Un humain ne supportera jamais l'existence assimilatoire de composants électronique comme les robots ne marcheront pas grâce au sang humain. Parce que, tout est une question d'électricité. Notre environnement est 100 % électrique et, chaque être vivant (humain, animal, insecte ou plante) dépend de cette électricité conductrice atmosphérique. Sans électricité: c'est la mort (Les pacemakers sont à pile).
Donc, les robots humanoïdisés ou pas (ordinateurs, machines-outils, appareils d'éclairage) dépendent à 100 % des branchements électriques employés pour répondre à la demande ou enregistrer/mémoriser quelque chose. Même une clé USB contient forcément une batterie pour conserver les données.
Donc, un ordinateur/robot super-intelligent ne peut se mouvoir QUE grâce à l'électricité stockée ou qu'il reçoit en direct tel une ampoule.
Maintenant, de parler de 'surpasser le cerveau humain' me fait bien rire ! car, l'ordinateur ou calculette améliorée, ne 'conçoit'/ne répond QUE dans les énoncés chargés (plus vite, telle est la SEULE performance !!). Mis à part cela, le robot 'ultra-perfectionné' ne peut prétendre à sentir ou présentir, à imaginer ou à prendre des directives constructives de son plein gré !
Si une personne meurt, ce n'est pas la faute de son cœur, de ses neurones ou de son sang mais seulement de ses synapses qui, affaiblies avec le temps, ne transmettent plus les données vitales. Et, l'erreur du 'progrès' est dans la miniaturisation des appareils car, qui dit plus petit dit forcément avec un câblage plus étroit qui sera forcément susceptible (maillon-faible) de lâcher plus vite. Tout est donc dans la transmission. Mais, de là à convertir l'espèce humaine en boite avec des antennes il y a plus qu'un pas !
Pour l'instant, l'espèce humaine n'a fait que de concevoir des interrupteurs électrique qui fournissent ou pas du courant électrique à une ampoule. Point barre ! L'évolution ne peut se concevoir QUE dans l'électricité domesticable répondant à des ordres transmissibles et stockables ou pas mais toujours compris par la machine ! D'où le gros effort à faire pour se faire comprendre et reproduire par une machine qui ne comprend (pour l'instant) rien à tout ce que veulent leur dire les êtres qui l'observent.
Une plaie, une maladie ne dépend QUE de l'électricité reçue dans un corps branché au '110 ou 220 volts' (ou + ou -) et c'est pourquoi nous dépendons tous des planètes environnantes et des 'moments de la journée' pour nous composer différemment chaque jour, chaque instant et tout est une affaire de magnétisme.
Les plans de transition énergétique de l'Allemagne fonctionnent-ils ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven. 23/02/2018 - 05:00
Auteur de Ryan Opsal via OilPrice.com,
Considérant les impératifs politiques qui sous-tendent la transition énergétique allemande (Energiewende) et la tendance générale à une utilisation accrue des énergies renouvelables dans le mix énergétique, examinons quelques-uns des résultats de cette transition - notamment les importations de gaz naturel de Russie et la consommation de combustibles fossiles.
Un coup de fouet en énergies renouvelables porterait ces deux objectifs ostensibles, et il vaut la peine d'évaluer les progrès dans les deux domaines.
Dans ces scénarios, il est utile d'examiner l'utilisation finale des sources d'énergie primaires, de comprendre comment l'Allemagne utilise finalement son énergie. Ainsi, au lieu des données de production, l'accent sera mis sur la consommation.
Par exemple, comme nous le verrons plus tard, l'Allemagne produit beaucoup d'énergie renouvelable, mais elle ne consomme pas toute cette énergie et n'aura donc aucun impact fondamental sur le mix de consommation.
Les classeurs statistiques de BP (les données utilisées dans cet article sont extraites du Statistical Workbook 2017 de BP, sauf indication contraire) fournissent de bonnes données chronologiques qui peuvent être utilisées pour comprendre la transition de l'Allemagne dans ce contexte.
Le graphique suivant s'appuie sur les données de BP et fournit un bon aperçu de la consommation d'énergie en Allemagne depuis 2000.
- voir graphique sur site -
Dans des domaines spécifiques, l'Allemagne a réussi à atteindre ses objectifs, ce qui semble dû au moins en partie à l'augmentation de la production et de la consommation de sources renouvelables d'énergie primaire.
Depuis 2000, la consommation d'énergies renouvelables en Allemagne, y compris la biomasse, l'énergie solaire et l'énergie éolienne (hors hydroélectricité) a augmenté de plus de 1 000%. Cette croissance représente une augmentation substantielle, portant la consommation de 3,2 Mtep (14,3 Twh) en 2000 à 37,9 Mtep (167,4 Twh) en 2016.
Cependant, il existe encore un écart important entre la production d'énergie renouvelable en Allemagne et sa consommation ...
Environ un tiers de l'énergie produite en Allemagne en 2016 provenait de sources renouvelables, mais seulement 12 % de l'énergie consommée la même année provenait d'énergies renouvelables, créant un écart de 23%. Ceci est attribué à la fois aux exportations et aux déchets, car le réseau de distribution ne peut tout simplement pas suivre le rythme de la production, bien que des progrès aient été réalisés dans ce domaine.
Par exemple, il a été récemment rapporté que le 1er janvier 2017, l'Allemagne a répondu pour la première fois à 100% de ses besoins de consommation grâce aux sources d'énergie renouvelables, l'éolien fournissant environ 85% de la demande nationale.
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
Comme indiqué dans le graphique ci-dessus et dans les graphiques ci-dessous, l'autre changement notable depuis 2000 est la réduction de l'utilisation de l'énergie nucléaire.
Les données montrent une baisse spectaculaire de 23% de la consommation d'énergie nucléaire de 2010 à 2011, passant de 31,8 Mtep à 24,4 Mtep, suite à la fermeture immédiate de plusieurs centrales nucléaires dans tout le pays et à une réduction de la production des centrales restantes.
Après la décision de la CDU et du FDP d'étendre l'utilisation des centrales nucléaires en 2009, la décision a immédiatement été renversée suite à la catastrophe de la centrale de Fukushima au Japon, fermant plusieurs usines en un mois et réduisant la production des centrales restantes.
Depuis la catastrophe de Tchernobyl, la population générale en Allemagne se méfie de l'exploitation des centrales nucléaires, et le récent arrêt de ces installations a bénéficié d'un large soutien public et politique. Sur l'ensemble de cette période, de 2000 à 2016, la consommation d'énergie nucléaire a diminué de 50%.
Après l'énergie nucléaire, la deuxième réduction la plus importante de la production d'électricité au cours de cette période provient du pétrole, bien qu'elle constitue toujours la plus grande part de l'énergie consommée en Allemagne depuis 2000 et ait maintenu des niveaux relativement stables pendant 17 ans.
Au cours de cette période, plus de 50 % de l'augmentation des énergies renouvelables ont été consacrés à la réduction de la production et de la consommation d'énergie nucléaire, et le reste de cette croissance couvre la réduction de l'utilisation du pétrole.
Dans l'ensemble, les données montrent une légère diminution de la consommation de charbon et de pétrole, tandis que l'utilisation du gaz naturel est essentiellement nulle.
En raison de la baisse importante de la consommation d'énergie nucléaire, l'Allemagne n'a pas été en mesure de réduire autant que prévu sa consommation de combustibles fossiles. Ce déficit est particulièrement important dans le cas du gaz naturel, qui a été une source de préoccupation majeure compte tenu de l'influence politique des exportations massives de la Russie vers l'Allemagne et, plus largement, de l'Union européenne. Sur ce point, les progrès ont été limités et semblent s'aggraver.
Comme le montre le tableau ci-dessous, les exportations de gaz naturel russe vers l'Allemagne ne font qu'augmenter et ne montrent aucun signe de réduction, reflétant des rapports anecdotiques et la progression constante du gazoduc Nord Stream 2.
Les importations totales, y compris celles en provenance de Russie (à l'exception d'une diminution en 2011-2012 en raison des détournements d'approvisionnement résultant de températures extrêmement froides), ont augmenté alors que la production et la consommation intérieures ont diminué.
En 2016, l'Allemagne a importé plus de 46% de ses importations de gaz naturel en provenance de Russie, contre 40% en 2006. Les deux autres principaux fournisseurs, la Norvège et les Pays-Bas, ont maintenu des exportations relativement stables pendant la période considérée.
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
Comme indiqué dans le graphique ci-dessus et dans les graphiques ci-dessous, l'autre changement notable depuis 2000 est la réduction de l'utilisation de l'énergie nucléaire.
Les données montrent une baisse spectaculaire de 23% de la consommation d'énergie nucléaire de 2010 à 2011, passant de 31,8 Mtep à 24,4 Mtep, suite à la fermeture immédiate de plusieurs centrales nucléaires dans tout le pays et à une réduction de la production des centrales restantes.
Après la décision de la CDU et du FDP d'étendre l'utilisation des centrales nucléaires en 2009, la décision a immédiatement été renversée suite à la catastrophe de la centrale de Fukushima au Japon, fermant plusieurs usines en un mois et réduisant la production des centrales restantes.
Depuis la catastrophe de Tchernobyl, la population générale en Allemagne se méfie de l'exploitation des centrales nucléaires, et le récent arrêt de ces installations a bénéficié d'un large soutien public et politique. Sur l'ensemble de cette période, de 2000 à 2016, la consommation d'énergie nucléaire a diminué de 50%.
Après l'énergie nucléaire, la deuxième réduction la plus importante de la production d'électricité au cours de cette période provient du pétrole, bien qu'elle constitue toujours la plus grande part de l'énergie consommée en Allemagne depuis 2000 et ait maintenu des niveaux relativement stables pendant 17 ans.
