La Caroline du Sud bientôt séparée des États-Unis ?
08:09 08.04.2018
Les élus républicains de la Caroline du Sud proposent un projet de loi qui permettrait la sécession de l’État dans le cas où le gouvernement fédéral violerait le deuxième amendement de la Constitution.
Les élus républicains de la Caroline du Sud ont présenté un projet de loi qui donnerait à la capitale de l'État la possibilité de se séparer des États-Unis si le gouvernement fédéral violait le deuxième amendement de la Constitution et commençait à saisir les armes légalement achetées.
Le projet de loi, qui a été soumis jeudi au Comité judiciaire de l'État, n'a pas beaucoup de chances d'être ratifié, mais sa présentation envoie un message clair et puissant au gouvernement fédéral, alors que les États-Unis assistent à un débat intense sur le contrôle des armes à feu.
«L'assemblée générale se réunirait pour débattre d'une sécession des États-Unis en raison de la violation inconstitutionnelle du deuxième amendement de la Constitution par le gouvernement fédéral si ce dernier confisquait les armes à feu achetées légalement dans cet État», ont déclaré les députés dans un communiqué, cité par le journal The Independent.
La Caroline du Sud a été le premier État à se séparer de l'Union en 1860 au début de la guerre civile.
La toute récente tuerie dans un lycée de Floride a relancé une fois de plus le débat sur la réglementation des armes à feu aux États-Unis. S'il n'y a pas de statistiques officielles concernant les ventes d'armes dans le pays, selon les estimations citées par le site Vox, on en dénombrait 357 millions en 2013, soit plus que le nombre d'habitants.
Le seul pays qui approche les États-Unis en la matière, loin, loin derrière est le Yémen. On y compte 54,8 armes à feu pour 100 habitants. Qui plus est, le nombre d'armes circulant sur le territoire américain augmente trois fois plus rapidement que la population du pays, affirme Vox. À titre de comparaison, 15.590 personnes ont été tuées par balle en 2017, un chiffre qui ne cesse d'augmenter depuis quatre ans.
Effectivement, les États-Unis ne seraient plus 'les États-Unis' s'ils ne pouvaient se défendre eux-mêmes en application de la Constitution de la Confédération républicaine (et non de la Confédération Démocratique comme la Suisse qui est la seule au monde où c'est le Peuple qui dirige). Mais, le terme scandaleux de 'république' (dictature) sonne déjà mal à l'oreille, et, la Caroline du Sud pourrait avoir du mal à se faire entendre !...
SANTÉ - RÔLE CLÉ DES INFIRMIÈRES DANS L'ACCÈS AUX SOINS
A l'occasion de la Journée mondiale de la santé, le Conseil international des infirmières rappelle le rôle important de ces professionnelles dans la fourniture de soins au plus grand nombre. Selon le CII, il faudrait neuf millions d'infirmières et d'infirmiers de plus d'ici à 2030 pour répondre aux besoins croissants au niveau mondial.
07.04.2018
Les infirmières sont souvent les seules professionnelles de santé disponibles dans les régions isolées, souligne le Conseil international des infirmières (CII) dans un communiqué. Elles sont donc en première ligne pour faire avancer la couverture sanitaire universelle (CSU), à laquelle est consacrée la Journée mondiale de la santé cette année.
Les Etats membres des Nations Unies se sont engagés à faire tout le possible pour réaliser la couverture sanitaire universelle d'ici 2030 dans le cadre des Objectifs de développement durable, rappelle l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) dans un communiqué.
Garantir l'accès
Concrètement, il s'agit de garantir que chaque citoyen a accès aux soins indépendamment de sa capacité de payer. Chaque année, les dépenses de santé poussent 100 millions de personnes dans la pauvreté extrême, souligne l'OFSP.
De plus, 400 millions de personnes n'ont pas accès aux services de santé de base et 40% de la population mondiale vit sans couverture de santé, selon des chiffres de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et de la Banque mondiale, cités par le Conseil international des infirmières.
Ce dernier estime qu'il faudra neuf millions d'infirmières et d'infirmiers de plus d'ici à 2030 pour répondre aux besoins croissants au niveau mondial.
De son côté, l'OFSP rappelle que la Suisse s'engage au niveau international pour faire progresser la couverture sanitaire universelle. Dans le cadre de projets de coopération, elle aide notamment les pays partenaires à renforcer leur système de santé. (ats/nxp)
LA VRAIE FAUSSE LISTE D'EXILÉS FISCAUX POLITIQUES DE PIERRE CONDAMIN GERBIER
par JEAN-BAPTISTE GIRAUD 22/08/2013 Premium avec Multipass
15 noms de politiques français coupables d'évasion fiscale.
On se pince à lire l'article de Mediapart paru mercredi 21 août tentant désespérément de se justifier en expliquant que Pierre Condamin Gerbier n'avait jamais promis de « liste » de 15 hommes politiques français accusés par lui de posséder des avoirs en Suisse, et de facto, de se rendre coupables d'évasion fiscale.
Dans un long papier, Mediapart, à l'origine de l'affaire, se justifie « Car de « liste », Pierre Condamin-Gerbier n'a en vérité jamais parlé ! Voici ce qu'il déclarait le 3 juillet devant les députés de la commission Cahuzac : « En vingt ans d'expérience, j'ai été le témoin direct ou indirect d'un certain nombre de dossiers. J'aime peu la terminologie de liste car s'il s'agit de sortir une feuille A4 avec quinze noms dessus, cela ne vaut que le papier sur lequel c'est imprimé ». Cette "liste" n'est rien d'autre qu'une bulle médiatique, qui explose aujourd'hui à la face de ceux qui l'ont créée. »
Une liste ? Quelle liste ?
Ah bon ? Ce seraient donc les médias qui seraient coupables d'avoir imaginé une liste qui n'existe pas et dont Pierre Condamin Gerbier ne se serait jamais vanté d'être en possession ? Pourtant à reprendre ses interviews dans la presse, avant d'être incarcéré à son retour en Suisse mi-août, « pour avoir trahi le secret bancaire suisse » dixit Médiapart, mais bien en fait pour vol de documents et divulgation d'informations confidentielles chez ses anciens employeurs, « PCG » ne chipotait pas avec les mots.
Dans une interview au JDD, le 16 juin dernier, Pierre Condamin Gerbier semblait bien la posséder, cette liste : « Je peux simplement dire aujourd'hui qu'il y a dans cette liste de très grands noms de la politique française, des gens que l'on est habitué à voir sur les écrans de télévision. Il s'agit de personnages beaucoup plus familiers du grand public que ne l'était Jérôme Cahuzac? J'ai été entendu une fois dans le dossier Cahuzac, où j'ai expliqué des pratiques en général. Pour l'instant, je n'ai pas encore décidé de la façon dont je rendrai publique cette liste. J'attends que des conditions soient réunies, notamment en termes de protection et de sécurité pour ma famille. Je n'ai rien à gagner dans cette histoire. Au contraire.»
Même chose à la Tribune de Genève, quelques jours plus tard, le 22 juin « « Quand on avance des choses, il faut des éléments de preuve. Il y a une telle sophistication du fait de la multiplication de structures et des mouvements financiers que donner des bribes ne sert à rien. Sur les 15 noms qui figurent sur la liste, il y en a pour qui il y a déjà suffisamment d'éléments exploitables. Pour d'autres, j'attends encore des choses ».
Le lendemain, le 23 juin, au « Matin Dimanche », PCG en rajoutait une couche : « Ma liste d'élus français, je la dévoilerai lorsque je me sentirai en sécurité et que les filières judiciaires par lesquelles je les ferai passer seront sûres. (?) Je n'ai jamais croisé ni eu écho d'un compte de Jérôme Cahuzac chez Reyl. La liste de noms que j'espère pouvoir produire devant la justice française n'a aucun lien avec ce cas particulier. Il a à voir avec un système d'évasion fiscale qu'on me demande de décrire. Et des noms, en vingt ans de carrière, je peux en révéler, preuves à l'appui. » Le Matin Dimanche, 23/06/2013
Aujourd'hui, son avocat s'agite dans la presse, expliquant dans une longue interview à l'Agefi suisse (après avoir accusé l'Agefi d'être lié à son ancien employeur, la banque Reyl, car elle serait un gros annonceur du journal) que « cette liste n'a jamais existé » parlant de « moyen de pression maladroit » et relatant justement des pressions dont il aurait fait l'objet à l'époque. Curieux ! Faire état de l'existence d'une « liste » pour faire taire les pressions est assez cocasse. On dirait plutôt que la liste a fait « Pschitt » justement parce que des pressions se sont manifestées mais après l'annonce de l'existence d'une telle liste ?
Car il ne fait aucun doute que parmi les hommes politiques, les capitaines d'industrie et même les « simples citoyens » français pourvus d'un minimum de patrimoine et d'une once de jugeote, plus d'un se rend coupable d'évasion fiscale en le sachant, et en ayant mauvaise conscience, mais probablement bien plus souvent, en se considérant dans son bon droit.
Après, tout est une question de proportion : Les 650 000 euros (connus) de Cahuzac représentent un 3 pièces à Paris dans le 18 e arrondissement. Mais si certains politiques français jouent double jeu, et planquent des millions en Suisse ou ailleurs en ayant bonne conscience, c'est un autre problème. N'est ce pas Pierre Moscovici qui parlait mardi 20 août, sur Europe 1, de « matraquage fiscal », le reconnaissant formellement et annonçant son « ralentissement » en 2014 et l'inversion de la tendance en 2015 ? Il n'y aurait pas d'évasion fiscale sans matraquage du même nom. CQFD.
COMMENT ACCOMPAGNER ET AMÉLIORER LA CYBERSÉCURITÉ DES PME ?
par JEAN-MICHEL BARBIER 02/04/2018 Premium avec Multipass
92 % des entreprises françaises déclarent avoir subi une ou plusieurs cyberattaques en 2017.
Les paysages informatique et économique ont été marqués par de nombreuses attaques de ramsomwares ces derniers mois : Wannacry et NotPetya, pour ne citer qu’eux, ont touché des milliers d’entreprises à travers le monde.
En France, 92% des entreprises déclarent avoir subi une ou plusieurs attaques en 2017, contre 80% l’année précédente. Mais si les grands groupes et les TPE-PME sont confrontés aux mêmes menaces, les dégâts engendrés par une cyberattaque restent plus destructeurs pour ces dernières. Les PME représentent 50 000 victimes en France chaque année et près d’un tiers d’entre elles font état d’un impact financier contre seulement 7,2 % des grandes entreprises. En effet, sur le terrain de la cybersécurité, les entreprises ne se battent pas toutes avec les mêmes armes. Plus vulnérables et moins préparées aux attaques, les PME constituent une cible de choix pour les cybercriminels. Comment expliquer ce décalage entre les PME et les grands groupes ? Quelles solutions mettre en place pour aider les PME à mieux appréhender les failles de sécurité ?
Le coût conséquent des solutions de sécurité
Actuellement, de profondes disparités entre les entreprises marquent le paysage de la cybersécurité et les raisons sont, avant tout, d’ordre budgétaire. En effet, les plus petites structures n’ont généralement pas capacité à dégager des ressources financières dédiées pour adresser les problématiques de protection, généralement par manque de moyen ou à cause d’une mauvaise évaluation des risques. Or, les solutions existantes contre les cybermenaces représentent un coût important. A titre d’exemple, un grand groupe qui souhaite évaluer son niveau de sécurité s’oriente généralement vers un cabinet de conseil, prend le temps de réaliser un audit, attend les résultats et choisit les mesures adéquates (et souvent onéreuses) pour se mettre à niveau. Une démarche que peu de petites entreprises peuvent mettre en place.
Etant moins flexibles en termes de coûts et de temps que les grandes entreprises, les PME ont une vision beaucoup plus pragmatique de leur activité et se concentrent d’abord sur leurs tâches opérationnelles et la satisfaction de leurs clients. La sécurité de leur infrastructure informatique et la protection de leurs données n’intervient qu’en second temps, car ces mesures ne sont pas primordiales au développement immédiat de l’entreprise.
Le manque de compréhension des menaces
L’autre facteur qui explique le retard des PME est leur manque de maturité et de connaissances sur le sujet de la cybersécurité. Les petites entreprises semblent avoir bien du mal à se protéger correctement contre ces risques, avec 29 % des entrepreneurs en TPE-PME qui déclarent n’avoir rien changé à leur politique de sécurité à la suite d’une attaque.
En effet, à l’inverse des grands groupes, les PME ont rarement de postes et les ressources dédiés à la gestion de leur parc informatique et de leur sécurité. Responsable informatique, Chief Data Officer etc, ne font pas partie de leur paysage et cela ne facilite pas leur travail de compréhension des menaces.
En conséquence, 23 % d’entre elles se retrouvent avec une équipe de sécurité occupée par des tâches de maintenances et de gestion des outils de sécurité, plutôt qu’à effectuer des analyses révélatrices de l’état de santé de leurs infrastructures. 53% des équipes de cybersécurité existantes perdent un temps considérable à s’occuper d’opérations de routines (incident, mises à jour, etc.). L’enjeu actuel est donc double : aider les entreprises à évaluer leur niveau de sécurité et informer correctement les équipes opérationnelles sur la manière dont elles peuvent se protéger correctement des menaces. Car si les lois européennes sur la protection des données comme la RGPD par exemple, imposent aux entreprises de savoir exactement où se trouvent leurs données sensibles et comment elles sont protégées, la régulation ne donne cependant aucune piste sur la manière dont les entreprises peuvent financer leur cybersécurité par exemple ou savoir si elles sont suffisamment protégées. Difficile donc pour des PME de prévenir les autorités en cas de failles si elles ne disposent d’une visibilité précise de leur niveau de protection…
La solution : sensibiliser tout en s’adaptant aux contraintes des petites entreprises
En réponse à cette problématique, l’Anssi a initié des démarches pour démocratiser l’information aux PME sur tout le territoire, avec la mise en place entre autres, d’un site Internet complet sur la question : cybermalveillance.gouv.fr. Notre ministre de l’Intérieur a également insisté sur la nécessité de développer la lutte à l'échelle européenne afin de construire la résilience des PME dans les années à venir. ?
Aujourd’hui, il est urgent de poursuivre ce travail de sensibilisation, en apportant des solutions clés en main pour équiper les PME avec les bases de la sécurité. Le but n’est pas de couvrir toutes les fonctions mais d’instaurer une « première brique » de sécurité pour évoluer petit à petit vers une protection plus poussée, le temps d’identifier les besoins propres à l’entreprise et de s’adapter à son budget. Au fur et à mesure que l’entreprise se développe et gagne en maturité, des solutions de sécurité supplémentaires peuvent être ajoutées. Des tests de vulnérabilités peu couteux peuvent par exemple être initiés et permettre ainsi un suivi régulier de la surface d’attaque.
Externaliser le travail de protection auprès de prestataires comme les opérateurs de télécommunication est une option à envisager pour filtrer les menaces en contrôlant et en décontaminant le flux de données entrant sur le réseau de l’entreprise par exemple. Ce type de solution pensée pour l’entreprise dans son ensemble est à même de sécuriser les échanges que peuvent avoir les utilisateurs sur Internet ou avec leurs collaborateurs au sein de l’entreprise.
Apporter des protections basiques de sécurité aux PME tout en les éduquant, est une première étape vers la réduction des dégâts causés par les cyberattaques qui menacent profondément notre économie. Car au-delà de l’impact sur le chiffre d’affaires, c’est l’activité même de l’entreprise et sa chaîne de production qui sont en jeu, sans oublier bien sûr les préjudices humains (division des salariés, incertitude du dirigeant, faillite, etc.), les conséquences sur l’image de l’entreprise et sur l’aspect légal, à l’approche de la date butoir du devoir de conformité au RGPD, le 25 mai 2018.
Posséder un véhicule coûtait en moyenne 6 063 euros l'an dernier.
par OLIVIER SANCERRE 02/04/2018
La voiture individuelle a-t-elle encore un avenir ? Au vu des frais engrangés pour posséder un véhicule, il est permis de se poser la question. L'étude annuelle de l'Automobile club association (ACA) a calculé un coût vertigineux de possession d'une voiture.
En 2017, révèle cette étude annuelle publiée par Le Parisien, avoir une voiture a coûté 6 063 euros. Une somme conséquente, qui couvre divers frais : achat du véhicule, assurance, entretien, réparations, frais de stationnement, péages… et bien sûr le carburant dont les prix augmentent en même temps que la fiscalité. Avec un gazole qui a augmenté de 11,2% à la pompe, ou encore le sans plomb 95 qui dont le prix a progressé de 5,6%, l'essence est tout simplement le poste qui pèse le plus dans le budget de l'automobiliste.
