Œil pour œil - Jennifer, écrivaine new-yorkaise qui a loué un pavillon dans une forêt pour y chercher l'inspiration, est sauvagement battue et violée par ...
- Dommage qu'il n'y ait pas eu de verrou à la porte d'entrée de la maison, un oubli un peu bête. Pire, d'en mettre un à l'extérieur d'une salle-de-bain !! Alors qu'il y a généralement une serrure; la femme aurait donc dû prendre la clé de l'intérieur, refermer la porte et donner deux tours de clé à l'extérieur. L'homme enfermé battant la porte aurait pu faire trembloter la clé, ou la faire tomber au sol. -
Le succès du film vient de la justice exemplaire saluée par tout le monde.
RUSSIE - TEMPÊTE DE NEIGE RECORD À MOSCOU: AU MOINS UN MORT La plus forte tempête de neige jamais enregistrée s'est abattue sur la capitale russe ce week-end, créant le chaos dans la ville. Les conditions météo devraient encore se dégrader dans les prochaines heures. (Dimanche 4 février 2018)
04.02.2018, 13h33
Au moins une personne est morte et cinq ont été blessées à Moscou au cours de la plus forte tempête de neige jamais enregistrée dans la ville depuis que les relevés existent, ont déclaré dimanche le maire de la capitale russe et des agences météorologiques.
Conditions extrêmes
En vingt-quatre heures, Moscou a reçu 43 centimètres de neige, soit plus de la moitié de ce qui tombe en moyenne sur la ville en un mois, selon le Service national de météorologie.
«Une personne est morte après la chute d'un arbre sur une ligne électrique», a déclaré le maire de Moscou Sergueï Sobianine sur le réseau social russe VKontakte, ajoutant que 360 chutes d'arbres ont déjà été signalées à cause des conditions météorologiques extrêmes.
Forts vents attendus
«Selon les dernières informations, cinq personnes ont été blessées. Soyez prudents. Les prévisions météorologiques indiquent que le temps va encore se dégrader», a-t-il ajouté dans un second temps sur Twitter en mettant plus particulièrement en garde contre les vents forts à venir.
Des dizaines de vols ont été retardés et plusieurs annulés dans les aéroports de la capitale.
Un peu plus tôt, un représentant du Bureau météorologique de Moscou a annoncé à l'agence Interfax que l'équivalent de 14 millimètres d'eau étaient tombés en douze heures samedi, battant un record qui datait de 1957.
OPINION. Contrairement à ce qu’affirment les supporters de «No Billag», une acceptation de leur initiative ne peut se comprendre comme une incitation à réformer la SSR, explique François Cherix. Le texte est on ne peut plus clair, il s’agit d’une liquidation
François Cherix, essayiste dimanche 4 février 2018 à 12:54.
Parce qu’elle interroge la Suisse sur des choix existentiels, l’initiative «No Billag» tourmente les esprits. Parmi les questions controversées, celle d’un éventuel plan B sauvant la SSR en cas d’acceptation est fondamentale. Dans son analyse du 29 janvier publiée dans Le Temps, Marc Comina plaide pour une interprétation douce de l’initiative, qui la réduit à une simple incitation aux réformes de la SSR ne menaçant en rien son existence. Pour ce faire, il introduit la notion d’«application light», qu’il déduit du traitement réservé par le parlement à l’initiative «Contre l’immigration de masse», acceptée en 2014.
Hélas, pour qu’une telle stratégie puisse être adoptée, il convient que le texte soumis au scrutin contienne des ambiguïtés ou des zones d’ombre, qui permettent différentes interprétations et donnent au parlement des marges de manœuvre. Autrement dit, la loi ne peut contredire frontalement une disposition claire de la Constitution, la hiérarchie des normes devant être respectée.
«No Billag» n’offre aucune échappatoire Or, parfaitement explicite, le texte de «No Billag» n’offre aucune échappatoire. Non seulement il interdit le prélèvement d’une redevance radio-télévision, mais aussi tout subventionnement par la Confédération. Les seules exceptions tolérées sont la diffusion de communiqués de presse urgents contre paiement ou l’exploitation d’une chaîne en temps de guerre. Il s’agit donc bien d’une liquidation de la SSR, que même la plus haute créativité du parlement ne saurait empêcher.
