le 04 avril 2024 - 11:03
Le président du Botswana propose aux Allemands de leur envoyer 20 000 éléphants afin de constater les dégâts qu'ils peuvent provoquer.
C’est une situation embarrassante dans laquelle se place l’Allemagne. Le ministère de l’Environnement du pays, dirigé par des écologistes, a offensé le président du Botswana, Mokgweetsi Masisi. Ce dernier propose alors aux Allemands de vivre à la place des Botswanais en leur envoyant 20 000 éléphants afin de constater quels dégâts cela peut provoquer au quotidien.
Tout ceci débute avec la critique allemande concernant la chasse aux pachydermes et l’envoi de trophées de chasse que pratique le pays d’Afrique australe. Ce dernier aspect peut questionner lorsque nous savons que le pays est le plus gros importateur de trophées de chasse de l’Union européenne. Cette déclaration de lutte contre le braconnage est alors mal reçue par le président Mokgweetsi Masisi.
Le dirigeant du Botswana réagit alors en estimant que les Allemands doivent « vivre avec les animaux comme ils essayent de nous le dicter ». Dans un article publié mardi 2 avril dans le quotidien allemand Bild, celui-ci précise que « ce n’est pas une blague » et qu’il « n’accepterait pas de refus ».
Ce pays enclavé d’Afrique australe de 2,6 millions d’habitants cohabite avec la plus importante population d’éléphants au monde, soit 130 000 pachydermes, rendant la cohabitation complexe. En effet, des attaques ne sont pas rares contre les humains, mais aussi les cultures et les villages.
Le ministère de l’Environnement allemand critique quant à lui les nombreux trophées de chasse importés par de riches clients occidentaux et souhaite agir pour limiter ces importations issues du braconnage.
Une porte-parole du ministère s’exprime auprès de l’Agence France-Presse (AFP) afin d’éclairer ceci. « Au sein de l’UE, nous menons des discussions dans le but d’étendre l’exigence de permis d’importation (…) à d’autres trophées de chasses d’animaux protégés ». Elle reconnait cependant la « responsabilité particulière » que détient son pays à ce sujet, l’Allemagne étant l’un des plus grands importateurs de trophées de chasse de l’UE.
Le « cadeau » du président botswanais n’a pas donné de suites particulières pour le moment, le ministère de l’Environnement précisant que le « Botswana n’avait pas encore pris contact ».
Selon le site de la WWF France, la population d’éléphants reste critique. « Sur le continent africain, l’espèce compte aujourd’hui environ 415 000 individus (contre 3 à 5 millions au début du XXème siècle) ».
Cependant, Gaborone a tout de même tenu à lever en 2019, l’interdiction totale de la chasse sur le territoire instaurée cinq années auparavant, dans le but d’enrayer le déclin des populations de pachydermes. Il s’agissait alors de privilégier l’importante source de revenus locaux que représente une telle chasse commerciale.
Cette levée s’est faite malgré la colère qu’elle a suscitée du côté des défenseurs de l’environnement. Le pays a malgré tout fixé un quota d’animaux qui peuvent être chassés En 2023, le pays a offert 8 000 éléphants à l’Angola, et 500 au Mozambique l’année précédente. Preuve en est que ce cadeau aux Allemands peut devenir concret. La question économique peut cependant freiner quelques volontés, l’envoi d’une telle cargaison pouvant se révéler couteuse.
En Afrique les éléphants font des dégâts considérables dans les cultures comme en Europe envahie de sangliers très dangereux et qui sont tués toutes les nuits par la circulation automobile.
RépondreSupprimerPas de « mégabassines »... mais des castors...
RépondreSupprimer5 Avril 2024
Glané sur la toile 990
Le Huffington Post a publié un article qu'on peut trouver plaisant, « Mégabassines à Sainte-Soline : et si les castors étaient la solution pour stocker l’eau au profit des agriculteurs ? » de M. Clément Giuliano.
C'est illustré sur X (ex-Twitter) par une... loutre !
Le titre utilise fort prudemment la forme interrogative...
Extrait :
« Dans un continent où l’existence du castor n’a pas été frappée d’amnésie, « les hydrologues ont compris qu’il était possible de s’appuyer sur une espèce qui a 8 millions d’années d’expérience », poursuit Suzanne Husky. De là à imaginer le recours au castor comme alternative aux mégabassines en France ? C’est le parallèle fait par l’artiste dans plusieurs œuvres,[...]
Comparer un réservoir de plus de 628 000 m3 d’eau – dans le cas de la bassine de Sainte-Soline – et les modestes barrages de castors paraît un brin provocateur. "Ce ne l’est pas tant que ça !", répond Rémi Luglia, président de la Société nationale pour la protection de la nature (SNPN) et fervent soutien des castors. "Cela renvoie au modèle que nous voulons : un modèle agricole productiviste dans lequel on pilote l’eau en essayant de la pomper ou de la stocker, ou un système vivant qui s’appuie sur les fonctions écosystémiques de la nature. Dans ce modèle-là, le castor fait partie de la solution", explique au HuffPost l’historien, qui publiera prochainement le livre Vivre en castor aux éditions Quæ. »
Soyons sérieux ! Un système de production agricole dépendant de l'activité – du bon vouloir et de la discipline – des castors ?
- voir post sur site -
https://seppi.over-blog.com/2024/04/pas-de-megabassines.mais-des-castors.html
Les races anciennes – une option pour réussir en élevage – Partie 5 de la perspective micro
RépondreSupprimer5 avril 2024
par Andrea Drescher
Avec des races anciennes ou très robustes, certains agriculteurs de mon village sont, au moins superficiellement, capables de gérer leur exploitation de manière judicieuse. Les contrôleurs financiers ne sont certainement pas satisfaits des chiffres, mais ce n'est pas l'objectif des agriculteurs.
Autrefois, chaque ferme élevait 2 à 3 cochons. Nourris à la main, les déchets de cuisine étaient entre autres éliminés et abattus pour notre propre usage. Mais cela appartient désormais au passé. A cette époque, le porc était encore largement utilisé dans son ensemble. La graisse était utilisée pour fabriquer des onguents, la tête de porc et d'autres ingrédients étaient transformés en saucisses de foie et les déchets d'abattoir étaient donnés aux chiens et aux chats de la ferme. Aujourd’hui, alors que l’abattage national est de facto rendu impossible grâce au « bien-être animal » et aux lois alimentaires grâce à l’UE et aux organisations en aval, les restes inutilisables sont brûlés dans le centre de recyclage des animaux. Je me demande s’il s’agit d’une manière plus reconnaissante de traiter les animaux.
Porc et bœuf exotiques
Aujourd’hui, comme on m’a dit, l’élevage porcin ne fonctionne qu’en grande quantité car les prix que l’on peut obtenir sur le marché sont trop bas. Lors d'une conversation avec un agriculteur biologique qui élève des porcs et des bovins en plein air, j'ai découvert que cela est principalement vrai pour l'élevage porcin conventionnel. Il travaille à plein temps à la ferme, sa femme travaille à l'extérieur.
Ce sont des agriculteurs passionnés qui ont repris il y a huit ans l'exploitation agricole qui servait d'engraissement et vendait également des céréales et du foin en complément. La génération actuelle y vit avec un fort désir d’autonomie la plus grande possible – une façon de penser qui ne m’est pas totalement étrangère. Grâce à leur propre bois, à leur installation photovoltaïque et à leur stockage par batterie, ils ont également atteint un certain niveau d'autosuffisance énergétique : seul le diesel pour le tracteur constitue un facteur de coût. Le fils apporte également son aide : ses compétences de technicien en machines agricoles augmentent l'autonomie et contribuent à réduire les coûts.
L'exploitation a été cédée en grande partie sans dettes ; seuls des investissements raisonnables étaient nécessaires pour passer à l'agriculture en liberté, de sorte que quitter son emploi et reprendre son activité à plein temps était possible pour l'agriculteur avec un risque gérable.
Les bovins et les porcs qui y sont élevés aujourd'hui sont de races anciennes - et les porcs en particulier étonnent tous les promeneurs lorsqu'ils les voient pour la première fois. Les animaux robustes sont au pâturage toute l'année. Le cochon de campagne souabe-hallien est particulièrement impressionnant, mais le Duroc a aussi une apparence impressionnante. Notre sol est également parfaitement adapté à ces races, comme me l'a confirmé l'agriculteur.
Les quatre truies reproductrices donnent naissance à 80 porcelets par an. L'agriculteur en abat lui-même 6 à 7, 2 pour son propre usage et le reste pour sa clientèle locale. Le reste est vendu à d'autres agriculteurs qui travaillent avec les mêmes exigences que lui : les animaux doivent vivre dehors et ne pas avoir à aller à l'abattoir. Il en va de même pour ses 14 vaches mères : la progéniture n'est vendue à l'engraissement qu'à des agriculteurs qui partagent ses valeurs et commercialisent directement les animaux.
RépondreSupprimerIl cultive 22 hectares de terres pour produire du fourrage, dont environ 20 % sont des terres louées. En matière d'alimentation, il vise également à produire lui-même le plus possible et, en plus de l'économie circulaire, à produire le moins de déchets possible.
Tant que l’autosuffisance est assurée, le rendement financier ne joue pas pour lui un rôle primordial. En revanche, la satisfaction d’être son propre patron est très importante. En tant que propre patron, il a pu réagir rapidement à la baisse de la demande pour des raisons économiques et réduire le nombre de truies reproductrices de 7 à 4.
Les prix du marketing direct sont plus élevés que ceux du porc provenant du supermarché, où beaucoup plus de porcs sont « produits » dans un espace très réduit. Les règles concernant l'espace requis dans l'élevage porcin montrent plus que clairement l'absurdité de l'ensemble. Alors que 14 porcs sont autorisés par hectare et par an en extérieur, un porc à l'engrais peut être élevé dans les écuries par 0,7 m² (!). Le bien-être animal semble ici jouer un rôle secondaire : c'est la pollution azotée qui conduit à de telles règles.
Mais c'est exactement ce qui préoccupe mon interlocuteur. Les vaches disposent d'une stabulation libre et sont autorisées à sortir au pâturage dès que le sol est stable. Cependant, l’élevage en liberté présente également un inconvénient qu’il ne faut pas sous-estimer. Depuis la reprise de l'exploitation et le changement, il ne peut plus partir en vacances. Les animaux doivent être soignés 365 jours par an. Pour partir en vacances, il faut un représentant, ce qui n'est pas totalement sans risque avec les gros animaux - une raison pour laquelle de nombreux agriculteurs plus âgés préfèrent les garder attachés. Une vache « folle » peut être très dangereuse ; les soignants extérieurs ne sont pas vraiment une option.
La vente directe est un critère crucial pour le succès de l'exploitation. Il ne veut pas travailler avec le commerce, qui n'accepte que les porcs vaccinés et dicte également les prix. Mon interlocuteur préfère les animaux non vaccinés et une tarification indépendante. Il peut se permettre cette indépendance car il dispose de son propre flux, d'une clientèle satisfaite et - Internet le permet - d'un réseau de plus de 200 agriculteurs biologiques qui échangent des idées entre eux et développent des stratégies et des concepts communs.
RépondreSupprimerIl utilise également ses propres semences ou coopère avec d'autres à cet égard et ne dépend donc pas des structures normales des associations agricoles. Même si, comme il me le confirme une fois de plus, notre emplacement et la qualité du sol ne sont pas bien adaptés aux céréales alimentaires et que le blé comestible, par exemple, est rarement cultivé ici, la variété des types d'aliments pour ses animaux est convaincante : le triticale, le seigle, les pois de grande culture, l'avoine, l'orge et le sarrasin sont au menu.
Comme beaucoup de mes interlocuteurs, il est convaincu qu’en finançant l’UE, non seulement elle influence l’utilisation des terres, mais elle accroît aussi systématiquement la dépendance des agriculteurs. À l’avenir, la demande multiple – le document « sacré » pour la demande de financement – ne pourra être soumise qu’auprès d’ID Autriche. La numérisation ne peut pas non plus être arrêtée chez les agriculteurs. «Il faut voir comment sortir le plus possible de cette dépendance », a-t-il déclaré clairement. Parce qu’il existe de plus en plus de règles qui entraîneront un changement progressif et qui finiront par priver les agriculteurs de toute liberté. Il existe désormais des zones en jachère, en floraison et diverses où la récolte n'est pas autorisée. L’UE a gracieusement autorisé des exceptions à la réglementation pour les friches industrielles. L'obligation de mettre en jachère 4 pour cent des terres arables peut également être remplie avec des plantes fixatrices d'azote (comme le soja, les pois) ou des cultures dérobées (sans utilisation de pesticides) au lieu des 4 pour cent mis en jachère. En Autriche, l' exception des terres en jachère concerne environ 10 000 hectares. L'agriculture sur trois champs est une bonne pratique agricole depuis des siècles. Ce devrait être à l'agriculteur de décider ce qu'il fait dans ses champs et quand.
Il est convaincu que le comportement d'achat des consommateurs autrichiens contribuerait à résoudre certains problèmes de l'agriculture. Finalement, avec leur achat, ils ont donné à l'agriculteur un « ordre de production ».
Le consommateur décide si cet ordre de production est exécuté dans la ferme biologique autrichienne ou dans l'entrepôt chinois de l'horreur du porc.
RépondreSupprimerGalloways – les vaches heureuses
Les quelque 25 Galloways de notre communauté peuvent vraiment être décrits comme des vaches heureuses. Parce qu’ils vivent en liberté dans les prairies toute l’année et ce pendant un an de plus que leurs homologues « normaux ». Comme le battage sur place n'est plus possible en raison des normes européennes, les deux propriétaires l'accompagnent lorsqu'il se rend chez le boucher et y restent jusqu'à la fin. Un seul animal à la fois monte dans la remorque, est chargé et peut se calmer avant le début du voyage. Le contact avec d'autres animaux abattus est évité, afin que les animaux restent calmes et sans stress jusqu'au dernier moment.
L'exploitation est passée de l'élevage laitier à l'élevage Galloway avec commercialisation directe en 2020. Les dirigeants actuels de l'entreprise - un couple marié - recherchaient une alternative qui pourrait être gérée "à côté", car le travail principal du mari est celui d'entrepreneur. Son épouse est également active dans l'entreprise et s'occupe des enfants. L'élevage laitier prenait trop de temps, vous étiez toujours « à court de temps » et deviez également compter sur l'achat d'aliments concentrés. Afin d’obtenir un rendement suffisant pour notre propre alimentation, l’utilisation de sprays serait nécessaire. Comme les champs se trouvent autour de leur propre ferme, ils ont préféré s’en passer. Les Galloways n'ont pas besoin de nourrir des concentrés.
