- ENTREE de SECOURS -



samedi 27 avril 2024

Père et fille construisent une niche pour chiens en bois - Meubles faits à la main - Lý Thị Ca

 

58 commentaires:

  1. De sauver des vies à : « Que faire des centaines de millions sauvés de la surmortalité ?


    27 avril 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Depuis plusieurs années, on entend dire qu’il faut sauver des vies en portant un masque, en étant seul, en gardant ses distances et en se faisant vacciner. Mais le discours change, mais pas pour tout le monde, car il s’agit progressivement d’épargner dans le système de retraite.

    Le professeur belge de psychologie à l'Université de Gand et auteur de « La psychologie du totalitarisme » Mattias Desmet s'est penché au cours des quatre dernières années sur l'évolution fortement accélérée vers l'autoritarisme et le totalitarisme en relation avec l'expansion de la coopération entre le pouvoir des entreprises et pouvoir d’État (= extrémisme de droite). Il vient de publier une nouvelle analyse intitulée Suicidal Society .

    Il commence par rappeler que dans les grands médias, ceux qui ne voulaient pas se faire vacciner ou porter un masque étaient vilipendés comme des « tueurs de grand-mère ». « Protéger les personnes âgées, sauver chaque minute de leur vie, c'était tout ce qui comptait. "

    Aujourd’hui encore, il existe encore des ministres de la « santé » et du « social », comme Johannes Rauch, dont les équipes des réseaux sociaux secrètent de tels X-postings :

    Desmet décrit le changement :

    " Voici quelque chose à méditer : la semaine dernière, je suis tombé sur un article dans un grand journal néerlandais qui expliquait, de manière technique et délibérée, que la "surmortalité mystérieusement persistante" présente certains avantages : elle permet à l'État d'économiser des centaines de millions. prendre soin des personnes âgées. »

    Voici la traduction :

    « Une mystérieuse surmortalité permet d’économiser des centaines de millions de personnes – où doit aller l’argent ?
    Le gouvernement économise des centaines de millions d’euros chaque année, car des dizaines de milliers de Néerlandais meurent de plus que prévu depuis la pandémie du coronavirus. Que doit-il se passer avec cet argent ? La CNV veut l’utiliser pour abaisser l’âge d’éligibilité à l’AOW, le gouvernement l’utilise pour équilibrer le budget.»

    Le ministre des Affaires sociales Rauch aurait dû se rendre compte de ce qui lui manquait en tant que ministre de la Santé. Ou?

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  2. C’est précisément ce qui distingue les comportements rituels : ils n’ont aucune signification pragmatique, ils exigent des sacrifices de la part de l’individu et ils conduisent à une certaine extase.

    Ces évolutions se manifesteront probablement bientôt de diverses manières.

    https://tkp.at/2024/04/27/von-leben-retten-zu-was-tun-mit-durch-uebersterblichkeit-ersparten-hunderten-millionen/

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  3. Grippe aviaire, censure et vaccins de 100 jours : 7 prédictions pour « la prochaine pandémie »


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 27 AVR 2024 - 05:40
    Rédigé par Kit Knightly via Off-Guardian.org,


    Plus tôt ce mois-ci, la Maison Blanche a publié ses nouveaux objectifs de « préparation à une pandémie ».

    Ils sont loin d’être les seuls à en parler. En mars dernier, Sky News demandait : « La prochaine pandémie approche à grands pas », prévient un expert – mais le confinement se reproduirait-il un jour ?

    Le 3 avril, le Financial Times posait une question similaire : « La prochaine pandémie arrive. Serons-nous prêts ?

    Il y a moins d’une heure, le Daily Mail nous invitait dans « la grotte la plus meurtrière au monde qui pourrait provoquer la prochaine pandémie ».

    Il y a à peine deux jours, un professionnel de la panique a écrit pour CNN :

    La prochaine menace de pandémie exige une action immédiate !!!

    OK, j'ai ajouté les points d'exclamation, mais ils sont très implicites dans le texte original.

    Ainsi, pendant que l’Iran et Israël brandissent leurs sabres en première page, j’ai pensé que nous devrions jeter un œil aux dernières pages, plus calmes, pour voir ce que nous pouvons apprendre et nous aider à prédire comment « la prochaine pandémie » se déroulera.

    QU’EST-CE QUE « LA PROCHAINE PANDÉMIE » ?

    Je veux dire… j’ai l’impression que c’est assez explicite.

    Sérieusement, c’est celui qu’ils prédisaient à peu près au moment où Covid a commencé. Au début, ça allait être la variole du singe – désolé MPox – mais ça a fait long feu.

    Bien sûr, par « pandémie », nous entendons en réalité « opération psychologique », car rien dans la prochaine pandémie ne sera plus réel que la dernière. Bon sang, étant donné les progrès de la technologie de l’IA, cela pourrait être considérablement moins réel la prochaine fois.

    Nous ne connaissons pas encore les détails, mais il y a suffisamment de couverture vague pour donner quelques estimations.

    QUELLE MALADIE VONT-ILS UTILISER ?

    Probablement la question la plus importante. Nous avons déjà évoqué la variole du singe, mais cela ne semble plus probable.

    À l’heure actuelle, on parle surtout de « maladie X » – un terme qui a provoqué un peu de panique dans certaines sections lorsqu’il est apparu pour la première fois – mais il ne s’agit pas d’un gain top secret de super maladie fonctionnelle, c’est littéralement un nom réservé. .

    Et c’est un nom d’espace réservé qui fait son travail, pour le moment.

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  4. Après tout, ils n’ont pas encore vraiment besoin d’un nom réel, pas plus qu’ils n’ont besoin d’une véritable maladie, ils ont juste besoin de l’idée d’une maladie qui plane au-dessus de la tête des gens pendant qu’ils construisent les règles législatives de leur tyrannie basée sur la santé.

    En effet, le flou apporté par la « maladie X » est utile, car il maintient également la législation vague.

    Cela dit, ils voudront probablement et/ou devront produire une véritable maladie à un moment donné.

    Lorsque ce moment viendra, il s’agira presque certainement d’une autre maladie respiratoire, car il est facile de les « simuler » en utilisant des maladies endémiques préexistantes et leurs symptômes uniformes.

    Le principal candidat est la grippe aviaire, qui fait lentement l'actualité depuis deux ans maintenant et qui a récemment fait l'objet d'une forte couverture médiatique en raison de sa transmission présumée aux humains par les vaches.

    L'ONU rapporte que les « experts en matière de pandémie » sont « préoccupés par la propagation de la grippe aviaire à l'homme ». Hier encore, Jeremy Farrar, de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), a averti que « [la] menace de propagation de la grippe aviaire aux humains est très préoccupante ».

    Des titres joyeusement sensationnalistes comme celui-ci du Daily Star :

    Une nouvelle pandémie « attendue » alors que la grippe aviaire interhumaine est une « grande préoccupation » pour l’OMS

    La grippe aviaire est un choix pratique car elle leur permet de pousser à la fois leur tyrannie sanitaire et leur transition alimentaire. Ils peuvent prétendre que les produits laitiers, le bœuf, le poulet et les œufs sont devenus « dangereux » comme excuse pour les rationner ou au moins provoquer la pénurie tout en faisant monter les prix.

    Ils pousseront ensuite l’idée selon laquelle le véganisme et/ou la viande cultivée en laboratoire « préviennent les pandémies ». Quelque chose qu’ils réclament depuis au moins 2021.

    Le Daily Mail rapportait il y a quelques heures à peine :

    La souche H5N1 de la grippe aviaire est détectée pour la première fois dans le LAIT à des « concentrations très élevées », prévient l’Organisation mondiale de la santé

    L’inconvénient de la grippe aviaire est qu’il est difficile d’intégrer l’angle du changement climatique dans le récit, alors peut-être qu’ils choisiront autre chose.

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  5. QUAND CELA ARRIVE-T-IL ?

    Probablement pas avant l’hiver, je suppose janvier 2025 au plus tôt, pour deux raisons :

    Ils ont besoin que ce soit la saison de la grippe pour pouvoir intégrer les décès saisonniers normaux dans leur récit de « pandémie ».
    Je pense qu’ils voudront attendre la fin de la « grande année électorale » pour que de nouveaux gouvernements soient en place.
    Ce deuxième point n’est pas seulement une intuition, mais est basé sur l’article de Sky que j’ai mentionné ci-dessus. Il demande « le confinement se reproduirait-il un jour ? » et un « expert » répond

    … si un nouveau confinement était nécessaire, le gouvernement conservateur actuel devrait soit minimiser les scandales liés à ses propres violations des règles, soit changer complètement de mains pour garder le public à bord. Si nous avions un nouveau gouvernement, les gens seraient beaucoup plus susceptibles de lui faire confiance, car ils seraient moins susceptibles de dire : « c’est le même groupe qu’avant – pourquoi devrions-nous recommencer ?

    Ce qui, je pense, est correct.

    Cela expliquerait également la série de démissions politiques soudaines – notamment les stars de Covid Angela Merkel et Jacinda Ardern – qui ont balayé le monde dans le sillage de Covid. Ils savaient alors, et le sont encore aujourd'hui, que leurs joueurs étaient épuisés et qu'ils avaient besoin d'une nouvelle équipe avant de revenir pour le match retour.

    Alors, les élections d’abord – avec toutes les absurdités que cela implique – puis peut-être la « prochaine pandémie ».

    EN QUOI SERA-T-IL DIFFÉRENT DU « COVID » ?

    Il est peu probable qu’une future opération psychologique en cas de pandémie suive le modèle Covid, battement pour battement, d’une part, le récit de Covid s’est dépensé avant d’atteindre tout ce qu’il était censé réaliser.

    Vous pouvez parier que, au cours des quatre années qui ont suivi, des groupes de travail et des chercheurs ont examiné les données sur la pandémie pour comprendre ce qui n’allait pas et comment y remédier la prochaine fois.

    Il semble y avoir trois thèmes récurrents.

    1. Des vaccins et non des confinements L’accent sera mis sur la sécurisation des vaccins plutôt que sur les confinements. En effet, une partie du discours « oh merde, les confinements ont été dommageables qui l’aurait cru » consiste à créer la dynamique selon laquelle « la prochaine fois », nous devrons faire tout ce que nous pouvons pour éviter les confinements.

    Les confinements deviendront une menace plutôt qu’un fait.

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  6. « Nous DEVONS rendre obligatoires les vaccins, car l’économie ne peut pas se permettre un nouveau confinement. »

    « Prenez le vaccin, vous ne voulez pas avoir un autre confinement, n’est-ce pas ?

    Il y aura donc plus de tests, plus de masques et plus d’obligations de vaccination… et/ou de camps de quarantaine pour les non vaccinés. Et s’ils mettent effectivement en place des mesures de confinement, ils seront bien sûr entièrement imputés aux « anti-vaccins ».

    2. Vitesse vitesse vitesse Le principal échec du discours sur le Covid a été son essoufflement. Au moment où les vaccins ont été déployés début 2021, la lassitude face à la pandémie s’était déjà installée. Et au moment où les troisièmes et quatrièmes vagues de rappel faisaient la une des journaux, personne ne s’en souciait vraiment.

    La blitzkrieg de propagande du début de l’année 2020 a sans doute été la campagne de désinformation la plus importante et la plus vaste de tous les temps – et elle a été presque extrêmement efficace. Mais il a ralenti, calé, arrêté et calé.

    La prochaine fois, ils le savent maintenant, ils devront être plus rapides. Bill Gates l’a dit lors de la Conférence sur la sécurité de Munich en 2022. Ils doivent éliminer la maladie, faire augmenter les décès et faire vacciner les gens avant même que les gens ne réalisent ce qui s’est passé.

    D’où le plan « vaccins 100 jours ». Comme l’écrit Devi Shridar, toujours aussi hystérique et fiable, pour le Guardian :

    la plupart des gouvernements s’efforcent de relever le défi des 100 jours : comment contenir la propagation d’un virus pendant qu’une réponse scientifique, telle qu’un vaccin, un diagnostic ou un traitement, peut être approuvée, fabriquée et fournie au public.

    La « Mission de 100 jours » est une idée originale du CEPI, de Gates et d’une ONG soutenue par l’OMS. Son objectif principal est de permettre de produire en 100 jours de nouveaux vaccins contre des agents pathogènes jusqu’alors inconnus.

    Aux États-Unis, l’objectif est de 130 jours entre la découverte de l’agent pathogène et la couverture vaccinale à l’échelle nationale.

    Il va sans dire que de véritables vaccins fiables, « sûrs et efficaces » ne peuvent pas être produits en 100 jours. Quoi qu’ils fabriquent, vendent et vous obligent à vous injecter pendant ce temps… ce ne sera pas un vaccin

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  7. 3. La liberté d'expression est dangereuse. La lente évolution du discours post-2020 a peut-être entravé le programme de la tyrannie sanitaire, mais ce sont les médias indépendants qui lui ont vraiment fait du mal. Le réseau impromptu d’experts dissidents, de chercheurs indépendants et de mouvements de médias sociaux diffuse la « désinformation » plus rapidement que les pouvoirs en place ne peuvent la vérifier.

    Depuis lors, nous avons entendu des messages perpétuels sur les dangers de la « désinformation et de la désinformation », y compris lors du dernier sommet de DAVOS au début de cette année, où cela a été qualifié d’un des « trois plus grands dangers » auquel la planète est confrontée.

    La semaine dernière, une commission parlementaire britannique a publié des « recommandations » intitulées :

    Le gouvernement devrait tirer les leçons de la pandémie pour améliorer les communications et lutter contre la désinformation

    Il y a seulement quelques jours, Gordon Brown a été cité dans un « avertissement » d’actualité :

    « Les fausses nouvelles risquent de préparer la prochaine pandémie »

    Ce qui implique fortement qu’ils agiront pour contrer ces « fausses nouvelles » avant le début de la « prochaine pandémie ».