Il s’agit bien d’une liquidation de la SSR, que même la plus haute créativité du parlement ne saurait empêcher
En fait, la question du plan B est celle du sens de la démocratie directe. Par nature, le droit d’initiative pose un vrai dilemme. Soit un scrutin constitue un simple sondage d’opinion, autorisant à peu près n’importe quelle mise en œuvre. Et, dans cette hypothèse, le pouvoir réel du peuple s’efface, tandis que les initiatives deviennent de sympathiques prises de température, compatibles avec tous les plans B imaginables et capables de digérer même les propositions les plus extrêmes. Soit chaque votation est considérée comme une décision ayant force de loi, où les dispositions inscrites dans la Constitution doivent être respectées autant que faire se peut. Et, dans cette lecture sérieuse de la démocratie directe, le contenu des initiatives ne saurait être traité à la légère, le peuple exerçant par ses choix une action forte sur le destin de la Suisse.
Au détriment du droit d’initiative En niant la portée de leur propre texte, les partisans de «No Billag» jouent un jeu dangereux. Que vaut une démarche incitant les citoyens à dire oui, tout en les assurant que leur vote ne sera pas vraiment suivi d’effets ? Que deviendra la démocratie si l’initiative devait être acceptée par un peuple persuadé qu’elle ne dépassera pas la stimulation d’indispensables réformes ? Premier scénario, la Constitution est respectée et le financement public des chaînes disparaît. La chute automatique de la SSR trahira tous ceux qui ne souhaitaient pas sa mort. Furieux, les Suisses se sentiront floués en voyant leurs émissions s’interrompre. Second scénario, la Confédération continue de subventionner la SSR pour éviter son démantèlement. L’article adopté et la majorité des votants subiront alors une violation crasse. La Constitution aura été abaissée au rang de papier programmatique sans importance.
Quelle que soit l’option choisie, toute mise en œuvre de l’initiative s’effectuera donc au détriment du droit d’initiative. Soudain, il perdra son statut de mythe et laissera voir son vrai visage. Celui d’un masque de carnaval qui fait peur s’il représente la réalité, mais dont le succès grandit quand il n’est pas pris au sérieux. En clair, même si les partisans de «No Billag» ne parviendront probablement pas à précipiter la SSR sous la lame de la guillotine, par le tranchant de leur texte et surtout le refus de l’assumer, ils ont déjà conduit la crédibilité de la démocratie directe au pied de l’échafaud.
En plus de la phrase complètement con du "Voterez-vous oui à non à la redevance ou non à non à la redevance ?"!! (c'est de l'humour suisse !). Bien sûr que nul ne sera empêché d'envoyer des dons à la SSR mais seront-ils suffisants face à la presse étrangère implantée en Suisse ?
Regardez simplement ce qui se passe au Venezuela où la liberté de la presse est totale: Les kiosques à journaux sont remplis de presses papiers venant de l'étranger où imprimés au Venezuela sur des presses anti-vénézuéliennes ! Regardez les émissions de télé où tous les jours des gens 'gagnerait des millions de bolivars' !! (Hahahaha !), des jeux aux questions cons qui donnent droit à tourner une roue (de la fortune) et qui, parfois, s'arrête sur des lots fabuleux ! Photos de chèque de 2 m de large tenu par l'heureux gagnant (que personne connait mais qui se dit habiter dans une favela à côté de l'aéroport) !
Quel bonheur de voir des gens gagner des millions ! (c'est aussi con dans d'autres pays !), tout çà pour faire que le téléspectateur reste accroché à la chaîne qui va diffuser de fausses informations sur le président Maduro !
C'est EXACTEMENT ce qui risque de se passer en Suisse si le domaine public (c'est-à-dire la Démocratie) est écorné !
La question de demain serait-elle de privatiser la Confédération ?
