Pires rapports sur les emplois à près de 6 ans – travail 102 millions américains en âge de travailler n’ont pas d’emplois
Par Michael Snyder, le 3 juin 2016
C’est exactement ce que nous avons été attend de se produire. Vendredi, le Bureau of Labor Statistics a annoncé que l’économie américaine a ajouté seulement 38 000 emplois en mai. C’était bien en dessous des 158 000 emplois que prévoyaient les analystes, et c’est aussi bien en dessous de ce qu’il faut juste faire face à la croissance démographique. En outre, le nombre d’emplois créés en avril a été revu à la baisse de 37 000 et le nombre d’emplois créés en mars a été revu à la baisse de 22 000. C’était le plus mauvais rapport sur l’emploi à près de six ans, et le consensus de Wall Street, c’est que c’était un désastre complet.
Le plus drôle est que l’administration Obama dit que le taux de chômage est effectivement descendu le mois dernier. Presque tous les mois depuis Obama est à la maison blanche, un grand nombre d’américains qui ont été au chômage pendant une très longue période est déplacé dans la catégorie « chômage » à la catégorie "pas dans la population active". Il en est résulté une baisse régulièrement « taux de chômage » même si le pourcentage de la population qui est en train de travailler n’a pas changé grand-chose à tous depuis les profondeurs de la dernière récession.
Le Bureau of Labor Statistics affirme que le nombre d’américains "pas dans la population active" ont augmenté de 664 000 d’avril à mai. Si vous croyez cela, j’ai un pont géant sur la côte ouest que je tiens à vous vendre. Le taux de participation de force de travail est maintenant à 62,6, et c’est en vol stationnaire juste au-dessus une bas 38 de l’année.
Lorsque vous ajoutez le nombre d’américains qui sont « officiellement au chômage » en âge de travailler (7,4 millions) le nombre d’américains qui sont considérés comme "non à la population active" en âge de travailler (un record record de 94,7 millions), vous obtenez un total de 102,1 millions d’américains qui n’ont pas d’emploi dès maintenant en âge de travailler.
Ce n’est pas un jeu.
Jusqu’en 2016, les trois membres de ma famille élargie ont perdu leur emploi.
Selon Challenger, Gray & Christmas, mises à pied à grands firmes sont en cours d’exécution supérieur à 24 pour cent jusqu'à ce point en 2016 qu’ils étaient durant la même période en 2015.
C’était seulement une question de temps avant que ces licenciements a commencé à apparaître dans les chiffres de l’emploi du fonctionnaire, et je m’attends que cette tendance va accélérer dans les mois à venir.
Et voici quelques autres numéros neuf pour que vous considériez...
- Depuis que Barack Obama est entré à la maison blanche, 14,179,000 américains ont "laissé le travail force" selon le Bureau of Labor Statistics.
- La qualité de notre travail continue à se détériorer. En mai, 59 000 emplois à temps plein ont été perdus, mais 118 000 emplois à temps partiel ont été acquis.
- Depuis septembre 2014, 207 000 emplois ont été perdus.
- Nous venons d’apprendre que les commandes usine américaine ont diminué une fois de plus. Ceci marque le 18ème mois consécutif que cela a eu lieu, et nous n’avons jamais vu une telle baisse prolongée en dehors d’une récession majeure.
"Récession indicateurs" de - JPMorgan sont sont envolées tout au plus haut niveau que nous avons vu depuis la dernière récession.
Inutile de préciser que la communauté financière est assez horrifiée par l’ensemble de ces nouvelles. Ils attendaient un rapport sur l’emploi beaucoup mieux, et beaucoup d'entre eux ne cachent pas leur déception. Voici un exemple du Wall Street Journal...
"Il s’agissait d’une raté sans réserve d’un rapport sur l’emploi", a déclaré Curt Long, économiste en chef à la National Association de Federal Credit Unions, notant "le taux de chômage a baissé, mais pour la mauvaise raison comme labor force participation a diminué pour un deuxième mois consécutif". Et voici un autre exemple qui vient de David Donabedian, directeur du chef des placements au Atlantic Trust Wealth Management...
«Nous ne trouvons pas une pépite positif dans le rapport de travail d’aujourd'hui. Si nous recherchions des signes de résistance dans ce rapport, il n’y a rien à s’accrocher à ici. » Mais bien sûr les grands médias sont faisant de leur mieux pour mettre un spin positif sur ces chiffres. Par exemple, CNN vient de publier un article risible, intitulé "l’économie américaine est plus forte que le rapport sur l’emploi faible".
Et la maison blanche insiste sur le fait que ce nouvel emploi rapport n’est pas vraiment que les grandes d’un deal...
La maison blanche ne se « trop déçue » sur le nombre d’américains sans emploi ou sous-employés.
« J’ai été réagissant aux nombres d’emplois ici à la maison blanche depuis plus de sept ans et ce qui est vrai aujourd'hui a été le cas dans le passé, qui est, nous n’obtenons pas trop excités lorsque le nombre d’emplois est meilleurs que prévu et nous n’avons pas trop déçus lorsque les nombres d’emplois un mois sont inférieures aux prévisions, » White House attachée de presse Josh Earnest dit CNBC.
Mais bien sûr, la vérité est que c’est un très gros problème. Nous venons de recevoir une confirmation importante que l’économie américaine a glissé dans le mode de la récession.
Pendant des mois, j’ai écrit au sujet de comment, pratiquement tous les autres indicateurs a été criant qu’une nouvelle crise économique avait déjà commencé.
Mais le nombre d’emplois était resté assez décent jusqu'à présent. Emploi est généralement considéré comme un « indicateur de retard », ce qui signifie qu’il n’est pas l’un des premiers endroits que nous nous attendrions à voir les signes d’une récession à apparaître. Toutefois, il est inévitable que les chiffres officiels du chômage reflète un ralentissement économique par la suite, et c’est ce que nous commençons à voir maintenant.
Ce qui veut dire que vous avez probablement encore moins temps pour se préparer à ce qui est en avance que vous peut-être à l’origine pensé.
L’économie américaine est déjà entré dans les premiers chapitres de la prochaine grande crise économique, et la majorité de la population va être totalement pris au dépourvu et souffrira énormément.
Si nos dirigeants avaient pris les meilleures décisions depuis la dernière crise, choses aurait pu être différente. Mais au lieu de cela, ils ont continué à faire des affaires comme d’habitude, et maintenant nous récolterons ce qu’ils ont semé.
Cinq raisons d'inquiétude pour l'avenir de la France
21:08 04.06.2016
La deuxième plus grande économie de l'Union européenne offre actuellement un spectacle affligeant: ses problèmes sont tellement graves qu'ils constituent un danger pour l'ensemble de ses partenaires européens, en premier lieu pour l'Allemagne. Telle est la conclusion tirée par les experts économiques de Die Welt, Holger Zschaepitz et Anja Ettel, qui citent cinq raisons autorisant l'UE à remettre en cause l'avenir de la France.
Peur d’un Frexit "Au moment où tout le monde parle du référendum sur la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne (Brexit, ndlr), beaucoup ignorent d'autres problèmes qui menacent l'objectif commun consistant à bâtir une Europe puissante", écrivent les auteurs. Un Français sur trois serait favorable à un FrexitIls citent les récentes tendances qui caractérisent le soi-disant "Index Frexit", à savoir la probabilité de voir la France quitter l'Union européenne. Parmi les principaux facteurs qui conditionnent une telle possibilité, les économistes allemands citent l'incapacité des autorités françaises d'opérer les réformes nécessaires et la popularité grandissante des forces eurosceptiques telles que le Front national de Marine Le Pen. Selon le quotidien allemand, les récents sondages montent que 74% des Français estiment que Marine Le Pen accédera au second tour de l'élection présidentielle de 2017. Impossibilité de dévaluer la monnaie nationale La droite populiste allemande veut une zone euro sans la FranceL'une des préoccupations majeures concernant les rapports de la France avec l'euro consiste dans le fait que le pays ne peut pas dévaluer sa monnaie nationale pour équilibrer sa balance des paiements et "alimenter" son économie. D'après les analystes, afin d'opérer une relance économique, la France a besoin de dévaluer sa monnaie d'au moins 10% (ce qui est impossible dans cas de l'euro) et de restructurer son marché du travail. Dette exorbitante France: la dette publique bondit de 51,6 milliards d'eurosAvant la crise financière, les dettes augmentaient simultanément en Allemagne et en France. Or, depuis l'Allemagne a pris des mesures qui lui ont permis de réduire sa dette en la faisant passer à moins de 70% de son PIB. Quant à la France, elle n'arrive pas à contrôler sa dette croissante qui risque bientôt d'atteindre 100% de sa production économique. En d'autres termes, tous les Français devraient travailler toute l'année sans recevoir de salaire pour rembourser la dette de leur pays.
Aussi étrange que cela puisse paraître, le problème de la dette s’est posé en France au moment où le taux d'intérêt appliqué par la Banque centrale européenne (BCE) n'a jamais été aussi bas. Rigidité du marché du travail Les manifestations risquent de plonger la France dans le noirLe gouvernement socialiste tente de faire adopter une législation permettant de mettre un terme à la semaine de travail traditionnelle de 35 heures. Cette réforme a déclenché des manifestations violentes dans toute la France, paralysant le trafic ferroviaire, provoquant une pénurie de carburant et incitant des émeutiers à attaquer la police. Et pourtant, malgré ces perturbations, quelque 46% des Français affirment soutenir toujours le mouvement de grève. Cependant, le marché du travail a besoin de réformes de structure, indiquent les auteurs. "Les 4.000 pages du Code du travail français réglementent les moindres détails, de la pause toilette aux dimensions des fenêtres de bureau. Cela constitue la principale raison pour laquelle le marché du travail est tellement rigide", constatent les experts. Ils estiment que si la France réforme ce marché selon le modèle allemand, son rythme de croissance économique pourrait doubler en passant de un à deux pour cent. Erosion de la base industrielle France: la grogne des agriculteurs ne s'apaise pasLa France occupe toujours une place importante parmi les sept pays les plus industrialisés (G7). En terme de performances économiques, le pays se place sixième dans le classement mondial. Par rapport à l'Allemagne dont les produits sont toujours en demande dans le monde entier, la France possède des industries beaucoup moins avancées. Le pays a également bénéficié dans une mesure beaucoup moins large que l'Allemagne de l'essor économique chinois. Sa part dans l'ensemble des exportations mondiales a également diminué de manière substantielle, concluent les experts.
Comment repérer les conneries - Princeton professeur explique l’importance de l’Ignorance de la vérité
par Tyler Durden 4 juin 2016 20:35
Princeton Professeur Harry Frankfurt fournit un apprêt succinct sur pourquoi la vérité doit prévaloir sur les conneries - quelque chose qui pourrait être utile pour beaucoup.
Les gens devraient se soucient la vérité, car la vérité est la vérité au sujet de comment les choses sont et il est important nous reconnaître comment les choses sont, ne pas de prétendre que c’est quelque chose d’autre. Si vous avez la vérité, vous savez quelle réalité est comme, si vous ne vous êtes ignorants de la réalité"
"Nous vivons à une époque où il y a une autre alternative à la vérité, et c’est des conneries"
- voir clip sur site -
La raison pourquoi il est tellement connerie selon moi, est que les gens parler juste. Si ils ne parlent pas ils ne sont pas payées. L’annonceur veut gagner les ventes, le politicien veut obtenir gain de voix. Maintenant, c’est ok, mais ils doivent parler de choses qu’ils ne savent vraiment pas bien sur. Ce car ils n’ont rien de vraiment valable de dire, qu’ils disent juste tout ce qu’ils pensent aura intérêt de l’auditoire, faire croire qu’ils savent de quoi ils parlent - et ce qui sort est bullshit."
"Le danger est qu’il y aura une perte d’intérêt pour la vérité, et que je crois est une attaque sournoise sur les principes fondamentaux de la société."
The Rise Of The Criminal Meta : La NSA manipule le marché boursier ?
par Tyler Durden 4 juin 2016 18:50
Trevor Timm de l’Electronic Frontier liberté déterré une pépite très intéressante. Il a été incorporé dans le décembre 2013 annoncée maison-blanche rapport de groupe de travail sur l’espionnage et de snooping.
Conformément aux recommandations, #31, section 2, il a trouvé ceci :
« Les gouvernements ne devraient pas leurs capacités offensives cyber permet de modifier les montants détenus dans des comptes financiers ou manipuler des systèmes financiers. »
Timm justement je me demandé : pourquoi étaient ces avertissements dans le rapport ?
Ont été les auteurs anticiper juste un crime possible ? Ou sont ils reflétant le fait que la NSA avait déjà fait appel au crime ?
Si c’était juste un peu d’anticipation, pourquoi laisser nu dans le rapport ? Pourquoi ne pas dire que rien n’indiquait actuellement que la NSA avait été manipuler les systèmes financiers ?
Ces systèmes comprendrait, bien sûr, le marché boursier et tous les marchés du monde entier.
Eh bien, il y a une preuve concluante d’autres espionnage financier de la NSA. De Spiegel Online, "« Follow the Money »: NSA espionne Les paiements internationaux," 15/09/13 :
« La National Security Agency (NSA) largement surveille les paiements internationaux, les banques et les transactions par carte de crédit, selon des documents vus par SPIEGEL. »
« Banque de données de la NSA Tracfin contenait également des données de la société bruxelloise for Worldwide Interbank Financial Telecommunication (SWIFT), un réseau utilisé par des milliers de banques pour envoyer des informations de la transaction en toute sécurité... la NSA espionné l’organisation sur plusieurs niveaux, impliquant, entre autres, division "adaptées opérations d’accès" de l’Agence [NSA]... »
Division « adaptées opérations access » de la NSA utilise à peu près 1000 pirates et analystes dans ses efforts d’espions.
La prochaine étape de tout cet espionnage serait naturellement implique de pénétrer des marchés commerciaux et, en utilisant les données de profondes obtenues, manipuler les marchés au profit de la NSA et les clients préférés.
Le montant d’argent siphonné dans une telle opération en cours serait énorme.
« Regarder par-dessus l’épaule » de Wall Street, les initiés serait un jeu d’enfant pour la NSA.
Idem pour la prédiction des événements politiques qui seraient temporairement baisser les marchés et fournir des occasions en or pour la vente à découvert très rentable.
Comme les trafiquants de drogue et autres truands, la NSA pourrait investir leurs gains mal acquis dans les entreprises légitimes et récolter des récompenses supplémentaires.
Et si le Pentagone, selon lesquelles la NSA est organisée, nécessite de fortes sommes d’argent pour les opérations hors-livres budget noir, quel meilleur endroit pour aller à leur propre NSA ?
Dans l’ensemble, lorsque vous faites fonctionner le plus grand espionnage et l’opération de collecte de données dans le monde, les opportunités abondent. Oui, savoir c’est pouvoir, lorsque les distinctions entre légaux et illégaux sont brossées comme quelques moucherons sur une journée d’été.
