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Avec l’apparition de l’outil CRISPR-cas9 l’une des approches les plus prometteuses pour l’éradication de la malaria est le moustique génétiquement modifié pour exprimer des anticorps dirigés contre les larves de Plasmodium se trouvant dans les glandes salivaires de ce dernier. J’ai relaté ces travaux dans ce blog il y a quelques mois (voir le lien) et malgré les recommandations positives de l’Académie des Sciences américaine, il se passera encore de nombreuses années avant que ce moustique transgénique soit lâché dans la nature. Ce bloquage plus idéologique que scientifique s’appuie sur le fameux principe de précaution dont la devise peut se résumer ainsi « dans le doute abstiens-toi ». Une telle attitude est devenue en quelque sorte la doxa des mouvements écologistes politisés qui considèrent que toute modification intentionnelle d’un organisme vivant présente des risques pour les écosystèmes sans qu’il soit clairement démontré que ces risques existent réellement.
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En ce qui concerne le moustique génétiquement modifié l’un des arguments des opposants à son utilisation comme moyen de lutte contre la malaria est le risque de transmission horizontale à d’autres espèces de moustiques voire d’autres insectes volants ou rampants. Un telle affirmation qui constitue un non-sens scientifique total a été également avancée dans le cas des plantes transgéniques de grande culture. En réalité l’argument est toujours le même : il ne faut pas perturber la nature. Cette attitude dénuée de tout fondement s’illustre par la rumeur selon laquelle les téléphones cellulaires seraient néfastes pour la santé et en particulier pour l’intégrité des fonctions cérébrales. On ne sait pas aujourd’hui exactement combien de téléphones portables sont utilisés dans le monde, peut-être plus de 3 milliards. Combien de tumeurs du cerveau ont pu être attribuées aux très faibles radiations électromagnétiques émises par les téléphones portables, personne ne le sait, pas même les plus éminents neurologues des plus grandes universités du monde. Le (faux) débat sur les effets potentiellement délétères des ondes électromagnétiques continuera à alimenter la presse de caniveau car la peur est un marché très lucratif.
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Pourquoi le riz doré est-il considéré comme néfaste tant pour l’environnement que pour la santé ? Alors que ce riz, dont les propriétés nutritionnelles intrinsèques sont strictement identiques au riz « normal », est décrié par cette même mouvance écologiste alors qu’il pourrait sauver des millions de vies, les arguments avancés sont strictement identiques à ceux relatifs aux moustiques génétiquement modifiés ou aux téléphones portables : il faut respecter la nature et la laisser faire son oeuvre, au détriment comme dans le cas du riz doré de la santé humaine.
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Il est affligeant de constater que l’opinion publique, manipulée par une fausse propagande, fasse barrage à toute avancée technologique qui pourrait bénéficier au plus grand nombre. J’insiste sur ce dernier point car il rejoint les tendances malthusiennes de ces mouvements de protection de la nature. En sont-ils arrivés à souhaiter un conflit nucléaire qui détruirait la majeure partie de l’humanité mais aussi la majeure partie du monde animal ? Bonne question …
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Source partielle : World Economic Forum
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Poutine: la coopération russo-chinoise, gage de stabilité mondiale
RépondreSupprimer11:53 23.06.2016
Le chef d'Etat russe a salué la contribution apportée par son homologue chinois Xi Jinping dans le développement des relations entre les deux pays.
Dans une interview accordée à l'agence Chine nouvelle, Vladimir Poutine a qualifié le président chinois de "bon ami" et de "partenaire fiable". Il a rappelé que les deux pays coopéraient notamment dans les domaines de l'exploration spatiale, de l'aviation, de l'écologie, de l'énergie et du nucléaire civil.
"Nous estimons que la priorité dans notre interaction avec la Chine doit être la levée progressive de toute sorte d'obstacles entravant un travail commun et ouvert. Dans un premier temps, cela pourrait aboutir à la mise en place d'une zone de libre-échange", a déclaré le dirigeant russe.
Toujours selon lui, l’existence même de la coopération russo-chinoise au niveau international est un gage de stabilité mondiale. M.Poutine a souligné que Moscou et Pékin plaidaient pour la résolution de toute question litigeuse par des moyens pacifiques, sur la base du droit international.
Il a également tenu à noter que le président chinois figurait "parmi les rares dirigeants" à avoir exprimé son intention d’aider ceux qui sont dans la besoin et à avoir concrétisé ses propositions en la matière.
https://fr.sputniknews.com/international/201606231026083139-russie-chine-cooperation-poutine/
Dangers imaginaires et réseaux impériaux : comment le Pentagone voit le monde
RépondreSupprimer23 juin 2016
Le développement par les Etats-Unis, un peu partout sur la planète, de leurs «réseaux», n’a rien à voir avec de prétendues menaces, mais avec l’imposition de leur modèle, selon Nebosja Malic de l’institut d’études serbes R. Archibald Reiss.
Le monde est menacé par la Russie, la Chine, la Corée du Nord – ah oui, et par l’Etat islamique aussi – et l’Amérique, soutenue par ses loyaux alliés partout dans le monde, est son seul espoir. Voici comment le Pentagone, avec Hillary Clinton en tête, voit le monde.
Le Secrétaire américain de la Défense Ashton «Ash» Carter a exposé sa vision des défis stratégiques de l’Amérique lors d’une conférence au Center for New American Security (CNAS) lundi 20 juin à Washington D.C. Alors que le chef du Pentagone a déclaré qu’il serait «extrêmement prudent et ne commenterait pas les élections présidentielles», le contenu de sa présentation privilégiait clairement la ligne de l’establishment soutenue par Clinton et menacée par «l’Amérique d’abord» de Donald Trump.
Alors que Trump a critiqué les interventions des Etats-Unis dans le monde, Carter affirme que l’Amérique est le «garant de la sécurité mondiale» grâce à son «vieux réseau d’alliés et de partenaires aux quatre coins de la planète».
Le Département américain de la Défense a découpé le monde en six «commandements de combat»
Ce n’est pas faux. Lundi 20 juin, les Etats-Unis comptaient alors 187 000 soldats déployés dans 140 pays, selon le chef du personnel militaire, le général Mark Milley. Le Département américain de la Défense a découpé le monde en six «commandements de combat». Le Pentagone est tellement occupé à occuper le monde que le gouvernement américain a dû créer un Département de la sécurité intérieure à part à la suite des attentats du 11 septembre.
Toute la présentation était concentrée sur le mot «réseau», du début à la fin. Les mots «réseau» ou «entretenir un réseau» sont apparus pas moins de 60 fois dans le discours de Carter.
Carter a décrit l’OTAN, l’alliance militaire établie en 1948 sous l’égide des Etats-Unis, comme «l’exemple quintessentiel de nations coopérant, entretenant un réseau entre elles pour répondre aux défis dans le domaine de la sécurité». Non seulement les Etats-Unis n’ont pas dissous cette alliance à la fin de la Guerre froide, mais ils sont également en train d’essayer d’établir son équivalent en Asie de l’Est, à en juger par la présentation de Carter.
(suite en dessous:)
RépondreSupprimerRegardez ce qu’il est arrivé aux pays qui n'ont pas suivi la ligne de Washington – la Yougoslavie, la Libye, la Syrie et l’Ukraine
L’OTAN et d’autres «réseaux» d’alliés des Etats-Unis à travers le monde sont basés sur des principes, des standards et des idéaux, a affirmé le chef du Pentagone citant comme exemples «la résolution pacifique des conflits» et «s’assurer que les pays font leurs propres choix en économie comme dans le domaine de la sécurité, libres de toute contrainte ou intimidation». Demandons aux peuples de Serbie, de Libye ou à la population kurde en Turquie ce qu’ils pensent de la propension de l’OTAN à résoudre pacifiquement les disputes.
En ce qui concerne la sécurité et les choix économiques, regardez ce qu’il est arrivé aux pays qui ont fait des choix qui ne suivaient pas la ligne de Washington – la Yougoslavie (ou plutôt l’ex-Yougoslavie), la Libye (désormais en état de déliquescence), la Syrie (désormais en ruines) et l’Ukraine, où le gouvernement qui a choisit d’entretenir de bonnes relations avec la Russie a été renversé dans un coup d’Etat et remplacé par des nazis qui envoient des chars pour écraser la dissidence. Mais non, ce sont des réformateurs démocratiques et la résistance à leur «opération anti-terroriste» est vraiment «une agression russe», comme ne cesse de le répéter Carter en espérant écarter toute pensée rationnelle.
Voyez-vous, quand l’OTAN amasse son armada près des côtes russes ou le long de la frontière russe, c’est de la «dissuasion», de la défense et une «garantie de sécurité», mais quand les avions russes volent au-dessus de ces navires ou planent à 160 km de la côte californienne, ce n’est «pas un comportement professionnel», c’est une «agression».
l’OTAN détruit des pays par caprice
L’OTAN a passé ces 25 dernières années à marcher vers l’Est, avalant les «Etats» découpés sur les cartes de la Yougoslavie et de l’URSS de façon qu’elle est désormais assise sur le seuil de la porte de la Russie – pourtant, dans l’univers inversé de Carter, c’est l’OTAN qui est menacée par «l’agression russe».
Bienvenu dans la logique du Pentagone, dans ce monde à l’envers où l’OTAN détruit des pays par caprice dès lors que les «organisations non gouvernementales» américaines n’arrivent pas à renverser leurs gouvernements lors de révolutions de couleur et que cela est considéré comme la défense de «un ordre international régi par des principes» et que toute résistance à ce type de schémas est perçue comme une «agression» ou un «mauvais comportement».
De peur que vous pensiez que je me projette de la même façon que Carter le fait, la Russie était en réalité le premier des cinq «défis» sur la liste du chef du Pentagone qu’il a énumérée lors de sa présentation au CNAS, devant la Chine, la Corée du Nord, l’Iran – et seulement après ces quatre-là, presque comme une arrière pensée, l’Etat islamique. Même quand Carter en est venu à parler du Moyen-Orient, il a cité l’Iran en premier. Pour lui, l’Etat islamique est un cancer avec une «tumeur parente» qui doit être vaincue en Irak, en Syrie et avec des «métastases» dans d’autres endroits, ce qui signifie que Washington considère que la lutte contre le faux califat est sans fin. C’est une mauvaise nouvelle pour les victimes de l’Etat islamique, mais une excellente nouvelle pour les «entrepreneurs de la Défense» américaine et leur place dans la file d’attente pour l’abreuvoir alimenté par les contribuables.
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Si l’on écoute Washington, en Syrie la Russie «aidait les djihadistes et bombardait les «bons démocrates»
RépondreSupprimerEn septembre 2015, après un an de bombardements par la coalition menée par les Etats-Unis – un des «réseaux» de Carter – l’Etat islamique ne semblait même pas être gêné [dans son expansion]. La modeste force expéditive de la Russie a été déployée en Syrie en octobre et en un mois les coupeurs de têtes ont commencé à prendre la fuite. Mais si l’on écoute Washington, la Russie «aidait les djihadistes et bombardait les «bons démocrates» de l’opposition syrienne soutenue par les Etats-Unis».
Alors que beaucoup d’Américains – y compris Trump – ont déclaré être contents de voir que la Russie avait décimé les terroristes, les représentants américains ont insisté sur la contre-productivité des frappes russes, sur le fait qu’elles ciblaient des civils ou qu’il n’y avait tout simplement pas de frappes russes. Selon le Pentagone, cela est dû au fait que chaque réseau régional (encore ce mot) a besoin d’«une nation et d’une armée puissantes» - ce qui signifie évidemment les Etats-Unis, et non la Russie, la Chine ou n’importe qui d’autre.
Les représentants américains ont insisté sur la contre-productivité des frappes russes
Ce n’est pas un hasard si Carter a donné ce discours au CNAS. Le think tank créé en 2007 a inspiré la politique étrangère et a fourni des conseils en matière de sécurité à l’administration d’Obama – tout cela au service de l’hégémonie mondiale des Etats-Unis.
Plus récemment, en mars 2016, le CNAS a publié un pamphlet intitulé «Renforcer la puissance des Etats-Unis : les stratégies pour étendre la sphère d’intervention des Etats-Unis dans un ordre mondial compétitif», prônant ce qui est écrit sur l’emballage. L’un de ses auteurs n’est autre que Robert Kagan, co-auteur de la célèbre doctrine de l’«hégémonie mondiale bienfaisante» de 1996 – et époux de Victoria Nuland, connue pour avoir soutenu le coup d’Etat de Kiev.
https://francais.rt.com/opinions/22603-dangers-imaginaires-reseaux-imperiaux-pentagone
Ici, c’est pourquoi une Agence de notation estime que la Russie est plus sûre que les États-Unis
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
22 juin 2016 19:40
Si posé avec la question de savoir qui a la meilleure notation de crédit, les États-Unis ou la Russie, la plupart des gens prendrait probablement les États-Unis. Cependant, ce n’est pas le cas pour Dagong Global Credit Rating Co., parmi les trois plus grandes compagnies de cote de crédit en Chine.
A commencé en 1994 comme une entreprise privée, Dagong n’est pas officiellement liée au gouvernement chinois, et comme Bloomberg rapports, a commencé des services de notation souveraine en 2010 dans le but de briser le monopole des sociétés de notation américaines. Guan Jianzhong, Président de l’entreprise a déclaré que l’entreprise fournit les cotes pour plus de 110 pays et tente de partialité politique loin de bande lors de l’évaluation de risque souverain.
"En fait des notations de crédit sont en grande partie politiquement biaisées. Dagong envisage uniquement la capacité de remboursement de la dette du gouvernement central" Guan dit.
Alors comment Dagong taux aux États-Unis et la Russie ? L’entreprise donne la Russie une note de A avec une perspective stable, et les Etats-Unis sont balisée avec une note de A -. Dagong a couper les États-Unis de A à A - en 2013, après que le président Obama a signé la législation relever la limite de la dette fédérale. Comme notesde Bloomberg, tandis que le S & P dépouillé aux États-Unis de sa catégorie supérieure en 2011, de Moody's et Fitch Ratings encore donnent aux Etats-Unis le meilleur classement de crédit.
Le raisonnement de Guan est assez simple, "la dette de l’Amérique est beaucoup plus élevée que sa capacité à rembourser et de faire des profits". En ce qui concerne la Russie, Guan croit que la capacité de la Russie au service de la dette n’a pas été affectée par les sanctions, et la menace d’une crise de la dette en Russie est "plus petite et plus faible" qu’aux Etats-Unis.
En ce qui concerne la capacité des États-Unis à imprimer tout simplement plus d’argent, Guan dit c’est en fait une des raisons pour les États-Unis sont risqué: "quelqu'un peut penser que les Etats-Unis pouvaient imprimer plus d’argent parce que les dollars américains sont acceptés au niveau international. Mais c’est pourquoi ils peuvent avoir des risques plus facilement, car ils transforment des créances douteuses dans le monde entier. "
Pour faire bonne mesure, Guan souligne ce que beaucoup pensent déjà: «dans les pays occidentaux, ils utilisent la notation de crédit comme un outil pour protéger leurs propres profits, leurs propres intérêts. Et c’est pourquoi nous voyons en 2008 la crise financière est en partie à cause d’une crise du crédit, parce que la mauvaise cote de crédit a été utilisée."