La première année, nous avons commencé avec deux vaches, mais le troupeau compte désormais 10 vaches allaitantes, un taureau et actuellement 13 animaux à l'engrais. Le travail à la ferme est maintenu dans les limites souhaitées. Le foin est récolté deux fois par an, puis l'ensilage est utilisé pour produire notre propre nourriture pour les mois d'hiver. De plus, il y a l'entretien des prairies, y compris la réparation des clôtures. Comme ils ne cultivent pas eux-mêmes de céréales (les animaux sont nourris en hiver avec du foin et de l'ensilage), ils doivent acheter de la paille. L'écurie en liberté, que les animaux visitent quand ils le souhaitent - notamment en cas de pluie, de neige et de tempête - est nettoyée une fois par semaine en été et trois fois par semaine en hiver.
La viande est vendue uniquement par marketing direct à une clientèle fixe, constituée grâce au bouche à oreille. En cas de massacre imminent, les clients venant de notre village et des environs sont contactés par téléphone et leur demandent s'ils sont intéressés par une précommande. Une fois la viande déposée chez le boucher, les paquets de viande - généralement de 5 kg - sont emballés ensemble. Cela signifie que les demandes particulières peuvent également être prises en compte dans certaines limites. L'agriculteur s'occupe ensuite lui-même de la livraison aux clients, puis de la facturation, bien entendu via l'informatique. D'ailleurs, mon chien est toujours content des déchets d'abattoir qui ne sont pas éliminés via le recyclage animal. Ils vendent au total 8 à 9 animaux par an, dont 3 à 4 jeunes sont également vendus à d'autres exploitations. Selon l'agricultrice, cela signifie pour elle environ 4 à 5 semaines de stress par an, une période gérable.
RépondreSupprimerAucune autre forme que la vente directe n'est possible pour cette race. Ils grandissent beaucoup plus lentement que les autres races et mettent donc plus de temps à être prêts à être abattus. Les Galloways sont globalement plus petits, n'ont pas de cornes et, en raison de leurs mamelles plus petites, ne produisent que suffisamment de lait pour leurs veaux. Comme le commerce n'accepte pas les animaux de plus de deux ans, il y aurait des rabais importants, d'où des ventes directes.
Bien que l’entreprise réponde à toutes les exigences importantes du terme « biologique » du point de vue du bien-être animal, elle a décidé de ne pas utiliser le label biologique. Il y a plusieurs raisons à cela. D'une part, le système de formulaires est trop complexe et, d'autre part, pour obtenir le label biologique, des exigences sont imposées qui, du point de vue de l'agriculteur, ne sont pas pertinentes pour le bien-être des animaux. Pour donner un exemple : pour le « bio », il faudrait que les animaux disposent de deux fois plus d'espace de couchage, même s'ils n'utilisent pas l'espace de l'étable existant car ils sont proches les uns des autres. Nous avons également une expérience pertinente avec d'autres labels de qualité, car les exceptions et les divulgations volontaires ne sont pas aussi rares que nous, consommateurs, aimerions le supposer.
La motivation de faire de l’agriculture parallèlement à votre propre entreprise semble pragmatique. Le terrain (plat) était là, les machines étaient là et ils ne voulaient pas louer le terrain car les champs sont juste à côté de la maison. Les pulvérisations sur les champs pollueraient également le jardin dans lequel est cultivée sa propre nourriture.
De plus, comme pour tout le monde, il existe un niveau d’idéalisme correspondant, car le rendement n’est pas si élevé que vous puissiez en tirer profit. Comme presque tous ceux à qui j'ai parlé, ils ne font même pas de calcul précis du salaire horaire travaillé. J'ai également entendu beaucoup d'incompréhension dans cette entreprise sur le fait qu'il faut payer doublement la sécurité sociale pour un travail à temps partiel et que toutes les subventions ne cessent de diminuer depuis des années. Mais comme la plupart des personnes à qui j’ai parlé, ils aiment toujours être agriculteurs.
RépondreSupprimerDans le prochain article de demain, je présenterai un de nos « grands agriculteurs ». Cela montre également clairement pourquoi le label biologique a beaucoup à voir avec le lavage des yeux et moins avec le bien-être animal.
https://tkp.at/2024/04/05/alte-rassen-eine-option-fuer-den-erfolg-in-der-tierzucht-teil-5-der-mikro-perspektive/
Des scientifiques ougandais conçoivent un fumoir à poissons qui sauve des mariages
RépondreSupprimer5 Avril 2024
Victoria Mbigidde, Alliance pour la Science*
Les pionniers d'un fumoir à poissons conçu pour réduire le risque de cancer et d'autres problèmes de santé affirment qu'il améliore la vie et les moyens de subsistance de centaines de femmes en Ouganda.
Ces femmes, qui dominent l'industrie de transformation du poisson dans le pays, ont souffert pendant des décennies des effets du fumage du poisson à l'aide de fours fabriqués localement. Elles passent des nuits blanches à surveiller leurs poissons pour éviter qu'ils ne soient brûlés ou volés. Le nouveau four a été mis au point par des scientifiques de l'Organisation Nationale de Recherche Agricole de l'Ouganda.
M. John Yawe, un scientifique de l'organisation, a déclaré qu'il avait été mis au point pour réduire les risques de cancer ainsi que le fardeau auquel les femmes sont confrontées lorsqu'elles fument le poisson. « En plus de réduire les agents cancérigènes, il a été conçu en grande partie pour les femmes, car ce sont surtout elles qui sont impliquées dans l'industrie du fumage du poisson », a déclaré M. Yawe.
Élimination de toutes les impuretés
Il a ajouté que le four réduit les impuretés et les éléments cancérigènes, tels que les hydrocarbures aromatiques polycycliques du poisson fumé localement, de 40.000 parties par milliard à deux parties par milliard.
« Les hydrocarbures aromatiques polycycliques sont produits par la combustion du bois, des ordures et du plastique et sont associés à une augmentation des cas de cancer ainsi qu'à une réduction de la fonctionnalité des poumons, à l'asthme et à des maladies pulmonaires et cardiaques », a-t-il déclaré, ajoutant que le four est équipé d'un filtre à fumée qui élimine toutes les impuretés.
Les membres de la Women of Hope Katosi Fish Processing Association font partie des bénéficiaires du four, qui, selon elles, améliore les moyens de subsistance des femmes en rendant le processus plus efficace.
Mme Priscilla Nakato, coprésidente de l'association, a déclaré que cette innovation pourrait transformer de manière significative les opérations de transformation du poisson. « Les femmes avaient l'habitude de fumer le poisson pendant deux ou trois jours, et il se détériorait au bout de deux jours. Avec le nouveau four à poissons, elles fument pendant 12 heures et le poisson dure un mois. »
Les mariages en pâtissaient
Mme Nakato ajoute que les femmes sont fières de faire partie de l'association, car elle leur permet de gagner leur vie, de s'occuper de leur famille et d'éduquer leurs enfants.
Mme Fatuma Nassiwa, membre de l'association, a déclaré que le nouveau four avait amélioré la qualité de vie des femmes. « Depuis que nous utilisons le nouveau four, nous sommes plus tranquilles et moins inquiètes de la sécurité et de la qualité de notre poisson », a-t-elle déclaré.
« Je peux charger le poisson, effectuer d'autres tâches ménagères ou même aller au marché, contrairement à ce qui se passait auparavant, où je restais assise pendant toute la durée de la cuisson, surveillant le poisson pour qu'il ne soit pas brûlé. »
RépondreSupprimerÀ cause de l'odeur nauséabonde du poisson, raconte Mme Nassiwa, les mariages étaient perturbés avant l'arrivée du nouveau four. « Nous avions beau nous laver et imbiber nos vêtements de détergent, la puanteur du poisson restait présente », et elle ajoute : « Nos maris nous abandonnaient pour des femmes plus "propres". »
Les avantages du four
Selon Mme Kamya Simon, coordinatrice du groupe de travail sur les fours à poisson à l'Organisation Nationale de Recherche Agricole, 165 femmes transformatrices de poisson du groupe de travail sur les pisciculteurs de Kaliro ont également bénéficié du four.
Selon Mme Simon, le four a facilité la transformation du poisson pour les femmes et a permis d'étendre leur marché au-delà de l'Ouganda, notamment en République Démocratique du Congo, au Kenya et au Rwanda.
« Cela s'explique par le fait qu'elles peuvent respecter la norme requise pour le marché de l'exportation, à savoir moins de deux parties par milliard, comme le recommandent l'Organisation Mondiale de la Santé et l'Union Européenne », explique Mme Simon. « Leur capital est passé de 84 dollars américains en 2019 à 1.100 dollars américains en 2023. La valeur marchande de leur poisson a également augmenté, passant de 1,4 à 6 dollars par 500 g de poisson. »
Mme Beatrice Bitulikumyoyo, trésorière du groupe de Kaliro, a déclaré qu'elle avait commencé son activité en 2015 avec un étang de poissons. Cependant, le four lui a permis d'augmenter ses revenus suffisamment pour obtenir un deuxième étang et se lancer dans d'autres activités telles que l'élevage de bovins et de porcs.
« Avant d'utiliser le four, nous utilisions des tas et des tas de bois de chauffage, ainsi que des plastiques et des sacs en polyéthylène », explique Mme Bitulikumyoyo. « Aujourd'hui, nous n'utilisons qu'un demi-sac à un sac de charbon de bois pour la même quantité de poisson. »
* Une version de cet article a d'abord été publiée sur SciDev.Net.
RépondreSupprimerVictoria Mbigidde est boursière de l'Alliance pour la Science.
Source : Uganda scientists design fish kiln that is saving marriages - Alliance for Science
https://seppi.over-blog.com/2024/04/des-scientifiques-ougandais-concoivent-un-fumoir-a-poissons-qui-sauve-des-mariages.html
(...) « Avant d'utiliser le four, nous utilisions des tas et des tas de bois de chauffage, ainsi que des plastiques et des sacs en polyéthylène », explique Mme Bitulikumyoyo. (...)
Supprimer!!! Tu m'étonnes !!
Seule en Europe, la presse française refuse de parler du Pfizer gate
RépondreSupprimerle 4 avril 2024
par pgibertie
L’@afpfr ne veut pas reprendre comme ses confrères européens cette information importante sur l’enquête ouverte par le Parquet européen contre la Présidente de la Commission Européenne, Madame Von der Leyen.
- voir docs sur site :
https://pgibertie.com/2024/04/04/seule-en-europe-la-presse-francaise-refuse-de-parler-du-pfizer-gate/
Une monstrueuse organisation criminelle
RépondreSupprimerDes fuites de fichiers sur la « santé transgenre » révèlent des fautes médicales sur des enfants
JOHN LEAKE
APR 04, 2024
Hier, un ami journaliste d'Epoch Times m'a envoyé son article sur les fuites de fichiers de l'Association professionnelle mondiale pour la santé des transgenres, mieux connue sous le nom de WPATH. Les documents et la vidéo divulgués révèlent « une faute médicale généralisée chez les enfants et les adultes vulnérables », selon un rapport de 241 pages rédigé et publié par l’organisation Environmental Progress de Michael Shellenberger.
Ce matin, j'ai lu avec horreur une bonne partie du rapport. Des documents divulgués et une vidéo de WPATH montrent qu'il s'agit d'une monstrueuse organisation criminelle dont les membres devraient tous être emprisonnés pour faute professionnelle médicale grotesque.
Le passage suivant du rapport est particulièrement perfide. J’ai mis en évidence en gras les phrases les plus absurdes. A noter que l'endocrinologue cité s'appelle le Dr Daniel Metzger, dont le nom allemand signifie Boucher.
WPATH sait que les enfants ne comprennent pas les effets de l’hormonothérapie
Les normes de soins 8 de WPATH recommandent aux adolescents qui ont reçu un diagnostic d'« incongruence de genre » d'avoir accès aux bloqueurs de puberté, aux hormones sexuelles croisées et aux interventions chirurgicales, à condition que le jeune « démontre la maturité émotionnelle et cognitive requise pour fournir un consentement/assentiment éclairé. pour le traitement. »
Cependant, dans des séquences vidéo obtenues par Environmental Progress d'un panel interne de WPATH intitulé Identity Evolution Workshop tenu le 6 mai 2022, les membres du panel admettent l'impossibilité d'obtenir un consentement éclairé approprié pour les interventions hormonales de la part de leurs jeunes patients.
Au cours du panel, le Dr Daniel Metzger, un endocrinologue canadien, a discuté des défis rencontrés lorsqu'on tente d'obtenir le consentement des adolescents recherchant ce traitement médical. Metzger a rappelé aux participants que les médecins spécialistes du genre « expliquent souvent ce genre de choses à des gens qui n’ont même pas encore appris la biologie au lycée », ajoutant que même les patients adultes ont souvent très peu de compréhension médicale des effets de ces interventions.
Metzger décrit de jeunes patients essayant de choisir les effets physiques de l'hormonothérapie, certains souhaitant une voix plus grave sans pilosité faciale ou prendre des œstrogènes sans développer de seins. Cela suggère une très mauvaise compréhension du fonctionnement du corps humain et du parcours de traitement de la part des patients adolescents, ce que note l'expert du WPATH. "Il est difficile de choisir les effets que vous souhaitez", a conclu Metzger. "C'est quelque chose que les enfants ne comprendraient normalement pas parce qu'ils n'ont pas encore appris la biologie, mais je pense que beaucoup d'adultes espèrent également pouvoir obtenir X sans obtenir Y, et ce n'est pas toujours possible."
RépondreSupprimerMetzger dit à ses jeunes patients qu’ils ne sont peut-être pas « binaires, mais que les hormones sont binaires ». Il décrit avoir dû expliquer aux enfants et même aux adultes que « vous ne pouvez pas obtenir une voix plus grave sans probablement un peu de barbe » et « vous ne pouvez pas obtenir d’œstrogènes pour vous sentir plus féminin sans un certain développement mammaire ».
Le groupe d’experts s’est accordé sur l’incapacité des enfants à comprendre les effets puissants et bouleversants de l’hormonothérapie qu’ils recherchent. Un autre membre éminent du WPATH, Dianne Berg, psychologue pour enfants et co-auteur du chapitre sur les enfants de SOC8, est intervenu pour dire qu'ils ne s'attendraient pas à ce que les enfants et les jeunes adolescents comprennent les effets du traitement parce que c'est « hors de leur portée ». gamme de développement pour comprendre dans quelle mesure certaines de ces interventions médicales les impactent. L'immaturité de ces patients a été encore davantage démontrée lorsque Berg a déclaré : « Ils diront qu'ils comprennent, mais ensuite ils diront autre chose qui vous fera penser, oh, ils n'ont pas vraiment compris qu'ils allaient avoir des poils sur le visage. »
Pourtant, publiquement, WPATH ne discute jamais de tout cela. Dans les rares occasions où WPATH fait des déclarations publiques, les interventions de modification des traits sexuels sont présentées comme des soins médicaux essentiels, adaptés à l’âge, et toute opposition à de telles interventions est qualifiée de transphobie.
