« Toi qui n'es pas vacciné, c’est toi le problème » – Destins de personnes vaccinées
01.09.2023 www.kla.tv/26914
Pendant la pandémie de Covid et la propagande en faveur de la vaccination, de nombreux politiciens, présentateurs et personnalités célèbres ont tenu des propos diffamatoires à l'encontre de la population non vaccinée. Kla.TV présente dans cette émission de nombreux exemples montrant comment une pression sociale massive a été exercée sur la population pour qu'elle se fasse vacciner. Voyez en comparaison les destins de personnes célèbres, victimes de la vaccination, qui ont suivi la propagande sur la vaccination ou qui ont cédé à la pression.
Les opposants à la vaccination semblaient avoir un penchant pour la mort. Les opposants au masque deviennent des opposants à la vaccination. Ce n’est pas seulement leur propre vie qu’ils mettent en danger. Nous devons commencer à faire des choses pour le plus grand bien de la société, et non pour des idiots qui pensent pouvoir faire leurs propres recherches. Et surtout ne pas commencer pas avec les fous qui refusent de se faire vacciner contre le COVID. La vie est trop courte pour être un enfoiré. La vie est bien trop courte pour ignorer la promesse qui vient en aide aux individus dans le monde entier. Ceux qui ne sont pas vaccinés finiront par en payer le prix.
Ceux qui ne sont pas vaccinés devraient être taxés, ils devraient payer plus pour les soins de santé. Nous devons commencer à considérer la décision de ne pas être vacciné (non vacciné) exactement comme nous considérons les automobilistes ivres. Le Dr Fauci a déclaré que si les hôpitaux devaient encore plus compter sur le privé, ils devraient prendre des décisions très dures : Qui aura un lit en soins intensifs ? Et ce choix ne me semble pas si difficile. Une personne vaccinée a une crise cardiaque : oui, entrez tout de suite, on va s'occuper de vous ! Un type non vacciné qui a ingéré du gel pour cheval : Repose en paix ! Doux rêveur ! En rejetant les non vaccinés qui posent vraiment problème dans ce pays. Littéralement, les seules personnes qui meurent sont celles qui ne sont pas vaccinées. Et pour ceux d'entre vous qui diffusent de la désinformation, honte à vous ! Le basketteur ne voulait pas se faire vacciner, mais il y a été contraint et maintenant sa carrière est terminée.
Un mannequin de 29 ans souffre de convulsions persistantes après la 2e vaccination ARNm de Pfizer.* Une star de téléréalité meurt à 30 ans d'un cancer provoqué par les vaccinations. Une ballerine de 20 ans meurt d'une « mort cardiaque subite » après avoir été vaccinée. Un joueur de hurling de 29 ans meurt dans un tragique accident suite à un effondrement dû à la vaccination. Le roi de la musique pop colombienne meurt subitement après avoir reçu sa troisième dose de vaccin. Le chanteur de country meurt des effets secondaires de la vaccination quelques heures après son mariage. « Je veux que vous sachiez que j'ai eu 2 vaccins et le rappel ! J'ai voyagé, je suis allée deux fois au Mexique, j'ai participé à des expositions, j'ai rencontré et accueilli des gens, et je n'ai jamais contracté le Covid - bien sûr ! Jésus m'aime plus que tout ! Vraiment ! Si beau, si beau... ! »
Toi qui n'es pas vacciné, tu es le problème. Ce sont les non vaccinés qui sont le problème. Point - Fin de l'histoire.
Ce sont les seules personnes que tu peux accuser. Ce n'est pas une honte. C'est la vérité. Peut-être devriez-vous avoir honte de ceux qui ne sont pas vaccinés. Il est temps d’accuser ceux qui ne sont pas vaccinés, pas les gens normaux. Tous ceux avec qui tu as été en contact t’accuseront. Comme tous ceux d'entre nous, qui ont fait ce qu'il fallait en nous faisant vacciner.
Parce que, honnêtement, nous savons que nous ne pouvons pas faire confiance à ceux qui ne sont pas vaccinés. Je pense qu'il est temps de mettre de l'ordre dans notre moralité. Ce sont les non vaccinés qui constituent la menace. En fait, ils punissent les vaccinés, pour les péchés des non vaccinés. En fait, les non vaccinés sont arrogants. Ils se promènent dans le pays en disant : Haha, on s'en fout, on vit libre, etc.
Vous avez été patients, mais notre patience est à bout.
Les non vaccinés, un groupe qui comprend aussi des enfants, et des gens qui se comportent comme des enfants. Et nous, nous commençons à nous énerver. Les vaccinés ressentent que les non vaccinés les mettent en colère ou les énervent ! Ça n'a rien à voir avec la liberté ou le choix personnel. Eh bien, en quelque sorte ma liberté est contrariée. Non, oubliez votre liberté ! L'autre jour, Howard Stern a exprimé une approche très différente, regardez : « Quand est-ce qu’on cessera de supporter les idiots de ce pays et qu’on dira simplement : Maintenant, c’est obligatoire de se faire vacciner ! » Mais ils marchent sur notre liberté et ils rendent d'autres personnes malades, et au fond, ils tuent d'autres personnes.
Un footballeur de 21 ans meurt sur le terrain. Une nouvelle victime de la vaccination meurtrière par ARNm. Un joueur de kabaddi de 22 ans meurt d'une crise cardiaque pendant un match. Une autre victime des vaccins toxiques. Un sportif de 24 ans meurt subitement après s'être effondré pendant un match à cause des vaccins. Un jeune kickboxeur s'effondre sur le ring après avoir reçu une injection génique et meurt. Une danseuse de 20 ans meurt d'une crise cardiaque sur scène, une autre victime tragique de la vaccination Joueur de hockey sur glace de 20 ans, meurt pendant un tournoi des effets secondaires du vaccin. Un joueur de hockey sur glace meurt en plein match d'un arrêt cardiaque dû au vaccin. Un footballeur de 20 ans s'effondre sur le terrain et meurt des effets secondaires mortels du vaccin. Un danseur s'effondre sur scène et meurt à cause de la vaccination mortelle Un sportif meurt d'un « arrêt cardiaque » lors d'une course cycliste, après les vaccinations Un marathonien de 32 ans décède juste avant la ligne d'arrivée d'une crise cardiaque provoquée par la vaccination
L'entraîneur meurt d'une crise cardiaque causée par les vaccins pendant une séance d'entraînement. Un coureur meurt lors du marathon de Kuala Lumpur après avoir été vacciné. Un footballeur meurt d'une crise cardiaque sur le terrain, comme de nombreux autres sportifs après avoir été vaccinés. Un joueur de handball meurt en plein match, et un autre à l'hôpital, après avoir subi un arrêt cardiaque dû à une vaccination. Un milieu de terrain de 22 ans meurt d'une crise cardiaque après s'être effondré à l'entraînement. Une autre mort subite, d'un sportif en bonne santé, après avoir été vacciné.
« Et tout cela après l'injection d'une arme biologique dont nous savons avec une certitude absolue qu'elle provoque des myocardites et d'autres problèmes cardiaques chez les jeunes gens en bonne santé qui en reçoivent ! Ne laissez pas les médias vous faire douter et vous faire croire qu'il est normal et courant que des sportifs tombent raides morts. Ce n'est pas le cas et ça ne l'a jamais été, du moins jusqu'à il y a quelques années. »
Et voici pourquoi nous, les Verts, nous disons qu'il faut maintenant, premièrement une limitation de contacts des adultes non vaccinés, deuxièmement que les commerces soient enfin fermés aux personnes non vaccinées et troisièmement - ce qui nous fait particulièrement mal - que tous les événements sportifs et de loisirs avec du public leur soient interdits. Je suis vraiment heureuse que le nouveau gouvernement de coalition se mette en route pour introduire une vaccination obligatoire générale et je m'attends à ce que les préparatifs commencent dès maintenant.
Oui, nous sommes arrivés à un point où l'État doit augmenter la pression sur les vaccino-sceptiques pour leur dire clairement : « Vous ne pouvez plus vous contenter d'attendre. » Eh bien, merci de tout cœur à tous les non vaccinés, grâce à vous il risque d’y avoir un confinement l'hiver prochain !
Une triathlète souffre de douleurs constantes et extrêmes après avoir été vaccinée contre le Covid : « Le 13 avril, j'ai reçu avec enthousiasme ma deuxième injection de Pfizer. À ce moment-là, toute ma vie a changé. Nous sommes une vérité qui dérange, les vaccinations causent de graves dommages qui changent la vie. » Un basketteur de 26 ans est victime d'une thrombose peu après la vaccination Covid-19 : « Tout cela s'est passé en l'espace d'un mois. Jusqu'à ce que je sois vaccinée, j'allais bien ! Et on m'a dit de n'en parler à personne. Oui, la vaccination a mis fin à ma saison à 1000%. »
Frank Montgomery, de l'Ordre fédéral des médecins : « Il y a une étude intéressante de l'université de Hambourg. Ils viennent de constater qu'il y a des gens qui, maintenant, ne veulent plus se faire vacciner pour défier l'Etat, une sorte de « révolte fondamentale contre tout ». C'est bien sûr une évolution inquiétante. Ils se promènent partout avec un signe 3U, c'est-à-dire « non vacciné, non testé, irréductible ». Je pense qu'ils devraient écrire 4U et ajouter « incroyablement stupide ». Mais il y aura toujours des personnes que rien ni personne ne pourra atteindre, quelles qu’en soient les raisons. Mais la plupart du temps, elles se trouvent parmi celles qui viennent d’être mentionnées et pas n’importe où. »
Robert Habeck, vice-chancelier : « Il y aura une différence dans l'accès aux droits et à la liberté de vivre entre vaccinés et non vaccinés. » N'oubliez pas que de nombreuses choses deviendront inconfortables pour eux s’ils ne se font pas vacciner.
Boris Palmer, maire de Tübingen : « On pourrait faire dépendre le versement des pensions, des retraites, ou même de l'accès au travail à la présentation d'une preuve de vaccination. » Frank U. Montgomery, Chambre fédérale des médecins : « Car, nous assistons maintenant à une véritable tyrannie des non vaccinés. Une tyrannie ? Oui, j'utilise délibérément le terme de tyrannie. » Karin Keller-Sutter : « J’aimerais appeler les personnes qui nous écoutent aujourd'hui à se vacciner, à faire leurs rappels. »
C'est le cas du colonel italien Gagliano, qui est mort peu après avoir été vacciné. Son ami a témoigné dans une vidéo émouvante que celui-ci avait été forcé de se faire vacciner contre le Covid. Lorsqu'il est décédé quelques jours après la vaccination, le commandement de la police italienne a indiqué comme cause officielle de sa mort qu'il était mort des suites du Covid. Son ami est très en colère et veut faire savoir partout qu'il est mort à cause de la vaccination.
Il semble également significatif que plusieurs défenseurs de la vaccination soient décédés après avoir été vaccinés. Parmi eux, le développeur de l'application de vaccination Covid du CDC, le compositeur de la chanson publicitaire « Trouver le vaccin » et l'homme de 38 ans qui a demandé l'incarcération des personnes non vaccinées sont morts d'une insuffisance cardiaque aiguë.
La cavalière australienne star est hospitalisée pour des thromboses après avoir été vaccinée par Pfizer On m'a dit : pas de vaccination, pas de travail. J'ai donc fait ce que j'avais à faire. J'étais une jeune fille de 19 ans parfaitement saine et normale, super active, et je n'avais jamais été hospitalisée. Une chanteuse espagnole raconte qu'elle a failli mourir quelques jours après avoir été vaccinée. L'injection lui a fait perdre un doigt et ses pieds sont devenus noirs. Un boxeur de 36 ans est cloué au lit et incapable de travailler depuis sa 3e dose du « vaccin » Pfizer. Je veux juste me remettre sur pied, me lever de mon lit et que mon rythme cardiaque redevienne normal ! L'athlète olympique de 24 ans a du mal à se débrouiller seule après avoir reçu le vaccin de Pfizer et a voulu mettre fin à ses jours.
« Avant, j'étais dans l'équipe olympique de natation synchronisée et je m'entraînais six jours par semaine, dix heures par jour. J'étais incroyablement hyperactive, j'étais toujours connue comme celle qui courait sur le plateau et faisait des choses stupides, comme faire des culbutes quand je n'aurais pas dû, et ce genre de choses. On m'a demandé de me faire vacciner deux fois pour pouvoir travailler dans le cinéma, et je l'ai tout de suite regretté, car dès qu'ils me l'ont injecté dans le bras, je me suis dit : Qu'est-ce que j'ai fait ? Je ne peux pas décrire à quel point c'était horrible, j'avais la tête qui tournait et je rampais littéralement ! Je pensais que ma vie était finie parce que je n'étais même plus capable de cuisiner, de me lever ou de m'occuper de moi. Ma mère venait me voir, deux fois par semaine je crois, pour changer les draps, faire les courses et nettoyer mon appartement. »
Karl Lauterbach, du SPD, ministre de la santé allemand : « Les personnes non vaccinées seront soit vaccinées, soit guéries, soit malheureusement décédées d'ici mars. » Friedrich Merz, président de la CDU : "Plus aucun non vacciné au bureau". Joachim Gauck, ancien président de la République fédérale d'Allemagne : « Les sceptiques de la vaccination sont des débiles. » Rainer Stinner, du FDP : « Aucun opposant à la vaccination ne sera traité comme un ennemi public. On espère juste qu'il ne pourra bientôt plus se mêler aux autres parce qu'il est un dangereux parasite social. » Markus Söder, du CSU, ministre-président : « Nous devons faire attention à ne pas avoir une pandémie de non vaccinés. » Marie-Agnes Strack-Zimmermann, membre du bureau fédéral du FDP : « Les non vaccinés ne doivent pas être une minorité qui terrorise la majorité. » Tobias Hans, CDU, ministre-président : « Il est important d'envoyer un message clair aux non vaccinés : Vous êtes désormais exclus de la vie sociale. » Stephan Weil, SPD, ministre-président de Basse-Saxe : « Les non vaccinés sont responsables des percées vaccinales des vaccinés. » Hendrik Wüst, CDU, ministre-président de Rhénanie-du-Nord-Westphalie : « Maintenant, nous nous occupons des non vaccinés et nous introduisons une vaccination obligatoire. » Clemens Hoch, SPD, ministre de la Santé de Rhénanie-Palatinat : "Tous ceux qui ne veulent toujours pas se faire vacciner doivent s'attendre à ce qu'on les surveille attentivement." Andreas Lob-Hüdepohl, membre du Conseil d'éthique allemand : « Je ne vois pas de clivage. Les gens se classent eux-mêmes dans un camp en ne se faisant pas vacciner alors qu'ils peuvent se faire vacciner. »
Boris Palmer, Les Verts, maire de Tübingen : « Si les gens savaient que ça coûte 5 000 euros de ne pas être vacciné, nous aurions un taux de vaccination de 98% en quatre semaines. » Detlef Scheele, chef de l'Agence fédérale pour l'emploi : « En tant qu'agence fédérale, nous devons nous aussi examiner si l'absence de vaccination entraîne une période de quarantaine. » Manuela Schwesig, SPD, ministre-présidente : « Faire du shopping, se rencontrer en privé, aller au restaurant, ça ne doit plus être possible pour les non vaccinées. »
[ !] France, décembre 2022 : De nombreuses photos alignées de personnes mortes du vaccin Covid, jeunes pour la plupart, ont glacé les gens dans plusieurs villes françaises ! [ !] Allemagne, janvier 2023 : Une action de lits de camps devant le Bundestag allemand a pour but de faire prendre conscience à la population et aux politiques des énormes dégâts causés par la vaccination Covid. [ !] Cri d'alarme en provenance d'Israël : Des citoyens israéliens désespérés ont témoigné devant la caméra comment ils souffrent d'effets secondaires très graves et de décès dans leur entourage après avoir reçu le vaccin Covid. [ !] Avril 2021 : Le documentaire de Kla.TV « Appel au réveil urgent : Des décès par milliers après la vaccination Covid19 » a fourni les chiffres très alarmants des décès survenus dans les maisons de retraite allemandes juste après le début de la vaccination. [ !] Dans le monde entier, de vastes bases de données témoignent du sort d'innombrables sportifs de haut niveau qui se sont soudainement effondrés et sont même souvent morts immédiatement après avoir été vaccinés.
Une dresseuse de chevaux de 23 ans est morte après que son patron lui a ordonné de se faire vacciner. « Je suis la mère de Caitlin Gotze. Il y a 12 semaines, le 17 novembre 2021, elle est tombée raide morte au travail. Dans le mail qu'elle m'a envoyé, elle a dit qu'elle avait l'impression de mourir après la deuxième vaccination. C'est ma petite fille, et elle aurait dû vivre encore 75 ans ! Elle étudiait, elle voulait être vétérinaire. »
Günter Jauch, présentateur dehttps://www.kla.tv/fr télévision : « Je n'ai aucune compréhension pour les gens qui ne veulent pas se faire vacciner. » Jörg Kachelmann, présentateur : « Ce n'est pas seulement le personnel soignant non vacciné qui cherche à perdre sa vie, mais aussi le groupe de racailles non vaccinées qui, dans une tradition fasciste, sépare la vie qui est digne de celle qui ne l’est pas. » Mariele Millowitsch : « Pour moi, c'est clair, je ne veux plus travailler avec quelqu'un qui n'est pas vacciné. »
Nikolaus Blome, chef du service politique de RTL et n-tv.de : « Je voudrais en revanche demander ici explicitement des désavantages sociaux pour tous ceux qui renoncent volontairement à se faire vacciner. Puisse la République entière les montrer du doigt. » Charlotte Würdig, présentatrice : « Je ne laisse pas entrer les personnes non vaccinées à Noël. » Peter Maffay : « Celui qui n'est pas vacciné ne peut pas fréquenter d’autres personnes. »
Il y a 3 ANS (les merdias) annonçaient l'arrivée non-pas d'un microbe mais d'une poussière (appelée 'virus'). Or, cette poussière ne se trouve PAS dans l'air (il y a des milliers de laboratoires dans le monde qui tous les jours analysent la 'qualité de l'air'). Et... n'ont rien trouvé !! Çà alors !!
L'ivermectine est un remède éprouvé contre le Covid. Ne laissez personne vous dire le contraire.
Par Paul Craig Roberts PaulCraigRoberts.org 2 septembre 2023
Au cours des années de la tromperie du Covid-19, j’ai signalé que le Covid était rare dans les régions d’Afrique où l’ivermectine était utilisée chaque semaine comme préventif de la cécité des rivières et où l’HCQ était utilisée comme préventif du paludisme. J’ai également signalé qu’une grande partie de l’Inde utilisait l’ivermectine à titre préventif et curatif et était peu gênée par Covid. Idem au Brésil et au Pérou. Partout où l’ivermectine a été utilisée, il n’y a pas eu de décès supplémentaires. Finalement, les Japonais ont reconnu les vertus de l’ivermectine et l’ont adopté comme remède officiel, car le « vaccin » tant vanté s’est avéré n’offrir aucune protection mais constituait une menace sérieuse pour la vie et la santé.
Aujourd’hui, l’establishment médical tente toujours de supprimer l’ivermectine et l’HCQ, et pour les mêmes raisons que lors de la prétendue « pandémie ». Une prévention et un traitement peu coûteux font obstacle aux profits des grandes sociétés pharmaceutiques et aux mandats de vaccination, de masques et de confinement.
Les années Covid m’ont appris que relativement peu de médecins sont compétents, capables de penser de manière indépendante et ont intérêt à trouver des médicaments approuvés, comme l’ivermectine, efficaces contre les nouveaux agents pathogènes. Ces médecins ont sauvé la vie de patients, au grand désarroi de l’establishment médical, et les médecins qui ont sauvé la vie de leurs patients sont toujours punis pour cela.
En septembre 2021, l’American Medical Association, corrompue, a demandé aux médecins d’arrêter de prescrire l’ivermectine pour le COVID-19. Dans un communiqué, l'AMA, ainsi que l'American Pharmacists Association (APhA) et l'American Society of Health-System Pharmacists (ASHP), ont averti :
« Nous sommes alarmés par les informations selon lesquelles la prescription et la délivrance ambulatoires d’ivermectine ont été multipliées par 24 depuis avant la pandémie et ont augmenté de façon exponentielle au cours des derniers mois. C’est pourquoi nous demandons l’arrêt immédiat de la prescription, de la délivrance et de l’utilisation de l’ivermectine pour la prévention et le traitement du COVID-19 en dehors d’un essai clinique.
« En outre, nous exhortons les médecins, les pharmaciens et les autres prescripteurs – les professionnels de santé de confiance dans leurs communautés – à mettre en garde les patients contre l'utilisation de l'ivermectine en dehors des indications et des directives approuvées par la FDA, qu'elle soit destinée à être utilisée chez l'homme ou l'animal, car ainsi que l’achat d’ivermectine dans les magasins en ligne.
» demande le Dr Joseph Mercola. « Combien sont morts inutilement à cause de ces ordres ?
La question de Mercola est bonne. Ceux qui sont morts du Covid sont morts faute de soins. Pour qu’un vaccin non testé puisse être utilisé dans le cadre d’une « autorisation d’utilisation d’urgence », il ne doit pas exister de remède. C’est pourquoi l’establishment médical, qui sert d’agent de marketing pour Big Pharma, a dû nier l’existence de remèdes et empêcher les médecins de guérir les patients avec l’ivermectine et l’HCQ avant que la connaissance du remède ne se répande. Sinon, les objectifs servis par le Death Shot seraient bloqués.
Maintenant que l’établissement médical dispose d’une nouvelle variante du Covid pour effrayer les gens et d’un vaccin dangereux mis à jour, on parle d’une nouvelle série de mandats de vaccin, de masque et de confinement.
Ces mesures sont très dangereuses et totalement inutiles. Mais ils maximisent le profit et le contrôle, et c’est leur objectif.
Mon conseil est que si vous avez un médecin qui vous met en garde contre l’ivermectine, vous avez un médecin stupide ou corrompu qui est très dangereux pour votre vie et votre santé. Trouvez-en rapidement un autre qui a l’intérêt de connaître les faits et la détermination de faire passer ses patients avant les profits des grandes sociétés pharmaceutiques. Et ne faites certainement confiance à aucun hôpital d’entreprise.
(...) le Dr Joseph Mercola. « Combien sont morts inutilement à cause de ces ordres ?
La question de Mercola est bonne. Ceux qui sont morts du Covid sont morts faute de soins. Pour qu’un vaccin non testé puisse être utilisé dans le cadre d’une « autorisation d’utilisation d’urgence », il ne doit pas exister de remède. C’est pourquoi l’establishment médical, qui sert d’agent de marketing pour Big Pharma, a dû nier l’existence de remèdes et empêcher les médecins de guérir les patients avec l’ivermectine et l’HCQ avant que la connaissance du remède ne se répande. Sinon, les objectifs servis par le Death Shot seraient bloqués. (...)
'Ceux qui sont morts du Covid sont morts faute de soins.' !! NON ! Ils ou elles sont morts à la faute d''être piqué ! Sans piqûre = zéro mort.
La moitié des personnes vaccinées n’arrêtent jamais de produire des protéines Spike, selon une étude Le vaccin contre la COVID est un CADEAU QUI CONTINUE À DONNER
IGOR TCHOUDOV 1 SEPTEMBRE 2023
Rappelez-vous comment on nous a dit que « le vaccin reste dans le bras » et que « la protéine Spike inoffensive n’est produite que pendant quelques jours ». Ils ont déclaré en être sûrs, même s’il n’existe aucune donnée permettant de confirmer leurs déclarations.
Eh bien, malheureusement, il s’avère qu’ils nous ont menti. Les données sont désormais disponibles et prouvent que ces affirmations sont fausses !
Une étude scientifique intelligente de Brogna et al., qui vient d'être publiée, a détecté la présence de protéine de pointe chez les personnes vaccinées contre le COVID six MOIS après la vaccination - et a exclu la possibilité d'une contamination croisée des données expérimentales avec des infections au COVID en circulation sauvage.
Les auteurs de l’étude ont utilisé un test sensible, appelé spectrométrie de masse, pour détecter une séquence spécifique d’acides aminés qui existe uniquement dans la protéine de pointe induite par le vaccin.
Pour rappeler à mes lecteurs, les vaccins à ARNm contre la COVID contiennent un code génétique pour produire ce qu’on appelle la « protéine de pointe », un composant du virus SARS-CoV-2 qui permet au virus de pénétrer et d’infecter les cellules humaines. Au cours du processus de pénétration, appelé « fusion », la protéine de pointe virale change de forme, devenant une sorte de lance, pénétrant la surface cellulaire.
- voir schéma sur site -
La seule modification apportée par Pfizer et Moderna a été de « stabiliser par préfusion » la protéine de pointe codée par le vaccin pour l’empêcher de changer de forme et d’être plus stable dans le corps humain. (Vous pouvez en savoir plus ici).
Les scientifiques ont décidé de rechercher ce composant protéique spécifique génétiquement modifié.
Conception expérimentale : L'examen par spectrométrie de masse d'échantillons biologiques a été utilisé pour détecter la présence de fragments spécifiques de la protéine Spike recombinante chez les sujets ayant reçu des vaccins à base d'ARNm.
Le remplacement, utilisant deux acides aminés proline, est appelé « PP » par les auteurs de l’étude (PP signifie proline-proline). Ils sont italiens et n'ont peut-être pas réalisé que « PP » semble méchant, c'est pourquoi dans la plupart de la littérature anglaise, la séquence est appelée « 2P ». Laissant de côté l’humour de la maternelle, les auteurs de l’étude se concentrent sur le composant protéique de pointe qui n’existe que dans le vaccin COVID et n’est PAS présent dans le virus Sars-Cov-2 naturellement existant.
Pour être sûrs que leurs découvertes ne sont pas fausses, les scientifiques ont inclus un groupe témoin de personnes qui n’ont jamais reçu les vaccins contre la COVID :
Le groupe d'étude, du sud de l'Italie, était composé de 40 sujets, 20 étaient vaccinés avec le cycle complet du vaccin à ARNm en avril 2022, faisant partie du secteur de la santé, et 20 n'étaient pas vaccinés avec un résultat négatif au test nasopharyngé pour le COVID-19 et sans titre de tout anticorps. Vingt autres personnes non vaccinées positives au COVID-19 ont été ajoutées.
Les trois groupes ont été examinés.
Il s’avère que seules les personnes du sous-groupe vacciné étaient porteuses de la protéine Spike dérivée du vaccin. Pire encore, la protéine de pointe du vaccin a été découverte six mois seulement après la dernière dose !
Le fragment spécifique PP-Spike a été trouvé dans 50 % de l'échantillon biologique analysé (Figures 1C – E et 2). Cette présence était indépendante du titre d’anticorps IgG SARS-CoV-2. Les titres d’anticorps avaient une moyenne géométrique de 629,86 BAU/mL (Figure 1E). Le délai minimum de détection du PP-Spike était de 69 jours après la vaccination, tandis que le délai maximum était de 187 jours. Tous les contrôles (échantillons provenant d’individus non vaccinés) étaient négatifs. Le groupe témoin (20 personnes non vaccinées) a également été testé après avoir contracté le COVID-19 et s’est révélé négatif pour le pic PP.
Nulle part l’étude n’indique que la production de protéines de pointe se termine après 187 jours – la limite supérieure de temps après la vaccination était un artefact de la conception de l’étude.
Cette image explique la conception de l’étude, montrant l’emplacement de la séquence d’acides aminés de la « protéine de pointe 2P stabilisée » :
Les auteurs expliquent le mécanisme probable de la production persistante de protéines de pointe :
- voir doc sur site -
Notez la possibilité inquiétante que « l’ARNm puisse être intégré ou retranscrit ». Qu'est-ce que c'est?
Le vaccin Covid fait-il partie de l’ADN humain ?