Au cours de cette période, plus de 50 % de l'augmentation des énergies renouvelables ont été consacrés à la réduction de la production et de la consommation d'énergie nucléaire, et le reste de cette croissance couvre la réduction de l'utilisation du pétrole.
Dans l'ensemble, les données montrent une légère diminution de la consommation de charbon et de pétrole, tandis que l'utilisation du gaz naturel est essentiellement nulle.
En raison de la baisse importante de la consommation d'énergie nucléaire, l'Allemagne n'a pas été en mesure de réduire autant que prévu sa consommation de combustibles fossiles. Ce déficit est particulièrement important dans le cas du gaz naturel, qui a été une source de préoccupation majeure compte tenu de l'influence politique des exportations massives de la Russie vers l'Allemagne et, plus largement, de l'Union européenne. Sur ce point, les progrès ont été limités et semblent s'aggraver.
Comme le montre le tableau ci-dessous, les exportations de gaz naturel russe vers l'Allemagne ne font qu'augmenter et ne montrent aucun signe de réduction, reflétant des rapports anecdotiques et la progression constante du gazoduc Nord Stream 2.
Les importations totales, y compris celles en provenance de Russie (à l'exception d'une diminution en 2011-2012 en raison des détournements d'approvisionnement résultant de températures extrêmement froides), ont augmenté alors que la production et la consommation intérieures ont diminué.
En 2016, l'Allemagne a importé plus de 46% de ses importations de gaz naturel en provenance de Russie, contre 40% en 2006. Les deux autres principaux fournisseurs, la Norvège et les Pays-Bas, ont maintenu des exportations relativement stables pendant la période considérée.
Recevoir des quantités démesurées d'importations d'énergie provenant d'une source unique, même en dehors des considérations politiques, comporte des risques. Si quelque chose se produit tout au long de la chaîne d'approvisionnement - de la source au consommateur - pour perturber le flux de gaz, cela annonce une crise potentielle qui ne pourrait pas durer indéfiniment. Ajouter dans la relation politiquement controversée entre l'Union européenne et la Russie (sur une foule de questions), et la situation de l'approvisionnement en énergie a le potentiel de devenir un problème important.
RépondreSupprimerLes augmentations soutenues des importations de gaz en provenance de Russie devraient inquiéter les politiciens allemands car cela réduirait l'espace d'opération politique en cas de désaccords futurs.
Cependant, quelque chose d'intéressant apparaît dans les données: l'augmentation significative et croissante des importations de gaz naturel par rapport à la consommation domestique.
À partir de 2009, les importations de gaz naturel ont nettement augmenté par rapport à la consommation intérieure, le pays ayant importé 7% de plus de gaz qu'il n'en consommait. Avant cette année, l'Allemagne importe à peu près suffisamment pour couvrir la différence entre la consommation et la production, comme on pourrait s'y attendre.
Après 2009, la tendance des importations excessives est maintenue, puis accélère en 2013 avec des importations de plus de 13 % de ce qui est requis, puis de 27 % en 2015.
Le montant s'établit à 17 % en 2016, ce qui signifie que l'Allemagne importe systématiquement plus de gaz naturel que nécessaire pour la consommation intérieure. Cet écart semble être dû à sa position centrale en Europe et à son réseau de gaz naturel développé, qui semble jouer un rôle de redistribution pour les marchés européens.
Les données de réexportation du gaz naturel en Allemagne le confirment, les exportations de gaz allant principalement vers la Belgique, les Pays-Bas, la France, l'Autriche, la Pologne, la Suisse, l'Italie et le Royaume-Uni.
Ces exportations représentent un développement relativement nouveau qui semble être un effort soutenu pour faire de l'Allemagne un centre gazier européen.
Dans les deux domaines critiques décrits, l'Allemagne a obtenu des résultats mitigés. Le gouvernement a été en mesure de réduire légèrement la consommation d'énergie dans l'ensemble, mais n'a pas eu beaucoup de succès dans la réduction de l'utilisation des combustibles fossiles. Cependant, les gains impressionnants de la consommation d'énergies renouvelables ont permis au pays de se passer de grandes quantités d'énergie nucléaire.
La production d'énergie renouvelable est en augmentation, avec plus d'énergie éolienne et solaire qui finit par trouver son chemin vers les consommateurs, que ce soit par le biais de réseaux de distribution ou de stockage plus efficaces. Cependant, toute personne qui espérait une diversification de l'approvisionnement en gaz naturel loin de la Russie sera profondément déçue par les progrès réalisés jusqu'à présent et par la trajectoire actuelle de l'approvisionnement en Allemagne.
Au contraire, les exportations de gaz russe continueront de croître et constitueront encore une part plus importante du mix de consommation.
RépondreSupprimerOutre les aspects négatifs, la croissance des énergies renouvelables et le développement parallèle de systèmes d'énergie flexibles devraient être considérés comme un investissement dans un mix énergétique plus favorable et durable - quelque chose de très proche de la réalisation.
https://www.zerohedge.com/news/2018-02-22/are-germanys-energy-transition-plans-working
Oui mais à quel prix ?? Hahahaha ! Les boches ont inauguré une électricité pour les riches et une bougie pour les pauvres !
Supprimer(...) Depuis la catastrophe de Tchernobyl, la population générale en Allemagne se méfie de l'exploitation des centrales nucléaires, (...)
Faux ! Ce n'est pas 'depuis 1986 en Ukraine mais seulement depuis 2011 au Japon !!! Pourquoi est-elle si conne ? Parce que les merdias-chleux ont refusé de dire la vérité sur ce qui s'est véritablement passé en Ukraine comme à Fukushima !
Et donc que AUCUNE CENTRALE NUCLÉAIRE AU MONDE N'A FERMÉ DEPUIS le 11 Avril 2011 !!!
(...) Le montant s'établit à 17 % en 2016, ce qui signifie que l'Allemagne importe systématiquement plus de gaz naturel que nécessaire pour la consommation intérieure. (...)
(...) l'Allemagne a obtenu des résultats mitigés. Le gouvernement a été en mesure de réduire légèrement la consommation d'énergie dans l'ensemble, mais n'a pas eu beaucoup de succès dans la réduction de l'utilisation des combustibles fossiles. (...)
HAHAHAHAHAHAHAHAHAHA !
Le Conseil fédéral refuse de ratifier le Traité sur l’interdiction des armes nucléaires
RépondreSupprimerLe gouvernement a répondu par la négative à la motion du Conseiller national genevois Carlo Sommaruga l’exhortant à ratifier au plus vite le traité adopté par 122 membres de l’ONU à New York en juillet 2017
Stéphane Bussard
vendredi 23 février 2018 à 10:20
Ratifier le Traité sur l’interdiction des armes nucléaires adopté par 122 membres des Nations unies à New York en juillet dernier ? Interpellé par le conseiller national genevois Carlo Sommaruga à travers une motion, le Conseil fédéral a tranché. Il dit bien «partager l’objectif d’un monde sans armes nucléaires», mais estime que le moment n’est pas opportun de ratifier la convention avant d’avoir procédé à une «évaluation approfondie de la situation».
Le refus du gouvernement de ratifier rapidement ce traité jugé «historique» n’est pas surprenant. La Suisse avait voté à New York en faveur du texte, estimant qu’il était important de combler une lacune juridique dans le droit international qui n’interdit pas les armes nucléaires alors qu’il prohibe les armes chimiques et biologiques. Mais elle avait manifesté des réticences, non pas sur l’objectif mais sur la méthode. Dans son explication, le Conseil fédéral dit craindre «que le nouvel accord n’affaiblisse les normes, instruments ou forums existants tels que le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP)». Au cours des négociations, les diplomates suisses avaient tenté de renforcer les procédures de l’Agence internationale de l’énergie atomique. En vain.
La crainte d'une polarisation du débat
Le traité d’interdiction de juillet 2017 ayant été boycotté par les puissances nucléaires officielles (les cinq membres permanents du Conseil de sécurité) et non officielles (Israël, Inde, Pakistan), Berne craint que la nouvelle convention polarise les discussions entre les Etats nucléaires et membres de l’OTAN (sauf les Pays-Bas) d’un côté, les Etats jugeant nécessaire d’interdire des armes au plus vite de l’autre. Le gouvernement redoute que s’instaure un dialogue de sourds. Tant la Russie que les Etats-Unis voire même la France sont dans un processus de modernisation de leurs arsenaux. De plus, le risque de conflit nucléaire s’est accru avec le programme nucléaire nord-coréen et la volonté de l’administration Trump de saper l’accord plurilatéral sur le nucléaire iranien. Pour le Conseil fédéral, le désarmement et, à terme, l’abolition des armes atomiques doivent se faire en concertation avec les principaux concernés, les puissances qui détiennent de telles armes. Le désarmement est une obligation imposée aux Etats signataires du TNP.
Carlo Sommaruga, auteur de la motion, n’a pas tardé à réagir: «Je suis forcément déçu. La Confédération manque de cohérence. Elle a soutenu l’ICAN (Campagne internationale pour l’abolition des armes nucléaires, Prix Nobel de la paix 2017), ONG dont le siège est à Genève, et appuyé le processus d’abolition à ses débuts. Je suis donc surpris.» Mais le conseiller national ne perd pas pied: «J’ai encore bon espoir que le parlement vote dans le sens de la motion. Dans le cas contraire, il incombera à la société civile de se mobiliser pour renverser la tendance. C’est d’ailleurs elle qui a grandement contribué à l’adoption du traité à New York.»
https://www.letemps.ch/monde/conseil-federal-refuse-ratifier-traite-linterdiction-armes-nucleaires
SupprimerLes Suisses ne sont pas des idiots !! Car, les énoncés merdiatiques de 'désarmement' ont TOUJOURS fait rigoler le monde tant AUCUN pays ne l'a suivi ! Et, cet acharnement merdiatique contre le nucléaire vise en premier lieu les centrales nucléaire qui n'osent pas polluer tandis que ces mêmes terroristes glorifient les centrales à charbon et le diesel qui tue !!!
