que l’on peut retrouver partout dans le monde sauf en Nouvelle-Zélande, ouest de l’Australie et en Afrique centrale. Au Népal, la loque européenne a été apportée par l’importation d’Apis mellifera.
Elle est moins grave que la loque américaine, même si elle compromet plus ou moins fortement la récolte.
SUISSE - RENSEIGNEMENT: NOUVEAUX OUTILS DE SURVEILLANCE
RépondreSupprimerLe Service de renseignement de la Confédération a lancé plusieurs opérations de surveillance avec des moyens approuvés par le peuple en septembre dernier.
Adoptée par le peuple en septembre dernier, la nouvelle loi sur le renseignement confère au SRC des compétences de surveillance supplémentaires.
30.04.2018
Depuis septembre, le Service de renseignement de la Confédération (SRC) peut procéder à des écoutes, placer des micros ou pirater des ordinateurs en cas de menace à la sécurité de la Suisse. Il a lancé quatre opérations de ce type assorties de 40 mesures l'an dernier.
Adoptée par le peuple, la nouvelle loi sur le renseignement est entrée en vigueur le 1er septembre 2017. Elle confère au SRC des compétences de surveillance supplémentaires. Mais pour les réaliser, il lui faut le feu vert du ministre de la défense Guy Parmelin - qui aura dû en discuter avec les conseillers fédéraux Ignazio Cassis et Simonetta Sommaruga - et du Tribunal administratif fédéral à St-Gall.
Ces mesures visent des personnes présentant une menace potentielle dans le domaine du terrorisme, de l'espionnage, de la protection des infrastructures critiques ou de la prolifération, a indiqué lundi le SRC. Elles sont appliquées de manière ciblée aux menaces les plus graves.
Les quarante mesures prises entre septembre et décembre 2017 ont abouti sur deux opérations concernant des actes de terrorisme et deux opérations d'espionnage, selon le rapport annuel du SRC. L'identité des personnes incriminées n'a pas été communiquée, ni les moyens utilisés.
Lors de l'élaboration de la nouvelle loi, le Conseil fédéral avait estimé à 10 le nombre de cas où les nouveaux instruments pourraient être utilisés. Le nombre d'opérations effectuées lors des quatre derniers mois de 2017 est conforme aux attentes, a expliqué le conseiller aux Etats Claude Janiak (PS/BL), président de la Délégation des commissions de gestion sur les ondes de SRF.
Menace terroriste
Le rapport publié par le SRC montre également que l'évaluation de la menace terroriste demeure élevée en Suisse. En avril, le service a enregistré environ nonante personnes à risques, soit des individus représentant un risque élevé pour la sécurité de la Suisse.
Ce nombre recense les djihadistes, des individus qui se sont radicalisés en Suisse mais n'ont pas voyagé en zone de conflit ainsi que des personnes qui soutiennent ou encouragent le terrorisme. Le nombre de voyageurs du djihad est en revanche en recul.
Le monitoring des sites Internets et des réseaux sociaux a permis de repérer depuis 2012, 585 internautes (550 à la fin 2017) ayant diffusé en Suisse ou à partir de la Suisse du matériel prônant l'idéologie djihadiste, ou s'étant connecté avec des personnes défendant les mêmes idées.
Extrémisme de gauche en hausse
Parmi les autres menaces, si l'extrémisme de droite persiste, celui de gauche s'est aggravé. Le SRC a enregistré 100 actes issus de l'extrême gauche en 2017 contre 60 en 2016. Les milieux d'extrême droite suisses semblent agir plus discrètement, précise-t-il. Un seul cas a été enregistré l'an dernier (16 en 2016).
Le Service de renseignement a également détecté des cas de cyberespionnage. Les hackers d'origine russe sont toujours plus nombreux. Ils s'attaquent de plus en plus à des intérêts helvétiques. Le SRC met également en avant les activités de hackers chinois et nord-coréens. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/renseignement-nouveaux-outils-surveillance/story/15435193
Les assassins ne tuent pas par ordinateurs ou téléphone, ils se contactent autrement. Ils peuvent s'envoyer du courrier papier par le facteur !
SupprimerL'escroquerie de la mise sur écoute n'a RIEN A VOIR avec le terrorisme configuré par les chefs d'Etats !
https://www.zerohedge.com/news/2018-04-30/former-un-weapons-inspector-syrian-gas-attack-story-raises-serious-questions
Le climat Folie de la semaine: Le 'PrixNobel' crache une propagande morose sur le climat
RépondreSupprimerAnthony Watts
30 avril 2018
J'ai fait une double prise quand j'ai vu ça, et au début j'ai pensé que ça devait provenir d'un faux compte Twitter. Donc, j'ai vérifié. Et oui, il vient du compte Twitter officiel Nobel:
Malheureusement, tout cela est trop réel. Nous savons depuis longtemps (depuis qu'Al Gore et Rajenda Pachauri, directeur de la CIPV pour le sexe, ont reçu conjointement le prix Nobel en 2007) que l'instance dirigeante du prix Nobel est devenue un outil politique, mais on pourrait penser qu'ils d au moins la peine de vérifier ce qu'ils Tweeting.
- voir carte sur site -
Source: https://mobile.twitter.com/NobelPrize/status/990550013569912838
La partie sur Arrhenius est correcte, le niveau de la mer SIX METRE n'augmente pas tellement.
Empruntant à leur copain Pauchari et au GIEC, dans AR5 ils ont dit dans le chapitre 13:
Pour la période 2081-2100, par rapport à 1986-2005, l'élévation moyenne du niveau de la mer dans le monde est susceptible de se situer dans la fourchette de 5 à 95 % des projections basées sur les modèles de processus, qui donnent 0,26 à 0,55 m pour RCP2.6 , 0,32 à 0,63 m pour RCP4,5, 0,33 à 0,63 m pour RCP6.0 et 0,45 à 0,82 m pour RCP8.5. Pour RCP8.5, la hausse de 2100 est de 0,52 à 0,98 m avec un taux de 2081-2100 de 8 à 16 mm an-1. Nous avons examiné les preuves de projections plus élevées et conclu qu'il existe actuellement des preuves insuffisantes pour évaluer la probabilité de niveaux spécifiques supérieurs à la fourchette probable évaluée. Selon la compréhension actuelle, seul l'effondrement des secteurs marins de la calotte glaciaire antarctique, s'il était initié, pourrait faire augmenter considérablement le niveau moyen de la mer au-dessus de la fourchette probable au cours du 21ème siècle. Cette contribution additionnelle potentielle ne peut être quantifiée avec précision, mais il y a une confiance moyenne qu'elle ne dépasserait pas plusieurs dixièmes de mètre d'élévation du niveau de la mer au cours du 21ème siècle.