L’état de Surveillance a créé un appareil dont les implications sont énormes. C’est un monde différent maintenant. Et il faut parfois un écrivain de fiction pour étoffer le paysage plus grand.
Roman de Brad Thor, Liste noire, postule l’existence d’une société de monstre, ATS, qui se tient aux côtés de la NSA en recueillant des informations sur chaque mouvement nous faire. ATS' renseignement capacité est inégalée dans le monde.
Sur les pages 117 et 118 de la Liste noire, Thor fait une conclusion étonnante, après réflexion, il est aussi évidente que les doigts de votre main :
"Pour les années ATS avait utilisé sa supériorité technologique pour procéder aux opérations d’initiés massifs. Depuis le début des années 1980, la compagnie avait espionné n’importe qui et tout le monde dans le monde de la finance. Ils écoutaient sur les appels téléphoniques, télécopies a intercepté et évolué à droite ainsi que de la technologie, hacking de comptes de messagerie et les réseaux informatiques internes. Ils ont créé des montagnes de « noirs dollars » pour eux-mêmes, qui ils lavés par le biais de divers programmes qu’ils couraient sous contrat secret, loin des regards indiscrets de régulateurs financiers.
"Ces noirs dollars ont été investis dans des biens durables dans le monde entier, ainsi que sur le marché boursier, par le biais de sociétés offshore sham. Ils ont également canalisé l’argent dans les rames des projets prometteurs de R & D, qui seraient finalement faits demi-tour et vendus le Pentagone ou la CIA.
« En bref, ATS avait créé sa propre licence pour imprimer de l’argent et lui-même avaient assuré une place au-delà de l’examen ou reproche. »
Dans la vraie vie, avec le titre de la NSA le spectacle, le résultat serait le même.
Ce serait comme Thor le décrit.
Nous pensons à une surveillance totale comme visant à des citoyens privés, mais a la capacité de gains illimités lorsqu’il vise les marchés financiers et les personnes qui ont une connaissance intime de leur.
« Total de sensibilisation à la sécurité » des programmes de surveillance sont idéales espionnage ops dans le domaine financier, conçu pour aspirer des millions de bits d’information privilégiée, puis utiliser pour faire des investissements et aspirer des milliards (milliards?) de dollars.
Il donne un nouveau sens à « l’EEG riche plus riches. »
Prenant l’ensemble du projet à un autre niveau, considérez ceci : ces mêmes poids lourds qui ont librement accès à l’information financière peuvent également choisir, à des moments opportuns, à exposer certains scandales et crimes (pas leurs propres, bien sûr).
De cette façon, ils peuvent, à leur guise, paralyser le gouvernements, les banques et les sociétés. Ils peuvent paralyser les maisons d’investissement, compagnies d’assurance et les fonds spéculatifs. Ou, alternativement, ils peuvent simplement chanter ces organisations.
Nous pensons que nous savons comment les scandales sont exposés par la presse, mais en fait nous n’avons pas. Conseils sont donnés aux personnes qui leur donnent à d’autres personnes. Généralement, le premier indice qui commence le bal provient d’une source qui reste dans l’ombre.
Nous parlons de la création et gestion des réalités de tous les côtés, y compris le choix de quand et où et comment fournir un aperçu d’un crime ou scandal.
La matrice d’information peut être mis à profit et aplomb, et il peut également être utilisé pour distribuer des grappes de choix des données qui finissent par constituer la réalité des médias des images peintes qui, chaque jour, montrent des milliards d’êtres humains « ce qui est nouvelle. »
Il est probable que la sonde Ron Paul autrefois poussait — vérification de la réserve fédérale — a déjà été fait par ceux qui contrôlent la surveillance mondiale illimitée. Ils connaissent déjà bien plus que toute enquête du Congrès va découvrir. S’ils connaissent les plus profondes vérités, ils peuvent utiliser pour chantage, manipuler et contrôler la Fed elle-même.
Dans ce monde global-surveillance, nous devons poser de nouvelles questions et pense maintenant le long de lignes différentes.
Par exemple, combien de temps avant la crise des prêts hypothécaires-dérivé frappé savait la maîtrise de la Surveillance, d’espionnage sur les relevés bancaires, cette dette insupportable accumulait à un rythme mortel ? Avec cette information, que faisaient-ils ?
Quand savaient-ils qu’il manquait au moins 1 billion de dollars dans les livres comptables de Pentagone, Donald Rumsfeld a finalement admis le 10 septembre 2001, et qu’ont-elles fait avec ces informations ?
Quand savaient-ils les détails du scandale de tarification du Libor ? Rapports de presse indiquent que Barclays a essayé de truquer des taux d’intérêt dès janvier 2005.
Ont ils ont suivi, en détail, l’homme responsable du recrutement des mercenaires embauchés et terroristes, qui finalement liquidée en Syrie faisant semblant d’être une force rebelle authentique ?
Ont ils ont recueilli les comptes détaillés des plupart des régimes privés des dirigeants de la Commission trilatérale, CFR et Bilderberg ?
Pour les rois de la surveillance mondiale, ce que nous pensons que l’avenir est, à bien des égards le présent et le passé.
C’est un nouveau monde. Ces superviseurs des renseignements-détection universelle peuvent entrer et sonde les plus secrets caches de données, à frais virées, collationner, renvoi et les assembler en vital performant. Par comparaison, une opération telle que Wikileaks est une vieille Ford Model-T.
Auparavant, nous avons pensé que nous devions regarder par-dessus les épaules des hommes qui commettent des crimes graves hors de la vue du public. Mais maintenant, si nous voulons être à jour, nous avons également de tenir compte dans ces hommes qui sont espionner ces criminels, qui sont réunissent ces secrets et à les utiliser pour commettre leur propre marque de meta-crime.
Et dans le domaine financier, cela signifie que nous pensons de Goldman Sachs et JP Morgan comme auteurs, oui, mais nous pensons aussi sur les hommes qui ont déjà tout savent sur GS et Morgan et utilisent ces connaissances pour voler des sommes qui pourraient rendre GS et Morgan rougir d’envie.
Non, nous ne sommes pas dans le Kansas plus. Mais partout où nous sommes allés à, la NSA est déjà là, et ils ont été taraudage, sortant et à l’aide d’indicibles des bits de données à la scène et le profit des événements d’hier, d’aujourd'hui et de demain.
Temps, en ce sens, a gonflé, élargi, tourné à l’envers, a explosé et lui-même mis à plat sur une table, pour une inspection minutieuse par les yeux de Surveillance Central.
Comprendre cela, nous devons analyser ce qui se passe dans le monde avec une nouvelle dimension de la réalité criminelle-maker à l’esprit.
Depuis qu'existent 'les Bourses' existe la manipulation des marchés afin de créer faussement des riches et des pauvres selon les consentements politiques.
par Tyler Durden 4 juin 2016 14:20 par Robert Gore de StraightLineLogic via la plate-forme Burning blog
S’il fallait choisir un symbole pour représenter l’apex de la pensée humaine et de la réussite, un excellent candidat serait le signe égal: =. Ce signe indique que les symboles et les opérations mathématiques à gauche de celui-ci correspondent à des symboles et des opérations mathématiques à droite. En outre, pour conserver l’égalité, tout acte accompli sur le côté gauche de l’équation doit être fait sur le côté droit. L’équation est le cœur d’arithmétique élémentaire, les directeurs d’école plus complexes des mathématiques et des sciences et leurs applications du monde réel et tout entre les deux. Seulement logique défi peut réfuter une égalité affirmée, et aucun montant de souhaitant ne se transformera une inégalité en un pied d’égalité. Le signe égal représente la capacité de l’humanité pour la logique impitoyablement Immaculée.
Beaucoup de gens évitent mathématiques, science et logique, se réfugiant dans leurs antithèses. Une bonne partie de l’histoire intellectuelle de l’humanité a tenté d’ignorent les égalités ou transformer des inégalités en égalités. Indulgent, bâclée, délirant illogisme est généralement collectif. Chaque âge a ses refuges particulières. Notre époque a rejeté les mathématiques de la dette. Ce qui logiquement ne peut se produire, une inégalité perpétuelle — consommation supérieure à la production — est devenu le fondement de l’économie mondiale. Comme le slogan pour notes Zero Hedge: « sur une assez longue chronologie le taux de survie pour tout le monde tombe à zéro." Dans la même veine, sur une assez longue chronologie, la consommation est égale à la production. Comprendre que l’égalité, et l’avenir vient en relief saisissant.
Carter était le point focal de la dernière crise de la dette. Financement de la vieillesse — pensions et programmes de soins médicaux — pourrait bien jouer ce rôle lors de la prochaine. Le calcul est simple : au fil des contributions de temps et d’investissement retourne (le cas échéant) doit être égale à prestations promises. La réalité actuelle est également simple : contribution globale, même si augmentée par les rendements des investissements sterling, sera suffisamment loin pour financer les prestations promises. Les politiques actuelles de gouvernement et Banque centrale aggravent la situation, rendant la réalisation de l’investissement même minime retourne problématique. La structure de paiement à l’utilisation de nombreux fonds de vieillesse, tels que la sécurité sociale et assurance-maladie, ne permet pas du tout pour des rentabilités de capitaux engagés.
Il est facile pour les politiciens promettent des avantages et supposons que les rendements des investissements élevés. Il est beaucoup plus difficile de faire sa contribution obligatoire, dont les bienfaits sont à long terme et ne promettent aucun gain politique immédiate, et de réaliser effectivement le rendement des placements présumés. Financement d’un fonds de vieillesse peut persister pendant des années, surtout si le fonds emprunte de l’argent. En tout cas intérêt positif, empruntant davantage déséquilibre l’équation ; service de la dette l’emportent toujours sur les fonds reçus. Retards seules dette le jour quand les promesses sont brisées et les prestations versées sont réalignées avec ce qu’a fait le fonds. Grèce, Detroit et Porto Rico sont les premiers chapitres de ce qui promet d’être un livre très épais.
Bon nombre des gouvernements face à déséquilibre actuariel font de leur mieux pour empirer les choses. Contributions au Fonds de vieillesse proviennent de l’économie réelle, qui est également où les rentabilités de capitaux engagés sont générées. S’il y a un gouvernement sur la planète qui a amélioré le fonctionnement de son économie au cours des dernières décennies, nous ne connaissons pas de celui-ci. Diminution de la croissance (charitablement définie que celle évalués par les chiffres officiels du gouvernement) aux États-Unis, l’Europe et le Japon, la Chine confirme cette affirmation. Le registre fédéral croissant est emblématique de sauvage de régulateurs allés, pas seulement aux États-Unis, mais partout dans le monde, et la dette est un « cadeau » qui maintient en prenant. La plupart des tas de $ 225 billions du monde de la dette a payé pour la consommation ou la spéculation de zéro somme. Par définition, ces activités ne génèrent pas un rendement supérieur de service de la dette, par conséquent leur dette associé agit comme un frein économique.
Retourne des banques centrales en poussant vers le bas taux d’intérêt, dans de nombreux cas de territoire négatif, tue des fonds vieillesse dépend de l’investissement. La plupart de ces fonds sont toujours en supposant qu’ils peuvent générer un annuel 6 ou 7 pour cent du retour, mais si les taux d’intérêt sur la dette sans danger sont dans le 2, 1 ou -1 gamme de pourcentage, ils doivent prendre plus de risques pour atteindre leurs cibles. Prenant plus de risque : investir davantage dans les actions et d’obligations à long terme. Par la plupart des mesures, les stocks sont à l’extrémité supérieure de leur évaluation, et est particulièrement risquée avec les gouvernements et l’augmentation de la dette gommage économies d’investir en eux. Obligations à long terme sont plus sujets au risque de taux d’intérêt devrait banques centrales se trouvent incapables de continuer à supprimer les tarifs.
Telle répression encourage la dette et décourage économie. La dette n’a de sens lorsqu’elle est utilisée pour générer un rendement supérieur aux coûts du service de la dette. Sauver ce fonds d’investissement productif, est le véritable fondement du progrès à long terme et la croissance économique. Diminution des économies plus érodent la capacité de l’économie réelle à financer les contributions nécessaires pour maintenir la solvabilité des fonds vieillesse. Avoir des enfants est considéré comme « économie » pour la sécurité de la vieillesse et dans les pays moins développés, c’est souvent le cas littéral si, des contributions sont également confrontées à un déficit démographique « économies ». Dans pratiquement tous les pays développés, y compris la Chine, dans les prochaines décennies le pourcentage de personnes âgées va considérablement augmenter par rapport à la population plus jeune qui les soutiendra soi-disant (voir les liens ici et ici).
Promis vieillesse, prestations sont pour les revenus et les soins médicaux, et le déficit de financement pour ce dernier est encore plus grand que le précédent. Aux États-Unis, des décennies d’intervention gouvernementale en médecine ont produit une séparation presque complète de ces soins récepteur de ceux qui paient pour cela, concurrence destructrice, coût croissant de concentration dans le médical, médicament et industries des assurances et maintenant l’Obamacare, qui a exacerbé les problèmes existants et créé de nouveaux. Elle s’appuie sur le subventionnement sain le malsain et le plus riche en subventionnant le moins. Sans surprise, les sujets sains et riches sont fuyant ou subvertir le système et les compagnies d’assurance fuient les marchés non rentables. Ceux qui restent sont à la recherche des augmentations de prime très lourd. Donc ajouter des systèmes de santé d’assurance maladie et coûteuses, compliquées et inefficaces pour les facteurs contribuant à la vieillesse insoutenable inégalité de financement.
Que l’inégalité propulse l’endettement global, qui a tapissé sur les déficits de montage. Cela fonctionne jusqu'à ce qu’il ne marche pas. Écrasant, prix des matières premières, pulvérisation des économies, les efforts frénétiques, contre-productif des gouvernements et banques centrales et la hausse des taux de dépendance (le ratio de la personne à charge à ceux qui les soutiennent) signifient que le calcul est à portée de main. Si quelqu'un veut il ou plans pour cela, les avantages vont pour s’aligner sur les ressources effectivement disponibles à payer des prix eux, juste comme maison alignés avec la réalité économique au cours de la dernière crise. Malheureusement, cet alignement sera beaucoup plus sévère que celui-là.
Opération Barbarossa 2 : Surpopulation et financement de la troisième guerre mondiale
Par Peter Koenig Le 14 mars 2016 – Source informationclearinghouse
«Les guerres sont horribles. La seule bonne chose à propos des guerres, est qu’elles aident à réduire la population mondiale.»
Ce sont les mots qui m’ont été jetés au visage il n’y a pas si longtemps, par une personne que je pensais proche de moi. J’étais en état de choc et je lui ai demandé ce qu’elle voulait dire ?
«Eh bien, vous ne pensez pas que le monde est trop peuplé?»
Je ne pouvais pas croire que ce soient les pensées de quelqu’un que j’avais respecté. Elles peuvent bien être les pensées des gens ordinaires autour de moi. En ouvrant les yeux sur une dimension que j’avais ignorée jusque-là, les pensées secrètes et les rêves de gens, peut-être des masses même, ont commencé à se révéler. Ces pensées qui sont exprimées uniquement dans une ambiance de familiarité, ou peut-être sous influence, dans un moment où souvent les vérités les plus intérieures viennent au premier plan.
