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mardi 2 avril 2024

Qui pousse à nouveau l'Allemagne à la guerre ?

 

55 commentaires:

  1. Qui pousse à nouveau l'Allemagne à la guerre ?


    31.03.2024
    www.kla.tv/28634


    [Porte-parole femme :] Le rapport-Schöning d'aujourd'hui portera principalement sur trois sujets d'actualité. Le premier est la planification d'une guerre d'agression par des officiers de l'armée fédérale allemande. Le deuxième concerne deux personnes : Ingo Gerhartz et Amy Gutmann. Et le troisième est la tentative d'empêcher le discours d’Heiko Schöning le 10 mars 2024 à Berlin lors de la manifestation pour la paix.

    Une conversation avait été interceptée, ce qui a été perçu ou communiqué dans les médias comme le « scandale des écoutes téléphoniques Taurus ». De quoi s'agissait-il ?

    [Heiko Schöning :] En fait, et cela doit faire la Une, il s'agit de la planification d'une guerre d'agression. Et les guerres d'agression sont interdites. Le 19 février 2024, une conversation sur la planification d'une guerre d'agression a eu lieu, et ce par des généraux de la Bundeswehr allemande. Notamment le chef de l'armée de l'air allemande, le lieutenant-général Ingo Gerhartz. Donc le général Gerhartz et le général Gräfe et deux autres ont concrètement planifié le bombardement d'un pont étranger.

    Et malheureusement, le pont, de par sa taille, ressemble à un aérodrome. Cela signifie qu'il se peut très bien qu’on ait besoin de 10 ou 20 missiles pour cela. Et c'est la préparation d'une guerre d'agression. Et selon la Loi fondamentale, article 26, paragraphe 1, – j'en ai une ici, en petit format – les actes qui sont de nature à troubler la coexistence pacifique des peuples et qui sont entrepris dans l'intention de préparer notamment la conduite d'une guerre d'agression sont anticonstitutionnels. Ils doivent être punis.

    Donc l'article 26, garantie de la paix, dit très clairement qu'on ne doit pas planifier une guerre d'agression, que cela doit être puni. Et ce que le général Gerhartz ont planifié avec les trois autres officiers supérieurs de l'armée allemande, c'est de bombarder concrètement un pont étranger avec des missiles allemands de type Taurus. Peu importe de quels missiles il s'agit et comment ils s’appellent.

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  2. [Porte-parole :] Cela ne semble évidemment pas bon, surtout si la menace se rapproche maintenant de l'Allemagne qui s'implique. Et il est donc possible que ce soit l'Allemagne qui s'en charge parce que les Etats-Unis ne veulent pas se salir les mains. Est-ce possible ?

    [Heiko Schöning :] Oui, les États-Unis sont de l'autre côté de l'Atlantique. Et ici en Europe, c'est pour ainsi dire le conflit Allemagne-Russie, que personne dans la population allemande ne souhaite naturellement. Et la question est de savoir comment un tel événement est préparé, comment ça se passe. Et il y a dix ans exactement, on a pu voir et comprendre, c'est-à-dire depuis 2014, comment une personne très similaire à Amy Gutmann aujourd'hui a agi en Allemagne contre l'Ukraine, en Ukraine.

    [Porte-parole :] C'était alors l’attaque de Maïdan.

    [Heiko Schöning :] C'est vrai, c'était le coup d'État de Maïdan, donc le changement de régime, le changement par la force du gouvernement élu en Ukraine. Et depuis, nous avons vraiment tous ces problèmes, depuis 2014. Et cette personne s'appelle Victoria Nuland.

    [Porte-parole :] Cela signifie qu'il y a déjà eu dans le passé, il y a dix ans, un événement similaire qui a conduit à ce très gros foyer de conflit Ukraine/Russie, qui se déroule depuis lors ou qui était ou est assez actif. Et cela pourrait maintenant être répété ou se répéter.

    [Heiko Schöning :] Oui, de manière similaire, il faut le dire.

    [Porte-parole :] Et qu'en est-il de Mme Nuland ?

    [Heiko Schöning :] Oui, elle est… il y a aussi un parallèle. Il y a une dizaine d'années, une conversation de Victoria Nuland a été interceptée. Il s'agissait de savoir qui les États-Unis et leurs alliés de l'OTAN voulaient comme prochain chef de gouvernement.

    [Porte-parole :] En Ukraine ?

    [Heiko Schöning :] En Ukraine.

    [Porte-parole :] Celui que les États-Unis veulent avoir en Ukraine.

    [Heiko Schöning :] Exactement, c'est ça. C'est exactement de cela qu'il s'agissait. Et les pays de l'UE voulaient avoir Klitschko, le boxeur. Et Victoria Nuland a dit : "Fuck the EU". Donc oubliez l'UE. Très grossier, très hostile. Victoria Nuland disposait d'un budget d'environ 5 milliards de dollars pour ce putsch. Il s'agit donc en fait de corruption politique. Oui, il y a eu aussi beaucoup de violence au Maïdan. Et nous avons vu les terribles images et l'escalade que cela a entraînée avec les pays voisins de l'Ukraine.

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  3. [Porte-parole :] Oui, et si à l'époque on y allait déjà avec une telle attitude, à savoir « Fuck the EU », alors aujourd'hui on ne peut que craindre le pire, à savoir que l'UE ou l'Europe soit peut-être abandonnée. Ou qu'on accepte qu'une guerre puisse effectivement avoir lieu du côté européen.

    [Heiko Schöning :] Oui, c'est vrai. Il est donc évident que la guerre est acceptée. Alors revenons-en au concret. Un général de l'armée allemande, Gerhartz, a vraiment planifié concrètement le bombardement détaillé du pont de Crimée. Et en fait, peu importe où se trouve ce pont, c'est un pont étranger.

    La République fédérale d'Allemagne n'est en guerre avec aucun pays et la population ne veut pas non plus de guerre. Et je dois dire très clairement, aussi en tant qu'officier de réserve de la Bundeswehr, que cela constitue un délit ; selon l'article 26, paragraphe 1 de la Loi fondamentale, ça doit être sanctionné. Cela figurait également dans le code pénal au paragraphe 80 - préparation d'une guerre d'agression. Il a été supprimé. Il a été supprimé en 2017, mais il a été maintenu presque comme le paragraphe 13 du droit pénal international.

    Mais il a été également quelque peu modifié, voire, à mon avis, quelque peu édulcoré. Là aussi, il faut se demander comment c’est possible. Comment peut-on supprimer un tel article de la loi pénale et le modifier de manière à ce qu'il ressemble à un vide juridique ? Mais en bref, je peux seulement dire, quelles que soient les astuces juridiques utilisées, que l'article 26 de la Loi fondamentale allemande, relatif au maintien de la paix, s'applique dans tous les cas. Et il y est clairement indiqué que même la préparation d'une guerre d'agression doit être punie.
    [Porte parole :] Cela signifie que les officiers de l'armée allemande se sont rendus coupables d'une infraction et devraient être poursuivis en justice.

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  4. [Heiko Schöning :] Oui, je dois bien sûr supposer que mon téléphone portable et mes communications sont sur écoute. Il était donc clair que je serais le premier, le premier orateur de la manifestation à dire que les guerres d'agression sont interdites. Le général Gerhartz l'a fait avec d'autres généraux, je vais porter plainte auprès de la police contre Ingo Gerhartz et les autres généraux. Et c'est là qu'il faut toujours revenir, et toutes les autres choses sont des distractions. Nous sommes vraiment en face d’un jeu, d’un feu, d’une guerre d'agression. La planification est punie d'au moins dix ans de prison. Et mener une guerre d'agression c’est puni de prison à vie, oui. Et nous devons sortir dans la rue, nous devons le dire. Et c'était dimanche à Berlin, le 10 mars, à 14 heures, ça devait commencer. J'étais déjà là à midi dans la rue du 17 juin. C'est à environ 100 mètres de la porte de Brandebourg, devant le monument à la gloire des Soviétiques. J'ai parlé gentiment avec le policier, je lui ai montré ma carte d'identité. Je lui ai dit qui j'étais. Je suis le premier orateur, et où pouvons-nous mettre le matériel d'information ? Tout allait bien, tout allait bien, oui. Le départ était prévu à 14 heures, donc environ deux heures plus tard. Et voilà ce que nous avons vécu : environ cinq à dix minutes avant, la police arrive tout à coup et me demande… enfin c’était vraiment original, c'était juste une question : Voulez-vous venir pour un contrôle d’identité ? Alors qu’ils savaient exactement qui j'étais. Et c'est là que j'ai dit : Non, je ne veux pas venir. Je n'ai pas le temps pour ça en ce moment. Je veux… je veux parler ici, donc la réponse est non. Oui. Et ils n’ont pas dit qu'ils avaient déjà mon identité, ils ont dit qu’ils voulaient avoir mes coordonnées, encore une fois, et mon adresse… Je leur avais déjà donné cela auparavant, ou plutôt ils le savent. C'était absolument disproportionné. Il fallait me déranger, il ne fallait pas que je prononce ce discours. J'ai été emmené pendant plus de trois heures, oui, assez brutalement. Et très loin aussi, à Hohenschönhausen, à 15 kilomètres de Berlin City, oui, très loin, pour que je ne puisse venir qu'après la tombée de la nuit. Heureusement, nous avons pu nous organiser pour que je puisse encore y prononcer mon discours. C'est pourquoi on peut l'écouter.

    [Extrait] Attention ! La préparation d'une guerre d'agression est interdite.

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  5. [Heiko Schöning :] Mais c'est une tactique qui consiste à essayer de détourner l'attention. Qu'on parle de tels événements, mais pas de leur contenu. Et je peux répéter que quoi qu'il se soit passé, les guerres d'agression sont interdites. Je porte plainte contre le général Gerhartz et les autres. Et je ne peux qu'inviter chaque citoyen à se rendre personnellement dans les commissariats de police. Et aussi avec cette vidéo, dans laquelle il y a les données, et dire : Voilà, c'est un délit présumé, je porte plainte - et d'invoquer simplement la Loi fondamentale. Rien de plus, rien de moins. Et c'est important que nous informions les fonctionnaires et les officiers, et donc les officiers de police, que quelque chose comme ça est en train de se passer. Et chaque citoyen est libre de savoir si la planification d'une guerre d'agression a effectivement eu lieu lors de cette conversation et avec les confirmations qui ont déjà été données par le gouvernement. Nous ne pouvons pas laisser faire ça.

    [Porte-parole:] Cela sert donc aussi à montrer qu'on a compris : Nous, en tant que population, nous avons compris. En tant que population, nous ne sommes pas derrière. En tant que population, nous essayons de nous défendre. Et aussi d'enquêter sur la police et éventuellement sur des politiciens et d'autres personnes. Il s'agit tout simplement de faire bouger les choses afin de pouvoir stopper une éventuelle guerre d'agression, à laquelle l'Allemagne participerait.

    [Heiko Schöning :] C'est vrai. C'est vraiment ce qui est important, oui. Et de ne pas criminaliser le rapporteur et celui qui le dit, mais de se concentrer sur ce que c'est, oui. Et c'est un délit selon l'article 11 de la loi sur les soldats. Je dois le redire ici très clairement. Selon l'article 11 de la loi sur les soldats, un ordre ne peut être exécuté s'il est susceptible de constituer un délit. C'est pourquoi nous lançons un appel à tous les soldats et à tous les fonctionnaires : « Dites NON ! » Non à la guerre d'agression ! On se rend soi-même punissable, sans parler des conséquences morales et autres. Car en tant que médecin, je peux dire de quoi nous parlons ici avec des missiles et des explosions et la destruction d'un pont, car cela entraîne à nouveau des pertes humaines, oui. Quand un missile de croisière comme le Taurus explose, il fait des milliers de degrés Celsius. Les gens sont brûlés. Ils sont mutilés et démembrés. C'est de cela que nous parlons. Je lance un appel à ces jeunes de Rheinmetall qui n'en ont aucune idée : Quand nous parlons d'attaques de missiles, nous parlons de brûler et de démembrer des êtres humains, et ce n'est pas une plaisanterie. C'est pourquoi « non » !