Pour tout adulte raisonnable doté d’un minimum de bon sens, il va de soi que les adolescents ne comprennent PAS les ramifications de ce que proposent ces monstres – c’est-à-dire des changements permanents, défigurants et débilitants dans leur constitution biologique.
Le mot adolescence signifie littéralement « grandir ». C’est une période de changement rapide, souvent déroutante et déstabilisante, au cours de laquelle la conscience de soi et l’image de soi de l’enfant peuvent radicalement changer en moins d’un an.
RépondreSupprimerComment la médecine a-t-elle pu se perdre à ce point ?
Cliquez sur l'image ci-dessous pour lire le spectacle d'horreur complet.
https://petermcculloughmd.substack.com/p/a-monstrous-criminal-organization?utm_source=post-email-title&publication_id=1119676&post_id=143249000&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=false&r=1fkpmf&triedRedirect=true&utm_medium=email
Stratégie et mode de fonctionnement des acteurs globalistes du N.O.M.: L’information falsifiée au service du Nouvel Ordre Mondial
RépondreSupprimerSixième partie
Par Jean-Yves Jézéquel
Mondialisation.ca,
04 avril 2024
L’information falsifiée au service du Nouvel Ordre Mondial
La French American Fondation et toutes les autres organisations étasuniennes attaquent sans arrêt depuis au moins les années 70, l’ensemble des aspects de la culture française sous couvert de « dialogue transatlantique » !
(Cf., L’abandon français, JL Izambert et C Janvier, IS Edition)
La façon de faire est encore une fois sans états d’âme :
Une concentration des medias entre les mains des plus grands groupes financiers,
Une régulation de ces medias par l’organisation d’une dépendance totale aux idéologues mondialistes,
La réduction des sources d’information pour leur contrôle infaillible,
L’interdiction des medias échappant à ce contrôle comme RT France, Sputnik V,
La censure massive par Google, YouTube, FB, … les directeurs de rédaction …
La multiplication des moyens de pression sur les medias,
L’intensification des campagnes dites « anticommunistes » afin de justifier le soutien apporté aux extrémistes néo-nazis…
100 millions de dollars sont consacrés chaque année par le service de presse du Pentagone pour sa propagande contre la Fédération de Russie, via le discours politique, diplomatique, le secteur financier, économique, médiatique et militaire…
Les dirigeants américains ont installé leur réseau de propagande, East Strat Com (ESTF) au sein même du Service Européen d’Action Extérieure (EEAS).
L’ESTF déclare que la désinformation vient toujours de sources pro-Kremlin, que les menaces sont exclusivement russes. Cette institution de contrôle et de surveillance édite un bulletin qu’elle envoie régulièrement aux médias sous contrôle en Occident. Les journalistes ne peuvent pas vérifier ces informations manipulées par le service de la propagande étasunienne au service du Nouvel Ordre Mondial et diffusent cette désinformation à grande échelle…
Les agressés sont qualifiés en Ukraine d’agresseurs et l’opération de police venant au secours des agressés du Donbass est qualifiée d’invasion russe !
RépondreSupprimerLes néo-nazis soutenant le Régime de Kiev sont qualifiés de « défenseurs de la démocratie attaquée par la Russie » !
Robert Wade de la London School of Economics and Political science, disait en mai 2015, après la tuerie du Maïdan en 2014 organisée par la CIA, ayant mobilisé les groupes néo-nazis Ukrainiens pour cette opération de coup d’état, que la guerre en Ukraine était présentée à l’Ouest comme une agression de la part de la Russie. La Russie de Poutine ne pouvait être que l’agresseur des démocraties pacifiques !
L’un des ambassadeurs du régime néo-nazi de Kiev, Piotr Vrublevsky, disait le 21 août 2022 : « …Plus nous tuerons de Russes maintenant, moins nos enfants devront en tuer plus tard ! »
Le génocide de la population russophone d’Ukraine a été planifié par Kiev : tout a été prévu pour tuer les russophones de l’Est du pays, jusqu’à supprimer intégralement les retraites versées aux ouvriers Ukrainiens ayant travaillé toute leur vie pour l’Ukraine. C’est la Fédération de Russie qui assure, aujourd’hui et depuis 2014, le paiement des retraites des Ukrainiens russophones du Donbass !
Washington contrôle le site Internet ukrainien Myrotvorets, hébergé sur le serveur du siège de l’OTAN à Bruxelles, site qui fait de l’appel au meurtre en désignant les personnes à tuer en France et ailleurs : Thierry Mariani, Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon, Eric Denécé, Gilles Parrot et Liseron Boudoul, des syndicalistes et des journalistes (4508) qui osent critiquer le génocide pratiqué par les Ukro-nazis sur la population du Donbass et qui donnent raison à l’intervention de police de la Russie… On connaît le cas de Daria Douguina qui a été tuée à 29 ans, dans sa voiture en août 2022. La liste est impressionnante et c’est l’Occident défenseur de la démocratie et de la liberté qui abrite ces criminels et les protège ! (source réseau informatique: natocdn.net – le centre serveur est NATOHPWS/2,1 – adresse: psb4ukr.nato.int. Adresse IP: 152.152.31.120 en Belgique; Cf., Les destructeurs, op.cit., Pages 112 à 126) Ce sont des gens du SBU qui supervisent ce site conçu pour l’élimination de tous les opposants aux engagements néo-nazis Ukrainiens. Visa et Mastercard permettent de faire des dons à Myrotvorets ! Ce site criminel diffuse les photos et les données personnelles de personnes de tous pays ayant dénoncé la corruption des dirigeants du Régime de Kiev et les crimes odieux commis sur les russophones du Donbass, par le SBU et les groupes néonazis.
Les tueurs de « l’escadron noir » sont protégés par les ambassades de l’US Imperium.
RépondreSupprimerLa SEAL Team 6 et la Force Delta opèrent des assassinats ciblés contre les personnes qui s’opposent aux projets du Nouvel Ordre Mondial via la propagande et les actions orchestrées par l’occident organisateur de la guerre acharnée contre la Russie. (Cf., SEAL Team 6 : Une histoire secrète de meurtres tranquilles et de lignes floues, Mark Mazzetti, Nicholas Kulish,Christopher Drew, Serge F.Kowaleski, Sean D.Naylor, John Ismay, The New York Times, 6 juin 2015)
Les réseaux de l’OTAN sont impliqués dans les opérations de déstabilisation de l’Europe: mai 1968 en France pour abattre la politique souveraine de la France et le Général De Gaulle qui la portait; la Grèce et l’Italie en décembre 1970; l’Espagne en février 1981; la Yougoslavie à partir de 1986; l’Ukraine à partir de 1991; la Biélorussie en 2021, puis toutes les autres provocations contre la Fédération de Russie, notamment la plus spectaculaire: le sabotage des gazoducs du Nord Stream 1 (NS1) et 2 (NS2).
La base militaire de Ramstein en Allemagne dans le district de Rhénanie-Palatinat est le centre de toutes les coordinations des actions militaires de l’US Imperium en Europe. De même la base militaire de l’OTAN à Toulouse en France, engage les Français dans la collaboration avec cet empire du crime international… ( OTAN: Le Centre d’excellence pour l’espace sera implanté à Toulouse, www.stratégika.fr du 6 février 2021. Ce centre à saboter dès que possible, se situe au 18 avenue Edouard Belin, 31401 Toulouse Cedex 4.)
L’Union Européenne avec l’aide de l’OTAN, également à saboter dès que possible, ne fait que jouer le rôle de l’AMGOT (gouvernement militaire allié des territoires occupés) que Washington avait tenté d’imposer aux pays de l’Europe de l’Ouest en 1944/45.
L’Église du Mal ou la Trilatérale et son messianisme : le Nouvel Ordre Mondial
Si le « Bien » ne l’emporte pas dans le monde en laissant une place immense au Mal, c’est parce qu’au niveau individuel, le « Bien » ne l’emporte pas sur le Mal qui se traduit par une psycho pathologie chronique minant le cœur et l’esprit des humains en proie à l’angoisse et aux réflexes défensifs négatifs entraînant avec eux un triomphe de l’égocentrisme, clé du règne de « l’Ombre », du « Double », du « Diabolos », le Mal en soi !
La situation collective est donc aux prises avec le Mal débridé, libéré de sa cage, lâché de son labyrinthe, et a donné concrètement raison à la loi de la haine, des guerres permanentes, des idéologies destructrices comme celle du PNAC promotionnée par celle de l’ultra libéralisme qui est en soi une idéologie fasciste et un néo colonialisme…
RépondreSupprimerPour asseoir davantage les bases de l’US Imperium, les théoriciens du « messianisme » atlantiste (Globalement, les pays de l’Organisation du Traité Atlantique Nord : OTAN) allaient concocter la doctrine du PNAC (PNAC = Plan for a New American Century), qui avait été tout d’abord nommé « Pax Americana », faisant référence aux trois ou quatre siècles les plus sanglants dans l’histoire de l’empire romain placés sous le signe de « la Pax Romana » !
Ce PNAC devait faire des États-Unis la Lumière du monde et « l’axe du bien » qui pourrait imposer ses « valeurs supérieures » au reste de la Terre et régner sur l’Univers pour l’éternité…
Le PNAC imaginé par Paul Wolfowitz, et inspiré par Léo Strauss, provenait donc en ligne directe de la vision sioniste du monde et impliquait les priorités géostratégiques d’Israël qui dans la guerre en Syrie était un partenaire dévoué à la « cause » de DAECH ; Israël étant principalement investie sur le terrain Syrien aux côtés de DAECH, comme dans les soins hospitaliers assurés en Israël (Tel Aviv) en faveur des combattants « djihadistes », tous mercenaires des USA (Cf., les nombreux documents publiés par le renseignement russe sur l’implication de la CIA dans ISIS, EIIL, DAECH, voir bibliographie en fin d’article.)
Paul Wolfowitz, lorsqu’il occupait le poste de sous-secrétaire à la Défense des USA, publiait un document : le « Defense Planning Guidance – DPG » dans lequel il proposait de fusionner les intérêts US avec les intérêts Israéliens.
Il écrivait :
« Notre objectif premier est d’empêcher que n’émerge un nouveau rival sur le territoire de l’Ex-URSS ou ailleurs, qui soit susceptible de représenter une menace du même ordre que celle que représentait jadis l’Union Soviétique ». (16 avril 1992)
Il écrivait encore :
RépondreSupprimer« Les USA doivent être les meneurs incontestés afin d’établir et de pérenniser le ‘Nouvel Ordre Mondial’, capable de convaincre des concurrents potentiels à renoncer à jouer ce rôle ainsi qu’à tout comportement agressif qui prétendrait protéger leurs intérêts ! »
Selon l’idéologie du PNAC, dirigé par un Juif vivant aux États-Unis, Wolfowitz, les USA sont les « gardiens du Monde », les « gardiens de la Morale », les « serviteurs de la Démocratie », les « défenseurs de l’État juif et de ses intérêts », « l’axe du bien ». Le « messianisme juif » n’a pas renoncé à son objectif de domination du monde qui est plus que jamais d’actualité.
Le PNAC dit encore :
« …Nous devons renforcer nos liens avec nos alliés démocratiques et les ‘obliger’ à nous suivre dans notre responsabilité morale … » ! » Nous devons promouvoir par tous les moyens, la cause de la ‘liberté politique’ et ‘économique’ en dehors des USA ! »
« Les USA jouent un rôle unique dans la responsabilité, la préservation et l’extension du Nouvel Ordre Mondial favorable à notre sécurité, à notre prospérité et à nos principes… »
Il faut relire également le « Clean Break » et la publication de Oded Yinon : « Stratégie pour Israël dans les années 80 ».
Tout le Proche et Moyen Orient est recoupé en utilisant les communautés ethniques. Le Général Flynn, ancien patron du DIA (Direction du Renseignement Militaire Américain) confirmait ces informations sur CNN. On retrouve également ces interviews sur You Tube.
L’origine de cette idéologie se trouve chez le grand inspirateur de Paul Wolfowitz (qui a été directement le théoricien du PNAC), inspirateur qui se nomme Léo Strauss, né en 1899 et mort en 1973 aux États-Unis.
La pensée de Strauss a été promue par « l’Institute for Advanced Strategic and Political Studies » (IASPS), créé à Washington et à Jérusalem en 1984. En 1996, l’Institut s’est particulièrement concentré sur l’idéologie de Léo Strauss et en 1997 il a collaboré étroitement avec « l’American Entreprise Institute » qui est à l’origine du « Project for the New American Century » (PNAC).
Qu’est-ce que l’idéologie straussienne ?
Il s’agit d’organiser la gouvernance du monde par l’intermédiaire des « Golems » implantés dans les Gouvernements du monde. Cette gouvernance constitue ce que Léo Strauss a nommé « le Royaume secret ». Son idée c’est qu’il ne doit y avoir aucune loi ni aucune moralité au sein de cette gouvernance qui n’aurait aucun compte à rendre à personne : ni à dieu ni au diable. Car, le « troupeau » humain n’est rien. Il est impératif de « manipuler, de mépriser les masses, de cultiver le racisme », dit dans ses textes Léo Strauss. La totalité de l’histoire humaine, dit encore Strauss, est dérisoire, « une minuscule poussière insignifiante sur la croûte de l’univers » et dont « la naissance coïncide pratiquement avec sa disparition » !
Ce « Royaume secret » doit « utiliser ces manigances pour plier la société à ses seuls intérêts occultes »… Voilà une idéologie du Mal pour le Mal. Même en disant qu’il ne veut rendre de comptes à personne, « ni à dieu ni au diable », il est vrai avec lui-même dans le sens qu’il est, en effet, le serviteur du « Mal », son représentant ou son incarnation directe. Son langage de négation est le langage même du Mal.
RépondreSupprimerC’est cette idéologie straussienne qui inspire les politiques américains à 100% depuis Georges W.Bush. « Le recours à dieu ou à la foi n’est qu’un leurre permettant la manipulation à grande échelle des masses ainsi amenées à approuver des décisions authentiquement amorales ! « Le mensonge devient la « vérité » et le Mal est transformé en « bien », en « légitimité », entraînant l’assentiment des peuples et leur engagement absolument sincère mais odieusement manipulé !
Ce sont les néo-conservateurs, au sein des dirigeants américains, qui sont nourris d’idéologie straussienne. La presque totalité des néo-conservateurs straussiens sont binationaux : ils sont ou citoyens américains et citoyens israéliens, ou citoyens français et citoyens israéliens, ou citoyens britanniques et citoyens israéliens… etc.