Le coût exorbitant des énergies renouvelables
RépondreSupprimerpar Philbert Carbon,
le 13 décembre 2017
Moins d’un mois après la COP23 qui s’est achevée à Bonn le 18 novembre dernier, Emmanuel Macron reçoit une cinquantaine de chefs d’État et de gouvernement à Paris pour le One Planet Summit. Sans doute, le premier d’une longue série.
Pourquoi un tel rassemblement ? Pour trouver de l’argent, que diable. Car, on oublie trop souvent de préciser que remplacer les énergies carbonées par des énergies renouvelables coûte énormément d’argent. D’ailleurs, dans le JDD du 10 décembre 2017, quatre ministres – Bruno Le Maire, Nicolas Hulot, Jean-Yves Le Drian et Frédérique Vidal – lançaient un appel afin que la taxe française sur les transactions financières soit étendue à l’échelle de l’Europe.
Rappelons également que le projet de loi de finances pour 2018 prévoit l’augmentation de la fiscalité sur les carburants, mais aussi sur le fioul domestique par l’intermédiaire de la hausse de la taxe carbone.
Sommaire
- L’énergie est deux fois plus chère en Allemagne qu’en France
- Quel coût pour une énergie à 100 % renouvelable ?
- 30 % du budget des ménages consacré à l’électricité
L’énergie est deux fois plus chère en Allemagne qu’en France
L’IREF a tout récemment rappelé que l’énergie était deux fois plus chère en Allemagne qu’en France : 0,30 euro le kWh outre-Rhin contre 0,14 euro dans notre pays. Un coût élevé est dû au choix, fait par nos voisins, d’abandonner le nucléaire pour privilégier les énergies renouvelables (ENR), essentiellement l’éolien.
Le gouvernement français entend lui aussi s’engager dans cette voie. Certes, les objectifs de réduction de la part du nucléaire dans la production d’électricité ont été reculés dans le temps. C’est désormais en 2050, et non plus en 2025, que la part de notre électricité d’origine nucléaire devra être baissée à 50 % (contre 72 % aujourd’hui).
Cette annonce par Nicolas Hulot a déclenché des indignations nombreuses chez ses amis écologistes, tandis que d’autres commentateurs soulignaient le réalisme du ministre. Ce dernier reconnaissait d’ailleurs que « Si on veut maintenir la date de 2025 pour ramener le nucléaire à 50 %, ça se fera au détriment de nos objectifs climatiques ». En effet, nous le savons, les ENR ne produisent que par intermittence. Il est donc indispensable d’avoir d’autres sources de production d’électricité, comme le charbon abondamment utilisé en Allemagne. Cela est difficilement compatible avec la chasse au gaz carbonique dont on nous rebat les oreilles.
Mais, venons-en à la question du coût de ces énergies renouvelables. Un ingénieur, par ailleurs enseignant à Mines-Paris Tech, Jean-Marc Jancovici a tenté d’estimer le coût qu’aurait une électricité 100 % ENR, rêve de tout écologiste qui se respecte et, nous dit-on, de tout citoyen soucieux de l’avenir de ses enfants, de l’humanité et de la planète.
Quel coût pour une énergie à 100 % renouvelable ?
RépondreSupprimerEn effet, écrit Jean-Marc Jancovici, « un avenir 100% ENR, nous sommes tous pour, a priori. Ou plus exactement nous sommes tous pour si ‘tout le reste est comme aujourd’hui’ : on s’est débarrassé des combustibles fossiles, du nucléaire, et par ailleurs personne n’a froid l’hiver, ne manque de carburant pour se déplacer, ou ne voit son usine, son train ou son bureau à l’arrêt faute d’électricité pour que les machines fonctionnent, et tout cela ne coûte pas plus cher. Qui serait contre ? ».
Il nous propose donc un exercice qui consiste à calculer combien d’argent aura été investi une fois que l’on sera arrivé à une électricité 100 % ENR. Le calcul a été fait en supposant la consommation d’électricité constante. Ce qui signifie que les investissements réalisés pourraient être inférieurs à ceux calculés si nous réduisons notre consommation électrique.
100 % d’ENR signifie qu’il n’y a plus ni gaz ni charbon pour combler les creux de production. Par conséquent, la régulation ne peut se faire que par stockage-déstockage grâce à des barrages réversibles, appelés STEP, seule solution actuellement disponible.
L’auteur suppose également que la France subvient à ses besoins, à tout moment, sans importations. Une hypothèse qui tient compte de notre situation géographique et climatique au cœur de l’Europe. Nos voisins immédiats, en effet, connaissent peu ou prou les mêmes conditions climatiques que nous, et sont dans un créneau horaire proche du nôtre quand ce n’est pas le même. Bref, quand il fait nuit chez nous, il fait également nuit chez eux. Et quand nous connaissons une tempête, ils sont très souvent aussi touchés.
Nous n’allons pas détailler les calculs de Jean-Marc Jancovici qui se trouvent sur son blog, mais en donner les grandes lignes :
• le passage du nucléaire à l’éolien suppose d’avoir trois à quatre fois plus de puissance installée pour produire la même quantité d’électricité sur la même période, et avec du solaire, c’est six à sept fois plus ;
• avec de l’éolien, environ 50 % de la consommation doit être stockée à un moment ou à un autre, et avec du solaire c’est environ 80 %. Il faut donc augmenter la production de 40 % environ pour tenir compte des pertes liées à ce stockage. Avec de l’éolien, cela nous amène à environ 300 GW installés ; et avec du solaire, il faut presque 450 GW de puissance totale. Rappelons qu’actuellement le nucléaire représente 63 GW sur un total de 131 GW installés ;
• ce stockage sera fait avec des STEP ;
• enfin le réseau doit pouvoir « encaisser » les 300 à 450 GW totaux, et cela conduit à doubler les coûts d’infrastructure.
Par ailleurs, il faut tenir compte de la différence de durée de vie des différents moyens de production, et des coûts d’installation qui diffèrent également selon l’option choisie.
Les résultats sont éloquents, pour ne pas dire effrayants : « là où 600 milliards d’investissements sont suffisants pour fournir à la France sa consommation d’électricité actuelle pendant un siècle si le choix se porte sur le nucléaire, il faut investir environ 4 000 milliards d’euros sur un siècle (soit deux années de PIB actuellement) avec un système 100 % éolien + stockage, et 7 000 milliards sur un siècle (soit 3,5 années de PIB actuellement) avec un système 100 % solaire + stockage ».
RépondreSupprimerJean-Marc Jancovici précise que les Allemands, qui ne produisent aujourd’hui qu’environ 20 % d’électricité intermittente, ont investi entre 300 et 500 milliards selon les estimations.
30 % du budget des ménages consacré à l’électricité
L’électricité 100 % ENR coûterait donc six à huit fois plus cher. Ce qui veut dire que l’électricité qui représente aujourd’hui moins de 5 % du budget des ménages français, pourrait représenter 30 % de celui-ci. Et même davantage encore, selon Jean-Marc Jancovici, qui estime qu’il faudrait aussi payer l’électricité des entreprises incluse dans le coût des produits et services.
Jean-Marc Jancovici qui défend l’idée qu’il faut se débarrasser des énergies carbonées pour lutter contre le réchauffement climatique, et qui est membre du conseil scientifique de la Fondation pour la Nature et l’Homme de Nicolas Hulot, affirme qu’une analyse rationnelle de la situation commanderait « d’arrêter demain matin de mettre le moindre euro supplémentaire dans l’éolien et le solaire ».
Il va même jusqu’à dire que, « pour conserver une électricité décarbonée une fois les réacteurs actuels mis hors service [NDLR : du fait de leur obsolescence], la meilleure idée est donc… de refaire du nucléaire ».
https://fr.irefeurope.org/Publications/Articles/Le-cout-exorbitant-des-energies-renouvelables
Le litige climatique des conseils de Californie semble être pris dans une spirale de la mort hypocrite
RépondreSupprimerFebruary 23rd, 2018
Les conseils de Californie poursuivent Exxon mais Exxon se défend: Est-ce que ce sera Fake Fear ou Fake Bonds ?
«Le contre-interrogatoire va être brutal»: le juriste de la faculté de droit de l'Université de New York affirme que le litige sur le changement climatique est un perdant
Certains conseils californiens ont intenté des poursuites en matière de climat contre Exxon parce qu'ils seraient anéantis par des inondations. Mais en même temps, les mêmes conseils émettaient des obligations et oubliaient de mentionner que la région allait être emportée.
Depuis 1990 environ, les obligations valent de l'ordre de 8 milliards de dollars selon une pétition d'Exxon. Le Competitive Enterprize Institute appelle la SEC à enquêter sur les fraudes potentielles.
Les conseils se sont peints dans un recoin maladroit: sont-ils des laveurs d'argent utilisant de faux prophètes pour effrayer de l'argent, ou sont-ils des trafiquants d'obligations trompeurs ?
Par exemple, le comté de San Mateo a déclaré dans sa plainte être "particulièrement vulnérable à l'élévation du niveau de la mer" avec 93 pour cent que le comté connaîtra une inondation "dévastatrice" avant 2050.
"Si le niveau de la mer devait monter aussi haut, ce serait certainement catastrophique", a déclaré Epstein.
