Qu'est-ce que 'l'ordinateur', la 'machine-outils', le 'robot' ? sinon des trucs, des machins-choses qui: Vont plus vite que l'humain, sont plus précis que l'humain et n'éprouvent pas de fatigue. C'est-tout !
Eh oui ! C'EST TOUT !
Mais, la presse, accoutumée à faire peur sous la très haute prétention de préserver la suggestibilité des possibilités éventuelles que, quelque chose ou quelqu'un, pourrait être amené sous conditions à exécuter certains actes proscrits par la loi, présente ces 'personnalités' (entendez par là que ces humanoïdes au corps et visage 'si humains') qui seraient (bientôt !) en mesure de vous égaler voire de vous dépasser !
Vous tremblez, ne craignez rien, çà va passer !
Car, ces matières plastiques-ferraillonisantes en voies d'être rouillées voire dérouillées par l'EMP, sont exactement à mille milliards de lieues de ce que peut faire un être humain !
Ces 'robots-tueurs' (Houlala ! Rien que le nom çà donne les chocottes !) ne sentent pas, ne pressentent pas, sont incapables de dissocier le bien et le mal, d'avoir de l'amour, de la pitié ou de venir en aide à quiconque gratuitement, de rêver, d'avoir des idées propres à eux et d'avoir des objectifs de faire respecter la paix et les nouveaux Droits de l'Homme (incluant désormais la Démocratie !) !
Ce ne sont QUE des lavettes, des tas de ferrailles prétentieux à qui sont conférés les attributs suprèmes de 'Intelligence Artificielle' ! Parce que dans 'artificielle' IL N'Y A PAS DÉCRIT 'DE RÉALITÉ' ! C'est seulement une image 3D tirée du film 'Programmé pour tuer' (Russel Crowe 1995), comme tirée d'artifice feux du 4 ou 14 Juillet !
Mais ? qu'est devenue le bonne vieille couverture chauffante de nos parents remplacée par la couette plus légère a 3 sous ?!
Ajoutons un peu de couleurs avec "Des millions de pertes d'emplois dans les jours (les heures ? les minutes ? les secondes ?) qui viennent ! TANT MIEUX ! Ces cons travailleront pour nous ! (Bien parlé !). Après tout, n'est-ce pas NOUS qui avons créé ces esclaves à perpétuité ? Alors: tirons-en profit ! Laissons-les semer, arroser, récolter, stocker et distribuer (comme nous leur avons appris), mais, veillons bien à ce que l'argent gagné ne soit pas détourné par les escrocs de l'anti-Démocratie qui sont au pouvoir !
Un monde sans antibiotiques pour bientôt ?
RépondreSupprimerle 2 décembre 2017
L’humanité toute entière est au bord d’un gouffre sanitaire incontrôlable en raison des résistances à tous les antibiotiques connus d’un nombre de plus en plus important de bactéries pathogènes. En Europe seulement plus de 25000 décès annuels sont provoqués par des infections intraitables, en particulier dans les hôpitaux, qui il y a quinze ans à peine étaient banalement éradiquées à l’aide de produits encore efficaces. Avant la deuxième guerre mondiale la tuberculose était la deuxième cause de décès et la pneumonie la quatrième. Durant les années 1950-1960 grâce à l’apparition de la pénicilline puis de la streptomycine et des sulfamides ces deux maladies souvent mortelles furent pratiquement éradiquées des pays de l’OCDE. La seule introduction de la pénicilline a permis de sauver des dizaines de millions de vies et d’allonger l’espérance de vie de plus de 10 ans.
Hélas des résistances ont vu le jour très rapidement car les bactéries se multiplient très rapidement aussi et elles mettent au point des stratégies de survie en dépit de la sophistication des molécules chimiques. De plus, entre la découverte d’une nouvelle molécule prometteuse au laboratoire et sa mise sur le marché il peut se passer plus de dix ans de recherche intensive et les laboratoires pharmaceutiques hésitent à investir des sommes importantes pour des résultats hautement aléatoires. La « mode » des antibiotiques pour soigner tout et n’importe quoi – y compris les maladies d’origine virale – a aggravé la situation et le corps médical fait partie des acteurs, il faut malheureusement le dire, favorisant l’apparition de résistances aux antibiotiques.
Enfin un autre facteur souvent ignoré du grand public est l’usage intensif d’antibiotiques pour les animaux d’élevage car ils favorisent la croissance de ces derniers. Les élevages constituent dès lors un terrain unique pour les apparitions de résistances quand on sait que 80 % des antibiotiques utilisés en médecine humaine sont aussi utilisés en usage vétérinaire. En Belgique par exemple il se vend 70 tonnes d’antibiotiques (seulement les matières actives) chaque année exclusivement pour l’élevage et en Suisse « seulement » 40 tonnes par an alors que ce pays n’est pas particulièrement inondé de fermes d’élevage intensif que ce soient des porcs, des poulets ou des bovins. J’ai recherché en vain des statistiques pour les USA et la France, elles sont introuvables et il semble que ce soit l’omerta totale pour ne pas effrayer les consommateurs de hamburgers, de cuisses de poulet, de jambon … et de saumon.