Ce qui est intéressant, c’est que l’écart entre la Russie et les États-Unis 10Y est en fait le plus étroit depuis août 2014.
- voir graphique sur site -
Pour ceux curieux de savoir comment Pékin base taux fermes Chine, il tarifs Chine à AAA.
La Chine, comme vous le savez, est un gros créancier aux États-Unis. Alors, comment les États-Unis serait supérieur à la Chine, il est anormal Guan a expliqué.
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Dagong estime que les entreprises de notation peuvent aider à prévenir la répétition d’une nouvelle crise mondiale en pointant les investisseurs vers des endroits sûrs pour investir. Alors que nous ne savons pas n’importe qui peut aider à prévenir la prochaine crise mondiale du crédit à ce stade, nous voulons rappeler à tous que peut avoir oublié, la dernière fois, une des agences de notation majeur a essayé de dire la vérité sur le risque de la dette souveraine américaine, ça coûte Standard & Poors $ 1,5 milliards. Si quelqu'un souhaite un point de vue différent sur le risque de crédit des États-Unis, il devrait ressembler à d’autres entreprises qui ont un peu plus d’autonomie pour dire la vérité.
RépondreSupprimerhttp://www.zerohedge.com/news/2016-06-22/here-why-one-credit-rating-agency-believes-russia-safer-us
La banalité du terrorisme
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
22 juin 2016 19:15
Soumis par Paul Rosenberg via FreeMansPerspective.com,
Dans le régime général des catastrophes d’origine humaine, le terrorisme est trivial. Ce n’est pas encore discutable, que je vais détailler ci-dessous. Occidentaux qui ont été la consommation de craintes télévisés pendant 15 ans de droites peuvent s’opposer, mais la peur n’a rien à voir avec la vérité... et bien le contraire.
Et je vais sauter à travers le fait évident que je suis opposé aux gens assassinés par maniaques et la reconnaissance de tout aussi évidente que le terrorisme est une chose très importante pour les personnes impliquées.
Les faits
Moment de décider si une déclaration est vrai ou faux, les faits déciderait. Si nous nous laissons imaginer que la peur fait quelque chose de vrai, nous nous condamner à vie des abus.
Donc, nous allons jeter un regard sur les faits.
Pour répondre à cette question directement, j’ai décidé de prendre faits de juste les cent dernières années ou ainsi et au bâton pour les grandes puissances. Mes excuses à ceux qui sont associés aux événements que j’ai laissé de côté ; Je ne veux pas minimiser.
Cette liste montre combien de décès est attribuables à chacun. Ces chiffres proviennent de Wikipedia, et s’il y avait une plage, j’ai pris au milieu de celui-ci.
Maintenant, vous voulez savoir combien de personnes sont mortes aux mains de terroristes ? Voici les numéros, au fil des ans de plus et une plus grande surface:
Nombre de terrorisme sont difficiles à définir après l’an 2000, parce que chaque escarmouche s’appelle désormais le « terrorisme ». Ainsi, les chiffres ci-dessus excluent les nombreuses attaques sur les installations gouvernementales et des fonctionnaires en uniforme. Les guerres civiles ne sont pas le terrorisme ; attaques contre les églises, les autobus et les marchés est le terrorisme.
Tout compte fait, cela vient à 19 113 morts, plus de 116 ans. Par rapport à la mort presque 146,000,000 énumérée ci-dessus, le terrorisme s’élève à un centième d’un pour cent : 0,013 % pour être précis.
Par rapport aux données de Rudolph Rummel affichant 262 millions "morts par le gouvernement" cours du 20ème siècle, le terrorisme est un % 0.0073 statistiquement non significative
Un peu plus de comparaisons :
Depuis 1970, le terrorisme mondial a fait nettement moins de 18 000 victimes. Au cours de ces mêmes années, la guerre contre la drogue a réclamé sept fois plus nombreux au Mexique seul.
Dans la pire année du terrorisme (2001), moins de 4 000 morts. Dans une bataille de la première guerre mondiale (Verdun), plus de 300 000 morts – 75 fois plus nombreux.
(suite en dessous:)
Le pire jour de terrorisme (11 septembre 2001), moins de 3 000 morts. En une seule journée de la seconde guerre mondiale (6 juin 1944), qu’en Normandie et uniquement sur le camp des vainqueurs, il y avait 4 413 morts confirmés.
RépondreSupprimerNos sentiments sont faux
La plupart d'entre nous, la guerre se sent beaucoup moins effrayante que le terrorisme. Et la raison en est évidente : les images qui sont présentent à nous et les attitudes des gens autour de nous proclamer la guerre normale.
Guerre ne nous surprend ; il ne nous choque. Nous avons été formés à croire que les guerres sont contenues et que c’est principalement des gens en uniforme qui est touchés. La vérité, cependant, est par ailleurs. Décès de civils pendant la seconde guerre mondiale, étaient par exemple, doubler le nombre de décès de soldat.
Uniformes, les autorisations et les affichages officiels tournent nos yeux loin de la grande horreur de la guerre. Tout autour de nous prend en charge le vieil adage que « un homme en train de mourir est une tragédie ; 1 million hommes mourant est une statistique". Tout ce que prend en charge la peur du terrorisme, plutôt que la peur de la guerre.
La réalité, cependant, est insensible à nos peurs : guerre est mort, la mutilation et la paupérisation, et il ne sera jamais rien d’autre... tout comme le terrorisme, mais beaucoup, beaucoup plus grand.
Nos images et nos normes sont en contradiction avec la réalité. Considérez ceci, s’il vous plaît :
Guerre menée au gouvernement est des centaines de fois pire que petites bandes de fous. Pour prendre une attitude Ho-hum de guerre tout en restant paniqué sur le terrorisme est irrationnel sauvagement.
Quand nos sentiments sont en désaccord avec l’immobilier, il est temps de ré-étalonner leur.
Maintenant ce qui ?
Maintenant, si nous nous soucions de la réalité, si nous nous soucions de nos cœurs et nos esprits fonctionne bien-nous devons cesser d’accepter la terreur massive de la guerre comme d’habitude. Des millions de personnes seraient tués dans des conflits politiques dépasse barbare.
Si tel était le retour à la normale, les systèmes qui produisent il doivent être remis en question aux niveaux les plus élémentaires et remplacés. Promptement.
Dans le même temps, nous devons cesser de vivre dans la peur. La peur nous rend stupide ; Elle nous rend manipulable. La peur nous asservit.
Dernières paroles
Mon point dans cet article n’est pas que nous devrions ignorer les horreurs du terrorisme. C’est plutôt que nous devrions voir la situation comme il est. Et pour ceux d'entre nous dans l’Ouest, la situation est le terrorisme est une arme politique, exercé par les politiciens au service de Ce que Dwight Eisenhower, appelé le "complexe militaro-industriel".
De plus, nous devons comprendre que l’élimination du terrorisme priverait ces gens de leur meilleur outil. Si le terrorisme s’est arrêté, ils auraient à le remplacer. Les occidentaux statu quo exige une population effrayée et confuse.
Le terrorisme est qu'un rappel mortels de l’homme à quel point trompé peut devenir. Éliminant les il sera terriblement difficile si nous restons terrifié et trompés nous-mêmes.
http://www.zerohedge.com/news/2016-06-22/triviality-terrorism
Général de l’OTAN admet que la Russie n’est pas une menace pour la région
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
22 juin 2016 18:10
Au cours de ces derniers mois, les Etats-Unis a poussé l’OTAN pour renforcer les troupes sur de la Russie frontalière, tenue des jeux de guerre dans son arrière-cour et a déployé des porte-avions en Méditerranée afin d’envoyer un message à la Russie de ce que les États-Unis sont capable de faire. La justification de telles actions a toujours été très vaguement communiquée, mais comme le commandement général de l’OTAN européenne Philip Breedlove a dit, il a été d’envoyer un signal de dissuasion à la Russie.
Certes, il y a plus de deux ans la Russie annexe la Crimée, mais depuis ce temps, que les troubles dans cette région a été relativement calme. La réalité est que, selon le général Petr Pavel, Président du Comité militaire de l’OTAN, il n’y a aucun renseignement qui suggère que la Russie envisage toute agression à grande échelle que ce soit.
Selon le général Pavel, l’OTAN envisage pas d’autres troupes en Europe de l’est au-delà de ce qui a déjà été fait, et comme rapportsde Reuters, Pavel prétend que l’accumulation était juste dans l’espoir de la Russie décourageante d’avoir orchestré le genre de campagne qu'elle utilisée à l’annexe de la péninsule de Crimée. Cependant il est plus intéressant de ce que Pavel dit ensuite :
Déploiement d’une force militaire importante n’est pas envisagée. Il n’est pas l’objectif de l’OTAN pour créer une barrière militaire contre à grande échelle l’agression russe, parce que cette agression n’est pas à l’ordre du jour et aucune évaluation du renseignement ne suggère une telle chose."
Eh bien, c’est tout à fait une déclaration, car les actions des États-Unis et l’OTAN ont contredit totalement cette appréciation. Si Pavel est correct, et il n’y a aucune intelligence réelle qui suggère que toute agression est envisagée par la Russie, puis soit les États-Unis cherche à provoquer le pays en action sur le but, qui est toujours une possibilité, ou une autre possibilité est celle qui que nous fait remarquer last semaine et c’est l’Arabie font pression sur les Etats-Unis pour se débarrasser des Assad. Si les Etats-Unis accueille cette demande son bon ami, Arabie saoudite, alors un conflit direct avec la Russie serait imminent, que la Russie a indiqué très clairement que les Etats-Unis n’est pas de sortir Assad militairement. Si les États-Unis sait ça va aller de l’avant et renverser Assad à l’instigation de l’Arabie du, alors il serait judicieux d’avoir une équipe déjà établie autour des frontières de la Russie pour dissuader toute action immédiate.
Quelle que soit la raison de l’accumulation, nous surveillerons attentivement voir comment cela se joue en fin de compte.
http://www.zerohedge.com/news/2016-06-22/nato-general-admits-russia-not-threat-region
Gouvernement allemand est d’accord « Indéterminée » interdiction de la fracturation hydraulique
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
22 juin 2016 15:15
Soumis par Charles Kennedy par l’intermédiaire de OilPrice.com,
Le gouvernement allemand a accepté d’interdire la fracturation hydraulique pour le gaz de schiste pour une durée indéterminée, mais permettrait aux forages à réaliser si les gouvernements des États le permettent, les journaux évoquèrent mardi.
Les deux parties en Allemagne au pouvoir en coalition - les chrétiens-démocrates (CDU) et les sociaux-démocrates (SPD) - ont convenu de ce qui est appelé une interdiction « indéterminée », mais l’accord prévoit un examen en cinq ans, laissant la porte ouverte à une possible levée de l’interdiction.
Parlement doit encore approuver l’interdiction.
Groupes environnementaux ne sont pas satisfaits de l’accord et ont promis de redoubler d’opposition.
L’accord de la coalition sur une loi d’autorisation de fracturation hydraulique est ébouriffant. La Loi doit être arrêtée et remplacée par une interdiction de la fracturation hydraulique vrai, » Hubert Weiger, qui dirige l’organisation écologiste, a déclaré dans une déclaration adoptée par Reuters.
La France a interdit la fracturation hydraulique, tandis que le Royaume-Uni est allé en arrière sur la question. À la fin mai, un gouvernement local anglais a approuvé le premier permis de fracturation hydraulique en Europe occidentale pour le gaz naturel depuis 2011.
Le dernier incident de la fracturation hydraulique en Grande-Bretagne a eu lieu en 2011, quand le pétrole basé au Royaume-Uni et du gaz société Cuadrilla Resources a admis que deux tremblements de terre mineurs dans le nord-ouest de l’Angleterre avaient été causés par la société de l’utilisation de la controversée forage pratique.
Gouvernement socialiste de la France a été sous la pression des écologistes non seulement à faire en sorte que fracking jamais se déroule sur le territoire Français, mais aussi pour s’assurer qu’aucun gaz de fracked pénètre dans son territoire.
Préoccupations ont récemment été exprimées par certains membres du Parlement Français qui LNG américaine des exportations vers l’Europe ont contenu des gaz naturel qui est 40 pour cent de gaz de schiste — dont les écologistes et certains parlementaires soutiennent est en contradiction avec interdiction de la France sur l’exploitation de gaz de schiste en utilisant la fracturation hydraulique
http://www.zerohedge.com/news/2016-06-22/german-government-agrees-indefinite-ban-fracking
Les Qataris rachètent la maison de couture Balmain
RépondreSupprimerMylène Vandecastee
le 23 juin 2016
La maison de haute couture française Pierre Balmain vient d’être rachetée pour près d’un demi-milliard d’euros par Mayhoola for investments, un fonds d’investissement du Qatar, rapporte le Financial Times. Elle souhaite poursuivre son développement et ouvrir des magasins à l’étranger avec cet argent, et commercialiser également une ligne d’accessoires.
Les Qataris ne sont pas étrangers au monde de la mode. Depuis 2012, ils ont également acquis le couturier italien Valentino. Selon une source du journal, il serait question de fusionner les deux maisons, et de procéder à l’introduction en bourse de l’entité résultante.
Balmain est une entreprise familiale fondée en 1945 par le couturier français Pierre Balmain. Il avait précédemment collaboré chez Molyneux et Lucien Lelong un fut même le collègue de Christian Dior pendant un certain temps, mais les deux créateurs ont décidé d’ouvrir leurs propres maisons de couture à la même époque. Balmain a été vendu en 1995 à Alain Hivelin, qui est mort en 2014.
Mayhoola for investments est détenue par la famille royale du Qatar, et l’on pense qu’il s’agit du véhicule d’investissement de Cheikha Moza bint Nasser al-Missned, la mère de l’Emir du Qatar, Cheikh Tami. Par filiales interposées, le fonds a déjà investi dans le magasin britannique Harrods et dans LVMH, la société propriétaire de Louis Vuitton.
https://fr.express.live/2016/06/23/les-qataris-rachetent-la-maison-de-couture-balmain/
Robots doivent payer la « Sécurité sociale », selon la proposition de l’impôt européen
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
23 juin 2016 07:10
Soumis par Michael Shedlock via MishTalk.com,
L’UE étudie une proposition qui compterait des robots comme des personnes à des fins fiscales.
“Bien que la proposition est jugée « trop tôt » pour mettre en oeuvre tout de suite, repos assuré une fois nannycrats obtenir une mauvaise idée dans la tête, il ne quitte jamais.
Cela donne encore une autre raison de voter en faveur de Brexit.
S’il vous plaît envisager de Robots de l’Europe à devenir « personnes électronique » au régime de projet.
L’Europe de plus en plus armée de robots travailleurs pourraient être qualifiées de « personnes électroniques » et leurs propriétaires susceptibles de payer la sécurité sociale pour eux, si l’Union européenne adopte un projet de plan d’aborder les réalités d’une nouvelle révolution industrielle.
Robots sont déployés en nombre toujours plus grands en usines et en prenant également sur les tâches telles que l’hygiène personnelle ou une intervention chirurgicale, faisant craindre au chômage, inégalité de la richesse et l’aliénation.