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  6. [Porte-parole:] Alors, mères, pères, nous ne donnons pas nos enfants ! Dites « non » et levez-vous pour la paix !

    de -
    Sources / Liens :
    Vol. 5, Le rapport Schöning :
    Taurus - La planification d'une guerre d'agression
    https://eticamedia.eu/schoeningreport/taurus/

    https://www.kla.tv/fr

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  7. Pourquoi tant de jeunes sont-ils atteints du cancer ?


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    2 avril 2024


    Selon les dernières statistiques, l’incidence mondiale du cancer est en augmentation, notamment chez les jeunes. Entre 1990 et 2019, l’incidence de 29 cancers a augmenté dans le monde chez les moins de 50 ans, les taux augmentant plus rapidement chez les femmes. Les cancers en augmentation comprennent les cancers du sein, de l’utérus, de la prostate, du poumon, colorectal, du pancréas et de l’estomac.

    - voir clip sur site -

    Entre 2016 et 2019, l’incidence du cancer du sein à apparition précoce a augmenté de 3,8 % par an.1 Comme le rapporte la revue Nature à la mi-mars 20242, même les adolescentes reçoivent désormais un diagnostic de cancers « improbables » auparavant réservés aux personnes âgées, comme le cancers gastro-intestinaux avancés. Et cela ne se produit pas seulement aux États-Unis. Des oncologues en Chine et en Inde ont également noté cette tendance.3 Selon Nature :4

    « Les statistiques du monde entier sont désormais claires : les taux de plus d'une douzaine de cancers augmentent chez les adultes de moins de 50 ans. Cette augmentation varie d'un pays à l'autre et d'un cancer à l'autre, mais les modèles basés sur des données mondiales prédisent que le nombre des cas de cancer à apparition précoce augmenteront d’environ 30 % entre 2019 et 2030.5

    Aux États-Unis, le cancer colorectal – qui frappe généralement les hommes dans la soixantaine ou plus – est devenu la principale cause de décès par cancer chez les hommes de moins de 50 ans.6 Chez les jeunes femmes, il est devenu la deuxième cause de décès par cancer…

    [Le] nombre de décès dus à des cancers à apparition précoce a augmenté de près de 28 % entre 1990 et 2019 dans le monde. Les modèles suggèrent également que la mortalité pourrait grimper…

    Alors que les appels se multiplient en faveur d’un meilleur dépistage, d’une meilleure sensibilisation et de meilleurs traitements, les enquêteurs se démènent pour expliquer pourquoi les taux augmentent. Les facteurs les plus probables – comme l’augmentation des taux d’obésité et le dépistage précoce du cancer – n’expliquent pas entièrement cette augmentation.

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  8. Coupables probables

    Le modèle médical conventionnel est plus que désemparé lorsqu’il croit que la solution à ce dilemme réside dans un meilleur dépistage. C’est un non-sens pur et simple et ne parvient pas à s’attaquer à la cause, à savoir une perturbation du microbiome qui efface les bactéries anaérobies obligatoires saines du gros intestin.

    Lorsque votre corps ne parvient pas à produire suffisamment d’énergie cellulaire parce que les mitochondries fonctionnent mal en raison d’un empoisonnement régulier par l’AL et les œstrogènes, elles sont tout simplement incapables de maintenir un environnement permettant aux bactéries bénéfiques saines de se développer.

    Lorsque les bactéries bénéfiques disparaissent, elles sont remplacées par des bactéries anaérobies facultatives qui tolèrent l’oxygène, en raison du manque d’inhibition compétitive des bactéries bénéfiques. Ce sont ces bactéries qui augmentent les cancers gastro-intestinaux, et non le manque de dépistage.

    Une consommation excessive d’AL (acide linoléique) favorise le cancer

    L’article de Nature7 souligne cependant l’existence d’un coupable alimentaire, déclarant que « l’importance des cancers gastro-intestinaux et la coïncidence avec les changements alimentaires dans de nombreux pays indiquent que les taux croissants d’obésité et les régimes alimentaires riches en aliments transformés sont probablement les responsables de la contribution à l’obésité ». taux de cas en hausse.

    Bien que l'article de Nature n'entre pas dans les détails sur ce que notre alimentation moderne pourrait contribuer au cancer, mes propres recherches ont mis en évidence l'acide linoléique (LA) - un gras oméga-6 présent dans les huiles de graines (et donc dans la plupart des aliments transformés). ) – en tant que contributeur clé.

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  9. Comme d'autres experts en médecine bioénergétique, je suis convaincu que les maladies chroniques telles que le diabète de type 2, la maladie d'Alzheimer et le cancer sont des maladies bioénergétiques enracinées dans un métabolisme dysfonctionnel entraînant une mauvaise production d'énergie, et que les graisses polyinsaturées (AGPI) semblent être l'un des principaux facteurs contribuant à cette chaîne d'événements. Comme le rapporte le chercheur en bioénergie Georgi Dinkov dans un article de blog d’octobre 2022 :8

    « Les mauvaises nouvelles pour les AGPI (en l’occurrence l’acide linoléique) ne cessent de s’accumuler. À l’heure actuelle, il n’existe pratiquement aucune maladie chronique qui ne soit liée à des taux élevés d’AGPI et/ou de leurs produits de peroxydation.

    [Une étude de décembre 2022 dans Antioxidants & Redox Signaling9] fait valoir que les sous-produits de la peroxydation des AGPI (créés par l'augmentation des espèces réactives de l'oxygène (ROS) elles-mêmes entraînées par les AGPI) tels que le 4-hydroxynonénal (4-HNE), sont la cause du diabète. et le cancer.

    En fait, l’étude avance l’argument selon lequel les deux affections sont fondamentalement des points légèrement différents sur le même spectre de maladies systémiques (c’est-à-dire que le cancer est le plus grave).

    L’étude10 publiée dans Antioxidants & Redox Signaling met en évidence le risque accru auquel les patients diabétiques sont confrontés au développement de plusieurs types de cancer, notamment le carcinome hépatocellulaire, le cancer du pancréas, le cancer colorectal et le cancer du sein.

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  10. La consommation d'AL est liée à plusieurs mécanismes favorisant le cancer, notamment une perturbation de la production d'énergie dans les cellules, des déséquilibres hormonaux, une augmentation du stress oxydatif et des dommages aux membranes cellulaires et mitochondriales.
    Ce risque élevé est attribué à plusieurs facteurs qui favorisent la croissance du cancer chez les personnes diabétiques. Ces facteurs comprennent la résistance à l'insuline, l'hyperglycémie, la dyslipidémie, l'inflammation chronique et des taux élevés de facteur de croissance analogue à l'insuline-1 (IGF-1). Ces conditions contribuent à réduire le stress qui perturbe l’équilibre redox du corps. Comme l'expliquent les auteurs11 :

    « Le stress oxydatif qui en résulte, associé à la peroxydation lipidique, semble être un lien pathogène possible entre le cancer et le diabète » et « le principal produit bioactif de la dégradation oxydative des acides gras polyinsaturés (AGPI), l'aldéhyde réactif 4-hydroxynonénal (4-HNE)… pourrait être le facteur pathogène clé reliant le diabète et le cancer…

    Contrôler la production de 4-HNE pour éviter sa cytotoxicité pour les cellules normales mais non cancéreuses tout en empêchant ses activités diabétogènes pourrait être un aspect important de la biomédecine intégrative moderne.

    4-HNE lié à l'obésité et au cancer

    Dans son livre « Deep Nutrition : Why Your Genes Need Traditional Food »12, le Dr Cate Shanahan détaille les dangers du 4-HNE, qui se forme lors du traitement de la plupart des huiles végétales. Le 4-HNE est hautement toxique pour les bactéries intestinales, et sa consommation a été corrélée à un équilibre obésogène de la flore intestinale.

    Le 4-HNE est également cytotoxique (toxique pour les cellules), provoque des dommages à l'ADN et déclenche des cascades de radicaux libres qui endommagent la membrane mitochondriale. Comme l'a noté Shanahan dans une interview en 2017 :

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  11. "Vous ne pouvez pas concevoir un meilleur véhicule de distribution pour une toxine qui va détruire votre santé lentement sur une période de 10 ou 20 ans peut-être, en fonction de la génétique de la capacité de votre système antioxydant."

    Il est important de noter que le 4-HNE est présent même si l’huile est obtenue à partir de cultures biologiques. C’est un sous-produit intrinsèque du raffinage et de la transformation de l’huile, quelle que soit sa santé initiale.

    Un LA élevé détruit la fonction mitochondriale

    Le blog de Dinkov attire également l’attention sur une autre étude remarquable13, même si elle se concentre sur la maladie d’Alzheimer plutôt que sur le cancer. L’étude révèle que les personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer possèdent des cellules inefficaces pour produire de l’énergie.

    Cette inefficacité provient d'un déficit en acide glycocholique et d'un excès d'AL. Essentiellement, l’AL déclenche la production d’espèces réactives de l’oxygène (ROS) nocives, qui entravent ensuite la capacité des cellules à générer de l’énergie.

    De plus, les AGPI, comme le LA, perturbent l’équilibre hormonal de votre corps, imitant les effets des œstrogènes et du cortisol tout en neutralisant les androgènes et la progestérone. De plus, ils modifient les interactions cellulaires avec l’eau, rendant les cellules plus attirantes pour l’eau. Dinkov suggère que ces effets, au-delà de la simple génération de ROS, jouent un rôle beaucoup plus critique dans les effets nocifs des AGPI sur une grande variété de maladies chroniques, notamment le cancer.

    Les huiles de graines nuisent à votre santé de multiples façons

    En résumé, il a été démontré que les huiles de graines en général et l’AL en particulier sont nocives pour la santé :14

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  12. Rendez vos cellules graisseuses plus sensibles à l’insuline, provoquant ainsi une résistance à l’insuline.15

    Crée de grandes quantités de produits d'oxydation lorsqu'ils sont utilisés en cuisine (car ils sont très sensibles à la chaleur), y compris des aldéhydes, qui sont à l'origine des lipoprotéines de basse densité (LDL) oxydées associées aux maladies cardiaques. Les aldéhydes réticulent également la protéine tau et créent des enchevêtrements neurofibrillaires, contribuant ainsi au développement de maladies neurodégénératives.

    Endommager l’endothélium (les cellules tapissant vos vaisseaux sanguins) et provoquer une augmentation de la pénétration des particules de LDL et de lipoprotéines de très faible densité (VLDL) dans le sous-endothélium.16

    En d’autres termes, ces huiles s’intègrent dans vos membranes cellulaires et mitochondriales, et une fois ces membranes endommagées, cela ouvre la voie à toutes sortes de problèmes de santé. Avec une demi-vie de 600 à 680 jours17, leur élimination de votre corps peut prendre des années. Ils sont également incorporés dans des tissus tels que le cœur et le cerveau.

    Endommager vos mitochondries et votre ADN en rendant vos membranes cellulaires plus perméables, permettant ainsi à des éléments qui ne devraient pas pénétrer.

    Rendre la membrane cellulaire moins fluide, ce qui a un impact sur les transporteurs d'hormones dans la membrane cellulaire et ralentit votre taux métabolique.