Frais de carburant en hausse
Et cela ne va pas aller en s'arrangeant, en particulier pour les conducteurs de voitures diesel. Le gouvernement a la volonté d'aligner la fiscalité qui frappe le gazole (actuellement, elle reste très favorable) avec celle de l'essence. À terme, l'avantage compétitif du gazole va devenir nul. Les frais d'entretien ont également augmenté l'an dernier, de 3 % à 3,9 % en fonction des marques. Les primes d'assurance présentent elles une facture plus élevée de 1,6%. Et puis le coût d'une voiture neuve ne cesse d'augmenter ; en fait, il n'a jamais été aussi dispendieux d'acheter une voiture neuve, avec un prix en moyenne de 25 828 euros.
De plus en plus cher de rouler
La hausse globale des coûts d'une voiture a été de 3 à 4,6% par rapport à 2016, selon la motorisation du véhicule. Posséder une voiture n'a jamais été autant pesé sur le portefeuille de l'automobiliste, qui peut se demander s'il est bien opportun d'avoir un tel gouffre au garage ! Car rouler en voiture est de plus en plus difficile, entre les mesures anti-pollution et les villes qui font la chasse aux automobiles dans leurs centres.
LOCATION DE BATEAU : UN CONCEPT INNOVANT ET PRATIQUE !
par PARTENAIRE 06/04/2018 Premium avec Multipass
Optez pour la location de bateau : la solution idéale pour gagner de l'argent tout en faisant naviguer son bateau ! On vous explique en détails ici*.
Comment mettre son bateau en location ?
La location de bateau est un bon moyen de rentabiliser son bateau. Grâce à ce concept, vous en profitez également pour le faire naviguer au lieu de le laisser à quai, ce qui idéal pour entretenir son bateau.
Vous êtes l'heureux propriétaire d'un voilier, catamaran, péniche, ou encore jet-ski et vous souhaitez faire profiter d'autres passionnés de bateaux de votre bijou nautique ? Dans ce cas, nous vous expliquons en détails comment louer son bateau facilement.
Quelles sont les démarches pour louer son bateau ?
Pour commencer, il s'agit de vous créer un compte sur un site de location de bateau. Sur click&boat.com, créer un compte reste totalement gratuit. Dans un premier temps, il s’agit de remplir votre profil ainsi que votre CV nautique.
Vous devrez ensuite choisir le type de bateau et remplir un formulaire adapté. Vous pourrez ensuite partager votre annonce avec le reste de la communauté. Il est recommandé de la mettre en valeur avec une description détaillée ainsi que des photos.
Vous recevrez ensuite des messages et des demandes de réservation par les membres intéressés par votre bateau. Vous pouvez échanger des messages avec le locataire avant que celui-ci n'effectue sa demande de réservation, ce qui vous permet de vous mettre d'accord sur les différents détails de la réservation, les horaires, les conditions etc... Vous pourrez également en profiter pour consulter le CV nautique du locataire et de lui demander plus de détails si besoin.
Une fois la réservation acceptée et validée de votre côté, vous pourrez obtenir toutes les coordonnées de votre locataire, et enfin le rencontrer pour les détails pratiques de la location comme la signature du contrat de location, l'état des lieux, et la remise des clés.
Enfin, une fois la location effectuée, vous pourrez évaluer vos locataires, ce qui permettra aux prochains propriétaires de choisir plus facilement leurs locataires.
Louer son bateau via un site de location de bateau entre particuliers
Cette solution est extrêmement pratique et rapide : Click&boat est la plateforme leader en France qui permet de mettre en relation chaque propriétaire de bateau avec son locataire.
Les atouts de cette solution sont nombreux :
- Vous pouvez louer librement votre bateau, sans contrainte ni engagement.
- Votre annonce gagnera en visibilité sur un site de location de bateau entre particuliers, en fonction de votre profil et des avis que vous recevez. Le site propose d’ailleurs une mise en avant des propriétaires de la semaine.
- Les frais liés à l'entretien et les réparations du bateau sont à la charge du propriétaire. En contrepartie, vous serez mieux accompagnés sur une plateforme dédiée aux particuliers : les frais de location sont réglés en ligne par le locataire, ce qui assure des garanties pour le propriétaire.
Pour en savoir plus sur la location de bateau, cliquez ici.
Louer son bateau via une société de gestion-location
A l'heure des services de location entre particuliers, des sociétés facilitent le travail des particuliers en leur proposant de louer à leur place leur bien, c’est le cas de services de conciergerie par exemple, ou dans des sociétés de gestion-location de bateau.
Les avantages de cette solution :
- Le propriétaire gagne de l'argent grâce à la location du bateau : c'est lui qui fixe les prix, sans avoir d'intermédiaires ni de commission à verser.
- C'est le propriétaire qui gère son calendrier : quand il souhaite louer son bateau ou non.
- Pour le locataire, c'est au loueur, donc à la société de gestion de s'occuper de la commercialisation du bateau, de l'état des lieux de départ et de retour. Un avantage pour le propriétaire si celui n’est pas disponible, mais qui a un coût.
- L'entretien annuel du bateau est parfois pris en charge par la société de gestion même si les frais généraux restent à la charge du propriétaire.
* Primo votre 'bateau' est 'hors'd'usage', 'bon-la-casse' et vous payez l'anneau ! Solution: Transportez des immigrés ! Houais ! Plus t'en met (des cons) plus t'en reçois (du fric) et, de plus, pour concurrencer les drones, tu peux charger du 'h' et des flingues pour le prix d'un rapatrié !! Pas belle la mort ?
Il n’était plus possible ni désirable de passer en revue les articles et émissions de radio/TV qui chantent la messe de la causa climatica et de la culpabilité que homo sapiens porterait à précipiter un dérèglement d’un système qui n’a jamais été régulé. Pourtant il y a a des perles qui méritent d’être relevées.
J’ai laissé ce billet en premier de la liste et l’ai étendu au fur et à mesure que, pas trop fatigué et dégoûté, je trouvais l’un ou l’autre de ces pets pourris.
La conférence COP21 de Paris maintenant terminée, ce billet réintègre l’ordre chronologique.
Voici les brèves récoltées:
Last but not least, 12 décembre 2015
Un document de 32 pages contenant les décisions de la conférence COP21 de Paris ainsi que le texte de ce qui s’appellera l’Accord de Paris (Paris Agreement) a été adopté hier. Ce n’est pas une des lectures les plus faciles.
Il y trois nouvelles, une horrible, une très mauvaise et une moins mauvaise: l’horrible: une sorte de début de gouvernance mondiale est mise en place pour donner ses instructions aux pays parties prenantes.
la très mauvaise: plus aucune restriction n’est donnée au dogme du changement climatique anthropique, causé par les émissions de gaz dits à effet de serre.
la moins mauvaise: à part une forme coercitive liée à la transparence des buts et des progrès des pays signataires, il n’y a pas de mécanisme contraignant.
Tout ça est vite dit ici. Un article plus détaillé suivra. Samedi 12 décembre
La citation la plus intelligente que j’ai pu lire dans mon quotidien: Hätte, wäre, wenn… Das ist die Zukunft. Wer kennt die schon ? Son auteur n’est hélas pas un délégué de la Suisse à la COP21. Qui est-ce ? Breel Embolo, footballeur bâlois , 18 ans.
Vendredi 11 décembre 2015
Ça y est, heilige Doris est à Paris pour négocier un accord sur le climat. Rassurons-nous, celui-ci n’a pas besoin de tant de sollicitude. Mais comment va-t-elle faire pour décider aujourd’hui, au sein du Conseil fédéral renouvelé d’un membre, de la répartition des départements, entre autre le mini-vatican écolo-énergétique qu’elle dirige ? Ne serait-ce pas là une négociation plus utile que les futilités climatiques, ruineuses et injustes ?
N’oublions pas: la COP21 est une conférence autour de gros sous. Le climat ? on doit s’en moquer car il ne se laisse de toute manière pas réguler. Alors, prix de l’indulgence moderne, la Suisse devrait s’engager pour 300 millions de francs par an dans un Green Climate Fund, fromage appétissant qui va nourrir bon nombre de consultants du Nord qui prodiguerons leurs conseils aux états, la plupart dysfonctionnels, du Sud. Le Parlement et le peuple ont-ils approuvé cette ligne de budget ? Vient-elle au détriment des aides au développement qu’organise la DDC (Direction du développement et de la coopération) ?
Il parait qu’une première version d’un accord à la COP21 est rédigée. Je m’abstiens d’en pouiller les détails car ça va encore changer.
Mais on nous annonce que la fameuse limite du réchauffement à 2 °C ne serait pas atteinte et que les « promesses » des gouvernements feraient que ça chaufferait de 3 °C. Et en même temps on dit avec fierté que cette limite de 2 °C devra être rabaissée à 1,5 °C pour que l’urgence et la gravité de la situation soient bien présentes aux esprits.
Cette limite de 2 °C, ou quelque autre chiffre, est de l’enfumage politique. Personne n’est capable de l’établir sauf des mains levées dans un vote, dans une assemblée non qualifiée pour le faire. La pythie de Delphes ne renierait pas tel oracle: impossible à justifier et impossible à vérifier. Et puis fixer un chiffre plus sévère avec une décimale après la virgule ça fait plus scientifique, non ?
À -10 °C on sera sûr de se geler les burnes.
Dimanche 6 décembre 2015
Dans la presse du dimanche, toujours avide de scoop:
l’OFEN (Office fédéral de l’énergie) doit pour la première fois de son histoire réunir un état-major de crise car l’approvisionnement électrique de la Suisse ne serait pas assuré cet hiver. Les raisons: faibles pluies en été et en automne donc faibles débit des rivières et réserves insuffisantes dans les lacs de retenue, et aussi entretien prolongé à la centrale nucléaire de Beznau. On apprend que les capacités de transformation ne sont pas suffisantes pour importer et injecter dans le réseau du courant qui serait sinon abondant. Tiens, tiens ! L’autonomie énergétique du pays pourrait ne pas fonctionner, alors même qu’au cours de l’année la Suisse est pourtant exportatrice nette. Le réseau n’est pas adapté à une telle situation, importante mais rare, c’est pas smart ça. Que se passerait-il avec un 30-40 % de sources intermittentes, tel que le prévoit la stratégie énergétique du Conseil fédéral et qui, à croire les mêmes prêtres-fonctionnaires de l’OFEN, devrait ne présenter aucun problème ?
Samedi 5 décembre 2015
Rétropédalage des climato-alarmistes: eux-même disent maintenant que si l’accord à trouver à la COP21 n’était pas contraignent ça ne serait pas si grave car la « prise de conscience » aura été universelle. Dame Nature dit un grand merci à tous ces gens qui lui montrent autant de sollicitude. Pourtant il est plus probable qu’ils pressentent le vent du boulet de canon ; on verra. Ma conscience n’étant ni prise en otage ni universelle je m’étonne toujours et encore de ce rouleau compresseur qui s’est mis en marche. Il ne m’a pas encore écrasé mais il faut que je me méfie.
Le 4 décembre 2015
Hier Mme la Conseillère fédérale Leuthard s’est fait retoquer sa proposition de loi sur l’environnement par le Conseil des États. Elle voulait instaurer encore plus de dirigisme afin de passer d’une économie du tout jetable (comme si c’était encore le cas aujourd’hui) à la circularité (attention ce mot devient à la mode pour ne rien dire, et ceux qui l’utilisent ne se demandent jamais si c’est théoriquement et pratiquement possible). Selon le journaliste (BaZ du 4.12) elle ne s’en désole que peu car elle dit savoir qu’elle a raison car la science serait de son côté. Ça c’est du leadership: se garantir une ignorance distillée par des clercs mal choisis pour s’obstiner à ne pas comprendre par soi-même.
Rien de plus à l’horizon, le pilonnage est incessant; quand les canons s’arrêteront, sera-ce pour lever le drapeau blanc ou pour passer à la curée ?
Si je pose cette question c’est parce que la proposition devient insistante de traduire en justice les hérétiques et autre sceptiques qui n’admettent pas la doctrine climatique dont la messe est chantée à Paris ces jours. Ça pourrait être amusant car les charlatans giecquois seraient enfin mis en demeure de prouver que j’ai tort. Dire que je ne suis pas compétent (faux) ou prétendre que je serais affilié à de sombres intérêts (faux) ne suffirait plus. Ou alors sanctifiera-t-on la doctrine en votant une de ces lois liberticides similaire à celles sur le négationnisme ? Cela n’est même pas nécessaire car un vote parlementaire avec une majorité de 50,1 % suffirait pour statuer dans un articulet du code pénal que ne pas traiter le gaz carbonique comme un polluant —molécule pourtant si indispensable à la vie— serait qualifié de crime contre l’humanité. J’exigerais alors que le bûcher soit fait de bois certifié bio.
Le 1er décembre 2015
Non, l’extrapolation du modèle simpliste n’a pas fonctionné : aujourd’hui n’est pas le 31 novembre 2015.
Téléjournal hier: l’air ambiant à Pékin (Beijing) est irrespirable. On veut bien le croire en voyant les scènes grises prises sur la ville. Mais allègrement on présente cela en relation directe avec les effets -ou les causes, on ne sait pas trop car ces sont des journalistes pressés et peu cultivés qui le disent- des divagations du climat. Ignares ou radoteurs, il ne leur reste que la désinformation.
Page internet du Temps (l’édition intégrale pdf n’est plus accessible sans payer). Réponse à des questions de lecteurs. Dessibourg, spécialiste scientifique du journal, à propos de ce qu’on ne sait pas: « … Il reste encore des incertitudes, par exemple sur le rôle exact des nuages. » Ce qu’il ne dit pas est que c’est si prépondérant que de ne pas bien le savoir fait que toute analyse ou prédiction aura autant de valeur que le tas de détritus que formera un jour l’ordinateur qui les a calculé.
Le même, plus loin : « Comme vous le voyez, nombre de paramètres ont déjà été posés. On discute vraiment des détails, mais plus des grandes lignes. » C’est bien ça qui est le big problem : on négocie les modalités sans plus même savoir si la raison d’être de l’action se justifie. Et à mon de moins en moins humble avis, cette conférence et ces négociations n’ont pas de raison d’être.
Le 30 novembre 2015
Un week-end passé à se préoccuper d’autre chose que du temps qu’il pourrait faire, ça change.
Mais tout de même il y a de quoi grincer. Il faut exiger dans les protocoles d’opération des cameramen de télévision que lorsqu’ils filment une « foule » cela se fasse avec une perche d’au moins cinq mètres de haut afin que chacun puisse se rendre compte par lui-même s’il y a du monde derrière les premier rangs d’une marche ou d’une manifestation de rue. Au téléjournal de hier on a ainsi vu qu’une soi-disant marche pour le climat (ou contre celui-ci, je n’y ai jamais rien compris) s’était faite dans plusieurs villes du monde. Et en analysant les images on constate que ça tenait plus de la réunion de quartier que de la mobilisation de masse. Enfumage mensonger !
Et puis il y a la non-marche de Paris. On a déposé des souliers sur la place de la République. Cela ressemble à l’entrée d’une mosquée le vendredi. On nous montre ceux du Pape François en voisinage avec d’autres anonymes, Ban Ki Moon secrétaire général de l’ONU, ou autre dame et monsieur tout le monde du show business. Le ridicule ne tue pas mais doit quand même faire vivre moins longtemps car ça doit être épuisant.
Le 27 novembre 2015
Rien, ou plutôt tout et n’importe quoi. Lassant.
Mais bien ceci, qui n’est pas réchauffant mais qui est l’indice d’une pathologie galopante : le directeur d’un gymnase (lycée) de la région bâloise a décidé d’annuler tous les voyages d’étude de toutes les classes de son établissement jusqu’à la fin de l’année scolaire (été 2106), au titre du danger terroriste.
Il n’y a qu’une question à lui oser: celle de la position spatio-temporelle de sa colonne vertébrale.
Bribes du 26 novembre 2015
Le gouvernement genevois s’engage résolument. Il communique que …des amendes [sont] envisagées pour les propriétaires qui n’auront pas assaini les fenêtres de leurs bâtiments au 1er février 2016. Voilà un écologisme bien punitif pour, rappelons le, soutenir une lutte contre le gaz carbonique qui est futile, ruineuse, et injuste.
Les salauds de propriétaires paieront et passeront la facture aux locataires qui protesteront. Ça ressemble à de l’anti-capitalisme masqué sous le cache sexe de la « protection » du climat.
2015 pourrait être l’année la plus chaude jamais enregistrée et la température moyenne en surface pourrait passer le seuil symbolique des 1 °C de réchauffement depuis l’ère préindustrielle (1880-1899), indique mercredi un rapport de l’Organisation météorologique mondiale (OMM).
Si c’est dit à la radio et à la TV et reproduit dans tous les journaux ça doit donc être vrai (« es stand im Blick »).
Bizarre: publier un rapport sur 2015 avant que l’année soit terminée. Et, comme toujours, sans même indiquer les marges d’erreurs connues dans ce genre d’évaluation.
Les faits: depuis 1998 aucun changement significatif de la température globale à la surface de la terre n’est observé. Le mot significatif a ici une signification signifiante: scientifique. Oui, nous somme à un haut niveau de température, un chouïa de plus et un record se brise. Mais quel est la tendance? celle des modèles s’envole, la réalité stagne.
