Fuites dans le mainstream : Le changement climatique par des armes météorologiques
Fuites dans le mainstream : Le changement climatique par des armes météorologiques
02.04.2024 www.kla.tv/28646
Des vagues de chaleur, les sécheresses, les incendies interminables, les tremblements de terre, les tornades, les tsunamis et bien d'autres catastrophes météorologiques tourmentent de plus en plus l'humanité.
Sommes-nous confrontés à un « changement climatique d'origine humaine » ? Alors que les médias ne se lassent pas de faire porter la responsabilité au simple citoyen, il y a de plus en plus d'indices d'une manipulation ciblée de la météo qui filtrent. Il est question de technologies de modification du temps contrôlées par l'homme qu'il est urgent de faire connaître au public.
Dans ce qui suit, Kla.TV reprend des indications provenant des médias dominants qui démontrent que la recherche et l'utilisation d'armes climatiques sont réelles et ont une longue histoire.
1) Le 14 mars 2019, la ministre suisse de l'environnement Simonetta Sommaruga a déclaré dans une interview en marge de la 4e Assemblée des Nations unies sur l'environnement : « Oui, la Suisse a essayé de mettre sur la table le thème de la géo-ingénierie, c'est-à-dire l’épandage de particules dans l'atmosphère, de rassembler les informations et d'examiner les bénéfices les risques ... Ce sont des essais que l'on fait sans même en connaître les conséquences. Mais nous continuerons à nous battre pour cela. Nous devons parfois nous y reprendre à deux fois. Et cela continuera de toute façon. Le sujet est trop important et, le cas échéant, trop problématique pour que nous puissions simplement faire l’autruche. » ( https://youtu.be/5-yaUvqzIq4?si=H5MFIOz86coTX_Nr )
2) Le 14 janvier 2009 déjà, le météorologue diplômé Gunther Tiersch a fait quelques remarques troublantes lors de l'annonce du bulletin météo sur la chaîne allemande ZDF. Il a décrit le temps sur la carte affichée comme suit : « Et puis nous avons ici quelque chose que nous ne pouvons identifier ni comme de la neige ni de la pluie, ici à l'ouest, ces lignes sinueuses, c'est probablement ce que quelques avions, des avions militaires, ont libéré l'après-midi au-dessus de la mer du Nord, à une altitude d’environ 5-6 000 mètres. Rien à voir avec la météo... » Peu de temps après, suite aux nombreuses questions des téléspectateurs sur ce bulletin météo, la ZDF a interviewé le spécialiste Karsten Brandt du service météorologique. Voici sa réponse originale, fortement abrégée.
Présentateur : « Un phénomène que Karsten Brandt du service météorologique 'Donnerwetter' connaît bien. Les météorologues ont remarqué ces étranges nuages fantômes pour la première fois en 2005. Les navires de guerre se camouflent également avec de tels nuages artificiels.
Ces paillettes ont été développés dès la Seconde Guerre mondiale. Si à l'époque, ils étaient constitués de fragments d'aluminium, ce sont aujourd'hui des fibres de verre vaporisées à l'aluminium d'une longueur de 15 à 25 millimètres et d'un diamètre d'environ 100 micromètres. Si les filaments sont deux fois plus petits que la longueur d'onde du radar, des faux échos se produisent.
Concernant les énormes nuages fantômes provenant de la côte hollandaise, des tonnes de cette substance sont régulièrement répandues sur la République fédérale. » Le météorologue Karsten Brandt : « Nous mettons en place des zones environnementales et autres, mais apparemment, ces zones environnementales ne sont pas respectées à 4 à 5 000 m d'altitude au-dessus de la mer du Nord, ni au-dessus de l'Allemagne. Peu importe ce qui y est épandu. Je trouve cela incroyable ! » ...
Présentateur : « Même si ces nuages ne provenaient pas de l'armée allemande, que personne ne se sente responsable de ces substances régulièrement déversées au-dessus de l'Allemagne, ce qui est interdit en fait, les météorologues estiment que c’est tout simplement absurde. » Conclusion de la présentatrice : « Absurde est un bel euphémisme, car ici, la population est dupée ! »
3) Le physicien et présentateur de télévision allemand Joachim Bublath a fait des déclarations très détaillées sur le thème des manipulations météorologiques par les militaires dans un documentaire pour la ZDF. Il y évoque les manipulations météorologiques effectuées par les militaires au moyen d'installations d'antennes géantes et la création de nuages artificiels. Ici également, un extrait du texte original. Joachim Bublath : « On soupçonne que les puissants émetteurs et les grandes installations d'antennes HAARP sont également utilisés pour ces essais militaires.
Gakona/Alaska : « Loin de toute civilisation, les militaires américains exploitent une installation destinée à manipuler l'ionosphère. Ce projet mystérieux se nomme HAARP. Une immense forêt d'antennes peut émettre des ondes radio dans l'ionosphère... Avec ces ondes radio, ils essaient de modifier l'ionosphère. Les ondes radio pompent de l'énergie dans cette couche de particules chargées électriquement. L'ionosphère se charge, se dilate à ces endroits et présente des perturbations. Un moyen de créer des difficultés à l'adversaire militaire... » Plus loin, Bublath fait état d'une installation similaire près de Troms, en Norvège. Vient ensuite un extrait de la BBC qui évoque la création de nuages artificiels par la NASA.
Bref bilan intermédiaire : Il y a plus de dix ans, la chaîne de télévision allemande ZDF a fait un reportage sur les opérations du secteur militaire visant à influencer la météo à des fins militaires par l'épandage de particules et l'installation d'antennes géantes. Vous entendez maintenant une autre voix qui parle de manière très détaillée de la nature et des objectifs des manipulations météorologiques.
4. La chaîne de télévision espagnole « La 8 Zamora TV » a interviewé Josefina Fraile de l’« Asociacion Terra SOS-Tenible » le 19 octobre 2017 ; l’interview est intitulée : « Géoingénierie - Pacte de discrétion ». Vous pouvez écouter ici quelques extraits à ce sujet. Au début, il est question d'une interdiction des armes dites climatiques. Josefina Fraile se réfère à la convention ENMOD (« Convention sur l'interdiction de l'utilisation des technologies de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles »). Il s'agit d'un traité international qui a été adopté par les Nations Unies (ONU) en 1976 sous la forme de la résolution 31/72. Sont expressément mentionnées les interventions qui provoquent : - des tremblements de terre ou des modifications de la croûte terrestre - des tsunamis - des phénomènes météorologiques comme des cyclones, des tornades, la formation de nuages, des précipitations, des pluies - la perturbation de l'équilibre écologique d'une région - une influence sur les courants marins, etc.
Josefina Fraile : « Un accord a été conclu pour que l'arme climatique ne soit pas utilisée lors de conflits armés. Mais en réalité, elle est toujours utilisée. »
Que peut-on faire et que fait-on avec cette arme ? Avec cette arme, on peut créer de la pluie, des tempêtes, des nuages, des éclairs, des orages à n'importe quel endroit du monde. Ou bien le contraire : on peut dissoudre des fronts de pluie, arrêter la grêle et des chutes de neige et aussi, bien sûr, créer de la sécheresse. »
Ces exemples qui ont fuité dans les médias de masse ne représentent qu'une petite partie des preuves de l'existence et de l'utilisation des technologies de modification du temps. L'ancien président américain Lyndon B. Johnson a souligné leur énorme influence dès 1962 lors d'une conférence en déclarant : « Celui qui contrôle la météo contrôle le monde. » Un document officiel de l'US Air Force datant de 1996 s'intitule « La météo comme amplificateur de forces », avec le sous-titre « maîtriser la météo en 2025 ».
Si les médias dominants font l'impasse sur ce sujet et rejettent la faute et le fardeau du changement climatique sur le simple citoyen, cela dépend plus que jamais de nous tous. Vous aussi, aidez-nous à mettre en lumière les véritables responsables du « changement climatique d'origine humaine ». Le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, explique comment cela peut se faire de manière très pratique dans son discours récent : « Des updates pour Greta ! - Les vrais tueurs du climat » 10 février 2024 | www.kla.tv/28157
de ol. Sources / Liens : Hörer machen Programm: https://www.mdr.de/nachrichten/deutschland/panorama/geo-engineering-klimawandel-flugzeuge-100.html
Schweizer Umweltministerin: https://youtu.be/9rDmEY3tF3U
Schweizer Radio (SRF 4 vom 20.2.2015): https://www.srf.ch/play/radio/popupaudioplayer?id=70c16bcd-e3a8-4ac1-9255-7c2db5a38780
(Deutsch, ab 8:16 Min.) https://www.youtube.com/watch?v=zbwE4icBlF0
ENMOD-Konvention (Verbot von „Klimawaffen“): https://www.radio-utopie.de/2011/03/11/kennen-sie-eigentlich-die-enmod-konvention-gegen-wetterwaffen-aus-dem-jahre-1976/
Militär beherrscht das Wetter bis 2025 (englische Quelle): https://archive.org/details/WeatherAsAForceMultiplie
Informationsplattform zu Geo-Engineering (englische Quelle): https://www.geoengineeringwatch.org/
Une nouvelle enquête confirme que les vaccins sont, de loin, la première cause de maladies chroniques en Amérique
Personne ne devrait être vacciné. Jamais. Surtout pas pendant la grossesse. Et les vaccins sont également la première cause des problèmes d’orientation sexuelle. Les chiffres sont cohérents avec d’autres études publiées.
STEVE KIRSCH 03 avril 2024
Comprendre et surmonter l'hésitation à la vaccination - Décisions de planification préalable des soins (ACP) C'est le meilleur choix pour tout le monde. C’est le moyen le plus simple, le plus simple, le moins coûteux et le plus efficace d’améliorer la santé de chacun. Résumé exécutif J'ai récemment demandé à mes lecteurs de me parler de leurs problèmes de santé chroniques.
La conclusion la plus importante est la suivante
Dans les 58 pathologies pour lesquelles nous avons demandé si nous disposions de données suffisantes pour calculer un rapport de cotes, le vaccin a toujours aggravé la pathologie.
En d’autres termes, la communauté médicale a fait marche arrière pendant des décennies. Si l’on combine cela avec la prise de conscience que les vaccins offrent un bénéfice trop faible pour être mesuré comme décrit ici pour les vaccins très acclamés contre la COVID et la grippe, il est clair que nous devrions arrêter la plupart, sinon la totalité, des vaccins.
En fait, pour les vaccins COVID, nous disposons de données FOIA montrant que les vaccins aggravent les choses et plus d’une douzaine de tentatives visant à demander des commentaires au bureau de santé publique du comté de Santa Clara ont été ignorées.
C’est fondamentalement la raison pour laquelle le NIH ne fera jamais d’étude comparant les personnes hautement vaccinées à celles qui ne le sont absolument pas : cela ferait exploser le récit et détruirait leur crédibilité.
Parmi les autres résultats importants de l’enquête figurent :
Il est 3,3 fois plus probable que vous souffriez d’une ou plusieurs maladies chroniques (OR 3,45 [IC à 95 % : 3,02-3,96]). La valeur p unilatérale était de 1,6e-78, ce que l’on ne voit pas très souvent. Cela signifie essentiellement que cela n’a pas été causé par le hasard.
Il est 7 fois plus probable que vous souffriez de 5 maladies chroniques ou plus nécessitant un traitement (médicaments ou thérapies) (OR 7,03 [IC à 95 % : 4,24-12,32]).
La probabilité d'avoir une anomalie congénitale est 4 fois plus élevée si la mère a été vaccinée pendant la grossesse (OR 4,31 [IC à 95 % : 2,39-7,51]). C’est un effet énorme. Près de 80 % des malformations congénitales sont causées par la vaccination de la mère pendant la grossesse (la valeur réelle est de 76,8 %).
Probabilité 14,5 fois plus élevée de problèmes d'orientation sexuelle/dysphorie de genre chez les personnes de moins de 60 ans (RC 14,49 [IC à 95 % : 2,33 - 598,86]). C’est un résultat étonnant qui n’est pas discuté. Fondamentalement, 93 % des cas de problèmes d’orientation sexuelle sont causés par les vaccins.
La bonne nouvelle est que nous pouvons réduire les maladies chroniques en Amérique de 70 % avec un simple changement : dire aux gens d’arrêter de prendre les vaccins qui les rendent malades. C'est ça. Aucun nouveau médicament n’est nécessaire. Un seul changement de politique communiqué par le CDC. Cela pourrait littéralement arriver demain. Cela ne coûte rien.
Et il faut une transparence totale des données sur tous ces vaccins afin que les gens puissent voir à quel point ils ont été trompés.
Les données d’efficacité de tous les vaccins sont faciles à recueillir, mais nous ne sommes pas autorisés à accéder aux données pour réaliser les études. Cet article montre à quel point il est facile de dénoncer la fraude. Cette recherche peut être reproduite pour chaque maladie si le gouvernement rendait les données disponibles.
Données démographiques de l'enquête Plus de 13 000 réponses, âge moyen=55
Répartition des deux groupes de comparaison que j'ai utilisés dans l'analyse :
44 affections présentaient un rapport de cotes (OR) >=2, ce qui signifie que les vaccins sont la principale cause de cette affection.
14 affections avaient un OR de 1,3 à 2,0, ce qui signifie que les vaccins sont une cause importante de cette affection (23 % des cas ou plus sont attribuables à la vaccination)
Les 5 conditions restantes ne disposaient pas de données suffisantes pour calculer un rapport de cotes (valeur p > 0,05).
Liste des symptômes et tableau des rapports de cotes Voici la liste des symptômes ainsi que les rapports de cotes et les valeurs p. Les valeurs >1 signifient que les vaccins ont rendu les gens en moins bonne santé. Des valeurs p > 0,05 signifient que le résultat n’est pas statistiquement significatif.
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Les lignes 61 et inférieures ont une valeur p > 0,05 et ne sont PAS statistiquement significatives (car l'effet est trop faible ou le nombre d'échantillons est trop petit ou les deux). Travaux antérieurs J'ai fait une enquête similaire auprès de 10 000 enfants de mes lecteurs. Vous pouvez comparer les tailles d’effet dans cette enquête par rapport à cette enquête.
Mais au fond, les résultats ont été les mêmes qu’ici : les vaccins ont aggravé la situation.
Téléchargement des données
Contrairement aux articles publiés dans la littérature évaluée par des pairs, mes données et mes analyses sont accessibles au public pour inspection. Il s’agit d’un concept nouveau qui est mal vu par la communauté médicale, c’est pourquoi elle le fait rarement.
Article annonçant l'enquête le 29 mars à 18h52 PST.
Analyse de feuille de calcul Excel avec calcul OR, valeurs p et intervalles de confiance à 95 % (remarque : lorsque vous cliquez sur ce lien, la feuille de calcul sera téléchargée silencieusement dans votre dossier Téléchargements).
Nettoyage des données
J'ai masqué le champ d'âge de 18 entrées où le champ d'âge > 102 ou plus. Il s'agissait probablement d'une erreur de saisie de l'utilisateur.
Certains termes ont été modifiés au cours de l'enquête pour rendre les choses plus claires.
De nouveaux symptômes ont été ajoutés au cours de l’enquête, mais cela n’affecte pas les calculs de probabilités ; les taux d’incidence bruts ne seraient pas précis pour ces cas. Les taux d’incidence bruts n’ont pas été utilisés dans l’analyse.
À propos de l'enquête J'ai collecté plus de 10 000 réponses en moins de 24 heures après le lancement.
L'âge moyen de tous les répondants était de 55 ans et de 49 ans pour les personnes entièrement vaccinées, de sorte que ces adultes se déclarant complètement vaccinés sont sous-vaccinés par rapport aux enfants d'aujourd'hui.
Cela signifie que nos enfants seront plus touchés négativement que les adultes (pour la plupart) interrogés dans notre enquête.
Ces rapports de cotes doivent donc être prudents.
L'enquête était-elle exacte ? Mes résultats étaient cohérents avec les chiffres publiés dans la littérature évaluée par des pairs. Il y a un onglet sur la feuille de calcul pour que vous puissiez vérifier par vous-même. Vous pouvez donc m’énerver tant que vous voulez, mais vous devez expliquer pourquoi les chiffres étaient si cohérents si mon enquête n’était pas « scientifique » ou était biaisée.
Toutes les enquêtes comportent des biais. La question que vous devez vous poser est de savoir si le biais était suffisamment important pour faire une différence significative dans les résultats.
La meilleure façon d’évaluer les biais est de reproduire cette enquête auprès de ses abonnés. Mais j’ai du mal à trouver quelqu’un prêt à faire ça. Ils ne semblent pas intéressés à valider ou non mes résultats. Peut-être qu’ils ne veulent pas m’embarrasser ? Non. Ils ne veulent pas valider que j’ai bien compris. C’est la vraie raison.
Les personnes qui ont répondu à mon enquête n’ont pas menti ; il n’y avait aucune incitation à le faire. Si vous pensez que mes personnes entièrement vaccinées ne sont pas représentatives (en arguant qu'elles sont devenues mes adeptes après avoir été blessées par le vaccin), alors vous pouvez comparer le taux d'incidence de ces maladies chez les personnes non vaccinées dans mon enquête par rapport à la population générale en utilisant d'autres sources. Il s’agit exactement de la même technique utilisée dans les études du Control Group. Lorsque vous faites cela, vous constatez que les disparités entre les taux d’incidence des personnes non vaccinées et de la population générale sont beaucoup plus importantes que dans mon enquête. Regardez les « graphiques de données de l’enquête pilote ». Voici l’un des graphiques :
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Mes résultats sont similaires à ceux trouvés dans l’enquête The Control Group. Pour éliminer les biais d’enquête chez les personnes entièrement vaccinées, ils ont simplement comparé les taux d’incidence aux taux d’incidence publiquement connus puisque presque toutes les personnes sont vaccinées. Les valeurs OR trouvées dans mon étude étaient systématiquement INFÉRIEURES à celles de l’étude TCG.
En d’autres termes, mes conclusions sont conservatrices. Si l’enquête était impartiale, les résultats seraient encore pires pour les vaccins.
Mais personne ne veut contester mes propos en réalisant sa propre enquête. Cela n’arrivera jamais. Les non-scientifiques préfèrent les arguments brandis de la main qui ignorent les données qui ne correspondent pas à leur système de croyance. Les vrais scientifiques se concentrent sur la collecte de données et tenteraient de reproduire l’enquête auprès de différents publics.
Chaque étude comparant entièrement vaccinés et non vaccinés montre que les non vaccinés sont en meilleure santé. Ainsi, même si mon enquête est « biaisée », elle est clairement directionnellement correcte. La société a du mal à accepter la vérité. C’est le problème fondamental.
Regarde cette video:
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Jeux Dans les 13 000 premières entrées, je n’ai trouvé aucune entrée délibérément « jouée ».
Maintenant que l’enquête est publiée, il y a fort à parier que certaines personnes prendront sur elles de jouer avec les réponses. Alors garde cela en tête.
Contrôles positifs et négatifs L'enquête comprenait des contrôles positifs et négatifs.
Le contrôle positif consistait à demander à quelqu’un s’il avait une blessure due au vaccin COVID. Ce OU « aurait dû » être infini parce que les personnes non vaccinées ne peuvent pas subir de blessures causées par le vaccin COVID ! Mais ce n’était pas à cause de l’excrétion du vaccin. Et il y avait probablement quelques personnes qui ont interprété « totalement non vacciné » comme « totalement non vacciné AVANT le déploiement des vaccins COVID. C’est pourquoi le bloc opératoire n’était « que » de 26.
Les contrôles négatifs étaient la maladie de Lyme, le syndrome de Down (désolé pour la faute de frappe dans l'enquête), les malformations congénitales et la BPCO. et le glaucome.
Je pensais aussi que les questions d’orientation sexuelle constitueraient un contrôle négatif, mais j’avais tort. Il s’agit finalement de l’un des signaux les plus forts (4e), comparable au tabagisme et au cancer du poumon.
Les malformations congénitales ne constituaient pas un contrôle négatif, car les personnes totalement non vaccinées avaient des parents qui ne croyaient pas à la vaccination. Ces parents n’ont pas vacciné la maman pendant la grossesse. C’est pourquoi le bloc opératoire était si élevé. La vaccination n’a pas provoqué d’anomalies congénitales, mais elle était corrélée au fait que la mère n’était pas vaccinée pendant la grossesse.
J'ai accidentellement mentionné la maladie de Lyme deux fois dans l'enquête initiale avant de découvrir l'erreur. Les résultats étaient cohérents. Cela s'est avéré être un contrôle supplémentaire intéressant montrant que les enquêtes n'étaient pas remplies au hasard. J'ai supprimé le doublon lorsque je l'ai découvert (après 10 000 réponses).
Répliquer les résultats La réplication est la clé. Une bonne science est avant tout une question de réplication.
Si les résultats de l’enquête sont reproduits auprès d’un ensemble différent de répondants, les conclusions seront difficiles à ignorer.
Il m'a fallu environ une heure pour coder l'enquête, moins de 24 heures pour attendre les résultats et 2 heures pour analyser les résultats.
Ce serait bien de répéter cette enquête auprès des abonnés d'une personne plus neutre, mais je n'ai trouvé personne prêt à prendre le risque de réputation en faisant la promotion de mon enquête auprès de ses abonnés.
Mais voici le problème…
Si les vaccins sont sûrs, pourquoi ne nous montrent-ils pas les données « correctes » ?
Ou donnez-nous simplement accès à la base de données VSD et nous ferons tout le travail !
Ils ne le feront pas, car cela détruirait la crédibilité de la Maison Blanche, de la communauté médicale, des agences gouvernementales, des autorités sanitaires et des grands médias.
C’est la véritable raison pour laquelle le NIH ne réalisera jamais d’étude comparant les résultats de santé entre les personnes entièrement vaccinées et celles totalement non vaccinées et pourquoi aucun média grand public n’abordera cette question (à l’exception des « vérificateurs de faits »).
C’est la même raison pour laquelle un projet de loi de la Chambre obligeant le NIH à réaliser une telle étude a été rejeté en commission : (voir HR 3069) : parce que cela serait préjudiciable au peuple américain s’il apprenait la vérité sur les vaccins.
Mini-tutoriel sur la fraction attribuable La formule de la fraction attribuable (AF) est (OR-1)/OR.
Par exemple, un OR=2 aurait un AF=50 %.
Ce que cela signifie dans notre cas, c’est que si vous avez un OR de 2 ou plus, cela signifie que la moitié des cas sont causés par les vaccins.
Ainsi, pour les affections où OR>2, cela signifie que les vaccins sont la PLUS GRANDE cause de l’affection et si vous éliminez le vaccin, le taux de l’affection devrait diminuer d’un facteur 2 ou plus. Plus le OU est grand, plus la baisse est importante.
Les vaccins sont la première cause de maladies chroniques Les personnes hautement vaccinées sont 3,3 fois plus susceptibles de souffrir d’une ou plusieurs maladies chroniques (OR 3,45 [IC à 95 % : 3,02-3,96]).
J'ai posé des questions sur 63 conditions différentes. Les vaccins n’ont réduit le risque d’aucune maladie chronique. Pas un seul.
44 symptômes avaient un OR de 2 ou plus. 58 avaient un OR de 1,2 ou plus. Les 5 autres n’étaient pas statistiquement significatifs.
Les personnes hautement vaccinées sont plus de 7 fois plus susceptibles de souffrir d’au moins 5 maladies chroniques nécessitant des médicaments ou d’autres thérapies pour être traitées (RC 7,03 [IC à 95 % : 4,24-12,32]).
Cet effet est très connu parmi mes abonnés, comme le démontre ce sondage :
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Toujours pas convaincu ? Regardez cette excellente courte vidéo qui parle des preuves scientifiques selon lesquelles les vaccins sont à l’origine du problème de santé, au lieu de le réduire :
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Et lisez cet excellent article de A Midwestern Doctor : Qu’est-ce qui rend tous les vaccins si dangereux ?
Aucune mère ne devrait se faire vacciner pendant la grossesse. Cela ne crée que de mauvaises nouvelles, notamment une augmentation de près de 5 fois du risque de malformations congénitales, entre autres, OR 4,31 [IC 95 % : 2,39-7,51].
Il est honteux que le CDC encourage les mères à se faire vacciner contre la COVID pendant qu’elles sont enceintes.
Cet effet est connu depuis des années. Joy Garner de The Control Group me l'a fait remarquer, c'était donc agréable de confirmer que le même effet s'est reproduit dans mon enquête.
Il existe une foule d’autres conditions qui sont augmentées par la vaccination pendant la grossesse. En voici quelques-uns et leurs rapports de cotes :
Voici une capture d’écran du message indisponible qui a été référencé et qui soulignait les problèmes rencontrés dans l’essai Pfizer étudiant ce problème :
Voir également:
Les conseils de grossesse du CDC sont terribles
Pfizer publie les résultats PARTIELS de son essai « Vaccin COVID pendant la grossesse ». Vraiment époustouflant. Ce n'était PAS sûr.