Cependant, les offres d'obligations ces dernières années par les comtés et les villes n'étaient pas si claires à propos de ces prédictions, Exxon a déclaré dans une pétition vérifiée déposée le mois dernier avec le tribunal de district dans le comté de Tarrant, au Texas.
Les offres d'obligations de San Mateo en 2014 et 2016 ont indiqué aux investisseurs potentiels que le pays "est incapable de prédire si l'élévation du niveau de la mer ou d'autres impacts du changement climatique ou des inondations proviendront d'une tempête majeure".
Les conseils ont accusé les entreprises de combustibles fossiles de causer leurs pertes, mais les comtés et les villes consomment et produisent eux-mêmes beaucoup de combustibles fossiles.
[Les commentaires du Prof. NYU] Epstein font partie des nombreuses voix qui prétendent que les poursuites intentées par les comtés et les municipalités contre les compagnies d'énergie sont intrinsèquement erronées. Epstein et ces autres voix soulignent que la Californie, qui comprend les comtés et les villes qui ont intenté les poursuites, est à la fois une grande consommatrice et une grande productrice des mêmes combustibles fossiles que les revendications du litige sont à l'origine d'un désastre climatique imminent.
Ces mêmes combustibles fossiles contribuent également à l'économie de l'État, la sixième plus grande au monde, selon Epstein et d'autres.
RépondreSupprimer"Ces comtés et ces villes sont d'énormes consommateurs d'énergie", a déclaré Epstein.
On dirait que quelqu'un n'a pas réfléchi à ça.
Ce n'est jamais une bonne idée de lancer un litige comme une déclaration de mode ou comme une forme de guerre tribale.
http://joannenova.com.au/2018/02/the-climate-litigation-of-california-councils-appears-to-be-caught-in-a-hypocritical-death-spiral/
Justice: quand la nature veut reprendre ses droits
RépondreSupprimerEric Tariant
vendredi 23 février 2018 à 11:40.
La sauvegarde de l’habitabilité de la terre viendra-t-elle d’un nouveau cadre juridique ? Depuis quelques années, la reconnaissance des droits de la nature permet à des fleuves, à des montagnes et autres glaciers de plaider eux-mêmes leur cause par l’intermédiaire de leurs représentants
«L’eau est sacrée, l’eau est la vie et doit être protégée pour tous». Ce slogan, les Sioux de Standing Rock, dans le Dakota du Nord, n’ont cessé de le marteler pendant les longs mois, d’août 2016 à fin février 2017, pendant lesquels ils se sont opposés au passage de l’oléoduc Dakota Access sur leurs terres sacrées pour protéger leur eau potable.
Après le démantèlement du camp par le président Donald Trump en mars 2017, deux ONG représentant les intérêts des communautés menacées ont porté plainte devant des tribunaux fédéraux pour ordonner le respect des lois environnementales. Aux Etats-Unis comme ailleurs dans le monde, les peuples autochtones ont souvent été à la pointe de la mobilisation contre l’extractivisme et ses pollutions environnementales, les premiers à s’opposer à des infrastructures pétrolières et autres projets miniers ou hydroélectriques qui fragilisent les écosystèmes.
Rivière vivante
Les premiers aussi à lutter pour que des droits soient accordés aux fleuves, aux arbres et autres montagnes pour mieux les protéger. Et l’année 2017 restera sans doute dans les mémoires comme celle de la montée en puissance des droits de la nature. Des exemples ? En mars, le parlement néo-zélandais a reconnu, dans une loi, la rivière Whanganui comme une entité vivante et indivisible. Des gardiens – un représentant de l’Etat et le peuple maori Iwi – ont été nommés pour défendre ses intérêts et la représenter en justice.
En mai, en Colombie, la Cour constitutionnelle a décidé de donner des droits à un cours d’eau, le fleuve Atrato. En septembre, le fleuve Colorado, aux Etats-Unis, a saisi lui-même la justice de l’Etat pour demander à être reconnu comme personnalité juridique. En décembre dernier, en Nouvelle-Zélande, le mont Taranaki, considéré par les populations autochtones comme un ancêtre, un membre de la famille, s’est vu, à son tour, reconnaître ces mêmes droits. C’est l’aboutissement «d’une bataille de 170 ans menée par le peuple maori», insiste, sur le site naturerights.com, Marine Calmet, juriste française spécialisée dans le droit de l’environnement
Nos sociétés prétendument évoluées doivent réapprendre, en s’inspirant d’eux, à vivre en paix avec le vivant, à ne plus vouloir le dominer
En avril 2017, c’est l’Inde qui a, à son tour, défrayé la chronique. La Haute Cour de l’Etat d’Uttarakhand a reconnu le Gange ainsi que son affluent, la rivière Yamuna, comme des personnes vivantes. Il en, va de même, souligne-t-elle, de tous les écosystèmes himalayens situés sur son territoire: glaciers, rivières, ruisseaux, lacs, sources, cascades, prairies, vallées et jungles. La Cour a pris soin de nommer comme «parents» de ces écosystèmes des personnalités locales chargées d’assurer leur protection. «Les peuples premiers savent ce que nous avons longtemps oublié: la terre nous est vitale et son destin préfigure le nôtre, souligne Valérie Cabanes, juriste en droit international spécialisée dans les droits de l’homme. Leur sagesse leur a permis de vivre pendant des millénaires en harmonie avec la nature. Nos sociétés prétendument évoluées doivent réapprendre, en s’inspirant d’eux, à vivre en paix avec le vivant, à ne plus vouloir le dominer», poursuit cette Française qui œuvre pour une reconnaissance universelle des droits de la nature et du crime d’écocide.
RépondreSupprimerLes droits de la Pachamama
Que faire quand la déforestation s’accélère, que les glaciers fondent à un rythme beaucoup plus soutenu que ne le pensaient jusqu’alors les scientifiques et que les océans se réchauffent à vitesse grand V ? Quand les droits humains fondamentaux – droit à l’eau, à l’alimentation, à la santé – risquent de ne plus être garantis et que l’instinct de survie collectif de l’espèce humaine tarde à se réveiller ? Ces questions, le juriste et professeur de droit américain Christopher Stone, se les étaient posées il y a plus de quarante ans.
En 1972, pour empêcher qu’un projet de la société Walt Disney, menaçant une forêt de séquoias, ne voie le jour, il propose d’accorder des droits aux arbres. «Les arbres doivent-ils pouvoir plaider ?» s’interroge-t-il alors dans un article pionnier suggérant de faire de la nature un sujet de droit. Sa proposition, perçue comme une provocation, est alors accueillie avec des sarcasmes et des fins de non-recevoir.
Depuis, l’idée a fait son chemin. Lentement mais sûrement. Elle a pris forme, au début des années 2000, en s’inscrivant d’abord dans des textes de loi et dans la jurisprudence de pays du Sud. La percée est venue de l’Equateur et de la Bolivie, deux pays animés par une philosophie de vie multiséculaire puisant ses racines dans les traditions autochtones du monde andin et amazonien. En 2008, l’Equateur de Rafael Correa a été le premier pays au monde à reconnaître dans sa constitution, la nature comme sujet de droit. Sa loi fondamentale veille sur la Terre-Mère, la Pachamama «qui a droit au respect absolu de son existence et au maintien et à la régénération de ses cycles vitaux, de ses fonctions et de ses processus évolutifs.» Son article 72 précise clairement: «Toute personne, communauté, peuple ou nation, pourra exiger de l’autorité publique le respect des droits de la nature.»
Actions juridiques
RépondreSupprimerEn 2009, à son tour, la Bolivie a donné valeur constitutionnelle aux droits de la nature, suivie par le Mexique en 2017. Dans ces pays, les juges peuvent désormais utiliser ces dispositions constitutionnelles pour contrer les atteintes portées aux écosystèmes. En Equateur, depuis que le gouvernement a intensifié l’extractivisme pétrolier et repris l’exploitation minière à grande échelle, les magistrats ne s’en privent pas. En 2011, la cour provinciale de Loja a prononcé une injonction afin de stopper un projet de route qui allait perturber le cours d’une rivière, rappelle Valérie Cabanes dans son livre Un nouveau droit pour la terre. La cour a invoqué «le principe d’un droit intergénérationnel, reconnaissant l’importance de la nature pour protéger les intérêts des générations présentes et futures», explique-t-elle.
On observe les mêmes changements de conscience dans des pays du Nord. En Suisse par exemple, en 2008, la Commission fédérale d’éthique pour le génie génétique dans le domaine non-humain (CENH) a reconnu dignité et valeur morale aux plantes. Trois années auparavant, la Confédération avait introduit une loi, parmi les plus modernes au monde, visant à améliorer le statut juridique des animaux. Depuis 2003, les animaux ne sont plus considérés comme des choses mais comme des êtres vivants, doués de sensibilité.
«Principe unitaire de vie»
Au printemps 2010, après l’échec de la Cop 15 de Copenhague, Evo Morales, le président bolivien, invite les ONG, les peuples et les mouvements sociaux à établir des mesures plus contraignantes afin de limiter le changement climatique. Réunie à Cochabamba, la Conférence mondiale des peuples sur le changement climatique et les droits de la Terre-Mère adopte alors une déclaration des droits de la nature qui propose que la planète ne soit plus considérée comme un objet inanimé exploitable à merci mais comme un foyer commun, un lieu vivant qu’il faut protéger juridiquement.
Si le crime d’écocide avait été reconnu, Donald Trump n’aurait pu sortir de l’accord international sur le climat sans craindre des poursuites
Valérie Cabanes, juriste en droit international
Cette décision a permis d’internationaliser le concept des droits de la nature qui commence, depuis, véritablement à essaimer. Ceux-ci ont été reconnus, sur plusieurs continents, par de multiples collectivités publiques et cours de justice. Aux Etats-Unis notamment où 34 municipalités les ont intégrés dans leurs législations locales.