    Inhibe la cardiolipine18, un composant important de la membrane interne de vos mitochondries qui doit être saturée en DHA pour fonctionner de manière optimale et faciliter le fonctionnement optimal de la chaîne de transport d'électrons et la production d'ATP. La cardiolipine peut être assimilée à un système d'alarme cellulaire qui déclenche l'apoptose (mort cellulaire) en signalant à la caspase-3 lorsque quelque chose ne va pas avec la cellule.

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  13. Si la cardiolipine n’est pas saturée en DHA, elle ne peut pas signaler la caspase-3 et l’apoptose ne se produit donc pas. En conséquence, les cellules dysfonctionnelles peuvent continuer à croître, ce qui peut se transformer en cellules cancéreuses.

    Inhiber l'élimination des cellules sénescentes, c'est-à-dire des cellules âgées, endommagées ou paralysées qui ont perdu la capacité de se reproduire et de produire des cytokines inflammatoires qui accélèrent rapidement la maladie et le vieillissement.

    Dépouiller votre foie du glutathion (qui produit des enzymes antioxydantes), réduisant ainsi vos défenses antioxydantes.19

    Inhiber la delta-6 désaturase (delta-6), une enzyme impliquée dans la conversion des oméga-3 à chaîne courte en oméga-3 à chaîne plus longue dans votre foie.20

    Vous exposer au 4-HNE toxique, qui est hautement toxique pour les bactéries intestinales, provoque des dommages à l'ADN et déclenche des cascades de radicaux libres qui endommagent vos membranes mitochondriales.21

    Vous exposer aux résidus de glyphosate, car la plupart des huiles végétales sont fabriquées à partir de cultures génétiquement modifiées. Il a été démontré que le glyphosate perturbe les jonctions serrées de votre intestin et augmente la pénétration des envahisseurs étrangers, en particulier des protéines chauffées, qui peuvent provoquer des allergies.

    Comment éviter ces graisses dangereuses

    Compte tenu des dommages extrêmement graves qu’elles provoquent, l’élimination des huiles de graines de votre alimentation peut grandement contribuer à améliorer votre santé. Cela comprend l’huile de soja, de canola, de tournesol, de pépins de raisin, de maïs, de carthame, d’arachide et de son de riz.

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  14. Faites également attention à l’huile d’olive et à l’huile d’avocat, car les deux sont généralement frelatées avec des huiles de graines moins chères. Cela dit, même les huiles d’olive et d’avocat pures sont riches en LA. Si, comme moi, vous avez l’habitude de manger de l’huile d’olive, je vous encourage fortement à limiter votre consommation à 1 cuillère à soupe par jour ou moins. À mon avis, l’huile d’olive n’est pas une solution miracle et si vous consommez déjà 80 grammes d’AL par jour, cela ne fera qu’aggraver votre santé, sans l’aider.

    De plus, comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous de Brad Marshall, dont l'interview avec moi sera publiée sous peu, l'huile d'olive n'est pas tout ce qu'elle prétend être.

    - voir clip sur site -

    Pour éviter ces huiles, ne cuisinez pas avec, bien sûr, mais évitez également les aliments transformés, les condiments, les fast-foods et les aliments des restaurants. Si vous mangez au restaurant, vous consommez sans aucun doute des quantités malsaines d’huiles de graines, car la plupart des aliments des restaurants en sont riches.

    Les aliments frits, les vinaigrettes et les sauces ont tendance à être les principaux coupables. Le mieux est de préparer la plupart de vos aliments à la maison afin de savoir ce que vous mangez et, dans le cas des huiles de graines, ce que vous ne mangez pas. Le poulet et le porc sont également riches à Los Angeles et il est donc préférable de les éviter. Étant donné que ces animaux, même les animaux en bonne santé issus de l'agriculture biologique, sont généralement nourris avec des céréales, ils sont chargés d'acides gras oméga-6 et peuvent contenir 10 fois plus de LA que le bœuf, l'agneau ou le buffle.

    Quelle quantité d’acide linoléique est-elle excessive ?

    Idéalement, envisagez de réduire l’AL à moins de 5 grammes par jour, ce qui est proche de ce que nos ancêtres consommaient avant que toutes ces maladies chroniques, notamment l’obésité, le diabète, les maladies cardiaques et le cancer, ne se généralisent. Si l’huile d’olive vous fait dépasser la limite, envisagez plutôt de cuisiner avec du suif ou du saindoux.

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  15. Si vous n'êtes pas sûr de la quantité que vous mangez, entrez votre apport alimentaire dans Cronometer – un outil de suivi nutritionnel en ligne gratuit – et il vous fournira votre apport total en LA. La clé d’une saisie précise est de peser soigneusement vos aliments avec une balance de cuisine numérique afin de pouvoir saisir le poids de vos aliments au gramme près.

    Le cronomètre vous indiquera la quantité d'oméga-6 que vous obtenez de votre alimentation jusqu'au 10ème de gramme, et vous pouvez supposer que 90 % de cette quantité est de l'AL. Tout ce qui dépasse 10 grammes est susceptible de causer des problèmes. Pour en savoir plus sur l'impact biologique de l'AL, assurez-vous de regarder la vidéo en haut de cet article et/ou de lire mon rapport détaillé, « L'acide linoléique – L'ingrédient le plus destructeur de votre alimentation ».

    Injections d'ARNm et turbo cancer

    - voir clip sur site -

    Lien vidéo
    Un autre facteur important dans l’augmentation des cas de cancer est probablement le vaccin contre la COVID. Je suis convaincu qu’une consommation excessive d’AL était déjà un problème clé contribuant à l’augmentation des taux de cancer avant l’ère COVID. Néanmoins, l’introduction des vaccins à ARNm a aggravé le problème.

    Plus précisément, ces vaccins semblent être liés à l’émergence de « cancers turbo », des cancers à croissance rapide qui s’avèrent souvent mortels. La rapidité de leur croissance laisse peu de possibilités de traitement efficace.

    Dans l'interview HighWire ci-dessus, le Dr William Makis, oncologue et chercheur canadien en oncologie22, le remplacement de l'uracile dans l'ARN utilisé dans les injections de COVID par de la méthylpseudouridine synthétique (pour améliorer la stabilité de l'ARN) est connu pour être problématique.23 Lors de la substitution de parties du code dans de cette façon, la protéine résultante peut facilement être mal repliée, ce qui a été associé à diverses maladies chroniques.24

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  16. Il est important de noter que l’insertion de pseudouridine synthétique peut supprimer votre surveillance immunitaire innée en atténuant l’activité des récepteurs de type péage, ce qui a pour effet en aval de réduire la surveillance du cancer.

    "Plus vous prenez d'injections d'ARNm, plus les dommages au système immunitaire sont importants, plus votre risque de surveillance altérée du cancer est grand et, par conséquent, plus votre risque de turbo-cancer est grand", explique Makis.

    Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) de l'Organisation mondiale de la santé prévoit plus de 35 millions de nouveaux cas de cancer en 2050, soit une augmentation de 77 % par rapport aux 20 millions de cas de cancer estimés survenus en 2022.25 Sans surprise, les mêmes sociétés pharmaceutiques qui ont fabriqué l'ARNm Les vaccins sont désormais dans une course pour être les premiers à proposer de nouveaux médicaments contre le cancer, notamment Pfizer et Johnson & Johnson.26

    Médicaments anticancéreux à base d'ARNm en cours de développement

    Il est inquiétant de constater que bon nombre des médicaments anticancéreux actuellement en cours de développement dépendent de la même technologie basée sur l’ARNm, responsable en premier lieu de la tendance au turbo-cancer. Voici quelques exemples notables :

    Vaccins personnalisés contre le cancer — Des sociétés comme BioNTech (qui s'est associée à Pfizer pour le vaccin contre la COVID-19) et Moderna ont travaillé sur des vaccins personnalisés à ARNm contre le cancer. Ces vaccins sont conçus pour stimuler le système immunitaire du patient afin de cibler les tumeurs en fonction des mutations uniques de ses cellules cancéreuses.27

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  17. Technologie de l'ARNm pour les tumeurs solides — Moderna développe également un vaccin à ARNm ciblant les tumeurs solides.28 Cette approche consiste à utiliser l'ARNm pour produire des antigènes spécifiques de la tumeur à l'intérieur du corps afin d'encourager le système immunitaire à reconnaître et à détruire les cellules cancéreuses.
    Thérapies combinées — Les chercheurs explorent la combinaison de vaccins à ARNm avec des traitements anticancéreux existants, tels que les inhibiteurs de points de contrôle, pour renforcer la capacité du système immunitaire à combattre le cancer.

    Ciblage des néoantigènes – Plusieurs entreprises de biotechnologie se concentrent sur les néoantigènes, qui sont de nouveaux antigènes résultant de mutations tumorales.29
    Thérapie cellulaire CAR-T basée sur l’ARNm – Des efforts sont également déployés pour combiner la technologie de l’ARNm avec la thérapie cellulaire CAR-T, un type de traitement qui modifie les lymphocytes T d’un patient pour attaquer les cellules cancéreuses. L’ARNm est utilisé pour permettre à la thérapie CAR-T d’être rapidement adaptée à différents types de cancer.30
    Étant donné que la technologie de l’ARNm elle-même semble produire des résultats cancérigènes, je me méfierais extrêmement des médicaments anticancéreux qui en sont basés. Le temps nous dira s’ils peuvent le perfectionner d’une manière ou d’une autre, mais pourquoi attendre ? Comme mentionné, l’excès d’AL dans l’alimentation est un facteur majeur de cancer, avec ou sans injections d’ARNm, et c’est quelque chose sur lequel vous avez un contrôle total.

    Comme indiqué dans les articles précédents, vous souhaitez également éviter l’excès d’œstrogènes, qui est un facteur majeur de nombreux cancers, en particulier le cancer du sein. Pour un rappel, voir « Ce que vous devez savoir sur les œstrogènes et la sérotonine ».

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  18. Sources and References

    1 JAMA Netw. Open 2024; 7: e2353331
    2, 3, 4, 7 Nature March 13, 2024
    5 BMJ Oncol. 2023; 2: e000049 (2023)
    6 CA Cancer J. Clin. 2024; 74: 12–49
    8 Haidut.me October 26, 2022 (Archived)
    9, 10, 11 Antioxidants & Redox Signaling December 2022;37(16-18):1222-1233
    12, 19, 20, 21 Deep Nutrition: Why Your Genes Need Traditional Food by Dr. Cate Shanahan
    13 Front Aging Neurosci September 23, 2022; 14
    14 Spotify Joe Rogan Podcast #1551 with Paul Saladino
    15 YouTube June 23, 2020
    16 Open Heart 2018;5:e000898
    17 Journal of Lipid Research 1966 Jan;7(1):103-11
    18 YouTube, Omega-6 Apocalypse 2, Chris Knobbe August 25, 2021
    22 Rumble, The HighWire with Del Bigtree, Is the COVID Vaccine Causing Turbo Cancers? September 22, 2023
    23 International Journal of Vaccine Theory, Practice and Research May 10, 2021; 2(1): 402-444
    24 Nature Medicine December 6, 2011; 17: 1536-1538
    25 World Health Organization February 1, 2024
    26 MakisMD Substack March 12, 2024
    27 Cancer.gov January 20, 2022
    28 Moderna Clinical Trial of Cancer Treatment for Adults with Solid Tumors
    29 Genome Medicine January 25, 2024;16(1):17
    30 Penn Medicine News Release January 6, 2022

    https://www.lewrockwell.com/2024/04/joseph-mercola/why-are-so-many-young-people-getting-cancer/

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  19. l’augmentation des cancers avec la vaccination est reconnue pour les chats, pour les chiens et les cochons mais heureusement pas pour les Français , bravo l’AFP!


    le 2 avril 2024
    par pgibertie


    L’épidémie de cancers ne peut plus être cachée et s’il y avait une tendance à l’augmentation depuis dix ans, depuis 2021 c’est l’explosion. Quelle peut être la cause?

