- ENTREE de SECOURS -



mercredi 13 septembre 2023

Court-métrage : « Apocalypse – 5G » de Sacha Stone – les experts prennent la parole

 


5G depuis l'espace : aucune parcelle de la Terre n'est épargnée

La société SpaceX d'Elon Musk s'associe à des opérateurs suisses de téléphonie mobile, bien que leur réseau de téléphonie mobile atteigne déjà une couverture de 99,9 %. Dans un communiqué de presse, l'association Schutz vor Strahlung demande au Conseil fédéral suisse de contrer cette « irradiation par le haut ». Des arguments moins connus mais néanmoins importants et passionnants sont avancés.

116 commentaires:

  1. Court-métrage : « Apocalypse – 5G » de Sacha Stone – les experts prennent la parole


    13.02.2021
    www.kla.tv/18120


    Le film documentaire « Apocalypse 5G : L’extermination » du réalisateur Sacha Stone a déjà été diffusé en intégralité sur Kla.TV l'année dernière. Kla.TV reproduit maintenant une version courte de cette vidéo très révélatrice. Le film montre des faits dramatiques et donne des témoignages de personnalités connues. Mark Steele y dit, par exemple : « Je dois vous dire que la 5G est un tueur. Je m'appelle Mark Steele, et pour ceux d'entre vous qui n'ont jamais entendu parler de moi, je suis l'un des plus grands experts mondiaux en matière de systèmes d'armes et d'affichage tête haute. Je suis un expert parce que j'ai inventé ces systèmes ». Maintenant, écoutez parmi d’autres le témoignage explosif de Barrie Trower, ancien spécialiste de la Royal Navy en matière de développement d'armes à micro-ondes.

    Il est important de comprendre ce que fait la 5G et ce qu’on nous dit qu’elle fait. L'IEEE écrit dans un document sur la formation de faisceaux que cette technologie a fait bouillir les yeux comme des œufs pendant la Seconde Guerre mondiale. Nous devons tous comprendre que ce sont des armes militaires, ce sont des fréquences d'attaque. C'est tout ce que vous devez savoir à ce sujet. C'est la torture par les micro-ondes. C'est exactement cela !

    Mark Steele : « Je dois vous dire que la 5G est une tueuse. Je m'appelle Mark Steele et pour ceux qui n'ont pas entendu parler de moi, je suis l'un des principaux experts mondiaux en matière de systèmes d'armes et d'affichage tête haute. Je suis un expert parce que j'ai inventé ces systèmes. »

    Thomas Joseph Brown : « ... et il s'avère que c'est la même radiation utilisée dans les systèmes d'armes pour disperser les foules. »

    Mark Steele : « Ce sont des lentilles de focalisation très puissantes et cela permet à la 5G de faire une carte en 3D de ta maison. La fréquence de 868 MHz est utilisée spécifiquement pour la surveillance du champ de bataille, car le rayonnement sub-gigahertz peut traverser facilement les murs en béton. C'est un système de localisation de cibles. Les antennes en réseaux phasés sont des radars de champ de bataille qui sont extrêmement efficaces pour identifier les cibles sur un champ de bataille et viser ces cibles. Et pas seulement cela, il peut t'attaquer en tant qu'individu, en tant que cible. C'est-à-dire que tout détective travaillant sur une enquête, tout avocat, tout militant travaillant sur quelque chose de controversé est potentiellement en danger de mort. Ces antennes, qui sont montées au-dessus des lampadaires LED, sont déguisées en systèmes de surveillance et sont essentiellement des systèmes d'armes pour le champ de bataille. La première antenne en réseau phasé a été appelée « mammouth ». Elle a été construite par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale et utilisée pour identifier les avions alliés en approche. Le développement a extrêmement progressé depuis lors. »

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  2. Barrie Trower : « J'ai donc compris la guerre avec les ondes millimétriques et comment on peut endommager les gens avec ces appareils et quels dommages ils causent. Les ondes millimétriques étaient alors - et sont toujours - utilisées comme une arme. C'est une arme parfaitement déguisée. Et quand un gouvernement n'aime pas un certain groupe de personnes, par exemple, les femmes qui protestaient à Greenham à cause des missiles américains, elles ont été bombardées d’ondes millimétriques. En Irlande du Nord, des ondes millimétriques ont été orientées sur des catholiques pour les rendre malades. Cela se fait dans le monde entier. C'est une arme qui fait qu’on ne se rend pas compte qu'on se fait tirer dessus parce que la dose est très faible - ce qui est plus dangereux qu'une forte dose. C'est un dosage très faible, et il peut durer un an – mais ces ondes millimétriques à faibles doses suffisent pour provoquer des dommages neurologiques et le cancer. Vous pouvez rendre vos ennemis malades. C'est une arme parfaite pour les gouvernements ».

    Thomas Joseph Brown : « Si nous regardons la 5G maintenant, 60 gigahertz : ce sont les fréquences actives des systèmes d'armes utilisés contre les foules, cela retient les gens. Cela ne brûle pas la peau. Mais 60 gigahertz est la fréquence d'absorption de l'oxygène car ils partagent des électrons entre eux. Nous respirons de l'oxygène, quelques atomes d'oxygène. Si nous sommes bombardés par des radiations de 60 gigahertz, cela limite notre absorption d'oxygène et met en danger notre système vivant. »

    Max Igan : « Avec la cinquième génération, c'est quelque chose de complètement différent. Ce n'est même plus la même technologie. Ils passent à la technologie millimétrique militaire.
    Si vous regardez cette technologie, pour cela vous devriez regarder certaines publications de la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), ce qu'ils peuvent faire avec celle-ci : au niveau psychologique, de la surveillance, du contrôle des foules, du Active Denial System. Tout ce qu’on peut imaginer, on peut le faire avec la 5G. Toutes les applications militaires qui ont des éléments électromagnétiques, peuvent être mises en œuvre avec la 5G. Et ils tirent avec ces ondes millimétriques sur la population à grande l'échelle. »

    Annonceur radio : « Mesdames et Messieurs, le Président des États-Unis d'Amérique ! »
    Dwight D. Eisenhower (ancien président des États-Unis d'Amérique - Discours d'adieu de 1961) : « Bonsoir, chers compatriotes ! Au niveau des gouvernements, nous devons nous prémunir contre l'influence indésirable - réfléchie ou non - du complexe militaro-industriel. Le risque d'abus de pouvoir désastreux existe et continuera à exister. Nous ne devons jamais laisser ce fardeau combiné menacer nos libertés et notre processus démocratique ».

    Sacha Stone : « Le lien entre les chemtrails et la 5G ? »

    Mark Steele : « Tout est lié. Les particules métalliques permettent aux antennes 5G de vous identifier et de vous observer même dans votre maison, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 ».

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  3. Monsieur Blanshan : « Notre pétition évoque également les quelque vingt mille satellites qui seront déployés en orbite basse. Avec ces satellites, le signal 5G atteindra tous les coins de la terre. »

    Sacha Stone : « Ok, technologie intelligente : compteurs intelligents, voitures intelligentes, cartes intelligentes... pas si intelligentes, n'est-ce pas ? Que signifie « intelligent » ? »

    Mark Steele : « Tout ce qui est associé au terme « intelligent » signifie une technologie secrète pour l'armement militaire résidentiel, c'est ce que signifie intelligent, « SMART » en anglais. Chaque élément de technologie intelligente a été développé pour être utilisé sur le champ de bataille ou pour la surveillance. Il est évident que ces développements doivent être commercialisés pour que les gens les introduisent dans leurs maisons. Il s'agit d'antennes radar, d'antennes radar en réseau phasé. Ce signal radar va tuer toutes les abeilles, toutes les structures biologiques. Elle rendra le bétail et le sol stériles. La terre sera alors sans valeur. Les agriculteurs vont disparaître. Toute la société sera attaquée. Si nous ne pouvons pas produire de la nourriture et si nous tuons toutes les abeilles, nous aurons un sérieux problème. »

    Sacha Stone : « En résumé, le déploiement de la 5G de notre très gentil gouvernement, de plusieurs milliard de dollars, est la mise en place d'armes déguisées en moyen de communication. »

    Mark Steele : « C'est exactement ça. En plus de cela, c'est du terrorisme écologique. Cela n'a aucune valeur, zéro, de tuer sa population, de détruire la capacité de produire de la nourriture, de tuer toutes les abeilles. Les financiers ont de jolis chiffres sur le papier, mais en réalité, la démence, le diabète, les maladies mentales et autres vont paralyser le pays. Les causes peuvent être et ont déjà été identifiées par la science. »