La surpopulation est un fantasme égocentrique occidental. La population opulente de l’Ouest a peur d’avoir à partager une partie de ses excédents avec les sous-humains pauvres des pays dits en voie de développement en Asie, en Afrique et en Amérique latine – les continents émergeant lentement, qui ont été violés pendant des centaines d’années par exactement les mêmes colonialistes occidentaux qui, aujourd’hui, se plaignent de la surpopulation et de la guerre des salaires dans le monde entier, dans une nouvelle forme de colonialisme.
Selon la FAO – Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture – le potentiel agricole actuel de la planète pourrait nourrir au moins 12 milliards de personnes, si seulement la nourriture n’était pas soumise à la spéculation et était correctement distribuée. Mais ce n’est pas le cas. Les spéculateurs sur les cultures alimentaires aux États-Unis et en Europe commandent les prix par la famine. Ils contrôlent littéralement qui peut vivre et qui doit mourir.
Selon la Banque mondiale, 80 % des hausses des prix de la nourriture qui ont conduit aux famines de 2008/2009, précipitant la mort de 2 millions de personnes en Asie et en Afrique [Il aurait été intéressant de sourcer ces chiffres dans l’article, NdT] ont été le résultat de la spéculation alimentaire. Il y a trois semaines, le gouvernement suisse a recommandé à son électorat de rejeter une initiative populaire d’origine socialiste contre la spéculation alimentaire. Leurs principaux arguments étaient le déni que la spéculation alimentaire ait causé la famine; et «si nous interdisons la spéculation alimentaire, les spéculateurs vont quitter la Suisse et aller faire leur profit ailleurs». Dans la pensée néolibérale dominante, Profit über Alles [Référence à Deutschland über Alles, l’hymne allemand, NdT], l’éthique n’a pas sa place. Le peuple suisse a obéi et rejeté l’initiative avec une marge de près des deux tiers. Les centres financiers de Zurich et de Genève, en Suisse, contrôlent certains des plus grands spéculateurs alimentaires dans le monde. Les infâmes pratiques commerciales spéculatives de la place financière Suisse sont bien vivantes.
Les pensées et les désirs clandestins de réduction de la population et de guerres lointaines, sont les résultats inconscients les plus visibles de décennies d’horrible propagande occidentale, qui cherchent d’une façon ou d’une autre un consensus populaire autour du principe que les guerres sont nécessaires, normales. Les guerres sont ce que les gens vivent depuis le début. Quel début? Très certainement le début de l’ère judéo-chrétienne atrocement violente, guidée par la cupidité, il y a six mille ans.
Les guerres sont la quintessence de notre existence occidentale, la quête finale pour le pouvoir sur l’univers. Et les guerres sont essentielles pour la survie de notre système économique occidental basé sur la croissance. Les guerres créent des besoins pour plus de guerres et de conflits armés, les guerres propulsent un cercle vicieux de dépendance envers les conflits. Nous avons créé dans nos économies occidentales une dépendance à la guerre si grossière, que par exemple l’économie américaine (sic) ne pourrait plus subsister sans guerres. Les guerres tuent et détruisent; et la reconstruction crée de la croissance. Les meurtres de masse permettent la diminution de la population mondiale, un objectif clé de la crème de l’élite, comme les Rockefeller, les fondateurs d’organisations semi-occultes comme la Société Bilderberg.
La justification de conflits permanents et de meurtres, est précisément ce que les médias occidentaux propagent chaque jour, la terreur qui doit être combattue par les guerres. S’il n’y a pas assez de terreur pour rationaliser une guerre, la terreur doit être fabriquée par des actes sous faux drapeau. L’Occident [les élites… NdT] a perfectionné la science de la construction d’opérations sous faux drapeau, de manière si crédible que les masses crient pour plus de protection policière et militaire; de manière si crédible que les masses veulent plus de guerres dans des endroits lointains d’outre-mer, plus de guerres pour leur protection, pour la protection de leur confort; de manière si crédible que les sociétés occidentales offrent volontiers leurs droits civils, pour obtenir plus de protection policière et militaire. À titre d’exemple, à la suite des attaques terroristes de janvier et de novembre 2015 à Paris, le président Hollande a tenté de rendre permanent l’état d’urgence dans la Constitution française. Jusqu’à présent, il a été bloqué par le Parlement.
La propagande, maintenant comme en d’autres temps, répand la peur. Quand l’homme a peur, il est plus vulnérable et peut facilement être manipulé.
Reprenant l’excellente analyse de Christopher Black sur les préparatifs de l’Ouest pour attaquer la Russie, à savoir démarrer la Troisième Guerre mondiale, qu’il appelle l’Opération Barbarossa 2 : Le gambit de la Baltique, voici quelques réflexions complémentaires sur la façon dont cette opération ressemble à l’Opération Barbarossa originale – nom de code pour l’attaque d’Hitler contre l’URSS pendant la Seconde Guerre mondiale.
Aujourd’hui, les similitudes entre ce que Chris Black appelle Barbarossa 2 et l’opération Barbarossa originale abondent. Cela commence par l’aide des corporations du Big Business (CBB) et de Wall Street (WS), pour laisser le fascisme s’avancer pour le pouvoir mondial. Cela passe par la propagande et la campagne de mensonge de six méga-sociétés médiatiques anglo-saxo-sionistes, jusqu’au financement des opérations de guerre elles-mêmes.
La Seconde Guerre mondiale, qui a tué plus de 50 millions de personnes, dont environ la moitié étaient des Russes, était financée par la Fed via Wall Street et par la Banque des règlements internationaux (BRI) à Bâle en Suisse. Le livre sur lequel est basé cet article de journal allemand, est Bankgeschäfte mit dem Feind – Die Bank für Internationalen Zahlungsausgleich im Zweiten Weltkrieg (1997), par Gian Trepp, et il décrit les transactions dans le détail – mais, de manière surprenante, il n’est plus disponible, et il n’a apparemment jamais été traduit en anglais. Cependant, La Tour de Bâle complète et corrobore très bien le récit de Gian Trepp.
Les deux guerres mondiales, et à Dieu ne plaise, la WWIII le sera – étaient dirigées vers l’Est. La première cible étant la Russie. La Chine est déjà dans la ligne de mire d’une attaque et de la conquête de ces classes élitistes. L’élite du CBB est aux commandes du Pentagone et, par extension, des vassaux de l’OTAN américain. Cette crème de la crème prétendant diriger le monde, se cache derrière de viles organisations comme la Société Bilderberg, la Commission Trilatérale, le Conseil des relations étrangères (CFR), Chatham House, le Forum économique mondial, et plus encore.
Les Clinton, Kerry, Obama, Hollande, Cameron de ce monde, ainsi que les chefs des instigateurs du consensus de Washington, la Fed, la Banque mondiale, le FMI; de la soi-disant Banque centrale européenne, rejoint par les PDG de WS, le complexe militaro-industriel, les médias de communication de masse, le big pharma – pour n’en citer que quelques-uns – sont membres de la plupart de ces organisations entrelacées et semi-secrètes.
Beaucoup de ces dirigeants sont des sionistes ou des partisans du sionisme mondial. Ils sont tous ensemble au sommet, à travers des pactes opaques et sinistres. Les francs-maçons, symbolisés par le triangle avec l’œil vigilant en haut au centre, comme représenté sur le billet de un dollar. Ils sont les créateurs de la Fed et de notre système monétaire occidental, sorte de casino frauduleux. Ils gouvernent déjà le monde. Leur emprise se resserre chaque jour jusqu’à un point de non-retour, si nous, les gens, laissons faire.
Ici, nous arrivons à des analogies entre la Seconde Guerre mondiale et les préparatifs de la Troisième Guerre mondiale. Dans les années 1930 et tout au long de la Seconde Guerre mondiale, IBM, alors l’une des plus grandes sociétés américaines, a collaboré étroitement avec Hitler, l’aidant à organiser la Shoah pour la comptabilité, l’enregistrement et enfin le transport des juifs jusqu’à leurs camps d’extermination d’Auschwitz et d’autres, grâce aux premiers ordinateurs à cartes perforées.
Hitler a décerné au fondateur d’IBM, Thomas Watson, la Croix du Mérite (deuxième plus haute distinction de l’Allemagne).
On peut citer d’autres collaborateurs comme Ford, General Motors, DuPont le géant chimique, ainsi que l’empire médiatique Randolph Hearst, pour ne citer que quelques-uns, qui admiraient le Führer pour son leadership disciplinaire. Ils ont fermé les yeux sur les atrocités nazies quand les affaires rentables ont surgi. Corporate America a fourni l’arsenal du nazisme d’Hitler.
Aujourd’hui, on assiste à quelque chose de semblable : les corporations américaines, européennes et les grands médias occidentaux, main dans la main, promeuvent et soutiennent une approche fasciste en dénigrant et en écrasant la Russie, indépendante et non-alignée, puis ce sera la Chine – tout cela en accord avec les objectifs du PNAC (Plan for a New American Century) de domination totale sur les ressources dans le monde entier et sur tous les peuples.
L’une des attaques physiques les plus récentes a commencé avec le maintenant bien documenté coup d’État nazi fomenté par l’Occident contre le dirigeant démocratiquement élu de l’Ukraine, M. Viktor Ianoukovitch, et son remplacement par un gouvernement fasciste, par le coup d’État sanglant de février 2014 de Maïdan à Kiev – et en blâmant la Russie pour la guerre civile qui a suivi. En réalité c’est l’OTAN qui a soutenu le massacre dans la région orientale de l’Ukraine, le Donbass, tuant au moins 40 000 personnes, pour la plupart des civils et provoquant quelques 2 millions de réfugiés. L’objectif de cette initiative occidentale meurtrière est double : le déplacement de l’OTAN plus près de Moscou et la privatisation des riches terres agricoles et minérales de l’Ukraine par le capital occidental.
Qui finance Barbarossa 2, l’aventure de la guerre des États-Unis / OTAN en préparation de la Troisième Guerre mondiale?
Le coût est difficile à évaluer, mais pourrait facilement atteindre 1000 milliards de dollars, ou même plus. C’est ici que la Fed et la BCE peuvent intervenir et on peut faire un parallèle avec l’opération Barbarossa, où la Fed, via WS, et la BRI, ont financé l’Holocauste et la guerre d’Hitler contre la Russie. Serait-ce la raison de la tolérance de la BCE vis-à-vis de certains pays de la zone euro, lors de ces deux dernières années, produisant plus d’euros que les règles de la BCE ne le permettaient – en France et en Italie, probablement aussi en Pologne et dans d’autres pays? Ce nouvel argent, généré à hauteur d’au moins 500 milliards d’euros (au-delà des quotas permis par la zone euro), achète des obligations d’État, et par conséquent finance la dette publique.
Avec ce que nous savons maintenant sur la façon dont la Seconde Guerre mondiale a été financée, serions-nous surpris si la Fed et la BCE pilotée par WS (rappelez-vous, Mario Draghi est un ancien manager de Goldman Sachs) devaient suivre les instructions de Washington de fermer les yeux sur les limitations des ratios d’endettement de la zone euro ? Cela pour produire, comme le fait la Fed avec ses dollars, des euros sans valeur pour financer une future Troisième Guerre mondiale ? Ce ne serait que la copie de la formule de financement Fed / WS / BIS de la Seconde Guerre mondiale. L’Empire du Chaos a comme toujours deux fers au feu : le financement d’une nouvelle guerre avec la Russie par la dette imposée par Washington à ses alliés vassaux européens, les sanctions contre la Russie par ces mêmes vassaux de l’UE, qui acceptent volontiers les conséquences économiques néfastes pour eux-mêmes, alors que la machine de guerre de la nation exceptionnelle des États-Unis va en récolter les fruits pour son industrie d’armement. Et au même moment, Obama n’a pas empêché les représentants des entreprises des États-Unis d’assister au Forum international du business en Russie, qui se tiendra en juin prochain à Saint-Pétersbourg.
Quand est-ce que Nous le peuple, allons ouvrir les yeux sur ces atrocités flagrantes et sur les tromperies manipulatrices de l’élite ?
Peter Koenig est un économiste et analyste géopolitique. Il est également un ancien personnel de la Banque mondiale et a beaucoup travaillé dans le monde entier dans les domaines des ressources de l’environnement et de l’eau. Il écrit régulièrement pour Global Research, ICH, RT, Sputnik, PressTV, Counterpunch, TeleSur, The Vineyard of The Saker Blog, et d’autres sites Internet. Il est l’auteur d’Implosion – Un Thriller économique à propos de la guerre, la destruction de l’environnement et de la cupidité des Corporates – fiction basée sur des faits et sur 30 ans d’expérience de la Banque mondiale dans le monde entier. Il est également co-auteur de l’Ordre mondial et la révolution! – Essais de la Résistance.
Traduit par Hervé, relu par nadine pour le Saker Francophone Liens Voici en lien l’article de MrMondialisation dont est tirée l’image de l’article
Allons-nous être écrasé par la surpopulation ?
Note du Saker Francophone
On ne peut qu'abonder dans le sens de Peter d'un point de vue moral: qui veut affamer des populations ? Mais en se focalisant sur l'aspect moral, il passe à côté d'une certaine complexité sur laquelle on ne peut faire l'impasse. Les populations sont à la fois victimes et outils (soldats, migrants). Mais la surpopulation est réelle par endroits si, par surpopulation, on entend un espace où la population n'est pas en auto-suffisance alimentaire réelle ou possible. Les villes sont donc toutes surpeuplées si elles n'ont pas un bassin agricole proche; l’Égypte est surpeuplée, le Nigeria aussi, la Chine probablement, qui importe massivement de la nourriture (avec un facteur aggravant lié à la pollution) et bien sûr le plus fragile certainement, l'Arabie Saoudite. Si on peut imaginer que l'agro-business peut nourrir 12 milliards de gens, on peut aussi facilement penser que s'il échoue, les conséquences seront effroyables.
Il suffit de regarder les densités de population d'il y a un siècle pour mesurer l'ampleur des risques. Là encore, il faudrait dare-dare reprendre le pouvoir pour mettre chaque peuple en face de ses propres risques, mettre en commun les moyens pour que chacun puisse faire sa transition démographique à son rythme, en garantissant un système de fin de vie acceptable partout, par exemple pour faire baisser la pression.
Contrairement à la doxa, la baisse de la population en Europe n'est pas une mauvaise chose si cela laisse de l'espace à la Biosphère pour réguler nos excès. Sinon on va laisser le soin à Bill Gates et consorts de régler le problème, lui qui explique que la vaccination «peut aider à faire baisser la population» (sic). Nos chères élites pourraient aussi être tentées de faire monter d'un cran le fameux conflit de civilisation pour purger dans le sang les ardeurs libératrices des peuples. Il faut trouver des stratégies gagnant-gagnant pour les peuples. Elles semblent atteignables, mais au détriment de l'enrichissement et du pouvoir d'une certaine élite et de ses affiliés.
