- ENTREE de SECOURS -



lundi 12 février 2018

Pourquoi les gouvernements européens sont-ils si terrifiés par les «fausses nouvelles» ?

par Tyler Durden
Lun, 02/12/2018 - 05:00
Auteur de Judith Bergman via The Gatestone Institute,


L'agence d'innovation du gouvernement suédois, Vinnova, finance un projet mené par les forces combinées des grands médias suédois pour, selon Vinnova, "empêcher que de fausses nouvelles et des déclarations non fondées ne se propagent et jouent un rôle décisif dans les élections suédoises de 2018" .

Les prochaines élections, qui auront lieu tous les quatre ans, auront lieu le 9 septembre 2018. Les géants suédois des médias impliqués dans le projet sont la télévision nationale suédoise, la radio nationale suédoise, Bonnier, Schibsted Sverige et NTM. Ensemble, ces sociétés de médias possèdent effectivement des médias traditionnels suédois sous la forme de journaux, de médias en ligne et de chaînes de télévision et de radio publiques et privées. L'État suédois finance les aspects techniques du projet avec 1,9 million de couronnes suédoises (240 000 dollars), tandis que les grands médias suédois financent eux-mêmes les coûts restants du projet. Le projet «fausses nouvelles» a été lancé en octobre 2017.

Selon Maria Rimpi, rédactrice en chef de Svenska Dagbladet, l'un des principaux quotidiens suédois:

«Il existe plusieurs exemples de rédacteurs qui ont collaboré à l'établissement des faits dans différentes régions d'Europe, ce qui a amené les membres du groupe de pilotage, qui ont une grande confiance les uns envers les autres, à se demander si nous pouvions faire quelque chose de similaire. Suède.

"Nous avons vu comment les fausses déclarations et les nouvelles apparentes ont été largement diffusées et influencées par les élections dans d'autres pays. Passer au fond d'une affirmation, et par exemple, tracer des sources d'origine, demande beaucoup de ressources. plus d'électeurs peuvent accéder à une information correcte ".

Combien adorable que les médias suédois, qui se sont efforcés de dissimuler et d'embellir les informations sur la Suède - les viols de migrants et d'autres crimes, par exemple - dans la couverture des nouvelles, soudainement et commodément en période électorale, prétendent se demander si les électeurs peuvent accéder à des informations correctes. Les informations correctes n'ont pas vraiment été une priorité jusqu'à présent: les médias suédois ne signalent jamais l'origine ethnique des violeurs, par exemple, rendant ainsi plus difficile pour le public d'aider à localiser les auteurs, mais refusant également de décrire la réalité telle qu'elle est. Les médias suédois ont même couvert des reportages entiers afin de protéger les migrants: En 2015, des agressions sexuelles généralisées ont été perpétrées par des jeunes hommes, principalement d'Afghanistan et de Syrie, lors d'un festival de musique à Stockholm. Un des plus grands journaux suédois, Dagens Nyheter, une fois qu'il a été informé de l'origine nationale des criminels, n'a pas voulu rapporter l'histoire. L'histoire n'a finalement été rapportée - six mois après que le journal a appris à ce sujet - en raison de la similitude évidente avec les agressions sexuelles à Cologne, en Allemagne, qui venait de se produire.

Certes, il n'est pas toujours facile d'être journaliste en Suède: des agressions sexuelles étaient en cours à ce festival de Stockholm depuis des années, mais la police suédoise a réprimé l'information. "Parfois," selon Svt Nyheter, "[la police] choisit consciemment de couvrir des incidents où les suspects ont des antécédents étrangers". Selon le chef de la police, Peter Ågren, "c'est un point sensible, nous n'osons parfois pas le dire tel quel, car nous pensons qu'il pourrait jouer dans les mains des démocrates suédois".

Les autorités suédoises se sont donc unies depuis longtemps avec les médias pour empêcher les Suédois de savoir ce qui se passe dans leur propre pays, de peur qu'ils votent contre l'opposition au pouvoir. En fait, un sondage réalisé en 2002 par l'Université de Göteborg a révélé que 70% des journalistes suédois étaient de gauche et très fidèles à l'État suédois, qui a toujours été dominé par le Parti social-démocrate. Par conséquent, lorsque les autorités suédoises représentant un gouvernement de gauche et les médias suédois annoncent un projet visant à combattre les «fausses nouvelles» et à «influencer de manière décisive» les élections de 2018, cela devrait déclencher une forte alarme parmi les Suédois. Qui détermine ce qui constitue de "fausses nouvelles" de toute façon ? N'est-ce pas l'essence même des «fausses nouvelles» quand un média refuse de dénoncer des agressions sexuelles en masse, parce que les auteurs sont des étrangers des pays du tiers monde ?

En fin de compte, l'alliance impie des agences gouvernementales et des géants médiatiques pour réduire au silence la critique des politiques gouvernementales en une année électorale au nom de «fausses nouvelles» témoigne non seulement d'un mépris étonnant pour les principes démocratiques établis et la liberté d'expression et d'information. Il révèle également à quel point l'establishment politique est terrifié à l'idée de tomber du pouvoir, et jusqu'à quel point il va compromettre les principes démocratiques pour pouvoir s'accrocher à ce pouvoir.

La Suède, naturellement, n'est pas le seul pays où l'élite politique s'accroche au pouvoir à tout prix et utilise la pente glissante des «fausses nouvelles» pour couvrir le silence de la dissidence et des critiques du gouvernement.

En France, le président Emmanuel Macron a menacé d'aller jusqu'à bloquer des sites entiers pendant la campagne électorale afin de lutter contre les «fausses nouvelles». Il devrait présenter une nouvelle législation sur le sujet dans un proche avenir.

Au Royaume-Uni, la Premier ministre Theresa May met en place une «unité d'information fausse réponse rapide». Le but est, selon un reportage de Sky News, de "surveiller les médias sociaux et de défier les fausses histoires". Selon Alex Aiken, le directeur exécutif du Service de communication du gouvernement (GCS), l'unité des relations publiques de la fonction publique, l'unité sera basée au Cabinet Office. Aiken a déclaré que la fonction publique devait «mettre en place une capacité de réponse rapide aux médias sociaux pour traiter rapidement la désinformation et réclamer un débat public fondé sur des faits».

Un porte-parole du Cabinet britannique a déclaré à Sky News: «Le gouvernement s'est engagé à s'attaquer aux fausses informations et le Service de communication du gouvernement joue un rôle crucial à cet égard». Peut-être que l'unité devrait commencer par Theresa May elle-même, qui faussement et contre toute évidence factuelle continue à prétendre que l'Islam est une religion de paix et que ISIS n'est pas islamique.

Pendant ce temps, les citoyens européens continuent à faire face à des poursuites judiciaires coûteuses pour avoir refusé d'accepter les fausses nouvelles sur l'Islam propagées par des gens comme Theresa May.

En Suède, par exemple, un retraité de 71 ans, Denny, qui a décidé de lire le Coran et a été choqué de voir ce qu'il dit, est poursuivi pour "incitation à la haine" pour avoir qualifié l'islam d '"idéologie fasciste" sur Facebook. Selon Denny:

"Il y a quelques années, je pensais aussi que l'Islam n'était qu'une religion normale, mais ensuite j'ai lu le Coran et j'ai été choqué par la haine qui existe là-bas, la misogynie ... Plus l'Islam prend le dessus, plus nous compromettons. Donc, je crois que notre système démocratique est en danger ... Je ne déteste personne ... Ce que je déteste c'est l'idéologie, l'islam, on peut critiquer le fascisme ou le nazisme, mais pourquoi pas l'islam ? L'Islam a-t-il un statut de protection ? "

Le dossier de Denny sera porté devant les tribunaux en juin. Il pourrait faire face à deux ans de prison.

60 commentaires:

  1. Il est tout-à-fait normal que quand de FAUX 'Dirigeants' en Europe se font prendre avec la gueule ouverte bourrée de merdes...

    (...) les viols de migrants et d'autres crimes, par exemple - dans la couverture des nouvelles, soudainement et commodément en période électorale, prétendent se demander si les électeurs peuvent accéder à des informations correctes. Les informations correctes n'ont pas vraiment été une priorité jusqu'à présent: les médias suédois ne signalent jamais l'origine ethnique des violeurs, par exemple, rendant ainsi plus difficile pour le public d'aider à localiser les auteurs, mais refusant également de décrire la réalité telle qu'elle est. Les médias suédois ont même couvert des reportages entiers afin de protéger les migrants: (...)

    (...) N'est-ce pas l'essence même des «fausses nouvelles» quand un média refuse de dénoncer des agressions sexuelles en masse, parce que les auteurs sont des étrangers des pays du tiers monde ? (...)

    Sans avoir attendu le 'Traité de Barcelone' où les FAUX 'Dirigeants' européens ont tenu à tuer le plus possible de personnes et leur saisir leurs revenus afin que la Démocratie soit tuer dans l'œuf, les merdias suédois(au cul ?) tiennent à détourner la vérité.
    Puis, dérapage verbal de Judith Bergman qui parle de... démocratie !!! en dictature monarchique !!!! HAHAHAHA !:

    (...) plus nous compromettons. Donc, je crois que notre système démocratique est en danger ... (...)

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  2. La police britannique déploie le dispositif portatif sur les migrants d'empreintes digitales en moins d'une minute


    par Tyler Durden
    Lun, 02/12/2018 - 02:45


    La police du Royaume-Uni teste deux cent cinquante appareils portatifs capables de prendre des empreintes digitales d'inconnus et de les comparer à une base de données de 12 millions d'enregistrements en moins d'une minute (au lieu d'une heure). En supposant que le test initial se passe sans accroc dans le West Yorkshire, les appareils seront ensuite déployés à travers le pays par le Home Office du Royaume-Uni.

    Les scanners, qui coûtent moins de 300 dollars, peuvent être utilisés pour prendre deux empreintes digitales d'un suspect, qui sont ensuite comparées à deux bases de données nationales appelées IABS et IDENT1 en utilisant une passerelle de services biométriques décrite comme «une plate-forme commune pour les futurs services biométriques».

    La base de données IABS est composée de demandeurs d'asile traités, tandis que IDENT1 - développé et géré par Northrop Grumman, maintient une base de données de personnes qui ont déjà été arrêtées au Royaume-Uni.

    Les agents n'auront recours à la lecture d'empreintes digitales que s'ils ne peuvent pas identifier une personne par d'autres moyens, explique Clive Poulton, qui a aidé à gérer le projet au Home Office. Les dispositifs peuvent être utilisés dans les cas où quelqu'un n'a aucune information d'identification sur eux, ou semble donner un faux nom à la police. "[La police] peut maintenant identifier la personne devant elle - qu'elle soit connue d'eux ou non, et ensuite ils peuvent s'occuper d'eux", dit Poulton.

    Hmm, on se demande à qui ce système pourrait être destiné ?

    Lorsque le programme baptisé "Projet MIDAS" (Mobile IDentification At Scene) a été annoncé en 2008, le Home Office estimait que la phase initiale du projet coûterait entre 30 et 40 M £ (41 - 55 M $ US) - et The Guardian a noté n'auraient accès qu'à 7,5 millions d'enregistrements au lieu des 12 millions annoncés avec le déploiement.

    Geoff Whitaker, un haut responsable de la technologie à la NPIA, a déclaré à la conférence Biometrics 2008 que Project Midas permettrait d'économiser énormément de temps aux policiers et de réduire le nombre d'arrestations injustifiées.

    À l'heure actuelle, les agents doivent emmener des suspects dans des salles de détention s'ils doivent vérifier les empreintes digitales. En moyenne, les recherches de l'agence montrent que la procédure dure 67 minutes. "Si nous réduisions cette [sauvegarde] au niveau national, cela équivaudrait à 366 policiers supplémentaires sur le rythme", a déclaré Whitaker. "L'un des avantages est que cela permettra de réduire le nombre d'erreurs - et nous pouvons réduire le nombre d'arrestations de manière significative.

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  3. "Il existe une vaste gamme d'opportunités [pour] l'identification mobile, qui pourrait être utilisée sur le défunt sur les lieux d'un crime, sur des suspects de renseignements dans la première partie d'une enquête, [ou même] dans une morgue." -Le gardien

    Au moment de l'annonce du projet, le système proposé aurait la capacité d'envoyer des images de suspects à des agents dans la rue pour les aider à confirmer leur identité, ce qui leur donnerait une «capacité nationale complète et mobile».

    "Le retour des mugshots [aux officiers]", a ajouté Whitaker, "est quelque chose que nous aimerions faire." Comme Northrop Grumman l'a dit au Guardian en 2008: «Beaucoup de [dispositifs] portables que nous considérons ont des caméras afin qu'ils puissent prendre en charge les empreintes digitales et les images faciales».

    Le projet Midas a été précédé par «Project Lantern» en 2006 - environ 200 unités mobiles ayant été testées sur environ 30 000 individus. Les systèmes ont été déployés dans des voitures de police à l'aide de la technologie de reconnaissance automatique des plaques d'immatriculation, arrêtant les véhicules marqués comme volés, sans assurance ou simplement inconnus.

    "L'objectif était de refuser aux criminels l'utilisation des routes", a déclaré Whitaker. "Environ 60% des conducteurs arrêtés ont donné de faux détails d'identification."

    Comme le notait le Guardian, «les contrôles d'empreintes digitales montraient souvent qu'ils portaient des documents falsifiés».

    "Thomas Smith, un officier du département de police de Los Angeles, a également informé la conférence Biometrics 2008 sur le succès des dispositifs d'identification mobiles de sa force qui envoient des images et des empreintes digitales aux agents dans la rue. les machines ont été produites certains suspects ont admis qu'ils mentaient sur leur identité. "

    https://www.zerohedge.com/news/2018-02-10/uk-police-roll-out-handheld-device-fingerprint-migrants-under-minute

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  4. Les nouveaux «Smart Glasses» d'Intel tirent directement le faisceau laser dans votre rétine


    par Tyler Durden
    Lun, 02/12/2018 - 01:00



    Pour ceux qui voulaient une paire de lunettes Google mais ne voulaient pas ressembler à un cosplay Borg paresseux, Intel peut avoir exactement ce dont vous avez besoin. Juste une prise; vous devez être OK avec un laser tirant des photons directement dans votre rétine.

    Consummate techie et rédacteur en chef à The Verge, Deiter Bohn, a pris les lunettes intelligentes Vaunt d'Intel pour un essai routier - qu'il dit être «pratiquement indiscernable des lunettes ordinaires», et sont la «première paire de lunettes intelligentes que j'ai essayé qui ne fonctionne pas» J'ai l'air ridicule.

    Les lunettes intelligentes - qui pèsent moins de 50 grammes - fonctionnent en projetant un laser de très faible puissance (un VCSEL), qui projette une «image rouge, monochrome quelque part aux alentours de 400 x 150 pixels» sur un réflecteur holographique du lentille droite des lunettes - qui est ensuite réfléchie directement dans votre globe oculaire et sur votre rétine.

    Intel jure que c'est sûr.