    PRÉDICTION WILDCARD : L’angle multipolaire. Quelle que soit la forme que prendra la « prochaine pandémie », ils éviteront probablement le message monolithique de 2020, où la conformité mondiale totale au « message » était l’un des véritables signes révélateurs de tromperie. La prochaine fois, préparez-vous à ce que des pays comme l’Inde, la Chine et la Russie forgent leur propre stratégie face à la pandémie – en se concentrant sur un nouveau traitement ou une nouvelle technologie que l’Occident refuse d’approuver.

    Il n’existe pas encore de sources pour étayer celui-ci. C’est juste une intuition.

    *

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  8. Alors, qu’est-ce que je prédis officiellement pour la « prochaine pandémie » ?

    Il ne sera lancé qu’après les grandes élections de cette année, car ils veulent de nouveaux visages politiques qui ne soient pas ternis par le Covid.
    Il s'agira probablement de la grippe aviaire ou d'une autre maladie respiratoire, lancée en hiver pour détourner à nouveau la véritable saison de la grippe.
    La maladie choisie s’inscrira dans un ou plusieurs programmes préexistants – soit ayant un impact sur l’alimentation, soit provenant d’un lien forcé avec le « changement climatique », ou les deux.
    Ils agiront plus vite, produisant des « vaccins » en 100 jours pour empêcher les gens de prendre conscience de la tromperie comme ils l’ont fait avec Covid
    Ils tenteront d’éviter les confinements, mais les utiliseront comme une menace pour appliquer plus rigoureusement les mandats de vaccination.
    Ils réprimeront plus durement la « désinformation » avant de lancer le nouveau discours.
    La prochaine pandémie aura un angle multipolaire pour établir un faux binaire
    C’est comme ça que je le vois. N'hésitez pas à ajouter cet article à vos favoris pour référence future.

    Même si j’ai mal deviné les détails ici, il ne fait aucun doute qu’ils envisagent de déclencher une autre pandémie dans un avenir proche. Une suite covid qui apprend des erreurs passées.

    Même si, à certains égards, la situation sera probablement pire que celle de Covid, la bonne nouvelle est que cette fois, nous pouvons y être prêts.

    https://www.zerohedge.com/markets/bird-flu-censorship-100-day-vaccines-7-predictions-next-pandemic

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  9. 20 % des échantillons de lait au détail positifs à la grippe aviaire : FDA


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 26 AVR 2024 - 18H05
    Rédigé par Zachary Stieber via The Epoch Times


    Un échantillon de lait sur cinq provenant des rayons des épiceries s'est révélé positif à la grippe aviaire hautement pathogène, a annoncé la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis fin avril 25.

    Dans une brève mise à jour de 237 mots, la FDA a déclaré que les premiers résultats d'une étude nationale d'échantillonnage du lait commercial « montrent qu'environ 1 échantillon de détail sur 5 testé est positif à la réaction en chaîne par polymérase quantitative (qPCR) pour les fragments viraux de l'IAHP, avec un plus grand nombre de fragments viraux d'IAHP. proportion de résultats positifs provenant du lait dans les zones où se trouvent des troupeaux infectés.

    La FDA a refusé de divulguer le nombre d’échantillons qu’elle a testés et de quels magasins provenaient les échantillons, et une demande d’informations en vertu de la Freedom of Information Act n’a pas encore donné de résultats.

    Trente-trois troupeaux de bovins répartis dans huit États (Idaho, Kansas, Michigan, Nouveau-Mexique, Caroline du Nord, Ohio, Dakota du Sud et Texas) ont été testés positifs à la grippe aviaire, communément appelée grippe aviaire, selon le ministère américain de l'Agriculture. . Des volailles du Minnesota et une personne au Texas ont également été infectées par le même génotype de la souche de grippe aviaire H5N1 trouvée chez les bovins.

    Les autorités ont souligné que les résultats positifs des tests qPCR ne signifient pas que le lait pasteurisé contient un virus intact, car les tests peuvent s'avérer positifs sur la base de fragments de virus résiduels.

    "Des tests supplémentaires sont nécessaires pour déterminer si l'agent pathogène intact est toujours présent et s'il reste infectieux, ce qui permettrait de déterminer s'il existe un risque de maladie associé à la consommation du produit", a déclaré la FDA.

    Les tests consistent à injecter des œufs avec des échantillons qui se sont révélés positifs et à vérifier si un virus actif se réplique.

    Lors d'une autre série de tests, menés par une équipe de l'Ohio State University, 58 des 150 échantillons de lait recueillis dans des épiceries de six États se sont révélés positifs pour la grippe aviaire.

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  10. « Nous les avons examinés pour détecter la présence de matériel génétique de la grippe, donc d’ARN viral. Ceux qui ont été testés positifs ont été envoyés à l’hôpital de recherche pour enfants St. Jude, où ils mènent des études pour voir s’il y a un virus viable à l’intérieur. À ce jour, aucun d’entre eux n’a été viable, mais ils donnent certainement l’indication qu’il existe du matériel génétique viral dans la région », a déclaré le Dr Andrew Bowman, professeur agrégé à l’Université d’État de l’Ohio, au magazine Bovine Veterinarian.

    "Le fait que vous puissiez aller dans un supermarché et que 30 à 40 pour cent de ces échantillons soient positifs, cela suggère qu'il y a plus de virus que ce qui est actuellement reconnu", a déclaré Richard Webby, virologue à St. Jude's, à STAT News. .

    La FDA a annoncé qu’elle publierait ultérieurement plus de détails sur les tests. Le lait cru provenant de fermes avec des vaches affectées a également été testé positif à la grippe aviaire.

    Les autorités ont initialement déclaré que le lait pasteurisé était définitivement sans danger, mais ont depuis reconnu qu'elles ne savaient pas si le lait vendu dans les épiceries contenait le virus vivant de la grippe aviaire. La FDA a annoncé mardi que certains échantillons avaient été testés positifs pour la grippe.

    Les autorités affirment qu'il est toujours sécuritaire de boire du lait, mais certains experts extérieurs, dont l'ancien responsable du gouvernement américain Rick Bright, ont déclaré qu'ils attendraient jusqu'à ce que de plus amples informations soient rendues publiques sur l'épidémie.

    Le ministère américain de l'Agriculture a uniquement exigé que les vaches laitières présentant des symptômes de grippe soient testées, mais, à partir de lundi, il exigera que les vaches en lactation soient négatives avant de traverser les frontières de l'État.

    La grippe est originaire des oiseaux, mais s'est depuis propagée à d'autres animaux, notamment les bovins et les chèvres.

    La personne du Texas et celle du Colorado tombée malade en 2022 sont les seuls humains présentant des cas confirmés de la version H5N1 aux États-Unis.

    La surveillance des personnes entrées en contact avec des animaux n'a jusqu'à présent couvert que 44 personnes, a déclaré cette semaine Sonja Olsen, épidémiologiste aux Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, lors d'un webinaire de l'Association des responsables de la santé des États et des territoires. Vingt-trois personnes présentant des symptômes ont été testées. Cette personne au Texas, un ouvrier agricole, a été la seule personne à avoir été testée positive jusqu'à présent.

    https://www.zerohedge.com/commodities/20-percent-retail-milk-samples-positive-bird-flu-fda

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  11. Le prochain État américain adopte une loi anti-WEF


    27 avril 2024
    de Thomas Oysmüller


    Le WEF et l’ensemble de l’ONU (y compris l’OMS) n’ont aucune juridiction en Oklahoma. Une nouvelle loi le précise. Plus précisément, il s’agit également de vaccinations, de masques et de confinements.

    Fin mars, un rapport de l’État américain de Louisiane a fait sensation : selon la loi, « l’Organisation mondiale de la santé, les Nations Unies et le Forum économique mondial n’ont aucune juridiction ni autorité dans l’État de Louisiane » – TKP avait signalé. L’Oklahoma est désormais le prochain État à légiférer à ce sujet.

    Les directives de l'OMS/WEF pourraient ne pas être mises en œuvre
    Le projet de loi a été adopté par la Chambre des représentants de l'Oklahoma le 24 avril. Concrètement, deux nouveaux amendements à la loi seront ajoutés. Ceux-ci disent textuellement :

    L'Organisation mondiale de la santé, les Nations Unies et le Forum économique mondial n'ont aucune compétence dans l'État de l'Oklahoma. L'État et ses subdivisions politiques, y compris, mais sans s'y limiter, les comtés, les villes, les cantons, les districts, les districts des eaux, les districts scolaires, les unités administratives scolaires ou les entités quasi gouvernementales, ne doivent pas participer à l'application ni coopérer à l'application. de toute exigence, ordonnance, mandat Engage, recommandation ou directive de l’Organisation mondiale de la santé, des Nations Unies ou du Forum économique mondial.

    Tout mandat, recommandation, instruction, communication ou orientation émis par l'Organisation mondiale de la santé, les Nations Unies, le Forum économique mondial ne doit pas être utilisé comme base d'action dans cet État, ni être utilisé comme directive, ordre, contraire. à la Constitution et aux lois de l'État de l'Oklahoma, y ​​compris celles concernant les masques, les vaccins ou les tests médicaux, ou la collecte d'informations publiques ou privées sur les citoyens ou les résidents de l'État, sont par ailleurs imposées et n'ont aucune force ou effet dans l'État de Oklahoma.

    Le projet de loi doit encore être adopté par le Sénat mais devrait entrer en vigueur le 1er juin 2024. Une autre section explique que la loi est « immédiatement nécessaire à la préservation de la paix, de la santé ou de la sécurité publiques ». Par conséquent, une « urgence » est déclarée, ce qui signifie que la loi peut entrer « pleinement en vigueur » immédiatement après son adoption. Alors tu es pressé.

    Presque mot pour mot, l’Oklahoma a également adopté une loi anti-WEF/OMS après la Louisiane. L'État fédéral est le deuxième aux États-Unis à s'opposer juridiquement à ces organisations. La partie qui s’est positionnée contre l’OMS et le WEF connaît un grand succès. D’autres groupes politiques se moquent de cette décision. L’OMS et le WEF n’ont de toute façon aucune compétence légale. Cependant, la loi constitue un engagement clair de l'État fédéral selon lequel il veut protéger sa souveraineté et ne pas se soumettre à l'ingérence d'organisations supranationales qui ne sont pas démocratiquement légitimes et sont principalement contrôlées par le grand capital.

    https://tkp.at/2024/04/27/naechster-us-bundestaat-erlaesst-anti-wef-gesetz/

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  12. Nouvelles de la banlieue ouest de Tokyo et autres sujets


    le 24 avril 2024


    Quand on dit banlieue d’une grande ville en France on pense tout de suite à un univers pavillonnaire insipide dans lequel il est difficile d’échapper car les transports en commun ne sont pas adaptés au volume de la population et pour se rendre dans un grand magasin comme il y en a une multitude dans ces banlieues déshumanisées on est parfois contraint de prendre un taxi ! Je me suis rendu dans un « home-center », un grand magasin comme il en existe dans toute l’Europe. J’ai utilisé un autobus, je le rappelle ici à propulsion hybride utilisant du gaz de pétrole liquéfié. J’ai noté qu’à l’arrêt de bus il y a 14 lignes différentes, certaines allant très loin. J’ai trouvé tout ce dont j’avais besoin naturellement avec une liste écrite par ma belle-fille.

    Et j’ai continué à m’occuper du petit jardin d’agrément de mon fils. Le muguet prospère malgré trois jours d’un froid humide avec un crachin insupportable pour un habitant adoptif de Tahiti.

    J’ai compris que les plants de muguet ne fleurissaient pas la première année et comme il y en avait huit au printemps dernier et dix-sept cette année il y aura au moins huit fleurs multiples. Après ce terrible froid, pour un tahitien, nous avons droit à au moins trois belles journées et la végétation nous rendra le cœur gai : jasmin, citronnier et le bougainvillier qui ont l’air de chanter après un hiver de confinement comme s’il avait été attaqué par un méchant virus.

    À propos de virus, au Japon les « vieux » portent toujours un masque dans la rue et ils ont été encouragés par le gouvernement pour se soumettre à une injection du poison de Pfizer et de Moderna tous les trois mois ! Depuis que cette injection est devenue payante plus personne n’est convaincu qu’il faudrait encore se soumettre à ce pensum. Il serait intéressant de connaître l’évolution du nombre de décès chez les septuagénaires et plus au Japon. Cette politique paraît conforme à l’idée de l’ancien premier ministre japonais Koizumi qui osa déclarer que tous les « vieux » non productifs devraient être piqués car il coutent trop cher à la société. Kishida a peut-être repris cette idée …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2024/04/24/nouvelles-de-la-banlieue-ouest-de-tokyo-et-autres-sujets/

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  13. La Chine appelle à une enquête internationale sur Nord Stream


    27 avril 2024
    de Thomas Oysmüller


    La Chine n’abandonne pas le dossier Nord Stream : une enquête internationale doit être ouverte sous la houlette de l’ONU. La confiance en Allemagne semble limitée.

    Ni dans l’UE ni en Allemagne, on ne parle encore de l’attaque terroriste sur Nord Stream. La plupart des États de l'UE ont interrompu leurs enquêtes, le plus récemment étant le Danemark . Selon les autorités, des enquêtes sont toujours en cours en Allemagne. Mais aujourd’hui, la Chine s’exprime sur la question et réclame une commission d’enquête indépendante et internationale.

