16/04/2024
Ethan Huff
Bien que de nombreuses personnes très bruyantes et très influentes affirment le contraire, les soi-disant « émissions de carbone » causées par l'homme sont « non perceptibles », pour citer un éminent chercheur, lorsqu'il s'agit d'avoir un impact sur le climat.
Demetris Koutsoyiannis, professeur en Grèce, a récemment publié un article expliquant, à l'aide de données scientifiques, comment l'expansion d'une biosphère plus productive est responsable de l'augmentation des concentrations de gaz carbonique dans l'atmosphère, qui ont ainsi créé un effet de « verdissement » de l'atmosphère. Terre.
Alors que l'histoire officielle est que la majeure partie, sinon la totalité, du récent « réchauffement » planétaire présumé est causée par la contribution humaine de quatre pour cent à la combustion d'hydrocarbures, Koutsoyiannis affirme que cela n'a aucun sens, selon la science actuelle.
Il n’y a pas d’« urgence climatique », et les humains ne sont pas non plus responsables de la destruction de la Terre par l’industrie. Même si certains éléments de l’industrie pourraient certainement être nettoyés pour produire moins de pollution, l’idée selon laquelle l’activité humaine provoque la mort de la planète est tout simplement ridicule.
Selon Koutsoyiannis, une biosphère plus productive est ce qui a créé une « amplification naturelle du cycle du carbone due à l’augmentation de la température ». Il ajoute que cela pourrait être le « principal facteur de diminution de la signature isotopique 13C du gaz carbonique atmosphérique ».
(Connexe : Saviez-vous que les médias attribuent les lésions cardiaques et les décès liés au « vaccin » COVID au changement climatique ?)
Un film sur le climat mettant en vedette le Dr John Clauser interdit
Un autre scientifique et expert éminent qui dit à peu près la même chose est le Dr John Clauser, lauréat du prix Nobel de physique 2022 présenté dans Climate: The Movie.
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"J'affirme qu'il n'y a aucun lien entre le changement climatique et le CO2 – c'est de la foutaise, à mon avis", aurait déclaré Clauser.
Climat : Le film, soit dit en passant, est attaqué à la fois par les médias grand public et les médias sociaux pour avoir dit la vérité sur le changement climatique. Ce dernier interdit en fait le film, le rendant moins accessible au public trompé qui a vraiment besoin de le voir.
Il s’avère que les faits partagés par Koutsoyiannis et Clauser constituent une menace pour l’industrie climatique de plusieurs milliards de dollars, qui a besoin que les gens croient que leur existence détruit la planète afin qu’une tyrannie généralisée puisse être introduite sous couvert de « vert ». salut.
L'ancien professeur de l'Université de Princeton, William Happer, estime lui aussi que l'idée selon laquelle les humains auraient un impact sur le climat est une "arnaque", même s'il dit qu'il peut aussi accepter de qualifier cette idée de "canular", comme beaucoup le font maintenant.
Même au sein de la communauté du fanatisme climatique, il existe un désaccord généralisé sur l’ampleur du réchauffement supposé de la planète à cause des gens qui conduisent des voitures et mangent de la viande.
L’idée selon laquelle les humains ont un impact d’une manière ou d’une autre sur le climat est un concept qui n’existe que depuis environ 50 ans au maximum. Et ce n’est qu’au cours de la dernière décennie que le concept est devenu canon dans la science dominante, au point que les gouvernements apportent des changements drastiques à ce qui est autorisé afin de « sauver » le monde du réchauffement climatique.
Il n’y a cependant rien d’établi en matière de science du climat, ce qui explique en grande partie pourquoi très peu d’entre elles sont réellement dignes de confiance. Au début, il s’agissait uniquement d’un refroidissement global, jusqu’à ce qu’ils l’aient ensuite changé en réchauffement climatique, la réalité ne correspondant plus à leurs affirmations antérieures.
Que quiconque croit au mythe du réchauffement climatique témoigne de la facilité avec laquelle les gens se laissent berner par des contes de fées radicaux qui sont facilement démystifiés non seulement par la science mais aussi par le bon sens. Si seulement plus de gens écoutaient les Clausers et les Koutsoyianniss de ce monde.
Il n’existe pas de changement climatique provoqué par l’homme. Apprenez-en davantage sur Climate.news.
Les sources de cet article incluent :
WattsUpWithThat.com
MDPI.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2024-04-16-carbon-emissions-no-discernible-effect-climate-study.html
Des zones d'abondance aux zones de besoin
RépondreSupprimer15 Avril 2024
Mark Wagoner, Réseau Mondial d'Agriculteurs*
Lorsque le président de la Fondation Rockefeller a été témoin de l'horreur de la famine en Afrique, il a su qu'il devait agir rapidement et il a appris à quel point les réseaux commerciaux du libre-échange peuvent être bénéfiques sur le plan humanitaire.
L'histoire de M. Rajiv Shah commence au Kenya il y a plus de dix ans, alors qu'il était administrateur de l'Agence Américaine pour le Développement International, mieux connue sous le nom d'USAID.
« Alors que l'avion de l'armée de l'air américaine entamait sa descente vers le complexe de réfugiés de Dadaab en août 2011, nous pouvions voir des centaines de personnes, principalement des femmes et des enfants, affluer dans le désert kenyan », écrit M. Rajiv Shah dans son nouveau livre, « Big Bets: How Large-Scale Change Really Happens » (les grands paris : comment les changements à grande échelle se produisent vraiment).
Il s'agissait de Somaliens désespérés, fuyant ce que certains ont appelé « la pire famine du XXIe siècle ».
La Somalie part d'un mauvais pied : une Nation déchirée par la guerre, peuplée de fanatiques et de seigneurs de la guerre. Les Américains la connaissent peut-être mieux pour y avoir tourné le film « Black Hawk Down » (La chute du faucon noir), qui relate l'histoire vraie d'un désastre militaire américain dans la capitale, Mogadiscio.
Lorsque le mauvais temps frappe la Somalie, il peut se mêler à l'instabilité politique pour créer des privations mortelles.
M. Shah a vu le résultat depuis un avion au-dessus d'un camp de réfugiés au Kenya.
Puis il l'a vu de près.
« Je me tenais à côté d'un lit et parlais avec une femme qui donnait de l'eau dans un gobelet bleu à son fils de quatre ans, qui pesait moins de cinq kilos », écrit M. Shah. « Alors que je lui parlais par l'intermédiaire d'un interprète, j'ai vu que les yeux de la mère ne cessaient de se tourner vers le pied du lit, où se trouvait un petit paquet drapé dans un tissu d'un bleu profond. J'ai été choqué lorsque la mère m'a dit que le tissu recouvrait un autre de ses enfants, qui était mort le matin même, trop rongé par la faim pendant le voyage vers le camp. »
Tout ce dont ils avaient besoin, c'était de la nourriture.
« Ce petit paquet de tissu me hante encore aujourd'hui », écrit M. Shah.
Alors que la famine s'aggravait, M. Shah voulait réagir. Il savait également que l'USAID, malgré un budget de plusieurs milliards, ne pouvait pas faire grand-chose.
RépondreSupprimerC'est une chose que de souhaiter acheminer de la nourriture dans une région éloignée et assiégée. C'en est une autre de l'acheminer.
Pour ce faire, il faut recourir au système international de libre-échange.
M. Shah a appelé M. Greg Page, qui était à l'époque PDG de Cargill, une entreprise agroalimentaire internationale basée dans le Minnesota.
« Je lui ai rapidement expliqué où nous en étions dans notre intervention en Somalie, mais il m'a coupé l'herbe sous les pieds », écrit M. Shah. « Greg connaissait l'histoire. »
M. Shah s'est empressé de poser une question : « Envisageriez-vous de faire quelque chose d'extraordinaire pour aider à résoudre cette crise ? »
M. Page a répondu : « C'est ce que nous faisons. »
C'était effectivement le cas, comme le décrit M. Shah dans son livre : « Cargill avait mis en place un vaste réseau pour acheminer ses produits d'un bout à l'autre du monde en respectant les délais et le budget. »
Cela ne s'est pas fait tout seul. C'est le résultat de dirigeants intelligents comme M. Page, ainsi que des travailleurs qui emballent et chargent les marchandises, les transportent à travers les océans et les livrent aux clients.
Derrière eux se trouve une infrastructure de commerce mondial qui encourage l'échange de biens et de services par-delà les frontières. Le succès du commerce repose sur la recherche du profit et des avantages mutuels, mais il crée également des opportunités pour l'action humanitaire.
Pour les Somaliens affamés, Cargill et son réseau commercial sont venus à la rescousse, selon M. Shah : « Cargill a rassemblé dix mille tonnes métriques – l'équivalent de 425.000 sacs de 50 livres –, les a chargées à bord d'un navire à Kakinada, dans le golfe du Bengale, et les a expédiées à travers l'océan Indien. Cette opération a pris plus de deux mois, mais à l'arrivée, elle a fait toute la différence en aidant à nourrir un million de réfugiés somaliens dans neuf districts du Kenya. »
À l'arrivée des cargaisons de Cargill, une veuve somalienne avec six enfants a fait part de son soulagement : « Ces dernières années ont été presque insupportablement difficiles... à cause du stress lié à la nécessité de me nourrir et de nourrir mes enfants », a déclaré Mme Rachel Gharo. « Grâce à cette aide, je peux maintenant penser à d'autres choses, car je suis au moins assurée qu'il y a de la nourriture. »
RépondreSupprimerL'aide ne serait probablement pas arrivée sans que M. Shah n'aperçoive un paquet obsédant de tissu bleu.
Elle ne serait certainement pas arrivée sans un réseau résilient de commerce mondial qui améliore des vies tous les jours et les sauve aussi.
https://seppi.over-blog.com/2024/04/des-zones-d-abondance-aux-zones-de-besoin.html
Climat : avril 2024 'bat' tous les records de chaleur
RépondreSupprimerEn avril 2024, la France a enregistré des températures inédites pour un début de printemps, 'surpassant' celles des normes de saison.
le 17 avril 2024 à 10h06
Avril 2024 : des températures dignes d'un mois de juin
Les quinze premiers jours d'avril 2024 ont vu l'indicateur thermique national atteindre une moyenne de 14,53°C, surpassant le précédent record de 2017 qui était de 14°C. Ces températures, qui équivalent normalement à celles d'un début juin, ont été marquées par un pic à 17,9°C durant le weekend des 13 et 14 avril, une anomalie de +3,5°C par rapport aux normales de saison. Kevin Floury, le présentateur météo-climat chez BFMTV, souligne sur X que « jamais auparavant, un tel écart n'avait été observé à cette période de l'année. » Il a même fait jusqu’à 31,4 °C à Grospierre, en Ardèche !
L'air subtropical, provenant directement d'Afrique du Nord, est l'une des causes principales de ces records. Cette masse d'air chaud a engendré des températures nocturnes exceptionnelles, atteignant jusqu'à 22,5°C à Biarritz, historique pour un mois d'avril en France. Anthony Grillon, météorologue, a indiqué sur son compte X que « le climat de la France part complètement en vrille ».
Plus de 30°C dans certaines villes !
Le 14 avril 2024, le sud de la France a connu une chaleur exceptionnelle, avec des températures allant jusqu'à 32,6°C à Tiranges, en Haute-Loire. De nombreux records mensuels de chaleur ont été battus, notamment à Carcassonne avec 31,3°C, au Luc-en-Provence avec 30,5°C, et à Albi avec 30,1°C.
Alors que les météorologues annoncent un retour à des températures plus basses pour la seconde moitié du mois, les questions demeurent quant à la fréquence future de ces épisodes de chaleur précoce.
Va t-on porter plainte contre le vent (venu du Sahara) qui va 'griller' les français comme des toasts ? Qui s'en est plaint ? PERSONNE ! Çà alors !!
SupprimerLa grande dépossession, partie 3
RépondreSupprimerPar Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
17 avril 2024
Dans la première partie, j’ai expliqué que la prochaine crise financière ne sera pas sauvée par la création de monnaie par la banque centrale, mais par nos actions, nos obligations et nos soldes bancaires.
Dans la deuxième partie, j'ai expliqué les changements réglementaires discrets sur plusieurs années qui nous ont dépossédés de notre propriété.
Dans la troisième partie, j'explique la conclusion de David Rogers Webb selon laquelle une crise financière massive est imminente dans laquelle nos actifs financiers sont la garantie de la bulle financière et des produits dérivés et entraînera la perte de nos actifs mais nous laissera avec nos dettes comme cela est arrivé à ces derniers. dont les banques ont fait faillite dans les années 1930.
Webb commence par la formule économique selon laquelle la vitesse de circulation de la monnaie multipliée par la masse monétaire est égale au produit intérieur brut nominal. V x MS = PIB.
La vitesse de circulation est une mesure du nombre de fois qu'un dollar est dépensé au cours d'une période de temps donnée, par exemple trimestrielle ou annuelle. Une vélocité élevée signifie que les gens dépensent rapidement l’argent qui leur tombe sous la main. Une faible vélocité signifie que les gens ont tendance à conserver leur argent.
La vélocité a un impact sur la capacité de la Réserve fédérale à gérer la croissance économique avec les changements de la masse monétaire. Si la vitesse de la monnaie diminue, une politique monétaire expansionniste n’entraînera pas une augmentation du PIB. Dans une telle situation, on dit que la Réserve fédérale « tire sur une corde ». Au lieu de faire grimper le PIB, l’augmentation de la masse monétaire fait grimper la valeur des actifs financiers et de l’immobilier, ce qui entraîne des bulles financières et immobilières.
