- ENTREE de SECOURS -



mardi 5 décembre 2017

Le photovoltaïque brisera le dos du canard

Si nos élus continuent à se voiler la face, les productions électriques issues du vent et du soleil, déjà inutiles et nuisibles, ruineront les Français.

Par Michel Gay
5 DÉCEMBRE 2017


Pour céder la place à la production d’électricité photovoltaïque fatale en milieu de journée, les moyens conventionnels pilotables (charbon, gaz ou nucléaire) sont contraints par la loi à diminuer leurs productions. Mais attention !… Une trop forte diminution pourrait « casser le dos du canard » (la forme de la courbe de production thermique) et aboutir à une panne généralisée d’électricité appelée « black-out« .

Cette production fatale d’électricité photovoltaïque (PV) uniquement centrée sur quelques heures est un handicap pour la France. Elle atteint son maximum au midi solaire (un jour sans nuage), puis décroit rapidement dans l’après-midi alors que la consommation d’électricité, au contraire, remonte en fin de journée pour atteindre son maximum vers 19h00.

Le soir, les moyens conventionnels redeviennent donc indispensables pour compenser rapidement cette diminution d’électricité solaire afin de répondre aux besoins des Français.

Si la production photovoltaïque seule (sans aucun autre apport de production fatale d’électricité) atteignait 20 % de la production annuelle d’électricité en France alors, cette puissance électrique solaire fournie pendant quelques heures en milieu de journée en été (courbe jaune en cloche ci-dessous) serait ponctuellement supérieure à la demande (courbe noire). Cette situation serait paradoxalement dramatique pour l’équilibre général du réseau.

(Voir hypothèses et calculs en fin d’article)

(Source des graphiques euanmearns.com du 15 novembre 2017)


De plus, les productions des éoliennes viendraient aussi s’ajouter au PV (lorsqu’il y a du vent), ainsi que l’hydroélectricité fatale (au fil de l’eau) ce qui accentuerait encore les déséquilibres.

En effet, cet afflux d’électricité issu du soleil, du vent et de l’eau aura alors pour effet de diminuer dangereusement la production des moyens conventionnels (courbes marron ci-dessous en forme de canard au long cou relevé) de 8h00 à 17h00.


Plus le PV est important, plus la production thermique diminue de 9h00 à 17h00, et plus « le dos du canard » se creuse dangereusement jusqu’à le briser (courbes en jaune et rouge ci-dessous).


De plus, cet excès d’électricité nécessitera l’écrêtage des productions renouvelables qui ne pourront pas être consommées ni exportées car les pays voisins seront soumis aux mêmes aléas au même moment. Elles seront donc perdues, « gâchées ».

Cette situation chaotique sera « fatale » à la production d’électricité de la France (coupures d’électricité) pour au moins deux raisons :

1) L’inertie des moyens conventionnels régule habituellement l’équilibre du réseau en fréquence et en tension. Si ces moyens sont réduits ou arrêtés en journée, cette insuffisance d’inertie stabilisatrice conduira à un « effondrement » du réseau électrique (une panne généralisée).

2) A partir de 17h00 et jusqu’à 21h00, la « rampe de puissance » à remonter est très (trop ?) importante. Les moyens conventionnels thermiques pilotables à redémarrer pour répondre au besoin national en moins de quatre heures sont considérables (environ 50.000 mégawatts). Mais pour réaliser cette prouesse, les chaudières des centrales thermiques ne doivent pas être « trop » réduites.

L’éolien soumis aux caprices du vent n’étant pas fiable, les centrales thermiques les plus réactives à gaz et au pétrole (turbine à combustion) seront alors (trop ?) fortement sollicitées pour prendre le relais.

En augmentant la consommation de gaz et de pétrole et en diminuant notre autonomie énergétique, le développement simultané du PV et des éoliennes est un monumental retour en arrière. Une trop forte proportion d’électricité issue des énergies renouvelables fatales conduira à des coupures dramatiques d’électricité… comme en Australie du sud où les citoyens en subissent déjà les conséquences néfastes.

Si nos élus continuent à se voiler la face, les productions électriques issues du vent et du soleil, déjà inutiles et nuisibles, ruineront les Français car au-delà d’un seuil de 10% à 20% de la production annuelle d’électricité, elles briseront le « dos du canard ».