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  4. Sacha Stone : « J'ai rencontré des biologistes cellulaires et moléculaires, des spécialistes en microscopie du sang, des concepteurs d'armes, des militants et des scientifiques, et toutes leurs opinions arrivent à la conclusion suivante : la 5G est très certainement la bataille finale. C'est un outil d'extinction qui sera introduit dans nos foyers, nos écoles et nos rues, jusque dans les cellules de nos corps humains. C'est un danger si immense qu'il est difficile à décrire. Lorsque la 5G est activée, elle se connecte à un grand nombre de satellites en orbite et des millions d'antennes au sol reçoivent le signal, puis le distribuent dans des centaines et des centaines de millions de petites antennes et de lampadaires et dans ta maison, et tu ne sais encore rien de cela aujourd'hui. Les LED dans ta maison contiennent déjà la nano technologie qui reçoit le signal 5G. Et cela va répandre le signal partout. Cela fait exploser le signal en milliards de photons qui attaquent tout simultanément. C'est une technologie cachée. C'est une science invisible. Mais cela signifie, en termes simples, qu’on pourra te voir et te cibler n'importe où dans ta propre maison. Partout sur la surface de la terre, ils pourront te trouver et te cibler. Tu seras visible pour des maîtres invisibles, chacun de nous, à tout moment. »

    de sak.
    Sources / Liens :
    Vidéo sur la technologie militaire 5G :
    https://www.youtube.com/watch?v=irs2-qRkDeM&feature=youtube

    https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr&id=18120&date=2023-09-12

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  5. Surveillance en ligne extrême au Royaume-Uni : Extrême : le « Online Safety Bill » (OSB) envisage une analyse invasive des « fichiers utilisateur ».

    Le projet de loi OSB donnerait au gouvernement britannique le droit de commander des messages et des photos, ce qui nuirait à la vie privée et à la sécurité des internautes du monde entier.


    Par Joe Mullin
    Recherche mondiale,
    12 septembre 2023


    Le projet de loi britannique sur la sécurité en ligne (OSB) a franchi une étape finale cruciale à la Chambre des Lords et envisage un projet potentiellement vaste pour surveiller les utilisateurs d'Internet.

    Le projet de loi permettrait au gouvernement britannique, dans certaines situations, d'exiger que les plateformes en ligne utilisent un logiciel approuvé par le gouvernement pour rechercher dans les photos, fichiers et messages de tous les utilisateurs, en recherchant le contenu illégal. Les services en ligne qui ne respectent pas ces règles peuvent être soumis à des sanctions extrêmes, notamment pénales.

    Un tel système d’analyse de porte dérobée peut et sera exploité par de mauvais acteurs. Cela produira également des faux positifs, conduisant à de fausses accusations de maltraitance d'enfants qui devront être résolues. C'est pourquoi l'OSB est incompatible avec le chiffrement de bout en bout et avec les droits de l'homme. L'EFF s'est fermement opposée à ce projet de loi depuis le début.

    Aujourd’hui, alors que le projet de loi est sur le point de devenir une loi britannique, le gouvernement britannique a reconnu timidement qu’il ne serait peut-être pas en mesure d’utiliser certains aspects de cette loi. Lors d'un débat final sur le projet de loi, un représentant du gouvernement a déclaré que les ordres d'analyse des fichiers des utilisateurs « ne peuvent être émis que lorsque cela est techniquement possible », comme l'a déterminé l'Ofcom, l'agence britannique de régulation des télécommunications. Il a également déclaré qu’une telle ordonnance doit être compatible avec le droit britannique et européen des droits de l’homme.

    C'est un pas en arrière notable, puisque précédemment le même représentant, Lord Parkinson de Whitley Bay, avait déclaré dans une lettre à la Chambre des Lords que la technologie qui ferait comme par magie coexister l'analyse invasive avec le cryptage de bout en bout existait déjà . «Nous avons déjà vu des entreprises développer de telles solutions pour des plates-formes avec cryptage de bout en bout», écrit Lord Parkinson dans cette lettre.

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  6. Aujourd’hui, Parkinson est sur le point d’admettre qu’une telle technologie n’existe pas, en fait. Mardi, il a déclaré :

    Le gouvernement n'a pas l'intention d'affaiblir la technologie de cryptage utilisée par les plateformes, et nous avons intégré de solides garanties dans le projet de loi pour garantir la protection de la vie privée des utilisateurs.

    S’il n’existe pas de technologie appropriée répondant à ces exigences, l’Ofcom ne peut pas exiger son utilisation. C'est pourquoi les pouvoirs incluent la possibilité pour l'Ofcom d'exiger des entreprises qu'elles fassent de leur mieux pour développer ou trouver une nouvelle solution.

    Le jour même où ces déclarations publiques ont été faites, les médias ont rapporté que le gouvernement britannique avait reconnu en privé qu'il n'existait aucune technologie capable d'examiner les messages cryptés de bout en bout tout en respectant la vie privée des utilisateurs.

    Les gens ont besoin de confidentialité, pas de faibles promesses

    Soyons clairs : les déclarations faibles des ministres du gouvernement, comme la couverture de Lord Parkinson lors du débat de cette semaine, ne peuvent pas remplacer de véritables droits à la vie privée.

    Rien dans le texte de loi n'a changé. L'OSB donne au gouvernement britannique le droit d'ordonner la numérisation de messages et de photos, ce qui portera atteinte à la vie privée et à la sécurité des internautes du monde entier . Ces pouvoirs, consacrés à l’article 122 du BSF, sont sur le point de devenir loi. Après cela, le régulateur chargé de l'application de la loi, l'Ofcom, devra concevoir et publier un ensemble de réglementations concernant la manière dont la loi sera appliquée.

    Plusieurs sociétés fournissant des services cryptés de bout en bout ont déclaré qu'elles se retireraient du Royaume-Uni si l'Ofcom prenait le choix extrême d'exiger l'examen des messages actuellement cryptés. Ces sociétés comprennent, entre autres, WhatsApp, Signal et Element, basé au Royaume-Uni.

    Bien que ce soit la dernière minute, les députés pourraient encore introduire un amendement prévoyant de réelles protections de la vie privée des utilisateurs, y compris une protection explicite pour un véritable cryptage de bout en bout.

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  7. À défaut, l’Ofcom devrait publier des réglementations indiquant clairement qu’il n’existe aucune technologie disponible permettant à l’analyse des données des utilisateurs de coexister avec un cryptage et une confidentialité forts.

    Enfin, les législateurs d’autres pays, y compris les États-Unis, devraient prendre conscience du résultat embarrassant de l’adoption d’une loi qui est non seulement trompeuse, mais déconnectée de la réalité informatique. Le gouvernement britannique a insisté sur le fait que grâce à la « magie » logicielle, un système dans lequel ils peuvent tout examiner ou scanner sera également, d’une manière ou d’une autre, un système de protection de la vie privée. Face à la réalité de cette contradiction, le gouvernement s'est tourné vers une campagne de dernière minute pour assurer à la population que les pouvoirs qu'il a réclamés ne seront tout simplement pas utilisés.

    https://www.globalresearch.ca/uk-government-knows-extreme-online-safety-bill/5832040

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  8. Pour sauver les baleines, nous devons les tuer


    Par Ben Bartee
    Recherche mondiale,
    12 septembre 2023


    C'est ainsi que fonctionne The Science™, garçons et filles. Respectez-le, ou soyez obligé de répondre au ministère de la Sécurité intérieure, bigot.

    Si vous vivez sur la côte Est des États-Unis, il y a de fortes chances que vous ayez vu et/ou entendu parler des reportages locaux de plus en plus fréquents sur le phénomène des baleines mortes échouées sur les côtes.

    Par Michael Shellenberger :

    « Un nouveau documentaire, "Thrown To The Wind", du réalisateur et producteur Jonah Markowitz , prouve que les responsables du gouvernement américain ont menti. Le film complet, qui se trouve au bas de cet article, documente un sonar étonnamment puissant et à décibels élevés émis par les navires de l'industrie éolienne lorsqu'il est mesuré avec des hydrophones de pointe. Et cela montre que l’augmentation du trafic maritime de l’industrie éolienne est directement corrélée à la mort de certaines baleines.

    Le documentaire n’empêchera peut-être pas la construction de projets éoliens industriels. Après tout, les projets éoliens allaient de l’avant malgré les avertissements urgents des principaux groupes de conservation et d’un scientifique de haut niveau de la National Oceanographic and Atmospheric Administration (NOAA).