Même si nous prenons le pire scénario du fils préféré des alarmistes du climat dans le monde entier, le modèle RCP 8.5, de 16mm par an (le taux actuel est d'environ 3,1-3,3 mm / an selon les mesures par satellite), il faudra longtemps pour arriver à six mètres d'élévation du niveau de la mer:
6 mètres = 6000mm (19.7 pieds)
6000mm ÷ 16mm / année = 375 ans
Au taux retrouvé de l'élévation du niveau de la mer, qui ne montre aucun signe d'accélération, Wikipedia dit:
Sur la base des données marégraphiques, le taux d'élévation moyen du niveau de la mer au cours du XXe siècle est compris entre 0,8 et 3,3 mm / an, avec un taux moyen de 1,8 mm / an.
Satellite: 3,3 mm / an
6000mm ÷ 3.3mm / année = 1818 ans
Marégraphes: 1,8 mm / an
6000mm ÷ 1.8mm / année = 3333 années
Dans l'un des trois scénarios ci-dessus, la civilisation aura probablement évolué vers d'autres sources d'énergie autres que les combustibles fossiles. Alors, quel est le souci ?
La revendication de six mètres d'élévation du niveau de la mer remonte à cet article du 26 août 2015 de la NASA où Josh Willis est cité:
RépondreSupprimer"Une grande partie de l'incertitude majeure dans l'élévation future du niveau de la mer se trouve dans l'inlandsis groenlandais", a déclaré le chercheur principal de l'OMG, Josh Willis, un scientifique du Jet Propulsion Laboratory de la NASA à Pasadena en Californie. À environ 660 000 milles carrés (1,7 millions de kilomètres carrés), la calotte glaciaire est trois fois la taille du Texas. Il fait environ un mille de profondeur en moyenne et contient assez d'eau pour élever le niveau de la mer à environ 20 pieds (6 mètres), si tout devait fondre. "La question est de savoir à quelle vitesse il fond," a déclaré Willis.
De "Une grande partie de l'incertitude majeure dans l'élévation future du niveau de la mer est dans la calotte glaciaire du Groenland" et "La question est la vitesse à laquelle elle fond," nous obtenons assez de certitude que des organisations comme le Nobel . Pourtant, même dans le pire des cas, le pire des cas, nous n'atteindrons jamais six mètres d'élévation du niveau de la mer parce que l'humanité aura déjà migré vers d'autres sources d'énergie.
Le comité Nobel mérite une récompense pour son alarmisme irréfléchi. Peut-être un prix Darwin.
Triste !
MISE À JOUR: La chose curieuse à propos de cette image censée être de la NASA montrant 6 mètres d'élévation globale du niveau de la mer est que je ne peux trouver qu'une source originale pour cela. C'est à partir de la page Wikipédia sur l'élévation du niveau de la mer, mais leur source n'est pas la NASA, mais un compte Flickr.
- voir carte sur site -
wikipedia-ref-nasa-6 mètres-niveau de la mer-risewikipedia-nasa-6-mètres
L'image de référence dans Wikipedia dit:
NASA - https://www.flickr.com/photos/11304375@N07/6863515730/ source supplémentaire http://www.livescience.com/19212-sea-level-rise-ancient-future.html (Science en direct)
Et il dit qu'il a été créé: 23 mars 2012, mais je ne trouve aucune référence de la NASA à cette image pendant cette période. En outre, les références d'article dans ce lien LiveScience à cette image suggèrent qu'il a été créé pour démontrer le niveau de la mer il y a plus de 3 millions d'années, pas le futur:
Il y a environ trois millions d'années - à une époque où les conditions climatiques correspondaient à celles des temps modernes - le niveau de la mer était d'environ 20 mètres plus haut, indique une nouvelle recherche.
Il semble que l'image n'est pas ce que certains pensent que c'est, y compris Nobel et Wikipedia.
https://wattsupwiththat.com/2018/04/30/climate-craziness-of-the-week-the-nobelprize-spews-moronic-climate-propaganda/
Encore des escrocs démasqués ! Mais... ils ont été laissés en liberté !
SupprimerNe pas oublier que: Depuis des millions d'années, ce sont des milliards de km³ d'eaux (venues des pluies, des fleuves et des rivières) qui se sont déversés dans les océans (et continuent à le faire !) SANS QUE 'LA MER MONTE' !!! Çà alors !!
L'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océanique vers le magma où elle est chauffée/brûlée et ressort toute propre (et GRATUITEMENT !) aux nappes phréatique, sources terrestres et sous-marines (chaude, froide et/ou gazeuse).
La Russie lance "Tchernobyl flottant" lié à l'Arctique
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mon, 30/04/2018 - 20:55
Samedi, la première unité nucléaire flottante (FPU) surnommée «Academik Lomonosov» a quitté la région de Baltiyskiy Zavod à Saint-Pétersbourg, remorquée par deux remorqueurs de haute mer.
Une centrale nucléaire flottante fabriquée par la Russie est partie samedi pour son premier voyage en mer. L'usine flottante, l'académicien Lomonossov fournira l'énergie pour une ville portuaire et pour les plates-formes pétrolières. pic.twitter.com/Eo0uBjVfht
- ANews (@anewscomtr) 28 avril 2018
La première centrale nucléaire flottante de Russie dispose de deux réacteurs KLT-40S qui génèrent collectivement 70 MW d'énergie. Les remorqueurs sont actuellement en cours - le remorquage du navire à travers la mer Baltique vers un port dans le nord-ouest de la Russie appelé Mourmansk, où ses réacteurs seront chargés de combustible nucléaire.
Selon l'entreprise qui a fabriqué la centrale électrique flottante Rosatom Corporation, l'adjoint au chef de la direction de la construction et de l'exploitation de la centrale nucléaire flottante Dmitriy Alekseenko a déclaré dans un communiqué de presse que le remorquage se fera en deux étapes: Pétersbourg à Mourmansk, puis de Mourmansk à Pevek.
"Lors de la première étape, le FPU sans carburant nucléaire à bord sera remorqué du territoire de Baltiyskiy Zavod au débarquement de la FSUE d'Atomflot à Mourmansk. Ensuite, à la deuxième étape (à peu près au cours de l'été 2019), il sera envoyé de Mourmansk au port de Pevek, chargé de combustible nucléaire et avec l'équipage à bord », a déclaré Alekseenko.