Et ce commentaire :
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Non, ce n'est pas une coïncidence. Bien sûr, cela était dû aux vaccins. Mais les médecins sont convaincus que cela n’a aucun rapport. Laisse-moi tranquille. Ce n’est ni normal ni aléatoire. Si vous êtes bloqué dans vos recherches, cela signifie que quelqu’un a une raison de vous cacher la vérité.
Problèmes d'orientation sexuelle
L'orientation sexuelle concerne les personnes par lesquelles vous êtes attiré et par qui vous vous sentez attiré sur le plan romantique, émotionnel et sexuel. C'est différent de l'identité de genre.
L'identité de genre ne dépend pas de qui vous attire, mais de qui vous ÊTES – un homme, une femme, un homosexuel, etc.
La dysphorie de genre est une détresse cliniquement significative causée lorsque le sexe de naissance attribué à une personne n'est pas le même que celui auquel elle s'identifie.
Il y avait une probabilité étonnante 14,5 fois plus élevée de problèmes d'orientation sexuelle/dysphorie de genre chez les personnes de moins de 60 ans (RC 14,49 [IC à 95 % : 2,33 - 598,86]). Fondamentalement, 93 % des cas de problèmes d’orientation sexuelle chez les moins de 60 ans sont causés par les vaccins.
Ceci est comparable à l’association entre le tabagisme et le cancer du poumon ; En général, le rapport de cotes entre le tabagisme et le cancer du poumon se situe entre 15 et 30. Il existe peu d’effets dans le monde qui soient plus puissants que cela.
Pour être causal, vous devez satisfaire aux critères de Bradford-Hill. L'élément clé à montrer est la plausibilité biologique, qui vous aide à déterminer la causalité par rapport à la corrélation.
C'est tellement évident. Si les vaccins entraînaient de meilleurs résultats en matière de santé, le CDC publierait une douzaine d’études sur son site Web. Ils n’en ont pas.
Le NIH n’a jamais financé une telle étude et ne le fera jamais.
Ils ont tenté de faire adopter un projet de loi (HR 3069) au Congrès pour forcer le NIH à réaliser une telle étude, mais le projet de loi a été rejeté en commission. Pourquoi? Parce que le Congrès travaille pour les sociétés pharmaceutiques, pas pour le peuple.
Cela vous dit tout ce que vous devez savoir.
Voici un autre point de données à ce sujet… presque tout le monde souhaite mettre fin à la protection en matière de responsabilité des fabricants de vaccins :
Mais peu de membres du Congrès en parlent. Ce n’est pas un gouvernement du peuple. C'est un gouvernement de sociétés pharmaceutiques.
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Résumé
L’enquête a révélé que le moyen le plus simple, le moins cher, le plus sûr et le plus efficace d’améliorer considérablement la santé des populations partout dans le monde est d’arrêter de les vacciner.
La façon la plus simple de commencer est de :
Admettez que vous aviez tort.
Arrêtez la coercition dans les écoles, les entreprises et les commissions médicales.
Arrêtez la censure et les tactiques d’intimidation.
Mettre fin à la protection contre la responsabilité des fabricants de vaccins. C'est un permis de tuer.
Arrêtez de cacher les données de santé publique au public. Adoptez la transparence des données, par exemple, ouvrez les bases de données secrètes pour nous permettre de les interroger
Engagez le dialogue dans les forums publics où les deux parties peuvent se rencontrer pour résoudre leurs différends. Les gens qui sont d’accord avec moi le feront à tout moment. Mais pour une raison quelconque, personne de leur côté n’est disposé à nous parler. Nous ne résoudrons jamais nos différends en refusant d’engager un dialogue avec l’autre partie.
Le reste prendra soin de lui-même.
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La vaccination contre la grippe en début de grossesse est liée à un risque de fausse couche presque multiplié par huit
Par le Dr Joseph Mercola Mercola.com 4 avril 2024
Note de l'éditeur : cet article est une réimpression. Il a été initialement publié le 26 septembre 2017.
La plupart des femmes enceintes savent qu’il faut s’abstenir de consommer de l’alcool, du tabac et d’autres toxines évidentes pour protéger l’enfant qui grandit dans leur ventre, mais qu’en est-il des vaccins ? On a demandé aux femmes enceintes de se faire vacciner de plus en plus, même s’il y a un manque choquant d’études pour confirmer la sécurité de la mère et de l’enfant.
Comme l'a noté Barbara Loe Fisher, présidente du Centre national d'information sur les vaccins (NVIC) dans son article de 2013, « Vaccination pendant la grossesse : est-ce sûr ? » :1
« Bien que depuis les années 1970, les responsables de la santé publique recommandent aux femmes enceintes de se faire vacciner contre la grippe au cours du deuxième ou du troisième trimestre2, relativement peu d’obstétriciens ont fait la promotion du vaccin jusqu’à la dernière décennie, lorsque, en 2006, les Centers for Disease Control (CDC) ont renforcé leurs recommandations selon lesquelles tous les femmes enceintes, en bonne santé ou non, devraient se faire vacciner contre la grippe à n’importe quel trimestre.3
[L]es recommandations vaccinales actuelles4,5,6 sont approuvées par le Congrès américain des obstétriciens et gynécologues (ACOG)7,8, l'American Academy of Pediatrics (AAP) et d'autres associations professionnelles médicales.9,10
Avec ces recommandations, la règle séculaire consistant à éviter toute exposition toxique potentielle susceptible d’interférer avec le développement normal du fœtus a été suspendue et remplacée par l’hypothèse selon laquelle la vaccination pendant la grossesse est sans danger.
Les vaccinations pendant la grossesse n’ont aucun fondement scientifique
Fisher continue en énumérant pas moins de 10 faits sur les vaccins concernant le manque de preuves de sécurité chez les femmes enceintes. Pour commencer, les sociétés pharmaceutiques n’ont pas testé l’innocuité et l’efficacité de l’administration du vaccin antigrippal aux femmes enceintes avant que les vaccins ne soient homologués aux États-Unis,11,12 et les données sur les réponses inflammatoires et autres réponses biologiques à la vaccination pendant la grossesse qui pourraient affecter l’issue de la grossesse et de l’accouchement. font toujours défaut.13
En ce qui concerne les preuves scientifiques, on ne sait toujours pas si le vaccin contre la grippe peut nuire au fœtus ou affecter votre capacité de reproduction14. C'est pourquoi la notice du produit du fabricant du vaccin indique que le vaccin contre la grippe ne doit être administré à une femme enceinte que s'il est "clairement nécessaire."
On attend essentiellement des femmes enceintes qu’elles s’en tiennent aux recommandations par pure foi, puisque les recommandations vaccinales ne sont pas fondées sur des preuves scientifiques solides. En fait, les statistiques sanitaires suggèrent qu’il se passe quelque chose de très grave aux États-Unis, étant donné que nous avons l’un des taux de mortalité maternelle et infantile les plus élevés au monde.
Depuis l’année dernière, les taux mondiaux de mortalité maternelle ont diminué de moitié – sauf aux États-Unis, où le nombre de femmes qui meurent de complications liées à la grossesse a considérablement augmenté.15 Les taux de mortalité infantile sont également bien plus élevés aux États-Unis que dans n’importe quel autre pays. des 27 autres pays riches surveillés par le CDC.16
Cela pourrait-il être lié au fait que les bébés et les femmes enceintes américaines reçoivent le plus grand nombre de vaccins ? Bien qu’aucune recherche ne le prouve clairement, il n’existe également aucune preuve permettant de réfuter l’hypothèse selon laquelle une vaccination excessive pourrait être une partie du problème.
Le vaccin contre la grippe peut être associé à un risque accru de fausse couche
En 2009, des rapports faisant état de fausses couches suite à l'administration du vaccin contre la grippe porcine H1N1 ont commencé à apparaître.17 Des dizaines de femmes ont affirmé avoir perdu leur bébé quelques heures ou quelques jours seulement après avoir reçu le vaccin, qui n'avait pas été testé sur des femmes enceintes ou, si c'était le cas, sur le vaccin. les preuves n’ont jamais été publiées. Il n’est pas surprenant que ces cas aient été présentés comme une coïncidence. Après tout, les fausses couches peuvent arriver, et pour diverses raisons.
En 2017, un article18,19 publié dans la revue Vaccine a une fois de plus soulevé la question de savoir s’il était sécuritaire de vacciner les femmes enceintes contre la grippe. Ils ont constaté que les femmes qui avaient reçu un vaccin contre la grippe pH1N1 deux années de suite étaient plus susceptibles de faire une fausse couche dans les 28 jours suivants.
Si la plupart des fausses couches ont eu lieu au cours du premier trimestre, plusieurs ont également eu lieu au cours du deuxième trimestre. La durée médiane du fœtus au moment de la fausse couche était de sept semaines. Au total, 485 femmes enceintes âgées de 18 à 44 ans ayant fait une fausse couche au cours des saisons grippales 2010/2011 et 2011/2012 ont été comparées à 485 femmes enceintes ayant mené jusqu'à terme.
Sur les 485 femmes qui ont fait une fausse couche, 17 avaient été vaccinées deux fois de suite – une fois au cours des 28 jours précédant la vaccination et une fois au cours de l’année précédente. A titre de comparaison, sur les 485 femmes ayant eu une grossesse normale, seules quatre avaient été vaccinées deux années de suite. Bien que l’étude n’ait pas pu établir de lien de causalité direct, les chercheurs appellent à des recherches supplémentaires pour évaluer le lien. Commentant l'étude, financée par le CDC, Amanda Cohn, conseillère du CDC pour les vaccins, a déclaré :
« Je pense qu’il est vraiment important que les femmes comprennent qu’il s’agit d’un lien possible, et c’est un lien possible qui doit être étudié et examiné sur davantage de saisons [de grippe]. Nous devons comprendre s’il s’agit du vaccin contre la grippe, ou s’il s’agit d’un groupe de femmes [qui ont reçu des vaccins contre la grippe] qui étaient également plus susceptibles de faire des fausses couches.
À l’heure actuelle, le CDC n’apporte aucun changement à sa recommandation pour les femmes enceintes, qui stipule qu’elles doivent se faire vacciner contre la grippe quel que soit le trimestre dans lequel elles se trouvent.20 Il s’agit là d’une politique de santé publique répréhensible dans ce qu’elle a de pire. Sacrifiez la santé des femmes et de leurs enfants à naître pour que les entreprises puissent en tirer profit.
Souvenez-vous que l'ancienne directrice du CDC, Julie Gerberding, a quitté le CDC en 2009 pour devenir plus tard présidente de Merck Vaccines, poste qu'elle a occupé jusqu'en décembre 2014, date à laquelle elle est devenue vice-présidente exécutive des communications stratégiques, de la politique publique mondiale et de la santé de la population de Merck.
Le Washington Post tente de minimiser l'impact de son rapport
Il n’est pas surprenant que les responsables de l’industrie du vaccin s’élèvent contre les résultats, et déjà des signes suggèrent que l’industrie fait pression pour étouffer l’information. L’article original publié par le Washington Post, écrit par Lena Sun, était intitulé « Des chercheurs découvrent un lien entre le vaccin contre la grippe et une fausse couche ». Ce titre a été rapidement remplacé par « Ce qu'il faut savoir sur une étude sur le vaccin contre la grippe et les fausses couches ».21
Notamment, cette modification a été effectuée sans divulguer la modification effectuée, ce qui est une pratique courante. Je ne serais pas du tout surpris si l’étude était retirée dans les semaines à venir en raison d’une lacune ou d’un défaut perçu, même s’il est pratiquement impossible de trouver une étude publiée qui ne soit pas insensible à de telles critiques. Comme l’a souligné J.B. Handley, cofondateur de Generation Rescue22 :
« Les grands médias font de leur mieux pour minimiser une étude dévastatrice montrant une forte corrélation (7,7 fois) entre les vaccins contre la grippe et les fausses couches. Une revue de la littérature scientifique montre un ensemble de preuves qui soutiennent les conclusions de la nouvelle étude.
Commentant spécifiquement l’évidente approche du Washington Post sur la pointe des pieds sur la question, il écrit :
« Bien que j'aie vu un certain nombre de façons différentes utilisées par les journalistes pour tenter de minimiser les implications d'études dommageables, le titre de Mme Sun pourrait bien remporter le gâteau : « Les chercheurs trouvent une trace d'un lien entre le vaccin contre la grippe et une fausse couche »… « indice » n'est pas un terme statistique et « indice » ne fournit en aucun cas une évaluation spécifique du risque.
« Indice » ressemble plus à un mot dont vous espérez qu'il empêchera les gens de lire votre article… [L]es conclusions réelles des auteurs de l'étude étaient profondément troublantes… [Un rapport de cotes est « une mesure de l'association entre une exposition et un résultat. Le OU représente la probabilité qu’un résultat se produise compte tenu d’une exposition particulière, par rapport aux chances que le résultat se produise en l’absence de cette exposition.
En clair, un rapport de cotes supérieur à 1 tendrait à impliquer que deux choses sont en fait liées (comme le tabagisme et le cancer du poumon). Quel était le rapport de cotes d'un avortement spontané pour les femmes qui avaient reçu un vaccin contre la grippe H1N1 en 2010 et 2011, puis un vaccin contre la grippe entre 2011 et 2012 ?
L’étude dit 7,7… ce n’est pas un « indice », c’est une alarme géante et inquiétante (c’est pourquoi le contrôle des dégâts est déployé en masse aujourd’hui). Les femmes qui avaient reçu les deux vaccins contre la grippe au cours de saisons successives étaient presque 8 fois plus susceptibles d’avoir un avortement spontané que celles qui ne l’avaient pas fait… »
L'innocuité du vaccin contre la grippe n'a pas été établie chez les femmes enceintes
L’article de Sun mérite une critique plus approfondie, à laquelle Handley répond également, à savoir sa déclaration selon laquelle le conseil du CDC de vacciner les femmes enceintes est « basé sur une multitude d’études antérieures ». Ce n’est tout simplement pas vrai, et vous pouvez le vérifier par vous-même (c’est ce que Sun aurait dû faire).
Bien que vous puissiez certainement prendre le temps de parcourir la littérature médicale, disponible sur PubMed par exemple, tout ce que vous avez à faire pour confirmer ou réfuter cette affirmation particulière est de consulter la notice d'un vaccin contre la grippe, qui vous indiquera que la sécurité et l’efficacité n’a PAS été établie chez la femme enceinte.
Cela signifie qu’aucune étude n’a montré que les femmes enceintes bénéficieraient de la vaccination contre la grippe. Il n’existe pas non plus d’études pour étayer l’affirmation selon laquelle se faire vacciner pendant la grossesse est en fait sans danger.
Si quelque chose n’est pas établi, la question reste largement ouverte au débat. Prétendre autre chose, c’est simplement émettre des opinions. Handley fournit la capture d’écran suivante, montrant les petits caractères d’une notice de 2016 pour le vaccin Fluzone Quadrivalent de Sanofi Pasteur, qui est systématiquement administré aux femmes enceintes.
- voir cadre sur site -
Source : Green Med Info, « Une étude dévastatrice sur les fausses couches liées au vaccin contre la grippe suscite une tournure ridicule », 14 septembre 2017.
La fiche d’information patient23 de la société pour ce vaccin souligne également que « Sanofi Pasteur Inc. recueille des informations sur l’issue de la grossesse et la santé des nouveau-nés après la vaccination avec Fluzone Quadrivalent pendant la grossesse ». En d’autres termes, partout dans le monde, les femmes enceintes participent à une expérience incontrôlée en cours.
Ils ne le savent tout simplement pas, et des articles comme celui de Sun perpétuent la fausse idée selon laquelle « une multitude » d’études ont déjà établi la sécurité et l’efficacité de la vaccination contre la grippe pendant la grossesse.
Les vaccinations successives contre la grippe dépriment la fonction immunitaire
Nous savons en fait que les vaccinations successives contre la grippe ont des conséquences néfastes sur la fonction immunitaire, augmentant le risque d’infections plus graves au fil du temps, y compris la possibilité de fausse couche si vous êtes enceinte.
Par exemple, une étude24 publiée dans Human & Experimental Toxicology en 2012, basée sur les rapports de la base de données du Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) au cours de trois saisons grippales consécutives, à commencer par la saison 2008/2009, a révélé « un taux de grippe corrigé par vérification ». 590 rapports de perte fœtale par million de femmes enceintes vaccinées (soit 1 pour 1 695).
Des chercheurs canadiens ont également découvert que les personnes qui reçoivent des vaccins consécutifs contre la grippe saisonnière commencent à voir leur protection contre la grippe diminuer. Tel que rapporté par CBC News en janvier 2015 :25
« Durant la pandémie de grippe H1N1 de 2009, des chercheurs du B.C. Le Center for Disease Control pensait à l’origine que les vaccins contre la grippe saisonnière de 2008 pourraient offrir une protection supplémentaire contre la nouvelle souche pandémique. Ils ont été perplexes de constater que la vaccination contre la grippe saisonnière doublait presque le risque d’infection par la grippe pandémique.
Le Dr Danuta Skowronski et ses collègues ont mené cinq autres études au cours de l’été qui ont montré le même effet chez l’homme et chez le furet, considéré comme le meilleur modèle animal de grippe.
Il est imprudent de vacciner les femmes enceintes
La médecine a toujours eu pour principe de ne pas vacciner les femmes enceintes, sauf dans des cas extrêmes, car le risque pour le bébé de se développer dans l'utérus est trop élevé. Cependant, cette politique a été ouvertement violée.
Des recherches ont montré que la stimulation du système immunitaire d’une femme au cours d’une grossesse à mi-terme et plus tard augmente considérablement le risque que son bébé développe l’autisme26 pendant l’enfance et/ou la schizophrénie à l’adolescence ou au début de l’âge adulte.27
Cela peut également augmenter le risque de convulsions chez le bébé, et plus tard, à l’âge adulte.28 En fait, un certain nombre de problèmes neurodéveloppementaux et comportementaux peuvent survenir chez les bébés nés de femmes immunologiquement stimulées pendant la grossesse.29,30,31
Malgré de telles preuves, l’ACOG a publié un avis le 13 septembre, le jour même de la publication de l’étude en vedette, affirmant qu’il est parfaitement sûr de recevoir le vaccin contre la grippe pendant la grossesse, peu importe ce que suggère l’étude publiée dans le journal Vaccine. Selon le communiqué de presse de l’ACOG32 :
« La sécurité des vaccins utilisés pendant la grossesse est une préoccupation majeure pour les gynécologues-obstétriciens. L'ACOG suit attentivement les informations sur la sécurité des vaccins liées à la grossesse grâce à sa participation au Comité consultatif national sur les vaccins (NVAC) par l'intermédiaire du ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) et au Comité consultatif sur les pratiques d'immunisation (ACIP) par l'intermédiaire des Centers for Disease Control et Prévention (CDC).
Depuis de nombreuses années, l'ACOG et le CDC recommandent que chaque femme enceinte reçoive un vaccin contre la grippe au cours de n'importe quel trimestre. De multiples études publiées, ainsi que l’expérience clinique, soutiennent toutes la conviction selon laquelle le vaccin contre la grippe est sûr et efficace pendant la grossesse.
Comme vous pouvez le constater, même l'ACOG affirme qu'il existe « plusieurs études publiées » démontrant que la vaccination contre la grippe est sans danger pendant la grossesse, malgré le fait que les fabricants de vaccins nient de telles allégations dans leurs notices d'emballage - et que les fabricants de vaccins sont empêchés, par la loi fédérale, de le faire. de tout à fait couché dans leur notice.
Les règles sont apparemment plus souples pour tout le monde. Dans l’ensemble, il s’agit d’une expérience géante sur des femmes enceintes et des nourrissons – ce que Sanofi Pasteur admet même dans sa fiche d’information destinée aux patients – et elle est motivée par la cupidité de l’industrie pharmaceutique et le pouvoir institutionnel, infectés par le déni.
Pourquoi vacciner les nouveau-nés avec un vaccin injustifiable ?
Si vacciner les femmes enceintes n’est pas assez pénible, administrer aux nouveau-nés, même aux prématurés et aux bébés de faible poids de naissance, une vaccination totalement inutile et risquée dès le premier jour de la vie peut être encore pire. Le 28 août 2017, l'AAP a recommandé que les nouveau-nés pesant au moins 2 000 grammes (4,4 livres) reçoivent leur première dose de vaccin contre l'hépatite B dans les 24 heures suivant la naissance.33
Le Comité consultatif du CDC sur les pratiques d’immunisation a commencé à formuler des recommandations en octobre 2016, et l’AAP emboîte désormais le pas. Je ne peux pas penser à un vaccin plus inutile et injustifiable que celui contre l’hépatite B chez un nourrisson pesant seulement 4 livres. L'hépatite B se transmet par l'abus de drogues IV, une activité sexuelle avec un partenaire infecté, une transfusion sanguine utilisant du sang contaminé ou par une mère hépatite B positive.
Cette recommandation est médicalement injustifiable, absolument irrationnelle et n’a aucun fondement scientifique. La menace singulière de cette maladie pendant la petite enfance est la naissance d'un enfant d'une mère infectée. Puisque c’est le cas, pourquoi ne pas dépister la maladie chez toutes les femmes enceintes et ne donner le vaccin qu’aux nourrissons dont les mères sont réellement testées positives pour l’hépatite B ?
Ce genre de politique rationnelle révisée serait beaucoup moins coûteuse et bien plus sûre pour la majorité des bébés nés aux États-Unis. L'AAP admet que « la dose à la naissance du vaccin contre l'hépatite B constitue un filet de sécurité essentiel pour les nourrissons nés de mères infectées lorsque les résultats de la mère ne sont pas obtenus, sont mal interprétés, sont faussement négatifs, sont transcrits ou rapportés de manière inexacte, ou ne sont pas communiqués au équipe de soins aux nourrissons.
En d’autres termes, parce que les dossiers médicaux sont dans un tel désarroi et qu’il est tout simplement impossible de prédire l’observance future de vaccins douteux, vaccinons simplement tous les bébés au lieu d’essayer de déterminer si la mère pourrait être séropositive au virus B. Ce genre d’attitude n’inspire vraiment pas confiance dans la tenue de dossiers médicaux de base – surtout si la mère subit effectivement un test pendant sa grossesse.
Si les faux négatifs sont vraiment très préoccupants, il suffit de la tester deux fois, par exemple lors de son premier examen obstétrical, puis à nouveau juste avant l'accouchement. Deux faux négatifs sont peu probables, et s’ils ne peuvent pas suivre les résultats des tests obtenus au cours des neuf derniers mois, alors il y a vraiment autre chose à régler.
Sans surprise, le vaccin contre l’hépatite B34 a également été scientifiquement associé à 69 maladies différentes et à leurs conséquences néfastes, y compris la mort. Une étude de 200135, qui a évalué les effets indésirables associés au vaccin contre l’hépatite B chez les enfants de moins de 6 ans, a conclu que « le vaccin contre l’hépatite B est positivement associé à des effets néfastes sur la santé de la population générale des enfants américains ».
Votre corps possède deux systèmes immunitaires différents
En matière de vaccination, il est important de réaliser que deux parties du système immunitaire combattent les maladies dans votre corps. L’un est le système immunitaire inné qui est toujours prêt à travailler et l’autre est le système immunitaire adaptatif.
Le bras adaptatif se compose de Th1 et Th2. Th1 est communément appelé bras à médiation cellulaire, et Th2 est connu sous le nom de bras humoral ou anticorps. La plupart des vaccins stimulent préférentiellement la partie Th2 ou humorale du système immunitaire qui produit les anticorps.
L’avantage de mesurer uniquement l’immunité humorale (anticorps) comme moyen de mesurer l’efficacité du vaccin est qu’elle peut être facilement déterminée par prélèvement d’échantillons de sang. Si des anticorps spécifiques induits par le vaccin sont présents, la personne est présumée immunisée contre cette infection et protégée.
L’intérêt des vaccins est de stimuler la production d’anticorps sans qu’une réaction à médiation cellulaire ne la précède. La théorie remonte aux premiers jours où l’on croyait que le bras humoral (anticorps) du système immunitaire était l’élément le plus important de la stimulation de l’immunité.
Cependant, la recherche révèle que les individus qui, en raison d’une anomalie génétique, sont incapables de produire des anticorps, se rétablissent en réalité d’une maladie infectieuse tout aussi bien que ceux qui sont capables de produire des anticorps normaux.36 Ils bénéficient également généralement d’une protection future en cas de réexposition.
Cela démontre l’importance du volet Th1 de l’immunité et suggère que l’immunité humorale ne pourrait jouer qu’un rôle secondaire dans la résistance naturelle contre des maladies ciblées « évitables par la vaccination ».
Ceci, ajouté au fait que les vaccins ne parviennent pas à conférer une immunité à vie, suggère qu’une réponse à médiation cellulaire est nécessaire. De plus, les recherches suggèrent que lorsque les Th2 sont excessivement stimulées par la vaccination, votre fonction immunitaire peut être compromise à long terme, vous rendant ainsi plus vulnérable au cancer.