    Pour les britanniques, c ‘est évident

    APPEL SOLENNEL du plus prestigieux cancérologue britannique « Tous les vaccins à ARNm doivent être arrêtés et interdits dès maintenant. » https://pgibertie.com/2023/12/04/appel-solennel-du-plus-prestigieux-cancerologue-britannique-tous-les-vaccins-a-arnm-doivent-etre-arretes-et-interdits-des-maintenant/… via @GibertiePatrice

    Washington Times:La princesse Catherine est l’un des nombreux jeunes adultes atteints de cancer, ce n’est pas normal et il faut chercher pourquoi

    En Grande Bretagne les statistiques officielles mettent en évidence une épouvantable détérioration de la santé (cancers, myocardites) à partir de 2021

    Les Allemands doutent

    IMPORTANT: une étude comparative de la surmortalité et des mortinaissances dans les landers allemands prouve qu’elles sont déterminées par le taux de vaccccxx

    Les Américains savent

    - voir doc sur site -

    Pour les chats, personne ne le conteste ni d’ailleurs pour les autres animaux

    Regardez ce n’est pas nouveau

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  20. Les chercheurs de Moderna veulent réduire la toxicité des vacccxxxins ARNm! Les services vétos de l’EMA également !Bizarre on nous a dit qu’ils étaient surs?

    L’ Europe reconnait les risques de cancers, de résistance aux antibiotiques, de fertilité et d’intégration de l’ADN plasmidique dans le génome mais…uniquement pour les animaux

    Les vaccinations contre le FeLV ou contre la rage ne doivent pas être administrées
    aux chats vivant seuls strictement à l’intérieur, et les chats déjà immunisés ne
    doivent pas être vaccinés (par ex. si présence d’anticorps détectés).

    La leucose féline est une maladie infectieuse virale, due à un rétrovirus – le FeLV –qui appartient à la même famille que le virus responsable du SIDA du chat (FIV) ou de l’homme (HIV).

    Le sarcome félin post-injection (Feline Injection-Site Sarcoma ou FISS) est un
    sarcome invasif (le plus souvent un fibrosarcome) qui est considéré comme le plus
    sévère des effets secondaires survenant après la vaccination chez les chats

    La pathogénie du FISS n’est pas définitivement élucidée. Cependant, des réactions
    inflammatoires chroniques sont considérées comme les éléments déclencheurs d’une
    transformation ultérieure en tumeur maligne.

    - voir doc sur site -

    https://pgibertie.com/2024/04/02/laugmentation-des-cancers-avec-la-vaccination-est-reconnue-pour-les-chats-pour-les-chiens-et-les-cochons-mais-heureusement-pas-pour-les-francais-bravo-lafp/

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  21. Ce n’est pas un poisson d’avril, l’ancien patron du CDC américain est devenu complotiste, il dénonce les gains de fonction, la fabrication de virus en laboratoire


    le 1 avril 2024
    par pgibertie


    La vérité viendra des Etats Unis du UK ou d’Allemagne, en France tout est muselé

    Robert Ray Redfield Jr. (né le 10 juillet 1951) est un virologue américain qui a été directeur des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis et administrateur de l’ Agence pour le registre des substances toxiques et des maladies de 2018 à 2021.

    La recherche sur le gain de fonction sur les agents pathogènes pandémiques potentiels n’a aucune, voire aucune, application civile. Il n’est pas nécessaire et ne contribue pas au développement de vaccins ou de produits thérapeutiques. Ses seules applications sont la découverte, le développement et la caractérisation d’agents d’armes biologiques.

    «La grande pandémie arrive», craint Robert Redfield, l’ancien directeur de la CDC, principale agence fédérale des Etats-Unis en matière de protection de la santé publique. Il demande un moratoire sur la recherche sur le «gain de fonction».

    Dans le cadre de la réévaluation politique de la pandémie, Redfield a été entendu le 8 mars 2023, lors d’une audition au Congrès sur les origines du COVID-19. Redfield a réaffirmé sa conclusion selon laquelle la pandémie a été causée par une fuite d’un laboratoire ( hypothèse de fuite de laboratoire ). Cette conclusion reposait principalement sur la biologie du virus lui-même, notamment sur sa contagiosité élevée et rapide lors de la transmission interhumaine. Il a déclaré que le virus était trop capable de se propager entre humains pour être le résultat d’une transmission naturelle de l’animal à l’homme (hypothèse zoonotique).

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  22. Redfield a déclaré que la biologie du virus, y compris son pouvoir infectieux élevé dans la transmission interhumaine, suggère qu’il est originaire d’un laboratoire grâce à une recherche sur le gain de fonction , dans laquelle les scientifiques tentent d’augmenter la transmissibilité. ou pathogénicité. Redfield a témoigné que la recherche sur le gain de fonction sur les virus à haut risque à Wuhan a été financée par les National Institutes of Health , le Département d’État , l’USAID et le Département de la Défense (DOD). La Chambre des représentants a voté à l’unanimité en faveur d’un projet de loi rendant obligatoire la divulgation d’informations sur l’origine du virus SARS-CoV-2.

    « Cette pandémie a été causée par la science Je pense que cela a probablement été fait dans le cadre d’un programme de biodéfense qui visait en grande partie à créer un vecteur vaccinal,mais malheureusement, ce virus s’est échappé »

    https://pgibertie.com/2024/04/01/ce-nest-pas-un-poisson-davril-lancien-patron-du-cdc-americain-est-devenu-complotiste-il-denonce-les-gains-de-fonction-la-fabrication-de-virus-en-laboratoire/

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    1. L'être humain respire 200 000 nano-poussières (appelées 'virus' !) ET microbes PAR MINUTE ! Soit DES milliards depuis CE MATIN et DES montagnes de milliards depuis notre naissance ! HOULALA !
      Et... nous ne sommes pas moooooort(e)s !!: Çà alors !!

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  23. Des éléments clés des nouveaux traités de l'OMS signifient une perte de souveraineté nationale pour les États membres


    2 avril 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Comme chacun le sait, des modifications du Règlement sanitaire international (RSI) doivent être adoptées d'ici fin mai et visent à étendre considérablement les pouvoirs de l'OMS en vertu du droit international. Cela permet à l’organisation de déclarer des urgences sanitaires et des pandémies, ainsi que d’imposer des confinements et toute la gamme de mesures connues depuis Corona, ainsi que d’exiger des vaccinations et d’autres médicaments. Un nouveau « traité sur la pandémie » vise à étendre ces pouvoirs.

    Le directeur général de l'OMS, le Dr. Ghebreyesus continue de prétendre que ce n'est pas si grave de toute façon et que la souveraineté des États n'est pas restreinte. Il est soutenu par l’UE, l’ONU, les hommes politiques, les « vérificateurs de faits » et les grands médias. Donc encore une fois le point le plus important :

    Les négociations de l’OMS et les traités envisagés constituent une attaque contre la souveraineté nationale.

    Les négociations de l’OMS portent sur des engagements en matière de vaccination ou de confinement.

    Les négociations de l'OMS visent à prendre le contrôle de la relation entre médecin et patient.

    On tente également de masquer ce phénomène dans les textes des contrats :

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  24. Le traité de l'OMS prétend qu'il ne s'agit pas d'une attaque contre la souveraineté, mais comment pouvez-vous l'appeler autrement lorsque l'OMS déclare des situations d'urgence et dit ensuite à 196 pays quoi faire, combien dépenser, s'il faut utiliser certains médicaments ou... Les vaccins sont-ils autorisés à utiliser, etc.? J'ai traité de cela ici hier.

    L’article 18 du Règlement sanitaire international, une fois approuvé le mot « obligatoire » ajouté dans un amendement, donne à l’OMS le pouvoir d’ordonner et de faire respecter la vaccination obligatoire ainsi que les confinements et fermetures.
    Ces règles existent déjà dans le RSI, mais elles devraient désormais devenir contraignantes et obligatoires :

    - voir doc sur site -

    Les dispositions du traité et des amendements exigent la censure de la « désinformation et de la désinformation » en matière de soins de santé, contrôlant ainsi les informations que votre médecin peut voir. L’article 43, paragraphe 4, des amendements donne à l’OMS le droit d’ordonner la rétention de certains médicaments en cas d’urgence de santé publique déclarée. Cela me semble être une ingérence inacceptable dans la relation médecin-patient.
    Après avoir mentionné l’importance d’un accès sans entrave à l’information, le projet de traité exige que les États « gèrent » l’information, combattent les « fausses informations » et favorisent la « confiance dans la science ».

    Ici, dans un langage quelque peu voilé, il est prévu de restreindre les traitements médicaux en cas de futures « pandémies ».

    - voir doc sur site -

    Source : https://apps.who.int/gb/wgihr/pdf_files/wgihr2/A_WGIHR2_7-en.pdf

    La question de savoir où se situe le pouvoir et qui a le pouvoir de le déléguer à l’OMS est cruciale pour nous tous. C'est pourquoi l'UE a soudainement affirmé que sa compétence dans le domaine de la santé était élevée, et l'OMS a affirmé qu'elle avait le pouvoir de négocier avec l'UE, même si l'UE n'est pas membre de l'OMS : il s'agit d'une tentative de outrepasser les pouvoirs des nations européennes individuelles et négocier un transfert de pouvoir des 27 États membres à l’OMS. C'est exactement ce que fait notre gouvernement fédéral.

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  25. Ce fut une semaine très importante au cours de laquelle les questions juridiques ont été mises au premier plan et nous, en tant que peuple, avions l'espoir de pouvoir éviter les pièges juridiques qui ont été tendus.

    La version du 7 mars 2024 du contrat est la même tyrannie reconditionnée que l'on retrouve dans les 6 versions précédentes.

    https://tkp.at/2024/04/02/kernstuecke-der-neuen-who-vertraege-bringen-verlust-der-nationalen-souveraenitaet-der-mitgliedsstaaten/

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  26. Un autre scandale de données chez BMG et RKI : aucune donnée sur les patients Long Covid


    2 avril 2024
    par Stefan Brandl


    Le BMG (ministère fédéral de la Santé), le RKI et aussi le PEI sont désormais connus pour les « données inexistantes », telles que : B. qui en fait « vient » de mourir du Corona – voir ici , ou en ce qui concerne les réserves de sang – voir ici . Jusqu’à présent, ni le RKI ni l’Île-du-Prince-Édouard n’ont été en mesure de fournir des données, ce qui en soi est un scandale puisque d’autres pays publient pour la plupart ces données depuis longtemps. Mais maintenant, le prochain scandale des données éclate en ce qui concerne les données sur les patients Long Covid, comme le montre une requête.

    En fait, une autorité fédérale comme le BMG, le RKI ou le PEI devrait disposer de données détaillées sur les patients Long Covid - on pourrait le penser, car après tout, le ministère fédéral de la Santé, sous la direction du professeur Karl Lauterbach, a estimé que plus de 180 millions seront disponibles au cours des prochaines années grâce à la recherche.

    Étant donné que le gouvernement, les politiciens, les grands médias et de nombreux médecins continuent de minimiser les effets secondaires extrêmes des « vaccins Covid-19 » de BioNTec/Pfizer et Moderna et que même les patients qui se plaignent d’effets secondaires ne sont pas pris au sérieux, une enquête a été menée auprès de le BMG et dont le RKI a un besoin si urgent.