Un élément à noter est la phrase ci-dessus : « Il est possible que l’ARNm soit intégré ou retranscrit dans certaines cellules. » La soi-disant transcription inverse, c'est-à-dire l'ARNm du vaccin devenant une partie du génome de l'ADN humain dans certaines cellules affectées, a été initialement rejetée sans preuve par la soi-disant « science du COVID », jusqu'à ce qu'elle soit démontrée dans des expériences in vitro :
La newsletter d'Igor Pires craintes réalisées : l’ARNm de Pfizer se transcrit en ADN
Une nouvelle étude est publiée : Transcription inverse intracellulaire du vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 de Pfizer BioNTech in vitro dans une lignée cellulaire de foie humain. Ce qu’il dit, c’est que des études en laboratoire montrent que le vaccin à ARNm s’intègre effectivement dans l’ADN cellulaire humain. Cela signifie qu’une injection de vaccin Pfizer, prise ne serait-ce qu’une seule fois, modifie de façon permanente l’ADN des cellules affectées… En savoir plus il y a 2 ans · 409 j'aime · 433 commentaires · Igor Chudov Si tel est le cas, il existe une possibilité inquiétante que la production de protéines de pointe COVID ne s’arrête jamais. T
La newsletter d'Igor Pires craintes réalisées : l’ARNm de Pfizer se transcrit en ADN
Une nouvelle étude est publiée : Transcription inverse intracellulaire du vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 de Pfizer BioNTech in vitro dans une lignée cellulaire de foie humain. Ce qu’il dit, c’est que des études en laboratoire montrent que le vaccin à ARNm s’intègre effectivement dans l’ADN cellulaire humain. Cela signifie qu’une injection de vaccin Pfizer, prise ne serait-ce qu’une seule fois, modifie de façon permanente l’ADN des cellules affectées…
Si tel est le cas, il existe une possibilité inquiétante que la production de protéines de pointe COVID ne s’arrête jamais. Pour illustrer cela, le virus VIH, qui cause le SIDA, se retranscrit également et s’intègre dans l’ADN humain, de sorte que les cellules reprogrammées des patients produisent sans cesse des copies du VIH. C’est pourquoi le VIH ne peut être guéri, mais seulement supprimé par des médicaments.
De même, les cellules humaines dans lesquelles le code génétique du vaccin COVID a été transcrit de manière inverse peuvent également produire sans fin la protéine de pointe pour la vie des individus affectés.
Cela explique-t-il la tolérance immunitaire aux IgG4 ? La soi-disant tolérance immunitaire, qui est une tendance de l’organisme à ignorer les agents pathogènes persistants au lieu d’offrir une réaction immunitaire vigoureuse, pourrait expliquer pourquoi les personnes vaccinées sont plus sensibles aux infections répétées fréquentes et à une élimination plus lente du virus.
La tolérance immunitaire est parfaitement acceptable pour les allergènes, les irritants qui ne se reproduisent pas et existent de manière persistante. Ignorer les allergènes, au lieu de souffrir du rhume des foins ennuyeux, est la raison pour laquelle la tolérance immunitaire est une bonne réponse à des irritants environnementaux tels que le pollen ou la poussière.
Cependant, la tolérance immunitaire est mortelle lorsqu’il s’agit de résister à des agents pathogènes vivants et réplicatifs !
Un organisme immunotolérant est semblable à une victime de vol tolérante, qui reste passivement assise pendant que sa maison est saccagée sans résister. Le vol peut paraître « léger », mais les voleurs s'en vont avec le butin - et ils reviendront. Et encore.
Lire la suite ici :
La newsletter d'Igor La tolérance immunitaire aux IgG4 provoquée par un rappel explique la surmortalité et le « Covid chronique »
Rintrah Radagast a publié hier un article très important. Cela nous montre une explication potentielle de la raison pour laquelle la surmortalité est liée aux rappels COVID, pourquoi l’association des vaccins Covid avec la mortalité se renforce avec le temps au lieu de diminuer, et pourquoi…
L’article référencé ci-dessus explique la tolérance immunitaire, pourquoi elle est mauvaise pour Covid-19 et comment elle fonctionne.
Ce que l’article ci-dessus n’a pas entièrement exploré, c’est la raison pour laquelle la vaccination induit une tolérance immunitaire.
Brogna et coll. L’étude dont nous discutons nous montre le mécanisme par lequel se développe une tolérance immunitaire à la protéine de pointe. La raison en est que la protéine Spike, produite sans fin, ressemble à un « irritant environnemental » pour l’organisme vacciné au lieu d’être considérée comme un intrus dangereux.
Ils auraient dû tester cela avant d’imposer ces vaccins
J’apprécie grandement le travail minutieux et difficile de Brogna et de ses co-auteurs, qui ont soigneusement examiné la présence de protéine de pointe chez les personnes vaccinées, utilisé correctement des sujets témoins pour exclure le COVID-19 comme cause alternative, etc.
Je n’apprécie pas la « science Covid », qui a menti sur la sécurité et l’efficacité des vaccins anti-Covid. Alors que nous entrons dans notre neuvième vague de Covid et que les personnes vaccinées sont infectées et réinfectées, les vaccins se sont révélés inefficaces. Pire encore, ils se sont également révélés dangereux, comme le montrent cette étude et de nombreuses autres études.
Malheureusement, les vaccins contre la COVID ne sont pas dotés d’un interrupteur OFF, et il n’existe aucun moyen d’arrêter cette production persistante de protéines de pointe.
Espoir pour les personnes vaccinées Je ne veux pas terminer ce post sur une note négative. Je tiens à souligner que l’étude a révélé que seulement la MOITIÉ des personnes vaccinées souffraient de la présence continue de la protéine de pointe du vaccin dans leur sang. Heureusement, l’autre moitié va bien.
Par conséquent, toutes les personnes vaccinées espèrent que ce ne sont pas elles qui souffrent de cette production continue de pics. Il y a de l’espoir pour tous ceux d’entre nous qui ont été vaccinés ou qui ont touché des proches.
Curieusement, tout comme seulement la moitié des personnes vaccinées continuent d’être testées positives pour le pic six mois après la vaccination, seulement environ la moitié des personnes vaccinées développent une tolérance immunitaire. Un processus peut aller avec l’autre !
Ceci n’est pas un article anti-science.
Certains critiques pourraient m’accuser d’être anti-science simplement parce que j’ai parlé négativement des charlatans qui ont fait la promotion de vaccins anti-Covid non éprouvés. Loin de là, j’aime la bonne science et je suis toujours heureux de mettre en avant des recherches importantes qui sauvent des vies, comme l’étude que j’ai citée.
J’ai de grands espoirs que la période d’obscurité de la science, causée par le conformisme, la corruption et les idéologies radicales anti-humaines, prendra fin et que la recherche redeviendra centrée sur l’humain, ouverte à la critique et au progrès.
Pensez-vous que la science sera utile aux gens à l’avenir ?
Corée du Sud, le pays le plus masqué, le plus vacciné et… le plus contaminé au monde
par Patrice Gibertie 1 septembre 2023
Fait amusant : la Corée du Sud comptait 33 800 000 cas confirmés de Covid-19 sur une population de 51 700 000 habitants, selon l’Organisation mondiale de la Santé. Le Covid-19 s’est propagé comme une traînée de poudre malgré un taux de respect des masques de près de 99 %.
Travail exceptionnel de @felicittina
Les surmortalités persistent. Avec +14,8%, le mois de mai est même le pire de l’année 2023. Moins de 10% de cette dernière surmortalité est attribuable au Covid (267/3664)
• La surmortalité mensuelle est tout de même passée de +14,8% en mai à +11,9% en juin. Il faut savoir se contenter du moins pire…
Et rappelons que les valeurs 2022 et 2023 restent des valeurs provisoires qui n’ont jamais été mises à jour depuis leur première publication. Src : https://kosis.kr/statHtml.do
- voir graph sur site -
Petit tour par les États-Unis où l’on compare le nombre de cas covid dans les États ayant imposé l’obligation et les États sans masque…
2 septembre 2023 par Em.O.Univ.Prof. Dr. méd. Hartmut Glossmann
Comment différencier le syndrome Long Covid du Post VACC en laboratoire ? Une recherche médico-légale conduit au peptide « double proline ». Les personnes qui souffrent des conséquences des injections d’ARNm mod (Moderna, Pfizer) transfectant la protéine Spike (modifiée, voir ci-dessous) ont particulièrement du mal à clarifier leurs plaintes par le biais de procédures et de rapports juridiques ou même à en convaincre les médecins.
Le spectre des effets secondaires à long terme observés peut être diversifié : la peau, les yeux, le système nerveux - notamment le système nerveux central -, le cœur, le foie, les organes endocriniens (diabète) et bien d'autres encore sont touchés. Nous ne parlons pas de la détection de la protéine Spike toxique dans les biopsies ou les autopsies dans les cas de myocardite/péricardite (preuve causale), mais plutôt du syndrome « Post-Vacc ».
Le terme « Long Covid » est de plus en plus utilisé par les autorités. Cela expose, entre autres, ceux qui ont été vaccinés à des soupçons de Long Covid. Beaucoup de ceux qui ont subi cette « expérience de vaccination » unique et mondiale, qu’ils soient forcés ou volontaires, ont ensuite souffert de multiples infections au COVID-19 ou à d’autres infections virales, y compris des poussées de virus latents (par exemple l’herpès). Tout d’abord une description des différences les plus importantes entre l’ARNm du virus (codant pour la protéine Spike, Wuhan)) et les ARNm mod, conditionnés dans des nanoparticules lipidiques.
Modification n°1 : Échange d'uridine avec de la méthyl pseudouridine
Les dommages mentionnés ci-dessus causés par une augmentation des infections ou des poussées d'herpès peuvent, comme le montrent des publications récentes destinées aux enfants et aux adultes, s'expliquer sur une base moléculaire : il s'agit d'une immunité hétérologue de longue durée. Le rôle que jouent les méthyl pseudouridines de l’ARNm mod reste un mystère. Cet échange vise à contourner les mécanismes habituels de reconnaissance des envahisseurs viraux dans le système immunitaire inné et entraîne également une durée de vie extrêmement prolongée (démontrée jusqu'à 4 mois) - par rapport à l'ARNm endogène normal. Il n’est pas encore exclu que la « non-reconnaissance » s’accompagne d’une « régulation négative » permanente de certains mécanismes de défense.
Grâce à des méthodes de biologie moléculaire, cet ARNm mod peut être facilement distingué de l’ARNm du SRAS-CoV2. On le retrouve par exemple dans le sang jusqu'à 15 jours après l'injection ou dans des biopsies de ganglions lymphatiques jusqu'à plusieurs mois.
Modification n°2 : Double peptide proline en conséquence
La deuxième modification du modmRNA peut être trouvée dans la séquence d’acides aminés de la protéine de pointe codée par celui-ci. Les développeurs des sociétés pharmaceutiques ont remplacé une lysine (position 986) et la valine en position 987 par de la proline dans la sous-unité S2. J'ai décrit cette signature indélébile dans un commentaire de Substack il y a quelque temps comme « une preuve médico-légale, irréfutable et causale » de la présence de protéine de pointe, clairement codée par l'ARNm mod. Entre autres comme preuve des dommages causés par la vaccination et, si nécessaire, pour exclure un « Long Covid ». Quelques mois plus tard, un groupe de travail a réalisé cette étude sur des volontaires sains en utilisant la protéomique et la spectrométrie de masse. Tout d'abord, une digestion complète de toutes les protéines est réalisée avec de la trypsine, les peptides sont séparés par chromatographie,
La digestion par la trypsine du Wuhan Spike (type sauvage) produit deux fragments peptidiques de la région S2 modifiée : LDK +VEAEVQIDR. La digestion par la trypsine de la protéine de pointe modifiée (recombinante) délivre cependant à partir de cette région : LDPPEAEVQIDR. Ce peptide est appelé ci-après peptide « double-proline ».
Les auteurs de la publication « Proteomics Clinical Applications », 2023 ; 2300048 , qui vient de paraître (15 août 2023) , ont utilisé des cartes dites de Guthrie sur lesquelles des sujets de test ont fait couler une goutte de sang. Ces « cartes postales » contenant des gouttes de sang séché peuvent être envoyées (scellées) par la poste et ont fait leurs preuves des millions de fois lors du dépistage néonatal. Pour 50 % des sujets ayant reçu du modmRNA, le peptide « double proline » a été trouvé jusqu’à 187 jours, mais chez aucun (0 %) des 20 témoins. D'autres auteurs ont trouvé le fragment S2 complet dans les exosomes en circulation chez tous les sujets jusqu'à 4 mois après l'injection de modmRNA.
Le fait que la protéine Spike modifiée codée par l’ARNm mod puisse désormais être détectée de manière claire et irréfutable, même à partir du sang total, donne de l’espoir à de nombreuses victimes. Dans le « Long Covid », de nombreuses personnes touchées ont en circulation des exosomes qui transportent à la fois l’ARNm viral et la protéine Spike de type sauvage. Le peptide « double proline » pourrait également être retrouvé chez certaines personnes atteintes.
On espère que la méthodologie, actuellement en phase pilote, sera développée davantage et réussira à établir le peptide « double proline » comme signature indélébile des injections transfectantes d’ARNm mod conçues en laboratoire.
Lectures complémentaires de l'auteur : Em.O.Univ.Prof. Dr. méd. Hartmut Glossmann, FA pour la pharmacologie (pharmacologie clinique) Institut de pharmacologie biochimique
Étude : les enfants des villages ont un meilleur système immunitaire
2 Septembre 2023 Imke Harms, AGRARHEUTE*
Être dans la nature et avec des animaux : une étude a examiné comment cela affecte le système immunitaire des enfants. (Image d'illustration)
Creuser dans le sable, jouer dans le foin : à la campagne, les enfants passent beaucoup de temps dehors. Et c'est une bonne chose, comme le confirme une nouvelle étude.
Une étude irlandaise confirme que les enfants des campagnes ont un meilleur système immunitaire que les enfants des villes. « Qui s'en étonne ? », penseront de nombreux agriculteurs et agricultrices. Or, il a été démontré scientifiquement une fois de plus que le fait de passer du temps à l'extérieur et d'être en contact avec des animaux aide à réguler le système immunitaire, comme on peut le lire dans le quotidien irlandais Independent.
Les recherches ont été menées sous la direction d'APC Microbiome Ireland (APC) et de l'University College Cork (UCC). Les résultats étayent un certain nombre de preuves selon lesquelles l'exposition à certains stimuli environnementaux et facteurs liés au mode de vie pendant l'enfance peut avoir un impact considérable sur la santé d'une personne à court et à long terme, comme l'indique également l'Association Fédérale Bovine et Porcine [allemande].
Former la réponse immunitaire : la vie à la campagne est saine
Le cœur de l'étude était de déterminer dans quelle mesure les facteurs environnementaux étaient liés à l'apparition de la dermatite atopique (DA) ou de l'eczéma chez des enfants sud-africains âgés de 15 à 35 mois vivant dans des zones rurales et urbaines. Les chercheurs ont ainsi découvert qu'il est utile que le système immunitaire apprenne très tôt à ne pas réagir de manière excessive afin d'éviter des réactions nocives excessives plus tard dans la vie.
Ils ont également constaté que le système immunitaire des enfants ayant grandi à la campagne disposait de plusieurs moyens pour reconnaître et gérer les menaces. L'étude a également examiné d'autres facteurs tels que la naissance et la position sociale de la famille. Résultat : les enfants des campagnes naissaient moins souvent par césarienne et les familles rurales avaient un revenu plus faible que les familles urbaines.
Objectif : un meilleur dépistage précoce des maladies
Le responsable de l'étude a déclaré : « Notre étude a révélé que bon nombre des facteurs environnementaux importants étaient liés à une exposition modifiée aux microbes au cours des premières années de vie d'un jeune enfant. C'est l'une des périodes cruciales dans la formation du système immunitaire, car c'est à ce moment-là qu'il réagit particulièrement aux facteurs environnementaux tels que les infections, l'alimentation et le microbiome. » Cette « fenêtre immunologique » jouerait un rôle décisif dans la détermination des limites et des processus de réaction du système immunitaire.
Les influences environnementales protectrices et nocives contribuent à façonner la propre réponse immunitaire. Il est très important de mieux comprendre les mécanismes et le rôle de l'environnement dans le développement immunitaire, et des recherches comme celle-ci peuvent contribuer à ouvrir la voie à de nouveaux développements dans la détection précoce des maladies. ____________
* L'article « Studie bestätigt: Immunsystem von Landkindern ist besser » est d'abord paru dans LAND & FORST.
Source : Studie : Dorfkinder haben das bessere Immunsystem | agrarheute.com
Le refroidissement climatique entraîne la sécheresse et la crise des civilisations
Celles des Hittites et des Mayas ont disparu pour ces raisons (-2°en un siècle) mais les journalistes expliquent le contraire
par Patrice Gibertie
Les sous doués de la presse sont contents, une étude démontre que la civilisation hittite est morte dans un contexte de sécheresse et de manière un peu rapide. Ils en déduisent que le réchauffement est très dangereux. Hélas, ils se plantent : les années 1200 avant J.-C. correspondent bien à une crise des civilisations je l’ai déjà écrit sur ce blog, mais une fois de plus, comme pour la fin de l’Empire romain, comme pour le XIVe siècle, la cause en est le REFROIDISSEMENT cyclique. La terre perdit deux degrés de températures entre 1300 et 1200 av J.-C. ;
- voir carte sur site -
Vers les XIIIe et XIIe siècles av. J.-C., les principales civilisations méditerranéennes connaissent un revers d’ampleur, dont la cause et les dates de début et de fin sont encore débattues par les historiens. Simultanément, plusieurs empires importants du Proche-Orient et de la région de la Méditerranée orientale disparaissent – un événement d’ampleur qui a été désigné par le terme moderne d’«effondrement de l’âge du bronze». De grandes cités sont détruites, les relations commerciales interrompues, des systèmes d’écriture tombés dans l’oubli, des morts comptés à une échelle encore jamais connue auparavant
Le vaste Royaume puis Empire hittite était basé dans la région semi-aride du centre de l’Anatolie, s’étendant sur la Turquie et certaines parties de la Syrie et de l’Irak modernes. Les vestiges archéologiques et sources textuelles (textes cunéiformes écrits en akkadien ou autres dialectes), notamment retrouvés dans sa capitale Hattusa, ont révélé qu’il a été durant cinq siècles l’une des principales puissances de l’Ancien Monde, entre 1650 et 1200 av. J.-C. À son apogée, il rivalisait même avec l’Égypte antique, entrée dans sa période du Nouvel Empire. Cette lutte a abouti au plus grand affrontement de l’époque entre le roi Muwatalli II et le pharaon Ramsès II, la bataille de Qadesh dans le sud de l’actuelle Syrie (environ 1274 av. J.-C.). Mais à peu près au même moment, le système administratif central hittite semble s’être effondré, dans un mouvement qui a aussi dévasté des royaumes en Grèce, en Crète et au Moyen-Orient et affaibli les Égyptiens.
L’étude publiée en février 2023 donne davantage d’informations. Les chercheurs ont examiné des genévriers qui poussaient à l’époque dans la région, utilisés pour construire vers 748 av. J.-C. une structure en bois, probable chambre funéraire d’un parent du roi de Phrygie Midas découverte au sud-ouest d’Ankara. Ces arbres exhumés offrent un enregistrement du climat de la période. D’abord, car leurs cernes plus ou moins rapprochés montrent dans quelles conditions ils ont crû. Ensuite, car le carbone de leurs anneaux révèle la réponse du végétal à la disponibilité en eau. Les scientifiques ont ainsi détecté, du XIIIe siècle au XIIe siècle av. J.-C., une transition progressive vers de l’aridité.
• Géo – «Le climat, en cause dans l’effondrement de la puissante civilisation hittite il y a plus de 3000 ans ?»
Au XIVe siècle après J.-C. l’optimum médiéval se termine, les températures s’effondrent, la peste Noire et la guerre ravage la France. En Amérique, c ‘est l’aridité.
Une sécheresse se serait donc installée entre 1400 et 1450 à Mayapan. Un manque d’eau qui aurait provoqué une véritable réaction en chaîne, affectant l’agriculture et le commerce. Devant la faim, les conflits civils se seraient finalement multipliés, provoquant l’effondrement politique et la chute de la ville fondée quatre cents ans auparavant. De petits groupes se seraient cependant déplacés vers les villes côtières plus au nord, pour former des colonies indépendantes. Et faisant, par la même occasion, perdurer la culture maya jusqu’à l’arrivée des colons espagnols.
«Une étude publiée dans Nature Communications le 19 juillet 2022 alerte d’autant plus : même face à des civilisations prospères et bien établies, les changements climatiques peuvent être la cause d’un effondrement massif. Cela aurait été le cas pour Mayapan, capitale culturelle et politique du peuple maya entre le XIIIe et le XIVe siècle. D’après les nouvelles recherches, cette immense cité de l’État mexicain du Yucatán aurait en effet été totalement détruite à cause de la sécheresse.
Selon leur analyse, une sécheresse se serait donc installée entre 1400 et 1450 à Mayapan. Un manque d’eau qui aurait provoqué une véritable réaction en chaîne, affectant l’agriculture et le commerce. Devant la faim, les conflits civils se seraient finalement multipliés, provoquant l’effondrement politique et la chute de la ville fondée quatre cents ans auparavant. De petits groupes se seraient cependant déplacés vers les villes côtières plus au nord, pour former des colonies indépendantes. Et faisant, par la même occasion, perdurer la culture maya jusqu’à l’arrivée des colons espagnols».1
Précision utile pour les journalistes : les sècheresses ne s’expliquent pas par la hausse des températures mais par l’insuffisance des précipitations.
Sous l’Équateur nous trouvons des températures très élevées et une végétation luxuriante ; il pleut.
Par ailleurs il existe des déserts froids en Asie centrale.
Le Sahara a cessé d’être vert quand le climat s’est refroidi il y a près de 5000 ans Les scientifiques considèrent que la période de l’Holocène connut une période chaude il y a 8000 ans, c’est le moment du SAHARA VERT. Elle se termine par un refroidissement et le Sahara devint un désert…
Toutes les régions composant cette zone géographique ont été touchées simultanément et avec la même importance, ce qui a permis une datation précise de la période humide africaine (à 200 ans près). Elle se serait terminée il y a 4900 ans, en donnant naissance au Sahara tel que nous le connaissons.
Aujourd’hui, le Sahel, le Pakistan sont plus arrosés qu’en 1970.
• Les sociétés confrontées aux variations du climat, la recherche désespérée d’explications : dérives fanatiques, peur du refroidissement, peur du réchauffement, sorcières, CO2…mais jamais le soleil ?
* Les périodes chaudes furent paradoxalement les plus favorables pour l’humanité et les périodes froides sont associées aux crises
- voir graph sur site -
Les premières civilisations de l’Histoire ont dû leur essor à un climat propice. C’est l’intuition de Vincent Boqueho, validée par les données climatiques et météorologiques. Il a défini trois facteurs climatiques de nature à déclencher l’étincelle civilisatrice. Une demi-douzaine de territoires rassemblent ces facteurs sur la planète et Vincent Boqueho a pu constater qu’ils coïncident avec les lieux qui ont vu l’humanité entrer dans l’Histoire, il y a environ 5000 ans. La conclusion ne manquera pas de surprendre : les Olmèques (Mexique), Égyptiens, Sumériens, Indiens et autres Chinois doivent à une heureuse conjonction climatique d’avoir inventé avant tous les autres les villes, l’agriculture et l’État.
Il démontre que l’apparition des foyers de civilisation coïncide avec une notion essentielle : l’existence d’un fort stress climatique, qui tend à développer la culture d’innovation.
Tous les historiens ne partagent pas ce rôle du stress mais les grandes civilisations naissent effectivement dans ce contexte de températures élevées (certainement plus chaudes qu’aujourd’hui).
• La civilisation sumérienne en Mésopotamie, née vers 3500 avant J.-C.. • La civilisation égyptienne, née à peu près en même temps. • La civilisation sabéenne à cheval sur le Yémen et l’Éthiopie actuels, qui trouve ses racines vers 2500 avant J.-C.. • La civilisation de l’Indus dans l’actuel Pakistan, qui prend son essor vers 2300 avant J.-C.. • La civilisation chinoise dans la vallée du Fleuve Jaune (nord de la Chine actuelle), qui commence à émerger vers 2200 avant J.-C.. • La civilisation indienne dans la plaine du Gange au pied de l’Himalaya, qui prend forme peu à peu de 1700 av J.-C. à 500 avant J.-C.. • La civilisation olmèque au sud du Mexique actuel, qui semble émerger vers 1200 avant J.-C.. • La civilisation de Caral sur la côte pacifique péruvienne, qui pourrait avoir émergé dès 3000 avant J.-C..
L’effondrement de ces civilisations s’inscrit dans un moment de refroidissement vers 1200 av. J.-C., la variation serait significative et rapide L’Effondrement de l’Âge du Bronze (ou de l’Âge du Bronze Final) est un terme moderne faisant référence au déclin et à la chute des principales civilisations méditerranéennes au cours des XIIIe et XIIe siècles avant J.-C.. Sa cause, ainsi que ses dates de début et de fin, sont débattues par les chercheurs depuis plus d’un siècle, le changement climatique semble une explication crédible. Ce qui est clairement connu, c’est qu’entre environ 1250 et 1150 avant J.-C., de grandes cités furent détruites, des civilisations entières tombèrent, les relations diplomatiques et commerciales furent rompues, des systèmes d’écriture disparurent, et qu’il y eut une dévastation généralisée et des morts à une échelle jamais connue auparavant.
Le climat se réchauffe ensuite vers le Ve siècle avant J.-C., apogée de la Grèce antique puis vers l’époque du Christ, apogée de Rome. Mais le constat est là : «L’époque romaine était marquée par un climat majoritairement humide et chaud et relativement stable», explique Ulf Büngten, chercheur au Swiss Federal Research Institute de Zurich (Suisse) qui ajoute : «Le déclin de l’Empire romain d’Occident s’accompagne d’un climat nettement plus froid et plus instable à partir de 250 après J.-C.».
Juillet plus froid que la moyenne en Europe – Un astrophysicien israélien affirme que c’est le soleil qui détermine le climat de la Terre, pas le gaz carbonique
par Electroverse 1 septembre 2023
Juillet plus froid et enneigé que la moyenne en Europe
Terre Brûlante : dévoilement de la vague de chaleur record et poursuite d’un avenir plus frais
L’été 2023 reste frais pour la majorité de l’Europe, et les données le prouvent.
Les relevés de température pour juillet sont arrivés et ils montrent un mois plus froid que la moyenne pour de nombreux pays.
Y compris :
L’Estonie, avec sa température moyenne de 16,6°C, soit 1,2°C en dessous de la norme multidécennale.
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Service météorologique d’Estonie La Lettonie a également affiché une moyenne similaire, 16,8°C, soit 1°C en dessous de la moyenne.
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Service météorologique de Lettonie Le mois de juillet 2023 en Lituanie s’est terminé avec une température moyenne de 17,6°C, soit 0,7°C en dessous de la normale.
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service météorologique de Lituanie Le Danemark a clôturé le mois de juillet avec une température moyenne de 15,9°C, ce qui est encore une fois 1°C en dessous de la moyenne multidécennale. De plus, avec des précipitations de 140,8 mm, ce fut le mois de juillet le plus humide du pays jamais enregistré (la moyenne est de 60,9 mm/2,4 pouces) :
totaux des précipitations, DMI Juillet en Islande a été très froid, particulièrement dans le NE où des anomalies de -2C ont été affichées.
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Bureau météo islandais La Finlande est également restée au frais le mois dernier, enregistrant des anomalies comprises entre -0,3°C et -1,9°C à travers le pays.
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Service météorologique finlandais Et enfin – mais en aucun cas de manière exhaustive – la Suède a enregistré une anomalie d’env. -1C sous la norme multidécennale.
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Ignorant la campagne de promotion de la chaleur triée sur le volet par les réchaufistes, l’Europe, dans l’ensemble et jusqu’à présent, a subi un été anormalement frais, qui persiste maintenant jusqu’en août, et tout :
Les dernières exécutions du GFS appellent également à l’accumulation de neige estivale sur les altitudes les plus élevées du continent, telles que les Alpes, la Scandinavie et l’Islande, des totaux qui devraient rivaliser avec les totaux lourds, mais non déclarés, de la semaine dernière :
Un astrophysicien israélien acclamé affirme que c’est le soleil qui détermine le climat de la Terre, pas le gaz carbonique Nir Shaviv est un astrophysicien israélien et président du département de physique de l’Université hébraïque de Jérusalem. Il dit que ses recherches, et celles de ses collègues, suggèrent que l’augmentation des niveaux de gaz carbonique ne joue qu’un rôle mineur dans le climat de la Terre par rapport à l’influence du soleil et du rayonnement cosmique.