    "C'est un laser de classe 1. Il est tellement faible que nous n'avons pas besoin de certification, dit-il, et dans le cas de Vaunt, la puissance est si faible qu'elle se situe tout en bas d'un laser de classe 1. » Mark Eastwood, directeur du design industriel, groupe Intel NDG

    "Nous utilisons un calibrage holographique intégré dans la lentille pour refléter les longueurs d'onde correctes à votre œil. L'image est appelée projection rétinienne, de sorte que l'image est réellement «peinte» à l'arrière de votre rétine », explique Jerry Bautista, le chef d'équipe pour les dispositifs portables à NDG d'Intel. En raison du fait que les lunettes projettent des images directement sur la rétine, l'image projetée met l'accent à la fois sur les lentilles de prescription et de non-prescription.

    En plus du projecteur micro-électro-mécanique (MEMS ou "Pico"), les lunettes contiennent également du matériel et des logiciels pour la communication Bluetooth avec votre téléphone, ainsi qu'un accéléromètre et une boussole. Les futurs modèles peuvent même inclure un microphone pour une utilisation avec des assistants virtuels tels que Alexa et Siri.

    Et de cela, avec des batteries, sont contenues dans un châssis remarquablement compact.

    Exigeant un ajustement personnalisé pour chaque utilisateur, les lunettes projettent un flux d'informations sur ce que Bohn dit ressemble à un écran, fournissant une grande variété d'informations:

    À la base, Vaunt est simplement un système d'affichage d'un petit affichage de style tête haute dans votre vision périphérique. Il peut vous montrer des messages simples comme des directions ou des notifications. Il fonctionne sur Bluetooth avec un téléphone Android ou un iPhone de la même manière que votre smartwatch, en prenant les commandes d'une application qui fonctionne en arrière-plan pour le contrôler.

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  5. Lorsque vous regardez vers le bas, les lunettes Vaunt projettent un «rectangle de texte et d'icônes rouges dans le coin inférieur droit de votre champ visuel». Cependant, lorsque le porteur ne regarde pas dans cette direction, l'écran s'éteint. être «non intrusive», selon Bohn.

    «Nous ne voulions pas que la notification apparaisse directement dans votre ligne de vue», explique Eastwood. "Nous l'avons environ 15 degrés en dessous de votre ligne de vue détendue. ... Un affichage à LED qui est toujours dans votre vision périphérique est trop envahissant. ... cette petite lumière vacillante. La beauté de ce système est que si vous choisissez de ne pas le regarder, il disparaît. C'est vraiment parti. "- The Verge

    Je ne sais pas si les lunettes Intel Vaunt ont un cliché, mais je sais que ce sont les seules lunettes intelligentes que j'ai essayées qui ne feront pas que tout le monde autour de moi voudra voler mon argent de déjeuner.

    Bohn dit qu'il s'est très vite adapté aux lunettes - en écrivant qu'il est devenu "naturel en moins d'une heure de jeter un coup d'œil dessus pour le faire apparaître, ou l'ignorer et se concentrer sur la personne avec qui je parlais".

    Ou, comme il se trouve, ne pas se concentrer sur la personne avec qui vous parlez:

    «Je vous parle maintenant et vous avez l'impression de vouloir dire beaucoup de choses», explique Ronen Soffer, directeur général des produits logiciels chez NDG, «mais je joue actuellement à un jeu-questionnaire» (Il n'était pas là). En fait, c'est clair, mais après une journée à jouer avec les prototypes Vaunt, je crois vraiment que ce genre de chose n'est pas seulement possible bientôt, mais probablement inévitable. Intel pense aussi à ces implications. Des plaisanteries ironiques et moqueuses: "Vous pouvez ignorer les gens plus efficacement de cette façon."

    Bien que l'on ne sache pas comment les utilisateurs pourraient interagir avec les lunettes Vaunt, certains ont suggéré que la reconnaissance vocale, les gestes de tête ou les deux pourraient l'activer - ou on pourrait faire confiance à l'IA pour vous montrer ce que vous devez savoir. comme les stations-service à proximité si vous n'avez pas remarqué que votre lampe à essence a été allumé pendant les 12 derniers milles.

    Imaginez-vous en train de marcher dans la rue, en regardant un magasin ou un restaurant, et en vérifiant instantanément les critiques de Yelp. Ou peut-être que le système pourrait être utilisé pour projeter les statistiques des joueurs en temps réel lors d'un événement sportif. Quel que soit le cas, Brian Soffer d'Intel dit que l'IA de l'entreprise pourrait juste savoir exactement ce que vous devez voir.

    "Écoutez, parfois un meilleur moyen de réussir est de rendre le problème plus petit", explique Soffer. L'intelligence artificielle d'Intel pour déterminer ce qu'il faut vous montrer est «concentrée sur certains types d'instants, et nous développons cette technologie depuis cinq ou six ans maintenant pour nous concentrer sur ces moments portables et détournés».

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  6. Développer la plateforme

    Intel lancera un «programme d'accès anticipé» plus tard cette année afin que les développeurs puissent commencer à bricoler avec le système Vaunt - en développant des applications pour les deux téléphones et les lunettes elles-mêmes.

    The Verge's Bohn spécule que les applications peuvent directement diffuser du contenu dans les lunettes Vaunt à partir du cloud, probablement pour minimiser les besoins de traitement embarqués - similaire à la façon dont un téléviseur compatible Google Cast fonctionne comme point final pour la diffusion de vidéos. Lorsqu'on lui a demandé si cela était le plan, Intel a dit "nous en reparlerons plus tard", ajoutant que "c'est vraiment une plate-forme ouverte ... construite à partir du sol pour être une plate-forme mobile qui accède à la Internet et un appareil portable devient vraiment puissant quand il change la façon dont vous accédez à Internet. "

    Bien que l'on ne sache pas si Intel va commercialiser les lunettes Vaunt ou trouver un partenaire pour les amener au détail, The Verge note qu'Intel chercherait à vendre une participation majoritaire dans ses activités de réalité augmentée, selon Bloomberg.

    Intel a la réputation de montrer des idées qui ne se transforment jamais en véritables produits. Il propose un concept génial, prouve la technologie, puis espère convaincre les autres de prendre cette idée et de la transformer en un véritable produit. Le PDG Brian Krzanich arrive sur une scène du CES, parle d'un bol de chargement (ou hé, des lunettes intelligentes!), Puis nous attendons de voir s'ils arriveront sur le marché. Souvent (peut-être même habituellement), ils ne le font pas.

    Je pense que l'intention avec Vaunt est un peu différente du playbook habituel d'Intel. D'une part, le rapport de Bloomberg confirme qu'Intel recherche des partenaires disposant de "solides canaux de vente ... plutôt que de bailleurs de fonds." Pour un autre, Bautista et moi avons parlé des canaux de vente des lunettes en décembre.

    "Il y a quelque chose sur l'ordre de 2,5 milliards de personnes qui ont besoin de verres correcteurs", dit-il. "Ils prennent leurs lunettes de quelque part. Soixante pour cent d'entre eux viennent de fournisseurs de soins oculaires. ... Nous dirions que ces lunettes appartiennent à ce genre de canaux. Les gens vont les acheter comme ils achètent leurs lunettes aujourd'hui. "-The Verge

    Bien que les lunettes Vaunt soient plus légères, plus esthétiques et aient une autonomie plus longue que les autres lunettes intelligentes telles que Magic Leap ou HoloLens, elles projettent également moins d'informations à l'utilisateur. Cela dit, comme le note Bohn, le Vaunt est la "première paire de lunettes intelligentes que j'ai essayées et qui n'a pas l'air ridicule".

    Voyons maintenant ce que les développeurs peuvent faire pour les faire rouler. Un jour, nous parlerons à nos petits-enfants des jours avant que les rayons laser ne soient projetés dans nos rétines. J'espère que nous ne serons pas aveugles d'un œil.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-02-11/intels-new-smart-glasses-shoot-laser-beam-directly-your-retina

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    1. Après les ventes exponentielles de niqab, voici le tour des lentilles 'yeux bleus' pour terroristes !

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  7. Des caddies à l’épicentre d’un scandale à caractère «sexiste» en Grande-Bretagne


    13:47 12.02.2018

    Une chaîne de supermarchés britannique a été obligée de changer les images des instructions sur ses caddies après que l’établissement a reçu plusieurs plaintes au sujet du caractère «sexiste» des clichés… représentant une femme en robe avec un enfant sur le caddie.

    Tesco, le géant de la distribution britannique, a été contraint de changer les instructions sur ses caddies après de nombreuses plaintes pour sexisme.

    L'objet du mécontentement était des images illustrant une femme vêtue d'une robe et poussant un caddie avec un enfant dedans, lit-on dans The Sun.

    Le média précise notamment que les femmes avaient été vexées de voir les silhouettes les illustrant en robe, car cela confirmait le stéréotype selon lequel seule la femme devrait aller faire les courses et s'occuper des enfants.

    L'histoire aurait ainsi commencé par une publication sur Twitter par une utilisatrice, qui a ensuite été supprimée.
    Samantha Rennie, directrice exécutive de la British Rose Foundation, créée en soutien aux droits des filles et des femmes, a noté que les instructions lui semblaient être «étranges».

    «Cela semble être une broutille, mais ce fait renforce l'idée stéréotypée selon laquelle la femme est responsable de l'achat de la nourriture», a-t-elle déclaré.

    Matt O'Connor, du groupe de défense des droits «Pères pour la justice», a à son tour déclaré que le magasin devait immédiatement «mettre fin à l'apartheid des genres».

    Un représentant de la chaîne de supermarchés en question a toutefois noté que certaines instructions sur les caddies avaient déjà été changées par un nouvel autocollant avec la silhouette d'un homme en pantalon.

    «Nous sommes heureux de voir tout le monde dans notre magasin, alors nous avons commencé à changer les instructions pour les rendre neutres».

    Cependant, les internautes se sont divisés dans leurs avis.

    «Quelqu’un s'est plaint à @Tesco que cela est sexiste car montrant une femme faisant les courses. La femme qui s'est plainte doit se trouver une occupation. C'est peut-être un homme habillé en femme. Le monde est devenu fou»

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  8. «Je vois des femmes pousser des enfants dans des caddies, je vois des hommes pousser des enfants dans des caddies — Qui se soucie de ce qui est imprimé sur la poignée du caddie que vous couvrez de votre main ensanglantée quand vous le poussez. C’est certainement une femme de carrière folle qui se plaint ! #pathétique»


    «Quiconque se sent offensé par l’incident sur les caddies #Tesco doit avoir un regard sévère sur soi-même et cesser d'être offensé par absolument tout. Vous trouvez que c'est offensant ? Et qui vous dit que ce n’est pas un transsexuel au lieu d’une femme après tout. Soyez offensé par cela»

    https://fr.sputniknews.com/societe/201802121035109643-caddies-sexisme-supermarche/

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    1. Désormais en Grande-bretagne seront disponibles des panneaux représentants un truc sans nom portant tchador et poussant une brouette avec dedans un cochon hurlant en couches-culottes Pampers ! Ouf !

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  9. Les 11 villes les plus susceptibles de manquer d'eau potable


    par Tyler Durden
    Lun, 02/12/2018 - 04:15


    Dimanche après-midi, le redoutable «jour zéro» - le jour où les habitants de la ville de Cape Town, en Afrique du Sud, devront commencer à faire la queue pour l'eau potable après que les réserves soient tombées en dessous du seuil de durabilité - a été estimé 2018.

    La pénurie est le résultat de la pire sécheresse de l'Afrique du Sud depuis 100 ans ...

    Le Cap

    Et avec les efforts du gouvernement municipal pour sécuriser les approvisionnements en eau alternatifs progressant lentement, le Cap (440 000 habitants) est en passe de devenir la première grande ville mondiale à manquer d'eau.

    Le Cap

    Embaucher des forces de sécurité pour garder les réserves d'eau et forcer les résidents à rationner leur utilisation doit être incroyablement frustrant pour le gouvernement de la ville. Mais lors d'une conférence de presse à la fin du mois dernier, Patricia de Lille, maire du Cap, a exprimé une autre gêne secondaire qui, à certains égards, est encore plus profondément troublante.

    Le Cap

    Un désastre qui n'était jusqu'à récemment que imaginable par les auteurs de science-fiction dystopique se joue sous nos yeux: Et ce qui est pire: personne ne semble s'en soucier.

    "Nous avons atteint le point de non-retour", a averti Patricia de Lille, maire du Cap, ce mois-ci. Avec la colère dans sa voix elle a ajouté: "Il est tout à fait incroyable que la majorité des gens ne semblent pas s'en soucier."

    Mais ils devraient - si seulement parce qu'ils sont la ville pourrait être le prochain:

    Sécheresse

    Comme le note la BBC, plus d'un milliard de personnes n'ont pas accès à l'eau et 2,7 milliards d'autres le trouvent rare pendant au moins un mois de l'année. Une enquête menée en 2014 auprès des 500 plus grandes villes du monde estime qu'une personne sur quatre est dans une situation de «stress hydrique».

    Voici une liste de 11 autres grandes villes où les robinets pourraient bientôt se tarir, avec l'aimable autorisation de la BBC.

    Sao Paulo

    La capitale financière du Brésil et l'une des 10 villes les plus peuplées du monde ont traversé une épreuve similaire au Cap en 2015, lorsque le réservoir principal est tombé en dessous de 4% de sa capacité.

    Au plus fort de la crise, la ville de plus de 21,7 millions d'habitants a eu moins de 20 jours d'approvisionnement en eau et la police a dû escorter des camions-citernes pour arrêter le pillage.

    On pense qu'une sécheresse qui a touché le sud-est du Brésil entre 2014 et 2017 était à blâmer, mais une mission de l'ONU à São Paulo a critiqué le manque de planification et d'investissements des autorités de l'Etat.

    La crise de l'eau a été jugée «finie» en 2016, mais en janvier 2017, les réserves principales ont été inférieures de 15% à ce qui était attendu pour la période, remettant en question le futur approvisionnement en eau de la ville.

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  10. Bangalore

    Les fonctionnaires locaux de la ville du sud de l'Inde ont été embêtés par la croissance des nouveaux développements immobiliers suite à la montée de Bangalore en tant que centre technologique et luttent pour gérer les systèmes d'eau et d'égouts de la ville.

    Pour aggraver les choses, la plomberie archaïque de la ville a besoin d'un bouleversement urgent; Un rapport du gouvernement national a révélé que la ville perd plus de la moitié de son eau potable.

    Comme la Chine, l'Inde est confrontée à la pollution de l'eau et Bangalore n'est pas différente: un inventaire approfondi des lacs de la ville a révélé que 85% d'entre eux avaient de l'eau utilisable uniquement pour l'irrigation et le refroidissement industriel.

    Pas un seul lac n'avait d'eau convenable pour boire ou se baigner.

    Pékin

    La Banque mondiale classe la pénurie d'eau comme lorsque les personnes dans un endroit déterminé reçoivent moins de 1 000 mètres cubes d'eau douce par personne.