Il serait aussi utile, pour une fois, de ne pas prendre de décision à la place des populations sans savoir ce qu'elles en pensent elles-mêmes. Comment se voient-elles à l'avenir dans leur dimension démographique, dans leur rapport à notre modernité ? Vastes questions ?
Pour la seconde partie, Hollande parmi les grands manipulateurs de ce monde... Comment dire ? L'auteur mélange sans doute un peu les marionnettes et les marionnettistes. On peut en rester à l'article de Brandon Smith sur les élites, qui donne plus de détails sur cette réalité. Mais son parallèle avec le financement de la Seconde Guerre mondiale est intéressant. Il reste que la valeur de l'argent ne vaut que si tout le monde l'accepte, et la dé-dollarisation de la Chine ou de la Russie est un sacré problème pour Wall Street. C'est sans doute une des raisons de fond du Russian bashing actuel. Il faut briser les Russes pour reprendre le plan.
Il n'y a pas de 'surpopulation' présente sur Terre mais une concentration volontairement politicienne des 'responsables de l'urbanisme' qui crée des problèmes en mettant trop de monde autour d'un seul robinet. Notre planète est parfaitement capable d'accueillir 10 fois plus de personnes qu'aujourd'hui et de lui fournir à manger et à boire à tous.
Notons qu'il existe (opérationnelles depuis des décennies) des stations HAARP comme à Gakona (AK) ou à Sura (Russie) capables de créer ou de fondre les nuages comme de les déplacer et faire pleuvoir ou pas dans telle ou telle région.
Aujourd'hui, 90 % de la population planétaire vit dans l'hémisphère Nord et, cela crée des problèmes de distributions d'éléments vitaux pour tous.
Notre planète se dirige vers un refroidissement (réalité scientifique) et donc il a tout lieu de mettre en place des programmes d'agriculture sous serres afin de permettre de travailler/cultiver le sol 365 j par an.
Vol EgyptAir MS 804 : un crash en panne de vérités
Nicolas JACQUARD, AVEC Thimothée BOUTRY ET Jean-Marc DUCOS Le Parisien sam., 04 juin 2016 17:43 UTC
Commentaire : Un article ou l'on apprend finalement qu'un dialogue a eu lieu entre l'avion et le contrôle aérien égyptien peu avant le crash. Vu qu'il s'agit d'un avion civile, l'échange était sûrement sans aucun encodage et forcement capté par les services de renseignements des autres pays. Qu'y a-t-il a cacher ?
Les causes de la catastrophe aérienne, qui a fait 66 morts dont 15 Français dans la nuit du 19 au 20 mai, restent mystérieuses. Enquête marquée par la très grande discrétion de l'Egypte.
Au large de l’Egypte, le 22 mai. La priorité des militaires français envoyés sur la zone de recherches est de retrouver les boîtes noires de l’appareil. Deux semaines après la disparition en mer du vol MS 804 et alors que le signal d'une des boîtes noires a été détecté mercredi, les questions demeurent plus nombreuses que les certitudes. S'il en est une, c'est bien que la communication des autorités égyptiennes est aussi opaque que les fumées détectées à plusieurs reprises par les systèmes de l'Airbus A320.
Une poignée de minutes avant que l'avion ne quitte les écrans radars, des messages automatiques Acars ont évoqué un début d'incendie. D'autres transmissions identiques, comme nous le révélions jeudi, avaient été émises à trois reprises dans les vingt-quatre heures précédant le crash.
Cinq messages de détection de fumée
A 0 h 26, le système Acars, qui sert à préparer la maintenance au sol de l'avion, communique à la compagnie une détection de fumée dans les toilettes avant. A 0 h 27, c'est dans la soute « avionique » que des fumées se diffuseraient. Ce compartiment, dans lequel un homme peine à se tenir debout, est à l'aplomb du cockpit. « On y accède par une trappe sous les pieds des pilotes, décrit un ingénieur avionique ayant travaillé sur A 320, notamment pour Air France. C'est là que se trouve le cerveau électronique de l'avion. » L'appareil, mis en service en 2003, avait, dans les vingt-quatre heures précédentes, effectué un aller-retour à Asmara (Erythrée), puis un à Tunis, avant de s'envoler pour Roissy où il était arrivé à 22 heures mercredi, pour repartir un peu plus d'une heure plus tard. Lors des précédents vols, trois alertes de détection de fumée ont donc déjà été transmises par l'Acars, sans que l'on en connaisse précisément la nature.
Comment ces données ont-elles été traitées ? C'est là une question cruciale. L'Acars est transmis à la fois aux serveurs de la compagnie et au poste de pilotage. Entre ses trois différents vols, l'équipage de l'avion a changé. « Une fois au sol, la procédure est standard, poursuit cet ingénieur. Le commandant note les dysfonctionnements. Les personnels examinent le carnet rouge pour la partie électronique, vert pour la mécanique. » Si rien n'est à signaler, « on ne pénètre pas dans la soute avionique », reprend le même. En revanche, « un message de détection de fumée conduit obligatoirement à de plus amples investigations ». Ont-elles été faites lors des précédentes escales ou à Roissy ? Rien ne l'atteste pour l'instant. « En tout cas, s'il n'est resté qu'une heure à Charles-de-Gaulle, c'est que l'on s'est contenté d'un examen visuel de l'appareil », évoque notre ingénieur, qui peine à comprendre l'enchaînement des faits. « En cas de signal de détection de fumée, même impromptu, on ne laisse pas repartir l'appareil comme ça, avance-t-il. D'autant que l'instrumentation de bord, dans la soute avionique, se change facilement. Il s'agit de sortes de boîtes que l'on enlève et remet en place. On ne va pas chercher dans les composants. »
La thèse de l'attentat s'éloigne
Un tel enchaînement de messages, sans la battre complètement en brèche, amenuise l'hypothèse d'un attentat qui, « de plus en plus, relèverait d'un scénario à la James Bond », estime ce proche du dossier. Les Acars ne livrent rien de l'origine des fumées. D'emblée, les autorités égyptiennes ont évoqué une piste terroriste, « plus probable que celle d'une défaillance ». Pourtant, rien n'est venu l'étayer, à commencer par une quelconque revendication. A l'inverse, l'histoire de l'aviation regorge de précédents incendies aux conséquences funestes. En 1980, 301 personnes étaient décédées dans l'embrasement d'un Lockheed de la compagnie Saudia, l'incendie ayant pris dans une soute. En 1998, c'est un probable court-circuit sur l'un des systèmes de divertissement (les écrans passagers) d'un McDonnell Douglas de Swissair qui entraîne la perte de l'avion et de ses 229 occupants. En 2007 encore, un Boeing 737 de China Airlines est ravagé par les flammes, sans qu'il y ait de victimes. Le feu peut tout aussi bien prendre dans des « torons », ces câbles utilisés dans l'aviation, que sur des bobines ou autres condensateurs. Si les toilettes d'A320 sont équipées d'extincteurs intégrés automatiques, « ce n'est à ma connaissance pas le cas pour la soute avionique, se remémore cet ingénieur. Il faut une intervention humaine, à l'aide d'extincteurs à main spécifiques à l'aviation ».
Comme l'avait révélé M 6, le capitaine du MS 804 a communiqué avec Le Caire au moment du drame. Qu'a-t-il dit ? Mystère. Au fil de ces deux dernières semaines, la communication erratique des autorités égyptiennes est venue grever un peu plus la faible confiance qu'avaient en elles les professionnels de l'aéronautique, notamment suite à l'enquête parcellaire menée dans le cadre du crash de la Flash Airlines, à Charm-el-Cheikh en 2004. « Avec les Egyptiens, ça cogne dur », confirme un enquêteur français. En théorie, de telles investigations reposent sur une « coopération sincère » entre les différents pays. On en est loin. « C'est l'Egypte qui dirige l'enquête. Et l'oriente, accuse cette même source. Tout nous laisse penser qu'ils veulent réécrire l'histoire. » Pour l'intéressé, la meilleure preuve en est ce silence radio observé sur la maintenance de l'appareil. « Le problème, c'est que le BEA est sous leur autorité, et qu'ils auront la main sur le rapport d'enquête final. » « Il a fallu trois jours pour que l'existence des messages Acars soit connue, note en écho François Nénin, journaliste spécialisé. Dans le même temps, l'Egypte a mis trois mois a reconnaître que l'avion de Metrojet, en octobre, avait bien été détruit par un attentat, que Daech avait revendiqué le jour même... »
L'inquiétude des familles
Ces doutes, les familles des victimes les partagent. « On ressent une inquiétude croissante de leur part quant à la réalité de la coopération franco-égyptienne », raconte Stéphane Gicquel, secrétaire général de la Fédération nationale des victimes d'attentats et d'accidents collectifs (Fenvac). L'association déplore que « les familles ne sont pas suffisamment informées des évolutions des investigations. C'est très difficile à vivre ». Autre source d'angoisse : l'identification des corps. « Les proches apprécieraient que l'Egypte envoie un signal fort, en sollicitant par exemple la coopération de l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale », relaie Stéphane Gicquel. Sans aller jusque-là, l'Egypte a fait appel à un prestataire spécialisé dans l'assistance post-catastrophe, Kenyon International. C'est cette même société qu'avait sollicitée Lufthansa après le crash de la Germanwings.
Le triste enfer de la Syrie : la mort de civils et les «rebelles modérés» protégés par les EEUU
Russia Today dim., 05 juin 2016 10:57 UTC
270 civils ont perdu la vie ces dernières heures en Syrie, après de nombreux combats menés par différents groupes armés. Profitant des conditions d'application cessez-le-feu, les «rebelles modérés» et le Front Al-Nosra ont mené plusieurs attaques. De nouvelles opérations militaires ont fait plusieurs centaines de victimes ces dernières 24 heures en Syrie. Plusieurs groupes armés sont impliqués, bénéficiant des conditions d'application du cessez-le-feu.
Le triste enfer qu'est la Syrie Tout d'abord, le Front Al-Nosra, affilié à Al-Quaïda, aurait lancé une opération sur la ville d'Alep, dans le quartier Sheikh Maqsood contrôlé par les milices kurdes. Les affrontements auraient fait plus de 40 morts et une centaine de blessés. « Après un bombardement d'artillerie massif et des attaques répétées menées par les combattants des groupes terroristes du Front al-Nosra et d'Ahrar al-Sham sur les positions kurdes, ces derniers ont quitté leurs positions dans le quartier Sheikh Maqsoud d'Alep et se sont repliés», a confirmé dans un communiqué un porte-parole du Centre russe pour la réconciliation en Syrie, samedi 4 juin.
Comment les combattants d'Al-Nosra ont-ils pu mener cette opération sans subir les représailles de l'aviation russe ? Les autorités russes ont reçus la demande de la part des Etats Unis de ne pas viser Al-Nosra, de crainte «de toucher l'opposition modérée». En effet, les troupes d'Al-Nosra sont présentes dans les mêmes quartiers et les mêmes régions que les «rebelles modérés» (le groupe Ahrar Al-Sham notamment).
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergey Lavrov, a déclaré le 4 juin 2016 que les États-Unis avaient demandé à la Russie de ne pas frapper al-Qaïda en Syrie.
Dans la région d'Idleb, les forces qualifiées par Washington de « rebelles modérées » sont mêlées à celles du Front al-Nosra, branche syrienne d'Al-Qaïda. L'accord de cessation des hostilités du 27 février dernier prévoyait que les Forces soutenues par les États-Unis se sépareraient des groupes listés « terroristes » par l'Onu. Mais cela n'a pas été le cas.
Officiellement, al-Qaïda a conçu et perpétré les attentats du 11 septembre 2001 qui firent 2 977 morts. Les États-Unis sont entrés en guerre contre l'Émirat islamique d'Afghanistan et contre l'Irak notamment au motif du soutien qu'ils auraient apporté à al-Qaïda (même si depuis, Washington a admis que l'Irak n'était en réalité pas impliqué).
Au cours des dernières années, al-Qaïda a financé l'AKP turc, aidé l'Otan à renverser la Jamahiriya arabe libyenne, et fait du « bon boulot » en Syrie selon l'expression de Laurent Fabius.
Depuis la publication du livre de Thierry Meyssan, L'Effroyable imposture, la plupart des États membres de l'Otan qualifient la contestation de la culpabilité d'al-Qaïda dans les attentats du 11-Septembre de « complotiste ». (Réseau Voltaire) Au même moment, plus de 1 000 combattants issus du quartier «Al-Ansari» de la ville d'Alep, lui aussi contrôlé officiellement par des «rebelles modérés», ont attaqué les positions de l'armée régulière syrienne. Et toujours à Alep, le groupe armé Jaysg al-Islam, (qui participe régulièrement aux pourparlers organisés par l'ONU) aurait bombardé de nombreux quartiers de la ville à coup de mortiers.
Des attaques terroristes ont aussi été rapportées dans les villes de Homs, Lattaquié, Damas et Deraa.
Malgré le nombre croissant de groupes armés qui rejoignent le cessez-le-feu entré en vigueur le 27 février et négocié par la Russie et les Etats-Unis, la trêve est loin d'être complètement respectée.
Depuis de nombreux mois, la Russie réclame que soient exclus des négociations des groupes tel que Ahrar Al-Sham et Jaysh al-Islam. Moscou considère que ces factions ne sont que des organisations terroristes, au même titre que le Front Al-Nosra ou l'Etat Islamique.
-- Commentaire : Lire aussi : - Les terroristes modérés, une nouvelle élucubration de la CIA - Alerte désinformation ! En Syrie, l'ASL et Al-Nusra enlèvent des centaines de civils, dont des femmes - Obama veut financer le terrorisme modéré - La Maison Blanche avoue enfin son aide létale contre la population syrienne - Le rapport de l'ONU sur la Syrie innocente les terroristes -- - voir clip sur site:
Pires rapports sur les emplois à près de 6 ans – travail 102 millions américains en âge de travailler n’ont pas d’emplois
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 3 juin 2016
C’est exactement ce que nous avons été attend de se produire. Vendredi, le Bureau of Labor Statistics a annoncé que l’économie américaine a ajouté seulement 38 000 emplois en mai. C’était bien en dessous des 158 000 emplois que prévoyaient les analystes, et c’est aussi bien en dessous de ce qu’il faut juste faire face à la croissance démographique. En outre, le nombre d’emplois créés en avril a été revu à la baisse de 37 000 et le nombre d’emplois créés en mars a été revu à la baisse de 22 000. C’était le plus mauvais rapport sur l’emploi à près de six ans, et le consensus de Wall Street, c’est que c’était un désastre complet.
Le plus drôle est que l’administration Obama dit que le taux de chômage est effectivement descendu le mois dernier. Presque tous les mois depuis Obama est à la maison blanche, un grand nombre d’américains qui ont été au chômage pendant une très longue période est déplacé dans la catégorie « chômage » à la catégorie "pas dans la population active". Il en est résulté une baisse régulièrement « taux de chômage » même si le pourcentage de la population qui est en train de travailler n’a pas changé grand-chose à tous depuis les profondeurs de la dernière récession.