Younergy, une start-up qui conçoit et installe un système solaire sans paiement initial de la part du propriétaire de la maison. En échange du courant solaire produit, ce dernier paie un abonnement à Younergy.
Sans moquerie je trouve ça génial. Le business plan de Younergy doit être farci de mécanismes de récupération de subventions, rétributions à prix coûtant, etc. S’ils gagnent beaucoup de clients, ceux-ci seront traits comme des vaches et le pouvoir de lobby des cleantech sera renforcé. Un bémol: que se passera-t-il lorsque ces mécanismes d’extorsion et de redistribution seront enfin supprimés. En fin de compte ce n’est pas si génial, car ce n’est pas durable. Infrarouge à la TV Suisse romande le 24 novembre 2015
À ne pas revoir à http://www.rts.ch/emissions/infrarouge/
Voilà une émission où, en fin de compte, il vaut mieux ne pas avoir été convié.
Il parait que la discussion climatique devait prendre un autre tournant suite aux massacres de Paris et Sharm el Sheik. Allez savoir pourquoi !
Pas un seul participant pour exprimer que la mobilisation contre le gaz carbonique est futile, ruineuse et injuste.
Tous ont intégré le dogme « Homme -> Mauvais climat », même le représentant des patrons vaudois.
Et ce tournant fut pris par l’inévitable Dominique Bourg, professeur de soi-disant « philosophie » à l’Université de Lausanne, un cuistre « sachant » de première classe. Il n’est pas climatologue mais il en sait tout, sauf qu’il ne veut pas savoir que ce tout dont il se prévaut ne repose que sur des spéculations modélistiques. Non, il n’a pas dit qu’il y a une relation entre le flux de réfugiés syriens et le réchauffement du climat. Mais il l’a si fortement laissé entendre que c’est comme s’il l’a dit. Quel con !
Il y a de ces avocats que les tenants d’une cause devraient éviter d’avoir. Son comportement et ses assertions catégoriques ont magnifiquement contribué à rendre sa cause inaudible.
Et puis il y a la climatologue de service. Elle dit que ce qui rend particulier et dangereux l’épisode climatique dans lequel nous vivons c’est la rapidité de son évolution, en cela causée par les [mauvaises] actions humaines. Elle a deux fois tort, mais elle le dit avec une mine si malheureusement soucieuse qu’on a envie de lui tendre une pièce. Ce bon ton est bien connu chez les vieux protestants expliquant le sentiment de culpabilité qu’il faut avoir si l’on n’œuvre pas au nom du seigneur. Et son seigneur semble être le GIEC.
Il y a aussi cet ex banquier, entrepreneur et promoteur immobilier qui a maintenant consacré sa vie à la décroissance sélective. Encore un qui ne peut avoir que raison puisque le fondement de son approche est dogmatique. Il est irréfutable. Et ce d’autant plus qu’il ne laisse à personne l’occasion de parler, même à la Mamarbachi qui en a pris pour son grade au cours de cette émission.
Un bon point cependant: celui qu’on a bien compris que la causa climatica était devenue un fourre-tout.
Le Temps du 24 novembre 2015
600 000 morts à cause des catastrophes climatiques.
Les catastrophes naturelles, toujours plus fréquentes, ont tué quelque 600 000 personnes en vingt ans, a annoncé lundi l’ONU, soulignant l’importance de trouver un accord lors de la conférence COP21 à Paris sur le changement climatique.
Les salauds: ils officialisent ce que même les climatologues les plus alarmistes se refusent à faire : confondre événements rares et naturels dont la fréquence et l’intensité n’a pas changé depuis qu’on les mesure avec un effet de changement du climat que l’on est incapable de déceler. À quand les éruptions volcaniques ?
Et puis : 600’000 décès en vingt ans, soit 30’000 par an. En 2013 le nombre total de décès dans le monde était de 56 millions.
Dans le même Temps de même 24 novembre 2015
Une demi page de Ban Ki Moon, secrétaire général de l’ONU. Il se met bien sûr au service des génération futures, on en pleurerait de joie.
Mais aussi il appelle à une gouvernance mondiale pour résoudre un faux problème global, avec à la clé une nécessaire redistribution de fonds des pays du nord, coupable de s’être développés, à ceux du sud, victimes durables et éternelles.
Non, non, il ne s’agit surtout pas de lutte pour un pouvoir global à saisir. C’est juste une question si chère à [son] cœur.
La mise en place de cette 'petite gouvernance mondiale de merde' appelée 'COP', est d'empêcher les chaleur reçues sur Terre (mention Très bien) par: Le soleil (saisonnièrement) et par Les sources chaudes magmatiques (sous-océaniques et sous-marines) de... ne pas dépasser les 2°C voire 1,5°C sous peine d'amende !!! que devront payer les 7 milliards de volcanologistes sous peine de dépassement du seuil de degrés !!!
C'est PAS une blague mais bien la dictature de merde qui n'a fait appel à AUCUN scientifique pour faire cette déclaration !!! et désigne comme responsables tous les habitants de la planète Terre comme étant responsable des sautes d'humeur solaire ou magmatique !
Quelque 10 % des meilleurs hommes politiques brésiliens ont reçu des dons de sociétés impliquées dans des scandales impliquant l'esclavage moderne. Comme le note Patrick Wagner de Statista, même si les dons aux politiciens ne sont pas illégaux au Brésil, l'argent reçu est d'origine douteuse.
Les donateurs incluent JBS - le plus grand producteur de viande du monde - et d'autres entreprises qui peuvent être trouvées sur la «liste sale» du Brésil pour le travail d'esclave. Plus de 41 % de tous les bénéficiaires font partie du caucus ruraliste influent, une faction du Congrès désireux de révoquer les droits fonciers des communautés autochtones et de limiter les efforts pour combattre l'esclavage.
Le tableau suivant montre les principaux bénéficiaires et leur affiliation à un parti.
- voir tableau sur site - Infographie: Lobbying pour l'esclavage au Brésil | Statista
Un total de 16 % de tous les députés parlementaires du Mouvement Démocratique Brésilien (MDB), le parti du président Michel Temerand a destitué la présidente Dilma Roussef a reçu ces dons. Le Parti des Travailleurs de gauche (PT) de l'ancien président Lula da Silva, actuellement emprisonné pour corruption, a même reçu 20 % des dons des entreprises figurant sur la «liste noire».
Comment les lois sur le contrôle des armes pour les «malades mentaux» pourraient désarmer ceux qui remettent en question l'autorité
par Tyler Durden Lun, 04/09/2018 - 00:05 Auteur de John Vibes via The Free Thought Project,
Dans le débat croissant sur le droit naturel à la légitime défense, l'une des méthodes de contrôle des armes à feu les plus populaires a été la restriction de la possession d'armes à feu pour les personnes considérées comme atteintes de maladie mentale.
C'est une mesure qui est souvent suggérée par les libéraux et les conservateurs, mais il est important de s'arrêter et de réfléchir à ce que cela pourrait impliquer.
Quand un groupe collectif est interdit de posséder une arme à feu, ils sont effectivement transformés en citoyens de seconde classe. Dans le cas de la maladie mentale, cette classification est si vague et ouverte à l'interprétation qu'elle pourrait éventuellement s'appliquer à plus de la moitié de la population, selon les critères que vous utilisez.
La maladie mentale peut être très difficile à identifier puisqu'il n'y a aucune sorte de test officiel pour la plupart des conditions, la plupart des gens sont diagnostiqués selon les opinions subjectives des médecins qui les observent. Même les conditions les plus graves, comme la schizophrénie, peuvent être très difficiles à identifier et sont souvent mal diagnostiquées.
Les médicaments psychiatriques sont un autre facteur possible qui pourrait rendre une personne marquée par le gouvernement comme mentalement instable, mais une classification comme celle-ci permettrait de désarmer une grande partie de la population américaine.
Selon une étude réalisée en 2016 par JAMA Internal Medicine, plus d'un Américain sur six utilise un type de médicament psychiatrique. Cela ne veut pas dire le grand nombre de personnes qui signalent des symptômes de dépression ou d'anxiété et ne prennent pas de médicaments.
Une politique comme celle-ci pourrait également permettre au gouvernement de désarmer les dissidents et les ennemis politiques. Au fur et à mesure que la psychiatrie devint plus influente vers le milieu du 20ème siècle, les dirigeants du monde entier commencèrent à utiliser la «maladie mentale» comme une excuse pour enfermer tous ceux qui pourraient être en désaccord avec eux. Le régime soviétique est devenu célèbre pour cette pratique en qualifiant tous les dissidents politiques de «malades mentaux» afin qu'ils puissent être enfermés dans des institutions où ils n'étaient pas une menace pour l'establishment.
Le gouvernement des États-Unis a également une longue histoire de gifler les citoyens indisciplinés avec la marque de la maladie mentale. Le président Franklin Roosevelt a appelé ses détracteurs «la frange lunatique», et ce type d'attitude à l'égard des activistes a continué jusqu'à aujourd'hui dans les couloirs du gouvernement.
Dans le dictionnaire des maladies mentales, connu sous le nom de DSM-5, publié par l'American Psychiatric Association, il y a en fait une condition répertoriée pour les personnes qui ont un problème d'autorité. Oppositional Defiant Disorder est un nom que les psychiatres ont inventé pour identifier les enfants qui ne feraient pas ce qu'on leur dit, et maintenant même les adultes sont diagnostiqués avec cette condition.
Pendant ce temps, les politiciens et les grands médias n'hésitent pas à qualifier de «théoricien de la conspiration» toute personne qui remet en question le récit officiel, terme faussement associé à la maladie mentale dans la culture pop.
Une étude réalisée en 2017 visait à déterminer si la croyance aux théories du complot était ou non une forme de maladie mentale. Comme prévu, ils ont trouvé la réponse exacte qu'ils recherchaient, les gens qui ne font pas confiance au gouvernement et aux médias traditionnels sont fous et souffrent de ce qu'on appelle la perception illusoire des motifs.
La discussion sur le désarmement des personnes accusées d'avoir une maladie mentale pose un autre dilemme: les personnes souffrant de troubles mentaux sont 10 fois plus susceptibles d'être victimes de violence que le reste de la société parce qu'elles sont souvent considérées comme cibles faciles.
Pour compliquer encore les choses, ces personnes ne peuvent pas dépendre de la police pour les aider dans ces situations, car des études ont montré que les malades mentaux sont 16 fois plus susceptibles d'être tués par un policier que la moyenne des personnes.
Selon le Treatment Advocacy Centre, basé en Virginie, un minimum de 1 à 4 rencontres de police mortelles met fin à la vie d'un individu atteint d'une maladie mentale grave.
Empêcher les personnes atteintes de maladie mentale de posséder des armes à feu est une forme grave de discrimination «capacitaire» et ouvre également la porte à presque toute personne pouvant être considérée comme souffrant de maladie mentale.
Il y a parfois des cas extrêmes où l'instabilité mentale d'une personne crée une situation dangereuse pour la communauté, comme le récent tir de Parkland, par exemple. Dans ce cas, le tireur avait des antécédents connus de violence, faisait régulièrement des menaces et a été visité par la police à de nombreuses reprises à cause de son comportement menaçant. Dans de tels cas, il est raisonnable de garder un œil sur quelqu'un, de restreindre son accès aux armes à feu, ou peut-être de les mettre en quarantaine dans la société dans les situations les plus extrêmes.
Il y a beaucoup de lois sur les livres qui auraient permis au FBI ou à la police locale d'intervenir lors de leurs premières rencontres avec le tireur, mais ils ont décidé qu'un étudiant était connu pour ses débordements violents.
Il y a beaucoup de lois sur les livres qui auraient permis au FBI ou à la police locale d'intervenir lors de leurs premières rencontres avec le tireur, mais ils ont décidé qu'un étudiant connu pour ses violentes explosions et ses bavures ne méritait pas d'être examiné.
Comme TFTP l'a rapporté plus tôt ce mois-ci, il existe une loi sur les livres connue sous le nom d'ERPO, qui est entrée en vigueur en juin 2017. Cette loi est utilisée lorsqu'une personne est considérée comme une menace «extrême» la police et les membres de la famille. Un ERPO doit être approuvé par un juge et ce n'est qu'après que cette personne s'est révélée être un danger pour elle-même ou pour autrui que la police peut intervenir pour confisquer ses armes.
Ces types d'approches ciblées visant spécifiquement les personnes qui sont une source connue de violence dans la communauté feraient bien plus pour prévenir les tragédies qu'une loi de portée générale qui pourrait menacer les droits et la sécurité de millions de propriétaires d'armes à feu innocents.
Primo, comme tout le monde a déjà fumer ou bu de l'alcool (ou que des bouteilles vides ont été retrouvées en placards ou poubelles), il demeure les traces ! Et çà... Çà suffit à tout le monde d'empêcher le citoyen honnête de se défendre contre les criminels qui rigolent un peu plus loin !
Dans la dernière humiliation pour Bruxelles, Viktor Orban remporte les élections de Hongrie dans la victoire des glissements de terrain
par Tyler Durden Dim, du 04/08/2018 à 17h30
Dans le dernier embarras pour la création de l'Europe, Viktor Orbán, le dirigeant hongrois ostracisé par le président hongrois Viktor Orbán, qui a mené une vendetta acharnée contre George Soros l'année dernière, vient de remporter une victoire écrasante aux élections législatives de Hunary.
Plus tôt dimanche, 8 millions de Hongrois se sont rendus aux urnes pour élire un parlement de 199 sièges aux élections générales de 2018, dont beaucoup s'attendaient à voir le Premier ministre sortant Viktor Orbán et son parti de droite Fidesz remporter son troisième mandat consécutif. Et, comme cela a été évoqué à maintes reprises, la campagne d'Orban avait été centrée sur les politiques anti-immigration, un sujet particulièrement sensible non seulement en Hongrie et en Europe centrale, mais aussi à travers le vieux continent.
Ses principaux concurrents sont Gergely Karacsony, un candidat des partis socialiste et du Dialogue; et Gabor Vona du parti nationaliste d'extrême droite Jobbik, ou plutôt parce que selon le site Internet du bureau des élections hongrois, le parti Fidesz du Premier ministre Orban a remporté une victoire écrasante et écrasante selon les résultats préliminaires avec 69 % des voix comptées.
Fidesz avec 49,5 % des votes de la liste des partis, correspondant à la plupart des sondages pré-électoraux Ancien Jobbik d'extrême droite, deuxième avec 20 % des votes de liste, Socialistes de 11,9 %
Les partis LMP et DK sont également sur le point de dégager un seuil parlementaire basé sur le nombre partiel
En d'autres termes, le parti Fidesz d'Orbán a obtenu la majorité absolue et peut même atteindre la majorité des deux tiers des 133 sièges, assez pour poursuivre un amendement constitutionnel, rendant la vie de George Soros en Hongrie encore plus insupportable.
- voir graphique sur site -
Il n'est pas surprenant que la quasi-totalité de la campagne hongroise ait voté pour Orban, tandis que dans la polarisation continue des villes et villages contre la campagne en Europe, l'opposition a conquis les centres urbains du pays.
- voir carte sur site -
@EuropeElects Hongrie: Glissement de terrain pour Orban's Fidesz (PPE) dans la campagne, l'opposition de centre-gauche gagne les centres urbains (65 % comptés). # Valasztas2018 #Hongrie 23h03 - le 8 avril 2018
Le résultat des élections signifie que le tracker populisme de la Deutsche Bank, déjà à son plus haut niveau depuis la Seconde Guerre mondiale ...
- voir carte sur site -
... devrait encore augmenter, alors que l'Europe continue de rejeter à la fois le «nouvel ordre mondial mondialisé» et la vision libérale de l'immigration qu'Angela Merkel a tenté d'imposer à l'Europe en 2015, et qu'elle a lamentablement échoué.
Les pays en développement doivent mener la recherche en géoingénierie solaire
03 AVRIL 2018
Selon Atiq Rahman, Paulo Artaxo, Asfawossen Asrat, Andy Parker et 8 cosignataires, les pays les plus vulnérables au changement climatique doivent conduire des discussions sur la modélisation, l'éthique et la gouvernance.
A. Atiq Rahman, Paulo Artaxo, Asfawossen Asrat & Andy Parker
Les gens du Sud sont en première ligne du changement climatique. Alors que les températures mondiales grimpent, le Groupe intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) prévoit une érosion des petits États insulaires1, une baisse de la production alimentaire dans de nombreuses régions d'Asie2, un stress hydrique en Afrique3 et une perte importante de biodiversité en Amérique du Sud4.
Les pays en développement se sont prononcés sur la politique climatique. Les liens entre la justice climatique et le développement sont maintenant acceptés, tout comme l'idée que les nations ont des responsabilités communes - les émetteurs sont responsables des impacts ressentis ailleurs. Bien qu'ils aient eux-mêmes émis très peu de gaz à effet de serre, les pays les moins développés et les petits États insulaires du monde ont exigé que l'accord de Paris sur le climat de 2015 exige que le réchauffement soit maintenu bien en dessous de 2 ° C. exploré.