    En 2014, chacun des plus de 20 millions d'habitants de Pékin n'avait que 145 mètres cubes.

    La Chine abrite près de 20% de la population mondiale, mais seulement 7% de l'eau douce du monde.

    Une étude de l'Université de Columbia estime que les réserves du pays ont diminué de 13% entre 2000 et 2009.

    Et il y a aussi un problème de pollution. Les chiffres officiels de 2015 ont montré que 40% des eaux de surface de Beijing étaient polluées au point de ne plus être utiles, même à des fins agricoles ou industrielles.

    Les autorités chinoises ont tenté de résoudre le problème en créant des projets massifs de détournement d'eau. Ils ont également introduit des programmes éducatifs, ainsi que des hausses de prix pour les utilisateurs professionnels lourds.

    Caire

    Autrefois crucial pour l'établissement de l'une des plus grandes civilisations du monde, le Nil se débat dans les temps modernes.

    Il est la source de 97% de l'eau égyptienne mais aussi la destination de quantités croissantes de déchets agricoles et résidentiels non traités.

    Les chiffres de l'Organisation mondiale de la santé montrent que l'Égypte se classe parmi les pays à revenu intermédiaire de la tranche inférieure en termes de nombre de décès liés à la pollution de l'eau.

    L'ONU estime les pénuries critiques dans le pays d'ici 2025.

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  11. Jakarta

    Comme de nombreuses villes côtières, la capitale indonésienne est confrontée à la menace de l'élévation du niveau de la mer.

    Mais à Jakarta, le problème a été aggravé par l'action humaine directe. Parce que moins de la moitié des 10 millions d'habitants de la ville ont accès à l'eau courante, le creusage illégal de puits est monnaie courante. Cette pratique assèche les aquifères souterrains, les dégonflant presque littéralement.

    En conséquence, environ 40% de Jakarta se trouve maintenant sous le niveau de la mer, selon les estimations de la Banque mondiale.

    Pour aggraver les choses, les aquifères ne sont pas reconstitués malgré de fortes pluies parce que la prédominance du béton et de l'asphalte signifie que les champs ouverts ne peuvent absorber les précipitations.

    Moscou

    Le quart des réserves mondiales d'eau douce se trouve en Russie, mais le pays est en proie à des problèmes de pollution causés par l'héritage industriel de l'ère soviétique.

    C'est particulièrement inquiétant pour Moscou, où l'approvisionnement en eau est à 70% dépendant des eaux de surface.

    Les organismes de réglementation officiels admettent que 35% à 60% des réserves totales d'eau potable en Russie ne respectent pas les normes sanitaires.

    Istanbul

    Selon les chiffres officiels du gouvernement turc, le pays est techniquement dans une situation de stress hydrique, puisque l'offre par habitant est tombée en dessous de 1 700 mètres cubes en 2016.

    Les experts locaux ont averti que la situation pourrait empirer à la pénurie d'eau d'ici 2030.

    Au cours des dernières années, des zones densément peuplées comme Istanbul (14 millions d'habitants) ont commencé à connaître des pénuries au cours des mois les plus secs.

    Les niveaux de réservoir de la ville ont diminué à moins de 30 pour cent de la capacité au début de 2014.

    Mexico

    Les pénuries d'eau ne sont pas nouvelles pour beaucoup des 21 millions d'habitants de la capitale mexicaine.

    Un sur cinq obtient seulement quelques heures de leurs robinets par semaine et un autre 20% ont de l'eau courante pour une partie de la journée.

    La ville importe jusqu'à 40% de son eau à partir de sources éloignées, mais n'a pas d'opération à grande échelle pour le recyclage des eaux usées. Les pertes d'eau dues à des problèmes dans le réseau de conduites sont également estimées à 40%.

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  12. Londres

    De toutes les villes du monde, Londres n'est pas la première qui vient à l'esprit lorsqu'on pense aux pénuries d'eau.

    La réalité est très différente. Avec une pluviométrie annuelle moyenne d'environ 600 mm (inférieure à la moyenne parisienne et à peine la moitié de celle de New York), Londres puise 80% de ses eaux dans les rivières (la Tamise et la Léa).

    Selon la Greater London Authority, la ville est proche de la capacité et devrait avoir des problèmes d'approvisionnement d'ici 2025 et de «graves pénuries» d'ici 2040.

    Il semble probable que les interdictions de tuyaux d'échappement pourraient devenir plus fréquentes à l'avenir.

    Tokyo

    La capitale japonaise bénéficie de précipitations similaires à celles de Seattle sur la côte ouest des États-Unis, réputée pour ses précipitations. Les précipitations, cependant, sont concentrées pendant seulement quatre mois de l'année.

    Cette eau doit être collectée, car une saison des pluies plus sèche que prévu pourrait entraîner une sécheresse. Au moins 750 bâtiments privés et publics à Tokyo ont des systèmes de collecte et d'utilisation des eaux pluviales.

    Tokyo compte plus de 30 millions de personnes et dispose d'un système d'eau dépendant à 70% des eaux de surface (rivières, lacs et neige fondue).

    Les investissements récents dans l'infrastructure du pipeline visent également à réduire les déchets par des fuites à seulement 3% dans un proche avenir.

    Miami

    L'État américain de Floride fait partie des cinq États américains les plus touchés par la pluie chaque année. Cependant, il y a une crise qui se prépare dans sa ville la plus célèbre, Miami.

    Un projet du début du 20ème siècle pour drainer les marécages à proximité a eu un résultat imprévu; l'eau de l'océan Atlantique a contaminé l'aquifère de Biscayne, la principale source d'eau douce de la ville.

    Bien que le problème ait été détecté dans les années 1930, l'eau de mer continue de couler, notamment parce que la ville américaine a connu des taux d'élévation du niveau de la mer plus rapides, les barrières de défense souterraines installées ces dernières décennies.


    Les villes voisines sont déjà en difficulté. La plage de Hallandale, qui se trouve à quelques kilomètres au nord de Miami, a dû fermer six de ses huit puits en raison de l'intrusion d'eau salée.

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  13. * * *

    Une fois le jour zéro arrivé, les résidents du Cap seront obligés de se rassembler aux points de collecte quotidiens pour acquérir leur ration journalière de 25 litres d'eau. Et alors qu'ils regardent les magnifiques eaux bleues de l'Atlantique Sud, certains d'entre eux se demanderont probablement: Comment avons-nous jamais laissé les choses aller si mal ?

    https://www.zerohedge.com/news/2018-02-11/11-cities-most-likely-run-out-drinking-water

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    1. FAKE NEWS ! FAKE NEWS ! FAKE NEWS !


      Comment boire de l'eau... du ruisseau ou du puits proche fosse septique ?
      Prendre 1 boite de conserve (12x10cm) propre la remplir d'eau sale (urine ?) et la poser dans une poêle sur le feu. Prendre un boite plus grande (plus large et plus haute) et la renverser sur la petite (en couvercle). Quand l'eau bout, elle s'évapore. La condensation se dépose dans la gde boite qui coule dans la poêle. Laisser refroidir.

      Cette eau est propre, sans goût ni couleur et exempte de bactérie

      https://huemaurice5.blogspot.fr/2014/01/un-grain-ou-un-oeuf-qui-peut-tout-faire.html

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    2. Depuis des millions d'années il y a des milliards de km³ d'eaux (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans... SANS QU'ELLES OU ILS NE MONTENT !!! Çà alors ! Tout simplement parce que l'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océaniques et maritimes vers le magma où cette soupe toxique (les poissons chient dans la mer !) y est chauffée/bouillie et remonte donc (comme dans une cafetière électrique) vers les sources (chaudes ou froides suivant l'altitude) et vers les nappes phréatique qu'elle remplit.

      Il en est de même pour les hydrocarbures expulsés qui peuvent être brûlés sans perte (comme ceux des volcans) car, TOUS les gaz se recyclent. TOUS ! (si ce n'était d'ailleurs pas le cas, les animaux ne seraient même pas apparus sur Terre !).

      https://huemaurice5.blogspot.fr/2017/12/est-ce-que-40-000-volcans-sont.html

      https://www.ventusky.com

      https://huemaurice5.blogspot.fr/2018/01/la-terre-est-une-planete-froide.html

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  14. Estimations de l'EIE pour les États-Unis en 2050: l'avenir est celui des combustibles fossiles et de l'électricité bon marché


    February 12th, 2018


    Quelle transformation énergétique ?

    L'EIA Annual Energy Outlook 2018 est sorti. Les responsables du Département américain de l'énergie ont analysé les chiffres, supposé que la technologie allait s'améliorer et modélisé les résultats. Selon leurs meilleures estimations (et même leurs «pires» estimations) dans trente ans, la principale source d'énergie pour les États-Unis est le gaz naturel et les combustibles fossiles. Les énergies renouvelables augmentent de 5% à 14%, mais le charbon, les armes nucléaires et l'hydroélectricité restent à peu près les mêmes. Quand les verts australiens disent "nous ne voulons pas être laissés pour compte", la réponse est "Exactement! Alors explorez pour le gaz! Utilisez les Nukes! "

    La plus grande économie du monde sera encore près de 80% d'énergies fossiles en 2050.

    Sur la route, la plupart des gens utilisent encore des voitures à essence, et voici le kicker - les prix de l'électricité sont toujours à environ 11 cents le kilowatt-heure. Pleurez tous les Australiens, Britanniques, Allemands et autres qui seraient reconnaissants si l'électricité augmentait seulement de 10% par an, et non de 10% sur 30 ans.

    Combien coûte un interconnexion de Townsville au Texas? ;-)
    - voir graphique sur site -
    h / t Paul Homewood qui a cité Mark Perry d'AEI:

    Malgré tout le battage médiatique, les espoirs, les normes de carburant, les normes de portefeuille et les subventions des contribuables pour les énergies renouvelables comme le vent et le soleil, l'énergie des États-Unis dépendra principalement des combustibles fossiles pour alimenter nos véhicules, chauffer et éclairer nos maisons. l'économie américaine.

    - voir graphique sur site -
    EIE, 2018, Graphique, Projections d'utilisation totale d'énergie.

    Les prix de l'électricité sont bon marché et resteront comme ça:

    - voir graphique sur site -
    EIE, 2018, Graphique, Projections d'utilisation totale d'énergie.
    - voir graphique sur site -
    EIE, 2018, Graphique, Prix de l'électricité, projections.


    Parmi les énergies renouvelables, seule l'énergie solaire photovoltaïque devrait augmenter. Le vent reste le même; Hydro reste le même; La géothermie est encore minuscule.

    Big-solar n'évalue même pas une mention.

    - voir graphique sur site -
    EIA, 2018, Graph, Renewables utilise des projections.

    Quelles énergies renouvelables sont en croissance ?
    La grande image
    Les énergies renouvelables, une petite partie non essentielle qui ne va pas beaucoup changer.

    - voir graphique sur site -
    EIE, 2018, Graphique, Projections d'utilisation de l'énergie industrielle.
    La consommation d'énergie industrielle sera ... à peu près la même.
    Véhicules électriques ? Repérer le ruban vert:
    Pas la transition de voiture que certains attendent.

    - voir graphique sur site -
    EIA, 2018, Graphique, transport, projections.
    EIE, 2018, Graphique, Projections d'utilisation totale d'énergie.
    h / t à Manalive et Pat

    RÉFÉRENCE
    L'EIA Annual Energy Outlook 2018, Département américain de l'énergie. https://www.eia.gov/outlooks/aeo/

    http://joannenova.com.au/2018/02/eia-estimates-for-usa-in-2050-the-future-is-fossil-fuels-and-cheap-electricity/

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  15. Rapport: Le pire des scénarios de changement climatique exclu


    Par Rick Moran
    9 février 2018


    Selon un nouveau rapport de l'Université de la Colombie-Britannique, les scénarios les plus cataclysmiques du réchauffement planétaire ont été écartés. Mais le rapport prévient également que le climat va encore déstabiliser, faisant des ravages sur la planète.

    Selon le rapport, tout se résume à une réduction de l'utilisation du charbon.

    Bloomberg:

    Les chercheurs affirment que les objectifs actuels de réduction de la consommation de charbon, de pétrole et de gaz peuvent être plus proches que nous le pensons, nous permettant ainsi de placer la barre encore plus haut dans nos efforts pour réduire la pollution. La mauvaise nouvelle est que c'est une bonne nouvelle dans la façon dont un changement climatique déstabilisateur est préférable à l'extinction planétaire: nous avons encore beaucoup de problèmes. Néanmoins, si l'étude est vérifiée par d'autres scientifiques et attire une vague dans le domaine des décideurs politiques, elle pourrait aider à accélérer les initiatives visant à arrêter le réchauffement climatique.

    La question de base a à voir avec le charbon. Tout simplement, plus nous brûlons, plus vite nous détruisons l'atmosphère.

    "Détruire l'atmosphère" ? Vraiment ? Le changement climatique ne "détruira" rien. C'est un phénomène qui pourrait changer l'atmosphère, pas le détruire.

    L'auteur de cette absurdité est Eric Roston, l'homme de Bloomberg sur le changement climatique. Roston donne l'impression qu'un jour, nous serons à bout de souffle, notre atmosphère étant annihilée par le réchauffement climatique. Mais c'est la qualité du «reportage» sur le changement climatique, c'est pourquoi vous ne pouvez littéralement rien croire de ce que vous lisez.

    Le scénario le plus sombre suppose que beaucoup plus de charbon [-] brûlera dans ce siècle que ce qui est susceptible de se produire, selon les auteurs de l'étude. Leur premier article, publié en mai, donnait l'impression [que] les seules personnes qui voient plus d'utilisation du charbon que l'administration Trump sont des concepteurs de scénarios climatiques. Par exemple, le scénario le plus extrême du pire scénario suppose que d'ici 2100 le charbon atteindrait 94 % de l'approvisionnement énergétique mondial. En 2015, ce chiffre était d'environ 28 %.

    Le nouveau travail, publié cette semaine dans Environmental Research Letters, montre à quel point tout ce charbon fantôme peut fausser notre image de ce à quoi l'avenir pourrait ressembler. Cela jette «des doutes sur la validité de cette perspective», écrivent les chercheurs.

    Le pire des cas est l'un des quatre frères et soeurs. Leurs noms, de mauvais en pire, sont RCP2.6, RCP4.5, RCP6.0 [,] et RCP8.5. Ils ont été introduits en 2011 comme un moyen pour les chercheurs qui dirigent différents modèles climat-économie de faire des études comparables sur la façon dont les concentrations élevées de gaz à effet de serre pourraient augmenter d'ici à 2100.

    Ces quatre scénarios vont d'un 2100 dans lequel une politique climatique mondiale agressive conduit à un réchauffement faible [] à un scénario dans lequel l'humanité déterre et brûle tout ce qui va prendre feu.

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  16. Un grand problème avec la quantité de charbon [-] brûlé supposée par RCP8.5 est qu'il n'y a probablement pas assez de charbon extractible pour rendre le scénario possible. "Nous ne pensons pas que cela va se produire", a déclaré Justin Ritchie, auteur principal de l'étude de l'Université de la Colombie-Britannique et d'un doctorat. candidat. "C'est extrêmement improbable et également incompatible avec chaque année depuis la fin du 19ème siècle."

