- ENTREE de SECOURS -



jeudi 1 février 2018

Non Monsieur Pont, le réchauffement climatique n’est pas une fumisterie !

Jérémy Savioz, géographe et député au Grand Conseil valaisan
jeudi 1 février 2018 à 17:55. 


OPINION. Fin décembre, l’historien Jean-Claude Pont publiait un livre pour dénoncer les thèses du réchauffement climatique. Comme ses collègues du Conseil général de Sierre, le géographe Jérémy Savioz était invité à le lire. Il choisit l’exercice de la lettre ouverte pour répondre au professeur à la retraite


Cher Jean-Claude Pont,

J’ai reçu, comme tous les conseillers généraux sierrois, une invitation à acheter votre livre Le vrai, le faux et l’incertain dans les thèses du réchauffement climatique. Un livre qui affirme, sur la base de documents prétendument irrécusables, que le réchauffement climatique ne serait qu’une vaste fumisterie créée de toutes pièces par le lobby écologiste, manipulant les médias et la population à grands coups de mensonges et de chiffres falsifiés. La quatrième de couverture met le lecteur en garde contre l’«extrémisme vert» et les prédictions du GIEC, qui ne vaudraient pas mieux que celles de l’astrologie ou de Nostradamus. Vous vous posez ainsi en climatologue autoproclamé, rejetant d’un revers de manche un consensus scientifique qui a donné lieu, en 2017, à une déclaration cosignée par 15 000 chercheurs spécialisés dans ce domaine. Mais intéressons-nous au fond.

«Le climat a toujours connu des variations !» Vous avez raison. Les températures de notre planète ont connu des évolutions parfois importantes. Le Programme glaciaire européen en Antarctique (EPICA) effectue des carottages de glace permettant de retracer le paléoclimat au cours des 740 000 dernières années. Il nous apprend que les températures actuelles dépassent toutes les valeurs enregistrées depuis cent mille ans et qu’il faut remonter au dernier cycle interglaciaire pour trouver des températures plus chaudes qu’aujourd’hui. Celui-ci a mis des milliers d’années à se mettre en place, tandis que le réchauffement actuel est vieux d’un peu plus d’un siècle seulement. Le taux de gaz carbonique, lui, n’a jamais été aussi élevé qu’aujourd’hui. D’autres études mettent en évidence de brèves phases de réchauffement récentes, notamment l’«optimum médiéval» vers 900–1300. Cette période a certes permis la culture de la vigne en Angleterre, mais n’a concerné que l’Europe de l’Ouest et les travaux de reconstruction des températures s’accordent à dire que celles-ci n’étaient pas aussi chaudes que celles que nous connaissons en ce début de XXIe siècle. Contrairement à ce qui est parfois raconté, nos cols alpins étaient bel et bien recouverts de glace à cette époque-là.

Multiples imprécisions
Je pourrais m’arrêter sur une multitude d’autres imprécisions, le risque de nous enfermer dans un dialogue de sourds n’en vaut pas la chandelle. Bien sûr, votre point de vue est infiniment plus séduisant que le mien. Il déculpabilise et déresponsabilise l’être humain, tandis que je m’efforce de faire passer un message souvent perçu comme moralisateur ou liberticide.

La grande différence entre vous et moi, c’est que votre génération ne sera plus là dans trente ans pour supporter ce que la mienne commence déjà à subir: la fonte du permafrost.
Comme vous, Monsieur Pont, je me méfie des vérités toutes faites. A une différence près: le cas qui nous concerne ici ne se limite pas qu’à un débat de société ou à une querelle d’experts, sans incidence sociétale. Derrière la bataille des chiffres se trouvent des êtres humains directement affectés par un processus que vous vous efforcez de nier. L’augmentation du niveau des océans n’est pas une hypothèse mais un fait, indéniable (environ 20 cm depuis 1900), qui menace les zones côtières et provoque déjà le déplacement de millions de réfugiés climatiques. Ignorant ces «externalités», vous préférez conclure votre ouvrage par un chapitre «A qui profite le crime ?» pointant du doigt les lobbys du renouvelable tirant parti de l’abandon des énergies fossiles. Je ne m’étonne guère que vous ne citiez pas les grands groupes pétroliers qui, infiniment plus puissants et avec la bénédiction du président américain actuel, financent des «contre-études» climatosceptiques dont certaines se retrouvent dans votre bibliographie.

Malhonnêteté intellectuelle
Monsieur Pont, vous êtes un brillant mathématicien, un historien reconnu, un de ces passionnés de montagne tels que je les admire. Votre vie est peut-être faite de grands accomplissements, votre dernier combat n’est pas crédible. Bien sûr, vous ne portez pas les milieux écologistes dans votre cœur et je sais que dans la vallée qui vous a vu naître, les rapports entretenus avec les organisations environnementales sont parfois tendus. Mais cela ne devrait pas faire sombrer le scientifique que vous êtes dans la malhonnêteté intellectuelle.