Après le remorquage de "Akademik Lomonosov" à Mourmansk, "du combustible nucléaire sera chargé dans le réacteur, et il sera mis en route physiquement à Mourmansk cet automne", a déclaré le communiqué de presse de Rosatom.
Rosatom a déclaré que la deuxième étape du voyage, de Mourmansk à Pevek, débutera dans la seconde moitié de 2019. Le navire devrait être remorqué "le long de la route maritime du Nord vers le site de travail, déchargé à la couchette d'amarrage, et relié à l'infrastructure côtière à Pevek ", a ajouté le communiqué de presse.
Pevek est une petite ville portuaire de l'Arctique et le centre gouvernemental du district de Chaunsky, dans la région autonome de Tchoukotka en Russie, située dans la baie de Chaunskaya.
Une fois la centrale nucléaire flottante amarrée et raccordée à l'infrastructure côtière de Pevek, les réacteurs nucléaires à bord serviront à alimenter 100 000 foyers de la région, une usine de dessalement et des infrastructures énergétiques essentielles. Rosatom a déclaré que la centrale électrique flottante "remplacera la centrale nucléaire de Bilibino et le TPP de Chaunskaya qui sont technologiquement dépassés" et deviendra l'installation nucléaire la plus septentrionale du monde.
Cependant, la centrale nucléaire flottante a été largement critiquée par les antipollutionnistes - Greenpeace l'a appelé un "Tchernobyl flottant".
RépondreSupprimer"Les réacteurs nucléaires qui se balancent autour de l'océan Arctique constitueront une menace d'une évidence choquante pour un environnement fragile, qui subit déjà une énorme pression du changement climatique", a déclaré l'expert nucléaire de Greenpeace, Jan Haverkamp, ??dans un communiqué.
«Les centrales nucléaires flottantes seront généralement utilisées à proximité des côtes et des eaux peu profondes ... contrairement aux allégations de sécurité, la coque à fond plat et le manque d'autopropulsion de la centrale nucléaire flottante la rendent particulièrement vulnérable aux tsunamis et aux cyclones.
Pendant ce temps, Rosatom déclare que le navire répond à toutes les exigences de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et "ne pose aucune menace pour l'environnement".
«Le PPPN est conçu avec la grande marge de sécurité qui dépasse toutes les menaces possibles et rend les réacteurs nucléaires invincibles pour les tsunamis et autres catastrophes naturelles. En outre, les processus nucléaires de l'unité de puissance flottante répondent à toutes les exigences de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) et ne constituent aucune menace pour l'environnement. "
Voulez-vous connaître l'une des raisons les plus probables pour lesquelles la Russie voudrait une centrale électrique flottante dans l'Arctique ?
S'adressant aux journalistes en 2017 après une conférence avec son homologue russe Sergueï Lavrov, le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a déclaré que la proposition de la Russie d'explorer conjointement la route maritime du Nord était "une excellente idée" et que "la Chine la région à développer une «route de la soie sur la glace». "
La réponse: Fournir l'énergie nécessaire à l'infrastructure construite pour la «route de la soie sur la glace».
https://www.zerohedge.com/news/2018-04-30/russia-launches-floating-chernobyl-bound-arctic
Depuis ce '11 Mars 2011' où l'accident des tuyauteries d'approvisionnement en eaux des réacteurs s'est produit à Fukushima, j'ai proposé que toutes les centrales du monde (construite sur LE MÊME MODÈLE !!) soient immergées.
SupprimerC'est-à-dire qu'elles ne sont pas placées en mer ou en fleuve mais montées sur pilotis sur un bassin d'écoulement naturel d'eau (du fleuve ou de l'océan) par gravitation. Il n'y a donc plus aucun tuyau de pompage nécessaires pour le transfert, ce qui élimine tous les risques de fractures lors d'un tremblement de terre.
La pente naturelle est la meilleure des solutions. Cette déclivité devrait être obligatoire pour toutes les centrales qui n'auraient plus de problème d'approvisionnement des réacteurs. Le remplissage des réacteurs est donc fait par pompage vertical.
Les pb maritimes sont la salinité de l'air ambiant !
Les usines chinoises emploient des «scanners de cerveau» pour arrêter les erreurs des ouvriers avant qu'elles se produisent
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 30/04/2018 - 20:10
Les outils de reconnaissance faciale "SkyNet" de la Chine peuvent comparer jusqu'à 3 milliards de visages par seconde pour aider le gouvernement à appliquer son nouveau "score de crédit social" - le dernier et le plus répandu outil de répression politique du Parti communiste.
Et maintenant, les entreprises privées sont encouragées à aller au-delà de la reconnaissance de surface et à scruter le cerveau de leurs employés en déployant de nouveaux scanners cérébraux qui surveillent les anomalies dans les émotions et les schémas de pensée.
Lorsque les scientifiques contrôlent les ondes cérébrales à l'autre extrémité, ils détectent des pics de colère, d'anxiété ou de dépression. Lorsqu'une personne est détectée, la direction demande à la travailleuse surveillée de prendre une journée de congé ou de passer à un rôle moins important, selon le South China Morning Post.
Jin Jia, professeur agrégé de sciences du cerveau et de psychologie cognitive à l'école de commerce de l'Université de Ningbo, a déclaré qu'un employé très émotif dans un poste clé pourrait affecter toute une chaîne de production, compromettant ainsi sa propre sécurité.
«Lorsque le système émet un avertissement, le gestionnaire demande au travailleur de prendre un jour de congé ou de passer à un poste moins critique, certains postes nécessitant une concentration élevée, il n'y a pas de place pour une erreur», a-t-elle déclaré.
Le SCMP a claironné les pouvoirs de renforcement des profits de la technologie, en citant des directeurs de plusieurs entreprises qui ont prétendu que la technologie leur avait économisé des centaines de millions - voire des milliards - de yuans en aidant les travailleurs à éviter les erreurs.
La technologie est également utilisée à Hangzhou à la State Power Zhejiang Electric Power, où elle a augmenté les profits de l'entreprise d'environ 2 milliards de yuans depuis son déploiement en 2014, selon Cheng Jingzhou, un responsable de la société. programme de surveillance émotionnelle.
"Il n'y a aucun doute sur son effet", a déclaré Cheng.
L'entreprise et ses quelques 40 000 employés gèrent le réseau d'alimentation et de distribution d'électricité dans les foyers et les entreprises de la province, une tâche que Cheng a déclaré pouvoir accomplir grâce à la technologie de surveillance.