    Dans cet article, il est précisé que la plupart des travaux antérieurs sur les estimations du changement climatique ont été basés sur ces scénarios les plus défavorables et qu'ils sont donc faux. Alors que les politiques gouvernementales ont contribué à une baisse de l'utilisation du charbon dans le monde, le vrai coupable dans le monde utilisant moins de charbon que ce qui avait été estimé précédemment est le marché libre.

    Il y a une surabondance de gaz naturel en ce moment, le résultat du succès sauvage de la fracturation hydraulique. Un sous-produit majeur du forage de schiste bitumineux est des quantités prodigieuses de gaz naturel. À l'heure actuelle, le gaz naturel brûle beaucoup plus que le charbon, bien que l'industrie du charbon fasse de grands progrès dans la réduction de la quantité de gaz carbonique émise lors de la combustion du charbon. Mais avec le gaz naturel étant bon marché, le marché du charbon a rétréci en conséquence.

    Allons-nous entendre que ce nouveau rapport démystifie les hystériques du réchauffement climatique comme Al Gore ? Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) des États-Unis adoptera-t-il le rapport ? Vous et moi savons tous les deux que cela n'aura pas d'importance. Tant de bureaucrates, de politiciens, d'ONG et d'activistes ont beaucoup investi dans le scénario catastrophique du réchauffement climatique. Ils ne lâcheront pas sans combat.

    Pourtant, il est bon de savoir que la Terre sera encore une cinquantaine d'années après que je serai poussière.

    http://www.americanthinker.com/blog/2018/02/report_climate_change_worst_case_scenario_ruled_out.html

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  17. Le Soleil devrait prochainement subir un coup de froid, selon des chercheurs


    07:52 12.02.2018


    Le Soleil pourrait émettre moins de rayonnements d’ici à 2050, en raison de la période de «grand minimum» qu’il traversera, avertissent des scientifiques américains.

    Les taches solaires visibles de la Terre ont disparu, affirment des chercheurs

    Le Soleil pourrait se ternir et devenir moins actif vers le milieu du siècle, ont conclu des astronomes de l'Université de Californie, à San Diego, dans une étude décrite sur Phys.org.

    Le refroidissement du Soleil serait le résultat de ce que les scientifiques appellent le grand minimum, un événement périodique au cours duquel le magnétisme du Soleil diminue, tandis que les taches solaires se forment plus rarement et que moins de rayons ultraviolets atteignent la surface de la Terre.

    Selon les chercheurs, un tel événement se produit à intervalles irréguliers par des fluctuations aléatoires liées au champ magnétique de notre étoile. Des observations sur 20 ans ont permis de prédire l'affaiblissement du rayonnement du soleil d'ici à 2050.

    Il existe un cycle de 11 ans durant lequel les rayons ultraviolets du soleil atteignent leur maximum et décroissent en raison de l'activité des taches solaires. Au cours du «grand minimum», le rayonnement ultraviolet diminue de sept pour cent supplémentaires au-delà du point le plus bas de ce cycle, explique l'équipe dans la publication parue dans l'Astrophysical Journal Letters.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201802121035105015-astronomie-soleil-refroidissement/

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    1. Ne nous leurrons pas sur les prédictions de suggestions éventuelles suppositives et rêvationnelles, même si, (ce que RIEN NE PROUVE !), notre planète en serait tout aussi habitable !
      Figurez vous que la planète Mercure (à 58 millions de km du soleil) a des jours à 200°C et des nuits à -100°C ! (rotation de la planète en 88 jours, ce qui permet largement à n'importe qui de se déplacer !). La Terre elle est à 150 millions de km et est UNE PLANETE FROIDE.

      Donc: ne vous faites pas de soucis puisque la Terre n'a PAS BESOIN DE SOLEIL POUR VIVRE ! Because que le soleil apporte une lumière facilement remplaçable par des ampoules à argon, et que des serres bétonnées sont tout-à-fait viables pour tous !

      https://huemaurice5.blogspot.fr/2017/12/est-ce-que-40-000-volcans-sont.html

      https://www.ventusky.com

      https://huemaurice5.blogspot.fr/2018/01/la-terre-est-une-planete-froide.html

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  18. Un gisement de terres rares inattendu : le charbon



    le 12 février 2018


    À quelques exceptions près toutes les terres rares, ou lanthanides sur le tableau périodique des éléments, sont cruciales dans les technologies nouvelles, que ce soient les smartphones, les écrans de télévision ou encore les ordinateurs. La Chine est devenue au cours des années le leader mondial dans ce domaine bien que le savoir-faire pour purifier ces éléments – pas si rares qu’on ne le croit – ait été développé il y a de nombreuses années en France par la division chimie fine de l’ancienne société Rhône-Poulenc aujourd’hui disparue. En Europe du moins c’est maintenant la société belge Solvay qui a racheté Rhodia et maintient une activité cryptique de purification de quelques-uns de ces éléments minéraux. Les USA sont donc totalement dépendants de la Chine comme d’ailleurs le Japon en ce qui concerne ces terres rares. Il y a quelques années le gouvernement américain a mandaté le département de l’énergie (DOE) pour effectuer des recherches sur les gisements de terres rares sur le sol américain malgré le fait qu’il existe toujours des gisements et d’anciennes mines désaffectées depuis des décennies.

    En liaison avec le bureau de recherches géologiques et diverses universités un gisement inattendu et prometteur a été identifié. Il s’agit des dépôts de charbon de l’Illinois, des Appalaches du nord et de Pennsylvanie qui se sont révélés les plus intéressants car le charbon qui a été analysé contient jusqu’à 300 parties par million de ces éléments. De plus les eaux utilisées pour laver le charbon et qui sont stockées temporairement dans des bassins de décantation se sont également révélées riches en ces éléments. Le laboratoire nationale de technologie des énergies (NETL) va financer un programme de mise au point de l’extraction de ces terres rares afin de réduire à terme la dépendance des USA vis-à-vis de l’étranger. Ce programme entre dans le cadre d’une plus grande indépendance de l’économie américaine dans ce domaine des hautes technologies et le Pentagone n’est pas étranger à cette initiative car les terres rares sont aussi utilisées dans de nombreux armements …

    Source : Energy Business Review, illustration Wikipedia ( https://en.wikipedia.org/wiki/Rare-earth_element )

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2018/02/12/un-gisement-de-terres-rares-inattendu-le-charbon/

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  19. JT du vendredi 9 février 2018 : France 2 file un bien mauvais coton



    12 Février 2018 ,
    par Seppi



    Vendredi, 9 février 2018, M. Laurent Delahousse présente au journal télévisé de 20 heures un « document » de quatre minutes et demie intitulé « le coton qui empoisonne » sur la vidéo et « Conso : la face cachée du coton » sur le site FranceTVInfo.

    Motif de ce « reportage » ? Aucun.

    Qualité de ce « reportage » ? Nulle.

    De la désinformation en guise d'information

    Une belle désinformation qui nous montre un père et son fils allant au champ, dans le Penjab, en Inde, l'un portant un pulvérisateur à dos et l'autre un bidon :

    « Pour augmenter les rendements, il [le cotonnier] est le plus souvent cultivé à grand renfort de pesticides, comme ici, dans le Pendjab. À l'image des milliers d'agriculteurs de la région, ce père de famille répand un mélange d'insecticides très dangereux pour la santé. Dans son réservoir, il y a notamment du diéthion, que l'Union européenne a interdit en 2002, car il serait très toxique pour le foie. Mais ni lui ni son fils qui travaille avec lui ne portent de protection. »

    Passons vite sur l'imprécision de la première phrase : les pesticides, ce n'est pas pour augmenter les rendements, mais pour les sécuriser et éviter les pertes.

    Une évidente mise en scène

    Qu'y a-t-il dans le bidon ? Le reporter serait sans nul doute incapable de répondre. Alors, « un mélange d'insecticides très dangereux pour la santé », c'est de l'esbroufe, de la gesticulation (étant toutefois entendu que les produits phytosanitaires ne sont pas anodins).

    À 1:05, le père demande à son fils de ne pas approcher le bidon près de son corps : « …c'est du poison ! » Mais le père ne voit aucun inconvénient à faire porter le bidon par son fils...

    Pire encore, le père pulvérise... et le fils le suit, en touchant les plantes !

    - voir clip sur site -

    Que faut-il penser de cette vidéo ? C'est à l'évidence un montage destiné à faire pleurer dans les chaumières. Mais pas que...

    On ajoutera que le père et le fils ont des chemises propres... pour aller traiter des cotonniers. Mais le père dit qu'il n'a pas assez d'argent pour acheter des gants et un masque...

    Et le fils – tiens, il n'est pas à l'école ? – serait gravement malade et aurait besoin d'une transplantation du foie. Soyons cyniques : ça tombe bien pour le « reportage » : le diéthion « serait très toxique pour le foie ».

    Tous malades des pesticides

    Le misérabilisme continue. À 2:08 :

    « Dans le village, cerné par les champs de coton traités aux pesticides, il y a un malade voire un mort quasiment dans chaque famille... »

    Maladie du foie, insuffisance rénale, cancer de la peau... tout cela est attribué implicitement aux pesticides.

    Une curieuse étude « scientifique »...

    Un bon « reportage » – en droite ligne de ce que nous pouvons voir dans certains documenteurs – ne saurait se concevoir sans une image d'un article scientifique. Nous avons donc « Malwa region, the focal point of cancer cases in Punjab: A Review study » de Shikha Nanda et al.

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  20. - voir clip sur site -

    Dans les cinq auteurs, deux dentistes, un étudiant de collège et un étudiant d'université. Mais tout de même un professeur assistant dans un centre pour la santé publique de l'Université du Penjab. Curieux titre de journal – International Journal of Current Research in Multidisciplinary (IJCRM) – qui semble incomplet. Il suffit d'une brève visite de son site pour se rendre compte que c'est une revue prédatrice qui propose une revue par les pairs rapide et de qualité, avec publication dans un délai moyen de 20 jours...

    Les auteurs prétendent que « les résultats de la présente étude révèlent que l'incidence inhabituellement élevée de cancers dans la région de Malwa sont dues [sic] à la sur-utilisation de pesticides.

    - voir clip sur site -

    Mais il s'agit essentiellement d'une recherche bibliographique avec des mots clés comme « Révolution Verte », « terre agricole », « pesticides », « ceinture du cancer ». En d'autres termes, une recherche destinée à trouver ce que les auteurs voulaient trouver. Mais l'article n'est pas inintéressant.

    - voir clip sur site -

    ...qui pointe vers d'autres problèmes...

    Quoique... Ils ont ratissé plutôt large et déniché une étude (« Population Based Cancer Registries at Chandigarh and SAS Nagar, Mansa, Sangrur districs Punjab State, India ») qui trouve un risque de cancer double dans les zones urbaines par rapport aux zones rurales. Une autre (« Impact and extent of ground water pollution: a case study of rural area in Punjab State (India) », de Sewa Singh) a trouvé un excès de fluor dans 65 % des échantillons d'eau.

    Mais, ite missa est... le coupable, c'est les pesticides...

    C'est d'autant plus surprenant que le cotonnier est maintenant Bt à plus de 95 % – résistant au principal ravageur, le ver de la capsule Helicoverpa armigera – et que l'emploi des insecticides a considérablement diminué.

    ...et que l'auteur du « document » instrumentalise outrancièrement

    Le « reportage » montre aussi une portion de l'étude et surligne la phrase selon laquelle il y avait plus de 800.000 nouveaux cas en 2001 et qu'ils augmenteraient à 1.220.000 en 2016.

    - voir clip sur site -

    Pourtant, le texte est clair : il s'agit, d'une part, de l'ensemble des cas en Inde – et non de la région de Malwa (ou du Penjab comme il est dit par la voix off) – et, d'autre part, la cause spécifiée est l'augmentation de la population. Selon la phrase qui précède celle qui est surlignée, « [l]e nombre absolu de patients atteints de cancer augmente rapidement du fait de la croissance de la taille de la population ».

    Le « reportage » verse donc ici dans la manipulation grossière. Dans le genre de celles – allons, nous pouvons la citer sans trop risquer de procédure bâillon – de l'écodéesse Vandana Shiva. Il y eut aussi – sur France 2 – ce Cash Investigation et ses 97 % d'échantillons alimentaires qui contiendraient des résidus de pesticides (voir par exemple ici)...

    L'autisme, c'est aussi les pesticides

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  21. Le « reportage » passe ensuite à « un autre drame qui frappe les enfants » et qui « serait » du à « cette pollution »... conditionnel de manipulation médiatique de rigueur.

    Images dans un centre de soins pour autistes... évidemment, on montre des enfants d'un « cultivateur de coton »... Mais curieusement, les analyses d'urine montrent une forte concentration en métaux lourds... Qu'à cela ne tienne, « des métaux lourds qui viendraient en bonne partie des pesticides ».

    C'est les pesticides, on vous dit... Dites nous quels pesticides contiennent de l'aluminium, du baryum, du plomb ou du nickel...

    Un article de vulgarisation instrumentalisé

    Sur fond d'image d'un article de Sciences et Avenir, au titre putassier, « Autisme : les pesticides mis en cause » la voix off nous apprend que « plusieurs équipes de chercheurs à travers le monde font en effet un lien entre les métaux lourds et l'apparition de l'autisme ».

    - voir clip sur site -

    Mais l'article en cause ne traite que d'une seule étude scientifique. Et on nous présente une image qui fait un lien entre autisme et pesticides. Un lien qui relève du cum hoc, propter hoc car l'article de M. Jalinière précise : « Il est important de préciser que, si la corrélation établie est forte, elle ne constitue pas une relation de cause à effet avérée. »

    - voir clip sur site -

    La solution ? Le « bio »...

    On verse ensuite dans le grandiloquent par l'intermédiaire du Dr Pritgal Singh : « Quand vous portez un T-shirt, souvenez-vous qu'il est taché du sang de nos enfants. »

    Pour arriver à l'objectif de ce « reportage » : « Pour mettre fin à ce drame, la production de coton bio serait une solution, mais elle ne représente en Inde que 1% des cultures à ce jour. »

    Pensez-vous que l'auteur de ce « document » se soit interrogé sur ce 1 % ? Ce serait trop lui demander...

    Et pensez-vous que la direction de France 2 mettra des barrières pour empêcher ce genre de manipulation grossière ? Ce serait trop lui demander...

    http://seppi.over-blog.com/2018/02/jt-du-vendredi-9-fevrier-2018-france-2-file-un-bien-mauvais-coton.html

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  22. La royauté britannique veut se débarrasser du plastique



    12 FÉVRIER 2018
    Gauvain Dossantos


    La royauté britannique veut se débarrasser du plastique dans ses différents palais. Les cuisines royales et les boutiques des lieux publics vont dorénavant employer des emballages recyclables et biodégradables. La demande viendrait de la reine en personne.