    Enquête internationale

    Pékin a adopté une attitude similaire très rapidement après le sabotage, mais il ne semble pas se relâcher. Vendredi, les Nations Unies ont de nouveau été appelées à ouvrir une enquête ; l'ONU devrait en prendre le patronage. La Chine continue de considérer l’attaque comme une « menace pour la paix et la sécurité internationales ».

    C’est tout à fait remarquable : alors que le gouvernement allemand ne discute de facto plus de l’attaque contre ses propres infrastructures critiques, la Chine continue de souligner l’ampleur extrême de l’attaque terroriste. Apparemment, ils ne font pas vraiment confiance à l'Allemagne : « Plus de 18 mois se sont écoulés depuis l'explosion du gazoduc Nord Stream. Il est tout simplement regrettable qu’aucune conclusion n’ait été atteinte sur cette question », a déclaré l’ambassadeur Geng Shuang, représentant permanent adjoint de la Chine auprès de l’ONU, selon une transcription publiée sur le site officiel de la mission chinoise. « Un vieux dicton chinois dit : Il n’est jamais trop tard pour réparer le troupeau lorsque la brebis est perdue. Nous réitérons notre appel au lancement rapide d’une enquête internationale menée par les Nations Unies pour révéler la vérité à la communauté internationale.

    On peut évidemment se demander si l’ONU peut se résoudre à faire une telle chose. Au Conseil de sécurité, les représentants permanents se bloquent la plupart du temps. Les États-Unis, principal suspect du sabotage du Nord Stream, sont également présents. S’il avait été officiellement reconnu que les États-Unis étaient à l’origine de l’attaque, un désastre diplomatique aurait eu lieu. Un pays de l’OTAN aurait alors attaqué un autre pays de l’OTAN.

    Une crise ne surviendrait pas seulement pour l’OTAN, qui ne serait alors plus en mesure de maintenir son rideau d’« alliance de défense ». Il faudrait également demander aux hommes politiques allemands dans quelle mesure et quand ils en ont eu connaissance et à quel point l’Allemagne est réellement souveraine. La Chine bénéficiera probablement du soutien de la Russie. A Moscou, les États-Unis sont également soupçonnés d'être à l'origine de l'attentat.

    https://tkp.at/2024/04/27/china-fordert-internationale-nord-stream-untersuchung/

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  14. Coup de théâtre en France : 2 agents de la Banque de France se sont suicidés en juin 2023


    By Cheikh Dieng
    25 avril 2024


    Une révélation d’une extrême gravité. En tout cas, en pleine crise des finances publiques, la Banque de France, sur la sellette depuis plusieurs mois, vient d’être secouée par une révélation faite par le média d’investigation Blast-info.fr ce 23 avril 2024. Une affaire qui risque de susciter une vive polémique en France.

    En effet, d’après le média Blast, deux suicides et une tentative ont frappé la Banque de France en juin 2023. La lettre laissée par l’une des victimes est hallucinante. « Juin 2023, funeste saison : deux agents de la Banque de France se donnent la mort à quelques jours d’intervalle. L’un a laissé derrière lui une lettre incriminant directement son employeur : ‘Je fais cet acte contre la Banque de France. (…) Je demande à tous ceux qui peuvent de faire un procès contre la banque pour maltraitance et RPS (risques psycho-sociaux, ndlr) », rapporte Blast.

    Et la même source d’ajouter : « les deux victimes travaillaient toutes deux pour la filière fiduciaire, qui imprime, trie et détruit les billets de banque. L’une était en poste dans le Nord, l’autre au centre de La Courneuve. Le même mois, une autre tentative de suicide frappe cette fois l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (l’ACPR). Chargée du contrôle et de la surveillance des banques et des assurances, l’ACPR était une autorité administrative indépendante jusqu’en 2017, année où elle a été rattachée à la Banque de France. Enfin, en octobre 2023, un troisième agent du siège met fin à ses jours. Ce dernier suicide, a priori, semble plus relever de raisons et de problèmes personnels ».

    Le média Blast dit avoir consulté une expertise qui a été commandée au cabinet Technologie par le comité social et économique central (le CSEC). Les conclusions de l’enquête semblent pointer du doigt les dérives et les méthodes en cours au sein de cette institution.

    « Les risques psycho-sociaux sont déjà présents partout dans l’organisation, dans toutes les Directions générales/régionales, dans tous les métiers et tous les statuts. (…) De nombreux autres cas sont ‘rapportés’ par les agents interviewés mais ne sont pas dénombrés », note l’enquête.

    Chiffre à l’appui, Blast présente en détails les résultats de l’enquête : « les résultats présentés sont alarmants : 50 % des répondants estiment que leurs conditions de travail se sont dégradées dans les trois dernières années ; 57 % rapportent s’être souvent senti ‘très fatigués’ par leur travail, ces 12 derniers mois ; 44 % disent avoir régulièrement ressenti un stress important au travail au cours de l’année écoulée ; un employé sur six est exposé à des ‘violences relationnelles d’un degré moyen, élevé ou très élevé' ».

    https://lecourrier-du-soir.com/gros-scandale-en-france-la-banque-de-france-aurait-ete-frappee-par-deux-suicides-et-une-tentative-de-suicide-en-juin-2023/

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    1. Après les suicides chez 'France-Télécom' (Orange) voici qu'arrivent ceux de la BDF !

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  15. Il est tout à fait légal de posséder un « Thermonator »


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 27 AVR 2024 - 05:20


    Pour les curieux, posséder un lance-flammes est largement légal aux États-Unis, à l’exception du Maryland, car l’État a effectivement interdit ces appareils. En Californie, les lance-flammes sont légaux mais nécessitent un permis.

    Avec la légalité, tout est réglé. Ce qui a fait la une des journaux cette semaine, c'est un robot quadruple Unitree Go2 équipé d'un lance-flammes.

    "Thermonator est le tout premier chien robot brandissant un lance-flammes. Ce quadrupède est couplé au lance-flammes ARC pour tirer à la demande n'importe où !" Throwflame, la société à l'origine du robot lance-flammes, a écrit sur son site Internet.

    Appelé « Thermonator », le robot lance-flammes coûte 9 420 $ et peut tirer du napalm jusqu’à 9 pieds.

    Throwflame indique que Thermonator est principalement utilisé pour « le contrôle et la prévention des incendies de forêt », la « gestion agricole », la « conservation écologique », « le déneigement et le déglaçage » et « le divertissement et les effets sonores ».

    Au fil des années, nous avons couvert la prolifération de cette technologie, depuis les chiens robots dansants « mignons » de Boston Dynamics (propriété japonaise) jusqu'à la version chinoise de « spot » avec une mitrailleuse attachée à son dos.

    Même un robot-chien armé déployé par un drone.

    Pendant ce temps, il y a quelques jours à peine, Boston Dynamics a dévoilé son nouveau robot humanoïde qui se déplace de manière effrayante comme aucun autre robot ne s'est déplacé auparavant.

    Nous promettons qu’il ne s’agit pas d’une personne en body. https://t.co/S9FgfpqvrW pic.twitter.com/G30sXHQ93C

    – Boston Dynamics (@BostonDynamics) 17 avril 2024
    La militarisation des chiens robots est terrifiante. Nous sommes surpris que ces robots n'aient pas encore été déployés en Ukraine.

    https://www.zerohedge.com/technology/its-entirely-legal-own-thermonator

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    1. J'ai chez moi un 'Exterminator ZZWWWN++2', est-ce qu'il fonctionne avec 1 ou 2 piles 1,5 volt ?

      (...) Pour les curieux, posséder un lance-flammes est largement légal aux États-Unis, à l’exception du Maryland, car l’État a effectivement interdit ces appareils. En Californie, les lance-flammes sont légaux mais nécessitent un permis. (...)

      J'ai un 'lance-flamme' (briquet BIC) et je l'utilise SANS permis !! HAHAHAHA !

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  16. Une nouvelle étude évaluée par des pairs a fourni des preuves scientifiques concluantes prouvant que les émissions de gaz carbonique ne peuvent pas provoquer un « réchauffement climatique ».


    le 26 avril 2024
    par pgibertie


    Une nouvelle étude explosive évaluée par des pairs a fourni des preuves scientifiques concluantes prouvant que les émissions de gaz carbonique dans l’atmosphère terrestre ne peuvent pas provoquer un « réchauffement climatique ».

    Une nouvelle étude explosive évaluée par des pairs a fourni des preuves scientifiques concluantes prouvant que les émissions de gaz carbonique dans l’atmosphère terrestre ne peuvent pas provoquer un « réchauffement climatique ».

    Le Dr Jan Kubicki a dirigé un groupe de scientifiques polonais de renommée mondiale pour étudier l’impact de l’augmentation des émissions de gaz carbonique sur les températures mondiales de la Terre.

    Cependant, non seulement ils ont constaté que des niveaux plus élevés de gaz carbonique ne faisaient aucune différence, mais ils ont également prouvé qu’il n’était tout simplement pas possible que l’augmentation du gaz carbonique provoque une augmentation des températures.

    Kubicki et son équipe ont récemment publié trois articles qui concluent tous que l’atmosphère terrestre est déjà « saturée » de gaz carbonique. Cette saturation signifie que, même à des niveaux de gaz carbonique fortement accrus, les « gaz à effet de serre » ne provoqueront pas d’augmentation des températures.

    Kubicki et coll. résument leurs preuves en notant qu’en raison de la saturation, « le gaz carbonique émis ne provoque pas directement une augmentation de la température mondiale ». Les niveaux actuels de gaz carbonique dans l’atmosphère sont d’environ 418 parties par million (ppm) mais les scientifiques affirment qu’au-delà de 400 ppm, « la concentration de gaz carbonique ne peut plus provoquer d’augmentation de température ».

    Une nouvelle étude explosive évaluée par des pairs a fourni des preuves scientifiques concluantes prouvant que les émissions de gaz carbonique dans l’atmosphère terrestre ne peuvent pas provoquer un « réchauffement climatique ».

    La saturation du gaz carbonique dans l’atmosphère est une hypothèse qui n’ose pas prononcer son nom dans les grands médias, dans la politique et dans une grande partie de la science du climat.

    L’un des principaux messages de propagande derrière ce « programme vert » est que les humains sont responsables du réchauffement climatique constant en brûlant des hydrocarbures et en libérant du gaz carbonique dans l’atmosphère.

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  17. L’hypothèse de saturation est complexe, mais en termes simples, elle peut être décrite par l’exemple de l’isolation des combles d’une maison.

    Au-delà d’un certain point, doubler le calorifuge n’aura que peu d’effet puisque la majeure partie de la chaleur qui tente de s’échapper par le toit est déjà piégée.

    Le gaz carbonique retient la chaleur uniquement dans des bandes étroites du spectre infrarouge.

    Les niveaux de gaz ont été jusqu’à 20 fois plus élevés dans le passé sans aucun signe d’un « réchauffement climatique » incontrôlable.

    Aux niveaux actuels, les scientifiques polonais suggèrent qu’il y a « actuellement de multiples dépassements de la masse de saturation du gaz carbonique dans l’atmosphère terrestre ».

    La dernière étude est publiée dans la prestigieuse revue à comité de lecture Elsevier’s Science Direct .

    De nombreux autres scientifiques sont attirés par l’hypothèse de la saturation car elle fournit des explications plus plausibles adaptées aux changements climatiques passés.

    L’année dernière, trois scientifiques dirigés par le professeur atmosphérique Yi Huang de l’Université McGill ont déclaré que :

    « La transmission au centre de la bande de ,gaz carbonique reste inchangée en cas d’augmentation du gaz carbonique car l’absorption est déjà saturée . »

    Malgré plus de 50 ans d’efforts, les modélisateurs climatiques et les scientifiques du camp anthropique ne sont pas près d’attribuer une augmentation de température à un doublement du gaz carbonique dans l’atmosphère.

    Les estimations allant de 0,5°C à environ 6°C, avec quelques valeurs aberrantes pouvant atteindre 10°C, ne sont guère plus que des suppositions, mais elles constituent le fondement « scientifique » sur lequel s’appuie la peur mondiale du changement climatique d’origine humaine.

    Les chiffres sont trop farfelus et imprécis pour permettre des prédictions scientifiques raisonnables, mais l’affirmation est constamment répétée selon laquelle la science est « réglée », la preuve « consensuelle » existe et tout cela est au-delà du débat.

    Les scientifiques polonais citent l’auteur d’ Idso 1998 selon lequel « les modèles actuellement utilisés ne fournissent pas encore une base appropriée pour le développement de politiques rationnelles liées aux changements climatiques potentiels ».

    Le média scientifique No Tricks Zone note que les auteurs polonais sont préoccupés par la récente tendance à s’appuyer sur des modélisations et des hypothèses sur la capacité du gaz carbonique à entraîner des changements dans les températures mondiales plutôt que sur des preuves observationnelles.

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  18. « Cela suggère sans équivoque que l’impact officiellement présenté de l’augmentation anthropique du gaz carbonique sur le climat terrestre n’est qu’une hypothèse plutôt qu’un fait étayé. »

    Le site scientifique en ligne rend également compte d’autres travaux scientifiques récents qui étayent l’hypothèse de la saturation.

    Dans Chen et al. En 2023, il a été signalé que le gaz carbonique avait considérablement réduit l’effet de réchauffement par rapport aux concentrations préindustrielles.

    Il a également été noté que les influences de la vapeur d’eau et des nuages ​​se chevauchent, dominant ainsi l’absorption dans la bande infrarouge du gaz carbonique.

    En 2022, le professeur de physique allemand Dieter Schildknecht a fixé le niveau de saturation du gaz carbonique à seulement 300 ppm et a conclu qu’au-delà, de nouvelles augmentations ne pourraient pas affecter le climat de la Terre.