Le Bureau of Labor Statistics affirme que le nombre d’américains "pas dans la population active" ont augmenté de 664 000 d’avril à mai. Si vous croyez cela, j’ai un pont géant sur la côte ouest que je tiens à vous vendre. Le taux de participation de force de travail est maintenant à 62,6, et c’est en vol stationnaire juste au-dessus une bas 38 de l’année.
Lorsque vous ajoutez le nombre d’américains qui sont « officiellement au chômage » en âge de travailler (7,4 millions) le nombre d’américains qui sont considérés comme "non à la population active" en âge de travailler (un record record de 94,7 millions), vous obtenez un total de 102,1 millions d’américains qui n’ont pas d’emploi dès maintenant en âge de travailler.
Ce n’est pas un jeu.
Jusqu’en 2016, les trois membres de ma famille élargie ont perdu leur emploi.
Selon Challenger, Gray & Christmas, mises à pied à grands firmes sont en cours d’exécution supérieur à 24 pour cent jusqu'à ce point en 2016 qu’ils étaient durant la même période en 2015.
C’était seulement une question de temps avant que ces licenciements a commencé à apparaître dans les chiffres de l’emploi du fonctionnaire, et je m’attends que cette tendance va accélérer dans les mois à venir.
Et voici quelques autres numéros neuf pour que vous considériez...
- Depuis que Barack Obama est entré à la maison blanche, 14,179,000 américains ont "laissé le travail force" selon le Bureau of Labor Statistics.
(suite en dessous:)
- La qualité de notre travail continue à se détériorer. En mai, 59 000 emplois à temps plein ont été perdus, mais 118 000 emplois à temps partiel ont été acquis.
RépondreSupprimer- Depuis septembre 2014, 207 000 emplois ont été perdus.
- Nous venons d’apprendre que les commandes usine américaine ont diminué une fois de plus. Ceci marque le 18ème mois consécutif que cela a eu lieu, et nous n’avons jamais vu une telle baisse prolongée en dehors d’une récession majeure.
"Récession indicateurs" de - JPMorgan sont sont envolées tout au plus haut niveau que nous avons vu depuis la dernière récession.
Inutile de préciser que la communauté financière est assez horrifiée par l’ensemble de ces nouvelles. Ils attendaient un rapport sur l’emploi beaucoup mieux, et beaucoup d'entre eux ne cachent pas leur déception. Voici un exemple du Wall Street Journal...
"Il s’agissait d’une raté sans réserve d’un rapport sur l’emploi", a déclaré Curt Long, économiste en chef à la National Association de Federal Credit Unions, notant "le taux de chômage a baissé, mais pour la mauvaise raison comme labor force participation a diminué pour un deuxième mois consécutif". Et voici un autre exemple qui vient de David Donabedian, directeur du chef des placements au Atlantic Trust Wealth Management...
«Nous ne trouvons pas une pépite positif dans le rapport de travail d’aujourd'hui. Si nous recherchions des signes de résistance dans ce rapport, il n’y a rien à s’accrocher à ici. »
Mais bien sûr les grands médias sont faisant de leur mieux pour mettre un spin positif sur ces chiffres. Par exemple, CNN vient de publier un article risible, intitulé "l’économie américaine est plus forte que le rapport sur l’emploi faible".
Et la maison blanche insiste sur le fait que ce nouvel emploi rapport n’est pas vraiment que les grandes d’un deal...
La maison blanche ne se « trop déçue » sur le nombre d’américains sans emploi ou sous-employés.
« J’ai été réagissant aux nombres d’emplois ici à la maison blanche depuis plus de sept ans et ce qui est vrai aujourd'hui a été le cas dans le passé, qui est, nous n’obtenons pas trop excités lorsque le nombre d’emplois est meilleurs que prévu et nous n’avons pas trop déçus lorsque les nombres d’emplois un mois sont inférieures aux prévisions, » White House attachée de presse Josh Earnest dit CNBC.
Mais bien sûr, la vérité est que c’est un très gros problème. Nous venons de recevoir une confirmation importante que l’économie américaine a glissé dans le mode de la récession.
Pendant des mois, j’ai écrit au sujet de comment, pratiquement tous les autres indicateurs a été criant qu’une nouvelle crise économique avait déjà commencé.
(suite en dessous:)
Mais le nombre d’emplois était resté assez décent jusqu'à présent. Emploi est généralement considéré comme un « indicateur de retard », ce qui signifie qu’il n’est pas l’un des premiers endroits que nous nous attendrions à voir les signes d’une récession à apparaître. Toutefois, il est inévitable que les chiffres officiels du chômage reflète un ralentissement économique par la suite, et c’est ce que nous commençons à voir maintenant.
RépondreSupprimerCe qui veut dire que vous avez probablement encore moins temps pour se préparer à ce qui est en avance que vous peut-être à l’origine pensé.
L’économie américaine est déjà entré dans les premiers chapitres de la prochaine grande crise économique, et la majorité de la population va être totalement pris au dépourvu et souffrira énormément.
Si nos dirigeants avaient pris les meilleures décisions depuis la dernière crise, choses aurait pu être différente. Mais au lieu de cela, ils ont continué à faire des affaires comme d’habitude, et maintenant nous récolterons ce qu’ils ont semé.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/worst-jobs-report-in-nearly-6-years-102-million-working-age-americans-do-not-have-jobs
Cinq raisons d'inquiétude pour l'avenir de la France
RépondreSupprimer21:08 04.06.2016
La deuxième plus grande économie de l'Union européenne offre actuellement un spectacle affligeant: ses problèmes sont tellement graves qu'ils constituent un danger pour l'ensemble de ses partenaires européens, en premier lieu pour l'Allemagne.
Telle est la conclusion tirée par les experts économiques de Die Welt, Holger Zschaepitz et Anja Ettel, qui citent cinq raisons autorisant l'UE à remettre en cause l'avenir de la France.
Peur d’un Frexit
"Au moment où tout le monde parle du référendum sur la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne (Brexit, ndlr), beaucoup ignorent d'autres problèmes qui menacent l'objectif commun consistant à bâtir une Europe puissante", écrivent les auteurs.
Un Français sur trois serait favorable à un FrexitIls citent les récentes tendances qui caractérisent le soi-disant "Index Frexit", à savoir la probabilité de voir la France quitter l'Union européenne. Parmi les principaux facteurs qui conditionnent une telle possibilité, les économistes allemands citent l'incapacité des autorités françaises d'opérer les réformes nécessaires et la popularité grandissante des forces eurosceptiques telles que le Front national de Marine Le Pen.
Selon le quotidien allemand, les récents sondages montent que 74% des Français estiment que Marine Le Pen accédera au second tour de l'élection présidentielle de 2017.
Impossibilité de dévaluer la monnaie nationale
La droite populiste allemande veut une zone euro sans la FranceL'une des préoccupations majeures concernant les rapports de la France avec l'euro consiste dans le fait que le pays ne peut pas dévaluer sa monnaie nationale pour équilibrer sa balance des paiements et "alimenter" son économie.
D'après les analystes, afin d'opérer une relance économique, la France a besoin de dévaluer sa monnaie d'au moins 10% (ce qui est impossible dans cas de l'euro) et de restructurer son marché du travail.
Dette exorbitante
France: la dette publique bondit de 51,6 milliards d'eurosAvant la crise financière, les dettes augmentaient simultanément en Allemagne et en France. Or, depuis l'Allemagne a pris des mesures qui lui ont permis de réduire sa dette en la faisant passer à moins de 70% de son PIB. Quant à la France, elle n'arrive pas à contrôler sa dette croissante qui risque bientôt d'atteindre 100% de sa production économique.
En d'autres termes, tous les Français devraient travailler toute l'année sans recevoir de salaire pour rembourser la dette de leur pays.
(suite en dessous:)
Aussi étrange que cela puisse paraître, le problème de la dette s’est posé en France au moment où le taux d'intérêt appliqué par la Banque centrale européenne (BCE) n'a jamais été aussi bas.
RépondreSupprimerRigidité du marché du travail
Les manifestations risquent de plonger la France dans le noirLe gouvernement socialiste tente de faire adopter une législation permettant de mettre un terme à la semaine de travail traditionnelle de 35 heures. Cette réforme a déclenché des manifestations violentes dans toute la France, paralysant le trafic ferroviaire, provoquant une pénurie de carburant et incitant des émeutiers à attaquer la police. Et pourtant, malgré ces perturbations, quelque 46% des Français affirment soutenir toujours le mouvement de grève.
Cependant, le marché du travail a besoin de réformes de structure, indiquent les auteurs.
"Les 4.000 pages du Code du travail français réglementent les moindres détails, de la pause toilette aux dimensions des fenêtres de bureau. Cela constitue la principale raison pour laquelle le marché du travail est tellement rigide", constatent les experts.
Ils estiment que si la France réforme ce marché selon le modèle allemand, son rythme de croissance économique pourrait doubler en passant de un à deux pour cent.
Erosion de la base industrielle
France: la grogne des agriculteurs ne s'apaise pasLa France occupe toujours une place importante parmi les sept pays les plus industrialisés (G7). En terme de performances économiques, le pays se place sixième dans le classement mondial.
Par rapport à l'Allemagne dont les produits sont toujours en demande dans le monde entier, la France possède des industries beaucoup moins avancées.
Le pays a également bénéficié dans une mesure beaucoup moins large que l'Allemagne de l'essor économique chinois. Sa part dans l'ensemble des exportations mondiales a également diminué de manière substantielle, concluent les experts.
https://fr.sputniknews.com/france/201606041025587456-raisons-inquietude-avenir-france-allemagne/
http://www.slate.fr/story/45173/visualisation-dette-francaise-billets-cent-euros
SupprimerIl faudra 398 879 561 ans pour rembourser la dette du gouvernement américain
jeudi 23 octobre 2014
http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/10/il-faudra-398-879-561-ans-pour.html
Comment repérer les conneries - Princeton professeur explique l’importance de l’Ignorance de la vérité
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
4 juin 2016 20:35
Princeton Professeur Harry Frankfurt fournit un apprêt succinct sur pourquoi la vérité doit prévaloir sur les conneries - quelque chose qui pourrait être utile pour beaucoup.
Les gens devraient se soucient la vérité, car la vérité est la vérité au sujet de comment les choses sont et il est important nous reconnaître comment les choses sont, ne pas de prétendre que c’est quelque chose d’autre. Si vous avez la vérité, vous savez quelle réalité est comme, si vous ne vous êtes ignorants de la réalité"
"Nous vivons à une époque où il y a une autre alternative à la vérité, et c’est des conneries"
- voir clip sur site -
La raison pourquoi il est tellement connerie selon moi, est que les gens parler juste. Si ils ne parlent pas ils ne sont pas payées. L’annonceur veut gagner les ventes, le politicien veut obtenir gain de voix. Maintenant, c’est ok, mais ils doivent parler de choses qu’ils ne savent vraiment pas bien sur. Ce car ils n’ont rien de vraiment valable de dire, qu’ils disent juste tout ce qu’ils pensent aura intérêt de l’auditoire, faire croire qu’ils savent de quoi ils parlent - et ce qui sort est bullshit."
"Le danger est qu’il y aura une perte d’intérêt pour la vérité, et que je crois est une attaque sournoise sur les principes fondamentaux de la société."
http://www.zerohedge.com/news/2016-06-04/how-spot-bullshit-princeton-professor-explains-why-ignorance-truth-matters
The Rise Of The Criminal Meta : La NSA manipule le marché boursier ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
4 juin 2016 18:50
Trevor Timm de l’Electronic Frontier liberté déterré une pépite très intéressante. Il a été incorporé dans le décembre 2013 annoncée maison-blanche rapport de groupe de travail sur l’espionnage et de snooping.
Conformément aux recommandations, #31, section 2, il a trouvé ceci :
« Les gouvernements ne devraient pas leurs capacités offensives cyber permet de modifier les montants détenus dans des comptes financiers ou manipuler des systèmes financiers. »
Timm justement je me demandé : pourquoi étaient ces avertissements dans le rapport ?
Ont été les auteurs anticiper juste un crime possible ? Ou sont ils reflétant le fait que la NSA avait déjà fait appel au crime ?
Si c’était juste un peu d’anticipation, pourquoi laisser nu dans le rapport ? Pourquoi ne pas dire que rien n’indiquait actuellement que la NSA avait été manipuler les systèmes financiers ?
Ces systèmes comprendrait, bien sûr, le marché boursier et tous les marchés du monde entier.
Eh bien, il y a une preuve concluante d’autres espionnage financier de la NSA. De Spiegel Online, "« Follow the Money »: NSA espionne Les paiements internationaux," 15/09/13 :
« La National Security Agency (NSA) largement surveille les paiements internationaux, les banques et les transactions par carte de crédit, selon des documents vus par SPIEGEL. »
« Banque de données de la NSA Tracfin contenait également des données de la société bruxelloise for Worldwide Interbank Financial Telecommunication (SWIFT), un réseau utilisé par des milliers de banques pour envoyer des informations de la transaction en toute sécurité... la NSA espionné l’organisation sur plusieurs niveaux, impliquant, entre autres, division "adaptées opérations d’accès" de l’Agence [NSA]... »
Division « adaptées opérations access » de la NSA utilise à peu près 1000 pirates et analystes dans ses efforts d’espions.
La prochaine étape de tout cet espionnage serait naturellement implique de pénétrer des marchés commerciaux et, en utilisant les données de profondes obtenues, manipuler les marchés au profit de la NSA et les clients préférés.
Le montant d’argent siphonné dans une telle opération en cours serait énorme.
« Regarder par-dessus l’épaule » de Wall Street, les initiés serait un jeu d’enfant pour la NSA.
Idem pour la prédiction des événements politiques qui seraient temporairement baisser les marchés et fournir des occasions en or pour la vente à découvert très rentable.
Comme les trafiquants de drogue et autres truands, la NSA pourrait investir leurs gains mal acquis dans les entreprises légitimes et récolter des récompenses supplémentaires.
(suite en dessous:)
Et si le Pentagone, selon lesquelles la NSA est organisée, nécessite de fortes sommes d’argent pour les opérations hors-livres budget noir, quel meilleur endroit pour aller à leur propre NSA ?
RépondreSupprimerDans l’ensemble, lorsque vous faites fonctionner le plus grand espionnage et l’opération de collecte de données dans le monde, les opportunités abondent. Oui, savoir c’est pouvoir, lorsque les distinctions entre légaux et illégaux sont brossées comme quelques moucherons sur une journée d’été.
L’état de Surveillance a créé un appareil dont les implications sont énormes. C’est un monde différent maintenant. Et il faut parfois un écrivain de fiction pour étoffer le paysage plus grand.
Roman de Brad Thor, Liste noire, postule l’existence d’une société de monstre, ATS, qui se tient aux côtés de la NSA en recueillant des informations sur chaque mouvement nous faire. ATS' renseignement capacité est inégalée dans le monde.