En Nouvelle-Calédonie, la communauté Kanak des îles Loyauté a reconnu dans son code de l’environnement, adopté en avril 2016, le «principe unitaire de vie» en vertu duquel «l’homme appartient à l’environnement naturel qui l’entoure.» Si, comme le souligne Valérie Cabanes, à l’issue du référendum d’autodétermination, prévu sur «le Caillou» en novembre prochain, le territoire décide de rester dans le giron français, l’Hexagone devra intégrer dans son code civil ces principes dérogatoires qui pourront être utilisés par les juges français.
RépondreSupprimerTrump écocidaire
Ces normes juridiques, nationales et locales, dont l’application dépend de la combativité des juges, suffiront-elles pour freiner ou arrêter les atteintes portées aux écosystèmes à l’échelle mondiale qui impactent l’humanité tout entière ? Il est permis d’en douter. Pour renforcer le dispositif, le mouvement End Ecocide on Earth milite pour la création d’une nouvelle disposition juridique internationale, le crime d’écocide, plus à même de protéger l’habitabilité de la terre. Pour l’ONG, la sauvegarde de la vie suppose que la souveraineté de chaque pays s’efface devant une justice universelle qui reconnaisse à la nature le droit à exister et à perdurer.
«Ce nouveau crime international permettrait de poursuivre des personnes physiques, des Etats mais aussi des entités morales (sociétés transnationales) responsables d’atteintes graves à l’intégrité du système Terre, précise Valérie Cabanes. Si le crime d’écocide avait été reconnu, Donald Trump n’aurait pu sortir de l’accord international sur le climat sans craindre des poursuites devant la justice internationale.»
https://www.letemps.ch/societe/justice-nature-veut-reprendre-droits
SupprimerDes attardés-mentaux représentants des herbes folles et tas de merdes-du-coin se sont réunis pour exprimer le cri des arbres aux feuilles qui tombent et aux excréments écrasés dans l'irrespect le plus total sur les trottoirs ! 'NON aux merdicides des politichiens !
HAHAHAHAHA !
Fabriquer des armes chez soi est parfaitement légal aux Etats-Unis
RépondreSupprimerValérie de Graffenried
vendredi 23 février 2018 à 15:16.
Imprimantes 3D et meules automatisées permettent d’assembler des armes «fantômes» à la maison, sans numéro de série. Derrière ce business, le crypto-anarchiste Cody Wilson, qui a pour objectif de rendre les armes à feu accessibles à tous
Nikolas Cruz a abattu 17 personnes dans l’école de Parkland, en Floride, avec un fusil semi-automatique AR-15 qu’il avait acheté légalement l’an dernier, alors même que de sérieux indices laissaient entrevoir ses funestes intentions. A chaque fusillade, le débat sur le contrôle des armes reprend, cette fois amplifié par une forte mobilisation des jeunes. Donald Trump vient de déclencher une nouvelle polémique en proposant d’armer les professeurs. Pendant ce temps, il y a un business que l’on a un peu tendance à oublier. Il est pourtant florissant. C’est celui des «armes fantômes», ces armes qui peuvent être assemblées tranquillement à la maison, en toute légalité, et qui demeurent intraçables.
Une arme en plastique qui explose
Les «armes fantômes» ? Cody Wilson, un crypto-anarchiste de 30 ans, en est devenu un spécialiste. Il a fondé Defense Distributed, avec un comparse, Ben Denio, en été 2012, à Little Rock (Arkansas), une organisation qui propose la fabrication d’armes à feu en open source. Son mantra ? Pour que le peuple puisse faire la révolution, il doit pouvoir s’armer.
Le nom de Cody Wilson est surtout associé au projet Wiki Weapon et à The Liberator, le premier pistolet fabriqué grâce à une imprimante 3D, capable de tirer une dizaine de balles jusqu’à ce qu’il explose. Une arme fantôme, sans aucun numéro de série et qui de surcroît, parce qu’elle est en plastique, passe sans aucun problème à travers les détecteurs de métaux. Glaçant. L'anarchiste est parvenu à fabriquer son prototype quelques semaines seulement après la fusillade de Sandy Hook, qui avait fait 28 morts, en décembre 2012.
Cody Wilson a immédiatement partagé sur Internet, en open source, toutes les informations permettant de fabriquer les 16 pièces du Liberator. A peine en ligne, son fichier a été téléchargé plus de 100?000 fois en 48 heures, à travers le monde entier. Mais Cody Wilson a été freiné dans ses ardeurs par l’intervention du Secrétariat d’Etat, trois jours après avoir partagé son code: il a été sommé de retirer son fichier. Motif: si fabriquer une arme chez soi est légal aux Etats-Unis, les instructions pour inciter à le faire peuvent violer des réglementations d’exportations d’armes. Le mal était déjà fait: ces fichiers sont restés consultables sur des sites illégaux de téléchargement.
Notre éditorial après Parkland: Une blessure profonde, une coupable hypocrisie
Action en justice contre le Secrétariat d’Etat
RépondreSupprimerCody Wilson est habitué à affronter de la résistance. Un politicien californien, le démocrate Kevin De Leon, mène une fronde contre les «armes fantômes», qu’il a réussi à faire interdire dans son Etat, mais pas au niveau fédéral. A l’époque, le CEO de Google avait aussi dit son inquiétude de l’émergence de ces imprimantes 3D capables de fabriquer des armes et Fedex avait au départ refusé de les livrer. Les fabricants des imprimantes utilisées par le crypto-anarchiste sont même venus les lui confisquer. Mais Cody Wilson adore défier les autorités et profiter des zones grises pour rendre les armes accessibles à tous. En mai 2015, il a été jusqu’à mener une action en justice contre le Secrétariat d’Etat pour censure, dossier désormais pendant devant la Cour suprême. Il estime que l’intervention du département viole notamment le deuxième amendement de la Constitution, qui garantit le droit de posséder une arme.
En 2012 déjà, le magazine Wired considérait Cody Wilson comme l’une des 15 personnes les plus dangereuses du monde sur Internet. Depuis, le jeune homme a grimpé dans le classement. En 2014, il a inventé le Ghost Gunner, une machine qui permet de fabriquer des armes grâce à une petite meule pilotée par un ordinateur. Il ne cesse depuis de la perfectionner. Elle permet de confectionner des AR-15 en aluminium. Depuis octobre 2017, il a ajouté à sa panoplie des Glocks et des Colt M1911. Ghost Gunner 2, qui ressemble à un four à micro-ondes, peut être achetée pour 1675 dollars.
«C’est ridiculement facile»
Sa machine dernier cri n’a plus rien à voir, sur le plan technologique, avec l’imprimante 3D qui ne favorisait que la fabrication d’armes éphémères, en plastique et de mauvaise qualité. Ghost Gunner 2 permet de confectionner, en environ une heure, le boîtier ou la «partie basse» d’une arme à feu, seule partie qui nécessite un enregistrement en bonne et due forme et un contrôle des antécédents. La subtilité est la suivante: Ghost Gunner travaille à partir de pièces non finies, généralement achevées à 80 %, que l’on peut acheter pour environ 70 dollars sans devoir montrer patte blanche. La machine s’attaque au morceau d’aluminium en créant de nouvelles cavités, pour le rendre compatible avec les autres éléments de l’arme. Il suffit ensuite d’acheter sur Internet les autres composants – canon, crosse, chargeur, etc. –, tous accessibles sans la moindre inscription à un registre, et assembler le tout pour posséder une arme intraçable à la maison.
Officiellement, sans numéro de série, l’arme en question n’existe pas. La machine de Cody Wilson peut donc faciliter la tâche à des personnes qui ont l’interdiction d’en acquérir, comme par exemple des mineurs, des personnes souffrant de graves troubles mentaux ou des individus qui ont un casier judiciaire bien rempli. S’il est illégal de vendre des armes non traçables prêtes à l’emploi, Cody Wilson, qui se fait plus discret depuis la fusillade de Parkland, se défend en rappelant qu’il ne fait que vendre des machines qui permettent d’en fabriquer, raison pour laquelle il échappe à la justice. Il assure également ne pas les vendre à n’importe qui: les étrangers, par exemple, ne peuvent pas en acquérir. Du moins, pas sans intermédiaire.
Un journaliste a fait le test
RépondreSupprimerUn journaliste de Wired, Andy Greenberg, a tenté de confectionner un AR-15 avec un Ghost Gunner. Il en a fait une petite vidéo. Son verdict: c’est extrêmement facile, puisque la machine travaille toute seule, pilotée par un ordinateur. Il est par contre bien plus difficile pour l’heure de savoir combien de ces armes fantômes ont tué. Un cas relativement récent a été recensé: en novembre 2017, Kevin Neal, 44 ans, un homme souffrant de troubles mentaux, a tué cinq personnes en Caroline du Nord avec des armes fabriquées à la maison.
Début 2017, Cody Wilson, qui n’en est plus à une provocation près, a mis sur pied un site de crowdfunding, Hatreon, qui accueille notamment des suprémacistes blancs expulsés d’autres plateformes, dont le néonazi Richard Spencer, icône de l’ultradroite américaine. Il assure n’avoir aucune affinité avec l’extrême droite, et n’être qu’un fervent défenseur de la liberté d’expression. Mais c’est bien sur le marché des armes que cet ex-étudiant en droit se concentre. Defense Distributed compte aujourd’hui une quinzaine d’employés, tous de jeunes geeks comme lui. En 2017, Wired considérait toujours Cody Wilson comme l’un des dix personnages les plus dangereux actifs sur Internet. Donald Trump y figure aussi.
https://www.letemps.ch/monde/fabriquer-armes-chez-soi-parfaitement-legal-aux-etatsunis
Supprimer(...) Fabriquer des armes chez soi est parfaitement légal aux États-Unis (...)