Webb note que les baisses de vitesse sont des précurseurs de crises financières. Une forte baisse de vitesse sur plusieurs années a précédé le krach boursier de 1929 et la Grande Dépression qui a donné naissance aux agences de régulation. Le 21ème siècle se caractérise par une baisse de vitesse à long terme qui a atteint le niveau le plus bas jamais enregistré, tandis que les actions et l'immobilier ont été poussés à des niveaux sans précédent par des années de taux d'intérêt nuls. Lorsque cette bulle éclatera, nous serons dépossédés.
RépondreSupprimerLa bulle va-t-elle éclater ?
Oui. La Fed est soudainement et rapidement passée de taux d’intérêt de zéro à 5 %, un renversement de la politique qui a fait grimper les prix des actions et des obligations. La Fed augmente les taux en réduisant la croissance de la masse monétaire, supprimant ainsi le facteur soutenant les cours élevés des actions et faisant s’effondrer la valeur des obligations. Cela entraîne une baisse de la valeur des actions et des obligations servant de garantie aux prêts, ce qui signifie bien sûr que les prêts et l’institution financière qui les sous-tendent sont en difficulté. Les obligations en ont déjà pris un coup. Le marché boursier se maintient parce que les participants pensent que la Fed est sur le point d’inverser sa politique de taux d’intérêt et de baisser ses taux.
Webb note que les données officielles montrent que la vélocité de la monnaie s’est effondrée au 21e siècle lorsque la Fed a introduit un « assouplissement quantitatif ». Il fait valoir à juste titre que lorsque la vitesse de la monnaie s’effondre, la Fed appuie sur une corde. Au lieu que la création monétaire alimente la croissance économique, elle produit des bulles d’actifs dans l’immobilier et les instruments financiers, ce qui est le cas actuellement.
Lorsqu’après plus d’une décennie de taux d’intérêt proches de zéro, la Fed augmente les taux d’intérêt, la valeur des portefeuilles financiers et de l’immobilier s’effondre et produit une crise financière.
Alors que les autorités ont mis en place un système qui renfloue les créanciers garantis avec nos dépôts bancaires, nos actions et nos obligations, nous n’aurons ni argent ni actifs financiers à vendre contre de l’argent. Les personnes dont les maisons et les entreprises sont hypothéquées les perdront, comme elles l’ont fait dans les années 1930, lorsqu’elles ont perdu leur argent à cause de faillites bancaires. Les personnes payant une voiture perdront leur moyen de transport. La façon dont fonctionne le système est que vous perdez votre argent mais pas vos dettes.
Les créanciers garantis sont les créanciers des institutions en difficulté. En fin de compte, les créanciers garantis sont les méga-banques définies comme des « créanciers privilégiés ».
RépondreSupprimerL’effondrement de la valeur des actifs financiers en 1929 a entraîné la faillite de 9 000 banques. Une faillite bancaire signifiait que vous perdiez l’argent que vous aviez en banque. Cela signifie la même chose aujourd’hui, quelle que soit l’assurance-dépôts, car vos dépôts ont été transformés en garantie pour les créanciers. De plus, l’assurance-dépôts de la FDIC est une blague. Les actifs de la FDIC se chiffrent en milliards. Les dépôts bancaires se chiffrent en milliers de milliards. La loi Dodd-Frank a donné la priorité aux produits dérivés par rapport aux déposants bancaires, de sorte qu'un titulaire de compte bancaire est en ligne avec les réclamations liées aux produits dérivés. Apparemment, les réclamations d'assurance de la FDIC seront émises sous la forme d'émission d'actions dans une banque en faillite.
Tout cela s’est déjà produit, mais pas à l’échelle de ce qui nous attend.
Dans le cadre du régime réglementaire en place, l’effondrement financier signifie aujourd’hui que l’argent sera retiré de l’économie et sera concentré, ainsi que toutes les richesses, entre quelques mains. Une économie moderne ne peut pas fonctionner sans argent et sans entreprises distribuant de la nourriture, des biens et des services. Webb note qu'il s'agit d'une occasion idéale pour les banques centrales d'introduire la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC) avec laquelle elles ont expérimenté.
La fourniture de CBDC à la population fournirait une masse monétaire et des revenus à une population dans le chaos total et rétablirait l’ordre à une population reconnaissante. Mais cela donnerait également un contrôle total aux dirigeants. Webb cite Augustin Carstens, directeur général de la Banque des règlements internationaux, qui dit que la principale différence entre la monnaie actuelle et la monnaie numérique de la banque centrale est qu'avec la CBDC, la banque centrale saura comment chaque personne utilise son allocation de monnaie numérique, ce qui donne à la banque centrale la banque a un contrôle absolu sur vous grâce à la capacité de réglementer vos achats, de désactiver les achats refusés et de discipliner les dissidents. Vous recevrez les moyens de subsistance tant que vous aurez un bon score de crédit social, ce qui signifie que vous n'êtes pas en désaccord avec les récits officiels.
Roman Balmakov, animateur de l'émission EpochTV « Facts Matter », enquête sur le paysage en évolution rapide de notre source alimentaire mondiale – l'industrie agricole – à travers des entretiens avec des agriculteurs aux Pays-Bas, au Sri Lanka et aux États-Unis. Il s’agit de la prochaine crise mondiale ignorée par les médias du monde entier.
RépondreSupprimerhttps://www.lewrockwell.com/2024/04/paul-craig-roberts/the-great-dispossession-part-3/
Ils fautent, ils s'embrouillent, ils ne savent pas mais les ministres conservent leurs salaires même s'ils se font 'virer' !
SupprimerUn chef d'entreprise a ses problèmes: Petite entreprise (épicerie familiale gérée par le père, la mère et Son ou ses enfants). C'est dur mais ils travaillent au revenu minimum.
Une grande entreprise (supermarché) a des problèmes multiples. Plus il y a d'employés plus il y a de dépenses annexes de types contremaîtres, secrétaires et comptables + les employés n'arrivant pas à l'heure, le vol en supermarché et les réglementations.
Tout est aux mains des centrales d'achats qui dispatchent les produits en entrepôts vers telle ou telle enseigne. Tout est contrôlé pour que personne n'y arrive.
Les dommages causés au barrage de Glen Canyon pourraient mettre en péril l'approvisionnement en eau de l'ouest des États-Unis.
RépondreSupprimer16/04/2024
Cassie B
Les autorités ont identifié d'importants dommages aux canalisations d'un important barrage américain sur le fleuve Colorado, qui pourraient laisser 30 millions d'Américains souffrir d'une pénurie d'eau. Ce n’est que le dernier exemple en date de l’impact du vieillissement des infrastructures du pays sur la qualité de vie.
Selon les inspecteurs du Bureau of Reclamation des États-Unis, les canalisations du barrage de Glen Canyon ont été gravement endommagées. Il n’y aura donc pas de rejet d’eau de source qui pourrait compromettre l’approvisionnement en eau en aval.
Les canalisations concernées sont connues sous le nom de travaux de sortie de la rivière et libèrent l'eau du lac Powell dans le fleuve Colorado pour se déverser dans le lac Mead. Jusqu’à présent, aucune information n’a été communiquée sur un rejet à l’automne, et les résidents qui dépendent de l’eau dans l’Utah, le Nevada et la Californie sont confrontés à l’incertitude quant à leur approvisionnement en eau et pourraient en conséquence être confrontés à des pénuries d’eau persistantes.
Le lac Mead est le plus grand réservoir du pays lorsqu'il est plein, et l'eau y coule à travers quatre tuyaux de huit pieds (2,43 m) de large tout au long de son parcours de 200 milles (321 km) lorsque le barrage libère de l'eau. Cependant, les dégâts signifient que le barrage pourrait ne pas être en mesure d’offrir un débit d’eau constant vers le lac Mead. Le réservoir est actuellement rempli à un peu moins d’un tiers.
Une note publiée par le Bureau of Reclamation des États-Unis avertissait : « En résumé, aux niveaux du réservoir inférieurs au pool d'énergie minimum (altitude 3 490 pieds/1063 m), il y a des inquiétudes quant au fait de compter sur les travaux de sortie de la rivière comme seul moyen de rejets d'eau soutenus de Glen Canyon. Barrage."
Les dommages causés aux canalisations sont le résultat d'un processus appelé cavitation dans lequel de petites bulles d'air dans l'eau éclatent lorsqu'elles traversent la plomberie du barrage, créant une implosion qui forme des ondes de choc capables d'arracher de petits morceaux du revêtement protecteur qui recouvre le barrage. l'intérieur des tuyaux. On pense que cela s’est produit au fil du temps plutôt que comme le résultat d’un événement spécifique. Les experts notent que ce type de dégâts est plus probable lorsque les niveaux du réservoir sont bas. Il faudra y remédier par des réparations telles qu’une nouvelle couche d’époxy, ce qui pourrait ne pas être possible avant l’année prochaine.
RépondreSupprimerLa connaissance humaine est attaquée ! Les gouvernements et les grandes entreprises recourent à la censure pour anéantir la base de connaissances de l’humanité sur la nutrition, les herbes, l’autonomie, l’immunité naturelle, la production alimentaire, la préparation et bien plus encore. Nous préservons les connaissances humaines grâce à la technologie de l’IA tout en construisant l’infrastructure de la liberté humaine. Parlez librement sans censure sur le nouveau Brighteon.io décentralisé et alimenté par la blockchain. Explorez nos outils d'IA générative téléchargeables gratuitement sur Brighteon.AI. Soutenez nos efforts pour construire l’infrastructure de la liberté humaine en achetant sur HealthRangerStore.com, proposant des aliments et des solutions nutritionnelles testés en laboratoire et certifiés biologiques, sans OGM.
Les dégâts ont été découverts à la suite d’une expérience à débit élevé qui a vu un volume important d’eau libéré pour alimenter le lac Mead. Aucune eau ne sera libérée ce mois-ci, ce qui maintiendra le niveau d’eau du lac Powell à un niveau élevé et sans danger pour les résidents de la région, tandis que ceux en aval seront menacés.
La menace qui pèse sur l’approvisionnement en eau ne doit pas être négligée
Avant même la publication du rapport annonçant les canalisations endommagées, le barrage de Glen Canyon était depuis un certain temps au cœur des inquiétudes concernant le rétrécissement du fleuve Colorado. Les experts en eau craignent que le niveau d’eau du lac Powell ne descende si bas que l’eau ne puisse pas passer par les turbines hydroélectriques responsables de la production d’électricité utilisée par 5 millions d’Américains dans sept États. Si le niveau de l’eau descend encore plus bas, l’eau ne pourra plus du tout passer par le barrage.
Le directeur exécutif du Glen Canyon Institute, Eric Balken, a averti que les dommages causés aux canalisations pourraient constituer une menace majeure pour l'approvisionnement en eau. Il a déclaré : « Je pense qu'il est vraiment important que les gens reconnaissent à quel point cela constitue une menace pour notre système d'approvisionnement en eau. Il s’agit d’un très gros problème d’infrastructure, et cela a un impact important sur la façon dont l’eau est gérée dans l’ensemble de ce bassin.
RépondreSupprimerLes tubes concernés ont été conçus dans les années 1950 et le directeur exécutif du Utah Rivers Council, Zach Frankel, a déclaré que leur âge était un facteur majeur dans les dégâts.
« La conception de la plomberie du barrage de Glen Canyon est archaïque. C'est tout simplement trop vieux. Il s'agit littéralement d'une plomberie ancienne, et il faudra la réparer en abaissant les tubes de dérivation à un niveau d'eau plus bas, probablement au niveau du lit de la rivière », a-t-il déclaré, ajoutant que les réparations pourraient coûter des centaines de millions de dollars.
Les sources de cet article incluent :
DailyMail.co.uk
KUNC.org
Fox13Now.com
https://www.naturalnews.com/2024-04-16-damage-glen-canyon-dam-jeopardize-water-supplies.html
Point de vue : L'agriculture biologique et l'agriculture conventionnelle peuvent-elles coexister pacifiquement ?
RépondreSupprimer16 Avril 2024
Tim Durham, AGDAILY*
Le seigle représenté ici est détruit mécaniquement à l'aide d'un rouleau-crimper dans un système de soja biologique en semis direct. (Image : John Wallace, Penn State University)
L'histoire de l'humanité est jalonnée de conflits. Un agresseur lance une salve d'ouverture et les deux parties se matraquent mutuellement jusqu'à ce qu'une trêve soit conclue.
Qu'est-ce qui a déclenché l'affrontement ? Des différences irréconciliables. Les motivations varient, mais il s'agit généralement d'une question de territoire, de ressources ou d'idéologie. Un groupe proclame sa supériorité : sa sphère d'influence doit s'étendre et l'« autre », dépravé et sans morale, doit être éradiqué.
Je ressens la même chose avec les produits biologiques.
L'agriculture est enlisée dans une guerre philosophique depuis des décennies. D'un côté, ce que l'on appelle l'establishment : des agriculteurs de père en fils, sur plusieurs générations, qui pratiquent l'agriculture conventionnelle ou industrielle (un terme chargé de sens s'il en est). De l'autre, la contre-culture, les nouveaux venus qui vantent les mérites d'un concept « redécouvert », l'agriculture biologique.
Bien sûr, il y a des exceptions à cette typologie, mais c'est la règle générale.
Avec le temps, d'autres parties se mêlent au conflit. Mais dans un climat d'escalade des tensions agricoles, la coexistence pacifique est-elle une option... ou une chimère ?
En tant qu'agriculteur conventionnel qui défie la plupart des définitions de ce type d'agriculture (nous y reviendrons plus tard), j'étais prêt à laisser le passé derrière moi. Mais c'est alors que j'ai vu les victimes de cette guerre non provoquée – les tirs incessants – cet l'état d'esprit qui s'est transformé de civil en combattant.