Sur les pages 117 et 118 de la Liste noire, Thor fait une conclusion étonnante, après réflexion, il est aussi évidente que les doigts de votre main :
"Pour les années ATS avait utilisé sa supériorité technologique pour procéder aux opérations d’initiés massifs. Depuis le début des années 1980, la compagnie avait espionné n’importe qui et tout le monde dans le monde de la finance. Ils écoutaient sur les appels téléphoniques, télécopies a intercepté et évolué à droite ainsi que de la technologie, hacking de comptes de messagerie et les réseaux informatiques internes. Ils ont créé des montagnes de « noirs dollars » pour eux-mêmes, qui ils lavés par le biais de divers programmes qu’ils couraient sous contrat secret, loin des regards indiscrets de régulateurs financiers.
"Ces noirs dollars ont été investis dans des biens durables dans le monde entier, ainsi que sur le marché boursier, par le biais de sociétés offshore sham. Ils ont également canalisé l’argent dans les rames des projets prometteurs de R & D, qui seraient finalement faits demi-tour et vendus le Pentagone ou la CIA.
« En bref, ATS avait créé sa propre licence pour imprimer de l’argent et lui-même avaient assuré une place au-delà de l’examen ou reproche. »
Dans la vraie vie, avec le titre de la NSA le spectacle, le résultat serait le même.
Ce serait comme Thor le décrit.
Nous pensons à une surveillance totale comme visant à des citoyens privés, mais a la capacité de gains illimités lorsqu’il vise les marchés financiers et les personnes qui ont une connaissance intime de leur.
« Total de sensibilisation à la sécurité » des programmes de surveillance sont idéales espionnage ops dans le domaine financier, conçu pour aspirer des millions de bits d’information privilégiée, puis utiliser pour faire des investissements et aspirer des milliards (milliards?) de dollars.
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Il donne un nouveau sens à « l’EEG riche plus riches. »
RépondreSupprimerPrenant l’ensemble du projet à un autre niveau, considérez ceci : ces mêmes poids lourds qui ont librement accès à l’information financière peuvent également choisir, à des moments opportuns, à exposer certains scandales et crimes (pas leurs propres, bien sûr).
De cette façon, ils peuvent, à leur guise, paralyser le gouvernements, les banques et les sociétés. Ils peuvent paralyser les maisons d’investissement, compagnies d’assurance et les fonds spéculatifs. Ou, alternativement, ils peuvent simplement chanter ces organisations.
Nous pensons que nous savons comment les scandales sont exposés par la presse, mais en fait nous n’avons pas. Conseils sont donnés aux personnes qui leur donnent à d’autres personnes. Généralement, le premier indice qui commence le bal provient d’une source qui reste dans l’ombre.
Nous parlons de la création et gestion des réalités de tous les côtés, y compris le choix de quand et où et comment fournir un aperçu d’un crime ou scandal.
La matrice d’information peut être mis à profit et aplomb, et il peut également être utilisé pour distribuer des grappes de choix des données qui finissent par constituer la réalité des médias des images peintes qui, chaque jour, montrent des milliards d’êtres humains « ce qui est nouvelle. »
Il est probable que la sonde Ron Paul autrefois poussait — vérification de la réserve fédérale — a déjà été fait par ceux qui contrôlent la surveillance mondiale illimitée. Ils connaissent déjà bien plus que toute enquête du Congrès va découvrir. S’ils connaissent les plus profondes vérités, ils peuvent utiliser pour chantage, manipuler et contrôler la Fed elle-même.
Dans ce monde global-surveillance, nous devons poser de nouvelles questions et pense maintenant le long de lignes différentes.
Par exemple, combien de temps avant la crise des prêts hypothécaires-dérivé frappé savait la maîtrise de la Surveillance, d’espionnage sur les relevés bancaires, cette dette insupportable accumulait à un rythme mortel ? Avec cette information, que faisaient-ils ?
Quand savaient-ils qu’il manquait au moins 1 billion de dollars dans les livres comptables de Pentagone, Donald Rumsfeld a finalement admis le 10 septembre 2001, et qu’ont-elles fait avec ces informations ?
Quand savaient-ils les détails du scandale de tarification du Libor ? Rapports de presse indiquent que Barclays a essayé de truquer des taux d’intérêt dès janvier 2005.
Ont ils ont suivi, en détail, l’homme responsable du recrutement des mercenaires embauchés et terroristes, qui finalement liquidée en Syrie faisant semblant d’être une force rebelle authentique ?
Ont ils ont recueilli les comptes détaillés des plupart des régimes privés des dirigeants de la Commission trilatérale, CFR et Bilderberg ?
(suite en dessous:)
Pour les rois de la surveillance mondiale, ce que nous pensons que l’avenir est, à bien des égards le présent et le passé.
RépondreSupprimerC’est un nouveau monde. Ces superviseurs des renseignements-détection universelle peuvent entrer et sonde les plus secrets caches de données, à frais virées, collationner, renvoi et les assembler en vital performant. Par comparaison, une opération telle que Wikileaks est une vieille Ford Model-T.
Auparavant, nous avons pensé que nous devions regarder par-dessus les épaules des hommes qui commettent des crimes graves hors de la vue du public. Mais maintenant, si nous voulons être à jour, nous avons également de tenir compte dans ces hommes qui sont espionner ces criminels, qui sont réunissent ces secrets et à les utiliser pour commettre leur propre marque de meta-crime.
Et dans le domaine financier, cela signifie que nous pensons de Goldman Sachs et JP Morgan comme auteurs, oui, mais nous pensons aussi sur les hommes qui ont déjà tout savent sur GS et Morgan et utilisent ces connaissances pour voler des sommes qui pourraient rendre GS et Morgan rougir d’envie.
Non, nous ne sommes pas dans le Kansas plus. Mais partout où nous sommes allés à, la NSA est déjà là, et ils ont été taraudage, sortant et à l’aide d’indicibles des bits de données à la scène et le profit des événements d’hier, d’aujourd'hui et de demain.
Temps, en ce sens, a gonflé, élargi, tourné à l’envers, a explosé et lui-même mis à plat sur une table, pour une inspection minutieuse par les yeux de Surveillance Central.
Comprendre cela, nous devons analyser ce qui se passe dans le monde avec une nouvelle dimension de la réalité criminelle-maker à l’esprit.
La métaclé criminelle.
http://www.zerohedge.com/news/2016-06-04/rise-meta-criminal-nsa-manipulating-stock-market
SupprimerDepuis qu'existent 'les Bourses' existe la manipulation des marchés afin de créer faussement des riches et des pauvres selon les consentements politiques.
Le signe égal peut être une vraie salope
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
4 juin 2016 14:20
par Robert Gore de StraightLineLogic via la plate-forme Burning blog
S’il fallait choisir un symbole pour représenter l’apex de la pensée humaine et de la réussite, un excellent candidat serait le signe égal: =. Ce signe indique que les symboles et les opérations mathématiques à gauche de celui-ci correspondent à des symboles et des opérations mathématiques à droite. En outre, pour conserver l’égalité, tout acte accompli sur le côté gauche de l’équation doit être fait sur le côté droit. L’équation est le cœur d’arithmétique élémentaire, les directeurs d’école plus complexes des mathématiques et des sciences et leurs applications du monde réel et tout entre les deux. Seulement logique défi peut réfuter une égalité affirmée, et aucun montant de souhaitant ne se transformera une inégalité en un pied d’égalité. Le signe égal représente la capacité de l’humanité pour la logique impitoyablement Immaculée.
Beaucoup de gens évitent mathématiques, science et logique, se réfugiant dans leurs antithèses. Une bonne partie de l’histoire intellectuelle de l’humanité a tenté d’ignorent les égalités ou transformer des inégalités en égalités. Indulgent, bâclée, délirant illogisme est généralement collectif. Chaque âge a ses refuges particulières. Notre époque a rejeté les mathématiques de la dette. Ce qui logiquement ne peut se produire, une inégalité perpétuelle — consommation supérieure à la production — est devenu le fondement de l’économie mondiale. Comme le slogan pour notes Zero Hedge: « sur une assez longue chronologie le taux de survie pour tout le monde tombe à zéro." Dans la même veine, sur une assez longue chronologie, la consommation est égale à la production. Comprendre que l’égalité, et l’avenir vient en relief saisissant.
Carter était le point focal de la dernière crise de la dette. Financement de la vieillesse — pensions et programmes de soins médicaux — pourrait bien jouer ce rôle lors de la prochaine. Le calcul est simple : au fil des contributions de temps et d’investissement retourne (le cas échéant) doit être égale à prestations promises. La réalité actuelle est également simple : contribution globale, même si augmentée par les rendements des investissements sterling, sera suffisamment loin pour financer les prestations promises. Les politiques actuelles de gouvernement et Banque centrale aggravent la situation, rendant la réalisation de l’investissement même minime retourne problématique. La structure de paiement à l’utilisation de nombreux fonds de vieillesse, tels que la sécurité sociale et assurance-maladie, ne permet pas du tout pour des rentabilités de capitaux engagés.
Il est facile pour les politiciens promettent des avantages et supposons que les rendements des investissements élevés. Il est beaucoup plus difficile de faire sa contribution obligatoire, dont les bienfaits sont à long terme et ne promettent aucun gain politique immédiate, et de réaliser effectivement le rendement des placements présumés. Financement d’un fonds de vieillesse peut persister pendant des années, surtout si le fonds emprunte de l’argent. En tout cas intérêt positif, empruntant davantage déséquilibre l’équation ; service de la dette l’emportent toujours sur les fonds reçus. Retards seules dette le jour quand les promesses sont brisées et les prestations versées sont réalignées avec ce qu’a fait le fonds. Grèce, Detroit et Porto Rico sont les premiers chapitres de ce qui promet d’être un livre très épais.
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RépondreSupprimerBon nombre des gouvernements face à déséquilibre actuariel font de leur mieux pour empirer les choses. Contributions au Fonds de vieillesse proviennent de l’économie réelle, qui est également où les rentabilités de capitaux engagés sont générées. S’il y a un gouvernement sur la planète qui a amélioré le fonctionnement de son économie au cours des dernières décennies, nous ne connaissons pas de celui-ci. Diminution de la croissance (charitablement définie que celle évalués par les chiffres officiels du gouvernement) aux États-Unis, l’Europe et le Japon, la Chine confirme cette affirmation. Le registre fédéral croissant est emblématique de sauvage de régulateurs allés, pas seulement aux États-Unis, mais partout dans le monde, et la dette est un « cadeau » qui maintient en prenant. La plupart des tas de $ 225 billions du monde de la dette a payé pour la consommation ou la spéculation de zéro somme. Par définition, ces activités ne génèrent pas un rendement supérieur de service de la dette, par conséquent leur dette associé agit comme un frein économique.
Retourne des banques centrales en poussant vers le bas taux d’intérêt, dans de nombreux cas de territoire négatif, tue des fonds vieillesse dépend de l’investissement. La plupart de ces fonds sont toujours en supposant qu’ils peuvent générer un annuel 6 ou 7 pour cent du retour, mais si les taux d’intérêt sur la dette sans danger sont dans le 2, 1 ou -1 gamme de pourcentage, ils doivent prendre plus de risques pour atteindre leurs cibles. Prenant plus de risque : investir davantage dans les actions et d’obligations à long terme. Par la plupart des mesures, les stocks sont à l’extrémité supérieure de leur évaluation, et est particulièrement risquée avec les gouvernements et l’augmentation de la dette gommage économies d’investir en eux. Obligations à long terme sont plus sujets au risque de taux d’intérêt devrait banques centrales se trouvent incapables de continuer à supprimer les tarifs.
Telle répression encourage la dette et décourage économie. La dette n’a de sens lorsqu’elle est utilisée pour générer un rendement supérieur aux coûts du service de la dette. Sauver ce fonds d’investissement productif, est le véritable fondement du progrès à long terme et la croissance économique. Diminution des économies plus érodent la capacité de l’économie réelle à financer les contributions nécessaires pour maintenir la solvabilité des fonds vieillesse. Avoir des enfants est considéré comme « économie » pour la sécurité de la vieillesse et dans les pays moins développés, c’est souvent le cas littéral si, des contributions sont également confrontées à un déficit démographique « économies ». Dans pratiquement tous les pays développés, y compris la Chine, dans les prochaines décennies le pourcentage de personnes âgées va considérablement augmenter par rapport à la population plus jeune qui les soutiendra soi-disant (voir les liens ici et ici).
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Promis vieillesse, prestations sont pour les revenus et les soins médicaux, et le déficit de financement pour ce dernier est encore plus grand que le précédent. Aux États-Unis, des décennies d’intervention gouvernementale en médecine ont produit une séparation presque complète de ces soins récepteur de ceux qui paient pour cela, concurrence destructrice, coût croissant de concentration dans le médical, médicament et industries des assurances et maintenant l’Obamacare, qui a exacerbé les problèmes existants et créé de nouveaux. Elle s’appuie sur le subventionnement sain le malsain et le plus riche en subventionnant le moins. Sans surprise, les sujets sains et riches sont fuyant ou subvertir le système et les compagnies d’assurance fuient les marchés non rentables. Ceux qui restent sont à la recherche des augmentations de prime très lourd. Donc ajouter des systèmes de santé d’assurance maladie et coûteuses, compliquées et inefficaces pour les facteurs contribuant à la vieillesse insoutenable inégalité de financement.
RépondreSupprimerQue l’inégalité propulse l’endettement global, qui a tapissé sur les déficits de montage. Cela fonctionne jusqu'à ce qu’il ne marche pas. Écrasant, prix des matières premières, pulvérisation des économies, les efforts frénétiques, contre-productif des gouvernements et banques centrales et la hausse des taux de dépendance (le ratio de la personne à charge à ceux qui les soutiennent) signifient que le calcul est à portée de main. Si quelqu'un veut il ou plans pour cela, les avantages vont pour s’aligner sur les ressources effectivement disponibles à payer des prix eux, juste comme maison alignés avec la réalité économique au cours de la dernière crise. Malheureusement, cet alignement sera beaucoup plus sévère que celui-là.
Ce signe d’égalité peut être une vraie salope.
http://www.zerohedge.com/news/2016-06-04/equal-sign-can-be-real-bitch
Opération Barbarossa 2 : Surpopulation et financement de la troisième guerre mondiale
RépondreSupprimerPar Peter Koenig
Le 14 mars 2016 – Source informationclearinghouse
«Les guerres sont horribles. La seule bonne chose à propos des guerres, est qu’elles aident à réduire la population mondiale.»
Ce sont les mots qui m’ont été jetés au visage il n’y a pas si longtemps, par une personne que je pensais proche de moi. J’étais en état de choc et je lui ai demandé ce qu’elle voulait dire ?
«Eh bien, vous ne pensez pas que le monde est trop peuplé?»