    Les pailles et les bouteilles en plastiques ne sont plus les bienvenus dans tous les domaines dépendant directement de la royauté britannique. La reine Élisabeth II s'est emparé de cette question écologique et a décidé d'agir avec fermeté.

    Buckingham Palace a présenté de nouveaux plans de gestion des déchets et a déclaré qu'il existait un "fort désir de s'attaquer au problème" aux plus hauts niveaux de la famille royale. The Telegraph pense que la reine s'est intéressée personnellement au problème du plastique après avoir travaillé avec Sir David Attenborough sur un documentaire traitant de la conservation de la faune dans le Commonwealth.

    Traiteurs internes

    En pratique, la nouvelle mesure consiste donc à retirer les pailles en plastique des buvettes présentes dans les "caféterias" publiques royales et à les interdire totalement dans les salles à manger du personnel.Les traiteurs internes du palais de Buckingham, du château de Windsor et du palais de Holyroodhouse à Édimbourg devront désormais utiliser des assiettes et des verres en porcelaine ou des gobelets en papier recyclables. Les aliments à emporter dans les cafés de la Royale Collection devront également être transformés en emballages compostables ou biodégradables.

    https://fr.express.live/2018/02/12/la-royaute-britannique-veut-se-debarrasser-du-plastique

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    1. Les capottes anglaises seront en tripes de porc !

      Au fait, les voitures de la couine consomment combien de (pétrole) sacs en plastique aux 100 km ?

      Le plastique c'est comme le papier: ça brûle ! (et, comme TOUS les gaz se recyclent...)

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  23. Témoignage d’un ancien de Hoche



    le 12 février 2018
    par Benoît Rittaud
    par Christian Buson.


    Il y a quelques jours, des enseignants du lycée Hoche de Versailles se sont opposés à la venue du professeur François Gervais, qui devait y animer une conférence-débat le 13 février. Surpris et choqué, c’est en ancien élève de ce lycée que je souhaite réagir.

    Avant d’intégrer une grande école d’agronomie, j’ai été en classe de math sup et math spé bio à Hoche de 1970 à 1972. Une véritable initiation aux disciplines et aux pratiques scientifiques nous y avait été dispensée. L’esprit critique, le doute et la nécessaire vérification de chaque affirmation étaient systématiquement mis en avant, loin de toute propagande. Malgré tout, le recul permet de constater que ce qui nous était alors enseigné comme certain ne l’était pas toujours, et prenait parfois la couleur des modes intellectuelles de l’époque. Rien de plus normal, car nul ne peut s’abstraire complètement des errements de son temps. C’est ainsi que nous avions reçu un polycopié de notre professeur de physique, qui nous alertait sur la pénurie de pétrole annoncée comme quasi-certaine pour l’an 2000, ainsi que sur les incertitudes les plus fortes sur la possibilité de nourrir une population de près de 6 milliards d’humains à cette même échéance. Ce dernier point m’avait à l’époque conforté dans mon choix de m’orienter vers l’agronomie.

    Toutes ces prévisions se sont heureusement avérées erronées et inutilement alarmistes, ce qui n’ôte rien à la qualité des cours dispensés par cet enseignant, M. Thouvenot, pour lequel j’ai toujours gardé estime et admiration.

    En spé, M. Couderc, notre professeur de biologie, avait fait venir un entomologiste qui nous avait expliqué l’immense intérêt des produits phytosanitaires pour lutter contre ce fléau que sont les doryphores. Je me souviens encore très bien de cette intervention, qui détonnait par rapport à nos enseignements habituels et usait d’arguments et de raisonnements tout à fait pertinents. On peut se demander si, à notre époque d’écologisme militant prônant le passéisme agricole, un tel exposé serait encore possible dans nos lycées.

    La question n’est pas ici de savoir qui avait tort ou raison. La question est de savoir si aux élèves l’occasion était donnée d’entendre des voix suffisamment variées pour leur permettre de se forger librement leurs convictions propres, sans que l’emportent les biais idéologiques du moment. Il me semble que, à mon époque, la réponse était oui.

    En revanche, l’annulation qui frappe aujourd’hui la conférence de François Gervais est la marque d’une attitude excessivement fermée, voire sectaire, qui ternit l’image du lycée où j’ai eu le bonheur d’étudier.

    Les affirmations éhontées et orchestrées sur ce thème du réchauffement/changement climatique méritent un regard distancié et plus objectif. La vérité n’est pas une affaire de consensus, ni de communication. C’est par la confrontation de points de vue divergents que l’on peut avancer, pas par l’unanimisme imposé.

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  24. L’ouvrage de François Gervais, L’Innocence du carbone, est un livre argumenté, posé, non polémique. J’ai écouté plusieurs interventions de l’auteur, notamment à l’institut de Locarn, en Bretagne. Celles-ci ne devraient pas effrayer tout auditeur disposant d’un minimum d’esprit scientifique. Avant de refuser la venue du professeur Gervais, ce qui représente une forme de censure, il eut été préférable de le laisser parler, quitte, le cas échéant, à programmer ensuite un autre intervenant pour faire contrepoint. S’agissant des changements climatiques, il y aura autant d’avis que d’experts. La science du climat est encore jeune et non aboutie ; elle réunit des spécialistes de nombreuses disciplines, qui sont loin d’être d’accord. La réflexion sur la nécessaire hiérarchie entre les faits et les données, d’une part, et les simulations à partir de modèles non validés, d’autre part, constitueraient une démarche éclairante.

    J’ajoute qu’en tant qu’agronome je ne peux qu’être abattu quand j’entends que le gaz carbonique serait un polluant, alors qu’il s’agit de l’élément fondamental du cycle de la photosynthèse. Sans gaz carbonique, pas de végétaux, pas de vie. Aucun biologiste ne devrait laisser passer une telle contre-vérité.

    Puisse le lycée Hoche, et au-delà l’ensemble des établissements scolaires, trouver ou retrouver au plus vite le chemin de l’ouverture intellectuelle qui, seule, contribuera à former l’esprit critique des élèves.

    https://mythesmanciesetmathematiques.wordpress.com/2018/02/12/temoignage-dun-ancien-de-hoche/#more-15382

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  25. Katie Couric de NBC est dans l'eau chaude avec les Néerlandais, qui ne patinent pas vraiment partout


    Par Cindy Boren
    11 février à 13h52


    Cela prend énormément de colère contre les Néerlandais, mais Katie Couric de NBC a réussi à mettre du piquant sur les commentaires qu'elle a faits pendant les cérémonies d'ouverture.

    Maintenant, la plupart des gens regardent plutôt la couleur et l'apparat plutôt que de se concentrer sur les annonceurs, mais le raisonnement de Couric pour expliquer pourquoi les Pays-Bas sont si dominants en patinage de vitesse a arrêté tout le monde. Couric a mentionné les canaux d'Amsterdam et a souligné que le patinage est «un mode de transport important» lorsque les canaux gèlent.

    "Ce n'est probablement pas un flash d'information pour vous dire que les Néerlandais sont vraiment très bons en patinage de vitesse", a-t-elle déclaré. "Toutes les médailles remportées, à l'exception de cinq des 110 médailles remportées, ont été sur l'ovale du patinage de vitesse. Maintenant, «Pourquoi sont-ils si bons?» Vous vous demandez peut-être. Parce que le patinage est un mode de transport important dans une ville comme Amsterdam qui se trouve au niveau de la mer. Comme vous le savez tous, il y a beaucoup de canaux qui peuvent geler pendant les hivers. Donc, aussi longtemps que ces canaux ont existé, les Hollandais ont patiné sur eux pour aller d'un endroit à l'autre, pour courir les uns les autres, et aussi pour s'amuser. "

    Hey, au moins, elle sait qu'ils ne portent pas tous des chaussures en bois.

    Les Hollandais, voyez-vous, ont des pieds sur lesquels marcher, des vélos sur lesquels rouler et des voitures à conduire. Ce qui est bien parce que les canaux ne gèlent pas si souvent. Les téléspectateurs - hollandais et autres - ont laissé Couric l'avoir, répondant hilarement à un tweet de Jos Duijvestein, dont la biographie sur Twitter le décrit comme "Néerlandais !! Vivre au Canada. Photographe, motocycliste, lecteur passionné, amoureux des animaux et marié à la meilleure dame du monde depuis plus de 25 ans. "

    https://www.washingtonpost.com/news/early-lead/wp/2018/02/11/nbcs-katie-couric-is-in-hot-water-with-the-dutch-who-really-dont-skate-everywhere/?utm_term=.417a9e9770c6

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    1. Les vraies fausses mémoires d'une journaliste internationale.

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  26. Palin confirmé: GOP envoie IPAB au panel de la mort


    DAVID CATRON
    9 février 2018, 14h53


    Le projet de loi budgétaire signé par le président Trump a encore tué une autre disposition d'Obamacare.

    Malgré ce que nous continuons à lire dans les médias sur l'échec du GOP à abolir l'Obamacare, les républicains du Congrès et le président Trump démembrent régulièrement la loi sur la santé justement vilipendée, membre par membre pernicieux. Le dernier appendice à être arraché était parmi ses plus dangereux - l'Independent Payment Advisory Board (IPAB). IPAB a été conçu par les auteurs de la loi comme un comité de rationnement composé de bureaucrates non élus investis du pouvoir de «recommander» des réductions des paiements de Medicare aux médecins et aux hôpitaux. Cela aurait inévitablement réduit l'accès aux soins pour les personnes âgées. Cette disposition dangereuse de l'Obamacare a été abrogée ce matin.

    Qu'est-ce qui est si dangereux dans un conseil qui recommande des mesures de réduction des coûts pour un programme coûteux comme Medicare? Eh bien, pour commencer, il aurait littéralement fallu un acte du Congrès pour rejeter ses recommandations. En théorie, IPAB aurait seulement proposé des changements aux taux de paiement de Medicare. Dans la pratique, toutefois, les recommandations du conseil auraient pris effet automatiquement à moins que le Congrès n'adopte une législation alternative qui «ait économisé» la même somme d'argent désignée par l'IPAB et que le président l'ait signé. En outre, les deux chambres du Congrès ainsi que la Maison Blanche auraient dû prendre ces mesures avec une empressement inhabituelle.

    Les médias traditionnels ont fait grand cas du fait que personne n'a encore été nommé à l'IPAB. Mais c'est simplement parce que les coûts de l'assurance-maladie ont augmenté à un rythme beaucoup plus lent que ce qui était prévu en Mars 2010, lorsque le ironiquement nommé "Affordable Care Act" a été adopté. Cependant, ce coup de chance n'a nullement rendu cette disposition d'Obamacare moins dangereuse. Le seuil pour l'activer était presque atteint en 2017, et il aurait inévitablement été franchi tôt ou tard. À ce moment-là, une énorme quantité de pouvoir aurait été confiée à 15 personnes nommées par le gouvernement. En tant qu'ancien directeur de l'Office de la gestion et du budget (OMB), Peter Orszag l'a expliqué avec franchise:

    Cette institution pourrait s'avérer beaucoup plus importante pour l'avenir de notre santé fiscale que, par exemple, le Congressional Budget Office. Il a une énorme quantité de puissance potentielle. Donc, ce conseil consultatif de paiement indépendant a le pouvoir ... Donc, le défaut est maintenant commuté d'une manière très importante sur le plus grand moteur de nos coûts à long terme, qui est le programme d'assurance-maladie.

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  27. Toute personne éligible à l'assurance-maladie, ou à l'approche de l'âge de la sécurité sociale, devrait se féliciter d'avoir été tirée par une balle bureaucratique à bout de souffle. Et les gens qui vous ont protégé d'être blessés ou même tués par ce projectile sont le GOP, le président Trump, et Sarah Palin. Oui, Sarah Palin. Si vous avez entendu parler d'IPAB, c'est probablement parce qu'elle l'a surnommé le «panel de la mort» et que cette étiquette est restée ancrée dans l'imagination populaire. En effet, sa croisade contre IPAB est l'une des principales raisons pour lesquelles sa réputation publique a été systématiquement détruite par les démocrates et leurs médias. Ce matin même, le Washington Post l'a saccagée:

    Rappelez l'hystérie sur les «panneaux de la mort», ce descripteur infâme et terriblement trompeur inventé par l'ancien vice-président Sarah Palin, qui prétendait que le panel conduirait au rationnement des soins (même si le panel n'avait pas son mot à dire. La revendication de Palin, que les candidats du GOP ont largement adoptée pour frapper les cordes émotionnelles avec les électeurs, a été choisie par PolitiFact comme son «mensonge de l'année» en 2009.

    Avoir ses déclarations «démystifiées» par PolitiFact est, sauf dans de rares cas, un indicateur fiable que l'on a été coupable de donner libre cours à une vérité dérangeante que les démocrates et les médias ne veulent pas que le public sache. L'affirmation de la poste selon laquelle la déclaration de Palin était "fallacieuse" est simplement fausse. Voici comment le rationnement aurait fonctionné sous IPAB: Le conseil rencontrerait et «recommanderait» des réductions dans le montant qu'un médecin reçoit pour le traitement d'un patient Medicare. Parce que les médecins perdent déjà de l'argent sur les patients Medicare, un certain pourcentage devrait cesser de les traiter afin de survivre financièrement. Ainsi, les patients Medicare auraient eu moins accès aux soins, ce qui aurait été mortel pour certains.

    En d'autres termes, IPAB aurait été le comité de rationnement des soins de santé qui n'ose pas parler de son nom. Heureusement pour les personnes âgées, les républicains du Congrès et le président Trump n'ont pas eu besoin d'être désignés par le Parti démocrate ou ses publicistes à la poste et d'autres organes de presse présumés. Ils savent que IPAB était un acronyme pour Death Panel, et ils l'ont profondément enfoncé. Maintenant, son ombre stygienne ne plane plus sur les personnes âgées.

    https://spectator.org/palin-vindicated-gop-sends-ipab-to-the-death-panel/

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  28. La Maison Blanche publie un plan d'infrastructure de 55 pages et 1,5 billion de dollars


    par Tyler Durden
    Lun, 02/12/2018 - 10:25



    Tout comme Trump a promis lors de son discours sur l'état de l'Union à la fin du mois dernier, la Maison Blanche a publié lundi un paquet d'infrastructure qui espère lever 1,5 billion de dollars pour aider à reconstruire les routes, les ponts et les aéroports américains.

    Depuis que le projet initial a été divulgué le mois dernier, Trump a augmenté son objectif de collecte de fonds à 1,5 trillion de dollars contre 1 billion de dollars.

    La plupart des détails les plus saillants du plan de 55 pages ont été divulgués pendant la nuit.

    À la base, la proposition utilisera les 200 milliards de dollars, qui seront déboursés sur une décennie, comme un capital d'amorçage pour inciter les États, les localités et le secteur privé à s'engager à dépenser le reste du numéro ...

    Il permettra également de rationaliser le processus d'autorisation et d'améliorer la formation pour que les travailleurs qualifiés soient prêts à travailler sur des projets d'infrastructures rurales ...