HYPOTHÈSES ET CALCULS


Production nationale annuelle en France en 2016 = 532 TWh (source RTE)

Si la production photovoltaïque annuelle atteint 20 % de la production nationale, elle représentera 106 TWh

(532 TWh x 0,2 = 106,4 TWh)

Avec un facteur de charge moyen annuel du PV égal à 13 %, il faut donc 93GW de PV installés.

(8760 heures x 0,13 x 93 GW = 105,9 TWh).

La puissance fournie en France par le PV atteint régulièrement 75 % de la puissance installée aux environs du midi solaire de mai à août (et jusqu’à plus de 80 %) soit environ 70 GW.

(93 GW x 75% = 69,75 GW)

Or, en milieu de journée et le soir, la puissance appelée en France l’été varie généralement entre  50 GW et 55 GW en journée (elle peut descendre jusqu’à 30 GW dans le creux de la nuit vers 4 heures du matin).

21 commentaires:

  1. Les températures en Sibérie sont tombées à -56°C alors que l'hiver ne fait que commencer

    Brian Donegan
    The Weather Channel
    jeu., 30 nov. 2017 23:38 UTC


    -77 °C a été signalé à Oïmiakon, en Sibérie orientale, en Russie, la nuit dernière. Plutôt froid ! Mais ce n'est pas officiel ; le chiffre officiel est de -54 °C ce qui reste tout de même très froid.

    Alors que des températures douces englobent une grande zone contiguë des États-Unis cette semaine, certaines parties de la Sibérie connaissent des températures inférieures à moins 51 degrés Celsius et nous ne sommes qu'en novembre.

    On a enregistré un minimum de -56 degrés Celsius mardi matin à Delyankir en Russie. C'est plus froid que les records de froid jamais enregistrés pour chacun des États américains, sauf l'Utah (-56°C aussi), le Montana (-56,5°C) et l'Alaska (-62°C).

    Et comme si ce n'était pas assez incroyable, la température la plus élevée de la journée de mardi à Delyankir n' a pas dépassé les -51 degrés Celsius.



    La ville d'Oïmiakon, elle, a chuté à -54 degrés Celsius. Cette région est généralement considérée comme l'endroit habité le plus froid de la Terre. Le mercure a plongé vers les -45 degrés Celsius ou moins, huit jours d'affilée.

    Des températures aussi extrêmes sont normales dans cette région en plein cœur de l'hiver, mais il fait beaucoup plus froid que le creux moyen de novembre, qui se situe à moins 40 degrés.

    Le 6 février 1933, un observateur météorologique à Oïmiakon, a mesuré une température de -67 degrés Celsius, soit 5 degrés de moins que la température record la plus froide jamais enregistrée aux États-Unis, -62 degrés Celsius, à Prospect Creek, en Alaska, le 23 janvier 1971.

    Traduction : Sott

    https://fr.sott.net/article/31497-Les-temperatures-en-Siberie-sont-tombees-a-56C-alors-que-l-hiver-ne-fait-que-commencer

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. En Sibérie comme ailleurs l'hiver commence le 21 Décembre (Eté en Australie).

      https://www.ventusky.com

      Supprimer
  2. L'Allemagne met en garde contre les femmes et les enfants ISIS "hautement radicalisées"

    par Tyler Durden
    5 décembre 2017 05:00
    Auteur de Jacob Bojesson via The Daily Caller,

    Le chef de l'agence de renseignement allemande a mis en garde dimanche contre le risque que représentent les femmes et les enfants des combattants de l'Etat islamique à leur retour en Europe.

    Environ un tiers des quelque 1 000 Allemands qui se sont battus pour l'EI sont retournés au pays.

    Hans-Georg Maassen, le chef du Bureau allemand pour la protection de la Constitution (BfV), a averti que beaucoup de femmes et d'enfants "s'étaient radicalisés et s'identifient si profondément à l'idéologie de l'EI qu'ils doivent aussi être identifiés. en tant que djihadistes. "

    "Il y a des enfants qui ont subi un lavage de cerveau et qui se sont radicalisés dans des" écoles "dans des zones contrôlées par l'EI", a déclaré Maassen dans un entretien accordé à Deutsche Presse Agentur.

    "C'est un problème pour nous parce que beaucoup de ces enfants et adolescents peuvent parfois être dangereux."


    Le nombre d'affaires liées au terrorisme examinées par les autorités allemandes a quadruplé au cours de l'année écoulée, selon le journal Welt am Sonntag.

    Les procureurs ont ouvert plus de 900 affaires à ce jour en 2017, contre 240 en 2016. Quatre-vingt affaires liées au terrorisme ont été portées devant les tribunaux en 2013.