Je ne pouvais pas croire que ce soient les pensées de quelqu’un que j’avais respecté. Elles peuvent bien être les pensées des gens ordinaires autour de moi. En ouvrant les yeux sur une dimension que j’avais ignorée jusque-là, les pensées secrètes et les rêves de gens, peut-être des masses même, ont commencé à se révéler. Ces pensées qui sont exprimées uniquement dans une ambiance de familiarité, ou peut-être sous influence, dans un moment où souvent les vérités les plus intérieures viennent au premier plan.
La surpopulation est un fantasme égocentrique occidental. La population opulente de l’Ouest a peur d’avoir à partager une partie de ses excédents avec les sous-humains pauvres des pays dits en voie de développement en Asie, en Afrique et en Amérique latine – les continents émergeant lentement, qui ont été violés pendant des centaines d’années par exactement les mêmes colonialistes occidentaux qui, aujourd’hui, se plaignent de la surpopulation et de la guerre des salaires dans le monde entier, dans une nouvelle forme de colonialisme.
Selon la FAO – Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture – le potentiel agricole actuel de la planète pourrait nourrir au moins 12 milliards de personnes, si seulement la nourriture n’était pas soumise à la spéculation et était correctement distribuée. Mais ce n’est pas le cas. Les spéculateurs sur les cultures alimentaires aux États-Unis et en Europe commandent les prix par la famine. Ils contrôlent littéralement qui peut vivre et qui doit mourir.
Selon la Banque mondiale, 80 % des hausses des prix de la nourriture qui ont conduit aux famines de 2008/2009, précipitant la mort de 2 millions de personnes en Asie et en Afrique [Il aurait été intéressant de sourcer ces chiffres dans l’article, NdT] ont été le résultat de la spéculation alimentaire. Il y a trois semaines, le gouvernement suisse a recommandé à son électorat de rejeter une initiative populaire d’origine socialiste contre la spéculation alimentaire. Leurs principaux arguments étaient le déni que la spéculation alimentaire ait causé la famine; et «si nous interdisons la spéculation alimentaire, les spéculateurs vont quitter la Suisse et aller faire leur profit ailleurs». Dans la pensée néolibérale dominante, Profit über Alles [Référence à Deutschland über Alles, l’hymne allemand, NdT], l’éthique n’a pas sa place. Le peuple suisse a obéi et rejeté l’initiative avec une marge de près des deux tiers. Les centres financiers de Zurich et de Genève, en Suisse, contrôlent certains des plus grands spéculateurs alimentaires dans le monde. Les infâmes pratiques commerciales spéculatives de la place financière Suisse sont bien vivantes.
(suite en dessous:)
RépondreSupprimerLes pensées et les désirs clandestins de réduction de la population et de guerres lointaines, sont les résultats inconscients les plus visibles de décennies d’horrible propagande occidentale, qui cherchent d’une façon ou d’une autre un consensus populaire autour du principe que les guerres sont nécessaires, normales. Les guerres sont ce que les gens vivent depuis le début. Quel début? Très certainement le début de l’ère judéo-chrétienne atrocement violente, guidée par la cupidité, il y a six mille ans.
Les guerres sont la quintessence de notre existence occidentale, la quête finale pour le pouvoir sur l’univers. Et les guerres sont essentielles pour la survie de notre système économique occidental basé sur la croissance. Les guerres créent des besoins pour plus de guerres et de conflits armés, les guerres propulsent un cercle vicieux de dépendance envers les conflits. Nous avons créé dans nos économies occidentales une dépendance à la guerre si grossière, que par exemple l’économie américaine (sic) ne pourrait plus subsister sans guerres. Les guerres tuent et détruisent; et la reconstruction crée de la croissance. Les meurtres de masse permettent la diminution de la population mondiale, un objectif clé de la crème de l’élite, comme les Rockefeller, les fondateurs d’organisations semi-occultes comme la Société Bilderberg.
La justification de conflits permanents et de meurtres, est précisément ce que les médias occidentaux propagent chaque jour, la terreur qui doit être combattue par les guerres. S’il n’y a pas assez de terreur pour rationaliser une guerre, la terreur doit être fabriquée par des actes sous faux drapeau. L’Occident [les élites… NdT] a perfectionné la science de la construction d’opérations sous faux drapeau, de manière si crédible que les masses crient pour plus de protection policière et militaire; de manière si crédible que les masses veulent plus de guerres dans des endroits lointains d’outre-mer, plus de guerres pour leur protection, pour la protection de leur confort; de manière si crédible que les sociétés occidentales offrent volontiers leurs droits civils, pour obtenir plus de protection policière et militaire. À titre d’exemple, à la suite des attaques terroristes de janvier et de novembre 2015 à Paris, le président Hollande a tenté de rendre permanent l’état d’urgence dans la Constitution française. Jusqu’à présent, il a été bloqué par le Parlement.
La propagande, maintenant comme en d’autres temps, répand la peur. Quand l’homme a peur, il est plus vulnérable et peut facilement être manipulé.
Reprenant l’excellente analyse de Christopher Black sur les préparatifs de l’Ouest pour attaquer la Russie, à savoir démarrer la Troisième Guerre mondiale, qu’il appelle l’Opération Barbarossa 2 : Le gambit de la Baltique, voici quelques réflexions complémentaires sur la façon dont cette opération ressemble à l’Opération Barbarossa originale – nom de code pour l’attaque d’Hitler contre l’URSS pendant la Seconde Guerre mondiale.
(suite en dessous:)
- voir carte sur site -
RépondreSupprimerAujourd’hui, les similitudes entre ce que Chris Black appelle Barbarossa 2 et l’opération Barbarossa originale abondent. Cela commence par l’aide des corporations du Big Business (CBB) et de Wall Street (WS), pour laisser le fascisme s’avancer pour le pouvoir mondial. Cela passe par la propagande et la campagne de mensonge de six méga-sociétés médiatiques anglo-saxo-sionistes, jusqu’au financement des opérations de guerre elles-mêmes.
La Seconde Guerre mondiale, qui a tué plus de 50 millions de personnes, dont environ la moitié étaient des Russes, était financée par la Fed via Wall Street et par la Banque des règlements internationaux (BRI) à Bâle en Suisse. Le livre sur lequel est basé cet article de journal allemand, est Bankgeschäfte mit dem Feind – Die Bank für Internationalen Zahlungsausgleich im Zweiten Weltkrieg (1997), par Gian Trepp, et il décrit les transactions dans le détail – mais, de manière surprenante, il n’est plus disponible, et il n’a apparemment jamais été traduit en anglais. Cependant, La Tour de Bâle complète et corrobore très bien le récit de Gian Trepp.
Les deux guerres mondiales, et à Dieu ne plaise, la WWIII le sera – étaient dirigées vers l’Est. La première cible étant la Russie. La Chine est déjà dans la ligne de mire d’une attaque et de la conquête de ces classes élitistes. L’élite du CBB est aux commandes du Pentagone et, par extension, des vassaux de l’OTAN américain. Cette crème de la crème prétendant diriger le monde, se cache derrière de viles organisations comme la Société Bilderberg, la Commission Trilatérale, le Conseil des relations étrangères (CFR), Chatham House, le Forum économique mondial, et plus encore.
Les Clinton, Kerry, Obama, Hollande, Cameron de ce monde, ainsi que les chefs des instigateurs du consensus de Washington, la Fed, la Banque mondiale, le FMI; de la soi-disant Banque centrale européenne, rejoint par les PDG de WS, le complexe militaro-industriel, les médias de communication de masse, le big pharma – pour n’en citer que quelques-uns – sont membres de la plupart de ces organisations entrelacées et semi-secrètes.
Beaucoup de ces dirigeants sont des sionistes ou des partisans du sionisme mondial. Ils sont tous ensemble au sommet, à travers des pactes opaques et sinistres. Les francs-maçons, symbolisés par le triangle avec l’œil vigilant en haut au centre, comme représenté sur le billet de un dollar. Ils sont les créateurs de la Fed et de notre système monétaire occidental, sorte de casino frauduleux. Ils gouvernent déjà le monde. Leur emprise se resserre chaque jour jusqu’à un point de non-retour, si nous, les gens, laissons faire.
Ici, nous arrivons à des analogies entre la Seconde Guerre mondiale et les préparatifs de la Troisième Guerre mondiale. Dans les années 1930 et tout au long de la Seconde Guerre mondiale, IBM, alors l’une des plus grandes sociétés américaines, a collaboré étroitement avec Hitler, l’aidant à organiser la Shoah pour la comptabilité, l’enregistrement et enfin le transport des juifs jusqu’à leurs camps d’extermination d’Auschwitz et d’autres, grâce aux premiers ordinateurs à cartes perforées.
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Hitler a décerné au fondateur d’IBM, Thomas Watson, la Croix du Mérite (deuxième plus haute distinction de l’Allemagne).
RépondreSupprimerOn peut citer d’autres collaborateurs comme Ford, General Motors, DuPont le géant chimique, ainsi que l’empire médiatique Randolph Hearst, pour ne citer que quelques-uns, qui admiraient le Führer pour son leadership disciplinaire. Ils ont fermé les yeux sur les atrocités nazies quand les affaires rentables ont surgi. Corporate America a fourni l’arsenal du nazisme d’Hitler.
Aujourd’hui, on assiste à quelque chose de semblable : les corporations américaines, européennes et les grands médias occidentaux, main dans la main, promeuvent et soutiennent une approche fasciste en dénigrant et en écrasant la Russie, indépendante et non-alignée, puis ce sera la Chine – tout cela en accord avec les objectifs du PNAC (Plan for a New American Century) de domination totale sur les ressources dans le monde entier et sur tous les peuples.
L’une des attaques physiques les plus récentes a commencé avec le maintenant bien documenté coup d’État nazi fomenté par l’Occident contre le dirigeant démocratiquement élu de l’Ukraine, M. Viktor Ianoukovitch, et son remplacement par un gouvernement fasciste, par le coup d’État sanglant de février 2014 de Maïdan à Kiev – et en blâmant la Russie pour la guerre civile qui a suivi. En réalité c’est l’OTAN qui a soutenu le massacre dans la région orientale de l’Ukraine, le Donbass, tuant au moins 40 000 personnes, pour la plupart des civils et provoquant quelques 2 millions de réfugiés. L’objectif de cette initiative occidentale meurtrière est double : le déplacement de l’OTAN plus près de Moscou et la privatisation des riches terres agricoles et minérales de l’Ukraine par le capital occidental.
Qui finance Barbarossa 2, l’aventure de la guerre des États-Unis / OTAN en préparation de la Troisième Guerre mondiale?
Le coût est difficile à évaluer, mais pourrait facilement atteindre 1000 milliards de dollars, ou même plus. C’est ici que la Fed et la BCE peuvent intervenir et on peut faire un parallèle avec l’opération Barbarossa, où la Fed, via WS, et la BRI, ont financé l’Holocauste et la guerre d’Hitler contre la Russie. Serait-ce la raison de la tolérance de la BCE vis-à-vis de certains pays de la zone euro, lors de ces deux dernières années, produisant plus d’euros que les règles de la BCE ne le permettaient – en France et en Italie, probablement aussi en Pologne et dans d’autres pays? Ce nouvel argent, généré à hauteur d’au moins 500 milliards d’euros (au-delà des quotas permis par la zone euro), achète des obligations d’État, et par conséquent finance la dette publique.
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Avec ce que nous savons maintenant sur la façon dont la Seconde Guerre mondiale a été financée, serions-nous surpris si la Fed et la BCE pilotée par WS (rappelez-vous, Mario Draghi est un ancien manager de Goldman Sachs) devaient suivre les instructions de Washington de fermer les yeux sur les limitations des ratios d’endettement de la zone euro ? Cela pour produire, comme le fait la Fed avec ses dollars, des euros sans valeur pour financer une future Troisième Guerre mondiale ? Ce ne serait que la copie de la formule de financement Fed / WS / BIS de la Seconde Guerre mondiale. L’Empire du Chaos a comme toujours deux fers au feu : le financement d’une nouvelle guerre avec la Russie par la dette imposée par Washington à ses alliés vassaux européens, les sanctions contre la Russie par ces mêmes vassaux de l’UE, qui acceptent volontiers les conséquences économiques néfastes pour eux-mêmes, alors que la machine de guerre de la nation exceptionnelle des États-Unis va en récolter les fruits pour son industrie d’armement. Et au même moment, Obama n’a pas empêché les représentants des entreprises des États-Unis d’assister au Forum international du business en Russie, qui se tiendra en juin prochain à Saint-Pétersbourg.
RépondreSupprimerQuand est-ce que Nous le peuple, allons ouvrir les yeux sur ces atrocités flagrantes et sur les tromperies manipulatrices de l’élite ?
Peter Koenig est un économiste et analyste géopolitique. Il est également un ancien personnel de la Banque mondiale et a beaucoup travaillé dans le monde entier dans les domaines des ressources de l’environnement et de l’eau. Il écrit régulièrement pour Global Research, ICH, RT, Sputnik, PressTV, Counterpunch, TeleSur, The Vineyard of The Saker Blog, et d’autres sites Internet. Il est l’auteur d’Implosion – Un Thriller économique à propos de la guerre, la destruction de l’environnement et de la cupidité des Corporates – fiction basée sur des faits et sur 30 ans d’expérience de la Banque mondiale dans le monde entier. Il est également co-auteur de l’Ordre mondial et la révolution! – Essais de la Résistance.
Traduit par Hervé, relu par nadine pour le Saker Francophone
Liens
Voici en lien l’article de MrMondialisation dont est tirée l’image de l’article
Allons-nous être écrasé par la surpopulation ?
Note du Saker Francophone
On ne peut qu'abonder dans le sens de Peter d'un point de vue moral: qui veut affamer des populations ? Mais en se focalisant sur l'aspect moral, il passe à côté d'une certaine complexité sur laquelle on ne peut faire l'impasse. Les populations sont à la fois victimes et outils (soldats, migrants). Mais la surpopulation est réelle par endroits si, par surpopulation, on entend un espace où la population n'est pas en auto-suffisance alimentaire réelle ou possible. Les villes sont donc toutes surpeuplées si elles n'ont pas un bassin agricole proche; l’Égypte est surpeuplée, le Nigeria aussi, la Chine probablement, qui importe massivement de la nourriture (avec un facteur aggravant lié à la pollution) et bien sûr le plus fragile certainement, l'Arabie Saoudite. Si on peut imaginer que l'agro-business peut nourrir 12 milliards de gens, on peut aussi facilement penser que s'il échoue, les conséquences seront effroyables.
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Il suffit de regarder les densités de population d'il y a un siècle pour mesurer l'ampleur des risques. Là encore, il faudrait dare-dare reprendre le pouvoir pour mettre chaque peuple en face de ses propres risques, mettre en commun les moyens pour que chacun puisse faire sa transition démographique à son rythme, en garantissant un système de fin de vie acceptable partout, par exemple pour faire baisser la pression.