Le peuple américain, français ou britannique ne peut évidemment pas être purement et simplement assimilé ou identifié au néo-conservatisme straussien !
Mais il faut bien dire que c’est de cette idéologie que vient le chaos qui installe un désordre mondial pour une hégémonie du « Royaume secret », celui du Nouvel Ordre Mondial dont personne ne saura où se cacheront finalement les profiteurs invisibles, anonymes !
Au Sommet de l’AQUILA, en Italie (8-10 juillet 2009), il a été question d’une monnaie commune mondiale : le « PHÉNIX », (la pièce d’un Phénix, sur laquelle on pourra lire « Unité dans la Diversité », cf., The Economist, janvier 1988, numéro dans lequel on peut voir cette monnaie, à l’époque annoncée pour 2018 ! L’intention est quasi irréprochable !)
En 2015, devait naître coûte que coûte le bloc Euro-Atlantique Unifié, politique, économique et militaire, passant par l’OTAN et le TAFTA/TTIP. Sarkozy avait accéléré ce processus, pour la France, en plaçant officiellement le pays sous le commandement militaire unifié américain de l’OTAN.
Hollande avait dit qu’il reviendrait sur cet engagement : aujourd’hui, sous Macron, il n’en est plus du tout question, pour la simple raison que cette étape fait partie d’un projet dépassant la finalité première de l’OTAN. Le 26 mars 2009, le Parlement Européen avait adopté une résolution, traitant de « L’état des relations transatlantiques après les élections qui ont eu lieu aux États-Unis ».
Le KDNU travaille main dans la main avec le WFM (l’Union des Fédéralistes Européens) ou UEF, et le GBV (Gesellschaft für Bedrohte Völcker), « La Société des Peuples Menacés », l’UFCE (l’Union Fédéraliste des Communautés Ethniques Européennes), l’ONG anglaise « Le 2020 Vision Ltd ».
RépondreSupprimerRichard de Coudenhove-Kalergi dirigeait l’Europa Union, fondée en 1934 à Montreux, en Suisse, pour une Europe unifiée sur le modèle fédéral suisse. En 1938 était fondée la « Fédéral Union » qui est une branche de l’UEF. Il existe donc l’UEF France, l’UEF Italie, l’Europa Union Deutschland… L’UEF est une branche du World Federalist Movement (WFM). Cet Institut européen, l’UEF, travaille pour le Fédéralisme tout en épousant les travaux du WFM qui a des ambitions mondiales.
L’UEF était dirigé par le député européen anglais : Andrew DUFF, il était élu comme « démocrate libéral » ; Cet homme était également membre de l’ECFR, l’European Council on Foreign Relations, (Conseil Européen des Relations Étrangères, créé en 2007), un jumeau européen du CFR des États-Unis, fondé en 1921.
Andrew DUFF faisait également partie de ceux qui ont très activement travaillé à la refondation du Projet Européen après l’échec du référendum Français et hollandais en 2005. Le Traité de Lisbonne a vu le jour grâce à cet homme ultra libéral.
L’Anglais, John KERR était le secrétaire Général chargé de conduire les travaux d’élaboration de la « Constitution Giscard ». Cet homme était patron d’une compagnie pétrolière : la Royal Dutch Shell. Il avait été également Ambassadeur de Grande-Bretagne aux États-Unis. Il faut encore souligner que cette personne était membre du Comité chargé du recrutement des élites dans le cadre des « Bourses d’Études Cecil Rhodes ». Ces détails, qui en disent long, nous permettent de voir très nettement quelle orientation politique domine de manière absolue, la marche de l’Union Européenne.
Tous ces gens, affichant de très bonnes intentions, sont des inconnus pour les peuples. Pourtant ce sont eux les véritables acteurs de notre histoire, ceux qui décident, ceux qui nous « pondent » leur Traité ou Constitution, Projets Européens, Union, et poussent les décideurs à créer, comme, par exemple, à Bruxelles, une nouvelle Institution au sein de la BCE (Banque Centrale Européenne) qui aura pour mission de contrôler toutes les banques européennes de l’Union.
Le laboratoire de Chypre a démontré à ce Pouvoir exorbitant de la Finance Internationale qui dirige en coulisse le sous-marin de la Gouvernance Mondiale, avec quelle rapidité le peuple chypriote a fermé sa gueule, a baissé son pantalon et s’est mis à genoux pour être impitoyablement abusé ! Ce même pouvoir échappant à tout contrôle démocratique, dressant nos politiques à la soumission par le chantage, orchestre énergiquement le concert de la sacro-sainte austérité, au nom d’un sacrifice planétaire imposé aux peuples et proclamé nécessaire à l’équilibre de la balance des paiements !
Ainsi, à la prochaine occasion, c’est-à-dire peu de temps après, ce qui avait été réalisé à Chypre serait à nouveau réalisé en Grèce et dans tous les autres pays européens dès que le système bancaire, saisi par les affres de son addiction, serait en manque de sang frais à vampiriser sur les millions de victimes dressées à leur soumission !
RépondreSupprimerC’est cet Impérialisme Capitaliste Financier qui accomplit l’objectif sacrificiel de la religion monothéiste « révélée » : pour le salut des Hommes, il fallait que ceux-ci soient martyrisés, portent leur croix et terminent ce chemin par une crucifixion en bonne et due forme !
Parmi tous ces acteurs qui décident de notre histoire, il y a la crème du sérail politique, économique et financier du monde atlantiste : les David Rockefeller, président du CFR, de la Chase Manhattan Bank, la Banque Rothschild, les Joseph Retinger, les Belges Etienne Davignon, Vice-président de la Commission Européenne de 1981 à 1985, les Hermann Van Rompuy, son remplaçant, les princes Bernhard (1911-2004), prince allemand naturalisé hollandais, ancien membre de la Reiterkorp SS en 1930, toutes ces huiles du mondialisme, constituent avec bien d’autres, les élites du Club de Bilderberg, appellation qui a été donnée à cette Association pour la Gouvernance Mondiale, à l’hôtel de ce nom, à Oosterbeck en mai 1954, au Pays-Bas, lors de sa première réunion.
Personne n’a jamais demandé son avis aux peuples Européens, concernant ces gens qui vont les diriger !
Van Rompuy avait déclaré, au moment de son entrée dans la Présidence Européenne : « 2009 est aussi la première année de la Gouvernance Mondiale avec l’instauration du G20, en pleine crise financière » !
La marche de l’Europe échappe radicalement à l’avis des peuples européens : aucun d’entre nous ne décide, par son vote, qui va le représenter et le conduire dans cette réalité politique de la mondialisation ! Non seulement notre avis sur la Constitution Européenne a été implacablement nié, refusé, rejeté, anéanti, méprisé, mais les personnes qu’on nous impose pour nous gouverner, sont de parfaits inconnus du grand nombre et aux antipodes des sensibilités politiques diversifiées d’Europe ! Qui a donné un tel pouvoir à ces gens-là ? L’Europe a-t-elle un lien quelconque avec la démocratie ? Comment se fait-il que l’oligarchie financière et patronale à dominance anglo saxonne, choisisse à notre place ceux qui vont nous gouverner ?
L’encyclique du pape Jean XXIII, « Pacem in Terris », 1963, énonçait le principe du « Nouvel Ordre Mondial ». » …C’est l’ordre moral lui-même qui exige la constitution d’une autorité publique de compétence universelle ».
Benoît XVI, en 2005, dans son message de Noël, disait que les gouvernants devaient s’engager « dans l’édification d’un nouvel ordre mondial ». Son encyclique « Veritas in caritate », juillet 2009, souhaitait ouvertement « une autorité politique mondiale », en conformité, bien entendu, avec ses directives en matière de pouvoir et de conception de société !
RépondreSupprimerLes élites dirigeantes réunies dans l’Opus Dei se sont succédées aux commandes et dans les Institutions européennes depuis le lancement de l’Union Européenne. Nous savons, en particulier, que la Commission Européenne d’Éthique est, aujourd’hui, sous la domination écrasante des théologiens catholiques, depuis que Barroso leur a donné cette prérogative. Cet homme est aujourd’hui un expert de la banque Goldman Sachs International.
Le projet de Constitution européenne refusé par le referendum français et hollandais en 2005, était louangé par les États-Unis, les conférences épiscopales du monde entier, le Club de Bilderberg, l’ensemble de la classe politique de droite, les néo conservateurs et les ultra-libéraux, les dirigeants de la Haute Finance de la City à Londres…
Derrière toutes ces « belles initiatives » il y a un visage qui se dessine peu à peu, celui d’une élite (qu’elle soit de gauche ou de droite) ayant bien l’intention de garder et de contrôler le Pouvoir, face à une montée de l’attente des peuples et de leur aspiration aux promesses démocratiques de la « Déclaration des Droits de l’Homme ».
A travers tout ce que l’on peut ainsi observer, on s’aperçoit que toutes ces initiatives « louables » en apparence, ne proviennent pas vraiment d’un désir humaniste de protection de la paix, mais d’une volonté hégémonique de la puissance financière et commerciale.
Les États Nations, sont intentionnellement ruinés pour l’installation d’une « Gouvernance et d’un Nouvel Ordre Mondial », comme le discours de Sarkozy en décembre 2007, (élaboré et écrit par des spécialistes de la question !) l’a si bien exposée au Latran, à Rome. Tout ce que ce projet cherche à faire avec l’aide du bras armé de l’OTAN, c’est la destruction des États-Nations qui est un préalable à l’imposition du Nouvel Ordre Mondial. C’est ce que l’on observe depuis l’Irak, l’Afghanistan, l’ex-Yougoslavie, la Syrie, la Libye, le Yémen, la Russie via l’Ukraine, en attendant le tour de l’Iran, des Philippines, de l’Arakan au Myanmar, du Venezuela, de la Chine et Corée du Nord …etc.
La ratification du Traité de Lisbonne par les 28 États de l’Union Européenne, malgré le refus et le rejet du contenu de ce Traité par plusieurs peuples européens consultés, comme la France en mai 2005, montre que les citoyens n’ont plus rien à dire ; tout est décidé sans ou contre leur volonté. Les élites pensent et décident seules les règles de cette union, « union » qui en soi était souhaitable, (celle d’une « Europe des Nations » comme la voulait Charles De Gaulle et qui s’étendait de ‘l’Oural à l’Atlantique’), mais pas dans ces conditions là et pas pour la finalité qui est recherchée en réalité !
Désormais, le Droit européen prime sur les Droits nationaux. Être acteur sur la scène internationale ne se fera plus dans la sérénité d’une indépendance politique. Les élites ultra libérales qui dirigent l’Europe, sont soutenues par la puissance financière : les politiques sont là parce que la Haute Finance leur a permis d’accéder à cette place. Macron est au sommet de l’État français, parce que la Kommandantur de la Haute Finance l’y a placé avec l’aide des limiers de la Gestapo journalistique ! La marche actuelle de l’UE se fait en liaison et dans l’idéologie commune qui dirige en ce moment toutes les autres formes d’unions régionales de par le Monde.
RépondreSupprimerLorsque ces blocs seront réellement constitués grâce à la disparition des États-Nations, et s’ils y parviennent, il n’y aura plus que 4 ou 5 entités qui prendront les décisions.
Les Pouvoirs Financiers, les élites ultra-libérales, travaillent à l’éclatement des États Nations, non pas pour unifier l’humanité, mais pour enlever aux peuples le contrôle qu’ils avaient commencé à prendre sur les décisions politiques communes.
Avant que le Droit européen ne supplante les Droits Nationaux, les États pouvaient emprunter à la Banque Nationale. Celle-ci créait l’argent nécessaire. L’État remboursait l’emprunt et la Banque Nationale détruisait cet argent au fur et à mesure qu’il était remboursé, sans faire payer d’intérêts. Ce système fonctionnait très bien et garantissait la souveraineté des peuples et leur liberté fondamentale.
Dans le Traité de Maastricht (1992), l’article 104 et 123 dans le Traité de Lisbonne, les États Européens se sont interdits d’emprunter à la Banque Centrale Européenne ! Pourquoi ?
La conséquence directe de cet interdit faisait que les États allaient devoir emprunter au secteur financier privé qui lui, fait payer des intérêts au prix fort, profitant de l’aubaine…
Cette « étrange » disposition, ne servant que les intérêts de la Haute Finance Internationale, allait constituer un système bloquant radicalement toute politique sociale de l’Union Européenne, puisque les investissements publics devenaient alors logiquement hors de prix. La dette publique ne pouvait qu’exploser, plaçant les États dans les faillites successives prévisibles et auxquelles nous assistons : Grèce, Portugal, Irlande, Italie, Espagne, Chypre, France et en réalité déjà quasi tous les pays de l’UE… Tout cela est volontairement programmé, voulu, décidé, planifié, théorisé. Il ne s’agit pas d’une erreur ou d’un aveuglement mais d’une volonté explicite formalisée et écrite noir sur blanc dans les textes produits par ces « élites »…
Tous les pays de l’Union Européenne tombent les uns après les autres puisque les Décideurs ont délibérément organisé cette impasse !
RépondreSupprimerCe véritable Pouvoir qui travaille dans l’ombre et qui tient à la gorge nos politiques, attend que toute l’Union Européenne soit à genoux pour enfin pouvoir exiger d’elle l’esclavagisation absolue de ses peuples qui devront, dans une cinglante austérité, consacrer l’entièreté de leur vie, jusqu’à la mort, à l’obligation d’un remboursement dont la fin ne sera plus possible.
Les tyrans d’autrefois, faisant travailler gratuitement des millions d’esclaves, sous le fouet, sont de retour avec le pouvoir inouï de tuer, de ruiner des vies, de torturer les existences individuelles et collectives avec des moyens plus « civilisés » et dans la « politesse » du consentement silencieux de la soumission, déguisée du sourire de celui qui croit savoir, non pas vendre sa compétence, mais « se vendre lui-même », non pas au prix du vendeur, mais à celui de l’acheteur et aux dépens du vendu !
Lorsqu’il n’existera plus que 4 ou 5 entités prenant toutes les décisions sur Terre, les sociétés seront alors conditionnées pour la Gouvernance Mondiale avec un dénominateur commun : le Capital Tout-puissant avec ses exigences d’adoration, de service et de sacrifice, sans plus aucun recours à la diversité et aux moyens de différenciation permettant la renaissance.