Au niveau politique local, mes collègues agriculteurs « conventionnels » et moi-même débattions de la question de savoir si nous devions soutenir les initiatives biologiques dans le cadre de notre programme général. Ils sont membres de nos organisations : Farm Bureau, groupements de producteurs, etc. et, surtout, de notre communauté. Nous ne pouvons pas avoir de querelles intestines – cela ne fait que nous affaiblir tous. Nous sommes tous dans le même bateau et partageons les mêmes intérêts.
Sauf que ce n'est pas le cas.
RépondreSupprimerL'agriculture biologique cherche-t-elle à nous saboter de l'intérieur ? À mon avis, l'existence même du bio insinue quelque chose d'inférieur et de moins durable dans le produit de sa concurrence (c'est-à-dire le mien). Je m'en offusque. Le plus important, c'est que nous ne sommes pas à l'origine de ce conflit.
Dans la machine de propagande, les produits biologiques et leurs alliés sont de facto les chouchous des médias. Le sympathique David contre Goliath. Le conventionnel semble toujours sur la défensive.
Nous savons que l'agriculture biologique est une déclaration de foi plutôt qu'une affirmation de sécurité, de salubrité ou de rigueur scientifique. En fait, je suis peiné de voir les États et le gouvernement fédéral financer des initiatives dans le domaine de l'agriculture biologique. Pourquoi investir dans un système dont le titre de gloire est littéralement de faire moins avec plus, tout cela en imposant un handicap doctrinal inutile ? De même, l'ensemble de la philosophie repose sur des allégations bancales et non vérifiées (que l'industrie n'essaie pas de corriger), comme « sans pesticides ». Il y a pourtant une longue liste approuvée que vous pouvez consulter vous-même.
Considérez également l'optique des termes conventionnel/industriel. Ils sont majoritairement négatifs, bien que l'agriculture conventionnelle utilise souvent la rotation des cultures et d'autres pratiques que l'agriculture biologique est censée « posséder ».
Je pense que tout investissement dans l'agriculture biologique est un manque de vision insensé. La « bombe » démographique (le pic de population est prévu pour 2050) indique que nous n'avons pas ce luxe.
Bien que nous ayons fait de grands progrès – le public se rend compte de l'hypocrisie du bio – cela ne veut pas dire que nous l'emportons (déjà) dans la guerre des relations publiques. Les cœurs et les esprits sont infiniment plus difficiles à conquérir qu'un territoire. En effet, nous sommes attachés aux étiquettes, aux marques et aux systèmes, à tout ce qui nous place sur un piédestal un peu plus élevé que la concurrence.
Je n'aime pas être catalogué comme conventionnel. Je suis fier de me porter garant de l'intégrité de mon produit, de sa sécurité et de son itinéraire cultural. Il n'existe pas d'approche unique de l'agriculture. Les pratiques dépendent de la situation. Votre kilométrage peut varier.
RépondreSupprimerJe suggère que nous retirions purement et simplement le terme « biologique » (et même « industriel »), afin d'éliminer d'un seul coup la supériorité prétentieuse et l'injuste diffamation.
Dans la ferme de ma famille, nous puisons dans un ensemble diversifié de connaissances et de pratiques. C'est ce que j'appelle l'agriculture de réconciliation. Il s'agit d'une fusion élégante d'anciennes méthodes et de technologies émergentes. Par exemple, nous utilisons d'anciens pesticides qui requièrent l'ensemble des équipements de protection individuelle. Nous utilisons également des pesticides biologiques que l'on peut pulvériser à nu (bien que je ne le conseille pas). Nous utilisons des engrais de synthèse qui ont été formulés pour être valorisés selon les saisons, optimisant ainsi les rendements et minimisant le lessivage et le ruissellement. Nous utilisons des semences hybrides et salivons à l'idée d'utiliser des cultures biotechnologiques ou génétiquement modifiées – s'il en existait.
Nous sommes également une exploitation agricole familiale de cinquième génération, et non une société (un autre reproche souvent fait aux « industriels »), et une proportion écrasante de nos produits est vendue et consommée dans un rayon de 80 km. Cela témoigne de notre éthique en matière de durabilité.
Nous connaissons également nos limites. Le semis direct est une véritable exclusivité de l'agriculture « industrielle » – l'utilisation des biotechnologies en conjonction avec le Roundup ou d'autres herbicides similaires. Mais même si nous disposions de cultures tolérantes aux herbicides, ce n'est tout simplement pas compatible : la nécessité d'avoir des buttes et l'architecture générale des systèmes racinaires des légumes (par rapport aux grandes cultures) font que le semis direct n'est pas envisageable.
En fin de compte, l'attachement rigide aux systèmes agricoles est dépassé. En nous cloisonnant, nous négligeons les mérites de pratiques que nous pourrions autrement ignorer, sans autre raison que le caractère sacré de notre « religion » inflexible. L'agriculture de réconciliation est une fusion pragmatique, à la carte, qui est flexible, adaptée au site, et qui optimise les résultats environnementaux, économiques et sociaux pour les agriculteurs comme pour les consommateurs.
RépondreSupprimerL'agriculture biologique n'a rien d'exclusif ou d'exceptionnel. À cet égard, je me souviens d'une expression bien connue : « L'agriculture biologique, ou comme l'appelaient vos grands-parents, l'agriculture ». Le seul moyen de parvenir à une coexistence pacifique est de supprimer les distinctions artificielles qui dressent les agriculteurs les uns contre les autres.
https://seppi.over-blog.com/2024/04/point-de-vue-l-agriculture-biologique-et-l-agriculture-conventionnelle-peuvent-elles-coexister-pacifiquement.html
(...) Je pense que tout investissement dans l'agriculture biologique est un manque de vision insensé. La « bombe » démographique (le pic de population est prévu pour 2050) indique que nous n'avons pas ce luxe. (...)
SupprimerPlus il y a de monde sur Terre (nous pourrions être 100 fois plus !) plus il y a de consommateurs et... plus il y a de travailleurs dans l'agriculture !
Il faut donc changer de politique. La sécheresse ne devrait pas exister dans le monde au 21 ème siècle. Déjà les romains construisaient des ponts pour amener l'eau et creusaient des canaux. Malheureusement, les fleuves et les rivières ne sont plus dragués depuis plus de 40 ans !!
La multiplication de terrains non-traités contre les insectes et maladies en fait une invasion de bestioles et maladies qui n'ont que foutre des dirigeants.
Qui doit dominer ? Les insectes ou l'être humain ?
Sélection végétale grâce aux nouvelles techniques génomiques : un point de vue belge
RépondreSupprimer17 Avril 2024
Santé Publique Belgique*
Une proposition législative européenne est à l'étude pour autoriser la culture de plantes NGT. Il s'agit de plantes créées par l'application ciblée de nouvelles techniques génomiques (NGT), telles que la technique CRISPR. Si cette loi est adoptée, il est possible que les plantes NGT dominent l'agriculture européenne d'ici quelques années. Dans un nouvel avis, le Conseil Supérieur de la Santé met en balance leur potentiel et les risques et appuie l’idée d'un cadre juridique distinct.
Quels sont les avantages ?
Les NGT permettent d'apporter des modifications très précises au matériel héréditaire des plantes. Les modifications génétiques sont impossibles à distinguer de celles que l'on trouve dans les plantes améliorées de manière classique. Le grand avantage de ces nouvelles techniques est qu'elles accélèrent le processus de sélection.
On pourrait, par exemple, modifier les gènes qui rendent la plante plus résistante à la sécheresse, aux maladies ou aux parasites. De cette manière, les techniques pourraient contribuer à créer un système agricole plus durable, nécessitant moins de pesticides ou d'eau, avec un rendement plus élevé par surface et des cultures plus résistantes au changement climatique.
Le projet de loi protège-t-il la santé ?
La proposition législative européenne fait la distinction entre les plantes obtenues avec un nombre limité de modifications génétiques (catégorie NGT1) et les plantes obtenues avec des modifications plus radicales (catégorie NGT2). Les risques liés aux plantes NGT1 sont essentiellement les mêmes que ceux liés aux plantes obtenues par sélection classique. Le Conseil se félicite donc de ce cadre supplémentaire, qui laisse plus de place à l'innovation dans l'agriculture. En outre, le Conseil est convaincu que le cadre juridique européen existant, ainsi que la nouvelle proposition législative, protège les êtres humains et l'environnement de la même manière. Les plantes NGT2 restent soumises à une évaluation des risques très stricte, comme le prévoit la législation européenne en matière d'OGM.
Quelles sont les préoccupations ?
RépondreSupprimerLes NGT devraient être largement disponibles. Le législateur devra donc empêcher la formation de monopoles. Le Conseil prône également la transparence. Les semences NGT doivent être clairement étiquetées. Indépendamment des techniques utilisées pour sélectionner les plantes, le Conseil recommande également qu'à l'avenir, au niveau européen, l'équilibre entre les avantages pour la société et les risques potentiels soit évalué pour chaque nouvelle variété végétale.
Liens utiles
L’avis, dans son intégralité (CSS 9801) se trouve sur le site internet du Conseil Supérieur de la Santé.
Pour en savoir plus, contactez Sofie Verdoodt, responsable de la communication au Conseil Supérieur de la Santé : sofie.verdoodt@health.fgov.be(link sends e-mail) ou +32 (0)478 73 11 83.
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* Source : Sélection végétale grâce aux nouvelles techniques génomiques | SPF Santé publique (belgium.be)
https://seppi.over-blog.com/2024/04/selection-vegetale-grace-aux-nouvelles-techniques-genomiques-un-point-de-vue-belge.html
L'Uruguay rejoint les pays pratiquant l'édition de gènes et réorganise le processus d'approbation des cultures éditées
RépondreSupprimer17 Avril 2024
Ministère uruguayen de l'Environnement*
Les ministères de l'Environnement et de l'Élevage, de l'Agriculture et de la Pêche collaboreront à l'analyse des nouvelles techniques d'amélioration génétique applicables aux produits ou aux organismes liés à la production agricole, aquacole ou forestière et à ses sous-produits. Le nouveau décret établissant la procédure de travail en commun et la formation d'un groupe technique responsable a été présenté lundi 18 mars lors d'une conférence de presse par les ministres Robert Bouvier (MA) et Fernando Mattos (MGAP).
Le nouveau règlement est le résultat d'un travail conjoint entre les deux ministères. Il prévoit la création d'un groupe de travail technique (GTT) chargé de déterminer, de manière scientifique et objective, si un produit ou un organisme obtenu par ces techniques doit être considéré comme relevant de la réglementation applicable aux organismes génétiquement modifiés.
Chaque autorisation liée à l'utilisation de ces nouvelles techniques fera l'objet d'un processus d'analyse, avec une participation égale des deux ministères au processus de décision.
Dans le cadre de l'annonce faite au siège du ministère de l'Élevage, de l'Agriculture et de la Pêche (MGAP), le ministre de l'Environnement, Robert Bouvier, a déclaré qu'avec cette définition, le gouvernement « reflète l'engagement commun pour la promotion de l'innovation et du développement durable, ainsi que notre responsabilité ferme envers la protection et la conservation de notre biodiversité ».
Le ministère de l'Environnement abordera la question sous l'angle du produit plutôt que du procédé. « Notre approche vise à prévenir les effets négatifs potentiels, en mettant l'accent sur la protection de notre biodiversité », a déclaré M. Bouvier, ajoutant : « Nous évaluerons en détail les caractéristiques de chaque nouveau produit dérivé des nouvelles techniques d'amélioration génétique, en prenant les mesures nécessaires pour éviter toute répercussion qu'il pourrait engendrer. »
RépondreSupprimerParallèlement, les capacités techniques et de coopération ont été renforcées avec des institutions scientifiques telles que l'Institut National de Recherche Agricole (INIA), l'Institut National des Semences (INASE), l'Université de la République (UdelaR), l'Institut Pasteur Montevideo, le Laboratoire Technologique de l'Uruguay (LATU) et l'Institut de Recherche Biologique Clemente Estable (IIBCE).
Le groupe de travail technique (GTT) sera composé d'experts en caractérisation moléculaire qui pourront provenir du MGAP, du MA, ainsi que d'autres organisations ou institutions compétentes : Institut National de Recherche agricole (INIA), Institut National des Semences (INASE), Université de la République (UdelaR), Institut Pasteur Montevideo (IP-Montevideo), Laboratoire Technologique de l'Uruguay (LATU) et Institut de Recherche Biologique Clemente Estable (IIBCE).
Pour sa part, le ministre de l'Élevage, de l'Agriculture et de la Pêche, Fernando Mattos, a qualifié le nouveau règlement d'« étape importante pour cette administration en termes d'amélioration génétique de la production agricole ». Il a ajouté que « cette étape ouvre un énorme éventail de possibilités pour le pays. Nous devons relever le défi du maintien de la sécurité alimentaire [...]. Il est très difficile de répondre aux besoins en aliments de qualité nutritionnelle avec les paramètres de production actuels. Nous devons garantir des aliments en qualité et en quantité, tout en respectant l'environnement et la durabilité. »
Les directeurs, Gerardo Evia, de la Direction Nationale de la Biodiversité et des Services Écosystémiques (Dinabise) du MA, et Virginia Guardia, de la Direction Générale de la Biosécurité et de la Sécurité Alimentaire (Digebia) du MGAP, ont participé à la conférence et à l'annonce du nouveau règlement et de la procédure administrative et technique impliquée dans l'analyse, en tant qu'unités d'exécution principales et chefs du groupe de travail technique.