    Cependant, les démocrates se sont plaints que le plan repose trop sur les municipalités et les États, et ne fournit pas suffisamment de financement fédéral pour avoir un impact important. Certains l'ont décrit comme un «appât-et-commutateur» car on ne sait pas si la Maison Blanche sera en mesure d'augmenter le nombre de gros titres.

    La proposition mise à jour de la Maison Blanche a été publiée lundi avant une réunion de 11 heures entre Trump et les maires des villes et d'autres pays. Les 200 milliards de dollars de dépenses fédérales seront également inclus dans la carte budgétaire de la Maison Blanche. la semaine dernière, cela a éliminé les plafonds de dépenses de plusieurs années, préparant le terrain pour un accord budgétaire de deux ans.

    Et comme le souligne CBS, le plan de Trump laisse un peu à désirer ...

    Mais il y a un trou majeur dans la proposition de la Maison Blanche - le plan de M. Trump repose presque entièrement sur le financement d'entités échappant au contrôle du gouvernement fédéral. Seulement 200 milliards de dollars de la proposition de 1,5 billion de dollars proviendraient du nouveau financement fédéral. La Maison Blanche compenserait les nouvelles dépenses par des réductions non spécifiées dans d'autres domaines du budget. Le reste devrait provenir des gouvernements étatiques et locaux et des investissements privés.

    Selon le Washington Post, le plan contient beaucoup de détails (contrairement aux premières ébauches du plan de réforme fiscale de Trump) mais peu de garanties sur la façon dont tout cela sera payé. Dans une section particulièrement irritante, il suggère même de couper l'argent des plans d'infrastructure existants et de le réaffecter au plan Trump.

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  29. Pour l'instant, la Maison Blanche suggère que les législateurs coupent l'argent d'ailleurs dans le budget, y compris certains programmes d'infrastructure existants. Cette perspective semble peu probable étant donné que le Congrès a conclu la semaine dernière un accord bipartisan pour dépenser beaucoup plus de fonds au cours des deux prochaines années.

    Per Politico, le plan est une déclaration de principes que le Congrès devra traduire en législation, laissant potentiellement le sort de la proposition de Trump entre les mains de 11 comités de la Chambre et du Sénat qui supervisent les tranches des politiques en jeu. Le coup d'envoi comprendra un briefing lundi avec des représentants de l'État et des autorités locales.

    Tout en mettant en lumière l'argent fédéral, la proposition «pourrait inspirer une vague de routes à péage, assouplir des règlements vieux de plusieurs décennies et changer de façon permanente les attentes des villes et des États en matière d'aide de Washington.

    Certains critiques ont également critiqué le manque de financement du plan pour reconstruire les tunnels sous la rivière Hudson utilisés pour transporter les navetteurs du New Jersey à la gare Penn de New York.

    Plusieurs législateurs ont déclaré qu'ils ne s'attendaient pas à ce que le plan soit adopté dans sa forme actuelle, car il aurait besoin de 60 voix pour que le Sénat soit autorisé. Sans plus d'engagements de financement fédéral, le plan est probablement "mort à l'arrivée", a déclaré un législateur.

    Lisez le plan de 55 pages dans son intégralité ci-dessous:

    https://www.zerohedge.com/news/2018-02-12/infrastructure

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  30. Liberté de la parole et de l'ingénierie sociale dans le "Land Of The Free"


    par Tyler Durden
    Mar, 13/02/2018 - 00:20
    Rédigé par Mac Slavo via SHTFplan.com,


    Une tendance inquiétante existe depuis longtemps et c'est la destruction de la liberté d'expression. Beaucoup de campus universitaires ont même des espaces sûrs maintenant, où certains discours sont interdits afin que les étudiants puissent blottir des couvertures.


    La liberté d'expression est maintenant le sujet de plusieurs débats et tous tournent autour de l'ingénierie sociale / tyrannie sociale. Prenez cet article de la semaine, par exemple.

    Sur de nombreux campus universitaires, des groupes d'étudiants de gauche insistent sur le fait que la liberté d'expression doit être conditionnée par le respect des normes explicites de diversité et éviter d'infliger des dommages émotionnels aux membres des groupes marginalisés par la propagation de la «haine».

    De la direction idéologique opposée, le président Trump estime que le gouvernement devrait «regarder de plus près» les lois sur la diffamation pour empêcher les organisations de presse de soumettre sa propre administration à une couverture négative.

    Enfin, du centre-gauche, des appels à l'utilisation de la loi anti-discrimination pour punir les organisations qui s'opposent à la légitimité du mariage homosexuel et des accommodements pour les personnes transgenres. Si cela se produit - soit en adoptant de nouvelles lois qui ajoutent explicitement aux lois antidiscrimination existantes ou par des tribunaux traitant les membres de ces groupes comme des classes protégées couvertes par la loi existante - le résultat sera presque certainement une restriction significative du discours, comme ceux qui Des opinions plus conservatrices seront sanctionnées pour les avoir exprimées en public. -La semaine

    L'article pose la question suivante: L'Amérique a-t-elle une seconde réflexion sur la liberté d'expression? Mais Joe Joseph avec The Daily Sheeple répond parfaitement à la question.

    "NON! L'Amérique n'a pas de doutes sur la liberté d'expression. Mais les ingénieurs sociaux nous bourrent la gorge comme c'est ce que nous voulons. Mais vraiment, personne n'en veut ! C'est unfeakin 'crédible ! "

    La prise de Joseph reflète tous ceux qui sont individualisés. Même un discours offensant est seulement offensant pour les faibles émotionnellement. "Je ne peux pas croire que nous ayons même cette conversation dans le pays du LIBRE !!!! Que diable se passe t'il…. sommes-nous dans la "Twilight Zone" ? Quand est-ce que nous sommes passés d'une nation de mauvais garçons à une nation de pensées ? ", Dit la légende de la dernière vidéo de Joseph.

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  31. "Que diriez-vous de faire ceci ? Que diriez-vous de ces organisations de médias qui suivent réellement ce que leur code d'éthique dit. Que diriez-vous qu'ils font réellement ce qu'ils disent qu'ils vont faire! Que diriez-vous de pratiquer les règles qui vous sont enseignées le premier jour à l'école de journalisme ! », Dit Joseph à propos des médias.

    Il poursuit en disant que les lois qui dictent quel discours est acceptable et quel type de discours n'est pas acceptable ne sont pas conçues pour régler le problème. Ils sont conçus pour diviser les gens et amplifier les problèmes.

    Il ne devrait jamais être question de savoir si les humains ont ou non la liberté d'expression. C'est un droit naturel de penser et de dire ce que vous voulez. Les mots ne causent pas de dommages physiques et jusqu'à ce que quelqu'un soit blessé ou que ses biens soient endommagés, aucun crime n'a été commis.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-02-12/free-speech-and-social-engineering-land-free

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    1. Depuis que le monde est monde, tout progrès (transmission de savoir) est passé par la liberté d'expression. Or, en condamnant les personnes qui osent encore dire ou écrire des choses sensées, c'est empêcher l'être humain d'accéder au savoir (aujourd'hui les écoles font des petits cons), et TOUT est fait pour freiner, censurer ou fermer des sites ou des blogueurs sur Internet qui disent la vérité !

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  32. L’EPFL couve les surdoués en mathématiques

    Depuis dix ans, le cours Euler propose aux jeunes élèves un programme adapté à leurs compétences. Un cursus unique qui permet aux profils atypiques de s’épanouir scolairement


    Alexia Nichele
    lundi 12 février 2018 à 12:12.


    «Je m’ennuyais en maths, alors ma prof m’a parlé du cours Euler. Je ne pensais pas être capable de l’intégrer.» A 14 ans, Adèle fait partie de la centaine d’élèves inscrits à ce programme destiné aux enfants précoces. Du nom du mathématicien suisse (1707-1783), dont le portrait ornait l’ancien billet de 10 francs, le cours Euler dure six ans. Il comprend le programme de la 9e Harmos à la maturité, plus des branches enseignées au niveau universitaire.

    «Nous avançons deux fois plus vite qu’une classe normale, explique Jérôme Scherer, collaborateur à l’EPFL chargé du cours. Séparés dans plusieurs classes selon leur âge, les élèves apprennent à tisser des liens entre différentes branches et à développer leur pensée scientifique.» Né d’une discussion entre la directrice scientifique du programme, Kathryn Hess-Bellwald, et l’ex-président de l'EPFL, Patrick Aebischer, ce cours qui a lieu tous les mercredis après-midi dispense ceux qui le suivent des heures de maths usuelles.

    A propos d'une nouvelle école en Suisse romande: L’offre pour l’enfant surdoué commence à s’étendre

    Pas de test QI

    S’il est en principe destiné aux enfants à très haut potentiel, l’EPFL ne demande pas de diagnostic psychologique. Pas plus qu’un test de QI. En fait, «tous les élèves ont de la facilité et, surtout, un intérêt ou une passion pour les maths, note le responsable. On a affaire, on ne le cache pas, à un cours exigeant.» Avec une charge de travail qui s’élève à six ou huit heures hebdomadaires. «Toutes les semaines, les élèves doivent rendre une série d’exercices corrigée par des camarades plus âgés.» Pour ces derniers, l’avenir paraît clairement tracé: la majorité compte poursuivre des études à l’EPFL. Certains virtuoses des chiffres pourront d’ailleurs directement entrer en deuxième année du bachelor en maths.

    Rejoindre cette élite, ça se mérite, tout de même! Un concours d’entrée attire chaque année plus de 200 candidats venus de Suisse romande et de France voisine, dont une vingtaine est retenue seulement. Moyennant une taxe d’inscription annuelle de 100 francs, le cours Euler est principalement financé par l’EPFL et peut compter sur quelques généreux donateurs. Mais si son fonctionnement s’inspire de modèles américains similaires, il peut se vanter d’être unique en son genre en Europe.

    Certains même avant 10 ans !

    «En général, la tranche d’âge est de 12 à 18 ans, observe Jérôme Scherer. Certains élèves ont même été acceptés avant l’âge de 10 ans! Ce sont toutefois des cas exceptionnels, car il faut non seulement être scientifiquement précoce, mais aussi assez mûr pour savoir s’organiser, gérer le travail et les longs trajets éventuels.» Géométrie euclidienne, algèbre linéaire ou encore physique: l’approche est rigoureuse, l’ambiance studieuse. Des sorties plus ludiques sont également organisées pour renforcer les liens. Comme pour presque n’importe quelle autre classe d’ados. Au-delà de la nourriture intellectuelle, il y a aussi l’acceptation et la solidarité. Si l'«on est traité ailleurs d’intello quand on a de bonnes notes, déplore Adèle, ici, ce n’est pas le cas. On s’entend bien et on s’entraide.»

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  33. Un sentiment d’appartenance

    En filigrane de cette formation se pose la question de la place des talents précoces dans le système scolaire. «Plus que pallier une forme d’ennui, une structure comme le cours Euler présente un intérêt sur le plan social et relationnel, explique Nicolas Yersin, psychologue exerçant en milieu scolaire. L’enfant retrouve des pairs animés par les mêmes questionnements et les mêmes envies. Ce sentiment d’appartenance contribue à son bien-être global.»

    Après une décennie d’existence, le bilan est positif. «Le cours répond aux attentes de nombreux enfants, estime Jérôme Scherer. C’est un privilège que de donner des cours à des jeunes aussi motivés. Et un plaisir de les voir s’épanouir, pendant la durée du cursus, et même au-delà.»

    https://www.letemps.ch/societe/lepfl-couve-surdoues-mathematiques

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  34. FRANCE - LE CONSENTEMENT D'UNE FILLE DE 11 ANS EN DÉBAT

    La justice française se penche mardi sur le cas d'une enfant de 11 ans ayant eu une relation sexuelle avec un homme de 28 ans.

    13.02.2018, 06h18


    Une enfant de 11 ans peut-elle librement consentir à une relation sexuelle avec un homme de 28 ans ? La question va être au centre d'un procès qui s'ouvre mardi à Pontoise, en région parisienne, alors qu'un projet de loi prévoit d'instaurer un âge minimal de consentement.

    L'affaire avait choqué et suscité un vif débat en France. Le 24 avril dernier, une fille de 11 ans suit un homme, qui l'a déjà abordée à deux reprises dans le passé, jusqu'à son appartement, où ils ont une relation sexuelle. Ses parents portent plainte pour viol, décrivant une enfant tétanisée, incapable de se défendre, et choquée par ce qui lui était arrivé.

    Mais les enquêteurs ont considéré que cette relation était consentie car aucune contrainte physique n'a été exercée sur la mineure, qui a suivi l'homme de son propre gré. Estimant qu'il n'y avait eu «ni violence, ni contrainte, ni menace, ni surprise», le parquet a donc décidé de poursuivre ce père de deux enfants pour «atteinte sexuelle sur mineur de 15 ans». Il risque cinq ans d'emprisonnement.

    Deux autres affaires similaires

    Le procès pourrait toutefois être de nouveau renvoyé, comme il l'avait déjà été fin septembre, notamment car la partie civile compte demander la requalification des faits en viol, passibles alors de 20 ans de prison.

    A l'automne, deux autres affaires avaient fait grand bruit: l'acquittement d'un homme de 30 ans, accusé de viol sur une fille de 11 ans, et la condamnation à 18 mois de prison d'un prof de collège qui avait eu une liaison avec son élève de 14 ans.

    Le gouvernement a alors décidé d'instaurer un âge minimum du consentement à l'acte sexuel, que le président Emmanuel Macron souhaiterait voir fixé à 15 ans. Le projet de loi contre les violences sexistes et sexuelles, qui doit déterminer ce seuil, est attendu en Conseil des ministres le 7 mars. D'ici là, une «mission pluridisciplinaire» a été chargée par le ministère de la Justice de contribuer au débat. Le groupe d'experts, dont des juristes et des médecins, devra rendre son avis le 1er mars.

    Protection de l'enfance

    Pour Me Carine Diebolt, l'avocate de la fille et de ses parents, «la question du consentement d'une enfant de 11 ans ne (devrait) même pas se poser». Si sa cliente s'est laissée faire, c'est qu'elle était dans un état de sidération, estime Me Diebolt pour qui tous les éléments constitutifs du viol sont réunis dans cette affaire: outre la pénétration sexuelle, la «contrainte morale» (qui résulte de leur différence d'âge), la surprise, la violence («il s'est montré agressif dans l'ascenseur», où elle lui a fait une fellation) et la menace («il a menacé de ruiner sa réputation dans la cité si elle parlait»).

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  35. «C'est un dossier vide, il n'y a rien contre mon client, excepté l'état civil de la jeune fille, qu'il ne connaissait pas», juge au contraire Me Marc Goudarzian. L'avocat de la défense fait valoir que la victime présumée, dont la puberté a été précoce, «fait plus que son âge» et que «dans l'esprit de son client, elle avait 17 ans». Il affirme aussi que la jeune fille «ment sur tout» et n'a rien d'une «oie blanche».