    À ce faible niveau, l’absorption atteint des niveaux proches de 100 %, de sorte que de nouvelles émissions de gaz carbonique d’origine humaine ne peuvent pas conduire à une absorption sensiblement plus forte du rayonnement.

    Le professeur émérite William Happer de Princeton est un autre partisan majeur de l’hypothèse de la saturation.

    Happer a récemment été présenté dans Climate: The Movie de Martin Durkin .

    Dans le film, il répond à la « science » actuelle qui impose le programme « Net Zero » du WEF.

    Il a dit qu’il pouvait accepter la suggestion descriptive de « canular », même s’il préférait le mot « arnaque ».

    Plusieurs autres scientifiques de renommée mondiale ont également qualifié le récit mondialiste de la « crise climatique » d’« arnaque » et de « canular ».

    Comme l’a rapporté Slay News , le Dr John Clauser, lauréat du prix Nobel de physique 2022, a fustigé le discours sur le climat en des termes sans équivoque :

    « J’affirme qu’il n’y a aucun lien entre le changement climatique et le gaz carbonique – c’est de la foutaise, à mon avis. »

    Clauser, un géant de la science moderne, a également signé une déclaration affirmant cela, comme l’a rapporté Slay News .

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  19. Il a rejoint plus de 1 600 scientifiques du monde entier, dont un autre lauréat du prix Nobel, en signant une déclaration affirmant que les allégations d’une « urgence climatique » menaçant la Terre sont un canular.

    Le groupe massif de scientifiques a signé la Déclaration mondiale sur le climat (WCD).

    La WCD rejette l’existence d’une « crise climatique » et insiste sur le fait que le dioxyde de carbone est bénéfique pour la Terre.

    Le WCD a été créé par le Global Climate Intelligence Group (CLINTEL) et a été publié pour la première fois début août, comme l’avait rapporté Slay News à l’époque.

    Depuis sa publication, des centaines de scientifiques ont signé la WCD.

    « Il n’y a pas d’urgence climatique », déclare la WCD.

    « La science du climat devrait être moins politique, tandis que les politiques climatiques devraient être plus scientifiques.

    « Les scientifiques devraient ouvertement aborder les incertitudes et les exagérations dans leurs prévisions du réchauffement climatique, tandis que les politiciens devraient évaluer sans passion les coûts réels ainsi que les avantages imaginaires de leurs mesures politiques. »

    La coalition souligne que le climat de la Terre a varié depuis son existence.

    Ils soulignent qu’il n’existe « aucune preuve statistique » pour étayer ces affirmations.

    « Il n’y a pas d’urgence climatique », affirment les scientifiques.

    « Il n’y a donc aucune raison de paniquer ou de s’alarmer.

    « Nous nous opposons fermement à la politique néfaste et irréaliste de zéro émission nette de gaz carbonique proposée pour 2050. »

    Lors d’un autre discours, Clauser a averti le public que le discours sur la « crise climatique » avancé par l’élite mondiale et ses alliés dans les grands médias est un canular.

    Clauser, qui a également reçu le prix Wolf de physique 2010, le deuxième prix de physique le plus prestigieux après le Nobel, prévient que la science alarmiste du climat n’est rien d’autre qu’une « pseudoscience journalistique de choc massif ».

    « Le discours populaire sur le changement climatique reflète une dangereuse corruption de la science qui menace l’économie mondiale et le bien-être de milliards de personnes », a déclaré Clauser dans un communiqué du 5 mai 2023.

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  20. « Une science du climat malavisée s’est métastasée en une pseudoscience journalistique de choc massive.

    « À son tour, la pseudoscience est devenue le bouc émissaire d’une grande variété d’autres maux sans rapport.

    « Il a été promu et étendu par des agents de marketing commercial, des politiciens, des journalistes, des agences gouvernementales et des environnementalistes tout aussi mal avisés.

    « À mon avis, il n’y a pas de véritable crise climatique. »

    https://pgibertie.com/2024/04/26/une-nouvelle-etude-evaluee-par-des-pairs-a-fourni-des-preuves-scientifiques-concluantes-prouvant-que-les-emissions-de-co2-ne-peuvent-pas-provoquer-un-rechauffement-climatique/

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    1. Le gaz carbonique est le plus lourd de tous les gaz avec ses 1,8 gr/litre (air ambiant 1,2 gr/l., oxygène 1,4 gr/l.), il est un gaz FROID et responsable des gelées.
      Il s'emploie pour faire de la neige carbonique.
      Il disparaît à une température supérieure à 30,9 °C et ne peut donc être expirer par le corps humain à 37 °C ni être évacué par des pots d'échappement ou cheminées d'usines à des températures bien supérieures.

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  21. "Comment oses-tu?" Perspectives alternatives sur le changement climatique « inexistant » d’origine humaine


    Par Michael Welch et Jacob Nordangard
    Recherche mondiale,
    27 avril 2024


    « Des gens meurent ! Des écosystèmes entiers s’effondrent ! Nous sommes au début d’une extinction massive ! Et tout ce dont on peut parler, c'est d'argent ! Et des contes de fées sur la croissance économique éternelle ! COMMENT OSES-TU! – Greta Thunberg , le 23 septembre 2019, au Sommet des Nations Unies sur le climat [1]

    "Le ciel tombe! Le ciel tombe!" – Henny Penny alias « Chicken Little » [2]

    « Bien sûr, on m'a traité de négateur. Et ma réponse est « dites-moi ce que je nie ! » Parce que je vous cite directement à partir des rapports scientifiques officiels de l'ONU ! – Le physicien Stephen Koonin , cité dans le film Climate the Movie: The Cold Truth [3]

    ÉCOUTEZ LE SPECTACLE

    - voir clip sur site -

    Avec des incendies de forêt qui ravagent toute la planète, de terribles ouragans causant des dégâts, des inondations , des sécheresses , des vagues de froid soudaines et des températures chaudes , les gens du monde entier et les médias expriment ouvertement leur préoccupation quasi religieuse selon laquelle le climat désastreux est entièrement responsable. des êtres humains !

    Greta Thunberg , Bill McKibben , Al Gore et tous les autres grands sauveurs de notre religion scientiste moderne nous disent que nous devons tous accomplir une pénitence pour expier nos péchés environnementaux individuels et collectifs ! Nous devons brûler moins d’énergies fossiles ! Nous devons nous séparer pour toujours du moteur à combustion interne démoniaque ! Il faut s'abstenir d'élever et de manger des vaches flatuleuses non casher !

    Alors que nous cachons tous nos actes dans un jargon scientifique, notre comportement semble indiquer que des schémas préhistoriques de superstition s’insinuent à nouveau dans nos vies. Hier, les gens faisaient confiance aux juges qui présidaient les procès des sorcières de Salem, au détriment des nombreuses femmes accusées. Aujourd’hui, l’autorité de notre époque inclut le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat qui nous alerte sur d’énormes catastrophes climatiques à l’horizon.

    Mais les autorités d’aujourd’hui prétendent que leurs arguments reposent sur la science. LA SCIENCE, la discipline héroïque des temps modernes qui a récompensé notre peuple avec des richesses et des dons de connaissances sans précédent qui nous placent à des années-lumière de toute autre pratique d'adoration de divinités à l'ancienne, apaisée par des marmonnements à l'ancienne.

    Cependant, lorsque des gens qui ont adapté les références scientifiques avec leurs expériences et leurs articles publiés, puis lancent les attaques les plus scandaleuses contre le dogme d'aujourd'hui connu sous l'étiquette du dioxyde de carbone d'origine humaine alimentant le changement climatique, les gens du secteur cherchent désespérément Contre-arguments. Recevoir des faveurs de la part des sociétés « Big Oil » est la version moderne de l’épithète « Hérétique ! »

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  22. L'épisode de cette semaine du Global Research News Hour tente d'écouter les déclarations de certains de ces scientifiques dissidents et éventuellement d'arriver à un ensemble différent de conclusions en fait cohérentes avec la véritable nature du progrès scientifique des autorités qui remettent en question, quel qu'en soit le prix !

    Au cours de notre première demi-heure, Tom Nelson , un climato-sceptique, se joint à nous pour parler de son récent film Climate the Movie: The Cold Truth , qui met en scène un certain nombre de dirigeants scientifiques de haut niveau qui sont désormais, un peu comme les sceptiques du COVID, qualifiés de dragons. de « désinformation ».

    Ce qui suit est une exposition gratuite de son film.

    Et dans notre deuxième demi-heure, nous discutons avec Jacob Nordangard , de son récent livre, Rockefeller : Controlling the Game , qui examine le rôle joué par JD Rockefeller et ses descendants dans la préparation du terrain pour ce lien entre les activités humaines et l'hystérie du changement climatique. , et pour développer une réponse politique.

    Tom Nelson est titulaire d'une maîtrise en électronique et ingénieur électricien et anime régulièrement un podcast démystifiant les mythes sur le changement climatique et l'énergie depuis le début.

    Jacob Nordangard est un chercheur, auteur, conférencier et musicien suédois. Il est titulaire d'un doctorat. en technologie et changement social à l'Université de Linköping. Il est titulaire d'une maîtrise en sciences sociales en géographie et d'une maîtrise en sciences sociales en culture et production médiatique. Il est l'auteur de Rockefeller : Controlling the Game et blogue régulièrement sur substack.com/@drjacobnordangard .

    (Global Research News Hour épisode 429)

    ÉCOUTEZ LE SPECTACLE

    - voir clip sur site -

    L'émission Global Research News Hour est diffusée tous les vendredis à 13 h CT sur CKUW 95.9FM à l'Université de Winnipeg.

    Le programme est également diffusé chaque semaine (lundi, de 13 h à 14 h HE) par le Progressive Radio Network aux États-Unis.

    Le programme est également disponible en podcast sur globalresearch.ca .

    Autres stations diffusant l'émission :

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  23. CIXX 106,9 FM, diffusant depuis le Fanshawe College de London, en Ontario. Il est diffusé le dimanche à 6 heures du matin.

    La radio universitaire et communautaire CFMH 107.3fm à Saint John, au Nouveau-Brunswick, diffuse l'émission Global Research News Hour le vendredi à 19 h.

    CJMP 90.1 FM, Powell River Community Radio, diffuse l'émission Global Research News Hour tous les samedis à 8 heures du matin.

    Caper Radio CJBU 107.3FM à Sydney, Cap-Breton , Nouvelle-Écosse diffuse l'émission Global Research News Hour à partir de mercredi après-midi de 15h à 16h.

    Cowichan Valley Community Radio CICV 98,7 FM desservant la région de Cowichan Lake sur l'île de Vancouver, en Colombie-Britannique, diffuse le programme le jeudi à 9 h, heure du Pacifique.

    WZBC 90,3 FM à Newton Massachusetts est Boston College Radio et diffuse dans la grande région de Boston. Global Research News Hour diffuse rarement des extraits de Global Research News Hour pendant la radio Vérité et Justice qui commence dimanche à 6 heures du matin.

    Remarques:

    https://www.npr.org/2019/09/23/763452863/transcript-greta-thunbergs-speech-at-the-un-climate-action-summit
    https://www.dltk-teach.com/fairy-tales/chicken-little/story.htm
    https://www.youtube.com/watch?v=zmfRG8-RHEI&t=286s

    https://www.globalresearch.ca/how-dare-you-alternative-perspectives-on-non-existent-human-generated-climate-change/5855805

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  24. Le monde est stone !


    Xavier Azalbert, France-Soir
    le 26 avril 2024 - 18:30


    EDITO - Non. Hélas non. Ce n'est pas le journal « Le Monde » que j'accuse ici d'être « Stone » ou d'avoir consacré sa Une à la bande à Mike Jagger en un article psychédélique, hallucinatoire ou mensonger.

    C'est le nôtre de monde. Celui qu'est devenu l'Occident, question morale et niveau éthique. Complètement « Stone » au sens d'être devenu fou, victime de dirigeants « embrumés » du cerveau par quelques produits stupéfiants, un monde où tout simplement, le pouvoir est littéralement déconnecté de la réalité.

    Car malheureusement, force est de constater que l'on marche sur la tête dans bien des domaines, dans ce monde de fous, qu'est devenu cet Occident jadis prémuni des dérives élitistes par une norme qui donnait préséance aux lois naturelles, notamment concernant « le » domaine intrinsèquement fondamental au possible, dans une communauté humaine, et a fortiori dans une nation : la famille.

    Et tout particulièrement s'agissant de la protection des enfants et de leur construction affective et intellectuelle et en tant qu'individu. Leur permettre de savoir qui ils sont à travers leurs racines

    S'il est bien un domaine dans lequel « le monde est stone » au sens de la chanson éponyme de « Starmania » (magnifiquement interprétée par Fabienne Thibeault), c'est bien celui-ci :

    « Je cherche le soleil au milieu de la nuit.
    J' sais pas si c'est la Terre, qui tourne à l'envers,
    ou bien si c'est moi qui m' fait du cinéma.
    Qui m' fait mon cinéma. »

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  25. Des paroles que Marion Maréchal aurait pu reprendre à son compte, pour répondre aux attaques dont elle est la cible des pro-GPA : la gestation pour autrui (1).

    Tout est parti d'une publication sur Instagram, lundi 22 avril 2024, par Simon Porte-Jacquemus, couturier français, et de son époux Marco Maestri, annonçant la naissance de « leurs » jumeaux (2), Mia et Sun, affirmant à ce sujet avoir eu recours à la GPA, pourtant interdite en France.