Les maladies auto-immunes impliquent une production excessive d’anticorps tandis que le cancer implique une défaillance immunitaire à médiation cellulaire. C’est pourquoi les thérapies qui stimulent le système immunitaire à médiation cellulaire ou inné, comme les toxines de Coley, peuvent être utiles contre le cancer. Cela suggère que notre politique vaccinale moderne, qui constitue une attaque à grande échelle contre le système immunitaire à médiation cellulaire, est un facteur contribuant à bon nombre des maladies chroniques que nous observons.
Il existe également des dizaines d'études démontrant que contracter certaines maladies infantiles vous protège réellement contre divers types de cancer plus tard dans la vie, du mélanome à la leucémie. Il existe même des preuves suggérant que les maladies infantiles aident à protéger contre de futures maladies cardiaques.
Ces études et des centaines d’autres peuvent être trouvées dans le livre de Neil Z. Miller, « Miller’s Review of Critical Vaccine Studies : 400 Important Scientific Papers Summarized for Parents and Researchers ». Si vous hésitez en matière de vaccination, c’est un livre à ne pas manquer.
Sources and References
1 NVIC.org November 9, 2013 2 Osterholm MT, Kelley NS, Manske JM et al. The Compelling Need for Game-Changing Influenza Vaccines. CIDRAP October 2012 3 CDC. Prevention and Control of Influenza. Recommendations of the ACIP. MMWR July 28, 2006 / 55(RR10);1-42 4 CDC. Prevention and Control of Seasonal Influenza with Vaccines: Recommendations of the ACIP — U.S., 2013–2014. MMWR Sept. 20, 2013; 62(RR07);1-43 5 CDC. Influenza Vaccination Coverage Among Pregnant Women – United States, 2012-2013 Influenza Season. MMWR Sept. 27, 2013; 2(38): 787-792 6 CDC. Updated Recommendations for Use of Tetanus Toxoid, Reduced Diphtheria Toxoid, and Acellular Pertussis […]. MMWR Feb. 22, 2013 / 62(07);131-135 7 ACOG, The Flu Vaccine and Pregnancy 8 Obstet Gynecol. 2018 Apr;131(4):e109-e114 9 Department of Health and Human Services (DHHS). Influenza Vaccination of Pregnant Women Letter so-signed by American Academy of Pediatrics 10 Pediatrics (2023) 152 (5): e2023062664 11 Gruber MF. Maternal Immunization: US FDA Regulatory Considerations. Vaccine 2003; 21(24): 3487-3491 12 CDC. Updated Recommendations for Use of Tetanus Toxoid, Reduced Diphtheria Toxoid and Acellular Pertussis […]. MMWR Oct. 21, 2011 / 60(41);1424-1426 13 Christian LM, Iams JD, Porter K, Glaser R. Inflammatory Responses to Trivalent Influenza Virus Vaccine Among Pregnant Women. Vaccine 2011; 29(48): 898 14 NVIC.org. What Is Influenza (Flu) Vaccine? 15 Obstetrics and Gynecology, 2016; 128(3):447-455 16 National Vital Statistics Report, August 6, 2015; 64(9): 1-6 17 Organic Health November 11, 2009 18 Vaccine September 25, 2017; 35(40): 5314-5322 19 Fortune September 13, 2017 20 U.S. News September 13, 2017 21 The Washington Post September 13, 2017 22 Green Med Info, September 14, 2017 23 National Library of Medicine, Fluzone Quadrivalent Sanofi Pasteur Inc. 24 Human & Experimental Toxicology September 27, 2012 25 CBC News January 16, 2015 26 Excessive Vaccination and Autism, Russel Blaylock MD (PDF) 27 Journal of Neuroscience 2007; 27: 10695-10702 28 Journal of Neuroscience 2008; 28: 6904-6913 29 Brain Behavior and Immunity 2001; 15: 411-420 30 Biological Psychiatry 2006; 59: 546-554 31 Brain Behavior and Immunology 2006; 20: 378-388 32 ACOG, September 13, 2017 33 AAP News August 27, 2017 34 Green Med Info, Diseases Researched for Vaccination: Hepatitis B 35 Annals of Epidemiology 2001 Jan;11(1):13-21 36 Journal of Infectious Diseases 2004: 190 (5): 998-1005
« Donc, du point de vue du consommateur, nous devons nous inquiéter de la présence d'un virus vivant dans la viande que nous introduisons dans notre corps.
« Et en tant que producteurs, nous devons nous soucier de la santé de nos animaux… »
Il prévient ensuite que le fait de pomper le bétail avec des vaccins dangereux « finira par nous détruire, détruire notre troupeau et détruire notre entreprise dans son ensemble ».
Avertissements des éleveurs et des médecins
Aux États-Unis, d’autres éleveurs et médecins mettent également en garde contre les dangers. Le médecin et éleveur Brooke Miller met également en garde contre les immenses dangers du traitement par ARNm sur les animaux de ferme. Sur son blog, il écrit :
Il n’y a pas si longtemps, j’ai reçu un e-mail d’un ami contenant des documents qui, selon moi, constituent une forme de propagande de la part de groupes de l’industrie de l’élevage. Ces matériels font partie d’un effort plus vaste visant à faire accepter parmi les éleveurs l’utilisation de la technologie des vaccins à ARNm actuellement développée pour le bétail.
Il discute également de ces sujets avec l'inventeur de la technologie de l'ARNm, le Dr. Robert Malone – la vidéo peut également être vue et entendue dans le billet de blog. Il continue d'écrire :
Un développement notable à cet égard s'est produit lors de la réunion annuelle de la US Cattlemen's Association, qui s'est tenue les 1er et 2 décembre 2023 à Fort Worth, au Texas. Lors de cette réunion, une résolution a été adoptée qui s’oppose clairement à l’utilisation de la technologie de l’ARNm dans l’élevage. De plus, la résolution appelle à une transparence totale et ouverte dans toutes les recherches liées à ces « vaccins ». L'adoption de cette résolution témoigne des profondes inquiétudes qui existent dans notre communauté.
Il existe désormais un « vaccin » à ARNm approuvé pour les porcs. Apparemment, il n'est pas utilisé actuellement. Les organisations de santé animale et les organisations pharmaceutiques de santé animale mènent des recherches continues depuis un certain temps. Si l'OMS déclare soudainement l'état d'urgence en vertu des nouveaux pouvoirs actuellement discutés à travers les modifications du Règlement sanitaire international, alors son directeur général, le Dr. Ghebreyesus exige également la vaccination obligatoire des animaux. Et ils pourraient proposer une urgence, comme la fièvre aphteuse, et essayer d’imposer ces vaccinations.
Avertissements du scientifique DDr. Siguna Mueller
C’est la raison pour laquelle l’OMS et l’UE continuent de parler de « One Health » afin de pouvoir enregistrer à la fois les animaux d’élevage et les animaux sauvages.
Dans l’article Sur la « perte » des vaccins à ARNm – distribution incontrôlée, DDr. Siguna Mueller souligne les dangers de la propagation de l’ARNm du vaccin par excrétion. Il existe désormais également une publication en prépublication intitulée « Les vaccins à ARNm existants et émergents et leur impact environnemental – une évaluation transdisciplinaire », le scientifique souligne les dangers pour l'environnement de la vaccination à ARNm des humains et des animaux.
Elle le souligne sur son blog :
Ce que j’ai découvert jusqu’à présent sur leurs risques environnementaux potentiels est bien plus préoccupant que je ne le pensais auparavant. Comme cela n’a pas fait l’objet d’une enquête approfondie, j’espère que je me trompe. Toutefois, si je me trompe, nous serons confrontés à des conséquences graves et irréversibles. Cela pourrait avoir un impact sur la santé de l'ensemble de l'écosystème et détruire les efforts d'agriculture biologique et sans OGM (que restera-t-il qui ne soit pas contaminé ?!). Ironiquement, il y a de bonnes raisons de croire que cela déclenchera également l’évolution de nouveaux agents pathogènes dans l’environnement.
Et quel sera l’impact socio-économique et politique ? Y aura-t-il de nouveaux confinements en raison des craintes de nouveaux événements « zoonotiques », en partie favorisés par les micro-organismes vaccinés ?
L’OMS et ses responsables ont insisté à plusieurs reprises sur le fait que tout le monde – humains et animaux – devait être vacciné. Le prétexte est d'éviter que les dangers causés par les maladies animales ne se propagent à l'homme. Cependant, il est beaucoup plus probable que l’ARNm du vaccin se propage à l’ensemble de l’environnement.
Comme sur des roulettes, alors que nous nous dirigeons vers une nouvelle saison électorale, l’establishment médical et les grands médias tirent la sonnette d’alarme sur une autre pandémie potentielle : la grippe aviaire.
Quelques jours seulement après que la grippe aviaire s'est propagée aux vaches, on a appris que deux personnes au Texas avaient été infectées. Selon le Daily Mail, cette évolution inquiète les responsables de la Maison Blanche de Biden,
La Maison Blanche est en alerte rouge concernant la grippe aviaire après que les autorités sanitaires ont révélé qu'un producteur laitier texan avait contracté une souche mortelle de grippe aviaire provenant d'une vache.
Ce patient n'est que le deuxième Américain à recevoir un diagnostic de H5N1, mais le virus se propage parmi les bovins dans plusieurs États américains après avoir sauté des oiseaux.
L'inquiétude concernant la propagation de la grippe aviaire à l'homme s'est encore accrue lorsque le CDC a admis que le virus avait muté, permettant ainsi au virus de se propager plus facilement.
Bien que l’inquiétude grandisse au sein de l’establishment médical, nombreux sont ceux qui s’interrogent sur la réalité de la menace de propagation de la grippe aviaire – et certains se demandent ouvertement si cette pandémie potentielle n’est guère plus qu’une opération psychologique opportune. destiné à recueillir le soutien du Traité sur la pandémie de l'OMS et d'autres mesures controversées de réponse à la pandémie.
Selon le Dr Kelly Victory, chef de la médecine d'urgence et de catastrophe du conseil médical en chef du TWC,
La grippe aviaire est un signal d'alarme : ils montent sur le mât du drapeau tous les 12 à 18 mois. À l’heure actuelle, cela ressemble à des « épidémies » récentes qui affectent principalement les travailleurs de la volaille, avec peu de preuves d’une transmission interhumaine appréciable. Cela étant dit, cela nous rappelle que nous devons toujours être préparés et favoriser l’autonomie en cas d’urgence. Nous avons toutes les raisons de croire, par exemple, que l’ivermectine, l’hydroxychlorquine, l’azithromycine, le budésonide, etc. couvriront un large éventail de maladies virales et bactériennes, car elles ne sont certainement pas « spécifiques au covid ». Garder ces médicaments à portée de main permet aux gens d’être libérés de l’emprise de BigPharma qui voudrait leur faire croire que chaque nouvel agent pathogène ou épidémie saisonnière nécessite un nouveau traitement, ainsi que du chaos et de l’incertitude qui accompagnent généralement les alertes de santé publique.
Un nouveau rapport détaille le coût horrible des échecs de Fauci
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 03 AVR 2024 - 23H40 Rédigé par Ian Miller via le Brownstone Institute,
Dans la période post-pandémique de Covid, il y a maintenant un effort concerté pour comprendre et expliquer les dommages qui ont été causés par notre capitulation devant la réaction hystérique excessive et la portée excessive des « experts ». Il y a une longue liste d’échecs politiques à examiner ; les mandats de masques ont été un désastre qui n’a absolument rien apporté de valeur, mais a plutôt conduit à d’énormes dommages, dont beaucoup continuent aujourd’hui.
Les enfants ont été contraints de porter des masques pendant des années, des millions de personnes portent encore des masques en voyage ou dans les magasins et les restaurants, convaincues en permanence du mensonge délibéré selon lequel les masques sont des outils de prévention efficaces. Le plus inquiétant est peut-être que les travailleurs de la santé des villes bleues doivent encore souvent porter un masque. Certains hôpitaux exigent le port du masque en permanence depuis 2020, tandis que d'autres appliquent désormais des mandats continus basés sur les illusions des administrateurs et des autorités expertes.
Les recherches sur le coût économique de bon nombre de nos politiques et mandats liés au Covid sont toujours en cours, mais un nouveau rapport extrêmement détaillé sur les fermetures d’écoles a créé un contexte horrible montrant à quel point le plaidoyer d’Anthony Fauci a été dommageable pendant la pandémie.
Toutes nos politiques Covid ont échoué
La recherche commence par une reconnaissance évidente des échecs survenus en raison des mandats Covid. Malgré des politiques très différentes, il n’y avait pratiquement aucune différence dans les résultats entre les pays.
« À partir des preuves disponibles, il est difficile d’identifier les réponses spécifiques à la pandémie qui ont conduit à de meilleurs résultats », écrivent-ils. « Les pays ont clairement répondu aux défis de manières très différentes, depuis l’absence de fermeture d’écoles (Suède) jusqu’à plusieurs années de fermeture (Ouganda et Indonésie). Pourtant, de simples statistiques telles que la durée des fermetures d’écoles ou les politiques de santé globales ne peuvent pas expliquer une grande partie de la variance des résultats.
Confinements, masques obligatoires, passeports vaccinaux… rien de tout cela n’avait d’importance et n’explique pas non plus les écarts dans les résultats entre les pays. Pourquoi? La réponse évidente est qu’aucune de ces politiques n’avait la moindre chance d’empêcher la transmission d’un virus respiratoire hautement infectieux.
Au lieu de cela, l’explication probable de la variance des résultats se résume à des différences dans la prise en compte des cas et des décès de 'Covid', des données démographiques sous-jacentes en matière de santé et d’âge, ou à l’immunité préexistante due à l’exposition à des coronavirus similaires, ce qui était presque certainement la raison pour laquelle les pays d’Asie ont obtenu de bons résultats. mieux que les pays occidentaux au début de la pandémie, mais a été commodément ignoré au profit des « experts » qui maintiennent le vœu pieux selon lequel la « culture du masque » était responsable.
Quelle que soit l’explication, le fait qu’il n’existe pas de facteur cohérent auquel attribuer de meilleurs résultats est en soi une mise en accusation de nos politiques et mandats liés à la Covid. S’il est impossible de définir pourquoi un pays a fait mieux ou moins bien qu’un autre, rien ne devrait justifier le maintien des restrictions. Si seulement quelqu’un l’avait dit à Fauci ou à ses alliés de l’establishment de la santé publique en 2020-2021, ils ont plutôt critiqué avec force toute opposition qui comprenait la réalité, comme le gouverneur de Floride, Ron DeSantis.
Les fermetures d’écoles ont causé des dommages inimaginables
Les chercheurs ont passé la majeure partie de leur temps à tenter d’évaluer les nombreux dommages causés par l’une des politiques les plus inexcusables de la pandémie : la fermeture des écoles. Et les résultats de leurs estimations sont époustouflants.
« Sur la base des recherches disponibles sur les revenus à vie associés à davantage de compétences, l’élève moyen scolarisé pendant la pandémie perdra 5 à 6 % de ses revenus à vie », ont-ils découvert. « Parce qu’une main-d’œuvre moins qualifiée entraîne une croissance économique plus faible, le pays perdra quelque 31 000 milliards de dollars (en termes de valeur actuelle) au cours du XXIe siècle. Cette perte économique globale est supérieure au PIB américain sur un an et éclipse les pertes économiques totales dues au ralentissement de l’économie pendant la pandémie ou à la récession de 2008. »
Ce n’est pas une erreur d’impression : 31 000 milliards de dollars.
Les syndicats d’enseignants, Fauci, le CDC et les politiciens ont tous veillé à ce que l’économie américaine soit décimée au siècle prochain parce qu’ils ont refusé d’admettre qu’ils avaient tort sur tout cela. Alors que le coût de la vie monte en flèche en raison d'une inflation galopante, également causée par notre incompétence et notre ignorance malveillante et délibérée, les enfants contraints d'apprendre en raison de la fermeture des écoles seront irrémédiablement pénalisés, ce qui leur coûtera des centaines de milliers, voire des millions de revenus tout au long de leur vie.
Il est facile de suggérer que ces préjudices pourraient peut-être être effacés ou atténués avec le temps. Les chercheurs ont également abordé ce problème, mais ils n’ont pas réussi à donner beaucoup d’espoir pour l’avenir.
« Enfin, nous fournissons quelques observations sur la récupération après les pertes d’apprentissage. L’histoire suggère que ces pertes seront probablement permanentes à moins que les écoles ne deviennent meilleures qu’elles ne l’étaient avant la pandémie », concluent-ils.
Avec des militants politiques totalement incompétents comme Randi Weingarten qui contrôlent les écoles, des politiques honteuses du DEI qui infiltrent tous les aspects de l'éducation publique, le manque de reconnaissance de Fauci et d'autres organisations selon lesquelles les mandats de Covid étaient un échec et la capture idéologique complète du système éducatif, il est impossible de on peut raisonnablement s’attendre à ce que les écoles « deviennent meilleures qu’elles ne l’étaient ».
Les dégâts qu’ils ont causés sont gravés – pour toujours.
Une fois de plus, la Floride offre une alternative Il est important de noter que les résultats des fermetures d’écoles varient selon les régions. Dans les États d’extrême gauche comme la Californie, New York, le New Jersey et l’Illinois, les fermetures d’écoles ont persisté jusqu’en 2021.
Mais la Floride a été l’un des rares États, et peut-être le seul grand, à faire de la réouverture des écoles une priorité, malgré les objections des syndicats d’enseignants et des médias qui ont tenté de qualifier le gouverneur de « DeathSantis ».
Et cela va payer, relativement parlant. Un chiffre présenté dans l’étude montre que la perte économique de la Floride en termes de PIB est presque égale à celle de la Pennsylvanie, malgré une population qui est près de 75 % plus nombreuse que celle de la Pennsylvanie. Et les pertes estimées de la Californie, à environ 1 300 milliards de dollars, sont de plus de 116 % supérieures à celles de la Floride, bien plus importantes que la différence de population. De même, les pertes économiques de l’État de New York dépassent de loin celles de la Floride, malgré une population plus réduite.
DeSantis a suivi la science actuelle, a écouté des conseillers experts extérieurs compétents et, par conséquent, par rapport à d’autres grands États, la Floride devrait en bénéficier massivement à l’avenir. Il s’agit encore une fois d’un autre acte d’accusation clair contre les États bleus qui ont choisi de suivre le plan Fauci vers un désastre économique.
Et ne vous y trompez pas, c'est un désastre.
Aucune responsabilité en cas d'échec Les chercheurs ont comparé le désastre de la perte d’apprentissage à la récession de 2008, montrant que la réponse au Covid est responsable de dégâts bien plus importants que ce cycle économique.
« L’attention déséquilibrée portée aux pertes du cycle économique dues à la récession de 2008 et à la pandémie est surprenante une fois que nous voyons les chiffres comparables des pertes d’apprentissage liées à la pandémie », ont-ils écrit. « Les pertes économiques dues à la perte de capital humain sont six fois supérieures aux pertes totales de la récession de 2008, qui a été qualifiée de plus grande récession depuis la Grande Dépression. »
C’est stupéfiant. Six fois les pertes totales de la récession de 2008, déjà considérée comme l’une des pires de l’histoire économique moderne. Tout cela parce que Fauci et sa bande d’« experts » ont saisi l’occasion d’imposer leur programme de contrôle à une société docile. Et aussi parce qu’ils refusaient d’admettre leur échec alors que beaucoup essayaient désespérément de les dénoncer.
Il s’agit d’un ensemble de décisions historiques et inexcusables qui ont des conséquences durables, tant sur le plan culturel que sur le plan économique. Une perte de 31 000 milliards de dollars correspond à une perte de PIB exclusivement due aux fermetures d’écoles. Cela ne tient même pas compte de la perte de revenus d’entreprise, du recul de plusieurs années en termes de nouvelles affaires ou de la perte de PIB due aux adultes qui ont abandonné leurs projets de carrière ou d’autres activités par désespoir ou par manque d’opportunités.
Les dégâts causés par les « experts » sont incalculables. Mais les tentatives pour le calculer ont abouti à des estimations absolument horribles.
Ce transfert d'argent a paupérisé la grande majorité de la population mondiale réduisant ainsi le pouvoir d'achat et surtout la population par la morbidité. Cette escroquerie internationale ne sera jamais punie.
Moderna développe des vaccins à ARNm pour les maladies liées aux vaccins Covid
Alors que Moderna élargit son portefeuille de vaccins à ARNm pour cibler l'Epstein-Barr, le zona, le cancer et les maladies auto-immunes, les scientifiques avertissent que les vaccins Covid-19 de la société pourraient supprimer la fonction immunitaire, réactiver des virus latents et potentiellement provoquer les conditions mêmes que leurs nouveaux produits visent à prévenir.
Par John-Michael Dumais Mondialisation.ca, 04 avril 2024
Lors de la journée des vaccins organisée pour les investisseurs le 28 mars, Moderna a annoncé l’avancement de plusieurs vaccins et candidats thérapeutiques à base d’ARNm dans son “pipeline”.
Trois vaccins ciblant le virus d’Epstein-Barr (EBV), le virus de la varicelle et du zona (VZV, varicelle et zona) et le norovirus sont en train d’atteindre un stade de développement avancé, a déclaré la société.
Moderna a également annoncé que la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis devrait approuver son vaccin contre le virus respiratoire syncytial(VRS), le mRNA-1345, pour les personnes âgées. Cela fait partie d’un marché attendu de 52 milliards de dollars pour les vaccins de Moderna contre les maladies infectieuses.
“Nous continuons à explorer l’application de l’ARNm dans le traitement potentiel des maladies cardiovasculaires et d’autres maladies vasculaires ischémiques”, indique le site web de Moderna dans ses plans de produits pour les domaines thérapeutiques.
L’entreprise développe également des solutions ARNm pour le cancer et les maladies auto-immunes.
Citant les réactions indésirables bien documentées et souvent graves aux vaccins à ARNm Covid-19, certains scientifiques et médecins ont déclaré qu’ils étaient préoccupés par les dangers des formulations d’ARNm existantes et nouvelles.
Ils se demandent également si Moderna tente de tirer profit des solutions apportées aux maladies que ses produits provoquent.
Bloquer les “soldats du système immunitaire”. L’ARN synthétique modifié (modRNA) présent dans les cellules supprime l’immunité innée qui maintient les virus latents à distance et protège contre les nouvelles infections, selon Brian Hooker, Ph.D., directeur scientifique de Children’s Health Defense.
“L’un des mécanismes implique des microARN qui suppriment la production d’interféron cellulaire, extrêmement important pour la lutte contre les infections virales et la suppression des tumeurs”, a déclaré Hooker à The Defender.
M. Hooker a mentionné l’article publié en juin 2022 par Stephanie Seneff, le Dr Peter McCullough et d’autres chercheurs qui ont étudié la suppression de l’immunité innée par les vaccins à ARNm.
Les auteurs ont proposé que la suppression de l’interféron induite par le vaccin bloque le bon fonctionnement des cellules T CD8+ – souvent appelées les fantassins du système immunitaire – permettant aux virus dormants de se réactiver et, dans le cas du VZV, de provoquer un zona, la version “adulte” de la varicelle.
Un article publié en 2021 fait état de 54 cas d’herpès zoster (zona) apparaissant en moyenne 7 jours après la vaccination par Covid-19. Un article datant de 2022 fait état de 10 cas de réactivation du zona dans un délai d’une à trois semaines après la vaccination par Covid-19.
Pourtant, les auteurs des deux documents ont affirmé qu’il n’était pas possible d’établir un lien définitif entre les vaccins et les symptômes.
La scientifique française Hélène Banoun, Ph.D., dans “La Science face au Pouvoir: Ce que révèle la crise Covid-19 sur la biopolitique du XXIe siècle”, écrit que la désorganisation du système immunitaire inné et de ses récepteurs contribue à la réactivation de virus latents – dont l’herpès, le zona, le papillomavirus humain (HPV) et le RSV..
Selon Mme Banoun, de nombreuses personnes infectées par l’EBV ou le VZV deviennent des porteurs sains et asymptomatiques.
“Ces virus, ainsi que d’autres virus ou bactéries – comme le bacille de Koch responsable de la tuberculose – peuvent rester dormants tout au long de la vie ou être réactivés en cas d’immunosuppression”, a déclaré Mme Banoun à The Defender.
Elle a également cité des réactions de lèpre suite à des injections d’ARNm observées dans de nombreux pays. “Malgré la sophistication des vaccins à ARNm, certains effets secondaires réactivent apparemment des maladies que l’on croyait reléguées dans le passé”, écrit-elle.
De nombreuses études de cas(ici, ici et ici) établissent une corrélation entre l’apparition de symptômes et d’anticorps liés à l’EBV et les vaccins ARNm Covid-19.