RépondreSupprimer________________
* Source : Reglamentación de nuevas técnicas de mejoramiento genético y edición génica | MA (www.gub.uy)
https://seppi.over-blog.com/2024/04/l-uruguay-rejoint-les-pays-pratiquant-l-edition-de-genes-et-reorganise-le-processus-d-approbation-des-cultures-editees.html
C’est pourquoi le prix de l’essence pourrait bientôt doubler…
RépondreSupprimerPar Michael Snyder
L'effondrement économique
17 avril 2024
Pouvez-vous imaginer payer sept dollars pour un gallon d'essence ? Cela pourrait bientôt se produire, car il semble qu’Israël soit sur le point de frapper l’Iran, ce qui risque de rendre les événements au Moyen-Orient complètement incontrôlables. À l’heure actuelle, environ un cinquième de tout le pétrole utilisé dans le monde passe par le détroit d’Ormuz. Une guerre apocalyptique dans la région pourrait potentiellement fermer le détroit d’Ormuz jusqu’à ce que le conflit soit résolu d’une manière ou d’une autre. En outre, les infrastructures pétrolières pourraient être détruites en Iran et dans d’autres pays du Moyen-Orient alors que les combats font rage, ce qui pourrait réduire considérablement la production pétrolière mondiale pendant une période prolongée. Notre mode de vie dépend d’un pétrole bon marché, et donc si une guerre régionale majeure au Moyen-Orient fait monter en flèche le prix du pétrole, cela nous affectera tous profondément.
Lundi, le prix moyen d'un gallon (3,78 litres) d'essence aux États-Unis n'était que de 3,63 dollars…
Le prix moyen d'un gallon d'essence ordinaire aux États-Unis était de 3,63 dollars lundi, selon AAA, en hausse de près de 4 cents par rapport à la semaine précédente et de 22 cents par rapport au mois précédent.
Même si le prix moyen d’un gallon d’essence a augmenté de plus de 20 cents en un mois, je le considère toujours comme étant à un niveau très bas, surtout par rapport à ce qui va éventuellement arriver.
Un expert interrogé par MarketWatch prévient que le prix moyen d’un gallon d’essence aux États-Unis pourrait atteindre 5,40 dollars cet été…
Colas a estimé qu’une flambée des prix du pétrole poussant l’essence américaine à 5,40 dollars le gallon cet été ferait d’une récession plus tard en 2024 « une réelle possibilité ». Les prix du gaz aux États-Unis étaient en moyenne de 3,634 dollars le gallon à la pompe lundi, selon AAA, lors du dernier contrôle.
Et ce même expert a également averti que si le prix du pétrole atteignait 125 dollars le baril, cela pourrait plonger l’économie américaine dans une récession…
RépondreSupprimer"Les prix du brut sont notre principale préoccupation, mais nous sommes loin" des 125 dollars le baril, un niveau de pétrole West Texas Intermediate qui "provoquerait presque certainement une récession s'il se maintenait", a déclaré Colas. « Les prix de l’essence sont le mécanisme de transmission entre le conflit au Moyen-Orient et l’économie américaine : lorsque les prix à la pompe augmentent rapidement, les consommateurs doivent réduire leurs autres dépenses. »
Personnellement, je pense qu’une telle projection est extrêmement optimiste.
Si Israël et l’Iran commençaient à se lancer des milliers de missiles, le prix du pétrole pourrait facilement dépasser les 150 dollars le baril, et il est probable que le prix moyen de l’essence aux États-Unis dépasserait les 7 dollars le gallon.
Et si des armes nucléaires sont utilisées au Moyen-Orient, on ne sait pas ce qui pourrait arriver.
À l’heure actuelle, les marchés financiers attendent de voir si Israël choisira de riposter.
Si les Israéliens frappent l’Iran et que les infrastructures pétrolières sont ciblées, cela « fera certainement monter les prix du pétrole »…
Si Israël riposte et que cela devient un conflit à part entière, ce sera une autre histoire. « Et peut-être que les plates-formes pétrolières et les raffineries iraniennes seront détruites », a-t-il déclaré. "Cela ferait monter les prix du pétrole."
Je pense que c'est ce qui va se passer.
En ce moment, on rapporte qu'Israël se prépare à riposter.
Lorsque cela se produira, le prix du pétrole deviendra fou et partout aux États-Unis, les gens blâmeront Israël pour le prix élevé de l’essence.
Mais ils devraient plutôt blâmer le Hamas, le Hezbollah et l’Iran.
S’ils avaient laissé Israël tranquille, les choses auraient pu se passer bien différemment.
RépondreSupprimerL'Iran aurait pu vivre en paix. Les Iraniens sont l’un des plus grands producteurs de pétrole au monde et, sous l’administration Biden, ils ont pu augmenter considérablement leurs exportations de pétrole…
L’Iran a fortement augmenté ses exportations de pétrole, sa principale source de revenus, sous l’administration Biden, après qu’elles aient été considérablement réduites en raison des mesures prises par l’administration Trump.
La Maison Blanche a affirmé qu’elle n’encourageait pas l’Iran à accroître ses exportations et qu’elle appliquait des sanctions. La baisse des exportations iraniennes entraînerait une nouvelle hausse des prix du pétrole et du coût de l’essence aux États-Unis, ce qui constituerait une question politiquement sensible à l’approche des élections présidentielles de cet automne.
Au lieu d’utiliser l’argent du pétrole pour financer des organisations terroristes, les Iraniens auraient pu vivre dans le luxe.
Pour être honnête, l’Iran aurait pu être l’un des pays les plus prospères de la planète.
Mais au lieu de cela, ils ont bêtement choisi une voie bien différente.
Si une guerre totale éclatait entre Israël et l’Iran, il serait probablement inévitable que le détroit d’Ormuz soit fermé, ce qui serait catastrophique pour l’ensemble de l’économie mondiale…
Les impacts potentiels sur le transport maritime transitant par le détroit d’Ormuz, un point d’étranglement pour environ un cinquième de la consommation mondiale totale de pétrole, seront également pris en compte dans les prix des marchés.
Le commandant de la marine des Gardiens de la révolution iraniens a déclaré mardi que l'Iran pourrait fermer le détroit s'il le jugeait nécessaire, et plus tôt samedi, l'agence de presse officielle iranienne IRNA a déclaré qu'un hélicoptère du CGRI avait abordé un navire, le MSC Aries battant pavillon portugais, et l'avait emmené dans Eaux iraniennes.
Pensez-y.
Un cinquième de tout le pétrole utilisé dans le monde passe par le détroit d’Ormuz.
RépondreSupprimerNous sommes en territoire inconnu et nous pourrions bientôt assister à un niveau de panique sur le marché financier que nous n’avons pas vu depuis très longtemps.
Pendant ce temps, la situation économique aux États-Unis continue de se détériorer.
Plus tôt dans la journée, j’ai été attristé d’apprendre que même Tesla avait décidé que des licenciements massifs étaient devenus nécessaires…
Tesla a annoncé le licenciement de « plus de 10 % » de ses effectifs mondiaux dans un courrier électronique interne à l’ensemble de l’entreprise. Nous avons rapporté hier en exclusivité que Tesla préparait un licenciement massif.
Au cours des derniers mois, il semblerait que Tesla se prépare à une série de licenciements. Tesla a demandé aux managers d'identifier les membres critiques de l'équipe et a suspendu certaines récompenses en actions tout en annulant les évaluations annuelles de certains employés. Elle a également réduit la production de la Gigafactory Shanghai.
Les choses ne vont certainement pas bien actuellement, mais elles empireront encore si une guerre régionale majeure éclate au Moyen-Orient.
Il faut de l’énergie pour fabriquer des produits, les transporter et les vendre.
Le prix du pétrole a un impact énorme sur pratiquement tous les secteurs de l’ensemble de notre économie.
Si une guerre apocalyptique au Moyen-Orient devait faire doubler le prix du pétrole, cela nous entraînerait dans une terrible chute économique.
Espérons donc le meilleur, mais préparons-nous aussi au pire.
Reprinted with permission from The Economic Collapse.
https://www.lewrockwell.com/2024/04/michael-snyder/this-is-why-the-price-of-gasoline-could-soon-double/
Les États-Unis sont producteurs et exportateur de pétrole. Pourquoi cette flambée des pris ???!
SupprimerLa France est productrice de blé et exporte. Pourquoi cette flambée des prix de la farine et du pain ???!
Tout est dans l'escroquerie du 'bureau' qui s'occupe des Matières Premières.
Le producteur de salades (laitues, scaroles ou frisées) vend à 10 cts d'€/pièce ! A quel prix elle est à l’étalage aux supermarchés ?
Industrie : le verrier Duralex va-t-il mettre la clé sous la porte ?
RépondreSupprimerConfrontée à une hausse vertigineuse des coûts énergétiques depuis 2022, l’entreprise Duralex a demandé à entamer une procédure de redressement judiciaire.
le 17 avril 2024 à 9h56
Duralex (le verre qui ne se casse pas) avait été rachetée par Pyrex en janvier 2021 pour 3,55 millions d'euros.
L'entreprise espère un nouveau repreneur
La société New Duralex International (NDI), qui gère la marque Duralex, a demandé à ouvrir une procédure de redressement judiciaire auprès du tribunal de commerce d'Orléans, selon un communiqué publié le 16 avril 2024. La flambée des coûts énergétiques a eu un impact direct sur Duralex. En 2022, les prix du gaz atteignant des sommets, la production a dû être suspendue, entraînant l'utilisation du chômage partiel pour réduire les coûts. Un prêt de 15 millions d'euros de l'État avait temporairement soulagé la situation, mais les soucis persistaient avec des pertes opérationnelles significatives.
L'annonce de la procédure de redressement judiciaire en avril 2024 pourrait relancer Duralex. L'objectif est de stabiliser l'entreprise en cherchant un repreneur capable d'injecter une nouvelle dynamique. L'implication d'un administrateur et d'un mandataire judiciaire devrait permettre d'encadrer ce processus, nécessaire à la survie de l'entreprise. L'entreprise avait été rachetée par Pyrex en janvier 2021 pour 3,55 millions d'euros.
Duralex : des amendes à payer qui n'arrange pas la situation
La situation de Duralex ne touche pas seulement l'aspect financier et opérationnel, mais a aussi un impact profond sur ses 230 employés et la région de La Chapelle-Saint-Mesmin. La recherche d'une solution viable est aussi une course contre-la-montre pour préserver les emplois et l'activité économique locale. Début 2024, le nouvel exploitant de Duralex a découvert qu'il devait payer des droits pour les émissions de gaz à effet de serre supérieures aux quotas autorisés avant sa reprise. La somme due s'élevait à plus de 840 000 euros.
Le ministre délégué à l'Industrie, Roland Lescure, a exprimé l'engagement de l'État à soutenir Duralex. L’État envisage diverses stratégies pour faciliter la reprise de l'activité de l'entreprise et assurer une transition en douceur vers une gestion plus durable.
(...) Début 2024, le nouvel exploitant de Duralex a découvert qu'il devait payer des droits pour les émissions de gaz à effet de serre supérieures aux quotas autorisés avant sa reprise. La somme due s'élevait à plus de 840 000 euros. (...)
SupprimerBientôt, ce sera VOUS qui devrait payer ! parce que vous 'émettez du gaz a effet de serre' qui n'EXISTE PAS !!
L’instrumentalisation de la migration et de la fuite
RépondreSupprimer16 avril 2024
de Felix Feistel / Dejan Lazić
Dans la première partie de notre série d'articles, nous avons examiné le mythe de la migration non réglementée . Dans cette deuxième partie, nous approfondirons les objectifs et le contexte de ce contrôle ciblé et des abus politiques liés à la fuite et à la migration. Dans la troisième partie, nous examinerons comment les médias ont délibérément attisé les sentiments et divisé la population à travers leurs reportages.
Depuis environ 2015, l’affirmation est répétée à maintes reprises selon laquelle l’Allemagne est la destination d’une migration massive et non réglementée. Des centaines de milliers de migrants arrivent dans le pays de manière incontrôlée et non réglementée ; c'est un mouvement migratoire illégal qui a lieu ici. Comme nous l’avons déjà expliqué dans les premières parties de cette série (1), la migration vers l’Europe et l’Allemagne ne s’effectue pas de manière anarchique et incontrôlée. L’UE et ses États membres disposent de diverses réglementations qui contrôlent et régulent la migration et militarisent également les frontières extérieures depuis des années au profit des sociétés d’armement, repoussant ainsi la migration. Cela va si loin qu’on parle déjà de centres d’asile en dehors de l’UE. En outre, des données sur les migrations massives sont collectées afin que la situation soit sous surveillance constante. Le Parlement européen a voté actuellement pour renforcer la protection des réfugiés. En effet, le droit d'asile aux frontières extérieures de l'UE a été aboli. (1a)
La mise en scène d’une crise des réfugiés
La migration s'effectue donc de manière très contrôlée, restrictive et réglementée, même si l'impression inverse est parfois donnée. De plus, ceux qui sont au pouvoir poursuivent des objectifs très précis en matière de migration vers l'Europe. Des crises de réfugiés sont également mises en scène afin de mieux atteindre ces objectifs. Cela sera illustré par la crise des réfugiés de 2015 et le récent mouvement de réfugiés de plus d’un million d’Ukrainiens vers la seule Allemagne.
En 2015, il y aurait eu un mouvement soudain et inattendu de réfugiés vers l’Allemagne. Tout d’abord, la Chancelière Merkel de l’époque a proclamé le slogan « Nous pouvons le faire » et a « ouvert » les frontières soi-disant fermées, après quoi des millions de réfugiés ont afflué vers l’Allemagne. Cependant, les frontières au sein de l’espace Schengen étaient déjà ouvertes, c’est pourquoi il ne peut être question d’une ouverture illégale des frontières. La population s'est d'abord montrée solidaire et a accueilli les réfugiés. Mais déjà en 2016, l’ambiance a changé au sein de la population. Auparavant, les médias s’étaient opposés à l’immigration de masse et attisé la peur. La Chancelière Merkel a donc été « obligée » de rechercher une solution paneuropéenne afin de sauver en même temps l’Allemagne et l’Europe. La chancelière a négocié avec le président turc Erdogan, au nom de l’UE, l’accueil de réfugiés. Le soi-disant « accord UE-Turquie » a été conclu. Cet « accord », contraire au droit international et incompatible avec la Convention de Genève et la Charte européenne des droits de l'homme, ne pourrait voir le jour que dans une situation de crise.