    Marion Maréchal a posté ceci en commentaire : « Où est la maman ? »

    Suite à cela, elle a été prise à partie par des membres de la majorité, Prisca Thevenot en tête. L'actuelle porte-parole du Gouvernement lui a rétorqué : « Où est votre cerveau ? », par un tweet dans lequel elle a dénoncé, je cite, « l'homophobie décomplexée » de Marion Maréchal, et y a ajouté ceci pour justifier son indignation : « Aujourd’hui, nous fêtons les 11 ans de l’adoption du Mariage pour Tous, une grande victoire pour l’égalité. Continuons à nous mobiliser contre toutes formes de discriminations et pour garantir les droits de tous les citoyens. »

    Même son « de cloche » (3), chez l’ancien ministre du Travail Olivier Dussopt : « Deux papas qui s’aiment et qui aiment ces enfants. C’est bien aussi. Une famille. C’est l’essentiel. » (4)

    Et pareil pour Clément Beaune, député « Renaissance », toujours à propos de Marion Maréchal : « Jamais la dernière pour un propos dégueulasse, sur une famille et des enfants. »

    De son côté, le sénateur communiste Ian Brossat a indiqué « préférer avoir deux papas qu’une mère comme Marion Maréchal.

    À contre-courant, Jean-Philippe Tanguy, député Rassemblement National ouvertement homosexuel, a balayé les accusations d’homophobie visant la vice-présidente de « Reconquête ! » et tête de liste aux européennes : « Ce n’est pas de l’homophobie. La GPA est interdite en France. Voir Madame Thevenot, porte-parole du gouvernement, se féliciter qu’on enfreigne une loi qui existe, c’est complètement surréaliste ! », a-t-il déclaré, mercredi 24 avril 2024, sur BFMTV et RMC.

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  26. Quant à la principale intéressée, Marion Maréchal a réagi ce mercredi en s’adressant directement aux membres de la majorité présidentielle, en faisant référence à un tweet d’Emmanuel Macron datant de 2017 : « Chers Clément Beaune, Prisca Thévenot, Olivier Dussopt : “C’est une question d’éthique et de dignité. » À ce tweet-ci : « Pendant mon quinquennat, la GPA restera interdite en France. C’est une question d'éthique et de dignité. »

    Et Marion Maréchal d'ajouter ceci, en guise de conclusion : « Je ne m'habitue pas à la banalisation de cette pratique qui est, pour moi, monstrueuse et honteuse. »

    Enfin, lui qui également est marié à un homme avec qui, par un recours à la GPA, a-t-il affirmé (5), s'est vu remettre deux enfants qui figurent sur leur livret de famille, Monsieur Christophe Beaugrand @Tof_Beaugrand était hier l'invité de @Caroline_Roux#cdanslair dans l'émission « C dans l'air », et y a déclaré, concernant la GPA en général, en réaction à toute cette polémique :

    Voilà pour l'essentiel des faits concernant cette polémique.

    Cependant, avant de vous donner mon analyse, non pas de cette polémique en elle-même, mais sur la GPA en général en tant que mode de procréation, il me faut apporter une précision importante à propos des dires de Monsieur Porte-Jacquemus et de Monsieur Beaugrand.

    Une précision matérielle et une précision juridique. La précision juridique concerne à la fois Monsieur Porte-Jacquemus et Monsieur Beaugrand. Donc, je commence par celle-ci.

    L'argument avancé par eux pour soutenir qu'ils ne peuvent pas être accusés d'avoir violé la loi, consiste à affirmer que, qu'importe le fait que la GPA soit interdite en France, dès lors que leur GPA, ils l'ont contractée dans un pays où la GPA est autorisée, ils ne sont coupables de rien, parce que, toujours selon eux, dans ce cas de figure la loi française ne leur est pas applicable.

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  27. C'est rigoureusement faux. Rigoureusement faux, car contraire à cette partie-ci de la loi française que, visiblement, tous ceux qui avancent cet argument ignorent, ou feignent de ne pas connaître : l'article 321-1 du Code pénal.

    « Le recel est le fait de dissimuler, de détenir ou de transmettre une chose, ou de faire office d'intermédiaire afin de la transmettre, en sachant que cette chose provient d'un crime ou d'un délit.
    Constitue également un recel le fait, en connaissance de cause, de bénéficier, par tout moyen, du produit d'un crime ou d'un délit.
    Le recel est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 375 000 euros d'amende. »

    Je m'explique.

    En soi, évidemment, en tant qu'être humain, un enfant n'est nullement une chose ni un produit.

    Néanmoins, dès lors qu'un enfant est l'objet d'un contrat en pécuniaire, de fait, il devient un produit : une chose sur laquelle les parties à ce contrat mettent un prix. C'est immonde, mais c'est la vérité.

    Et c'est d'autant plus incontestable quand la chose en question, objet de ce contrat, est « un enfant » qui au moment de l'établissement de ce contrat n'a aucune matérialité, car il n'existe pas encore.

    Or, tel est exactement le cas de la GPA : au moment où ce contrat en pécuniaire est passé entre, d'une part, la personne qui s'engage à être la mère-porteuse, et, d'autre part, la ou les personnes qui, en contrepartie de cela, lui promettent ou remettent une somme d'argent, l'enfant objet de ce contrat n'existe pas encore. Il n'a aucune matérialité tant physique que juridique. Il s'agit donc bien indéniablement d'une chose, qui, du fait de ce contrat, acquiert l'existence juridique qui consiste en le fait qu'il est « l'objet » d'un contrat. Et ce contrat étant un contrat en pécuniaire, cette « chose » est le produit de ce contrat.

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  28. En cela, qu'importe que du fait de sa naissance, cette chose devient matériellement et juridiquement un enfant, car il n'en demeure pas moins pour autant ad vitam eternam l'objet et le produit du contrat en pécuniaire dénommée « GPA », consécutivement auquel, en accord avec les parties à ce contrat, la mère-porteuse a conduit l'évolution de l'embryon au terme abouti de la grossesse qu'elle a assurée, et elle a remis, à l'autre partie au contrat, l'enfant viable et vivant issu de cette grossesse.

    En cela, quand bien même - et nous n'en doutons pas un seul instant ! - Monsieur Porte-Jacquemus et Monsieur Beaugrand, ainsi que leurs époux respectifs, aiment sincèrement chacun de ces enfants dont ils ont obtenu la garde en tant que leurs parents juridiques, exactement comme si ces enfants étaient leur progéniture biologique naturelle, aux termes de l'article 321-1 du Code pénal ces enfants sont chacun « la chose » qui provient d'un délit, le délit défini et puni par l'article 227-12, alinéa 1, du Code pénal :

    « Le fait de provoquer soit dans un but lucratif, soit par don, promesse, menace ou abus d’autorité, les parents ou l’un d’entre eux à abandonner un enfant né ou à naître est puni de six mois d’emprisonnement et de 7 500 euros d’amende. »

    Et ceci, donc, malgré le fait qu'en ce qui concerne Monsieur Porte-Jacquemus, Monsieur Beaugrand et leurs époux respectifs, le contrat GPA a été réalisé dans un pays où la GPA n'est pas un délit.

    Pourquoi ? Parce que quand ces enfants ont été ramenés sur le territoire français, ipso facto les « choses » objets de ces contrats ont été ramenées sur le territoire français.

    Or, en ces circonstances de fait, l'article 321-1 du Code pénal est pleinement applicable.

    Pourquoi, parce que la GPA étant un délit en France, qu'importe que le contrat de GPA ait été passé et mené à son terme dans un pays où la GPA ne l'est pas, détenir l'objet de ce contrat, c'est détenir une « chose » qui, au sens de l'article 321-1 du Code pénal, provient d'un délit.

    En effet, lorsque l'élément matériel d'un délit consiste à passer tel contrat interdit par la loi, cet élément matériel est rapporté quand l'existence de ce contrat est prouvée, admise, mais pas seulement. L'élément matériel de ce délit est également rapporté quand l'objet de ce contrat est sur le territoire français.

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  29. Pourquoi ? Tout simplement parce que l'objet de ce contrat est l'élément qui constitue au principal l'élément matériel du délit défini et puni par l'article 227-12, alinéa 1, du Code pénal : « Le fait de provoquer soit dans un but lucratif, soit par don, promesse, menace ou abus d’autorité, les parents ou l’un d’entre eux à abandonner un enfant né ou à naître est puni de six mois d’emprisonnement et de 7 500 euros d’amende. »

    Et s'il se trouve qu'en réalité, contrairement à ce qu'affirment, Monsieur Porte-Jacquemus, Monsieur Beaugrand et leurs époux respectifs, ces enfants qu'ils disent être les leurs, n'ont pas été obtenus par le biais d'une GPA, mais par celui d'une adoption illégale, à savoir hors le cadre légal en vigueur dans le pays concerné, ou par celui d'une acquisition, ces messieurs seraient coupables d'un crime. Ces deux faits (adoption illégale et achat d'un enfant) étant qualifiés crime par la loi pénale française, et l'achat d'un enfant étant un crime dans tous les pays du monde.

    Principe constitutionnel de la hiérarchie des normes oblige, une circulaire du ministre de la Justice ne peut écarter l'application de la loi. A fortiori en ce que, par nature, une circulaire n'a aucun pouvoir normatif. Et tel est donc le cas de la circulaire du 25 janvier 2013 que Monsieur Beaugrand a invoquée, par laquelle Christiane Taubira, alors ministre de la Justice, a demandé aux officiers d'état civil de faciliter l'inscription des enfants issus de GPA sur les registres de l'état civil.

    Et j'insiste bien ! Outre le fait que je ne remets aucunement en cause l'amour qu'ils affirment porter à ces enfants, présomption d'innocence oblige, je ne soutiens nullement qu'ils ont commis ce crime.

    Je tenais juste à dûment faire mention de manière exhaustive, à la fois des différents cas de figure possibles, et du droit français qui est applicable à chacun, et donc du positionnement qu'il importe d'avoir à ce sujet, selon le cas.

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  30. C'est indispensable de tordre ici le cou, à ces considérations soi-disant juridiques qui sont venues perturber l'objectivité du débat que je dois garantir ici, à l'inverse de mon compte personnel sur X, ceci étant ma tribune professionnelle, à savoir en tant directeur de la rédaction de « France-Soir ».

    Je pense par exemple à ces deux considérations-ci.

    Ce tweet de « VirusWar » :

    Et à ce dialogue inventé, via lequel Didier Maïstro a fait état sur X de son aversion pour la GPA :

    « Il est trop beau ton gosse. Tu l’as acheté où ?
    - J’préfère pas le dire. Dans un pays où c’est légal
    - Et t’en es content ?
    - Bah disons que le premier était pas… joli joli, quoi. Je l’ai rendu.
    - Rendu ?
    - Ouais, c’est dans le contrat, ils te le remplacent gratos.
    - Et ils en font quoi ?
    - Ils te le foutent dans un orphelinat.
    - D’toute façon c’est pas ton problème !
    - À 120.000 boules le gamin, manquerait plus qu’ça, qu’il y ait pas de garantie ! Nonméhoooo ! »

    Si en quelque sorte, j'ai relayé ce tweet en le commantant sur X, c'est justement parce que je tenais à pouvoir soutenir ici, un élément de fait devant être versé au débat pour y donner la plénitude d'angle qui est exigée pour pouvoir valablement prétendre qu'on analyse le sujet avec l'objectivité requise. Dans l'impartialité.

    Qu'importe qu'ils y confèrent un caractère légal en l'autorisant par des dispositions qui l'inscrivent dans la norme, les dirigeants des pays où la GPA est autorisée avec une garantie ne sont guère préoccupés, semble-t-il, par les conséquences désastreuses que peut avoir « la cession d'enfants » (appelons un chat « un chat ») sur la construction identitaire des enfants qui en sont issus, premièrement, et deuxièmement, ils ne se soucient en aucune manière de l'atteinte gravissime manifeste que porte à l'éthique et à la morale, de pouvoir acheter un enfant avec une garantie de remplacement. À savoir que si l'enfant vendu ne plaît pas, finalement, aux parents acheteurs, ces derniers peuvent l'échanger contre un autre enfant lui à venir, et l'enfant vendu, lui, se retrouve à l'orphelinat, avec pour explication à cela que les « personnes » qui l'avaient acheté, finalement n'en ont pas voulu, parce qu'il ne leur plaisait pas... physiquement.

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  31. Les personnes qui adoptent un enfant déjà existant, un enfant devenu orphelin parce que les parents biologiques de ces enfants, ou ceux qui en avaient la garde sont décédés, ces personnes contribuent de fait à extirper cet enfant de sa condition d'orphelin et à lui donner une famille. Ainsi, même si elles le font aussi pour elles-mêmes, ces personnes agissent dans l'intérêt de l'enfant. La motivation principale et première de leur démarche est là.

    À l'inverse, l'enfant objet de la PMA n'étant pas existant au moment de la signature du contrat, les personnes qui passent par la GPA pour pouvoir être parents, n'agissent aucunement là pour aider un enfant dans le besoin, mais pour satisfaire un besoin qui est propre uniquement à elles-mêmes. Serait-ce aussi pour satisfaire le désir narcissique qui les habite alors d'être parents elles-aussi, d'aller avec succès contre l'impossibilité posée à elles par la Nature, de procréer par elles-mêmes ? Et aussi par leurs propres choix.

    Et bien entendu, ces personnes n'agissent pas non plus dans l'intérêt de l'enfant à naître de la GPA, puisque, je le rappelle exprès, au moment de leur prise de décision, cet enfant n'existe pas.

    Il n'y a pas de rapport utilitariste à la vie d’autrui.

    Bon, vous me direz, et vous avez raison, au moment où les personnes qui passent par la procréation naturelle décident d'avoir un enfant, cet enfant non plus n'est pas encore né. Et elles aussi agissent là pour satisfaire à leur envie d'être parents, une envie qui s'avère parfois un besoin vital, psychologiquement, tant dans ce cas-ci que dans celui des personnes qui passent par la GPA.