«Le réchauffement climatique est clairement un problème, mais pas dans les termes catastrophiques des films d’Al Gore ou des alarmistes environnementaux», a déclaré Shaviv. «Le changement climatique existe depuis toujours et il est peu probable qu’il disparaisse. Mais les émissions de gaz carbonique ne jouent pas le rôle principal. L’activité solaire périodique, elle, oui !»
Mais je pensais que 97 % des climatologues s’accordaient à dire que l’activité humaine est le principal moteur du changement climatique ?
«Seules les personnes qui ne comprennent pas la science prennent au sérieux la statistique de 97 %», répond Shaviv.
«Les résultats de l’enquête dépendent de la personne à qui vous les demandez, de qui est interrogé et de la façon dont les questions sont formulées. De toute façon, la science n’est pas une démocratie. Même si 100 % des scientifiques croient quelque chose, une personne avec de bonnes preuves peut toujours avoir raison».
Peut-être que les références du Dr Shaviv peuvent être rejetées…
Le Dr Shaviv s’est inscrit à l’Université du Technion d’Israël – l’équivalent national du MIT – à l’âge de 13 ans et a obtenu une maîtrise tout en servant dans la célèbre unité de renseignement 8200 des Forces de défense israéliennes. Il est retourné au Technion, où il a obtenu son doctorat, après avoir terminé des travaux postdoctoraux au California Institute of Technology et à l’Institut canadien d’astrophysique théorique. Il a également été boursier Einstein à l’Institute for Advanced Study de Princeton.
Donc, ses références sont sérieuses.
On nous dit d’écouter les scientifiques, n’est-ce pas ? Eh bien, il y a peu de personnes plus qualifiées que le Dr Nir Shaviv.
Mais qu’en est-il de l’agenda politique ? Pour avoir ce point de vue, Shaviv a-t-il sûrement été corrompu par la droite, financé par Big Oil ?
«En termes américains, je me décrirais comme libéral sur la plupart des questions intérieures, quelque peu belliciste sur la sécurité», a expliqué Shaviv. «Néanmoins, la position de l’administration Trump sur le changement climatique mondial est correcte, dans la mesure où elle rejette l’orthodoxie de l'OPCC des Nations unies».
«Depuis [2003], littéralement des milliards ont été dépensés pour la recherche sur le climat… Pourtant, la sagesse conventionnelle n’a pas changé. Les partisans du changement climatique d’origine humaine ignorent encore l’effet du Soleil sur le climat de la Terre, ce qui bouleverse notre compréhension du changement climatique du XXe siècle».
Shaviv extrapole : «L’activité solaire varie dans le temps. Une variation majeure est d’environ onze ans ou plus, ce qui affecte clairement le climat. Ce principe est connu de tous, mais en 2008 j’ai pu le quantifier en utilisant les données du niveau de la mer. Lorsque le Soleil est plus actif, il y a une élévation du niveau de la mer ici sur Terre. Une température plus élevée fait dilater l’eau. Lorsque le soleil est moins actif, la température baisse et le niveau de la mer baisse. La corrélation est aussi claire que le jour».
«Sur la base de l’augmentation de l’activité solaire au cours du XXe siècle, elle devrait représenter entre la moitié et les deux tiers de tous les changements climatiques», affirme-t-il. «Cela, à son tour, implique que la sensibilité du climat au gaz carbonique devrait être d’environ 1,0 degré lorsque la quantité de gaz carbonique double».
«Le réchauffement climatique n’est plus une question purement scientifique. Cela a des répercussions sur la société. Il a également pris une dimension moraliste, presque religieuse. Si vous croyez ce que tout le monde croit, vous êtes une bonne personne. Si vous ne le faites pas, vous êtes une mauvaise personne. Qui veut être un pécheur ?»
De l’avis de Shaviv, la croisade mondiale pour limiter et finalement interdire les combustibles fossiles «a des conséquences sociales et économiques réelles». Le passage à des sources d’énergie plus coûteuses entraînera l’industrie des pays plus industrialisés vers des pays plus pauvres, qui peuvent moins se permettre des éoliennes et des panneaux solaires.
«Cela peut être un sacrifice financier que les riches sont prêts à faire», a conclu Shaviv. «Même dans les pays développés, la pression pour renoncer aux combustibles fossiles met les pauvres en danger de geler pendant l’hiver faute de chauffage domestique abordable. La croissance économique des pays du tiers monde sera inhibée s’ils ne peuvent pas emprunter à la Banque mondiale pour développer des centrales électriques bon marché à base de combustibles fossiles. Ce sont de graves problèmes humains ici et maintenant, pas dans un avenir théorique».
(...) Lorsque le Soleil est plus actif, il y a une élévation du niveau de la mer ici sur Terre. Une température plus élevée fait dilater l’eau. Lorsque le soleil est moins actif, la température baisse et le niveau de la mer baisse. (...)
HOULALA !
Chauffer un bassin d'un côté et l'eau sera plus haute du côté chauffé ! HAHAHAHA ! (les pingouins auront l'eau chaude à tous les étages !
Désolé mais la Terre n'est pas chauffée QUE par le soleil ! (voir planète Mercure). La masse ferrique incandescente (à 30 km sous nos pieds) n'a pas de saison ! C'est ELLE qui réchauffe les courants marins (lames de fond) et non le soleil qui serait plus près de la Bretagne ou de la Côte d'azur qu'ailleurs !
Les couperets de la loi anti « passoires thermiques »
Face à la promulgation d’une loi contraignant les propriétaires à améliorer l’isolation thermique de leurs biens, Simone Wapler explore les conséquences imprévues et les problèmes sociaux résultant de cette législation.
le 2 septembre 2023 Simone Wapler
Le décret sur la fin des locations des passoires thermiques vient d’être publié et précise certaines modalités d’application – ou de non-application – de la loi. Tous les propriétaires bailleurs de logements mal notés sur le plan énergétique l’attendaient.
Rappel de la saison 1 : promulgation de la loi n° 2021-1104 du 22 août 2021 portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets.
Les mesures consistent à interdire à la location les logements considérés insuffisamment isolés, et donc trop soumis aux déperditions d’énergie, soit les classes F et G du diagnostic de performance énergétique.
Comme le dit son intitulé, cette loi énonce l’existence d’un « dérèglement climatique » et assume qu’isoler un logement permet de le rendre « résilient ». Ce mot, qui désigne en physique des matériaux ayant la capacité de résistance aux chocs, s’emploie désormais à tout propos. Le dérèglement climatique est donc assimilé à un choc (thermique ?), et un logement situé à Dunkerque ou à Marseille nécessiterait les mêmes normes d’isolation thermique.
C’est une loi mal ficelée, dans l’air du temps, conçue pour plaire aux écologistes au détriment de propriétaires qu’elle contraint à réaliser des travaux avec de l’argent qu’ils n’ont pas, travaux qui ne seront jamais rentabilisés. Quand la loi est mal fichue, sa mise en pratique est ardue, d’où probablement le long délai de parution du décret.
Les dates sont bien arrêtées
Le décret précise que le couperet tombera le 1er janvier 2025 pour les logements classés G, et au 1er janvier 2028 pour ceux classés G.
Les propriétaires bailleurs ont donc un peu plus d’un an pour organiser de lourds travaux. Sachant par exemple que le délai de réalisation de fenêtres est actuellement de six mois.
Si un logement est en dessous de la norme, le locataire peut saisir la justice pour que le bailleur le mette en conformité. Le juge, transformé en expert immobilier, décidera alors de la nature des travaux et de leurs délais. En attendant, le loyer peut être minoré ou suspendu. À noter : la loi ne prévoit pas d’obligation de relogement du locataire durant les travaux (au Cerfaland, cette idée aurait pu effleurer le législateur toujours si généreux avec l’argent des autres).
Dans beaucoup de cas, les propriétaires d’un logement situé dans une copropriété ne pourront pas atteindre le niveau exigé par la loi, et encore moins dans les délais impartis.
En effet, le bilan prend en compte l’isolation générale de l’immeuble et, lorsque c’est le cas, le type de chauffage collectif. Or, les toitures, les combles et greniers, les caves, certaines parties des plafonds et planchers, les murs extérieurs, les chaudières sont des parties communes. Et les propriétaires occupants ne tombent pas sous le coup de la loi. Ils ne sont donc pas grisés à l’idée d’entreprendre des travaux collectifs dont le coût (répétons-le au risque de radoter) ne sera pas nécessairement amorti par les économies de charges réalisées.
Mais ce n’est pas parce que vous savez que le niveau requis ne sera pas atteint que vous êtes dispensé d’initier vos travaux privatifs d’amélioration (changement de fenêtres, isolation par l’intérieur, etc.). Dans ce cas, après confirmation d’un DPE toujours défavorable, il vous faudra en plus produire les pièces justifiant que vos efforts de persuasion pour aboutir à la réalisation de travaux relevant des parties communes ou d’équipements communs n’ont pas abouti.
Choc climatique sur le patrimoine architectural
Le décret prévoit aussi le cas des bâtiments classés, des travaux qui fragiliseraient les structures, ou qui nécessiteraient des autorisations d’urbanisme, ou des permis de construire de la part de différentes autorités administratives qui les bloqueraient.
Soit, résumé en bon langage juridico-technocratique moderne écrit par la plume alerte du législateur :
« Les travaux nécessaires, entraînant des modifications de l’état des parties extérieures, y compris du second œuvre, ou de l’état des éléments d’architecture et de décoration de la construction, ont fait l’objet, pour ce motif, d’un refus d’autorisation par l’autorité administrative compétente sur le fondement des dispositions législatives et réglementaires du livre VI du Code du patrimoine, du titre IV du livre III du Code de l’environnement ou du livre Ier du Code de l’urbanisme. »
Alors dans ce cas, après avoir produit les dizaines de Cerfas et centaines de pièces nécessaires :
« Le juge peut, notamment, surseoir à statuer dans l’attente de l’intervention de la décision de l’autorité administrative compétente pour autoriser la réalisation de ces travaux. »
Bref, vous l’aurez déjà compris, cette loi va contribuer à engorger les tribunaux et nourrir de nombreux experts.
Au 1er janvier 2022, selon les données de l’Observatoire national de la rénovation énergétique, il y aurait 1,6 million de passoires thermiques dans le parc locatif privé, soit 20 %. Donc 20 % du parc locatif est à terme condamné.
Si votre logement est situé dans le grand Paris, et vacant pendant les Jeux Olympiques, vous pourrez à ce moment-là, tirer une dernière cartouche en le louant à prix d’or en meublé de courte durée. Pour le moment, la loi ignore les locations meublées type Airbnb.
Ce qui commence à se voir : choc social en vue Plus sérieusement, les conséquences directes sont pour le moment :
Un afflux d’offres de vente de logements classés F et G (+8 % selon MeilleursAgents et SeLoger) alors que les acheteurs se raréfient en raison des hausses de taux Une tension sur le marché locatif dès cette rentrée, abondamment relayée par les médias Sur les réseaux sociaux, des crispations de plus en plus visibles entre la jeune génération active et les retraités. La première doit faire face à l’envolée des prix de l’immobilier, la hausse des taux, l’inflation et un salaire net qui s’essouffle, puisque la retraite par répartition les condamne à payer les pensions de la génération précédente. Et la population des retraités compte de nombreux propriétaires immobiliers.
Dans sa passoire thermique, face à sa cheminée illuminée du premier feu de l’automne, le philosophe reliera Frédéric Bastiat :
« Dans la sphère économique, un acte, une habitude, une institution, une loi n’engendrent pas seulement un effet, mais une série d’effets. De ces effets, le premier seul est immédiat ; il se manifeste simultanément avec sa cause, on le voit. Les autres ne se déroulent que successivement, on ne les voit pas ; heureux si on les prévoit. »
L’effet social est désastreux : cette loi ne fait qu’accélérer la crise immobilière et augmenter les crispations intergénérations.
Quant à l’effet sur le climat, je suis prête à parier qu’il sera nul.
Modèles climatiques : les ordinateurs aident à obtenir des réponses erronées plus rapidement
2 septembre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
Les modèles censés suggérer un réchauffement climatique dû au gaz carbonique sont problématiques ou erronés à bien des égards. Et contrairement aux modèles Corona et aux affirmations de personnes comme Lauterbach, ils sont basés sur des lois physiques, dont les violations provoquent immédiatement des protestations massives de la part de la communauté des physiciens et des naturalistes.
Ces lois fondamentales de la physique incluent les lois de conservation. Ils se blessent régulièrement dans les mannequins. Avec des mises à jour plus longues, les petites erreurs se multiplient, de sorte que la marge d'erreur est souvent 10 fois supérieure au changement prévu. Cela a fonctionné avec Corona, mais cela ne fonctionne pas avec les affirmations sur le climat. La théorie physique manque dans de nombreux domaines des modèles - et contrairement à Corona, cela ne peut pas être caché lorsqu'il s'agit du climat.
Prenons l'exemple des océans. La majeure partie de l’énergie est stockée dans les océans, qui contrôlent donc le climat. Les océans sont modélisés comme des courants thermohalins . Nous ne pouvons pas mesurer le flux, il ne peut pas être mesuré. Le problème des courants océaniques n’est pas non plus étudié, de sorte que l’état énergétique du climat ne peut être résolu. Aucun effort de recherche n’est fait pour comprendre le climat, seuls les ordinateurs sont utilisés pour obtenir plus rapidement des réponses erronées. Les modèles ne peuvent pas reproduire le climat ; les gros ordinateurs produisent des absurdités convaincantes.Et puis les climatologues votent là-dessus et 97 % votent pour ces absurdités. Ceci est ensuite diffusé dans les médias du monde des affaires et de la CIA (voir RFK Jr.).
Erreurs au fil du temps
L’un des principaux problèmes des modèles à long terme est que les erreurs se propagent, c’est-à-dire qu’elles se propagent. Les erreurs multiples ne s’atténuent pas ou ne s’annulent pas, comme semblent le croire de nombreux défenseurs du climat. Roy Spencer l'exprime bien dans son article « Les modèles climatiques ne conservent ni la masse ni l'énergie » :
« L'une des exigences les plus fondamentales de tout modèle physique du changement climatique est la conservation de la masse et de l'énergie. C’est l’une des raisons pour lesquelles j’utilise (avec Danny Braswell et John Christy) des modèles climatiques unidimensionnels simples qui ont des calculs simplifiés et où la conservation n’est pas un problème.
Les changements dans le bilan énergétique mondial associés à l’augmentation du gaz carbonique atmosphérique sont faibles, environ 1 % des flux moyens d’énergie rayonnante entrant et sortant du système climatique. On pourrait donc penser que les modèles climatiques sont si soigneusement construits que sans un déséquilibre global de l’énergie radiante (sans « forçage externe »), ils ne produiraient pas de changement de température.
Il s’avère que ce n’est pas le cas.
En 2014, nous avons montré dans notre étude de modélisation 1D que les modèles CMIP3 n'économisent pas d' énergie, comme le démontre la large gamme de réchauffement (et même de refroidissement) des profondeurs océaniques qui s'est produite dans ces modèles malgré le déséquilibre énergétique positif imposé par les modèles. auxquels nous sommes confrontés ont été conçus pour imiter les effets de l’augmentation du gaz carbonique atmosphérique.
Je viens de tomber sur un article de 2021 (Irving et al., A Mass and Energy Conservation Analysis of Drift in the CMIP6 Ensemble ) qui décrit des problèmes importants dans les derniers modèles (CMIP5 et CMIP6) uniquement en termes de conservation de l'énergie dans l'océan, mais aussi au sommet de l'atmosphère (TOA, qui affecte les taux de réchauffement climatique) et même le bilan de vapeur d'eau de l'atmosphère (qui est la composante la plus importante de l'effet de serre mondial).
Ce sont des problèmes potentiellement graves si nous nous appuyons sur des modèles climatiques pour orienter la politique énergétique. Je suis étonné que la conservation de la masse et de l’énergie n’ait pas été prise en compte dans tous les modèles avant la publication de leurs résultats il y a plusieurs décennies. [ souligné dans l'original]
Une source possible de problèmes réside dans les « données numériques » du modèle... les formules mathématiques (souvent des formules de « différences finies ») utilisées pour calculer les changements de toutes les quantités entre les points de la grille dans l'horizontale, les plans dans la verticale et à partir d'un moment donné. passer au suivant. De minuscules erreurs dans ces calculs peuvent s’accumuler au fil du temps, en particulier lorsque des valeurs de masse négatives physiquement impossibles sont fixées à zéro, entraînant une « fuite » de masse. Avec des modèles de prévisions météorologiques qui ne fonctionnent que sur quelques jours ou semaines, nous ne nous inquiétons pas de ce genre de choses. Mais les modèles climatiques fonctionnent sur des décennies, voire des centaines d’années, et de minuscules erreurs (si leur total n’est pas nul) peuvent s’accumuler avec le temps.
L'article auquel Spencer fait référence ( intitulé « Une analyse de conservation de masse et d'énergie de la dérive dans l'ensemble CMIP6 » ) commence par ce résumé :
"Les modèles climatiques couplés sont vulnérables à la « dérive » (tendances à long terme et non forcées des variables d’état) en raison d’une mise en route incomplète et de la non-clôture des budgets mondiaux de masse et d’énergie. Nous évaluons ici la dérive du modèle et la conservation associée de l'énergie, de la masse et du sel dans les modèles CMIP6 et CMIP5. Dans la plupart des modèles, la dérive de la masse océanique et du contenu thermique intégrés à l’échelle mondiale représente une partie petite mais non négligeable des tendances historiques récentes, tandis que la dérive de la vapeur d’eau atmosphérique est négligeable. La dérive du modèle a tendance à être beaucoup plus importante pour les flux de chaleur océanique et d'eau douce intégrés dans le temps, le rayonnement net de la surface vers l'atmosphère (netTOA) et le flux d'humidité atmosphérique (évaporation moins précipitations). indiquant une perte significative de masse et d’énergie dans le système climatique simulé. La plupart des modèles sont capables de clôturer approximativement le bilan énergétique une fois la dérive éliminée, mais le bilan de la masse océanique ne peut pas être fermé même après la suppression de la dérive dans un certain nombre de modèles, et aucun modèle ne clôture le bilan d'humidité atmosphérique.
Les gouvernements occidentaux prennent des décisions en matière de politique énergétique sur la base des résultats à long terme des modèles climatiques mondiaux, dont les erreurs internes augmentent au fil du temps.
L'incertitude sur le contenu calorifique de l'atmosphère est bien plus grande que le « forçage radiatif ». Aucune prédiction ne peut donc être faite sur la base des modèles . Il est impossible de prédire quel sera l’impact de l’effet de serre sur le climat. Dans le sixième rapport d'évaluation du GIEC, l' incertitude sur le contenu thermique est 83 fois supérieure à l'effet de serre [prédit] .
Quelle est l'ampleur de l'erreur du variateur en termes d'incertitude thermique ? Les modèles propagent l’erreur du modèle, ce qui entraîne une énorme incertitude. Dans CMIP6, la plage d’incertitude est de 16 °C jusqu’en 2100. Tellement gros que nous n’avons aucune idée de la température qu’il fera. Les modèles n’ont aucune signification physique. Toutes les projections se perdent dans l’incertitude des modèles.
Depuis qu'existe la 'météo' sont engrangées toutes les données satellites de tous les pays, températures, vitesses du vent, pluies, neiges, etc. Puis par exemple le 1 er Septembre les ordinateurs ressortent des données comparables d'y a 5, 10, 15 ou 20 ans car à l'époque la situation était 'quasi-identique' !! HAHAHAHA ! Donc, d'après les données ressorties des oubliettes ils pensent donc qu'il suffit de voir l'évolution des situations pour prévoir ce qui va se passer (par exemple voir le 2 Septembre 2018 ou 2 Septembre 2013 ou 2 Septembre 2008, etc. Donc, ils pensent savoir que les choses ne changent pas ! HAHAHAHA !
C'est - pour se défendre des conneries sorties - ce qu'il ont appelé l'Intelligence Artificielle très très artificielle !! HAHAHAHA ! Mais comme les nuageologues, pluietologues, ventologues et météorologues ne sont pas des scientifiques... ils font rire tout le monde ! ÂH LES CONS ! LES CONS ! LES CONS !
Ils (ou elles) ne savent pas qu'il est IMPOSSIBLE de prévoir le temps qu'il va faire car c'est le magma qui règle la température ! Sous nos pieds à 30 km il y a la masse ferrique incandescente qui émet de partout sous les mers et océans (qui couvrent 78 % de notre planète) des gaz issus de sa combustion. Ces gaz brûlant remontent à la surface par ce qui est appelé des sources chaudes (ou mini-volcans aux planchers maritimes et océaniques), mais ils sont emportés par les lames de fond qui ressortent aux collisions continentales. Donc, cette eau chaude remonte la pente vers les plages, les côtes d'Azur ou bretonnes et fournissent à l'atmosphère une température plus douce.
Oui mais ! les sources chaudes changent presque tous les jours de place ! Çà alors ! Elles subissent constamment des tremblements de terre qui les ouvrent ou qui les ferment ! Et donc, les courants marins ne sont pas toujours chauds ou toujours froids !
Rex 84 : le plan de la FEMA pour la loi martiale. La feuille de route vers « l’État policier américain »
Par Allen L Roland Recherche mondiale, 2 septembre 2023
Cet article incisif sur l'abrogation des libertés civiles et de la liberté d'expression en Amérique a été publié pour la première fois par Global Research en août 2006, il y a 14 ans.
Il met au premier plan du débat la feuille de route en cours vers « l’État policier américain » .
Les libertés civiles sont arbitrairement abrogées. Il y a une répression contre la liberté d’information.
Le mensonge est devenu la vérité.
Une campagne de peur s'accompagne d'une propagande médiatique.
Sous l’administration Biden, il existe un processus de soumission sociale à une autorité supérieure.
La dérogation aux droits fondamentaux est pratiquée dans le monde entier.
Ceux qui remettent en question la légitimité des politiques gouvernementales, notamment le confinement, le vaccin et la perturbation artificielle de l’activité économique , sont qualifiés de « théoriciens du complot ».
La loi martiale est-elle envisagée ?
Michel Chossudovsky, Global Research, 16 juillet 2023
* * *
Nous sommes dangereusement proches d’une situation où ~ si le peuple américain descendait dans la rue avec une juste indignation ou s’il y avait un autre 11 septembre ~ un mécanisme de loi martiale pourrait être rapidement mis en œuvre et exécuté dans le cadre du REX 84.
L’administration Cheney/Bush a un plan qui permettrait la détention d’un grand nombre de citoyens américains en période d’urgence.
Le plan s'appelle REX 84, abréviation de Readiness Exercise 1984. Grâce à Rex-84, un nombre non divulgué de camps de concentration ont été mis en service à travers les États-Unis, pour l'internement de dissidents et d'autres personnes potentiellement dangereuses pour l'État.
Le programme Rex 84 a été créé à l’origine sur le principe que si un « exode massif » d’étrangers illégaux franchissait la frontière entre le Mexique et les États-Unis, ils seraient rapidement arrêtés et détenus dans des centres de détention par la FEMA.
L'existence du plan Rex 84 a été révélée pour la première fois lors des audiences Iran-Contra en 1987, puis rapportée par le Miami Herald le 5 juillet 1987.
"Ces camps doivent être gérés par la FEMA au cas où la loi martiale devait être appliquée aux États-Unis et il suffirait d'une signature présidentielle sur une proclamation et de la signature du procureur général sur un mandat auquel est jointe une liste de noms."
Et voilà, le véritable objectif de la FEMA est non seulement de protéger le gouvernement, mais aussi d’être son principal véhicule pour la loi martiale.
C'est pourquoi la FEMA n'a pas pu répondre immédiatement à la catastrophe de l'ouragan Katrina : les efforts humanitaires ne faisaient plus partie de sa description de poste au sein du ministère de la Sécurité intérieure.
Il semble que l’ouragan Katrina ait également fourni à la FEMA une excuse pour exercer ses pouvoirs anticonstitutionnels à la Nouvelle-Orléans, en rassemblant les « réfugiés » (maintenant appelés « évacués ») et en les « relocalisant » dans divers camps. " Certains évacués sont traités comme des 'internés' par la FEMA", écrit Wayne Madsen , ancien employé de la NSA .
« Des rapports continuent d'arriver dans WMR selon lesquels les évacués de la Nouvelle-Orléans et d'Acadiana [la patrie traditionnelle des vingt-deux paroisses cajuns] qui ont été dispersés à travers les États-Unis sont traités comme des « internés » et non comme des citoyens américains déplacés à la suite d'une catastrophe .
Nous sommes dangereusement proches d’une situation où ~ si le peuple américain descendait dans la rue avec une juste indignation ou s’il y avait un autre 11 septembre ~ un mécanisme de loi martiale pourrait être rapidement mis en œuvre et exécuté dans le cadre du REX 84.
Soyez prévenu : l’administration Cheney/Bush ne reculera devant rien pour préserver son pouvoir et sa mésaventure néoconservatrice en cours et ils ont actuellement proposé d’avoir un contrôle exécutif sur toutes les troupes de la Garde nationale de l’État en cas d’urgence nationale.
Le gouverneur Tom Vilsack de l'Iowa a qualifié la proposition de « un pas vers une prise de contrôle complète de la Garde nationale, la fin de la Garde en tant que force à double fonction pouvant répondre aux besoins de l'État et du pays ».
La disposition a été intégrée dans la version de la Chambre du projet de loi sur la défense sans que les États en soient informés, ce que Vilsack a déclaré qu'il détestait autant que la proposition elle-même.
En vertu de cette disposition, le président aurait le pouvoir de prendre le contrôle de la Garde en cas de « catastrophe, accident ou catastrophe grave, naturelle ou d'origine humaine » aux États-Unis.
N'oubliez pas que, pour l'administration Cheney/Bush, la foule aux portes dont ils craignent vraiment ne soit pas des terroristes mais plutôt le peuple qui exige la vérité.
MINDFULLY, 2004 – Il existe aux États-Unis plus de 800 camps de prisonniers, tous pleinement opérationnels et prêts à accueillir des prisonniers. Ils sont tous dotés de personnel et même entourés de gardes à plein temps, mais ils sont tous vides. Ces camps doivent être gérés par la FEMA si la loi martiale devait être appliquée aux États-Unis et il suffirait d'une signature présidentielle sur une proclamation et de la signature du procureur général sur un mandat auquel est jointe une liste de noms. . . Le programme Rex 84 a été créé sur la base du raisonnement selon lequel si un « exode massif » d’étrangers illégaux traversait la frontière entre le Mexique et les États-Unis, ils seraient rapidement arrêtés et détenus dans des centres de détention par la FEMA.
Rex 84 a permis la fermeture de nombreuses bases militaires et leur transformation en prisons.
Operation Cable Splicer et Garden Plot sont les deux sous-programmes qui seront mis en œuvre une fois que le programme Rex 84 sera lancé pour son objectif propre. Garden Plot est le programme pour contrôler la population. Cable Splicer est le programme visant à une prise de contrôle ordonnée des gouvernements étatiques et locaux par le gouvernement fédéral.
La FEMA est le bras exécutif du futur État policier et dirigera donc toutes les opérations. Les décrets présidentiels déjà inscrits au Federal Register font également partie du cadre juridique de cette opération.
Les camps disposent tous d'installations ferroviaires ainsi que de routes menant aux centres de détention et en revenant. Beaucoup ont également un aéroport à proximité. La majorité des camps peuvent accueillir une population de 20 000 prisonniers.
Actuellement, la plus grande de ces installations se trouve juste à l’extérieur de Fairbanks, en Alaska. L’établissement d’Alaska est un immense établissement de santé mentale pouvant accueillir des milliers de personnes.
Dès lors qu'une personne (civile ou militaire) s'est faite inoculer des nano-particules d'oxyde de graphène (95 à 99 % dans UNE seringue !) elle véhicule des relais entre le téléphone portable et le cerveau (bientôt, grâce à la 5G il n'y aura plus de tel portable !). C'est direct de la tour relais à votre cerveau ! Whôaw !