Oui mais n'exagérons pas ! Une 'imprimante 3D' ne fabriquera jamais des armes de guerre et, la firme Kalachnikov peut dormir sur ses deux oreilles !
(...) Glaçant. L'anarchiste est parvenu à fabriquer son prototype quelques semaines seulement après la fusillade de Sandy Hook, qui avait fait 28 morts, en décembre 2012. (...)
HAHAHAHA ! Rien que l'évocation de cette école fait rigoler ! ZÉRO MORT ! ZÉRO MORT ! Et, les FAUX parents venus récupérer le corps de 'leur' enfant étaient des comédiens payés à l'époque de la dictature d'ObamasquéÔhéÔhé comme pour le 'Marathon de Boston' où l'unijambiste avait fait la couverture des pq ! Hahahahahaha !
(...) dont le néonazi Richard Spencer, icône de l’ultradroite américaine. (...)
dont le néonazional socialiste Richard Spencer, icône de l’ultradroite américaine ! Hahahaha ! Un socialiste à l'extrème-droite ! Hahahaha !
Une politicienne française d'extrême droite accueillie au CPAC où elle prévient que la France est en train de devenir la «petite nièce de l'islam» et exprime son soutien à «l'Amérique d'abord»
RépondreSupprimerMarion Maréchal-Le Pen, la nièce de Marine Le Pen, candidate à l'élection présidentielle française d'extrême droite, a pris la parole lors de la Conférence d'action politique conservatrice
Maréchal-Le Pen a reçu un accueil chaleureux de la foule alors qu'elle parlait de l'amitié américaine et française et soutenait 'America First'
Un membre clé du Front national français, elle est allée après l'Union européenne dans ses remarques, suggérant qu'elle a ouvert la porte à la «société islamique» en France
Par Nikki Schwab, U.s. Journaliste politique pour Dailymail.com à Oxon Hill, Maryland
00h41 GMT, 23 février 2018
La nièce de la candidate à qui a échoué à l'élection présidentielle française, Marine Le Pen, a déclaré jeudi à un rassemblement de conservateurs américains que la France risquait de devenir "la petite nièce de l'islam" à cause de l'immigration.
Marion Maréchal-Le Pen, qui a fait ses débuts à la Conférence d'Action politique conservatrice, a repris plusieurs des mêmes thèmes que l'un des discours du président Trump - disant qu'elle soutenait totalement «America First» - tout en suggérant que les Français étaient plus mal lotis Merci à l'Union européenne.
"La France n'est pas libre aujourd'hui", a-t-elle déclaré. "Les Français ne sont pas libres de choisir leurs politiques, sur l'économie, l'immigration et même la diplomatie. Notre liberté est entre les mains de l'Union européenne. "
Marion Maréchal-Le Pen, la nièce de la candidate à l'élection présidentielle française, Marine Le Pen, a fait son premier discours politique en 2018 lors de la Conférence d'Action politique conservatrice
Marion Maréchal-Le Pen a critiqué l'Union européenne en disant que le corps a ouvert la France à devenir la «petite nièce de l'Islam» au lieu de la «fille aînée de l'Église catholique», le pays était autrefois
Au cours de son intervention, la femme politique française Marion Maréchal-Le Pen a exprimé son soutien au président Trump et à l'agenda républicain de l'Amérique d'abord.
'Bonjour CPAC!' a déclaré Marion Marechal-Le Pen alors qu'elle accueillait jeudi les participants à la Conférence d'action politique conservatrice qui se tenait juste à l'extérieur de Washington, D.C.
Un politicien français montre son soutien à 'America first' à CPAC
Le Pen a suggéré que l'attaque de l'UE contre la culture française avait ouvert la porte au «développement de la société islamique en France».
"Après 40 ans de migration massive, de lobbies islamiques et de politiquement correct, la France est en train de passer de la fille aînée de l'Eglise catholique à la petite nièce de l'Islam", a-t-elle déclaré.
"Le terrorisme n'est que la pointe de l'iceberg - ce n'est pas la France pour laquelle nos grands-parents se sont battus", a-t-elle ajouté.
RépondreSupprimerElle a également suggéré que la plus jeune génération de Français et de Françaises a été «lavée de culpabilité par la culpabilité et la honte pour leur pays».
«Tout ce que je veux, c'est la survie de ma nation», a-t-elle protesté.
Le Front national français a longtemps été critiqué pour être islamophobe et xénophobe, depuis sa fondation en 1972 avec le leader Jean-Marie Le Pen, jusqu'à l'itération plus moderne, chaperonnée par Marine, la fille de Jean-Marie et Marion Maréchal- Le Pen, nièce de Marine Le Pen.
L'année dernière le parti a été battu politiquement avec Marine Le Pen perdant l'élection présidentielle française de 32 points à l'actuel président Emmanuel Macron.
L'arrêt CPAC de Maréchal-Le Pen était sa première adresse politique depuis l'année dernière.
'Bonjour CPAC !' elle s'est exclamée à la foule.
«J'espère que les Américains aiment vraiment les accents français, d'accord, et j'espère que vous me verrez aussi moins terrifiant que les médias américains ne me le présentent», a-t-elle déclaré.
Maréchal-Le Pen a ensuite évoqué les liens de longue date entre les États-Unis et la France, notant que les Français ont été les premiers à reconnaître l'indépendance américaine au cours du combat des patriotes contre les Britanniques.
La femme politique française a également déclaré qu'elle soutenait l'agenda du président Trump aujourd'hui.
"Je ne suis pas offensé quand j'entends le président Donald Trump dire" America First ". Je veux l'Amérique d'abord pour le peuple américain, je veux la Grande-Bretagne pour le peuple britannique, et je veux la France d'abord pour les Français ", a-t-elle déclaré.
http://www.dailymail.co.uk/news/article-5423901/Far-right-French-politician-welcomed-CPAC.html#ixzz57utSj5Hk
STATISTIQUES : 12% DES FRANÇAISES DISENT AVOIR ÉTÉ VIOLÉES
RépondreSupprimerParmi les victimes de viol, une large majorité de femmes affirment qu'elles connaissaient leur agresseur.
23.02.2018
Une femme sur huit (12%) déclare avoir été victime d'un ou plusieurs viols en France. Et 43% disent avoir subi des caresses ou des attouchements sexuels sans consentement, selon un sondage publié vendredi.
Cette étude, dont franceinfo a dévoilé les résultats, montre aussi que 58% des femmes interrogées déclarent avoir été confrontées à des comportements déplacés, 50 % à des insultes ou des remarques sexistes, et 45 % à des gestes grossiers à connotation sexuelle.
Parmi les victimes de viol, une large majorité de femmes - entre 78 % et 88 % selon la marge d'erreur - affirment qu'elles connaissaient leur agresseur. Seules 11% à 19% d'entre elles déclarent avoir déposé plainte et de 56 % à 68 % précisent qu'elles n'ont parlé à personne dans leur entourage.
Par ailleurs, entre 16 % et 27 % des femmes qui ont subi un ou plusieurs viols ajoutent qu'elles ont fait une tentative de suicide par la suite. Cette enquête a été mené par l'institut Ifop pour la fondation Jean-Jaurès. Il a été réalisée par questionnaire auto-administré en ligne, du 6 au 16 février, auprès d'un échantillon de 2167 femmes représentatif de la population féminine âgée de 18 ans et plus. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/12-francaises-disent-violees/story/16239744
72 000 euros par loup !
RépondreSupprimerPas grave, c’est le contribuable qui paye !
par Thierry Benne,
le 18 décembre 2017
Dans son édition en ligne du 13 décembre dernier, le Figaro vient de nous apprendre qu’en 2016, l’ensemble des mesures de protection contre le loup avaient coûté 22,5 millions d’euros, auxquels il fallait rajouter encore 3,5 autres millions d’euros au titre des indemnisations de pertes de bétail (11 000 têtes, chaque année, pour la plupart des brebis). Soit pour 2016, un coût annuel plancher - car toutes les agressions ne sont pas recensées, ni déclarées, ni indemnisées - de 26 millions d’euros (= 22,5 + 3,5= 26).
Pour combien de loups ? A la fois trop et pas beaucoup : 360, répartis en 42 meutes, selon le dernier décompte officiel fourni en 2017 par le réseau national Loup/Lynx de l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, qui pointe d’ailleurs une forte progression annuelle (plus de 23%), puisque le comptage précédent publié en 2016 ne faisait état que de 292 carnassiers répartis en 35 meutes, les autorisations d’abattage étant donc très inférieures à la progression naturelle de la population.
Ce qui fait que le plus simplement du monde et compte tenu du décalage entre l’année de comptage et la publication, le coût annuel unitaire d’un loup " résident français" en 2016 s’établit à rien moins que :
26 000 000 /360 = 72 222 euros,
alors que le plan de régulation 2018-2023 fixe un objectif ambitieux de 500 loups qui risque de coûter fort cher à nos finances publiques, pourtant déjà fort mal en point. En effet, le loup en liberté a une espérance de vie moyenne qui oscille de 6 à 10 ans selon les sources, certains individus atteignant même 13 ans. Même en prenant la durée la plus brève, soit 6 ans, la vie d’un loup en liberté creuse donc dans nos budgets un trou de plus de 400 milliers d’euros, soit le prix catalogue d’une Rolls neuve plutôt haut de gamme.