Leur intelligence, omniprésence croissante et autonomie nécessite de repenser tout de l’imposition d’une responsabilité juridique, suggère une ébauche de la proposition du Parlement européen, en date datée 31 mai.
Le projet de proposition appelé la Commission européenne d’examiner « qu’au moins le plus sophistiqué des robots autonomes pourraient être établis car ayant le statut de personnes électroniques avec des droits et obligations ».
Il a également suggéré la création d’un registre pour les robots autonomes intelligents, qui relierait chacun au fonds mis sur pied pour couvrir sa responsabilité légale.
Le projet de motion, élaboré par la Commission du Parlement européen des affaires juridiques a également dit organisations devraient avoir à déclarer qu’ils épargné en cotisations de sécurité sociale en utilisant la robotique au lieu de personnes, à des fins fiscales.
Le mouvement fait face à une bataille difficile de gagner le soutien des divers blocs politiques au Parlement européen. Même si il ai eu assez de soutien pour passer, il serait une résolution non contraignante que le Parlement n’a pas le pouvoir de proposer une législation.
Règle de trois cinquièmes &&Comme esclaves aux États-Unis avant la guerre civile, robots reçoivent-ils les Trois cinquièmes d’une représentation programmée au Parlement européen ?
Droit de mauvaises idées.
Loi de mauvaises idées stipule que mauvaises idées jamais s’en aller, ils juste s’aggravent avec le temps.
À un certain moment dans l’avenir, s’attendre à enregistrer vos robots et payer des cotisations de sécurité sociale sur eux aussi bien.
Quand j’ai écrit tout d’abord le "Droit de mauvaises idées" J’ai été choqué de découvrir que personne n’avait utilisé cette expression.
http://www.zerohedge.com/news/2016-06-22/robots-pay-social-security-under-eu-tax-proposal
Après les "J'ai une calculette chez moi (ou un boulier et des doigts pour compter) dois-je la déclarer ?" et les "A quel âge faut-il avouer à son chien qu'on l'a adopté ?", voici venir (pour les attardés mentaux seulement) les points retraites enregistrés par votre sextoy ! (et le "13è mois" demandé par la CGT), les 'CDD' et 'CDI' et, (comme pour les nazional socialistes) les 'Primes à la casse'.
SupprimerLa question est importante car, figurez-vous que, s'il y a prise en compte de la capacité mémorielle autant qu'observatrice des ordinateurs de machines-outils, cela peut mettre un frein définitif à toutes propositions gouvernementales hors Constitution !! et, au devoir d'en condamner celles ou ceux qui s'y opposent !
Notons que même si un 'Président Robocop' pourrait être désigné en tant que candidat aux présidentielles et qu'il obtiendrait un 'pas loin de 100 % des voix' , ce n'est pas pour demain qu'il en défendra le peuple du haut des barricades face aux 'services de l'ordre' qui en paralyseraient les moindres décisions venues d'un 'tas de ferraille' !
Qui est le « mouvement européen » et pourquoi la réponse peut changer comment voter sur « Brexit »
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
22 juin 2016 22:33
Soumis par le Professeur Richard A. Werner, d.Phil. (Oxon)
L'UE bases – votre Guide pour l’organisation d’un référendum
Les britanniques devraient être clairs sur tout ce qui ils voterons lors du référendum de EU ce jeudi. Ce qui en fait signifie rester dans l’Union européenne ? Que signifie pour sortir ?
En ce qui concerne la deuxième question, la question dominante dans le débat a été la question s’il y aura une incidence économique négative sur le Royaume-Uni de quitter l’Union européenne. Premier ministre David Cameron, ainsi que les chefs du FMI, l’OCDE et diverses agences de l’UE ont donné économiques croissance passera, la situation financière se détériore, la monnaie s’affaiblira et exportations Britannique vont diminuer abruptement de sévères avertissements. George Osborne, le chancelier de l’Échiquier a menacé de réduire les pensions si retraités le courage de voter pour la sortie. Mais quels sont les faits ?
J’ai ont été formé en économie monétaire et internationales à la London School of Economics et détenir un doctorat de l’Université d’Oxford en sciences économiques. J’ai étudié ces questions pendant plusieurs décennies. J’ai testé récemment, à l’aide de techniques quantitatives avancées, la question de la taille de l’impact sur le PIB de l’entrée ou la sortie de l’Union européenne ou de la zone euro. La conclusion est que cela ne fait aucune différence à la croissance économique, et tout le monde qui prétend le contraire n’est pas guidé par les faits. La raison en est que la croissance économique et le revenu national sont presque entièrement déterminées par un facteur qui est décidé à la maison, à savoir le montant du crédit bancaire créé à des fins productives. Cela a été malheureusement très petite au Royaume-Uni au cours des dernières décennies, une croissance économique beaucoup plus grande est donc possible, dès que les mesures sont prises pour stimuler le crédit bancaire à des fins productives – quelle que soit la question de savoir si le Royaume-Uni reste dans l’Union européenne ou pas (bien que Brexit rendra beaucoup plus facile de prendre des mesures de politique). Rappelons aussi qu’une économie beaucoup plus petite comme la Norvège – pensée plus tributaire du commerce international – Farcy extrêmement bien après son peuple rejeté une adhésion à l’UE lors d’un référendum en 1995 (qui s’est passé contre les sévères avertissements et les menaces de ses élites de partis, la plupart de ses médias et le refrain Uni des chefs des organisations internationales). D’ailleurs, Japon, Corée, Taïwan et la Chine jamais eu besoin EU membership pour déplacer des pays en développement du statut d’économie de haut industrialisés dans environ un demi-siècle. L’argument des conséquences économiques désastreuses de Brexit est bidon.
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En ce qui concerne la première question, à savoir ce que veut rester à l’intérieur de l’UE, nous devrions consulter l’Union européenne elle-même. Heureusement, l’UE a publié un rapport officiel majeur sur ses politiques clés et qu’elle envisage de réaliser dans un proche avenir en octobre 2015. Ce rapport a été publié au nom des « Cinq Présidents » de l’UE. Dans le cas où vous n’aviez pas été au courant qu’il y avait même un seul, sans parler des cinq Présidents de l’Union européenne, ce sont : le Président non élu de la Banque centrale européenne, ancien de Goldman Sachs Mario Draghi, le Président non élu de la Commission européenne, m. Jean-Claude Juncker non élus Commissar de Bruxelles et le « Président de l’Eurogroupe », Jeroen Dijsselbloem, le « Président du Sommet Euro » , Donald Tusk et le Président du Parlement européen, Martin Schulz. Quel est le message de ce nombre non négligeable de présidents EU concernant la question d’où l’UE s’en va ? Le titre de leur rapport conjoint est un gadget publiciaire: "(sic) rapport du Président cinq : remplir l’Europe Union économique et monétaire". https://ec.europa.eu/Priorities/publications/Five-Presidents-Report-Completing-Europes-Economic-and-Monetary-union_en
RépondreSupprimerLe rapport commence par l’aveu que "avec 18 millions de chômeurs dans la zone euro, beaucoup plus doit être fait pour améliorer les politiques économiques" dans l’UE. Bien dit. Mais ce qu’il faut exactement faire ?
"L’Europe économique et monétaire (UEM) Union aujourd'hui est comme une maison qui a été construite au fil des décennies, mais seulement partiellement aménagée. Lorsque la tempête a frappé, ses murs et le toit devaient être stabilisées rapidement. Il est maintenant grand temps pour renforcer ses fondations et transformez-le en ce que l’UEM était censé être..."
« nous devrons prendre de nouvelles mesures pour achever l’UEM ».
Les planificateurs centraux à Bruxelles et à la BCE à Francfort ne sont pas ignorant que sous leur commandement, une dislocation économique sans précédent a eu lieu dans l’Union européenne au cours des dix dernières années, y compris massifs bulles d’actifs et des biens, banking crises et un chômage à grande échelle dans tous les pays de la périphérie – avec plus de 50 % le chômage des jeunes en Grèce, Espagne et Portugal, ainsi que l’absence de tout contrôle sérieux des frontières extérieures de l’UE pour empêcher un afflux de sans pareil nombre d’immigrants illégaux et des migrants économiques.
Cependant, les planificateurs centraux EU sont dans le déni sur le fait que ces problèmes ont été provoqués entièrement par leurs propres politiques malavisées et désastreux. En conséquence, ils soutiennent que la solution à ces problèmes ne peut plus la concentration des pouvoirs entre leurs mains: « Nous avons besoin plus d’Europe », comme Mme Merkel a dit (source : Veuillez lire ces revendications de Merkel sur la
http://www.euractiv.com/section/eu-priorities-2020/news/merkel-calls-for-political-union-to-save-the-euro/EU) c’est ce qu’ils proposent de mettre en œuvre dans les années à venir, en transformant tous les membres de l’UE en un seul pays.
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Si rapport des cinq Présidents indique clairement que l’UE n’est pas simplement une zone de libre-échange. Ce projet avait été laissé avec le traité de Maastricht de 1992 et de nature très différente de l’Europe a devenir consacré à la Constitution européenne 2007 (appelé "Traité de Lisbonne", étant donné que les citoyens européens dans plusieurs référendums ont rejeté. Source : s’il vous plaît lire ce que dit l’auteur de la Constitution européenne rejetée : http://www.independent.co.uk/voices/commentators/valeacutery-giscard-destaing-the-eu-treaty-is-the-same-as-the-constitution-398286.html ). Au lieu de cela, l’UE est le projet pour abandonner toute souveraineté nationale et frontières au sein et de faire disparaître toutes les nations européennes qui ne parvient à sortir à temps, dans un pays unique nouveau fusionné, mixte, avec un gouvernement européen central, la politique monétaire européenne centralisée, centralisée de politique fiscale européenne, politique étrangère européenne centralisée et centralisée de la réglementation européenne, y compris des marchés financiers et bancaires. Cette États-Unis d’Europe, un Léviathan antidémocratique que les peuples européens n’a jamais voulus, est l’aboutissement de la mantra répétée beaucoup de « union sans cesse plus étroite ».
RépondreSupprimerCe projet a été mis en place régulièrement et discrètement sur plusieurs décennies, malgré les maladresses de politique majeur et cohérente et de scandales impliquant les planificateurs centraux (par exemple en 1999 l’ensemble de la Commission européenne – le gouvernement non élu et le cabinet du super-État européen – démission en disgrâce et qu’elle a été d’avoir fait des pots de vin engagé dans la fraude, alors que la Cour des comptes de l’UE elle-même a à plusieurs reprises refusé de parapher les livres officiels de l’UE).
L’économie est clair : il n’y a pas besoin d’être un membre de l’UE à s’épanouir sur le plan économique, et sortant n’a pas d’impact sur la croissance économique UK du tout. Le Royaume-Uni peut rester dans l’espace économique européen, comme la Norvège l’a fait, ou tout simplement d’accord sur un accord commercial, comme Suisse et profiter de libre-échange – l’intention principale d’accords européens aux yeux du public. La politique est claire : le super-État européen qui a déjà été créé n’est pas démocratique. Le soi-disant « Parlement européen », unique parmi les parlements nationaux, ne peut proposer toute mesure législative du tout – lois sont tous formulés et proposés par la Commission européenne non élus ! Comme un observateur russe a commenté, le Parlement européen est une imposture avaliser, tout comme le Parlement soviétique pendant les jours de l’Union soviétique, tandis que le gouvernement non élu est la Commission européenne – le Politibureau regorge de ses commissaires.
Grandes entreprises et les grandes banques, ainsi que les banquiers centraux et le FMI, constituent l’élite financière qui se trouve derrière cette concentration délibérée du pouvoir – ce qui donne encore plus de pouvoir entre les mains de personnes jamais moins. Le caractère antidémocratique des institutions de l’UE a atteint un point tel que j’ai entendu récemment retraité de la BCE en privé en confessant que son plus grand souci est la nature antidémocratique et l’étendue des pouvoirs de la BCE, qui ont été plus en plus victimes de violence à des fins politiques le Conseil d’administration. Ces faits ont été étouffées par le goutte à goutte constant de propagande émanant de l’élite puissante derrière la création d’États-Unis d’Europe.
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Au cours de ces années et les décennies de réguliers transferts de pouvoirs et de la souveraineté des États-nations et leurs assemblées démocratiquement élues à la bureaucratie de Bruxelles non élue, j’avais toujours été intrigué par le soutien apparent d’US fort pour tout cela. Chaque fois que le "processus" de « union sans cesse plus étroite » semblait avoir heurté un obstacle, un président américain – quel que soit le nom du titulaire du poste ou l’affiliation à un parti – pourrait intervenir et dire sans ambages aux européens gênants de se ressaisir et accélérer l’unification de l’Europe en un seul. Dans la naïveté de ma jeunesse cela m’avait frappé aussi surprenant. De même, le public britannique récemment a été informé par le Président américain Obama que tomber hors de l’Union européenne n’était pas une bonne idée et qu’ils avaient mieux voter pour rester dans.
RépondreSupprimerAlors qu’il n’est pas surprenant que l’élite mondiale qui a bénéficié de la tendance à la concentration du pouvoir devient plus en plus hystérique dans leurs tentatives d’amadouer le public britannique en votant pour rester à l’intérieur de l’UE, c’est moins clair, pourquoi le Président américain et son gouvernement devraient être aussi vif sur le projet de l’UE. Nous avions dit dans le passé par les médias européens que la concentration des décisions économiques et politiques en Europe a été être conçue afin de créer un contrepoids contre la domination américaine. Cela semblait motiver certaines voix favorables à l’UE. Le Président américain doit avez sûrement entendu parler de cela ?
Il y a un autre mystère. Hier encore, une brochure d’apparence impressionnante a largué dans la boîte aux lettres de ma maison de Winchester, intitulé "UE Basics-votre Guide pour l’organisation d’un référendum". Il a été délivré par une organisation dénommée « Mouvement européen ». Les 16 pages couleur et haute livret brillant plaide pour la Grande-Bretagne de rester dans l’Union européenne. Qui est ce « mouvement européen », et qui elle finance ? Cette organisation peu connue semble financièrement assez puissante pour déposer un livret imprimé de haute qualité dans tous les foyers au Royaume-Uni toute.