RépondreSupprimerCependant, la « crise des réfugiés » n’a rien de surprenant. Cela avait été annoncé bien avant et aurait pu être évité. La crise trouve son origine dans un certain nombre de causes complexes et à long terme. Il s’agit notamment de la guerre civile syrienne, du Printemps arabe et des activités d’organisations terroristes telles que les talibans et l’État islamique. Ces conflits et crises ont conduit à de graves urgences humanitaires qui ont contraint de nombreuses personnes à fuir. (1b)(2) En outre, l’Occident, sous la direction des États-Unis, a été le premier à créer des organisations terroristes et à les utiliser pour renverser le régime dans divers pays du Moyen-Orient. Cela a provoqué des guerres civiles destinées alors à justifier l’intervention occidentale. La région fut ainsi plongée dans le chaos. La guerre en Syrie a été l’un des principaux facteurs d’exacerbation d’un mouvement de réfugiés déjà existant. (3)
Causes de fuite et prévisibilité
Les causes de la fuite sont directement liées aux guerres, aux guerres civiles et aux sanctions auxquelles l’Allemagne et ses plus proches alliés économiques et militaires participent directement ou indirectement ou ont participé de manière significative (3a).
La combinaison de conflits prolongés, de problèmes économiques et d’instabilité politique dans les pays d’origine a fait de la crise des réfugiés un événement prévisible. Certains signes laissent clairement penser que l’Europe sera confrontée à un nombre croissant de réfugiés. (4) Avant même que la crise n’éclate, les organisations humanitaires qui géraient les camps de réfugiés au Moyen-Orient ont averti que la situation dans les camps d’accueil s’était énormément détériorée et ont exigé davantage d’aide des pays occidentaux. Autrement, ils devraient cesser de fournir une aide alimentaire à 1,7 million de réfugiés syriens. Cependant, ces fonds n’ont pas été approuvés et les Syriens ont donc été contraints de se réfugier en Europe pour échapper à la famine. (5)
RépondreSupprimerL’UE et ses États membres ont été confrontés au double défi : fournir une aide humanitaire, d’une part, et élaborer des mesures efficaces pour gérer et intégrer les réfugiés entrants, d’autre part. Cela a nécessité une coordination approfondie au niveau européen. (6)
Pas de droits humains en mode crise
La soi-disant crise des réfugiés a été utilisée par les acteurs politiques pour adopter un certain nombre de réglementations et de lois douteuses en termes de politique intérieure et étrangère. Du point de vue de la politique étrangère, l’accord UE-Turquie revêt une grande importance. L'accord UE-Turquie était un accord entre l'Union européenne et la Turquie visant à réduire l'afflux de réfugiés dans l'UE. Il stipulait que la Turquie reprendrait les réfugiés arrivés en Grèce en échange d'un soutien financier et de concessions politiques. Cet accord a été considéré comme problématique au regard du droit international et critiqué comme une « zone libre de droits humains ». (7) (8)
Il ne s’agit pas d’un traité international classique, transparent et permettant un contrôle judiciaire par les tribunaux internationaux. Les détails de l'accord n'ont jamais été rendus publics et aucune juridiction n'est spécifiée dans cet accord. En outre, cet accord a exposé l’UE au chantage d’Erdogan, qui disposait désormais d’un outil pour faire valoir ses revendications sous la menace de simplement laisser les réfugiés partir ou de ne pas les reprendre.
La crise des réfugiés a été utilisée par les principaux acteurs politiques européens pour promouvoir des politiques d’immigration plus restrictives et pour justifier des mesures contestables au regard du droit international. Cela a donné lieu à des débats sur le respect des droits de l’homme et des accords internationaux. (9) À l’instar de la crise du coronavirus, la crise prévisible des réfugiés a servi de prétexte pour restreindre les droits fondamentaux et introduire un plus grand autoritarisme de l’État. Cela a conduit à des discussions sur la protection de la démocratie et des libertés individuelles (10).
RépondreSupprimerPrétexte à des mesures répressives
L’expansion de l’autoritarisme s’est poursuivie des années plus tard, par exemple en renforçant les lois sur la police dans tous les Länder allemands. La présence d’un grand nombre de réfugiés arabes fournit une excuse bienvenue pour utiliser la prétendue menace terroriste pour étendre la répression. La prétendue menace terroriste a été utilisée pour susciter la peur dans la population, comme en témoigne le fait que ce n'est que depuis 2020 que la peur du terrorisme des citoyens n'est plus en première place dans les enquêtes annuelles, mais qu'elle est remplacée par une nouvelle la peur, la peur d’un virus a été remplacée. (11)
Cette crainte reposait également sur des attentats qui ont eu lieu dans de nombreux pays européens, notamment celui de la Breitscheidplatz à Berlin. La question de savoir dans quelle mesure les services secrets sont impliqués dans ce prétendu terrorisme islamiste n’a pas encore été définitivement élucidée. Le cas de l'attaque sur la Breitscheidplatz n'est pas encore entièrement résolu, le ministère public ignore de nombreux faits et certains éléments indiquent qu'Anis Amri ne pouvait pas être l'unique auteur, mais qu'il bénéficiait du soutien du Bureau de protection de la Constitution. (12) (13) Cependant, de nombreuses preuves suggèrent que les terroristes sont spécifiquement recrutés par les services secrets et encouragés à commettre des attentats, avec la supervision et l'assistance des services secrets. Il en va de même pour le NSU, une cellule terroriste d’extrême droite qui attaque et tue des migrants depuis des années. Les services secrets allemands ont également été impliqués dans cette affaire, même si l'étendue de cette implication n'a pas encore été clairement établie. La migration sert donc également de stratégie diviser pour régner, par laquelle la population est divisée en partisans de la migration et en opposants à la migration qui se combattent. Cela sème les germes de la violence et de la terreur, qui font apparaître l’appareil d’État comme indispensable et justifient également un renforcement de la surveillance, du contrôle et de la répression, à l’instar de ce qui s’est produit lors de la mise en scène de la pandémie du coronavirus à partir de 2020 et qui a finalement conduit à un coup d’État. (14a)
Immigration, capitaux et intérêts lucratifs
RépondreSupprimerLa migration sert également les intérêts lucratifs des capitalistes. Des plaintes concernant une prétendue pénurie de travailleurs qualifiés ont été entendues en Allemagne depuis des années. Cela entrave le développement et la croissance de l’Allemagne et il faut y remédier de toute urgence. Dans le même temps, le taux de chômage en Allemagne dépasse les 5 pour cent depuis des années. (14) Au lieu de qualifier globalement ces chômeurs pour en faire des travailleurs qualifiés, des migrants qualifiés et donc utilisables sont spécifiquement recrutés. Les réfugiés sont généralement intégrés dans des zones plutôt impopulaires. (15) Des discussions ont également eu lieu depuis 2015 sur la suspension du salaire minimum pour les réfugiés. (16) C'est avant tout le lobby des entreprises qui a réclamé la suspension du salaire minimum pour les migrants. (17) Toutefois, une exception générale a été classée comme inconstitutionnelle. Néanmoins, 32,2 pour cent des personnes d’origine étrangère travaillent dans le secteur à bas salaires. (18) La migration est également utilisée pour occuper des emplois impopulaires avec des salaires minimes.
Il convient de noter en particulier le domaine des soins gériatriques et infirmiers, dans lequel les Ukrainiens étaient principalement employés avant même le déclenchement de la guerre en Ukraine. (19) L’immigration massive d’Ukrainiens a également accru la réserve de main-d’œuvre dans cette région. Dans un secteur où le mécontentement est élevé, les migrants peuvent être utilisés comme briseurs de grève ou pour prévenir les grèves. À cette fin, plus d'un million d'Ukrainiens ont été admis en Allemagne sans aucune nécessité et ont eu accès aux prestations sociales pendant plusieurs années de manière totalement non bureaucratique, ainsi qu'à une intégration rapide sur le marché du travail, même si seulement environ 20 pour cent des le pays a été touché par la guerre. C’est tout à fait contraire aux réfugiés afghans, par exemple, qui n’ont eu aucune possibilité de s’intégrer depuis des années. En outre, les expulsions vers l’Afghanistan ont été effectuées à grande échelle simplement en déclarant la capitale Kaboul comme sûre et en construisant ainsi une « alternative d’évasion intérieure », même si cela n’a en réalité pas été le cas et a été critiqué au niveau international. (19a) Les expulsions n’y ont été suspendues que depuis la passation du pouvoir aux talibans en 2021. (20)
Conclusion
RépondreSupprimerAlors que les droits de l’homme établis et les principes juridiques vieux de plusieurs siècles sont systématiquement abolis sous prétexte de crises (21), les élites construisent de nouvelles personnes et de nouveaux droits. Dans un arrêt évidemment politique, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a, conformément à son mandat, consacré en amont un « droit humain à la protection du climat » (22). Le terme « protection du climat financier » aurait été plus honnête.
Cela montre clairement que ce ne sont pas seulement les fuites et les migrations, actuellement en provenance d’Ukraine, qui sont construites et instrumentalisées comme des crises à des fins politiques. Ils fournissent un prétexte pour renforcer les lois répressives au niveau national, pour des accords douteux contournant le droit international à l’étranger et comme une ressource économiquement exploitable qui maintient les coûts de main-d’œuvre à un faible niveau. Ainsi, lorsqu’une fuite ou une migration vers l’Europe a lieu, elle est toujours contrôlée. Les discussions sur la distraction et les demandes visant à limiter et contrôler la migration divisent la population. Les crises, les guerres, les fuites et les migrations servent en fin de compte les intérêts mondiaux du capital et ne sont pas laissés au hasard.
Il faut donc lutter contre les causes de la fuite plutôt que contre les réfugiés. Les réfugiés et les migrants, y compris en Allemagne, sont systématiquement marginalisés et leurs droits restreints, servant ainsi de modèle à la privation de droits de tous. Cela ressort clairement de l'introduction de la carte de paiement pour les réfugiés, destinée à remplacer les services d'assistance sous forme de paiements en espèces. Ici, la suppression du cash pour les plus vulnérables de la société est déjà en cours, puis dans un deuxième temps elle sera étendue à l'ensemble de la société. Toute privation du droit de vote des réfugiés est donc le premier pas vers la privation du droit de vote de toutes les autres personnes. Il faut donc s’élever contre cette injustice, même si elle ne nous touche pas encore. (23)
(1) https://tkp.at/2024/03/12/vom-mythos-der-ungeregelten-migration/
RépondreSupprimer(1a) https://www.deutschlandfunk.de/die-leichtsten-aenderungen-im-ueberblick- 100.html
(1b) https://www.studysmarter.de/schule/geschichte/europaeische-integration/fluechtlingskritik-eu/ , (2) https://www.jstor.org/stable/j.ctv1168d9g
(3) https://www.tagesschau.de/inland/fluechtlinge-faq-101.html
(3a) https://unionsforum.de/politique-oekonomie-der-zuwandel-aktuelle-daten-und-oekonomische-hintergruende-1/#more-19417
(4) https://www.bpb.de/shop/zeitschriften/apuz/217302/wandel-in-die-kritik-ein-rueckblick-auf-die-eu-fluechtlingskritik-2015/
(5) https://www.faz.net/aktuell/politik/fluechtlingskritik/wie-der-fluechtlingsandrang-aus-syrien-ausgeloest-wurde-13900101.html
(6) https://www.europaimlehr.de/fluechtlings-migrations-asyl-politik
(7) https://www.consilium.europa.eu/de/press/press-releases/2016/03/18/eu-turkey-statement/
(8) https://www.bpb.de/themen/migration-integration/kurzdossiers/517150/eu-tuerkei-fluechtlingsvertrag-kontosaufnahme-und-menschenrechts-vergleiche/
(9) https://www.welt.de/politik/deutschland/article206476651/EU-Tuerkei-Deal-Seine-Erpressungspolitik-war-wieder-gewinnreich.html
(10) https://www.heise.de/tp/features/Corona-Angst-als-Betreiber-autoritaerer-politik-4697199.html
(11) https://www.rnd.de/panorama/davor-haben-die-deutschen-am-meisten-angst-2ZMOJ3LXHI4MGF55AAXTN7JHJA.htm
(12) https://www.nachdenkseiten.de/?p=111748
(13) https://www.nachdenkseiten.de/?p=74513
(14) https://de.statista.com/statistics/data/studie/1224/umfrage/arbeitslosenquote-in-deutschland-seit-1995/
(14a) article coup d'État du TKP
(15) https://www.arbeitsrechte.de/mindestlohn-fluechtlinge/#Welche_Verguetung_erhalten_Gefluechtete_Gilt_der_Mindestlohn_auch_fuer_Asylwerbung
(16) https://www.bundestag.de/resource/blob/407276/add1fbc054b3a45d6eeca421ce9ea9b3/WD-6-004-16-pdf.pdf
(17) https://www.spiegel.de/wirtschaft/sociales/dihk-will-fluechtlinge-beim-mindestlohn-wie-langzeitarbeitslose-behandeln-a-1064251.html
(18) https://www.dgb.de/arbeitsmarkt-zahl-des-monats/++co++de371852-2d17-11ee-b022-001a4a160123
(19) https://www.bpb.de/themen/europa/ukraine-analyses/338089/analyse-ukrainische-care-migrantinnen-in-deutschland-prekaere-arbeit
Conditions-lukratives-geschaeft/ (19a) https:/ / www.amnesty.de/general/pressemitigung/deutschland-kabul-ist-nicht-sicher-amnesty-ford-sofortigen ; https://www.asyl.net/view/neue-unhcr-guidelines-zu-afghanistan-nicht-interne-schutzalternative-in-kabul ; https://www.unhcr.org/dach/de/31490-unhcr-warnt-vor-umfünden-abschiebungen-nach-afghanistan.html
(20) https://mediendienst-integration.de/migration/wandel-asyl/afghanische-fluechlinge.html
(21) https://www.cicero.de/aussenpolitik/klima-judg-des-egmr-auf-dem-weg-in-die-juristenherrschaft
(22) https://www.epochtimes.de/umwelt/klima/Judgment-klimapolitik-der-schweiz-hat-menschenrechte-verletzt-moeglicher-praezedenzfall-a4661020.html utm_source=koppreport&utm_medium=web&utm_campaign=nowall
(23) https://apolut.net/eingeschraenkte-menschenrechte-von-felix-feistel/
https://tkp.at/2024/04/16/die-instrumentalisierung-von-migration-und-flucht/
La Grèce face à un « effondrement démographique »
RépondreSupprimer16 avril 2024
de Thomas Oysmüller
Le taux de natalité continue de s’effondrer et les décès « soudains » de jeunes augmentent : la pyramide des âges grecque est enfin au bord de l’effondrement.