Matthew Matlock, ancien combattant et athlète Ironman, a déclaré lors de la réunion d’avril 2022 ducomité consultatif de la FDA sur les vaccins et les produits biologiques connexes qu’il avait souffert d’une réactivation de l’EBV, en plus de problèmes cardiaques et de maladies des mastocytes, après avoir reçu la deuxième dose du vaccin Covid-19 de Pfizer.
Moderna crée deux versions d’un vaccin contre l’EBV : l’ ARNm-1189 pour la prévention et l’ARNm-1195 pour les effets à long terme, en particulier la sclérose en plaques et une sous-catégorie de lymphome chez les patients ayant subi une transplantation d’organe solide.
Moderna aurait interrompu son essai de vaccin contre l’EBV l’année dernière lorsqu’un sujet a développé une myocardite.
Moderna ne mentionne pas d’autres effets à long terme de l’EBV tels que l’ EBV chronique actif, les cancers associés à l’EBV, l’anémie, la rupture de la rate, la thrombocytopénie, l’hépatite, la myocardite et les maladies du système nerveux, y compris l’encéphalite, la méningite et le syndrome de Guillain-Barré.
Stéphane Bancel, PDG de Moderna, a déclaré que le marché des vaccins contre l’EBV devrait représenter plusieurs milliards de dollars.
Turbo-cancers et maladies auto-immunes Hélène Banoun a noté le rôle de l’IgG4(sous-type 4d’immunoglobine) anti-spike dans l’immunotolérance induite par le spike, écrivant qu’elle “prend le relais des autres IgG après des vaccinations répétées” et augmente l’expression de PD-L1 (ligand 1 de la mort cellulaire programmée), qui peut empêcher les cellules T du système immunitaire d’attaquer et de tuer les cellules cancéreuses.
L’IgG4 est un anticorps que le système immunitaire produit en réponse à des infections ou à des vaccinations. Il possède des propriétés anti-inflammatoires mais peut également se fixer sur les mêmes cibles que d’autres anticorps, bloquant ainsi leur efficacité.
La surexpression de l’IgG4 peut entraîner une maladie liée à l’IgG4, une maladie inflammatoire chronique avec des lésions qui peuvent perturber le fonctionnement des organes et même entraîner la mort.
Selon une étude réalisée en 2023, les anticorps IgG4 induits par une vaccination répétée peuvent générer une tolérance immunitaire à la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, rendant les vaccins à ARNm inefficaces.
Mikolaj Raszek, spécialiste du séquençage génomique et fondateur et directeur de Merogenomics, a récemment cité dans un tweet un article paru en janvier 2024 dans Viruses, montrant des anticorps IgG4 anormaux chez presque tous les individus vaccinés à l’ARNm :
“Ils suggèrent qu’une trop grande quantité d’antigènes finit par entraîner l’épuisement des cellules T et que, dans ce cas, on peut commencer à établir une corrélation avec le développement de l’auto-immunité…
“De plus en plus de scientifiques se méfient de ces anticorps IgG4 qui semblent être observés chez presque toutes les personnes vaccinées contre l’ARNm.
Les auteurs de l’article sur les virus ont noté qu’un niveau élevé d’IgG4 dans le sérum est considéré comme pathogène car il peut déclencher des maladies auto-immunes, des cancers et d’autres maladies.
Ils ont émis l’hypothèse que cela pourrait être dû à la protéine de pointe à longue durée de vie produite par les vaccins et ont suggéré que cela pourrait conduire à la désensibilisation des cellules T CD4+ et CD8+, conduisant à l’épuisement du système immunitaire.
“L’induction d’une tolérance immunologique par des vaccinations répétées pourrait peut-être expliquer le grand nombre de décès survenus chez les personnes vaccinées ayant reçu une troisième dose par rapport aux personnes non vaccinées dans certains pays européens”, écrivent-ils.
Dans leur article, Seneff et McCullough établissent un lien entre l’immunosuppression induite par les vaccins et les maladies neurodégénératives, la myocardite, la thrombocytopénie immunitaire, la paralysie de Bell, les maladies du foie, le cancer et d’autres déficiences.
Geert Vanden Bossche, Ph.D., a également mis en garde contre l’augmentation des taux d’IgG4 induite par les vaccins, qui pourrait entraîner des cancers turbo (cancers qui progressent très rapidement). De nombreux oncologues ont signalé des cancers qui se développent rapidement, souvent chez des personnes jeunes, et qui ont déjà atteint le stade 3 ou 4 au moment où ils sont diagnostiqués.
Mme Banoun a déclaré qu’il y a quelques années encore, Moderna développait des vaccins à ARNm uniquement pour lutter contre le cancer. “Il est certain que nous assistons à une augmentation de l’incidence du cancer certainement due aux ARN anti-Covid”, a-t-elle déclaré.
Mme Banoun a déclaré que le produit mRNA-6981 en cours de développement par Moderna est conçu pour augmenter les niveaux de PD-L1 afin de prévenir la progression de l’hépatite auto-immune en limitant l’autoréactivité du système immunitaire.
Cependant, comme nous l’avons déjà indiqué, un taux élevé de PD-L1 peut bloquer les propriétés anticancéreuses du système immunitaire.
“Cette thérapie est une arme à double tranchant, car elle ne sera pas spécifique et risque d’induire une immunotolérance à d’autres pathologies telles que les infections et les cancers”, a déclaré Mme Banoun. “Moderna sera alors en mesure de développer d’autres ARNm contre les cancers induits.
Parmi les autres ARNm ciblant le cancer dans le pipeline de Moderna, il y a l’ l’ ARNm-4157 pour le mélanome et le cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) ; l’ARNm-5671 pour le cancer du poumon non à petites cellules, le cancer du pancréas et le cancer colorectal ; l’ARNm-4359 pour“stimuler les cellules T effectrices qui ciblent et tuent les cellules immunitaires suppressives et les cellules cancéreuses qui expriment des niveaux élevés d’antigènes de point de contrôle cibles” ; etl’ARNm-2752 pour l’injection directe dans les tumeurs et les lymphomes.
Moderna a également déclaré qu’elle développait plusieurs thérapies à base d’ARNm qui, selon elle, “ont le potentiel d’aider les millions de patients qui luttent contre les maladies auto-immunes“.
La protéine à pointes du SRAS-CoV-2 peut provoquer un grand nombre des mêmes maladies Moderna pourrait également répondre aux maladies causées par la protéine à pointes (spike) du virus original SARS-CoV-2.
À ce stade, de nombreux éléments indiquent que le virus a été spécialement conçu pour être plus virulent pour l’humain.
Les chercheurs de cette étude de 2022 sur les personnes infectées par le Covid-19 ont trouvé des niveaux élevés d’anticorps liés à l’EBV ainsi que d’anticorps contre le virus de l’herpès 6A et le rétrovirus endogène humain K.
Les symptômes attribués à un “long Covid“(qui peuvent inclure des symptômes attribuables aux vaccins ARNm) comprennent des difficultés respiratoires, des douleurs thoraciques, des palpitations cardiaques, de la fatigue, un brouillard cérébral, des problèmes de sommeil, des vertiges, des sensations de picotement, un malaise après l’exercice, un changement d’odeur ou de goût, la dépression ou l’anxiété, des douleurs d’estomac ou des diarrhées, des douleurs articulaires ou musculaires, des éruptions cutanées et des changements dans les cycles menstruels.
Le site web des Centers for Disease Control and Prevention indique que ces symptômes sont similaires à ceux rapportés par les personnes souffrant du syndrome de fatigue chronique, également connu sous le nom d’encéphalomyélite myalgique.
Le Dr Michelle Perro, pédiatre spécialiste de la médecine intégrative et directrice exécutive de GMO Science, a déclaré au Defender qu’étant donné que les personnes souffrant d’un COVID long peuvent présenter une exacerbation des infections chroniques sous-jacentes, “la production de vaccins à ARNm, qui posent problème d’après l’expérience du Covid, est pour le moins erronée”.
Mme Margulis a fait valoir que l’élimination du virus sauvage de la circulation par des campagnes de vaccination à grande échelle avait réduit l’immunité naturelle des adultes qui, par le passé, avaient eu l’opportunité de lutter contre l’infection lorsqu’ils étaient enfants.
“Cette stimulation naturelle de l’immunité a pratiquement disparu”, a-t-elle déclaré, ajoutant : “Bonjour zona !” et soulignant que “l’ARNm-1468 est le vaccin que Moderna met au point pour aider à protéger les adultes contre le zona”.
Plus de produits dans le pipeline de Moderna D’autres produits dans le pipeline de Moderna incluent un vaccin contre le VIH, un vaccin combiné contre le VRS et le VPH, un vaccin pédiatrique contre le VRS, un vaccin contre la grippe pandémique, un vaccin pour le cytomégalovirus et un vaccin contre le HCoV (coronavirus humain) endémique ; des vaccins contre la maladie de Lyme, le Zika, le Nipah et le Mpox ; une thérapie visant à développer la relaxine,une hormone cardio-protectrice naturelle, et une injection combinée Covid-19-grippe.
Blackstone Life Sciences a accepté d’investir 750 millions de dollars dans le vaccin antigrippal de Moderna en échange de paiements d’étape et de redevances, a rapporté Yahoo Finance.
La valeur de l’action Moderna a augmenté de 3 % après les annonces, approchant les 111 dollars par action, ce qui porte l’augmentation pour 2024 à 11,2 % au 28 mars, ce qui est bien supérieur à la moyenne du secteur.
Le prix actuel est encore bien inférieur au prix de 450 dollars par action dont bénéficiait Moderna au milieu de l’année 2021, au plus fort du déploiement du vaccin Covid-19.
Une étude française établit un lien entre l’utilisation prolongée des médicaments hormonaux de Pfizer et un risque accru de TUMEURS CÉRÉBRALES chez les femmes
03/04/2024 Laura Harris
Une étude française publiée dans le British Medical Journal a mis en garde le public contre le lien potentiel entre l'utilisation prolongée de médicaments hormonaux fabriqués par Pfizer pour le contrôle des naissances et le soulagement de la ménopause et un risque accru de méningiomes intracrâniens chez les femmes.
Les méningiomes intracrâniens sont pour la plupart des tumeurs cérébrales non cancéreuses qui se développent lentement dans les couches de tissus recouvrant le cerveau et la moelle épinière. Cependant, en raison de la pression qu’ils exercent sur le cerveau, ils entraînent généralement des complications, dont 40 % des cancers du système nerveux central. L'ablation chirurgicale est souvent nécessaire, mais elle endommage généralement les structures cérébrales voisines.
L'étude, qui a analysé les données du système national de santé français, a porté sur 18 061 femmes ayant subi une intervention chirurgicale pour un méningiome intracrânien entre 2009 et 2018. Chaque cas a été comparé à cinq femmes sans tumeur. Les chercheurs ont suivi l'utilisation de divers médicaments progestatifs, notamment l'hydroxyprogestérone, la dydrogestérone, la médrogestone, l'acétate de médroxyprogestérone, la promégestone, le diénogest et le lévonorgestrel.
Selon l'étude, dirigée par Noémie Roland, médecin généraliste et épidémiologiste à l'Assurance maladie française, l'utilisation du Depo-Provera (acétate de médroxyprogestérone), un contraceptif injectable populaire, ainsi que les médicaments d'hormonothérapie ménopausique medrogestone et promegestone pour plus plus d'un an augmente le risque de méningiomes intracrâniens chez les femmes. Le Depo-Provera a augmenté le risque de méningiome intracrânien de 5,6 fois, tandis que la médrogestre et la promégestone étaient associées à un risque respectivement 4,1 et 2,7 fois plus élevé.
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Cela signifie qu’environ quatre femmes de 30 ans sur mille développeraient un méningiome intracrânien à l’âge de 80 ans. L’utilisation du Depo-Provera pendant plus d’un an augmentait le risque de 5,6 fois. De plus, ce chiffre pourrait encore atteindre 20 sur mille.
"Dans les pays où l'utilisation de l'acétate de médroxyprogestérone pour le contrôle des naissances est fréquente [74 millions d'utilisateurs dans le monde], le nombre de méningiomes attribuables peut être potentiellement élevé", a conclu Roland.
Pfizer connaît le risque associé à l'utilisation prolongée de progestatifs Les chercheurs ont également averti le public que leurs résultats ne pouvaient pas établir un lien direct de cause à effet entre l'acétate de médroxyprogestérone, la medrgoestone et la promegestone et les méningiomes intracrâniens, car leur étude est observationnelle. Au lieu de cela, ils ont exhorté leurs collègues à mener davantage de recherches sur les résultats.
Cependant, Paul Pharoah, professeur et épidémiologiste du cancer qui a passé 20 ans à l'Université de Cambridge à étudier les cancers liés aux hormones avant de créer un laboratoire à l'hôpital Cedars-Sinai en Californie, ne soutient pas ces conclusions. "Les femmes qui prennent des pilules contraceptives ou un traitement hormonal substitutif couramment utilisées ne courent pas de risque accru de méningiome", a déclaré Pharoah. "Il est important que les femmes n'arrêtent pas d'utiliser leur pilule contraceptive sans consulter leur médecin. Le risque de méningiome est extrêmement faible. Si j'utilisais actuellement Depo-Provera en raison des avantages d'un contraceptif injectable à action prolongée, je continuerais à le faire. En bref, les utilisateurs actuels ou antérieurs du Depo-Provera n'ont pas à s'inquiéter de leur très faible risque de méningiome.
Mais Pfizer, le fabricant du Depo-Provera, était conscient des risques potentiels. "Nous sommes conscients de ce risque potentiel associé à l'utilisation à long terme de progestatifs et, en collaboration avec les agences de réglementation, nous sommes en train de mettre à jour les étiquettes des produits et les notices d'information destinées aux patients avec une formulation appropriée", a déclaré Pfizer.
Cependant, compte tenu de la longue histoire d’activités illégales et d’expérimentations humaines menées par Pfizer depuis les années 1900, sa déclaration semble plus discutable que le résultat de l’étude. (Connexe : Pfizer a une histoire incroyablement longue en matière d'activités illégales et d'expérimentation humaine.)
Learn more about Big Pharma companies like Pfizer at BigPharmaNews.com.
Watch this clip from InfoWars featuring Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu admitting Israelis were used as guinea pigs for Pfizer.
This video is from the InfoWars channel on Brighteon.com.
Pfizer Gate : Première enquête directe contre von der Leyen
3 avril 2024 de Thomas Oysmüller
Pour la première fois depuis que l'accord entre l'UE et Pfizer a fait l'objet d'une enquête judiciaire, le bureau du président de la Commission est directement dans le collimateur du parquet.
Les enquêtes sur le « complot Pfizer-Leyen » et sur l’accord ARNm entre l’UE et Pfizer organisées par la Commission européenne semblent progresser. Un porte-parole du parquet compétent a déclaré au début du mois que les enquêteurs du Parquet européen enquêtaient sur le rôle de von der Leyen et du PDG de Pfizer. Le président de la Commission européenne est donc directement dans le collimateur des enquêteurs.
SMS en vue
Politico écrit lundi que « ces derniers mois, les enquêteurs du Parquet européen (EPPO) ont repris l'enquête du parquet belge contre von der Leyen pour « ingérence dans les fonctions publiques, destruction de SMS, corruption et conflit d'intérêts ». » Cela ressort des documents juridiques dont dispose Polit-Magazin.
Le Parquet européen, qui avait déjà annoncé en 2022 qu’il « enquêterait sur l’achat de vaccins dans l’UE en général », a ainsi explicitement lié la présidence de la Commission au « Pfizergate ». C’est une nouvelle et cela survient après environ un an d’enquêtes criminelles.
De telles enquêtes ont ensuite été ouvertes par le parquet de Liège début 2023 après que le lobbyiste belge Frédéric Baldan a déposé une plainte pénale, avait rapporté le TKP. Il a été récemment annoncé que les gouvernements hongrois et polonais s'étaient également joints au procès. Cependant, la Pologne a de nouveau retiré cette mesure après que Donald Tusk, fidèle à l'UE, a pris la tête du gouvernement, a rapporté le TKP.
Le procès du lobbyiste tournait à l'origine autour des fameux SMS entre von der Leyen et Albert Bourla. Le contenu de ces messages est encore inconnu à ce jour. Le contrat, dont les États ne peuvent se retirer et qui comprend près de deux milliards de doses de vaccin, est considéré comme un accord de bâillon. L’UE doit encore accepter les livraisons de Covid jusqu’en 2027, même si presque personne n’est plus vacciné contre le Covid. Pfizer a poursuivi les pays d’Europe de l’Est parce qu’ils refusaient de continuer à acheter cette substance (et à la payer).
Les discussions se rejoignent désormais au sein du parquet européen. Voici ce que dit Politico :
"L'affaire dont traite actuellement le Parquet européen rassemble divers aspects juridiques, politiques et financiers et recoupe les poursuites intentées par le géant pharmaceutique Pfizer contre la Hongrie et la Pologne."
Au milieu de la prochaine campagne électorale, il apparaîtra clairement à quel point le parquet européen prend son travail au sérieux. Le Parquet européen mène des enquêtes à l'échelle européenne sur les délits financiers et pourrait théoriquement saisir des téléphones et d'autres documents pertinents dans les bureaux de la commission ou dans d'autres pays européens comme l'Allemagne, pays d'origine de von der Leyen. Après tout, il s'agit d'un accord d'une valeur de 20 milliards d'euros.
Il n'y a pratiquement aucune information provenant des organismes officiels. La Commission ne sait rien au-delà des articles de presse. La Hongrie n'a pas répondu à Politico, Pfizer et l'OEPP ont refusé de commenter.
Une base de données inconstitutionnelle sur l’ADN des nourrissons du New Jersey fait l’objet d’un examen juridique
03/04/2024 Kévin Hughes
Une base de données controversée contenant des échantillons d'ADN collectés sur des nouveau-nés dans le New Jersey fait l'objet d'un examen juridique après avoir découvert que les forces de l'ordre de l'État maintenaient un accès détourné à ces informations. Pendant des décennies, l’État a collecté et conservé ces échantillons d’ADN sans en informer spécifiquement les parents, accumulant ainsi une base de données considérable sur le matériel génétique.
Deux mères du New Jersey ont intenté un recours collectif fédéral contre la collecte et l'accès à des données personnelles sur des nourrissons sans le consentement approprié, ce qui indique les inquiétudes croissantes du public concernant l'utilisation intrusive d'échantillons de sang de bébé à des fins confidentielles. (Connexe : Le New Jersey POURSUITE POUR RÉCOLTER secrètement du sang de nouveau-nés sans le consentement des parents.)
Les futurs parents invitent généralement des médecins et des infirmières dans la salle d'accouchement, et non des policiers. Cependant, les forces de l’ordre ont un accès dérobé au New Jersey. L'intrusion présumée commence dans les 48 heures suivant la naissance d'un enfant, lorsque le personnel de la maternité pratique une petite piqûre dans le talon du nourrisson afin d'obtenir du sang pour des analyses de laboratoire.
Ce dépistage permet une identification précoce de maladies rares telles que la mucoviscidose et la drépanocytose. Tous les États américains font cela, mais ce qui différencie le New Jersey, c'est que la plupart des autres États détruisent ensuite les cartes en papier qu'ils utilisent pour recueillir les taches de sang séchées des nourrissons. Le New Jersey garde le sang.
Le New Jersey conserve des échantillons de chaque bébé né depuis les années 1970 Sans en informer les parents, l'État a conservé des échantillons de chaque bébé né depuis les années 1970, créant ainsi une base de données secrète contenant des millions d'entrées.
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Les échantillons de sang restent conservés pendant 23 ans tandis que les données ADN pourraient durer plus longtemps sur des serveurs tiers.
Le New Jersey ne mentionne pas exactement ce qu'il advient des données, mais l'État s'autorise à partager les marqueurs génétiques qu'il collecte avec qui il veut pour quelque raison que ce soit, y compris les forces de l'ordre.
Le risque que le New Jersey abuse de ces données n’est pas spéculatif, dans la mesure où l’État a déjà fourni à plusieurs reprises des échantillons de sang aux services de police sans mandat, ce qui a conduit à des arrestations.
Les parents peuvent techniquement abandonner la sélection s'ils s'y opposent pour des raisons religieuses. Mais les hôpitaux de l'État aident le gouvernement en cachant que cette option est à la disposition des familles, et beaucoup racontent avoir été menacés de voir leur enfant emmené par les services de protection de l'enfance s'ils refusaient d'autoriser l'hôpital à stocker l'ADN de leur enfant.
Une brochure d'une demi-page distribuée par le ministère de la Santé du New Jersey affirme même que tous les nourrissons sont « tenus par la loi » de fournir du sang à l'État. La brochure ne dit rien sur le stockage à long terme.
Erica Jedynak, une mère de Boonton, a été choquée le jour de son accouchement. Jedynak n'a découvert que plus tard que l'État conservait le sang de son fils dans des dossiers à des fins inexpliquées.
"Il y a quelque chose de moralement inacceptable dans le fait que le gouvernement le suive ou assume presque la culpabilité des bébés. Je dois le protéger de ce qui semble être une base de données très effrayante", a déclaré Jedynak.
Le stratagème secret inquiète également Hannah Lovaglio, une mère de Cranbury.
"C'est un peu rebutant de penser que le sang de mon enfant se trouve dans un établissement public du New Jersey. J'essaie de garder une trace de toutes les affaires de mon enfant, mais c'est totalement hors de mon contrôle et c'est troublant", Lovaglio dit.
Les deux mères ont déposé un recours collectif auprès du tribunal de district des États-Unis pour le district du New Jersey, le cabinet d'avocats d'intérêt public Interest for Justice les représentant dans cette affaire.
L'affaire s'appuie sur des poursuites antérieures interdisant l'utilisation intrusive d'échantillons de sang de bébé sans le consentement des parents. Un de ces cas, au Texas, a déclaré des personnes coupables d'avoir fourni des données ADN au ministère de la Défense pour un registre national. Un autre cas dans le Michigan et le Minnesota a déclaré des personnes coupables d'avoir vendu du sang nouveau-né à des fins de recherche.
Follow Twisted.news for more stories about insane instances of government overreach.
Watch the video below to learn more about the Department of Justice suing police departments for the use of DNA databases.
This video is from the Economy Lady channel on Brighteon.com.
Fuites dans le mainstream : Le changement climatique par des armes météorologiques
RépondreSupprimerFuites dans le mainstream :
Le changement climatique par des armes météorologiques
02.04.2024
www.kla.tv/28646
Des vagues de chaleur, les sécheresses, les incendies interminables, les tremblements de terre, les tornades, les tsunamis et bien d'autres catastrophes météorologiques tourmentent de plus en plus l'humanité.
Sommes-nous confrontés à un « changement climatique d'origine humaine » ? Alors que les médias ne se lassent pas de faire porter la responsabilité au simple citoyen, il y a de plus en plus d'indices d'une manipulation ciblée de la météo qui filtrent. Il est question de technologies de modification du temps contrôlées par l'homme qu'il est urgent de faire connaître au public.
Dans ce qui suit, Kla.TV reprend des indications provenant des médias dominants qui démontrent que la recherche et l'utilisation d'armes climatiques sont réelles et ont une longue histoire.
1) Le 14 mars 2019, la ministre suisse de l'environnement Simonetta Sommaruga a déclaré dans une interview en marge de la 4e Assemblée des Nations unies sur l'environnement : « Oui, la Suisse a essayé de mettre sur la table le thème de la géo-ingénierie, c'est-à-dire l’épandage de particules dans l'atmosphère, de rassembler les informations et d'examiner les bénéfices les risques ... Ce sont des essais que l'on fait sans même en connaître les conséquences. Mais nous continuerons à nous battre pour cela. Nous devons parfois nous y reprendre à deux fois. Et cela continuera de toute façon. Le sujet est trop important et, le cas échéant, trop problématique pour que nous puissions simplement faire l’autruche. » ( https://youtu.be/5-yaUvqzIq4?si=H5MFIOz86coTX_Nr )
2) Le 14 janvier 2009 déjà, le météorologue diplômé Gunther Tiersch a fait quelques remarques troublantes lors de l'annonce du bulletin météo sur la chaîne allemande ZDF. Il a décrit le temps sur la carte affichée comme suit : « Et puis nous avons ici quelque chose que nous ne pouvons identifier ni comme de la neige ni de la pluie, ici à l'ouest, ces lignes sinueuses, c'est probablement ce que quelques avions, des avions militaires, ont libéré l'après-midi au-dessus de la mer du Nord, à une altitude d’environ 5-6 000 mètres. Rien à voir avec la météo... » Peu de temps après, suite aux nombreuses questions des téléspectateurs sur ce bulletin météo, la ZDF a interviewé le spécialiste Karsten Brandt du service météorologique. Voici sa réponse originale, fortement abrégée.
Présentateur : « Un phénomène que Karsten Brandt du service météorologique 'Donnerwetter' connaît bien. Les météorologues ont remarqué ces étranges nuages fantômes pour la première fois en 2005. Les navires de guerre se camouflent également avec de tels nuages artificiels.