La grande différence entre vous et moi, c’est que votre génération ne sera plus là dans trente ans pour supporter ce que la mienne commence déjà à subir: fonte du permafrost déstabilisant les infrastructures de montagne, recrudescence d’événements météorologiques extrêmes, records de chaleur, recul des glaciers, etc. Plutôt que de vous faire le porte-parole des théories complotistes et des arguments de bistrot, je préférerais que vous consacriez votre temps et vos connaissances à la recherche de solutions. Pour qu’un jour nous puissions toutes et tous nous mettre d’accord sur une seule nécessité, celle de préserver notre humanité.

Avec mes meilleures salutations.

16 commentaires:

  1. (...) la fonte du permafrost. (...)

    HAHAHAHA ! Il y a des centaines (des milliers ?) de sources chaudes volcanique sous les pôles Sud & Nord qui sont, reconnaissons-le - au plus près du magma qui en affecte les bases-mêmes des glaciers au point d'en décoller certains de là où ils sont.

    (...) Derrière la bataille des chiffres se trouvent des êtres humains directement affectés par un processus que vous vous efforcez de nier. L’augmentation du niveau des océans n’est pas une hypothèse mais un fait, indéniable (environ 20 cm depuis 1900), qui menace les zones côtières et provoque déjà le déplacement de millions de réfugiés climatiques. (...)

    Ne pas oublier que: Depuis des millions d'années, ce sont des milliards de km³ d'eaux (venues des pluies, des fleuves et des rivières) qui se sont déversés dans les océans (et continuent à le faire !) SANS QUE 'LA MER MONTE' !!! Çà alors !!

    L'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océanique vers le magma où elle est chauffée/brûlée et ressort toute propre (et GRATUITEMENT !) aux nappes phréatique, sources terrestres et sous-marines (chaude, froide et/ou gazeuse). Quant à cette 'montée de 20 cm', personne (y compris les scientifiques) ne s'en sont aperçu : Çà alors !

    Toutefois, notre planète subi des dizaines de tremblements de terres plus océanique que terrestres et, les plaques qui se rencontrent forment des monticules sous-marins qui peuvent plus tard lorsqu'ils émergent s'appeler récifs ou îles. D'où une montée des eau par ce volume pyramidal ou conique ajouté. Mais, le déplacement des plaques ouvrent forcément derrière eux des cavités où l'eau s'engouffre. D'où la baisse des océans.

    L'homme n'est ni responsable des tremblements de terre (sauf lors des extractions de gaz de shiste qui en causent), ni des éruptions volcanique sous-marines perpétuelles qui réchauffent les courants océanique. Il n'y a donc pas de 'réfugiés climatique' comme vous le prétendez mais seulement des invasions de migrants attirés par des allocations ad vitam éternam en pays qui se refroidissent compte tenu des cycles observés de notre planète.

    https://huemaurice5.blogspot.fr/2017/12/est-ce-que-40-000-volcans-sont.html

    https://huemaurice5.blogspot.fr/2015/03/les-volcans-sous-marins-finalement-pris.html

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  2. Les refoulements à la frontière expliquent la baisse des demandes d’asile en Suisse en 2017

    1 février 2018
    Jasmine Caye Dublin, Statistiques

    En 2017 les demandes d’asile ont chuté d’un tiers avec 18’088 demandes déposées en Suisse. C’est le chiffre le plus bas enregistré depuis 2010 selon le Secrétariat d’Etat aux migrations (SEM).

    Ce chiffre est principalement dû aux mesures de sécurisation des frontières européennes et suisses et non à l’apaisement des conflits et des violences qui affectent les réfugiés dans le monde. Les outils de contrôle migratoire comme les accords de Dublin, les détentions administratives souvent abusives et les refoulements à la frontière de “réfugiés illégaux” – termes très inappropriés du Corps des gardes-frontière (Cgfr) – font partie de l’arsenal prioritaire des mesures appliquées avec peu de considération pour les souffrances humaines de personnes vulnérables, souvent rescapées des camps de détention libyens.

    Explications du SEM

    Pour expliquer ce chiffre bas, le SEM mentionne tout d’abord la descente en flèche du nombre de débarquements en Italie à partir du 16 juillet 2017 entraînant une diminution conséquente du nombre de demande d’asile en Suisse des personnes en provenance de la région subsaharienne. Le blocage des migrants en Libye, grâce à la surveillance accrue des garde-côtes libyens, formés et équipés par l’Union européenne mais aussi de milices armées douteuses, a entraîné une chute de 70% des arrivées en Italie selon l’Organisation internationale des migrations (OIM).

    Le SEM explique aussi cette baisse par la diminution en 2017 de “la migration secondaire” surtout en provenance d’Allemagne de personne d’origine afghanes, irakiennes et syriennes.