La déclassification de documents anciennement secrets a résolu les deux mystères. Il s’avère que, ils sont connectés. Selon les termes de Nottingham University academic Richard Aldrich :
"L’utilisation des opérations secrètes pour la promotion spécifique de l’unité européenne a attiré peu d’attention savante et reste mal comprise. ... l’injection discret de plus de 3 millions de dollars entre 1949 et 1960, pour la plupart des sources du gouvernement américain, était au centre des efforts de battre le soutien massif de la déclaration Schuman, la Communauté européenne de défense et une Assemblée européenne dotée de pouvoirs souverains. Cette contribution secrète jamais formé moins de budget moitié européenne du mouvement et, après 1952, probablement les deux-tiers. En même temps, ils ont cherché à miner la résistance farouche du gouvernement travailliste britannique aux idées fédéralistes... Il est également particulièrement frappant de constater que le même petit groupe de hauts fonctionnaires, beaucoup d'entre eux du Western [Remarque : cela signifie que nous] Communauté du renseignement, central dans le soutien des trois plus importants groupes élites transnationales se font jour dans les années 1950 : le mouvement européen, le groupe de Bilderberg et Comité d’Action pour les États-Unis d’Europe de Jean Monnet [ACUE]. Enfin, à la fois quand certains antifederalists britanniques a vu une poursuite « relation spéciale » avec les États-Unis comme une alternative à (peut-être même un refuge contre) fédéralisme européen, il est ironique que certaines initiatives fédéralistes européens devraient ont été soutenus avec le soutien des Etats-Unis. "
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Il y a beaucoup plus à lire dans cette pièce explosive de la recherche savante (Richard J. Aldrich (1997), l’unité OSS, CIA et européennes : la Commission américaine sur l’Europe unie, 1948-60, diplomatie & Statecraft,8(1), pp. 184-227, en ligne sur http://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/09592299708406035#.V2exrU36voo )
RépondreSupprimerUK journaliste et ancien Bruxelles correspondant Ambrose Evans-Pritchard a été le seul journaliste à rendre compte des résultats de la recherche académique, dans deux articles parus en 2000 et 2007 :
"Les documents du gouvernement américain déclassifié montrent que la communauté américaine du renseignement a mené une campagne dans les années cinquante et soixante d’élan pour une Europe unie. … Services de renseignement américains ont secrètement financé le mouvement européen, payer plus de la moitié de son budget. Certains des pères fondateurs de l’Europe étaient à la solde des US...
"Les documents confirment les soupçons ont exprimé au moment où l’Amérique travaille agressivement dans les coulisses pour pousser la Grande-Bretagne dans un État européen. Ne l’oublions, le Français a dû être traîné à coups de pied et criant à la fédéraliste signature table dans les années 1950. Eisenhower a menacé de couper l’aide Marshall à moins que Paris a accepté de baiser et composent avec Berlin. Jean Monnet de France, cerveau de l’UE, était considéré comme un agent américain – car en effet, il a été. Monnet servait de fixateur de Roosevelt en Europe pendant la guerre et orchestré la tentative manquée d’US pour arrêter de Gaulle, prendre le pouvoir.
"Une note, datée du 26 juillet 1950, donne des instructions pour une campagne visant à promouvoir un véritable Parlement européen. Elle est signée par Gen William J Donovan, chef de la guerre américaine Bureau des Services stratégiques, précurseur de la CIA. … Principal outil de Washington pour façonner l’agenda européen est le Comité américain pour une Europe unie, créé en 1948. Le Président était Donovan, ostensiblement un avocat du secteur privé à ce moment-là. Le vice-président était Allen Dulles, le directeur de la CIA dans les années cinquante. Le jury comprenait Walter Bedell Smith, premier directeur de la CIA, ainsi qu’une liste des figures de l’ex-OSS et fonctionnaires qui ont déménagé dans et hors de la CIA. Les documents montrent que l’ACUE financé le mouvement européen, la plus importante organisation fédéraliste dans les années d’après-guerre. En 1958, par exemple, elle fournie 53,5 pour cent des fonds du mouvement. La campagne européenne de jeunesse, un bras du mouvement européen, a été entièrement financée et contrôlée par Washington.
«Les dirigeants du mouvement européen – Retinger, le visionnaire Robert Schuman et l’ancien premier ministre belge Paul-Henri Spaak – étaient tous traités comme hired mains par leurs parrains américains. Le rôle des Etats-Unis a été traité comme une opération secrète. L’ACUE financement provenait des fondations Ford et Rockefeller ainsi que des groupes d’entreprises ayant des liens étroits avec le gouvernement américain.
« La tête de la Fondation Ford, agent de l’ex-OSS Paul Hoffman, doublé en tant que chef de l’ACUE dans les fin des années cinquante. Le département d’Etat a également joué un rôle. Une note de la section européenne, datée Date 11 juin 1965, conseille le vice-président de la Communauté économique européenne, Robert Marjolin, de poursuivre l’union monétaire à la dérobée.
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"Il recommande en supprimant le débat jusqu'à ce que le point à laquelle « adoption de ces propositions deviendrait pratiquement inéluctable ».
RépondreSupprimer"Cinquante ans après le traité de Rome, les architectes de la politique américaine après la guerre serait très heureux, je pense que, s’ils étaient vivants aujourd'hui. …
(extrait de : Ambrose Evans-Pritchard (2000), Euro-fédéralistes financés par les chefs espion américain, The Daily Telegraph, 19 septembre 2000 ;
http://www.Telegraph.co.uk/News/WorldNews/Europe/1356047/euro-Federalists-financed-by-US-Spy-Chiefs.html et Ambrose Evans-Pritchard (2007), la peur d’un super-État a passé, mais nous voulons perdre au total de l’UE ? The Daily Telegraph, le 7 avril 2007)
Pas étonnant que M. Evans-Pritchard a maintenant conclu qu’il votera pour Brexit :
http://www.telegraph.co.uk/business/2016/06/12/brexit-vote-is-about-the-supremacy-of-parliament-and-nothing-els/
La révélation que l’UE est le résultat d’une importante opération de services secrets américains – efficacement tout de suite une autre créature secrète de tromperie lancées par la CIA (prise de place d’honneur dans le hall de l’infamie qui inclut les opérations sous fausse bannière, invasions, coup d’État-detats et la mise en place d’organisations telles que Al Qaida et ISIS) résout la troisième mystère, à savoir comment diable les nations européennes prétendument démocratiques pourraient concevoir une telle structure antidémocratique, quasi dictatoriale. Avec les pays d’Europe de l’EU/États-Unis aux États-Unis non seulement atteint ses objectifs géostratégiques en Europe, mais il a également éliminé le rôle des parlements nationaux embêtants, qui pourrait obtenir à l’occasion dans la voie de la politique étrangère US ou de la CIA. Et un autre puzzle est résolu, à savoir pourquoi l’Union européenne avait si facilement, a accédé à une demande américaine quelques années en arrière qui US spy agences accédez à tous les européens courriels et appels téléphoniques...
Un vote pour rester dans l’Union européenne est donc un vote d’abolir le Royaume-Uni comme un État souverain et fondre dans les États-Unis d’Europe antidémocratique qui les élites européennes construisent sous tutelle américaine. Que les citoyens européens – et, il semble, même les responsables politiques européens – ont peu ou pas d’entrée dans les décisions européennes clées peut être vu de l’attitude toujours plus agressive de l’OTAN contre la Russie (basée à Bruxelles l’OTAN étant le bras armé de l’Union européenne, qui est ouvertement sous contrôle direct des États-Unis) et les sanctions unilatérales contre la Russie que les Etats-Unis pourraient tout simplement commander les européens à mettre en œuvre (provoquer d’importantes pertes de revenus et d’emplois en Europe tout en renforçant les intérêts commerciaux américains). Les politiques d’immigration sont une autre espèce. Si les Etats-Unis ont eu le passé considérée comme les populations européennes largement homogènes une source de la résistance européenne potentielle contre ses plans pour l’Europe, alors la politique pour les remplacer par la balkanisation a échoué « creusets » est également logique.
(suite en dessous:)
La Norvège a voté en 1995 sur l’adhésion à l’UE. Principaux partis étaient tous favorables. Grandes entreprises et les banques centrales, les principaux médias et les talking heads sur TV ont été frénétiquement l’intimidation et cajoler le public norvégien à voter « dans ». Le peuple reste inébranlable et voté « out ». La Norvège a fait merveille. Et bien plus encore sera au Royaume-Uni.
RépondreSupprimerProfesseur Werner est directeur du Centre d’opérations bancaires, finances et développement durable à l’Université de Southampton. Il est connu pour proposer le concept de « Quantitative Easing » au Japon. Son livre 2003 Princes du Yen mis en garde contre les dangers de l’indépendance excessive de banque centrale et prédit que la BCE était susceptible de créer des bulles de crédit, Banque des crises et des récessions dans la zone euro.
http://www.zerohedge.com/news/2016-06-22/who-european-movement-and-why-answer-may-change-how-you-vote-brexit
La Chine avertit les Etats-Unis qu’elle n'est pas « L’adversaire avec qui l'on peut jouer »
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
22 juin 2016 21:20
Deux porte-avions américains, le John C. Stennis et Ronald Reagan, ont commencé des opérations conjointes dans les mers à l’est des Philippines au cours du week-end, la marine américaine a annoncé lundi. Les opérations de venir au cours d’une période tendue dans la région, comme la Chine a récemment annoncé qu’elle ne respecterait pas à toute décision défavorable qui peut-être provenir de la Haye concernant la contestation formelle de Philippines de revendications territoriales en mer de Chine méridionale.
La Chine a été très claire dans sa position selon laquelle les Etats-Unis doivent rester en dehors des différends maritimes dans la région, mais aux Etats-Unis a déjà fait savoir qu’elle entend faire le gendarme dans la région pour les décennies à venir, si le déménagement n’est pas surprenant. Amiral John Richardson, le chef des opérations navales nous a dit qu’il n’était pas souvent aux États-Unis avaient transporteur deux groupes dans les mêmes eaux et c’était un signe de l’engagement américain à la sécurité régionale.
Selon Reuters, Richardson a fait une corrélation entre le déploiement asiatique et le déploiement américain et a récemment envoyé à la mer Méditerranée afin d’envoyer un message à la Russie.
Ici et dans la Méditerranée, c’est un signal à tous les membres de la région que nous nous sommes engagés, nous allons être là pour nos alliés, de les rassurer et pour tous ceux qui veulent déstabiliser la région. Et nous espérons il y a un moyen de dissuasion message il ainsi."
Le contre-amiral John D. Alexander a cité une déclaration nous Pacific Command (PACOM), commandant du groupe du porte-avions Ronald Reagan, en disant qu’il a été l’occasion de la pratique des techniques nécessaires pour l’emporter dans les opérations navales modernes.
"La marine américaine a volé, a navigué et exploités partout dans le Pacifique occidental conformément au droit international pendant des décennies et continuera de le faire."
Une pièce supplémentaire à cette histoire est que, comme Reuters fait remarquer, les gens de tous les jours (Journal officiel de la Chine parti communiste, qui est souvent utilisé pour exprimer les vues de politique étrangère), avait Ceci à dire au sujet de la décision américaine d’envoyer des transporteurs.
Via Google Translate
Transmettre un message soi-disant sur la sécurité à travers l’exposition des militaires pourrait, et en outre décrivant les événements comme un acte de la dissuasion est quelque chose que les États-Unis a fait beaucoup trop de fois. Peu importe combien de fois il aurait pu facilement dans d’autres parties du monde qu'aux États-Unis a choisi l’adversaire mal en sélectionnant la Chine pour ce type de jeu. Derrière tout cela est le manque de patience et cuivrée se déplace et il révèle aussi un caractère d’hégémonie sous la surface.
* * *
Il est évident que de Chine est fatiguée des jeux que les Etats-Unis joue dans la région et peu importe combien de fois la Chine a averti que les Etats-Unis devraient rester en dehors de ses affaires, les États-Unis restent inébranlable dans son effort à la police de la région. C’est seulement une question de temps avant une confrontation a lieu, intentionnelle ou non, et puis le monde sera sans aucun doute poussé au bord de la guerre - ce qui serait évidemment haussier pour les stocks.
http://www.zerohedge.com/news/2016-06-22/china-warns-us-it-wrong-opponent-play-games
Constat quotidien que les 'Etat-Unis d'Amerique du Nord' pénêtrent/offensent/violent les droits internationaux de la propriété en s'immisciant dans les droits souverains de pays extérieurs. Attaques volontaires et continuelles de pays pacifistes allant de l'accusation d'avoir osé regarder des emails mis à disposition de tous sur Internet à avoir des eaux territoriales interdites aux terroristes !
SupprimerMagasin de pistolets en ligne vend 30 000 AR-15 en semaine après Orlando
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
22 juin 2016 19:45
Dans la foulée de l’Orlando de tir, la vente d’armes à feu a commencé à ramasser encore une fois, tout comme l’affaire était au lendemain de la tragédie de Newtown.
Nous avons en premier signalé que dans la foulée de l’Orlando tir, propriétaire d’aventure plein air Jay Wallace dit que AR-15 et des autres armes à feu étaient de s'envoler des étagères parce que les gens ont peur que le gouvernement va prendre les armes. Cette tendance est maintenant de se propager aux autres magasins d’armes à feu, comme nous l’apprend maintenant ce fusil en ligne magasin entrepôt du chasseur, basée à Bellevue, la Pennsylvanie a vendu plus de 30 000 fusils semi-automatiques AR-15 dans une période de sept jours après le Orlando tir.
Le tournage lui-même n’était pas pousser leurs ventes d’armes à feu, il s’agissait plutôt de la crainte que le gouvernement allait commencer interdisant les fusils qui ont poussé les gens à acheter maintenant, a déclaré Tom Engle, le propriétaire de l’entrepôt du chasseur.
"Fusillades ne poussent pas leurs ventes d’armes à feu. C’est quand le gouvernement commence à parler sur l’interdiction des armes particulières et leurs ventes de pistolet aller. Quand les gens perdent leur droit d’acheter une arme particulière ou un type particulier d’arme à feu, ils vont après eux, et ils veulent ensuite."
* * *
Pour rappel, Smith & Wesson ventes sont en hausse de 200 % depuis Obama a été élu
- voir graphique sur site -
Aussi, le nombre de vérifications des antécédents du FBI atteint un niveau record au mois de mai.
- voir graphique sur site:
http://www.zerohedge.com/news/2016-06-22/online-gun-store-sells-30000-ar-15s-week-after-orlando
'AR' pour 'Assault Rifle'.
SupprimerPourquoi donc l'AR-15 de Colt plutôt que la célèbre et non défaillante 'Kalachnikov' ? Tout simplement que - comme le rappelle Tyler Durden - ce qui s'est passé en Floride avec LES tireurs regroupés en un seul (Hahahaha !) est comme ce qui s'est passé dans le Connecticut avec l'école Sandy Hook où les 'victimes' étaient invisibles et les 'parents' étaient des comédiens payés pour presque pas rigoler ! et au marathon dans le Massachusetts où un ancien marine US unijambiste devenu acteur se retenait de se fendre la gueule devant les caméras !
Statistiques de prise de vue : Les Américains ayant acheté plus Guns « Homicides ont diminué de 51 % »
RépondreSupprimerJay Syrmopolous
22 juin 2016
Activiste Post
Cet article a été écrit par Jay Syrmopoulos et publié à l’origine à ActivistPost.com
Commentaire de l’éditeur : évidemment, les médias hystériques, axés sur l’ordre du jour s’en foutent de la réalité. Mais pour ceux qui sont intéressés par la vérité, il est à noter que garder et porter des armes a créé une culture où le crime et homicide en particulier, a diminué.
Serait-ce parce que les criminels ne souhaitent pas à commettre des crimes lorsqu’il met en danger leur propre peau ? Jugez-en par vous-même.
Masse de tir mythe — US Homicide taux Hits 51 ans faible comme la possession d’armes portée 141 %
À la suite du massacre de boîte de nuit Orlando, les politiciens ont tenté d’utiliser la tragédie comme moyen de recueillir le soutien public aux mesures de contrôle accru des armes. Quatre textes législatifs contrôle réflexe des armes ont été défaits au Congrès hier, mais le débat entourant les droits de l’arme ne se dément pas.