Mais il a refusé d'offrir plus de détails sur le programme.
Zhao Binjian, directeur de Ningbo Shenyang Logistics, a déclaré que l'entreprise utilisait principalement ces appareils pour former de nouveaux employés. Les capteurs du cerveau ont été intégrés dans des casques de réalité virtuelle pour simuler différents scénarios dans l'environnement de travail.
"Cela a considérablement réduit le nombre d'erreurs commises par nos employés", a déclaré Zhao, en raison d'une "meilleure compréhension" entre les employés et l'entreprise.
Un chercheur a déclaré que bien que les employés se méfiaient initialement des casques de lecture d'ondes cérébrales, ils ont réussi à s'adapter à la nouvelle technologie.
"Ils pensaient que nous pouvions lire dans leurs pensées, ce qui a causé un certain malaise et une certaine résistance au début", a-t-elle dit.
RépondreSupprimer«Au bout d'un moment, ils se sont habitués à l'appareil, qui ressemblait à un casque de sécurité et qui le portaient toute la journée au travail.
Même les conducteurs des lignes ferroviaires à grande vitesse de Chine utilisent cette technologie. Si le conducteur s'assoupit, le cap déclenchera une alarme pour les réveiller.
Deayea, une entreprise de technologie à Shanghai, a déclaré que ses dispositifs de surveillance du cerveau étaient portés régulièrement par les conducteurs de train travaillant sur la ligne ferroviaire à grande vitesse Beijing-Shanghai, l'une des plus achalandées au monde.
Les capteurs, construits dans le bord du chapeau du conducteur, pourraient mesurer différents types d'activités cérébrales, y compris la fatigue et la perte d'attention avec une précision de plus de 90 pour cent, selon le site Web de l'entreprise.
Si le conducteur s'assoupissait, par exemple, le bouchon déclencherait une alarme dans la cabine pour le réveiller.
Et une compagnie aérienne chinoise est en train de peser l'introduction dans les cockpits du pilote.
Zheng Xingwu, professeur de gestion à l'Université de l'aviation civile de Chine, a déclaré que la Chine pourrait être le premier pays au monde à introduire le dispositif de surveillance du cerveau dans les cockpits.
La plupart des accidents de la route ont été causés par des facteurs humains et un pilote dans un état émotionnel perturbé pourrait mettre en danger tout un avion, at-il dit.
Mettre le cap avant le décollage donnerait plus d'informations aux compagnies aériennes pour déterminer si un pilote était apte à voler, a dit Zheng.
"L'influence du gouvernement sur les compagnies aériennes et les pilotes en Chine est probablement plus importante que dans beaucoup d'autres pays, si les autorités se décident à apporter l'appareil dans le cockpit, je ne pense pas qu'elles puissent être arrêtées".
"Cela signifie que les pilotes pourraient devoir sacrifier une partie de leur vie privée pour la sécurité du public."
Qiao Zhian, professeur de psychologie de gestion à l'Université normale de Beijing, a déclaré que si les appareils pouvaient rendre les entreprises plus compétitives, les entreprises pourraient abuser de la technologie pour contrôler les esprits et porter atteinte à la vie privée.
La technologie de lecture d'ondes cérébrales est disponible dans l'Ouest et dans une grande partie du monde en développement, a déclaré le SCMP. Mais nulle part, il n'a été utilisé davantage qu'en Chine, où il est devenu un aliment de base sur le lieu de travail. Dans l'Ouest, la technologie est généralement utilisée comme un outil d'entraînement pour les athlètes de compétition.
À un moment donné, les scanners cérébraux semblables à des casques pourraient permettre à l'utilisateur de commander des machines ou d'autres appareils en accédant à un «clavier mental», ce qui permettrait aux travailleurs de contrôler un ordinateur ou un téléphone mobile ou un autre appareil. avec leurs pensées.
La technologie a également été utilisée par les militaires chinois, mais d'une manière qui semble être profondément classée.
RépondreSupprimerEn plus du casque qui mesure les ondes cérébrales, certains employeurs utilisent également des caméras pour scanner les visages des travailleurs afin de détecter tout signe de stress émotionnel.
Les scanners de cerveau sont également utilisés en médecine en Chine, en particulier en psychiatrie, où ils sont utilisés pour surveiller les signes d'une explosion émotionnelle à venir.
Mais alors que la technologie aurait conduit à de nombreux avantages liés à la productivité, une source citée dans le SCMP a souligné la facilité avec laquelle elle pourrait être abusée pour créer une sorte de «police de la pensée» orwellienne. Et compte tenu de la fameuse protection des travailleurs en Chine (une ironie énorme compte tenu de ses racines communistes), les employés ont peu de recours pour demander des comptes aux employeurs.
"La vente de données sur Facebook est déjà assez grave et la surveillance du cerveau peut porter l'atteinte à la vie privée à un tout autre niveau."
Les législateurs devraient agir dès maintenant pour limiter le recours à la surveillance des émotions et donner aux travailleurs un plus grand pouvoir de négociation pour protéger leurs intérêts, a ajouté M. Qiao.
"L'esprit humain ne devrait pas être exploité pour le profit", a-t-il dit.
Malheureusement pour le travailleur chinois, il semble que la chance d'arrêter la propagation de la technologie les a déjà dépassés. Bientôt, les travailleurs de toutes sortes de professions seront forcés de se soumettre à des scintigraphies cérébrales dans le cadre de leur routine quotidienne. Mais d'ici là, ils auront de plus grandes préoccupations de confidentialité à s'inquiéter.
https://www.zerohedge.com/news/2018-04-30/chinese-factories-employ-brain-scanners-stop-workers-mistakes-they-happen
Le rayon du Gouverneur Moon perd le complot
RépondreSupprimerWillis Eschenbach
30 avril 2018
Ici en Californie, nous avons l'un des gouverneurs les plus trompés de l'histoire, Jerry Brown. Il a obtenu son surnom de «Gouverneur Moonbeam» à l'ancienne ... il l'a mérité honnêtement grâce à des choses comme supporter maniablement son «Bullet Train To Nowhere» de plusieurs milliards de dollars, et beaucoup plus de folie-du-jour.
Mais je n'ai jamais pensé que même le gouverneur Moonbeam pourrait être aussi détaché de la réalité. Voici ce qu'il a dit il y a deux semaines sur C-SPAN.