    Après tout, l’année dernière, même l’ancien président du STIKO, Thomas Mertens, a demandé aux gens de « mentir » dans une interview télévisée, car les victimes de la vaccination doivent souvent payer leurs frais. Il leur a conseillé de ne pas dire aux médecins traitants que leurs plaintes étaient d’éventuels effets secondaires de la « vaccination Covid ». C’est une indication claire qu’une dissimulation aux proportions gigantesques a lieu ici, mais que le gouvernement et les grands médias s’enfoncent de plus en plus dans une impasse avec cette stratégie, qui finira à un moment donné !

    Deux études récemment publiées suggèrent d’autres raisons et affirment : « Le Covid long n’existe pas chez les enfants et les adolescents » : Joel Selvakumar (2023) et Snehal M. Pinto Pereira (2023)

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  27. Conclusion du chercheur issue d'une étude : « Le Covid-19 n'a rien à voir avec aucune de ces deux maladies. Permettez-moi de le répéter. Avoir le Covid-19 n’a rien à voir avec des symptômes compatibles avec le « Long Covid ». "

    Ou en d’autres termes : on peut avoir le Long Covid sans avoir eu le Covid.

    En outre, une autre étude publiée dans « Nature Vaccines » suggère que chez de nombreux « vaccinés » contre le Covid-19, des traces de l’ARNm ont été trouvées dans le cœur des personnes « subitement décédées », même après des mois. Si l’on considère qu’environ 65 millions de personnes en Allemagne ont reçu une injection d’ARNm, cela est très inquiétant et n’a aucun lien avec le « Long COVID ».

    J'ai posé pour la première fois mes questions au RKI en octobre 2023 (y compris les résultats de l'étude) et je voulais savoir :

    « Combien de patients atteints de COVID long sont actuellement connus ou enregistrés par le RKI (en octobre 2023) et reçoivent un traitement médical ? (L'estimation de 6 % à 15 % sur la page d'informations Long-COVID du BMG est large et peu utile). "

    Réponse RKI :

    Une description des patients post-COVID dans les soins de santé ambulatoires officiels qui ont le code CIM U09.9 ! L'enregistrement est effectué en continu par l'Institut central de l'assurance maladie obligatoire. (Remarque : j'ai reçu un lien du RKI à ce sujet, mais il n'est plus accessible).

    Dans la FAQ sur le COVID long, régulièrement mise à jour par le RKI, la réponse à la question « Quelle est la fréquence du COVID long ? » ( FAQ Liste des conséquences sur la santé à long terme ) fournit une explication détaillée des raisons pour lesquelles une évaluation plus précise Il n’est actuellement pas possible de déterminer le nombre de personnes touchées par le Long COVID.

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  28. Quelles tranches d’âge sont concernées par le Long-COVID ?

    Réponse RKI :
    Selon les connaissances actuelles, le Long COVID touche particulièrement les adultes jeunes et d’âge moyen, les femmes beaucoup plus souvent que les hommes. Cela se voit à la fois dans la description des patients post-COVID qui sont enregistrés dans les soins de santé obligatoires ambulatoires (remarque : j'ai reçu un lien à ce sujet du RKI, mais il n'est plus accessible), ainsi que dans la vision internationale résumée. Pour les études sur la fréquence et les déterminants du Long COVID, voir la FAQ Long COVID du RKI (« Les facteurs connus influencent-ils le risque de Long COVID ? » sous le lien : https://www.rki.de/SharedDocs/FAQ/ NCOV2019/ FAQ_Liste_Healthy_Long-Term Consequences.html?nn=13490888#FAQId16065738 )

    Combien de ces personnes « longuement COVID » ont reçu une « vaccination » contre le Covid-19 ?

    Réponse RKI du 8 novembre 2023 :
    Le RKI ne dispose actuellement d’aucune donnée permettant de répondre à cette question.

    Avec quel « vaccin » ces patients atteints du Long-COVID ont-ils été vaccinés ?

    Réponse RKI :
    Le RKI ne dispose actuellement d’aucune donnée permettant de répondre à cette question.

    Si la personne concernée est vaccinée, combien de fois cette personne a-t-elle reçu un « vaccin » ? Une, deux fois, trois fois, quatre fois... ?

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  29. Réponse RKI :
    Le RKI ne dispose actuellement d’aucune donnée permettant de répondre à cette question.

    Les mesures liées au Corona telles que la fermeture des écoles, les couvre-feux, l'obligation de porter un masque, l'interdiction de rassemblement, les vaccinations obligatoires (dans certains groupes professionnels), le stress psychologique, etc. ont-elles été incluses dans la réflexion et l'approche Long-COVID ?

    Réponse RKI :
    Le long COVID englobe un large éventail de conséquences à long terme sur la santé qui ont été fréquemment décrites après une infection par le SRAS-CoV-2, mais qui peuvent également avoir d’autres causes. Par conséquent, des études de population soigneusement contrôlées incluant un groupe témoin de personnes non infectées sont importantes. C'est le seul moyen d'éliminer l'influence d'autres facteurs. Selon les connaissances scientifiques actuelles, cela inclut principalement le stress psychologique et les maladies antérieures. Un nombre croissant d'études contrôlées de bonne qualité ont confirmé le lien entre des symptômes de santé persistants (par exemple un épuisement sévère, des problèmes de mémoire et de concentration et des difficultés respiratoires) et les restrictions qui en résultent dans la vie quotidienne ; voir également la FAQ Long COVID du RKI (« À quelle fréquence le Long COVID est-il ?" "Existe-t-il des facteurs connus qui influencent le risque de Long COVID ?", sous le lien : https://www.rki.de/SharedDocs/FAQ/NCOV2019/FAQ_Liste_Gesundheitliche_Langzeitthemen.html?nn=13490888#FAQId16065738 ).

    Les réponses du RKI étant plus que insuffisantes, j'ai adressé mes questions au BMG (ministère fédéral de la Santé), même si je soupçonnais déjà que mes questions n'y trouveraient pas non plus de réponses satisfaisantes. Enfin, des données officielles et complètes révéleraient les effets secondaires désormais connus de la vaccination contre le Covid19 et mettraient le BMG, le RKI et le PEI dans une détresse encore plus grande - voir les « dossiers RKI » publiés par Multipolar.

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  30. La réponse du BMG du 25 janvier 2024 :
    En principe, les estimations du nombre de personnes touchées par la COVID-19 longue/post peuvent être établies sur la base d’hypothèses de prévalence concernant la COVID-19 longue/post-COVID et le nombre de personnes infectées par le SRAS-CoV-2. Les études utilisent parfois des définitions de cas différentes, de sorte que les estimations varient.
    Des calculs basés sur les données de l’étude « Corona Monitoring Nationwide – Wave 2 » pour les adultes en âge de travailler sont disponibles pour début 2022. En tenant compte de la prévalence dite de fond (fréquence de ces symptômes chez les personnes non infectées de 18 à 65 ans en tant que groupe témoin), une fréquence de 8,7 pour cent des symptômes attribuables au COVID-19 chez les adultes en Allemagne a été estimée au moment de l'étude. a été effectuée. Sur la base de ces données, environ 390 000 adultes âgés de 18 à 65 ans touchés par au moins un symptôme persistant après le COVID-19 ont été calculés.
    Les résultats exacts d'une étude sur le nombre de personnes actuellement touchées par le COVID long/post en Allemagne ne seront pas disponibles dans un avenir prévisible, également en raison du risque variable de maladie, par exemple en raison de nouvelles variantes virales ou de réinfections.

    Il existe des différences dans le risque de développer un Long COVID selon l’âge et le sexe. Les adultes plus jeunes semblent être plus souvent touchés par le Long COVID que les enfants et les adolescents ainsi que les personnes âgées. En outre, de nombreuses études ont régulièrement observé que les filles et les femmes sont plus souvent touchées par le Long COVID que les garçons et les hommes.

    Après avoir évalué les données disponibles en Allemagne et à l'échelle internationale sur les cas suspects signalés après une vaccination contre le COVID-19, un lien de causalité entre les symptômes de type Long COVID et une vaccination contre le COVID-19 n'a pas encore été confirmé. Dans un premier temps, l'Île-du-Prince-Édouard continuera de surveiller intensivement les rapports correspondants de cas suspects dans le cadre du processus d'approbation.

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  31. Aucune déclaration ne peut encore être faite sur le statut vaccinal des personnes touchées par le long/post-COVID en Allemagne. Les résultats d’études antérieures fournissent la preuve d’un effet protecteur de la vaccination contre le COVID-19 contre l’apparition d’un COVID long/post. En raison de la comparabilité limitée des études, cet effet protecteur ne peut actuellement pas être quantifié avec certitude. Le BMG finance actuellement l’étude « VELoCO - Effectiveness of the COVID-19 vaccination against Long COVID : Epidemiology, Mechanics and Evidence Synthesis », qui étudie l’efficacité des vaccins COVID-19 contre le Long COVID. En outre, dans le cadre de l’étude visant à estimer en permanence l’efficacité de la vaccination contre la COVID-19 contre la COVID longue, une revue systématique sera préparée sur la base d’études scientifiques, qui seront constamment mises à jour et intégreront de nouvelles découvertes pertinentes dès qu’elles seront disponibles.

    Depuis que j'ai envoyé les études déjà publiées au RKI et au BMG comme lien, les deux autorités n'abordent pas le fait, qui a déjà été prouvé à plusieurs reprises, que le Long Covid n'apparaît que dans très peu de cas et qu'il s'agit principalement d'effets secondaires. Dommages causés aux vaccins par la thérapie génique expérimentale à ARNm.

    Ce n’est que récemment que les autorités australiennes ont confirmé à nouveau : « Le Long Covid n’existe pas », a rapporté ici TKP .

    https://tkp.at/2024/04/02/erneuter-datenskandal-bei-bmg-und-rki-keine-daten-zu-long-covid-patienten/

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  32. Ce dont Pfizer est coupable est déjà bien pire que tout ce que le gangster Al Capone a fait avant d'être inculpé d'évasion fiscale en 1931. Et nous savons qu'Hollywood a réalisé de nombreuses productions à partir des crimes de Capone – feront-ils la même chose à Pfizer ?

    Les dernières nouvelles concernant Pfizer et ses poisons pharmaceutiques mortels sont disponibles sur BadMedicine.news.

    Les sources de cet article incluent :

    RechercheGlobale.ca
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2024-04-01-pfizer-criminal-record-pharmaceutical-fraudulent-snake-oil.html

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  33. Une dose du vaccin Pfizer contre la COVID-19 contient plus de 200 milliards de fragments d’ADN qui peuvent s’incorporer à l’ADN humain et provoquer le cancer.


    01/04/2024
    Lance D Johnson


    Plusieurs études en laboratoire confirment désormais que le vaccin à ARNm COVID-19 de Pfizer est fortement contaminé par de l’ADN plasmidique. La dernière analyse révèle qu’une dose du vaccin Pfizer contient généralement plus de 200 milliards de fragments d’ADN. Ces fragments d’ADN peuvent s’incorporer à l’ADN de l’individu vacciné et interférer avec l’expression des oncogènes et des gènes de suppression des tumeurs. Cette contamination de l’ADN a des implications cancéreuses pour des millions de personnes qui ont été manipulées pour participer à cette expérience de guerre biologique.

    Le Dr Phillip Buckhaults, un expert en génomique du cancer, a récemment parlé de ses découvertes devant le comité ad hoc des affaires médicales du Sénat de Caroline du Sud du ministère de la Santé et du Contrôle environnemental (« DHEC »).