Il n'y a donc plus à se faire du 'mauvais sang' pour les militaires ou voisinage immédiat ! Dès qu'ils reçoivent u message comme quoi ils doivent tuer, tuer, tuer ! Ils tuent.
Car le cerveau n'est plus libre, n'est plus indépendant, il ne vous appartient plus ! Vos neurones intoxiquées appartiennent à la kommandantur ! COMPRIS ?!
Voici un article paru le 25 août 2023 sur le site Donbass Insider que je reproduis ici intégralement. Il est important de noter que les sources d’information dont a disposé Christelle Neant pour écrire cet article sont ukrainiennes, vous allez vous régaler …
La confusion organisée autour du succès ou non des sanctions vise à empêcher les citoyens de prendre position. Cette prudence est sûrement utile, mais les Ukrainiens, eux ont moins besoin de motivation. Il faut dire que eux, paient un autre prix, bien plus terrible pour poursuivre le rêve de leurs dirigeants et des nôtres.
Cet article fera exception aux formes habituelles. Ukrainskaya Pravda et Ekonomichna Pravda, qui sont des journaux peu suspects d’être pro-russes, ont publié une série d’articles sur les sanctions.
How Western energy sanctions against Russia are failing | Ukrainska Pravda
Les vôtres et ceux des rachistes. La saisie des avoirs russes profitera à tout le monde sauf à l’Ukraine | Ekonomichna Pravda (epravda.com.ua)
Les armes de la Russie : comment la Russie augmente la production de missiles et d’équipements | Ekonomichna Pravda (epravda.com.ua)
Tous ces articles ont un point commun :
« Le matériel a été créé dans le cadre du projet ANTS « Les actifs russes comme source de restauration de l’économie ukrainienne », mis en œuvre en coopération avec l’Institut national démocratique (NDI) avec le soutien financier du National Endowment for Democracy (NED). »
Nous sommes donc en présence de la frange la plus anti russe et la plus décidée à combattre la Russie. Ils ont donc des biais, mais la comparaison entre leurs sources d’informations et le récit présent dans l’esprit des occidentaux sur les sanctions relève du grand écart.
Commençons par le commencement le point sur les sanctions de 2014, l’estimation démarre sur le matériel d’exportation pétrolier :
« À l’époque (en 2014), ils [les Russes] n’avaient la capacité de fournir que 20 % des équipements nécessaires aux opérations de forage. Ce chiffre est passé à 50 % en 2019. »
Le même phénomène s’est observé sur le porc et dans d’autres industries, les sanctions ont agi comme un protectionnisme et ont poussé l’industrie russe à se renforcer.
Mais bon, admettons, c’était 2014, depuis nos dirigeants ont eu le temps de “réfléchir” (et nous savons grâce à Monsieur Lemaire comment ils réfléchissent) et d’établir un nouveau plan de sanctions “infiniment” plus efficace.
Alors quelle est la stratégie ?
Je vous donne la version d’Ukrainskaya Pravda :
« L’objectif principal des sanctions occidentales contre la Russie est de rendre impossible le financement de la guerre. »
Et plus loin :
« Une augmentation des dépenses militaires aurait dû réduire considérablement d’autres programmes et déstabiliser l’économie, mais jusqu’à présent, Moscou a réussi à éviter cela. »
Dans un autre article nous avons :
« Plus l’establishment de Poutine perd de biens, plus vite ses représentants forceront les autorités à arrêter la guerre. »
On peut donc le résumer en : empêcher le financement de la guerre, déstabiliser l’économie pour monter le peuple contre Vladimir Poutine et inciter l’élite russe à se révolter. Un triptyque censé et adapté à une stratégie où l’armée ukrainienne est depuis le début considéré comme incapable de vaincre l’armée Russe sur le terrain. L’arrière Russe doit craquer pour obtenir le retrait de l’armée.
Le choix de ce schwerpunkt (on me pardonnera le terme allemand) fait de l’économie le champ de bataille principal. De l’efficacité des sanctions dépends le succès où l’échec de la guerre d’Ukraine.
Un an plus tard où en sommes-nous ?
La réponse est : les Ukrainiens meurent en masse sous les coups de l’artillerie russe, les contre-offensives s’empalent sur les défenses russes et ceux-ci observent le matériel occidental brûler depuis leurs tranchées bien aménagées.
Il serait donc essentiel de l’emporter sur le plan économique, constatons-le : nous en sommes loin ! Sur chaque point de la stratégie les Ukrainiens dressent un réquisitoire féroce.
Assécher le financement de la guerre Première constatation : avant-guerre, les Russes disposaient d’une cagnotte :
« Dans les années qui ont précédé l’invasion à grande échelle, le Kremlin a placé une partie de ces revenus dans le Fonds national de richesse (NWF). Les fonds qui y sont détenus ont atteint 183 milliards de dollars. »
Celle-ci permettait d’absorber les chocs, nulle part il n’est mentionné une confiscation ou un gel de ces avoirs. En réalité les Ukrainiens nous disent :
« Les pays occidentaux ont gelé des dizaines de milliards de dollars de yachts et de villas de l’élite russe. »
Au total, les alliés de l’Ukraine ont gelé des avoirs privés russes d’une valeur de 58 milliards de dollars.
Sur la base de rapport officiels Russes d’avant guerre, il avait été estimé que les sanctions devaient geler 300 milliards de dollars d’actifs. Les Ukrainiens suivent ces montants à la trace, car leur reconstruction est gagée dessus. Il est donc improbable qu’ils l’aient sous-évalué.
58 milliards sur une cible officielle de 300 milliards, le butin est maigre. Dès lors, tous les pays s’accrochent à des processus judiciaires pour prétendre ne pas avoir abîmé le droit de propriété. Pas de chance, l’effet moral est probablement déjà là. Nous avons volé, rompu un droit essentiel, tout cela pour PRESQUE RIEN.
Le NWF qui représentait la cible la plus juteuse n’a pas été pris et le trésor de guerre russe parait intact1 !
(Russie balance commerciale)
Voila les excédents commerciaux russes des années avant 2017 il suffit de sommes les valeurs annuelles pour estimer les réserves. Pensez-tout de même à estimer que ce montant peut-être réduit par des dividendes ou des services financiers. La fuite des capitaux était un fléau avant Poutine, il est improbable qu’il ait réussi à totalement l’endiguer.
On le constate le financement de la guerre sur les seules réserves peut durer assez longtemps. Mais pire qu’en est-il du commerce ?
Le gaz et le pétrole semblent bien se porter, voici le graphique de Bloomberg :
( bloomberg)
Un Euro= environ 100 roubles au cours actuel, donc, chaque mois, entre 4 et 7 milliards d’Euros de Revenus. La balance commerciale française apprécierait.
Selon le mythe en vigueur, les Russes vendent avec des rabais. L’information semble à nuancer aux yeux de la Pravda ukrainienne et elle livre une analyse des cours du baril d’Oural (Pétrole russe) comparé à celui du Brent (Marché occidental).
Le pétrole doit être vendu à rabais afin d’évincer les concurrents et d’indemniser les clients pour les risques associés aux sanctions.
Plus le pétrole russe pénètre profondément sur le marché asiatique, plus la décote en dessous du Brent diminue. Il était de 37 $ US le baril au début de l’invasion, et maintenant il est de 19 $. L’écart s’est réduit de 40 % au cours des cinq derniers mois.
On le constate le risque de sanction des acheteurs intégré dans le prix diminue, témoignage de la perte de dissuasion de l’occident. Le prix contient l’information, et celle-ci dit : Le reste du monde se préoccupe de moins en moins de nos représailles.
Pire, le prix du baril russe, malgré la décote est remonté :
« La hausse des prix mondiaux, ainsi que la réduction de la décote, ont entraîné une hausse de 35% du prix du baril de pétrole de l’Oural depuis mars 2023. » Avant-guerre, les Russes annonçaient équilibrer leur budget à 40 dollars le baril. Tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes pétroliers. Prends ça Poutine, 25$ de rabiot par baril.
Le prix reste lui confortable au-dessus du niveau de septembre 2021.
L’UE a tenté de réagir en imposant un plafond, l’article de la Pravda détaille les différentes méthodes de contournement. L’insuffisance des résultats et là encore au rendez-vous.
Quant au gaz, non sanctionné, certes nous avons réduit nos importations :
« Ce chiffre est cinq fois inférieur aux volumes d’avant l’invasion, mais le prix moyen a augmenté depuis. Par conséquent, Gazprom, la multinationale russe de l’énergie, est en mesure d’alimenter le Trésor russe de 100 à 150 milliards de roubles [environ 1,1 à 1,6 milliard de dollars par mois]. »
Surtout, même si l’approvisionnement en gazoduc devait finalement cesser, la Russie disposera toujours d’une capacité importante d’exportation de GNL, disponible pour livraison partout dans le monde.
À l’avenir, la Russie prévoit d’augmenter la capacité de ses terminaux GNL et de devenir le quatrième exportateur mondial.
Donc, à la lecture de ces éléments, le financement de la guerre n’est en aucun cas en danger.
En 2023, la Russie dépensera 29 362 milliards de roubles, soit 9 milliards de dollars du budget fédéral.
Même l’effet secondaire n’est pas atteint.
Une augmentation des dépenses militaires aurait dû réduire considérablement d’autres programmes et déstabiliser l’économie, mais jusqu’à présent, Moscou a réussi à éviter cela.
On comprend que les Ukrainiens partis en guerre avec la promesse de voir l’économie russe s’effondrer soient furieux. Eux meurent tandis que le plan échoue. La Russie est financée et absorbe le choc.
Déstabiliser l’économie russe Alors, on pourrait argumenter sur les importations, l’économie russe y était sensible et avoir de l’argent sous le matelas ne garantit pas de pouvoir le dépenser. Comme le disent les Kiéviens :
« Trouver quelques billions de dollars n’est que la moitié de la bataille. Pour faire la guerre, les Russes ont besoin d’avoir accès à l’électronique occidentale. Sans elle, il est impossible de produire des missiles, des avions, des drones, des radars et des chars russes modernes. »
Passons sur la présentation selon laquelle les Russes seraient incapables de rien construire sans matériel occidental, la Pravda conclut sur ce sujet un peu plus loin :
« Il n’y a pas eu de catastrophe dans le complexe militaro-industriel russe en raison des sanctions. »
Donc, malgré les sanctions les russes continuent à produire leurs armes.
Pourquoi ? D’abord, car la production d’armes classiques est autonome :
« Pour des armes ou des équipements plus primitifs pour la défense, la Russie a toujours eu un cycle de production complet », a déclaré Archil Tsintsadze, expert en défense, ancien attaché militaire géorgien aux États-Unis.
Le fait que le complexe militaro-industriel russe soit vivant est également mis en évidence par les indicateurs des statistiques officielles russes, a déclaré Lidia Lisovska,
Alors on se console en prétendant les Russes incapables de produire des armes de précision. Certes mais…
La deuxième méthode est semi-légale. Les livraisons à la Fédération de Russie se font par l’intermédiaire de pays neutres. Lesquels sont faciles à déterminer. Les exportations de semi-conducteurs vers la Russie en provenance de Turquie, d’Arménie, du Kirghizistan, du Kazakhstan et de Serbie ont été multipliées par dix. Aucun de ces pays ne produit de micropuces.
Résultat Les données du ministère ukrainien de la Défense montrent qu’en une année de guerre, les Russes ont pu produire plus de 500 missiles de croisière.
Alors, certes les Russes ne parviennent sans doute pas à remplacer toutes les armes utilisées. Mais c’est bien là la fonction des stocks et si leur production croit la vitesse de réduction des stocks diminue.
À la guerre, le vainqueur est celui capable de tenir le dernier quart d’heure, au rythme actuel, la Russie est en route pour courir un marathon et les sanctions coûtent sûrement de l’argent, mais elles n’empêchent pas l’économie russe de fonctionner.
On le voit dans l’analyse suivante :
« Selon elle (Lidia Lisovska, analyste du projet ANTS ), au premier trimestre de 2023, la production en Russie de jumelles, monoculaires et autres dispositifs optiques a augmenté de 73% par rapport à la même période en 2022.
La production de radars, de produits de radionavigation, d’équipements de télécommande, d’ordinateurs, de moteurs électriques, de générateurs, de batteries, de vêtements spéciaux et de chaussures a augmenté de 40 à 110%.
Cela peut indiquer le remplacement de produits qui étaient auparavant importés de pays occidentaux et une augmentation de la production pour l’armée. »
Alors, dernier espoir… Ainsi, les sanctions et la guerre drainent l’économie russe, mais seulement à long terme.
Oui, sauf que selon la phrase de Keynes : À long terme nous serons tous morts. Dans le cas de l’Ukraine il est probable qu’à long terme tous les Ukrainiens seront morts.
Et si jamais ils tenaient, les occidentaux sont-ils prêts à vivre encore des années d’inflations et de pouvoir d’achat en berne pour les beaux yeux de Zelensky? Il vaudrait mieux, me direz-vous, car la guerre en Ukraine masque le rôle de l’expansion monétaire de nos banques centrales dans l’explosion des prix. Prends ça Poutine, tu es finalement bien commode pour éviter à Bruno Lemaire et Christine Lagarde une intero d’économie de niveau lycée.
Restait le dernier espoir : Inciter les oligarques à se révolter.
Le présupposé était le suivant : L’élite russe a un point faible – l’amour du luxe. Pendant des décennies, l’argent corrompu de la Russie s’est installé dans les pays occidentaux. Là, ils se sont transformés en maisons, appartements, yachts, restaurants et clubs de golf.
Plus l’establishment de Poutine perd de biens, plus vite ses représentants forceront les autorités à arrêter la guerre.
Oui, mais…
Dans les premiers mois de la guerre, il y avait beaucoup d’espoirs pour une révolte des élites russes. Il s’est avéré que c’était inutile, car la guerre est une affaire rentable pour eux. Les responsables et les oligarques russes ont réussi à compenser leurs pertes.
Alors, passons sur l’aspect boomer fragile de cette conception. L’idée était de voir les oligarques préférer leur luxe à leur pays. Désolé, comme disait monsieur de Montebourg devant l’assemblée.
« Voulez-vous savoir combien cela coûte de trahir la France ? Ça n’est pas cher »
Eh bien, les oligarques russes semblent plus chers, peut-être certains incidents de fenêtre font-ils monter le prix en flèche. Surtout, comme le révèlent les Ukrainiens, (je vous invite à consulter leurs graphiques) la guerre rapporte à l’élite russe. Ils reviendront après-guerre pour récupérer leurs biens où nous les laisserons avec leur mouchoir plein de morve dessus en signe de mépris.
En conclusion, les sanctions ont échoué. Elles ont un effet, on peut se cacher derrière, mais fondamentalement, l’objectif stratégique de provoquer l’effondrement militaire russe par le front économique n’est pas atteint.
La liste des états ne participant pas aux sanctions révèle qu’une large partie du monde refuse de participer.
Dés lors, au lieu d’exclure la Russie, nous nous excluons nous-mêmes du marché mondial et les sanctions deviennent de l’aveu des européens une plaisanterie :
(X)
On ne saurait mieux dire, pendant ce temps, des hommes meurent sur le front dans une guerre ingagnable2 et l’occident alimente la corruption pour encourager l’élite ukrainienne à poursuivre des combats inutiles.
Il est temps d’arrêter et de traduire en justice les responsables occidentaux coupables de ce désastre. Sinon, les peuples d’Occident seront comptables des errements de leurs dirigeants.
Ni pardon, ni oubli !
Jules Seyes
1 En tout cas, je n‘ai pas trouvé de trace de confiscation de ses avoirs. Seules sont mentionnées des propriétés de luxe appartenant à des oligarques et les comptes de RT pour ajouter la censure à l’ignominie.
2 Même Tytelmann reconnaît qu’au prix humain actuel les Ukrainiens ne pourront pas se permettre d’arroser de sang chaque km² de terrain a reprendre.
Les « baby-boomers » sont tous radioactifs, comme les sangliers !
le 1 septembre 2023
Si nous sommes tous « radioactifs » naturellement en raison du potassium-40 présent partout dans la nature que nous ingérons en mangeant par exemple des bananes (lien sur ce blog), nous le sommes aussi en raison de l’activité humaine qui a dispersé des radio-isotopes dans cette nature qui ne sont pas normalement présents dans des proportions préoccupantes. Le tritium, isotope de l’hydrogène radioactif et émettant des rayonnements beta moins, c’est-à-dire des électrons de très faible énergie, est redevenu d’actualité avec l’affaire de l’élimination de l’eau tritiée de l’usine électrique de Fukushima-Daiichi. Le premier Ministre japonais Kishida s’est d’ailleurs illustré en dégustant du poisson provenant de la Préfecture de Fukushima car il s’est documenté et sait très bien que le tritium n’est pas dangereux comme je l’ai exposé également sur ce blog il y a quelques jours. Mais venons-en à des radio-isotopes dont la présence n’est pas normale dans la nature. Il y a le césium-137 qui s’est dispersé en Europe à la suite de l’accident de l’usine de Tchernobyl (26 Avril 1986) et au Japon (11 Mars 2011) dans une bien moindre mesure au Japon à la suite de l’accident de l’usine sus-mentionnée. Le césium-137 n’existe pas normalement dans la nature. Il s’agit d’un émetteur de rayons gamma non négligeable et également de rayons beta moins environ 5000 fois plus énergétiques que ceux émis par le tritium et sa durée de demi-vie est trois fois plus longue, 30 ans, que celle du tritium. Le césium, quand il est radioactif comme c’est le cas pour ces deux accidents d’usines électro-nucléaires, devient préoccupant dans la mesure où il peut remplacer le potassium dans l’organisme. Ce fut l’argument avancé pour « déporter » des milliers de Japonais à la suite de l’accident et de dizaines de milliers d’autres à la suite de l’accident ukrainien.
Mais il y a un grand oublié dans cette affaire de césium ! C’est celui qui a été dispersé dans l’atmosphère à la suite des centaines d’explosions de bombes que les militaires ont allègrement testé jusqu’en 1960 pour être bien certains qu’ils pouvaient détruire toute forme de vie terrestre avec leurs petits joujoux dont ils reparlent aujourd’hui. À l’époque il était question de strontium radioactif mais ces militaires qui se moquaient du monde entier n’avaient qu’elliptiquement mentionné le carbone-14 et le césium-135. Si le carbone-14 est présent naturellement dans la nature en raison de la « spallation » cosmique les quantités massives retrouvées dans l’atmosphère qui ont culminé en 1960 on presque rejoint aujourd’hui le taux normal de carbone-14 utilisé pour réaliser des datations de fossiles. Pour le césium-135 issu de la désintégration du Xénon-137 qui apparaissant fatalement dans les réacteurs à eau pressurisée et les explosions de bombes l’histoire est claire : sa durée de demi-vie est de plus de 2 millions d’années et toutes les personnes qui ont été contaminées par les essais nucléaires ont toujours dans leurs os du césium-135 ! Certes ce césium radioactif est anodin et à peine plus énergétique (rayonnement beta moins) que le tritium mais il s’est accumulé dans le squelette des toutes les personnes qui ont subi les retombées des essais nucléaires atmosphériques des années 1950. Les États-Unis, la France, la Grande-Bretagne et l’Union soviétique sont donc responsables de cet état de fait. Jamais il a été mentionné la présence de césium-137 dans les retombées radioactives de ces essais atmosphériques et pour cause les militaires s’en moquaient, tout simplement …
Là où la situation se complique est l’essaimage dans toutes l’Europe, jusqu’en Allemagne et en Suisse des sangliers provenant de la zone interdite située au nord de l’usine de Tchernobyl. Ils sont tous radioactifs, les vieux et surtout les juvéniles. Un bref article provenant de l’American Chemical Society a enfin publié une note relative à ce sujet et si l’usine de Tchernobyl a répandu dans l’environnement ukrainien et biélorusse du césium-137 cette note indiquant que les teneurs en pourcentage de ces deux isotopes du césium déterminées par spectrographie de masse montrent sans ambiguïté que la contribution des essais nucléaires atmosphériques reste toujours prépondérante chez ces sangliers à tel point qu’ils sont considérés comme impropres à la consommation car la contamination atteint jusqu’à 5000 Bq par kilo de viande (1 Bq = 1 désintégration par seconde). Il est possible que ces sangliers super-radioactifs aient trouvé des gisements de racines et de champignons particulièrement contaminés lors des essais nucléaires …
Tout ceci montre à quel point un conflit nucléaire empoisonnerait la flore et la faune pour des dizaines, des centaines d’années. C’est ce que veulent les Américains et les Russes ?
Liens, illustration ZeroHedge :
Le paradoxe de la banane
Le potassium est naturellement radioactif puisque 0,0117 % de ce métal est du potassium 40, l’isotope de demi-vie 1,25 milliard d’années, ce qui signifie que depuis que la Terre existe (environ 5 milliards d’années) plus de 90 % du potassium 40 a … Lire la suite Le paradoxe de la banane
jacqueshenry
Retour sur l’eau tritiée de Fukushima-Daiichi
Ce lundi je suis allé me faire élaguer la perruque par ma coiffeuse, une charmante et belle polynésienne et devinez de quoi nous avons parlé ? De l’eau tritiée que la société TEPCO rejette dans l’Océan Pacifique ! Selon l’opérateur de la … Lire la suite Retour sur l’eau tritiée de Fukushima-Daiichi
Hiroshima et Nagasaki : le général Groves et le « canular » des radiations nucléaires
Des morts persistantes au Japon ? Juste de la « propagande ».
Par Greg Mitchell Recherche mondiale, 2 septembre 2023
Comme je l’ai noté dans des articles précédents – et dans mes récents livres Atomic Cover-up et The Beginning or the End – les États-Unis, après avoir largué les bombes sur Hiroshima et Nagasaki, ont été confrontés à un problème de publicité (sans parler de moral) unique.
Des rapports en provenance du Japon ont mis en garde contre une nouvelle maladie mystérieuse affectant les survivants des deux explosions. Certains au Japon la surnommaient déjà « maladie des radiations », ce à quoi s’attendaient en privé Robert Oppenheimer certains de nos autres fabricants de bombes (bien que cela ne soit pas mentionné dans le film de Christopher Nolan) – mais les responsables et la plupart des médias américains se sont quand même moqués de cette idée. Personne de l’Ouest n’avait encore atteint l’une ou l’autre ville.
Cependant, il y a soixante-dix-huit ans cette semaine, l’une des conversations les plus horribles, quoique révélatrices, de l’ère nucléaire a eu lieu.
Le général Leslie Groves, chef du projet Manhattan, avait reçu la veille un télex de Los Alamos, dans lequel des scientifiques demandaient des informations sur ces rapports choquants en provenance du Japon. Groves a répondu qu’il ne s’agissait que d’un « canular » ou d’une « propagande ». Le plus grand expert en radiations de Los Alamos a également utilisé le mot « canular ».
Sachant que la presse chercherait sa réponse officielle, Groves a appelé le lieutenant-colonel Charles Rea , médecin à l'hôpital d'Oak Ridge (qui fait partie du projet de bombe). Selon la transcription officielle, Rea a qualifié les rapports faisant état de décès par radiation de « propagande », de « hookum » et de « plutôt fous » et Groves a plaisanté : « Bien sûr, c'est fou – un médecin comme moi peut le dire !
Mais Groves savait que ce n'était pas fou et il devint agité en lisant des passages des rapports japonais. Il a même demandé sérieusement s’il y avait « une différence entre le sang japonais et celui des autres ». Les deux hommes ont finalement adopté l’idée que tout était attribuable aux brûlures – ou aux « bonnes brûlures thermiques », comme le disait Rea. "Ils subissent l'action retardée de la brûlure", a-t-il conseillé. Groves a répondu : « Bien sûr, nous recevons une bonne dose de propagande » – et a reproché à certains de nos scientifiques et à nos médias d’accorder du crédit à ces rapports.
Groves s'est même vanté : « Cela ne nous dérange pas du tout, sauf que ce qu'ils essaient de faire, c'est de créer de la sympathie. » Ajoutant : « C’est le genre de chose qui nous fait mal. » (Voir PDF de la transcription . Cliquez sur le mémorandum pour accéder au document complet)
- voir doc sur site -
Mais Rea a laissé entendre qu'il savait que Groves niait simplement la réalité, admettant finalement : « Bien sûr, ces scientifiques japonais là-bas ne sont pas si stupides non plus. » Pourtant, lors d’une deuxième conversation ce jour-là avec Groves, Rea a conseillé : « Je pense que vous feriez mieux de faire sortir les anti-propagandistes. » Une des grandes citations de cette époque. Il a également conseillé : « Vous devrez trouver un gros bonnet pour publier une déclaration contraire dans le journal. » (Cette grosse perruque finirait par être… Oppenheimer, encore une fois non mentionnée dans le film Nolan.)
Cinq jours plus tard, lors d’une visite à Oak Ridge, Groves a publiquement qualifié les rapports japonais de propagande et a ajouté : « La bombe atomique n’est pas une arme inhumaine. »
Le principal assistant de Groves, Kenneth D. Nichols (présenté comme un antagoniste clé d'Oppenheimer dans le film Nolan), admettrait dans ses mémoires de 1987 que « nous savions qu'il y aurait de nombreux morts et blessés causés par les radiations… »
« Toi qui n'es pas vacciné, c’est toi le problème » – Destins de personnes vaccinées
RépondreSupprimer01.09.2023
www.kla.tv/26914
Pendant la pandémie de Covid et la propagande en faveur de la vaccination, de nombreux politiciens, présentateurs et personnalités célèbres ont tenu des propos diffamatoires à l'encontre de la population non vaccinée. Kla.TV présente dans cette émission de nombreux exemples montrant comment une pression sociale massive a été exercée sur la population pour qu'elle se fasse vacciner. Voyez en comparaison les destins de personnes célèbres, victimes de la vaccination, qui ont suivi la propagande sur la vaccination ou qui ont cédé à la pression.
Les opposants à la vaccination semblaient avoir un penchant pour la mort.
Les opposants au masque deviennent des opposants à la vaccination. Ce n’est pas seulement leur propre vie qu’ils mettent en danger.
Nous devons commencer à faire des choses pour le plus grand bien de la société, et non pour des idiots qui pensent pouvoir faire leurs propres recherches.
Et surtout ne pas commencer pas avec les fous qui refusent de se faire vacciner contre le COVID.
La vie est trop courte pour être un enfoiré. La vie est bien trop courte pour ignorer la promesse qui vient en aide aux individus dans le monde entier.
Ceux qui ne sont pas vaccinés finiront par en payer le prix.
Ceux qui ne sont pas vaccinés devraient être taxés, ils devraient payer plus pour les soins de santé.
Nous devons commencer à considérer la décision de ne pas être vacciné (non vacciné) exactement comme nous considérons les automobilistes ivres.
Le Dr Fauci a déclaré que si les hôpitaux devaient encore plus compter sur le privé, ils devraient prendre des décisions très dures : Qui aura un lit en soins intensifs ? Et ce choix ne me semble pas si difficile. Une personne vaccinée a une crise cardiaque : oui, entrez tout de suite, on va s'occuper de vous ! Un type non vacciné qui a ingéré du gel pour cheval : Repose en paix ! Doux rêveur !
En rejetant les non vaccinés qui posent vraiment problème dans ce pays.
Littéralement, les seules personnes qui meurent sont celles qui ne sont pas vaccinées. Et pour ceux d'entre vous qui diffusent de la désinformation, honte à vous !
Le basketteur ne voulait pas se faire vacciner, mais il y a été contraint et maintenant sa carrière est terminée.
Un mannequin de 29 ans souffre de convulsions persistantes après la 2e vaccination ARNm de Pfizer.*
Une star de téléréalité meurt à 30 ans d'un cancer provoqué par les vaccinations.
Une ballerine de 20 ans meurt d'une « mort cardiaque subite » après avoir été vaccinée.
Un joueur de hurling de 29 ans meurt dans un tragique accident suite à un effondrement dû à la vaccination.
Le roi de la musique pop colombienne meurt subitement après avoir reçu sa troisième dose de vaccin.
Le chanteur de country meurt des effets secondaires de la vaccination quelques heures après son mariage.