LA SOURCE
Donc le climat provoque maintenant le terrorisme, et c'est juste pour les débutants. La vraie nouvelle est que «trois milliards de personnes», soit près de la moitié de la population mondiale, mourront des «événements fatals de chaleur mortelle».
Je suppose que c'est par opposition à ceux qui meurent d'événements de chaleur mortels non mortels, mais quand même ... dis quoi ???
Riiight ... bienvenue en Californie, où même le gouverneur fume clairement quelque chose.
w.
https://wattsupwiththat.com/2018/04/30/governor-moonbeam-loses-the-plot/
20 ans plus tard, le graphique du «bâton de hockey» derrière les ondes de l'alarmisme climatique est toujours en litige
RépondreSupprimerAnthony Watts
30 avril 2018
Il y a 20 ans, le climatologue Michael Mann publiait son fameux graphique de «bâton de hockey» qu'il dit «action climatique galvanisée» en montrant un réchauffement planétaire sans précédent.
- voir graphique sur site -
Graphique de température d'origine du "bâton de hockey" dans Nature, 1998. L'axe des Y montre la température moyenne de l'hémisphère Nord, en degrés Celsius; la ligne zéro correspond à la moyenne de 1902-1980. Crédit: «Les modèles de température à l'échelle mondiale et le forçage climatique au cours des six derniers siècles», par Michael E. Mann et al. dans la nature, vol. 392, 23 avril 1998
Mann a profité du 20e anniversaire du graphique pour se prononcer sur les attaques «financées par l'industrie» visant à «discréditer le symbole emblématique de l'impact humain sur notre climat», ce que Mann a affirmé avoir résisté à la critique.
«Pourtant, au cours des 20 années qui ont suivi la publication originale du bâton de hockey, des études indépendantes ont réaffirmé à maintes reprises nos conclusions, notamment la conclusion clé: le réchauffement récent est sans précédent depuis au moins un millénaire», écrit Mann dans Scientific American on 20 avril.
Cependant, les deux chercheurs canadiens qui ont trouvé de graves lacunes dans les données et la méthodologie de l'étude «hockey stick» contestaient la caractérisation par Mann de l'héritage du graphique.
«Pour tous les autres, le débat portait sur les données et les méthodes statistiques», Ross McKitrick, professeur d'économie à l'Université de Guelph au Canada.
"Pour Mann, à en juger par sa diatribe, c'était une conspiration politique géante contre lui et sa croisade héroïque pour sauver la planète. Il ne reconnaîtra toujours pas les erreurs dans son travail », a déclaré McKitrick, qui a co-écrit une étude réalisée en 2003 avec le dirigeant minier Steven McIntyre, qui a remis en question le travail de Mann.
Le graphique de «bâton de hockey» de Mann, publié pour la première fois en 1998, figurait en bonne place dans le rapport sur le climat des États-Unis de 2001. Le graphique a montré un pic de la température moyenne mondiale au 20ème siècle après environ 500 ans de stabilité.
Le «bâton de hockey» est devenu viral et est devenu un cri de ralliement pour les écologistes et les politiciens qui s'opposaient aux carburants fossiles et voulaient des politiques climatiques. L'ancien vice-président Al Gore a même présenté le graphique du «bâton de hockey» dans son film «An Inconvenient Truth» de 2006. Le graphique a également fait l'objet d'intenses critiques, provoquant même une enquête des législateurs du GOP.
Les sceptiques du réchauffement climatique ont fortement critiqué le graphique du «bâton de hockey», particulièrement à la suite de l'étude de McKitrick et McIntyre en 2003. Leur étude a trouvé de sérieuses failles dans les données indirectes sur lesquelles comptait Mann pour estimer les températures remontant à des centaines d'années.
L'étude de 2003 des Canadiens a montré que la courbe du «bâton de hockey» est avant tout un artefact de mauvaise gestion des données, de données obsolètes et de calcul incorrect des composantes principales. »Lorsque les données ont été corrigées, une période chaude a été observée au 15e siècle. du 20ème siècle.
RépondreSupprimerStephen McIntyre
@ClimateAudit
24 avril
En réponse à @MikeBastasch et 2 autres
1 / il y a deux questions distinctes:
a) La méthode de reconstruction de Mann et la sélection par procuration ont-elles produit une estimation statistique valide de la température de MH avec la «compétence» et la robustesse revendiquées ?
b) la période chaude moderne est-elle plus chaude que la période chaude médiévale ?
Stephen McIntyre
@ClimateAudit
3 / dans nos articles, nous n'avons pas pris position sur la période chaude moderne par rapport à la période chaude médiévale. Nous avons signalé des erreurs grossières dans la méthodologie de Mann, des défauts dans les proxies les plus critiques, et de fausses affirmations sur les compétences et la robustesse (ce que Mann appelait son «linge sale» dans un courriel CG)
23h00 - 24 avril 2018
McIntyre et McKitrick ont également publié une étude sur le graphique de «bâton de hockey» de Mann en 2005.
Cependant, Mann a écrit que "des douzaines de groupes de scientifiques" avaient validé son étude de 1998. Mann a spécifiquement souligné un rapport de 2006 de l'Académie nationale des sciences des États-Unis (NAS) qui a «confirmé nos conclusions dans une revue indépendante exhaustive publiée en juin 2006».
Même McIntyre a déclaré que des études ultérieures ont «produit des reconstitutions de température un peu au hockey», mais ajouté, «aucune (AUCUNE) de nos critiques spécifiques sur les méthodes, les procurations et les fausses allégations de Mann n'a été réfutée».
"Le rapport du NAS ne l'a pas justifié, il a dit que ses méthodes étaient biaisées, et ses résultats dépendaient des enregistrements défectueux de pin bristlecone qui ne devraient pas être utilisés par les chercheurs", a déclaré McKitrick au Daily Caller News Foundation.
"Le panel du NAS a également mis en garde contre les conclusions sur le réchauffement de plus de 600 ans et a déclaré que les incertitudes étaient sous-estimées", a déclaré McKitrick. "Cette critique s'applique également à de nombreuses études ultérieures."
En effet, les évaluateurs du NAS 2006 étaient d'accord avec la «substance» de l'étude de Mann, mais ont noté que «les revendications pour la période antérieure couverte par l'étude, de 900 à 1600, sont moins certaines», a rapporté Nature.com à l'époque.
Le NAS a noté que les incertitudes n'étaient "pas aussi clairement communiquées qu'elles auraient pu l'être" et "confirmé certains problèmes avec les statistiques", mais ces problèmes n'ont eu qu'un impact mineur sur les conclusions générales, a rapporté Nature.com.