Ces paillettes ont été développés dès la Seconde Guerre mondiale.
RépondreSupprimerSi à l'époque, ils étaient constitués de fragments d'aluminium, ce sont aujourd'hui des fibres de verre vaporisées à l'aluminium d'une longueur de 15 à 25 millimètres et d'un diamètre d'environ 100 micromètres.
Si les filaments sont deux fois plus petits que la longueur d'onde du radar, des faux échos se produisent.
Concernant les énormes nuages fantômes provenant de la côte hollandaise, des tonnes de cette substance sont régulièrement répandues sur la République fédérale. » Le météorologue Karsten Brandt : « Nous mettons en place des zones environnementales et autres, mais apparemment, ces zones environnementales ne sont pas respectées à 4 à 5 000 m d'altitude au-dessus de la mer du Nord, ni au-dessus de l'Allemagne. Peu importe ce qui y est épandu. Je trouve cela incroyable ! » ...
Présentateur : « Même si ces nuages ne provenaient pas de l'armée allemande, que personne ne se sente responsable de ces substances régulièrement déversées au-dessus de l'Allemagne, ce qui est interdit en fait, les météorologues estiment que c’est tout simplement absurde. » Conclusion de la présentatrice : « Absurde est un bel euphémisme, car ici, la population est dupée ! »
3) Le physicien et présentateur de télévision allemand Joachim Bublath a fait des déclarations très détaillées sur le thème des manipulations météorologiques par les militaires dans un documentaire pour la ZDF. Il y évoque les manipulations météorologiques effectuées par les militaires au moyen d'installations d'antennes géantes et la création de nuages artificiels. Ici également, un extrait du texte original. Joachim Bublath : « On soupçonne que les puissants émetteurs et les grandes installations d'antennes HAARP sont également utilisés pour ces essais militaires.
Gakona/Alaska : « Loin de toute civilisation, les militaires américains exploitent une installation destinée à manipuler l'ionosphère. Ce projet mystérieux se nomme HAARP. Une immense forêt d'antennes peut émettre des ondes radio dans l'ionosphère... Avec ces ondes radio, ils essaient de modifier l'ionosphère. Les ondes radio pompent de l'énergie dans cette couche de particules chargées électriquement. L'ionosphère se charge, se dilate à ces endroits et présente des perturbations. Un moyen de créer des difficultés à l'adversaire militaire... » Plus loin, Bublath fait état d'une installation similaire près de Troms, en Norvège. Vient ensuite un extrait de la BBC qui évoque la création de nuages artificiels par la NASA.
Bref bilan intermédiaire :
RépondreSupprimerIl y a plus de dix ans, la chaîne de télévision allemande ZDF a fait un reportage sur les opérations du secteur militaire visant à influencer la météo à des fins militaires par l'épandage de particules et l'installation d'antennes géantes.
Vous entendez maintenant une autre voix qui parle de manière très détaillée de la nature et des objectifs des manipulations météorologiques.
4. La chaîne de télévision espagnole « La 8 Zamora TV » a interviewé Josefina Fraile de l’« Asociacion Terra SOS-Tenible » le 19 octobre 2017 ; l’interview est intitulée : « Géoingénierie - Pacte de discrétion ». Vous pouvez écouter ici quelques extraits à ce sujet. Au début, il est question d'une interdiction des armes dites climatiques. Josefina Fraile se réfère à la convention ENMOD (« Convention sur l'interdiction de l'utilisation des technologies de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles »). Il s'agit d'un traité international qui a été adopté par les Nations Unies (ONU) en 1976 sous la forme de la résolution 31/72. Sont expressément mentionnées les interventions qui provoquent :
- des tremblements de terre ou des modifications de la croûte terrestre
- des tsunamis
- des phénomènes météorologiques comme des cyclones, des tornades, la formation de nuages, des précipitations, des pluies
- la perturbation de l'équilibre écologique d'une région
- une influence sur les courants marins, etc.
Josefina Fraile : « Un accord a été conclu pour que l'arme climatique ne soit pas utilisée lors de conflits armés. Mais en réalité, elle est toujours utilisée. »
Que peut-on faire et que fait-on avec cette arme ? Avec cette arme, on peut créer de la pluie, des tempêtes, des nuages, des éclairs, des orages à n'importe quel endroit du monde. Ou bien le contraire : on peut dissoudre des fronts de pluie, arrêter la grêle et des chutes de neige et aussi, bien sûr, créer de la sécheresse. »
Ces exemples qui ont fuité dans les médias de masse ne représentent qu'une petite partie des preuves de l'existence et de l'utilisation des technologies de modification du temps. L'ancien président américain Lyndon B. Johnson a souligné leur énorme influence dès 1962 lors d'une conférence en déclarant : « Celui qui contrôle la météo contrôle le monde. » Un document officiel de l'US Air Force datant de 1996 s'intitule « La météo comme amplificateur de forces », avec le sous-titre « maîtriser la météo en 2025 ».
Chers téléspectateurs,
RépondreSupprimerSi les médias dominants font l'impasse sur ce sujet et rejettent la faute et le fardeau du changement climatique sur le simple citoyen, cela dépend plus que jamais de nous tous. Vous aussi, aidez-nous à mettre en lumière les véritables responsables du « changement climatique d'origine humaine ». Le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, explique comment cela peut se faire de manière très pratique dans son discours récent : « Des updates pour Greta ! - Les vrais tueurs du climat » 10 février 2024 | www.kla.tv/28157
de ol.
Sources / Liens :
Hörer machen Programm:
https://www.mdr.de/nachrichten/deutschland/panorama/geo-engineering-klimawandel-flugzeuge-100.html
Schweizer Umweltministerin:
https://youtu.be/9rDmEY3tF3U
Schweizer Radio (SRF 4 vom 20.2.2015):
https://www.srf.ch/play/radio/popupaudioplayer?id=70c16bcd-e3a8-4ac1-9255-7c2db5a38780
Wetterbericht ZDF:
https://www.youtube.com/watch?v=Xot1EI4s6j0
Karsten Brandt (ab Minute 2:30):
https://www.youtube.com/watch?v=zbwE4icBlF0
ARD-Tagesschau und ZDF-Sendung-Zusammenschnitt: Zu Wettermanipulationen (HAARP und Chemtrails):
https://www.youtube.com/watch?v=zbwE4icBlF0
https://www.youtube.com/watch?v=EMfTXgJH2Fc
Interview mit Josefina Fraile:
https://www.youtube.com/watch?v=1pMMS9crybw
(Spanisch)
http://hastaloshuevos.es/geoingenieria-pacto-de-silencio-entrevista-josefina-fraile-terra-sostenible
(Deutsch, ab 8:16 Min.)
https://www.youtube.com/watch?v=zbwE4icBlF0
ENMOD-Konvention (Verbot von „Klimawaffen“):
https://www.radio-utopie.de/2011/03/11/kennen-sie-eigentlich-die-enmod-konvention-gegen-wetterwaffen-aus-dem-jahre-1976/
Militär beherrscht das Wetter bis 2025 (englische Quelle):
https://archive.org/details/WeatherAsAForceMultiplie
Informationsplattform zu Geo-Engineering (englische Quelle):
https://www.geoengineeringwatch.org/
https://www.kla.tv/fr
Une nouvelle enquête confirme que les vaccins sont, de loin, la première cause de maladies chroniques en Amérique
RépondreSupprimerPersonne ne devrait être vacciné. Jamais. Surtout pas pendant la grossesse. Et les vaccins sont également la première cause des problèmes d’orientation sexuelle. Les chiffres sont cohérents avec d’autres études publiées.
STEVE KIRSCH
03 avril 2024
Comprendre et surmonter l'hésitation à la vaccination - Décisions de planification préalable des soins (ACP)
C'est le meilleur choix pour tout le monde. C’est le moyen le plus simple, le plus simple, le moins coûteux et le plus efficace d’améliorer la santé de chacun.
Résumé exécutif
J'ai récemment demandé à mes lecteurs de me parler de leurs problèmes de santé chroniques.
La conclusion la plus importante est la suivante
Dans les 58 pathologies pour lesquelles nous avons demandé si nous disposions de données suffisantes pour calculer un rapport de cotes, le vaccin a toujours aggravé la pathologie.
En d’autres termes, la communauté médicale a fait marche arrière pendant des décennies. Si l’on combine cela avec la prise de conscience que les vaccins offrent un bénéfice trop faible pour être mesuré comme décrit ici pour les vaccins très acclamés contre la COVID et la grippe, il est clair que nous devrions arrêter la plupart, sinon la totalité, des vaccins.
En fait, pour les vaccins COVID, nous disposons de données FOIA montrant que les vaccins aggravent les choses et plus d’une douzaine de tentatives visant à demander des commentaires au bureau de santé publique du comté de Santa Clara ont été ignorées.
C’est fondamentalement la raison pour laquelle le NIH ne fera jamais d’étude comparant les personnes hautement vaccinées à celles qui ne le sont absolument pas : cela ferait exploser le récit et détruirait leur crédibilité.
Parmi les autres résultats importants de l’enquête figurent :
Il est 3,3 fois plus probable que vous souffriez d’une ou plusieurs maladies chroniques (OR 3,45 [IC à 95 % : 3,02-3,96]). La valeur p unilatérale était de 1,6e-78, ce que l’on ne voit pas très souvent. Cela signifie essentiellement que cela n’a pas été causé par le hasard.
Il est 7 fois plus probable que vous souffriez de 5 maladies chroniques ou plus nécessitant un traitement (médicaments ou thérapies) (OR 7,03 [IC à 95 % : 4,24-12,32]).
La probabilité d'avoir une anomalie congénitale est 4 fois plus élevée si la mère a été vaccinée pendant la grossesse (OR 4,31 [IC à 95 % : 2,39-7,51]). C’est un effet énorme. Près de 80 % des malformations congénitales sont causées par la vaccination de la mère pendant la grossesse (la valeur réelle est de 76,8 %).
RépondreSupprimerProbabilité 14,5 fois plus élevée de problèmes d'orientation sexuelle/dysphorie de genre chez les personnes de moins de 60 ans (RC 14,49 [IC à 95 % : 2,33 - 598,86]). C’est un résultat étonnant qui n’est pas discuté. Fondamentalement, 93 % des cas de problèmes d’orientation sexuelle sont causés par les vaccins.
La bonne nouvelle est que nous pouvons réduire les maladies chroniques en Amérique de 70 % avec un simple changement : dire aux gens d’arrêter de prendre les vaccins qui les rendent malades. C'est ça. Aucun nouveau médicament n’est nécessaire. Un seul changement de politique communiqué par le CDC. Cela pourrait littéralement arriver demain. Cela ne coûte rien.
Et il faut une transparence totale des données sur tous ces vaccins afin que les gens puissent voir à quel point ils ont été trompés.
Les données d’efficacité de tous les vaccins sont faciles à recueillir, mais nous ne sommes pas autorisés à accéder aux données pour réaliser les études. Cet article montre à quel point il est facile de dénoncer la fraude. Cette recherche peut être reproduite pour chaque maladie si le gouvernement rendait les données disponibles.
Données démographiques de l'enquête
Plus de 13 000 réponses, âge moyen=55
Répartition des deux groupes de comparaison que j'ai utilisés dans l'analyse :
Non vacciné : 2 355 réponses, âge moyen = 55 ans
Hautement vaccinés : 2 260, âge moyen = 49
63 conditions testées
44 affections présentaient un rapport de cotes (OR) >=2, ce qui signifie que les vaccins sont la principale cause de cette affection.
RépondreSupprimer14 affections avaient un OR de 1,3 à 2,0, ce qui signifie que les vaccins sont une cause importante de cette affection (23 % des cas ou plus sont attribuables à la vaccination)
Les 5 conditions restantes ne disposaient pas de données suffisantes pour calculer un rapport de cotes (valeur p > 0,05).
Liste des symptômes et tableau des rapports de cotes
Voici la liste des symptômes ainsi que les rapports de cotes et les valeurs p. Les valeurs >1 signifient que les vaccins ont rendu les gens en moins bonne santé. Des valeurs p > 0,05 signifient que le résultat n’est pas statistiquement significatif.
- voir cadre sur site -
Les lignes 61 et inférieures ont une valeur p > 0,05 et ne sont PAS statistiquement significatives (car l'effet est trop faible ou le nombre d'échantillons est trop petit ou les deux).
Travaux antérieurs
J'ai fait une enquête similaire auprès de 10 000 enfants de mes lecteurs. Vous pouvez comparer les tailles d’effet dans cette enquête par rapport à cette enquête.
Mais au fond, les résultats ont été les mêmes qu’ici : les vaccins ont aggravé la situation.
Téléchargement des données
Contrairement aux articles publiés dans la littérature évaluée par des pairs, mes données et mes analyses sont accessibles au public pour inspection. Il s’agit d’un concept nouveau qui est mal vu par la communauté médicale, c’est pourquoi elle le fait rarement.
Article annonçant l'enquête le 29 mars à 18h52 PST.
Formulaire d'enquête
Réponses (celles-ci sont mises à jour en direct)
Analyse de feuille de calcul Excel avec calcul OR, valeurs p et intervalles de confiance à 95 % (remarque : lorsque vous cliquez sur ce lien, la feuille de calcul sera téléchargée silencieusement dans votre dossier Téléchargements).
RépondreSupprimerNettoyage des données
J'ai masqué le champ d'âge de 18 entrées où le champ d'âge > 102 ou plus. Il s'agissait probablement d'une erreur de saisie de l'utilisateur.
Certains termes ont été modifiés au cours de l'enquête pour rendre les choses plus claires.
De nouveaux symptômes ont été ajoutés au cours de l’enquête, mais cela n’affecte pas les calculs de probabilités ; les taux d’incidence bruts ne seraient pas précis pour ces cas. Les taux d’incidence bruts n’ont pas été utilisés dans l’analyse.
À propos de l'enquête
J'ai collecté plus de 10 000 réponses en moins de 24 heures après le lancement.
L'âge moyen de tous les répondants était de 55 ans et de 49 ans pour les personnes entièrement vaccinées, de sorte que ces adultes se déclarant complètement vaccinés sont sous-vaccinés par rapport aux enfants d'aujourd'hui.
Cela signifie que nos enfants seront plus touchés négativement que les adultes (pour la plupart) interrogés dans notre enquête.
Ces rapports de cotes doivent donc être prudents.
L'enquête était-elle exacte ?
Mes résultats étaient cohérents avec les chiffres publiés dans la littérature évaluée par des pairs. Il y a un onglet sur la feuille de calcul pour que vous puissiez vérifier par vous-même. Vous pouvez donc m’énerver tant que vous voulez, mais vous devez expliquer pourquoi les chiffres étaient si cohérents si mon enquête n’était pas « scientifique » ou était biaisée.
Toutes les enquêtes comportent des biais. La question que vous devez vous poser est de savoir si le biais était suffisamment important pour faire une différence significative dans les résultats.
La meilleure façon d’évaluer les biais est de reproduire cette enquête auprès de ses abonnés. Mais j’ai du mal à trouver quelqu’un prêt à faire ça. Ils ne semblent pas intéressés à valider ou non mes résultats. Peut-être qu’ils ne veulent pas m’embarrasser ? Non. Ils ne veulent pas valider que j’ai bien compris. C’est la vraie raison.
RépondreSupprimerLes personnes qui ont répondu à mon enquête n’ont pas menti ; il n’y avait aucune incitation à le faire. Si vous pensez que mes personnes entièrement vaccinées ne sont pas représentatives (en arguant qu'elles sont devenues mes adeptes après avoir été blessées par le vaccin), alors vous pouvez comparer le taux d'incidence de ces maladies chez les personnes non vaccinées dans mon enquête par rapport à la population générale en utilisant d'autres sources. Il s’agit exactement de la même technique utilisée dans les études du Control Group. Lorsque vous faites cela, vous constatez que les disparités entre les taux d’incidence des personnes non vaccinées et de la population générale sont beaucoup plus importantes que dans mon enquête. Regardez les « graphiques de données de l’enquête pilote ». Voici l’un des graphiques :
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Mes résultats sont similaires à ceux trouvés dans l’enquête The Control Group. Pour éliminer les biais d’enquête chez les personnes entièrement vaccinées, ils ont simplement comparé les taux d’incidence aux taux d’incidence publiquement connus puisque presque toutes les personnes sont vaccinées.
Les valeurs OR trouvées dans mon étude étaient systématiquement INFÉRIEURES à celles de l’étude TCG.
En d’autres termes, mes conclusions sont conservatrices. Si l’enquête était impartiale, les résultats seraient encore pires pour les vaccins.
Mais personne ne veut contester mes propos en réalisant sa propre enquête. Cela n’arrivera jamais. Les non-scientifiques préfèrent les arguments brandis de la main qui ignorent les données qui ne correspondent pas à leur système de croyance. Les vrais scientifiques se concentrent sur la collecte de données et tenteraient de reproduire l’enquête auprès de différents publics.
Chaque étude comparant entièrement vaccinés et non vaccinés montre que les non vaccinés sont en meilleure santé. Ainsi, même si mon enquête est « biaisée », elle est clairement directionnellement correcte. La société a du mal à accepter la vérité. C’est le problème fondamental.
RépondreSupprimerRegarde cette video:
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Jeux
Dans les 13 000 premières entrées, je n’ai trouvé aucune entrée délibérément « jouée ».
Maintenant que l’enquête est publiée, il y a fort à parier que certaines personnes prendront sur elles de jouer avec les réponses. Alors garde cela en tête.
Contrôles positifs et négatifs
L'enquête comprenait des contrôles positifs et négatifs.
Le contrôle positif consistait à demander à quelqu’un s’il avait une blessure due au vaccin COVID. Ce OU « aurait dû » être infini parce que les personnes non vaccinées ne peuvent pas subir de blessures causées par le vaccin COVID ! Mais ce n’était pas à cause de l’excrétion du vaccin. Et il y avait probablement quelques personnes qui ont interprété « totalement non vacciné » comme « totalement non vacciné AVANT le déploiement des vaccins COVID. C’est pourquoi le bloc opératoire n’était « que » de 26.
Les contrôles négatifs étaient la maladie de Lyme, le syndrome de Down (désolé pour la faute de frappe dans l'enquête), les malformations congénitales et la BPCO. et le glaucome.
Je pensais aussi que les questions d’orientation sexuelle constitueraient un contrôle négatif, mais j’avais tort. Il s’agit finalement de l’un des signaux les plus forts (4e), comparable au tabagisme et au cancer du poumon.
Les malformations congénitales ne constituaient pas un contrôle négatif, car les personnes totalement non vaccinées avaient des parents qui ne croyaient pas à la vaccination. Ces parents n’ont pas vacciné la maman pendant la grossesse. C’est pourquoi le bloc opératoire était si élevé. La vaccination n’a pas provoqué d’anomalies congénitales, mais elle était corrélée au fait que la mère n’était pas vaccinée pendant la grossesse.
J'ai accidentellement mentionné la maladie de Lyme deux fois dans l'enquête initiale avant de découvrir l'erreur. Les résultats étaient cohérents. Cela s'est avéré être un contrôle supplémentaire intéressant montrant que les enquêtes n'étaient pas remplies au hasard. J'ai supprimé le doublon lorsque je l'ai découvert (après 10 000 réponses).
RépondreSupprimerRépliquer les résultats
La réplication est la clé. Une bonne science est avant tout une question de réplication.
Si les résultats de l’enquête sont reproduits auprès d’un ensemble différent de répondants, les conclusions seront difficiles à ignorer.
Il m'a fallu environ une heure pour coder l'enquête, moins de 24 heures pour attendre les résultats et 2 heures pour analyser les résultats.
Ce serait bien de répéter cette enquête auprès des abonnés d'une personne plus neutre, mais je n'ai trouvé personne prêt à prendre le risque de réputation en faisant la promotion de mon enquête auprès de ses abonnés.
Mais voici le problème…
Si les vaccins sont sûrs, pourquoi ne nous montrent-ils pas les données « correctes » ?
Ou donnez-nous simplement accès à la base de données VSD et nous ferons tout le travail !
Ils ne le feront pas, car cela détruirait la crédibilité de la Maison Blanche, de la communauté médicale, des agences gouvernementales, des autorités sanitaires et des grands médias.
C’est la véritable raison pour laquelle le NIH ne réalisera jamais d’étude comparant les résultats de santé entre les personnes entièrement vaccinées et celles totalement non vaccinées et pourquoi aucun média grand public n’abordera cette question (à l’exception des « vérificateurs de faits »).
C’est la même raison pour laquelle un projet de loi de la Chambre obligeant le NIH à réaliser une telle étude a été rejeté en commission : (voir HR 3069) : parce que cela serait préjudiciable au peuple américain s’il apprenait la vérité sur les vaccins.
RépondreSupprimerMini-tutoriel sur la fraction attribuable
La formule de la fraction attribuable (AF) est (OR-1)/OR.
Par exemple, un OR=2 aurait un AF=50 %.
Ce que cela signifie dans notre cas, c’est que si vous avez un OR de 2 ou plus, cela signifie que la moitié des cas sont causés par les vaccins.
Ainsi, pour les affections où OR>2, cela signifie que les vaccins sont la PLUS GRANDE cause de l’affection et si vous éliminez le vaccin, le taux de l’affection devrait diminuer d’un facteur 2 ou plus. Plus le OU est grand, plus la baisse est importante.
Les vaccins sont la première cause de maladies chroniques
Les personnes hautement vaccinées sont 3,3 fois plus susceptibles de souffrir d’une ou plusieurs maladies chroniques (OR 3,45 [IC à 95 % : 3,02-3,96]).
J'ai posé des questions sur 63 conditions différentes. Les vaccins n’ont réduit le risque d’aucune maladie chronique. Pas un seul.
44 symptômes avaient un OR de 2 ou plus. 58 avaient un OR de 1,2 ou plus. Les 5 autres n’étaient pas statistiquement significatifs.
Les personnes hautement vaccinées sont plus de 7 fois plus susceptibles de souffrir d’au moins 5 maladies chroniques nécessitant des médicaments ou d’autres thérapies pour être traitées (RC 7,03 [IC à 95 % : 4,24-12,32]).
Cet effet est très connu parmi mes abonnés, comme le démontre ce sondage :
- voir cadre sur site -
Toujours pas convaincu ? Regardez cette excellente courte vidéo qui parle des preuves scientifiques selon lesquelles les vaccins sont à l’origine du problème de santé, au lieu de le réduire :
- voir cadre sur site -
Et lisez cet excellent article de A Midwestern Doctor : Qu’est-ce qui rend tous les vaccins si dangereux ?
Vaccination pendant la grossesse
RépondreSupprimerAucune mère ne devrait se faire vacciner pendant la grossesse. Cela ne crée que de mauvaises nouvelles, notamment une augmentation de près de 5 fois du risque de malformations congénitales, entre autres, OR 4,31 [IC 95 % : 2,39-7,51].
Il est honteux que le CDC encourage les mères à se faire vacciner contre la COVID pendant qu’elles sont enceintes.
Cet effet est connu depuis des années. Joy Garner de The Control Group me l'a fait remarquer, c'était donc agréable de confirmer que le même effet s'est reproduit dans mon enquête.
Il existe une foule d’autres conditions qui sont augmentées par la vaccination pendant la grossesse. En voici quelques-uns et leurs rapports de cotes :
TDAH 2.4
Autisme 2.3
Maladies auto-immunes 1,9
Bipolaire 4.6
Malformation congénitale 4,5
Hémorragie cérébrale 3.2
Diabète (type 2)
Dyslexie 1.8
Maladie cœliaque 1,7
CSA 1.7
Crohn 3.7
Dépression 1.7
Allergies alimentaires 1,7
Trouble d'apprentissage 2.0
POTS 3.0
Trouble de la parole 3,6
Et si ça ne suffit pas, il y a ça
- voir cadre sur site -
Voici une capture d’écran du message indisponible qui a été référencé et qui soulignait les problèmes rencontrés dans l’essai Pfizer étudiant ce problème :
RépondreSupprimerVoir également:
Les conseils de grossesse du CDC sont terribles
Pfizer publie les résultats PARTIELS de son essai « Vaccin COVID pendant la grossesse ». Vraiment époustouflant. Ce n'était PAS sûr.
Et ce commentaire :
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Non, ce n'est pas une coïncidence. Bien sûr, cela était dû aux vaccins. Mais les médecins sont convaincus que cela n’a aucun rapport. Laisse-moi tranquille. Ce n’est ni normal ni aléatoire. Si vous êtes bloqué dans vos recherches, cela signifie que quelqu’un a une raison de vous cacher la vérité.
Problèmes d'orientation sexuelle
L'orientation sexuelle concerne les personnes par lesquelles vous êtes attiré et par qui vous vous sentez attiré sur le plan romantique, émotionnel et sexuel. C'est différent de l'identité de genre.
L'identité de genre ne dépend pas de qui vous attire, mais de qui vous ÊTES – un homme, une femme, un homosexuel, etc.