    La police fédérale allemande (BKA) estime que 705 extrémistes islamistes sont prêts à mener des attaques terroristes, contre 600 lors d'une estimation en février.

    L'agence de renseignement domestique allemande (BfV) a récemment déclaré qu'environ 24 400 islamistes sont actifs dans le pays, mais la plupart d'entre eux ne constituent pas une menace terroriste immédiate.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-12-04/germany-warns-highly-radicalized-isis-wives-children

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. S'ils ou elles n'étaient qu'écervelés, cela ne se verrait pas en Allemagne, malheureusement ils ou elles sont en plus excisés !!! et c'est là toute la différence puisque dans ces religions hégémoniques il est strictement interdit de jouir (en solitaire ou à deux). D'où le danger de ne garder que le côté monstre.

      Supprimer
  3. La Cour suprême américaine trouve acceptable l’interdiction d’entrée des musulmans de Trump

    Audrey Duperron
    5 décembre 2017

    La cour suprême de justice américaine a autorisé le gouvernement Trump à faire respecter l’interdiction d’entrée pour les résidents de 6 pays à prédominance musulmane. 7 de ces juges ont voté pour, 2 ont voté contre.

    Précédemment, les tribunaux inférieurs de certains avaient déclaré que certaines parties de cette interdiction d’entrée des musulmans sur le territoire américain posaient problème. La décision de la cour suprême n’est pas définitive, car des procédures sont en cours dans des tribunaux fédéraux. Toutefois, la décision de la cour suprême indique qu’elle juge acceptable la dernière version de l’interdiction d’entrée aux États-Unis, cette dernière a été annoncée le 24 septembre et elle remplace 2 interdictions d’entrées précédentes qui ont été bloquées ou restreintes par des juges fédéraux.

    Des préjugés contre les musulmans
    Les adversaires de cette loi et des interdictions précédentes pensent qu’elles témoignent de préjugés contre les musulmans en général. Ce sentiment de l’existence de préjugés a été renforcé une fois de plus la semaine dernière lorsque le président Donald Trump a recruté un certain nombre de vidéos.

    Il est prévu que l’interdiction entrée sur le territoire américain provoque moins de chaos dans les aéroports qu’en janvier de cette année, lorsque le gouvernement avait voulu appliquer la première version de cette interdiction.

    Ce sont surtout les voyageurs ressortissants du Tchad, de l’Iran, de la Libye, de la Somalie, de la Syrie et du Yémen qui sont visés.

    https://fr.express.live/2017/12/05/cour-supreme-interdiction-entree-musulmans-territoire-americain/

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. (...) Les adversaires de cette loi et des interdictions précédentes pensent qu’elles témoignent de préjugés contre les musulmans en général. (...)
      Les préjugés retenus étant des amusements bénins chez les islamistes de types: 'femmes défigurées à l'acide', 'bras coupés', 'femmes arrosées d'essence et brûlées vives en public' !!

      Supprimer
  4. Revenu de base testé dans huit départements, un relifting du RSA ?

    13:24 05.12.2017
    Gaëlle Nicolle

    Benoît Hamon voulait instaurer le revenu universel, c’est finalement le «revenu de base» qui pourrait être lancé en premier. Huit départements souhaitent, d’ici 2019, l’instaurer sur leur territoire, à titre expérimental... laissant nombre de questions en suspens. Projet vraiment novateur ou simple coup marketing ?

    «On est actuellement dans une très grande confusion sur ce que signifierait expérimenter le revenu de base», estime l'économiste Henri Sterdinyak.

    Loin de ce scepticisme, huit départements ont décidé de tester ce fameux «revenu de base», semblant remettre au goût du jour l'une des propositions phare de Benoît Hamon pendant la présidentielle, le «revenu universel d'existence». Dans une tribune publiée dimanche 26 novembre dans le JDD, les Présidents des départements de Gironde, de l'Aude, de l'Ariège, du Gers, de Meurthe-et-Moselle, de Haute-Garonne, d'Ille-et-Vilaine et de Seine-Saint-Denis annoncent se lancer dans cette aventure.

    «Qu'est-ce qu'on va faire de plus ? Comment on finance la prestation ? Le RSA existe déjà. Le montant est relativement faible, mais les départements ont déjà beaucoup de mal à le payer. Donc on peut toujours dire qu'on va le doubler et le donner à tout le monde, le problème ensuite c'est comment on récupère cet argent ? s'interroge Henri Sterdyniak. On ne voit pas très bien ce que pourrait donner cette expérimentation.»