    Buckhaults est titulaire d'un doctorat en biochimie et biologie moléculaire ; il étudie comment les gènes provoquent le cancer. Lui et son équipe se spécialisent dans la détection de morceaux d’ADN étrangers dans des endroits où ils peuvent s’incorporer ou interférer avec une expression génétique saine.

    "Le vaccin Pfizer est contaminé par de l'ADN plasmidique. Ce n'est pas seulement de l'ARNm, il contient des morceaux d'ADN." » a déclaré le professeur Buckhaults devant le comité sénatorial de Caroline du Sud. Un de ses collègues a récupéré des flacons de vaccins Pfizer covid-19 dans le programme de vaccination qu'il dirigeait à Columbia, en Caroline du Sud. Le professeur Buckhaults a séquencé tout l'ADN de ces flacons. Il a été surpris de voir de l'ADN. Il a déclaré : "Vous pouvez en quelque sorte déterminer ce que c'est et comment cela est arrivé là et je suis plutôt alarmé par les conséquences possibles de cela, à la fois en termes de santé humaine et de biologie."

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  34. "Cet ADN peut s'intégrer et s'intégrera probablement dans l'ADN génomique des cellules transfectées avec le mélange vaccinal", a-t-il prévenu. Il dit que l’ADN pourrait être la raison pour laquelle les gens ont des événements cardiaques et des crises auto-immunes après la vaccination.

    "Nous faisons cela tout le temps en laboratoire ; nous prenons des morceaux d'ADN, nous les mélangeons avec un complexe lipidique, comme celui du vaccin Pfizer, nous le versons sur les cellules et une grande partie pénètre dans les cellules. Et un une grande partie pénètre dans l’ADN de ces cellules et devient un élément permanent de la cellule. »

    Selon Buckhaults, les risques à long terme liés à l’intégration de l’ADN incluent le cancer. "C'est aussi un risque théorique très réel de cancer futur chez certaines personnes. Selon l'endroit où dans le génome ce morceau d'ADN étranger atterrit, il peut interrompre un suppresseur de tumeur ou activer un oncogène."

    Les modifications de l’ADN peuvent également être transmises aux générations futures. Parce que l’ADN dure des centaines de milliers d’années, « des altérations de l’ADN peuvent persister », selon Buckhaults.

    Les scientifiques de Pfizer étaient au courant de la contamination de l'ADN et ont tenté de la découper et de la cacher.
    Le professeur Buckhaults a déclaré que la plupart de l’ADN des vaccins Pfizer contenait environ 100 paires de bases. Certains mesuraient entre 500 et 5 000 paires de bases. La taille ne fait aucune différence car n’importe lequel de ces fragments peut s’incorporer au génome humain. "Le risque génomique dépend simplement du nombre de particules présentes", a-t-il déclaré. "Tous ces petits morceaux d'ADN contenus dans le vaccin [donnent] plusieurs milliers de possibilités de modifier une cellule d'une personne vaccinée."

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  35. Buckhaults a déclaré que les morceaux sont très petits car ils ont été hachés pendant le processus de fabrication. "Les morceaux sont très petits parce qu'au cours du processus, ils les ont découpés pour essayer de les faire disparaître – mais ils ont en fait augmenté le risque de modification du génome au cours du processus", a-t-il déclaré.

    Lorsque l’équipe de Buckhault a reconstitué tous les fragments d’ADN, elle a pu en déterminer la source. L'ADN haché provient d'un plasmide appelé Agilent, fabriqué par Agilent Technologies, Inc., une société californienne des sciences de la vie.

    Selon l’équipe de Buckhault, Pfizer a utilisé ce plasmide pour y cloner des protéines de pointe. Le plasmide reçoit ensuite une ARN polymérase afin de pouvoir répliquer l’ARNm. Au cours du processus, cet ARNm est ensuite encapsulé dans des nanoparticules lipidiques, qui sont injectées dans les cellules pour une délivrance efficace de l'ARNm et de la contamination de l'ADN.

    Buckhaults a déclaré que les morceaux sont très petits car ils ont été hachés pendant le processus de fabrication. "Les morceaux sont très petits parce qu'au cours du processus, ils les ont découpés pour essayer de les faire disparaître – mais ils ont en fait augmenté le risque de modification du génome au cours du processus", a-t-il déclaré.

    Lorsque l’équipe de Buckhault a reconstitué tous les fragments d’ADN, elle a pu en déterminer la source. L'ADN haché provient d'un plasmide appelé Agilent, fabriqué par Agilent Technologies, Inc., une société californienne des sciences de la vie.

    Selon l’équipe de Buckhault, Pfizer a utilisé ce plasmide pour y cloner des protéines de pointe. Le plasmide reçoit ensuite une ARN polymérase afin de pouvoir répliquer l’ARNm. Au cours du processus, cet ARNm est ensuite encapsulé dans des nanoparticules lipidiques, qui sont injectées dans les cellules pour une délivrance efficace de l'ARNm et de la contamination de l'ADN.

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  36. Buckhaults a déclaré : « Ils [Pfizer-BioNTech] n'ont pas réussi à extraire l'ADN avant de faire cela. » Bien qu'« ils ont fait des efforts pour le découper… tous ces petits morceaux de plasma ont été emballés avec l'ARN. » Buckhaults a déclaré qu'il était « clair comme le jour ce qui s'est passé rien qu'en examinant le séquençage de l'ADN ».

    Buckhaults a déclaré que les personnes vaccinées peuvent être testées pour voir si l’ADN plasmidique étranger s’est finalement intégré dans leur génome. Même si la plupart des effets indésirables des vaccins sont difficiles à prouver, cette intégration laisse une empreinte qui peut être détectée plus tard. Les conséquences de cette contamination de l’ADN sont dévastatrices pour l’humanité et les générations futures.

    Sources include:

    NaturalNews.com
    Expose-News.com
    SCStatehouse.php
    Agilent.com

    https://www.naturalnews.com/2024-04-01-pfizers-covid-vaccine-contains-over-200-billion-dna-fragments-that-can-cause-cancer.html

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  37. Les hommes ayant reçu l’injection d’ARNm COVID de Moderna courent un risque accru de développer de l’urticaire chronique, selon une étude


    01/04/2024
    Ethan Huff


    Des chercheurs danois ont découvert que les personnes, et en particulier les jeunes hommes, qui prennent le « vaccin » à ARNm (modRNA) contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) de Moderna présentent un risque accru de développer de l'urticaire chronique.
    L’Agence danoise des médicaments a examiné des données provenant du Danemark et d’ailleurs dans l’Union européenne (UE) pour découvrir que l’urticaire chronique, également connue sous le nom d’urticaire chronique, est un effet secondaire courant des injections de Moderna.

    Sur les 360 cas signalés en Europe suite à une injection de Moderna ou de Pfizer-BioNTech, 58 d'entre eux ont été considérés comme ayant probablement été causés par les injections, tandis que les 228 autres ont été jugés comme ayant probablement été causés par les injections.

    La grande majorité des cas d'urticaire chronique ont été signalés aux systèmes gouvernementaux par des patients, des médecins ou des sociétés pharmaceutiques, selon l'étude.

    (Connexe : Avez-vous découvert l'étude cachée publiée récemment dans Nature montrant que les injections d'ARNm ont des « conséquences fatales ? »)

    Urticaire chronique – pourquoi prendre le risque ?
    Il est intéressant de noter que l’étude danoise a révélé que le risque d’urticaire chronique pourrait être plus élevé avec l’injection Pfizer qu’avec l’injection Moderna, bien que les deux soient liées à la maladie.

    Sur la base des taux de base d'urticaire chronique, les chercheurs ont déterminé que 175 personnes ayant reçu le vaccin Pfizer développeraient la maladie, tandis que 18 personnes ayant reçu le vaccin Moderna développeraient la maladie.

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  38. "Alors que les 105 cas signalés après la vaccination Pfizer étaient inférieurs au nombre attendu, les 55 cas signalés après la vaccination Moderna étaient bien supérieurs au nombre attendu", des rapports indiquent pourquoi les chercheurs se sont davantage concentrés sur le vaccin Moderna dans leur conclusion.

    La connaissance humaine est attaquée ! Les gouvernements et les grandes entreprises recourent à la censure pour anéantir la base de connaissances de l’humanité sur la nutrition, les herbes, l’autonomie, l’immunité naturelle, la production alimentaire, la préparation et bien plus encore. Nous préservons les connaissances humaines grâce à la technologie de l’IA tout en construisant l’infrastructure de la liberté humaine. Découvrez notre projet AI / LLM gratuit et non commercial ici. Soutenez nos efforts pour construire l’infrastructure de la liberté humaine en achetant sur HealthRangerStore.com, proposant des aliments et des solutions nutritionnelles testés en laboratoire et certifiés biologiques, sans OGM.

    "Le risque de développer de l'urticaire chronique a été calculé comme étant trois fois plus élevé pour les receveurs de Moderna que pour la population générale. Les chercheurs ont également stratifié le risque par sexe et par âge et ont découvert que le risque était le plus élevé - 5,2 fois supérieur au taux de base - parmi " La plupart des cas d'urticaire chronique sont survenus entre 7 et 13 jours après la vaccination. "

    Dans un document décrivant leurs conclusions, les autorités sanitaires danoises ont souligné que ce qu'elles ont découvert valide un signal de sécurité ou un signe qu'un vaccin ou un ensemble de vaccins provoque un problème de santé spécifique, en l'occurrence l'urticaire chronique.

    Bien que d'autres études soient nécessaires pour valider ces résultats, les scientifiques impliqués se disent presque sûrs que les injections sont responsables de cette augmentation de l'urticaire chronique et que le mode d'action est lié à la manière dont les injections endommagent le système immunitaire.

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  39. Les premiers signaux de sécurité liant les injections de COVID-19 à l'urticaire chronique ont été signalés en Norvège fin 2021. À l'époque, les autorités danoises avaient décidé que les cas présentés n'étaient pas suffisamment forts pour établir un signal de sécurité, mais cela a depuis changé avec les résultats de l'enquête. cette dernière étude.

    Les autorités danoises ont validé le signal de sécurité en examinant les dossiers médicaux associés au système d'indemnisation pour les blessures causées par les vaccins.

    Sur la base de ces résultats, le comité des médicaments à usage humain de l'Agence européenne des médicaments recommande qu'un nouvel étiquetage soit apposé sur les injections COVID de Moderna, avertissant que l'urticaire chronique est un effet secondaire possible.

    "L'urticaire non chronique est déjà répertoriée comme un effet secondaire possible", expliquent les rapports. "Si la Commission de l'Union européenne approuve le changement, l'étiquetage sera mis à jour pour inclure l'urticaire chronique."

    Des études antérieures ont également lié les injections de COVID-19 à l’urticaire chronique. Aux États-Unis, une étude a révélé que les receveurs ayant pris Moderna développaient des problèmes de peau graves et chroniques similaires à ceux découverts en Europe.

    Des chercheurs suisses ont également découvert en 2023 que l’urticaire chronique était un effet secondaire potentiel de la prise de Moderna ou de Pfizer.

    Les dernières nouvelles sur les dommages à la santé causés par les injections de COVID-19 peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com.

    Les sources incluent :

    TheEpochTimes.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2024-04-01-men-injected-moderna-covid-vaccine-develop-hives.html

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  40. Les personnes vaccinées présentent de longs symptômes de type COVID avec des protéines de pointe détectables : étude pré-imprimée


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 02 AVR 2024 - 09:30
    Rédigé par Marina Zhang via The Epoch Times


    La protéine Spike pourrait rester dans les cellules immunitaires pendant plus de 245 jours après la vaccination, selon une prépublication récente. L’étude a évalué 50 patients qui ont développé de longs symptômes de type COVID après le vaccin contre le COVID-19 ; aucun n’avait été infecté par le virus.