La dysphorie de genre est une détresse cliniquement significative causée lorsque le sexe de naissance attribué à une personne n'est pas le même que celui auquel elle s'identifie.
Il y avait une probabilité étonnante 14,5 fois plus élevée de problèmes d'orientation sexuelle/dysphorie de genre chez les personnes de moins de 60 ans (RC 14,49 [IC à 95 % : 2,33 - 598,86]). Fondamentalement, 93 % des cas de problèmes d’orientation sexuelle chez les moins de 60 ans sont causés par les vaccins.
Ceci est comparable à l’association entre le tabagisme et le cancer du poumon ; En général, le rapport de cotes entre le tabagisme et le cancer du poumon se situe entre 15 et 30. Il existe peu d’effets dans le monde qui soient plus puissants que cela.
Pour être causal, vous devez satisfaire aux critères de Bradford-Hill. L'élément clé à montrer est la plausibilité biologique, qui vous aide à déterminer la causalité par rapport à la corrélation.
C'est tellement évident. Si les vaccins entraînaient de meilleurs résultats en matière de santé, le CDC publierait une douzaine d’études sur son site Web. Ils n’en ont pas.
RépondreSupprimerLe NIH n’a jamais financé une telle étude et ne le fera jamais.
Ils ont tenté de faire adopter un projet de loi (HR 3069) au Congrès pour forcer le NIH à réaliser une telle étude, mais le projet de loi a été rejeté en commission. Pourquoi? Parce que le Congrès travaille pour les sociétés pharmaceutiques, pas pour le peuple.
Cela vous dit tout ce que vous devez savoir.
Voici un autre point de données à ce sujet… presque tout le monde souhaite mettre fin à la protection en matière de responsabilité des fabricants de vaccins :
Mais peu de membres du Congrès en parlent. Ce n’est pas un gouvernement du peuple. C'est un gouvernement de sociétés pharmaceutiques.
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Résumé
L’enquête a révélé que le moyen le plus simple, le moins cher, le plus sûr et le plus efficace d’améliorer considérablement la santé des populations partout dans le monde est d’arrêter de les vacciner.
La façon la plus simple de commencer est de :
Admettez que vous aviez tort.
Arrêtez la coercition dans les écoles, les entreprises et les commissions médicales.
Arrêtez la censure et les tactiques d’intimidation.
Mettre fin à la protection contre la responsabilité des fabricants de vaccins. C'est un permis de tuer.
Arrêtez de cacher les données de santé publique au public. Adoptez la transparence des données, par exemple, ouvrez les bases de données secrètes pour nous permettre de les interroger
Engagez le dialogue dans les forums publics où les deux parties peuvent se rencontrer pour résoudre leurs différends. Les gens qui sont d’accord avec moi le feront à tout moment. Mais pour une raison quelconque, personne de leur côté n’est disposé à nous parler. Nous ne résoudrons jamais nos différends en refusant d’engager un dialogue avec l’autre partie.
RépondreSupprimerLe reste prendra soin de lui-même.
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https://kirschsubstack.com/p/new-survey-confirms-that-vaccines?utm_source=post-email-title&publication_id=548354&post_id=143114791&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=9atnc&triedRedirect=true&utm_medium=email
La vaccination contre la grippe en début de grossesse est liée à un risque de fausse couche presque multiplié par huit
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
4 avril 2024
Note de l'éditeur : cet article est une réimpression. Il a été initialement publié le 26 septembre 2017.
La plupart des femmes enceintes savent qu’il faut s’abstenir de consommer de l’alcool, du tabac et d’autres toxines évidentes pour protéger l’enfant qui grandit dans leur ventre, mais qu’en est-il des vaccins ? On a demandé aux femmes enceintes de se faire vacciner de plus en plus, même s’il y a un manque choquant d’études pour confirmer la sécurité de la mère et de l’enfant.
Comme l'a noté Barbara Loe Fisher, présidente du Centre national d'information sur les vaccins (NVIC) dans son article de 2013, « Vaccination pendant la grossesse : est-ce sûr ? » :1
« Bien que depuis les années 1970, les responsables de la santé publique recommandent aux femmes enceintes de se faire vacciner contre la grippe au cours du deuxième ou du troisième trimestre2, relativement peu d’obstétriciens ont fait la promotion du vaccin jusqu’à la dernière décennie, lorsque, en 2006, les Centers for Disease Control (CDC) ont renforcé leurs recommandations selon lesquelles tous les femmes enceintes, en bonne santé ou non, devraient se faire vacciner contre la grippe à n’importe quel trimestre.3
[L]es recommandations vaccinales actuelles4,5,6 sont approuvées par le Congrès américain des obstétriciens et gynécologues (ACOG)7,8, l'American Academy of Pediatrics (AAP) et d'autres associations professionnelles médicales.9,10
Avec ces recommandations, la règle séculaire consistant à éviter toute exposition toxique potentielle susceptible d’interférer avec le développement normal du fœtus a été suspendue et remplacée par l’hypothèse selon laquelle la vaccination pendant la grossesse est sans danger.
Les vaccinations pendant la grossesse n’ont aucun fondement scientifique
Fisher continue en énumérant pas moins de 10 faits sur les vaccins concernant le manque de preuves de sécurité chez les femmes enceintes. Pour commencer, les sociétés pharmaceutiques n’ont pas testé l’innocuité et l’efficacité de l’administration du vaccin antigrippal aux femmes enceintes avant que les vaccins ne soient homologués aux États-Unis,11,12 et les données sur les réponses inflammatoires et autres réponses biologiques à la vaccination pendant la grossesse qui pourraient affecter l’issue de la grossesse et de l’accouchement. font toujours défaut.13
En ce qui concerne les preuves scientifiques, on ne sait toujours pas si le vaccin contre la grippe peut nuire au fœtus ou affecter votre capacité de reproduction14. C'est pourquoi la notice du produit du fabricant du vaccin indique que le vaccin contre la grippe ne doit être administré à une femme enceinte que s'il est "clairement nécessaire."
RépondreSupprimerOn attend essentiellement des femmes enceintes qu’elles s’en tiennent aux recommandations par pure foi, puisque les recommandations vaccinales ne sont pas fondées sur des preuves scientifiques solides. En fait, les statistiques sanitaires suggèrent qu’il se passe quelque chose de très grave aux États-Unis, étant donné que nous avons l’un des taux de mortalité maternelle et infantile les plus élevés au monde.
Depuis l’année dernière, les taux mondiaux de mortalité maternelle ont diminué de moitié – sauf aux États-Unis, où le nombre de femmes qui meurent de complications liées à la grossesse a considérablement augmenté.15 Les taux de mortalité infantile sont également bien plus élevés aux États-Unis que dans n’importe quel autre pays. des 27 autres pays riches surveillés par le CDC.16
Cela pourrait-il être lié au fait que les bébés et les femmes enceintes américaines reçoivent le plus grand nombre de vaccins ? Bien qu’aucune recherche ne le prouve clairement, il n’existe également aucune preuve permettant de réfuter l’hypothèse selon laquelle une vaccination excessive pourrait être une partie du problème.
Le vaccin contre la grippe peut être associé à un risque accru de fausse couche
En 2009, des rapports faisant état de fausses couches suite à l'administration du vaccin contre la grippe porcine H1N1 ont commencé à apparaître.17 Des dizaines de femmes ont affirmé avoir perdu leur bébé quelques heures ou quelques jours seulement après avoir reçu le vaccin, qui n'avait pas été testé sur des femmes enceintes ou, si c'était le cas, sur le vaccin. les preuves n’ont jamais été publiées. Il n’est pas surprenant que ces cas aient été présentés comme une coïncidence. Après tout, les fausses couches peuvent arriver, et pour diverses raisons.
En 2017, un article18,19 publié dans la revue Vaccine a une fois de plus soulevé la question de savoir s’il était sécuritaire de vacciner les femmes enceintes contre la grippe. Ils ont constaté que les femmes qui avaient reçu un vaccin contre la grippe pH1N1 deux années de suite étaient plus susceptibles de faire une fausse couche dans les 28 jours suivants.
RépondreSupprimerSi la plupart des fausses couches ont eu lieu au cours du premier trimestre, plusieurs ont également eu lieu au cours du deuxième trimestre. La durée médiane du fœtus au moment de la fausse couche était de sept semaines. Au total, 485 femmes enceintes âgées de 18 à 44 ans ayant fait une fausse couche au cours des saisons grippales 2010/2011 et 2011/2012 ont été comparées à 485 femmes enceintes ayant mené jusqu'à terme.
Sur les 485 femmes qui ont fait une fausse couche, 17 avaient été vaccinées deux fois de suite – une fois au cours des 28 jours précédant la vaccination et une fois au cours de l’année précédente. A titre de comparaison, sur les 485 femmes ayant eu une grossesse normale, seules quatre avaient été vaccinées deux années de suite. Bien que l’étude n’ait pas pu établir de lien de causalité direct, les chercheurs appellent à des recherches supplémentaires pour évaluer le lien. Commentant l'étude, financée par le CDC, Amanda Cohn, conseillère du CDC pour les vaccins, a déclaré :
« Je pense qu’il est vraiment important que les femmes comprennent qu’il s’agit d’un lien possible, et c’est un lien possible qui doit être étudié et examiné sur davantage de saisons [de grippe]. Nous devons comprendre s’il s’agit du vaccin contre la grippe, ou s’il s’agit d’un groupe de femmes [qui ont reçu des vaccins contre la grippe] qui étaient également plus susceptibles de faire des fausses couches.
À l’heure actuelle, le CDC n’apporte aucun changement à sa recommandation pour les femmes enceintes, qui stipule qu’elles doivent se faire vacciner contre la grippe quel que soit le trimestre dans lequel elles se trouvent.20 Il s’agit là d’une politique de santé publique répréhensible dans ce qu’elle a de pire. Sacrifiez la santé des femmes et de leurs enfants à naître pour que les entreprises puissent en tirer profit.
Souvenez-vous que l'ancienne directrice du CDC, Julie Gerberding, a quitté le CDC en 2009 pour devenir plus tard présidente de Merck Vaccines, poste qu'elle a occupé jusqu'en décembre 2014, date à laquelle elle est devenue vice-présidente exécutive des communications stratégiques, de la politique publique mondiale et de la santé de la population de Merck.
RépondreSupprimerLe Washington Post tente de minimiser l'impact de son rapport
Il n’est pas surprenant que les responsables de l’industrie du vaccin s’élèvent contre les résultats, et déjà des signes suggèrent que l’industrie fait pression pour étouffer l’information. L’article original publié par le Washington Post, écrit par Lena Sun, était intitulé « Des chercheurs découvrent un lien entre le vaccin contre la grippe et une fausse couche ». Ce titre a été rapidement remplacé par « Ce qu'il faut savoir sur une étude sur le vaccin contre la grippe et les fausses couches ».21
Notamment, cette modification a été effectuée sans divulguer la modification effectuée, ce qui est une pratique courante. Je ne serais pas du tout surpris si l’étude était retirée dans les semaines à venir en raison d’une lacune ou d’un défaut perçu, même s’il est pratiquement impossible de trouver une étude publiée qui ne soit pas insensible à de telles critiques. Comme l’a souligné J.B. Handley, cofondateur de Generation Rescue22 :
« Les grands médias font de leur mieux pour minimiser une étude dévastatrice montrant une forte corrélation (7,7 fois) entre les vaccins contre la grippe et les fausses couches. Une revue de la littérature scientifique montre un ensemble de preuves qui soutiennent les conclusions de la nouvelle étude.
Commentant spécifiquement l’évidente approche du Washington Post sur la pointe des pieds sur la question, il écrit :
« Bien que j'aie vu un certain nombre de façons différentes utilisées par les journalistes pour tenter de minimiser les implications d'études dommageables, le titre de Mme Sun pourrait bien remporter le gâteau : « Les chercheurs trouvent une trace d'un lien entre le vaccin contre la grippe et une fausse couche »… « indice » n'est pas un terme statistique et « indice » ne fournit en aucun cas une évaluation spécifique du risque.
« Indice » ressemble plus à un mot dont vous espérez qu'il empêchera les gens de lire votre article… [L]es conclusions réelles des auteurs de l'étude étaient profondément troublantes… [Un rapport de cotes est « une mesure de l'association entre une exposition et un résultat. Le OU représente la probabilité qu’un résultat se produise compte tenu d’une exposition particulière, par rapport aux chances que le résultat se produise en l’absence de cette exposition.
RépondreSupprimerEn clair, un rapport de cotes supérieur à 1 tendrait à impliquer que deux choses sont en fait liées (comme le tabagisme et le cancer du poumon). Quel était le rapport de cotes d'un avortement spontané pour les femmes qui avaient reçu un vaccin contre la grippe H1N1 en 2010 et 2011, puis un vaccin contre la grippe entre 2011 et 2012 ?
L’étude dit 7,7… ce n’est pas un « indice », c’est une alarme géante et inquiétante (c’est pourquoi le contrôle des dégâts est déployé en masse aujourd’hui). Les femmes qui avaient reçu les deux vaccins contre la grippe au cours de saisons successives étaient presque 8 fois plus susceptibles d’avoir un avortement spontané que celles qui ne l’avaient pas fait… »
L'innocuité du vaccin contre la grippe n'a pas été établie chez les femmes enceintes
L’article de Sun mérite une critique plus approfondie, à laquelle Handley répond également, à savoir sa déclaration selon laquelle le conseil du CDC de vacciner les femmes enceintes est « basé sur une multitude d’études antérieures ». Ce n’est tout simplement pas vrai, et vous pouvez le vérifier par vous-même (c’est ce que Sun aurait dû faire).
Bien que vous puissiez certainement prendre le temps de parcourir la littérature médicale, disponible sur PubMed par exemple, tout ce que vous avez à faire pour confirmer ou réfuter cette affirmation particulière est de consulter la notice d'un vaccin contre la grippe, qui vous indiquera que la sécurité et l’efficacité n’a PAS été établie chez la femme enceinte.
Cela signifie qu’aucune étude n’a montré que les femmes enceintes bénéficieraient de la vaccination contre la grippe. Il n’existe pas non plus d’études pour étayer l’affirmation selon laquelle se faire vacciner pendant la grossesse est en fait sans danger.
Si quelque chose n’est pas établi, la question reste largement ouverte au débat. Prétendre autre chose, c’est simplement émettre des opinions. Handley fournit la capture d’écran suivante, montrant les petits caractères d’une notice de 2016 pour le vaccin Fluzone Quadrivalent de Sanofi Pasteur, qui est systématiquement administré aux femmes enceintes.
RépondreSupprimer- voir cadre sur site -
Source : Green Med Info, « Une étude dévastatrice sur les fausses couches liées au vaccin contre la grippe suscite une tournure ridicule », 14 septembre 2017.
La fiche d’information patient23 de la société pour ce vaccin souligne également que « Sanofi Pasteur Inc. recueille des informations sur l’issue de la grossesse et la santé des nouveau-nés après la vaccination avec Fluzone Quadrivalent pendant la grossesse ». En d’autres termes, partout dans le monde, les femmes enceintes participent à une expérience incontrôlée en cours.
Ils ne le savent tout simplement pas, et des articles comme celui de Sun perpétuent la fausse idée selon laquelle « une multitude » d’études ont déjà établi la sécurité et l’efficacité de la vaccination contre la grippe pendant la grossesse.
Les vaccinations successives contre la grippe dépriment la fonction immunitaire
Nous savons en fait que les vaccinations successives contre la grippe ont des conséquences néfastes sur la fonction immunitaire, augmentant le risque d’infections plus graves au fil du temps, y compris la possibilité de fausse couche si vous êtes enceinte.
Par exemple, une étude24 publiée dans Human & Experimental Toxicology en 2012, basée sur les rapports de la base de données du Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) au cours de trois saisons grippales consécutives, à commencer par la saison 2008/2009, a révélé « un taux de grippe corrigé par vérification ». 590 rapports de perte fœtale par million de femmes enceintes vaccinées (soit 1 pour 1 695).
Des chercheurs canadiens ont également découvert que les personnes qui reçoivent des vaccins consécutifs contre la grippe saisonnière commencent à voir leur protection contre la grippe diminuer. Tel que rapporté par CBC News en janvier 2015 :25
« Durant la pandémie de grippe H1N1 de 2009, des chercheurs du B.C. Le Center for Disease Control pensait à l’origine que les vaccins contre la grippe saisonnière de 2008 pourraient offrir une protection supplémentaire contre la nouvelle souche pandémique. Ils ont été perplexes de constater que la vaccination contre la grippe saisonnière doublait presque le risque d’infection par la grippe pandémique.
RépondreSupprimerLe Dr Danuta Skowronski et ses collègues ont mené cinq autres études au cours de l’été qui ont montré le même effet chez l’homme et chez le furet, considéré comme le meilleur modèle animal de grippe.
Il est imprudent de vacciner les femmes enceintes
La médecine a toujours eu pour principe de ne pas vacciner les femmes enceintes, sauf dans des cas extrêmes, car le risque pour le bébé de se développer dans l'utérus est trop élevé. Cependant, cette politique a été ouvertement violée.
Des recherches ont montré que la stimulation du système immunitaire d’une femme au cours d’une grossesse à mi-terme et plus tard augmente considérablement le risque que son bébé développe l’autisme26 pendant l’enfance et/ou la schizophrénie à l’adolescence ou au début de l’âge adulte.27
Cela peut également augmenter le risque de convulsions chez le bébé, et plus tard, à l’âge adulte.28 En fait, un certain nombre de problèmes neurodéveloppementaux et comportementaux peuvent survenir chez les bébés nés de femmes immunologiquement stimulées pendant la grossesse.29,30,31
Malgré de telles preuves, l’ACOG a publié un avis le 13 septembre, le jour même de la publication de l’étude en vedette, affirmant qu’il est parfaitement sûr de recevoir le vaccin contre la grippe pendant la grossesse, peu importe ce que suggère l’étude publiée dans le journal Vaccine. Selon le communiqué de presse de l’ACOG32 :
« La sécurité des vaccins utilisés pendant la grossesse est une préoccupation majeure pour les gynécologues-obstétriciens. L'ACOG suit attentivement les informations sur la sécurité des vaccins liées à la grossesse grâce à sa participation au Comité consultatif national sur les vaccins (NVAC) par l'intermédiaire du ministère américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) et au Comité consultatif sur les pratiques d'immunisation (ACIP) par l'intermédiaire des Centers for Disease Control et Prévention (CDC).
Depuis de nombreuses années, l'ACOG et le CDC recommandent que chaque femme enceinte reçoive un vaccin contre la grippe au cours de n'importe quel trimestre. De multiples études publiées, ainsi que l’expérience clinique, soutiennent toutes la conviction selon laquelle le vaccin contre la grippe est sûr et efficace pendant la grossesse.
RépondreSupprimerComme vous pouvez le constater, même l'ACOG affirme qu'il existe « plusieurs études publiées » démontrant que la vaccination contre la grippe est sans danger pendant la grossesse, malgré le fait que les fabricants de vaccins nient de telles allégations dans leurs notices d'emballage - et que les fabricants de vaccins sont empêchés, par la loi fédérale, de le faire. de tout à fait couché dans leur notice.
Les règles sont apparemment plus souples pour tout le monde. Dans l’ensemble, il s’agit d’une expérience géante sur des femmes enceintes et des nourrissons – ce que Sanofi Pasteur admet même dans sa fiche d’information destinée aux patients – et elle est motivée par la cupidité de l’industrie pharmaceutique et le pouvoir institutionnel, infectés par le déni.
Pourquoi vacciner les nouveau-nés avec un vaccin injustifiable ?
Si vacciner les femmes enceintes n’est pas assez pénible, administrer aux nouveau-nés, même aux prématurés et aux bébés de faible poids de naissance, une vaccination totalement inutile et risquée dès le premier jour de la vie peut être encore pire. Le 28 août 2017, l'AAP a recommandé que les nouveau-nés pesant au moins 2 000 grammes (4,4 livres) reçoivent leur première dose de vaccin contre l'hépatite B dans les 24 heures suivant la naissance.33
Le Comité consultatif du CDC sur les pratiques d’immunisation a commencé à formuler des recommandations en octobre 2016, et l’AAP emboîte désormais le pas. Je ne peux pas penser à un vaccin plus inutile et injustifiable que celui contre l’hépatite B chez un nourrisson pesant seulement 4 livres. L'hépatite B se transmet par l'abus de drogues IV, une activité sexuelle avec un partenaire infecté, une transfusion sanguine utilisant du sang contaminé ou par une mère hépatite B positive.
Cette recommandation est médicalement injustifiable, absolument irrationnelle et n’a aucun fondement scientifique. La menace singulière de cette maladie pendant la petite enfance est la naissance d'un enfant d'une mère infectée. Puisque c’est le cas, pourquoi ne pas dépister la maladie chez toutes les femmes enceintes et ne donner le vaccin qu’aux nourrissons dont les mères sont réellement testées positives pour l’hépatite B ?
Ce genre de politique rationnelle révisée serait beaucoup moins coûteuse et bien plus sûre pour la majorité des bébés nés aux États-Unis. L'AAP admet que « la dose à la naissance du vaccin contre l'hépatite B constitue un filet de sécurité essentiel pour les nourrissons nés de mères infectées lorsque les résultats de la mère ne sont pas obtenus, sont mal interprétés, sont faussement négatifs, sont transcrits ou rapportés de manière inexacte, ou ne sont pas communiqués au équipe de soins aux nourrissons.
RépondreSupprimerEn d’autres termes, parce que les dossiers médicaux sont dans un tel désarroi et qu’il est tout simplement impossible de prédire l’observance future de vaccins douteux, vaccinons simplement tous les bébés au lieu d’essayer de déterminer si la mère pourrait être séropositive au virus B. Ce genre d’attitude n’inspire vraiment pas confiance dans la tenue de dossiers médicaux de base – surtout si la mère subit effectivement un test pendant sa grossesse.
Si les faux négatifs sont vraiment très préoccupants, il suffit de la tester deux fois, par exemple lors de son premier examen obstétrical, puis à nouveau juste avant l'accouchement. Deux faux négatifs sont peu probables, et s’ils ne peuvent pas suivre les résultats des tests obtenus au cours des neuf derniers mois, alors il y a vraiment autre chose à régler.
Sans surprise, le vaccin contre l’hépatite B34 a également été scientifiquement associé à 69 maladies différentes et à leurs conséquences néfastes, y compris la mort. Une étude de 200135, qui a évalué les effets indésirables associés au vaccin contre l’hépatite B chez les enfants de moins de 6 ans, a conclu que « le vaccin contre l’hépatite B est positivement associé à des effets néfastes sur la santé de la population générale des enfants américains ».
Votre corps possède deux systèmes immunitaires différents
En matière de vaccination, il est important de réaliser que deux parties du système immunitaire combattent les maladies dans votre corps. L’un est le système immunitaire inné qui est toujours prêt à travailler et l’autre est le système immunitaire adaptatif.
Le bras adaptatif se compose de Th1 et Th2. Th1 est communément appelé bras à médiation cellulaire, et Th2 est connu sous le nom de bras humoral ou anticorps. La plupart des vaccins stimulent préférentiellement la partie Th2 ou humorale du système immunitaire qui produit les anticorps.
L’avantage de mesurer uniquement l’immunité humorale (anticorps) comme moyen de mesurer l’efficacité du vaccin est qu’elle peut être facilement déterminée par prélèvement d’échantillons de sang. Si des anticorps spécifiques induits par le vaccin sont présents, la personne est présumée immunisée contre cette infection et protégée.
RépondreSupprimerL’intérêt des vaccins est de stimuler la production d’anticorps sans qu’une réaction à médiation cellulaire ne la précède. La théorie remonte aux premiers jours où l’on croyait que le bras humoral (anticorps) du système immunitaire était l’élément le plus important de la stimulation de l’immunité.
Cependant, la recherche révèle que les individus qui, en raison d’une anomalie génétique, sont incapables de produire des anticorps, se rétablissent en réalité d’une maladie infectieuse tout aussi bien que ceux qui sont capables de produire des anticorps normaux.36 Ils bénéficient également généralement d’une protection future en cas de réexposition.
Cela démontre l’importance du volet Th1 de l’immunité et suggère que l’immunité humorale ne pourrait jouer qu’un rôle secondaire dans la résistance naturelle contre des maladies ciblées « évitables par la vaccination ».
Ceci, ajouté au fait que les vaccins ne parviennent pas à conférer une immunité à vie, suggère qu’une réponse à médiation cellulaire est nécessaire. De plus, les recherches suggèrent que lorsque les Th2 sont excessivement stimulées par la vaccination, votre fonction immunitaire peut être compromise à long terme, vous rendant ainsi plus vulnérable au cancer.
Les maladies auto-immunes impliquent une production excessive d’anticorps tandis que le cancer implique une défaillance immunitaire à médiation cellulaire. C’est pourquoi les thérapies qui stimulent le système immunitaire à médiation cellulaire ou inné, comme les toxines de Coley, peuvent être utiles contre le cancer. Cela suggère que notre politique vaccinale moderne, qui constitue une attaque à grande échelle contre le système immunitaire à médiation cellulaire, est un facteur contribuant à bon nombre des maladies chroniques que nous observons.