    Enfin, le SEM évoque le pacte migratoire entre l’Union européenne et la Turquie qui n’a pas empêché l’arrivée de 29’700 migrants en Grèce et indique le peu de renvois effectués depuis la Grèce vers la Turquie, l’échec résidant dans le système d’asile grec.

    En attendant, la Suisse profite beaucoup de ces accords et des blocages créés par la politique européenne de tri des requérants d’asile, initiée avec les centres d’accueil “hotspot” en Grèce et en Italie. Il n’est pas inutile de rappeler qu’en 2017, des milliers de requérants d’asile ont été détenus dans les camps “hotspot” sur les îles de Lesbos, Chios, Samos, Kos et Leros dans des conditions insupportables.

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  3. Communication des gardes-frontières

    Cependant le SEM ne parle pas des refoulements exécutés par les gardes-frontières en 2017. Il précise simplement que la “grande majorité des migrants interceptés à la frontière sud (Tessin) n’ont pas demandé l’asile en Suisse.” Faux selon les ONG et difficile à croire. La version officielle des gardes-frontières fait mal au ventre.

    Dans leur communiqué publié sur plusieurs sites d’information dont 20 Minutes, 24 heures et la RTS on lit que les “entrées irrégulières de réfugiés” se sont élevés à 27’300 en 2017, une diminution d’un tiers par rapport à 2016. Parmi ces personnes se trouvent des Guinéens, des Nigérians, des Gambiens et des Somaliens. En tout, ce sont 17’526 “réfugiés illégaux” qui ont été refoulés à la frontière dont 13’018 depuis Chiasso (Tessin) dans le cadre de l’application de l’accord bilatéral de réadmission (signé à Rome en 1998) qui prévoit une procédure simplifiée.

    Même avec le plus grand respect pour le travail des gardes-frontière, il est difficile de comprendre comment on puisse considérer ces personnes venant de si loin, ayant tout quitté et tout perdu pour traversé la Mer Méditerranée au péril de leur vie, comme des “réfugiés illégaux”.

    Mineurs non-accompagnés encore refoulés alors qu’ils demandent protection

    Sur sa page Facebook, Lisa Bosia Mirra, députée au parlement tessinois, dénonce les refoulement systématiques. Ceux des mineurs non-accompagnés sont particulièrement inquiétant. Ils ont continué en 2017 selon l’Association d’études juridiques sur l’immigration qui a recensé de nombreux cas pour lesquels une procédure de réadmission en Italie a été enclenchée alors qu’ils avaient exprimé par écrit un besoin de protection internationale.

    C’est l’organisation humanitaire Intersos qui le dénonce. En collaboration avec Open Society, elle a mené une étude en examinant pendant des mois les passages aux frontières italiennes.

    Dans un article poignant paru aujourd’hui sur Swissinfo Floriana Bulfon en a résumé les points les plus inquiétants: aux frontières italiennes, des enfants sont privés de la possibilité de parler avec un interprète ou un médiateur, d’appeler des parents qui pourraient les rejoindre ou de présenter une demande d’asile.

    Sommaruga versus Maurer

    Le Corps des gardes-frontière fait partie de l’Administration fédérale des douanes (AFD), qui est elle-même rattachée au Département fédéral des finances (DFF) dirigé par Monsieur le Conseil fédéral Ueli Maurer (UDC), chef du Département fédéral des finances depuis janvier 2016. Son crédo ? La sécurisation des frontières au détriment, on le voit, du respect des droits humains. Ce n’est d’ailleurs pas leur formation des gardes-frontière qui fait défaut ce sont, tout simplement, les ordres du sommet qui doivent impérativement être revus et corrigés.

    Au 7e Symposium suisse sur l’asile (30 et 31 janvier 2018), Madame la Conseillère fédérale Simonetta Sommaruga a déclaré que la “politique d’asile a pour fonction de protéger les personnes vulnérables, et non pas de les repousser”. Un message destiné je l’espère à son collègue UDC.

    https://blogs.letemps.ch/jasmine-caye/2018/02/01/les-refoulements-a-la-frontiere-expliquent-la-baisse-des-demandes-dasile-en-suisse-en-2017/

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    1. Bizarre que n'importe qui en Afrique ou en Asie se voit offrir des voyages gratuits pour des milliers de kilomètres alors que ce ne sont pas tous les européens qui en reçoivent pour partir en vacances !!

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  4. Bloqués sous terre, 955 mineurs sud-africains finissent par sortir

    Une panne d'électricité a piégé 955 mineurs dans la nuit de jeudi à vendredi en Afrique du Sud. Ils ont fini par sortir au petit matin

    AFP
    vendredi 2 février 2018 à 06:48.

    La totalité des 955 mineurs qui étaient piégés depuis plus de vingt-quatre heures au fond d'une mine d'Afrique du Sud, à cause d'une panne d'électricité, sont ressortis vendredi 2 février à l'aube sains et saufs, a annoncé leur employeur.