- Dommage qu'il n'y ait pas eu de verrou à la porte d'entrée de la maison, un oubli un peu bête. Pire, d'en mettre un à l'extérieur d'une salle-de-bain !! Alors qu'il y a généralement une serrure; la femme aurait donc dû prendre la clé de l'intérieur, refermer la porte et donner deux tours de clé à l'extérieur. L'homme enfermé battant la porte aurait pu faire trembloter la clé, ou la faire tomber au sol. -
RépondreSupprimerLe succès du film vient de la justice exemplaire saluée par tout le monde.
RUSSIE - TEMPÊTE DE NEIGE RECORD À MOSCOU: AU MOINS UN MORT
RépondreSupprimerLa plus forte tempête de neige jamais enregistrée s'est abattue sur la capitale russe ce week-end, créant le chaos dans la ville.
Les conditions météo devraient encore se dégrader dans les prochaines heures. (Dimanche 4 février 2018)
04.02.2018, 13h33
Au moins une personne est morte et cinq ont été blessées à Moscou au cours de la plus forte tempête de neige jamais enregistrée dans la ville depuis que les relevés existent, ont déclaré dimanche le maire de la capitale russe et des agences météorologiques.
Conditions extrêmes
En vingt-quatre heures, Moscou a reçu 43 centimètres de neige, soit plus de la moitié de ce qui tombe en moyenne sur la ville en un mois, selon le Service national de météorologie.
«Une personne est morte après la chute d'un arbre sur une ligne électrique», a déclaré le maire de Moscou Sergueï Sobianine sur le réseau social russe VKontakte, ajoutant que 360 chutes d'arbres ont déjà été signalées à cause des conditions météorologiques extrêmes.
Forts vents attendus
«Selon les dernières informations, cinq personnes ont été blessées. Soyez prudents. Les prévisions météorologiques indiquent que le temps va encore se dégrader», a-t-il ajouté dans un second temps sur Twitter en mettant plus particulièrement en garde contre les vents forts à venir.
Des dizaines de vols ont été retardés et plusieurs annulés dans les aéroports de la capitale.
Un peu plus tôt, un représentant du Bureau météorologique de Moscou a annoncé à l'agence Interfax que l'équivalent de 14 millimètres d'eau étaient tombés en douze heures samedi, battant un record qui datait de 1957.
https://www.lematin.ch/monde/tempete-neige-record-moscou-mort/story/24467676
«No Billag» light ou la négation de la démocratie
RépondreSupprimerOPINION. Contrairement à ce qu’affirment les supporters de «No Billag», une acceptation de leur initiative ne peut se comprendre comme une incitation à réformer la SSR, explique François Cherix. Le texte est on ne peut plus clair, il s’agit d’une liquidation
François Cherix, essayiste
dimanche 4 février 2018 à 12:54.
Parce qu’elle interroge la Suisse sur des choix existentiels, l’initiative «No Billag» tourmente les esprits. Parmi les questions controversées, celle d’un éventuel plan B sauvant la SSR en cas d’acceptation est fondamentale. Dans son analyse du 29 janvier publiée dans Le Temps, Marc Comina plaide pour une interprétation douce de l’initiative, qui la réduit à une simple incitation aux réformes de la SSR ne menaçant en rien son existence. Pour ce faire, il introduit la notion d’«application light», qu’il déduit du traitement réservé par le parlement à l’initiative «Contre l’immigration de masse», acceptée en 2014.
Hélas, pour qu’une telle stratégie puisse être adoptée, il convient que le texte soumis au scrutin contienne des ambiguïtés ou des zones d’ombre, qui permettent différentes interprétations et donnent au parlement des marges de manœuvre. Autrement dit, la loi ne peut contredire frontalement une disposition claire de la Constitution, la hiérarchie des normes devant être respectée.
«No Billag» n’offre aucune échappatoire
Or, parfaitement explicite, le texte de «No Billag» n’offre aucune échappatoire. Non seulement il interdit le prélèvement d’une redevance radio-télévision, mais aussi tout subventionnement par la Confédération. Les seules exceptions tolérées sont la diffusion de communiqués de presse urgents contre paiement ou l’exploitation d’une chaîne en temps de guerre. Il s’agit donc bien d’une liquidation de la SSR, que même la plus haute créativité du parlement ne saurait empêcher.