Il existe également des dizaines d'études démontrant que contracter certaines maladies infantiles vous protège réellement contre divers types de cancer plus tard dans la vie, du mélanome à la leucémie. Il existe même des preuves suggérant que les maladies infantiles aident à protéger contre de futures maladies cardiaques.
RépondreSupprimerCes études et des centaines d’autres peuvent être trouvées dans le livre de Neil Z. Miller, « Miller’s Review of Critical Vaccine Studies : 400 Important Scientific Papers Summarized for Parents and Researchers ». Si vous hésitez en matière de vaccination, c’est un livre à ne pas manquer.
Sources and References
1 NVIC.org November 9, 2013
2 Osterholm MT, Kelley NS, Manske JM et al. The Compelling Need for Game-Changing Influenza Vaccines. CIDRAP October 2012
3 CDC. Prevention and Control of Influenza. Recommendations of the ACIP. MMWR July 28, 2006 / 55(RR10);1-42
4 CDC. Prevention and Control of Seasonal Influenza with Vaccines: Recommendations of the ACIP — U.S., 2013–2014. MMWR Sept. 20, 2013; 62(RR07);1-43
5 CDC. Influenza Vaccination Coverage Among Pregnant Women – United States, 2012-2013 Influenza Season. MMWR Sept. 27, 2013; 2(38): 787-792
6 CDC. Updated Recommendations for Use of Tetanus Toxoid, Reduced Diphtheria Toxoid, and Acellular Pertussis […]. MMWR Feb. 22, 2013 / 62(07);131-135
7 ACOG, The Flu Vaccine and Pregnancy
8 Obstet Gynecol. 2018 Apr;131(4):e109-e114
9 Department of Health and Human Services (DHHS). Influenza Vaccination of Pregnant Women Letter so-signed by American Academy of Pediatrics
10 Pediatrics (2023) 152 (5): e2023062664
11 Gruber MF. Maternal Immunization: US FDA Regulatory Considerations. Vaccine 2003; 21(24): 3487-3491
12 CDC. Updated Recommendations for Use of Tetanus Toxoid, Reduced Diphtheria Toxoid and Acellular Pertussis […]. MMWR Oct. 21, 2011 / 60(41);1424-1426
13 Christian LM, Iams JD, Porter K, Glaser R. Inflammatory Responses to Trivalent Influenza Virus Vaccine Among Pregnant Women. Vaccine 2011; 29(48): 898
14 NVIC.org. What Is Influenza (Flu) Vaccine?
15 Obstetrics and Gynecology, 2016; 128(3):447-455
16 National Vital Statistics Report, August 6, 2015; 64(9): 1-6
17 Organic Health November 11, 2009
18 Vaccine September 25, 2017; 35(40): 5314-5322
19 Fortune September 13, 2017
20 U.S. News September 13, 2017
21 The Washington Post September 13, 2017
22 Green Med Info, September 14, 2017
23 National Library of Medicine, Fluzone Quadrivalent Sanofi Pasteur Inc.
24 Human & Experimental Toxicology September 27, 2012
25 CBC News January 16, 2015
26 Excessive Vaccination and Autism, Russel Blaylock MD (PDF)
27 Journal of Neuroscience 2007; 27: 10695-10702
28 Journal of Neuroscience 2008; 28: 6904-6913
29 Brain Behavior and Immunity 2001; 15: 411-420
30 Biological Psychiatry 2006; 59: 546-554
31 Brain Behavior and Immunology 2006; 20: 378-388
32 ACOG, September 13, 2017
33 AAP News August 27, 2017
34 Green Med Info, Diseases Researched for Vaccination: Hepatitis B
35 Annals of Epidemiology 2001 Jan;11(1):13-21
36 Journal of Infectious Diseases 2004: 190 (5): 998-1005
https://www.lewrockwell.com/2024/04/joseph-mercola/flu-vaccination-during-early-pregnancy-linked-to-nearly-eightfold-risk-of-miscarriage/
« Donc, du point de vue du consommateur, nous devons nous inquiéter de la présence d'un virus vivant dans la viande que nous introduisons dans notre corps.
RépondreSupprimer« Et en tant que producteurs, nous devons nous soucier de la santé de nos animaux… »
Il prévient ensuite que le fait de pomper le bétail avec des vaccins dangereux « finira par nous détruire, détruire notre troupeau et détruire notre entreprise dans son ensemble ».
Avertissements des éleveurs et des médecins
Aux États-Unis, d’autres éleveurs et médecins mettent également en garde contre les dangers. Le médecin et éleveur Brooke Miller met également en garde contre les immenses dangers du traitement par ARNm sur les animaux de ferme. Sur son blog, il écrit :
Il n’y a pas si longtemps, j’ai reçu un e-mail d’un ami contenant des documents qui, selon moi, constituent une forme de propagande de la part de groupes de l’industrie de l’élevage. Ces matériels font partie d’un effort plus vaste visant à faire accepter parmi les éleveurs l’utilisation de la technologie des vaccins à ARNm actuellement développée pour le bétail.
Il discute également de ces sujets avec l'inventeur de la technologie de l'ARNm, le Dr. Robert Malone – la vidéo peut également être vue et entendue dans le billet de blog. Il continue d'écrire :
Un développement notable à cet égard s'est produit lors de la réunion annuelle de la US Cattlemen's Association, qui s'est tenue les 1er et 2 décembre 2023 à Fort Worth, au Texas. Lors de cette réunion, une résolution a été adoptée qui s’oppose clairement à l’utilisation de la technologie de l’ARNm dans l’élevage. De plus, la résolution appelle à une transparence totale et ouverte dans toutes les recherches liées à ces « vaccins ». L'adoption de cette résolution témoigne des profondes inquiétudes qui existent dans notre communauté.
Il existe désormais un « vaccin » à ARNm approuvé pour les porcs. Apparemment, il n'est pas utilisé actuellement. Les organisations de santé animale et les organisations pharmaceutiques de santé animale mènent des recherches continues depuis un certain temps. Si l'OMS déclare soudainement l'état d'urgence en vertu des nouveaux pouvoirs actuellement discutés à travers les modifications du Règlement sanitaire international, alors son directeur général, le Dr. Ghebreyesus exige également la vaccination obligatoire des animaux. Et ils pourraient proposer une urgence, comme la fièvre aphteuse, et essayer d’imposer ces vaccinations.
RépondreSupprimerAvertissements du scientifique DDr. Siguna Mueller
C’est la raison pour laquelle l’OMS et l’UE continuent de parler de « One Health » afin de pouvoir enregistrer à la fois les animaux d’élevage et les animaux sauvages.
Dans l’article Sur la « perte » des vaccins à ARNm – distribution incontrôlée, DDr. Siguna Mueller souligne les dangers de la propagation de l’ARNm du vaccin par excrétion. Il existe désormais également une publication en prépublication intitulée « Les vaccins à ARNm existants et émergents et leur impact environnemental – une évaluation transdisciplinaire », le scientifique souligne les dangers pour l'environnement de la vaccination à ARNm des humains et des animaux.
Elle le souligne sur son blog :
Ce que j’ai découvert jusqu’à présent sur leurs risques environnementaux potentiels est bien plus préoccupant que je ne le pensais auparavant. Comme cela n’a pas fait l’objet d’une enquête approfondie, j’espère que je me trompe. Toutefois, si je me trompe, nous serons confrontés à des conséquences graves et irréversibles. Cela pourrait avoir un impact sur la santé de l'ensemble de l'écosystème et détruire les efforts d'agriculture biologique et sans OGM (que restera-t-il qui ne soit pas contaminé ?!). Ironiquement, il y a de bonnes raisons de croire que cela déclenchera également l’évolution de nouveaux agents pathogènes dans l’environnement.
Et quel sera l’impact socio-économique et politique ? Y aura-t-il de nouveaux confinements en raison des craintes de nouveaux événements « zoonotiques », en partie favorisés par les micro-organismes vaccinés ?
RépondreSupprimerL’OMS et ses responsables ont insisté à plusieurs reprises sur le fait que tout le monde – humains et animaux – devait être vacciné. Le prétexte est d'éviter que les dangers causés par les maladies animales ne se propagent à l'homme. Cependant, il est beaucoup plus probable que l’ARNm du vaccin se propage à l’ensemble de l’environnement.
https://tkp.at/2024/04/04/gefahren-durch-mrna-impfung-von-schweinen-und-rindern-fuer-umwelt-und-nahrungssicherheit/
GRIPPE AVIAIRE : PSY OP OU LA VRAIE AFFAIRE ?
RépondreSupprimerPAR LA COMPAGNIE DE BIEN-ÊTRE
2 avril 2024
Comme sur des roulettes, alors que nous nous dirigeons vers une nouvelle saison électorale, l’establishment médical et les grands médias tirent la sonnette d’alarme sur une autre pandémie potentielle : la grippe aviaire.
Quelques jours seulement après que la grippe aviaire s'est propagée aux vaches, on a appris que deux personnes au Texas avaient été infectées. Selon le Daily Mail, cette évolution inquiète les responsables de la Maison Blanche de Biden,
La Maison Blanche est en alerte rouge concernant la grippe aviaire après que les autorités sanitaires ont révélé qu'un producteur laitier texan avait contracté une souche mortelle de grippe aviaire provenant d'une vache.
Ce patient n'est que le deuxième Américain à recevoir un diagnostic de H5N1, mais le virus se propage parmi les bovins dans plusieurs États américains après avoir sauté des oiseaux.
L'inquiétude concernant la propagation de la grippe aviaire à l'homme s'est encore accrue lorsque le CDC a admis que le virus avait muté, permettant ainsi au virus de se propager plus facilement.
Bien que l’inquiétude grandisse au sein de l’establishment médical, nombreux sont ceux qui s’interrogent sur la réalité de la menace de propagation de la grippe aviaire – et certains se demandent ouvertement si cette pandémie potentielle n’est guère plus qu’une opération psychologique opportune. destiné à recueillir le soutien du Traité sur la pandémie de l'OMS et d'autres mesures controversées de réponse à la pandémie.
Selon le Dr Kelly Victory, chef de la médecine d'urgence et de catastrophe du conseil médical en chef du TWC,
La grippe aviaire est un signal d'alarme : ils montent sur le mât du drapeau tous les 12 à 18 mois. À l’heure actuelle, cela ressemble à des « épidémies » récentes qui affectent principalement les travailleurs de la volaille, avec peu de preuves d’une transmission interhumaine appréciable. Cela étant dit, cela nous rappelle que nous devons toujours être préparés et favoriser l’autonomie en cas d’urgence. Nous avons toutes les raisons de croire, par exemple, que l’ivermectine, l’hydroxychlorquine, l’azithromycine, le budésonide, etc. couvriront un large éventail de maladies virales et bactériennes, car elles ne sont certainement pas « spécifiques au covid ». Garder ces médicaments à portée de main permet aux gens d’être libérés de l’emprise de BigPharma qui voudrait leur faire croire que chaque nouvel agent pathogène ou épidémie saisonnière nécessite un nouveau traitement, ainsi que du chaos et de l’incertitude qui accompagnent généralement les alertes de santé publique.
Un nouveau rapport détaille le coût horrible des échecs de Fauci
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 03 AVR 2024 - 23H40
Rédigé par Ian Miller via le Brownstone Institute,
Dans la période post-pandémique de Covid, il y a maintenant un effort concerté pour comprendre et expliquer les dommages qui ont été causés par notre capitulation devant la réaction hystérique excessive et la portée excessive des « experts ». Il y a une longue liste d’échecs politiques à examiner ; les mandats de masques ont été un désastre qui n’a absolument rien apporté de valeur, mais a plutôt conduit à d’énormes dommages, dont beaucoup continuent aujourd’hui.
Les enfants ont été contraints de porter des masques pendant des années, des millions de personnes portent encore des masques en voyage ou dans les magasins et les restaurants, convaincues en permanence du mensonge délibéré selon lequel les masques sont des outils de prévention efficaces. Le plus inquiétant est peut-être que les travailleurs de la santé des villes bleues doivent encore souvent porter un masque. Certains hôpitaux exigent le port du masque en permanence depuis 2020, tandis que d'autres appliquent désormais des mandats continus basés sur les illusions des administrateurs et des autorités expertes.
Les recherches sur le coût économique de bon nombre de nos politiques et mandats liés au Covid sont toujours en cours, mais un nouveau rapport extrêmement détaillé sur les fermetures d’écoles a créé un contexte horrible montrant à quel point le plaidoyer d’Anthony Fauci a été dommageable pendant la pandémie.
Toutes nos politiques Covid ont échoué
La recherche commence par une reconnaissance évidente des échecs survenus en raison des mandats Covid. Malgré des politiques très différentes, il n’y avait pratiquement aucune différence dans les résultats entre les pays.
« À partir des preuves disponibles, il est difficile d’identifier les réponses spécifiques à la pandémie qui ont conduit à de meilleurs résultats », écrivent-ils. « Les pays ont clairement répondu aux défis de manières très différentes, depuis l’absence de fermeture d’écoles (Suède) jusqu’à plusieurs années de fermeture (Ouganda et Indonésie). Pourtant, de simples statistiques telles que la durée des fermetures d’écoles ou les politiques de santé globales ne peuvent pas expliquer une grande partie de la variance des résultats.
Confinements, masques obligatoires, passeports vaccinaux… rien de tout cela n’avait d’importance et n’explique pas non plus les écarts dans les résultats entre les pays. Pourquoi? La réponse évidente est qu’aucune de ces politiques n’avait la moindre chance d’empêcher la transmission d’un virus respiratoire hautement infectieux.
RépondreSupprimerAu lieu de cela, l’explication probable de la variance des résultats se résume à des différences dans la prise en compte des cas et des décès de 'Covid', des données démographiques sous-jacentes en matière de santé et d’âge, ou à l’immunité préexistante due à l’exposition à des coronavirus similaires, ce qui était presque certainement la raison pour laquelle les pays d’Asie ont obtenu de bons résultats. mieux que les pays occidentaux au début de la pandémie, mais a été commodément ignoré au profit des « experts » qui maintiennent le vœu pieux selon lequel la « culture du masque » était responsable.
Quelle que soit l’explication, le fait qu’il n’existe pas de facteur cohérent auquel attribuer de meilleurs résultats est en soi une mise en accusation de nos politiques et mandats liés à la Covid. S’il est impossible de définir pourquoi un pays a fait mieux ou moins bien qu’un autre, rien ne devrait justifier le maintien des restrictions. Si seulement quelqu’un l’avait dit à Fauci ou à ses alliés de l’establishment de la santé publique en 2020-2021, ils ont plutôt critiqué avec force toute opposition qui comprenait la réalité, comme le gouverneur de Floride, Ron DeSantis.
Les fermetures d’écoles ont causé des dommages inimaginables
Les chercheurs ont passé la majeure partie de leur temps à tenter d’évaluer les nombreux dommages causés par l’une des politiques les plus inexcusables de la pandémie : la fermeture des écoles. Et les résultats de leurs estimations sont époustouflants.
« Sur la base des recherches disponibles sur les revenus à vie associés à davantage de compétences, l’élève moyen scolarisé pendant la pandémie perdra 5 à 6 % de ses revenus à vie », ont-ils découvert. « Parce qu’une main-d’œuvre moins qualifiée entraîne une croissance économique plus faible, le pays perdra quelque 31 000 milliards de dollars (en termes de valeur actuelle) au cours du XXIe siècle. Cette perte économique globale est supérieure au PIB américain sur un an et éclipse les pertes économiques totales dues au ralentissement de l’économie pendant la pandémie ou à la récession de 2008. »
Ce n’est pas une erreur d’impression : 31 000 milliards de dollars.
RépondreSupprimerLes syndicats d’enseignants, Fauci, le CDC et les politiciens ont tous veillé à ce que l’économie américaine soit décimée au siècle prochain parce qu’ils ont refusé d’admettre qu’ils avaient tort sur tout cela. Alors que le coût de la vie monte en flèche en raison d'une inflation galopante, également causée par notre incompétence et notre ignorance malveillante et délibérée, les enfants contraints d'apprendre en raison de la fermeture des écoles seront irrémédiablement pénalisés, ce qui leur coûtera des centaines de milliers, voire des millions de revenus tout au long de leur vie.
Il est facile de suggérer que ces préjudices pourraient peut-être être effacés ou atténués avec le temps. Les chercheurs ont également abordé ce problème, mais ils n’ont pas réussi à donner beaucoup d’espoir pour l’avenir.
« Enfin, nous fournissons quelques observations sur la récupération après les pertes d’apprentissage. L’histoire suggère que ces pertes seront probablement permanentes à moins que les écoles ne deviennent meilleures qu’elles ne l’étaient avant la pandémie », concluent-ils.
Avec des militants politiques totalement incompétents comme Randi Weingarten qui contrôlent les écoles, des politiques honteuses du DEI qui infiltrent tous les aspects de l'éducation publique, le manque de reconnaissance de Fauci et d'autres organisations selon lesquelles les mandats de Covid étaient un échec et la capture idéologique complète du système éducatif, il est impossible de on peut raisonnablement s’attendre à ce que les écoles « deviennent meilleures qu’elles ne l’étaient ».
Les dégâts qu’ils ont causés sont gravés – pour toujours.
Une fois de plus, la Floride offre une alternative
Il est important de noter que les résultats des fermetures d’écoles varient selon les régions. Dans les États d’extrême gauche comme la Californie, New York, le New Jersey et l’Illinois, les fermetures d’écoles ont persisté jusqu’en 2021.
Mais la Floride a été l’un des rares États, et peut-être le seul grand, à faire de la réouverture des écoles une priorité, malgré les objections des syndicats d’enseignants et des médias qui ont tenté de qualifier le gouverneur de « DeathSantis ».
Et cela va payer, relativement parlant. Un chiffre présenté dans l’étude montre que la perte économique de la Floride en termes de PIB est presque égale à celle de la Pennsylvanie, malgré une population qui est près de 75 % plus nombreuse que celle de la Pennsylvanie. Et les pertes estimées de la Californie, à environ 1 300 milliards de dollars, sont de plus de 116 % supérieures à celles de la Floride, bien plus importantes que la différence de population. De même, les pertes économiques de l’État de New York dépassent de loin celles de la Floride, malgré une population plus réduite.
RépondreSupprimerDeSantis a suivi la science actuelle, a écouté des conseillers experts extérieurs compétents et, par conséquent, par rapport à d’autres grands États, la Floride devrait en bénéficier massivement à l’avenir. Il s’agit encore une fois d’un autre acte d’accusation clair contre les États bleus qui ont choisi de suivre le plan Fauci vers un désastre économique.
Et ne vous y trompez pas, c'est un désastre.
Aucune responsabilité en cas d'échec
Les chercheurs ont comparé le désastre de la perte d’apprentissage à la récession de 2008, montrant que la réponse au Covid est responsable de dégâts bien plus importants que ce cycle économique.
« L’attention déséquilibrée portée aux pertes du cycle économique dues à la récession de 2008 et à la pandémie est surprenante une fois que nous voyons les chiffres comparables des pertes d’apprentissage liées à la pandémie », ont-ils écrit. « Les pertes économiques dues à la perte de capital humain sont six fois supérieures aux pertes totales de la récession de 2008, qui a été qualifiée de plus grande récession depuis la Grande Dépression. »
C’est stupéfiant. Six fois les pertes totales de la récession de 2008, déjà considérée comme l’une des pires de l’histoire économique moderne. Tout cela parce que Fauci et sa bande d’« experts » ont saisi l’occasion d’imposer leur programme de contrôle à une société docile. Et aussi parce qu’ils refusaient d’admettre leur échec alors que beaucoup essayaient désespérément de les dénoncer.
Il s’agit d’un ensemble de décisions historiques et inexcusables qui ont des conséquences durables, tant sur le plan culturel que sur le plan économique. Une perte de 31 000 milliards de dollars correspond à une perte de PIB exclusivement due aux fermetures d’écoles. Cela ne tient même pas compte de la perte de revenus d’entreprise, du recul de plusieurs années en termes de nouvelles affaires ou de la perte de PIB due aux adultes qui ont abandonné leurs projets de carrière ou d’autres activités par désespoir ou par manque d’opportunités.
RépondreSupprimerLes dégâts causés par les « experts » sont incalculables. Mais les tentatives pour le calculer ont abouti à des estimations absolument horribles.
Et aucun des responsables ne veut le reconnaître.
https://www.zerohedge.com/political/new-report-details-horrifying-cost-faucis-failures
Ce transfert d'argent a paupérisé la grande majorité de la population mondiale réduisant ainsi le pouvoir d'achat et surtout la population par la morbidité.
SupprimerCette escroquerie internationale ne sera jamais punie.
Moderna développe des vaccins à ARNm pour les maladies liées aux vaccins Covid
RépondreSupprimerAlors que Moderna élargit son portefeuille de vaccins à ARNm pour cibler l'Epstein-Barr, le zona, le cancer et les maladies auto-immunes, les scientifiques avertissent que les vaccins Covid-19 de la société pourraient supprimer la fonction immunitaire, réactiver des virus latents et potentiellement provoquer les conditions mêmes que leurs nouveaux produits visent à prévenir.
Par John-Michael Dumais
Mondialisation.ca,
04 avril 2024
Lors de la journée des vaccins organisée pour les investisseurs le 28 mars, Moderna a annoncé l’avancement de plusieurs vaccins et candidats thérapeutiques à base d’ARNm dans son “pipeline”.
Trois vaccins ciblant le virus d’Epstein-Barr (EBV), le virus de la varicelle et du zona (VZV, varicelle et zona) et le norovirus sont en train d’atteindre un stade de développement avancé, a déclaré la société.
Moderna a également annoncé que la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis devrait approuver son vaccin contre le virus respiratoire syncytial(VRS), le mRNA-1345, pour les personnes âgées. Cela fait partie d’un marché attendu de 52 milliards de dollars pour les vaccins de Moderna contre les maladies infectieuses.
“Nous continuons à explorer l’application de l’ARNm dans le traitement potentiel des maladies cardiovasculaires et d’autres maladies vasculaires ischémiques”, indique le site web de Moderna dans ses plans de produits pour les domaines thérapeutiques.
L’entreprise développe également des solutions ARNm pour le cancer et les maladies auto-immunes.
Citant les réactions indésirables bien documentées et souvent graves aux vaccins à ARNm Covid-19, certains scientifiques et médecins ont déclaré qu’ils étaient préoccupés par les dangers des formulations d’ARNm existantes et nouvelles.
Ils se demandent également si Moderna tente de tirer profit des solutions apportées aux maladies que ses produits provoquent.
Bloquer les “soldats du système immunitaire”.
RépondreSupprimerL’ARN synthétique modifié (modRNA) présent dans les cellules supprime l’immunité innée qui maintient les virus latents à distance et protège contre les nouvelles infections, selon Brian Hooker, Ph.D., directeur scientifique de Children’s Health Defense.
“L’un des mécanismes implique des microARN qui suppriment la production d’interféron cellulaire, extrêmement important pour la lutte contre les infections virales et la suppression des tumeurs”, a déclaré Hooker à The Defender.
M. Hooker a mentionné l’article publié en juin 2022 par Stephanie Seneff, le Dr Peter McCullough et d’autres chercheurs qui ont étudié la suppression de l’immunité innée par les vaccins à ARNm.
Les auteurs ont proposé que la suppression de l’interféron induite par le vaccin bloque le bon fonctionnement des cellules T CD8+ – souvent appelées les fantassins du système immunitaire – permettant aux virus dormants de se réactiver et, dans le cas du VZV, de provoquer un zona, la version “adulte” de la varicelle.
Un article publié en 2021 fait état de 54 cas d’herpès zoster (zona) apparaissant en moyenne 7 jours après la vaccination par Covid-19. Un article datant de 2022 fait état de 10 cas de réactivation du zona dans un délai d’une à trois semaines après la vaccination par Covid-19.
Pourtant, les auteurs des deux documents ont affirmé qu’il n’était pas possible d’établir un lien définitif entre les vaccins et les symptômes.
La scientifique française Hélène Banoun, Ph.D., dans “La Science face au Pouvoir: Ce que révèle la crise Covid-19 sur la biopolitique du XXIe siècle”, écrit que la désorganisation du système immunitaire inné et de ses récepteurs contribue à la réactivation de virus latents – dont l’herpès, le zona, le papillomavirus humain (HPV) et le RSV..
Selon Mme Banoun, de nombreuses personnes infectées par l’EBV ou le VZV deviennent des porteurs sains et asymptomatiques.
“Ces virus, ainsi que d’autres virus ou bactéries – comme le bacille de Koch responsable de la tuberculose – peuvent rester dormants tout au long de la vie ou être réactivés en cas d’immunosuppression”, a déclaré Mme Banoun à The Defender.