    Mais "Thrown To The Wind" expose la réalité selon laquelle les agences gouvernementales américaines et les scientifiques qui travaillent pour elles, soit n'ont pas effectué les recherches de base en matière de cartographie et d'acoustique pour étayer leurs affirmations, soit ont mal fait leurs recherches, soit ont trouvé quoi. nous l’avons trouvé et nous le dissimulons.

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  9. Quoi qu’il en soit, que représentent quelques milliers de baleines mortes lorsqu’un programme de contrôle social totalitaire est en jeu ? Si vous voulez faire une omelette face au changement climatique, vous allez devoir casser des œufs de mammifères marins.

    Rappelons-nous qu'en tant que forme de vie basée sur le carbone, vous – et les baleines – êtes le carbone dont les technocrates veulent se débarrasser.

    Permettez à Bill Gates, commissaire au dépeuplement autoproclamé et nerd psychopathe, d’expliquer :

    Aujourd’hui, nous émettons beaucoup de gaz carbonique chaque année – plus de 26 milliards de tonnes… Et d’une manière ou d’une autre, nous devons apporter des changements qui ramèneront ce chiffre à zéro… Cette équation comporte quatre facteurs, un peu de multiplication. …

    Vous avez donc un élément à gauche, le gaz carbonique, que vous souhaitez atteindre zéro, et cela sera basé sur le nombre de personnes , les services que chaque personne utilise en moyenne, l'énergie, en moyenne, pour chacun. service et le gaz carbonique émis par unité d’énergie. Examinons donc chacun d’entre eux et voyons comment nous pouvons ramener ce résultat à zéro . Il est probable que l’un de ces chiffres devra se rapprocher de zéro . [Le cadre passe à un graphique représentant des humains, le public rit docilement à la perspective de sa propre disparition.]

    - voir clip sur site :

    https://www.globalresearch.ca/save-whales-must-kill-whales/5832222

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  10. SHEER FUNACY : Bill Gates finance un plan visant à abattre 70 millions d’acres de forêts en Amérique « pour lutter contre le réchauffement climatique »


    09/12/2023
    Kevin Hughes


    Bill Gates et d’autres investisseurs misent sur Kodama Systems pour réduire le gaz carbonique dans l’atmosphère en abattant et en enterrant les arbres. Le plan prévoit la coupe d'arbres dans environ 70 millions d'acres de forêts au cours de la prochaine décennie. Après avoir abattu les arbres, Kodama envisage de les enterrer, prétendument pour lutter contre le réchauffement climatique.
    C’est une autre preuve que le « réchauffement climatique » est une arnaque visant à rendre les riches encore plus riches. La véritable raison de la dévastation des forêts est la nécessité d’acquérir des compensations carbone vendables.

    Le projet de Gates visant à tirer profit du monde naturel au nom du « changement climatique » a été promu dans un article intitulé : « Abattre les forêts pour sauver la planète ? Peut-être pas aussi fou qu’il y paraît ». (Connexe : Bill Gates finance la DESTRUCTION DE TOUS LES ARBRES pour arrêter le « réchauffement climatique ».)

    La dernière phrase de l’article donne un indice sur l’objet de cette nouvelle arnaque, à savoir l’argent.

    Cet article relie le carbone à l'échange de crédits carbone et de compensations carbone, qui concerne l'idée de planter des arbres pour aspirer le gaz carbonique de l'air et vendre les crédits aux entreprises, aux propriétaires de jets privés et à d'autres personnes qui exigent ou souhaitent annuler leurs émissions.

    Qualifier le gaz carbonique de polluant est une propagande dangereuse

    Selon le Dr Patrick Moore, cofondateur et ancien dirigeant de Greenpeace, qualifier le gaz carbonique de polluant constitue une propagande dangereuse. L'examen des images satellite montre comment le gaz carbonique, en tant qu'engrais naturel, enrichit régulièrement l'atmosphère terrestre.

    Et une étude réalisée sur des données allant de 1750 à 2018 l’a également montré. L’étude a calculé que la concentration atmosphérique de gaz carbonique anthropique d’origine fossile en 2018 était de 46,84 ppm sur un total de 405,40 ppm.

    Le Service forestier américain prévoit de réduire 70 millions d’acres de forêts occidentales, principalement en Californie, au cours de la prochaine décennie en supprimant plus d’un milliard de tonnes de biomasse sèche. Cette idée est née à la suite de la série d’incendies de forêt en Californie il y a trois ans.

    Mais Roger Pielke, professeur au Collège des Arts et des Sciences de l'Université du Colorado, a noté que les incendies de forêt étaient beaucoup plus répandus au cours des siècles passés et qu'ils faisaient partie de l'écosystème naturel. Les incendies de forêt dans le monde sont principalement dus à l’intervention humaine et non au changement climatique soutenu par les grands médias.

    Les incendies en Grèce, en Espagne, en Italie et dans la forêt amazonienne sont très probablement dus à des incendies criminels.

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  11. Pendant ce temps, le Yale Carbon Containment (CC) Lab, partenaire de Kodama, a hâte de créer une entreprise à partir de « chambres fortes en terre » ou de « chambres fortes à biomasse ».

    Après une éclaircie forestière, il est habituel que des grumes de taille commercialisable apparaissent dans les scieries, la majeure partie du reste étant empilée puis brûlée dans des conditions contrôlées. Kodama préfère enterrer les restes dans des voûtes en terre conçues pour maintenir des conditions sèches et anoxiques (sans oxygène) et protéger le bois de la combustion ou de la pourriture.

    « Le plus grand risque pour ce projet est le coût élevé du transport du bois depuis des sources dispersées vers un site de stockage unique. Le transport du bois humide demande beaucoup plus de temps et d'énergie que le laisser dans la forêt. La logistique a un impact considérable sur la viabilité du projet, même si le le prix du carbone est élevé", a déclaré CC Lab. L'entreprise a également admis que les coffres-forts à biomasse ne sont pas raisonnables et que « la valeur de confinement du carbone liée à l'enfouissement de grands volumes de bois peut être compensée partiellement ou totalement par le carbone libéré par les sols lors de l'excavation d'une fosse de stockage ».

    Selon Merritt Jenkins, co-fondateur et directeur général de Kodama, ils prévoient de gagner de l'argent grâce à leurs travaux d'éclaircie forestière en vendant du bois utilisable et des crédits de carbone issus de leurs projets d'enfouissement. Kodama a déjà accepté 1,1 million de dollars de subventions de la part de l'agence californienne des incendies de forêt et d'autres organisations.

    Kodama veut à terme abattre et enterrer plus de 5 000 tonnes d'arbres par an.

    Suivez GreenTyranny.news pour plus d’informations sur l’agenda du changement climatique.

    Regardez la vidéo ci-dessous dans laquelle Bill Gates fait pression pour abattre les forêts et enterrer les arbres.

    Cette vidéo provient de la chaîne Puretrauma357 sur Brighteon.com.

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  12. Plus d'histoires connexes:

    La déforestation provoque l'incendie des forêts tropicales... et personne n'éteint les flammes.

    Le PDG de la plus grande société de crédits carbone au monde démissionne après qu'une enquête ait révélé qu'il s'agissait principalement d'une arnaque.

    Vous vous souvenez de l'époque où les écologistes aimaient les arbres ? Maintenant, ils veulent tous les DÉTRUIRE pour arrêter le « changement climatique ».

    La déforestation a un impact plus important sur le changement climatique que l’utilisation des combustibles fossiles, selon une nouvelle étude.

    Comment les investisseurs verts paient les médias pour promouvoir le « changement climatique ».

    Sources include:

    SHTFPlan.com
    CO2Coalition.org
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-09-12-gates-funding-plan-strip-70m-acres-forests.html

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  13. Nous avons lu le livre Guerre de l’Énergie et c’est décoiffant !

    Nous avons lu le dernier livre de Fabien Bouglé, Guerre de l’Energie au cœur du nouveau conflit mondial qui sort cette semaine, le 13 septembre 2023, aux éditions du Rocher. Et le moins que l’on puisse dire est que sa lecture est décoiffante.


    Par Rédaction
    le 12 septembre 2023 à 17h39


    l’Europe doit importer 55% de ses besoins énergétiques pour assurer le confort de ses habitants ou développer son économie

    Dans son livre Guerre de l'Énergie au cœur du nouveau conflit mondial, Fabien Bouglé annonce ni plus ni moins que nous sommes entrés de plein pied dans la Troisième guerre mondiale qui est une guerre de l’énergie.