Cependant, les évaluateurs du RAS ont été extrêmement critiques à l'égard du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat des États-Unis, qui a mis le rapport en évidence dans son évaluation de 2001.
RépondreSupprimer"Le GIEC l'a utilisé comme élément visuel dans le rapport", a déclaré Kurt Cuffey, un commentateur du NAS à Nature.com. "Je pense que cela a envoyé un message très trompeur sur la résolution de cette partie de la recherche scientifique."
À l'époque, M. Mann s'est dit «très heureux» des résultats du NAS et, depuis, il a utilisé son expérience dans la défense du «bâton de hockey» pour se qualifier lui-même de martyr pour la lutte contre le réchauffement climatique. Mann a indiqué que les attaques contre lui ont continué malgré d'autres chercheurs validant ses résultats.
"Il n'y a pas de débat scientifique légitime sur ces points, malgré les efforts continus de certaines personnes et de certains groupes pour convaincre le public autrement", a écrit Mann en avril dans le cadre d'une loi contre ses détracteurs.
Mann demande
«Quelle noble cause que de se battre pour préserver notre planète ?
Que diriez-vous de la noble cause de ne pas induire les lecteurs en erreur avec des méthodes biaisées et de mauvaises données ? "A déclaré McKitrick.
https://wattsupwiththat.com/2018/04/30/20-years-later-the-hockey-stick-graph-behind-waves-of-climate-alarmism-is-still-in-dispute/
Ford cesse de vendre des voitures ... D'autres suivront
RépondreSupprimerPar Eric Peters
Eric Peters Autos
1er mai 2018
La société qui a commercialisé avec succès les premières voitures de masse n'en vendra bientôt plus.
Eh bien, pas beaucoup.
Mis à part la Mustang et peut-être une version de la Focus, les seules «voitures» que Ford vendra à l'avenir seront des voitures véreuses (VUS multisegments) et quelques vrais VUS - ceux basés sur des camions, comme le F- Expedition basée sur 150 et Lincoln Navigator.
Mais au revoir Taurus (encore une fois, ce n'est pas la première fois que le Taurus a été retiré de la liste) ainsi que le reste de la gamme Ford non-crossover / non-SUV.
La raison de l'abandon sur les voitures a à voir avec l'abandon des acheteurs sur les voitures. Ce ne sont pas les voitures Ford, en soi. Ce sont les voitures, en général. Toyota et Honda ont aussi du mal à vendre des voitures. Y compris deux de leurs voitures - respectivement, la berline Camry et la berline Accord - qui ont été pendant des décennies les voitures les plus vendues sur la route.
Mais arriver à être moins.
Par exemple, en mars, Honda a vendu environ 24 000 accords à l'échelle nationale. En mars dernier (2017), Honda en a vendu près de 27 000 exemplaires. Et en mars 2014, ils se sont vendus près de 34 000.
Les ventes de la Toyota Camry la plus vendue (eh bien, c'était) sont également en baisse. En mars, environ 35 000 ont été vendus. En mars 2014, près de 42 000 ont été vendus.
L'Accord et la Camry sont aussi de nouveaux modèles. Les chiffres les plus élevés énumérés ci-dessus concernaient la vente des anciens modèles. Habituellement, quand une voiture populaire est donnée une refonte majeure, les gens achètent plus d'entre eux. Le fait que les gens achètent moins est, comme on dit, pas une bonne nouvelle.
Les nouvelles sont pire chez Ford.
Eh bien, pour les voitures Ford.
Seulement environ 3100 personnes ont acheté un nouveau Taurus chaque mois pour l'année à ce jour. Les ventes de Fusion ont diminué de moitié (environ 10 000 ont été achetées en mars dernier contre près de 21 000 en mars 2014). La chute de la Fiesta aussi: un peu moins de 5 000 d'entre eux ont vendu ce mois de mars contre environ 6 500 en mars 2014.
Cela ne vaut guère la peine. C'est pourquoi aucun effort supplémentaire ne sera exercé.
Pendant ce temps, les ventes de l'Expedition - un VUS de grande taille - ont presque doublé au cours de la même période. Ce mars, Ford a trouvé des acheteurs pour environ 5 600 de l'expédition de 2018 juste à jour (mon examen de ce gros bus ballsy est ici) contre 3 700 vendus en mars 2014. Le jumeau haut de gamme de l'Expedition - le Lincoln Navigator - fait même meilleur.
Maintenant, vous savez pourquoi Ford a décidé d'arrêter de vendre des voitures et de se concentrer - ne pouvait pas résister - sur les VUS (et les VUS multisegments) à la place. Il n'est pas improbable que d'autres constructeurs automobiles suivent cette voie, peut-être même Honda et Toyota. Mais la question qui est rarement posée (emprunter une ligne de The Chimp) est. . . Pourquoi les voitures ne se vendent-elles plus bien?
Serait-ce parce qu'ils sont trop petits ?
RépondreSupprimerQuand les berlines ont gouverné les routes de l'Amérique, elles étaient grandes. Six personnes pourraient monter. Des coffres énormes, avec beaucoup de place pour tout ce que vous deviez porter. Et il y avait des wagons de gare basés sur ces voitures, qui avaient de la place pour encore plus. Le plus grand d'entre eux pourrait transporter jusqu'à neuf personnes.
Mais ils sont tous partis maintenant.
https://www.lewrockwell.com/2018/05/eric-peters/ford-stops-selling-cars-others-will-follow/
Ce qui retient l'attention sur les VUS ou 4x4 c'est la hauteur. Le conducteur (et les passagers) dominent la circulation, mais, si l'engouement se poursuit, elles vont toutes être transformées en car anglais à 1 étage !).
SupprimerEn moto trail, le haut du toit des VUS ou 4x4 m'arrive au menton ou au nez et rigole de ceux qui conduisent le cul presque au ras du sol (face aux tuyaux d'échappement !) ou en moto 3 roues pour handicapés ! Hahaha !
Les bactéries ont une « mémoire » qu'elles transmettent aux futures générations
RépondreSupprimerBrice Louvet
SciencePost
dim., 29 avr. 2018 20:16 UTC
Selon une équipe internationale de chercheurs, les bactéries ont une « mémoire » capable de transmettre les connaissances sensorielles d'une génération de cellules à l'autre, le tout sans système nerveux central ni neurones.