Dans ce nouveau régime politique, les différences seront, non seulement sévèrement combattues, mais clairement exterminées sous le prétexte infaillible de l’Union, de l’Unité, de la Paix et du Progrès. Le Mal le plus pervers se fait toujours passer pour le bien le plus vertueux ! Le Mal singe le bien et fait triompher le mensonge…
Le FEM ou Forum économique mondial de Davos, fondé par Klaus Schwab, a publié un ouvrage traduit en plus de 20 langues, intitulé « The Great Reset », dans lequel le programme de la Gouvernance du Nouvel Ordre Mondial est clairement exposé, en prétextant qu’il ne fait que donner des conseils avisés aux Gouvernants avec le but louable d’améliorer les conditions de la vie sur la Planète ! C’est le transhumanisme qui est proposé comme principale solution pour gérer l’avenir de l’espèce humaine… Pour que le Nouvel Ordre Mondial puisse devenir effectif, il est impératif de « pirater l’animal humain » ; il est nécessaire de passer par un mariage entre l’humain et la machine, l’avènement du transhumain ! D’où la campagne mondiale forcenée pour les injections de produits à ARNm graphénisé, permettant d’envisager cette association entre l’humain et la machine, campagne déguisée de motivations sanitaires fantasmatiques …
Le « Great Reset » annonce :
RépondreSupprimer« Il s’agit de rendre le monde moins clivant, moins polluant, moins destructeur, plus inclusif, plus équitable et plus juste que celui dans lequel nous vivions à l’ère pré-pandémique. Ne rien faire, ou trop peu, revient à avancer aveuglément vers toujours plus d’inégalités sociales, de déséquilibres économiques, d’injustice et de dégradation de l’environnement … »
Les intentions sont exemplaires : les maîtres du capitalisme ultra libéral, responsables du désastre commencé en 1976 par les accords de la Jamaïque abolissant ceux de Bretton Woods (Juillet 1944), annoncent aujourd’hui vouloir changer le capitalisme !
Nous marchons à grands pas vers ce « Nouvel Ordre Mondial » qui est la logique inhérente à la religion judaïque monothéiste « révélée » (comme à celle du christianisme paulinien, comme à celle de l’Islam qui veut elle aussi l’instauration du Califat Mondial avec l’imposition de la Charia’h); qui est l’objectif formulé noir sur blanc par les mondialistes, tout comme par le Magistère de l’Église catholique pratiquant le christianisme paulinien que nous connaissons, d’ailleurs si clairement exposé par Sarkozy, dans son discours de décembre 2007 au Latran à Rome! On ne pouvait pas mieux résumer le régime orwellien absolu pour la jouissance d’un petit nombre entièrement assurée par la souffrance du grand nombre. C’est l’idéal du Mal en soi, son objectif, sa volonté de puissance dans la pure intention de la destruction pour la destruction !
Chacun peut revoir en esprit le magistral film de Paolo Pasolini « Salo, les 120 jours de Sodome » qui montre comment la jouissance de quelques pervers est assurée par le martyre de jeunes innocents…
Ce qui pouvait sembler être la marche réjouissante universelle d’un éveil supérieur de la conscience de l’humanité entière, sortant du formatage sectaire des nationalismes, s’avère être un programme d’anéantissement des différences qui, seules, peuvent assurer la complémentarité des peuples et des cultures. Au lieu d’organiser l’Union des différences garantissant la richesse de la complémentarité, nous assistons à l’organisation d’un nivellement mondial des sociétés, confondant l’uniformisation avec l’unité, cette unité n’ayant été possible que si la diversité fût entretenue, cultivée, protégée. Il n’y a pas d’unité sans diversité. Il n’y a pas d’union sans complémentarités qui peuvent se compléter et s’unir.
Le Nouvel Ordre Mondial, casse les États en dressant les communautarismes les uns contre les autres, en leur donnant même des armes pour cela, comme ce fut le cas spectaculaire en Syrie et dans bien des pays africains. Il organise méthodiquement la main mise absolue sur l’accès aux semences des plantes nécessaires à l’alimentation mondiale des peuples. Monsanto/Bayer est au service de cette idée qui a été théorisée par Henry Kissinger. Puis, les communautarismes isolés, sont destinés à être exterminés. La Gouvernance Mondiale est proche au nom d’un monothéisme financier planétaire. Pour écraser toute puissance en mesure de s’opposer à ce projet, il y a la guerre nucléaire « préventive » et « nécessaire »…
RépondreSupprimerNous allons atteindre prochainement le moment où le simple fait de vivre ne sera plus un droit naturel, mais une autorisation permanente à mendier au Pouvoir établi de la dictature Financière, et qui ne sera accordée qu’à la condition de sa soumission indiscutable ! Voilà l’avenir proche qui se dessine devant nous, et la société que nous offrons en héritage à nos enfants. C’est la signification du symbole 666, le « chiffre » qualifiant l’identité financière nommée « La bête » par le livre de l’Apocalypse, attribué à Jean le pêcheur surnommé « fils du tonnerre », (l’auteur véritable était Jean Le Presbytre, disciple de la gnose) et retenu dans le canon officiel du Nouveau Testament par le Concile de Nicée en 325 de notre ère.
Une véritable Union des peuples n’est possible que par la reconnaissance de la diversité des peuples et de leurs cultures. Étant donné que la marche de la plupart des Grandes Entités Régionales ne va pas dans ce sens, les peuples se sentent fatalement trahis et se mettent à revendiquer cette reconnaissance qu’ils voient méprisée. Cette logique est à l’origine d’une renaissance des nationalismes et prédit, en soi, l’insurrection qui vient assurément, parce que le véritable visage de la Gouvernance Mondiale révèle enfin sa réelle finalité.
Nous allons très bientôt revoir les affrontements nationalistes, le renouveau flamboyant du fascisme et néo-nazisme comme en Ukraine, une violence des communautarismes, mais aussi la nécessaire insurrection inévitable de la conscience humaniste…
A suivre …
https://www.mondialisation.ca/strategie-et-mode-de-fonctionnement-des-acteurs-globalistes-du-n-o-m-linformation-falsifiee-au-service-du-nouvel-ordre-mondial/5688097?doing_wp_cron=1712296445.6067290306091308593750
Médias : combien coûte la production d’information en France ?
RépondreSupprimerEn 2023, le paysage médiatique français a fait face à un constat financier de taille : la production de l’information a coûté plus de 3 milliards d’euros. Cette somme, conséquente, reflète non seulement l’importance de l’information dans notre société mais aussi les défis économiques que rencontrent les acteurs de ce secteur. Une étude des États généraux de l’information (EGI) dresse un portrait inédit et détaillé de ces enjeux financiers.
le 5 avril 2024 à 16h17
L'étude dévoile une analyse approfondie du secteur de l'information, fondée sur les données fournies par plus de 370 entités médiatiques françaises, incluant télévision, radio et presse écrite.
3 milliards d’euros dépensés
L'étude menée par l'EGI souligne que sur les 3 milliards d'euros dépensés, plus de 70 % concernent directement les coûts salariaux. Cela démontre la prééminence de la main-d'œuvre dans l'économie des médias. Plus précisément, les médias grand public emploient plus de 27 000 collaborateurs, parmi lesquels 58 % sont des journalistes permanents.
Du côté des recettes, l'étude révèle une diversification des sources de financement. Les médias tirent 23 % de leurs revenus du consommateur final, principalement via les abonnements et les ventes au numéro, tandis que la publicité représente 35 % et les financements publics 32 %.
Des modèles économiques différents selon les médias
L'analyse financière met en lumière des modèles économiques divergents entre la presse, majoritairement financée par les ventes, et l'audiovisuel, où la publicité constitue le principal revenu à hauteur de 43%.
Avec un chiffre d'affaires global de 12 milliards d'euros pour les médias grand public, l'étude pointe une stabilité sur un an mais une baisse sur cinq ans, mettant en évidence la pression accrue sur les revenus des médias. Le groupe de travail des EGI souhaite que cette étude devienne annuelle pour fournir un tableau de bord public précis de l'économie de l'information, permettant ainsi un meilleur suivi et une réactivité plus grande face aux évolutions du marché.
Quelle contribution des géants du numériques ?
Alors que vous naviguez entre les articles en ligne et les fils d'actualité sur vos plateformes préférées, la présence grandissante des Gafam (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft) et leur contribution financière au monde des médias en France joue un rôle déterminant, bien que difficile à quantifier avec précision.
Des délégués des Gafam ont souligné les : « efforts importants voire presque immesurables qu'ils font tous les jours pour financer l'information ». Toutefois, « la réalité se complique un peu quand on parle de chiffres » a noté Philippe Bailly, fondateur de NPA Conseil, qui a coordonné l’étude dans des propos partagés par Les Echos. Cette complexité ajoute un enjeu de taille à la réflexion sur le financement durable des médias, un sujet qui touche directement la variété et la qualité de l'information qui vous est accessible.
(...) Avec un chiffre d'affaires global de 12 milliards d'euros pour les médias grand public, l'étude pointe une stabilité sur un an mais une baisse sur cinq ans, mettant en évidence la pression accrue sur les revenus des médias. (...)
SupprimerCe ne sont pas les revenus (subventions) qui font l'actualité (en surpayant des journalistes pour dire ce que dicte de Rédacteur en chef) mais la vérité dite ou écrite.
Cette baisse de l'audimat est la conséquence de l'arrivée de l'Internet et de ses internautes qui décrivent immédiatement et gratuitement (!) - (sans Rédacteur en chef derrière) les faits tels qu'ils se présentent.
RépondreSupprimerLes plans actuels de l’UE en matière de surveillance de masse ont été divulgués
5 avril 2024
de Thomas Oysmüller
L'UE continue de s'en tenir à son projet d'abolir le secret des lettres. C’est ce que montre le projet de loi actuel sur le contrôle des chats qui a été divulgué.
Le « contrôle du chat » est considéré comme l’un des projets les plus controversés au sein de l’UE. Si le plan devait être mis en œuvre, cela signifierait la fin des conversations cryptées. Les services de messagerie qui n’offrent rien d’autre pourraient alors être bloqués dans l’UE. Cette semaine, la dernière proposition a fuité.
Fin de la vie privée
Le site français Context a publié la version actuelle. Les travaux sur le projet sont en cours depuis mai 2022 pour poursuivre les abus sexuels sur enfants, indique-t-on officiellement. Mais pour les critiques, le projet de loi représente la fin de la communication privée au sein de l’UE. L'actuelle présidence belge du Conseil s'est notamment fixé pour objectif de faire aboutir ces projets. Et le nouveau projet de loi contient encore les éléments les plus controversés.
L'eurodéputé des Pirates Patrick Breyer a discuté de ce document sur son blog mardi. Il devrait être adopté en juin, rapporte-t-il, à condition que les « divergences politiques » au sein de la commission compétente aient été aplanies. Il a noté que les points en litige n'avaient pas été modifiés. Le secret des lettres serait détruit :
« Comme l’a confirmé le service juridique du conseil, cette dernière décision ne change pas la nature des ordonnances de découverte du contrôle des discussions. Des millions de discussions privées et de photos privées de citoyens innocents doivent être recherchées et supprimées à l'aide d'une technologie peu fiable, sans que les personnes concernées aient quoi que ce soit à voir avec la maltraitance des enfants - cela détruit le secret de notre correspondance numérique. Malgré les paroles en faveur du chiffrement, l'analyse côté client vise généralement à saper le chiffrement de bout en bout auparavant sécurisé afin de transformer nos smartphones en espions - cela détruit le chiffrement sécurisé.
"Il est inutile de restreindre les recherches massives de chat aux "services à haut risque", car tout service de communication est également utilisé de manière abusive pour l'échange d'images illégales et présente donc un risque élevé d'abus", a commenté le député. Breyer critique en détail la proposition de texte divulguée : « Limiter le contrôle du chat aux « services à haut risque » n'a aucun sens car chaque service de communication est toujours utilisé à mauvais escient pour envoyer des représentations illégales et présente donc un risque élevé d'utilisation abusive. L'Irlande serait responsable de la classification des principaux services - l'un des plus fervents partisans du contrôle des chats. En aucun cas, le service utilisé ne peut être justifié par le contrôle de citoyens totalement innocents.»
Breyer ne croit pas que le Parlement européen puisse s'y opposer. Il est plus probable qu’il s’attende à ce qu’à huis clos ils abandonnent leurs réserves et acceptent un mauvais compromis. En conséquence, il ne reste plus beaucoup de temps pour préserver la vie privée.
https://tkp.at/2024/04/05/aktuelle-eu-plaene-zur-massenueberwachung-durchgesickert/
RépondreSupprimerMauvais développements pour les rêves américains de fabrication de puces
Par Karsten Riise
Recherche mondiale,
5 avril 2024
Biden a de grands rêves pour l’industrie américaine – et le Congrès y adhère avec des milliards de subventions pour de nouvelles usines de fabrication de puces (usines).
Mais en ce qui concerne la société INTEL, ce qui reste de la fabrication de puces aux États-Unis ne se porte pas bien – c’est un euphémisme :
chiffre d'affaires en baisse d'un tiers (31%),
perte de 7 milliards de dollars, en hausse de près de 2 milliards.
La production américaine restante de puces chez INTEL est en train d’être surpassée, anéantie, comme le reste de la production américaine de puces l’a été avant elle.
Intel dévoile une perte d'exploitation de 7 milliards de dollars pour son unité de fabrication de puces
Intel a déclaré que l'unité de fabrication avait enregistré 7 milliards de dollars de pertes d'exploitation pour 2023, une perte plus importante que les 5,2 milliards de dollars de pertes d'exploitation de l'année précédente. L'unité a réalisé un chiffre d'affaires de 18,9 milliards de dollars pour 2023, en baisse de 31 % par rapport aux 27,49 milliards de dollars de l'année précédente. (Stephen Nellis et Max A. Cherney, Reuters , 3 avril 2024)
Désormais, la concurrence (TSMC) est censée gérer les nouvelles usines de fabrication de puces américaines prévues, très vantées par Biden et le Congrès. Mais les nouvelles usines de fabrication de puces aux États-Unis sont déjà entachées par des dépassements de coûts de construction et une grave pénurie de travailleurs suffisamment qualifiés. Il existe également de graves problèmes liés aux différences entre la culture de travail américaine et TSMC. TSMC donnera la priorité et protégera sa configuration principale à Taiwan. Et le plus grand marché mondial pour les puces TSMC ainsi que pour les puces en général n'est pas les États-Unis mais… la Chine.
RépondreSupprimerLa question se pose : comment se comporteront les deux nouvelles usines TSMC en Arizona ?
Le complexe militaro-industriel américain sera-t-il un client suffisamment important pour les remplir ?
TSMC semble déjà en douter et couvre son pari en retardant sa deuxième usine de fabrication de puces en Arizona. TSMC explique sa décision de retarder la deuxième de ses deux usines de puces prévues en Arizona entre les lignes des déclarations du président de TSMC, Mark Liu :
Le président exécutif, Mark Liu, a noté que le type de puces produites dans la deuxième usine serait déterminé en partie par les types d'incitations fédérales disponibles, ainsi que par la demande du marché. ( Joelle Anselmo, Manufacturing Dive , 19 janvier 2024)
D'après Mark Liu parlant des « types de puces », il est évident que TSMC ne voit pas de demande refoulée aux États-Unis pour la quantité supplémentaire de puces qu'ils pourraient produire dans une deuxième usine en Arizona. De toute évidence, ce qui préoccupe réellement Mark Liu et TSMC, c'est de savoir s'il y aura une demande suffisamment forte aux États-Unis pour les puces super avancées prévues pour les deux nouvelles usines de TSMC en Arizona.