    D’après lui, celle-ci a éclaté au grand jour lors des sabotages, le 26 septembre 2022, des gazoducs Nord Stream 1 et 2 qui reliaient la Russie à l’Allemagne par la mer Baltique. Pour appuyer sa thèse, Fabien Bouglé explique comment les deux grands empires - la Russie et les Etats-Unis - se battent pour contrôler les ressources énergétiques mondiales tout en s’assurant par ce bais le contrôle économique et politique de l’Europe.

    Chiffres à l’appui il décrit comment l’Union Européenne s’est placée en situation de grande faiblesse en multipliant une politique de déploiement des énergies intermittentes avec les éoliennes et panneaux solaires l’obligeant à compenser l’absence de vent ou de soleil avec des centrales aux énergies fossiles et en particulier le gaz ou le charbon qui provenait avant-guerre de Russie.

    Résultat : alors que les USA et la Russie sont totalement indépendants énergétiquement n’ayant plus besoin d’importations de ressources énergétiques de pays extérieurs, l’Europe se trouve en grande situation de faiblesse avec une dépendance énergétique pour assurer sa consommation. C’est ainsi que l’Europe doit importer 55% de ses besoins énergétiques pour assurer le confort de ses habitants ou développer son économie. Tiraillée entre la Russie et les Etats-Unis, l’Europe est prise en otage par ses fournisseurs et en particulier ses fournisseurs de gaz qui peuvent de ce fait dicter, voire orienter la politique européenne.

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  14. Dans un premier temps l’Europe devait développer un partenariat puissant avec la Russie par la construction des gazoducs Nord Stream 1 et 2 reliant Russie et Allemagne par l’entremise de l’ancien Chancelier Allemand Gerhart Schröder. Ces deux gazoducs devaient approvisionner 25% de la consommation en gaz de l’UE et surtout permettre de s’affranchir du passage historique du gaz par l’Ukraine qui depuis la révolution orange de 2004 regardait vers l’Ouest avec une emprise de plus en plus forte des USA. Le pacte gazier Schröder/Poutine permettait alors à l’Allemagne un contrôle de la distribution du gaz russe en Europe tout en bénéficiant d’une voie directe de distribution moins soumise aux aléas politiques en Ukraine.

    C’est sans compter la volonté américaine qui est très hostile à la construction de Nord Stream 2 et qui souhaite casser la vassalisation européenne par la Russie pour mieux contrôler l’Europe énergétique. Son objectif : assurer sa mainmise politique et économique sur l’Union européenne surtout depuis que les USA ont la possibilité d’exporter ses surplus de gaz de schiste liquéfié dont les capacités de distribution se sont multipliées depuis 2016. Aux yeux des Américains, il y a lieu de libérer l’Europe du joug russe en exportant leur GNL (Gaz Naturel liquéfié).

    Pour appuyer son propos Fabien Bouglé cite une phrase importante de 2019 de Rick Perry alors secrétaire d’État à l’Énergie américain, après que celui-ci ait signé un contrat important de distribution du gaz Américain avec l’Union Européenne. À l’occasion de cette signature historique, il déclarait que, soixante-quinze ans après avoir libéré l’Europe de l’occupation par l’Allemagne nazie,

    « les États-Unis [offraient] à nouveau une forme de liberté au continent européen [...] et plutôt que sous la forme de jeunes soldats américains, [c’était] sous la forme de gaz naturel liquéfié »

    À ses yeux le gaz liquéfié américain par ses « molécules de la liberté » vient libérer l’Europe du gaz totalitaire des gazoducs russes. Le gaz n’est plus seulement une matière énergétique, c’est devenu une arme de guerre économique particulièrement puissante utilisée par Vladimir Poutine et les présidents américains successifs.

    Dans une démonstration basée sur des sources primaires officielles et notamment celles du Kremlin, de la Maison Blanche, de la commission et du parlement Européen, l’auteur dévoile progressivement l’enjeu crucial de la maitrise et du contrôle des ressources énergétiques à l’échelle mondiale. Il apporte une vision nouvelle sur le président Vladimir Poutine et dévoile des informations inédites en France en particulier ses travaux universitaires juridiques et économiques et son article essentiel de 1999 rédigé pour la revue de l’institut des Mines de Saint Pétersbourg dans lequel il décrit comment il convient de relancer l’économie russe par l’exploitation des ressources minières russes. Six mois après cette publication il sera nommé président de la Russie le 1er janvier 2000 et développera inlassablement sa feuille de route développée dans cette synthèse.

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  15. Le livre Guerre de l’Energie décortique les dessous des cartes internationales des combats sans merci que se livrent les grandes puissances de ce monde pour le contrôle et le développement des ressources énergétiques. Sa lecture donne une clef de compréhension nouvelle des évènements en cours sous nos yeux : guerre en Ukraine, crise de l’inflation, choc gazier, explosion des factures électriques, confrontation France/Allemagne et qui ont finalement de réelles conséquences sur la vie quotidienne des Français.

    En conclusion, il apporte une note d’optimisme pour l’Europe en proposant des pistes de réformes visant à renforcer l’indépendance énergétique de l’Union Européenne afin d’éviter que ne se déroule un nouvel affrontement au risque de fracturer l’Europe en deux blocs de pays : le premier piloté par la France et le second dirigé par l’Allemagne. Malheureusement l’histoire se répète. Ce livre est donc aussi un avertissement à l’attention des dirigeants français qui par naïveté ne semblent pas avoir pris la mesure de l’enjeu énergétique alors que les pères fondateurs de l’Union Européenne en avait fait, grâce à l’essor du nucléaire, un enjeu prioritaire.

    https://www.economiematin.fr/fabien-bougle-livre-guerre-energie-septembre-2023

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  16. Des courbes allongées partout


    13 septembre 2023
    par le Dr. méd. Gerd Reuther


    Quiconque veut créer une nouvelle époque doit donner l’impression que celle-ci découle nécessairement du passé ou que rien n’existait auparavant. De faux actes de donation suggèrent la fondation de villes et de villages, bien que partout ici la colonisation remonte à bien plus loin. Les familles nobles construisent des arbres généalogiques aussi loin que possible jusqu'à Adam et Ève. «Celui qui contrôle le présent contrôle le passé», tel était le raccourci de George Orwell.

    Cette falsification du passé est depuis longtemps ancrée dans la « science ». L'évolution présumée de la teneur en gaz carbonique dans l'atmosphère par l'arnaqueur scientifique Charles David Keeling (1928-2005), qui a été exposée à plusieurs reprises au TKP, en est un exemple actuel. Depuis 1956, les valeurs n'ont été mesurées qu'à un seul endroit non représentatif dans le monde (le volcan Mauna Kea à Hawaï). Cependant, des dates supposées depuis le début de l'ère chrétienne sont indiquées :

    Les dates supérieures à 1956 ans sont simplement inventées. Des mesures contradictoires du début du XIXe siècle ont été ignorées, comme l'a souligné Stephan Sander-Faes au TKP .

    Un cas parallèle similaire est celui de l'explosion démographique prétendument dramatique de l'humanité au cours des 500 dernières années, que l'Office fédéral de la statistique de Wiesbaden présente comme un fait supposé :

    De manière analogue à la constance inventée de la fausse courbe du gaz carbonique, la population mondiale serait au bord de l’extinction depuis 10 000 ans. Ce n'est que dans la Grèce antique que le nombre de personnes a quelque peu augmenté. Au point de référence de l’ère chrétienne, il n’y aurait pas eu 200 millions de personnes sur la planète entière ! Il n’y a pas de guerres ou d’autres catastrophes dans la courbe de population, pas plus que les fluctuations de température qui se sont produites dans la fausse courbe de gaz carbonique. Dans les deux cas, il n'y a pas de séparation graphique entre les zones de données déterminées et fictives.

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  17. Mais d’où devraient provenir les données sur la population mondiale remontant à plus de 500 ans ? Jusqu’à il y a environ 500 ans, il n’existait nulle part de statistiques démographiques à moitié crédibles. Les rapports des conquérants coloniaux des deux Amériques, de l'Afrique, de l'Inde et de l'Australie montrent déjà que des chiffres fiables manquent même aux XVe et XVIe siècles. En Europe également, seules des estimations vagues sont disponibles dans les régions rurales, même à une date ultérieure. Lorsque la République démocratique allemande a fermé ses portes en 1990, il s’est avéré qu’au lieu des 17 millions officiels, il ne restait plus que 15 millions d’habitants.