Mais il y a une limite à ce que les populations menacées par l'élévation du niveau de la mer, la perte de biodiversité, les sécheresses et les ouragans peuvent faire. L'atténuation du changement climatique est cruciale. Les réductions d'émissions convenues à Paris ne sont pas suffisantes - elles porteront le monde à une hausse de 3 ° C (voir go.nature.com/2u3ybkh). L'adaptation est donc essentielle. À mesure que l'ampleur des dégâts augmente, de plus en plus de pays se tourneront vers les dispositions «pertes et dommages» de l'accord de Paris. Et ceux-ci sont vagues: qui devrait payer combien, et à qui, pour l'agriculture perdue ou les moyens de subsistance de pêche ? Quelle taille de chèque compenserait la destruction des récifs coralliens ?
Dans ce contexte, la géoingénierie solaire - l'injection de particules d'aérosols dans la stratosphère pour réfléchir un peu la lumière du soleil entrant - est considérée comme un moyen de refroidir rapidement la planète. La technique est controversée, et à juste titre. Il est trop tôt pour savoir quels en seraient les effets: cela pourrait être très utile ou très dommageable. Les pays en développement ont le plus à gagner ou à perdre. À notre avis, ils doivent maintenir leur leadership climatique et jouer un rôle central dans la recherche et les discussions autour de la géoingénierie solaire.
Des enjeux élevés
La géo-ingénierie solaire est extravagante et inquiétante. Il fait appel à des technologies qui évoquent la science-fiction - des jets qui lient la stratosphère à des particules bloquant la lumière du soleil et des flottes de navires pulvérisant de l'eau de mer dans les nuages pour les rendre plus blancs et plus brillants. Pourtant, si de telles approches pouvaient être réalisées techniquement et politiquement, elles pourraient ralentir, arrêter ou même inverser la hausse des températures mondiales d'ici un ou deux ans. Aucun autre moyen de le faire n'a été conçu. L'élimination des gaz à effet de serre de l'air prendrait des décennies, si c'est même possible.
Une décennie de recherche en modélisation indique que la géoingénierie solaire pourrait réduire nombre des pires effets du changement climatique si elle était déployée avec modération. Par exemple, injecter 5 mégatonnes de dioxyde de soufre dans la stratosphère - soit environ le quart de celui libéré par l'éruption du mont Pinatubo en 1991 - chaque année pourrait maintenir le réchauffement en dessous de 2 ° C. (Cependant, il y a probablement des limites à la capacité de refroidissement, en particulier dans des scénarios d'émissions de gaz à effet de serre5.) Des études ont montré que la géoingénierie solaire devrait également réduire les impacts climatiques sur l'hydrologie. obtenir des régions plus humides et sèches plus sèches6. Des températures plus basses ralentiraient l'élévation globale du niveau de la mer7 et pourraient réduire l'incidence et la force croissantes des cyclones tropicaux8.
Il y a une dizaine d'années, on craignait sérieusement que la géo-ingénierie solaire ne produise des gagnants et des perdants et pourrait perturber les moussons. La recherche a apaisé ces inquiétudes. Par exemple, il semble concevable que la géo-ingénierie solaire modérée profite à de nombreuses régions vulnérables au changement climatique, avec peu de perdants. Les pluies de mousson seraient moins affectées que si le changement climatique ne se reproduisait pas9.
Mais la géoingénierie solaire n'est pas une panacée; cela pourrait aggraver certains risques de changement climatique. Cela ne ferait que masquer l'effet de réchauffement des gaz à effet de serre. L'acidification des océans représenterait toujours une menace pour la vie marine si les émissions de gaz carbonique n'étaient pas réduites. Le dioxyde de soufre pourrait retarder la régénération de l'ozone dans la stratosphère. Et quel que soit l'aérosol utilisé pour filtrer la lumière du soleil, davantage de recherches seraient nécessaires sur ses impacts sur la santé et l'environnement.
Les effets globaux de la géo-ingénierie solaire sont incertains. Toutes les études effectuées jusqu'ici sont basées sur des simulations informatiques, qui sont médiocres pour prévoir les climats régionaux, par exemple. Le système Terre pourrait contenir des surprises que les modèles numériques ne capturent pas. Les projections nécessitent un examen approfondi et sceptique.
De plus, la géo-ingénierie solaire soulève des problèmes sociopolitiques difficiles qui ne peuvent être négligés. On ne sait pas trop comment, ou si, la technique pourrait être gouvernée de manière à assurer la prudence, la responsabilité et la justice. Qui a le droit de mettre en œuvre une technologie intrinsèquement globale ? La technologie affaiblirait-elle les engagements multilatéraux de réduction des émissions tels que l'accord de Paris ?
Ces questions sont importantes pour les pays en développement. Mais la plupart des recherches en géoingénierie solaire sont menées dans les universités bien nanties d'Europe et d'Amérique du Nord. À moins que cela ne change, les voix de l'hémisphère nord établiront le programme politique et décideront quels projets de recherche devraient être accélérés ou fermés.
Nous sommes neutres sur la question de savoir si la géoingénierie solaire devrait être utilisée. Il n'a pas encore été établi s'il serait utile d'atteindre les objectifs de Paris. Nous reconnaissons ses risques physiques potentiels et ses implications sociopolitiques. Et nous nous opposons à son déploiement jusqu'à ce que la recherche sur sa sécurité et son efficacité soit achevée et que des mécanismes de gouvernance internationale soient établis. Mais nous sommes engagés dans la coproduction de la recherche et dans un débat éclairé.
D'autres ont déjà pris parti. Certaines personnes du Nord ont tenté de convaincre leurs homologues du Sud de rejeter la géo-ingénierie solaire. Les militants qui s'y opposent avec véhémence font souvent valoir leurs arguments en soulignant les risques et en minimisant les avantages potentiels10. Nous contestons ce paternalisme et proposons une approche inclusive.
De grandes décisions
Les pays en développement doivent être en mesure de se faire leur propre opinion. Les scientifiques locaux, en collaboration avec d'autres, doivent mener des recherches sensibles aux préoccupations et aux conditions régionales. Par exemple, quels effets la géoingénierie solaire pourrait-elle avoir sur les ouragans dans les Caraïbes, les inondations au Bangladesh ou l'agriculture en Afrique de l'Est ? Des discussions plus larges entre les universitaires, les décideurs politiques, le public et les intellectuels publics sont nécessaires sur les risques climatiques et la justice.
Pour commencer ce processus, nous (et les co-signataires de ce commentaire) avons organisé des ateliers d'engagement de géo-ingénierie solaire à travers le Sud - le premier de leur genre - dans le cadre de l'Initiative de Gouvernance SRM (SRMGI). pour la gestion du rayonnement solaire. International et non gouvernemental, SRMGI a été lancé en 2010 par la Royal Society à Londres, l'Académie mondiale des sciences (TWAS) à Trieste, en Italie, et le Environmental Defense Fund à New York. Les ateliers régionaux organisés principalement au Bangladesh, au Brésil, en Chine, en Éthiopie, en Inde, en Jamaïque, au Kenya, en Thaïlande, en Nouvelle-Zélande (pour les États du Pacifique), au Pakistan et aux Philippines ont réuni des climatologues locaux et des journalistes, les décideurs politiques et les représentants de la société civile pour s'informer et discuter de la géoingénierie solaire.
Les participants n'avaient pas de position consensuelle sur la technologie. Mais ils ont soulevé des espoirs et des préoccupations communs. En général, nous avons constaté une opposition généralisée au déploiement à ce stade, mais un soutien aux études sur les impacts locaux. Comme l'a dit un participant à l'atelier de Nairobi: «Cette idée est folle ? ... mais nous devons la comprendre.» Beaucoup étaient sceptiques quant à savoir si les méthodes fonctionneraient et si les pays en développement, plutôt que les gouvernements plus puissants, auraient leur mot à dire dans comment et si la géoingénierie solaire est déployée.
Pour financer la recherche régionale, cette semaine, SRMGI lance le premier appel à candidatures pour un fonds de 400 000 $ US appelé Analyse de modélisation des impacts des pays en développement sur les MRS (DECIMALS). Le fonds est géré par TWAS et financé par le Open Philanthropy Project, une fondation soutenue par Cari Tuna et Dustin Moskovitz (co-fondateur de Facebook et l'application de gestion de projet Asana). Les scientifiques des pays en développement peuvent demander à DECIMALS des fonds pour modéliser les impacts de la géo-ingénierie solaire qui importent le plus dans leurs régions. Des collaborations internationales seront soutenues et les chercheurs seront invités à organiser des ateliers locaux pour promouvoir une discussion plus large des implications de leurs résultats.
D'autres activités de sensibilisation et de recherche dans les pays en développement nécessiteront un soutien supplémentaire de la part des gouvernements, des universités et de la société civile du monde entier. Les bailleurs de fonds de la recherche dans les économies avancées devraient financer des collaborations avec des scientifiques dans les pays en développement. Nous aimerions voir un rapport spécial du GIEC sur les risques et les avantages de la géo-ingénierie solaire. En fin de compte, une initiative de recherche mondiale coordonnée - peut-être dans le cadre d'un organisme tel que le Programme mondial de recherche sur le climat - est nécessaire pour promouvoir la science collaborative sur cette question controversée.
La géo-ingénierie solaire est lourde de risques et ne peut jamais être une alternative à l'atténuation. Mais il n'est pas clair si les risques de la géo-ingénierie solaire sont plus grands que les risques de casser la cible de réchauffement de 1,5 ° C. Dans l'état actuel des choses, les politiciens devront faire face à ce dilemme lamentable dans quelques décennies. Il est juste, politiquement et moralement, pour le Sud global d'avoir un rôle central dans la recherche, la discussion et l'évaluation de la géo-ingénierie solaire.
C'est la débilité complète que de s'adresser à des pays arrièrés où la population ne sait ni lire ni écrire et où des êtres malfaisants parlent pour eux !
Faute de pouvoir définir un 'effet de serre' à l'extérieur (Hahahaha !), ils demandent de l'argent pour... en fabriquer un !!! (immense bâche dans le ciel pour être emportée par les vents forts d'altitude et tomber sur les avions !!!
Ces pays sont régulièrement la proie de fortes moussons sur des fleuves non dragués qui débordent aussitôt et, victime momentanées des upwelings (forte marées) qui érodent ou submergent des îles puis, quand la mer se retire: les îles réapparaissent (parfois en d'autres lieux !).
"Si nous sommes préoccupés par le réchauffement climatique causé par le gaz carbonique, cela ne serait-il pas pire si nous conduisions tous des voitures qui avaient de la vapeur d'eau à l'échappement ?"
Il est à peine quatre mois dans l'année et déjà, les travailleurs du gouvernement armés ont abattu 294 personnes. C'est plus de deux fois plus de personnes que de pigistes - ceux qui ne portent pas l'uniforme du gouvernement et qui ont tiré sur des gens dans les écoles - au cours des six dernières années.
L'année dernière, des employés du gouvernement armés ont abattu 987 personnes. C'est presque 60 fois plus de personnes qui ont été abattues à Parkland. Si les trois premiers mois de carnage sont une indication, 2018 sera une année encore meilleure.
Pourquoi le Soy Boy n'exige-t-il pas que les travailleurs du gouvernement armés soient désarmés ?
Pourquoi n'est pas là. . . outrage ?
De toute évidence, les travailleurs du gouvernement armés sont très dangereux.
Votre enfant est beaucoup plus susceptible d'être abattu par un employé du gouvernement armé que par un tireur d'école pigiste.
Fait.
Objectivement, les travailleurs du gouvernement armé sont beaucoup plus dangereux que le pigiste - qui travaille sous le fardeau d'être indépendant - et de savoir que sa victime peut légalement se défendre.
En supposant qu'il n'est pas dans une zone «sans armes à feu», comme une école gouvernementale.
D'un autre côté, les employés du gouvernement armé sont armés - et blindés - par le gouvernement. Ils ont le poids lourd des ressources illimitées du gouvernement (prises de nous) derrière eux et en outre, ils ont été dotés de ce qui s'apparente à des pouvoirs divins sur nous.
Ou plutôt, l'autorité divine.
Et cette autorité est généralement conférée à des personnes spéciales. souvent en dessous des personnes. Le genre de gens que l'écrivain Hanna Arendt appelait autrefois la banalité du mal. Mais une fois enrobés (et armés) et habilités, ils deviennent - comme ceux dont Arendt a parlé - quelque chose de terrible. Quelque chose que le pigiste ne peut jamais être.
Nous sommes prostrés devant l'employé du gouvernement armé, qui a été doté d'une sorte de sainteté qui, depuis 911, confine aux religieux. Nous - les non-enrobés / non-dotés - sommes censés non seulement faire la génuflexion devant la Présence, mais aussi tolérer une conduite qui - si elle est réalisée par un pigiste - ne résulterait pas seulement en une indignation mais en une punition.
Les enrobés ne sont presque jamais punis pour leurs crimes - y compris le crime de meurtre pur et simple, qu'ils commettent maintenant presque systématiquement.
Si quelque chose, leur licence est étendue. Ils peuvent non seulement tirer en premier et poser des questions plus tard - ils peuvent juste tirer.
Nous, en revanche, sommes soumis à des harangues abusives sur ce que nous pourrions faire avec les armes à feu avec lesquelles nous n'avons jamais tiré. Menacé de nouvelles restrictions et interdictions pour des choses que nous n'avons pas faites.
Quand un employé du gouvernement armé tue littéralement quelqu'un - à savoir, le cas horrible de Daniel Shaver, qui a été assassiné dans le sang le plus froid il y a deux ans par un employé du gouvernement armé nommé Mitch Brailsford dans le couloir d'un hôtel à Mesa, AZ sur le sol et plaidant pour sa vie - un procureur compréhensif trouve une excuse pour ne pas poursuivre ou un jury adorateur trouve un bénéfice-du-doute qui ne serait jamais étendu à un indépendant dans les mêmes circonstances.
Surtout, la punition collective n'est jamais appliquée aux travailleurs du gouvernement armés - comme elle l'est toujours (ou est toujours recherchée) chaque fois qu'une atrocité est commise par un pigiste. Shooter A tue quelqu'un; jusqu'à l'appel que B et C et D et E cèdent leurs armes, ou se voient refuser des armes à feu - malgré qu'ils n'aient tiré sur personne.
Les défenseurs des travailleurs gouvernementaux armés - qui, ironiquement, sont souvent des «conservateurs», soi-disant soupçonneux du gouvernement - ne hurlent jamais parce que le travailleur gouvernemental A a assassiné quelqu'un avec une arme à feu, les travailleurs armés B et C et DE doivent abandonner leurs armes ou accepter restrictions nouvelles et onéreuses.
Le travailleur gouvernemental armé qui a fait quelque chose a toujours plus de latitude que le citoyen ordinaire qui n'a rien fait.
Pourquoi ?
Presque autant d'étoiles que Patton ! C'est un morceau de la logique des politiciens qui insistent sur le fait que les armes sont dangereuses alors qu'elles sont entourées de cordons de sécurité armés. Certains animaux, par Orwell, sont en effet plus égaux que d'autres.
Notez que la police - bien que ostensiblement civile - a des insignes de grade militaire, y compris le colonel et même le général quatre étoiles. Ils parlent de nous comme étant des «civils», comme s'ils n'étaient pas la même chose - n'ayant pas été intronisés dans les forces armées, ni commandés comme officiers.
Ils ne s'habillent pas seulement comme s'ils allaient à la guerre, ils se comportent de cette façon. Les soldats se battent contre l'ennemi. Ils supposent qu'il est une menace mortelle et leur première ligne de conduite est de soumettre / tuer l'ennemi. C'est ce que les travailleurs du gouvernement armés sont formés à nous faire.
Nous sommes l'ennemi.
Tout cela devrait faire réfléchir le Soy Boy. C'est intéressant que ce ne soit pas le cas.
La Caroline du Sud bientôt séparée des États-Unis ?
RépondreSupprimer08:09 08.04.2018
Les élus républicains de la Caroline du Sud proposent un projet de loi qui permettrait la sécession de l’État dans le cas où le gouvernement fédéral violerait le deuxième amendement de la Constitution.
Les élus républicains de la Caroline du Sud ont présenté un projet de loi qui donnerait à la capitale de l'État la possibilité de se séparer des États-Unis si le gouvernement fédéral violait le deuxième amendement de la Constitution et commençait à saisir les armes légalement achetées.
Le projet de loi, qui a été soumis jeudi au Comité judiciaire de l'État, n'a pas beaucoup de chances d'être ratifié, mais sa présentation envoie un message clair et puissant au gouvernement fédéral, alors que les États-Unis assistent à un débat intense sur le contrôle des armes à feu.
«L'assemblée générale se réunirait pour débattre d'une sécession des États-Unis en raison de la violation inconstitutionnelle du deuxième amendement de la Constitution par le gouvernement fédéral si ce dernier confisquait les armes à feu achetées légalement dans cet État», ont déclaré les députés dans un communiqué, cité par le journal The Independent.