Presque tous les pays occidentaux sont aux prises avec une pyramide démographique qui s’effondre. La Grèce est particulièrement touchée, et les observateurs estiment qu'elle sera « le premier pays » à subir un « effondrement démographique ». D’une part, cela est dû à une baisse spectaculaire du taux de natalité, qui a choqué les « experts ». En revanche, les décès « soudains et inattendus » continuent d’augmenter à travers le pays.
Bombe à retardement
Un magazine grec résume la situation ainsi : « Insuffisance cardiaque, accidents vasculaires cérébraux, caillots sanguins et cancers à apparition rapide. Cela touche particulièrement les personnes jeunes et en bonne santé. » Et cette évolution a fait monter en flèche le taux de mortalité en Grèce.
L’effondrement démographique se propage désormais au plus haut niveau politique. Le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis a récemment déclaré que nous étions confrontés à une « bombe à retardement » et à une « menace nationale ». L’effondrement démographique devient alors le phénomène d’un déclin soudain et irréversible du nombre de personnes vivant dans une société. La Grèce est sur la bonne voie. Pas le seul pays occidental, mais le premier pays.
« C'est l'un des problèmes les plus graves auxquels nous sommes confrontés, non seulement en Grèce mais dans toute l'UE », a déclaré à Reuters le ministre des Finances Kostis Hatzidakis , faisant référence au déclin rapide de la population de son pays. "C'est notre priorité... quoi qu'il en coûte."
Le gouvernement veut donc agir en sauveur. Mais dans le même temps, les critiques affirment qu’elle n’a encore mené aucune recherche sur la vaccination à ARNm, même si les statistiques de morts subites et inattendues ont grimpé en flèche au moment où la vaccination a été introduite.
Voici quelques statistiques actuelles de la Grèce tirées de la base de données « World in Data » de News Addicts du 10 avril 2024. Le taux de mortalité en Grèce a baissé de manière presque continue jusqu'en 2021, puis il y a eu un net renversement de tendance.
- voir graph sur site -
Vous pouvez voir ici la surmortalité qui débutera en 2021 :
- voir graph sur site -
Outre l’augmentation de la mortalité, de nombreux pays sont également confrontés à une baisse du taux de natalité, et pas seulement depuis 2020. Les statistiques grecques le montrent également très bien :
- voir graph sur site -
Le rapport de Reuters met en avant la question de savoir qui promeut et soutient le dépeuplement. L'Agenda 2030 de l'ONU considère un déclin de la population mondiale comme certainement souhaitable. Même au sein de l’ÖRR autrichien, un responsable de l’ONU a déjà déclaré que trois milliards seraient en réalité « optimaux ».
Elon Musk, qui met en garde contre un « effondrement démographique », a également commenté l'évolution de la Grèce : « La Grèce est l'un des dizaines de pays qui connaissent un déclin démographique en raison de faibles taux de natalité », a déclaré la multinationale Big Tech.
- voir graph sur site -
La croissance démographique de la Grèce est en chute libre depuis des années.
Les pays occidentaux devraient effectivement initier une politique visant à encourager les naissances. Mais cela arrive rarement. Peut-être parce que l’Agenda 2030 ne le prévoit pas ? Les pays asiatiques sont également aux prises avec ce problème. Des programmes visant à augmenter le taux de natalité ont été lancés en Chine.
https://tkp.at/2024/04/16/griechenland-vor-bevoelkerungskollaps/
Les seringues partent en vacances en Grèce !
SupprimerBrève. Le monde politique japonais …
RépondreSupprimerle 16 avril 2024
Depuis la fin de la secondaire mondiale le Japon est gouverné par le chef du Parti Libéral démocrate dont Shinzo Abe faisait partie. Son père était également un politicien du PLD. À quelques rares exceptions d’alternance qui ne dura que quelques années ce parti a tissé des liens dans toute la société politique japonaise et il n’est pas surprenant que ces liens ont fatalement créé une sorte d’impunité du PLD, en d’autres termes la porte ouverte à une corruption que seule la personnalité de ces premiers ministres successifs arrivait à masquer aux électeurs. Lorsque Shinzo Abe fut assassiné le Japon a cru retomber dans l’ère des Shoguns soutenus par les riches familles qui en retour profitaient de certains privilèges. Certains samouraïs faisaient parfois le ménage et la situation redevenait normale. C’est un phénomène naturel lorsqu’il existe des alternances politiques dans tous les pays qui prétendent être des démocraties. Bref Shinzo Abe a été assassiné par un citoyens japonais tout à fait ordinaire spolié par sa mère qui légua toute sa fortune à la secte Moon. Par on ne sait pas trop quel canal il suspectait que Abe avait reçu des pots de vin de cette secte coréenne très puissante pour accepter une fois pour toute de reconnaître qu’il existait des « femmes de réconfort » pour l’armée japonaise lors des longues décennies de l’occupation par le Japon de la Corée, un phénomène qui s’amplifia durant les années d’impérialisme exacerbé qui précipitèrent ensuite le Japon dans la guerre contre les Etats-Unis et l’Union soviétique. Inutile aussi de revenir sur le Mandchou-kuo, un état fantoche dans lequel l’armée japonaise se livra à toutes sortes d’exactions peu recommandables.
Aujourd’hui le Japon désire commercer paisiblement avec tous les pays de l’Asi extrême-orientale y compris la Russie. Quant aux liens du PLD avec la secte Moon il faut avouer qu’aucune clarification ne peut être espérée et il en est de même avec la secte bouddhiste Soka-Gakkai considérée comme la plus riche de toutes les sectes qui sévissent dans le monde. Ce sont des dizaines de milliards de yens qui aboutissent sur les bureaux des députés de la Diète et cette secte est réellement la vraie autorité non politique, si on peut dire les choses ainsi, qui gouverne le Japon, elle comprend en effet près de 15 millions de membres et contrôle totalement le pouvoir politique. La corruption est ainsi monnaie courante pour les membres élus du PLD, pieds et poings liés devant ce mastodonte qui éclipse totalement tous les autres groupuscules politiques et/ou sectaires. Longue vie au PLD ! Sans vouloir faire preuve d’humour …
https://en.wikipedia.org/wiki/Shinzo_Abe
https://jacqueshenry.wordpress.com/2024/04/16/breve-le-monde-politique-japonais/
(...) Depuis la fin de la secondaire mondiale le Japon est gouverné par le chef du Parti Libéral démocrate dont Shinzo Abe faisait partie. (...)
RépondreSupprimerPareillement qu'aux États-Unis existe un parti 'démocrate' (HAHAHAHA !). Or, ce n'est PAS LE CAS !
La Démocratie c'est: 'Par le Peuple, Pour le Peuple'. Les autres (monarchies, républiques ou empires) ne sont que des dictatures où le Peuple doit FERMER SA GUEULE !
En Suisse (Seule Démocratie au monde) c'est le Peuple qui dirige. Le citoyen suisse propose lui-même SA loi et voter lui-même SA loi.
Le chef de l’État ne demeure que un an au pouvoir (1er Janvier - 31 Décembre).
Plus de la moitié des suisses ignorent le nom du 'chef de l’État' !
Le gaz carbonique n’est pas un poison !
RépondreSupprimerIstván E. Markó
21 avril 2015
Coup de gueule d’István Markó, le directeur scientifique de Climat : 15 vérités qui dérangent, à propos des affirmations sur le gaz carbonique et le réchauffement climatique sans cesse répétées dans les médias. Professeur de chimie organique, il sait de quoi il parle.
Par István Markó.
Un article de l’Institut Turgot
Non, non, non et non ! Je le répète et le répéterai sans cesse : le gaz carbonique n’est ni un poison, ni un polluant ! Il ne l’a jamais été et il ne le sera jamais !
Malgré les nombreuses campagnes de désinformation menées par des ONG environnementalistes sans scrupule qui n’hésitent pas à endoctriner nos jeunes têtes blondes dès le début de leurs études en dépit des accusations médiatiques injustes relayées par certains journalistes trop occupés pour vérifier leurs sources les plus fondamentales ou déjà acquis à « la cause », et nonobstant sa condamnation par certains politiciens dogmatiques et aux connaissances scientifiques hésitantes, le gaz carbonique est et reste ce qu’il a toujours été : l’une des molécules les plus importantes de la vie !
Pas de gaz carbonique et pas de vie sur Terre
Le gaz carbonique est avant tout la nourriture des plantes. C’est leur aliment de base. La photosynthèse, cette merveilleuse transformation que les plantes ont appris à maîtriser, utilise la lumière du soleil et le gaz carbonique pour fabriquer sucres, cellulose et amidon et donner vie à nos végétaux. Pas de gaz carbonique, pas de plantes et donc pas d’herbivores, ni de carnivores, ni… d’humains. Le gaz carbonique est vraiment source de vie ! Nous savons aujourd’hui que nos végétaux sont affamés en gaz carbonique.
De nombreux scientifiques ont montré que la quantité de gaz carbonique dans l’air était plus importante auparavant et que nos plantes souffrent d’un manque chronique de gaz carbonique. Elles ont faim. Tous ceux qui cultivent dans une serre botanique industrielle savent très bien que la quantité de gaz carbonique à l’intérieur de la serre est environ trois fois plus élevée (1100 à 1200 ppmv) que celle présente dans l’atmosphère que nous respirons (un peu moins de 400 ppmv en 2015). Dans ces conditions les végétaux poussent plus vite, sont plus robustes, apprécient une température plus élevée et consomment moins d’eau.
RépondreSupprimerCette dernière propriété explique aussi pourquoi depuis plus de 30 ans on observe un verdissement de la planète de plus de 20 %. Oui, vous lisez bien ! Il y a 20 % de verdure en plus sur Terre aujourd’hui qu’il n’y en avait il y a trente ans. Malgré la déforestation continue – qui n’est une réalité qu’en certains endroits de la planète – et l’action des Hommes, les plantes poussent plus vite et en plus grand nombre car elles ont enfin davantage de nourriture.
L’un des résultats les plus visibles (par satellite) de ces conditions favorables à la croissance des plantes est le recul de certains déserts dont celui du Sahel.
L’autre est l’augmentation constante de la production mondiale de céréales pour lesquelles une hausse du taux de gaz carbonique atmosphérique est un formidable bonus. Une belle gifle pour ceux qui veulent diminuer la quantité de gaz carbonique présent dans l’atmosphère. La Nature nous donne un tout autre message : encore du gaz carbonique !
Pour vivre, la plupart des animaux, en ce compris les humains, ont besoin d’oxygène. Celui-ci est produit notamment par les arbres et les végétaux mais en quantités relativement faibles. La majorité de l’oxygène que nous respirons provient du phytoplancton. Ces minuscules organismes marins utilisent la lumière du soleil et le gaz carbonique atmosphérique pour se nourrir. Ils rejettent en même temps d’importantes quantités d’oxygène. Plus de 75 % de l’oxygène présent dans l’atmosphère provient de ce phytoplancton et donc du gaz carbonique qu’ils utilisent ! Pas de gaz carbonique, pas de phytoplancton et donc pas assez d’oxygène pour vivre ! À l’inverse de ce que l’on tente d’imprimer dans nos esprits depuis des lustres, les forêts ne sont pas les poumons de la Terre, à peine quelques petites alvéoles pulmonaires. Les vrais poumons, ce sont les phytoplanctons !
Malgré toutes ces qualités vitales à notre survie, le gaz carbonique est devenu la bête noire des climatologues alarmistes du IPCC et des ONG environnementalistes qui accusent le gaz carbonique produit par l’Homme (uniquement celui-là, bien sûr) d’être responsable de l’augmentation de la « température moyenne » de notre globe depuis le début de l’ère industrielle. Le gaz carbonique est un gaz à effet de serre dont la puissance phénoménale de réchauffement est égale à… 1 ! La vapeur d’eau est dix fois plus puissante et certains fréons plus de 10 000 fois !
RépondreSupprimerLe problème de cette théorie fumeuse est que depuis plus de 18 ans, la « température moyenne » de notre Terre n’a pas augmenté d’un iota ! Durant cette période, plus d’un tiers du gaz carbonique total émis depuis le début de l’ère industrielle a été relâché dans l’atmosphère. Si ce gaz était vraiment responsable d’un quelconque réchauffement climatique anthropique, on s’attendrait à tout le moins à observer une hausse vigoureuse des températures. Rien de tout cela ne se produit. Nada.