Le nouveau descriptif, c’est que les « fusillades massives, » défini par le FBI comme 3 ou plus de personnes tuées lors d’un incident, atteignent des niveaux épidémiques et nécessitent donc une société afin d’accroître les restrictions sur la possession d’armes comme un moyen de sauver des vies et en abaissant le taux d’homicide aux États-Unis.
Toutefois, ce récit va à l’encontre de réalité que le taux d’homicide aux Etats-Unis est en fait à un minimum de 51 ans, selon les données du FBI. Le taux d’homicide aux Etats-Unis pour 2014, l’année la plus récente disponible, était de 4,5 pour 100 000 habitants. Le total de 2014 est inscrit dans une tendance à la baisse depuis longtemps et est le taux d’homicides le plus bas enregistré depuis 1963, quand le taux était de 4,6 pour 100 000. La dernière fois le taux d’homicide aux Etats-Unis a été plus faible qu’il est maintenant était en 1957 lorsque le nombre total d’homicides était de 4,0 pour 100 000 habitants.
- voir graphique sur site -
Étonnamment, la plupart des américains ignorent totalement de cette information, comme les médias et les politiciens aux États-Unis travaillent constamment pour créer une atmosphère de cirque qui entoure les armes à feu comme un moyen de contrôler la narration fondée sur la peur d’un besoin public pour connaître les restrictions supplémentaires de pistolet.
Contrairement à ce que le public a été amené à croire, que le taux d’homicide aux Etats-Unis est tombée à une arme à feu bas, 51 ans propriété a augmenté considérablement.
Selon un rapport de l’Institut de Mises :
Pendant ces dernières 20 années, le nombre de nouveaux canons aux États-Unis qui ont été fabriquées aux États-Unis ou importés aux États-Unis a augmenté de 141 % de 6,6 millions de nouveaux fusils en 1994 à 16 millions en 2013. Cela signifie un total brut de 132 millions de nouveaux fusils ont été ajoutés dans la population américaine pendant cette période.
(suite en dessous:)
- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerCependant veut rationaliser cette information il est un thème – un accès accru aux armes à feu n’a pas conduit à une société plus violente aux États-Unis – et selon les données du FBI, a effectivement corrélée avec une société nettement moins violente, comme en témoigne le taux d’homicides le plus bas dans les cours des 50 dernières années.
Puisque les données sont tellement convaincante claire, contrôle des armes défenseurs ont maintenant recours à la définition des « fusillades massives » comme un type spécial de meurtre, et en utilisant l’émotion des tragédies comme Orlando, comme excuse pour réglementer davantage armes à feu dans l’espoir que les réactions instinctives du peuple vaincra les données et la logique.
« Oui, les taux d’homicides ont été en baisse, » ils admettent, « mais les fusillades massives sont maintenant une épidémie ! »
Cet argument ne parvient pas à reconnaître l’absurdité c’est de tenter de laisser entendre que homicides montent en raison de fusillades de masse lorsqu’il y a 49 % de moins d’homicides par rapport à il y a vingt ans.
Cela nous amène à une question intéressante : si le but réel est de réduire les homicides aux États-Unis, alors pourquoi nous tenterait d’abolir les conditions qui ont fortement corrélée avec une diminution des taux d’homicides (possession d’armes accrue) dans une tentative de débarrasser une variété particulière d’homicide qui représente un très faible pourcentage des homicides globales aux États-Unis ?
Quelles que soient les revendications de Obama que "personne ne veut prendre les armes", il y a très certainement un agenda pilotée par l’élite qui cherche à réglementer lentement canons hors de la société publique américaine. La poussée de réglementer davantage les armes à feu n’est pas simplement sur la réduction des homicides, comme les données révèlent clairement une tendance persistante de la baisse du taux d’homicide – qui pose la question : si le motif n’est pas de diminuer les homicides, quelle est l’intention réelle des mesures de contrôle accru des armes ?
Quand le gouvernement craint le peuple, il n’y a liberté. Lorsque les gens craignent le gouvernement, il y a tyrannie. -Thomas Jefferson
http://www.shtfplan.com/conspiracy-fact-and-theory/shooting-statistics-as-americans-bought-more-guns-homicide-decreased-51_06222016
(...) « Oui, les taux d’homicides ont été en baisse, » ils admettent, « mais les fusillades massives sont maintenant une épidémie ! » (...)
SupprimerCela montre bien que des faux drapeaux ont été mis en place et (après Newton, Boston, san Bernardino et autres) que ces massacres ne viennent pas de la population !
Folie hégémonique des USA par le néolibéralisme et la mondialisation de la guerre
RépondreSupprimerMichel Chossudovsky
Mondialisation
mer., 22 juin 2016 13:23 UTC
-- Comment: La logique de domination étasunienne, accompagnée de l'aveuglement maladif qui caractérise sa classe politique, semble rendre le conflit inévitable, quel qu'il soit. Les adversaires désignés de l'Amérique sont puissants. Un affrontement entrainerait sans doute l'humanité à sa perte. Ainsi que le souligne très justement DeDefensa, à propos d'un discours de Poutine :
[A propos de Poutine] c'est sans aucun doute la conviction de l'homme ; sa fièvre insistante qui baigne le calme habituel, presque monocorde, de sa voix, avec en toile de fond de cette intervention, ceci comme une supplique s'adressant aux journalistes qui l'entourent : "Mais ne comprenez-vous donc pas ce qui se passe ? Si cela continue, ne comprenez-vous donc pas nous allons être obligés de 'riposter', de frapper contre cette épée de Damoclès qu'ils sont en train d'installer au-dessus de nos moyens stratégiques fondamentaux ?" Une supplique, sans nul doute...
...
Les phrases les plus frappantes dans l'intervention de Poutine (dont on retrouve des éléments dans d'autres de ses très récentes déclarations, lors du séminaire de Saint-Petersbourg notamment, - voir John Helmer de Dances with the Wolf le 19 juin), sont celles-ci, en préliminaire : « Ils [l'OTAN/les USA, tous les bouffons du même culte-Système] nous mentent... Nous savons ce qu'ils font, année après année, et ils savent que nous savons... » ; et puis celles-ci surtout, dites aux journalistes qui l'entourent, et celles-ci dites comme une supplique, et parmi celles-ci, soulignées de gras, où la supplique devient véhémente et si pressante :
« C'est précisément à vous [journalistes] qu'ils disent tous ces bobards et vous les acceptez, et vous les répercutez auprès des concitoyens de vos pays ; et, de ce fait, vos concitoyens ne réalisent en rien le sentiment du danger imminent, - et c'est ce qui me préoccupe tant. Comment ne pouvez-vous ne pas comprendre que le monde est en train d'être poussé vers une direction irréversible, alors qu'ils prétendent que rien ne se passe. Je ne sais quoi faire de plus que ce que je fais pour vous pénétrer de cette réalité... » --
Qu'un responsable politique de l'envergure de Poutine parle de la sorte, il y a de quoi s'inquiéter. Au symbolisme lourd de sens révélé par une situation mondiale catastrophique, il va sans dire que la "direction irréversible" à laquelle il est fait allusion plus haut devrait nous inciter à mettre de l'ordre dans nos affaires, pour le moins, à tout un chacun.
Le monde se trouve à une croisée des chemins dangereuse. Les Étasuniens et leurs alliés se sont lancés dans une aventure militaire qui menace l'avenir de l'humanité. De grandes manœuvres militaires et opérations clandestines de collecte de renseignements sont en cours simultanément au Moyen-Orient, en Europe de l'Est, en Afrique subsaharienne, en Asie centrale et en Extrême-Orient. La stratégie militaire USA-OTAN comprend à la fois de grands déploiements sur des théâtres d'opération et des activités clandestines visant à déstabiliser des États souverains.
(suite en dessous:)
Le projet hégémonique des USA est de déstabiliser et de détruire des pays par toutes sortes de moyens : actes de guerre, opérations clandestines de soutien à des organisations terroristes, changement de régime et guerre économique. Ce dernier moyen comprend l'imposition de réformes macroéconomiques meurtrières imposées à des pays endettés, la manipulation des marchés financiers, la dégringolade manigancée de devises nationales, la privatisation de biens de l'État, l'imposition de sanctions économiques, la hausse de l'inflation et l'apparition de marchés noirs.
RépondreSupprimerLes dimensions de ce programme militaire doivent être bien comprises. La guerre et la mondialisation sont intimement liées.Ces activités militaires et opérations de collecte de renseignements se font de pair avec un processus de déstabilisation économique et politique qui vise des pays en particulier dans toutes les grandes régions du monde.
Le néolibéralisme fait partie intégrante de cette stratégie en matière de politique étrangère. Il constitue le mécanisme de gouvernance de la déstabilisation économique. Depuis la crise asiatique de 1997, le programme d'ajustement structurel (PAS) du FMI et de la Banque mondiale évolue vers la mise en place d'un cadre plus large qui nuit en définitive à la capacité des gouvernements des pays de formuler et d'adopter des politiques économiques et sociales nationales.
L'établissement de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) en 1995 a également contribué à la perte de souveraineté nationale, et les accords commerciaux mondiaux qui en découlent (Partenariat transatlantique de commerce et d'investissement et Partenariat transpacifique) vont pour l'essentiel transférer la politique gouvernementale entièrement entre les mains des grandes sociétés (s'ils sont adoptés). Ces dernières années, le néolibéralisme a étendu son emprise aux pays dits développés en Europe de l'Ouest et de l'Est. Des programmes de mise en faillite sont déjà en place. Divers pays (Islande, Portugal, Grèce, Irlande, etc.) ont subi des mesures d'austérité radicales allant de pair avec la privatisation de secteurs clés de l'économie nationale.
La crise économique mondiale est intimement liée à la tentation hégémonique des USA. Aux USA et dans l'Union européenne (UE), la poussée en spirale du budget de la défense se fait au détriment des secteurs civils de l'activité économique. « La guerre est bonne pour l'économie ». Les puissants groupes financiers qui ont l'habitude de manipuler les marchés financiers, monétaires et des matières premières favorisent aussi la poursuite et l'escalade de la guerre au Moyen-Orient. Un processus d'appauvrissement à l'échelle mondiale fait partie intégrante de la stratégie du Nouvel ordre mondial.
Par delà la mondialisation de la pauvreté
Historiquement, l'appauvrissement de vastes pans de la population mondiale est le fruit de l'imposition de réformes macroéconomiques du genre de celles prônées par le FMI. Sauf qu'au cours des 15 dernières années, une nouvelle phase destructive s'est mise en branle. Le monde est passé de l'autre côté de la « mondialisation de la pauvreté », car les pays sont devenus des territoires ouverts.
Les institutions publiques s'écroulent, des écoles et des hôpitaux ferment, le système de droit se désintègre, les frontières sont redéfinies, des secteurs importants de l'économie, comme l'agriculture et la fabrication, sont acculés à la faillite. Tout cela finit par engendrer un processus d'effondrement social, d'exclusion et de destruction de la vie humaine qui provoque des famines et le déplacement de populations entières (crise des réfugiés).
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Cette « deuxième étape » va au-delà du processus d'appauvrissement enclenché au début des années 1980 par les créanciers et les institutions financières internationales. À cet égard, la pauvreté de masse résultant de la réforme macroéconomique ouvre la voie à rien de moins qu'un processus de destruction de la vie humaine. De plus, le chômage endémique a entraîné une chute des coûts de la main-d'œuvre dans les pays en développement. L'élément moteur de l'économie mondiale est la consommation de produits de luxe et l'industrie de l'armement.
RépondreSupprimerLe nouvel ordre mondial
De façon générale, les principaux acteurs organisationnels du Nouvel ordre mondial sont :
- Wall Street et les conglomérats du secteur bancaire occidental, avec leurs installations de blanchiment d'argent à l'étranger, leurs paradis fiscaux, leurs fonds spéculatifs et leurs comptes secrets;
- le complexe militaro-industriel, qui regroupe les principaux « entrepreneurs du secteur de la défense », les entreprises de sécurité, les sociétés mercenaires et les services du renseignement qui ont des contrats avec le Pentagone;
- les géants anglo-étasuniens du pétrole et de l'énergie;
- les conglomérats du secteur de la biotechnologie, qui contrôlent de plus en plus l'agriculture et la chaîne alimentaire;
- les grandes pharmaceutiques;
- les géants des communications et les conglomérats de médias, qui constituent l'arme de propagande du Nouvel ordre mondial.
Il y a évidemment des éléments communs, par exemple entre les grandes pharmaceutiques et l'industrie de l'armement, les conglomérats du pétrole et Wall Street, etc.
Ces diverses entités sociétales ont des échanges avec les organismes gouvernementaux, les institutions financières internationales, les services secrets des USA. La structure gouvernementale en est venue à se transformer en ce que Peter Dale Scott appelle « l'État profond », qui rassemble des services du renseignement sous le couvert, des groupes d'experts, des conseils secrets et des organismes consultatifs, où les décisions importantes du Nouvel ordre mondial sont finalement prises au nom de puissants intérêts sociétaux.
En outre, des agents des services du renseignement sont de plus en plus présents aux Nations Unies, y compris dans ses agences spécialisées, ainsi que dans les organisations non gouvernementales, les syndicats et les partis politiques. Ce que cela signifie, c'est que le pouvoir exécutif et législatif n'est qu'un écran de fumée, un mécanisme en place pour apporter une légitimité politique à des décisions prises par « l'establishment » de l'ordre établi derrière des portes closes.
Propagande médiatique
Historiquement, les médias institutionnels, qui constituent l'arme de propagande du Nouvel ordre mondial, regorgent d'exemples d'agents du renseignement qui prennent en charge le service des nouvelles. C'est que les médias institutionnels ont leur utilité pour camoufler les crimes de guerre, ou encore pour maintenir la légitimité de politiciens occupant de hautes fonctions en les présentant sous un angle humanitaire.
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Les actes de guerre et la déstabilisation économique deviennent légitimes. La guerre est présentée comme un moyen de maintenir la paix.
RépondreSupprimerOn assiste à la criminalisation de l'économie mondiale et du tissu politique du capitalisme occidental. L'appareil judiciaire au niveau national ainsi que les divers tribunaux des droits de la personne et cours pénales accomplissent la fonction utile de maintenir la légitimité des guerres menées par les USA et l'OTAN et des violations des droits de la personne.
Déstabilisation des pôles concurrents du développement capitaliste
Il y a bien sûr des divisions importantes et une rivalité capitaliste dans les hautes sphères de l'ordre établi. À l'ère de l'après-guerre froide, le projet hégémonique des USA consiste à déstabiliser les pôles concurrents du développement capitaliste que forment la Chine, la Russie et l'Iran, ainsi que des pays comme l'Inde, le Brésil et l'Argentine.
Ces derniers temps, les USA font aussi pression sur les structures capitalistes des États membres de l'Union européenne. Washington exerce une influence dans l'élection de chefs d'État, notamment en Allemagne et en France, qui lui sont de plus en plus favorables.