La Caroline du Sud a été le premier État à se séparer de l'Union en 1860 au début de la guerre civile.
La toute récente tuerie dans un lycée de Floride a relancé une fois de plus le débat sur la réglementation des armes à feu aux États-Unis. S'il n'y a pas de statistiques officielles concernant les ventes d'armes dans le pays, selon les estimations citées par le site Vox, on en dénombrait 357 millions en 2013, soit plus que le nombre d'habitants.
Le seul pays qui approche les États-Unis en la matière, loin, loin derrière est le Yémen. On y compte 54,8 armes à feu pour 100 habitants. Qui plus est, le nombre d'armes circulant sur le territoire américain augmente trois fois plus rapidement que la population du pays, affirme Vox. À titre de comparaison, 15.590 personnes ont été tuées par balle en 2017, un chiffre qui ne cesse d'augmenter depuis quatre ans.
https://fr.sputniknews.com/international/201804081035846088-caroline-sud-secession-usa-armes-feu/
Effectivement, les États-Unis ne seraient plus 'les États-Unis' s'ils ne pouvaient se défendre eux-mêmes en application de la Constitution de la Confédération républicaine (et non de la Confédération Démocratique comme la Suisse qui est la seule au monde où c'est le Peuple qui dirige). Mais, le terme scandaleux de 'république' (dictature) sonne déjà mal à l'oreille, et, la Caroline du Sud pourrait avoir du mal à se faire entendre !...
SupprimerSANTÉ - RÔLE CLÉ DES INFIRMIÈRES DANS L'ACCÈS AUX SOINS
RépondreSupprimerA l'occasion de la Journée mondiale de la santé, le Conseil international des infirmières rappelle le rôle important de ces professionnelles dans la fourniture de soins au plus grand nombre.
Selon le CII, il faudrait neuf millions d'infirmières et d'infirmiers de plus d'ici à 2030 pour répondre aux besoins croissants au niveau mondial.
07.04.2018
Les infirmières sont souvent les seules professionnelles de santé disponibles dans les régions isolées, souligne le Conseil international des infirmières (CII) dans un communiqué. Elles sont donc en première ligne pour faire avancer la couverture sanitaire universelle (CSU), à laquelle est consacrée la Journée mondiale de la santé cette année.
Les Etats membres des Nations Unies se sont engagés à faire tout le possible pour réaliser la couverture sanitaire universelle d'ici 2030 dans le cadre des Objectifs de développement durable, rappelle l'Office fédéral de la santé publique (OFSP) dans un communiqué.
Garantir l'accès
Concrètement, il s'agit de garantir que chaque citoyen a accès aux soins indépendamment de sa capacité de payer. Chaque année, les dépenses de santé poussent 100 millions de personnes dans la pauvreté extrême, souligne l'OFSP.
De plus, 400 millions de personnes n'ont pas accès aux services de santé de base et 40% de la population mondiale vit sans couverture de santé, selon des chiffres de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et de la Banque mondiale, cités par le Conseil international des infirmières.
Ce dernier estime qu'il faudra neuf millions d'infirmières et d'infirmiers de plus d'ici à 2030 pour répondre aux besoins croissants au niveau mondial.
De son côté, l'OFSP rappelle que la Suisse s'engage au niveau international pour faire progresser la couverture sanitaire universelle. Dans le cadre de projets de coopération, elle aide notamment les pays partenaires à renforcer leur système de santé. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/sante/role-cle-infirmieres-acces-soins/story/22512857
LA VRAIE FAUSSE LISTE D'EXILÉS FISCAUX POLITIQUES DE PIERRE CONDAMIN GERBIER
RépondreSupprimerpar JEAN-BAPTISTE GIRAUD
22/08/2013
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15 noms de politiques français coupables d'évasion fiscale.
On se pince à lire l'article de Mediapart paru mercredi 21 août tentant désespérément de se justifier en expliquant que Pierre Condamin Gerbier n'avait jamais promis de « liste » de 15 hommes politiques français accusés par lui de posséder des avoirs en Suisse, et de facto, de se rendre coupables d'évasion fiscale.
Dans un long papier, Mediapart, à l'origine de l'affaire, se justifie « Car de « liste », Pierre Condamin-Gerbier n'a en vérité jamais parlé ! Voici ce qu'il déclarait le 3 juillet devant les députés de la commission Cahuzac : « En vingt ans d'expérience, j'ai été le témoin direct ou indirect d'un certain nombre de dossiers. J'aime peu la terminologie de liste car s'il s'agit de sortir une feuille A4 avec quinze noms dessus, cela ne vaut que le papier sur lequel c'est imprimé ». Cette "liste" n'est rien d'autre qu'une bulle médiatique, qui explose aujourd'hui à la face de ceux qui l'ont créée. »
Une liste ? Quelle liste ?
Ah bon ? Ce seraient donc les médias qui seraient coupables d'avoir imaginé une liste qui n'existe pas et dont Pierre Condamin Gerbier ne se serait jamais vanté d'être en possession ? Pourtant à reprendre ses interviews dans la presse, avant d'être incarcéré à son retour en Suisse mi-août, « pour avoir trahi le secret bancaire suisse » dixit Médiapart, mais bien en fait pour vol de documents et divulgation d'informations confidentielles chez ses anciens employeurs, « PCG » ne chipotait pas avec les mots.
Dans une interview au JDD, le 16 juin dernier, Pierre Condamin Gerbier semblait bien la posséder, cette liste : « Je peux simplement dire aujourd'hui qu'il y a dans cette liste de très grands noms de la politique française, des gens que l'on est habitué à voir sur les écrans de télévision. Il s'agit de personnages beaucoup plus familiers du grand public que ne l'était Jérôme Cahuzac? J'ai été entendu une fois dans le dossier Cahuzac, où j'ai expliqué des pratiques en général. Pour l'instant, je n'ai pas encore décidé de la façon dont je rendrai publique cette liste. J'attends que des conditions soient réunies, notamment en termes de protection et de sécurité pour ma famille. Je n'ai rien à gagner dans cette histoire. Au contraire.»
Même chose à la Tribune de Genève, quelques jours plus tard, le 22 juin « « Quand on avance des choses, il faut des éléments de preuve. Il y a une telle sophistication du fait de la multiplication de structures et des mouvements financiers que donner des bribes ne sert à rien. Sur les 15 noms qui figurent sur la liste, il y en a pour qui il y a déjà suffisamment d'éléments exploitables. Pour d'autres, j'attends encore des choses ».
Le lendemain, le 23 juin, au « Matin Dimanche », PCG en rajoutait une couche : « Ma liste d'élus français, je la dévoilerai lorsque je me sentirai en sécurité et que les filières judiciaires par lesquelles je les ferai passer seront sûres. (?) Je n'ai jamais croisé ni eu écho d'un compte de Jérôme Cahuzac chez Reyl. La liste de noms que j'espère pouvoir produire devant la justice française n'a aucun lien avec ce cas particulier. Il a à voir avec un système d'évasion fiscale qu'on me demande de décrire. Et des noms, en vingt ans de carrière, je peux en révéler, preuves à l'appui. » Le Matin Dimanche, 23/06/2013
Circulez, y'a rien à voir
RépondreSupprimerAujourd'hui, son avocat s'agite dans la presse, expliquant dans une longue interview à l'Agefi suisse (après avoir accusé l'Agefi d'être lié à son ancien employeur, la banque Reyl, car elle serait un gros annonceur du journal) que « cette liste n'a jamais existé » parlant de « moyen de pression maladroit » et relatant justement des pressions dont il aurait fait l'objet à l'époque. Curieux ! Faire état de l'existence d'une « liste » pour faire taire les pressions est assez cocasse. On dirait plutôt que la liste a fait « Pschitt » justement parce que des pressions se sont manifestées mais après l'annonce de l'existence d'une telle liste ?
Car il ne fait aucun doute que parmi les hommes politiques, les capitaines d'industrie et même les « simples citoyens » français pourvus d'un minimum de patrimoine et d'une once de jugeote, plus d'un se rend coupable d'évasion fiscale en le sachant, et en ayant mauvaise conscience, mais probablement bien plus souvent, en se considérant dans son bon droit.
Après, tout est une question de proportion : Les 650 000 euros (connus) de Cahuzac représentent un 3 pièces à Paris dans le 18 e arrondissement. Mais si certains politiques français jouent double jeu, et planquent des millions en Suisse ou ailleurs en ayant bonne conscience, c'est un autre problème. N'est ce pas Pierre Moscovici qui parlait mardi 20 août, sur Europe 1, de « matraquage fiscal », le reconnaissant formellement et annonçant son « ralentissement » en 2014 et l'inversion de la tendance en 2015 ? Il n'y aurait pas d'évasion fiscale sans matraquage du même nom. CQFD.
http://www.economiematin.fr/news-affaire-cahuzac-liste-politiques-exil-fiscal
COMMENT ACCOMPAGNER ET AMÉLIORER LA CYBERSÉCURITÉ DES PME ?
RépondreSupprimerpar JEAN-MICHEL BARBIER
02/04/2018
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92 % des entreprises françaises déclarent avoir subi une ou plusieurs cyberattaques en 2017.
Les paysages informatique et économique ont été marqués par de nombreuses attaques de ramsomwares ces derniers mois : Wannacry et NotPetya, pour ne citer qu’eux, ont touché des milliers d’entreprises à travers le monde.
En France, 92% des entreprises déclarent avoir subi une ou plusieurs attaques en 2017, contre 80% l’année précédente. Mais si les grands groupes et les TPE-PME sont confrontés aux mêmes menaces, les dégâts engendrés par une cyberattaque restent plus destructeurs pour ces dernières. Les PME représentent 50 000 victimes en France chaque année et près d’un tiers d’entre elles font état d’un impact financier contre seulement 7,2 % des grandes entreprises. En effet, sur le terrain de la cybersécurité, les entreprises ne se battent pas toutes avec les mêmes armes. Plus vulnérables et moins préparées aux attaques, les PME constituent une cible de choix pour les cybercriminels. Comment expliquer ce décalage entre les PME et les grands groupes ? Quelles solutions mettre en place pour aider les PME à mieux appréhender les failles de sécurité ?
Le coût conséquent des solutions de sécurité
Actuellement, de profondes disparités entre les entreprises marquent le paysage de la cybersécurité et les raisons sont, avant tout, d’ordre budgétaire. En effet, les plus petites structures n’ont généralement pas capacité à dégager des ressources financières dédiées pour adresser les problématiques de protection, généralement par manque de moyen ou à cause d’une mauvaise évaluation des risques. Or, les solutions existantes contre les cybermenaces représentent un coût important. A titre d’exemple, un grand groupe qui souhaite évaluer son niveau de sécurité s’oriente généralement vers un cabinet de conseil, prend le temps de réaliser un audit, attend les résultats et choisit les mesures adéquates (et souvent onéreuses) pour se mettre à niveau. Une démarche que peu de petites entreprises peuvent mettre en place.
Etant moins flexibles en termes de coûts et de temps que les grandes entreprises, les PME ont une vision beaucoup plus pragmatique de leur activité et se concentrent d’abord sur leurs tâches opérationnelles et la satisfaction de leurs clients. La sécurité de leur infrastructure informatique et la protection de leurs données n’intervient qu’en second temps, car ces mesures ne sont pas primordiales au développement immédiat de l’entreprise.
Le manque de compréhension des menaces
L’autre facteur qui explique le retard des PME est leur manque de maturité et de connaissances sur le sujet de la cybersécurité. Les petites entreprises semblent avoir bien du mal à se protéger correctement contre ces risques, avec 29 % des entrepreneurs en TPE-PME qui déclarent n’avoir rien changé à leur politique de sécurité à la suite d’une attaque.
En effet, à l’inverse des grands groupes, les PME ont rarement de postes et les ressources dédiés à la gestion de leur parc informatique et de leur sécurité. Responsable informatique, Chief Data Officer etc, ne font pas partie de leur paysage et cela ne facilite pas leur travail de compréhension des menaces.
En conséquence, 23 % d’entre elles se retrouvent avec une équipe de sécurité occupée par des tâches de maintenances et de gestion des outils de sécurité, plutôt qu’à effectuer des analyses révélatrices de l’état de santé de leurs infrastructures. 53% des équipes de cybersécurité existantes perdent un temps considérable à s’occuper d’opérations de routines (incident, mises à jour, etc.). L’enjeu actuel est donc double : aider les entreprises à évaluer leur niveau de sécurité et informer correctement les équipes opérationnelles sur la manière dont elles peuvent se protéger correctement des menaces. Car si les lois européennes sur la protection des données comme la RGPD par exemple, imposent aux entreprises de savoir exactement où se trouvent leurs données sensibles et comment elles sont protégées, la régulation ne donne cependant aucune piste sur la manière dont les entreprises peuvent financer leur cybersécurité par exemple ou savoir si elles sont suffisamment protégées. Difficile donc pour des PME de prévenir les autorités en cas de failles si elles ne disposent d’une visibilité précise de leur niveau de protection…
RépondreSupprimerLa solution : sensibiliser tout en s’adaptant aux contraintes des petites entreprises
En réponse à cette problématique, l’Anssi a initié des démarches pour démocratiser l’information aux PME sur tout le territoire, avec la mise en place entre autres, d’un site Internet complet sur la question : cybermalveillance.gouv.fr. Notre ministre de l’Intérieur a également insisté sur la nécessité de développer la lutte à l'échelle européenne afin de construire la résilience des PME dans les années à venir. ?
Aujourd’hui, il est urgent de poursuivre ce travail de sensibilisation, en apportant des solutions clés en main pour équiper les PME avec les bases de la sécurité. Le but n’est pas de couvrir toutes les fonctions mais d’instaurer une « première brique » de sécurité pour évoluer petit à petit vers une protection plus poussée, le temps d’identifier les besoins propres à l’entreprise et de s’adapter à son budget. Au fur et à mesure que l’entreprise se développe et gagne en maturité, des solutions de sécurité supplémentaires peuvent être ajoutées. Des tests de vulnérabilités peu couteux peuvent par exemple être initiés et permettre ainsi un suivi régulier de la surface d’attaque.
Externaliser le travail de protection auprès de prestataires comme les opérateurs de télécommunication est une option à envisager pour filtrer les menaces en contrôlant et en décontaminant le flux de données entrant sur le réseau de l’entreprise par exemple. Ce type de solution pensée pour l’entreprise dans son ensemble est à même de sécuriser les échanges que peuvent avoir les utilisateurs sur Internet ou avec leurs collaborateurs au sein de l’entreprise.
Apporter des protections basiques de sécurité aux PME tout en les éduquant, est une première étape vers la réduction des dégâts causés par les cyberattaques qui menacent profondément notre économie. Car au-delà de l’impact sur le chiffre d’affaires, c’est l’activité même de l’entreprise et sa chaîne de production qui sont en jeu, sans oublier bien sûr les préjudices humains (division des salariés, incertitude du dirigeant, faillite, etc.), les conséquences sur l’image de l’entreprise et sur l’aspect légal, à l’approche de la date butoir du devoir de conformité au RGPD, le 25 mai 2018.
http://www.economiematin.fr/news-comment-accompagner-et-ameliorer-la-cybersecurite-des-pmeo-
6063 EUROS
RépondreSupprimerPosséder un véhicule coûtait en moyenne 6 063 euros l'an dernier.
par OLIVIER SANCERRE
02/04/2018
La voiture individuelle a-t-elle encore un avenir ? Au vu des frais engrangés pour posséder un véhicule, il est permis de se poser la question. L'étude annuelle de l'Automobile club association (ACA) a calculé un coût vertigineux de possession d'une voiture.
En 2017, révèle cette étude annuelle publiée par Le Parisien, avoir une voiture a coûté 6 063 euros. Une somme conséquente, qui couvre divers frais : achat du véhicule, assurance, entretien, réparations, frais de stationnement, péages… et bien sûr le carburant dont les prix augmentent en même temps que la fiscalité. Avec un gazole qui a augmenté de 11,2% à la pompe, ou encore le sans plomb 95 qui dont le prix a progressé de 5,6%, l'essence est tout simplement le poste qui pèse le plus dans le budget de l'automobiliste.
Frais de carburant en hausse
Et cela ne va pas aller en s'arrangeant, en particulier pour les conducteurs de voitures diesel. Le gouvernement a la volonté d'aligner la fiscalité qui frappe le gazole (actuellement, elle reste très favorable) avec celle de l'essence. À terme, l'avantage compétitif du gazole va devenir nul. Les frais d'entretien ont également augmenté l'an dernier, de 3 % à 3,9 % en fonction des marques. Les primes d'assurance présentent elles une facture plus élevée de 1,6%. Et puis le coût d'une voiture neuve ne cesse d'augmenter ; en fait, il n'a jamais été aussi dispendieux d'acheter une voiture neuve, avec un prix en moyenne de 25 828 euros.