« Je veux que vous sachiez que j'ai eu 2 vaccins et le rappel ! J'ai voyagé, je suis allée deux fois au Mexique, j'ai participé à des expositions, j'ai rencontré et accueilli des gens, et je n'ai jamais contracté le Covid - bien sûr ! Jésus m'aime plus que tout ! Vraiment ! Si beau, si beau... ! »
Toi qui n'es pas vacciné, tu es le problème. Ce sont les non vaccinés qui sont le problème. Point - Fin de l'histoire.
RépondreSupprimerCe sont les seules personnes que tu peux accuser. Ce n'est pas une honte. C'est la vérité. Peut-être devriez-vous avoir honte de ceux qui ne sont pas vaccinés.
Il est temps d’accuser ceux qui ne sont pas vaccinés, pas les gens normaux.
Tous ceux avec qui tu as été en contact t’accuseront. Comme tous ceux d'entre nous, qui ont fait ce qu'il fallait en nous faisant vacciner.
Parce que, honnêtement, nous savons que nous ne pouvons pas faire confiance à ceux qui ne sont pas vaccinés.
Je pense qu'il est temps de mettre de l'ordre dans notre moralité. Ce sont les non vaccinés qui constituent la menace.
En fait, ils punissent les vaccinés, pour les péchés des non vaccinés.
En fait, les non vaccinés sont arrogants. Ils se promènent dans le pays en disant : Haha, on s'en fout, on vit libre, etc.
Vous avez été patients, mais notre patience est à bout.
Les non vaccinés, un groupe qui comprend aussi des enfants, et des gens qui se comportent comme des enfants. Et nous, nous commençons à nous énerver.
Les vaccinés ressentent que les non vaccinés les mettent en colère ou les énervent !
Ça n'a rien à voir avec la liberté ou le choix personnel.
Eh bien, en quelque sorte ma liberté est contrariée. Non, oubliez votre liberté !
L'autre jour, Howard Stern a exprimé une approche très différente, regardez : « Quand est-ce qu’on cessera de supporter les idiots de ce pays et qu’on dira simplement : Maintenant, c’est obligatoire de se faire vacciner ! »
Mais ils marchent sur notre liberté et ils rendent d'autres personnes malades, et au fond, ils tuent d'autres personnes.
Un footballeur de 21 ans meurt sur le terrain. Une nouvelle victime de la vaccination meurtrière par ARNm.
Un joueur de kabaddi de 22 ans meurt d'une crise cardiaque pendant un match. Une autre victime des vaccins toxiques.
Un sportif de 24 ans meurt subitement après s'être effondré pendant un match à cause des vaccins.
Un jeune kickboxeur s'effondre sur le ring après avoir reçu une injection génique et meurt.
Une danseuse de 20 ans meurt d'une crise cardiaque sur scène, une autre victime tragique de la vaccination
Joueur de hockey sur glace de 20 ans, meurt pendant un tournoi des effets secondaires du vaccin.
Un joueur de hockey sur glace meurt en plein match d'un arrêt cardiaque dû au vaccin.
Un footballeur de 20 ans s'effondre sur le terrain et meurt des effets secondaires mortels du vaccin.
Un danseur s'effondre sur scène et meurt à cause de la vaccination mortelle
Un sportif meurt d'un « arrêt cardiaque » lors d'une course cycliste, après les vaccinations
Un marathonien de 32 ans décède juste avant la ligne d'arrivée d'une crise cardiaque provoquée par la vaccination
L'entraîneur meurt d'une crise cardiaque causée par les vaccins pendant une séance d'entraînement.
RépondreSupprimerUn coureur meurt lors du marathon de Kuala Lumpur après avoir été vacciné.
Un footballeur meurt d'une crise cardiaque sur le terrain, comme de nombreux autres sportifs après avoir été vaccinés.
Un joueur de handball meurt en plein match, et un autre à l'hôpital, après avoir subi un arrêt cardiaque dû à une vaccination.
Un milieu de terrain de 22 ans meurt d'une crise cardiaque après s'être effondré à l'entraînement. Une autre mort subite, d'un sportif en bonne santé, après avoir été vacciné.
« Et tout cela après l'injection d'une arme biologique dont nous savons avec une certitude absolue qu'elle provoque des myocardites et d'autres problèmes cardiaques chez les jeunes gens en bonne santé qui en reçoivent ! Ne laissez pas les médias vous faire douter et vous faire croire qu'il est normal et courant que des sportifs tombent raides morts. Ce n'est pas le cas et ça ne l'a jamais été, du moins jusqu'à il y a quelques années. »
Et voici pourquoi nous, les Verts, nous disons qu'il faut maintenant, premièrement une limitation de contacts des adultes non vaccinés, deuxièmement que les commerces soient enfin fermés aux personnes non vaccinées et troisièmement - ce qui nous fait particulièrement mal - que tous les événements sportifs et de loisirs avec du public leur soient interdits. Je suis vraiment heureuse que le nouveau gouvernement de coalition se mette en route pour introduire une vaccination obligatoire générale et je m'attends à ce que les préparatifs commencent dès maintenant.
Oui, nous sommes arrivés à un point où l'État doit augmenter la pression sur les vaccino-sceptiques pour leur dire clairement : « Vous ne pouvez plus vous contenter d'attendre. »
Eh bien, merci de tout cœur à tous les non vaccinés, grâce à vous il risque d’y avoir un confinement l'hiver prochain !
Une triathlète souffre de douleurs constantes et extrêmes après avoir été vaccinée contre le Covid :
« Le 13 avril, j'ai reçu avec enthousiasme ma deuxième injection de Pfizer. À ce moment-là, toute ma vie a changé. Nous sommes une vérité qui dérange, les vaccinations causent de graves dommages qui changent la vie. »
Un basketteur de 26 ans est victime d'une thrombose peu après la vaccination Covid-19 :
« Tout cela s'est passé en l'espace d'un mois. Jusqu'à ce que je sois vaccinée, j'allais bien ! Et on m'a dit de n'en parler à personne. Oui, la vaccination a mis fin à ma saison à 1000%. »
Frank Montgomery, de l'Ordre fédéral des médecins : « Il y a une étude intéressante de l'université de Hambourg. Ils viennent de constater qu'il y a des gens qui, maintenant, ne veulent plus se faire vacciner pour défier l'Etat, une sorte de « révolte fondamentale contre tout ». C'est bien sûr une évolution inquiétante. Ils se promènent partout avec un signe 3U, c'est-à-dire « non vacciné, non testé, irréductible ». Je pense qu'ils devraient écrire 4U et ajouter « incroyablement stupide ». Mais il y aura toujours des personnes que rien ni personne ne pourra atteindre, quelles qu’en soient les raisons. Mais la plupart du temps, elles se trouvent parmi celles qui viennent d’être mentionnées et pas n’importe où. »
RépondreSupprimerRobert Habeck, vice-chancelier : « Il y aura une différence dans l'accès aux droits et à la liberté de vivre entre vaccinés et non vaccinés. »
N'oubliez pas que de nombreuses choses deviendront inconfortables pour eux s’ils ne se font pas vacciner.
Boris Palmer, maire de Tübingen : « On pourrait faire dépendre le versement des pensions, des retraites, ou même de l'accès au travail à la présentation d'une preuve de vaccination. »
Frank U. Montgomery, Chambre fédérale des médecins : « Car, nous assistons maintenant à une véritable tyrannie des non vaccinés. Une tyrannie ? Oui, j'utilise délibérément le terme de tyrannie. »
Karin Keller-Sutter : « J’aimerais appeler les personnes qui nous écoutent aujourd'hui à se vacciner, à faire leurs rappels. »
C'est le cas du colonel italien Gagliano, qui est mort peu après avoir été vacciné. Son ami a témoigné dans une vidéo émouvante que celui-ci avait été forcé de se faire vacciner contre le Covid. Lorsqu'il est décédé quelques jours après la vaccination, le commandement de la police italienne a indiqué comme cause officielle de sa mort qu'il était mort des suites du Covid. Son ami est très en colère et veut faire savoir partout qu'il est mort à cause de la vaccination.
Il semble également significatif que plusieurs défenseurs de la vaccination soient décédés après avoir été vaccinés. Parmi eux, le développeur de l'application de vaccination Covid du CDC, le compositeur de la chanson publicitaire « Trouver le vaccin » et l'homme de 38 ans qui a demandé l'incarcération des personnes non vaccinées sont morts d'une insuffisance cardiaque aiguë.
La cavalière australienne star est hospitalisée pour des thromboses après avoir été vaccinée par Pfizer
RépondreSupprimerOn m'a dit : pas de vaccination, pas de travail. J'ai donc fait ce que j'avais à faire. J'étais une jeune fille de 19 ans parfaitement saine et normale, super active, et je n'avais jamais été hospitalisée.
Une chanteuse espagnole raconte qu'elle a failli mourir quelques jours après avoir été vaccinée.
L'injection lui a fait perdre un doigt et ses pieds sont devenus noirs.
Un boxeur de 36 ans est cloué au lit et incapable de travailler depuis sa 3e dose du « vaccin » Pfizer.
Je veux juste me remettre sur pied, me lever de mon lit et que mon rythme cardiaque redevienne normal !
L'athlète olympique de 24 ans a du mal à se débrouiller seule après avoir reçu le vaccin de Pfizer et a voulu mettre fin à ses jours.
« Avant, j'étais dans l'équipe olympique de natation synchronisée et je m'entraînais six jours par semaine, dix heures par jour. J'étais incroyablement hyperactive, j'étais toujours connue comme celle qui courait sur le plateau et faisait des choses stupides, comme faire des culbutes quand je n'aurais pas dû, et ce genre de choses. On m'a demandé de me faire vacciner deux fois pour pouvoir travailler dans le cinéma, et je l'ai tout de suite regretté, car dès qu'ils me l'ont injecté dans le bras, je me suis dit : Qu'est-ce que j'ai fait ? Je ne peux pas décrire à quel point c'était horrible, j'avais la tête qui tournait et je rampais littéralement ! Je pensais que ma vie était finie parce que je n'étais même plus capable de cuisiner, de me lever ou de m'occuper de moi. Ma mère venait me voir, deux fois par semaine je crois, pour changer les draps, faire les courses et nettoyer mon appartement. »
Karl Lauterbach, du SPD, ministre de la santé allemand : « Les personnes non vaccinées seront soit vaccinées, soit guéries, soit malheureusement décédées d'ici mars. »
Friedrich Merz, président de la CDU : "Plus aucun non vacciné au bureau".
Joachim Gauck, ancien président de la République fédérale d'Allemagne : « Les sceptiques de la vaccination sont des débiles. »
Rainer Stinner, du FDP : « Aucun opposant à la vaccination ne sera traité comme un ennemi public. On espère juste qu'il ne pourra bientôt plus se
mêler aux autres parce qu'il est un dangereux parasite social. »
Markus Söder, du CSU, ministre-président : « Nous devons faire attention à ne pas avoir une pandémie de non vaccinés. »
Marie-Agnes Strack-Zimmermann, membre du bureau fédéral du FDP : « Les non vaccinés ne doivent pas être une minorité qui terrorise la majorité. »
Tobias Hans, CDU, ministre-président : « Il est important d'envoyer un message clair aux non vaccinés : Vous êtes désormais exclus de la vie sociale. »
Stephan Weil, SPD, ministre-président de Basse-Saxe : « Les non vaccinés sont responsables des percées vaccinales des vaccinés. »
Hendrik Wüst, CDU, ministre-président de Rhénanie-du-Nord-Westphalie : « Maintenant, nous nous occupons des non vaccinés et nous introduisons une vaccination obligatoire. »
Clemens Hoch, SPD, ministre de la Santé de Rhénanie-Palatinat : "Tous ceux qui ne veulent toujours pas se faire vacciner doivent s'attendre à ce qu'on les surveille attentivement."
Andreas Lob-Hüdepohl, membre du Conseil d'éthique allemand : « Je ne vois pas de clivage. Les gens se classent eux-mêmes dans un camp en ne se faisant pas vacciner alors qu'ils peuvent se faire vacciner. »
Boris Palmer, Les Verts, maire de Tübingen : « Si les gens savaient que ça coûte 5 000 euros de ne pas être vacciné, nous aurions un taux de vaccination de 98% en quatre semaines. »
RépondreSupprimerDetlef Scheele, chef de l'Agence fédérale pour l'emploi : « En tant qu'agence fédérale, nous devons nous aussi examiner si l'absence de vaccination entraîne une période de quarantaine. »
Manuela Schwesig, SPD, ministre-présidente : « Faire du shopping, se rencontrer en privé, aller au restaurant, ça ne doit plus être possible pour les non vaccinées. »
[ !] France, décembre 2022 : De nombreuses photos alignées de personnes mortes du vaccin Covid, jeunes pour la plupart, ont glacé les gens dans plusieurs villes françaises !
[ !] Allemagne, janvier 2023 : Une action de lits de camps devant le Bundestag allemand a pour but de faire prendre conscience à la population et aux politiques des énormes dégâts causés par la vaccination Covid.
[ !] Cri d'alarme en provenance d'Israël : Des citoyens israéliens désespérés ont témoigné devant la caméra comment ils souffrent d'effets secondaires très graves et de décès dans leur entourage après avoir reçu le vaccin Covid.
[ !] Avril 2021 : Le documentaire de Kla.TV « Appel au réveil urgent : Des décès par milliers après la vaccination Covid19 » a fourni les chiffres très alarmants des décès survenus dans les maisons de retraite allemandes juste après le début de la vaccination.
[ !] Dans le monde entier, de vastes bases de données témoignent du sort d'innombrables sportifs de haut niveau qui se sont soudainement effondrés et sont même souvent morts immédiatement après avoir été vaccinés.
Une dresseuse de chevaux de 23 ans est morte après que son patron lui a ordonné de se faire vacciner.
« Je suis la mère de Caitlin Gotze. Il y a 12 semaines, le 17 novembre 2021, elle est tombée raide morte au travail. Dans le mail qu'elle m'a envoyé, elle a dit qu'elle avait l'impression de mourir après la deuxième vaccination. C'est ma petite fille, et elle aurait dû vivre encore 75 ans ! Elle étudiait, elle voulait être vétérinaire. »
Günter Jauch, présentateur dehttps://www.kla.tv/fr télévision : « Je n'ai aucune compréhension pour les gens qui ne veulent pas se faire vacciner. »
Jörg Kachelmann, présentateur : « Ce n'est pas seulement le personnel soignant non vacciné qui cherche à perdre sa vie, mais aussi le groupe de racailles non vaccinées qui, dans une tradition fasciste, sépare la vie qui est digne de celle qui ne l’est pas. »
Mariele Millowitsch : « Pour moi, c'est clair, je ne veux plus travailler avec quelqu'un qui n'est pas vacciné. »
Nikolaus Blome, chef du service politique de RTL et n-tv.de : « Je voudrais en revanche demander ici explicitement des désavantages sociaux pour tous ceux qui renoncent volontairement à se faire vacciner. Puisse la République entière les montrer du doigt. »
Charlotte Würdig, présentatrice : « Je ne laisse pas entrer les personnes non vaccinées à Noël. »
Peter Maffay : « Celui qui n'est pas vacciné ne peut pas fréquenter d’autres personnes. »
de sak.
RépondreSupprimerSources / Liens :
Témoignages de victimes de la vaccination
https://www.bitchute.com/video/nRYrMXqg06LH/
https://www.bitchute.com/video/IUI6btH8Egnl/
https://www.kla.tv/25809
Déclarations dans les médias mainstream :
https://www.youtube.com/watch?v=s2yeArP8qTs
https://corona-blog.net/wp-content/uploads/2022/04/Ungeimpfte-sind-unglaublich-dumme-Menschen-Ulrich-Montgomery-IchHabeMitgemacht.mp4
https://corona-blog.net/wp-content/uploads/2022/04/IchHabeMitgemacht.mp4
https://www.srf.ch/news/schweiz/nur-geimpfte-und-genesene-keller-sutter-2g-ist-die-naechste-massnahme
https://www.youtube.com/watch?v=oFZDQpdb5yY
https://www.youtube.com/watch?v=s2yeArP8qTs
https://www.youtube.com/watch?v=K_Ys52Rglk4
https://www.youtube.com/watch?v=_5HXi2oFJSU
https://www.kla.tv/fr
Il y a 3 ANS (les merdias) annonçaient l'arrivée non-pas d'un microbe mais d'une poussière (appelée 'virus'). Or, cette poussière ne se trouve PAS dans l'air (il y a des milliers de laboratoires dans le monde qui tous les jours analysent la 'qualité de l'air'). Et... n'ont rien trouvé !! Çà alors !!
SupprimerMais alors... où qu'elle est-elle ???!
Devinez !!
L'ivermectine est un remède éprouvé contre le Covid. Ne laissez personne vous dire le contraire.
RépondreSupprimerPar Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
2 septembre 2023
Au cours des années de la tromperie du Covid-19, j’ai signalé que le Covid était rare dans les régions d’Afrique où l’ivermectine était utilisée chaque semaine comme préventif de la cécité des rivières et où l’HCQ était utilisée comme préventif du paludisme. J’ai également signalé qu’une grande partie de l’Inde utilisait l’ivermectine à titre préventif et curatif et était peu gênée par Covid. Idem au Brésil et au Pérou. Partout où l’ivermectine a été utilisée, il n’y a pas eu de décès supplémentaires. Finalement, les Japonais ont reconnu les vertus de l’ivermectine et l’ont adopté comme remède officiel, car le « vaccin » tant vanté s’est avéré n’offrir aucune protection mais constituait une menace sérieuse pour la vie et la santé.
Aujourd’hui, l’establishment médical tente toujours de supprimer l’ivermectine et l’HCQ, et pour les mêmes raisons que lors de la prétendue « pandémie ». Une prévention et un traitement peu coûteux font obstacle aux profits des grandes sociétés pharmaceutiques et aux mandats de vaccination, de masques et de confinement.
Les années Covid m’ont appris que relativement peu de médecins sont compétents, capables de penser de manière indépendante et ont intérêt à trouver des médicaments approuvés, comme l’ivermectine, efficaces contre les nouveaux agents pathogènes. Ces médecins ont sauvé la vie de patients, au grand désarroi de l’establishment médical, et les médecins qui ont sauvé la vie de leurs patients sont toujours punis pour cela.
En septembre 2021, l’American Medical Association, corrompue, a demandé aux médecins d’arrêter de prescrire l’ivermectine pour le COVID-19. Dans un communiqué, l'AMA, ainsi que l'American Pharmacists Association (APhA) et l'American Society of Health-System Pharmacists (ASHP), ont averti :
« Nous sommes alarmés par les informations selon lesquelles la prescription et la délivrance ambulatoires d’ivermectine ont été multipliées par 24 depuis avant la pandémie et ont augmenté de façon exponentielle au cours des derniers mois. C’est pourquoi nous demandons l’arrêt immédiat de la prescription, de la délivrance et de l’utilisation de l’ivermectine pour la prévention et le traitement du COVID-19 en dehors d’un essai clinique.
« En outre, nous exhortons les médecins, les pharmaciens et les autres prescripteurs – les professionnels de santé de confiance dans leurs communautés – à mettre en garde les patients contre l'utilisation de l'ivermectine en dehors des indications et des directives approuvées par la FDA, qu'elle soit destinée à être utilisée chez l'homme ou l'animal, car ainsi que l’achat d’ivermectine dans les magasins en ligne.
» demande le Dr Joseph Mercola. « Combien sont morts inutilement à cause de ces ordres ?
RépondreSupprimerLa question de Mercola est bonne. Ceux qui sont morts du Covid sont morts faute de soins. Pour qu’un vaccin non testé puisse être utilisé dans le cadre d’une « autorisation d’utilisation d’urgence », il ne doit pas exister de remède. C’est pourquoi l’establishment médical, qui sert d’agent de marketing pour Big Pharma, a dû nier l’existence de remèdes et empêcher les médecins de guérir les patients avec l’ivermectine et l’HCQ avant que la connaissance du remède ne se répande. Sinon, les objectifs servis par le Death Shot seraient bloqués.
Maintenant que l’établissement médical dispose d’une nouvelle variante du Covid pour effrayer les gens et d’un vaccin dangereux mis à jour, on parle d’une nouvelle série de mandats de vaccin, de masque et de confinement.
Ces mesures sont très dangereuses et totalement inutiles. Mais ils maximisent le profit et le contrôle, et c’est leur objectif.
Mon conseil est que si vous avez un médecin qui vous met en garde contre l’ivermectine, vous avez un médecin stupide ou corrompu qui est très dangereux pour votre vie et votre santé. Trouvez-en rapidement un autre qui a l’intérêt de connaître les faits et la détermination de faire passer ses patients avant les profits des grandes sociétés pharmaceutiques. Et ne faites certainement confiance à aucun hôpital d’entreprise.
https://www.lewrockwell.com/2023/09/paul-craig-roberts/ivermectin-is-a-proven-cure-for-covid-dont-let-anyone-tell-you-different/
(...) le Dr Joseph Mercola. « Combien sont morts inutilement à cause de ces ordres ?
SupprimerLa question de Mercola est bonne. Ceux qui sont morts du Covid sont morts faute de soins. Pour qu’un vaccin non testé puisse être utilisé dans le cadre d’une « autorisation d’utilisation d’urgence », il ne doit pas exister de remède. C’est pourquoi l’establishment médical, qui sert d’agent de marketing pour Big Pharma, a dû nier l’existence de remèdes et empêcher les médecins de guérir les patients avec l’ivermectine et l’HCQ avant que la connaissance du remède ne se répande. Sinon, les objectifs servis par le Death Shot seraient bloqués. (...)
'Ceux qui sont morts du Covid sont morts faute de soins.' !! NON ! Ils ou elles sont morts à la faute d''être piqué ! Sans piqûre = zéro mort.
La moitié des personnes vaccinées n’arrêtent jamais de produire des protéines Spike, selon une étude
RépondreSupprimerLe vaccin contre la COVID est un CADEAU QUI CONTINUE À DONNER
IGOR TCHOUDOV
1 SEPTEMBRE 2023
Rappelez-vous comment on nous a dit que « le vaccin reste dans le bras » et que « la protéine Spike inoffensive n’est produite que pendant quelques jours ». Ils ont déclaré en être sûrs, même s’il n’existe aucune donnée permettant de confirmer leurs déclarations.
Eh bien, malheureusement, il s’avère qu’ils nous ont menti. Les données sont désormais disponibles et prouvent que ces affirmations sont fausses !
Une étude scientifique intelligente de Brogna et al., qui vient d'être publiée, a détecté la présence de protéine de pointe chez les personnes vaccinées contre le COVID six MOIS après la vaccination - et a exclu la possibilité d'une contamination croisée des données expérimentales avec des infections au COVID en circulation sauvage.
- voir doc sur site -
https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1002/prca.202300048
Ce que les scientifiques ont fait
Les auteurs de l’étude ont utilisé un test sensible, appelé spectrométrie de masse, pour détecter une séquence spécifique d’acides aminés qui existe uniquement dans la protéine de pointe induite par le vaccin.
Pour rappeler à mes lecteurs, les vaccins à ARNm contre la COVID contiennent un code génétique pour produire ce qu’on appelle la « protéine de pointe », un composant du virus SARS-CoV-2 qui permet au virus de pénétrer et d’infecter les cellules humaines. Au cours du processus de pénétration, appelé « fusion », la protéine de pointe virale change de forme, devenant une sorte de lance, pénétrant la surface cellulaire.
- voir schéma sur site -
La seule modification apportée par Pfizer et Moderna a été de « stabiliser par préfusion » la protéine de pointe codée par le vaccin pour l’empêcher de changer de forme et d’être plus stable dans le corps humain. (Vous pouvez en savoir plus ici).
Les scientifiques ont décidé de rechercher ce composant protéique spécifique génétiquement modifié.
RépondreSupprimerConception expérimentale : L'examen par spectrométrie de masse d'échantillons biologiques a été utilisé pour détecter la présence de fragments spécifiques de la protéine Spike recombinante chez les sujets ayant reçu des vaccins à base d'ARNm.
Le remplacement, utilisant deux acides aminés proline, est appelé « PP » par les auteurs de l’étude (PP signifie proline-proline). Ils sont italiens et n'ont peut-être pas réalisé que « PP » semble méchant, c'est pourquoi dans la plupart de la littérature anglaise, la séquence est appelée « 2P ». Laissant de côté l’humour de la maternelle, les auteurs de l’étude se concentrent sur le composant protéique de pointe qui n’existe que dans le vaccin COVID et n’est PAS présent dans le virus Sars-Cov-2 naturellement existant.
Pour être sûrs que leurs découvertes ne sont pas fausses, les scientifiques ont inclus un groupe témoin de personnes qui n’ont jamais reçu les vaccins contre la COVID :
Le groupe d'étude, du sud de l'Italie, était composé de 40 sujets, 20 étaient vaccinés avec le cycle complet du vaccin à ARNm en avril 2022, faisant partie du secteur de la santé, et 20 n'étaient pas vaccinés avec un résultat négatif au test nasopharyngé pour le COVID-19 et sans titre de tout anticorps. Vingt autres personnes non vaccinées positives au COVID-19 ont été ajoutées.
Les trois groupes ont été examinés.
Il s’avère que seules les personnes du sous-groupe vacciné étaient porteuses de la protéine Spike dérivée du vaccin. Pire encore, la protéine de pointe du vaccin a été découverte six mois seulement après la dernière dose !
Le fragment spécifique PP-Spike a été trouvé dans 50 % de l'échantillon biologique analysé (Figures 1C – E et 2). Cette présence était indépendante du titre d’anticorps IgG SARS-CoV-2. Les titres d’anticorps avaient une moyenne géométrique de 629,86 BAU/mL (Figure 1E). Le délai minimum de détection du PP-Spike était de 69 jours après la vaccination, tandis que le délai maximum était de 187 jours. Tous les contrôles (échantillons provenant d’individus non vaccinés) étaient négatifs. Le groupe témoin (20 personnes non vaccinées) a également été testé après avoir contracté le COVID-19 et s’est révélé négatif pour le pic PP.
Nulle part l’étude n’indique que la production de protéines de pointe se termine après 187 jours – la limite supérieure de temps après la vaccination était un artefact de la conception de l’étude.
Cette image explique la conception de l’étude, montrant l’emplacement de la séquence d’acides aminés de la « protéine de pointe 2P stabilisée » :
- voir schéma sur site -
RépondreSupprimerLes auteurs expliquent le mécanisme probable de la production persistante de protéines de pointe :
- voir doc sur site -
Notez la possibilité inquiétante que « l’ARNm puisse être intégré ou retranscrit ». Qu'est-ce que c'est?
Le vaccin Covid fait-il partie de l’ADN humain ?
Un élément à noter est la phrase ci-dessus : « Il est possible que l’ARNm soit intégré ou retranscrit dans certaines cellules. » La soi-disant transcription inverse, c'est-à-dire l'ARNm du vaccin devenant une partie du génome de l'ADN humain dans certaines cellules affectées, a été initialement rejetée sans preuve par la soi-disant « science du COVID », jusqu'à ce qu'elle soit démontrée dans des expériences in vitro :
La newsletter d'Igor
Pires craintes réalisées : l’ARNm de Pfizer se transcrit en ADN
Une nouvelle étude est publiée : Transcription inverse intracellulaire du vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 de Pfizer BioNTech in vitro dans une lignée cellulaire de foie humain. Ce qu’il dit, c’est que des études en laboratoire montrent que le vaccin à ARNm s’intègre effectivement dans l’ADN cellulaire humain. Cela signifie qu’une injection de vaccin Pfizer, prise ne serait-ce qu’une seule fois, modifie de façon permanente l’ADN des cellules affectées…
En savoir plus
il y a 2 ans · 409 j'aime · 433 commentaires · Igor Chudov
Si tel est le cas, il existe une possibilité inquiétante que la production de protéines de pointe COVID ne s’arrête jamais. T
La newsletter d'Igor
Pires craintes réalisées : l’ARNm de Pfizer se transcrit en ADN
Une nouvelle étude est publiée : Transcription inverse intracellulaire du vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 de Pfizer BioNTech in vitro dans une lignée cellulaire de foie humain. Ce qu’il dit, c’est que des études en laboratoire montrent que le vaccin à ARNm s’intègre effectivement dans l’ADN cellulaire humain. Cela signifie qu’une injection de vaccin Pfizer, prise ne serait-ce qu’une seule fois, modifie de façon permanente l’ADN des cellules affectées…
Si tel est le cas, il existe une possibilité inquiétante que la production de protéines de pointe COVID ne s’arrête jamais. Pour illustrer cela, le virus VIH, qui cause le SIDA, se retranscrit également et s’intègre dans l’ADN humain, de sorte que les cellules reprogrammées des patients produisent sans cesse des copies du VIH. C’est pourquoi le VIH ne peut être guéri, mais seulement supprimé par des médicaments.