L'aspect monétaire est crucial. Le système financier international établi à Bretton Woods prévaut. Les rouages de la finance internationale sont dollarisés. Le pouvoir de création monétaire est utilisé comme moyen de s'approprier des biens de l'économie réelle. Les opérations financières spéculatives sont devenues un instrument d'enrichissement aux dépens de l'économie réelle. Les bénéfices excessifs des grandes sociétés et les milliards de dollars de gains spéculatifs (transférés aux organismes de bienfaisance des sociétés, qui ne paient pas d'impôt) sont également recyclés pour mieux exercer leur mainmise sur les politiciens et les organisations de la société civile, sans oublier les scientifiques et les intellectuels. On parle alors de corruption, de cooptation, de fraude.
L'Amérique latine en transition vers une « dictature démocratique
En Amérique latine, les dictatures militaires des années 1960 et 1970 ont été en grande partie remplacées par des régimes clients des USA, c'est-à-dire par une dictature démocratique qui en assure la continuité. On a aussi remodelé les élites dirigeantes de l'Amérique latine. On les a davantage intégrées à la logique du capitalisme mondial, ce qui nécessite une acceptation du projet hégémonique des USA.
La réforme macroéconomique a entraîné l'appauvrissement de toute l'Amérique latine. Depuis les 40 dernières années, l'appauvrissement est attribuable à l'hyperinflation, qui remonte au coup d'État de 1973 au Chili et qui s'est poursuivie avec les réformes dévastatrices des années 1980 et du début des années 1990. La mise en œuvre de ces réformes économiques meurtrières comprenait entre autres une privatisation massive et une déréglementation des échanges, coordonnées en liaison avec des opérations des services secrets des USA comme la « guerre sale », l'opération Condor, l'insurrection des contras au Nicaragua, etc.
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Une nouvelle élite privilégiée intégrée aux structures d'investissement et du consumérisme de l'Occident s'est créée. Une volonté de changement de régime s'est manifestée dans un certain nombre de pays de l'Amérique latine.
RépondreSupprimerToute tentative d'adopter des réformes qui s'éloignent du consensus néolibéral subit des « coups bas » comprenant des opérations d'infiltration, des campagnes de diffamation, des assassinats politiques, des interférences dans les élections nationales et des opérations clandestines visant à fomenter des divisions sociales. Ce processus s'accompagne inévitablement de corruption et de cooptation aux plus hauts échelons du gouvernement et dans les structures existantes des grandes sociétés et du milieu financier. Dans certains pays de la région, il s'articule autour de la criminalisation de l'État, de la légitimité du blanchiment d'argent et de la protection du trafic de drogue.
https://fr.sott.net/article/28474-Folie-hegemonique-des-USA-par-le-neoliberalisme-et-la-mondialisation-de-la-guerre
Daesh utilise des armes chimiques sur les troupes gouvernementales près de Raqqa (Syrie)
RépondreSupprimerRussia Today
jeu., 23 juin 2016 17:36 UTC
Les combattants de Daesh ont pilonné l'armée syrienne dans la province de Raqqa avec des bombes au gaz, a fait savoir la chaîne libanaise Al Mayadeen. Ce n'est pas la première fois que les djihadistes recourent à des substances toxiques. Selon des informations émanant d'une chaîne libanaise sur Twitter, les militaires de l'armée régulière syrienne auraient été la cible d'une attaque à l'ouest de la province de Raqqa. Selon un correspondant de la chaîne, les terroristes ont utilisé du gaz innervant VX de la famille des phosphorothioates.
Daesh a été accusé à plusieurs reprises de développer et utiliser des armes chimiques en Syrie et en Irak. En avril, les militaires syriens assuraient déjà avoir été victimes d'intoxication pendant l'attaque de leur base aérienne de Deir ez-Zor par les terroristes de Daesh employant des roquettes dotées de gaz moutarde. En Irak, les terroristes auraient aussi attaqué le village de Tasa en mars avec «des substances toxiques», selon des témoins.
Le directeur de la CIA, John Brennan, a annoncé au début de l'année que l'Etat islamique avait déjà utilisé à plusieurs reprises des armes chimiques sur le champ de bataille et pouvait fabriquer de petites quantités de chlore et de gaz moutarde.
-- Commentaire :
Le gaz moutarde est un composé chimique cytotoxique et vésicant qui a la capacité de former de grandes vésicules sur la peau exposée.
Il a été particulièrement utilisé comme arme chimique visant à infliger de graves brûlures chimiques des yeux, de la peau et des muqueuses, y compris à travers les vêtements et à travers le caoutchouc naturel des bottes et masques, durant la Première Guerre mondiale et lors de plusieurs conflits coloniaux, puis, plus récemment, lors de la guerre Iran-Irak.
Sous sa forme pure et à température ambiante, c'est un liquide visqueux incolore et sans odeur qui provoque, après un certain temps (de quelques minutes à quelques heures), des cloques sur la peau. Il attaque également les yeux et les poumons.
Son nom vient du fait qu'une forme impure de ce gaz avait une odeur qui ressemblait à celle de la moutarde, de l'ail ou du raifort. Il est aussi nommé parfois ypérite (dérivé du nom de la ville d'Ypres (Ieper) en Belgique où il fut pour la première fois utilisé au combat en septembre 1917, moutarde au soufre, Kampfstoff LOST, ou gaz LOST. Il peut être létal mais sa première fonction est d'être très fortement incapacitant. Source : Wikipedia --
Un peu plus tard dans l'année, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov avait prévenu que l'utilisation d'armes chimiques par les terroristes était désormais une réalité.
«Nous n'avons aucun doute quant au fait que le terrorisme chimique soit passé aujourd'hui d'une menace abstraite à une dure réalité, qu'on peut et doit arrêter en intensifiant le travail au niveau international», avait-il indiqué.
https://fr.sott.net/article/28475-Daesh-utilise-des-armes-chimiques-sur-les-troupes-gouvernementales-pres-de-Raqqa-Syrie
La discrimination positive légitimée par la Cour suprême américaine
RépondreSupprimer23 juin 2016, 22:56
La plus haute juridiction américaine a réaffirmé jeudi 23 juin, à quatre voix contre trois, que le principe de discrimination positive à l'entrée des universités était légitime.
«La diversité du corps étudiant fait partie de celles qui sont cruciales pour son identité et sa mission éducative», peut-on lire dans ce nouvel arrêt de la Cour suprême. Celui-ci vient confirmer le droit des universités américaines à tenir compte, dans la sélection de leurs futurs étudiants, de leur origine ethnique.
Les sept juges de la plus haute juridiction des Etats-Unis ont ainsi répondu au recours d'Abigal Fisher, une jeune fille considérant que l'université du Texas avait refusé sa candidature parce qu'elle était blanche. La faculté en question pratique un système de recrutement tenant compte de l'origine ethnique, parmi d'autres éléments. La jeune Américaine, a été diplômée depuis d'une autre université, avait entamée son action judiciaire en 2008.
Légitimant de manière claire la discrimination positive sur l'ensemble du territoire américain, la décision de la Cour suprême a été décrite comme une «victoire majeure pour les droits civiques et l'égalité dans notre nation» par la NAACP, la principale organisation de défense des Noirs américains.
Du côté des politiques, la candidate à la présidentielle Hillary Clinton a salué «une avancée pour nous tous», tandis que la ministre américaine de la Justice, Loretta Lynch, s'est félicitée que «la Cour suprême souligne notre intérêt supérieur à assurer la diversité dans notre éducation supérieure».
The Supreme Court's Fisher decision is a win for us all. The doors to higher education should be open to every American, not just some. -H
— Hillary Clinton (@HillaryClinton) 23 juin 2016
https://francais.rt.com/international/22640-etats-unis--discrimination-positive
La demande rejetée de l’étudiant blanc : Universités des États-Unis peuvent préférer des minorités
RépondreSupprimerLes Universités des États-Unis peuvent sélectionner des candidats non seulement d’après leurs notes, mais aussi selon la couleur de la peau. La Cour suprême des États-Unis a décidé après des années de litige.
C’est il y a huit ans maintenant, qu’Abigail Fisher voulait - commencer à étudier à l’Université du Texas à Austin et a été rejetée.
Alors elle a présenté des allégations de discrimination à l’égard de l’Université : vous n’a pas été retenue en raison de leur couleur de peau, au lieu de cela, les étudiants issus de minorités ethniques avec les grades similaires ou pour le pires et les résultats du test avaient été préférés. C’est, selon Fisher, la discrimination et viole la Constitution américaine.
La procédure a été 2013 jamais s’est posé à la Cour suprême. Mais les juges avaient renvoyé à cette époque l’affaire devant les tribunaux d’instance inférieure - avant son arrivée pour la deuxième fois la Cour suprême des États-Unis en décembre. Maintenant, les avocats ont décidé : la pratique de ce qu’on appelle discrimination positive n’est légitime, de l’Université du Texas a agi correctement.
Décision laconique
La décision a coïncidé avec une majorité serré de 4-3 de la Cour suprême. « Il reste un défi permanent de notre système éducatif national, de concilier les aspirations à la diversité avec la promesse constitutionnelle d’égalité et de dignité en ligne, » selon un communiqué de la Cour.
Requérante Abigail Fisher a été déçu. Le jugement confirme "qu’à l’Université du Texas en raison de leur origine raciale ou ethnique, les étudiants peuvent être traités différemment", a dit le 26-year-old. Elle a maintenant terminé ses études à Louisiana State University et travaille comme analyste financier à Austin.
Plusieurs universités américaines ont suivi de près la procédure. Parce que c’est des décennies de pratique, de prendre en compte l’origine ethnique des candidats en plus des notes d’approbation aux États-Unis. Ces critères de sélection remontent pour le mouvement des droits civiques des années 1960, qui a voulu compenser donc la misère sociale, en particulier des africains-américains.
http://www.spiegel.de/unispiegel/studium/usa-gericht-erlaubt-unis-positive-diskriminierung-von-weissen-bewerbern-a-1099438.html
#PencilGate : une théorie du complot sur le trucage du vote plane autour du Brexit
RépondreSupprimer23 juin 2016, 23:53
Un doute étrange plane sur le vote du Brexit. Des militants en faveur de la sortie de la Grande-Bretagne de l’UE encouragent les votants à apporter leur propre stylo plutôt que d'utiliser le crayon à papier fourni dans les bureaux de vote.
Les militants pour le Brexit soupçonnent le gouvernement britannique d’impliquer des agents du MI5 dans les bureaux de vote lesquels gommeraient le choix des votants pour cocher à la place la case «Remain».
Aussi folle que l'idée puisse paraître, certaines personnes la prennent cependant très au sérieux. Selon le journal britannique Romford Recorder, une femme aurait même appelé la police pour signaler que son bureau de vote ne fournirait QUE des crayons à papiers.
La police se serait déplacée sur place pour prendre sa déposition comme le montrent les images de cette vidéo partagée par le Dailymail.
Plusieurs internautes ont ainsi utilisé sur Twitter le hashtag #usepens pour encourager les autres personnes s’apprêtant à voter à refuser d’utiliser le crayon à papier qu’il leur ait proposé. Des photos partagées par le Dailymail montrent également un homme distribuer des stylos à l’entrée d’un bureau de vote.
Par ailleurs, selon un sondage YouGov 46% des personnes en faveur du Brexit considèrent le fait que leur vote puisse être modifié «certainement vrai».
Le tumulte survient malgré que la Commission électorale ait rassuré les votants que les bulletins sont scellés justement pour éviter les fraudes.
https://francais.rt.com/international/22644-pencilgate--theorie-complot-sur
Les Britaniques se sont toujours méfiés de l'UE, voici quelques mythes qui le prouvent
RépondreSupprimer23 juin 2016, 22:54
Brexit ou pas, les British ont toujours gardé une distance avec l'Union Européenne, parfois même avec des accusations amusantes ! En voici quelques-unes qui se sont avérées être des mythes, même si...
https://francais.rt.com/international/22639-britaniques-se-sont-toujours-mefies
SupprimerTexte manquant ! Censure ?
Brexit : quand le correcteur automatique de Google se la joue pro-européen
RépondreSupprimer23 juin 2016, 19:53
Le correcteur automatique de Google semble très inspiré par le référendum sur un éventuel Brexit
Au jour du référendum sur le Brexit, alors que les Britanniques se posent la question de savoir si la Grande-Bretagne restera ou pas dans l’Union européenne, le correcteur automatique du moteur de recherche Google semblerait déjà avoir la réponse.
Anti-Brexit Google ? En tapant par exemple dans la barre de recherche de la firme californienne la phrase «la Grande-Bretagne survivra sans l’UE», Google tend à nous prouver le contraire.
En effet, le mot «sans» est alors souligné de rouge par le correcteur automatique qui suggère d’essayer avec l’orthographe «dans».
- voir capture d'écran sur site -
Un correcteur automatique... surprenant ! Ainsi, pour Google, l’idée que la Grande-Bretagne pourrait survivre sans l’Union européenne est une erreur. Voici qui relance la polémique autour d’une présupposée campagne anti-Brexit menée par les grosses compagnies américaines.
https://francais.rt.com/france/22628-brexit--quand-correcteur-automatique-se-la-joue-pro-europeen
Il en a toujours été ainsi avec les 'traducteurs Google' où des textes écrits en langues étrangères étaient plus ou moins bien traduit selon l'appartenance politique (pro ou anti Al Gore) de l'Administrateur du site !!
Supprimerhttps://huemaurice5.blogspot.fr/2016/06/la-censure-continue.html
SupprimerL’Union européenne : un totalitarisme de type orwellien
RépondreSupprimer23 juin 2016
Les européistes diabolisent les euroscéptiques et misent sur la peur en prédisant l'apocalypse en cas de Brexit, une tactique que l'on retrouve chez les totalitaires, selon rédacteur en chef adjoint de Valeurs actuelles, Laurent Dandrieu.
Laurent Dandrieu est rédacteur en chef des pages Culture de Valeurs actuelles et chroniqueur religieux. Il est l'auteur de «Woody Allen, portrait d'un antimoderne» (éditions du CNRS), du «Dictionnaire passionné du cinéma» (éditions de l'Homme nouveau), de «La Compagnie des anges : Petite vie de Fra Angelico» et vient de publier «Le Roi et l’architecte : Louis XIV, le Bernin et la fabrique de la gloire» (tous deux des éditions du CERF).
RT France : Pourquoi le camp du «Remain» a-t-il décidé de jouer sur les peurs des Britanniques pour les persuader de rester dans l’Union ?
L’électorat français a été soumis au même chantage à l’apocalypse
Laurent Dandrieu (L. D.) : C’est un classique qu’on retrouve à chaque référendum sur la construction européenne : l’électorat français a été soumis au même chantage à l’apocalypse au moment du référendum sur le traité de Maastricht, en 1992, ou sur la constitution européenne, en 2005. C’est dans la logique de l’Union européenne, qui est un totalitarisme de type orwellien, une religion séculière convaincue de s’identifier avec l’avenir de l’humanité et qui ne supporte pas les hérétiques et les dissidents.
Comme tous les totalitaires, les bureaucrates européens veulent convaincre les peuples qui leurs sont soumis qu’il n’y a pas d’alternative possible
Comme dans Orwell, l’UE pratique l’inversion du discours en reprochant à ses adversaires précisément ce qu’elle pratique : les partisans du Brexit, qui veulent reprendre le contrôle de leur destin, sont accusés d’attiser la peur, alors que ce sont les bureaucrates de l’UE qui ne cessent de prédire le déluge si le Brexit l’emporte. La une de ce matin du Daily Mirror, quotidien qui soutient le Remain, est significative, comparant le Brexit à un gigantesque trou noir, avec ce titre : «Ne faites pas un saut dans l’obscurité…».