    «Elle n'avait jamais fait un smack !», s'insurge Me Diebolt. Deux associations de protection de l'enfance, L'Enfant bleu et La Voix de l'Enfant, seront à ses côtés sur le banc des parties civiles. «Il est urgent que soit instaurée une présomption d'absence de consentement pour les relations sexuelles entre jeunes mineurs et majeurs, à l'image de ce qu'ont déjà mis en place la quasi-totalité des pays soucieux de la protection de leurs enfants», ont réagi trois associations de protection de l'enfance (ACPE, Cofrade et Coup de pouce) dans un communiqué.

    Elles rappellent qu'à cause de «mécanismes psychologiques et neurobiologiques scientifiquement reconnus, un enfant peut ne pas être en mesure de s'opposer (...) à la relation sexuelle que lui impose un adulte». (afp/nxp)

    https://www.lematin.ch/monde/consentement-fille-11-ans-debat/story/17994472

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    1. C'est d'abord à l'école où l'enfant doit tout gober sans rien dire. Il ou elle n'y va pas pour s'instruire mais pour se crétiniser !

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  36. Les églises catholiques interdites aux mineurs en Chine depuis le 1er février


    Anne Dolhein
    12 février 2018 12 h 00 min·



    « Laissez venir à moi les petits enfants », dit le Christ. « Interdit aux mineurs », répond le pouvoir communiste en Chine où, depuis le 1er février, les parents ont été sommés de ne plus amener leurs enfants à l’église, sous peine de provoquer la fermeture des édifices religieux où l’on contreviendrait à cette règle. Dans certaines provinces, les autorités locales ont déjà demandé aux prêtres d’afficher des avis en ce sens sur les portes des églises. Telle est la « liberté religieuse » en Chine aujourd’hui, à l’heure où le Vatican compose avec le gouvernement pour passer l’Eglise clandestine, fidèle à Rome, sous le contrôle de l’Eglise nationaliste.

    C’est en application des nouvelles réglementations des affaires religieuses décidées par le gouvernement de Xi Jinping, partisan du renforcement idéologique du marxisme-léninisme dans le Parti et dans l’éducation, que cette approche est adoptée dans de nombreux endroits en Chine. Un prêtre de la province de Hebei – qui a choisi de rester anonyme, et on comprend pourquoi – a ainsi expliqué à ucanews.com qu’en diverses localités de la région, les prêtres ont été invités à afficher l’interdiction aux mineurs sur l’ensemble des églises, lieux de prière et autres édifices religieux.

    La nouvelle réglementation met les églises sur le même pied que les clubs et les bars Internet ou l’entrée des mineurs est interdite.

    Depuis le 1er février, la surveillance des catholiques s’accroît en Chine

    Un catholique de Chine centrale, Peter, confirme avoir vu les écriteaux et se plaint de ce qu’ils instaurent des interdictions pour lesquelles il n’y a « aucune base légale » en Chine : la constitution ne stipule-t-elle pas que les citoyens ont droit à la liberté religieuse, tandis que les lois ont mis en place la protection des mineurs faces aux discriminations en raison de leurs croyances religieuses ? L’histoire montre pourtant que les garanties constitutionnelles affichées par les pouvoirs communistes à travers le monde n’ont guère de réalité concrète.

    Le même croyant, indigné de ce que la police détourne les yeux lorsque des mineurs entrent dans des bars internet mais semble vouloir appliquer très rigoureusement la surveillance des églises, invoque la Déclaration universelle des droits de l’homme et le droit qui y est reconnu aux parents d’élever leurs enfants conformément à leurs croyances religieuses. Encore une garantie très jolie sur le papier mais qui n’est guère prise au sérieux en dictature communiste…

    En fait, les catholiques de Chine aujourd’hui sont exposés à une sorte de loterie, attendant de savoir de quelle manière seront mises en œuvre les nouvelles règles en matière religieuse, beaucoup étant laissé à l’appréciation des fonctionnaires communistes de tout rang. Ainsi un prêtre désigné par son seul prénom, Thomas, a-t-il indiqué que tout dépendra des relations entre les églises et les gouvernements locaux. Pour sa part, il est en discussion avec l’administration étatique pour les affaires religieuses afin d’obtenir des garanties de liberté pour assurer la « survie » de l’Eglise, de telle sorte qu’elle puisse être, avec son « personnel », préservée des attaques, pour que « la foi de l’Eglise soit préservée ».

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  37. Les églises catholiques interdites aux mineurs : c’est bien la transmission de la foi qui est visée

    Ces réglementations touchent l’Eglise patriotique de plus en plus soumise au contrôle du parti communiste central. « Tous les sites religieux doivent être enregistrés ; il est interdit de se livrer à des activités religieuses en dehors de ces lieux enregistrés ; les clercs non enregistrés sont interdits de célébration d’office religieux ; les membres du parti et des mineurs ont également interdiction d’entrer dans une église. L’espace de vie de l’Eglise ne cesse de se rétrécir », a commenté le prêtre.

    Un prêtre de l’église clandestine du nord est-de la Chine, le P. John, dont la communauté refuse quant à elle de s’enregistrer auprès du gouvernement, a été interpellé par les autorités à propos des nouvelles règles applicables : on lui a clairement signifié que le pouvoir ne veut plus voir les catholiques demeurer dans la clandestinité. « Ils perdraient notre trace et ne sauraient plus où nous sommes. Si notre foi ne se met pas en travers, tout ira bien. Si le bureau des affaires religieuses et celui de la sécurité publique nous entendent, ils ne s’inquiéteront pas. Si réellement nous nous livrons à des activités clandestines, nous constituerons un vrai problème pour eux. » La pression monte.

    Le pouvoir communiste en Chine veut marginaliser la pratique religieuse


    Et c’est ce que dénonce un prêtre dont il n’est pas précisé s’il est « patriotique » ou clandestin : « D’aucuns peuvent dire que si les relations entre l’Eglise et les fonctionnaires chargés de faire respecter la loi sont bonnes, l’Eglise peut être traitée de manière indulgente. Mais en disant cela ils ne font rien d’autre que de nous tromper. Alors que le gouvernement central exige une application stricte, les fonctionnaires locaux vont faire respecter les règles de manière encore plus stricte. »

    http://reinformation.tv/eglises-catholiques-interdites-mineurs-chine-fevrier-dolhein-80685-2/

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  38. Tsunami des logiciels malveillants de l'industrie minière continue: 5000 sites Web britanniques de haut profil touchés par un plugin corrompu


    par Tyler Durden
    Lun, 02/12/2018 - 20:35
    Auteur de William Suberg via CoinTelegraph.com,


    De nouveaux logiciels malveillants d'exploitation de crypto-monnaies exploitant des logiciels pour personnes aveugles et malvoyantes ont infecté des "milliers" de sites Web, y compris le gouvernement britannique, rapporte le Guardian dimanche 11 février.

    Comme le signalent divers médias lundi, un script malveillant a été injecté dans BrowseAloud, un plugin qui aide les personnes ayant une vue réduite à accéder au contenu en ligne.

    Les visiteurs des sites impliqués voient leur puissance de traitement utilisée pour l'exploitation minière - connue familièrement sous le nom de «cryptojacking».

    Plus de 5000 sites Web sont maintenant infectés, y compris le National Health Service (NHS) du Royaume-Uni, la Student Loans Company et les sites des autorités locales.

    Commentant ces événements, le National Cyber ??Security Center (NCSC) du Royaume-Uni a déclaré qu'il n'y avait "rien à suggérer" que les consommateurs étaient en danger après la mise en place de mesures de contrôle des dommages.

    "Les experts techniques du NCSC examinent des données concernant des incidents de logiciels malveillants utilisés pour exploiter illégalement la crypto-monnaie", une déclaration lue le 11 février.

    "Le service affecté a été mis hors ligne, ce qui a largement atténué le problème. Les sites Web du gouvernement continuent d'opérer en toute sécurité. À ce stade, rien n'indique que les membres du public sont en danger. "

    Les nouvelles viennent au milieu de multiples avertissements de propagation de logiciels malveillants similaires à travers le monde, y compris les logiciels malveillants miniers Monero infectant les appareils Android ce mois-ci.

    En janvier, Cointelegraph a rapporté comment des tiers avaient réussi à utiliser YouTube pour exploiter la crypto-monnaie en piratant la plate-forme publicitaire DoubleClick de Google.

    Le NHS a été l'une des premières et des plus durement touchées par l'infâme attaque de malware WannaCry de 2017, qui a vu des pirates réclamer 300 $ en bitcoin pour débloquer des ordinateurs.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-02-12/mining-malware-tsunami-continues-5000-high-profile-uk-websites-hit-tainted-plugin

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    1. N'en croyons pas un mot quant à l'origine des 'pirates' du web ! Plus de 97 % des transmission dans le monde passent par câbles sous-marins et sous-océaniques et donc moins de 3 % par satellites réservée à l'aviation et bateaux. Donc: Tout passe par la NSA. TOUT.

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  39. La lecture de la pensée humaine, futur marché pour le lobby de l’intelligence artificielle


    Matthieu Lenoir
    12 février 2018 9 h 00 min·


    La course à l’intelligence artificielle accélère entre scientifiques, avec pour but affiché désormais de constituer des algorithmes permettant une lecture de la pensée humaine. Et leurs travaux d’intrusion cérébrale avancent de façon inquiétante, rejoignant les fictions des années 1950-1960 dans lesquelles des savants fous parvenaient par leurs appareillages à percer le secret des cerveaux. Le site du Forum économique mondial (WEF) nous rapporte que des experts de l’intelligence artificielle (AI) en Chine, aux Etats-Unis et au Japon, ont publié des résultats de recherches montrant que des ordinateurs peuvent répliquer les pensées des personnes cobayes via l’imagerie par résonnance magnétique (IRM), qui mesure l’activité cérébrale. Cet IRM est reliée à un réseau neuronal profond qui permet de répliquer les fonctions cérébrales humaines. De quoi ouvrir un futur marché pour le lobby de l’intelligence artificielle.


    Un algorithme de « reconstruction du champ visuel », premier pas vers la lecture de la pensée humaine

    Certes, nous assure Adam Jezard, sur le site du WEF, la réalité n’est pas celle claironnée par ces médias qui ont affirmé que l’AI peut déjà lire dans les pensées. « Elle est plus prosaïque », nous rassure-t-il. « Les ordinateurs ne sont pas encore capables d’anticiper nos pensées, nos sensations ou nos désirs », écrit-il. Mais ce « encore » fait froid dans le dos. Il ne s’agit donc pas de télépathie mais, si l’on s’en tient à une description plus juste, bien que moins racoleuse, d’un algorithme de « reconstruction du champ visuel ».

    La plupart des recherches dans ce secteur tentent en fait de déchiffrer les images de ce que les sujets sont en train de percevoir ou, plus rarement, ce qu’ils sont en train de penser. Des études s’étaient précédemment attelées à la rédaction de programmes produisant des images basées sur des formes ou des lettres, qu’ils avaient apprises à reconnaître, lorsqu’elles étaient perçues par le cerveau des sujets.

    Mais dans une récente publication du japonais ATR Computational Neuroscience Laboratory et de l’université de Kyoto, les scientifiques ont fait valoir que leur logiciel ne permettait pas seulement de connaître le moment où les gens regardaient ces formes ou ces lettres. « Notre méthode permet de généraliser la reconstruction de formes artificielles, certifiant que notre modèle “reconstruit” ou “régénère” les images de l’activité cérébrale et ne se contente pas de les mettre en correspondance avec des éléments préétablis. » En d’autres termes, il pourrait décoder et représenter une image qu’il n’a pas « appris » à percevoir.


    Les scientifiques de la Carnegie Mellon utilisent les signaux de la pensée humaine profonde

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  40. Parallèlement, des scientifiques de la Carnegie Mellon University aux Etats-Unis affirment avoir franchi un nouveau palier vers la « lecture des pensées » en utilisant des algorithmes qui décodent les signaux cérébraux correspondant à la pensée humaine profonde sur des thèmes tels que « le jeune auteur parle à son éditeur » ou « l’inondation a endommagé l’hôpital ». La technologie, affirment ces chercheurs, est capable de comprendre des événements complexes, exprimés en phrases, et des ensembles sémantiques tels que des gens, des lieux ou des actions, pour prédire le type de pensées qui surgissent dans l’esprit. Après avoir détecté les signaux émis face à 239 phrases, le programme a été capable de prédire la 240e phrase avec 87 % d’exactitude.

    Marcel Just, qui dirige cette étude, explique : « Notre méthode permet de dépasser le défaut de l’IRM consistant à mélanger les signaux émis par des événements cérébraux survenant presque simultanément, tels que la lecture de deux mots successifs dans une phrase. » Il ajoute que « Cette avancée permet pour la première fois de décoder les pensées incluant plusieurs concepts, c’est à dire la plupart de celles produites par le cerveau humain ».


    Des « machines à tuer fonctionnant à la vitesse de la pensée humaine » : le lobby de l’intelligence artificielle tente de minimiser les craintes

    Pour Adam Jezard, « la publication de telles avancées dans la recherche pourrait bénéficier à toute l’humanité ». Mais il se reprend en anticipant les doutes légitimes de ses lecteurs, mêmes acquis aux utopies technoscientifiques qui font les délices du WEF. « Certes, écrit-il, on peut comprendre les craintes de l’apparition de machines à tuer qui fonctionneraient à la vitesse de la pensée humaine », et « Les chercheurs et les gouvernements doivent prévoir les règles pour assurer que ces techniques soient utilisées pour aider les gens plutôt que pour leur nuire ». Mais, tente-t-il de nous rassurer, « De telles avancées pourront aider les personnes privées de parole ou de mouvement, accélérer les traductions, et cela sans avoir besoin d’électrodes plantées dans le crâne ».

    Et devinez qui est en train de s’emballer pour ce nouveau marché ? L’inévitable Elon Musk, qui flaire déjà les opportunités que de telles technologies pourraient, selon lui, apporter aux handicapés. Reste que malgré les avancées rapides dans ce domaine comme dans celui, assez proche, de la modification génétique et de l’inclusion de logiciels dans le corps humain, « Nous sommes encore loin, écrit le WEF, d’un accord global sur les règles morales et éthiques pour encadrer ce cher nouveau monde ». Nul doute que les lobbies de la « nouvelle économie » tenteront d’y remédier au plus vite.

    http://reinformation.tv/lecture-pensee-humaine-lobby-intelligence-artificielle-lenoir-80703-2/

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  41. MÉTÉO LA SUISSE CONNAÎT SON MATIN LE PLUS FROID

    Ce mardi a commencé de manière bien glaciale pour de nombreux Suisses. A certains endroits situés au nord des Alpes, il n'a jamais fait aussi froid cet hiver.

    13.02.2018, 07h31

    La Suisse subit les températures les plus froides de l'hiver ce mardi matin. Ainsi à La Brévine, dans le canton de Neuchâtel, le thermomètre affichait mardi -24,8 degrés à 05h00.