    Néanmoins, la différence fondamentale en ces deux cas subsiste : les parents qui passent par la GPA acquièrent leurs enfants comme un objet, et non pas comme un être humain qu'on crée soi-même, aboutissement d'un acte amoureux, un acte lui-même fruit d'une relation de cette même nature : l'amour. Cette même « Dame Nature », devrais-je plutôt dire, puisque c'est l'amour qui fait tourner le monde. En tout cas quand il tourne rond.

    Sur ce point, les statistiques sont formelles. La proportion des enfants issus d'une GPA qui souffrent cruellement de l'impossibilité pour eux de connaître leurs racines, cette proportion est immense.

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  32. En attestent les très nombreux témoignages en ce sens, des personnes qui devenues adultes, demandent l'interdiction de la GPA.

    J'ai retenu celui-ci en particulier d'Olivia Maurel qui s'est aussi exprimé dans France-Soir.

    Pourquoi ? Parce qu'en ce tweet, Olivia Maurel a fait réponse cette question : « Et avez-vous eu le droit de savoir qui était votre vraie mère ou c’est interdit dans le contrat. »

    Dans la quasi-totalité des cas, cette clause qui interdit à la « mère-porteuse » de contacter l'enfant qu'elle a porté, figure au contrat.

    D'où la formule assassine de Madame Maurel à ce sujet : « Donc tout est prévu pour effacer la mère, la vraie. »

    Et le hashtag qu'elle a créé : #stopGPA

    La banalisation de la GPA est une régression anthropologique décisive, et aux conséquences individuelles et collectives considérables. Terribles.

    Pardi ! Dans la construction affective et intellectuelle, le rapport à la mère reste fondamental. « L’adoption » affective par la mère biologique intervient de fait à la naissance de l'enfant. À l'inverse, lorsqu'elle ne peut pas se faire, du fait d'une naissance issue d'une GPA, c'est un drame pour l’enfant toute sa vie durant. Cela se vérifie à chaque fois, avec une gravité plus ou moins forte.

    En cela, avec la GPA on institutionnalise cette rupture d’humanité.

    Les enfants adoptés aussi sont traumatisés, mais à un niveau de gravité toujours nettement moindre, ceci notamment eu égard au fait qu'ils savent, eux, au moins, qu'ils n'ont pas été achetés.

    La différence fondamentale qu'il y a entre la SPA où l'on vient sauver de l'euthanasie un être vivant gratuitement, et un élevage de chiens ou de chats, où l'on vient passer commande d'un animal parfois pas encore né là aussi. Cela avec cette nuance ô combien importante qu'il ne s'agit pas là, par contre, d'un commerce d'enfants, de bébés humains, mais d'animaux.

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  33. Cette marchandisation du corps est une nouvelle forme de prostitution en soi, sans acte sexuel, certes, mais avec cette circonstance aggravante notable qu'elle porte in fine sur la commercialisation d'un être humain, un enfant en l'occurrence.

    Sur cette terre martyrisée, il y a déjà bien trop de bébés à adopter, malheureux, car ils ne trouvent pas « preneurs. »

    Mes mots sont emplis d'une ardeur substantielle. C'est logique. Ils font réponse à la froideur d'âme et de cœur, elle aussi, substantielle, celle de l'indifférence dont font montre à l'endroit du traumatisme causé aux enfants issus d'une GPA, les personnes qui ont acheté leur paternité.

    Leur égoïsme étant paroxystique, ma radicalité à m'opposer à cette pratique est d'une substantialité nettement moindre. Car en outre, faisant cela, elles renoncent à leur humanité dans le domaine pourtant le plus éminemment humain qui soit : l'amour d'une mère pour l'enfant qu'elle porte, l'enfant né d'un amour partagé avec le géniteur de celui-ci, et auquel elle donne la vie par cette voie.

    La seule que la Nature ait prévue. Donc la seule voie qui doit avoir droit au chapitre dans un monde qui la respecte.

    La science nous a aidé à surmonter certains problèmes de fertilité et de procréation. Tant mieux ! Cela s'était fait jusqu'alors en respectant cette voie.

    Et la science nous a permis également de diminuer très fortement la mortalité infantile.

    On s'est battu pour le respect des enfants, mais aujourd'hui, on a cette déconnexion-ci, GPA et Cie, de la réalité naturelle, dans les médias, sur le service public. C'est le summum de la maladie, la folie dont souffre le monde occidental aujourd'hui.

    Il y a quelques jours, c'était la censure érigée en tant que norme par Adèle Van Reeth. Au prétexte fallacieux de protéger le public des fake news, et avec pour exemple un réchauffement climatique avancé par elle, scientifique ad hoc, comme étant incontestable, madame s'est permis de dire allègrement que c'est à bon droit que sur France-Inter, on n'invitait pas tout le monde.

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  34. Et hier, on a vu un homme aller à la télévision parler de son mari et du fait qu'ils ont « enfanté » auprès d'une autre femme, le mari de celle-ci à côté, pour donner naissance à un enfant dont l'ADN n'est pas le leur. Quelle trahison de Dame Nature !

    À quoi auront nous droit demain ?

    Et évidemment, ses dérives sont l'apanage des riches.

    Diable, un smicard ne peut se payer un enfant à plusieurs dizaine de milliers d'euros.

    Oui, d'un côté, nous avons le crédit social qui mène à une forme moderne d'esclavage, que les « élites » cherchent à imposer à 95% de la population afin d'en garder le contrôle, et de l'autre la folie des riches, les 5% restant qui peut se payer tout et n'importe quoi, grâce aux lois qu'ils font voter en ce sens par les marionnettes politiques qu'ils mettent en place. Un effet pervers au possible puisqu'il va donc jusqu'à la rupture d'ADN : la rupture d'anévrisme obligatoirement funeste à terme pour l'humanité, celle qui semble vraiment avoir complètement perdu la boule.

    Quelle tristesse, mais on comprend pourquoi de nombreux enfants, issus d'une GPA, ont en tête, sans savoir d'où elles leur viennent et qui y tournent en boucle en permanence, ces autres paroles-ci du « Le monde est stone » de Starmania :

    « J’ai la tête qui éclate. J’ voudrais seulement dormir. M’étendre sur l’asphalte. Et me laisser mourir. »

    Alors profitons de cet épisode pour parler vraiment de ce sujet et définir la société que nous désirons vraiment.

    (1) d'après l'Organisation mondiale de la Santé, la gestation pour autrui est une pratique incluse dans la procréation médicalement assistée. Cela consiste à transplanter un embryon, issu de parents biologiques qui souffrent d'infertilité (2) ou d'une femme dans l'incapacité d'assurer la gestation, dans l'utérus d'une autre femme, appelée « mère porteuse » ou « gestatrice », qui portera l'enfant jusqu'à sa naissance.

    (2) maladie de l’appareil reproducteur masculin ou féminin, qu'on définit par l’incapacité d’obtenir une grossesse après 12 mois ou plus de rapports sexuels réguliers non protégés.

    (3) sans mauvais jeu de mots, j'imagine : j'ai repris ici les termes de l'article du Figaro sur le sujet : https://www.lefigaro.fr/politique/ou-est-la-maman-apres-ses-propos-sur-la-gpa-marion-marechal-prise-a-partie-par-des-membres-de-la-majorite-20240424

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  35. (4) « Deux papas qui s’aiment et qui aiment ces enfants. » a dit le sénateur communiste Ian Brossat, et non pas « leurs » enfants. C'est important de le noter. En présence d'un livret de famille portant mention d'une paternité de ces deux enfants à Monsieur Porte-Jacquemus et Monsieur son époux, non-contestée par le procureur de la République en l'état, ni par nulle autre personne y ayant intérêt, ces deux messieurs sont les parents de ces deux enfants. Néanmoins, génétiquement, premièrement, si ces enfants sont issus d'un ovule qui a été fécondé par l'un de ces deux messieurs, ce sont uniquement « ses » enfants à lui, et non pas « leurs » enfants à eux d'eux. Deuxièmement, si l'ovule a été fécondé par un spermatozoïde d'un autre homme, ces deux enfants sont « ses » enfants à lui. Et, troisièmement, si ce n'est pas par l'entremise d'une GPA, que ces deux messieurs ont récupéré ces deux enfants, mais suite après en avoir fait l'acquisition ou se les être fait remettre gratuitement hors un cadre légal d'adoption, il faut ajouter à ce que j'ai dit plus haut à ce sujet, que là, carrément, en plus de ne pas être « leurs » enfants génétiquement, ces deux enfants seraient le produit, respectivement d'un crime ou d'un délit, dont auquel cas ces deux messieurs seraient les receleurs.

    NOTA : voici le lien du blog où figure la réforme contre la GPA qui a été proposée aux ministères, députés et sénateurs en 2013 pour encadrer la PMA, par un collectif de parents et d'enfants. (https://gpa-reforme-feministe.blogspot.com/)

    Ce collectif proposait notamment une meilleure organisation de l'état civil des enfants nés de GPA, sur le modèle des « enfants trouvés », et une sanction pénale l'utilisation de GPA à l'étranger (comme pour le tourisme sexuel), considérant que le contrat de GPA est une maltraitance prénatale et une violence contre les femmes, et qu'un adulte qui commence par maltraiter un fœtus et sa mère, plus la femme donatrice de gamètes, ne peut pas être le seul parent d'un enfant. Et parce que, je cite, « un enfant a droit à des parents « sains d'esprit », et à qui il peut librement parler de ce qu'il ressent lui du fait de son histoire.

    Malheureusement, leur démarche est restée lettre-morte.

    https://www.francesoir.fr/opinions-editos/le-monde-est-stone

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  36. Alternatives économiques et « nouveaux OGM » : ne pas en avoir ou... n'en avoir pas... et quo vadis ANSES ?


    28 Avril 2024


    et quo vadis ANSES ?

    Comment écrire un article « objectif » ? C'est simple : d'abord définir l'« angle » et donc le poser dans le chapô et l'étayer par une sélection judicieuse des contributeurs avec une mise en valeur soignée de leurs arguments. C'est un peu comme certaines décisions de justice : on écrit la conclusion, puis on construit le dispositif.

    Alternatives économiques a publié le 12 avril 2024 « Faut-il craindre les nouveaux OGM ? » sous la signature de M. Ivan Logvenoff et – curieusement, ou peut-être pas – dans une rubrique « écologie ».

    En chapô, donc :

    « L’Europe veut trancher rapidement sur les nouvelles techniques d’édition génomique qui produiraient des "nouveaux OGM". Or, les données permettant de juger de leur intérêt sont très lacunaires. »

    Passons rapidement sur le fait que l'Europe voulait trancher rapidement, et que c'est plutôt mal emmanché. Au Parlement Européen, le dossier est bloqué en attendant la nouvelle législature.

    Passons aussi sur les imperfections comme ce : « L’Union européenne interdit toute culture de ce type [les OGM, les produits d'une transgenèse] sur son sol à des fins commerciales depuis 2001 ». Cela n'est pas anodin, car cela induit une approche négative des « nouveaux OGM » chez le lecteur. Non, les OGM ne sont pas interdits. Mais une réglementation dont l'expérience a montré qu'elle était ubuesque, couplée à la veulerie politique, a fait que personne ne s'aventure plus à demander une autorisation de mise en culture d'un OGM. Ce qui n'empêche pas d'en importer des produits.

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  37. C'est la suite qui est intéressante : elle témoigne d'un état d'esprit qui sous-tend ce qu'il faut bien appeler la « décadence » européenne. Nous n'avancerons que quand nous serons absolument sûrs que c'est le bon choix – et, bien sûr, qu'il n'y a absolument aucun risque. Et les preuves ne seront jamais suffisantes.

    Selon la recette du pâté d'alouette

    Comment faire, pour l'article ? Simple ! On convoque à la barre cinq « témoins » en soutien de la thèse de l'attentisme – qui sera comme pour les « vrais » OGM issus de la transgenèse sine die ou ad vitam æternam – ou du rejet.

    Ce sont donc, dans l'ordre d'apparition :

    M. Brice Laurent, directeur sciences sociales, économie et société à l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail (ANSES) ;

    M. Yves Bertheau, présenté comme chercheur au Muséum d’Histoire Naturelle et ancien membre du Haut Conseil des Biotechnologies – il est à la retraite et a été auditionné par l'ANSES en tant que conseiller scientifique de France Nature Environnement ;

    M. Legrand Saint-Cyr, chercheur pour l’Anses ;

    M. Bernard Lignon, chargé de mission réglementation et qualité des produits biologiques du SYNABIO, le syndicat des entreprises bio agroalimentaires ;

    Mme Sylvie Colas, « agricultrice spécialiste du dossier au sein de la Confédération paysanne ».

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  38. Il y a aussi deux références, outre le lien vers le communiqué de presse de l'ANSES du 6 mars 2024, « Nouvelles techniques génomiques : l’Anses appelle à une réglementation adaptée », et son lien vers le fameux «Avis et rapport de l'Anses relatif aux méthodes d’évaluation des risques sanitaires et environnementaux et des enjeux socio-économiques associés aux plantes obtenues au moyen de certaines nouvelles techniques génomiques (NTG) » (et quatre annexes) :

    « Genetic modification can improve crop yields — but stop overselling it » (la modification génétique peut améliorer le rendement des cultures, mais il faut cesser de le survendre) de Merritt Khaipho-Burch et al.

    « A Meta-Analysis of Genetically Modified Food Valuation Studies » (une méta-analyse des études d'évaluation des aliments génétiquement modifiés) de Jayson L. Lusk et al.

    Cependant, il faut « bien » établir un équilibre... selon la recette du pâté d'alouette. Le rôle de faire-valoir a été dévolu à une unique personne :

    Mme Rachel Blumel, directrice de l’Union Française des Semenciers (UFS), « qui réunit 118 entreprises de recherche et de production de semences ».