    Les auteurs ont extrait les cellules immunitaires de 14 patients post-vaccinés et ont découvert que 13 d’entre eux présentaient une protéine de pointe dans leurs cellules immunitaires. Les personnes vaccinées asymptomatiques ne présentaient aucun pic.

    Des chercheurs d’InCellDx, une société de recherche qui produit des panels et des protocoles permettant de tester et de traiter le syndrome long COVID et post-vaccin, sont les auteurs de l’article.

    Leur étude précédente publiée en 2022 a montré que les patients non vaccinés atteints d’un long COVID pourraient voir la protéine de pointe persister dans leurs cellules immunitaires pendant 15 mois.

    Dans les deux articles, les protéines Spike ont été détectées dans les monocytes, des cellules immunitaires qui circulent dans le corps.

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  41. Ces résultats indiquent que la persistance de ces protéines de pointe était probablement à l’origine des symptômes du long COVID et du syndrome post-vaccin, a déclaré à Epoch Times le fondateur d’InCellDx et auteur principal de l’étude, le Dr Bruce Patterson.

    « Ces cellules se lient aux vaisseaux sanguins. Ils provoquent une endothéliite (inflammation de l’endothélium) et une inflammation vasculaire, qui, je pense, ont maintenant été corroborées par beaucoup comme étant probablement l’un des mécanismes pathogènes les plus importants du long COVID », a déclaré le Dr Patterson.

    Réservoirs de protéines Spike

    "Les monocytes sont des cellules charognardes du système immunitaire", a déclaré le Dr Patterson. Les monocytes fonctionnent de la même manière que le personnage du jeu vidéo Pac-Man : ils parcourent le corps et engloutissent les protéines qu'ils rencontrent sur leur chemin.

    Lors d’un long COVID, les monocytes engloutissent les protéines de pointe, les débris viraux du virus. Dans le syndrome post-vaccin, les monocytes engloutissent les protéines de pointe, que le corps fabrique à partir du vaccin COVID-19.

    Ces protéines de pointe sont ensuite stockées à l’intérieur des monocytes, ce qui fait que les cellules vivent plus longtemps qu’elles ne le devraient. La longévité prolongée peut provoquer une inflammation, entraînant divers symptômes durables.

    Dans l’étude, le Dr Patterson et son équipe ont observé que les patients post-vaccinés présentaient des taux de monocytes significativement plus élevés que ceux ne présentant aucun symptôme post-vaccin. Les patients symptomatiques post-vaccinés présentaient également une nette élévation des biomarqueurs inflammatoires, contrairement aux patients asymptomatiques.

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  42. Le Dr Patterson estime qu’au moment de l’étude, la réplication virale ou la production de protéines de pointe à partir des vaccinations ne se produisaient plus. Au lieu de cela, les protéines de pointe ont persisté pendant des mois parce qu’elles étaient stockées.

    Il a estimé qu’une fois que les monocytes ont englouti les protéines de pointe, la pointe a détourné le programme de mort cellulaire des cellules, désactivant la mort cellulaire « pour qu’elles deviennent des cellules à longue durée de vie ».

    Un phénomène similaire se produit avec les virus du VIH et de l’hépatite C.

    Les cellules monocytes peuvent provoquer une inflammation. En particulier, les monocytes non classiques, qui traversent les vaisseaux sanguins, peuvent entraîner une inflammation et des lésions du système vasculaire sanguin.

    Plusieurs études ont identifié un système vasculaire enflammé et endommagé comme caractéristique centrale des symptômes d’une longue COVID. Ces patients présentent un niveau élevé de produits chimiques inflammatoires, qui peuvent favoriser la fatigue, la coagulation sanguine, la dérégulation du système immunitaire et nerveux, etc.

    Long COVID contre « Long Vax »
    La récente prépublication montre également combien de temps le COVID et le syndrome post-vaccin peuvent être différenciés.

    Bien que la même chose – la persistance des protéines de pointe – soit probablement à l’origine des deux affections, celles-ci ont des profils chimiques légèrement différents, notamment en ce qui concerne le niveau d’interleukine-8, ou IL-8.

    L'IL-8 est un type de cytokine qui aide à attirer les cellules immunitaires vers les zones d'inflammation, a expliqué le Dr Patterson.

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  43. Il a déclaré que les médicaments qui bloquent ces différentes cytokines devraient résoudre les symptômes. Par exemple, son équipe a découvert que le facteur de nécrose tumorale alpha (TNF-alpha) est une cytokine qui, lorsqu’elle est élevée, induit de la fatigue. Par conséquent, réduire cette cytokine peut aider à diminuer la fatigue.

    D’autres cytokines partagées entre le long COVID et la maladie surnommée « long vax » comprennent sCD40L et CCR5, qui conduisent à l’inflammation vasculaire. Une autre cytokine, l'IL-6, signale une inflammation systémique.

    Le Dr Patterson a expliqué que les profils chimiques distincts des deux affections peuvent être dus à leurs mécanismes d’administration différents : l’infection virale provoque un long COVID, tandis que l’inoculation provoque le syndrome post-vaccin.

    Protocole de traitement
    Le Dr Patterson utilise le même protocole pour traiter la COVID longue et le syndrome post-vaccin. Les deux traitements consistent à réduire l’inflammation dans les vaisseaux sanguins et dans tout le corps.

    Son protocole comprend l'utilisation du maraviroc, un médicament contre le VIH, et de l'atorvastatine, un type de statine, pour cibler l'inflammation du système vasculaire.

    Le maraviroc bloque le CCR5, un type de cytokine inflammatoire responsable de l'inflammation des vaisseaux sanguins, tandis que les statines peuvent se lier aux récepteurs à l'intérieur des vaisseaux sanguins, les empêchant de se lier aux monocytes inflammatoires.

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  44. De nombreux médecins ont constaté des succès avec l’ivermectine, la N-acétylcystéine (NAC) et la nattokinase, qui sont tous des médicaments et des nutraceutiques qui aident à décomposer les protéines de pointe extérieures. Cependant, le Dr Patterson a rapporté le contraire dans sa pratique. Il a expliqué que les médicaments ne peuvent pas cibler la protéine de pointe stockée à l’intérieur des cellules.

    En février, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a approuvé l’essai clinique du Dr Patterson visant à tester une association de maraviroc et de statines pour traiter le long COVID.

    Long Vax masqué comme Long COVID
    Les résultats de l’étude impliquent que certaines personnes diagnostiquées avec un long COVID pourraient en réalité souffrir de symptômes post-vaccination.

    « Des preuves qu'ils attribuent les dommages causés par le vaccin au « long covid » ? », a écrit le Dr Lynn Flynn, experte en virologie et en maladies infectieuses, sur X, citant la prépublication.

    Le Dr Patterson a déclaré que les symptômes signalés chez ces patients post-vaccinés « étaient presque identiques aux symptômes du COVID long », les symptômes prédominants étant la fatigue, la neuropathie, le brouillard cérébral et les maux de tête. Les patients atteints de COVID long dans une autre cohorte ont également signalé ces symptômes.

    « [Le long vax] a une très faible prévalence, mais comme des milliards de [people] sont vaccinés, il y a un grand nombre d’individus qui ont un long vax », a-t-il ajouté.

    Outre le syndrome post-vaccin, le Dr Patterson a déclaré que les patients présentant une exacerbation de la maladie de Lyme et de l'encéphalomyélite myalgique (syndrome de fatigue chronique) ont également été étiquetés comme patients atteints d'une longue COVID en raison d'un diagnostic basé sur les symptômes.

    https://www.zerohedge.com/medical/vaccinated-people-show-long-covid-symptoms-detectable-spike-proteins-preprint-study

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  45. Des scientifiques découvrent le mécanisme utilisé par les virus pour provoquer le cancer


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 02 AVR 2024 - 03:00
    Rédigé par Emma Suttie via Epoch Times


    On pense que les infections virales sont une cause centrale de 10 à 20 % des cancers dans le monde, représentant une part importante du fardeau mondial du cancer.

    Une découverte récente pourrait approfondir notre compréhension de la manière dont les virus provoquent le cancer.

    Des chercheurs de la Cleveland Clinic ont découvert l’un des mécanismes utilisés par un type de virus appelé herpèsvirus associé au sarcome de Kaposi (KSHV) pour induire le cancer.

    L'étude, publiée le mois dernier dans Nature Communications, a révélé que le virus KSHV activait une voie spécifique responsable du métabolisme cellulaire et de la façon dont les cellules grandissent et se multiplient. En utilisant les médicaments contre le cancer du sein actuellement approuvés par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, ils ont pu réduire la réplication du virus, arrêter la progression du lymphome et réduire les tumeurs existantes dans des modèles précliniques.

    Jun Zhao, du Cleveland Clinic Florida Research and Innovation Center, titulaire d'un doctorat en biologie génétique, moléculaire et cellulaire, est l'auteur principal de l'étude.

    « Nos découvertes ont des implications significatives : les virus sont responsables de 10 à 20 % des cancers dans le monde, un nombre qui augmente constamment à mesure que de nouvelles découvertes sont faites. Traiter les cancers induits par le virus avec des thérapies anticancéreuses standard peut aider à réduire les tumeurs déjà présentes, mais cela ne résout pas le problème sous-jacent du virus », a expliqué M. Zhao dans un communiqué de presse. « Comprendre comment les agents pathogènes transforment une cellule saine en cellule cancéreuse révèle des vulnérabilités exploitables et nous permet de fabriquer et de réutiliser des médicaments existants capables de traiter efficacement les tumeurs malignes associées aux virus. »

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  46. Herpèsvirus associé au sarcome de Kaposi

    L'herpèsvirus associé au sarcome de Kaposi, également connu sous le nom d'herpèsvirus humain 8 (HHV8), est « un type de virus qui provoque le sarcome de Kaposi (un cancer rare dans lequel des lésions se développent dans la peau, les ganglions lymphatiques, la muqueuse de la bouche, du nez et de la gorge). , et d'autres tissus du corps). L'herpèsvirus associé au sarcome de Kaposi provoque également certains types de lymphomes (cancer qui commence dans les cellules du système immunitaire) », selon le National Cancer Institute.

    Selon le communiqué de presse, l'herpèsvirus associé au sarcome de Kaposi est similaire aux autres herpèsvirus dans le sens où il est souvent asymptomatique et reste dans le corps en dormance après une primo-infection. Cependant, lorsque le système immunitaire devient affaibli ou compromis, comme c’est le cas chez de nombreuses personnes âgées, greffées ou atteintes du VIH ou du SIDA (syndrome d’immunodéficience acquise), le virus peut se réactiver. Dans ces groupes immunodéprimés à haut risque, le virus réactivé « peut déclencher des cancers agressifs ».

    Les cellules cancéreuses se répliquent rapidement et reprogramment le métabolisme du corps pour les aider à croître et à se propager. La plupart des virus ne produisent pas leur propre énergie ni les molécules dont ils ont besoin et détournent donc les cellules du corps pour faire le travail à leur place. Cependant, les chercheurs ont découvert que le virus KSHV prend le contrôle de deux protéines de l'hôte (CDK6 et CAD), ce qui entraîne une réplication plus rapide du virus et une multiplication et une propagation incontrôlée des cellules.

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  47. Le communiqué de presse indique également que les cancers induits par le KSHV sont « à action rapide, agressifs et difficiles à traiter », et qu'environ 10 pour cent des personnes en Amérique du Nord et en Europe du Nord, et 50 pour cent des personnes en Afrique sont atteintes du KSHV, bien que le On pense que les chiffres sont beaucoup plus élevés car le virus peut se présenter sans symptômes et n’est souvent pas diagnostiqué.