    L’affirmation représentée par la courbe selon laquelle le nombre d’un milliard d’habitants sur Terre n’aurait été dépassé qu’au 19ème siècle est peu plausible. C’est l’expression d’une perspective européenne coloniale qui ne permet pas aux autres continents « non civilisés » d’avoir un plus grand nombre d’habitants. On suppose que la croissance démographique n’aurait commencé qu’avec les bénédictions douteuses de la civilisation occidentale. Les preuves et les preuves selon lesquelles 90 % de la population ont « disparu » partout avec les exploiteurs européens en un siècle environ sont ignorées.

    Si l’on suppose qu’environ 100 millions de personnes vivaient en Europe à la fin du Moyen Âge, la courbe de population de tous les autres continents n’estime que 300 millions ! Aujourd’hui, le rapport entre la population européenne stagnante et celle du reste du monde est de 1:20. Étant donné que la Chine, l’Inde, le Moyen-Orient et l’Afrique connaissaient une prolifération de civilisations à la fin du Moyen Âge, il est plus réaliste de penser que le ratio était au moins comparable. Il y aurait alors eu plus de 2 milliards de personnes qui y vivraient à elles seules. La première carte moderne réalisée par Fra Mauro vers 1460 montre des châteaux et des palais sur tout le continent africain qui n'existent plus aujourd'hui et suggèrent une riche colonie. On suppose en fin de compte que l’origine de l’Homo sapiens se situe en Afrique de l’Est.

    À l’époque de son amiral Zheng He (1371-1433/5), la Chine était une puissance mondiale qui dominait toute la zone entourant l’océan Indien. Pourquoi aurait-il dû y avoir tellement moins de personnes vivant en Chine à cette époque, où tout était fait à la main, qu’aujourd’hui ? Les mêmes considérations peuvent être faites pour l’Inde et d’autres pays d’Asie du Sud. Même en Australie, qui était encore une terra incognita pour les Européens à la fin du Moyen Âge, beaucoup plus d'aborigènes auraient pu vivre. Avant les opérations d'abattis-brûlis, le pays était certainement plus peuplé, même dans l'arrière-pays, car plus fertile.

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  18. L'Allemagne adopte une loi controversée sur le chauffage « vert » qui coûterait à l'économie 1 000 milliards d'euros


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 12 SEPTEMBRE 2023 - 12H30
    Rédigé par Junge Freiheit via Remix News,


    Après six mois de débats acharnés, le gouvernement de gauche allemand a adopté la loi controversée sur le chauffage vert, la loi sur l’énergie du bâtiment (GEG). Selon des estimations élevées, cette loi coûtera à l’économie allemande plus de 1 000 milliards d’euros au cours des 20 prochaines années.

    Même si les hommes politiques appartenant au trio politique allemand ont applaudi l’entrée en vigueur de la loi sur le chauffage vendredi dernier, les conséquences politiques ne sont probablement pas encore pleinement réalisées.

    De nombreux Allemands – déjà aux prises avec l'inflation et un ralentissement de l'économie – ont rechigné à l'obligation d'installer de nouveaux systèmes de chauffage coûteux, la loi ayant été rejetée par la majorité de la population, selon un sondage. Le gouvernement est également accusé d'un processus législatif précipité et de l'absence d'auditions parlementaires, remettant en question le fondement démocratique de la loi dans son intégralité.

    La loi exige que les Allemands possédant des systèmes de chauffage plus anciens les remplacent dans un certain délai, bien que le projet de loi final adopté ait édulcoré certaines exigences et prévu quelques exceptions. Néanmoins, le coût final de la facture devrait encore être énorme, les estimations élevées le situant à 1 000 milliards d’euros et les estimations inférieures à 600 milliards d’euros.

    De nombreux Allemands ont toutes leurs économies dans leur maison, et pour de nombreuses personnes âgées, leur maison, souvent dotée de systèmes de chauffage plus anciens, a vu sa valeur diminuer à cause de la loi. Dans le même temps, dans les années à venir, ils seront obligés de procéder à des améliorations coûteuses en matière de chauffage – généralement sous la forme d’une pompe à chaleur et des coûts associés pour la faire fonctionner efficacement à l’intérieur d’un bâtiment – pour répondre aux nouvelles normes écologiques. Les experts préviennent également que les propriétaires seront incités à augmenter les loyers en réponse à la loi sur l'énergie du bâtiment.

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  19. Le problème est qu'environ les trois quarts des bâtiments anciens en Allemagne ont été construits avant l'entrée en vigueur des premières réglementations en matière d'isolation thermique en 1979. Beaucoup de ces bâtiments devront désormais être rendus économes en énergie, ce qui représente une charge financière énorme à une époque où L’Allemagne a également progressivement abandonné l’énergie nucléaire et le prix de l’énergie, notamment du pétrole et du gaz naturel, a grimpé en flèche.

    Les Démocrates Libres (FDP), généralement considérés comme un parti favorable aux entreprises, ont d'abord combattu leurs partenaires de coalition sur le projet de loi, mais le parti libéral a finalement contribué à l'adoption de la loi vendredi. Certains signes montrent déjà que le FDP paie le prix de sa décision : le dernier sondage YouGov estime le parti à seulement 5 pour cent, ce qui est le seuil pour entrer au Parlement allemand.

    "Il y a de la peur au sein de la population", a crié Alexander Dobrindt (CSU) au Parlement.

    Il a déclaré que c'était « le comble du manque de respect » de la part des citoyens que d'adopter cette loi et que la CSU s'efforcerait de l'abolir.

    L'Alternative pour l'Allemagne (AfD), dont les résultats dans les sondages ont grimpé en flèche à peu près au moment où le débat sur la chaleur faisait rage, a également déclaré qu'elle abolirait la loi si elle arrivait au pouvoir, affirmant qu'il s'agissait d'une taxe ardue pour les entreprises, les retraités et les citoyens allemands. ceux qui ont investi dans une maison ou un appartement.

    «La fraction de l’AfD rejette catégoriquement le coup de marteau de Habeck (…). Malgré de vives critiques, la loi n'a été ni reportée ni désamorcée», a déclaré Marc Bernhard, porte-parole parlementaire de l'AfD.

    «Le problème de la loi, cependant, est que le chauffage doit à nouveau être supprimé s'il ne répond pas aux prévisions de chauffage des communes exigées d'ici 2028. De cette manière, le gouvernement cache les conséquences dévastatrices pour des millions de personnes et cela transfère le risque de la transition thermique vers les citoyens.»

    Il a en outre souligné que les centrales nucléaires économiseraient deux fois plus de gaz carbonique si elles étaient autorisées à continuer de fonctionner.

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  20. Comme Remix News l'a rapporté l'année dernière, la proportion de personnes pauvres en Allemagne a atteint un nouveau sommet, selon l'Office fédéral de la statistique, les données mettant en évidence un changement radical dans l'économie allemande. Le rapport ne couvre également que les données jusqu’à fin 2021, avant l’augmentation spectaculaire des prix des produits alimentaires et de l’énergie en 2022.

    https://www.zerohedge.com/political/germany-passes-controversial-green-heating-law-estimated-cost-economy-eu1-trillion

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    Réponses
    1. Bon, 'imaginons' que vous ayez '150 milliards' (de $/£/etc) inscrits sur votre compte... que faites vous ?
      Vous achetez maisons, hélicoptères, avions, bateaux, etc et... femmes et enfants (!) pour 'assouvir' vos envies' !
      Et après ?
      Après, vous vous foutez du monde ! Vous êtes 'le roi' (le déchet, la merde, bref, etc).
      L'argent n'achète pas l'intelligence. A chacun son QI.
      Là, il se passe des choses... des choses absurdes, ignominieuses, qui seraient là pour vous rassasier.
      Les débordements.
      C'est là qu'interviennent d'autres milliardaires pour vous suggérer de 'nouvelles moutures' !

      "Il faut couper TOUS les arbres de la planète car ils sont pleins de carbone !" !!
      "Il faut tuer TOUTES les baleines (pour éviter qu'elles s'échouent sur les plages !), modifier des moustiques pour en faire des piqueurs de produits violents !, modifier le climat afin que les 8 milliards de personnes passent en famine ! Empêcher qui que ce soit de correspondre et de répandre leur savoir ! Taxer, taxer, taxer, imposer le plus possible les habitants pour qu'ils soient pauvres et couchent dans les rues ou sous les ponts !