    Pourquoi pas un revenu de base pour tous ? Partie 1
    Le RSA est justement dans le collimateur des huit présidents de région. Instauré par Nicolas Sarkozy pour remplacer le RMI mis en place en 1988 par François Mitterrand, les présidents de département soulignent son manque d'efficacité pour «vaincre la pauvreté, qui frappe encore 9 millions de personnes en France». Ils estiment que le revenu de base se veut «une opportunité de reprendre le chemin de l'emploi».

    L'ambitieux et novateur projet ne serait-il alors qu'un «relifting» d'allocations existantes? Une certaine confusion semble régner chez nos confrères quand ils l'évoquent, mettant sur le même plan revenu de base et revenu universel.

    «Si le projet est simplement de rendre plus facile l'accès au RSA, c'est-à-dire avoir un revenu minimum garanti plus facile à obtenir, oui c'est possible, mais il faut bien préciser le projet qu'on veut effectivement analyser: ce n'est pas un revenu universel, ce n'est pas donner 700 ou 800 euros par mois à tout le monde, même aux gens qui n'en ont pas besoin», analyse Henri Sterdinyak.

    Henri Nayrou, président du conseil départemental d'Ariège, confirme d'ailleurs que le projet des huit départements n'a. rien à voir avec le «très décrié revenu universel». Ce dernier se veut inconditionnel et versé dès la naissance. Le revenu de base lui, ne concernerait pas toute la population française:

    RépondreSupprimer
  5. «Parmi les publics pour lesquels ce revenu de base pourrait, selon Jean-Luc Gleyz, président du département de la Gironde, être une solution, les "aidants" qui s'occupent d'un proche dépendant, les agriculteurs "qui n'arrivent pas toujours à vivre de leurs revenus agricoles", ou encore les personnes en reconversion professionnelle», explique Libération. La question du montant et de son financement restent néanmoins en suspens, laissant planer le doute sur une réforme du RSA qui ne dirait pas son nom. Parlant de financement, Henri Sterdinyak se montre également réservé:

    «C'est très extrêmement difficile de l'expérimenter dans quelques départements, parce qu'il faut que ce soit équilibré. Ce qu'on donne aux plus pauvres, il faut d'une manière ou d'une autre le prendre aux plus riches. C'est un projet qui est flou, car s'il est question de donner par exemple 1000 euros à tout le monde, il y a un coût fabuleux, et la question se pose de comment on va récupérer ce coup fabuleux sur les plus riches.»

    Mais pour l'instant, on ne connaît ni le montant de ce revenu de base ni la population ciblée. Et pour cause, les départements doivent d'abord étudier «les bas revenus en France pour connaître plus finement les réalités sociales. Élaborer un modèle robuste, crédible scientifiquement, audacieux socialement et soutenable financièrement grâce à des microsimulations».

    Une étude de faisabilité sera menée, financée par ces huit départements à hauteur de 100.000 euros. «Nous espérons des résultats théoriques sous quatre à six mois après le lancement de l'étude. Et un début de l'expérimentation en 2019 serait l'idéal», explique dans le JDD Jean-Luc Gleyze, président de la Gironde. Une première réunion doit avoir lieu fin décembre à Bordeaux pour connaître la méthode, l'évaluation, mais aussi les conséquences et les limites de cette expérimentation… si elle voit jamais le jour.

    En effet, lancer in vivo une telle expérience suppose de faire évoluer le cadre législatif. Si Emmanuel Macron a promis aux maires une modification de la Constitution pour permettre les expérimentations locales, elle n'est pas encore inscrite au calendrier parlementaire.

    https://fr.sputniknews.com/france/201712051034180101-france-benoit-hamon-revenu-de-base/

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. Malheureusement, ce 'revenu de base' versé aux immigrés sert UNIQUEMENT à être envoyé à l'étranger pour (acheter des armes) faire venir plus de monde !!!

      Supprimer
  6. SUISSE - DES INCONNUS ONT VOLÉ 70'000 MOTS DE PASSE
    La Centrale d'enregistrement et d'analyse pour la sûreté de l'information a indiqué mardi que divers données avaient été piratées.

    05.12.2017, 13h26

    Des tiers ont à nouveau volé 70'000 données d'accès à des services en ligne. Il s'agit de noms d'utilisateur et de mots de passe. Ces données pourraient être utilisées à des fins illégales, comme du chantage ou de l'escroquerie.