RépondreSupprimerDe même, les cellules humaines dans lesquelles le code génétique du vaccin COVID a été transcrit de manière inverse peuvent également produire sans fin la protéine de pointe pour la vie des individus affectés.
Cela explique-t-il la tolérance immunitaire aux IgG4 ?
La soi-disant tolérance immunitaire, qui est une tendance de l’organisme à ignorer les agents pathogènes persistants au lieu d’offrir une réaction immunitaire vigoureuse, pourrait expliquer pourquoi les personnes vaccinées sont plus sensibles aux infections répétées fréquentes et à une élimination plus lente du virus.
La tolérance immunitaire est parfaitement acceptable pour les allergènes, les irritants qui ne se reproduisent pas et existent de manière persistante. Ignorer les allergènes, au lieu de souffrir du rhume des foins ennuyeux, est la raison pour laquelle la tolérance immunitaire est une bonne réponse à des irritants environnementaux tels que le pollen ou la poussière.
Cependant, la tolérance immunitaire est mortelle lorsqu’il s’agit de résister à des agents pathogènes vivants et réplicatifs !
Un organisme immunotolérant est semblable à une victime de vol tolérante, qui reste passivement assise pendant que sa maison est saccagée sans résister. Le vol peut paraître « léger », mais les voleurs s'en vont avec le butin - et ils reviendront. Et encore.
Lire la suite ici :
La newsletter d'Igor
La tolérance immunitaire aux IgG4 provoquée par un rappel explique la surmortalité et le « Covid chronique »
Rintrah Radagast a publié hier un article très important. Cela nous montre une explication potentielle de la raison pour laquelle la surmortalité est liée aux rappels COVID, pourquoi l’association des vaccins Covid avec la mortalité se renforce avec le temps au lieu de diminuer, et pourquoi…
L’article référencé ci-dessus explique la tolérance immunitaire, pourquoi elle est mauvaise pour Covid-19 et comment elle fonctionne.
Ce que l’article ci-dessus n’a pas entièrement exploré, c’est la raison pour laquelle la vaccination induit une tolérance immunitaire.
Brogna et coll. L’étude dont nous discutons nous montre le mécanisme par lequel se développe une tolérance immunitaire à la protéine de pointe. La raison en est que la protéine Spike, produite sans fin, ressemble à un « irritant environnemental » pour l’organisme vacciné au lieu d’être considérée comme un intrus dangereux.
RépondreSupprimerIls auraient dû tester cela avant d’imposer ces vaccins
J’apprécie grandement le travail minutieux et difficile de Brogna et de ses co-auteurs, qui ont soigneusement examiné la présence de protéine de pointe chez les personnes vaccinées, utilisé correctement des sujets témoins pour exclure le COVID-19 comme cause alternative, etc.
Je n’apprécie pas la « science Covid », qui a menti sur la sécurité et l’efficacité des vaccins anti-Covid. Alors que nous entrons dans notre neuvième vague de Covid et que les personnes vaccinées sont infectées et réinfectées, les vaccins se sont révélés inefficaces. Pire encore, ils se sont également révélés dangereux, comme le montrent cette étude et de nombreuses autres études.
Malheureusement, les vaccins contre la COVID ne sont pas dotés d’un interrupteur OFF, et il n’existe aucun moyen d’arrêter cette production persistante de protéines de pointe.
Espoir pour les personnes vaccinées
Je ne veux pas terminer ce post sur une note négative. Je tiens à souligner que l’étude a révélé que seulement la MOITIÉ des personnes vaccinées souffraient de la présence continue de la protéine de pointe du vaccin dans leur sang. Heureusement, l’autre moitié va bien.
Par conséquent, toutes les personnes vaccinées espèrent que ce ne sont pas elles qui souffrent de cette production continue de pics. Il y a de l’espoir pour tous ceux d’entre nous qui ont été vaccinés ou qui ont touché des proches.
Curieusement, tout comme seulement la moitié des personnes vaccinées continuent d’être testées positives pour le pic six mois après la vaccination, seulement environ la moitié des personnes vaccinées développent une tolérance immunitaire. Un processus peut aller avec l’autre !
Ceci n’est pas un article anti-science.
Certains critiques pourraient m’accuser d’être anti-science simplement parce que j’ai parlé négativement des charlatans qui ont fait la promotion de vaccins anti-Covid non éprouvés. Loin de là, j’aime la bonne science et je suis toujours heureux de mettre en avant des recherches importantes qui sauvent des vies, comme l’étude que j’ai citée.
J’ai de grands espoirs que la période d’obscurité de la science, causée par le conformisme, la corruption et les idéologies radicales anti-humaines, prendra fin et que la recherche redeviendra centrée sur l’humain, ouverte à la critique et au progrès.
RépondreSupprimerPensez-vous que la science sera utile aux gens à l’avenir ?
https://www.igor-chudov.com/p/half-of-vaccinated-people-never-stop
Covid non-censuré : opération criminelle ou coup d’État ?
RépondreSupprimerpar Jean-Dominique Michel
1 septembre 2023
Crime ou coup d’État ?
Et pourquoi pas les deux («en même temps» dirait Macron) ?!
Le dossier paraît hélas plutôt convaincant…
- voir clip (Odysee) sur site -
source : Jean-Dominique Michel
https://reseauinternational.net/covid-non-censure-operation-criminelle-ou-coup-detat/
Corée du Sud, le pays le plus masqué, le plus vacciné et… le plus contaminé au monde
RépondreSupprimerpar Patrice Gibertie
1 septembre 2023
Fait amusant : la Corée du Sud comptait 33 800 000 cas confirmés de Covid-19 sur une population de 51 700 000 habitants, selon l’Organisation mondiale de la Santé. Le Covid-19 s’est propagé comme une traînée de poudre malgré un taux de respect des masques de près de 99 %.
Travail exceptionnel de @felicittina
Les surmortalités persistent. Avec +14,8%, le mois de mai est même le pire de l’année 2023. Moins de 10% de cette dernière surmortalité est attribuable au Covid (267/3664)
• La surmortalité mensuelle est tout de même passée de +14,8% en mai à +11,9% en juin. Il faut savoir se contenter du moins pire…
Et rappelons que les valeurs 2022 et 2023 restent des valeurs provisoires qui n’ont jamais été mises à jour depuis leur première publication. Src : https://kosis.kr/statHtml.do
- voir graph sur site -
Petit tour par les États-Unis où l’on compare le nombre de cas covid dans les États ayant imposé l’obligation et les États sans masque…
- voir graph sur site -
source : Patrice Gibertie
https://reseauinternational.net/coree-du-sud-le-pays-le-plus-masque-le-plus-vaccine-et-le-plus-contamine-au-monde/
(...) Corée du Sud, le pays le plus masqué, le plus vacciné et… le plus contaminé au monde (...)
SupprimerS le poison est dans la seringue il est tout à fait normal de l'avoir !
Enfin de l’espoir pour les « victimes du vaccin »
RépondreSupprimer2 septembre 2023
par Em.O.Univ.Prof. Dr. méd. Hartmut Glossmann
Comment différencier le syndrome Long Covid du Post VACC en laboratoire ? Une recherche médico-légale conduit au peptide « double proline ». Les personnes qui souffrent des conséquences des injections d’ARNm mod (Moderna, Pfizer) transfectant la protéine Spike (modifiée, voir ci-dessous) ont particulièrement du mal à clarifier leurs plaintes par le biais de procédures et de rapports juridiques ou même à en convaincre les médecins.
Le spectre des effets secondaires à long terme observés peut être diversifié : la peau, les yeux, le système nerveux - notamment le système nerveux central -, le cœur, le foie, les organes endocriniens (diabète) et bien d'autres encore sont touchés. Nous ne parlons pas de la détection de la protéine Spike toxique dans les biopsies ou les autopsies dans les cas de myocardite/péricardite (preuve causale), mais plutôt du syndrome « Post-Vacc ».
Le terme « Long Covid » est de plus en plus utilisé par les autorités. Cela expose, entre autres, ceux qui ont été vaccinés à des soupçons de Long Covid. Beaucoup de ceux qui ont subi cette « expérience de vaccination » unique et mondiale, qu’ils soient forcés ou volontaires, ont ensuite souffert de multiples infections au COVID-19 ou à d’autres infections virales, y compris des poussées de virus latents (par exemple l’herpès). Tout d’abord une description des différences les plus importantes entre l’ARNm du virus (codant pour la protéine Spike, Wuhan)) et les ARNm mod, conditionnés dans des nanoparticules lipidiques.
Modification n°1 : Échange d'uridine avec de la méthyl pseudouridine
Les dommages mentionnés ci-dessus causés par une augmentation des infections ou des poussées d'herpès peuvent, comme le montrent des publications récentes destinées aux enfants et aux adultes, s'expliquer sur une base moléculaire : il s'agit d'une immunité hétérologue de longue durée. Le rôle que jouent les méthyl pseudouridines de l’ARNm mod reste un mystère. Cet échange vise à contourner les mécanismes habituels de reconnaissance des envahisseurs viraux dans le système immunitaire inné et entraîne également une durée de vie extrêmement prolongée (démontrée jusqu'à 4 mois) - par rapport à l'ARNm endogène normal. Il n’est pas encore exclu que la « non-reconnaissance » s’accompagne d’une « régulation négative » permanente de certains mécanismes de défense.
Grâce à des méthodes de biologie moléculaire, cet ARNm mod peut être facilement distingué de l’ARNm du SRAS-CoV2. On le retrouve par exemple dans le sang jusqu'à 15 jours après l'injection ou dans des biopsies de ganglions lymphatiques jusqu'à plusieurs mois.
Modification n°2 : Double peptide proline en conséquence
RépondreSupprimerLa deuxième modification du modmRNA peut être trouvée dans la séquence d’acides aminés de la protéine de pointe codée par celui-ci. Les développeurs des sociétés pharmaceutiques ont remplacé une lysine (position 986) et la valine en position 987 par de la proline dans la sous-unité S2. J'ai décrit cette signature indélébile dans un commentaire de Substack il y a quelque temps comme « une preuve médico-légale, irréfutable et causale » de la présence de protéine de pointe, clairement codée par l'ARNm mod. Entre autres comme preuve des dommages causés par la vaccination et, si nécessaire, pour exclure un « Long Covid ». Quelques mois plus tard, un groupe de travail a réalisé cette étude sur des volontaires sains en utilisant la protéomique et la spectrométrie de masse. Tout d'abord, une digestion complète de toutes les protéines est réalisée avec de la trypsine, les peptides sont séparés par chromatographie,
La digestion par la trypsine du Wuhan Spike (type sauvage) produit deux fragments peptidiques de la région S2 modifiée : LDK +VEAEVQIDR. La digestion par la trypsine de la protéine de pointe modifiée (recombinante) délivre cependant à partir de cette région : LDPPEAEVQIDR. Ce peptide est appelé ci-après peptide « double-proline ».
Les auteurs de la publication « Proteomics Clinical Applications », 2023 ; 2300048 , qui vient de paraître (15 août 2023) , ont utilisé des cartes dites de Guthrie sur lesquelles des sujets de test ont fait couler une goutte de sang. Ces « cartes postales » contenant des gouttes de sang séché peuvent être envoyées (scellées) par la poste et ont fait leurs preuves des millions de fois lors du dépistage néonatal. Pour 50 % des sujets ayant reçu du modmRNA, le peptide « double proline » a été trouvé jusqu’à 187 jours, mais chez aucun (0 %) des 20 témoins. D'autres auteurs ont trouvé le fragment S2 complet dans les exosomes en circulation chez tous les sujets jusqu'à 4 mois après l'injection de modmRNA.
Le fait que la protéine Spike modifiée codée par l’ARNm mod puisse désormais être détectée de manière claire et irréfutable, même à partir du sang total, donne de l’espoir à de nombreuses victimes. Dans le « Long Covid », de nombreuses personnes touchées ont en circulation des exosomes qui transportent à la fois l’ARNm viral et la protéine Spike de type sauvage. Le peptide « double proline » pourrait également être retrouvé chez certaines personnes atteintes.
On espère que la méthodologie, actuellement en phase pilote, sera développée davantage et réussira à établir le peptide « double proline » comme signature indélébile des injections transfectantes d’ARNm mod conçues en laboratoire.
Lectures complémentaires de l'auteur :
Em.O.Univ.Prof. Dr. méd. Hartmut Glossmann, FA pour la pharmacologie (pharmacologie clinique) Institut de pharmacologie biochimique
https://tkp.at/2023/09/02/endlich-hoffnung-fuer-impfgeschaedigte/
Étude : les enfants des villages ont un meilleur système immunitaire
RépondreSupprimer2 Septembre 2023
Imke Harms, AGRARHEUTE*
Être dans la nature et avec des animaux : une étude a examiné comment cela affecte le système immunitaire des enfants. (Image d'illustration)
Creuser dans le sable, jouer dans le foin : à la campagne, les enfants passent beaucoup de temps dehors. Et c'est une bonne chose, comme le confirme une nouvelle étude.
Une étude irlandaise confirme que les enfants des campagnes ont un meilleur système immunitaire que les enfants des villes. « Qui s'en étonne ? », penseront de nombreux agriculteurs et agricultrices. Or, il a été démontré scientifiquement une fois de plus que le fait de passer du temps à l'extérieur et d'être en contact avec des animaux aide à réguler le système immunitaire, comme on peut le lire dans le quotidien irlandais Independent.
Les recherches ont été menées sous la direction d'APC Microbiome Ireland (APC) et de l'University College Cork (UCC). Les résultats étayent un certain nombre de preuves selon lesquelles l'exposition à certains stimuli environnementaux et facteurs liés au mode de vie pendant l'enfance peut avoir un impact considérable sur la santé d'une personne à court et à long terme, comme l'indique également l'Association Fédérale Bovine et Porcine [allemande].
Former la réponse immunitaire : la vie à la campagne est saine
Le cœur de l'étude était de déterminer dans quelle mesure les facteurs environnementaux étaient liés à l'apparition de la dermatite atopique (DA) ou de l'eczéma chez des enfants sud-africains âgés de 15 à 35 mois vivant dans des zones rurales et urbaines. Les chercheurs ont ainsi découvert qu'il est utile que le système immunitaire apprenne très tôt à ne pas réagir de manière excessive afin d'éviter des réactions nocives excessives plus tard dans la vie.
Ils ont également constaté que le système immunitaire des enfants ayant grandi à la campagne disposait de plusieurs moyens pour reconnaître et gérer les menaces. L'étude a également examiné d'autres facteurs tels que la naissance et la position sociale de la famille. Résultat : les enfants des campagnes naissaient moins souvent par césarienne et les familles rurales avaient un revenu plus faible que les familles urbaines.
Objectif : un meilleur dépistage précoce des maladies
RépondreSupprimerLe responsable de l'étude a déclaré : « Notre étude a révélé que bon nombre des facteurs environnementaux importants étaient liés à une exposition modifiée aux microbes au cours des premières années de vie d'un jeune enfant. C'est l'une des périodes cruciales dans la formation du système immunitaire, car c'est à ce moment-là qu'il réagit particulièrement aux facteurs environnementaux tels que les infections, l'alimentation et le microbiome. » Cette « fenêtre immunologique » jouerait un rôle décisif dans la détermination des limites et des processus de réaction du système immunitaire.
Les influences environnementales protectrices et nocives contribuent à façonner la propre réponse immunitaire. Il est très important de mieux comprendre les mécanismes et le rôle de l'environnement dans le développement immunitaire, et des recherches comme celle-ci peuvent contribuer à ouvrir la voie à de nouveaux développements dans la détection précoce des maladies.
____________
* L'article « Studie bestätigt: Immunsystem von Landkindern ist besser » est d'abord paru dans LAND & FORST.
Source : Studie : Dorfkinder haben das bessere Immunsystem | agrarheute.com
https://seppi.over-blog.com/2023/09/etude-les-enfants-des-villages-ont-un-meilleur-systeme-immunitaire.html
Le refroidissement climatique entraîne la sécheresse et la crise des civilisations
RépondreSupprimerCelles des Hittites et des Mayas ont disparu pour ces raisons (-2°en un siècle) mais les journalistes expliquent le contraire
par Patrice Gibertie
Les sous doués de la presse sont contents, une étude démontre que la civilisation hittite est morte dans un contexte de sécheresse et de manière un peu rapide. Ils en déduisent que le réchauffement est très dangereux. Hélas, ils se plantent : les années 1200 avant J.-C. correspondent bien à une crise des civilisations je l’ai déjà écrit sur ce blog, mais une fois de plus, comme pour la fin de l’Empire romain, comme pour le XIVe siècle, la cause en est le REFROIDISSEMENT cyclique. La terre perdit deux degrés de températures entre 1300 et 1200 av J.-C. ;
- voir carte sur site -
Vers les XIIIe et XIIe siècles av. J.-C., les principales civilisations méditerranéennes connaissent un revers d’ampleur, dont la cause et les dates de début et de fin sont encore débattues par les historiens. Simultanément, plusieurs empires importants du Proche-Orient et de la région de la Méditerranée orientale disparaissent – un événement d’ampleur qui a été désigné par le terme moderne d’«effondrement de l’âge du bronze». De grandes cités sont détruites, les relations commerciales interrompues, des systèmes d’écriture tombés dans l’oubli, des morts comptés à une échelle encore jamais connue auparavant
Le vaste Royaume puis Empire hittite était basé dans la région semi-aride du centre de l’Anatolie, s’étendant sur la Turquie et certaines parties de la Syrie et de l’Irak modernes. Les vestiges archéologiques et sources textuelles (textes cunéiformes écrits en akkadien ou autres dialectes), notamment retrouvés dans sa capitale Hattusa, ont révélé qu’il a été durant cinq siècles l’une des principales puissances de l’Ancien Monde, entre 1650 et 1200 av. J.-C. À son apogée, il rivalisait même avec l’Égypte antique, entrée dans sa période du Nouvel Empire. Cette lutte a abouti au plus grand affrontement de l’époque entre le roi Muwatalli II et le pharaon Ramsès II, la bataille de Qadesh dans le sud de l’actuelle Syrie (environ 1274 av. J.-C.). Mais à peu près au même moment, le système administratif central hittite semble s’être effondré, dans un mouvement qui a aussi dévasté des royaumes en Grèce, en Crète et au Moyen-Orient et affaibli les Égyptiens.
L’étude publiée en février 2023 donne davantage d’informations. Les chercheurs ont examiné des genévriers qui poussaient à l’époque dans la région, utilisés pour construire vers 748 av. J.-C. une structure en bois, probable chambre funéraire d’un parent du roi de Phrygie Midas découverte au sud-ouest d’Ankara. Ces arbres exhumés offrent un enregistrement du climat de la période. D’abord, car leurs cernes plus ou moins rapprochés montrent dans quelles conditions ils ont crû. Ensuite, car le carbone de leurs anneaux révèle la réponse du végétal à la disponibilité en eau. Les scientifiques ont ainsi détecté, du XIIIe siècle au XIIe siècle av. J.-C., une transition progressive vers de l’aridité.
RépondreSupprimer• Géo – «Le climat, en cause dans l’effondrement de la puissante civilisation hittite il y a plus de 3000 ans ?»
Au XIVe siècle après J.-C. l’optimum médiéval se termine, les températures s’effondrent, la peste Noire et la guerre ravage la France. En Amérique, c ‘est l’aridité.
Une sécheresse se serait donc installée entre 1400 et 1450 à Mayapan. Un manque d’eau qui aurait provoqué une véritable réaction en chaîne, affectant l’agriculture et le commerce. Devant la faim, les conflits civils se seraient finalement multipliés, provoquant l’effondrement politique et la chute de la ville fondée quatre cents ans auparavant. De petits groupes se seraient cependant déplacés vers les villes côtières plus au nord, pour former des colonies indépendantes. Et faisant, par la même occasion, perdurer la culture maya jusqu’à l’arrivée des colons espagnols.
«Une étude publiée dans Nature Communications le 19 juillet 2022 alerte d’autant plus : même face à des civilisations prospères et bien établies, les changements climatiques peuvent être la cause d’un effondrement massif. Cela aurait été le cas pour Mayapan, capitale culturelle et politique du peuple maya entre le XIIIe et le XIVe siècle. D’après les nouvelles recherches, cette immense cité de l’État mexicain du Yucatán aurait en effet été totalement détruite à cause de la sécheresse.
Selon leur analyse, une sécheresse se serait donc installée entre 1400 et 1450 à Mayapan. Un manque d’eau qui aurait provoqué une véritable réaction en chaîne, affectant l’agriculture et le commerce. Devant la faim, les conflits civils se seraient finalement multipliés, provoquant l’effondrement politique et la chute de la ville fondée quatre cents ans auparavant. De petits groupes se seraient cependant déplacés vers les villes côtières plus au nord, pour former des colonies indépendantes. Et faisant, par la même occasion, perdurer la culture maya jusqu’à l’arrivée des colons espagnols».1
Précision utile pour les journalistes : les sècheresses ne s’expliquent pas par la hausse des températures mais par l’insuffisance des précipitations.
RépondreSupprimerSous l’Équateur nous trouvons des températures très élevées et une végétation luxuriante ; il pleut.
Par ailleurs il existe des déserts froids en Asie centrale.
Le Sahara a cessé d’être vert quand le climat s’est refroidi il y a près de 5000 ans
Les scientifiques considèrent que la période de l’Holocène connut une période chaude il y a 8000 ans, c’est le moment du SAHARA VERT. Elle se termine par un refroidissement et le Sahara devint un désert…
Toutes les régions composant cette zone géographique ont été touchées simultanément et avec la même importance, ce qui a permis une datation précise de la période humide africaine (à 200 ans près). Elle se serait terminée il y a 4900 ans, en donnant naissance au Sahara tel que nous le connaissons.
Aujourd’hui, le Sahel, le Pakistan sont plus arrosés qu’en 1970.
• Les sociétés confrontées aux variations du climat, la recherche désespérée d’explications : dérives fanatiques, peur du refroidissement, peur du réchauffement, sorcières, CO2…mais jamais le soleil ?
*
Les périodes chaudes furent paradoxalement les plus favorables pour l’humanité et les périodes froides sont associées aux crises
- voir graph sur site -
Les premières civilisations de l’Histoire ont dû leur essor à un climat propice. C’est l’intuition de Vincent Boqueho, validée par les données climatiques et météorologiques. Il a défini trois facteurs climatiques de nature à déclencher l’étincelle civilisatrice. Une demi-douzaine de territoires rassemblent ces facteurs sur la planète et Vincent Boqueho a pu constater qu’ils coïncident avec les lieux qui ont vu l’humanité entrer dans l’Histoire, il y a environ 5000 ans. La conclusion ne manquera pas de surprendre : les Olmèques (Mexique), Égyptiens, Sumériens, Indiens et autres Chinois doivent à une heureuse conjonction climatique d’avoir inventé avant tous les autres les villes, l’agriculture et l’État.
Il démontre que l’apparition des foyers de civilisation coïncide avec une notion essentielle : l’existence d’un fort stress climatique, qui tend à développer la culture d’innovation.
Tous les historiens ne partagent pas ce rôle du stress mais les grandes civilisations naissent effectivement dans ce contexte de températures élevées (certainement plus chaudes qu’aujourd’hui).
• La civilisation sumérienne en Mésopotamie, née vers 3500 avant J.-C..
RépondreSupprimer• La civilisation égyptienne, née à peu près en même temps.
• La civilisation sabéenne à cheval sur le Yémen et l’Éthiopie actuels, qui trouve ses racines vers 2500 avant J.-C..
• La civilisation de l’Indus dans l’actuel Pakistan, qui prend son essor vers 2300 avant J.-C..
• La civilisation chinoise dans la vallée du Fleuve Jaune (nord de la Chine actuelle), qui commence à émerger vers 2200 avant J.-C..
• La civilisation indienne dans la plaine du Gange au pied de l’Himalaya, qui prend forme peu à peu de 1700 av J.-C. à 500 avant J.-C..
• La civilisation olmèque au sud du Mexique actuel, qui semble émerger vers 1200 avant J.-C..
• La civilisation de Caral sur la côte pacifique péruvienne, qui pourrait avoir émergé dès 3000 avant J.-C..
L’effondrement de ces civilisations s’inscrit dans un moment de refroidissement vers 1200 av. J.-C., la variation serait significative et rapide
L’Effondrement de l’Âge du Bronze (ou de l’Âge du Bronze Final) est un terme moderne faisant référence au déclin et à la chute des principales civilisations méditerranéennes au cours des XIIIe et XIIe siècles avant J.-C.. Sa cause, ainsi que ses dates de début et de fin, sont débattues par les chercheurs depuis plus d’un siècle, le changement climatique semble une explication crédible. Ce qui est clairement connu, c’est qu’entre environ 1250 et 1150 avant J.-C., de grandes cités furent détruites, des civilisations entières tombèrent, les relations diplomatiques et commerciales furent rompues, des systèmes d’écriture disparurent, et qu’il y eut une dévastation généralisée et des morts à une échelle jamais connue auparavant.
Le climat se réchauffe ensuite vers le Ve siècle avant J.-C., apogée de la Grèce antique puis vers l’époque du Christ, apogée de Rome. Mais le constat est là : «L’époque romaine était marquée par un climat majoritairement humide et chaud et relativement stable», explique Ulf Büngten, chercheur au Swiss Federal Research Institute de Zurich (Suisse) qui ajoute : «Le déclin de l’Empire romain d’Occident s’accompagne d’un climat nettement plus froid et plus instable à partir de 250 après J.-C.».
source : Patrice Gibertie
https://www.geo.fr/pourquoi-la-probable-cause-de-la-chute-de-la-celebre-cite-maya-mayapan-sonne-comme-un-avertissement
https://reseauinternational.net/le-refroidissement-climatique-entraine-la-secheresse-et-la-crise-des-civilisations/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=le-refroidissement-climatique-entraine-la-secheresse-et-la-crise-des-civilisations
Juillet plus froid que la moyenne en Europe – Un astrophysicien israélien affirme que c’est le soleil qui détermine le climat de la Terre, pas le gaz carbonique
RépondreSupprimerpar Electroverse
1 septembre 2023
Juillet plus froid et enneigé que la moyenne en Europe
Terre Brûlante : dévoilement de la vague de chaleur record et poursuite d’un avenir plus frais
L’été 2023 reste frais pour la majorité de l’Europe, et les données le prouvent.
Les relevés de température pour juillet sont arrivés et ils montrent un mois plus froid que la moyenne pour de nombreux pays.
Y compris :
L’Estonie, avec sa température moyenne de 16,6°C, soit 1,2°C en dessous de la norme multidécennale.
- voir carte sur site -
Service météorologique d’Estonie
La Lettonie a également affiché une moyenne similaire, 16,8°C, soit 1°C en dessous de la moyenne.
- voir carte sur site -
Service météorologique de Lettonie
Le mois de juillet 2023 en Lituanie s’est terminé avec une température moyenne de 17,6°C, soit 0,7°C en dessous de la normale.
- voir carte sur site -
service météorologique de Lituanie
Le Danemark a clôturé le mois de juillet avec une température moyenne de 15,9°C, ce qui est encore une fois 1°C en dessous de la moyenne multidécennale. De plus, avec des précipitations de 140,8 mm, ce fut le mois de juillet le plus humide du pays jamais enregistré (la moyenne est de 60,9 mm/2,4 pouces) :
- voir carte sur site -
totaux des précipitations, DMI
RépondreSupprimerJuillet en Islande a été très froid, particulièrement dans le NE où des anomalies de -2C ont été affichées.
- voir carte sur site -
Bureau météo islandais
La Finlande est également restée au frais le mois dernier, enregistrant des anomalies comprises entre -0,3°C et -1,9°C à travers le pays.