    Et du côté des références, il y a un communiqué simplement évoqué, sans lien, d'une trentaine d'organisations agricoles. C'est « Le Parlement européen fait le choix de l’innovation et de la science avec un accès aux NGT encadré », d'un « Collectif Innovation Variétale ».

    Les risques des nouvelles techniques

    Fort logiquement, il y a des arguments qui vont dans les deux sens... selon la recette du pâté d'alouette

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  39. On aurait attendu M. Yves Bertheau sur le terrain des risques, des effets hors cible.

    Cette question a été assez vite évacuée par le journaliste Ivan Logvenoff. D'entrée de jeu, il est affirmé que « […] trop de données manquent sur les bénéfices et les risques de ce qu’on appelle les "nouveaux OGM" ». C'est l'affirmation du chapô, « intérêt » étant ici en quelque sorte précisé.

    Puis, par référence, semble-t-il, au rapport de l'ANSES et toujours par le journaliste :

    « Parmi les principales conclusions [du rapport de l'ANSES] : ces nouvelles techniques ne posent pas de questions fondamentalement différentes sur les risques sanitaires et environnementaux par rapport aux OGM, avec notamment des inquiétudes sur les fuites de matériel génétique dans l’environnement. Quant à l’intérêt économique, il est très incertain. »

    Et voilà le travail ! Le public a été tellement abreuvé par le passé de descriptions apocalyptiques (j'exagère un peu, mais pas beaucoup) des effets des « vrais » OGM... il ne peut donc que trembler à l'évocation des NGT.

    Et voilà le travail (bis). Une déclaration à l'emporte-pièce qui évite d'aborder un rapport de l'ANSES qui est – disons – nuancé, tout en admettant l'existence de cas où on se situera au même niveau que pour les produits de l'amélioration des plantes « conventionnelle ».

    Les NGT ? Aucun ou guère d'intérêt (allégué)...

    M. Yves Bertheau est plutôt le contradicteur de Mme Rachel Blumel. Voici l'échange (avec quelques conditionnels journalistiques, mais aussi des indicatifs étonnants) :

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  40. « Loin d’être révolutionnaires, les NGT seraient, selon la directrice de l’UFS, "un outil supplémentaire dans la palette du sélectionneur et donc un atout pour maintenir la compétitivité des semenciers français". L’Hexagone, rappelle Rachel Blumel, est le premier producteur européen, et le premier exportateur mondial de semences.

    L’argument est contestable : l’interdiction des OGM il y a plus de vingt ans n’a justement pas remis en cause cette place de leader. Ce serait même le contraire. "Nos exportations sont basées sur le fait que nos produits sont non OGM", défend Yves Bertheau. Loin d’être avantageuse, l’autorisation des NGT pourrait donc plutôt nuire aux semenciers français, en risquant de pousser les acheteurs à se fournir ailleurs. »

    C'est « she said, he said », elle a dit, il a dit. Mais on peine à trouver le propos de la première contestable. Le propos du second est assurément dénué de pertinence. C'est ici le grand écart entre le factuel et la (mauvaise) science fiction.

    Les NGT seront autorisés – ou non – au niveau européen, pour le marché principal des semenciers français. Et rien n'empêcherait un pays tiers refusant les variétés issues de NGT de s'approvisionner en France pour des semences de variééts non issues de NGT.

    Et il y a un sophisme taille XXL :

    « "Chez la tomate, près de 4 000 gènes sont associés à la résistance à la sécheresse et à une meilleure utilisation de l’eau, et ce ne sont pas les mêmes qui sont mis en jeu à toutes les étapes du développement de la plante. Dire que vous allez être capables de tous les contrôler est un mensonge !", s’agace Yves Bertheau. »

    Qui a dit que nous allons être capables... ?

    Le même sophisme de l'homme de paille est mis en œuvre s'agissant du Collectif Innovation Variétale – qui inclut, oyez ! oyez! la FNSEA :

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  41. « "Changement climatique, transition des pratiques agricoles, rémunération des agriculteurs, baisse des ressources et accès à une alimentation de qualité" : dans un communiqué envoyé début février, les semenciers, les interprofessions et les syndicats spécialisés de la FNSEA n’hésitent pas à faire des nouveaux OGM la solution miracle à tous les problèmes de l’agriculture. »

    Est-ce honnête ? Voici la citation dans son contexte (et rien ne vient en soutien de « la solution miracle » alléguée) :

    « Dans un contexte de tensions agricoles inédites et révélatrices d’une véritable crise dans plusieurs pays européens, les députés européens ont pris en compte la réalité du terrain qui a besoin de solutions innovantes et d’alternatives pour relever les enjeux d’aujourd’hui et de demain : changement climatique, transition des pratiques agricoles, rémunération des agriculteurs, baisse des ressources et accès à une alimentation de qualité au juste prix pour les consommateurs ... »

    Et l'agriculture biologique ?

    M. Bernard Lignon n'était pas non plus sur le terrain attendu. Il a dénoncé

    « une "pression maximale" sur les élus pour accélérer le calendrier. Comme le rappelle l’expert, "sur le règlement bio, il a fallu plus de six ans pour se mettre d’accord." ».

    La critique est recevable, mais pas la comparaison.

    L'argument attendu est par contre venu de Mme Sylvie Colas :

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  42. « Dernier problème de taille : suivre de près les produits modifiés est essentiel pour garantir la qualité des autres produits, mais la détection des NGT en laboratoire est assez onéreuse.

    "Les filières bio, dont le cahier des charges impose l’absence d’OGM, sont très inquiètes", alerte Sylvie Colas, agricultrice spécialiste du dossier au sein de la Confédération paysanne. »

    Cet argument fallacieux – celui des « contaminations » éventuelles, en fait imaginaires – est vraiment indéboulonnable ! Le cahier des charges de l'agriculture biologique impose une obligation de moyens.

    Quo vadis ANSES ?

    Mais ce sont les propos de M. Brice Laurent qui doivent nous interpeller. En voici le florilège, avec le contexte :

    « Il y a beaucoup de controverses, et peu d’expériences concrètes pour les trancher [les bénéfices et les risques] ».

    C'est vrai pour les controverses. Comment pourrait-il en être autrement ? La question des NGT est un juteux fond de commerce pour les lobbyistes du rejet de la génétique moderne, ainsi que pour certaines mouvances politiques.

    « "Il s’agit d’un vrai débat de société : à qui les NGT profiteront-ils ?", s’interroge Brice Laurent. Parmi les gagnants les plus évidents figurent les semenciers, très actifs sur ce dossier à Paris comme à Bruxelles. »

    Il est sans doute trop compliqué de comprendre que si les semenciers devaient être les (grands) gagnants, il faudrait que l'aval – les agriculteurs, l'industrie agroalimentaire, les distributeurs et in fine les consommateurs – y trouvent aussi leur compte. On est là au niveau zéro (mais hélas efficace) du lobbyisme anti-OGM et maintenant anti-NGT.

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  43. Il en va de même pour l'argument suivant :

    « "La propriété intellectuelle pourrait entraîner des logiques de concentration, avec certains produits qui deviendraient dominants et qui empêcheraient des acteurs de rentrer sur le marché", prévient Brice Laurent.

    En réalité, le système juridique, notamment de propriété intellectuelle et le droit de la concurrence, est parfaitement outillé pour répondre à ce genre d'hypothèse, du reste fort irréaliste.

    Terminons tout de même ce florilège sur une note plus positive :

    « "La question se pose non seulement des règles nécessaires pour assurer la coexistence entre culture NGT et non NGT, mais également du coût de cette coexistence, et des acteurs qui le supporteront", note Brice Laurent, de l’Anses.

    Non, la question des règles ne se pose plus : elles ont été établies en relation avec les « vrais » OGM.

    Oui, le coût est une véritable question, dans un cadre sans doute plus large que ce qui est envisagé par les détracteurs des NGT, leurs alliés et... leurs idiots utiles.

    Ce qui est en jeu est en effet, d'une part, la possibilité de déployer des variétés issues de NGT et, d'autre part, le coût d'un tel déploiement.

    Ainsi, les contraintes matérielles et économiques d'un système imposant des filières séparées peut signifier la mort d'un progrès génétique profitable sur le plan agronomique, économique, environnemental, nutritionnel et social.

    Il s'agit d'un coût que l'on veut mettre à la charge de l'agriculture majoritairement pratiquée, « conventionnelle », celle qui nous nourrit et alimente des marchés d'exportation qui contribuent à notre position géostratégique dans un monde (re-)devenu dangereux et à notre balance commerciale.

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  44. Le consentement à payer

    Et pour terminer cet article, un morceau de bravoure stupéfiant, qui implique encore l'ANSES :

    « Une méta-analyse de 2005 a montré que la méfiance pour les OGM se traduit statistiquement par un consentement à payer inférieur de 30 % environ par rapport aux produits conventionnels. Les produits NGT, analyse l’Anses, "ne pourraient donc entrer sur le marché qu’à un prix inférieur", incarnant une nouvelle catégorie d’aliments à bas coût. »

    Une méta-analyse vieille de 19 ans ? Sur de « vrais » OGM, sans autre précision sur leur nature ? Sur la base d'études diverses, dont certaines fondées sur des cas tout à fait hypothétiques, et des études sur des cas présentant ou non un avantage tangible pour le consommateur ? Pépouze une inférence sur ce qu'il adviendrait des produits issus de variétés NGT ?

    Et pour finir – là on s'adresse au journaliste – une appréciation peu flatteuse de produits qui seraient à coût moindre pour le consommateur.

    Si l'étude de Jason Lusk et al. articule bien un chiffre de quelque 30 % – le supplément que les gens seraient prêts à payer pour du non-GM (en moyenne avec une variabilité importante) – elle est bien plus nuancée. En voici le résumé (découpé) :

    « Ces dernières années, une multitude de recherches ont été consacrées à l'estimation de la demande des consommateurs pour les aliments génétiquement modifiés, un élément d'information important pour élaborer une politique publique appropriée. Pour examiner ce corpus de travaux, une méta-analyse a été réalisée sur 25 études qui, dans l'ensemble, font état de 57 évaluations pour les aliments génétiquement modifiés.

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  45. Les résultats indiquent que 89 % de la variation des estimations existantes de la valeur des aliments génétiquement modifiés peut être expliquée par un modèle économétrique qui contrôle (a) les caractéristiques de l'échantillon de consommateurs étudiés, (b) la méthode d'évaluation des consommateurs et © les caractéristiques de l'aliment évalué.

    Chacun de ces facteurs a un effet statistiquement significatif sur les primes estimées pour les aliments non génétiquement modifiés.

    Les résultats de cette étude résument efficacement la littérature existante sur la demande des consommateurs pour les aliments génétiquement modifiés et permettent de créer quelques faits stylisés qui ne dépendent pas des résultats d'une étude particulière. Cette étude illustre également l'effet des choix méthodologiques sur les estimations d'évaluation et présente un modèle qui permet aux chercheurs et aux décideurs politiques de générer rapidement des mesures d'évaluation à utiliser dans les analyses de marketing ou de coûts/bénéfices. »

    Quo vadis ?

    Quo vadis, Alternatives économiques ?

    https://seppi.over-blog.com/2024/04/alternatives-economiques-et-nouveaux-ogm-ne-pas-en-avoir-ou.n-en-avoir-pas.et-quo-vadis-anses.html

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  46. Bayer envisage de recourir à la faillite aux USA pour faire face aux poursuites contre le Roundup


    27 Avril 2024
    AGDAILY Reporters*


    Ma note : L'article d'origine a été publié le 18 mars 2024. Je n'ai rien vu d'autre sur le sujet depuis (mais je n'ai pas cherché...).

    Bien qu'ayant déboursé des milliards en accords de règlement pour le Roundup, Bayer et Monsanto restent empêtrés dans des milliers de procès liés au Roundup. Une décision d'une cour d'appel des États-Unis datant de février 2024 a décrété que les fabricants devaient continuer à faire face à ces actions en justice, malgré les affirmations de Bayer et de Monsanto selon lesquelles les lois fédérales sur les insecticides les protégeaient contre les plaintes pour défaut de mise en garde.

    Selon un rapport de Bloomberg, Bayer AG est en train de décider s'il faut recourir au « Texas Two-Step », une manœuvre juridique controversée qui forcerait le règlement de toute plainte actuelle ou future par le biais du système de faillite américain.

    Bien que l'entreprise ait gagné plus de procès qu'elle n'en a perdu au cours des quatre derniers mois, les verdicts des jurys concernant le Roundup se sont élevés à environ 4 milliards de dollars.

    En réponse à une série de verdicts coûteux rendus par des jurys concernant l'herbicide, les dirigeants de Bayer seraient en train de demander conseil à des cabinets d'avocats et à des conseillers pour persuader un juge des faillites de suspendre les procès à venir cette année. Selon des personnes au fait du dossier, mais qui ont préféré garder l'anonymat en raison de sa nature confidentielle, l'objectif est de négocier un règlement pour plus de 50.000 affaires.

    Cette tactique juridique tire son nom d'une loi de l'État du Texas qui permet à une entreprise de gérer des procès de masse en se divisant en deux et en chargeant une entité commerciale de ses actifs tout en chargeant une autre de ses responsabilités juridiques ou financières.

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  47. En 2021, Johnson & Johnson a tenté, sans succès, de se défaire de sa responsabilité en utilisant le Texas Two-Step dans le cadre de procès concernant la poudre de talc. La société 3M a également essayé d'utiliser cette stratégie l'année dernière lors d'un procès intenté par des vétérans contre les allégations de bouchons d'oreille défectueux de la société.