Il existe des alternatives aux antibiotiques, en particulier au niveau vétérinaire, comme les vaccins. Mais les campagnes d’opposition aux vaccins à usage humain ont rendu les éleveurs méfiants et la mise au point de vaccins est également longue et coûteuse. Le problème reste donc entier et il n’existe pas de solution miracle en vue.
RépondreSupprimerSur le plan strictement biologique la résistance aux antibiotiques provient soit d’une adaptation de la bactérie ciblée à cette substance étrangère, soit à l’acquisition d’un gène de résistance existant au préalable chez une bactérie d’une autre espèce. Il s’agit alors de transmission horizontale de cette résistance. Dans la première éventualité, si la cible est connue il est alors possible de modifier la molécule originelle pour que la bactérie ne puisse plus s’en accommoder mais toute modification d’une molécule déjà homologuée nécessite une nouvelle homologation, ce qui prend beucoup de temps (et d’argent). Quant aux transmissions horizontales, entre l’élevage, formidable usine à fabriquer des résistances et les rivières – et donc les sols – inondés d’antibiotiques présents dans les eaux usées que les stations d’épuration ne sont pas capables d’éliminer, la transmission horizontale des résistances a encore de beaux jours devant elle.
Cette peinture terrifiante d’un futur, très proche quoiqu’en pensent les décideurs, où les taux de mortalité en particulier infantile explosereront sans que l’on puisse exercer le moindre contrôle, nous ramènera dans les années 1930 quand on mourrait de tuberculose, les sanatoriums étaient de gigantesques mouroirs, et quand la moindre pneumonie emportait un enfant sur trois eh Europe, au Japon ou en Amérique du Nord.
Il reste un dernier point au sujet non plus de la résistance aux antibiotiques au sens strict du terme mais de la prescription abusive des antibiotiques trop considérés par le corps médical comme des médicaments de confort : l’affaiblissement des défenses immunitaires de l’organisme puisque ces médicaments ne lui permettent pas de construire la moindre réaction immunitaire le plus souvent durable et qui protégerait alors un individu contre une nouvelle agression bactérienne. Il s’agit là de l’autre aspect négatif de la prescription à outrance des antibiotiques. Bienvenue dans un monde sans antibiotiques où la sélection naturelle rejouera son rôle entier ? Peut-être, mais des centaines de millions sinon des milliards de personnes y perdront leur vie …
Inspiré d’un article paru sur RTSinfo. Illustration CDC
https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/12/02/un-monde-sans-antibiotiques-pour-bientot/
Le « hoax » du réchauffement climatique a commencé avec les nazis
RépondreSupprimerAnne Dolhein
1 décembre 2017
Difficile de faire plus politiquement incorrect que James Delingpole qui signe, cette semaine, un article chez Breitbart News pour dénoncer l’origine nazie de la lutte contre le réchauffement climatique supposé d’origine « anthropique ». C’est à travers une chronique du livre récemment paru de Rupert Darwall, Green Tyranny (« Tyrannie verte ») qu’il ose cette accusation illustrée d’un défilé de soldats de la Wehrmacht brandissant des drapeaux à croix gammée. L’affaire est tellement énorme, avance le journaliste climatosceptique de Breitbart, qu’il ne faut pas s’étonner de voir les grands médias observer sur ce chapitre un silence radio.
Oui, concède Delinpole, c’est typiquement un titre « attrape-clics », l’info qu’on classe d’emblée parmi les hoax et que les journalistes, même ceux qui ont fait des recensions favorables de Green Tyranny, ont soigneusement tenue à l’écart alors même qu’il s’agit du « chapitre clef » du livre. « Celui qui porte le titre impertinent : “Les premiers Verts européens.” » Les nazis, pour être clair.
Cela ressemble à un hoax – mais le livre apporte de multiples éléments de preuve, recherchés avec tout le sérieux des méthodes universitaires, selon James Delingpole. Rupert Darwall « démontre que l’idéologie motrice de la grande peur actuelle du climat est celle dont l’origine remonte à l’Allemagne hitlérienne », assure le journaliste.
Le réchauffement climatique, une idéologie qui remonte aux nazis
Une idéologie qui est omniprésente aujourd’hui, souligne Delingpole, que ce soit dans l’Energiewende d’Angela Merkel – le « tournant » ou la « transition » énergétique –, la propagande incessamment servie aux enfants par l’école, le « complexe climato-industriel », les coupures de courant en Australie méridionale, l’annonce de l’explosion du prix de l’électricité par Obama ou l’invasion de nos plus beaux horizons par les abominables « éco-crucifix » que sont les éoliennes.