    Une source confidentielle a transmis ces données à la Centrale d'enregistrement et d'analyse pour la sûreté de l'information (Melani), indique cette dernière mardi dans un communiqué. Fin août déjà, environ 21'000 combinaisons de noms et de mots de passe, donnant accès à des services en ligne, avaient été dérobées.

    Pour permettre à chacun de vérifier s'il est concerné, MELANI a publié un outil en ligne et recommande aux privés comme aux entreprises de l'utiliser. Elle liste également les comportements à adopter en cas de données piratées: changer les mots de passe et en créer un nouveau pour chaque service, activer l'authentification à deux facteurs si disponible, informer ses contacts et vérifier ses relevés de compte dans les semaines à venir. (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/suisse/inconnus-vole-70-000-mots/story/19859736

    RépondreSupprimer
  7. Dernièrement, dans une vidéo (fermée aux commentaires !! HAHAHA !) publiée sur le net pour pouvoir justifier aux chiennes publiques que la merde existe bien sur Internet, la putain du jour dans une 'enquête' qu'elle serait de 'complémenter' !! (Hahaha !), elle portait son intérêt sur l'origine des vêtements vendus en supermarchés ainsi sur le qui les fabriquent. Et là, après s'être faite sortir d'une AG d'actionnaires et traitée de tous les noms (HAHAHAHA !) elle insinuait que des entreprises très lointaines et fermées aux regards exploitaient des enfants et faisaient aussi travailler des femmes !

    Or, il faut savoir, que dans TOUTES les campagnes (et montagnes) du monde, les enfants commencent à travailler dès qu'ils savent mettre un pied devant l'autre. Et, la présentatrice prostituée dénigrant cette horreur ne parlait pas que chez elle, il est demandé aux enfants de: balayer leur chambre ! d'enlever la poussière ! voire de nettoyer eux-mêmes les roues de leur planche-à-roulettes voire à se torcher le cul avec leur main !!! SCANDALE ! Une honte ! Le summum de l'esclavagisme présent jusqu'à nos portes !!!

    HAHAHAHAHAHA !

    Et tout çà faisait une émission des merdias payée par les contribuables !

    RépondreSupprimer
  8. Une étude suggère que les vagues de chaleur pendant l'enfance peuvent avoir un impact négatif sur les revenus des adultes !

    5 décembre 2017
    par le rapport de Bob Yirka


    (Phys.org) - Un trio de chercheurs affiliés à plusieurs institutions aux États-Unis a trouvé des preuves qui suggèrent que les enfants exposés à des températures élevées, même pendant de courtes périodes, peuvent voir leurs revenus diminuer à l'âge adulte. Dans leur article publié dans les Actes de l'Académie nationale des sciences, Adam Isen, Maya Rossin-Slater et Reed Walker décrivent la comparaison des températures aux États-Unis il y a des décennies avec des données sur les gains des adultes.

    Alors que la planète continue de se réchauffer en raison du réchauffement climatique, les scientifiques cherchent des moyens d'influencer les humains. Dans ce nouvel effort, les chercheurs se sont demandé si l'exposition à des températures élevées chez les enfants pourrait causer des problèmes plus tard dans la vie. Pour le savoir, ils ont creusé des données météorologiques couvrant plusieurs États sur la période de 1969 à 1977, ce qui a touché environ 12 millions de personnes. L'équipe a examiné spécifiquement les vagues de chaleur ou les jours avec des températures supérieures à 32°C. Ils ont examiné les registres des gains du gouvernement pour les adultes qui avaient été des enfants au cours des premiers événements météorologiques. Les chercheurs ont découvert que les enfants, même ceux qui étaient encore dans l'utérus, exposés à des températures élevées, avaient des revenus inférieurs à la moyenne à l'âge adulte. Ils ont également constaté que plus le nombre de jours d'exposition à la chaleur était élevé, plus leurs gains étaient faibles à l'âge adulte. Plus précisément, ils ont constaté que chaque jour où un enfant (de la naissance à l'âge d'un an) était exposé à une chaleur élevée, il avait connu une diminution de 0,1 fois ses revenus à l'âge adulte.