RépondreSupprimerContrairement à la doxa, la baisse de la population en Europe n'est pas une mauvaise chose si cela laisse de l'espace à la Biosphère pour réguler nos excès. Sinon on va laisser le soin à Bill Gates et consorts de régler le problème, lui qui explique que la vaccination «peut aider à faire baisser la population» (sic). Nos chères élites pourraient aussi être tentées de faire monter d'un cran le fameux conflit de civilisation pour purger dans le sang les ardeurs libératrices des peuples. Il faut trouver des stratégies gagnant-gagnant pour les peuples. Elles semblent atteignables, mais au détriment de l'enrichissement et du pouvoir d'une certaine élite et de ses affiliés.
Il serait aussi utile, pour une fois, de ne pas prendre de décision à la place des populations sans savoir ce qu'elles en pensent elles-mêmes. Comment se voient-elles à l'avenir dans leur dimension démographique, dans leur rapport à notre modernité ? Vastes questions ?
Pour la seconde partie, Hollande parmi les grands manipulateurs de ce monde... Comment dire ? L'auteur mélange sans doute un peu les marionnettes et les marionnettistes. On peut en rester à l'article de Brandon Smith sur les élites, qui donne plus de détails sur cette réalité. Mais son parallèle avec le financement de la Seconde Guerre mondiale est intéressant. Il reste que la valeur de l'argent ne vaut que si tout le monde l'accepte, et la dé-dollarisation de la Chine ou de la Russie est un sacré problème pour Wall Street. C'est sans doute une des raisons de fond du Russian bashing actuel. Il faut briser les Russes pour reprendre le plan.
http://lesakerfrancophone.fr/operation-barbarossa-2-surpopulation-et-financement-de-la-troisieme-guerre-mondiale
Il n'y a pas de 'surpopulation' présente sur Terre mais une concentration volontairement politicienne des 'responsables de l'urbanisme' qui crée des problèmes en mettant trop de monde autour d'un seul robinet. Notre planète est parfaitement capable d'accueillir 10 fois plus de personnes qu'aujourd'hui et de lui fournir à manger et à boire à tous.
SupprimerNotons qu'il existe (opérationnelles depuis des décennies) des stations HAARP comme à Gakona (AK) ou à Sura (Russie) capables de créer ou de fondre les nuages comme de les déplacer et faire pleuvoir ou pas dans telle ou telle région.
Aujourd'hui, 90 % de la population planétaire vit dans l'hémisphère Nord et, cela crée des problèmes de distributions d'éléments vitaux pour tous.
Notre planète se dirige vers un refroidissement (réalité scientifique) et donc il a tout lieu de mettre en place des programmes d'agriculture sous serres afin de permettre de travailler/cultiver le sol 365 j par an.
Vol EgyptAir MS 804 : un crash en panne de vérités
RépondreSupprimerNicolas JACQUARD, AVEC Thimothée BOUTRY ET Jean-Marc DUCOS
Le Parisien
sam., 04 juin 2016 17:43 UTC
Commentaire : Un article ou l'on apprend finalement qu'un dialogue a eu lieu entre l'avion et le contrôle aérien égyptien peu avant le crash. Vu qu'il s'agit d'un avion civile, l'échange était sûrement sans aucun encodage et forcement capté par les services de renseignements des autres pays. Qu'y a-t-il a cacher ?
Les causes de la catastrophe aérienne, qui a fait 66 morts dont 15 Français dans la nuit du 19 au 20 mai, restent mystérieuses. Enquête marquée par la très grande discrétion de l'Egypte.
Au large de l’Egypte, le 22 mai. La priorité des militaires français envoyés sur la zone de recherches est de retrouver les boîtes noires de l’appareil.
Deux semaines après la disparition en mer du vol MS 804 et alors que le signal d'une des boîtes noires a été détecté mercredi, les questions demeurent plus nombreuses que les certitudes. S'il en est une, c'est bien que la communication des autorités égyptiennes est aussi opaque que les fumées détectées à plusieurs reprises par les systèmes de l'Airbus A320.
Une poignée de minutes avant que l'avion ne quitte les écrans radars, des messages automatiques Acars ont évoqué un début d'incendie. D'autres transmissions identiques, comme nous le révélions jeudi, avaient été émises à trois reprises dans les vingt-quatre heures précédant le crash.
Cinq messages de détection de fumée
A 0 h 26, le système Acars, qui sert à préparer la maintenance au sol de l'avion, communique à la compagnie une détection de fumée dans les toilettes avant. A 0 h 27, c'est dans la soute « avionique » que des fumées se diffuseraient. Ce compartiment, dans lequel un homme peine à se tenir debout, est à l'aplomb du cockpit. « On y accède par une trappe sous les pieds des pilotes, décrit un ingénieur avionique ayant travaillé sur A 320, notamment pour Air France. C'est là que se trouve le cerveau électronique de l'avion. » L'appareil, mis en service en 2003, avait, dans les vingt-quatre heures précédentes, effectué un aller-retour à Asmara (Erythrée), puis un à Tunis, avant de s'envoler pour Roissy où il était arrivé à 22 heures mercredi, pour repartir un peu plus d'une heure plus tard. Lors des précédents vols, trois alertes de détection de fumée ont donc déjà été transmises par l'Acars, sans que l'on en connaisse précisément la nature.
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Black-out sur la maintenance
RépondreSupprimerComment ces données ont-elles été traitées ? C'est là une question cruciale. L'Acars est transmis à la fois aux serveurs de la compagnie et au poste de pilotage. Entre ses trois différents vols, l'équipage de l'avion a changé. « Une fois au sol, la procédure est standard, poursuit cet ingénieur. Le commandant note les dysfonctionnements. Les personnels examinent le carnet rouge pour la partie électronique, vert pour la mécanique. » Si rien n'est à signaler, « on ne pénètre pas dans la soute avionique », reprend le même. En revanche, « un message de détection de fumée conduit obligatoirement à de plus amples investigations ». Ont-elles été faites lors des précédentes escales ou à Roissy ? Rien ne l'atteste pour l'instant. « En tout cas, s'il n'est resté qu'une heure à Charles-de-Gaulle, c'est que l'on s'est contenté d'un examen visuel de l'appareil », évoque notre ingénieur, qui peine à comprendre l'enchaînement des faits. « En cas de signal de détection de fumée, même impromptu, on ne laisse pas repartir l'appareil comme ça, avance-t-il. D'autant que l'instrumentation de bord, dans la soute avionique, se change facilement. Il s'agit de sortes de boîtes que l'on enlève et remet en place. On ne va pas chercher dans les composants. »
La thèse de l'attentat s'éloigne
Un tel enchaînement de messages, sans la battre complètement en brèche, amenuise l'hypothèse d'un attentat qui, « de plus en plus, relèverait d'un scénario à la James Bond », estime ce proche du dossier. Les Acars ne livrent rien de l'origine des fumées. D'emblée, les autorités égyptiennes ont évoqué une piste terroriste, « plus probable que celle d'une défaillance ». Pourtant, rien n'est venu l'étayer, à commencer par une quelconque revendication. A l'inverse, l'histoire de l'aviation regorge de précédents incendies aux conséquences funestes. En 1980, 301 personnes étaient décédées dans l'embrasement d'un Lockheed de la compagnie Saudia, l'incendie ayant pris dans une soute. En 1998, c'est un probable court-circuit sur l'un des systèmes de divertissement (les écrans passagers) d'un McDonnell Douglas de Swissair qui entraîne la perte de l'avion et de ses 229 occupants. En 2007 encore, un Boeing 737 de China Airlines est ravagé par les flammes, sans qu'il y ait de victimes. Le feu peut tout aussi bien prendre dans des « torons », ces câbles utilisés dans l'aviation, que sur des bobines ou autres condensateurs. Si les toilettes d'A320 sont équipées d'extincteurs intégrés automatiques, « ce n'est à ma connaissance pas le cas pour la soute avionique, se remémore cet ingénieur. Il faut une intervention humaine, à l'aide d'extincteurs à main spécifiques à l'aviation ».
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Une enquête à couteaux tirés
RépondreSupprimerComme l'avait révélé M 6, le capitaine du MS 804 a communiqué avec Le Caire au moment du drame. Qu'a-t-il dit ? Mystère. Au fil de ces deux dernières semaines, la communication erratique des autorités égyptiennes est venue grever un peu plus la faible confiance qu'avaient en elles les professionnels de l'aéronautique, notamment suite à l'enquête parcellaire menée dans le cadre du crash de la Flash Airlines, à Charm-el-Cheikh en 2004. « Avec les Egyptiens, ça cogne dur », confirme un enquêteur français. En théorie, de telles investigations reposent sur une « coopération sincère » entre les différents pays. On en est loin. « C'est l'Egypte qui dirige l'enquête. Et l'oriente, accuse cette même source. Tout nous laisse penser qu'ils veulent réécrire l'histoire. » Pour l'intéressé, la meilleure preuve en est ce silence radio observé sur la maintenance de l'appareil. « Le problème, c'est que le BEA est sous leur autorité, et qu'ils auront la main sur le rapport d'enquête final. » « Il a fallu trois jours pour que l'existence des messages Acars soit connue, note en écho François Nénin, journaliste spécialisé. Dans le même temps, l'Egypte a mis trois mois a reconnaître que l'avion de Metrojet, en octobre, avait bien été détruit par un attentat, que Daech avait revendiqué le jour même... »
L'inquiétude des familles
Ces doutes, les familles des victimes les partagent. « On ressent une inquiétude croissante de leur part quant à la réalité de la coopération franco-égyptienne », raconte Stéphane Gicquel, secrétaire général de la Fédération nationale des victimes d'attentats et d'accidents collectifs (Fenvac). L'association déplore que « les familles ne sont pas suffisamment informées des évolutions des investigations. C'est très difficile à vivre ». Autre source d'angoisse : l'identification des corps. « Les proches apprécieraient que l'Egypte envoie un signal fort, en sollicitant par exemple la coopération de l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale », relaie Stéphane Gicquel. Sans aller jusque-là, l'Egypte a fait appel à un prestataire spécialisé dans l'assistance post-catastrophe, Kenyon International. C'est cette même société qu'avait sollicitée Lufthansa après le crash de la Germanwings.
https://fr.sott.net/article/28347-Vol-EgyptAir-MS-804-un-crash-en-panne-de-verites
Notons que 'c'est juste au moment où' il y avait un rassemblement international armé en Méditerrannée que s'est produit bizarrement 'l'accident' !
SupprimerLe triste enfer de la Syrie : la mort de civils et les «rebelles modérés» protégés par les EEUU
RépondreSupprimerRussia Today
dim., 05 juin 2016 10:57 UTC
270 civils ont perdu la vie ces dernières heures en Syrie, après de nombreux combats menés par différents groupes armés. Profitant des conditions d'application cessez-le-feu, les «rebelles modérés» et le Front Al-Nosra ont mené plusieurs attaques. De nouvelles opérations militaires ont fait plusieurs centaines de victimes ces dernières 24 heures en Syrie. Plusieurs groupes armés sont impliqués, bénéficiant des conditions d'application du cessez-le-feu.
Le triste enfer qu'est la Syrie
Tout d'abord, le Front Al-Nosra, affilié à Al-Quaïda, aurait lancé une opération sur la ville d'Alep, dans le quartier Sheikh Maqsood contrôlé par les milices kurdes. Les affrontements auraient fait plus de 40 morts et une centaine de blessés. « Après un bombardement d'artillerie massif et des attaques répétées menées par les combattants des groupes terroristes du Front al-Nosra et d'Ahrar al-Sham sur les positions kurdes, ces derniers ont quitté leurs positions dans le quartier Sheikh Maqsoud d'Alep et se sont repliés», a confirmé dans un communiqué un porte-parole du Centre russe pour la réconciliation en Syrie, samedi 4 juin.
Comment les combattants d'Al-Nosra ont-ils pu mener cette opération sans subir les représailles de l'aviation russe ? Les autorités russes ont reçus la demande de la part des Etats Unis de ne pas viser Al-Nosra, de crainte «de toucher l'opposition modérée». En effet, les troupes d'Al-Nosra sont présentes dans les mêmes quartiers et les mêmes régions que les «rebelles modérés» (le groupe Ahrar Al-Sham notamment).
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergey Lavrov, a déclaré le 4 juin 2016 que les États-Unis avaient demandé à la Russie de ne pas frapper al-Qaïda en Syrie.
Dans la région d'Idleb, les forces qualifiées par Washington de « rebelles modérées » sont mêlées à celles du Front al-Nosra, branche syrienne d'Al-Qaïda. L'accord de cessation des hostilités du 27 février dernier prévoyait que les Forces soutenues par les États-Unis se sépareraient des groupes listés « terroristes » par l'Onu. Mais cela n'a pas été le cas.
Officiellement, al-Qaïda a conçu et perpétré les attentats du 11 septembre 2001 qui firent 2 977 morts. Les États-Unis sont entrés en guerre contre l'Émirat islamique d'Afghanistan et contre l'Irak notamment au motif du soutien qu'ils auraient apporté à al-Qaïda (même si depuis, Washington a admis que l'Irak n'était en réalité pas impliqué).
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Au cours des dernières années, al-Qaïda a financé l'AKP turc, aidé l'Otan à renverser la Jamahiriya arabe libyenne, et fait du « bon boulot » en Syrie selon l'expression de Laurent Fabius.
RépondreSupprimerDepuis la publication du livre de Thierry Meyssan, L'Effroyable imposture, la plupart des États membres de l'Otan qualifient la contestation de la culpabilité d'al-Qaïda dans les attentats du 11-Septembre de « complotiste ». (Réseau Voltaire)
Au même moment, plus de 1 000 combattants issus du quartier «Al-Ansari» de la ville d'Alep, lui aussi contrôlé officiellement par des «rebelles modérés», ont attaqué les positions de l'armée régulière syrienne. Et toujours à Alep, le groupe armé Jaysg al-Islam, (qui participe régulièrement aux pourparlers organisés par l'ONU) aurait bombardé de nombreux quartiers de la ville à coup de mortiers.
Des attaques terroristes ont aussi été rapportées dans les villes de Homs, Lattaquié, Damas et Deraa.
Malgré le nombre croissant de groupes armés qui rejoignent le cessez-le-feu entré en vigueur le 27 février et négocié par la Russie et les Etats-Unis, la trêve est loin d'être complètement respectée.
Depuis de nombreux mois, la Russie réclame que soient exclus des négociations des groupes tel que Ahrar Al-Sham et Jaysh al-Islam. Moscou considère que ces factions ne sont que des organisations terroristes, au même titre que le Front Al-Nosra ou l'Etat Islamique.
-- Commentaire : Lire aussi :
- Les terroristes modérés, une nouvelle élucubration de la CIA
- Alerte désinformation ! En Syrie, l'ASL et Al-Nusra enlèvent des centaines de civils, dont des femmes
- Obama veut financer le terrorisme modéré
- La Maison Blanche avoue enfin son aide létale contre la population syrienne
- Le rapport de l'ONU sur la Syrie innocente les terroristes --
- voir clip sur site:
https://fr.sott.net/article/28352-Le-triste-enfer-de-la-Syrie-la-mort-de-civils-et-les-rebelles-moderes-proteges-par-les-EEUU