Comme tous les totalitaires, les bureaucrates européens veulent convaincre les peuples qui leurs sont soumis qu’il n’y a pas d’alternative possible et que la poursuite de l’intégration européenne à marche forcée est le seul avenir. S’il n’y pas d’autre avenir possible, il faut forcément que les opposants à l’UE soient des fous et des forcenés, et que ce qu’ils présentent comme une alternative conduise obligatoirement à la barbarie et au chaos.
Si vous choisissez le Brexit, vous aurez la peste, le choléra et des invasions de sauterelles
Dans le contexte particulier de la campagne électorale du Brexit, l’opinion britannique est apparue fortement tentée par un retour à la souveraineté nationale : or les européistes ne pouvaient rien rétorquer sur ce plan-là, puisque leur projet est précisément d’aller vers davantage d’abandon de souveraineté. Il leur fallait donc se situer sur le terrain de la réussite économique et matérielle, où le bilan de l’UE n’est pas très probant. La seule solution restante est donc d’agiter la menace du chaos, sur le thème : vous n’êtes peut-être pas satisfaits de la situation actuelle, mais si vous choisissez le Brexit, vous aurez la peste, le choléra et des invasions de sauterelles.
(suite en dessous:)
Les eurocrates martèlent depuis des années l’idée que s’opposer à la construction européenne est un délire, qui ne peut être soutenu que par des marginaux, des extrémistes et des fous
RépondreSupprimerRT France : Dans les médias, les partisans du Brexit sont souvent décrits comme des gens d’extrême droite. Y a-t-il une raison à cela ?
L. D. : C’est un processus classique de diabolisation de l’adversaire, qu’on voit appliquer en France depuis 40 ans à tous ceux qui s’écartent de la pensée officielle. Si la poursuite de l’Union européenne est le seul avenir possible, si son rejet ne peut conduire qu’au chaos, comme le prétendent les européistes, alors ceux qui prônent une alternative ne peuvent être que des fous, des extrémistes, des fauteurs de haine…
Cela ne peut que donner des idées à d’autres pays européens pour obtenir de l’UE des concessions
RT France : Le référendum sur le Brexit peut-il provoquer d’autres référendums au sein de l’Union ?
L. D. : Les eurocrates martèlent depuis des années l’idée que s’opposer à la construction européenne est un délire, qui ne peut être soutenu que par des marginaux, des extrémistes et des fous. La campagne du Brexit leur apporte un cinglant démenti, dans la mesure où l’on aura vu, quel que soit le résultat, la moitié non pas d’un petit pays marginal, mais d’une grande nation européenne, s’enflammer à la perspective de quitter l’UE. Et que cette perspective aura été soutenue, non pas seulement par des extrémistes ou des populistes, mais par une moitié de ce que tout le pays compte d’élites, y compris la deuxième grande figure du parti de gouvernement, mais aussi nombre d’intellectuels et de figures du monde du spectacle. Cela ne peut que donner des idées à d’autres pays européens et à d’autres leaders eurosceptiques, soit pour organiser leur propre référendum, soit pour obtenir de l’UE des concessions pour leur pays en menaçant de la quitter. Cela étant dit, il est évident qu’une telle contagion serait considérablement renforcée par une victoire du Brexit, et amoindrie par sa défaite
https://francais.rt.com/opinions/22631-union-europeenne-totalitarisme-type-orwellien
Ce que le Xinjiang m’a appris de la Chine et de la France
RépondreSupprimer3/4- Voyage en Chine musulmane
Maxime VIVAS
23 juin 2016
Petit rappel : j’étais en Chine du 23 mai au 4 juin, principalement dans la région autonome du Xinjiang, 23 millions d’habitants, 3 fois la superficie de la France, religion musulmane (voir mes deux articles précédents) et j’ai prévenu que je n’étais pas parti si loin pour écrire à mon retour « Le Guide du routard ».
Pour nos médias qui s’alarment de la montée en puissance de la Chine et de l’affaiblissement de l’impérialisme états-unien, prédateur mondial numéro un, la Chine n’a QUE des défauts et elle s’ébroue dans un contexte de catastrophes répétitives : pluies, inondations, glissements de terrain, coulées de boue, coups de grisou, accidents de cars, de trains ou d’avions, pollution, émissions record de gazcarbonique, épidémies, intoxications alimentaires, utilisation de vaccins périmés, incendies dans une usine de produits chimiques, etc. N’oublions pas la corruption, la spéculation immobilière, les scandales sanitaires, la dissidence, la contrefaçon, le contrôle des ONG étrangères et du numérique (Baidu préféré à Google), les crises au Parti communiste, la fuite des capitaux, les épurations, le durcissement de la législation, le raidissement politique, les limogeages, le culte de la personnalité, la censure, la chute de la Bourse, le ralentissement de la croissance, la dette, le massacre des chiens, les vols (et le commerce) de bébés…
Allez donc comprendre comment ce pays, connu chez nous pour tous ses problèmes, ses échecs et ses famines à répétition (la dernière au début des années 60), est devenu sans à-coups majeurs la première puissance économique du monde. Et ce, malgré son système politique dont nous ne saurions nous accommoder, habitués que nous sommes à la démocratie qui nous protège d’un président qui ferait pendant 5 ans le contraire de ce pourquoi il a été élu.
Le Figaro : « L’euro, place Tiananmen et avenue Montaigne.
La Chine a […] le Produit intérieur brut (PIB) le plus « important », en « parité de pouvoir d’achat », précise le FMI, qui considère par ailleurs que ce concept est tout à fait significatif et particulièrement utile. Il part de l’observation qu’avec un euro ou un dollar, on achète plus de choses à Pékin qu’à Paris, essentiellement pour la raison que la main d’œuvre y est moins chère. Il est ainsi moins coûteux de se faire coiffer près de la place Tiananmen qu’avenue Montaigne. La « parité de pouvoir d’achat » des monnaies n’est donc pas exactement celle que font apparaître les cours des devises sur les marchés de change » (12 avril 2016 ).
Abruti par la désinformation ou des informations essentiellement négatives, le Français moyen n’a pas vu la Chine s’éveiller, se dresser et devenir ce qu’elle est, pas plus qu’il ne comprendra ce qu’elle sera demain et qui va susciter chez lui un sentiment de peur, l’hostilité étant déjà là.
Je me souviens d’un débat à Toulouse où Ignacio Ramonet était venu présenter son remarquable ouvrage « Fidel Castro. Biographie à deux voix » (Fayard/Galilée, 2007). Quelqu’un lui demanda son point de vue sur les milliers de prisonniers politiques cubains. L’auteur lui répondit : « Des milliers ? Vous savez, la règle veut qu’on puisse même dire des dizaines de milliers sans être contredits ».
Les principaux médias français appartiennent à moins de 10 milliardaires qui façonnent l’opinion de dizaines de millions de Français sur la France, mais aussi sur le reste du monde, avec des traitements agressifs pour des pays qui agacent l’Oncle Sam, comme Cuba, le Venezuela, la Bolivie, l’Equateur, la Russie, la Chine, etc.
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Une loi non écrite, mais incontournable, veut qu’un journaliste peut dire n’importe quoi sur ces pays, sans risquer d’être contredit par un confrère. Soit le confrère est ignare (ce n’est pas si rare, tant le nombre de sujets à traiter est varié et le temps mesuré), soit il est complice. Complice ? C’est presque toujours le cas des journalistes vedettes.
RépondreSupprimerDes exemples ?
Prenons José Bové, candidat écologiste à l’élection présidentielle de 2002 qui raconta dans deux émissions de télévision qu’il a été « expulsé de Cuba par Fidel Castro », ce qui était une invention. Pourquoi aucun journaliste ne l’a découvert alors que je l’ai fait sans difficulté ? http://www.legrandsoir.info/cuba-jose-bove-savate-le-tiers-monde.html
Prenons David Pujadas, annonçant au JT de France 2, la veille d’une élection au Venezuela, que ce pays ne compte qu’une ligne de chemin de fer et que la pauvreté a augmenté sous la présidence de Chavez, deux fausses informations qu’il fut obligé de démentir… après le vote !
Voir : http://www.acrimed.org/Venezuela-France-2-se-plante-et-se-corrige-un-peu
Prenons Ariel Wisman, un animateur télé inventant tranquillement au cours d’un débat, dans un silence respectueux de ses confrères, que Chavez a créé « des escadrons de la mort ».
Voir :http://www.legrandsoir.info/hugo-chavez-et-le-venezuela-ariel-wizman-n... et : http://www.acrimed.org/Cinq-minutes-de-proces-contre-Hugo-Chavez-sur-C...
- Prenons Ursula Gauthier : le 1er décembre 2015, cette correspondante de l’Obs en Chine nous alerte sur ce qui s’est passé en 2013 en Chine : « … un gravissime épisode d’"airpocalypse" qui asphyxie la moitié du pays deux mois durant… ». Mesurez le goût de la nuance et de la vérité. Deux mois durant, sans un répit dû à un souffle de vent salvateur, la moitié d’un pays grand comme 14 fois la France a été asphyxié. Plus de 650 millions de Chinois asphyxiés et les revoilà plus nombreux qu’avant.
http://tempsreel.nouvelobs.com/planete/cop21/20151130.OBS0404/chai-jin...
-Prenons encore Ursula Gauthier : dans l’Obs, le 18 novembre 2015, la même déplore, en caractères gras « l’écrasement sans merci de la minorité musulmane Ouïgour ». Pesons les mots : « écrasement », « sans merci », « minorité ».
http://www.legrandsoir.info/pourquoi-ursula-gauthier-de-l-obs-a-du-qui...
La minorité ? Certes, mais elle représente 45 % de la population de la région, la plus forte nationalité parmi les 9 ethnies qui y cohabitent. Ecrasement ? Pourquoi pas génocide ? Sans merci ? Dame ! nous suggère implicitement Ursula Gauthier, n’attendons pas le moindre sentiment humain du gouvernement de Pékin.
Prenons Robert Ménard, cible de mon livre de 2008 (« La face cachée de Reporters sans frontières ») dont TOUS les journalistes avaient percé l’exécrable personnalité et qui me le disaient en privé quand TOUTE la presse l’encensait (même la presse communiste).
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- Prenons Jean-Hébert Armengaud de Libération (aujourd’hui rédacteur en chef de l’hebdomadaire « Courrier international ») qui traficota une phrase d’Hugo Chavez pour en faire un antisémite. La falsification ayant été prouvée, il fut soutenu jusqu’au bout par son directeur de l’époque : Pierre Haski, ennemi obsessionnel de la Chine et futur cofondateur du site Rue89 qui appartient désormais à l’Obs.
RépondreSupprimerhttp://www.legrandsoir.info/Chavez-antisemitisme-et-campagne-de-desinf...
-Prenons Charb (paix à son âme), refusant de rectifier dans Charlie Hebdo une calomnie d’un de ses collaborateurs m’accusant en substance (et tout LGS avec) de nazisme et d’antisémitisme.
http://www.legrandsoir.info/le-fascisme-reviendra-sous-couvert-d-antif...
Prenons François Lenglet de France 2 et ses fariboles sur le président bolivien Evo Morales qu’il traita de corrompu sur la base 3 informations qui étaient toutes fausses.
http://www.legrandsoir.info/retour-sur-3-mensonges-a-des-paroles-et-de...
http://www.legrandsoir.info/francois-lenglet-ou-la-corruption-du-debat...
Prenons Yann Barthès de Canal + laissant dire à Ursula Gauthier, que son visa de presse n’a pas été renouvelé en décembre 2015 parce qu’elle a refusé d’écrire pratiquement sous la dictée de Pékin.
http://www.legrandsoir.info/ursula-gauthier-est-en-france-helas.html
Dans tous les cas que je viens de citer, un journaliste honnête sait que ses confrères ont menti. S’il ne le sait pas, il lui est assez facile de le vérifier. S’il est pigiste, conseillons-lui de se taire pour garder son emploi. S’il est une vedette des médias, on peut lui reprocher de couvrir les mensonges.
Bref, entre les journalistes qui ne peuvent et ceux qui ne veulent, surgissent les journalistes des réseaux sociaux, la presse alternative dans laquelle des journalistes non rétribués apparaîtront comme des discoureurs-militants, des idéologues (pouah !) chaque fois qu’ils apporteront une vérité qui, dans le meilleur des cas, sera prise comme une « opinion différente » alors qu’elle est LA vérité. Je vais donc continuer à apporter des éléments d’informations utiles pour voir la Chine dans sa complexité et hors du schéma manichéen prisé par notre classe politico-médiatique.
http://www.legrandsoir.info/3-4-voyage-en-chine-musulmane.html
La naissance du gouvernement
RépondreSupprimerPar Le Minarchiste,
le 24 juin 2016 dans Lecture
Comment sont apparus les gouvernements ? Francis Fukuyama essaie d’apporter une réponse dans un long essai passionnant.
Comment les premiers gouvernements sont-ils apparus et comment les institutions qui y sont associées ont-elles émergées ? C’est à cette question que répond le premier volume de l’ouvrage de Francis Fukuyama sur la naissance de l’ordre politique.
L’humain vit naturellement en groupe. Il n’y eut aucune période de l’évolution humaine durant laquelle les humains ont vécu de manière individuelle et isolée. Le cerveau humain est construit de manière à faciliter la coopération et les relations sociales. L’humain fit un pas important lorsqu’il passa d’une organisation en petites bandes à une organisation dite « étatique-tribale ». À ce stade, l’État possède le monopole de la coercition légitime sur un territoire donné.
Il existe essentiellement deux types d’États. Au sein des États dits « patrimoniaux », le pays est la propriété du dirigeant-souverain et l’administration gouvernementale est une extension de son entourage personnel. L’autre type d’État, dit « moderne », est plus impersonnel ; l’administration étatique n’est pas composée de la famille et des amis du souverain.
Des États patrimoniaux ont commencé à apparaître dans plusieurs parties du monde il y a environ 8,000 ans, surtout dans des vallées fluviales fertiles en Égypte, Mésopotamie, Chine et au Mexique.
Les facteurs favorisant l’apparition d’un État sont des surplus agricoles, la densité de population et le confinement de la population à l’intérieur de barrières naturelles telles cours d’eau, montagnes et déserts.
Mais le facteur qui a réellement motivé la création des gouvernements est la violence ou la menace de violence. Les premières tribus humaines se sont consolidées en gouvernements primitifs non pas pour des raisons économiques, mais bien en réaction à d’incessantes attaques par des envahisseurs mieux organisés. Un pouvoir centralisé permet de lever et financer une armée plus efficacement.
Les institutions
Qu’entend-on par institutions ? Voici la définition de Fukuyama : les institutions sont des règles stables et récurrentes qui guident le comportement des humains en société et persistent au-delà du règne d’un dirigeant en particulier. La religion fut instrumentale à l’établissement de l’État de droit dans plusieurs civilisations.