    Les chercheurs notent que leurs statistiques ne s'appliquent qu'aux enfants directement exposés à la chaleur, et que tous ceux qui vivaient dans une région où la chaleur est élevée ne sont pas tous ceux qui ont un revenu moyen à l'âge adulte. Ils notent en outre que leurs résultats sont pertinents pour l'avenir - comme la planète se réchauffe, il semble probable que les enfants vivant dans des maisons sans climatisation risquent de subir le stress des revenus à mesure qu'ils vieillissent, car ils seront exposés à plus de jours . Les chercheurs ne peuvent pas dire pourquoi les enfants qui connaissent une chaleur élevée ont un impact sur leur potentiel de gains, mais supposent qu'il pourrait être lié à des lésions scolaires ou nerveuses qui nuisent à l'ambition, la cognition, la maîtrise de soi ou l'affirmation de soi.

    RépondreSupprimer
  9. Abstrait
    Nous étudions comment l'exposition aux températures extrêmes dans les premières phases du développement de l'enfant est liée aux résultats économiques des adultes mesurés 30 ans plus tard. Notre analyse utilise des données sur les gains administratifs de plus de 12 millions de personnes nées aux États-Unis entre 1969 et 1977, en lien avec des données météorologiques quotidiennes à échelle précise, ainsi que l'emplacement et la date de naissance. Nous calculons la durée pendant laquelle chaque individu est exposé à différentes températures in utero et dans la petite enfance, et nous estimons des modèles de régression flexibles qui tiennent compte des non-linéarités dans la relation entre la température et les résultats à long terme. Nous constatons qu'une journée supplémentaire avec des températures moyennes au-dessus de 32 ° C in utero et la première année après la naissance est associée à une réduction de 0,1% des gains annuels des adultes à 30 ans. La sensibilité aux températures est évidente dans plusieurs périodes de développement précoce. le premier trimestre de la gestation à l'âge de 6-12 mois. Nous observons que l'adoption de la climatisation domestique, qui a augmenté de façon spectaculaire au cours de la période étudiée, atténue presque toute la sensibilité estimée à la température.

    https://phys.org/news/2017-12-childhood-adversely-impact-adult.html#jCp

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. D'où les prochaines amendes aux parents qui osent mettre leurs enfants au soleil alors qu'ils devraient attendre l'âge adulte pour voir le jour !
      (sans parler de ceux qui naissent sous les tropiques et sont complètement cons ! D'où des 'esprits intelligents' qui se déplaceraient la nuit ?).
      Personnellement, je lui suggèrerai de manger beaucoup de cervelle plutôt que d'aller sucer des esquimaux pour être plus intelligente !

      HAHAHAHA ! Tel est un extrait des montagnes de conneries sur le site d'Al Gore qui se dit 'scientifique' !!

      Supprimer
  10. Voulez-vous sauver le monde ? Commencez par manger moins de boeuf

    5 décembre 2017
    par Sarah Fecht, Earth Institute, Université de Columbia


    Les vaches sont comme les Humvees du monde animal; ils ne sont pas très efficaces, du moins lorsqu'il s'agit de produire de la nourriture pour les humains. Un hectare de terre qui permettrait de cultiver 1 500 ou 2 000 livres de protéines à partir de cacahuètes ou de soja par an ne peut supporter qu'environ 82 livres de protéines de bœuf. C'est parce que comparé à d'autres animaux que nous utilisons pour la nourriture, les vaches sont beaucoup plus grandes et croissent plus lentement, ainsi elles doivent prendre plus de calories avant qu'elles soient prêtes à être mangées. Ils consomment également beaucoup d'eau, produisent une quantité écrasante de fumier qui peut étouffer les lacs et les cours d'eau et générer une part importante des émissions de carbone de notre pays qui modifient le climat.

    Pourtant, tous ceux qui veulent vivre selon un mode de vie respectueux de l'environnement ne peuvent pas ou ne veulent pas abandonner le bœuf. C'est l'une des raisons pour lesquelles Maureen Raymo, une paléoclimatologue de l'Observatoire de la Terre Lamont-Doherty à Columbia, s'est réunie avec ses collègues pour imaginer à quoi pourrait ressembler une industrie du bœuf plus durable. L'étude qui en résulte, publiée aujourd'hui dans Nature Ecology & Evolution, estime que le passage du modèle de ferme d'aujourd'hui aux vaches élevées au pâturage pourrait soutenir près de la moitié de la consommation actuelle de viande de bœuf aux États-Unis. En même temps, cela réduirait considérablement la consommation d'eau et les émissions de carbone, tout en nourrissant plus de gens.