Ce coût proprement exorbitant ne peut évidemment que faire réfléchir tous ceux qui, hors des fiefs "bobos", s’intéressent plus aux hommes qu’aux loups. En effet quand :
- on sait que ce pays n’est – hélas ! - pas capable d’assurer en plein hiver un nombre suffisant de places d’hébergement à ses nombreux "sans abris" obligés pour beaucoup trop de dormir dehors à même le sol par des températures inférieures à 0 degré ;
- on constate que notre Université n’est même plus en mesure d’accueillir dignement tous ses étudiants ;
- on recense le nombre important de nos concitoyens qui vivent ( très mal) en dessous du seuil de pauvreté ;
- on déplore que, pour une année complète de dur labeur, la plupart de nos éleveurs de montagne ne gagnent même pas la moitié, ou le tiers de ce que coûte un seul prédateur qui suffit à ruiner leurs efforts ;
chacun des contribuables que nous sommes peut se demander si, en engageant chaque année plus de 72 000 euros par loup pour permettre à des meutes sans cesse plus nombreuses de batifoler librement sur notre territoire, nos politiques n’ont pas complètement perdu la tête et si l’écologie qui prédomine dans ce pays n’est pas tout simplement devenue folle.
P-S : Dans ce billet, encore n’avons-nous parlé que de sous, mais il y a pire encore lorsqu’on apprend sur le site Wikiagri, porte-parole de la ruralité, que la règlementation en vigueur stipule honteusement que "l’éleveur n’a pas le droit d’euthanasier ses bêtes avant le constat officiel des autorités de la prédation. Entre-temps, la bête agonise dans un état lamentable sous les yeux de l’éleveur impuissant". On voit une fois encore l’aveuglement qui marque les défenseurs de l’écologie, que leur religion conduit, parce qu’ils sont le fait de leurs protégés, à fermer les yeux sur le traitement de carnages qui feraient immédiatement condamner et fermer tout site d’abattage régulier. Ce n’est pas parce qu’il s’agit d’un animal sauvage que nous devons tremper nos lois dans la barbarie.
RépondreSupprimerhttps://fr.irefeurope.org/Publications/Les-chiffres-cles/72-000-euros-par-loup
(...) "l’éleveur n’a pas le droit d’euthanasier ses bêtes avant le constat officiel des autorités de la prédation. Entre-temps, la bête agonise dans un état lamentable sous les yeux de l’éleveur impuissant". On voit une fois encore l’aveuglement qui marque les défenseurs de l’écologie, que leur religion conduit, parce qu’ils sont le fait de leurs protégés, à fermer les yeux sur le traitement de carnages qui feraient immédiatement condamner et fermer tout site d’abattage régulier. (...)
SupprimerCe n'est pas sans rappeler l'affaire du 'homard ma tuez' où, des 'suisses' avaient demandé a ce que l'homard(dit-gras ?) soit euthanasié avant d'être tué ! HAHAHAHA ! Ou, la bestiole devrait être assise sur une chaise électrique avant d'être plongée dans l'eau brûlante !!! Hahahaha !
Survivant de tir de la Floride double vers le bas: L'hôtel de ville entier de CNN a été écrit
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 02/23/2018 - 08:53
Le dernier coup embarrassant pour la crédibilité de CNN (déjà en lambeaux) a émergé hier soir lorsque Colton Haab, l'étudiant qui a montré CNN pour l'avoir poussé à poser une question écrite mercredi soir sur Tucker Carlson Tonight, a offert des détails encore plus choquants sur CNN. conduite.
Hier, nous avons noté que Haab, un étudiant de Marjory Stoneman Douglas et un survivant du tournage, s'était présenté pour dire qu'il avait décidé de ne pas assister à l'assemblée de CNN mercredi soir après que les producteurs de CNN lui aient posé une question pré-scriptée.
Mais Haab a dit à Carlson que les producteurs ne voulaient pas juste lui poser une question écrite: ils ont essentiellement réécrit une liste de questions et de points politiques qu'il voulait faire à la mairie, l'incitant à s'éloigner de la mairie. Haab a dit à Carlson qu'il partageait avec CNN ce qu'il voulait dire, mais une productrice nommée Carrie Stevenson l'a finalement rejetée, et au lieu de cela plusieurs conversations lui ont "posé" une question.
"CNN m'avait demandé à l'origine d'écrire un discours et des questions et il a fini par être tous scénarisés", a déclaré Haab à un média local mercredi soir, selon RealClearPolitics.
Haab a dit à Carlson qu'il voulait aller «parler [sa] partie» et «ouvrir les yeux» sur certaines choses qu'il pensait pouvoir améliorer la situation. Haab a dit que le réseau était malhonnête et c'est pourquoi il a décidé de ne pas y assister. Il a également dit qu'il avait reçu l'ordre de "s'en tenir au scénario".
"Elle avait dit au téléphone que je devais m'en tenir au scénario", a déclaré Haab au sujet du producteur de CNN.
Il a été approché par CNN pour poser une question à l'hôtel de ville de mercredi soir, mais a refusé après que le réseau lui ait donné une "question écrite" au lieu de lui permettre de poser sa propre question.
Plus choquant, Haab a dit qu'il croyait que toutes les questions posées à la mairie étaient écrites. Haab a expliqué en détail ce qui s'est passé entre lui et le réseau d'information par câble et ce qu'il pensait de la mairie.
"Ce qui s'est passé il y a quatre jours, j'ai été contacté par une femme nommée Carrie Stevenson de la chaîne CNN, qui m'a demandé de rédiger un discours à l'origine. au BB & T Center [à Sunrise, Floride] Donc, j'ai accepté, je me sentais comme si ce serait la bonne chose à faire, être capable d'aller parler de ma part et d'ouvrir les yeux sur quelques choses que je pensais pouvoir faire A partir de là, il y a trois jours, donc le lendemain j'ai reçu un email d'elle et elle a demandé plus de questions qu'un discours, ce que je faisais très bien, alors j'ai écrit un peu moins. d'un discours et d'autres questions que je voulais poser à la mairie, le lendemain, c'était plus que de simples questions, elle demandait juste des questions que je voudrais poser.
«Alors, je lui ai posé mes questions et hier, vers 5 h 15, j'ai pris contact avec elle et elle m'a demandé si je lui avais posé une seule question, alors ce qu'elle avait fait était une question pour moi. parce que dans mon interview avec CNN, j'avais parlé d'armer les enseignants, s'ils étaient prêts à s'armer dans l'école pour aller sur le campus, et ils avaient pris celle de ce que j'avais briefé et avaient écrit cette question. Pour moi, j'ai donc cette question si vous voulez que je vous le demande.
RépondreSupprimerHaab a dit qu'il avait fermé la mairie parce qu'il pouvait dire que les questions posées étaient écrites.
CNN, bien sûr, a nié les allégations de Haab.
Il n'y a absolument aucune vérité à cela. CNN n'a pas fourni ou écrit de questions pour quiconque dans l'hôtel de ville hier soir, et nous n'avons jamais. Après avoir vu une entrevue avec Colton Haab, nous l'avons invité à participer à notre hôtel de ville avec d'autres étudiants et administrateurs de l'école secondaire Marjory Stoneman Douglas. Le père de Colton a retiré son nom de participation avant le début du forum, ce que nous avons regretté mais respecté. Nous invitons Colton à se joindre à nous sur CNN aujourd'hui pour discuter de son point de vue sur la sécurité à l'école.
Mais, bien sûr, ils ne peuvent pas tous les deux dire la vérité.
https://www.zerohedge.com/news/2018-02-23/they-rewrote-all-my-questions-student-says-cnns-gun-control-town-hall-was-entirely
CLIMAT - LE MYTHE DE L’AIR PUR SE DÉGONFLE
RépondreSupprimerUne récente étude internationale critique la qualité de l’air en Suisse. Le taux de particules est trop haut, mettant en danger l’image de marque du pays mais aussi notre santé.
La Suisse est souvent assimilée à la nature et à une qualité d’air irréprochable.
PAR UGO CURTY
23.02.2018, 17h38
La Suisse. Ses sommets enneigés, ses cours d’eau cristallins, ses vertes prairies et son air pur. Cette image de carte postale est devenue notre marque de fabrique à l’étranger. Pourtant, la réalité n’est pas aussi verte qu’on veut le croire. Une récente étude sur le bien-être, réalisée par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), égratigne notre pays. La qualité de l’air y est notamment pointée du doigt. La Suisse fait figure de mauvais élève (22e pays sur 38), derrière des nations comme le Brésil, l’Allemagne ou le Japon.
En cause: le taux de particules fines présentes dans l’air. La Suisse affiche une concentration moyenne de 14,5 microgrammes par mètre cube, soit largement au-dessus des recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui fixe un seuil maximal à 10 mcg/m3. Le trafic routier et le chauffage au bois sont montrés du doigt comme conséquences directes de cette pollution.
Contacté, l’Office fédéral de l’environnement conteste les résultats de cette étude. L’OFEV affirme que la moyenne nationale est en adéquation avec le seuil maximal recommandé par l’OMS. La Suisse volerait alors dans les mêmes airs que les États-Unis, pays qui n’est pas forcément une référence mondiale en termes de pollution. «La qualité de l’air reste bonne en Suisse, souligne Brigitte Gälli Purghart, collaboratrice scientifique à l’OFEV. La concentration de particules a baissé ces dernières années. Nous pouvons toujours nous améliorer, mais nous faisons notre possible avec les moyens techniques et politiques à notre disposition.»