Tout comme le savoir est transmis de génération en génération, les bactéries ont elles aussi des « souvenirs » hérités de leurs « parents ». Et tout cela sans système nerveux central ni neurones. « C'est une énorme surprise pour nous », a déclaré Gerard Wong, principal auteur de l'étude. Cette découverte permettra de mieux comprendre les infections causées par les biofilms bactériens chez les personnes atteintes de fibrose kystique.
L'équipe a ici étudié une souche de bactéries appelée Pseudomonas aeruginosa, qui forme des biofilms dans les voies aériennes des personnes atteintes de fibrose kystique. Elle provoque des infections persistantes qui peuvent être mortelles. Les biofilms bactériens peuvent également se former sur des implants chirurgicaux, comme une hanche artificielle, provoquant ainsi l'échec de l'implant. Ces biofilms se composent ici de cellules bactériennes génétiquement identiques qui peuvent coloniser presque n'importe quelle surface, et former des communautés dans lesquelles les cellules individuelles s'organisent et coopèrent.
Pour analyser ce processus, les scientifiques ont utilisé une méthode de suivi de cellules multigénérationnelles - entre autres techniques d'analyse de données - dont une plus couramment utilisée pour mesurer la hauteur en musique. C'est cette approche novatrice qui a révélé la nouvelle découverte : les bactéries détectent et se souviennent via un motif rythmique, ce qui leur permet de s'attacher irréversiblement à une surface et de former un biofilm.
« La première étape dans la formation d'un biofilm consiste, pour les bactéries, à sentir la surface et développer la capacité de fixation », explique Calvin Lee, co-auteur de l'étude. « Pour la première fois, nous avons pu suivre le comportement de lignées entières de cellules individuelles, et nous avons découvert que les descendants pouvaient se souvenir des signaux de détection de surface de leurs ancêtres ».
Source
https://phys.org/news/2018-04-bacteria-memory-descendants.html
https://fr.sott.net/article/32327-Les-bacteries-ont-une-memoire-qu-elles-transmettent-aux-futures-generations
Retour de la neige à 1500 m en montagne
RépondreSupprimerLa Rép des Pyrénées
dim., 29 avr. 2018 12:29 UTC
Gourette, 29 avril 2018
La neige a fait son retour à Gourette.
La limite pluie neige est descendue à 1500 m ce dimanche dans les Pyrénées-Atlantiques.
- voir photos sur site -
La limite pluie neige s'est abaissée à 1500 m ce dimanche après-midi. C'est ainsi que des flocons sont tombés à Gourette.
La journée du lundi 30 avril s'annonce encore perturbée et maussade, cette fois sous forme de giboulées. Les plus forts cumuls devraient être sur le piémont et la côte basque.
-- Commentaire : Il n'y pas qu'en France qu'il neige actuellement dans l'hémisphère Nord :
États-Unis : Plus de neige et un froid record à la fin avril dans les Grands Lacs et à l'intérieur du nord-est
Des chutes de neige tardives dans de nombreuses parties de l'Islande
Voir aussi :
L'impact du « Petit âge glaciaire » fut soudain et féroce sur l'Europe --
https://fr.sott.net/article/32332-Retour-de-la-neige-a-1500-m-en-montagne
Toujours plus chaud : Il neige un 30 avril en Normandie
RépondreSupprimerCh.G.
Le Parisien
lun., 30 avr. 2018 12:01 UTC
neige, Normandie, 2018
De la neige dans un jardin de Normandie, ce lundi.
- voir photos sur site -
Ce lundi, les températures négatives ont permis à la neige de tomber par endroits dans l'Eure et en Seine-Maritime, voire de tenir au sol.
Le Nord de la France subit d'importantes précipitations. Ce lundi, elles donnent même de la neige par endroits en Normandie.
Ces averses de neige concernent notamment les départements de l'Eure et de la Seine-Maritime. Les températures sont proches de 0°, voire légèrement en-dessous. Comme le montre cette carte fournie par Météociel à 11h20, la température ressentie, qui prend en compte l'effet du vent, était négative dans la majorité du département ainsi que dans le Sud de la Seine-Maritime et l'Est de l'Oise. A Rouen, le ressenti était de -5°C.
France, meteo, avril 2018Météo France précise que cette neige ne devrait pas tenir sur les routes.
En ce moment nullnull Avec des températures très basses pour la saison (1 à 3°C à 11h), les pluies soutenues tournent localement à la #neige dans l'intérieur de la Haute-#Normandie (entre Rouen et Vernon), le sud-ouest de l'#Oise et le Vexin. pic.twitter.com/GWY1bEtf2z
- VigiMétéoFrance (@VigiMeteoFrance) April 30, 2018
Une fine couche pouvant déjà atteindre 2 cm d'épaisseur a toutefois été mesurée.
La #neige commence à tenir sur les hauteurs de l'#Eure - #Normandie ! Photo intagram Léa Sanchez https://t.co/SSCwFlBKw3pic.twitter.com/AH2qHeQFSy
- Météo Villes (@Meteovilles) April 30, 2018
Le 30 avril et il neige !!!??? Au secours il est où le printemps #normandie #neige
BFMTV rappelle que dans les zones concernées par ces averses neigeuses on attend... près de 20°C le week-end prochain.
Normandie, neige
-- Commentaire : Il n'y pas qu'en France qu'il neige actuellement dans l'hémisphère Nord :
États-Unis : Plus de neige et un froid record à la fin avril dans les Grands Lacs et à l'intérieur du nord-est
Des chutes de neige tardives dans de nombreuses parties de l'Islande
Voir aussi :
L'impact du « Petit âge glaciaire » fut soudain et féroce sur l'Europe --
https://fr.sott.net/article/32331-Toujours-plus-chaud-Il-neige-un-30-avril-en-Normandie
Le changement climatique est le quart de la raison d'être de l'UE (25 % sauvage des dépenses totales ?)
RépondreSupprimerMay 1st, 2018
Il y a 741 millions de personnes dans l'UE. Pendant des années, leur gouvernement supranational a dépensé un cinquième de tout leur budget (!) Pour tenter de changer la météo. Comme cela n'a pas fonctionné, ils vont dépenser plus. Ce qui était de 20% passe à 25 %.
Cela en dit long sur le fait que l'UE n'a rien de plus important à faire que de brandir des bâtons lors de futures tempêtes et promettre de freiner la tendance avec des sèche-cheveux à faible puissance.
Pas d'autres problèmes urgents ?
L'exécutif européen est prêt à proposer de consacrer 25 % des fonds disponibles dans le prochain budget pluriannuel de l'UE aux activités liées à la protection du climat, en s'assurant que les nouveaux défis économiques et politiques n'affaiblissent pas la volonté de l'UE de lutter contre la pollution.