- voir carte sur site -
Service météorologique finlandais
Et enfin – mais en aucun cas de manière exhaustive – la Suède a enregistré une anomalie d’env. -1C sous la norme multidécennale.
- voir carte sur site -
Ignorant la campagne de promotion de la chaleur triée sur le volet par les réchaufistes, l’Europe, dans l’ensemble et jusqu’à présent, a subi un été anormalement frais, qui persiste maintenant jusqu’en août, et tout :
Les dernières exécutions du GFS appellent également à l’accumulation de neige estivale sur les altitudes les plus élevées du continent, telles que les Alpes, la Scandinavie et l’Islande, des totaux qui devraient rivaliser avec les totaux lourds, mais non déclarés, de la semaine dernière :
Un astrophysicien israélien acclamé affirme que c’est le soleil qui détermine le climat de la Terre, pas le gaz carbonique
Nir Shaviv est un astrophysicien israélien et président du département de physique de l’Université hébraïque de Jérusalem. Il dit que ses recherches, et celles de ses collègues, suggèrent que l’augmentation des niveaux de gaz carbonique ne joue qu’un rôle mineur dans le climat de la Terre par rapport à l’influence du soleil et du rayonnement cosmique.
«Le réchauffement climatique est clairement un problème, mais pas dans les termes catastrophiques des films d’Al Gore ou des alarmistes environnementaux», a déclaré Shaviv. «Le changement climatique existe depuis toujours et il est peu probable qu’il disparaisse. Mais les émissions de gaz carbonique ne jouent pas le rôle principal. L’activité solaire périodique, elle, oui !»
Mais je pensais que 97 % des climatologues s’accordaient à dire que l’activité humaine est le principal moteur du changement climatique ?
«Seules les personnes qui ne comprennent pas la science prennent au sérieux la statistique de 97 %», répond Shaviv.
«Les résultats de l’enquête dépendent de la personne à qui vous les demandez, de qui est interrogé et de la façon dont les questions sont formulées. De toute façon, la science n’est pas une démocratie. Même si 100 % des scientifiques croient quelque chose, une personne avec de bonnes preuves peut toujours avoir raison».
RépondreSupprimerPeut-être que les références du Dr Shaviv peuvent être rejetées…
Le Dr Shaviv s’est inscrit à l’Université du Technion d’Israël – l’équivalent national du MIT – à l’âge de 13 ans et a obtenu une maîtrise tout en servant dans la célèbre unité de renseignement 8200 des Forces de défense israéliennes. Il est retourné au Technion, où il a obtenu son doctorat, après avoir terminé des travaux postdoctoraux au California Institute of Technology et à l’Institut canadien d’astrophysique théorique. Il a également été boursier Einstein à l’Institute for Advanced Study de Princeton.
Donc, ses références sont sérieuses.
On nous dit d’écouter les scientifiques, n’est-ce pas ? Eh bien, il y a peu de personnes plus qualifiées que le Dr Nir Shaviv.
Mais qu’en est-il de l’agenda politique ? Pour avoir ce point de vue, Shaviv a-t-il sûrement été corrompu par la droite, financé par Big Oil ?
«En termes américains, je me décrirais comme libéral sur la plupart des questions intérieures, quelque peu belliciste sur la sécurité», a expliqué Shaviv. «Néanmoins, la position de l’administration Trump sur le changement climatique mondial est correcte, dans la mesure où elle rejette l’orthodoxie de l'OPCC des Nations unies».
«Depuis [2003], littéralement des milliards ont été dépensés pour la recherche sur le climat… Pourtant, la sagesse conventionnelle n’a pas changé. Les partisans du changement climatique d’origine humaine ignorent encore l’effet du Soleil sur le climat de la Terre, ce qui bouleverse notre compréhension du changement climatique du XXe siècle».
Shaviv extrapole : «L’activité solaire varie dans le temps. Une variation majeure est d’environ onze ans ou plus, ce qui affecte clairement le climat. Ce principe est connu de tous, mais en 2008 j’ai pu le quantifier en utilisant les données du niveau de la mer. Lorsque le Soleil est plus actif, il y a une élévation du niveau de la mer ici sur Terre. Une température plus élevée fait dilater l’eau. Lorsque le soleil est moins actif, la température baisse et le niveau de la mer baisse. La corrélation est aussi claire que le jour».
«Sur la base de l’augmentation de l’activité solaire au cours du XXe siècle, elle devrait représenter entre la moitié et les deux tiers de tous les changements climatiques», affirme-t-il. «Cela, à son tour, implique que la sensibilité du climat au gaz carbonique devrait être d’environ 1,0 degré lorsque la quantité de gaz carbonique double».
«Le réchauffement climatique n’est plus une question purement scientifique. Cela a des répercussions sur la société. Il a également pris une dimension moraliste, presque religieuse. Si vous croyez ce que tout le monde croit, vous êtes une bonne personne. Si vous ne le faites pas, vous êtes une mauvaise personne. Qui veut être un pécheur ?»
RépondreSupprimerDe l’avis de Shaviv, la croisade mondiale pour limiter et finalement interdire les combustibles fossiles «a des conséquences sociales et économiques réelles». Le passage à des sources d’énergie plus coûteuses entraînera l’industrie des pays plus industrialisés vers des pays plus pauvres, qui peuvent moins se permettre des éoliennes et des panneaux solaires.
«Cela peut être un sacrifice financier que les riches sont prêts à faire», a conclu Shaviv. «Même dans les pays développés, la pression pour renoncer aux combustibles fossiles met les pauvres en danger de geler pendant l’hiver faute de chauffage domestique abordable. La croissance économique des pays du tiers monde sera inhibée s’ils ne peuvent pas emprunter à la Banque mondiale pour développer des centrales électriques bon marché à base de combustibles fossiles. Ce sont de graves problèmes humains ici et maintenant, pas dans un avenir théorique».
https://reseauinternational.net/juillet-plus-froid-que-la-moyenne-en-europe-un-astrophysicien-israelien-affirme-que-cest-le-soleil-qui-determine-le-climat-de-la-terre-pas-le-co2/
(...) Lorsque le Soleil est plus actif, il y a une élévation du niveau de la mer ici sur Terre. Une température plus élevée fait dilater l’eau. Lorsque le soleil est moins actif, la température baisse et le niveau de la mer baisse. (...)
SupprimerHOULALA !
Chauffer un bassin d'un côté et l'eau sera plus haute du côté chauffé ! HAHAHAHA ! (les pingouins auront l'eau chaude à tous les étages !
Désolé mais la Terre n'est pas chauffée QUE par le soleil ! (voir planète Mercure).
La masse ferrique incandescente (à 30 km sous nos pieds) n'a pas de saison ! C'est ELLE qui réchauffe les courants marins (lames de fond) et non le soleil qui serait plus près de la Bretagne ou de la Côte d'azur qu'ailleurs !
Les couperets de la loi anti « passoires thermiques »
RépondreSupprimerFace à la promulgation d’une loi contraignant les propriétaires à améliorer l’isolation thermique de leurs biens, Simone Wapler explore les conséquences imprévues et les problèmes sociaux résultant de cette législation.
le 2 septembre 2023
Simone Wapler
Le décret sur la fin des locations des passoires thermiques vient d’être publié et précise certaines modalités d’application – ou de non-application – de la loi. Tous les propriétaires bailleurs de logements mal notés sur le plan énergétique l’attendaient.
Rappel de la saison 1 : promulgation de la loi n° 2021-1104 du 22 août 2021 portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets.
Les mesures consistent à interdire à la location les logements considérés insuffisamment isolés, et donc trop soumis aux déperditions d’énergie, soit les classes F et G du diagnostic de performance énergétique.
Comme le dit son intitulé, cette loi énonce l’existence d’un « dérèglement climatique » et assume qu’isoler un logement permet de le rendre « résilient ». Ce mot, qui désigne en physique des matériaux ayant la capacité de résistance aux chocs, s’emploie désormais à tout propos. Le dérèglement climatique est donc assimilé à un choc (thermique ?), et un logement situé à Dunkerque ou à Marseille nécessiterait les mêmes normes d’isolation thermique.
C’est une loi mal ficelée, dans l’air du temps, conçue pour plaire aux écologistes au détriment de propriétaires qu’elle contraint à réaliser des travaux avec de l’argent qu’ils n’ont pas, travaux qui ne seront jamais rentabilisés. Quand la loi est mal fichue, sa mise en pratique est ardue, d’où probablement le long délai de parution du décret.
Les dates sont bien arrêtées
Le décret précise que le couperet tombera le 1er janvier 2025 pour les logements classés G, et au 1er janvier 2028 pour ceux classés G.
Les propriétaires bailleurs ont donc un peu plus d’un an pour organiser de lourds travaux. Sachant par exemple que le délai de réalisation de fenêtres est actuellement de six mois.
Si un logement est en dessous de la norme, le locataire peut saisir la justice pour que le bailleur le mette en conformité. Le juge, transformé en expert immobilier, décidera alors de la nature des travaux et de leurs délais. En attendant, le loyer peut être minoré ou suspendu. À noter : la loi ne prévoit pas d’obligation de relogement du locataire durant les travaux (au Cerfaland, cette idée aurait pu effleurer le législateur toujours si généreux avec l’argent des autres).
Le cas épineux des copropriétaires
RépondreSupprimerDans beaucoup de cas, les propriétaires d’un logement situé dans une copropriété ne pourront pas atteindre le niveau exigé par la loi, et encore moins dans les délais impartis.
En effet, le bilan prend en compte l’isolation générale de l’immeuble et, lorsque c’est le cas, le type de chauffage collectif. Or, les toitures, les combles et greniers, les caves, certaines parties des plafonds et planchers, les murs extérieurs, les chaudières sont des parties communes. Et les propriétaires occupants ne tombent pas sous le coup de la loi. Ils ne sont donc pas grisés à l’idée d’entreprendre des travaux collectifs dont le coût (répétons-le au risque de radoter) ne sera pas nécessairement amorti par les économies de charges réalisées.
Mais ce n’est pas parce que vous savez que le niveau requis ne sera pas atteint que vous êtes dispensé d’initier vos travaux privatifs d’amélioration (changement de fenêtres, isolation par l’intérieur, etc.). Dans ce cas, après confirmation d’un DPE toujours défavorable, il vous faudra en plus produire les pièces justifiant que vos efforts de persuasion pour aboutir à la réalisation de travaux relevant des parties communes ou d’équipements communs n’ont pas abouti.
Choc climatique sur le patrimoine architectural
Le décret prévoit aussi le cas des bâtiments classés, des travaux qui fragiliseraient les structures, ou qui nécessiteraient des autorisations d’urbanisme, ou des permis de construire de la part de différentes autorités administratives qui les bloqueraient.
Soit, résumé en bon langage juridico-technocratique moderne écrit par la plume alerte du législateur :
« Les travaux nécessaires, entraînant des modifications de l’état des parties extérieures, y compris du second œuvre, ou de l’état des éléments d’architecture et de décoration de la construction, ont fait l’objet, pour ce motif, d’un refus d’autorisation par l’autorité administrative compétente sur le fondement des dispositions législatives et réglementaires du livre VI du Code du patrimoine, du titre IV du livre III du Code de l’environnement ou du livre Ier du Code de l’urbanisme. »
Alors dans ce cas, après avoir produit les dizaines de Cerfas et centaines de pièces nécessaires :
« Le juge peut, notamment, surseoir à statuer dans l’attente de l’intervention de la décision de l’autorité administrative compétente pour autoriser la réalisation de ces travaux. »
Bref, vous l’aurez déjà compris, cette loi va contribuer à engorger les tribunaux et nourrir de nombreux experts.
Au 1er janvier 2022, selon les données de l’Observatoire national de la rénovation énergétique, il y aurait 1,6 million de passoires thermiques dans le parc locatif privé, soit 20 %. Donc 20 % du parc locatif est à terme condamné.
RépondreSupprimerSi votre logement est situé dans le grand Paris, et vacant pendant les Jeux Olympiques, vous pourrez à ce moment-là, tirer une dernière cartouche en le louant à prix d’or en meublé de courte durée. Pour le moment, la loi ignore les locations meublées type Airbnb.
Ce qui commence à se voir : choc social en vue
Plus sérieusement, les conséquences directes sont pour le moment :
Un afflux d’offres de vente de logements classés F et G (+8 % selon MeilleursAgents et SeLoger) alors que les acheteurs se raréfient en raison des hausses de taux
Une tension sur le marché locatif dès cette rentrée, abondamment relayée par les médias
Sur les réseaux sociaux, des crispations de plus en plus visibles entre la jeune génération active et les retraités. La première doit faire face à l’envolée des prix de l’immobilier, la hausse des taux, l’inflation et un salaire net qui s’essouffle, puisque la retraite par répartition les condamne à payer les pensions de la génération précédente. Et la population des retraités compte de nombreux propriétaires immobiliers.
Dans sa passoire thermique, face à sa cheminée illuminée du premier feu de l’automne, le philosophe reliera Frédéric Bastiat :
« Dans la sphère économique, un acte, une habitude, une institution, une loi n’engendrent pas seulement un effet, mais une série d’effets. De ces effets, le premier seul est immédiat ; il se manifeste simultanément avec sa cause, on le voit. Les autres ne se déroulent que successivement, on ne les voit pas ; heureux si on les prévoit. »
L’effet social est désastreux : cette loi ne fait qu’accélérer la crise immobilière et augmenter les crispations intergénérations.
Quant à l’effet sur le climat, je suis prête à parier qu’il sera nul.
https://www.contrepoints.org/2023/09/02/462810-les-couperets-de-la-loi-anti-passoires-thermiques
Modèles climatiques : les ordinateurs aident à obtenir des réponses erronées plus rapidement
RépondreSupprimer2 septembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Les modèles censés suggérer un réchauffement climatique dû au gaz carbonique sont problématiques ou erronés à bien des égards. Et contrairement aux modèles Corona et aux affirmations de personnes comme Lauterbach, ils sont basés sur des lois physiques, dont les violations provoquent immédiatement des protestations massives de la part de la communauté des physiciens et des naturalistes.
Ces lois fondamentales de la physique incluent les lois de conservation. Ils se blessent régulièrement dans les mannequins. Avec des mises à jour plus longues, les petites erreurs se multiplient, de sorte que la marge d'erreur est souvent 10 fois supérieure au changement prévu. Cela a fonctionné avec Corona, mais cela ne fonctionne pas avec les affirmations sur le climat. La théorie physique manque dans de nombreux domaines des modèles - et contrairement à Corona, cela ne peut pas être caché lorsqu'il s'agit du climat.
Prenons l'exemple des océans. La majeure partie de l’énergie est stockée dans les océans, qui contrôlent donc le climat. Les océans sont modélisés comme des courants thermohalins . Nous ne pouvons pas mesurer le flux, il ne peut pas être mesuré. Le problème des courants océaniques n’est pas non plus étudié, de sorte que l’état énergétique du climat ne peut être résolu. Aucun effort de recherche n’est fait pour comprendre le climat, seuls les ordinateurs sont utilisés pour obtenir plus rapidement des réponses erronées. Les modèles ne peuvent pas reproduire le climat ; les gros ordinateurs produisent des absurdités convaincantes.Et puis les climatologues votent là-dessus et 97 % votent pour ces absurdités. Ceci est ensuite diffusé dans les médias du monde des affaires et de la CIA (voir RFK Jr.).
Erreurs au fil du temps
L’un des principaux problèmes des modèles à long terme est que les erreurs se propagent, c’est-à-dire qu’elles se propagent. Les erreurs multiples ne s’atténuent pas ou ne s’annulent pas, comme semblent le croire de nombreux défenseurs du climat. Roy Spencer l'exprime bien dans son article « Les modèles climatiques ne conservent ni la masse ni l'énergie » :
« L'une des exigences les plus fondamentales de tout modèle physique du changement climatique est la conservation de la masse et de l'énergie. C’est l’une des raisons pour lesquelles j’utilise (avec Danny Braswell et John Christy) des modèles climatiques unidimensionnels simples qui ont des calculs simplifiés et où la conservation n’est pas un problème.
RépondreSupprimerLes changements dans le bilan énergétique mondial associés à l’augmentation du gaz carbonique atmosphérique sont faibles, environ 1 % des flux moyens d’énergie rayonnante entrant et sortant du système climatique. On pourrait donc penser que les modèles climatiques sont si soigneusement construits que sans un déséquilibre global de l’énergie radiante (sans « forçage externe »), ils ne produiraient pas de changement de température.
Il s’avère que ce n’est pas le cas.
En 2014, nous avons montré dans notre étude de modélisation 1D que les modèles CMIP3 n'économisent pas d' énergie, comme le démontre la large gamme de réchauffement (et même de refroidissement) des profondeurs océaniques qui s'est produite dans ces modèles malgré le déséquilibre énergétique positif imposé par les modèles. auxquels nous sommes confrontés ont été conçus pour imiter les effets de l’augmentation du gaz carbonique atmosphérique.
Je viens de tomber sur un article de 2021 (Irving et al., A Mass and Energy Conservation Analysis of Drift in the CMIP6 Ensemble ) qui décrit des problèmes importants dans les derniers modèles (CMIP5 et CMIP6) uniquement en termes de conservation de l'énergie dans l'océan, mais aussi au sommet de l'atmosphère (TOA, qui affecte les taux de réchauffement climatique) et même le bilan de vapeur d'eau de l'atmosphère (qui est la composante la plus importante de l'effet de serre mondial).
Ce sont des problèmes potentiellement graves si nous nous appuyons sur des modèles climatiques pour orienter la politique énergétique. Je suis étonné que la conservation de la masse et de l’énergie n’ait pas été prise en compte dans tous les modèles avant la publication de leurs résultats il y a plusieurs décennies. [ souligné dans l'original]
Une source possible de problèmes réside dans les « données numériques » du modèle... les formules mathématiques (souvent des formules de « différences finies ») utilisées pour calculer les changements de toutes les quantités entre les points de la grille dans l'horizontale, les plans dans la verticale et à partir d'un moment donné. passer au suivant. De minuscules erreurs dans ces calculs peuvent s’accumuler au fil du temps, en particulier lorsque des valeurs de masse négatives physiquement impossibles sont fixées à zéro, entraînant une « fuite » de masse. Avec des modèles de prévisions météorologiques qui ne fonctionnent que sur quelques jours ou semaines, nous ne nous inquiétons pas de ce genre de choses. Mais les modèles climatiques fonctionnent sur des décennies, voire des centaines d’années, et de minuscules erreurs (si leur total n’est pas nul) peuvent s’accumuler avec le temps.
RépondreSupprimerL'article auquel Spencer fait référence ( intitulé « Une analyse de conservation de masse et d'énergie de la dérive dans l'ensemble CMIP6 » ) commence par ce résumé :
"Les modèles climatiques couplés sont vulnérables à la « dérive » (tendances à long terme et non forcées des variables d’état) en raison d’une mise en route incomplète et de la non-clôture des budgets mondiaux de masse et d’énergie. Nous évaluons ici la dérive du modèle et la conservation associée de l'énergie, de la masse et du sel dans les modèles CMIP6 et CMIP5. Dans la plupart des modèles, la dérive de la masse océanique et du contenu thermique intégrés à l’échelle mondiale représente une partie petite mais non négligeable des tendances historiques récentes, tandis que la dérive de la vapeur d’eau atmosphérique est négligeable. La dérive du modèle a tendance à être beaucoup plus importante pour les flux de chaleur océanique et d'eau douce intégrés dans le temps, le rayonnement net de la surface vers l'atmosphère (netTOA) et le flux d'humidité atmosphérique (évaporation moins précipitations). indiquant une perte significative de masse et d’énergie dans le système climatique simulé. La plupart des modèles sont capables de clôturer approximativement le bilan énergétique une fois la dérive éliminée, mais le bilan de la masse océanique ne peut pas être fermé même après la suppression de la dérive dans un certain nombre de modèles, et aucun modèle ne clôture le bilan d'humidité atmosphérique.
Les gouvernements occidentaux prennent des décisions en matière de politique énergétique sur la base des résultats à long terme des modèles climatiques mondiaux, dont les erreurs internes augmentent au fil du temps.
L'incertitude sur le contenu calorifique de l'atmosphère est bien plus grande que le « forçage radiatif ». Aucune prédiction ne peut donc être faite sur la base des modèles . Il est impossible de prédire quel sera l’impact de l’effet de serre sur le climat. Dans le sixième rapport d'évaluation du GIEC, l' incertitude sur le contenu thermique est 83 fois supérieure à l'effet de serre [prédit] .
Quelle est l'ampleur de l'erreur du variateur en termes d'incertitude thermique ? Les modèles propagent l’erreur du modèle, ce qui entraîne une énorme incertitude. Dans CMIP6, la plage d’incertitude est de 16 °C jusqu’en 2100. Tellement gros que nous n’avons aucune idée de la température qu’il fera. Les modèles n’ont aucune signification physique. Toutes les projections se perdent dans l’incertitude des modèles.
RépondreSupprimerhttps://tkp.at/2023/09/02/klimamodelle-computer-helfen-falsche-antworten-schneller-zu-erhalten/
Depuis qu'existe la 'météo' sont engrangées toutes les données satellites de tous les pays, températures, vitesses du vent, pluies, neiges, etc. Puis par exemple le 1 er Septembre les ordinateurs ressortent des données comparables d'y a 5, 10, 15 ou 20 ans car à l'époque la situation était 'quasi-identique' !! HAHAHAHA ! Donc, d'après les données ressorties des oubliettes ils pensent donc qu'il suffit de voir l'évolution des situations pour prévoir ce qui va se passer (par exemple voir le 2 Septembre 2018 ou 2 Septembre 2013 ou 2 Septembre 2008, etc. Donc, ils pensent savoir que les choses ne changent pas ! HAHAHAHA !
SupprimerC'est - pour se défendre des conneries sorties - ce qu'il ont appelé l'Intelligence Artificielle très très artificielle !! HAHAHAHA !
Mais comme les nuageologues, pluietologues, ventologues et météorologues ne sont pas des scientifiques... ils font rire tout le monde ! ÂH LES CONS ! LES CONS ! LES CONS !
Ils (ou elles) ne savent pas qu'il est IMPOSSIBLE de prévoir le temps qu'il va faire car c'est le magma qui règle la température ! Sous nos pieds à 30 km il y a la masse ferrique incandescente qui émet de partout sous les mers et océans (qui couvrent 78 % de notre planète) des gaz issus de sa combustion. Ces gaz brûlant remontent à la surface par ce qui est appelé des sources chaudes (ou mini-volcans aux planchers maritimes et océaniques), mais ils sont emportés par les lames de fond qui ressortent aux collisions continentales. Donc, cette eau chaude remonte la pente vers les plages, les côtes d'Azur ou bretonnes et fournissent à l'atmosphère une température plus douce.
Oui mais ! les sources chaudes changent presque tous les jours de place ! Çà alors ! Elles subissent constamment des tremblements de terre qui les ouvrent ou qui les ferment ! Et donc, les courants marins ne sont pas toujours chauds ou toujours froids !
Rex 84 : le plan de la FEMA pour la loi martiale. La feuille de route vers « l’État policier américain »
RépondreSupprimerPar Allen L Roland
Recherche mondiale,
2 septembre 2023
Cet article incisif sur l'abrogation des libertés civiles et de la liberté d'expression en Amérique a été publié pour la première fois par Global Research en août 2006, il y a 14 ans.
Il met au premier plan du débat la feuille de route en cours vers « l’État policier américain » .
Les libertés civiles sont arbitrairement abrogées. Il y a une répression contre la liberté d’information.
Le mensonge est devenu la vérité.
Une campagne de peur s'accompagne d'une propagande médiatique.
Sous l’administration Biden, il existe un processus de soumission sociale à une autorité supérieure.
La dérogation aux droits fondamentaux est pratiquée dans le monde entier.
Ceux qui remettent en question la légitimité des politiques gouvernementales, notamment le confinement, le vaccin et la perturbation artificielle de l’activité économique , sont qualifiés de « théoriciens du complot ».
La loi martiale est-elle envisagée ?
Michel Chossudovsky, Global Research, 16 juillet 2023
* * *
Nous sommes dangereusement proches d’une situation où ~ si le peuple américain descendait dans la rue avec une juste indignation ou s’il y avait un autre 11 septembre ~ un mécanisme de loi martiale pourrait être rapidement mis en œuvre et exécuté dans le cadre du REX 84.
L’administration Cheney/Bush a un plan qui permettrait la détention d’un grand nombre de citoyens américains en période d’urgence.
Le plan s'appelle REX 84, abréviation de Readiness Exercise 1984. Grâce à Rex-84, un nombre non divulgué de camps de concentration ont été mis en service à travers les États-Unis, pour l'internement de dissidents et d'autres personnes potentiellement dangereuses pour l'État.
Le programme Rex 84 a été créé à l’origine sur le principe que si un « exode massif » d’étrangers illégaux franchissait la frontière entre le Mexique et les États-Unis, ils seraient rapidement arrêtés et détenus dans des centres de détention par la FEMA.
RépondreSupprimerL'existence du plan Rex 84 a été révélée pour la première fois lors des audiences Iran-Contra en 1987, puis rapportée par le Miami Herald le 5 juillet 1987.
"Ces camps doivent être gérés par la FEMA au cas où la loi martiale devait être appliquée aux États-Unis et il suffirait d'une signature présidentielle sur une proclamation et de la signature du procureur général sur un mandat auquel est jointe une liste de noms."
Et voilà, le véritable objectif de la FEMA est non seulement de protéger le gouvernement, mais aussi d’être son principal véhicule pour la loi martiale.
C'est pourquoi la FEMA n'a pas pu répondre immédiatement à la catastrophe de l'ouragan Katrina : les efforts humanitaires ne faisaient plus partie de sa description de poste au sein du ministère de la Sécurité intérieure.
Il semble que l’ouragan Katrina ait également fourni à la FEMA une excuse pour exercer ses pouvoirs anticonstitutionnels à la Nouvelle-Orléans, en rassemblant les « réfugiés » (maintenant appelés « évacués ») et en les « relocalisant » dans divers camps. " Certains évacués sont traités comme des 'internés' par la FEMA", écrit Wayne Madsen , ancien employé de la NSA .
« Des rapports continuent d'arriver dans WMR selon lesquels les évacués de la Nouvelle-Orléans et d'Acadiana [la patrie traditionnelle des vingt-deux paroisses cajuns] qui ont été dispersés à travers les États-Unis sont traités comme des « internés » et non comme des citoyens américains déplacés à la suite d'une catastrophe .
Nous sommes dangereusement proches d’une situation où ~ si le peuple américain descendait dans la rue avec une juste indignation ou s’il y avait un autre 11 septembre ~ un mécanisme de loi martiale pourrait être rapidement mis en œuvre et exécuté dans le cadre du REX 84.
Soyez prévenu : l’administration Cheney/Bush ne reculera devant rien pour préserver son pouvoir et sa mésaventure néoconservatrice en cours et ils ont actuellement proposé d’avoir un contrôle exécutif sur toutes les troupes de la Garde nationale de l’État en cas d’urgence nationale.
Le gouverneur Tom Vilsack de l'Iowa a qualifié la proposition de « un pas vers une prise de contrôle complète de la Garde nationale, la fin de la Garde en tant que force à double fonction pouvant répondre aux besoins de l'État et du pays ».
La disposition a été intégrée dans la version de la Chambre du projet de loi sur la défense sans que les États en soient informés, ce que Vilsack a déclaré qu'il détestait autant que la proposition elle-même.
RépondreSupprimerEn vertu de cette disposition, le président aurait le pouvoir de prendre le contrôle de la Garde en cas de « catastrophe, accident ou catastrophe grave, naturelle ou d'origine humaine » aux États-Unis.
N'oubliez pas que, pour l'administration Cheney/Bush, la foule aux portes dont ils craignent vraiment ne soit pas des terroristes mais plutôt le peuple qui exige la vérité.