L’image de marque de la Suisse est néanmoins écornée par cette étude de l’OCDE. Un résultat qui n’inquiète pas pour autant Suisse Tourisme. «La qualité de l’air n’est pas, à elle seule, un argument de vente, affirme la porte-parole Véronique Kanel. Cela dit, l’air de nos montagnes a beaucoup de valeur, notamment pour certains touristes chinois qui vivent dans des mégapoles comme Shanghai ou Pékin. Je ne pense pas qu’une seule étude comparative de ce type puisse nuire à la branche en Suisse.»
Risque pour la santé
Au-delà du tourisme, les particules fines représentent un danger pour la population. «La pollution de l’air est un véritable problème de santé publique, rappelle Sophie Gumy, spécialiste de la question à l’OMS. Cela a un effet à long terme, notamment sur le nombre de cancers et de maladies cardio-pulmonaires. Les coûts pour la santé sont importants.» (Le Matin)
https://www.lematin.ch/suisse/mythe-air-pur-degonfle/story/31983766
SupprimerDepuis toujours les montagnes arrêtent/dévient les vents et, elles figurent comme les premières réceptrices des particules volantes. D'où la qualité de l'air forcément médiocre trompée par les senteurs des résineux et les 'effets d'altitude'.
(...) Le trafic routier et le chauffage au bois sont montrés du doigt comme conséquences directes de cette pollution. (...)
Précision: trafic routier DIESEL et centrales électrique à charbon ! (et non 'chauffage au bois').
Ce ne sont pas seulement les homicides: les vols commerciaux à Baltimore sont en hausse de 88 %
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 23/02/2018 - 22:40
Nous avons maintenant des preuves à l'appui que Baltimore est la «ville la plus dangereuse de la nation», selon un nouveau rapport publié par le bureau du crime de USA Today. L'implosion du centre-ville de Baltimore ne nous surprend guère, compte tenu de nos rapports récents sur des meurtres hors de contrôle et des crimes violents plongeant la ville dans la tourmente après l'effet Ferguson (2015).
"Baltimore est la grande ville avec le taux de meurtres par habitant le plus élevé au pays, avec près de 56 meurtres pour 100 000 personnes. Avec 343 meurtres en 2017, la ville a enregistré le taux par habitant le plus élevé de son histoire ", écrit USA Today dimanche.
Le journal a analysé les données sur les crimes de répression en 2017 dans les 50 plus grandes villes du pays et a découvert que Baltimore avait un taux de meurtres par habitant plus élevé que Detroit, Memphis, Chicago, Philadelphie et la Nouvelle-Orléans.
En décembre dernier, nous avons détaillé comment le taux de meurtre de Baltimore est supérieur à 4 fois la moyenne des grandes villes et à aggraver les choses avec le Venezuela.
En ce qui concerne les homicides par habitant en 2017, Baltimore est clairement la plus grande ville des États-Unis avec un taux de meurtre supérieur à 4 fois la moyenne des autres grandes villes et 40% plus élevé que la deuxième ville la plus dangereuse de Detroit. Pour mettre les choses en perspective, le taux de meurtre à Baltimore est maintenant exactement égal au Venezuela avec 57,2 meurtres pour 100 000 habitants.
Étonnamment, le bureau du crime du journal affirme que le taux global d'homicides dans les 50 plus grandes villes a commencé à diminuer en 2017.
Cependant, la baisse n'a pas été d'à peu près 1%, ce qui a été produit par une baisse rapide des meurtres pour des villes comme Chicago (14,7%), New York (13,4%) et Houston (11%).
Pendant ce temps, à Baltimore, la région a ajouté 25 homicides en 2017 (343) par rapport à l'année précédente (318).
Sur le graphique ci-dessous, Baltimore a enregistré les deuxièmes homicides les plus élevés du pays pour les grandes villes en 2017, seulement derrière Chicago avec 650 homicides en 2017, contre 762 l'année précédente, une ville de 2,7 millions d'habitants, sur les 620 000 habitants de Baltimore. Pour la petite taille de Baltimore, la ville a connu plus d'homicides en 2017 que New York, Los Angeles et Philadephia, où les populations sont astronomiquement plus élevées.
"Leur classement est très alarmant", a déclaré le commissaire désigné Darryl De Sousa à WBAL Radio.
RépondreSupprimerIl a ajouté: "Mais je connais Baltimore d'une autre manière ... Je connais les mères et les pères qui luttent chaque jour pour essayer de rendre la ville meilleure."
M. De Sousa a déclaré que la nouvelle initiative de réduction de la violence que lui-même et la mairesse Catherine Pugh ont mise en œuvre à travers la ville fonctionne; Il a ajouté que les homicides ont diminué de 37% et que les tirs non mortels ont diminué de 46% par rapport à la même période l'an dernier.
Il y a eu 32 homicides au 21 février 2018, selon The Baltimore Sun; à ce moment l'année dernière, la police a signalé environ 47 meurtres.
Le crime est "à la baisse dans chaque catégorie" en 2018, a déclaré M. Pugh lors d'une conférence de presse mardi.
Le maire a décrit l'initiative de prévention de la violence de Baltimore comme «très axée sur les données».
Dit Pugh: "Sommes-nous encore satisfaits ? Non. Tendons-nous dans la bonne direction ? Oui."
Les agents d'application de la loi de Baltimore ont déjà arrêté quelque 200 récidivistes violents au cours des dernières semaines sur des mandats en suspens, a déclaré De Sousa à WBAL Radio. La stratégie de prévention de la violence de la ville consiste à «mettre les ressources dans les bons endroits au bon moment», a-t-il déclaré.
«Nous connaissons nos zones problématiques», a déclaré De Sousa, qui a proposé de consacrer plus d'énergie et de temps aux quartiers considérés comme troublés, comme Sandtown-Winchester, un quartier de West Baltimore, Maryland où Freddie Gray a été arrêté et finalement décédé. les émeutes de Baltimore en 2015.
Dr. Nicole Gonzalez Van Cleve, un expert en criminologie et professeur à l'Université Temple de Philadelphie, dit au Baltimore Patch que les citoyens devraient ignorer les classements de la ville par USA Today.
"Nous jetons un peu autour de ces classements et cela donne l'impression que tout le monde est également vulnérable à la violence, alors que dans la plupart des villes, en particulier à Chicago, la violence est principalement concentrée dans les zones les plus socialement négligées. Zones avec les taux de pauvreté les plus élevés. Écoles à défaut ", a déclaré Van Cleve.
"Les grandes villes américaines avec des niveaux élevés de ségrégation, de pauvreté et d'inégalité verront souvent des taux élevés de violence", dit-elle. Mais les statistiques et les classements de la criminalité ne donnent pas une image précise de l'endroit où cette violence se produit réellement. La violence est concentrée au sein des communautés, et les blocs individuels dans les quartiers voient des niveaux de violence très différents des autres », a-t-elle ajouté.
«Littéralement, un côté de la rue aura moins de criminalité dans le même quartier que l'autre côté de la rue», dit-elle.
RépondreSupprimerUSA Today a cité certains experts du crime et les responsables de l'application de la loi croient que la fracture des relations communautaires et policières aurait pu avoir un impact sur les homicides élevés dans des régions comme Baltimore et Chicago.
Alors que ce n'est que du jour 53 à 2018, la mairesse Catherine Pugh a déjà indiqué qu'elle avait réussi dans ses nouvelles stratégies de lutte contre le crime. Les homicides à Baltimore ont tendance à être une chose saisonnière, ce qui, peut-être, la récente division du vortex polaire pourrait signaler des homicides augmenteront d'ici en raison du temps plus chaud. Pour l'instant, Pugh et sa firme de relations publiques ne font que propager la propagande ...
Quelque chose nous dit que l'implosion de Baltimore est loin d'être terminée, car la crise des opioïdes alimente la prochaine vague de troubles. Le Baltimore Sun identifie la prochaine vague de chaos provenant d'une explosion de vols commerciaux. Cela compliquera davantage la situation du département de la police, qui est déjà miné par des meurtres hors de contrôle. Au cours des cinq dernières années, les vols commerciaux ont augmenté de 88%, passant de 560 en 2013 à plus de 1 000 l'année dernière.
L'explosion des vols commerciaux a commencé le 18 avril 2015, juste six jours après que les policiers de Baltimore ont arrêté Freddie Gray, un résident afro-américain de 25 ans à Baltimore, Maryland. Gray a subi des blessures à la colonne vertébrale alors qu'il était transporté dans un véhicule de police, où il est décédé plus tard. En retour, les résidents ont déclenché des émeutes à l'échelle de la ville qui visaient les magasins commerciaux. La garde nationale a été appelée et a fermé la ville pendant une semaine dans une variante de la loi martiale.
Les propriétaires d'entreprises du centre-ville sont pris de panique face aux menaces qui pèsent sur leurs magasins: trafic de drogue, intimidation, coups de couteau et fusillades, a déclaré le Baltimore Sun. Les entreprises se sont adaptées à l'environnement de la zone de guerre en embauchant des gardes, en installant des vitres pare-balles, des systèmes de sonnerie de porte et en transformant leur boutique en une mini-forteresse. Certaines entreprises sont en train de fermer, car le climat de guerre ne produit pas une atmosphère durable pour une économie saine.
"Nos membres sont très inquiets", a déclaré Cailey Locklair Tolle, président de la Maryland Retailers Association. "Malheureusement, beaucoup de nos membres ne déménagent pas. C'est un effort massif. Souvent, ils cessent leurs activités. "
Baltimore est un gâchis. L'Amérique est un shithole. Avons-nous votre attention maintenant ?
https://www.zerohedge.com/news/2018-02-22/its-not-just-homicides-commercial-robberies-baltimore-are-88
Qu'ont-elles en commun ces villes américaines ? sinon la drogue à profusion et les dealers (armés de pistolets, couteaux ou barres de fer).
Supprimer