    «Tout le monde est sorti», a annoncé à l'AFP un porte-parole de la compagnie minière Sibanye Gold, James Wellsted. L'incident n'a pas fait pas fait de victimes, «seuls quelques cas de déshydratation et de pression artérielle élevée, mais rien de grave», a-t-il ajouté.

    Les mineurs étaient prisonniers des galeries de la mine de Beatrix, près de la ville de Welkom (centre), depuis un violent orage mercredi soir qui avait coupé l'électricité et bloqué les ascenseurs de plusieurs puits de l'exploitation. Après de longues heures d'efforts, les secours ont pu rétablir entièrement le courant et remettre en service les ascenseurs, qui ont remonté les premiers mineurs à la surface au lever du jour.

    L'arrêt des ascenseurs avait empêché jeudi matin la remontée de l'équipe de nuit. Ils «ont vécu une expérience traumatique», a reconnu le porte-parole de la mine. De retour à l'air libre, ils devaient subir un examen médical et recevoir un soutien psychologique, ainsi que leurs familles.

    Les accidents miniers sont fréquents en Afrique du Sud, qui possède les mines les plus profondes au monde. En 2015, 77 personnes y sont mortes, selon la Chambre sud-africaine des mines.

    https://www.letemps.ch/monde/2018/02/02/bloques-terre-955-mineurs-sudafricains-finissent-sortir

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    1. Faut dire que ces mines d'or sont les plus profondes et les plus dangereuses du monde ! - 3000 m ! A cette profondeur tout se détraque !

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  5. Réchauffement de la planète ... dans les profondeurs: une énorme source de chaleur géothermique fait fondre la calotte glaciaire antarctique


    RT
    Lun. 20 nov. 2017 19:25 UTC


    Les scientifiques du Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la NASA ont trouvé de nouvelles preuves à l'appui d'une théorie selon laquelle la déperdition de glace antarctique pourrait être causée en partie par une source géothermique massive, dont la production serait proche de celle du parc national de Yellowstone.

    Une source de chaleur géothermique appelée panache de manteau - un courant chaud de roche souterraine qui s'élève à travers la croûte terrestre - peut expliquer l'effet de respiration visible sur la Terre Marie Byrd de l'Antarctique et ailleurs le long de la calotte glaciaire massive.

    Bien que le panache mantellaire ne soit pas une nouvelle découverte, les recherches récentes indiquent que cela pourrait expliquer pourquoi la calotte glaciaire s'est effondrée lors d'une précédente ère de changements climatiques rapides il y a 11 000 ans et pourquoi la nappe se brise si rapidement maintenant.

    "Je pensais que c'était fou, je ne voyais pas comment nous pouvions avoir cette quantité de chaleur et de la glace", a déclaré Hélène Seroussi du Jet Propulsion Laboratory de la NASA à Pasadena, en Californie.

    Seroussi et Erik Ivins du JPL ont utilisé le modèle de système de feuille de glace (ISSM), une représentation mathématique de la physique des calottes glaciaires développée par des scientifiques du JPL et de l'Université de Californie, Irvine. Seroussi a ensuite peaufiné l'ISSM pour chasser les sources de chaleur naturelles ainsi que les dépôts d'eau de fonte.

    Cette eau chaude lubrifie la couche de glace par le bas, permettant aux glaciers de glisser dans la mer. L'étude de l'eau de fonte dans l'ouest de l'Antarctique pourrait permettre aux scientifiques d'estimer la quantité de glace qui sera perdue à l'avenir.

    Les systèmes sous-marins de lacs et de rivières de l'Antarctique se remplissent et se drainent rapidement, ce qui peut faire monter ou descendre la glace de surface de 6 mètres (20 pieds). L'épaisseur moyenne de la glace est de 2,6 km (1,6 mille) mais peut atteindre 4,7 km dans certaines parties de la plaque. Ce mouvement permet aux scientifiques de mieux comprendre la topographie souterraine et de mieux estimer les concentrations de sources d'eau sous la surface.

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  6. Les scientifiques du JPL ont corroboré leur travail avec des lectures du satellite IceSat de la NASA et de la campagne aéroportée IceBridge qui observe les variations de l'altitude de la surface de la calotte antarctique. L'équipe a découvert que la chaleur géothermique émise par le panache du manteau antarctique atteignait 150 milliwatts par mètre carré. À titre de comparaison, sur l'ensemble du parc national de Yellowstone, la chaleur souterraine mesure en moyenne 200 milliwatts par mètre carré.

    Au cours de leurs travaux initiaux, Seroussi et Ivins ont créé des simulations utilisant des débits de chaleur supérieurs à 150 milliwatts par mètre carré, ce qui ne correspondait pas à leurs lectures spatiales, à l'exception d'une zone: la mer de Ross.

    Leurs calculs ont montré que, dans certaines parties de la mer, un flux de chaleur d'au moins 150-180 milliwatts était nécessaire pour créer suffisamment de flux d'eau de fonte correspondant aux observations. Ils croient maintenant que le panache du manteau est responsable de ces lectures supérieures à la moyenne.