Elle a également cité des réactions de lèpre suite à des injections d’ARNm observées dans de nombreux pays. “Malgré la sophistication des vaccins à ARNm, certains effets secondaires réactivent apparemment des maladies que l’on croyait reléguées dans le passé”, écrit-elle.
RépondreSupprimerDe nombreuses études de cas(ici, ici et ici) établissent une corrélation entre l’apparition de symptômes et d’anticorps liés à l’EBV et les vaccins ARNm Covid-19.
Matthew Matlock, ancien combattant et athlète Ironman, a déclaré lors de la réunion d’avril 2022 ducomité consultatif de la FDA sur les vaccins et les produits biologiques connexes qu’il avait souffert d’une réactivation de l’EBV, en plus de problèmes cardiaques et de maladies des mastocytes, après avoir reçu la deuxième dose du vaccin Covid-19 de Pfizer.
Moderna crée deux versions d’un vaccin contre l’EBV : l’ ARNm-1189 pour la prévention et l’ARNm-1195 pour les effets à long terme, en particulier la sclérose en plaques et une sous-catégorie de lymphome chez les patients ayant subi une transplantation d’organe solide.
Moderna aurait interrompu son essai de vaccin contre l’EBV l’année dernière lorsqu’un sujet a développé une myocardite.
Moderna ne mentionne pas d’autres effets à long terme de l’EBV tels que l’ EBV chronique actif, les cancers associés à l’EBV, l’anémie, la rupture de la rate, la thrombocytopénie, l’hépatite, la myocardite et les maladies du système nerveux, y compris l’encéphalite, la méningite et le syndrome de Guillain-Barré.
Stéphane Bancel, PDG de Moderna, a déclaré que le marché des vaccins contre l’EBV devrait représenter plusieurs milliards de dollars.
Turbo-cancers et maladies auto-immunes
Hélène Banoun a noté le rôle de l’IgG4(sous-type 4d’immunoglobine) anti-spike dans l’immunotolérance induite par le spike, écrivant qu’elle “prend le relais des autres IgG après des vaccinations répétées” et augmente l’expression de PD-L1 (ligand 1 de la mort cellulaire programmée), qui peut empêcher les cellules T du système immunitaire d’attaquer et de tuer les cellules cancéreuses.
L’IgG4 est un anticorps que le système immunitaire produit en réponse à des infections ou à des vaccinations. Il possède des propriétés anti-inflammatoires mais peut également se fixer sur les mêmes cibles que d’autres anticorps, bloquant ainsi leur efficacité.
RépondreSupprimerLa surexpression de l’IgG4 peut entraîner une maladie liée à l’IgG4, une maladie inflammatoire chronique avec des lésions qui peuvent perturber le fonctionnement des organes et même entraîner la mort.
Selon une étude réalisée en 2023, les anticorps IgG4 induits par une vaccination répétée peuvent générer une tolérance immunitaire à la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, rendant les vaccins à ARNm inefficaces.
Mikolaj Raszek, spécialiste du séquençage génomique et fondateur et directeur de Merogenomics, a récemment cité dans un tweet un article paru en janvier 2024 dans Viruses, montrant des anticorps IgG4 anormaux chez presque tous les individus vaccinés à l’ARNm :
“Ils suggèrent qu’une trop grande quantité d’antigènes finit par entraîner l’épuisement des cellules T et que, dans ce cas, on peut commencer à établir une corrélation avec le développement de l’auto-immunité…
“De plus en plus de scientifiques se méfient de ces anticorps IgG4 qui semblent être observés chez presque toutes les personnes vaccinées contre l’ARNm.
Les auteurs de l’article sur les virus ont noté qu’un niveau élevé d’IgG4 dans le sérum est considéré comme pathogène car il peut déclencher des maladies auto-immunes, des cancers et d’autres maladies.
Ils ont émis l’hypothèse que cela pourrait être dû à la protéine de pointe à longue durée de vie produite par les vaccins et ont suggéré que cela pourrait conduire à la désensibilisation des cellules T CD4+ et CD8+, conduisant à l’épuisement du système immunitaire.
“L’induction d’une tolérance immunologique par des vaccinations répétées pourrait peut-être expliquer le grand nombre de décès survenus chez les personnes vaccinées ayant reçu une troisième dose par rapport aux personnes non vaccinées dans certains pays européens”, écrivent-ils.
Dans leur article, Seneff et McCullough établissent un lien entre l’immunosuppression induite par les vaccins et les maladies neurodégénératives, la myocardite, la thrombocytopénie immunitaire, la paralysie de Bell, les maladies du foie, le cancer et d’autres déficiences.
RépondreSupprimerGeert Vanden Bossche, Ph.D., a également mis en garde contre l’augmentation des taux d’IgG4 induite par les vaccins, qui pourrait entraîner des cancers turbo (cancers qui progressent très rapidement). De nombreux oncologues ont signalé des cancers qui se développent rapidement, souvent chez des personnes jeunes, et qui ont déjà atteint le stade 3 ou 4 au moment où ils sont diagnostiqués.
Mme Banoun a déclaré qu’il y a quelques années encore, Moderna développait des vaccins à ARNm uniquement pour lutter contre le cancer. “Il est certain que nous assistons à une augmentation de l’incidence du cancer certainement due aux ARN anti-Covid”, a-t-elle déclaré.
Mme Banoun a déclaré que le produit mRNA-6981 en cours de développement par Moderna est conçu pour augmenter les niveaux de PD-L1 afin de prévenir la progression de l’hépatite auto-immune en limitant l’autoréactivité du système immunitaire.
Cependant, comme nous l’avons déjà indiqué, un taux élevé de PD-L1 peut bloquer les propriétés anticancéreuses du système immunitaire.
“Cette thérapie est une arme à double tranchant, car elle ne sera pas spécifique et risque d’induire une immunotolérance à d’autres pathologies telles que les infections et les cancers”, a déclaré Mme Banoun. “Moderna sera alors en mesure de développer d’autres ARNm contre les cancers induits.
Parmi les autres ARNm ciblant le cancer dans le pipeline de Moderna, il y a l’ l’ ARNm-4157 pour le mélanome et le cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) ; l’ARNm-5671 pour le cancer du poumon non à petites cellules, le cancer du pancréas et le cancer colorectal ; l’ARNm-4359 pour“stimuler les cellules T effectrices qui ciblent et tuent les cellules immunitaires suppressives et les cellules cancéreuses qui expriment des niveaux élevés d’antigènes de point de contrôle cibles” ; etl’ARNm-2752 pour l’injection directe dans les tumeurs et les lymphomes.
Moderna a également déclaré qu’elle développait plusieurs thérapies à base d’ARNm qui, selon elle, “ont le potentiel d’aider les millions de patients qui luttent contre les maladies auto-immunes“.
RépondreSupprimerLa protéine à pointes du SRAS-CoV-2 peut provoquer un grand nombre des mêmes maladies
Moderna pourrait également répondre aux maladies causées par la protéine à pointes (spike) du virus original SARS-CoV-2.
À ce stade, de nombreux éléments indiquent que le virus a été spécialement conçu pour être plus virulent pour l’humain.
Les chercheurs de cette étude de 2022 sur les personnes infectées par le Covid-19 ont trouvé des niveaux élevés d’anticorps liés à l’EBV ainsi que d’anticorps contre le virus de l’herpès 6A et le rétrovirus endogène humain K.
Les symptômes attribués à un “long Covid“(qui peuvent inclure des symptômes attribuables aux vaccins ARNm) comprennent des difficultés respiratoires, des douleurs thoraciques, des palpitations cardiaques, de la fatigue, un brouillard cérébral, des problèmes de sommeil, des vertiges, des sensations de picotement, un malaise après l’exercice, un changement d’odeur ou de goût, la dépression ou l’anxiété, des douleurs d’estomac ou des diarrhées, des douleurs articulaires ou musculaires, des éruptions cutanées et des changements dans les cycles menstruels.
Le site web des Centers for Disease Control and Prevention indique que ces symptômes sont similaires à ceux rapportés par les personnes souffrant du syndrome de fatigue chronique, également connu sous le nom d’encéphalomyélite myalgique.
Le Dr Michelle Perro, pédiatre spécialiste de la médecine intégrative et directrice exécutive de GMO Science, a déclaré au Defender qu’étant donné que les personnes souffrant d’un COVID long peuvent présenter une exacerbation des infections chroniques sous-jacentes, “la production de vaccins à ARNm, qui posent problème d’après l’expérience du Covid, est pour le moins erronée”.
Mme Margulis a fait valoir que l’élimination du virus sauvage de la circulation par des campagnes de vaccination à grande échelle avait réduit l’immunité naturelle des adultes qui, par le passé, avaient eu l’opportunité de lutter contre l’infection lorsqu’ils étaient enfants.
RépondreSupprimer“Cette stimulation naturelle de l’immunité a pratiquement disparu”, a-t-elle déclaré, ajoutant : “Bonjour zona !” et soulignant que “l’ARNm-1468 est le vaccin que Moderna met au point pour aider à protéger les adultes contre le zona”.
Plus de produits dans le pipeline de Moderna
D’autres produits dans le pipeline de Moderna incluent un vaccin contre le VIH, un vaccin combiné contre le VRS et le VPH, un vaccin pédiatrique contre le VRS, un vaccin contre la grippe pandémique, un vaccin pour le cytomégalovirus et un vaccin contre le HCoV (coronavirus humain) endémique ; des vaccins contre la maladie de Lyme, le Zika, le Nipah et le Mpox ; une thérapie visant à développer la relaxine,une hormone cardio-protectrice naturelle, et une injection combinée Covid-19-grippe.
Blackstone Life Sciences a accepté d’investir 750 millions de dollars dans le vaccin antigrippal de Moderna en échange de paiements d’étape et de redevances, a rapporté Yahoo Finance.
La valeur de l’action Moderna a augmenté de 3 % après les annonces, approchant les 111 dollars par action, ce qui porte l’augmentation pour 2024 à 11,2 % au 28 mars, ce qui est bien supérieur à la moyenne du secteur.
Le prix actuel est encore bien inférieur au prix de 450 dollars par action dont bénéficiait Moderna au milieu de l’année 2021, au plus fort du déploiement du vaccin Covid-19.
https://www.mondialisation.ca/moderna-developpe-des-vaccins-a-arnm-pour-les-maladies-liees-aux-vaccins-covid/5688093?doing_wp_cron=1712238920.2316069602966308593750
Une étude française établit un lien entre l’utilisation prolongée des médicaments hormonaux de Pfizer et un risque accru de TUMEURS CÉRÉBRALES chez les femmes
RépondreSupprimer03/04/2024
Laura Harris
Une étude française publiée dans le British Medical Journal a mis en garde le public contre le lien potentiel entre l'utilisation prolongée de médicaments hormonaux fabriqués par Pfizer pour le contrôle des naissances et le soulagement de la ménopause et un risque accru de méningiomes intracrâniens chez les femmes.
Les méningiomes intracrâniens sont pour la plupart des tumeurs cérébrales non cancéreuses qui se développent lentement dans les couches de tissus recouvrant le cerveau et la moelle épinière. Cependant, en raison de la pression qu’ils exercent sur le cerveau, ils entraînent généralement des complications, dont 40 % des cancers du système nerveux central. L'ablation chirurgicale est souvent nécessaire, mais elle endommage généralement les structures cérébrales voisines.
L'étude, qui a analysé les données du système national de santé français, a porté sur 18 061 femmes ayant subi une intervention chirurgicale pour un méningiome intracrânien entre 2009 et 2018. Chaque cas a été comparé à cinq femmes sans tumeur. Les chercheurs ont suivi l'utilisation de divers médicaments progestatifs, notamment l'hydroxyprogestérone, la dydrogestérone, la médrogestone, l'acétate de médroxyprogestérone, la promégestone, le diénogest et le lévonorgestrel.
Selon l'étude, dirigée par Noémie Roland, médecin généraliste et épidémiologiste à l'Assurance maladie française, l'utilisation du Depo-Provera (acétate de médroxyprogestérone), un contraceptif injectable populaire, ainsi que les médicaments d'hormonothérapie ménopausique medrogestone et promegestone pour plus plus d'un an augmente le risque de méningiomes intracrâniens chez les femmes. Le Depo-Provera a augmenté le risque de méningiome intracrânien de 5,6 fois, tandis que la médrogestre et la promégestone étaient associées à un risque respectivement 4,1 et 2,7 fois plus élevé.
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RépondreSupprimerCela signifie qu’environ quatre femmes de 30 ans sur mille développeraient un méningiome intracrânien à l’âge de 80 ans. L’utilisation du Depo-Provera pendant plus d’un an augmentait le risque de 5,6 fois. De plus, ce chiffre pourrait encore atteindre 20 sur mille.
"Dans les pays où l'utilisation de l'acétate de médroxyprogestérone pour le contrôle des naissances est fréquente [74 millions d'utilisateurs dans le monde], le nombre de méningiomes attribuables peut être potentiellement élevé", a conclu Roland.
Pfizer connaît le risque associé à l'utilisation prolongée de progestatifs
Les chercheurs ont également averti le public que leurs résultats ne pouvaient pas établir un lien direct de cause à effet entre l'acétate de médroxyprogestérone, la medrgoestone et la promegestone et les méningiomes intracrâniens, car leur étude est observationnelle. Au lieu de cela, ils ont exhorté leurs collègues à mener davantage de recherches sur les résultats.
Cependant, Paul Pharoah, professeur et épidémiologiste du cancer qui a passé 20 ans à l'Université de Cambridge à étudier les cancers liés aux hormones avant de créer un laboratoire à l'hôpital Cedars-Sinai en Californie, ne soutient pas ces conclusions.
RépondreSupprimer"Les femmes qui prennent des pilules contraceptives ou un traitement hormonal substitutif couramment utilisées ne courent pas de risque accru de méningiome", a déclaré Pharoah. "Il est important que les femmes n'arrêtent pas d'utiliser leur pilule contraceptive sans consulter leur médecin. Le risque de méningiome est extrêmement faible. Si j'utilisais actuellement Depo-Provera en raison des avantages d'un contraceptif injectable à action prolongée, je continuerais à le faire. En bref, les utilisateurs actuels ou antérieurs du Depo-Provera n'ont pas à s'inquiéter de leur très faible risque de méningiome.
Mais Pfizer, le fabricant du Depo-Provera, était conscient des risques potentiels.
"Nous sommes conscients de ce risque potentiel associé à l'utilisation à long terme de progestatifs et, en collaboration avec les agences de réglementation, nous sommes en train de mettre à jour les étiquettes des produits et les notices d'information destinées aux patients avec une formulation appropriée", a déclaré Pfizer.
Cependant, compte tenu de la longue histoire d’activités illégales et d’expérimentations humaines menées par Pfizer depuis les années 1900, sa déclaration semble plus discutable que le résultat de l’étude. (Connexe : Pfizer a une histoire incroyablement longue en matière d'activités illégales et d'expérimentation humaine.)
Learn more about Big Pharma companies like Pfizer at BigPharmaNews.com.
Watch this clip from InfoWars featuring Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu admitting Israelis were used as guinea pigs for Pfizer.
This video is from the InfoWars channel on Brighteon.com.
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RépondreSupprimerIsrael attempting ethnic cleansing within its own border by giving CONTRACEPTIVES to Ethiopian women WITHOUT CONSENT.
Child trafficking victim says her captor “took all his girls to Planned Parenthood” because abortion provider doesn’t ask questions.
HISTORY REPEATS: Pfizer paid out $1.2B after its drug caused thousands of BREAST CANCER cases.
NEVER FORGET: In 1994, Pfizer paid $20 million after LYING about defective heart valve that killed hundreds.
CRIME CARTEL: Pfizer paid out $2.3 billion in a settlement to Washington for illegally promoting its drugs.
Sources include:
TheNationalPulse.com
TheGuardian.com
USNews.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2024-04-03-study-pfizer-hormonal-drugs-linked-brain-tumors.html
Pfizer Gate : Première enquête directe contre von der Leyen
RépondreSupprimer3 avril 2024
de Thomas Oysmüller
Pour la première fois depuis que l'accord entre l'UE et Pfizer a fait l'objet d'une enquête judiciaire, le bureau du président de la Commission est directement dans le collimateur du parquet.
Les enquêtes sur le « complot Pfizer-Leyen » et sur l’accord ARNm entre l’UE et Pfizer organisées par la Commission européenne semblent progresser. Un porte-parole du parquet compétent a déclaré au début du mois que les enquêteurs du Parquet européen enquêtaient sur le rôle de von der Leyen et du PDG de Pfizer. Le président de la Commission européenne est donc directement dans le collimateur des enquêteurs.
SMS en vue
Politico écrit lundi que « ces derniers mois, les enquêteurs du Parquet européen (EPPO) ont repris l'enquête du parquet belge contre von der Leyen pour « ingérence dans les fonctions publiques, destruction de SMS, corruption et conflit d'intérêts ». » Cela ressort des documents juridiques dont dispose Polit-Magazin.
Le Parquet européen, qui avait déjà annoncé en 2022 qu’il « enquêterait sur l’achat de vaccins dans l’UE en général », a ainsi explicitement lié la présidence de la Commission au « Pfizergate ». C’est une nouvelle et cela survient après environ un an d’enquêtes criminelles.
De telles enquêtes ont ensuite été ouvertes par le parquet de Liège début 2023 après que le lobbyiste belge Frédéric Baldan a déposé une plainte pénale, avait rapporté le TKP. Il a été récemment annoncé que les gouvernements hongrois et polonais s'étaient également joints au procès. Cependant, la Pologne a de nouveau retiré cette mesure après que Donald Tusk, fidèle à l'UE, a pris la tête du gouvernement, a rapporté le TKP.
Le procès du lobbyiste tournait à l'origine autour des fameux SMS entre von der Leyen et Albert Bourla. Le contenu de ces messages est encore inconnu à ce jour. Le contrat, dont les États ne peuvent se retirer et qui comprend près de deux milliards de doses de vaccin, est considéré comme un accord de bâillon. L’UE doit encore accepter les livraisons de Covid jusqu’en 2027, même si presque personne n’est plus vacciné contre le Covid. Pfizer a poursuivi les pays d’Europe de l’Est parce qu’ils refusaient de continuer à acheter cette substance (et à la payer).
RépondreSupprimerLes discussions se rejoignent désormais au sein du parquet européen. Voici ce que dit Politico :
"L'affaire dont traite actuellement le Parquet européen rassemble divers aspects juridiques, politiques et financiers et recoupe les poursuites intentées par le géant pharmaceutique Pfizer contre la Hongrie et la Pologne."
Au milieu de la prochaine campagne électorale, il apparaîtra clairement à quel point le parquet européen prend son travail au sérieux. Le Parquet européen mène des enquêtes à l'échelle européenne sur les délits financiers et pourrait théoriquement saisir des téléphones et d'autres documents pertinents dans les bureaux de la commission ou dans d'autres pays européens comme l'Allemagne, pays d'origine de von der Leyen. Après tout, il s'agit d'un accord d'une valeur de 20 milliards d'euros.
Il n'y a pratiquement aucune information provenant des organismes officiels. La Commission ne sait rien au-delà des articles de presse. La Hongrie n'a pas répondu à Politico, Pfizer et l'OEPP ont refusé de commenter.
https://tkp.at/2024/04/03/pfizer-gate-erstmals-direkte-ermittlungen-gegen-von-der-leyen/
Une base de données inconstitutionnelle sur l’ADN des nourrissons du New Jersey fait l’objet d’un examen juridique
RépondreSupprimer03/04/2024
Kévin Hughes
Une base de données controversée contenant des échantillons d'ADN collectés sur des nouveau-nés dans le New Jersey fait l'objet d'un examen juridique après avoir découvert que les forces de l'ordre de l'État maintenaient un accès détourné à ces informations.
Pendant des décennies, l’État a collecté et conservé ces échantillons d’ADN sans en informer spécifiquement les parents, accumulant ainsi une base de données considérable sur le matériel génétique.
Deux mères du New Jersey ont intenté un recours collectif fédéral contre la collecte et l'accès à des données personnelles sur des nourrissons sans le consentement approprié, ce qui indique les inquiétudes croissantes du public concernant l'utilisation intrusive d'échantillons de sang de bébé à des fins confidentielles. (Connexe : Le New Jersey POURSUITE POUR RÉCOLTER secrètement du sang de nouveau-nés sans le consentement des parents.)
Les futurs parents invitent généralement des médecins et des infirmières dans la salle d'accouchement, et non des policiers. Cependant, les forces de l’ordre ont un accès dérobé au New Jersey. L'intrusion présumée commence dans les 48 heures suivant la naissance d'un enfant, lorsque le personnel de la maternité pratique une petite piqûre dans le talon du nourrisson afin d'obtenir du sang pour des analyses de laboratoire.
Ce dépistage permet une identification précoce de maladies rares telles que la mucoviscidose et la drépanocytose. Tous les États américains font cela, mais ce qui différencie le New Jersey, c'est que la plupart des autres États détruisent ensuite les cartes en papier qu'ils utilisent pour recueillir les taches de sang séchées des nourrissons. Le New Jersey garde le sang.
Le New Jersey conserve des échantillons de chaque bébé né depuis les années 1970
Sans en informer les parents, l'État a conservé des échantillons de chaque bébé né depuis les années 1970, créant ainsi une base de données secrète contenant des millions d'entrées.
La connaissance humaine est attaquée ! Les gouvernements et les grandes entreprises recourent à la censure pour anéantir la base de connaissances de l’humanité sur la nutrition, les herbes, l’autonomie, l’immunité naturelle, la production alimentaire, la préparation et bien plus encore. Nous préservons les connaissances humaines grâce à la technologie de l’IA tout en construisant l’infrastructure de la liberté humaine. Découvrez notre projet AI / LLM gratuit et non commercial ici. Soutenez nos efforts pour construire l’infrastructure de la liberté humaine en achetant sur HealthRangerStore.com, proposant des aliments et des solutions nutritionnelles testés en laboratoire et certifiés biologiques, sans OGM.
Les échantillons de sang restent conservés pendant 23 ans tandis que les données ADN pourraient durer plus longtemps sur des serveurs tiers.
Le New Jersey ne mentionne pas exactement ce qu'il advient des données, mais l'État s'autorise à partager les marqueurs génétiques qu'il collecte avec qui il veut pour quelque raison que ce soit, y compris les forces de l'ordre.
RépondreSupprimerLe risque que le New Jersey abuse de ces données n’est pas spéculatif, dans la mesure où l’État a déjà fourni à plusieurs reprises des échantillons de sang aux services de police sans mandat, ce qui a conduit à des arrestations.
Les parents peuvent techniquement abandonner la sélection s'ils s'y opposent pour des raisons religieuses. Mais les hôpitaux de l'État aident le gouvernement en cachant que cette option est à la disposition des familles, et beaucoup racontent avoir été menacés de voir leur enfant emmené par les services de protection de l'enfance s'ils refusaient d'autoriser l'hôpital à stocker l'ADN de leur enfant.
Une brochure d'une demi-page distribuée par le ministère de la Santé du New Jersey affirme même que tous les nourrissons sont « tenus par la loi » de fournir du sang à l'État. La brochure ne dit rien sur le stockage à long terme.
Erica Jedynak, une mère de Boonton, a été choquée le jour de son accouchement. Jedynak n'a découvert que plus tard que l'État conservait le sang de son fils dans des dossiers à des fins inexpliquées.
"Il y a quelque chose de moralement inacceptable dans le fait que le gouvernement le suive ou assume presque la culpabilité des bébés. Je dois le protéger de ce qui semble être une base de données très effrayante", a déclaré Jedynak.
Le stratagème secret inquiète également Hannah Lovaglio, une mère de Cranbury.
"C'est un peu rebutant de penser que le sang de mon enfant se trouve dans un établissement public du New Jersey. J'essaie de garder une trace de toutes les affaires de mon enfant, mais c'est totalement hors de mon contrôle et c'est troublant", Lovaglio dit.
Les deux mères ont déposé un recours collectif auprès du tribunal de district des États-Unis pour le district du New Jersey, le cabinet d'avocats d'intérêt public Interest for Justice les représentant dans cette affaire.
L'affaire s'appuie sur des poursuites antérieures interdisant l'utilisation intrusive d'échantillons de sang de bébé sans le consentement des parents. Un de ces cas, au Texas, a déclaré des personnes coupables d'avoir fourni des données ADN au ministère de la Défense pour un registre national. Un autre cas dans le Michigan et le Minnesota a déclaré des personnes coupables d'avoir vendu du sang nouveau-né à des fins de recherche.
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Watch the video below to learn more about the Department of Justice suing police departments for the use of DNA databases.
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DNA testing technology can be abused by the government to turn the U.S. into a SURVEILLANCE STATE.
Hackers steal personal data of 6.9 million 23andMe customers, including DNA info.
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Sources include:
TheNationalPulse.com
TheDailyBeast.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2024-04-03-unconstitutional-infant-dna-database-new-jersey-scrutinity.html
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