Le fait est que la grande majorité des puces les plus avancées ne sont pas destinées à des applications militaires. Ainsi, même si les préoccupations stratégiques américaines sont la clé de l'obsession américaine pour les puces, l'armée américaine ou ses fournisseurs industriels ne seront guère les plus gros acheteurs de ces puces très coûteuses et très coûteuses. puces avancées prévues pour la production de TSMC aux États-Unis.
Le ministère américain de l’Énergie (avec la Défense américaine) utilise les types de puces les plus avancés pour ses superordinateurs afin d’exécuter des simulations de la détonation de nouvelles armes nucléaires. Mais la plupart du matériel militaire fonctionne sur des puces de « complexité standard », et non sur les (petites) puces les plus avancées. Avec seulement un nombre (relativement) limité de superordinateurs, la défense américaine n’est pas un gros client qui stimule la demande pour les puces les plus avancées.
RépondreSupprimerLa demande pour la grande majorité des puces les plus avancées est tirée par un usage civil. Pour les téléphones portables (en particulier les iPhones d’Apple) et les centres informatiques cloud d’IA gérés commercialement qui répondent aux besoins du public, du monde des affaires dans son ensemble et des gouvernements civils. Il est difficile de croire qu’Apple pour son iPhone ou que Microsoft, IBM, Amazon, Oracle et les autres grandes entreprises qui exploitent de gigantesques ordinateurs cloud dotés d’IA achèteront des puces fabriquées aux États-Unis s’ils peuvent obtenir les mêmes (ou meilleures) puces à moindre coût à Taiwan – du moins pas sans une compensation supplémentaire du gouvernement américain.
Pourquoi TSMC devrait-il construire et remplir une deuxième usine de puces coûteuse aux États-Unis s'il dispose d'une capacité supplémentaire à Taiwan et peut construire les mêmes puces (ou même meilleures) à moindre coût à Taiwan ?
Après tout, Taiwan restera le port d’attache et le centre de connaissances, de capacités et d’excellence de TSMC. Il est donc logique que TSMC retarde sa deuxième usine de fabrication de puces prévue aux États-Unis. En fin de compte, il s’agit de savoir si le boom (ou la bulle ?) de l’IA sera suffisamment fort pour maintenir à flot les nouvelles usines de fabrication de puces américaines avancées – et TSMC semble douter de cela. Les puces fabriquées aux États-Unis (à des coûts plus élevés et avec des compétences moindres) pourraient être les dernières à être achetées… et les premières à être vendues à mesure que la demande de puces fluctue.
En bref, la demande de puces avancées et coûteuses fabriquées aux États-Unis n'est pas sûre, et la triste expérience des dernières décennies de l'histoire de la fabrication de puces aux États-Unis pourrait malheureusement se répéter, car les usines de fabrication de puces américaines pourraient être les premières au monde à fermer en cas de crise mondiale. offre excédentaire en dehors de la Chine de puces avancées.
https://www.globalresearch.ca/bad-developments-us-chip-dreams/5853968
"Le nucléaire devrait faire partie de l'avenir", déclare le PDG de PG&E
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
VENDREDI 05 AVR 2024 - 03:20
Mercredi, Patti Poppe, directrice générale de Pacific Gas & Electric, a déclaré lors d'un forum à l'Université de Stanford que l'énergie nucléaire devrait continuer à faire partie du mix de production d'électricité de l'État à mesure que les efforts visant à décarboniser le réseau progressent.
"Le nucléaire devrait faire partie de l'avenir", a déclaré Poppe, soulignant que la seule centrale nucléaire de l'État - Diablo Canyon - pourrait se voir accorder une prolongation de licence jusqu'aux années 2030 par la Commission de réglementation nucléaire.
"Je m'attends à ce qu'il y ait des discussions, à mesure que la fenêtre de cinq ans se rapproche, que nous devrions peut-être étendre davantage cette période", a déclaré Poppe, ajoutant: "Je pense que ce serait une bonne politique d'utiliser un système sûr et de haute sécurité. actif performant pour l’État. »
Bloomberg a expliqué que la Californie a agi « de manière agressive vers une transition vers les énergies renouvelables, mais sa forte dépendance à l'égard des centrales solaires la rend vulnérable aux pannes lors des chaudes soirées d'été après le coucher du soleil ».
La demande de pointe d’électricité et les taux de croissance de l’énergie montent en flèche dans le Golden State (et aux États-Unis dans leur ensemble), en partie à cause des tendances à l’électrification et des véhicules électriques.
Mercredi, nous avons rédigé une note intitulée « Le prochain commerce de l'IA », soulignant à quel point les centres de données et les installations industrielles d'IA mettront à rude épreuve le réseau électrique américain.
Pour les États qui ont abandonné l’énergie nucléaire et les énergies fossiles au profit de l’éolien et du solaire peu fiables, il y aura un retour historique à l’énergie nucléaire, car c’est le seul moyen de décarboner les réseaux avec une énergie fiable et bon marché.
En décembre, les régulateurs ont déclaré que la centrale de Diablo Canyon, propriété de Pacific Gas & Electric, pourrait fonctionner jusqu'en 2030 au lieu de 2025 pour éviter des pannes d'électricité répétées alors que l'État se tourne vers les sources d'énergie renouvelables.
Nous soupçonnons que la reprise tant attendue – et attendue – de la renaissance nucléaire américaine se concrétise enfin.
RépondreSupprimerLe mois dernier, le gouvernement fédéral a annoncé qu'il accorderait un prêt de 1,5 milliard de dollars pour redémarrer une centrale nucléaire dans le sud-ouest du Michigan.
Ce qui est remarquable, ce n’est pas que les États-Unis investissent de l’argent dans l’industrie des centrales nucléaires : puisque Washington vend pour 1 000 milliards de dollars de dette tous les 100 jours, il pourrait tout aussi bien dépenser les « millions de Brewster » (ou plutôt les « billions ») et les dépenser. tout cela dès que possible ; il s’agirait de la première centrale nucléaire à être rouverte aux États-Unis, créant ainsi un précédent alors que l’énergie atomique fait un retour triomphal.
"Il y a plus d'enthousiasme pour l'énergie nucléaire — au Congrès, dans l'industrie et aussi au niveau international", a déclaré Najmedin Meshkati, professeur d'ingénierie à l'Université de Californie du Sud qui a inspecté des centrales nucléaires dans le monde entier.
L'énergie nucléaire est à l'honneur. Trente-quatre pays, dont les États-Unis, se sont engagés le mois dernier à l’utiliser pour réduire leur dépendance aux combustibles fossiles.
La renaissance nucléaire américaine est là.
- voir graph sur site -
En décembre 2020, nous avons demandé à nos lecteurs : « Achetez de l'uranium : est-ce le début du prochain engouement pour l'ESG ? »
https://www.zerohedge.com/commodities/nuclear-should-be-part-future-pge-ceo-says
57 entreprises responsables de 80 % des émissions de gaz carbonique
RépondreSupprimer57 entreprises clés ont libéré 80 % des émissions de gaz carbonique depuis 2016, défiant les engagements de l’Accord de Paris. Une statistique gigantesque, mais surtout inquiétante.
le 5 avril 2024 à 16h04
En 2022, le chiffre d'affaires de Gazprom s'élevait à près de 80 milliards d'euros.
Ces entreprises sont majoritairement détenues par des États
Un rapport du think-tank InfluenceMap du 4 avril 2024 révèle que 57 entreprises,
majoritairement étatiques, sont responsables de 80 % des émissions globales de gaz carbonique entre 2016 et 2022. Durant cette période, les émissions se répartissent ainsi : 38 % proviennent des producteurs nationaux, 37 % des entités publiques, et les entreprises privées contribuent à hauteur de 25 %. Ce constat vient après l'Accord de Paris, qui visait une réduction drastique de ces émissions. Ironiquement, ces « champions » de la pollution ont, pour certains, augmenté leur production de combustibles fossiles depuis cet accord, avec un impact désastreux sur notre planète.
Parmi les premiers de cette fameuse liste, on retrouve Saudi Aramco, Gazprom et Coal India, des entreprises respectivement saoudienne, russe et indienne. À elles trois, elles représentent 10 % des émissions globales entre 2016 et 2022. La plupart de ces entreprises sont productrices de gaz, charbon, pétrole et ciment.
À des années lumières des promesses de l'Accord de Paris
Les entreprises étatiques rejettent un très grand nombre d'émissions de gaz carbonique, signe d'une dynamique inquiétante malgré les appels internationaux à une transition énergétique. L'extraction de combustibles fossiles par ces entités continue de croître, en contradiction flagrante avec les recommandations pour atténuer le changement climatique.
L’engagement mondial pris à Paris en 2015 semble aujourd’hui n’être qu’un lointain souvenir pour ces entités. L'objectif était de limiter le réchauffement climatique à +1,5°C. Les entreprises, notamment Exxon Mobil et Shell, qu'on retrouve dans le top 10, bien que promettant de viser la neutralité carbone d'ici à 2050, poursuivent leurs investissements dans les énergies fossiles. Selon l'Agence internationale de l'énergie, les émissions mondiales de gaz carbonique liées à l'énergie ont atteint un niveau record en 2023.
(...) 57 entreprises responsables de 80 % des émissions de gaz carbonique (...)
SupprimerHAHAHAHA ! Â ben dis-donc le titre !!
Aaaaaa savoir que: Le gaz carbonique (gaz rare à 0,041 %) est un gaz FROID (qui se situe au ras du sol (Azote 1,2 gr/litre, Oxygène 1,4 gr/litre et gaz carbonique 1,8 gr/litre).
Il s'agit là d'un gaz qui DISPARAÎT à 30,9°C, donc: vous ne pouvez vous-même l'expirer de vos poumons à 37°C ! Pire encore les pots d'échappement et cheminées d'usines à des températures bien supérieures !!
Donc: AAAAAAAArrêrtez de parler d'émissions humaines, animales ou industrielles de gaz carbonique !
DE plus, TOUS les gaz se recyclent continuellement et immédiatement sans quoi la vie sur Terre ne serait même pas apparue !
Dr Astrid Stuckelberger a reposté
RépondreSupprimerPhilippe T
@brain_stimulus
💥❗Pas de sable du #Sahara ! Une analyse chimique choquante de la poussière des voitures révèle que des métaux lourds et des éléments utilisés pour modifier le temps tombent du ciel ! Le laboratoire bosniaque a trouvé dans l’échantillon du nickel, du baryum et de l’aluminium dépassant de plus de 700 fois la limite connue, ainsi que d’autres métaux lourds ! Les avions couvrent le ciel avec des modificateurs météorologiques pour contrôler la lumière du #soleil et bloquer les rayons UV frappant la planète. L'été a besoin des rayons UV pour tuer les #virus, mais que se passe-t-il lorsque les rayons UV sont bloqués par la poudre ?
https://twitter.com/Stuckelberger/status/1775152464511037743?cn=ZmxleGlibGVfcmVjcw%3D%3D
Une de nos « grandes » entreprises : Le producteur d’œufs – partie 6 de la perspective micro
RépondreSupprimer6 avril 2024
par Andrea Drescher
L’aviculture est une alternative qui comporte des obstacles. Elle peut travailler dans la commercialisation directe de produits biologiques. À condition que les règles, réglementations et spécifications ne le rendent pas totalement inesthétique.
Dans la ferme d'œufs et de pâtes biologiques, environ 2 000 poules se promènent librement et pondent environ un demi-million d'œufs par an. En plus de la vente directe des œufs, environ 40 tonnes de pâtes sont produites à partir de ceux-ci, dont la moitié en sous-traitance et l'autre moitié à partir de notre propre stock. De plus, 30 à 40 tonnes de pommes de terre sont récoltées et vendues.
Par ailleurs, tout ce que mangent les poules est cultivé sur les 30 hectares de terres, notamment le soja, les féveroles, le colza et le tournesol. Le blé, le triticale et l'épeautre sont utilisés à la fois comme aliments pour animaux et dans la composition de pâtes alimentaires. Le colza et le tournesol sont parfois également transformés en huile.
Cet agriculteur, qui a cofondé l'usine de compostage locale et l'a exploitée pendant 15 ans, confirme également que le sol n'est pas bien adapté aux céréales mais nécessite un traitement particulier et une activation du sol. Mais 20 hectares supplémentaires de zones expérimentales destinées à la recherche et aux tests montrent clairement que ce sujet a été consacré en détail à ce sujet.
Une entreprise créée spécifiquement à cet effet s'occupe de l'agriculture régénérative et des machines hautement spécialisées nécessaires à cette fin. La formation continue des agriculteurs au-delà des exigences industrielles fait également partie de son travail quotidien, qui l'emmène dans toute l'Europe. C'est pour cela qu'il a été et est en conséquence attaqué par l'industrie. Les approches non conventionnelles qui renforcent la position des agriculteurs ne sont évidemment pas les bienvenues. L'entreprise, qui avait été subventionnée dès le départ par les revenus de l'agriculture, était désormais en difficulté financière, il a donc dû licencier du personnel et se concentrer à nouveau sur l'agriculture.
L’agriculteur attribue le succès de son exploitation agricole à divers facteurs. Outre le travail spécial du sol, qui garantit des rendements plus élevés, le marketing direct est pour lui un facteur clé de succès. Ils se rendent régulièrement sur des marchés de producteurs sélectionnés, où des clients réguliers attendent leurs produits. Une fois par semaine, ils livrent des œufs et des pâtes aux restaurants, boulangeries et écoles locaux. Il existe plusieurs revendeurs dans la région. Il s'agit de magasins à la ferme et de chaînes de supermarchés qui fonctionnent encore de manière indépendante et complètent leur offre avec des produits biologiques. L'exploitation de notre propre magasin à la ferme ne contribue que pour une petite part aux ventes en raison de l'emplacement plutôt éloigné de notre village.
RépondreSupprimerMon interlocuteur est convaincu qu’aujourd’hui encore, on peut vivre de l’agriculture. Cependant, il ne faut pas s'attendre à une semaine de 40 heures. Il a deux employés à temps plein qui travaillent dans l'agriculture et le marketing direct pendant bien plus de 40 heures. Lui, sa femme et ses trois fils travaillent à la ferme, qui travaillent à plein temps en dehors de la ferme, mais qui interviennent particulièrement lorsque leur père est absent en tant que formateur en culture du sol.