    Le panache du manteau de la Terre de Marie Byrd s'est formé il y a 50 à 110 millions d'années, avant la calotte glaciaire de l'ouest de l'Antarctique. La théorie du panache mantellique a été initialement proposée il y a 30 ans, mais d'autres théories concurrentes suggèrent que le poids des nappes glaciaires cause une fonte profonde sous la surface.

    https://www.sott.net/article/368528-Global-warming-in-the-deeps-Tremendous-geothermal-heat-source-is-melting-Antarctic-ice-sheet-from-below

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  7. Le Groenland devient de plus en plus froid indiquent 15 ans de données, mais les partisans du réchauffement climatique « comblent les lacunes » pour se convaincre du contraire

    Eric Worrall
    Watts Up With That
    mer., 31 jan. 2018 20:35 UTC

    années de mesures satellitaires ont montré de façon inattendue que certaines parties du Groenland sont de plus en plus froides. Mais les scientifiques qui ont produit ces résultats incitent les gens à croire que cette tendance au refroidissement est un écart, car les modèles climatiques disent que le Groenland devrait se réchauffer.
    La récente chute des températures au Groenland ne remet pas en cause le réchauffement climatique

    29 janvier 2018 - 09:55
    Malheureusement, la planète se réchauffe encore.
    Par : Charlotte Price Persson

    A l'aide de données satellitaires, un groupe de scientifiques a étudié l'évolution de la température au cours des 15 dernières années dans une grande partie du Groenland.

    Plus précisément, ils ont examiné les températures de surface (température proche de la surface terrestre) dans une partie du pays qui n'est pas couverte de glace, soit environ un cinquième de la surface du Groenland.

    Intuitivement, on peut penser que la température a augmenté dans tout le Groenland, mais ce n'est pas le cas. Si l'on regarde la moyenne annuelle, les régions exemptes de glace du Groenland affichent une légère baisse de température entre 2001 et 2015. Avec des variations de température d'une année à l'autre.

    Toutefois, ces résultats ne doivent pas être interprétés comme une "preuve" que la Terre ne se réchauffe pas, disent les scientifiques à l'origine de la recherche, qui est publiée dans la revue Scientific Reports.
    C'est la météo, pas le climat.

    Il faut avoir trente ans de données avant de pouvoir "parler du climat", affirme le professeur Bo Elberling, géochimiste spécialiste de l'environnement et scientifique principal de l'étude.

    -- Commentaire : Typique. Lorsque les données ne correspondent pas, on dit qu'une plus grande gamme de données est nécessaire. Mais si c'était le cas, ils verraient d'abord que la Terre subit des changements de température extrêmes pendant des millénaires, et qu'à l'heure actuelle, il y a clairement une baisse des températures, semblable à celle des périodes glaciaires précédentes:
    - Les âges glaciaires commencent et se terminent si soudainement, "c'est comme si on avait appuyé sur un bouton", affirment les scientifiques
    - La glace de mer de l'Arctique progresse davantage chaque année, et cette année, la croissance est plus rapide que prévu
    - La petite ère glaciaire a déjoué l'exploration précoce de l'Amérique du Nord par les Européens --

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  8. Nous devrions donc nous méfier de débattre de ces résultats dans le contexte du changement climatique, dit Elberling, qui dirige le Center for Permafrost (CENPERM) au Département des géosciences et de la gestion des ressources naturelles de l'Université de Copenhague, au Danemark.

    "Ce qui est intéressant ici, c'est qu'avec ces nouvelles données, nous disposons d'une description unique de la distribution spatiale des températures de surface sur l'ensemble de la partie libre de glace du Groenland, que nous n'avons pas pu extraire des quelque 45 stations météorologiques qui couvrent le Groenland aujourd'hui", dit-il.

    Le réchauffement climatique est réel

    -- Commentaire : Selon nos croyances, mais nos données disent le contraire. --

    Le professeur Michael Tjernström, météorologiste de l'Université de Stockholm, en Suède, est d'accord avec cette évaluation.

    Les séries chronologiques sont trop courtes pour dire quoi que ce soit sur les tendances climatiques, écrit-il dans un courriel adressé à notre site jumeau, Videnskab.dk.

    "Donnez-moi un endroit précis et une courte série chronologique et vous pourriez avoir presque n'importe quelle tendance. Je suis sûr que le Groenland est en train de se réchauffer sur une grande superficie et sur une plus longue période", écrit Tjernström, qui n'a pas participé à l'étude.

    Les résultats doivent être considérés comme faisant partie des variations naturelles du climat. Alors que vous pourriez constater une légère baisse de température à certains endroits, le développement global est dans une seule direction, écrit-il.