De plus en plus cher de rouler
La hausse globale des coûts d'une voiture a été de 3 à 4,6% par rapport à 2016, selon la motorisation du véhicule. Posséder une voiture n'a jamais été autant pesé sur le portefeuille de l'automobiliste, qui peut se demander s'il est bien opportun d'avoir un tel gouffre au garage ! Car rouler en voiture est de plus en plus difficile, entre les mesures anti-pollution et les villes qui font la chasse aux automobiles dans leurs centres.
http://www.economiematin.fr/news-rouler--voiture-coute-plus-en-plus-cher
LOCATION DE BATEAU : UN CONCEPT INNOVANT ET PRATIQUE !
RépondreSupprimerpar PARTENAIRE
06/04/2018
Premium avec Multipass
Optez pour la location de bateau : la solution idéale pour gagner de l'argent tout en faisant naviguer son bateau ! On vous explique en détails ici*.
Comment mettre son bateau en location ?
La location de bateau est un bon moyen de rentabiliser son bateau. Grâce à ce concept, vous en profitez également pour le faire naviguer au lieu de le laisser à quai, ce qui idéal pour entretenir son bateau.
Vous êtes l'heureux propriétaire d'un voilier, catamaran, péniche, ou encore jet-ski et vous souhaitez faire profiter d'autres passionnés de bateaux de votre bijou nautique ? Dans ce cas, nous vous expliquons en détails comment louer son bateau facilement.
Quelles sont les démarches pour louer son bateau ?
Pour commencer, il s'agit de vous créer un compte sur un site de location de bateau. Sur click&boat.com, créer un compte reste totalement gratuit. Dans un premier temps, il s’agit de remplir votre profil ainsi que votre CV nautique.
Vous devrez ensuite choisir le type de bateau et remplir un formulaire adapté. Vous pourrez ensuite partager votre annonce avec le reste de la communauté. Il est recommandé de la mettre en valeur avec une description détaillée ainsi que des photos.
Vous recevrez ensuite des messages et des demandes de réservation par les membres intéressés par votre bateau. Vous pouvez échanger des messages avec le locataire avant que celui-ci n'effectue sa demande de réservation, ce qui vous permet de vous mettre d'accord sur les différents détails de la réservation, les horaires, les conditions etc... Vous pourrez également en profiter pour consulter le CV nautique du locataire et de lui demander plus de détails si besoin.
Une fois la réservation acceptée et validée de votre côté, vous pourrez obtenir toutes les coordonnées de votre locataire, et enfin le rencontrer pour les détails pratiques de la location comme la signature du contrat de location, l'état des lieux, et la remise des clés.
Enfin, une fois la location effectuée, vous pourrez évaluer vos locataires, ce qui permettra aux prochains propriétaires de choisir plus facilement leurs locataires.
Louer son bateau via un site de location de bateau entre particuliers
Cette solution est extrêmement pratique et rapide : Click&boat est la plateforme leader en France qui permet de mettre en relation chaque propriétaire de bateau avec son locataire.
Les atouts de cette solution sont nombreux :
- Vous pouvez louer librement votre bateau, sans contrainte ni engagement.
- Votre annonce gagnera en visibilité sur un site de location de bateau entre particuliers, en fonction de votre profil et des avis que vous recevez. Le site propose d’ailleurs une mise en avant des propriétaires de la semaine.
- Les frais liés à l'entretien et les réparations du bateau sont à la charge du propriétaire. En contrepartie, vous serez mieux accompagnés sur une plateforme dédiée aux particuliers : les frais de location sont réglés en ligne par le locataire, ce qui assure des garanties pour le propriétaire.
RépondreSupprimerPour en savoir plus sur la location de bateau, cliquez ici.
Louer son bateau via une société de gestion-location
A l'heure des services de location entre particuliers, des sociétés facilitent le travail des particuliers en leur proposant de louer à leur place leur bien, c’est le cas de services de conciergerie par exemple, ou dans des sociétés de gestion-location de bateau.
Les avantages de cette solution :
- Le propriétaire gagne de l'argent grâce à la location du bateau : c'est lui qui fixe les prix, sans avoir d'intermédiaires ni de commission à verser.
- C'est le propriétaire qui gère son calendrier : quand il souhaite louer son bateau ou non.
- Pour le locataire, c'est au loueur, donc à la société de gestion de s'occuper de la commercialisation du bateau, de l'état des lieux de départ et de retour. Un avantage pour le propriétaire si celui n’est pas disponible, mais qui a un coût.
- L'entretien annuel du bateau est parfois pris en charge par la société de gestion même si les frais généraux restent à la charge du propriétaire.
http://www.economiematin.fr/news-location-de-bateau-concept-innovant-et-pratique
* Primo votre 'bateau' est 'hors'd'usage', 'bon-la-casse' et vous payez l'anneau ! Solution: Transportez des immigrés ! Houais ! Plus t'en met (des cons) plus t'en reçois (du fric) et, de plus, pour concurrencer les drones, tu peux charger du 'h' et des flingues pour le prix d'un rapatrié !! Pas belle la mort ?
SupprimerLassant et mensonger
RépondreSupprimerle décembre 13, 2015
par Michel de Rougemont
Il n’était plus possible ni désirable de passer en revue les articles et émissions de radio/TV qui chantent la messe de la causa climatica et de la culpabilité que homo sapiens porterait à précipiter un dérèglement d’un système qui n’a jamais été régulé. Pourtant il y a a des perles qui méritent d’être relevées.
J’ai laissé ce billet en premier de la liste et l’ai étendu au fur et à mesure que, pas trop fatigué et dégoûté, je trouvais l’un ou l’autre de ces pets pourris.
La conférence COP21 de Paris maintenant terminée, ce billet réintègre l’ordre chronologique.
Voici les brèves récoltées:
Last but not least, 12 décembre 2015
Un document de 32 pages contenant les décisions de la conférence COP21 de Paris ainsi que le texte de ce qui s’appellera l’Accord de Paris (Paris Agreement) a été adopté hier.
Ce n’est pas une des lectures les plus faciles.
Il y trois nouvelles, une horrible, une très mauvaise et une moins mauvaise:
l’horrible: une sorte de début de gouvernance mondiale est mise en place pour donner ses instructions aux pays parties prenantes.
la très mauvaise: plus aucune restriction n’est donnée au dogme du changement climatique anthropique, causé par les émissions de gaz dits à effet de serre.
la moins mauvaise: à part une forme coercitive liée à la transparence des buts et des progrès des pays signataires, il n’y a pas de mécanisme contraignant.
Tout ça est vite dit ici. Un article plus détaillé suivra.
Samedi 12 décembre
La citation la plus intelligente que j’ai pu lire dans mon quotidien:
Hätte, wäre, wenn… Das ist die Zukunft. Wer kennt die schon ?
Son auteur n’est hélas pas un délégué de la Suisse à la COP21.
Qui est-ce ? Breel Embolo, footballeur bâlois
, 18 ans.
Vendredi 11 décembre 2015
Ça y est, heilige Doris est à Paris pour négocier un accord sur le climat. Rassurons-nous, celui-ci n’a pas besoin de tant de sollicitude. Mais comment va-t-elle faire pour décider aujourd’hui, au sein du Conseil fédéral renouvelé d’un membre, de la répartition des départements, entre autre le mini-vatican écolo-énergétique qu’elle dirige ? Ne serait-ce pas là une négociation plus utile que les futilités climatiques, ruineuses et injustes ?
N’oublions pas: la COP21 est une conférence autour de gros sous. Le climat ? on doit s’en moquer car il ne se laisse de toute manière pas réguler. Alors, prix de l’indulgence moderne, la Suisse devrait s’engager pour 300 millions de francs par an dans un Green Climate Fund, fromage appétissant qui va nourrir bon nombre de consultants du Nord qui prodiguerons leurs conseils aux états, la plupart dysfonctionnels, du Sud. Le Parlement et le peuple ont-ils approuvé cette ligne de budget ? Vient-elle au détriment des aides au développement qu’organise la DDC (Direction du développement et de la coopération) ?
Jeudi 10 décembre 2015
RépondreSupprimerIl parait qu’une première version d’un accord à la COP21 est rédigée. Je m’abstiens d’en pouiller les détails car ça va encore changer.
Mais on nous annonce que la fameuse limite du réchauffement à 2 °C ne serait pas atteinte et que les « promesses » des gouvernements feraient que ça chaufferait de 3 °C. Et en même temps on dit avec fierté que cette limite de 2 °C devra être rabaissée à 1,5 °C pour que l’urgence et la gravité de la situation soient bien présentes aux esprits.
Cette limite de 2 °C, ou quelque autre chiffre, est de l’enfumage politique. Personne n’est capable de l’établir sauf des mains levées dans un vote, dans une assemblée non qualifiée pour le faire. La pythie de Delphes ne renierait pas tel oracle: impossible à justifier et impossible à vérifier. Et puis fixer un chiffre plus sévère avec une décimale après la virgule ça fait plus scientifique, non ?
À -10 °C on sera sûr de se geler les burnes.
Dimanche 6 décembre 2015
Dans la presse du dimanche, toujours avide de scoop:
l’OFEN (Office fédéral de l’énergie) doit pour la première fois de son histoire réunir un état-major de crise car l’approvisionnement électrique de la Suisse ne serait pas assuré cet hiver. Les raisons: faibles pluies en été et en automne donc faibles débit des rivières et réserves insuffisantes dans les lacs de retenue, et aussi entretien prolongé à la centrale nucléaire de Beznau. On apprend que les capacités de transformation ne sont pas suffisantes pour importer et injecter dans le réseau du courant qui serait sinon abondant. Tiens, tiens ! L’autonomie énergétique du pays pourrait ne pas fonctionner, alors même qu’au cours de l’année la Suisse est pourtant exportatrice nette. Le réseau n’est pas adapté à une telle situation, importante mais rare, c’est pas smart ça. Que se passerait-il avec un 30-40 % de sources intermittentes, tel que le prévoit la stratégie énergétique du Conseil fédéral et qui, à croire les mêmes prêtres-fonctionnaires de l’OFEN, devrait ne présenter aucun problème ?
Samedi 5 décembre 2015
Rétropédalage des climato-alarmistes: eux-même disent maintenant que si l’accord à trouver à la COP21 n’était pas contraignent ça ne serait pas si grave car la « prise de conscience » aura été universelle. Dame Nature dit un grand merci à tous ces gens qui lui montrent autant de sollicitude. Pourtant il est plus probable qu’ils pressentent le vent du boulet de canon ; on verra. Ma conscience n’étant ni prise en otage ni universelle je m’étonne toujours et encore de ce rouleau compresseur qui s’est mis en marche. Il ne m’a pas encore écrasé mais il faut que je me méfie.
Le 4 décembre 2015
Hier Mme la Conseillère fédérale Leuthard s’est fait retoquer sa proposition de loi sur l’environnement par le Conseil des États. Elle voulait instaurer encore plus de dirigisme afin de passer d’une économie du tout jetable (comme si c’était encore le cas aujourd’hui) à la circularité (attention ce mot devient à la mode pour ne rien dire, et ceux qui l’utilisent ne se demandent jamais si c’est théoriquement et pratiquement possible). Selon le journaliste (BaZ du 4.12) elle ne s’en désole que peu car elle dit savoir qu’elle a raison car la science serait de son côté. Ça c’est du leadership: se garantir une ignorance distillée par des clercs mal choisis pour s’obstiner à ne pas comprendre par soi-même.
Le 3 décembre 2015
RépondreSupprimerRien de plus à l’horizon, le pilonnage est incessant; quand les canons s’arrêteront, sera-ce pour lever le drapeau blanc ou pour passer à la curée ?
Si je pose cette question c’est parce que la proposition devient insistante de traduire en justice les hérétiques et autre sceptiques qui n’admettent pas la doctrine climatique dont la messe est chantée à Paris ces jours. Ça pourrait être amusant car les charlatans giecquois seraient enfin mis en demeure de prouver que j’ai tort. Dire que je ne suis pas compétent (faux) ou prétendre que je serais affilié à de sombres intérêts (faux) ne suffirait plus. Ou alors sanctifiera-t-on la doctrine en votant une de ces lois liberticides similaire à celles sur le négationnisme ? Cela n’est même pas nécessaire car un vote parlementaire avec une majorité de 50,1 % suffirait pour statuer dans un articulet du code pénal que ne pas traiter le gaz carbonique comme un polluant —molécule pourtant si indispensable à la vie— serait qualifié de crime contre l’humanité. J’exigerais alors que le bûcher soit fait de bois certifié bio.
Le 1er décembre 2015
Non, l’extrapolation du modèle simpliste n’a pas fonctionné : aujourd’hui n’est pas le 31 novembre 2015.
Téléjournal hier: l’air ambiant à Pékin (Beijing) est irrespirable. On veut bien le croire en voyant les scènes grises prises sur la ville. Mais allègrement on présente cela en relation directe avec les effets -ou les causes, on ne sait pas trop car ces sont des journalistes pressés et peu cultivés qui le disent- des divagations du climat. Ignares ou radoteurs, il ne leur reste que la désinformation.
Page internet du Temps (l’édition intégrale pdf n’est plus accessible sans payer). Réponse à des questions de lecteurs.
Dessibourg, spécialiste scientifique du journal, à propos de ce qu’on ne sait pas: « … Il reste encore des incertitudes, par exemple sur le rôle exact des nuages. » Ce qu’il ne dit pas est que c’est si prépondérant que de ne pas bien le savoir fait que toute analyse ou prédiction aura autant de valeur que le tas de détritus que formera un jour l’ordinateur qui les a calculé.
Le même, plus loin : « Comme vous le voyez, nombre de paramètres ont déjà été posés. On discute vraiment des détails, mais plus des grandes lignes. » C’est bien ça qui est le big problem : on négocie les modalités sans plus même savoir si la raison d’être de l’action se justifie. Et à mon de moins en moins humble avis, cette conférence et ces négociations n’ont pas de raison d’être.
Le 30 novembre 2015
Un week-end passé à se préoccuper d’autre chose que du temps qu’il pourrait faire, ça change.
Mais tout de même il y a de quoi grincer. Il faut exiger dans les protocoles d’opération des cameramen de télévision que lorsqu’ils filment une « foule » cela se fasse avec une perche d’au moins cinq mètres de haut afin que chacun puisse se rendre compte par lui-même s’il y a du monde derrière les premier rangs d’une marche ou d’une manifestation de rue. Au téléjournal de hier on a ainsi vu qu’une soi-disant marche pour le climat (ou contre celui-ci, je n’y ai jamais rien compris) s’était faite dans plusieurs villes du monde. Et en analysant les images on constate que ça tenait plus de la réunion de quartier que de la mobilisation de masse. Enfumage mensonger !
Et puis il y a la non-marche de Paris. On a déposé des souliers sur la place de la République. Cela ressemble à l’entrée d’une mosquée le vendredi. On nous montre ceux du Pape François en voisinage avec d’autres anonymes, Ban Ki Moon secrétaire général de l’ONU, ou autre dame et monsieur tout le monde du show business. Le ridicule ne tue pas mais doit quand même faire vivre moins longtemps car ça doit être épuisant.
RépondreSupprimerLe 27 novembre 2015
Rien, ou plutôt tout et n’importe quoi. Lassant.
Mais bien ceci, qui n’est pas réchauffant mais qui est l’indice d’une pathologie galopante : le directeur d’un gymnase (lycée) de la région bâloise a décidé d’annuler tous les voyages d’étude de toutes les classes de son établissement jusqu’à la fin de l’année scolaire (été 2106), au titre du danger terroriste.
Il n’y a qu’une question à lui oser: celle de la position spatio-temporelle de sa colonne vertébrale.
Bribes du 26 novembre 2015
Le gouvernement genevois s’engage résolument. Il communique que …des amendes [sont] envisagées pour les propriétaires qui n’auront pas assaini les fenêtres de leurs bâtiments au 1er février 2016. Voilà un écologisme bien punitif pour, rappelons le, soutenir une lutte contre le gaz carbonique qui est futile, ruineuse, et injuste.
Les salauds de propriétaires paieront et passeront la facture aux locataires qui protesteront. Ça ressemble à de l’anti-capitalisme masqué sous le cache sexe de la « protection » du climat.
2015 pourrait être l’année la plus chaude jamais enregistrée et la température moyenne en surface pourrait passer le seuil symbolique des 1 °C de réchauffement depuis l’ère préindustrielle (1880-1899), indique mercredi un rapport de l’Organisation météorologique mondiale (OMM).
Si c’est dit à la radio et à la TV et reproduit dans tous les journaux ça doit donc être vrai (« es stand im Blick »).
Bizarre: publier un rapport sur 2015 avant que l’année soit terminée. Et, comme toujours, sans même indiquer les marges d’erreurs connues dans ce genre d’évaluation.
Les faits: depuis 1998 aucun changement significatif de la température globale à la surface de la terre n’est observé. Le mot significatif a ici une signification signifiante: scientifique.
Oui, nous somme à un haut niveau de température, un chouïa de plus et un record se brise. Mais quel est la tendance? celle des modèles s’envole, la réalité stagne.
Younergy, une start-up qui conçoit et installe un système solaire sans paiement initial de la part du propriétaire de la maison. En échange du courant solaire produit, ce dernier paie un abonnement à Younergy.