      Ce sont là des exemples qui apparaissent continuellement chaque jours aux journaux.

      C'est à vous de penser, de réfléchir à votre bien-être et à celui de vos proches. La réalité dépend de VOUS !

      OUI VOUS avez le droit de n'être pas d'accord.

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  21. L'« urgence climatique » est un canular


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 12 SEPTEMBRE 2023 - 11h00
    Rédigé par Robert Williams via le Gatestone Institute,


    Plus de 1 600 scientifiques, dont deux lauréats du prix Nobel, ont signé une déclaration affirmant qu'« il n'y a pas d'urgence climatique ».

    Il est malheureusement peu probable que la déclaration retienne l’attention des grands médias, mais il est important que les gens le sachent : l’hystérie climatique de masse et la destruction de l’économie américaine au nom du changement climatique doivent cesser.

    "La science du climat devrait être moins politique, tandis que les politiques climatiques devraient être plus scientifiques", affirme la déclaration signée par les 1 609 scientifiques, parmi lesquels les lauréats du prix Nobel John F. Clauser des États-Unis et Ivar Giaever de Norvège/États-Unis.

    La déclaration ajoute :

    "Les scientifiques devraient ouvertement aborder les incertitudes et les exagérations dans leurs prévisions du réchauffement climatique, tandis que les politiciens devraient évaluer sans passion les coûts réels ainsi que les avantages imaginaires de leurs mesures politiques...

    « Les archives géologiques révèlent que le climat de la Terre a varié au cours de l'existence de la planète, avec des phases naturelles froides et chaudes. Le Petit Âge Glaciaire s'est terminé aussi récemment qu'en 1850. Il n'est donc pas surprenant que nous connaissions aujourd'hui une période de réchauffement. .

    "Le réchauffement est bien plus lent que prévu...

    "L'écart entre le monde réel et le monde modélisé nous indique que nous sommes loin de comprendre le changement climatique.

    "La politique climatique repose sur des modèles inadéquats

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  22. Les modèles climatiques présentent de nombreuses lacunes et ne sont pas du tout plausibles en tant qu’outils politiques. Non seulement ils exagèrent l’effet des gaz à effet de serre, mais ils ignorent également que l’enrichissement de l’atmosphère en gaz carbonique est bénéfique…

    "Le réchauffement climatique n'a pas augmenté les catastrophes naturelles

    Il n’existe aucune preuve statistique que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses et autres catastrophes naturelles similaires, ou les rend plus fréquents. Cependant, il existe de nombreuses preuves que les mesures d’atténuation des émissions de gaz carbonique sont aussi dommageables que coûteuses.

    "La politique climatique doit respecter les réalités scientifiques et économiques

    Il n’y a pas d’urgence climatique. Il n’y a donc aucune raison de paniquer ou de s’alarmer. Nous nous opposons fermement à la politique néfaste et irréaliste de zéro gaz carbonique net proposée pour 2050. Optez pour l’adaptation plutôt que l’atténuation ; l'adaptation fonctionne quelles qu'en soient les causes."

    Le professeur Steven Koonin, ancien sous-secrétaire aux sciences du département américain de l'Énergie sous l'administration Obama, actuel professeur à l'Université de New York et membre de la Hoover Institution, est l'auteur du best-seller de 2021, Unsettled: What Climate Science Tells Us, What It Doesn'. t et pourquoi c'est important. Il y affirme que ce que disent les rapports scientifiques largement illisibles (pour les profanes) et complexes sur le changement climatique est complètement déformé au moment où leur contenu est filtré à travers une longue série de rapports de synthèse des recherches par les médias et les politiciens.

    « Il existe de nombreuses occasions de se tromper – à la fois accidentellement et volontairement – à mesure que l'information passe filtre après filtre pour être présentée à différents publics... Le public n'est pas le seul à être mal informé de ce que dit la science sur le climat. ..."

    Koonin ajoute :

    "Les communiqués de presse et les résumés du gouvernement et de l'ONU ne reflètent pas fidèlement les rapports eux-mêmes... D'éminents experts du climat (y compris les auteurs des rapports eux-mêmes) sont embarrassés par certaines représentations médiatiques de la science."

    Dans une récente interview, Koonin a noté que les réactions de ses collègues à son livre avaient été qu'il ne devrait pas dire au public ou aux politiciens la vérité sur le changement climatique.

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  23. "On m'a appris qu'il fallait dire toute la vérité [en tant que scientifique]. Et qu'il fallait laisser les politiciens porter des jugements de valeur et faire des compromis en termes de coût-efficacité, etc.", a déclaré Koonin. Il a également souligné l'immoralité de demander aux pays en développement de réduire leurs émissions alors que tant de personnes n'ont même pas accès à l'électricité, et l'immoralité d'effrayer les jeunes générations : 84 % des adolescents américains estimaient, en janvier 2022, que si le climat Le changement n'est pas abordé, "il sera trop tard pour les générations futures, ce qui rendra une partie de la planète invivable".

    Bien sûr, il serait utile de rechercher ce qui peut être fait pour atténuer les problèmes provoqués par l'homme, tels que le « trou dans la couche d'ozone », qui est en train de se refermer, mais le changement climatique n'est pas une urgence apocalyptique et il faut y remédier. sans apporter de dévastation aux centaines de millions de personnes déjà plongées dans l’extrême pauvreté.

    L’administration Biden ne semble cependant pas se préoccuper de la pauvreté généralisée et de la famine massive qui seront causées par l’indisponibilité d’une énergie bon marché et fiable dans les pays sous-développés, ni de l’inflation provoquée par la flambée des prix qui écrase les Américains « à peine capables de se permettre un repas par jour".

    Il s’agit de problèmes créés par l’homme, créés par l’importation de pétrole coûteux (près de 100 dollars le baril encore une fois) – souvent plus sale – en provenance d’adversaires des États-Unis, comme la Russie et le Venezuela, au lieu de l’extraire beaucoup moins cher chez eux. L’administration Biden ne semble pas non plus s’inquiéter du fait que tant que la Chine et l’Inde continueront à brûler du charbon, le Parti communiste chinois autorisera deux nouvelles centrales au charbon par semaine, annulant facilement tous les avantages que les États-Unis pourraient apporter, et dépassant apparemment « tous » pays développés réunis » en émissions de carbone.

    L’administration Biden ne semble pas non plus préoccupée par le fait qu’elle tue la faune sauvage, la vie marine et l’industrie de la pêche en installant des éoliennes offshore le long de la côte atlantique, ni par le fait que rendre obligatoire les véhicules électriques mettrait au chômage la quasi-totalité de l’industrie de l’entretien automobile (les véhicules électriques ne le font pas). nécessitent un entretien de routine), ou que les batteries au lithium non seulement explosent mais coûtent des milliers de dollars à remplacer.

    L’administration souhaite même que les équipements militaires, comme les chars, soient électriques, comme s’il existait des bornes de recharge au milieu de déserts étrangers en cas de conflit. De plus, selon NBC News, les volcans, peu impressionnés par les décrets, « nient les humains en termes d'émissions de gaz carbonique ».

    L’administration Biden ne prend même pas la peine d’agir sur la base de ses propres conclusions sur le climat : en mars, la Maison Blanche a publié un rapport sur l’impact du changement climatique sur l’économie américaine. "Ses conclusions contredisent toute affirmation d'une crise climatique en cours ou d'une catastrophe imminente", a écrit Koonin en juillet.

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  24. « Les auteurs du rapport doivent être félicités pour avoir honnêtement transmis des messages probablement indésirables, même s'ils n'en ont pas fait montre. Le reste de l'administration Biden et ses alliés militants pour le climat devraient modérer leur rhétorique apocalyptique et annuler la crise climatique en conséquence. Exagérer l’ampleur, l’urgence et la certitude de la menace climatique encourage des politiques inconsidéréesNATO Baltic War Games Simulate Article 5 Collective Defense War With Russia

    TUE SEP 12, AT 12:00 AM qui pourraient être plus perturbatrices et plus coûteuses que n’importe quel changement climatique lui-même. »

    Mais les faits n’empêcheront pas l’administration Biden d’aller de l’avant avec ses politiques radicales : « Je pense que personne ne peut plus nier l’impact de la crise climatique », a déclaré Biden, commentant l’ouragan Idalia, aux journalistes à la Maison Blanche le 30 août. "Il suffit de regarder autour de soi. Des inondations historiques. Je veux dire, des inondations historiques. Des sécheresses plus intenses, des chaleurs extrêmes, des incendies de forêt importants ont causé des dégâts importants."