Alors que les priorités politiques de l'Europe changent, l'UE veut continuer à diriger les efforts mondiaux pour réduire les gaz à effet de serre, que les scientifiques attribuent au réchauffement de la planète et chercher à réduire la dépendance aux combustibles fossiles. Le bloc vise à réduire les émissions de carbone d'au moins 40 % d'ici 2030 par rapport aux niveaux de 1990 et à faire passer la part des énergies renouvelables à au moins 27 % de la consommation d'énergie.
- Bloomberg
Dans le passé, ce genre de total ridicule est apparu comme un simple hic de comptabilité - où l'argent qui allait être dépensé pour quelque chose est simplement rebaptisé comme «action climatique». Mais en 2013, cela équivalait encore à 180 milliards d'euros sur les émissions climatiques d'ici à 2020. Même si la plupart d'entre elles sont «rebaptisées», le simple fil d'Ariane qu'elles contiennent nourrirait dix mille militants.
Un milliard ici, un milliard là-bas - bientôt nous parlerons d'argent pour la confiture pour le Green Blob.
La seule vraie surprise est que l'UE pense que cela vaut la peine de se vanter. Les historiens auront une journée sur le terrain avec cela.
Pendant ce temps, l'UE commence à se préparer au Brexit et les sorciers sont préoccupés par le fait que sans le Royaume-Uni, la Pologne et les autres pays consommateurs de charbon auront une influence plus sceptique. Allez en Pologne. :-)
Le plan le plus prodigue d'E.U.,
Est de dépenser chaque centime qu'il peut,
Pas sur le bien-être social,
Ou plus de soins médicaux,
Mais essayer de changer le climat par l'homme.
-Raira
http://joannenova.com.au/2018/05/climate-change-is-one-quarter-of-the-eus-reason-for-being-25-of-total-spending/
Ce sont des idiots psychopathes qui dirigent à Bruxelles et pensent arriver à boucher tous les trous sous-marins et sous-océaniques d'eaux chaudes magmatique !
Supprimerhttps://huemaurice5.blogspot.fr/2017/12/est-ce-que-40-000-volcans-sont.html
https://huemaurice5.blogspot.fr/2015/03/les-volcans-sous-marins-finalement-pris.html
https://huemaurice5.blogspot.fr/2018/01/la-terre-est-une-planete-froide.html
Des citations qui en disent long
RépondreSupprimerlundi 30 avril 2018
«Nous arriverons peut-être au point où la seule façon de sauver le monde sera de faire s'effondrer la civilisation industrielle. N'est-ce pas notre responsabilité de le faire».
Maurice Strong [décédé en 2015], un des membres fondateurs du Groupe intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), secrétaire général de la Conférence des Nations Unies sur l'environnement, administrateur et membre du comité exécutif de la Fondation Rockefeller...
«Nous devons surmonter le problème du réchauffement climatique. Même si la théorie du réchauffement climatique est fausse, nous ferons ce qu'il faut en termes de politique économique et de politique environnementale».
Timothy Wirth, sous-secrétaire d'État américain pour les questions mondiales, un proche des Clinton et de Al Gore. Wirth dirige maintenant la Fondation des Nations Unies qui milite pour des centaines de milliards de dollars américains pour aider les pays sous-développés à lutter contre les changements climatiques...
«Un traité [se référant au protocole de Kyoto] sur le réchauffement climatique doit être mis en œuvre même s'il n'y a aucune preuve scientifique pour étayer l'effet de serre».
Richard Benedick, sous-secrétaire d'État adjoint qui dirigeait alors les divisions politiques et environnementales du département d'Etat américain. Il est aujourd'hui président du Conseil national pour la science et l'environnement, une organisation regroupant plus de 500 universités, sociétés scientifiques, industries et groupes civiques qui se consacrent à l'amélioration des bases scientifiques pour les décisions environnementales...
Source:
https://www.forbes.com/sites/larrybell/2013/01/22/the-u-n-s-global-warming-war-on-capitalism-an-important-history-lesson-2/#55f5ad8c29be
http://conscience-du-peuple.blogspot.fr/2018/04/des-citations-qui-en-disent-long-sur.html
Observations biaisées par un raisonnement induit par la théorie du réchauffement climatique d'origine anthropique
RépondreSupprimerlundi 30 avril 2018
- voir graphiques sur site -
Voici le graphique de la NASA concernant la température mondiale de 1880 à 2000 avec la courbe des niveaux de gaz carbonique juste au dessus. Si on regarde rapidement, on accepte facilement de voir que l'augmentation du gaz carbonique a un lien direct sur le réchauffement climatique: on constate effectivement que les courbes de température et de gaz carbonique tendent parallèlement vers le haut.
- voir graphiques sur site -
Mais si on s'attarde plus attentivement à ce graphique, on voit qu'il y a une baisse de la température entre 1940 et 1970 alors que la courbe du niveau de gaz carbonique continue de monter. Donc, la température s'est refroidie entre 1940 et 1970, mais les taux de gaz carbonique ont continué de s'élever. Il n'y a donc pas de corrélation entre l'augmentation de gaz carbonique et le réchauffement climatique puisque pendant que la température globale se refroidit le gaz carbonique continue de s'élever dans l'atmosphère.
- voir graphiques sur site -
https://www.giss.nasa.gov/
http://conscience-du-peuple.blogspot.fr/2018/04/observations-biaisees-par-un.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2013/05/vive-le-gaz-carbonique.html
Supprimerhttp://huemaurice5.blogspot.fr/2013/11/effet-de-serre-gaz-carbonique-et-oxyde.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2013/10/le-changement-climatique-est-dominee.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/02/trou-dozone-cfc-et-propagande-climatique.html
(...) le gaz carbonique continue de s'élever dans l'atmosphère.(...)
SupprimerLe gaz carbonique NE S'ÉLÈVE PAS ni en mangeant beaucoup de soupe ni en s'instructionnant !
Le gaz carbonique est le plus lourd de tous les gaz et se situe au ras du sol.
Le dioxyde de carbone, aussi appelé gaz carbonique ou anhydride carbonique, ou CO² !
L'air pèse: 1,2 gr/litre
Gazcarbonique: 1,8 gr/l.
Oxygène (O2): 1,42 gr/l.
On peut dissoudre 1,7gr de gaz carbonique dans un litre d'eau (à 20 degrés). Ce n'est pas beaucoup, par contre en volume ça fait quand même 0.88 litre de gaz carbonique.