    Des pâturages plus verts

    En tant que paléoclimatologue, Raymo étudie normalement des choses comme l'élévation du niveau de la mer ancienne. Mais il y a quelques années, elle a entendu un exposé de Gideon Eshel, spécialiste de l'environnement au Bard College (l'auteur principal de la nouvelle étude), et a été frappé par l'impact énorme du bœuf sur l'environnement. Par la suite, tout en supervisant un projet de développement durable mené par des étudiants de l'École des affaires internationales et publiques de la Columbia (SIPA), Raymo a suggéré de faire des recherches sur les effets du bœuf sur le climat. Eshel a rejoint le groupe, et finalement l'un des projets a grandi dans le journal d'aujourd'hui, avec deux des étudiants SIPA en tant que co-auteurs.

    Le groupe voulait d'abord savoir ce qui se passerait si les éleveurs élevaient leurs vaches sur les pâturages, le foin localement emballé et les sous-produits alimentaires (tels que les carottes et les restes de la distillation d'alcool) au lieu des fermes surpeuplées populaires aujourd'hui. Quelle quantité de bœuf un tel système pourrait-il supporter ?

    RépondreSupprimer
  11. "Nous n'avions aucune idée de ce que serait ce nombre", explique Raymo. "Je pensais que quelque chose comme peut-être 5 à 10 % du boeuf dans le pays pourrait être cultivé de cette façon." Mais le nombre réel s'est avéré être beaucoup plus élevé. Leurs calculs ont révélé que l'Amérique a déjà assez de pâturages pour soutenir jusqu'à 45 % du bétail élevé pour la nourriture aujourd'hui.

    Comme ces vaches se déplaçaient autour de l'herbe, ce système hypothétique libérerait 32 millions d'hectares de terres actuellement utilisées pour cultiver de la nourriture pour les vaches; la terre pourrait plutôt être utilisée pour cultiver de la nourriture pour les humains. L'équipe estime que la plantation de ces champs avec des aliments comme les fèves de soja, les haricots rouges, l'orge et les patates douces pourrait fournir jusqu'à 20 fois plus de calories et de protéines que le bœuf qu'ils remplaceraient. Ce changement réduirait la consommation d'eau de 24 % (en économisant 27 milliards de mètres carrés d'eau par an) et réduirait de 28 % l'utilisation d'engrais. Il permettrait de réduire les émissions de carbone de deux tiers, ce qui permettrait d'économiser environ 590 millions de tonnes d'équivalent carbone chaque année.

    Voulez-vous sauver le monde ? Commencez par manger moins de boeuf

    Mais si vous ne mangez pas de protéines à base de plantes, ces terres pourraient alternativement être utilisées pour supporter quatre fois plus de calories de porc et de poulet, produisant respectivement trois et cinq fois plus de protéines que le bœuf qu'elles remplaceraient.

    Aucun des scénarios ne permet de se débarrasser de tous les inconvénients qui accompagnent le bœuf et l'agriculture en général, déclare M. Raymo, «mais vous vous débarrassez de nombreux impacts environnementaux».

    Bœuf «durable» ?

    L'étude n'est pas parfaite, comme les auteurs le reconnaissent volontiers. Ils ont défini le «bœuf durable» comme de la viande qui est élevée principalement dans les pâturages, mais en fait, la définition exacte d'une industrie bovine «durable» est très controversée. Eshel convient que la définition du document est limitée: elle n'inclut pas les valeurs sociales, telles que les considérations sur la façon dont les Amérindiens préfèrent utiliser les terres libérées dans le modèle ou sur la biodiversité et la santé de l'écosystème.

    RépondreSupprimer
  12. La transition vers un modèle où tout le bœuf est élevé sur les pâturages est aussi beaucoup plus facile à dire qu'à faire. "Pour moi, cela semble profondément insoutenable sur le plan social", dit Eshel, soulignant que le véritable boeuf fini à l'herbe peut être prohibitif.

    Dans un commentaire sur le journal, le biologiste Les Firbank de l'Université de Leeds a déclaré que "la réalisation d'un tel consensus serait un énorme défi, étant donné que le marché mondial exerce actuellement une forte pression sur les agriculteurs pour qu'ils produisent des aliments bon marché. de la durabilité. "

    Heureusement, réduire la consommation de bœuf peut avoir des avantages pour l'environnement, peu importe le système alimentaire auquel nous souscrivons. Les résultats du papier suggèrent que de petits changements dans notre alimentation - comme remplacer le boeuf avec du poulet ou des haricots pour un ou deux repas par semaine - peuvent faire une grande différence.