Comme le disait le grand physicien Richard Feynman :
« Lorsque votre théorie, aussi belle et géniale soit-elle, est invalidée par l’expérience, c’est qu’elle est fausse. Il faut s’en débarrasser et en formuler une meilleure. »
Exit la théorie du IPCC sur le gaz carbonique. Exit le IPCC aussi ?
Qui veut la peau du gaz carbonique et pourquoi ?
La vraie question reste cependant : pourquoi le GIEC, l’ONU, de nombreuses ONG, certains politiciens, de grandes compagnies électriques et d’autres veulent-elles à tout prix la peau du gaz carbonique anthropique ? La raison est double : politique et financière (pour changer).
Politique parce que de nombreuses organisations, dont l’ONU, ont trouvé dans la lutte contre le changement climatique et donc contre le gaz carbonique un thème unifiant qui leur ouvre la possibilité d’une gouvernance mondiale à laquelle elles aspirent depuis plusieurs générations. Le gaz carbonique est un problème mondial qui ne peut être résolu que par une action mondiale et qui mieux qu’un gouvernement mondial pourrait y pourvoir ? Le document qui sera discuté au prochain sommet du climat à Paris en décembre 2015 n’est rien de moins qu’un pas gigantesque en ce sens. On y trouve même la volonté d’instaurer un tribunal climatique mondial. À quand le rationnement du nombre de respirations quotidiennes par humain ?
RépondreSupprimerPolitique parce que certaines élites occidentales ne veulent pas que les pays émergents quittent leur état de pauvreté et de dépendance actuelles. Ils risqueraient de devenir de nouvelles puissances et leur feraient de l’ombre voire relègueraient leurs rêves idéologiques à l’arrière-plan. Quel meilleur moyen de ralentir leur développement économique et technologique que de leur proposer d’investir dans la sauvegarde de notre Terre commune en utilisant directement des énergies renouvelables et en appliquant les principes du développement durable ? Moyennant finances, bien entendu, via des transferts directs de richesse consentis par les pays « riches ». Ainsi, on maintient les pays émergents dans leur état actuel de précarité, voire on l’accentue, tout en condamnant les pays « riches » à s’appauvrir (le dernier rapport du GIEC préconise expressément la « décroissance », ce concept « scientifique » bien connu pour les pays riches). Malthus serait fier de ses enfants !
Financier parce que la gigantesque arnaque du développement durable et de son corollaire, les énergies renouvelables, repose exclusivement sur la peur générée dans le grand public – et continuellement maintenue à grand renfort de publicité dans tous les médias – du réchauffement climatique dû au gaz carbonique produit par l’Homme. C’est cette crainte soigneusement entretenue qui permet aux gouvernements de créer de nouveaux impôts verts, de financer avec l’argent du contribuable des éoliennes inutiles et d’investir dans des énergies renouvelables aussi ridicules que superflues, emplissant ainsi les poches de certains industriels peu scrupuleux, voire mafieux, avec l’argent des honnêtes citoyens. Quant aux ONG, elles reçoivent maintes subventions pour maintenir cette peur dans l’esprit du public.
La chasse au gaz carbonique n’a évidemment rien à voir avec son misérable effet de serre, ni avec un quelconque réchauffement de la planète. Tout cela n’est que politique nauséabonde et combines financières en tous genres. Qui sont les perdants ? Les pauvres des pays riches. Qui sont les gagnants ? Les riches des pays pauvres. Sans l’imaginaire toxicité du gaz carbonique et de ses effets néfastes sur l’environnement, toute cette gigantesque supercherie se dégonflerait comme une baudruche percée. Tant d’intérêts sont cependant en jeu que leurs bénéficiaires ont certainement prévu de larges quantités de rustines pour colmater les fuites et maintenir en l’air aussi longtemps que possible ce claudiquant attelage.
RépondreSupprimerhttps://www.contrepoints.org/2015/04/21/205301-le-co2-nest-pas-un-poison
Nouveau rêve américain : « Vous ne posséderez rien et serez heureux »
RépondreSupprimerPar Doug Casey
Homme international
18 avril 2024
International Man : selon une étude récente d'Investopedia, le rêve américain classique de la classe moyenne coûte désormais plus de 3,4 millions de dollars.
C’est le coût estimé du mariage, de deux enfants, des voitures, des maisons, des soins de santé, de l’éducation et de la retraite. C’est désormais totalement hors de portée pour de nombreux Américains.
Qu'en pensez-vous ? Comment est-ce arrivé ?
Doug Casey : Le fait est que, malgré la baisse de son niveau de vie au cours des 50 dernières années, l'Américain moyen vit aujourd'hui bien mieux et plus longtemps qu'un roi à l'époque préindustrielle. Il n’y a jamais eu de garantie que les Américains vivraient dans le luxe toute leur vie.
Nous sommes parvenus à ce niveau de vie élevé pour deux raisons. Premièrement, les gens avaient tendance à produire plus qu’ils ne consommaient et économisaient la différence. Et deuxièmement, la technologie s’est améliorée presque au rythme de la loi de Moore au cours des 200 dernières années.
Cependant, rien ne garantit que l’un ou l’autre de ces progrès se poursuivra, d’autant plus que l’épargne est anéantie par la destruction du dollar. Le manque d’épargne signifie qu’il n’y aura pas de pool de capitaux pour financer de nouveaux progrès technologiques.
Mais il y a d’autres choses sérieuses à l’œuvre : les termites rongent les fondements de la civilisation. Il est devenu habituel pour les Américains de penser qu’il est normal que certaines personnes vivent toute leur vie sans produire du tout et vivent aux dépens des autres. Une grande partie du pays dépend de l’aide sociale. Et beaucoup d’autres sont ensevelis sous les dettes des consommateurs, ce qui signifie soit qu’ils vivent du capital que d’autres ont épargné dans le passé, soit qu’ils hypothèquent leur propre avenir.
De plus, depuis 1980 environ, les principales exportations des États-Unis ne sont ni les Boeing ni le soja ; c'était des dollars. Les étrangers ont accepté ces dollars papier en échange de richesses réelles. Ce ne sont en réalité qu’une autre forme de dette. À un moment donné – bientôt – ils les rapatrieront en échange de titres de propriété et de sociétés.
RépondreSupprimerLe capital est également détruit par les guerres constantes que mènent les États-Unis contre des pays insignifiants à l’autre bout du monde.
Le fait est que nos institutions, des entreprises aux universités en passant par le gouvernement, sont devenues corrompues, inefficaces et gonflées. La deuxième loi de la thermodynamique nous dit que, dans le monde physique, les choses dégénèrent inévitablement avec le temps. Cela est également vrai dans le monde de l’action humaine. En général, à mesure qu’une institution vieillit, elle disparaît. C’est vrai aux États-Unis, et c’est évident pour tout le monde – du moins pour quiconque en dehors du périphérique de Washington.
International Man : Alors que la classe moyenne américaine continue de diminuer, il semble que le « nouveau rêve américain » consiste simplement à s’en sortir et à joindre les deux bouts.
Les gens devront louer au lieu de posséder. Ils n’ont peut-être pas les moyens de payer des enfants, des animaux de compagnie, des faux-filet ou une retraite. Ils devront s’endetter beaucoup plus.
Le « nouveau rêve américain » ressemble davantage au « vous ne posséderez rien et serez heureux » du WEF.
Que pensez-vous ?
Doug Casey : Il est plutôt choquant que dans une société traditionnellement de classe moyenne comme les États-Unis, les « un pour cent » – généralement ceux liés à l’État et aux grandes entreprises – possèdent désormais environ un tiers de la richesse totale.
Ce qui est encore plus choquant, c’est que la moitié inférieure de la société ne possède que 2 % de la richesse du pays. Ce genre de déséquilibre crée de l’instabilité. Pas étonnant qu’on dise que l’homme moyen ne peut même pas mettre la main sur 500 $ en espèces en cas d’urgence. Pas étonnant qu’un criminel comme Klaus Schwab puisse promouvoir son mème « Vous ne posséderez rien et serez heureux » sans être pendu à un lampadaire – beaucoup de gens pensent maintenant qu’ils seraient mieux dans ce genre de monde.
De plus en plus, la richesse du pays appartient aux entreprises et à leurs dirigeants. On disait autrefois que « ce qui est bon pour General Motors est bon pour l’Amérique ». Je croyais cela parce que General Motors créait des voitures, et c'était bien. Mais nous avons évolué. GM et d’autres grandes sociétés sont devenues de facto des bras armés de l’État. Les impôts, les réglementations faramineuses, les subventions et les plans de sauvetage ont détruit le capitalisme de libre marché.
RépondreSupprimerLe système capitaliste américain a disparu depuis longtemps. Nous avons basculé vers un fascisme classique à la Mussolini, c’est-à-dire un corporatisme d’État, où les entreprises et l’État travaillent main dans la main.
C’est ce qu’on appelle par euphémisme un « partenariat public-privé ». Les gens du gouvernement et les gens aux plus hauts niveaux de l’entreprise se grattent le dos et renforcent leurs positions respectives. Ils se nourrissent mutuellement de pouvoir et d’argent. Cela donne naissance à une société hautement politisée, dans laquelle ce sont les relations, et non la production, qui comptent.
Par exemple, lors des dernières élections, 14 milliards de dollars ont été dépensés en dépenses de campagne pour amener les hoi polloi à voter pour un parti ou un autre. Mais seulement un cinquième de cet argent provenait de petits donateurs, le reste provenant de riches et d’entreprises. Bien entendu, les riches deviennent de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus pauvres à mesure que notre société hautement politisée dégénère.
International Man : De nombreuses personnes reviennent sur la façon dont ils envisageaient l’avenir et sur la manière dont il était représenté dans les films. Beaucoup pensaient que nous aurions désormais des voitures volantes, entre autres luxes futuristes.
Au lieu de cela, nous avons un niveau de vie en baisse et les gens se souviennent du bon vieux temps.
Selon vous, où va cette tendance ?
RépondreSupprimerDoug Casey : Nous allons dans la mauvaise direction à un rythme accéléré parce qu’il y a eu un effondrement de la fibre morale dans la société. Les gens, en général, ne comprennent plus ce qui est bien et ce qui ne va pas, ni ce qui est bien et ce qui est mal. Ils assument moins la responsabilité de leur vie individuelle et de ce qui se passe autour d’eux.
Nous sommes passés d’une société de confiance élevée, dans laquelle vous n’aviez pas besoin de verrouiller votre voiture ou votre porte d’entrée, à une société de faible confiance, où tout le monde est constamment observé et où la sécurité est d’une importance cruciale.
Dans le même temps, le pays est généralement passé d’une préférence temporelle faible et d’une orientation vers l’avenir à une préférence temporelle élevée ; "Je veux tout, et je le veux maintenant." Ils ne sont plus aussi tournés vers l’avenir qu’avant.
Revenant à la question de l’effondrement des fibres morales, l’observateur économique Thorstein Veblen a inventé l’expression « consommation ostentatoire ». Les gens voulaient montrer des voitures et des vêtements coûteux pour faire savoir aux autres qu'ils avaient plus de succès. Mais maintenant, à cause de toutes les dettes de la société, tout le monde peut avoir une belle voiture. Et plus personne ne se soucie des beaux vêtements ; tout le monde porte l’équivalent d’un T-shirt et d’un jean.
Les créateurs de tendances sont passés de la possession et de l’exposition de biens frivoles à l’affichage d’idées frivoles, comme le Wokeism. Tout le monde adopte ces idées, pour montrer qu’ils sont branchés, informés et font partie des connaisseurs. Dans le passé, adopter les modes de vie de consommation ostentatoire de leurs supérieurs ne faisait que les appauvrir. Adopter ces idées dégénérées les rend stupides et immorales – ce qui est bien pire.
RépondreSupprimerInternational Man : Quels conseils donneriez-vous aux personnes en difficulté de la classe moyenne qui sont sur le point d’être renvoyées vers la classe inférieure ?
Doug Casey : Tout d’abord et surtout, n’allez pas à l’université à moins d’avoir besoin d’un diplôme STEM : sciences, technologie, ingénierie ou mathématiques.
Aller à l’université aujourd’hui ne fait rien d’autre que de mal répartir quatre années cruciales de votre vie, de vous endetter de manière permanente et de corrompre votre esprit avec les idées idiotes que les professeurs et les administrations marxistes enferment dans la gorge des étudiants. Renseignez-vous. Lisez constamment.
Ensuite, travaillez pour devenir travailleur indépendant, et non pour « obtenir un emploi ». Vous ne voulez pas dépendre d’un travail que quelqu’un d’autre vous donne. Et économisez votre argent, mais n’économisez pas en dollars fiduciaires. Économisez en or. Lorsque vous disposez de suffisamment d’épargne, apprenez à spéculer et à investir.
International Man : Comme vous l’avez noté, la Grande Dépression est une période au cours de laquelle il y aura une baisse significative du niveau de vie général.
Existe-t-il un moyen de faire de la limonade avec ces citrons ?
Doug Casey : Nous sommes dans ce que j’appelle depuis longtemps la Grande Dépression. Mais je tiens à souligner que la plupart des richesses réelles du monde existeront toujours : elles appartiendront simplement à différentes personnes.
RépondreSupprimerLes entrepreneurs et les spéculateurs les plus agiles auront l’opportunité de réussir, même si le niveau de vie de la plupart des gens baisse. Mais la grande question est la suivante : pendant combien de temps la tendance sociétale que nous suivons actuellement va-t-elle continuer à s’atténuer ?
Lorsque Rome s’est effondrée sur une période de plusieurs centaines d’années, vivre bien et en paix est devenu de plus en plus difficile à mesure que l’Europe entrait dans l’âge des ténèbres. Même si vous aviez beaucoup d’argent, cela ne vous faisait pas vraiment de bien. C’est pourquoi il est important de préserver ce qui reste de l’idée américaine.