La famille propose également des services avec ses propres machines performantes pour le ring des machines. Il ne souhaite cependant plus prêter les appareils, car lorsqu’un dommage survient, « ce n’est souvent la faute de personne ».
Il voit une opportunité pour la survie de l'agriculture à petite échelle si vous veillez systématiquement à ce que la valeur ajoutée reste au sein de votre propre entreprise. Dès que vous achetez, les coûts vous rongent. Dès que vous vous lancez dans le trading classique, le « partenaire » de trading encaisse une grande partie des bénéfices. Pour son entreprise, cela signifie concrètement : sa propre alimentation, sa propre production de pâtes et sa commercialisation directe.
Cette indépendance nous permet également de réagir rapidement aux évolutions du marché. Même si les augmentations de coûts des deux dernières années ne se sont pas fait sentir dans de nombreux domaines, les coûts de l'énergie ont également augmenté de manière significative. Les prix des nouilles et des pâtes ont donc été légèrement augmentés à deux reprises l'année dernière. Cependant, l'ajustement des prix d'un total de 10 à 15 % a été jugé acceptable par les clients. Cela est facile à comprendre lorsque l’on considère les augmentations de prix allant jusqu’à 50 %, voire plus, dans les supermarchés.
RépondreSupprimerIl utilise également des méthodes alternatives lors de l’achat de ses poules pondeuses. Il n'achète plus de poulettes, mais s'appuie sur des poules d'un an qui doivent être retirées d'autres fermes et abattues. Il évite ainsi les amendes imposées dans le cadre du projet « Frère Coq » et qui font augmenter les coûts pour les éleveurs de volailles.
Le projet « Frère Coq » a été lancé afin d'utiliser les revenus pour compenser l'élevage non rentable de poulets, dont des millions ont été déchiquetés dans le passé, ce qui, pour des raisons compréhensibles, a conduit à des protestations massives de la part des défenseurs des droits des animaux. Mais mon interlocuteur n'est pas le seul à voir peu d'avantages à ce projet pour les animaux eux-mêmes, bien au contraire. D’après ce que j’ai appris de lui, il s’agit simplement d’une tromperie du consommateur et d’une tromperie des défenseurs des droits des animaux qui veulent en réalité agir pour le bien des animaux.
Les frères coqs « sauvés » ne meurent plus immédiatement après la naissance, mais environ 8 à 12 semaines plus tard. Deux à trois mois pendant lesquels ils sont parfois engraissés dans des conditions dégoûtantes ici et à l'étranger avant d'être abattus et transformés en aliments pour animaux. Même si certaines fermes biologiques gèrent les choses différemment et élèvent les « frères coqs » sauvés dans de bonnes conditions, la réalité pour la majorité des animaux est complètement différente. Un rapport de l'organisation de protection des animaux PETA « Initiatives Brothercock : des douches oculaires aux dépens des animaux » le montre plus que clairement.
Le fait que mon interlocuteur puisse prolonger considérablement la vie « productive » des poules pondeuses en liberté grâce à des méthodes d'alimentation et d'élevage spéciales est apprécié par le bien-être animal, mais n'est pas particulièrement pertinent pour les autorités. Au moins, il a dû travailler dur pour obtenir une autorisation spéciale pour abattre ses poules beaucoup plus âgées. Pour lui, un exemple typique est que « les lois sont faites par des gens qui n’y comprennent rien ». En matière de mue par exemple, il existe un guide inutile qui peut conduire à une perte de poulets allant jusqu'à 10 % ; dans ce cas, la perte due à la mue est de 0,1 %.
Triste conclusion : ceux qui respectent scrupuleusement toutes les règles et lois et livrent aux détaillants ont nettement moins de problèmes que ceux qui souhaitent améliorer la situation des agriculteurs, mais aussi celle des animaux et de la nature. D'après l'expérience de mon interlocuteur, quiconque adhère à des méthodes de travail qui prolongent la durée de vie et conduisent à un taux de défaillance manifestement inférieur peut parfois être menacé de fermeture de l'entreprise.
RépondreSupprimerL'agriculteur pourrait réduire certains contrôles s'il renonce au label bio. Mais comme son concept de marketing direct est orienté vers cela, cela serait pour lui contre-productif. Il accepte donc à contrecœur l’approche des organisations.
Si les agriculteurs se libèrent de la roue des dépendances et conservent une grande partie de la chaîne de valeur sur l’exploitation ou en coopération directe avec d’autres agriculteurs, l’agriculture autrichienne peut survivre. Cependant, mon interlocuteur est sceptique quant à la volonté et à la capacité de certains agriculteurs à coopérer et craint que les avantages de groupes plus importants puissent être rapidement détruits par les structures et les hiérarchies. Il met donc tout en œuvre pour agir de la manière la plus autonome possible.
Une remarque sur le sujet de l’aviculture
Comme les Allemands et les Autrichiens ne consomment souvent que des filets ou des cuisses, le reste est depuis longtemps envoyé en Afrique et vendu à bas prix, avec les conséquences correspondantes pour les agriculteurs de ce pays.
Dès 2017, on pouvait lire : « La viande de poulet de l'UE inonde les marchés africains... L'Union européenne (UE) et le gouvernement fédéral ont promis de soutenir les États africains dans la construction de leur propre économie. Cependant, les exportations bon marché de viande de volaille en provenance de l’UE laissent peu de chances aux producteurs locaux. … Comme la vente de filets de poulet, très recherchés en Europe, est déjà rentable, les prix à l'exportation des morceaux de poulet ont été réduits à 0,75 euro en moyenne par kilogramme. Les producteurs de volaille africains ne peuvent pas rivaliser avec ces prix bas. "
Aujourd’hui, cela nous affecte également de plus en plus. Les agriculteurs autrichiens ne peuvent pas suivre les prix des prisons internationales d'élevage de poulets incontrôlées, qui sont même loin de répondre à nos normes conventionnelles en matière d'élevage, du moins s'ils commercialisent leurs produits par l'intermédiaire de détaillants et respectent strictement toutes les règles.
RépondreSupprimerUne des règles les plus absurdes à la fin. Lors d'une inspection par le vétérinaire officiel, un de mes voisins, qui élève quelques poules élevées en liberté pour leurs œufs, a découvert qu'il fallait 8 mètres carrés d'espace en liberté par poule. Mais si vous mettiez des buissons entre les deux, cela ne ferait que 4 mètres carrés. Son commentaire : « Le faucon a alors la meilleure opportunité de choisir ses victimes dans les buissons. » Il n'y a rien à ajouter à cela .
L'article de demain portera sur la manière de maintenir en vie les fermes exotiques.
https://tkp.at/2024/04/06/einer-unserer-grossbetriebe-der-eierbauer-teil-6-der-mikro-perspektive/
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S'il n'y avait pas de vaches, il d'y aurait pas de lait ! pas de beurre ni de fromages ! S'il n'y avait pas de poules, il n'y aurait pas d’œufs ! Pas d'omelettes, pas de gâteaux, ni de pâtes !!
SupprimerAlors, demeureraient disponibles les viandes de porcs, les poissons, les fruits et légumes.
Oui mais, les politiques visent à détruire ces ensembles ! Les porcs ! les poissons ! les fruits et les légumes !
"Vous n'aurez rien et vous serez heureux !"
C'est 'la marche à suivre' dite et répétée par des attardés mentaux qui se disent de 'diriger' !! alors qu'ils ne se préparent pas eux-mêmes leurs repas !! Il ne savent pas s'habiller, ne savent pas laver leur linge, coudre un bouton, repasser une chemise ou lacer leurs chaussures tout seuls ! Ils ne paient pas leurs loyers, leurs voitures ni leurs chauffeurs ! Il ne savent rien, ne savent rien faire, mais... ils dirigent ! Donnent des conseils ! et, quand ils se trompent... prennent des sanctions contre celles et ceux qui ont osé les écouter !
Alors,n quand on ne sait pas réparer un moteur, tirer une ligne électrique, peindre un mur, tenir une truelle ou planter des tomates: ON FERME SA GUEUUUUUUULLLLE !
La catastrophe du pont Frances Scott Key à Baltimore déclarée « scène de crime »
RépondreSupprimerPar Richard C. Cook
Recherche mondiale,
5 avril 2024
Il n'y a eu aucune annonce publique sur la raison pour laquelle l'énorme cargo Dali, entièrement chargé, a perdu le courant tôt le matin du 26 mars 2024, avant de dériver vers un pylône de support du pont Frances Scott Key de Baltimore et de le faire s'effondrer dans la rivière Patapsco. dans le pire désastre économique des infrastructures américaines du 21 ème siècle.
Mais un premier rapport du site Web Vessel Tracker déclarait :
« …des enquêtes sur la cause de l'incapacité du navire à naviguer en toute sécurité ont commencé. Le lieu de l'accident était traité comme une scène de crime . (c'est nous qui soulignons)
Jusqu’à présent, aucune autorité publique n’a fait de déclaration sur d’éventuels aspects criminels de l’incident.
La déclaration de « scène de crime » peut simplement refléter le fait que lorsqu'un accident entraîne la mort, d'éventuelles accusations criminelles doivent être portées .
Lors de la catastrophe de Dali, six ouvriers affectés à la réparation de la chaussée du pont sont portés disparus et présumés morts. Qui est finalement responsable ?
Une enquête criminelle est-elle courante ou les autorités soupçonnent-elles des conclusions de criminalité dues à une négligence, au non-respect des procédures prescrites lors des manœuvres du navire ou lors de sa préparation à son départ du port de Baltimore à pleine charge ? La question demeure également de savoir si le navire a fait l’objet d’une cyberattaque, comme certains l’ont spéculé, mais ce que les responsables nient avec véhémence.
Vessel Tracker indique également désormais que :
« L'équipage du Dali restera à bord du navire jusqu'à ce que l'enquête sur l'accident soit terminée. Des représentants de Grace Ocean Private et de Synergy Marine, respectivement propriétaire et société de gestion du navire battant pavillon de Singapour, ont rapporté que tous les membres de l'équipage étaient activement engagés dans leurs tâches habituelles et aidaient le National Transportation Safety Board (NTSB) et la Garde côtière dans l'enquête en cours. .»
Certains affirment cependant que l’enquête ne sera peut-être pas facile à mener à bien. Un informateur ayant une expérience militaire en mer écrit :
RépondreSupprimer« Les opérations liées à cet accident sont inconnues et ne seront pas examinées, et certainement pas dans les médias, tant que les avocats et les employés des assurances n'auront pas approfondi la séquence. Tous les commentaires ne sont plus que des conjectures. Il faudra peut-être des années pour régler les opérations.
Alors l’équipage du Dali « restera-t-il à bord du navire » pendant des années ? D'une manière ou d'une autre, j'en doute. À un moment donné, ils seront libérés et pourront rentrer chez eux, probablement sans inculpation. La criminalité, le cas échéant, toucherait probablement beaucoup plus la propriété du navire. Mais tout dommage relèverait probablement de la juridiction civile et non du pénal. C'est ainsi que ces choses fonctionnent.
Les armateurs du navire tentent déjà de limiter leur responsabilité. Rapports de suivi des navires :
"Le propriétaire du navire, Grace Ocean Private L, basé à Singapour, pourrait être contraint de payer 43 millions de dollars pour la catastrophe et a déposé une action en "limitation de responsabilité" devant un tribunal fédéral le 1er avril, invoquant une loi peu connue. utilisé en droit maritime.
La plainte demande à un juge fédéral de regrouper les réclamations contre la société devant le tribunal de district américain du Maryland et soit de déclarer la société non responsable du tout, soit de plafonner sa responsabilité à 43 millions de dollars, ce qui, selon la société, correspond à la valeur du navire et de son fret. .»
Quel sera alors le résultat ?
Ce sur quoi nous sommes tous d'accord, c'est que Baltimore est un petit port bondé où ces immenses cargos dotés de systèmes mécaniques douteux, de réseaux informatiques complexes, de petits équipages étrangers aux références inconnues et d'un accompagnement de remorqueurs insuffisant, doivent effectuer des manœuvres complexes pour atteindre les eaux libres. .
Et si vous regardez les photos satellites, l’espace entre les pylônes du pont n’était pas si grand. Pourtant, le port est autorisé à accueillir des cargos deux fois plus grands que Dali.
RépondreSupprimer- voir clip sur site -
À l’instar de la catastrophe de la navette spatiale Challenger en 1985, que j’ai vécue à la NASA, le crash de Dali était donc de l’ordre d’un « accident imminent ». Un expert en sécurité et en risques que j'ai consulté confirme qu'il existe quelque part à Baltimore un système documenté d'atténuation des risques contenant un tel accident, de sorte qu'il devait y avoir des personnes sur les lieux qui n'étaient pas surprises . " L'expert a déclaré : " La possibilité d'une telle situation a été prise en compte dans une évaluation des risques, mais tous les traitements des risques ne sont pas possibles. "
Que savons-nous d'autre?
De toute évidence, alors que Dali se déplaçait le long du canal sous le pont, il y a eu deux pannes de courant sur les navires, et non une seule comme indiqué initialement.
Selon certaines informations, deux minutes d'audio sur les enregistreurs du navire n'ont pas été diffusées. Et pourquoi y a-t-il eu des pannes de courant totales, et pas seulement un moteur qui s'est arrêté et a dû redémarrer ?
Nous ne le saurons peut-être jamais.
Ce que je veux dire pour l'instant, c'est qu'il suffit de réaliser que, compte tenu des systèmes de sécurité modernes, des « scénarios de défaillance » existent pour chaque pièce majeure de machinerie commerciale ou industrielle existante.
Le problème devient donc une « atténuation » du risque, ainsi que ce que vous êtes prêt à payer pour cela. Cela implique une évaluation des conséquences possibles d’un échec et du montant que vous êtes prêt à débourser pour la prévention.
Le système d'évaluation des risques devait être conscient et avoir documenté que si un navire de la taille de Dali heurtait un pylône, la structure entière du pont était probablement « éteinte ». Pour ceux qui sont au courant, et il doit y avoir de telles personnes, l’incident n’aurait pas été une « surprise ».
RépondreSupprimerL'une des principales mesures d'atténuation des risques rencontrées par les autorités portuaires de Baltimore était d'avoir à bord un ou plusieurs pilotes locaux expérimentés pour conseiller le capitaine du navire sur la manière d'atteindre et de rester dans le chenal entre les pylônes du pont, lui permettant ainsi d'atteindre les eaux libres en toute sécurité. de la baie de Chesapeake. Apparemment, Dali avait deux de ces pilotes locaux.
Mais il existait une deuxième source possible d’atténuation des risques : à savoir les remorqueurs .