    «Littéralement, la mesure la plus percutante que vous puissiez prendre est de réduire votre consommation de boeuf de moitié ou de la traiter comme du homard», explique Raymo. «Vous n'avez pas besoin de devenir végétalien ou végétarien, car beaucoup de gens peuvent modifier subtilement leur régime alimentaire, ce qui ne nécessite pas de changement culturel important dans leur façon de manger, et cela peut avoir un effet positif sur le environnement."

    https://phys.org/news/2017-12-world-beef.html#jCp

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. L'idiote du jour: Sarah Fecht, Earth Institute, Université de Columbia, n'est PAS une scientifique (vous vous en êtes aperçu) et parle sans savoir. Sans savoir que TOUS se recycle ! TOUT ! Du gaz à l'eau, métaux, fossiles et matières vivantes.

      TOUT est brûlé, bouillie, et se transforme en une nouvelle matière. Nous sommes TOUTES et TOUS formés 100 % de tout ce que nous consommons (comme l'ont été nos parents, grands-parents, etc) et, notre corps est donc constitué de milliards de fragments de pommes, tomates, viandes y compris ce qui a produit la viande (herbivore ou carnivore) et ce que les fruits & légumes ont eux-mêmes absorbé dans le sol (nano-particules de cadavres disséminés, de végétaux, de minéraux, etc).

      Tout se recycle. TOUT !

      Supprimer
  13. Re: Sandy Hook Obama Officials Confirm That It Was a Drill and No Children Died

    « Reply #4 on: November 21, 2015, 04:11:27 PM »

    J'ai beaucoup de sources en ce qui concerne ce qui se passe avec le président et l'administration et ainsi de suite, et chacune de mes sources a dit que c'était un faux drapeau "- Paul Preston

    Sofia Smallstorm, qui a produit et réalisé le documentaire "Unraveling Sandy Hook", que beaucoup considèrent comme la meilleure vidéo de l'événement Sandy Hook, a récemment interviewé un expert de Los Angeles, Paul Preston, à propos de Sandy Hook et de ses connaissances sur transpiré.

    Le gouverneur Malloy avait tenu une conférence de presse ce jour-là, expliquant que lui et le lieutenant-gouverneur avaient été "parlé à" que quelque chose comme cela pourrait arriver, ce qui soulevait la question, quel "quelque chose comme ça" ? Voulait-il dire qu'on lui avait dit qu'un massacre à l'école aurait lieu ? ou un exercice qui serait présenté comme un événement réel ?

    Remarquablement, nous avons maintenant la confirmation d'une source inattendue. Paul Preston avait obtenu des informations auprès des fonctionnaires du ministère de l'Éducation des États-Unis de l'administration Barack Obama, qui lui ont confirmé sur la base de leurs propres connaissances personnelles que:

    (1) il s'agissait d'un exercice;

    2) aucun enfant n'a été tué; et,

    (3) cela avait été fait pour promouvoir un agenda anti-armes.

    Compte tenu de ses antécédents de 41 ans dans le système scolaire public californien (du gardien au surintendant du district) et ayant été enseignant, entraîneur, directeur adjoint et directeur d'école avant de prendre sa retraite en 2012 à titre de surintendant de deux écoles à charte, je pensais dire à propos de Sandy Hook méritait une large diffusion.

    RépondreSupprimer
  14. Alors, quand a fait un spectacle de deux heures sur Revolution Radio, "False Flags (9/11, Sandy Hook et l'attentat de Boston)" le 30 mai 2014, comme le troisième segment, j'ai inclus la deuxième 30 minutes de l'entrevue de Sofia avec Paul Preston, qui est archivé sur "The Real Deal" et peut être entendu ici.

    Parce que Preston est également très entraîné dans les questions de sécurité scolaire et qu'il a lui-même organisé des exercices de toutes sortes, y compris des exercices de tireurs actifs, ce qu'il a à dire est particulièrement révélateur. Il a son propre site Web à www.Agenda21Radio.com, qu'il a créé pour alerter les auditeurs sur les dangers de l'Agenda 21.

    http://forum.prisonplanet.com/index.php?topic=240961.0

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. C'est effectivement un rappel qu'il n'y a eut à l'école 'Sandy Hook de Newton (Connecticut) AUCUNE victime et que de FAUX parents (qui rigolaient presque) avaient été interviewés, comme pour le Marathon de Boston où l'homme 'blessé-transporté-d'urgence-sur-un-brancard' n'avait PAS perdu ses jambes dans l'attentat mais plusieurs années avant en Irak ! Hahaha !

      Supprimer