    Peu importe qu’une grande partie du changement climatique soit apparemment causée par les éruptions solaires, contre lesquelles nous ne pouvons rien faire et qui, contrairement aux industries commerciales, n’offrent pas de subventions ; ou que les incendies de forêt majeurs sont, ironiquement, exacerbés par les « environnementalistes » qui refusent de laisser les broussailles des poudrières être nettoyées, de peur que les créatures qui s'y trouvent ne soient dérangées autrement que par un incendie de forêt.

    L'expert climatique Bjørn Lomborg suggère que les milliards de dollars nécessaires à la lutte contre le changement climatique pourraient être mieux utilisés :

    "Ce n'est pas un argument pour ne rien faire mais simplement pour être plus intelligent. Pour garantir que nous puissions abandonner les combustibles fossiles, nous devons accélérer la recherche et le développement pour innover et réduire le prix de l'énergie verte. Nous devons investir dans toutes les options, y compris la fusion. , fission, stockage, biocarburant et autres sources.

    "Ce n'est que lorsque l'énergie verte sera moins chère que les combustibles fossiles que le monde pourra et voudra faire la transition. Sinon, les prix de l'énergie actuels ne sont qu'un avant-goût des choses à venir."

    https://www.zerohedge.com/markets/climate-emergency-hoax

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  25. Les citadins ont provoqué une explosion des populations rurales pendant la pandémie, laissant une traînée de ressentiment et des infrastructures mises à rude épreuve


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 12 SEPTEMBRE 2023 - 04:40


    L’afflux de transplantations de la vie urbaine vers les zones rurales pendant la pandémie a été bien documenté, car l’attrait d’un coût de la vie moins élevé et de grands espaces par rapport à la perspective de surmonter les confinements avec un timbre-poste de 5 000 $/mois n’était pas une évidence pour beaucoup.

    Ainsi, pour la première fois depuis trois décennies, la population rurale américaine a dépassé celle des zones urbaines, sous l'effet du travail à distance, de l'abordabilité et des changements de mode de vie. Les Californiens férus de technologie ont mené cette grande migration. Poussés par un coût de la vie exorbitant et un gouvernement d’État toujours intrusif (et assoiffé d’impôts), ils fuient le Golden State pour des endroits comme le Montana. Cependant, ce mouvement suscite des réactions négatives de la part des résidents de longue date, avec des autocollants pour pare-chocs disant : « Ne faites pas de Californie, mon Montana », soulignant le ressentiment croissant.

    Le résultat ? L'Amérique rurale est en plein essor - et pourtant, des problèmes sous la surface commencent à émerger - notamment parmi les habitants de longue date en raison des prix de l'immobilier désormais prohibitifs et de la pression croissante sur les infrastructures à travers le pays.

    Cette tendance suscite du ressentiment alors que les prix de l’immobilier dans les 10 principaux comtés ruraux qui ont vu la plus forte augmentation de population ont augmenté de plus de 40 % au cours des trois dernières années. Les écoles sont surchargées et ce changement a même un impact sur les prix des terres agricoles. -Bloomberg

    Les prix des terres agricoles atteignent également des niveaux record, sous l’effet de la hausse des prix des matières premières et de la couverture contre l’inflation.

    "Il y a beaucoup de ressentiment", a déclaré Maggie Doherty, écrivain et chroniqueuse vivant dans le comté de Flathead, dans le Montana. "Il y a des autocollants pour pare-chocs qui disent 'Le Montana est plein' ou 'Ne fais pas de Californie, mon Montana'", a-t-elle déclaré à Bloomberg.

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  26. Les Californiens férus de technologie sont à la tête de cette grande migration. Poussés par un coût de la vie exorbitant et un gouvernement d’État toujours intrusif (et assoiffé d’impôts), ils fuient le Golden State pour des endroits comme le Montana. Cependant, ce mouvement suscite des réactions négatives de la part des résidents de longue date, avec des autocollants pour pare-chocs disant : « Ne faites pas de Californie, mon Montana », soulignant le ressentiment croissant.

    Dans le comté de Jackson, en Géorgie, trouver des logements abordables est désormais presque impossible – les prix ayant augmenté de 50 % au premier semestre de cette année par rapport à trois ans plus tôt, selon Zillow. Grâce à la proximité de Jackson avec Atlanta, le comté a attiré un flot de travailleurs hybrides.

    - voir liste sur site -

    "Il y a eu beaucoup de batailles politiques sur la construction et l'endroit où construire", a déclaré le chef démocrate du comté de Jackson, Pete Fuller. "Il existe des groupes organisés qui ne veulent pas que des logements abordables soient construits."

    Les loyers augmentent également. Au cours des deux dernières années, selon Zillow, les comtés de Harnett et de Moore en Caroline du Nord, le comté de Gallatin dans le Montana et le comté d'Iron dans l'Utah ont tous vu leurs loyers augmenter entre 13 % et 24 %, rapporte Bloomberg.

    "Le loyer explose complètement", a déclaré Wendy Cerne, une résidente du Tennessee. "Beaucoup de nouvelles personnes se sont installées dans la région et j'en ai fait l'expérience."

    Comme indiqué ci-dessus, le prix des terres agricoles n’a jamais été aussi élevé.

    "Tout ce qui contribue à élargir et à approfondir ce que j'appellerais les opportunités de revenus non agricoles est bon pour les producteurs, ce qui constitue un bon soutien pour les prix des terres", a déclaré Tom Halverson, PDG de la banque rurale CoBank ACB.

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  27. "Les États du Sud et de l'Est comptent parmi les plus grands bénéficiaires de ce mouvement de population", a-t-il déclaré. "Ce sont également les parties du complexe de production agricole de ce pays qui dépendent le plus des revenus non agricoles. Il existe donc là une dynamique de corrélation intéressante."

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    Pas de retraite abordable en Californie

    Bob Ficken, un retraité californien, résume le dilemme : « Prendre sa retraite en Californie est presque impossible. L'État finit par prendre entre 25 % et 30 % de tout ce que vous gagnez. Cette situation, associée à la détérioration des paysages urbains dans les zones urbaines, alimente la ruée vers l’Amérique rurale.

    Lignes de faille politique

    Les changements démographiques exacerbent également les divisions politiques existantes. À mesure que les nouveaux arrivants apportent leurs préférences politiques, les États du champ de bataille comme la Géorgie et la Caroline du Nord deviennent encore plus imprévisibles, ajoutant une couche de complexité au calcul de l’élection présidentielle de 2024.

    La migration a le potentiel de modifier les habitudes de vote, à la fois dans les endroits où les gens partent et dans ceux où ils se dirigent, ajoutant une couche supplémentaire d’imprévisibilité dans les États du champ de bataille comme la Géorgie et la Caroline du Nord lors de l’élection présidentielle de 2024. -Bloomberg

    Enfin, les infrastructures vieillissantes sont mises à l’épreuve comme jamais auparavant.

    "Vous voyez d'énormes problèmes d'infrastructure ainsi qu'avec les routes, les routes qui n'étaient pas censées accueillir le trafic de camions sont souvent en panne", a déclaré Fuller, ajoutant "Il y a eu deux nouvelles écoles secondaires construites ici au cours des deux dernières années juste pour accueillir la croissance. »

    https://www.zerohedge.com/political/city-slickers-caused-rural-populations-explode-during-pandemic-fueling-resent-and

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  28. Quelles sources d’électricité alimentent le monde ?


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 12 SEPTEMBRE 2023 - 04h00


    En 2022, 29 165,2 térawattheures (TWh) d’électricité ont été produits dans le monde, soit une augmentation de 2,3 % par rapport à l’année précédente.

    Dans cette visualisation, Chris Dickert et Sam Parker de Visual Capitalist examinent les données de la dernière Revue statistique de l'énergie mondiale et demandent ce qui a alimenté le monde en 2022.

    - voir cadre sur site -

    Le charbon est toujours roi

    Le charbon reste toujours en tête en matière d'électricité, représentant 35,4 % de la production mondiale d'électricité en 2022, suivi du gaz naturel à 22,7 % et de l'hydroélectricité à 14,9 %.

    - voir graph sur site -

    Source : Institut de l'énergie

    Plus des trois quarts de la production mondiale d’électricité à base de charbon sont consommés dans seulement trois pays. La Chine (1,5 milliard d'habitants) est le premier utilisateur de charbon, représentant 53,3 % de la demande mondiale de charbon, suivie par l'Inde (1,5 milliard d'habitants) avec 13,6 % et les États-Unis avec 8,9 %.