Apparemment, lorsque le Dali a quitté son poste d'amarrage du côté Dundalk du port, deux remorqueurs se sont déplacés à côté de lui pour assurer un guidage sûr. On ne sait pas encore quand les remorqueurs se sont détachés, laissant le navire exécuter une manœuvre complexe pour faire demi-tour et descendre le fleuve. Nous savons cependant que l'équipage de Dali a effectivement demandé l'aide d'un remorqueur lors de son appel Mayday. Pour cela, il était trop tard.
Mais pourquoi les remorqueurs du port ne sont-ils pas restés avec le Dali alors qu'il s'apprêtait à emprunter le passage relativement étroit entre les pylônes du pont ? Mon consultant expert reprend la parole : « Il serait financièrement impossible d’avoir une flotte de remorqueurs suffisamment grande pour protéger chaque navire entrant et sortant. »
L'un des facteurs ayant conduit à cette impossibilité était peut-être l'impact d'une flotte de remorqueurs plus importante sur la compétitivité de Baltimore par rapport aux autres ports. Et comme dans notre système financier capitaliste, chaque coût supplémentaire affecte les résultats financiers et détermine donc les profits des propriétaires, les coins sont toujours rognés.
Pourtant, quelque part en cours de route, les responsables auraient dû faire un calcul estimant les probabilités d’une défaillance catastrophique du système par rapport aux coûts de son atténuation avec davantage de remorqueurs ou des réglementations plus strictes.
RépondreSupprimerCe calcul aurait correctement évalué les conséquences humaines et économiques d'une rupture de pont ; par exemple, ce à quoi nous sommes confrontés aujourd'hui, à savoir la fermeture temporaire d'un port et la suspension de milliers d'emplois, ainsi que cinq à sept ans pour reconstruire une artère de transport majeure qui permet d'acheminer d'énormes quantités de matières dangereuses et d'autres produits le long du corridor de la côte Est.
Puis, considérant un arrêt comme inacceptable, une source de financement extérieure telle que le Département américain des transports aurait pu intervenir pour payer les remorqueurs supplémentaires ou d'autres coûts . Aujourd’hui, le président Joe Biden affirme que le gouvernement fédéral paiera la totalité du coût de la reconstruction, peut-être 2 milliards de dollars. C'est ce qu'on appelle le recul ; peut-être que son offre arrive un peu tard.
Ma prévision est qu'au final, aucun individu ne sera inculpé, que les propriétaires s'en tireront avec une évaluation des dommages qui n'est qu'une goutte d'eau par rapport à la perte économique, et que les capitalistes qui profitent du système assureront que cette gigantesque cargaison les navires dotés de dispositifs de sécurité à risque continueront à opérer dans les ports américains comme Baltimore, qui ont été construits à une époque antérieure.
Pendant ce temps, le contribuable paiera la facture des incidents, avec des coûts encore plus élevés si des municipalités comme Baltimore doivent emprunter de l'argent sur les marchés des capitaux. Ou bien le gouvernement fédéral peut s’attaquer à un déficit déjà incontrôlable.
Il semble qu’en fin de compte, la stratégie d’atténuation des risques pour le pont Francis Scott Key était simplement, comme ma femme me l’a dit : « Croisez les doigts ».
Lorsque je travaillais à la NASA, lorsque j'ai vu la navette spatiale Challenger exploser le 28 janvier 1986, c'était également la stratégie d'atténuation des risques de la NASA.
https://www.globalresearch.ca/baltimore-frances-scott-key-bridge-disaster-declared-crime-scene/5853998
Vendredi, une grue de 1 000 tonnes (907 tonnes), la plus grande de la côte est, est arrivée sur les lieux de la catastrophe pour aider à dégager la voie navigable. Les autorités fédérales et étatiques affirment que l’on ne sait toujours pas exactement combien de temps il faudra pour reprendre le trafic de marchandises.
RépondreSupprimerL'épave tordue du pont de 2,6 km (1,6 miles) – dont des morceaux sont encore enroulés autour du Dali, qui transportait 4 700 conteneurs – empêche les cargos de naviguer sur le seul canal qui relie le port à l'océan Atlantique.
Menace sur la chaîne d’approvisionnement
C'est une mauvaise nouvelle pour les chaînes d'approvisionnement mondiales, car les ports de la côte est des États-Unis sont devenus plus importants ces dernières années avec la pression de Washington en faveur du « friendshoring ».
Les ports de la côte est des États-Unis ont gagné des parts de marché dans les importations totales et asiatiques par rapport aux ports du Pacifique – en raison de facteurs tels que la pandémie et les guerres commerciales, mais aussi de problèmes de chaîne d’approvisionnement tels que la congestion, l’expansion et l’efficacité des infrastructures.
Les États-Unis ont intensifié leurs échanges commerciaux avec les pays dits amis tout en essayant de se diversifier en dehors de la Chine dans un contexte de tensions géopolitiques.
Une plus grande partie du commerce avec la Chine s'effectue via les ports de la côte ouest des États-Unis, tandis que les expéditions à destination et en provenance de pays d'Asie du Sud comme le Vietnam, la Malaisie, l'Inde et le Bangladesh utilisent souvent les ports de la côte est malgré leur plus grande distance. En effet, le Dali, immatriculé à Singapour, était à destination du Sri Lanka.
Cliquez ici pour lire l'article complet sur SCMP :
RépondreSupprimerhttps://www.globalresearch.ca/baltimore-bridge-collapse-impact-global-trade/5853958
Brève. Nouvelles du Japon
RépondreSupprimerle 5 avril 2024
En arrivant depuis Papeete à l’aéroport de Tokyo-Narita ce vendredi soir 5 avril, après un vol de jour de 11h30 en raison du décalage horaire, le premier étonnement fut l’incroyable nombre de voyageurs provenant de divers pays d’extrême orient. Mon fils, pourtant un habitué de cet endroit, fut étonné par cette foule qui se retrouva ensuite sur le quai du train pour se rendre dans le centre de Tokyo. Personne ne parlait le japonais. Il y a avait un mélange de Coréens, de Chinois, d’Indonésiens … Tout s’explique si on considère la situation globale des taux de change et des taux directeurs des banques centrales. Celui de la BoJ n’est pas attractif et le yen est considérablement déprécié par rapport au dollar, le roi qui commande encore tout à ses subordonnés, mais également par rapport aux autres devises de la région. Il est alors très attractif de se rendre au Japon, le coût de la vie quotidienne rejoignant celui de la Thaïlande il y a une douzaine d’années !
La comparaison s’arrête là car l’économie japonaise est juste foisonnante et les investisseurs se ruent pour acheter des yens qu’ils négocient alors sur les marchés à bon compte pour acquérir d’autres devises et spéculer sur le Forex et les indices. Et pendant ce temps-là les banques américaines telle JP Morgan s’ingénient pour le maintien du prix de l’or dans le but de masquer la longue descente aux enfers du dollar. Il semble que pour le gouverneur de la BoJ l’or du pays est la force de son industrie et les Japonais n’éprouvent aucune douleur quotidienne avec leur yen dévalué s’ils restent dans leur pays dans la mesure où le moindre vol international est devenu inaccessible.
Que les futurs visiteurs à destination de l’Empire du Soleil Levant se rassurent : il n’y aura pas de mouvements sociaux, les trains seront toujours propres et à l’heure et les petits supermarchés de quartier resteront ouverts 24 heures sur 24 et bien achalandés malgré un doublement du prix des denrées importées que les consommateurs bouderont, peut-être par civisme. Un pays « tiers-mondialisé », non ! Simplement victime des taux de change et ce n’est pas une raison pour déclarer haut et fort que l’économie allemande a dépassé celle du Japon (lire la note en fin d’article). Une telle déclaration des économistes prouvent bien qu’ils ne comprennent plus rien au système financier globalisé par l’Occident car ce dernier est artificiel et cette sorte de verrue maligne caractérisée par les effets du Forex sur le yen est un premier signe de la grave maladie que va traverser l’édifice financier et monétaire mondial dans un avenir de plus en plus proche. Je ne partage mon analyse qu’avec moi-même.
Note. Dans l’avion d’Air Tahiti mon fils a bavardé avec son voisin, un Allemand communiquant en anglais. Il lui affirma que l’Allemagne avait fait le bon choix en abandonnant le nucléaire et en hérissant son territoire de moulins à vent car il s’agissait pour lui de la « vraie transition énergétique renouvelable » que désirent les Verts. En dix ans l’Allemagne a mis en œuvre un politique énergétique adossée au vent et au soleil. Sans gaz provenant de Russie cette transition est intenable car la tendance actuelle du citoyen allemand est d’oublier ce gaz russe. La conséquence est la ruine de l’économie allemande dont il ne faut pas parler. Les propos tenus par cet Allemand montrent à quel point le parti « verts » d’Allemagne a réussi à devenir le maître incontesté du pays.
RépondreSupprimerhttps://jacqueshenry.wordpress.com/2024/04/05/breve-nouvelles-du-japon/
Une mauvaise herbe invasive (en Australie) pourrait être transformée en une culture économiquement viable
RépondreSupprimer6 Avril 2024
University of South Australia*
L'une des mauvaises herbes les plus envahissantes d'Australie est présentée comme une culture économique potentielle, avec des avantages pour les secteurs de la construction, de l'exploitation minière et forestière, et potentiellement pour de nombreuses communautés des Premières Nations.
Le concombre groseille [Cucumis myriocarpus], qui coûte à l'industrie agricole environ 100 millions de dollars par an en pertes de rendement céréalier, en décès de bétail et en mesures de lutte, pourrait devenir une source improbable de revenus en tant que source d'enzymes uréasiquees pour créer du biociment et prévenir l'érosion des sols.
Dans le cadre d'une étude inédite au niveau mondial, des chercheurs de l'Université d'Australie-Méridionale (UniSA) ont passé au crible 50 plantes et mauvaises herbes indigènes afin de trouver une source moins coûteuse et plus respectueuse de l'environnement pour la production en masse d'enzymes uréasiques destinées à renforcer les sols.
Parmi les mauvaises herbes testées, le concombre groseille répondait à toutes les exigences et était presque aussi efficace que les enzymes de soja, qui sont plus chères et utilisées principalement pour l'alimentation.
Le professeur Mizanur Rahman, ingénieur géotechnicien à l'UniSA, et ses étudiants ont récolté le concombre groseille sur les bords de route à Port Pirie, en Australie Méridionale. Après avoir broyé les graines et extrait les enzymes sous forme liquide, ils les ont lyophilisées pour créer un agent de cimentation en poudre à forte concentration.
« Grâce à cette technique, nous avons réduit le temps de cimentation d'une semaine à six heures », explique le professeur Rahman.
Les plantes individuelles peuvent donner 50 concombres groseilles ou plus, chacun contenant jusqu'à 200 graines viables. En tenant compte du temps nécessaire à la récolte, à l'extraction des graines et à leur transformation en poudre, les chercheurs de l'UniSA ont estimé à 75 % l'économie réalisée par rapport aux coûts de production d'enzymes de qualité laboratoire.
Les enzymes uréasiques d'origine végétale deviennent une alternative populaire au ciment, à la chaux ou aux liants artificiels pour le sol, car elles sont naturelles et ne nuisent pas à l'environnement. Un kilogramme de ciment produit un kilogramme de dioxyde de carbone, ce qui fait de l'industrie de la construction l'un des plus gros émetteurs de CO2.
« Par rapport à la production d'enzymes commerciales, les enzymes de concombre groseille sont moins chères, plus durables et plus efficaces que les autres enzymes utilisées pour cimenter et stabiliser les sols.
« Non seulement nous avons trouvé une alternative naturelle aux autres enzymes commerciales, mais nous pourrions également résoudre un problème très coûteux pour l'industrie agricole en récoltant ces mauvaises herbes, en réduisant la disponibilité des graines pour la dissémination, en préservant la biodiversité et en cultivant le concombre groseille comme une culture commerciale. »
RépondreSupprimerLes secteurs de la construction, de la sylviculture et de l'exploitation minière sont tous susceptibles de bénéficier de ces recherches, mais certaines communautés des Premières Nations pourraient également en tirer un avantage inattendu, selon le professeur Rahman.
« Le concombre groseille est une mauvaise herbe envahissante sur de nombreuses terres autochtones et l'érosion des sols est un autre problème majeur. Notre découverte pourrait répondre à ces deux préoccupations et contribuer à la conservation ou à la réhabilitation de la biodiversité. »
Les enzymes du concombre groseille pourraient également être utilisées pour stabiliser les digues de retenue et les recouvrir d'une fine croûte naturelle, empêchant ainsi les déchets toxiques de s'échapper.
Dans les plantations forestières, un herbicide est normalement appliqué à la base des arbres cultivés commercialement pour contrôler les mauvaises herbes.
« Les herbicides sont non seulement nocifs pour l'environnement, mais les mauvaises herbes développent souvent une résistance à ces produits chimiques », explique le professeur Rahman. « La pulvérisation d'une solution d'enzymes de concombre groseille autour des arbres créerait une fine croûte qui empêcherait complètement les mauvaises herbes de pousser. En fait, nous utilisons une mauvaise herbe pour contrôler une mauvaise herbe. »
Le professeur Rahman affirme que les réactions des secteurs industriels ont été très positives.
RépondreSupprimer« Le concombre groseille est l'adventice la plus importante dans les zones de jachère australiennes, affectant les cultures céréalières. La gestion de cette plante envahissante est cruciale en raison de son impact négatif sur les systèmes agricoles, la biodiversité et le bétail de pâturage.
« Je pense que nous avons trouvé une solution gagnant-gagnant qui aide non seulement les agriculteurs, mais qui offre également une option de cimentation naturelle pour plusieurs industries et qui peut aider les propriétaires traditionnels à protéger ou à reconstruire les terres qu'ils gèrent. »
Les résultats de la recherche ont été publiés dans Géotechnique et présentés lors de la troisième Conférence Internationale sur le Génie Civil et l'Architecture Durables, qui s'est tenue au Viêt Nam.
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* Source : Invasive weed could be turned into a viable economic crop - News and events - University of South Australia (unisa.edu.au)
https://seppi.over-blog.com/2024/04/une-mauvaise-herbe-invasive-en-australie-pourrait-etre-transformee-en-une-culture-economiquement-viable.html
Dr Astrid Stuckelberger
RépondreSupprimer@Stuckelberger
🚨 L'avertissement de santé publique international le plus urgent concernant le problème le plus négligé ➡️ la preuve du risque élevé des rayonnements technologiques 5G pour la santé humaine et animale et la nature ! ➡️ Preuve de connectivité au matériau injecté
➡️ Des tours 5G ont fleuri sans notre consentement #NoConsent #5G
-voir clip sur site :
https://twitter.com/Stuckelberger/status/1775656891445563475?cn=ZmxleGlibGVfcmVjcw%3D%3D
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