    Tous les scientifiques interviewés dans le cadre de cet article ont convenu que la nouvelle étude ne remet pas en question la réalité incontournable que la planète se réchauffe. --

    -- Commentaire : On se demande s'ils ont posé la question à un scientifique qui ne promeut pas le mythe du réchauffement climatique causé par l'homme.

    En savoir plus (en anglais) : http://sciencenordic.com/greenland's-recent-temperature-drop-does-not-disprove-global-warming

    Résumé de l'étude :
    Tendances contrastées des températures dans la partie libre de glace du Groenland

    Andreas Westergaard-Nielsen, Mojtaba Karami, Birger Ulf Hansen, Sebastian Westermann & Bo Elberling

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  9. Les changements de température dans l'Arctique ont des impacts notables sur la structure et le fonctionnement de l'écosystème, sur la dynamique du carbone du sol et sur la stabilité du pergélisol, ce qui affecte les fonctions de l'écosystème et met en péril les infrastructures construites par l'homme. Le réchauffement futur de l'Arctique pourrait accélérer d'importantes rétroactions dans les processus de dégradation du pergélisol. Il est donc important de cartographier les zones vulnérables les plus susceptibles d'être touchées par les changements de température et les plus exposées au risque de dégradation, en particulier à proximité des communautés, afin de faciliter l'adaptation aux changements climatiques.

    Actuellement, ces zones sont mal évaluées, en particulier au Groenland. Nous quantifions ici les tendances des températures de surface terrestres obtenues par satellite et modélisons les températures de l'air, validées par des observations, dans l'ensemble du Groenland libre de glace. L'accent est mis sur les 30 dernières années, pour caractériser les changements importants et les régions potentiellement vulnérables à une résolution de 1 km. Nous montrons que les tendances récentes des températures au Groenland varient considérablement d'une saison et d'une région à l'autre et que les données avec des résolutions allant jusqu'à un kilomètre carré sont essentielles pour cartographier les changements de température. Seule une fraction seulement du Groenland libre de glace semble vulnérable en raison du réchauffement lorsqu'on analyse l'année 2001-2015, mais les changements les plus prononcés se trouvent dans les régions les plus peuplées du Groenland. Étant donné que le Groenland représente d'importants gradients de la côte Nord/Sud, de l'intérieur et de la distance entre le Groenland et les grandes calottes glaciaires, les conclusions sont également pertinentes dans le cas des grandes régions arctiques.
    En savoir plus (en anglais) : https://www.nature.com/articles/s41598-018-19992-w

    Pourquoi les scientifiques qui ont publié ces données semblent-ils si frileux ?

    L'une des raisons en est peut-être que cette étude risque de miner la confiance dans la méthodologie de la série de températures GISS de la NASA, l'une des principales ressources mondiales en matière de température.

    Du site de la NASA :
    ... Manipuler l'Arctique

    Plusieurs raisons expliquent les petits écarts qui existent entre les trois documents. Plus important encore, les subtilités dans la façon dont les scientifiques de chaque institution traitent les régions du monde où les stations de surveillance de la température sont rares produisent des différences.

    Bien que les régions développées disposent d'un réseau dense de stations météorologiques, les équipements de surveillance de la température sont rares dans certaines parties de l'Amazonie, de l'Afrique, de l'Antarctique et de l'Arctique. Dans l'Arctique, en particulier, l'absence de terres solides signifie qu'il y a de vastes zones sans stations météorologiques.

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  10. -- Commentaire : Ce qui signifie que de vastes étendues de la planète sont analysées différemment : Fraude sur le réchauffement climatique: la NOAA montre un réchauffement record là où il n'y a pas de stations de température.--

    Le Met Office et le NCDC laissent des zones de l'océan Arctique sans stations en dehors de leurs analyses, tandis que le GISS aborde le problème en comblant les lacunes avec des données provenant des stations terrestres les plus proches, jusqu'à une distance de 1200 kilomètres (746 milles). De cette façon, l'analyse du GISS atteint une couverture presque totale dans l'Arctique.

    Les deux approches posent des problèmes. En n'inférant pas de données, le Bureau de Met suppose que les régions sans stations ont un réchauffement égal à celui de l'ensemble de l'hémisphère Nord, une valeur que les mesures satellitaires et sur le terrain suggèrent trop faible compte tenu du taux de perte de glace de mer dans l'Arctique.

    Par contre, l'approche du GISS peut surestimer ou sous-estimer le réchauffement de l'Arctique. "Il ne fait aucun doute que les estimations du réchauffement de l'Arctique sont incertaines et doivent être considérées avec prudence", a déclaré M. Hansen. "Cependant, le rythme rapide du recul des glaces arctiques laisse peu de doute sur le fait que les températures dans la région augmentent rapidement, peut-être plus rapidement que nous ne le supposons dans notre analyse. ...