Il s’agit bien d’une liquidation de la SSR, que même la plus haute créativité du parlement ne saurait empêcher
En fait, la question du plan B est celle du sens de la démocratie directe. Par nature, le droit d’initiative pose un vrai dilemme. Soit un scrutin constitue un simple sondage d’opinion, autorisant à peu près n’importe quelle mise en œuvre. Et, dans cette hypothèse, le pouvoir réel du peuple s’efface, tandis que les initiatives deviennent de sympathiques prises de température, compatibles avec tous les plans B imaginables et capables de digérer même les propositions les plus extrêmes. Soit chaque votation est considérée comme une décision ayant force de loi, où les dispositions inscrites dans la Constitution doivent être respectées autant que faire se peut. Et, dans cette lecture sérieuse de la démocratie directe, le contenu des initiatives ne saurait être traité à la légère, le peuple exerçant par ses choix une action forte sur le destin de la Suisse.
Au détriment du droit d’initiative
RépondreSupprimerEn niant la portée de leur propre texte, les partisans de «No Billag» jouent un jeu dangereux. Que vaut une démarche incitant les citoyens à dire oui, tout en les assurant que leur vote ne sera pas vraiment suivi d’effets ? Que deviendra la démocratie si l’initiative devait être acceptée par un peuple persuadé qu’elle ne dépassera pas la stimulation d’indispensables réformes ? Premier scénario, la Constitution est respectée et le financement public des chaînes disparaît. La chute automatique de la SSR trahira tous ceux qui ne souhaitaient pas sa mort. Furieux, les Suisses se sentiront floués en voyant leurs émissions s’interrompre. Second scénario, la Confédération continue de subventionner la SSR pour éviter son démantèlement. L’article adopté et la majorité des votants subiront alors une violation crasse. La Constitution aura été abaissée au rang de papier programmatique sans importance.
Quelle que soit l’option choisie, toute mise en œuvre de l’initiative s’effectuera donc au détriment du droit d’initiative. Soudain, il perdra son statut de mythe et laissera voir son vrai visage. Celui d’un masque de carnaval qui fait peur s’il représente la réalité, mais dont le succès grandit quand il n’est pas pris au sérieux. En clair, même si les partisans de «No Billag» ne parviendront probablement pas à précipiter la SSR sous la lame de la guillotine, par le tranchant de leur texte et surtout le refus de l’assumer, ils ont déjà conduit la crédibilité de la démocratie directe au pied de l’échafaud.
https://www.letemps.ch/opinions/2018/02/04/no-billag-light-negation-democratie
En plus de la phrase complètement con du "Voterez-vous oui à non à la redevance ou non à non à la redevance ?"!! (c'est de l'humour suisse !). Bien sûr que nul ne sera empêché d'envoyer des dons à la SSR mais seront-ils suffisants face à la presse étrangère implantée en Suisse ?
SupprimerRegardez simplement ce qui se passe au Venezuela où la liberté de la presse est totale: Les kiosques à journaux sont remplis de presses papiers venant de l'étranger où imprimés au Venezuela sur des presses anti-vénézuéliennes ! Regardez les émissions de télé où tous les jours des gens 'gagnerait des millions de bolivars' !! (Hahahaha !), des jeux aux questions cons qui donnent droit à tourner une roue (de la fortune) et qui, parfois, s'arrête sur des lots fabuleux ! Photos de chèque de 2 m de large tenu par l'heureux gagnant (que personne connait mais qui se dit habiter dans une favela à côté de l'aéroport) !
Quel bonheur de voir des gens gagner des millions ! (c'est aussi con dans d'autres pays !), tout çà pour faire que le téléspectateur reste accroché à la chaîne qui va diffuser de fausses informations sur le président Maduro !
C'est EXACTEMENT ce qui risque de se passer en Suisse si le domaine public (c'est-à-dire la Démocratie) est écorné !
La question de demain serait-elle de privatiser la Confédération ?