Selon Fukuyama, ce sont les Chinois qui ont inventé la bureaucratie moderne, c’est-à-dire un cadre administratif permanent dont les membres sont choisis pour leurs capacités plutôt que par connexion patrimoniale. Cette bureaucratie a émergé dans le chaos ayant suivi la fin de la dynastie de Zhou, en réponse à la nécessité urgente de lever des impôts pour financer la guerre. Cependant, ce gouvernement n’avait pas d’État de droit (et n’en a toujours pas aujourd’hui), ni de mesures d’imputabilité limitant le pouvoir du souverain.
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Dans le monde Arabe, les premiers califes ont essayé de créer des structures gouvernementales qui transcendaient les loyautés tribales, mais sans succès. Le lien tribal était toujours plus fort que l’attachement national. La solution qu’ils ont trouvée a consisté à utiliser des esclaves comme fonctionnaires et comme armée, recrutés dans des villages conquis de nationalité non-arabe. Ces esclaves Mamelouk n’avaient aucun lien tribal avec la population, ce qui leur conférait une forme d’impartialité. Ils étaient loyaux au gouvernement d’abord, et non à une tribu en particulier. Ils ne pouvaient pas transmettre leur titre et leurs biens à leurs enfants.
RépondreSupprimerEn Europe, le pouvoir politique était très fragmenté, ce qui donna beaucoup de levier à l’Église, grâce à qui une forme d’État de droit fit sa place en Europe avant même l’apparition de la démocratie et de l’imputabilité gouvernementale, voire même d’une bureaucratie moderne. Fukuyama met l’emphase sur la Réforme Grégorienne et le Conflit des Investitures, qui se termina en 1122 par le Concordat de Worms. Sans entrer dans les détails, ces événements ont procuré à l’Église davantage d’autonomie et de pouvoir, ce qui lui permit de développer ses propres lois et sa propre bureaucratie. L’Église est ainsi devenue une entité politique transnationale (voir ceci). C’est suite à la Réforme Protestante et durant les Lumières que l’Église s’est affaiblie et que l’idée d’une légitimité souveraine basée sur le roi, la nation et/ou les citoyens, plutôt que sur Dieu émergea.
La religion
L’un des éléments importants de l’ouvrage de Fukuyama est l’apport de la religion à l’essor du gouvernement. Elle a permis à un chef ou un roi de régner sur un bien plus grand groupe. Quand le chef n’est qu’un simple homme plus intelligent, plus charismatique, plus courageux, plus fort physiquement ou plus habile au combat que les autres, il aura plus ou moins de succès à diriger une collectivité à sa guise et cette communauté devra être assez petite. Mais s’il est un demi-dieu ou un descendant des dieux, avec lesquels il a la capacité de communiquer, la dévotion des sujets sera totale. Qui risquerait de s’opposer aux dieux et de subir leur cruelle colère ?
Pour arriver à cette fin, il fallait repousser l’origine ancestrale des dieux. Les dieux familiaux qui étaient des ancêtres des deux ou trois dernières générations sont devenus des dieux plus anciens, ancêtres d’un bien plus grand bassin de population (la tribu). Puis, ils sont devenus des dieux non-reliés à une nation en particulier (Chrétiens, Juifs, Musulmans), conférant légitimité à des souverains régnant sur un bien plus grand nombre de sujets.
Selon Fukuyama, la religion a bâti les fondations de l’État de droit moderne. L’existence d’une autorité religieuse séparée de l’État et qui donne sa légitimité au souverain a renforcé l’idée que le souverain n’est pas la source ultime de la loi. Aux États-Unis par exemple, la loi émerge de la constitution, dont les modifications doivent être approuvées par super majorité. Le Président des États-Unis ne peut pas changer unilatéralement la constitution, ni décider des lois en général. La loi est au-dessus de lui ; il en est le sujet. C’est cela l’État de droit. La Chine ne développa jamais une religion transcendantale, ce pourquoi elle n’adopta jamais un État de droit.
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Le Danemark
RépondreSupprimerPour Fukuyama, le Danemark est un pays exemplaire en ce qui concerne ses institutions. Il s’agit d’un pays prospère, démocratique, sécuritaire et peu corrompu, où les institutions sont en parfait équilibre, incluant un gouvernement compétent, un solide État de droit et l’imputabilité démocratique. Selon lui, l’alphabétisation a été un facteur déterminant vers le 16ème siècle et celle-ci a été encouragée par des réformes religieuses visant à permettre à tous les citoyens d’être en mesure de lire la bible (encore la religion…). Les habitants ont donc pu mieux s’informer, communiquer et s’organiser grâce à la maîtrise de la lecture et de l’écriture.
La démocratie
Fukuyama fait une remarque intéressante en ce qui concerne la démocratie : les pays qui se sont démocratisés tôt dans leur histoire, avant même l’établissement d’une bureaucratie moderne, ont accusé un retard en ce qui concerne l’apparition des autres institutions, notamment en raison de l’émergence d’un certain clientélisme politique affligeant le secteur public. Fukuyama fait entre autres référence à la Grèce et l’Italie. Par ailleurs, les premières bureaucraties modernes sont apparues au sein de régimes autoritaires, tels que la Chine et le royaume Prusse (et disons le Chili de Pinochet comme exemple plus contemporain). Selon Fukuyama, la bureaucratie moderne et l’État de droit doivent précéder la démocratie pour qu’un équilibre soit atteint.
Les libertariens
Malheureusement, Fukuyama succombe au mythe des pays dits « libertariens » de l’Afrique sub-saharienne, qui seraient des paradis libertariens sans impôts (comme la Somalie par exemple). En fait, les problèmes affligeant ces pays ne sont pas reliés à une trop faible taxation où à la taille de l’État, mais plutôt à l’absence de protection des droits de propriété et d’État de droit. Dommage qu’une personne aussi intelligente et cultivée que Francis Fukuyama ne soit pas en mesure de faire cette distinction (voir ceci).
Conclusion
En somme, les premiers gouvernements sont d’abord apparus comme moyen de s’enrichir grâce aux conquêtes militaires et, pour les tribus attaquées, comme moyen et protection contre les envahisseurs. Évidemment, si aucune tribu n’avait constitué de gouvernement dans le but de lever une armée et faire la guerre, les autres tribus n’aurait pas eu besoin de créer un gouvernement pour se protéger. Ce n’est donc pas un début très vertueux pour une institution qui, de nos jours, est perçue comme un vecteur de progrès…
C’est exactement ce que décrit Murray Rothbard dans son essai Anatomy of the State :
“The State has never been created by a “social contract”; it has always been born in conquest and exploitation.”
Le gouvernement a ensuite pris de l’expansion grâce à la religion, qui confère aux autorités souveraines leur légitimité, comme l’explique Rothbard :
« The union of Church and State was one of the oldest and most successful of these ideological devices. The ruler was either anointed by God or, in the case of the absolute rule of many Oriental despotisms, was himself God; hence, any resistance to his rule would be blasphemy. The States’ priestcraft performed the basic intellectual function of obtaining popular support and even worship for the rulers.”
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Au niveau des institutions, je pense que Fukuyama accorde trop d’importance à l’apparition d’une bureaucratie moderne (c’est-à-dire non-patrimoniale) et pas assez à l’État de droit. Pourtant, l’Europe (qui avait un État de droit sans bureaucratie moderne) s’est développée beaucoup plus rapidement que la Chine (qui avait une bureaucratie moderne sans État de droit). J’apprécie cependant le scepticisme de Fukuyama envers la démocratie (voir ceci), chose rare de nos jours pour des raisons de rectitude politique.
RépondreSupprimerDans cette optique, on constate que le rôle essentiel du gouvernement pour l’épanouissement de la société est la protection des droits de propriété, ce qui découle de l’État de droit. Un gouvernement sain facilite le passage de tribus disparates vers des villes plus denses et populeuses qui deviennent des catalyseurs pour les échanges commerciaux, la transmission du savoir, l’innovation et la division du travail ; par conséquent la création de richesse. C’est de cette façon qu’un bon gouvernement peut enrichir la société.
Malheureusement, même au sein des pays disposant des meilleures institutions, le gouvernement en vient à trop grossir et à se corrompre. Survient alors un déclin, dont traite Fukuyama dans le volume 2.
Si vous êtes un passionné d’histoire, vous apprécierez grandement ce livre de grande qualité. Pour les autres, vous devriez plutôt l’éviter fut sa longueur et son aridité. Notez que ce court billet ne fournit qu’un aperçu de ce riche ouvrage, et non un résumé exhaustif. Je suis présentement à lire le volume 2, qui porte sur le déclin politique… à suivre.
http://www.contrepoints.org/2016/06/24/257822-la-naissance-du-gouvernement
La religion fait partie du syndicat gouvernemental mis en place par l'Etat comme tampon-concierges-secrètaires-médiateurs. C'est pourquoi ces infirmités d'anciens temps continuent aujourd'hui et se propagent encore au 21 è siècle !
SupprimerAir de manger, de carburant : scientifiques ingénieurs bactéries pour créer le sucre depuis le gazcarbonique des gaz à effet de serre
RépondreSupprimer23 juin 2016
Toute vie sur la planète se fonde, d’une manière ou d’une autre, sur une fixation de carbone appelé le processus : la capacité des plantes, algues et certaines bactéries de « pomper » le gazcarbonique de l’environnement, d'ajouter de l’énergie solaire ou autre et le transformer en sucres qui sont le point de départ nécessaire pour les processus vitaux. Au sommet de la chaîne alimentaire sont des organismes différents (dont certains pense, à tort, qu’ils sont « plus avancés ») qui utilisent les moyens en face de survie : ils mangent des sucres (faites par photosynthèse plantes et micro-organismes) et puis relâchent le gazcarbonique dans l’atmosphère. Ce mode de croissance est appelé « heterotrophism. » Les humains sont, bien sûr, hétérotrophes dans le sens biologique du terme car la nourriture qu’ils consomment provenance les processus de fixation du carbone des producteurs non-humains.
Est-il possible de « reprogrammer » un organisme qui se trouve plus haut dans la chaîne alimentaire, ce qui consomme le sucre et libère le gazcarbonique, de sorte qu’il consumera le gazcarbonique de l’environnement et produisent les sucres, il faut construire son corps masse ?
C’est juste qu’un groupe de chercheurs de l’Institut Weizmann des sciences fait récemment. Dr. Niv Antonovsky, qui a dirigé cette recherche dans le laboratoire du Prof. Ron Milo à l’usine et le département des Sciences environnementales de l’Institut, dit que la capacité d’améliorer la fixation du carbone est cruciale pour notre capacité à faire face aux défis futurs, tels que la nécessité de fournir des aliments à une population croissante sur les ressources foncières de réduction tout en utilisant moins de combustibles fossiles.
Les scientifiques de l’Institut sont passé à ce défi en y insérant la voie métabolique du carbone fixation et sucre production (le soi-disant cycle de Calvin) de la bactérie e. coli, un organisme connu "consommateur" qui mange de sucre et libère du gaz carbonique.
La voie métabolique pour la fixation du carbone est bien connue, et Milo et son groupe compté que, avec une bonne planification, ils seraient en mesure de joindre les gènes contenant les informations pour construire dans le génome de la bactérie. Pourtant, la principale enzyme utilisée chez les plantes à fixer le carbone, RuBisCO, utilise comme substrat pour la réaction de fixation du gazcarbonique un métabolite qui est toxique pour les cellules bactériennes. Ainsi la conception devait comprendre précisément réguler les niveaux d’expression des gènes différents dans cette voie en plusieurs étapes.
D’une manière plan bien pensé de l’équipe a été un succès retentissant : les bactéries n’a en effet produit les enzymes de la fixation du carbone, et ceux-ci ne fonctionnaient. Mais les machines, dans son ensemble, a fait pas « livrer la marchandise. » Même si le mécanisme de fixation du carbone a été exprimé, la bactérie n’a pas utilisé de gazcarbonique pour la synthèse de sucre, comptant plutôt sur un apport externe de sucre. « Bien sûr, nous avions affaire à un organisme qui a évolué au fil des millions d’années à manger de sucre, pas de gazcarbonique, » dit Antonovsky. « Si nous nous tournions vers l’évolution pour nous aider à créer le système que nous avions l’intention. »
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Antonovsky, Milo et l’équipe, y compris Shmuel Gleizer, Arren Bar-même, Yehudit Zohar, Elad Herz et autres réservoirs conçus suivant appellent « chémostats, » dans lequel ils ont grandi les bactéries, les poussant graduellement dans le développement de l’appétit pour le gazcarbonique. Au départ, ainsi que de nombreuses bulles de gazcarbonique, les bactéries dans les réservoirs ont offert une grande quantité de pyruvate, qui est une énergie source, mais aussi à peine assez de sucre pour survivre. Ainsi, en changeant les conditions de leur environnement et mettant l’accent sur eux, les scientifiques ont forcé les bactéries d’apprendre, par l’adaptation et de développement, d’utilisation du matériel plus abondant dans leur environnement. Un mois s’écoula, et les choses sont demeurés relativement stables. La bactérie semble ne pas « obtenir le soupçon ». Mais autour d’un mois et demi, certaines bactéries ont montré des signes de faire plus que « juste survivant. » Au troisième mois, les scientifiques ont pu sevrer les bactéries évolués du sucre et élever le gazcarbonique et le pyruvate seul. Isotope en étiquetant des molécules de gazcarbonique a révélé que les bactéries utilisent en effet gazcarbonique pour créer une partie importante de leur masse corporelle, y compris tous les sucres nécessaires pour rendre la cellule.
RépondreSupprimerQuand les scientifiques ont séquencé le génome de la bactérie a évolué, ils trouvèrent beaucoup de changements disséminés dans les chromosomes bactériens. « Ils étaient complètement différentes de ce que nous l’avions prévu, » dit Milo. « Il nous a fallu deux années de dur labeur pour comprendre qui sont essentiels et pour démêler la « logique » impliqués dans leur évolution. » Répétant que l’expérience (et encore attendre des mois) a donné les scientifiques des indices essentiels pour identifier les mutations nécessaires pour changer les e. coli alimentation d’une basée sur le sucre à l’un à l’aide de dioxyde de carbone.
Milo: "la capacité de programme ou réagencement e. coli à fixer le carbone pouvait donner chercheurs une nouvelle boîte à outils pour l’étude et l’amélioration de ce processus de base". Bien qu’actuellement la libération de bactéries gazcarbonique retour dans l’atmosphère, l’équipe prévoit qu’à l’avenir leurs idées pourraient être appliquées à la création de microorganismes qui imprégner de gazcarbonique dans l’atmosphère et le convertissent en énergie stockée ou à la réalisation de cultures avec carbone fixant les voies, ce qui entraîne des rendements plus élevés et de la meilleure adaptation pour nourrir l’humanité.
http://phys.org/news/2016-06-air-fuel.html
SupprimerCette 'nouvelle' n'est pas nouvelle puisque Jonova l'avait déjà publié il y a plusieurs mois en mentionnant que cette bactérie absorbe x fois son volume. C'est - depuis toujours - le cycle naturel de notre planète où le gazcarbonique se transforme en oxygène par les plantes et bactéries marines comme le magma de notre planète nettoie les eaux infiltrées pour les faire ressortir toutes propres aux sources terrestres ou sous-marines depuis des milliards d'années sans besoin de 'stations d'épuration' mises là pour ruiner les contribuables.