    -- Commentaire : Il y a un certain réchauffement qui se produit, mais il vient d'en bas : Le réchauffement climatique... dans les profondeurs: une énorme source de chaleur géothermique fait fondre la calotte glaciaire de l'Antarctique d'en bas. --

    En savoir plus : https://www.giss.nasa.gov/research/news/20110113/

    Le remplissage tente de corriger l'absence de données sur la température dans des régions éparses comme l'Arctique. Mais cette dernière étude a démontré que les tendances récentes de la température au Groenland varient considérablement d'une saison et d'une région à l'autre et que les données avec des résolutions allant jusqu'à un kilomètre carré sont essentielles pour cartographier les changements de température... La technique de la NASA, qui consiste à utiliser une seule station de température pour représenter jusqu'à 1200 kilomètres de nature sauvage dans l'Arctique, puis à utiliser des modèles climatiques pour aider à combler les vides, pourrait être beaucoup moins fiable qu'on ne le pensait.

    Le monde s'est réchauffé depuis les années 1850. Mais si certaines parties de l'Arctique se sont refroidies, lorsque les climatologues ont supposé que ces régions étaient en train de se réchauffer, la tendance réelle au réchauffement pourrait être inférieure à ce que certaines analyses laissent entendre.

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  11. -- Commentaire : Le monde s'est probablement réchauffé depuis les années 1850, car nous savons que la Tamise à Londres n'a pas gelé depuis plus d'un siècle, alors qu'avant c'était plus régulièrement:

    Foires sur le gel de la Tamise - Wiki :
    Il y a eu 24 hivers où la Tamise a été gelée à Londres... - Les totaux du siècle sont les suivants: 15e deux, 16e cinq, 17e dix, 18e six, 19e un.
    Ainsi, nous pouvons avoir des preuves de la petite période glaciaire - elle a également été abondamment documentée ailleurs - et par la suite, il y a eu une période de réchauffement, mais cette tendance est, encore une fois, de retour à un refroidissement:
    - Les températures en Sibérie sont tombées à -56°C alors que l'hiver ne fait que commencer
    - Hausse de la glace de mer arctique en août et le refroidissement en Europe de 1963 se répète
    - Une autre tempête va frapper la côte Est des Etats-Unis samedi prochain
    - 97% de consensus sur le changement climatique ? Les météorologues ne le pensent pas --

    https://fr.sott.net/article/31782-Le-Groenland-devient-de-plus-en-plus-froid-indiquent-15-ans-de-donnees-mais-les-partisans-du-rechauffement-climatique-comblent-les-lacunes-pour-se-convaincre-du-contraire

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  12. Le JCU interdit au professeur Peter Ridd de critiquer les institutions scientifiques. Défiant, il refuse, se bat !

    February 2nd, 2018

    JCU essaye (et échoue) d'expliquer à Peter Ridd pourquoi nous ne pouvons pas faire confiance aux organisations scientifiques
    Peter Ridd: À l'ère de la pensée de groupe dangereuse en science, la liberté académique et l'intégrité scientifique sont de plus en plus attaquées.

    En août dernier, le professeur Peter Ridd a déclaré que l'insaisissable - que nous ne pouvons plus faire confiance aux institutions scientifiques. Son employeur, l'Université James Cook (JCU) aurait pu expliquer pourquoi ils étaient dignes de confiance, mais ils ont riposté avec une censure formelle et lui ont ordonné de garder le silence, pour l'empêcher de critiquer l'état actuel de la science ou des institutions scientifiques. Puis, sachant exactement à quel point cela est respectable, éthique et scientifique, ils lui ont également ordonné de ne pas mentionner la censure. Censurons la censure !

    S'il y avait une crise dans la science, quel universitaire serait autorisé à le signaler ?

    Il devient plus sale, apparemment maintenant, ils sont même en train de chaluter dans ses courriels privés, à la recherche de plus de munitions pour leur cas d'inconduite. Qui est un peu désespéré ?

    Hypothétiquement, s'il y avait une crise dans la science moderne, avec un échec de reproduire des résultats ou un manque d'objectivité, cela pourrait coûter des milliards, risquer le récif, ralentir la recherche médicale et blesser nos enfants, mais JCU a effectivement dit que personne ils emploient peuvent en parler. L'état de la science est-il important pour JCU? Pas autant que leur droit de publier des prophéties, pas de questions difficiles posées, star sur le tellie, et aider leur cause politique préférée. (Science pour l'amour du grand gouvernement).

    De toute évidence, Ridd n'a rien de tout cela, et est déterminé à enfreindre ouvertement et effrontément les deux instructions. Dire au monde! De plus, il porte l'affaire devant la Cour fédérale et amasse des fonds pour se battre pour la liberté d'expression. (Tu peux aider !)

    Si Ridd perd, quelle personne dans n'importe quelle université australienne sera capable de discuter des problèmes culturels systématiques avec la pratique de la science qui endommagent notre recherche et détruisent la réputation des grandes institutions ? Le JCU a un triste passé à isoler, blackbanner et évincer les gens qui ne sont pas d'accord avec le consensus (vale, Bob Carter !). Cela doit cesser maintenant.