Sans moquerie je trouve ça génial. Le business plan de Younergy doit être farci de mécanismes de récupération de subventions, rétributions à prix coûtant, etc. S’ils gagnent beaucoup de clients, ceux-ci seront traits comme des vaches et le pouvoir de lobby des cleantech sera renforcé. Un bémol: que se passera-t-il lorsque ces mécanismes d’extorsion et de redistribution seront enfin supprimés. En fin de compte ce n’est pas si génial, car ce n’est pas durable.
Infrarouge à la TV Suisse romande le 24 novembre 2015
À ne pas revoir à http://www.rts.ch/emissions/infrarouge/
RépondreSupprimerVoilà une émission où, en fin de compte, il vaut mieux ne pas avoir été convié.
Il parait que la discussion climatique devait prendre un autre tournant suite aux massacres de Paris et Sharm el Sheik. Allez savoir pourquoi !
Pas un seul participant pour exprimer que la mobilisation contre le gaz carbonique est futile, ruineuse et injuste.
Tous ont intégré le dogme « Homme -> Mauvais climat », même le représentant des patrons vaudois.
Et ce tournant fut pris par l’inévitable Dominique Bourg, professeur de soi-disant « philosophie » à l’Université de Lausanne, un cuistre « sachant » de première classe. Il n’est pas climatologue mais il en sait tout, sauf qu’il ne veut pas savoir que ce tout dont il se prévaut ne repose que sur des spéculations modélistiques. Non, il n’a pas dit qu’il y a une relation entre le flux de réfugiés syriens et le réchauffement du climat. Mais il l’a si fortement laissé entendre que c’est comme s’il l’a dit. Quel con !
Il y a de ces avocats que les tenants d’une cause devraient éviter d’avoir. Son comportement et ses assertions catégoriques ont magnifiquement contribué à rendre sa cause inaudible.
Et puis il y a la climatologue de service. Elle dit que ce qui rend particulier et dangereux l’épisode climatique dans lequel nous vivons c’est la rapidité de son évolution, en cela causée par les [mauvaises] actions humaines. Elle a deux fois tort, mais elle le dit avec une mine si malheureusement soucieuse qu’on a envie de lui tendre une pièce. Ce bon ton est bien connu chez les vieux protestants expliquant le sentiment de culpabilité qu’il faut avoir si l’on n’œuvre pas au nom du seigneur. Et son seigneur semble être le GIEC.
Il y a aussi cet ex banquier, entrepreneur et promoteur immobilier qui a maintenant consacré sa vie à la décroissance sélective. Encore un qui ne peut avoir que raison puisque le fondement de son approche est dogmatique. Il est irréfutable. Et ce d’autant plus qu’il ne laisse à personne l’occasion de parler, même à la Mamarbachi qui en a pris pour son grade au cours de cette émission.
Un bon point cependant: celui qu’on a bien compris que la causa climatica était devenue un fourre-tout.
Le Temps du 24 novembre 2015
600 000 morts à cause des catastrophes climatiques.
Les catastrophes naturelles, toujours plus fréquentes, ont tué quelque 600 000 personnes en vingt ans, a annoncé lundi l’ONU, soulignant l’importance de trouver un accord lors de la conférence COP21 à Paris sur le changement climatique.
Les salauds: ils officialisent ce que même les climatologues les plus alarmistes se refusent à faire : confondre événements rares et naturels dont la fréquence et l’intensité n’a pas changé depuis qu’on les mesure avec un effet de changement du climat que l’on est incapable de déceler. À quand les éruptions volcaniques ?
Et puis : 600’000 décès en vingt ans, soit 30’000 par an. En 2013 le nombre total de décès dans le monde était de 56 millions.
Dans le même Temps de même 24 novembre 2015
Une demi page de Ban Ki Moon, secrétaire général de l’ONU.
Il se met bien sûr au service des génération futures, on en pleurerait de joie.
RépondreSupprimerMais aussi il appelle à une gouvernance mondiale pour résoudre un faux problème global, avec à la clé une nécessaire redistribution de fonds des pays du nord, coupable de s’être développés, à ceux du sud, victimes durables et éternelles.
Non, non, il ne s’agit surtout pas de lutte pour un pouvoir global à saisir. C’est juste une question si chère à [son] cœur.
https://blog.mr-int.ch/?p=2749
La mise en place de cette 'petite gouvernance mondiale de merde' appelée 'COP', est d'empêcher les chaleur reçues sur Terre (mention Très bien) par: Le soleil (saisonnièrement) et par Les sources chaudes magmatiques (sous-océaniques et sous-marines) de... ne pas dépasser les 2°C voire 1,5°C sous peine d'amende !!! que devront payer les 7 milliards de volcanologistes sous peine de dépassement du seuil de degrés !!!
SupprimerC'est PAS une blague mais bien la dictature de merde qui n'a fait appel à AUCUN scientifique pour faire cette déclaration !!! et désigne comme responsables tous les habitants de la planète Terre comme étant responsable des sautes d'humeur solaire ou magmatique !
Lobbying pour l'esclavage au Brésil
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mon, 04/09/2018 - 01:00
Quelque 10 % des meilleurs hommes politiques brésiliens ont reçu des dons de sociétés impliquées dans des scandales impliquant l'esclavage moderne. Comme le note Patrick Wagner de Statista, même si les dons aux politiciens ne sont pas illégaux au Brésil, l'argent reçu est d'origine douteuse.
Les donateurs incluent JBS - le plus grand producteur de viande du monde - et d'autres entreprises qui peuvent être trouvées sur la «liste sale» du Brésil pour le travail d'esclave. Plus de 41 % de tous les bénéficiaires font partie du caucus ruraliste influent, une faction du Congrès désireux de révoquer les droits fonciers des communautés autochtones et de limiter les efforts pour combattre l'esclavage.
Le tableau suivant montre les principaux bénéficiaires et leur affiliation à un parti.
- voir tableau sur site -
Infographie: Lobbying pour l'esclavage au Brésil | Statista
Un total de 16 % de tous les députés parlementaires du Mouvement Démocratique Brésilien (MDB), le parti du président Michel Temerand a destitué la présidente Dilma Roussef a reçu ces dons. Le Parti des Travailleurs de gauche (PT) de l'ancien président Lula da Silva, actuellement emprisonné pour corruption, a même reçu 20 % des dons des entreprises figurant sur la «liste noire».
https://www.zerohedge.com/news/2018-04-08/lobbying-slavery-brazil
Comment les lois sur le contrôle des armes pour les «malades mentaux» pourraient désarmer ceux qui remettent en question l'autorité
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 04/09/2018 - 00:05
Auteur de John Vibes via The Free Thought Project,
Dans le débat croissant sur le droit naturel à la légitime défense, l'une des méthodes de contrôle des armes à feu les plus populaires a été la restriction de la possession d'armes à feu pour les personnes considérées comme atteintes de maladie mentale.
C'est une mesure qui est souvent suggérée par les libéraux et les conservateurs, mais il est important de s'arrêter et de réfléchir à ce que cela pourrait impliquer.
Quand un groupe collectif est interdit de posséder une arme à feu, ils sont effectivement transformés en citoyens de seconde classe. Dans le cas de la maladie mentale, cette classification est si vague et ouverte à l'interprétation qu'elle pourrait éventuellement s'appliquer à plus de la moitié de la population, selon les critères que vous utilisez.
La maladie mentale peut être très difficile à identifier puisqu'il n'y a aucune sorte de test officiel pour la plupart des conditions, la plupart des gens sont diagnostiqués selon les opinions subjectives des médecins qui les observent. Même les conditions les plus graves, comme la schizophrénie, peuvent être très difficiles à identifier et sont souvent mal diagnostiquées.
Les médicaments psychiatriques sont un autre facteur possible qui pourrait rendre une personne marquée par le gouvernement comme mentalement instable, mais une classification comme celle-ci permettrait de désarmer une grande partie de la population américaine.
Selon une étude réalisée en 2016 par JAMA Internal Medicine, plus d'un Américain sur six utilise un type de médicament psychiatrique. Cela ne veut pas dire le grand nombre de personnes qui signalent des symptômes de dépression ou d'anxiété et ne prennent pas de médicaments.
Une politique comme celle-ci pourrait également permettre au gouvernement de désarmer les dissidents et les ennemis politiques. Au fur et à mesure que la psychiatrie devint plus influente vers le milieu du 20ème siècle, les dirigeants du monde entier commencèrent à utiliser la «maladie mentale» comme une excuse pour enfermer tous ceux qui pourraient être en désaccord avec eux. Le régime soviétique est devenu célèbre pour cette pratique en qualifiant tous les dissidents politiques de «malades mentaux» afin qu'ils puissent être enfermés dans des institutions où ils n'étaient pas une menace pour l'establishment.
Le gouvernement des États-Unis a également une longue histoire de gifler les citoyens indisciplinés avec la marque de la maladie mentale. Le président Franklin Roosevelt a appelé ses détracteurs «la frange lunatique», et ce type d'attitude à l'égard des activistes a continué jusqu'à aujourd'hui dans les couloirs du gouvernement.
Dans le dictionnaire des maladies mentales, connu sous le nom de DSM-5, publié par l'American Psychiatric Association, il y a en fait une condition répertoriée pour les personnes qui ont un problème d'autorité. Oppositional Defiant Disorder est un nom que les psychiatres ont inventé pour identifier les enfants qui ne feraient pas ce qu'on leur dit, et maintenant même les adultes sont diagnostiqués avec cette condition.
Pendant ce temps, les politiciens et les grands médias n'hésitent pas à qualifier de «théoricien de la conspiration» toute personne qui remet en question le récit officiel, terme faussement associé à la maladie mentale dans la culture pop.
RépondreSupprimerUne étude réalisée en 2017 visait à déterminer si la croyance aux théories du complot était ou non une forme de maladie mentale. Comme prévu, ils ont trouvé la réponse exacte qu'ils recherchaient, les gens qui ne font pas confiance au gouvernement et aux médias traditionnels sont fous et souffrent de ce qu'on appelle la perception illusoire des motifs.
La discussion sur le désarmement des personnes accusées d'avoir une maladie mentale pose un autre dilemme: les personnes souffrant de troubles mentaux sont 10 fois plus susceptibles d'être victimes de violence que le reste de la société parce qu'elles sont souvent considérées comme cibles faciles.
Pour compliquer encore les choses, ces personnes ne peuvent pas dépendre de la police pour les aider dans ces situations, car des études ont montré que les malades mentaux sont 16 fois plus susceptibles d'être tués par un policier que la moyenne des personnes.
Selon le Treatment Advocacy Centre, basé en Virginie, un minimum de 1 à 4 rencontres de police mortelles met fin à la vie d'un individu atteint d'une maladie mentale grave.
Empêcher les personnes atteintes de maladie mentale de posséder des armes à feu est une forme grave de discrimination «capacitaire» et ouvre également la porte à presque toute personne pouvant être considérée comme souffrant de maladie mentale.
Il y a parfois des cas extrêmes où l'instabilité mentale d'une personne crée une situation dangereuse pour la communauté, comme le récent tir de Parkland, par exemple. Dans ce cas, le tireur avait des antécédents connus de violence, faisait régulièrement des menaces et a été visité par la police à de nombreuses reprises à cause de son comportement menaçant. Dans de tels cas, il est raisonnable de garder un œil sur quelqu'un, de restreindre son accès aux armes à feu, ou peut-être de les mettre en quarantaine dans la société dans les situations les plus extrêmes.
Il y a beaucoup de lois sur les livres qui auraient permis au FBI ou à la police locale d'intervenir lors de leurs premières rencontres avec le tireur, mais ils ont décidé qu'un étudiant était connu pour ses débordements violents.
Il y a beaucoup de lois sur les livres qui auraient permis au FBI ou à la police locale d'intervenir lors de leurs premières rencontres avec le tireur, mais ils ont décidé qu'un étudiant connu pour ses violentes explosions et ses bavures ne méritait pas d'être examiné.
Comme TFTP l'a rapporté plus tôt ce mois-ci, il existe une loi sur les livres connue sous le nom d'ERPO, qui est entrée en vigueur en juin 2017. Cette loi est utilisée lorsqu'une personne est considérée comme une menace «extrême» la police et les membres de la famille. Un ERPO doit être approuvé par un juge et ce n'est qu'après que cette personne s'est révélée être un danger pour elle-même ou pour autrui que la police peut intervenir pour confisquer ses armes.
Ces types d'approches ciblées visant spécifiquement les personnes qui sont une source connue de violence dans la communauté feraient bien plus pour prévenir les tragédies qu'une loi de portée générale qui pourrait menacer les droits et la sécurité de millions de propriétaires d'armes à feu innocents.
RépondreSupprimerhttps://www.zerohedge.com/news/2018-04-08/how-gun-control-laws-mentally-ill-could-disarm-those-who-question-authority
Primo, comme tout le monde a déjà fumer ou bu de l'alcool (ou que des bouteilles vides ont été retrouvées en placards ou poubelles), il demeure les traces ! Et çà... Çà suffit à tout le monde d'empêcher le citoyen honnête de se défendre contre les criminels qui rigolent un peu plus loin !
Supprimerhttps://www.lewrockwell.com/2018/04/no_author/how-gun-control-laws-for-mentally-ill-could-disarm-those-who-question-authority/
SupprimerDans la dernière humiliation pour Bruxelles, Viktor Orban remporte les élections de Hongrie dans la victoire des glissements de terrain
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, du 04/08/2018 à 17h30
Dans le dernier embarras pour la création de l'Europe, Viktor Orbán, le dirigeant hongrois ostracisé par le président hongrois Viktor Orbán, qui a mené une vendetta acharnée contre George Soros l'année dernière, vient de remporter une victoire écrasante aux élections législatives de Hunary.
Plus tôt dimanche, 8 millions de Hongrois se sont rendus aux urnes pour élire un parlement de 199 sièges aux élections générales de 2018, dont beaucoup s'attendaient à voir le Premier ministre sortant Viktor Orbán et son parti de droite Fidesz remporter son troisième mandat consécutif. Et, comme cela a été évoqué à maintes reprises, la campagne d'Orban avait été centrée sur les politiques anti-immigration, un sujet particulièrement sensible non seulement en Hongrie et en Europe centrale, mais aussi à travers le vieux continent.
Ses principaux concurrents sont Gergely Karacsony, un candidat des partis socialiste et du Dialogue; et Gabor Vona du parti nationaliste d'extrême droite Jobbik, ou plutôt parce que selon le site Internet du bureau des élections hongrois, le parti Fidesz du Premier ministre Orban a remporté une victoire écrasante et écrasante selon les résultats préliminaires avec 69 % des voix comptées.
Fidesz avec 49,5 % des votes de la liste des partis, correspondant à la plupart des sondages pré-électoraux
Ancien Jobbik d'extrême droite, deuxième avec 20 % des votes de liste, Socialistes de 11,9 %
Les partis LMP et DK sont également sur le point de dégager un seuil parlementaire basé sur le nombre partiel
En d'autres termes, le parti Fidesz d'Orbán a obtenu la majorité absolue et peut même atteindre la majorité des deux tiers des 133 sièges, assez pour poursuivre un amendement constitutionnel, rendant la vie de George Soros en Hongrie encore plus insupportable.
- voir graphique sur site -
Il n'est pas surprenant que la quasi-totalité de la campagne hongroise ait voté pour Orban, tandis que dans la polarisation continue des villes et villages contre la campagne en Europe, l'opposition a conquis les centres urbains du pays.
- voir carte sur site -
@EuropeElects
Hongrie: Glissement de terrain pour Orban's Fidesz (PPE) dans la campagne, l'opposition de centre-gauche gagne les centres urbains (65 % comptés). # Valasztas2018 #Hongrie
23h03 - le 8 avril 2018
Le résultat des élections signifie que le tracker populisme de la Deutsche Bank, déjà à son plus haut niveau depuis la Seconde Guerre mondiale ...
- voir carte sur site -
... devrait encore augmenter, alors que l'Europe continue de rejeter à la fois le «nouvel ordre mondial mondialisé» et la vision libérale de l'immigration qu'Angela Merkel a tenté d'imposer à l'Europe en 2015, et qu'elle a lamentablement échoué.
https://www.zerohedge.com/news/2018-04-08/latest-humiliation-brussles-viktor-orban-wins-hungary-elections-landslide-victory
Quand on demande au Peuple de parler sur l'immigration... çà s'appelle la Démocratie !
SupprimerReste juste à changer la Constitution.
Les pays en développement doivent mener la recherche en géoingénierie solaire
RépondreSupprimer03 AVRIL 2018
Selon Atiq Rahman, Paulo Artaxo, Asfawossen Asrat, Andy Parker et 8 cosignataires, les pays les plus vulnérables au changement climatique doivent conduire des discussions sur la modélisation, l'éthique et la gouvernance.