Reprinted with permission from International Man.
https://www.lewrockwell.com/2024/04/doug-casey/new-american-dream-youll-own-nothing-and-be-happy/
La richesse d'une nation est de ne pas péter plus haut que son cul. Dès lors que le crédit arrive (interdit en Libye au bon temps de Kadhafi), l'on a une chose non-payée totalement grâce au concours d'escrocs bancaires qui fabriquent l'argent sans se cacher et à la vue de tous (essayez de faire pareil !).
SupprimerMais là n'est pas le sujet. Des ministres (petits dictateurs de merde) malfaisants réfléchissent, discutent puis appliquent des sanctions sur tous les produits qui se déplacent ou qui doivent être emballés dans des normes idiotes, ridicules et scélératesses dépassant toutes imaginations.
Tout est conçu pour mettre des bâtons dans les roues, pour alourdir les fardeaux, des barrières pour retarder le progrès et surtout, surtout LA censure de tous propos qui osent dire la vérité !
Les gens en plastique : De nouveaux documentaires exposent la réalité de la pollution plastique dans un film d’horreur
RépondreSupprimerDeux nouveaux documentaires, "We're All Plastic People Now" (Nous sommes maintenant tous des gens en plastique) et "Plastic People : The hidden crisis of microplastics" (Les gens en plastique: la crise cachée des microplastiques), exposent l'omniprésence de la pollution plastique exposent l'omniprésence de la pollution plastique dans l'environnement et ses risques potentiels pour la santé humaine, en particulier pour les fœtus en développement et les nourrissons exposés aux microplastiques dans l'utérus et par le lait maternel.
Par John-Michael Dumais
Mondialisation.ca,
16 avril 2024
Deux nouveaux documentaires, “We’re All Plastic People Now” (Nous sommes maintenant tous des gens en plastique) et “Plastic People : The hidden crisis of microplastics” (Les gens en plastique: la crise cachée des microplastiques), exposent l’omniprésence de la pollution plastique dans l’environnement et la manière dont elle peut affecter la santé humaine.
Les films, présentés respectivement au festival du film de Santa Fe et à SXSW, comprennent des interviews d’experts, des histoires personnelles et des recherches scientifiques pour souligner l’urgence de la crise de la pollution plastique.
Rory Fielding, réalisateur de l’émission “We’re All Plastic People Now” , récompensée par un Emmy Award, a testé le sang de quatre générations de sa propre famille pour y déceler des substances chimiques dérivées du plastique.
Ziya Tong, coréalisateur de “Plastic People”, a enquêté sur le monde caché des microplastiques et leurs effets sur le corps humain.
Variety a qualifié “Plastic People” de “l’un de ces documentaires essentiels sur l’état du monde” qui offre “une histoire fascinante du plastique, nous montrant comment ce matériau a progressivement pris le dessus”, mais l’a également décrit comme un “film d’horreur [that] aurait pu s’appeler ‘Attack of the Killer Polymers’” (L’attaque des polymères tueurs).
Le plastique, c’est la fin de l’avenir
RépondreSupprimerLa pollution plastique est devenue omniprésente, des particules de plastique étant retrouvées aux quatre coins du globe.
“Il est dans l’air. Il est dans l’eau. Il est dans la nourriture. Il est dans tous nos corps”, selon Rolf Halden, docteur en ingénierie environnementale de l’université d’État de l’Arizona, qui apparaît dans “We’re All Plastic People Now”.
Le documentaire révèle la découverte de microplastiques dans le placenta humain, comme le rapporte le chercheur italien Antonio Ragusa, qui a prévenu : “Pour l’humanité, le plastique est la fin de l’avenir.”
De même, “Plastic People” explore le monde caché des microplastiques, de minuscules particules que les chercheurs ont trouvées dans des organes humains, du sang et des tissus cérébraux.
Le synopsis du film indique que “presque chaque morceau de plastique jamais fabriqué se décompose en ‘microplastiques’” qui deviennent “une partie permanente de l’environnement”.
Rick Smith, docteur en sciences et coauteur de “Slow Death By Rubber Duck: The Secret Danger of Everyday Things”, un des experts du film, a déclaré : “Il s’avère que le plastique est en fait à l’intérieur de nous. Il est dans nos enfants”.
ZiyaTong, journaliste scientifique, a testé de la neige dans son jardin et a trouvé des fragments de plastique, ce qui l’a incitée à dire à ses enfants de ne pas attraper les flocons de neige.
Selon “Plastic People”, le plastique est comme “l’incarnation du capitalisme”. Il a rendu possible le monde matériel dans lequel nous vivons aujourd’hui. Ils sont les os, la peau, le tissu conjonctif”.
Les produits chimiques dérivés du plastique peuvent “provoquer des troubles dans le corps humain”.
Les deux documentaires examinent les risques pour la santé liés à l’exposition aux produits chimiques dérivés du plastique.
Dans “We’re All Plastic People Now”, le Dr Leonardo Trasande, pédiatre et directeur de la division de pédiatrie environnementale de l’université de New York, évoque l’impact des substances chimiques perturbatrices du système endocrinien présentes dans les plastiques, qui “piratent ces signaux moléculaires et provoquent des dysfonctionnements dans le corps humain”.
RépondreSupprimerLe film présente également l’histoire de Jess Helsley, directrice de la restauration des bassins versants pour le Wild Salmon Center, à qui l’on a diagnostiqué un cancer du côlon à un stade précoce alors qu’elle était âgée d’une trentaine d’années. Helsley a participé à une étude qui a révélé la présence de microplastiques dans les colons de jeunes patients atteints de cancer.
“Plastic People” explore le lien entre les plastifiants et divers problèmes de santé, notamment les maladies cardiaques, le diabète, l’obésité, le cancer et les problèmes de fertilité. Le film met en lumière le travail d’éminents scientifiques qui “trouvent ces particules dans notre corps : organes, sang, tissus cérébraux et même dans le placenta des nouvelles mères”.
Le documentaire présente une interview du Dr Pete Myers, scientifique en chef, fondateur et président du conseil d’administration d’Environmental Health Sciences, qui prévient : “Les plastiques peuvent contribuer aux soins de santé de manière miraculeuse, mais ils peuvent aussi causer des problèmes de santé, des problèmes de santé assez graves, comme la mort.”
Infertilité, baisse du taux de testostérone et risques pour les bébés
L’exposition “We’re All Plastic People Now” explore l’impact des produits chimiques dérivés du plastique sur la fertilité et les niveaux de testostérone.
Shanna Swan, Ph.D., professeur au département de médecine environnementale et de santé publique de l’hôpital Mount Sinai, a parlé du “syndrome des phtalates“, qui décrit comment les organes génitaux masculins sont modifiés par l’exposition maternelle aux phtalates, une classe courante de plastifiants.
Swan a expliqué que les phtalates abaissent les niveaux de testostérone, ce qui entraîne une “masculinisation incomplète” des hommes avec “des testicules moins descendus, un pénis plus petit[and] une distance anogénitale plus courte”.
Les effets des phtalates ne se limitent pas aux hommes. Swan a déclaré que chez les femmes, “si la testostérone pénètre … alors qu’elle ne devrait pas, ou plus qu’elle ne devrait, alors la femme commence à produire des organes génitaux plus semblables à ceux des hommes”.
Cela conduit à une “diminution des différences entre les sexes”, où “l’homme devient moins complètement un homme, la femme est moins complètement une femme”, a déclaré Swan.
“We’re All Plastic People Now” révèle également la présence de microplastiques dans le lait maternel, l’étude de Ragusa étant la première à démontrer ce phénomène.
RépondreSupprimerStacey Colino, co-auteur de “Count Down (Compte à rebours): How Our Modern World Is Threatening Sperm Counts, Altering Male and Female Reproductive Development, and Imperiling the Future of the Human Race” (Comment notre monde moderne menace le nombre de spermatozoïdes, modifie le développement reproductif des hommes et des femmes et compromet l’avenir de l’humanité), a partagé son expérience personnelle de l’utilisation d’accessoires de tire-lait et de biberons en plastique, qui ont probablement exposé ses enfants à des substances chimiques dérivées du plastique.
John Hocevar, directeur de la campagne de Greenpeace sur les océans, a averti que le plastique devient une partie de nous “dès le début de notre vie”.
“Lorsque vous chauffez du lait dans une bouteille en plastique, certains des morceaux de plastique de cette bouteille passent dans le lait que boit le bébé”, a-t-il déclaré.
Les compagnies pétrolières et gazières motivées pour “augmenter la plastification de la vie humaine”.
Ces deux documentaires mettent en lumière le rôle des grandes entreprises, notamment dans l’industrie pétrolière et gazière, dans la perpétuation de la crise de la pollution plastique.
“Plastic People” donne un aperçu historique de la révolution plastique qui s’est considérablement accélérée après la Seconde Guerre mondiale avec les chaussures, les tissus, les appareils électroménagers, les meubles et les voitures, avant de déboucher sur l’ère actuelle des bouteilles d’eau, des gobelets, des briquets et des sacs en plastique jetables à usage unique.
Hocevar, dans “We’re All Plastic People Now”, explique que “99 % du plastique est fabriqué à partir de combustibles fossiles, de pétrole et de gaz. Il représente un danger pour la santé humaine à chaque étape de son cycle de vie”.
Le documentaire présente également l’histoire de Sharon Lavigne, fondatrice de RISE St. James en Louisiane, qui s’est battue avec succès contre la construction de la plus grande usine de plastique au monde dans sa communauté, qui fait partie d’une zone connue sous le nom de “Cancer Alley” en raison de la forte concentration d’industries et d’installations chimiques.
RépondreSupprimerChristy Leavitt, directrice de la campagne américaine sur les plastiques d’Oceana, a mis l’accent sur les projets de l’industrie visant à accroître la production de plastique. “Ils veulent tripler la quantité de plastique d’ici à 2060, a-t-elle déclaré.
Ragusa a pointé du doigt certaines entreprises, dont Coca-Cola, PepsiCo et Nestlé, qui utilisent depuis longtemps des matières plastiques.
Smith, dans “Plastic People”, a déclaré que face à un monde qui utilise moins de combustibles fossiles, les compagnies pétrolières cherchent des moyens de maintenir leurs profits et ont donc tout intérêt à “accroître la plastification de la vie humaine”.
Chaque bouteille d’eau est une bombe à retardement
Ces deux documentaires mettent en évidence les lacunes des efforts de recyclage actuels dans la lutte contre la pollution plastique.
Halden a expliqué que le recyclage n’est pas une solution viable en raison des faibles taux de recyclage et des difficultés liées au recyclage des plastiques.
“Chaque bouteille d’eau est une bombe à retardement”, a déclaré Halden, soulignant que seule une petite partie des plastiques parvient aux centres de recyclage et que, même dans ce cas, le processus de recyclage est souvent inefficace.
“[Recycling] n’a pas de sens commercial à l’heure actuelle, car nous encourageons l’utilisation de combustibles fossiles pour fabriquer des plastiques bon marché”, a-t-il déclaré.
Leavitt a insisté sur la nécessité de passer à des systèmes rechargeables et réutilisables. “Le recyclage ne suffira pas. Certaines personnes se tournent donc vers cette solution, mais elle ne suffira pas à résoudre le problème des plastiques.
Nous devons augmenter le niveau d’urgence”.
Les deux documentaires soulignent l’importance des actions individuelles, des politiques gouvernementales et de la responsabilité des entreprises pour résoudre la crise de la pollution plastique.
Dans “Plastic People”, Smith a déclaré : “Pour résoudre le problème [the plastics], nous devons augmenter le niveau d’urgence de cette question.”
Le film mettait en scène un habitant de Bayfield, dans l’Ontario (Canada), qui prétendait être la première “communauté sans plastique” d’Amérique du Nord.
RépondreSupprimerLes experts et les militants qui ont participé à la conférence “We’re All Plastic People Now” ont souligné l’importance de réduire la consommation de plastique au niveau individuel.
Ruth Fielding, la mère du producteur du film, âgée de 93 ans, a déclaré : “Chaque petit geste compte. Si je ne prends pas de sac en plastique lorsque je vais à l’épicerie, cela aide un peu. [But] Je ne suis qu’une seule personne… Je ne peux pas sauver le monde toute seule”.
Leavitt a souligné la nécessité d’un changement dans les politiques gouvernementales. Selon elle, les gouvernements nationaux, régionaux et locaux doivent “exiger des entreprises qu’elles modifient la manière dont les plastiques à usage unique sont produits et utilisés”.
Ragusa a également lancé un appel à l’action politique. “Pour changer les choses, nous avons besoin de politiciens capables de changer.
“Plastic People” appelle également à une approche multidimensionnelle pour s’attaquer au problème de la pollution plastique, avec une campagne d’impact qui vise à “exécuter un programme basé sur des solutions qui comprendra un certain nombre d’événements, du matériel éducatif, ainsi que des appels à l’action”.
Le site web du film comporte une page “Agir” comprenant plusieurs pétitions et d’autres ressources pour aider les gens à sensibiliser, à s’impliquer et à faire la différence au sein de leur communauté.
Sur sa page Facebook, “Plastic People” a publié un article sur “un traité mondial historique sur les plastiques” discuté par le Comité intergouvernemental de négociation sur la pollution plastique desNations unies, dont la prochaine session se tiendra à Ottawa du 23 au 29 avril.
John Michael-Dumais
https://www.mondialisation.ca/les-gens-en-plastique-de-nouveaux-documentaires-exposent-la-realite-de-la-pollution-plastique-dans-un-film-dhorreur/5688378?doing_wp_cron=1713440217.9453520774841308593750