    Tu ne remettras pas en question les cardinaux de la science !
    Du site Peter Ridds - le commentaire incriminant interdit:

    "Le problème fondamental est que nous ne pouvons plus faire confiance aux organisations scientifiques comme l'Institut australien des sciences marines, même le Centre d'excellence de l'ARC pour les études sur les récifs coralliens - beaucoup de choses sont en train de sortir, la science sort pas correctement vérifié, testé ou répliqué et c'est une grande honte parce que nous devons vraiment être en mesure de faire confiance à nos institutions scientifiques et le fait est que je ne pense pas que nous pouvons plus. "

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  13. "Je pense que la plupart des scientifiques qui poussent ces choses croient vraiment qu'il y a des problèmes avec le récif, je ne pense pas qu'ils soient très objectifs sur la science qu'ils font, je pense qu'ils sont émotionnellement attachés à leur sujet et vous savez que vous ne pouvez pas les blâmer, le récif est une belle chose. "- Sky News avec Alan Jones, août 2017.

    Sur la base de ces commentaires, j'ai été accusé de ne pas agir de manière «collégiale».

    Ironiquement, Ridd avait soumis un document sur ce sujet, qui a été publié quelques mois plus tard en novembre dans le Bulletin sur la pollution marine. C'est un document revu par les pairs sur les problèmes de l'évaluation par les pairs (entre autres choses). Onze jours après sa publication, JCU a écrit qu'il avait commis une faute grave et lui a fait une "censure finale"!

    Donc, ce qui ne peut pas être dit sur une émission de chat Sky News peut être publié dans une revue scientifique évaluée par des pairs. Il pourrait être assez bon pour passer l'examen d'expert, mais ne le mentionne pas à "un choc jock". Imaginez si le public a commencé à remettre en question les mots de scientifiques autorisés et autorisés? (Imaginez que le public se rende compte que tous ces scientifiques autorisés et certifiés ne sont certifiés et autorisés que s'ils parlent les lignes approuvées par Uni-commissars ?)

    De Peter Ridd:

    La façon dont j'ai été traité, s'ils s'en tirent, aura un sérieux effet dissuasif sur les recherches futures et les discussions publiques.

    Je me mets en ligne - cette action sera coûteuse en temps et en réputation - mais j'ai passé toute ma vie à me battre pour la vérité scientifique et je n'ai pas l'intention de m'arrêter maintenant.

    De Graham Lloyd dans The Australian:

    Une déclaration révisée allègue que JCU a trafiqué par le biais de conversations privées par courrier électronique dans le but de renforcer son dossier d'inconduite contre lui.

    "C'est autant une question de liberté d'expression que de qualité de la science", a-t-il déclaré.

    "Je suis très enthousiaste à l'idée que le chalutage des e-mails pour déterrer plus de saleté soit connu."

    De l'Institut des affaires publiques (qui a été très favorable à Ridd depuis le début):

    JCU a prétendu que les commentaires du professeur Ridd ont dénigré l'université et l'université lui a ordonné de ne faire aucun futur de tels commentaires.

    "Les actions de l'Université James Cook (JCU) suivent un modèle de comportement désormais familier des universités australiennes. La recherche de la vérité a été remplacée par une allégeance inconditionnelle au consensus, à la pensée de groupe et à l'orthodoxie. Le traitement du professeur Ridd par JCU n'est pas différent de ce que l'Université de Western Australia a fait à Bjorn Lomborg en 2015 », a déclaré M. Roskam.

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  14. La recherche de l'IPA a constaté une détérioration de la liberté d'expression sur les campus universitaires australiens. Le discours libre de l'IPA sur la vérification des campus 2017 a révélé que 34 des 42 universités australiennes sont hostiles à la liberté d'expression sur le campus par leurs actions et leurs politiques.

    Le professeur Ridd a lancé un GoFundMe pour financer les coûts juridiques d'une action contre l'université James Cook afin de protéger sa liberté académique de discuter de l'intégrité en science.

    J'ai parlé avec Peter Ridd aujourd'hui. Il est calme, bien parlé et absolument déterminé à ramener la science là où elle devrait être. Nous ne pouvons pas laisser les forces de groupthink gagner.

    The group-thinking warmists who preach,
    A consensus, will censure free speech,
    And those who might dare,
    Have their science laid bare,
    They would gladly dismiss and impeach.
    –Ruairi

    REFERENCE
    Larcomb, P. and Ridd, P. (2017) The need for a formalised system of Quality Control for environmental policy-science, Marine Pollution Bulletin, Volume 126, January 2018, Pages 449-461https://doi.org/10.1016/j.marpolbul.2017.11.038

    h/t Jim Simpson, George, Dave B, C Paul Barreria, Robber, and Martin Clark.

    http://joannenova.com.au/2018/02/jcu-bans-prof-peter-ridd-from-criticizing-scientific-institutions-defiant-he-refuses-fights-on/

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