A. Atiq Rahman,
Paulo Artaxo,
Asfawossen Asrat &
Andy Parker
Les gens du Sud sont en première ligne du changement climatique. Alors que les températures mondiales grimpent, le Groupe intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) prévoit une érosion des petits États insulaires1, une baisse de la production alimentaire dans de nombreuses régions d'Asie2, un stress hydrique en Afrique3 et une perte importante de biodiversité en Amérique du Sud4.
Les pays en développement se sont prononcés sur la politique climatique. Les liens entre la justice climatique et le développement sont maintenant acceptés, tout comme l'idée que les nations ont des responsabilités communes - les émetteurs sont responsables des impacts ressentis ailleurs. Bien qu'ils aient eux-mêmes émis très peu de gaz à effet de serre, les pays les moins développés et les petits États insulaires du monde ont exigé que l'accord de Paris sur le climat de 2015 exige que le réchauffement soit maintenu bien en dessous de 2 ° C. exploré.
Mais il y a une limite à ce que les populations menacées par l'élévation du niveau de la mer, la perte de biodiversité, les sécheresses et les ouragans peuvent faire. L'atténuation du changement climatique est cruciale. Les réductions d'émissions convenues à Paris ne sont pas suffisantes - elles porteront le monde à une hausse de 3 ° C (voir go.nature.com/2u3ybkh). L'adaptation est donc essentielle. À mesure que l'ampleur des dégâts augmente, de plus en plus de pays se tourneront vers les dispositions «pertes et dommages» de l'accord de Paris. Et ceux-ci sont vagues: qui devrait payer combien, et à qui, pour l'agriculture perdue ou les moyens de subsistance de pêche ? Quelle taille de chèque compenserait la destruction des récifs coralliens ?
Dans ce contexte, la géoingénierie solaire - l'injection de particules d'aérosols dans la stratosphère pour réfléchir un peu la lumière du soleil entrant - est considérée comme un moyen de refroidir rapidement la planète. La technique est controversée, et à juste titre. Il est trop tôt pour savoir quels en seraient les effets: cela pourrait être très utile ou très dommageable. Les pays en développement ont le plus à gagner ou à perdre. À notre avis, ils doivent maintenir leur leadership climatique et jouer un rôle central dans la recherche et les discussions autour de la géoingénierie solaire.
Des enjeux élevés
La géo-ingénierie solaire est extravagante et inquiétante. Il fait appel à des technologies qui évoquent la science-fiction - des jets qui lient la stratosphère à des particules bloquant la lumière du soleil et des flottes de navires pulvérisant de l'eau de mer dans les nuages pour les rendre plus blancs et plus brillants. Pourtant, si de telles approches pouvaient être réalisées techniquement et politiquement, elles pourraient ralentir, arrêter ou même inverser la hausse des températures mondiales d'ici un ou deux ans. Aucun autre moyen de le faire n'a été conçu. L'élimination des gaz à effet de serre de l'air prendrait des décennies, si c'est même possible.
Une décennie de recherche en modélisation indique que la géoingénierie solaire pourrait réduire nombre des pires effets du changement climatique si elle était déployée avec modération. Par exemple, injecter 5 mégatonnes de dioxyde de soufre dans la stratosphère - soit environ le quart de celui libéré par l'éruption du mont Pinatubo en 1991 - chaque année pourrait maintenir le réchauffement en dessous de 2 ° C. (Cependant, il y a probablement des limites à la capacité de refroidissement, en particulier dans des scénarios d'émissions de gaz à effet de serre5.) Des études ont montré que la géoingénierie solaire devrait également réduire les impacts climatiques sur l'hydrologie. obtenir des régions plus humides et sèches plus sèches6. Des températures plus basses ralentiraient l'élévation globale du niveau de la mer7 et pourraient réduire l'incidence et la force croissantes des cyclones tropicaux8.
RépondreSupprimerIl y a une dizaine d'années, on craignait sérieusement que la géo-ingénierie solaire ne produise des gagnants et des perdants et pourrait perturber les moussons. La recherche a apaisé ces inquiétudes. Par exemple, il semble concevable que la géo-ingénierie solaire modérée profite à de nombreuses régions vulnérables au changement climatique, avec peu de perdants. Les pluies de mousson seraient moins affectées que si le changement climatique ne se reproduisait pas9.
Mais la géoingénierie solaire n'est pas une panacée; cela pourrait aggraver certains risques de changement climatique. Cela ne ferait que masquer l'effet de réchauffement des gaz à effet de serre. L'acidification des océans représenterait toujours une menace pour la vie marine si les émissions de gaz carbonique n'étaient pas réduites. Le dioxyde de soufre pourrait retarder la régénération de l'ozone dans la stratosphère. Et quel que soit l'aérosol utilisé pour filtrer la lumière du soleil, davantage de recherches seraient nécessaires sur ses impacts sur la santé et l'environnement.
Les effets globaux de la géo-ingénierie solaire sont incertains. Toutes les études effectuées jusqu'ici sont basées sur des simulations informatiques, qui sont médiocres pour prévoir les climats régionaux, par exemple. Le système Terre pourrait contenir des surprises que les modèles numériques ne capturent pas. Les projections nécessitent un examen approfondi et sceptique.
De plus, la géo-ingénierie solaire soulève des problèmes sociopolitiques difficiles qui ne peuvent être négligés. On ne sait pas trop comment, ou si, la technique pourrait être gouvernée de manière à assurer la prudence, la responsabilité et la justice. Qui a le droit de mettre en œuvre une technologie intrinsèquement globale ? La technologie affaiblirait-elle les engagements multilatéraux de réduction des émissions tels que l'accord de Paris ?
Ces questions sont importantes pour les pays en développement. Mais la plupart des recherches en géoingénierie solaire sont menées dans les universités bien nanties d'Europe et d'Amérique du Nord. À moins que cela ne change, les voix de l'hémisphère nord établiront le programme politique et décideront quels projets de recherche devraient être accélérés ou fermés.
Nous sommes neutres sur la question de savoir si la géoingénierie solaire devrait être utilisée. Il n'a pas encore été établi s'il serait utile d'atteindre les objectifs de Paris. Nous reconnaissons ses risques physiques potentiels et ses implications sociopolitiques. Et nous nous opposons à son déploiement jusqu'à ce que la recherche sur sa sécurité et son efficacité soit achevée et que des mécanismes de gouvernance internationale soient établis. Mais nous sommes engagés dans la coproduction de la recherche et dans un débat éclairé.
D'autres ont déjà pris parti. Certaines personnes du Nord ont tenté de convaincre leurs homologues du Sud de rejeter la géo-ingénierie solaire. Les militants qui s'y opposent avec véhémence font souvent valoir leurs arguments en soulignant les risques et en minimisant les avantages potentiels10. Nous contestons ce paternalisme et proposons une approche inclusive.
RépondreSupprimerDe grandes décisions
Les pays en développement doivent être en mesure de se faire leur propre opinion. Les scientifiques locaux, en collaboration avec d'autres, doivent mener des recherches sensibles aux préoccupations et aux conditions régionales. Par exemple, quels effets la géoingénierie solaire pourrait-elle avoir sur les ouragans dans les Caraïbes, les inondations au Bangladesh ou l'agriculture en Afrique de l'Est ? Des discussions plus larges entre les universitaires, les décideurs politiques, le public et les intellectuels publics sont nécessaires sur les risques climatiques et la justice.
Pour commencer ce processus, nous (et les co-signataires de ce commentaire) avons organisé des ateliers d'engagement de géo-ingénierie solaire à travers le Sud - le premier de leur genre - dans le cadre de l'Initiative de Gouvernance SRM (SRMGI). pour la gestion du rayonnement solaire. International et non gouvernemental, SRMGI a été lancé en 2010 par la Royal Society à Londres, l'Académie mondiale des sciences (TWAS) à Trieste, en Italie, et le Environmental Defense Fund à New York. Les ateliers régionaux organisés principalement au Bangladesh, au Brésil, en Chine, en Éthiopie, en Inde, en Jamaïque, au Kenya, en Thaïlande, en Nouvelle-Zélande (pour les États du Pacifique), au Pakistan et aux Philippines ont réuni des climatologues locaux et des journalistes, les décideurs politiques et les représentants de la société civile pour s'informer et discuter de la géoingénierie solaire.
Les participants n'avaient pas de position consensuelle sur la technologie. Mais ils ont soulevé des espoirs et des préoccupations communs. En général, nous avons constaté une opposition généralisée au déploiement à ce stade, mais un soutien aux études sur les impacts locaux. Comme l'a dit un participant à l'atelier de Nairobi: «Cette idée est folle ? ... mais nous devons la comprendre.» Beaucoup étaient sceptiques quant à savoir si les méthodes fonctionneraient et si les pays en développement, plutôt que les gouvernements plus puissants, auraient leur mot à dire dans comment et si la géoingénierie solaire est déployée.
Pour financer la recherche régionale, cette semaine, SRMGI lance le premier appel à candidatures pour un fonds de 400 000 $ US appelé Analyse de modélisation des impacts des pays en développement sur les MRS (DECIMALS). Le fonds est géré par TWAS et financé par le Open Philanthropy Project, une fondation soutenue par Cari Tuna et Dustin Moskovitz (co-fondateur de Facebook et l'application de gestion de projet Asana). Les scientifiques des pays en développement peuvent demander à DECIMALS des fonds pour modéliser les impacts de la géo-ingénierie solaire qui importent le plus dans leurs régions. Des collaborations internationales seront soutenues et les chercheurs seront invités à organiser des ateliers locaux pour promouvoir une discussion plus large des implications de leurs résultats.
D'autres activités de sensibilisation et de recherche dans les pays en développement nécessiteront un soutien supplémentaire de la part des gouvernements, des universités et de la société civile du monde entier. Les bailleurs de fonds de la recherche dans les économies avancées devraient financer des collaborations avec des scientifiques dans les pays en développement. Nous aimerions voir un rapport spécial du GIEC sur les risques et les avantages de la géo-ingénierie solaire. En fin de compte, une initiative de recherche mondiale coordonnée - peut-être dans le cadre d'un organisme tel que le Programme mondial de recherche sur le climat - est nécessaire pour promouvoir la science collaborative sur cette question controversée.
RépondreSupprimerLa géo-ingénierie solaire est lourde de risques et ne peut jamais être une alternative à l'atténuation. Mais il n'est pas clair si les risques de la géo-ingénierie solaire sont plus grands que les risques de casser la cible de réchauffement de 1,5 ° C. Dans l'état actuel des choses, les politiciens devront faire face à ce dilemme lamentable dans quelques décennies. Il est juste, politiquement et moralement, pour le Sud global d'avoir un rôle central dans la recherche, la discussion et l'évaluation de la géo-ingénierie solaire.
https://www.nature.com/articles/d41586-018-03917-8
C'est la débilité complète que de s'adresser à des pays arrièrés où la population ne sait ni lire ni écrire et où des êtres malfaisants parlent pour eux !
SupprimerFaute de pouvoir définir un 'effet de serre' à l'extérieur (Hahahaha !), ils demandent de l'argent pour... en fabriquer un !!! (immense bâche dans le ciel pour être emportée par les vents forts d'altitude et tomber sur les avions !!!
Ces pays sont régulièrement la proie de fortes moussons sur des fleuves non dragués qui débordent aussitôt et, victime momentanées des upwelings (forte marées) qui érodent ou submergent des îles puis, quand la mer se retire: les îles réapparaissent (parfois en d'autres lieux !).
Supprimer"Si nous sommes préoccupés par le réchauffement climatique causé par le gaz carbonique, cela ne serait-il pas pire si nous conduisions tous des voitures qui avaient de la vapeur d'eau à l'échappement ?"
https://wattsupwiththat.com/2017/09/07/the-making-of-a-climate-skeptic-at-university/
Politique de garçon de soja
RépondreSupprimerPar eric -
7 avril 2018
Il est à peine quatre mois dans l'année et déjà, les travailleurs du gouvernement armés ont abattu 294 personnes. C'est plus de deux fois plus de personnes que de pigistes - ceux qui ne portent pas l'uniforme du gouvernement et qui ont tiré sur des gens dans les écoles - au cours des six dernières années.
L'année dernière, des employés du gouvernement armés ont abattu 987 personnes. C'est presque 60 fois plus de personnes qui ont été abattues à Parkland. Si les trois premiers mois de carnage sont une indication, 2018 sera une année encore meilleure.
Pourquoi le Soy Boy n'exige-t-il pas que les travailleurs du gouvernement armés soient désarmés ?
Pourquoi n'est pas là. . . outrage ?
De toute évidence, les travailleurs du gouvernement armés sont très dangereux.
Votre enfant est beaucoup plus susceptible d'être abattu par un employé du gouvernement armé que par un tireur d'école pigiste.
Fait.
Objectivement, les travailleurs du gouvernement armé sont beaucoup plus dangereux que le pigiste - qui travaille sous le fardeau d'être indépendant - et de savoir que sa victime peut légalement se défendre.
En supposant qu'il n'est pas dans une zone «sans armes à feu», comme une école gouvernementale.
D'un autre côté, les employés du gouvernement armé sont armés - et blindés - par le gouvernement. Ils ont le poids lourd des ressources illimitées du gouvernement (prises de nous) derrière eux et en outre, ils ont été dotés de ce qui s'apparente à des pouvoirs divins sur nous.
Ou plutôt, l'autorité divine.
Et cette autorité est généralement conférée à des personnes spéciales. souvent en dessous des personnes. Le genre de gens que l'écrivain Hanna Arendt appelait autrefois la banalité du mal. Mais une fois enrobés (et armés) et habilités, ils deviennent - comme ceux dont Arendt a parlé - quelque chose de terrible. Quelque chose que le pigiste ne peut jamais être.
Nous sommes prostrés devant l'employé du gouvernement armé, qui a été doté d'une sorte de sainteté qui, depuis 911, confine aux religieux. Nous - les non-enrobés / non-dotés - sommes censés non seulement faire la génuflexion devant la Présence, mais aussi tolérer une conduite qui - si elle est réalisée par un pigiste - ne résulterait pas seulement en une indignation mais en une punition.
Les enrobés ne sont presque jamais punis pour leurs crimes - y compris le crime de meurtre pur et simple, qu'ils commettent maintenant presque systématiquement.
Si quelque chose, leur licence est étendue. Ils peuvent non seulement tirer en premier et poser des questions plus tard - ils peuvent juste tirer.
Nous, en revanche, sommes soumis à des harangues abusives sur ce que nous pourrions faire avec les armes à feu avec lesquelles nous n'avons jamais tiré. Menacé de nouvelles restrictions et interdictions pour des choses que nous n'avons pas faites.
Quand un employé du gouvernement armé tue littéralement quelqu'un - à savoir, le cas horrible de Daniel Shaver, qui a été assassiné dans le sang le plus froid il y a deux ans par un employé du gouvernement armé nommé Mitch Brailsford dans le couloir d'un hôtel à Mesa, AZ sur le sol et plaidant pour sa vie - un procureur compréhensif trouve une excuse pour ne pas poursuivre ou un jury adorateur trouve un bénéfice-du-doute qui ne serait jamais étendu à un indépendant dans les mêmes circonstances.
RépondreSupprimerSurtout, la punition collective n'est jamais appliquée aux travailleurs du gouvernement armés - comme elle l'est toujours (ou est toujours recherchée) chaque fois qu'une atrocité est commise par un pigiste. Shooter A tue quelqu'un; jusqu'à l'appel que B et C et D et E cèdent leurs armes, ou se voient refuser des armes à feu - malgré qu'ils n'aient tiré sur personne.
Les défenseurs des travailleurs gouvernementaux armés - qui, ironiquement, sont souvent des «conservateurs», soi-disant soupçonneux du gouvernement - ne hurlent jamais parce que le travailleur gouvernemental A a assassiné quelqu'un avec une arme à feu, les travailleurs armés B et C et DE doivent abandonner leurs armes ou accepter restrictions nouvelles et onéreuses.
Le travailleur gouvernemental armé qui a fait quelque chose a toujours plus de latitude que le citoyen ordinaire qui n'a rien fait.
Pourquoi ?
Presque autant d'étoiles que Patton !
C'est un morceau de la logique des politiciens qui insistent sur le fait que les armes sont dangereuses alors qu'elles sont entourées de cordons de sécurité armés. Certains animaux, par Orwell, sont en effet plus égaux que d'autres.
Notez que la police - bien que ostensiblement civile - a des insignes de grade militaire, y compris le colonel et même le général quatre étoiles. Ils parlent de nous comme étant des «civils», comme s'ils n'étaient pas la même chose - n'ayant pas été intronisés dans les forces armées, ni commandés comme officiers.
Ils ne s'habillent pas seulement comme s'ils allaient à la guerre, ils se comportent de cette façon. Les soldats se battent contre l'ennemi. Ils supposent qu'il est une menace mortelle et leur première ligne de conduite est de soumettre / tuer l'ennemi. C'est ce que les travailleurs du gouvernement armés sont formés à nous faire.
Nous sommes l'ennemi.
Tout cela devrait faire réfléchir le Soy Boy. C'est intéressant que ce ne soit pas le cas.
https://www.ericpetersautos.com/2018/04/07/soy-boy-politics-2/