    Un article de l’Université de Pittsburgh sur le KSHV écrit : « Il est très probable que plus de 95 % des personnes en bonne santé et infectées par le KSHV ne présentent aucun symptôme et n’en présenteront jamais », et que des problèmes se développent une fois que le système immunitaire d’une personne est compromis.

    Virus et cancer

    Outre le KSHV, plusieurs autres virus sont connus pour provoquer des cancers chez l’homme. Selon l'American Cancer Society, les virus suivants peuvent provoquer le cancer chez l'homme :

    Papillomavirus humains

    Virus d'Epstein-Barr
    Virus de l'hépatite B et virus de l'hépatite C
    Virus de l'immunodéficience humaine
    Virus T-lymphotrope humain-1
    Polyomavirus à cellules de Merkel

    L’American Society of Microbiology déclare que « les virus peuvent conduire au cancer en s’associant aux protéines de l’hôte, en proliférant lorsque le système immunitaire humain est affaibli et en détournant les cellules humaines en prolifération. Comparés à d’autres virus, les virus des tumeurs humaines sont inhabituels car ils infectent leurs cellules hôtes, mais ne les tuent pas. Ce processus permet aux virus des tumeurs humaines de déclencher des infections continues.

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  48. L'équipe de recherche a découvert que la combinaison du Palbociclib, un médicament approuvé par la FDA pour traiter le cancer du sein et qui agit en bloquant la CDK6, et d'un composé qui bloque la coronaropathie (les deux protéines hôtes détournées par le virus) entraînait une réduction substantielle de taille de la tumeur et amélioration des taux de survie au cancer dans les modèles précliniques. Selon le communiqué de presse, « la plupart des tumeurs ont pratiquement disparu après environ un mois de traitement, et les tumeurs restantes ont diminué d'environ 80 %. La survie a augmenté jusqu’à 100 % pour certaines lignées cellulaires de lymphome.

    Impact futur

    Les résultats pourraient conduire à de nouvelles options pour le traitement des cancers associés au KSHV, notamment le sarcome de Kaposi, le lymphome à épanchement primitif et la maladie de Castleman multicentrique associée au HHV8. Ils pourraient également potentiellement s’étendre au-delà des cancers associés au KSHV à d’autres virus provoquant le cancer en utilisant des mécanismes identiques ou similaires.

    Quant à ce que ces découvertes signifient pour l’avenir, M. Zhao déclare : « Le métabolisme cellulaire pourrait être détourné à la fois par des virus et des cancers à des fins de pathogenèse. En étudiant ces mécanismes de recâblage métabolique, nous visons à trouver le talon d’Achille des virus cancérigènes et des cancers non viraux. Je suis impatient de voir ce que l’avenir de ce travail nous réserve.

    https://www.zerohedge.com/medical/scientists-uncover-mechanism-viruses-use-cause-cancer

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  49. "Ils vont sûrement essayer de lancer la ruse de la "maladie X"" avant les élections de 2024


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 01 AVR 2024 - 22H20
    Rédigé par James Howard Kunstler via Kunstler.com,


    Ce n'est pas un poisson d'avril
    "Je suis désolé pour ce message dur, mais il faut que quelqu'un dise la vérité", dit le virologue Geert Vanden Bossche.

    Avez-vous eu une fabuleuse Journée de visibilité transgenre, sans aucune discussion vague sur Jésus-Christ et ses difficultés dans le Levant romain il y a environ 2000 ans ?

    Le Lapin de Pâques a renoncé à twerker sur la pelouse de la Maison Blanche cette fois-ci, mais le Parti du Chaos a quand même obtenu le vote de 0,000429 pour cent de la population qui s'identifie comme étant opposé à l'erreur d'écriture commise lors de son attribution sexuelle à la naissance.

    Dans l’ensemble, c’est peut-être la dernière frivolité grotesque à laquelle la classe politique se livre avant longtemps, et je vais vous expliquer pourquoi.

    J'ai eu l'honneur d'interviewer vendredi le virologue belge Geert Vanden Bossche pour mon podcast, et il a eu un message qui donne à réfléchir.

    « Ce que je prédis, a-t-il déclaré, c’est un tsunami massif, massif » de maladies et de décès parmi des populations hautement vaccinées et dont le système immunitaire est dérégulé.

    "Vous commettez des erreurs ou même des crimes à très petite échelle, vous pouvez les cacher", a-t-il déclaré (environ 47 minutes après le début de la discussion d'une heure).

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  50. La première est que le gouvernement et ses responsables de la santé publique pourraient essayer d’attribuer la responsabilité de cette situation à l’histoire de la « maladie X » qu’ils colportent depuis environ un an, à la « prochaine pandémie », quelque chose d’entièrement nouveau.

    Ce ne sera pas vrai. Ils vont essayer de se couvrir le cul. Ce prochain épisode sera plutôt le résultat des erreurs épiques qu’ils ont déjà commises, à partir de 2020, avec l’émergence du Covid-19. Le variant qui provoque la crise hyperaiguë à venir sera très différent de la souche originale « Wuhan », mais il en sera un descendant direct, ayant muté dans le corps des vaccinés. Après tout, c’est le Dr Vanden Bossche qui a déclaré au début du mélodrame Covid en 2021 que vacciner contre une maladie pandémique en cours était absolument une mauvaise stratégie d’un point de vue immunologique et qu’il produirait certainement un issue douloureuse.

    Que pouvez-vous faire, le cas échéant, pour vous y préparer ? Le Dr Vanden Bossche est également très clair :

    « Ce que je peux conseiller. . . à toutes ces personnes vaccinées : il faut qu’elles évitent la réinfection. C’est la réinfection des personnes vaccinées qui est responsable de cette situation. . . . Eh bien, la seule chose qu’ils peuvent faire – c’est très simple – c’est bien sûr prendre des antiviraux. La seule différence est que vous ne pourrez pas attendre d’avoir des symptômes pour prendre des antiviraux. . . .

    Dès que les gens voient que dans un autre pays ou dans un autre État des États-Unis, lorsque cela commence par une augmentation très rapide des hospitalisations, ils doivent prendre des antiviraux à titre prophylactique, sans attendre d'avoir des symptômes. . Je suis en Belgique. Si cela commence aux États-Unis, en Israël ou au Royaume-Uni, je vous parie que d’ici quelques jours, vous verrez le même scénario dans de nombreux pays hautement vaccinés.

    Par « antiviraux », le Dr Vanden Bossche entend spécifiquement l’ivermectine, le médicament lauréat du prix Nobel que la FDA et le CDC ont brutalement diabolisé afin de détourner l’attention du public de l’existence d’un traitement sûr et efficace contre le Covid. Reconnaître cela aurait annulé l’autorisation d’utilisation d’urgence de Pfizer et Moderna, qui leur permettait de gagner des dizaines de milliards de dollars sur un produit pharmaceutique très mal testé tout en bénéficiant d’une protection globale contre les poursuites judiciaires.

    "J'avais prédit il y a déjà six mois que les autorités de santé publique allaient enfin avoir des mandats pour l'ivermectine." » a déclaré le Dr Vanden Bossche.

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  51. « Les résultats avec l'ivermectine sont fabuleux. C'est très sûr. C’est le seul antiviral rentable, largement disponible et pouvant être complété en quantités suffisantes. . . . Il n’y a tout simplement pas d’alternative.

    Notez que la semaine dernière, à la suite d'un procès intenté devant le tribunal fédéral du district sud du Texas, la FDA a finalement accepté de supprimer les messages sur les réseaux sociaux qu'elle avait publiés pour bloquer illégalement l'utilisation de l'ivermectine. Souvenez-vous du tweet moqueur : « Vous n’êtes pas un cheval, vous n’êtes pas une vache, allez vous tous. » La vérité était que la FDA n’avait aucune autorité pour dire aux médecins comment pratiquer la médecine ; ni pour bloquer les médicaments approuvés par la FDA (y compris l'ivermectine), même pour les traitements hors AMM. Le traitement hors AMM avec des médicaments approuvés est courant en médecine. Au lieu de l’ivermectine, les responsables de la santé publique américaine ont encouragé l’utilisation de remdesivir dangereux avec intubation, entraînant ainsi des milliers de décès évitables. Ce n’est qu’un des crimes dont ils devront répondre.

    Si le scénario du Dr Vanden Bossche se réalise, la « crise hyperaiguë du Covid » coïncidera avec les élections de 2024, et pas seulement aux États-Unis.

    On s’attendrait naturellement à une hystérie despotique extrême de la part du gouvernement de « Joe Biden ».

    Ils tenteront sûrement de mettre en œuvre leur ruse « Maladie X ». Mais ils ont déjà perdu la confiance des peuples contre lesquels ils ont fait la guerre dans leur propre pays. Dans ce cas, attendez-vous à une résistance parmi les personnes non malades. Aucun autre voyage ne nous sera imposé.

    * * *

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    https://www.zerohedge.com/covid-19/they-will-surely-try-run-disease-x-ruse-ahead-2024-elections

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  52. Premier cas de transmission oiseau-vache-humain de grippe aviaire signalé au Texas


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 01 AVR 2024 - 20H20


    La grippe aviaire, également connue sous le nom de grippe aviaire hautement pathogène, ou IAHP, est de retour, et cette fois, elle infecte pour la première fois les troupeaux laitiers de plusieurs États. Il existe également un rapport selon lequel un employé d'une laiterie du Texas a été testé positif au virus.

    Vendredi, le service d'inspection de la santé animale et végétale du ministère américain de l'Agriculture (USDA) a signalé que des vaches au Texas, au Kansas et au Michigan avaient été infectées par la grippe aviaire. Certains éléments indiquent que le virus se propage à d’autres troupeaux au Nouveau-Mexique et en Idaho.

    "Ces résultats marquent la première fois que l'IAHP est détectée chez des bovins laitiers, et la deuxième fois que le virus est détecté chez un ruminant. Le 20 mars, le Conseil de la santé animale du Minnesota a annoncé que le virus avait été détecté dans des échantillons provenant de juvéniles. chèvres dans une ferme du Minnesota où des volailles avaient récemment contracté le virus", a écrit l'American Veterinary Medical Association (AVMA) dans un communiqué de presse la semaine dernière.

    La présidente de l'AVMA, Rena Carlson, a déclaré que l'IAHP a été détectée pour la première fois chez les chèvres "et maintenant chez les bovins laitiers, ce qui souligne l'importance du respect des mesures de biosécurité et de la vigilance dans la surveillance des maladies".

    Et maintenant ça.

    Les données de Bloomberg montrent que le nombre de mentions de la « grippe aviaire » dans les médias d'entreprise vient d'atteindre son plus haut niveau en un an.

    - voir cadre sur site -

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  53. "Le virus H5N1 a maintenant été signalé chez des vaches dans plusieurs États américains. Je ne serais pas surpris qu'il y ait également des infections chez les vaches en Europe. Peut-être que les gens devraient commencer à chercher", Florian Krammer, professeur au département de microbiologie de l'Université Icahn School of Medicine du Mont Sinaï, a écrit sur la plateforme de médias sociaux X.

    Selon l'USDA, les vaches infectées par la grippe aviaire se sont rétablies « après l'isolement, avec peu ou pas de mortalité associée signalée ».

    Alors que les bovins infectés ont entraîné une baisse de la production de lait, les agences fédérales ont veillé à ce que les pertes de lait « soient trop limitées pour avoir un impact majeur sur l'approvisionnement ».

    Juste à temps pour la période électorale.

    https://www.zerohedge.com/commodities/bird-flu-spreads-americas-dairy-cattle-first-time

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