    Avec - 23,3 degrés, il ne faisait guère plus chaud à Samedan, dans le canton des Grisons, selon les relevés de SRF Meteo. A Andermatt (UR), la température était de -22,5. Enfin, à Courtelary, dans le Jura bernois, le mercure indiquait -16,2. (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/suisse/suisse-connait-matin-froid/story/26365714

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  42. Les couloirs opaques de la vie politique suisse

    Le Groupe d’Etats contre la corruption du Conseil de l’Europe maintient la pression sur Berne pour que le financement des partis politiques et des campagnes gagne en transparence


    Bernard Wuthrich
    mardi 13 février 2018 à 07:27.


    Le financement de la vie politique sera-t-il un jour moins opaque en Suisse? Malgré les pressions exercées par le Conseil de l’Europe, malgré une initiative populaire soutenue par les partis de gauche mais aussi par le Parti bourgeois-démocratique (PBD), le Parti pirate, le Parti évangélique (PEV) et Transparency International, on peut en douter. A droite, la volonté d’ouvrir les carnets de comptes fait clairement défaut.

    Lire aussi: On votera sur le financement des partis

    Cela fait sept ans que le Groupe d’Etats pour la lutte contre la corruption (Greco), une émanation du Conseil de l’Europe, a adressé ses premières recommandations à la Suisse. Dans un rapport publié en 2011, cet organe relevait l'«opacité» qui régnait sur les partis et le financement des campagnes. Or l’ascension de l’UDC s’est précisément accompagnée d’une hausse de l’augmentation générale des dépenses de campagne. L’UDC dispose d’ailleurs d’un bras financier très obscur, la Stiftung für bürgerliche Politik, fondation ancrée dans une chancellerie zougoise dont les seuls membres connus font tous partie de l’UDC. Le président est l’ancien chef de file du parti, Toni Brunner.

    Trois cantons… et Fribourg ?

    Le Greco attend de la Suisse qu’elle se dote d’une législation sur la transparence et le contrôle du financement politique. A l’heure actuelle, seuls trois cantons se sont exécutés: Genève, Neuchâtel et le Tessin. Fribourg vote le 4 mars sur une initiative cantonale lancée par les Jeunes socialistes. Elle demande aux partis et aux groupements de publier leurs comptes, les sources de financement et la raison sociale des personnes morales leur versant des contributions dépassant 5000 francs par an. Neuchâtel connaît une telle réglementation depuis le 1er janvier 2015. Or aucun don supérieur à 5000 francs n’a été déclaré à l’occasion des élections fédérales de l’automne suivant. La règle ne concernait que l’élection au Conseil des Etats, celle du Conseil national relevant du droit fédéral. C’est une des raisons pour lesquelles le Greco n’a jamais jugé les lois cantonales suffisantes.

    Dans son dernier cycle d’évaluation sur la Suisse, publié en août 2017, le Greco a constaté que, malgré plusieurs rappels, la Suisse n’avait «pas marqué de progrès tangibles» et que son «très faible niveau de conformité avec les recommandations» restait «globalement insuffisant». Le secrétaire exécutif de l’organisation, Gianluca Esposito, dispose de peu de moyens pour faire bouger les lignes. Il semble compter sur l’initiative populaire sur la transparence.

    Nous savons bien que la majorité du parlement ne veut pas de transparence

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  43. Ce projet d’article constitutionnel demande aux partis de communiquer leurs comptes et la provenance des dons supérieurs à 10000 francs. Cette dernière exigence vaut aussi pour les comités de campagne dont les dépenses excèdent 100000 francs. Le Conseil fédéral a décidé récemment de recommander le rejet de l’initiative sans contre-projet. «Nous savons bien que la majorité du parlement ne veut pas de transparence. Mais notre initiative est assez mesurée et nous sommes convaincus que l’histoire nous donnera raison. La population a le droit de savoir qui finance quel parti et quelle campagne», commente le conseiller aux Etats Didier Berberat (PS/NE), membre du comité d’initiative et pourfendeur de la clandestinité en politique.

    D’obscurs visiteurs journaliers

    Le Neuchâtelois se bat depuis des années pour éradiquer l’opacité qui entoure les lobbyistes. Aujourd’hui, les parlementaires peuvent accorder deux badges d’accès au Palais fédéral à des personnes de leur choix. Cela peut être des lobbyistes. Or certains d’entre eux, généralement des personnes qui travaillent pour des agences de communication ne désirant pas donner de détails sur leurs clients et leurs mandats, peuvent accéder au Palais du parlement en tant que visiteurs journaliers, sans devoir rendre compte à quiconque de la raison de leur présence dans le bâtiment.

    Lire aussi: La transparence reste insuffisante en Suisse

    Appuyé par le conseiller aux Etats Andrea Caroni (PLR/AR), Didier Berberat tente de faire adopter des règles plus strictes ainsi que la consignation des mandats de lobbyisme dans un registre public. Une première tentative de mise en œuvre a échoué. La Commission des institutions politiques (CIP) du Conseil des Etats vient de mettre une nouvelle mouture en consultation. Selon ce modèle, les élus fédéraux ne pourraient distribuer qu’un de leurs deux sésames à un lobbyiste, et celui-ci devrait fournir des informations sur ses clients et ses mandats. Les visiteurs journaliers ne pourraient plus déambuler librement à l’intérieur du Palais fédéral; ils devraient être accompagnés en permanence par l’élu qui leur a permis d’y pénétrer. La consultation dure jusqu’en mai. «Mais je ne vois pas un grand engouement pour réglementer», relativise Didier Berberat.

    Gianluca Esposito: «La Suisse doit se réformer»

    Emanation du Conseil de l’Europe, qui réunit 49 pays, le Groupe d’Etats contre la corruption (Greco) met la Suisse en demeure de se doter d’une réglementation sur le financement de la vie et des campagnes politiques. Elle a émis ses premières recommandations en 2011. Le secrétaire exécutif du Greco, l’Italien Gianluca Esposito, a accordé une interview au Temps.

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  44. Le Temps: La Suisse a-t-elle fait des progrès depuis que le Greco a publié ses premières recommandations en 2011 ?

    Gianluca Esposito: Oui. Elle a pris des mesures importantes dans le domaine de la lutte contre la corruption privée. De manière générale, la Suisse suit assez fidèlement nos recommandations. Elle participe activement à nos travaux. Malheureusement, nous n’avons encore aucune mise en œuvre de nos recommandations pour le financement des partis.

    Vos rapports font presque chaque année le même reproche. Prêchez-vous dans le désert ? Que risque la Suisse si elle n’obtempère pas ?

    Nous privilégions le dialogue et continuons de faire pression dans la mesure de nos moyens pour que la Suisse adopte une législation sur le financement de la vie politique et des campagnes politiques. Nous n’avons pas de système de sanctions. Je ne crois d’ailleurs pas que ce soit efficace. La mesure ultime est une déclaration publique de non-conformité. Mais nous n’en sommes pas encore là. Nous demandons quelque chose de simple, qui s’appuie sur des standards adoptés par tous les pays membres du Conseil de l’Europe en 2003. La Suisse en fait partie.

    Nous reconnaissons que les partis politiques ont en Suisse des réalités cantonales et locales qui n’existent peut-être pas ailleurs. Mais la transparence est encore plus nécessaire là où il y a un financement privé important
    Dans votre dernier rapport, vous avez demandé une rencontre «de haut niveau» et invité la Suisse à prendre position une nouvelle fois d’ici au 31 mars 2018. Cette rencontre a-t-elle eu lieu ?

    Pas encore. C’est une étape possible. Si elle est utile, elle aura lieu. Nous verrons la suite des débats notamment à la lumière de l’initiative populaire sur la transparence.

    Justement, le Conseil fédéral propose de rejeter cette initiative sans contre-projet. Etes-vous surpris ? Déçu ?

    Je ne commente pas la position du Conseil fédéral. Notre position est claire: nous attendons cette réforme. Peu importe le moyen d’y parvenir, que ce soit une initiative populaire ou autre chose. C’est l’objectif qui compte.

    D’autres pays posent-ils le même problème que la Suisse ?

    Chaque pays a ses spécificités et je conçois que cela prenne plus de temps dans certains que dans d’autres. Le Danemark a aussi eu du mal à mettre nos recommandations en œuvre. Il a adopté une nouvelle législation en été 2017. Nous ne l’avons pas encore analysée en détail.

    Pour justifier ses réticences, la Suisse évoque les difficultés occasionnées par le fédéralisme, la multiplicité des scrutins ou la protection de la sphère privée. Sont-ce vraiment des obstacles ?

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  45. Non. Nous reconnaissons que les partis politiques ont en Suisse des réalités cantonales et locales qui n’existent peut-être pas ailleurs. Mais la transparence est encore plus nécessaire là où il y a un financement privé important. Il doit être possible de trouver un équilibre entre la protection de la sphère privée et l’intérêt légitime de la population de connaître les sources de financement des partis et des campagnes politiques. Il nous paraît crucial qu’un système puisse être mis en place sur le plan national. Trois cantons, Genève, Neuchâtel et le Tessin, ont adopté un système de transparence. C’est la preuve que c’est possible. Et il me paraît acceptable que les petits montants soient exclus de l’obligation de déclarer.

    Une commission parlementaire propose une réglementation visant à mettre un peu de lumière sur le jeu parfois trouble des lobbyistes. Est-ce un pas vers davantage de transparence ?

    Oui, absolument. J’aimerais souligner que le lobbyisme est une activité légitime et qu’il ne peut être assimilé à de la corruption. Ce qui compte, c’est la manière dont les Etats rendent transparente l’interaction entre les lobbyistes et les parlementaires. Le projet de cette commission va dans le sens d’une augmentation de la transparence et d’une diminution du risque de corruption. Les mesures de prévention sont aussi importantes que la répression. Ce ne sont pas des garde-fous mous.

    https://www.letemps.ch/suisse/couloirs-opaques-vie-politique-suisse

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  46. TOUT SAVOIR SUR L'INITIATIVE «NO BILLAG»


    Pour vous aider à faire votre choix le 4 mars, Le Matin du Soir a rassemblé quelques données pour mieux comprendre l’enjeu: chiffres, acteurs, arguments. Le tout en un clin d’œil.
    (...)

    LE TEXTE

    Lancé par un comité mixte de jeunes PLR et UDC, l’initiative «No Billag» veut supprimer le paiement de la redevance radio-TV dès 2019 (365?francs par ménage). Elle propose d’inscrire dans la Constitution l’interdiction faite à la Confédération de subventionner un service audiovisuel public (sauf en cas de guerre).

    Si elle est acceptée, l’initiative doit être appliquée dès l’an prochain et la Confédération devrait rapidement mettre aux enchères des concessions pour la radio et la télévision.

    La redevance a rapporté 1,37 milliard de francs l’année dernière, dont 1,24 milliard a été attribué à la SSR, ce qui couvre trois quarts de ses dépenses. La redevance fait également vivre 21 radios et 13 chaînes de télévision régionales, lesquelles ont touché 61 millions de francs.

    LES ACTEURS

    POUR

    Le conseiller national Jean-François Rime (UDC/FR), président de l’Union suisse des arts et métiers (USAM), soutient «No Billag» pour des raisons économiques et politiques. Il estime que la redevance pour les entreprises n’est pas justifiée. De surcroît, son parti est très critique vis-à-vis du traitement de la politique par la SSR.

    CONTRE

    La conseillère fédérale Doris Leuthard ne ménage pas ses efforts pour combattre cette initiative. Pour elle, celle-ci menace la diversité médiatique et la cohésion nationale. La démocratie directe nécessite une information qui ne soit pas seulement commerciale. La Suisse serait aussi le premier pays européen à abolir le service public pour la radio-TV.

    LES ARGUMENTS

    POUR

    Pour les initiants, le premier argument est le caractère obsolète de la redevance à l’ère d’Internet: plus personne ne devrait être obligé de payer pour un service qu’il ne consomme pas. Ainsi, chaque ménage pourrait disposer librement des 365?francs prévus à partir de 2019.

    L’USAM, s’est jointe aux partisans pour des raisons économiques. «L’impôt Billag sur les médias frappe doublement les entreprises de manière arbitraire et injustifiée.» Son directeur, le conseiller national Hans-Ulrich Bigler (PLR/ZH), estime, lui, que le soutien étatique à la SSR crée une concurrence malsaine nuisible aux médias privés.

    En Suisse alémanique, le rédacteur en chef de la Neue Zürcher Zeitung, Eric Gujer, résume cette position dans une formule lapidaire: «La Suisse n’a pas besoin de médias d’État.»

    L’UDC est le seul grand parti qui soutient «No Billag», surtout pour des raisons politiques. Pour sa vice-présidente, Céline Amaudruz (UDC/GE): «À l’heure actuelle, nous sommes non seulement dans l’obligation de payer pour un produit dont nous n’avons pas besoin, mais concourrons par la redevance à la diffusion d’une idéologie que nous combattons, celle du Parti socialiste.»

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  47. CONTRE

    Sur le plan politique, la grande majorité du PLR, le PDC, le PS, Les Verts et les Vert’libéraux sont contre. Ils craignent que la disparition du service public audiovisuel soit préjudiciable à la cohésion nationale et au débat démocratique dans les quatre langues nationales.

    Les milieux culturels et sportifs se sont également fortement engagés pour défendre la SSR et le rôle qu’elle joue pour la culture et les sports, en particulier populaires. Pour les multiples comités contre «No Billag», la privatisation va réduire cette couverture et se concentrer sur Zurich. «Il y a un enjeu politique important d’équilibre d’images entre les régions du pays», selon le président du comité romand contre l’initiative, Laurent Wehrli (PLR/VD).

    https://www.lematindusoir.ch/frontend/#/detail/56011?_k=427456

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  48. Le Parlement européen a approuve la hausse du prix du gaz carbonique


    12 février 2018 6 h 30 min·


    Après un accord conclu en novembre dernier par les groupes politiques et les pays membres de l’UE pour mettre à jour les règles du système d’échange de quotas d’émissions visant à augmenter le prix de la tonne de carbone, le Parlement européen a voté la semaine dernière en faveur de l’accord, à 535 pour, 104 contre et 39 abstentions.

    Depuis la conclusion de l’accord, les prix européens ont déjà augmenté de 15 % ; au moment du vote, ils avaient atteint quelque 8,90 euros la tonne – pas assez du point de vue des « réchauffistes » qui estiment ce prix insuffisant, et le système d’émissions trop riche en exceptions pour pouvoir atteindre l’objectif européen d’une réduction d’au moins 40 % d’ici à 2030, conformément aux engagements pris à la COP 21 de Paris.

    Le but est maintenant de faire augmenter davantage les prix en doublant l’allure de rachat de droits d’émission par la réserve de stabilité du marché à travers le système de plafonnement des échanges mis en place par l’UE.

    http://reinformation.tv/parlement-europeen-hausse-prix-co2-vite-80747-2/

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    1. Le prix de l'air !!!!!

      Alors que TOUS LES GAZ SE RECYCLENT ! TOUS ! Les dictateurs (donc: anti Démocratie) veulent vous faire payer le droit de respirer !!!

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