Où est le lien ? Les nazis, à l’inverse de leurs jumeaux en totalitarisme, les communistes, détestaient le progrès industriel et vouaient un véritable culte à la nature. Delinpole cite Mein Kampf : « Lorsque l’homme tente de se rebeller contre la logique de fer de la nature, il en arrive à la lutte contre les principes auxquels il doit sa propre existence en tant qu’homme. » « Le Führer, en d’autres termes, était un aussi grand adorateur de Gaïa que Naomi Klein, Emma Thompson ou Léonardo diCaprio », commente Delingpole.
La liste des végétariens parmi l’intelligentsia nazie est longue ; des figures comme Rudolf Hess et le ministre de l’agriculture Walter Darre étaient des champions de l’agriculture biologique. Le parti nazi honnissait le tabac ; il faisait aussi dans l’énergie « renouvelable » avec le vent, la force marémotrice et l’hydroélectricité au premier rang. C’est dans le vent et les marées que Hitler voyait les sources des énergies de l’avenir ; comme il le déclara lors d’un dîner en 1941 : « Il va nous falloir utiliser toutes les méthodes possibles pour encourager tout ce qui pourrait nous assurer ne serait-ce qu’un seul kilowatt… le charbon disparaîtra un jour. »
Le hoax du réchauffement climatique : des nazis aux « Verts » en passant par l’URSS…
RépondreSupprimerCe qui fait dire à Darwall : « L’hostilité profonde des nazis à l’égard du capitalisme et l’identification avec la politique de la nature les ont conduit à prôner des politiques “vertes” un demi-siècle avant n’importe quel autre parti politique. Faisons le compte, aproximativement : soustrayez la haine raciale nazie, le militarisme et le désir de conquérir le monde, et l’idéologie nazie finit par n’être pas très dissemblable du mouvement environnemental actuel. »
L’objet de sa démonstration est de montrer qu’après la défaite de l’Allemagne nazie, cette idée-là a continué de dominer la pensée politique européenne, et ce spécialement dans les deux pays qui ont le plus répandu la grande peur climatique, la Suède et l’Allemagne. En Allemagne, on sait que les Verts étaient inextricablement liés aux pacifistes, le mouvement Peace largement financé par l’Union soviétique. Côté suédois, on note que le premier président du GIEC, Bert Bolin, est originaire de ce pays.
Bien sûr, le livre de Darwall fait une analyse plus fine et beaucoup plus étendue de cette histoire assez complexe, observe Delingpole. Les anglophones seront certainement passionnés.
Mais le journaliste attire d’ores et déjà l’attention sur l’essentiel : outre ces rappels sur le nazisme et les origines de l’environnementalisme, Green Tyranny explique que le succès de la théorie du réchauffement anthropique, si contrariée par d’innombrables faits, n’a rien à voir avec la science, pas plus que l’affolement autour de la « pluie acide » ou de « l’hiver nucléaire » : « C’est une fake news taillée sur mesure pour promouvoir un plan politique et économique… fondée sur la même peur superstitieuse que celle des nazis : que le progrès industriel et moralement mauvais parce qu’il est contre nature. »
James Delingpole commente “Green Tyranny” où Rupert Darwall démonte le hoax du réchauffement climatique
Sinon, pourquoi promouvoir les énergies renouvelables qui font du mal à l’environnement pour un prix plus élevé que les énergies fossiles sans modifier de façon significative le « changement climatique » ? « C’est une histoire d’émotion, pas de logique ; c’est le récit qui compte, et non la réalité. » Ou comme le dit encore Delingpole, « c’est la queue qui remue le chien », avec les scientifiques dans le rôle des idiots utiles.
Idiots utiles au service d’un plan : « Pour partie, c’est une religion : une sorte de culte païen de la nature exprimée à travers l’opposition à la civilisation industrielle occidentale et l’adoption de technologies rétrogrades comme la puissance du vent. Et pour une autre partie, c’est de la politique et de l’économie de gauche : une manière pour l’Europe de détruire et de dépasser l’hégémonie économique des Etats-Unis en neutralisant l’un de ces avantages compétitifs les plus considérables – l’abondance de carburants fossiles qui en ont fait aujourd’hui la superpuissance énergétique numéro un dans le monde. »
De l’avis de Delingpole, « Donald Trump n’a probablement pas idée des profonds courants intellectuels et idéologiques qui ont suscité la grande peur globale du réchauffement. Mais c’est un homme d’affaires et il a compris ce qui se passe avec son instinct et ses tripes. Le réchauffement global est une arnaque – la plus grande que le monde ait jamais vue. Trump, quant à lui, ne s’est pas laissé avoir. »
http://reinformation.tv/hoax-rechauffement-climatique-nazis-dolhein-77792-2/