REX 84 ET FEMA
http://www.mindfully.org/Reform/2004/FEMA-Concentration-Camps3sep04.htm
MINDFULLY, 2004 – Il existe aux États-Unis plus de 800 camps de prisonniers, tous pleinement opérationnels et prêts à accueillir des prisonniers. Ils sont tous dotés de personnel et même entourés de gardes à plein temps, mais ils sont tous vides. Ces camps doivent être gérés par la FEMA si la loi martiale devait être appliquée aux États-Unis et il suffirait d'une signature présidentielle sur une proclamation et de la signature du procureur général sur un mandat auquel est jointe une liste de noms. . . Le programme Rex 84 a été créé sur la base du raisonnement selon lequel si un « exode massif » d’étrangers illégaux traversait la frontière entre le Mexique et les États-Unis, ils seraient rapidement arrêtés et détenus dans des centres de détention par la FEMA.
Rex 84 a permis la fermeture de nombreuses bases militaires et leur transformation en prisons.
Operation Cable Splicer et Garden Plot sont les deux sous-programmes qui seront mis en œuvre une fois que le programme Rex 84 sera lancé pour son objectif propre. Garden Plot est le programme pour contrôler la population. Cable Splicer est le programme visant à une prise de contrôle ordonnée des gouvernements étatiques et locaux par le gouvernement fédéral.
La FEMA est le bras exécutif du futur État policier et dirigera donc toutes les opérations. Les décrets présidentiels déjà inscrits au Federal Register font également partie du cadre juridique de cette opération.
Les camps disposent tous d'installations ferroviaires ainsi que de routes menant aux centres de détention et en revenant. Beaucoup ont également un aéroport à proximité. La majorité des camps peuvent accueillir une population de 20 000 prisonniers.
Actuellement, la plus grande de ces installations se trouve juste à l’extérieur de Fairbanks, en Alaska. L’établissement d’Alaska est un immense établissement de santé mentale pouvant accueillir des milliers de personnes.
https://www.globalresearch.ca/rex-84-fema-s-blueprint-for-martial-law-in-america/3010
Dès lors qu'une personne (civile ou militaire) s'est faite inoculer des nano-particules d'oxyde de graphène (95 à 99 % dans UNE seringue !) elle véhicule des relais entre le téléphone portable et le cerveau (bientôt, grâce à la 5G il n'y aura plus de tel portable !). C'est direct de la tour relais à votre cerveau ! Whôaw !
SupprimerIl n'y a donc plus à se faire du 'mauvais sang' pour les militaires ou voisinage immédiat ! Dès qu'ils reçoivent u message comme quoi ils doivent tuer, tuer, tuer ! Ils tuent.
Car le cerveau n'est plus libre, n'est plus indépendant, il ne vous appartient plus ! Vos neurones intoxiquées appartiennent à la kommandantur ! COMPRIS ?!
Christelle Neant ne fait pas dans la dentelle !
RépondreSupprimerle 1 septembre 2023
Voici un article paru le 25 août 2023 sur le site Donbass Insider que je reproduis ici intégralement. Il est important de noter que les sources d’information dont a disposé Christelle Neant pour écrire cet article sont ukrainiennes, vous allez vous régaler …
La confusion organisée autour du succès ou non des sanctions vise à empêcher les citoyens de prendre position. Cette prudence est sûrement utile, mais les Ukrainiens, eux ont moins besoin de motivation. Il faut dire que eux, paient un autre prix, bien plus terrible pour poursuivre le rêve de leurs dirigeants et des nôtres.
Cet article fera exception aux formes habituelles. Ukrainskaya Pravda et Ekonomichna Pravda, qui sont des journaux peu suspects d’être pro-russes, ont publié une série d’articles sur les sanctions.
How Western energy sanctions against Russia are failing | Ukrainska Pravda
Les vôtres et ceux des rachistes. La saisie des avoirs russes profitera à tout le monde sauf à l’Ukraine | Ekonomichna Pravda (epravda.com.ua)
Les armes de la Russie : comment la Russie augmente la production de missiles et d’équipements | Ekonomichna Pravda (epravda.com.ua)
Tous ces articles ont un point commun :
« Le matériel a été créé dans le cadre du projet ANTS « Les actifs russes comme source de restauration de l’économie ukrainienne », mis en œuvre en coopération avec l’Institut national démocratique (NDI) avec le soutien financier du National Endowment for Democracy (NED). »
Nous sommes donc en présence de la frange la plus anti russe et la plus décidée à combattre la Russie. Ils ont donc des biais, mais la comparaison entre leurs sources d’informations et le récit présent dans l’esprit des occidentaux sur les sanctions relève du grand écart.
Commençons par le commencement le point sur les sanctions de 2014, l’estimation démarre sur le matériel d’exportation pétrolier :
« À l’époque (en 2014), ils [les Russes] n’avaient la capacité de fournir que 20 % des équipements nécessaires aux opérations de forage. Ce chiffre est passé à 50 % en 2019. »
Le même phénomène s’est observé sur le porc et dans d’autres industries, les sanctions ont agi comme un protectionnisme et ont poussé l’industrie russe à se renforcer.
Mais bon, admettons, c’était 2014, depuis nos dirigeants ont eu le temps de “réfléchir” (et nous savons grâce à Monsieur Lemaire comment ils réfléchissent) et d’établir un nouveau plan de sanctions “infiniment” plus efficace.
RépondreSupprimerAlors quelle est la stratégie ?
Je vous donne la version d’Ukrainskaya Pravda :
« L’objectif principal des sanctions occidentales contre la Russie est de rendre impossible le financement de la guerre. »
Et plus loin :
« Une augmentation des dépenses militaires aurait dû réduire considérablement d’autres programmes et déstabiliser l’économie, mais jusqu’à présent, Moscou a réussi à éviter cela. »
Dans un autre article nous avons :
« Plus l’establishment de Poutine perd de biens, plus vite ses représentants forceront les autorités à arrêter la guerre. »
On peut donc le résumer en : empêcher le financement de la guerre, déstabiliser l’économie pour monter le peuple contre Vladimir Poutine et inciter l’élite russe à se révolter. Un triptyque censé et adapté à une stratégie où l’armée ukrainienne est depuis le début considéré comme incapable de vaincre l’armée Russe sur le terrain. L’arrière Russe doit craquer pour obtenir le retrait de l’armée.
Le choix de ce schwerpunkt (on me pardonnera le terme allemand) fait de l’économie le champ de bataille principal. De l’efficacité des sanctions dépends le succès où l’échec de la guerre d’Ukraine.
Un an plus tard où en sommes-nous ?
La réponse est : les Ukrainiens meurent en masse sous les coups de l’artillerie russe, les contre-offensives s’empalent sur les défenses russes et ceux-ci observent le matériel occidental brûler depuis leurs tranchées bien aménagées.
Il serait donc essentiel de l’emporter sur le plan économique, constatons-le : nous en sommes loin ! Sur chaque point de la stratégie les Ukrainiens dressent un réquisitoire féroce.
Examinons chacun de ces thèmes.
RépondreSupprimerAssécher le financement de la guerre
Première constatation : avant-guerre, les Russes disposaient d’une cagnotte :
« Dans les années qui ont précédé l’invasion à grande échelle, le Kremlin a placé une partie de ces revenus dans le Fonds national de richesse (NWF). Les fonds qui y sont détenus ont atteint 183 milliards de dollars. »
Celle-ci permettait d’absorber les chocs, nulle part il n’est mentionné une confiscation ou un gel de ces avoirs. En réalité les Ukrainiens nous disent :
« Les pays occidentaux ont gelé des dizaines de milliards de dollars de yachts et de villas de l’élite russe. »
Au total, les alliés de l’Ukraine ont gelé des avoirs privés russes d’une valeur de 58 milliards de dollars.
Sur la base de rapport officiels Russes d’avant guerre, il avait été estimé que les sanctions devaient geler 300 milliards de dollars d’actifs. Les Ukrainiens suivent ces montants à la trace, car leur reconstruction est gagée dessus. Il est donc improbable qu’ils l’aient sous-évalué.
58 milliards sur une cible officielle de 300 milliards, le butin est maigre. Dès lors, tous les pays s’accrochent à des processus judiciaires pour prétendre ne pas avoir abîmé le droit de propriété. Pas de chance, l’effet moral est probablement déjà là. Nous avons volé, rompu un droit essentiel, tout cela pour PRESQUE RIEN.
Le NWF qui représentait la cible la plus juteuse n’a pas été pris et le trésor de guerre russe parait intact1 !
(Russie balance commerciale)
Voila les excédents commerciaux russes des années avant 2017 il suffit de sommes les valeurs annuelles pour estimer les réserves. Pensez-tout de même à estimer que ce montant peut-être réduit par des dividendes ou des services financiers. La fuite des capitaux était un fléau avant Poutine, il est improbable qu’il ait réussi à totalement l’endiguer.
On le constate le financement de la guerre sur les seules réserves peut durer assez longtemps. Mais pire qu’en est-il du commerce ?
Le gaz et le pétrole semblent bien se porter, voici le graphique de Bloomberg :
RépondreSupprimer( bloomberg)
Un Euro= environ 100 roubles au cours actuel, donc, chaque mois, entre 4 et 7 milliards d’Euros de Revenus. La balance commerciale française apprécierait.
Selon le mythe en vigueur, les Russes vendent avec des rabais. L’information semble à nuancer aux yeux de la Pravda ukrainienne et elle livre une analyse des cours du baril d’Oural (Pétrole russe) comparé à celui du Brent (Marché occidental).
Le pétrole doit être vendu à rabais afin d’évincer les concurrents et d’indemniser les clients pour les risques associés aux sanctions.
Plus le pétrole russe pénètre profondément sur le marché asiatique, plus la décote en dessous du Brent diminue. Il était de 37 $ US le baril au début de l’invasion, et maintenant il est de 19 $. L’écart s’est réduit de 40 % au cours des cinq derniers mois.
On le constate le risque de sanction des acheteurs intégré dans le prix diminue, témoignage de la perte de dissuasion de l’occident. Le prix contient l’information, et celle-ci dit : Le reste du monde se préoccupe de moins en moins de nos représailles.
Pire, le prix du baril russe, malgré la décote est remonté :
« La hausse des prix mondiaux, ainsi que la réduction de la décote, ont entraîné une hausse de 35% du prix du baril de pétrole de l’Oural depuis mars 2023. » Avant-guerre, les Russes annonçaient équilibrer leur budget à 40 dollars le baril. Tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes pétroliers. Prends ça Poutine, 25$ de rabiot par baril.
Le prix reste lui confortable au-dessus du niveau de septembre 2021.
L’UE a tenté de réagir en imposant un plafond, l’article de la Pravda détaille les différentes méthodes de contournement. L’insuffisance des résultats et là encore au rendez-vous.
Quant au gaz, non sanctionné, certes nous avons réduit nos importations :
« Ce chiffre est cinq fois inférieur aux volumes d’avant l’invasion, mais le prix moyen a augmenté depuis. Par conséquent, Gazprom, la multinationale russe de l’énergie, est en mesure d’alimenter le Trésor russe de 100 à 150 milliards de roubles [environ 1,1 à 1,6 milliard de dollars par mois]. »
Surtout, même si l’approvisionnement en gazoduc devait finalement cesser, la Russie disposera toujours d’une capacité importante d’exportation de GNL, disponible pour livraison partout dans le monde.
RépondreSupprimerÀ l’avenir, la Russie prévoit d’augmenter la capacité de ses terminaux GNL et de devenir le quatrième exportateur mondial.
Donc, à la lecture de ces éléments, le financement de la guerre n’est en aucun cas en danger.
En 2023, la Russie dépensera 29 362 milliards de roubles, soit 9 milliards de dollars du budget fédéral.
Même l’effet secondaire n’est pas atteint.
Une augmentation des dépenses militaires aurait dû réduire considérablement d’autres programmes et déstabiliser l’économie, mais jusqu’à présent, Moscou a réussi à éviter cela.
On comprend que les Ukrainiens partis en guerre avec la promesse de voir l’économie russe s’effondrer soient furieux. Eux meurent tandis que le plan échoue. La Russie est financée et absorbe le choc.
Déstabiliser l’économie russe
Alors, on pourrait argumenter sur les importations, l’économie russe y était sensible et avoir de l’argent sous le matelas ne garantit pas de pouvoir le dépenser. Comme le disent les Kiéviens :
« Trouver quelques billions de dollars n’est que la moitié de la bataille. Pour faire la guerre, les Russes ont besoin d’avoir accès à l’électronique occidentale. Sans elle, il est impossible de produire des missiles, des avions, des drones, des radars et des chars russes modernes. »
Passons sur la présentation selon laquelle les Russes seraient incapables de rien construire sans matériel occidental, la Pravda conclut sur ce sujet un peu plus loin :
« Il n’y a pas eu de catastrophe dans le complexe militaro-industriel russe en raison des sanctions. »
Donc, malgré les sanctions les russes continuent à produire leurs armes.
Pourquoi ? D’abord, car la production d’armes classiques est autonome :
« Pour des armes ou des équipements plus primitifs pour la défense, la Russie a toujours eu un cycle de production complet », a déclaré Archil Tsintsadze, expert en défense, ancien attaché militaire géorgien aux États-Unis.
RépondreSupprimerLe fait que le complexe militaro-industriel russe soit vivant est également mis en évidence par les indicateurs des statistiques officielles russes, a déclaré Lidia Lisovska,
Alors on se console en prétendant les Russes incapables de produire des armes de précision. Certes mais…
La deuxième méthode est semi-légale. Les livraisons à la Fédération de Russie se font par l’intermédiaire de pays neutres. Lesquels sont faciles à déterminer. Les exportations de semi-conducteurs vers la Russie en provenance de Turquie, d’Arménie, du Kirghizistan, du Kazakhstan et de Serbie ont été multipliées par dix. Aucun de ces pays ne produit de micropuces.
Résultat
Les données du ministère ukrainien de la Défense montrent qu’en une année de guerre, les Russes ont pu produire plus de 500 missiles de croisière.
Alors, certes les Russes ne parviennent sans doute pas à remplacer toutes les armes utilisées. Mais c’est bien là la fonction des stocks et si leur production croit la vitesse de réduction des stocks diminue.
À la guerre, le vainqueur est celui capable de tenir le dernier quart d’heure, au rythme actuel, la Russie est en route pour courir un marathon et les sanctions coûtent sûrement de l’argent, mais elles n’empêchent pas l’économie russe de fonctionner.
On le voit dans l’analyse suivante :
« Selon elle (Lidia Lisovska, analyste du projet ANTS ), au premier trimestre de 2023, la production en Russie de jumelles, monoculaires et autres dispositifs optiques a augmenté de 73% par rapport à la même période en 2022.
La production de radars, de produits de radionavigation, d’équipements de télécommande, d’ordinateurs, de moteurs électriques, de générateurs, de batteries, de vêtements spéciaux et de chaussures a augmenté de 40 à 110%.
Cela peut indiquer le remplacement de produits qui étaient auparavant importés de pays occidentaux et une augmentation de la production pour l’armée. »
Alors, dernier espoir…
RépondreSupprimerAinsi, les sanctions et la guerre drainent l’économie russe, mais seulement à long terme.
Oui, sauf que selon la phrase de Keynes : À long terme nous serons tous morts. Dans le cas de l’Ukraine il est probable qu’à long terme tous les Ukrainiens seront morts.
Et si jamais ils tenaient, les occidentaux sont-ils prêts à vivre encore des années d’inflations et de pouvoir d’achat en berne pour les beaux yeux de Zelensky? Il vaudrait mieux, me direz-vous, car la guerre en Ukraine masque le rôle de l’expansion monétaire de nos banques centrales dans l’explosion des prix. Prends ça Poutine, tu es finalement bien commode pour éviter à Bruno Lemaire et Christine Lagarde une intero d’économie de niveau lycée.
Restait le dernier espoir : Inciter les oligarques à se révolter.
Le présupposé était le suivant : L’élite russe a un point faible – l’amour du luxe. Pendant des décennies, l’argent corrompu de la Russie s’est installé dans les pays occidentaux. Là, ils se sont transformés en maisons, appartements, yachts, restaurants et clubs de golf.
Plus l’establishment de Poutine perd de biens, plus vite ses représentants forceront les autorités à arrêter la guerre.
Oui, mais…
Dans les premiers mois de la guerre, il y avait beaucoup d’espoirs pour une révolte des élites russes. Il s’est avéré que c’était inutile, car la guerre est une affaire rentable pour eux. Les responsables et les oligarques russes ont réussi à compenser leurs pertes.
Alors, passons sur l’aspect boomer fragile de cette conception. L’idée était de voir les oligarques préférer leur luxe à leur pays. Désolé, comme disait monsieur de Montebourg devant l’assemblée.
« Voulez-vous savoir combien cela coûte de trahir la France ? Ça n’est pas cher »
Eh bien, les oligarques russes semblent plus chers, peut-être certains incidents de fenêtre font-ils monter le prix en flèche. Surtout, comme le révèlent les Ukrainiens, (je vous invite à consulter leurs graphiques) la guerre rapporte à l’élite russe. Ils reviendront après-guerre pour récupérer leurs biens où nous les laisserons avec leur mouchoir plein de morve dessus en signe de mépris.
En conclusion, les sanctions ont échoué. Elles ont un effet, on peut se cacher derrière, mais fondamentalement, l’objectif stratégique de provoquer l’effondrement militaire russe par le front économique n’est pas atteint.
RépondreSupprimerLa liste des états ne participant pas aux sanctions révèle qu’une large partie du monde refuse de participer.
Dés lors, au lieu d’exclure la Russie, nous nous excluons nous-mêmes du marché mondial et les sanctions deviennent de l’aveu des européens une plaisanterie :
(X)
On ne saurait mieux dire, pendant ce temps, des hommes meurent sur le front dans une guerre ingagnable2 et l’occident alimente la corruption pour encourager l’élite ukrainienne à poursuivre des combats inutiles.
Il est temps d’arrêter et de traduire en justice les responsables occidentaux coupables de ce désastre. Sinon, les peuples d’Occident seront comptables des errements de leurs dirigeants.
Ni pardon, ni oubli !
Jules Seyes
1 En tout cas, je n‘ai pas trouvé de trace de confiscation de ses avoirs. Seules sont mentionnées des propriétés de luxe appartenant à des oligarques et les comptes de RT pour ajouter la censure à l’ignominie.
2 Même Tytelmann reconnaît qu’au prix humain actuel les Ukrainiens ne pourront pas se permettre d’arroser de sang chaque km² de terrain a reprendre.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/09/01/christelle-neant-ne-fait-pas-dans-la-dentelle/
Les « baby-boomers » sont tous radioactifs, comme les sangliers !
RépondreSupprimerle 1 septembre 2023
Si nous sommes tous « radioactifs » naturellement en raison du potassium-40 présent partout dans la nature que nous ingérons en mangeant par exemple des bananes (lien sur ce blog), nous le sommes aussi en raison de l’activité humaine qui a dispersé des radio-isotopes dans cette nature qui ne sont pas normalement présents dans des proportions préoccupantes. Le tritium, isotope de l’hydrogène radioactif et émettant des rayonnements beta moins, c’est-à-dire des électrons de très faible énergie, est redevenu d’actualité avec l’affaire de l’élimination de l’eau tritiée de l’usine électrique de Fukushima-Daiichi. Le premier Ministre japonais Kishida s’est d’ailleurs illustré en dégustant du poisson provenant de la Préfecture de Fukushima car il s’est documenté et sait très bien que le tritium n’est pas dangereux comme je l’ai exposé également sur ce blog il y a quelques jours. Mais venons-en à des radio-isotopes dont la présence n’est pas normale dans la nature. Il y a le césium-137 qui s’est dispersé en Europe à la suite de l’accident de l’usine de Tchernobyl (26 Avril 1986) et au Japon (11 Mars 2011) dans une bien moindre mesure au Japon à la suite de l’accident de l’usine sus-mentionnée. Le césium-137 n’existe pas normalement dans la nature. Il s’agit d’un émetteur de rayons gamma non négligeable et également de rayons beta moins environ 5000 fois plus énergétiques que ceux émis par le tritium et sa durée de demi-vie est trois fois plus longue, 30 ans, que celle du tritium. Le césium, quand il est radioactif comme c’est le cas pour ces deux accidents d’usines électro-nucléaires, devient préoccupant dans la mesure où il peut remplacer le potassium dans l’organisme. Ce fut l’argument avancé pour « déporter » des milliers de Japonais à la suite de l’accident et de dizaines de milliers d’autres à la suite de l’accident ukrainien.
Mais il y a un grand oublié dans cette affaire de césium ! C’est celui qui a été dispersé dans l’atmosphère à la suite des centaines d’explosions de bombes que les militaires ont allègrement testé jusqu’en 1960 pour être bien certains qu’ils pouvaient détruire toute forme de vie terrestre avec leurs petits joujoux dont ils reparlent aujourd’hui. À l’époque il était question de strontium radioactif mais ces militaires qui se moquaient du monde entier n’avaient qu’elliptiquement mentionné le carbone-14 et le césium-135. Si le carbone-14 est présent naturellement dans la nature en raison de la « spallation » cosmique les quantités massives retrouvées dans l’atmosphère qui ont culminé en 1960 on presque rejoint aujourd’hui le taux normal de carbone-14 utilisé pour réaliser des datations de fossiles. Pour le césium-135 issu de la désintégration du Xénon-137 qui apparaissant fatalement dans les réacteurs à eau pressurisée et les explosions de bombes l’histoire est claire : sa durée de demi-vie est de plus de 2 millions d’années et toutes les personnes qui ont été contaminées par les essais nucléaires ont toujours dans leurs os du césium-135 ! Certes ce césium radioactif est anodin et à peine plus énergétique (rayonnement beta moins) que le tritium mais il s’est accumulé dans le squelette des toutes les personnes qui ont subi les retombées des essais nucléaires atmosphériques des années 1950. Les États-Unis, la France, la Grande-Bretagne et l’Union soviétique sont donc responsables de cet état de fait. Jamais il a été mentionné la présence de césium-137 dans les retombées radioactives de ces essais atmosphériques et pour cause les militaires s’en moquaient, tout simplement …
- voir schéma sur site -
RépondreSupprimerLà où la situation se complique est l’essaimage dans toutes l’Europe, jusqu’en Allemagne et en Suisse des sangliers provenant de la zone interdite située au nord de l’usine de Tchernobyl. Ils sont tous radioactifs, les vieux et surtout les juvéniles. Un bref article provenant de l’American Chemical Society a enfin publié une note relative à ce sujet et si l’usine de Tchernobyl a répandu dans l’environnement ukrainien et biélorusse du césium-137 cette note indiquant que les teneurs en pourcentage de ces deux isotopes du césium déterminées par spectrographie de masse montrent sans ambiguïté que la contribution des essais nucléaires atmosphériques reste toujours prépondérante chez ces sangliers à tel point qu’ils sont considérés comme impropres à la consommation car la contamination atteint jusqu’à 5000 Bq par kilo de viande (1 Bq = 1 désintégration par seconde). Il est possible que ces sangliers super-radioactifs aient trouvé des gisements de racines et de champignons particulièrement contaminés lors des essais nucléaires …
Tout ceci montre à quel point un conflit nucléaire empoisonnerait la flore et la faune pour des dizaines, des centaines d’années. C’est ce que veulent les Américains et les Russes ?
Liens, illustration ZeroHedge :
Le paradoxe de la banane
Le potassium est naturellement radioactif puisque 0,0117 % de ce métal est du potassium 40, l’isotope de demi-vie 1,25 milliard d’années, ce qui signifie que depuis que la Terre existe (environ 5 milliards d’années) plus de 90 % du potassium 40 a … Lire la suite Le paradoxe de la banane
jacqueshenry
Retour sur l’eau tritiée de Fukushima-Daiichi
Ce lundi je suis allé me faire élaguer la perruque par ma coiffeuse, une charmante et belle polynésienne et devinez de quoi nous avons parlé ? De l’eau tritiée que la société TEPCO rejette dans l’Océan Pacifique ! Selon l’opérateur de la … Lire la suite Retour sur l’eau tritiée de Fukushima-Daiichi
jacqueshenry
- voir sur site -
https://www.zerohedge.com/markets/radioactive-wild-boar-roam-central-europe
https://www.acs.org/pressroom/presspacs/2023/august/nuclear-weapons-tests-are-unappreciated-source-of-radioactivity-in-german-wild-boars.html
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/09/01/les-baby-boomers-sont-tous-radioactifs-comme-les-sangliers/
Hiroshima et Nagasaki : le général Groves et le « canular » des radiations nucléaires
RépondreSupprimerDes morts persistantes au Japon ? Juste de la « propagande ».
Par Greg Mitchell
Recherche mondiale,
2 septembre 2023
Comme je l’ai noté dans des articles précédents – et dans mes récents livres Atomic Cover-up et The Beginning or the End – les États-Unis, après avoir largué les bombes sur Hiroshima et Nagasaki, ont été confrontés à un problème de publicité (sans parler de moral) unique.
Des rapports en provenance du Japon ont mis en garde contre une nouvelle maladie mystérieuse affectant les survivants des deux explosions. Certains au Japon la surnommaient déjà « maladie des radiations », ce à quoi s’attendaient en privé Robert Oppenheimer certains de nos autres fabricants de bombes (bien que cela ne soit pas mentionné dans le film de Christopher Nolan) – mais les responsables et la plupart des médias américains se sont quand même moqués de cette idée. Personne de l’Ouest n’avait encore atteint l’une ou l’autre ville.
Cependant, il y a soixante-dix-huit ans cette semaine, l’une des conversations les plus horribles, quoique révélatrices, de l’ère nucléaire a eu lieu.
Le général Leslie Groves, chef du projet Manhattan, avait reçu la veille un télex de Los Alamos, dans lequel des scientifiques demandaient des informations sur ces rapports choquants en provenance du Japon. Groves a répondu qu’il ne s’agissait que d’un « canular » ou d’une « propagande ». Le plus grand expert en radiations de Los Alamos a également utilisé le mot « canular ».
- voir doc sur site -
Sachant que la presse chercherait sa réponse officielle, Groves a appelé le lieutenant-colonel Charles Rea , médecin à l'hôpital d'Oak Ridge (qui fait partie du projet de bombe). Selon la transcription officielle, Rea a qualifié les rapports faisant état de décès par radiation de « propagande », de « hookum » et de « plutôt fous » et Groves a plaisanté : « Bien sûr, c'est fou – un médecin comme moi peut le dire !
RépondreSupprimerMais Groves savait que ce n'était pas fou et il devint agité en lisant des passages des rapports japonais. Il a même demandé sérieusement s’il y avait « une différence entre le sang japonais et celui des autres ». Les deux hommes ont finalement adopté l’idée que tout était attribuable aux brûlures – ou aux « bonnes brûlures thermiques », comme le disait Rea. "Ils subissent l'action retardée de la brûlure", a-t-il conseillé. Groves a répondu : « Bien sûr, nous recevons une bonne dose de propagande » – et a reproché à certains de nos scientifiques et à nos médias d’accorder du crédit à ces rapports.
Groves s'est même vanté : « Cela ne nous dérange pas du tout, sauf que ce qu'ils essaient de faire, c'est de créer de la sympathie. » Ajoutant : « C’est le genre de chose qui nous fait mal. » (Voir PDF de la transcription . Cliquez sur le mémorandum pour accéder au document complet)
- voir doc sur site -
Mais Rea a laissé entendre qu'il savait que Groves niait simplement la réalité, admettant finalement : « Bien sûr, ces scientifiques japonais là-bas ne sont pas si stupides non plus. » Pourtant, lors d’une deuxième conversation ce jour-là avec Groves, Rea a conseillé : « Je pense que vous feriez mieux de faire sortir les anti-propagandistes. » Une des grandes citations de cette époque. Il a également conseillé : « Vous devrez trouver un gros bonnet pour publier une déclaration contraire dans le journal. » (Cette grosse perruque finirait par être… Oppenheimer, encore une fois non mentionnée dans le film Nolan.)
Cinq jours plus tard, lors d’une visite à Oak Ridge, Groves a publiquement qualifié les rapports japonais de propagande et a ajouté : « La bombe atomique n’est pas une arme inhumaine. »
Le principal assistant de Groves, Kenneth D. Nichols (présenté comme un antagoniste clé d'Oppenheimer dans le film Nolan), admettrait dans ses mémoires de 1987 que « nous savions qu'il y aurait de nombreux morts et blessés causés par les radiations… »
https://www.globalresearch.ca/general-groves-radiation-hoax/5831006