    « Étant donné les décisions récentes sur les faillites en deux étapes au Texas, je suis presque sûr que Bayer sait qu'il s'agit d'une tentative de règlement à long terme », a déclaré à Bloomberg M. Bruce Markell, un ancien juge fédéral des faillites qui enseigne maintenant le droit à l'Université Northwestern. « Mais ils ont peut-être l'impression de ne pas avoir d'autre choix. »

    Alors qu'elle est confrontée à des dizaines de milliers de poursuites judiciaires, Bayer a tenté de consolider les litiges par le biais d'un programme de règlement en 2021. Toutefois, un juge fédéral a rejeté les efforts de l'entreprise.

    Bayer a perdu environ 70 % de sa valeur marchande depuis son acquisition de Monsanto, dont elle a hérité le Roundup, en 2018, pour un montant de 63 milliards de dollars.
    _____________

    * Source : Bayer considers bankruptcy maneuver to address Roundup lawsuits (agdaily.com)

    https://seppi.over-blog.com/2024/04/bayer-envisage-de-recourir-a-la-faillite-aux-usa-pour-faire-face-aux-poursuites-contre-le-roundup.html

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    1. Comment désherber un champs envahi d'herbes ? Sans le Round'Up qui sélectionne les mauvaises herbes, il n'y a pas d'alternative !
      Passer le griffon, les disques ou le rotavator ne font qu'enfouir les graines des mauvaises herbes qui réapparaissent quelques semaines plus tard !
      Alors... que va t-il se passer ?

      Si vous semez du blé, l'herbe qui pousse dans ce même champs va interdire la moisson, car les moissonneuses-batteuses ramassent tout sans distinction !
      Et, si dans les grains de blé moissonnés se retrouvent des graines d'autres plantes: point de farine et donc point de pain !

      (dans l'ancien temps, les moissons se faisaient à la faux et les blés mis à part avant d'être piétinés pour en extraire les grains, puis passés aux moulins pour en extraire la farine). Vous vous imaginez-vous aujourd'hui au devoir de faucher des centaines ou milliers d'hectares de blé ??! Imaginez le personnel de millions de personnes la faux à la main !!
      (quoique, vu le nombre de chômeurs bon à rien...). La baguette de pain passerait allégrement à 20 euros ! (ou plus !).

      Pourquoi devoir épurer les farines ? Parce que elles contiendraient des graines de plantes urticantes voire contenant des poisons ! Et c'est pour çà qu'existe le Round'Up.

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  48. Le plus grand champ gazier d’Europe à Groningen, aux Pays-Bas, ARRÊTE en raison de craintes de tremblement de terre (du moins c’est ce qu’on dit)


    26/04/2024
    Ethan Huff


    Une autre centrale énergétique a mordu la poussière après que les autorités, en l'occurrence aux Pays-Bas, aient décidé que la poursuite des forages gaziers créait un risque sismique trop important dans toute la région.

    Le champ gazier de Groningen est officiellement fermé, ceci après que des modifications ont été apportées en octobre dernier pour réduire sa capacité de forage. Le champ gazier de Groningen ne produira plus de gaz car, selon les autorités, cela pourrait provoquer des tremblements de terre.

    Au fil des années, des milliers de structures proches de Groningen ont été endommagées par des secousses sismiques, un peu comme celles qui se produisent désormais régulièrement dans l'Oklahoma et dans l'enclave du Texas en raison de la fracturation hydraulique, également connue sous le nom de fracturation hydraulique.

    Les 11 puits de pétrole de Groningen resteront ouverts au cas où les Pays-Bas connaîtraient un hiver rigoureux ou d’autres circonstances atténuantes, comme la guerre en Ukraine, qui nécessiterait une production d’énergie d’urgence.

    (Connexe : Vous vous souvenez du début de l'année 2023, lorsque le maire de La Haye avait menacé de violence les agriculteurs néerlandais qui protestaient s'ils refusaient d'arrêter leurs caravanes de tracteurs et leurs blocus ?)

    Les responsables locaux fulminent contre la fermeture du champ pétrolier de Groningue – s’agit-il VRAIMENT d’arrêter les tremblements de terre ?
    Juste avant la fermeture du champ pétrolier de Groningue, le Sénat néerlandais a approuvé une nouvelle loi visant à le fermer définitivement, dans l'espoir qu'il n'y ait plus jamais de tremblements de terre dans la région.

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  49. Le projet prévoyait en fait de fermer le champ pétrolier il y a quelques semaines, mais le vote a été retardé en raison d'inquiétudes soulevées quant à la viabilité à long terme de la capacité de production d'énergie des Pays-Bas.

    La connaissance humaine est attaquée ! Les gouvernements et les grandes entreprises recourent à la censure pour anéantir la base de connaissances de l’humanité sur la nutrition, les herbes, l’autonomie, l’immunité naturelle, la production alimentaire, la préparation et bien plus encore. Nous préservons les connaissances humaines grâce à la technologie de l’IA tout en construisant l’infrastructure de la liberté humaine. Utilisez notre plateforme de liberté d'expression décentralisée, basée sur la blockchain et non censurable sur Brighteon.io. Explorez nos outils d'IA générative téléchargeables gratuitement sur Brighteon.AI. Soutenez nos efforts pour construire l’infrastructure de la liberté humaine en achetant sur HealthRangerStore.com, proposant des aliments et des solutions nutritionnelles testés en laboratoire et certifiés biologiques, sans OGM.

    Il semblerait tout à fait insensé, dans un moment comme celui-ci, que les Pays-Bas arrêtent de produire leur propre énergie terrestre, d’autant plus que l’inflation énergétique continue d’augmenter dans de nombreuses régions d’Europe.

    Tout le monde n'est pas satisfait de la décision, y compris les responsables du gouvernement local de la province du nord, qui affirment que l'économie néerlandaise souffrira considérablement de la fermeture.

    Ouvert initialement en 1963, le champ pétrolifère de Groningue est le plus grand d'Europe. Pendant des décennies, elle a été un contributeur majeur à l’économie néerlandaise, produisant plus de 50 milliards de mètres cubes de gaz à son apogée il y a environ dix ans.

    Depuis 1986, cependant, plus de 1 600 tremblements de terre ont été enregistrés dans et autour du champ gazier. Environ 85 000 bâtiments ont été endommagés par ces séismes, mais rien ne garantit que les séismes s'arrêteront simplement parce que le pétrole n'est plus exploité.

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  50. L'industrie pétrolière, dont Shell et Exxon, a recours à l'arbitrage judiciaire pour déterminer si une compensation est due ou non pour cette fermeture soudaine.

    Depuis l’ouverture du champ pétrolier de Groningen, les Pays-Bas en ont tiré profit à hauteur de 385 milliards de dollars. Sa fermeture signifie une baisse du produit intérieur brut (PIB) pour ce pays d’Europe occidentale.

    Avant l'invasion de l'Ukraine par la Russie, lorsque les gisements de pétrole étaient encore pleinement opérationnels, les Pays-Bas devaient encore importer environ 25 % de leur gaz de Russie. Aujourd’hui, ce chiffre est tombé à moins de neuf pour cent.

    Couplé à la fermeture du champ pétrolier de Groningen, l’approvisionnement énergétique des Pays-Bas est désormais à des niveaux lamentablement bas.

    "Cela vise uniquement à paralyser l'Europe en lui coupant l'approvisionnement en carburant", a écrit un intervenant, décrivant la fermeture comme une arnaque massive. "Les tremblements de terre et le climat n'ont rien à voir là-dedans."

    "L'UE s'effondre", écrit un autre. "Si vous fréquentez des salauds de meurtriers et de voleurs et que vous leur permettez de vous saboter sans rien faire, vous échouerez – qui savait ?"

    Les pouvoirs en place utilisent toutes les excuses possibles pour arrêter la production de carburants terrestres fiables, abondants et abordables, comme le gaz naturel et le pétrole. Apprenez-en davantage sur GreenTyranny.news.

    Les sources de cet article incluent :

    RT.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2024-04-26-europe-largest-gas-field-groningen-shuts-down.html

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  51. Ford a perdu 1,3 milliard de dollars sur un trimestre, soit une perte de 132 000 dollars sur chaque véhicule électrique vendu


    Par Jo Nova
    April 27th, 2024


    Vous vous souvenez de l'époque où Ford perdait 38 000 $ sur chaque véhicule électrique ? C'étaient les bons jours
    La plus grande star du monde automobile à l’heure actuelle est un trou noir qui engloutit des géants industriels entiers. Il est difficile d’imaginer un moyen plus rapide de saboter des nations entières que de déguiser vos espions en universitaires et écologistes. Ensuite, demandez-leur de convaincre le gouvernement de créer un tout nouveau marché dans un domaine hautement technologique d’un simple coup de baguette légiféré.

    Ces chiffres sont astronomiques :

    Ford vient de déclarer une perte massive sur chaque véhicule électrique vendu
    Par Chris Isodore, CNN : La division véhicules électriques de Ford a annoncé que ses pertes ont grimpé au premier trimestre pour atteindre 1,3 milliard de dollars, soit 132 000 dollars pour chacun des 10 000 véhicules vendus au cours des trois premiers mois de l'année, contribuant ainsi à peser sur les bénéfices de l'entreprise dans son ensemble. .

    Ford, comme la plupart des constructeurs automobiles, a annoncé son intention de passer des véhicules traditionnels à essence aux véhicules électriques dans les années à venir. Mais c’est le seul constructeur automobile traditionnel à publier les résultats de ses ventes au détail de véhicules électriques.

    Logo FordNous ne pouvons que nous demander ce qui se passe dans les autres entreprises.

    L'unité EV de Ford a vendu 10 000 voitures au premier trimestre de cette année, soit 20 % de voitures de moins qu'il y a un an. C'est si mauvais. En fait, c'est pire. Ces voitures étaient également à prix réduit. Ainsi, les revenus ont largement dépassé l’horizon des événements – et ont chuté de façon étonnante de 84 %.

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  52. Ford s'attend à des pertes de l'ordre de 5 milliards de dollars pour l'ensemble de l'année. Leurs objectifs sont désormais si modestes qu’ils espèrent juste un jour vendre les voitures à un prix suffisant pour couvrir peut-être le coût de leur fabrication. Ils ne peuvent pas espérer couvrir les millions dépensés en R&D dans un avenir proche. En effet, même couvrir les coûts dans un marché où règne une guerre des prix est considéré comme « très difficile ».

    Pendant ce temps, deux jours plus tôt, le chef de l’AIE avait déclaré que la révolution des véhicules électriques se déroulait très bien :
    Les lecteurs de CNN doivent être confus.

    La révolution de la voiture électrique est en bonne voie, selon l'AIE
    [CNN] Les ventes mondiales de véhicules électriques devraient augmenter de plus d'un cinquième pour atteindre 17 millions cette année, propulsés par des conducteurs en Chine, selon l'Agence internationale de l'énergie.

    Dans un rapport publié mardi, l’AIE prévoit que la « demande croissante » de véhicules électriques au cours de la prochaine décennie devrait « remodeler l’industrie automobile mondiale et réduire considérablement la consommation de pétrole pour le transport routier ».

    Le marché mondial des véhicules électriques est donc alimenté par des « conducteurs en Chine », comme peut-être ces conducteurs qui ont laissé pourrir leur tout nouveau véhicule électrique dans les champs en Chine. Ce seraient des pilotes imaginaires ?

    Chine, les véhicules électriques laissés pourrir.
    Les véhicules électriques chinois pourrissent dans un champ

    La propagande ne s'arrête jamais.

    Comme l'a déclaré Stephen Wilmot dans le Wall Street Journal l'année dernière, si Ford se contentait de mettre en conserve l'unité EV, son bénéfice d'exploitation ajusté serait 50 % plus élevé. Cela fait sûrement signe…

    Chapeau à Marc Morano @ClimateDepot

    https://joannenova.com.au/2024/04/ford-lost-1-3-billion-in-a-quarter-a-loss-of-132000-on-every-ev-sold/

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  53. Vidéo : Décrypter le sabotage du pipeline Nord Stream. Larry Johnson Briefing du CSNU


    Par Larry Johnson
    Recherche mondiale,
    28 avril 2024


    S'exprimant au Conseil de sécurité des Nations Unies ; Larry Johnson , un vétéran chevronné de la CIA et du Département d'État, décortique le sabotage du pipeline Nord Stream.

    Avec des enjeux plus élevés que jamais dans la politique mondiale, Johnson apporte son expertise en matière de renseignement, de lutte contre le terrorisme et d’enquêtes financières pour résoudre ce dilemme politiquement chargé.

    Alors que nous naviguons dans les eaux troubles des relations internationales, ses idées éclairent la nécessité d’une enquête globale et transparente menée par le Conseil de sécurité des Nations Unies, s’appuyant sur l’héritage de la quête de paix du président Truman.

    Dans un récit aussi captivant qu’éclairant, Johnson rassemble les fils logistiques et stratégiques derrière l’attaque du Nord Stream. Son appel en faveur d’une chaîne de preuves intacte et son expertise en criminalistique financière soulignent l’importance de démêler cet écheveau complexe pour maintenir l’équilibre délicat des relations internationales.

    En examinant la réponse des pays de l’OTAN et en mettant en parallèle des événements historiques comme l’attentat de la Pan Am 103, notre discussion élève le débat sur la dynamique de sécurité mondiale et la quête de la vérité à une époque d’incertitude.

    Rejoignez-nous pour une session qui non seulement éclaire, mais transmet également la gravité du leadership face à l'adversité.

    https://www.globalresearch.ca/video-larry-johnson-unsc-nord-stream-pipeline-sabotage/5855860

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  54. ENCORE 1 ARTICLE CENSURÉ ! (60 - 1 = 59)

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