    La combustion du charbon – pour l’électricité, ainsi que pour la métallurgie et la production de ciment – est la plus grande source d’émissions de gaz carbonique au monde. Néanmoins, sa consommation pour la production d’électricité a augmenté de 91,2 % depuis 1997, année de la signature du premier accord mondial sur le climat à Kyoto, au Japon.

    Les énergies renouvelables en hausse

    Cependant, même si les énergies non renouvelables profitent de leur temps au soleil, leurs jours pourraient être comptés.

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  29. En 2022, les énergies renouvelables, telles que l’éolien, le solaire et la géothermie, représentaient 14,4 % de la production totale d’électricité avec un taux de croissance annuel extraordinaire de 14,7 %, tiré par les gains importants du solaire et de l’éolien. En revanche, les énergies non renouvelables n’ont enregistré qu’un taux anémique de 0,4 %.

    Les auteurs de la Revue statistique n’incluent pas l’hydroélectricité dans leurs calculs sur les énergies renouvelables, même si de nombreux autres, y compris l’Agence internationale de l’énergie, la considèrent comme une « technologie d’énergie renouvelable bien établie ».

    L’hydroélectricité (les barrages) étant passée dans la colonne des énergies renouvelables, elles représentaient ensemble plus de 29,3 % de toute l’électricité produite en 2022, avec un taux de croissance annuel de 7,4 %.

    L’horrible année nucléaire française

    L’énergie nucléaire est un autre élément important du rapport de cette année.

    Outre les perturbations survenues à la centrale nucléaire de Zaporizhzhia en Ukraine, les arrêts du parc nucléaire français pour lutter contre la corrosion détectée dans les systèmes d'injection de sécurité de quatre réacteurs ont entraîné une baisse de 4 % de l'utilisation mondiale, d'une année sur l'autre.

    La quantité d’électricité produite par l’énergie nucléaire dans ce pays a chuté de 22 %, à 294,7 TWh en 2022. La France est ainsi passée du statut de premier exportateur mondial d’électricité à celui d’importateur net.

    Alimenter l’avenir

    Transformer l’énergie mécanique en énergie électrique est un processus relativement simple. Les centrales électriques modernes sont certes des merveilles d’ingénierie, mais elles fonctionnent toujours sur le même principe que le tout premier générateur inventé par Michael Faraday en 1831.

    Mais c’est dans la manière d’obtenir l’énergie mécanique que les choses se compliquent : le charbon a alimenté la première révolution industrielle, mais a 'réchauffé' la planète ce faisant ; le vent est libre et propre, mais peu fiable ; et la fission nucléaire génère de manière fiable de l'électricité sans émissions, mais crée également des déchets radioactifs.

    Alors que des records de température sont établis partout dans le monde en été, la résolution de ces tensions n’est pas seulement académique et le rapport de l’année prochaine pourrait être un test crucial de l’engagement du monde en faveur d’un avenir énergétique propre.

    https://www.zerohedge.com/energy/what-elecricity-sources-power-world

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  30. 2 500 ans de changement climatique sauvage dans le sud de l’Europe : il faisait plus chaud à l’époque romaine qu’aujourd’hui


    Par Jo Nova
    September 13th, 2023


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    Rien dans l’ère moderne n’est inhabituel

    Merci à David Whitehouse de NetZeroWatch qui a trouvé un article remarquable : les grottes pyrénéennes révèlent un passé plus chaud

    La nouvelle étude sur les stalagmites dans les grottes des Pyrénées montre que le changement climatique moderne n'est rien comparé aux fluctuations normales des 2 500 dernières années, où il faisait parfois beaucoup plus chaud, plus froid et plus volatile. Les changements rapides entre les températures étaient courants.

    Les chercheurs ont examiné 8 stalagmites dans 4 grottes et les niveaux des lacs locaux, mais ils ont également comparé leurs résultats avec d'autres approximations et reconstructions de température européennes et le schéma est cohérent dans toute la région. La période chaude romaine était beaucoup plus chaude qu’aujourd’hui, et ce pendant des centaines d’années également, même si les centrales au charbon étaient rares. Apparemment, il y avait une raison pour laquelle les Romains portaient des toges.

    L’âge des ténèbres était très froid, en particulier entre 520 et 550 après JC – ce qui peut être lié à ce que les chercheurs appellent une éruption volcanique « cataclysmique » qui a eu lieu en Islande en 536 après JC. Elle fut suivie par deux autres éruptions volcaniques massives en 540 et 547 après JC. Cet effet est apparemment visible dans les cernes des arbres européens qui ont montré « un refroidissement sans précédent, durable et spatialement synchronisé ».

    En effet, les chercheurs affirment que les volcans et la variabilité solaire semblent être les principaux facteurs déterminants du climat dans le sud-ouest de l’Europe.

    Finalement, nous voyons un long enregistrement continu depuis l’époque de la Grèce antique jusqu’en 2010. La grande question est de savoir pourquoi ce type d’études n’est pas réalisé partout et tout le temps. Ce n’est pas comme si nous n’avions pas beaucoup de grottes contenant des stalagmites à analyser. Si le climat était réellement « la plus grande menace pour la vie sur Terre », pourquoi ces ensembles de données extraordinaires ne figurent-ils pas en tête de la liste de souhaits de toutes les institutions qui prétendent se soucier du climat ?

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  31. Il y aura plus à dire sur cet article remarquable :

    Pyrénées, Grotte, Médiéval, Petit Âge Glaciaire, Époque Romaine. Température.
    Les isotopes de l'oxygène sont utilisés pour estimer les températures.

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    Certains passages de l’article expliquent comment ces résultats correspondent à d’autres études européennes :

    L'événement froid à ca. 540 après JC (le plus froid des enregistrements de spéléothèmes) peut être lié à une éruption volcanique cataclysmique qui a eu lieu en Islande en 536 après JC et a craché des cendres à travers l'hémisphère nord, ainsi qu'à l'effet de deux autres éruptions massives en 540 et 547 après JC (Sigl et coll., 2015). Un refroidissement sans précédent, durable et spatialement synchronisé a été observé dans les enregistrements des cernes des arbres européens associés à ces grandes éruptions volcaniques, correspondant à la période LALIA (Büntgen et al., 2016).

    Certains passages de l'article expliquent comment ces résultats se comparent à de nombreuses autres études européennes et à des moments difficiles de l'histoire.

    5.2.2. Variabilité des températures dans l’ouest de l’Europe et l’ouest de la Méditerranée au cours des 2500 dernières années
    Il existe très peu d’enregistrements de spéléothèmes à haute résolution en Europe couvrant l’EC (Comas-Bru et al., 2020). Nous comparons le composite de spéléothèmes des Pyrénées centrales avec neuf enregistrements de spéléothèmes sélectionnés en Europe et en Afrique du Nord qui couvrent avec une chronologie robuste et une résolution décennale les 2 500 dernières années (Fig. 5). L'un de ces enregistrements est interprété comme une variabilité NAO (Baker et al., 2015), trois sont des reconstructions de paléo-précipitations (Ait Brahim et al., 2019 ; Cisneros et al., 2021 ; Thatcher et al., 2022) et l'autre cinq reflètent des variations de paléotempérature (Affolter et al., 2019 ; Fohlmeister et al., 2012 ; Mangini et al., 2005 ; Martín-Chivelet et al., 2011 ; Sundqvist et al., 2010). Compte tenu de ces différences d’interprétation et du fait que ces enregistrements proviennent de régions différentes avec des climats différents (de la Suède au Maroc), on peut s’attendre à des profils différents de variabilité paléoclimatique. Néanmoins, certaines caractéristiques sont comparables et peuvent être discutées pour obtenir une image super-régionale.

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  32. A. La période romaine en Europe-Ouest Méditerranée. En Europe, et particulièrement dans la région méditerranéenne, la PR est bien connue comme une période chaude (par exemple McCormick et al., 2012). La température moyenne de la surface de la mer dans la Méditerranée occidentale était de 2 °C supérieure à la température moyenne des derniers siècles (Margaritelli et al., 2020). Notre composite, avec des valeurs élevées de valeurs normalisées de  18O pendant toute la durée du RP, et en particulier de 0 à 200 après JC, est en accord avec le scénario de températures chaudes (Fig. 5i). Les données de spéléothèmes des îles Baléares (Cisneros et al., 2021) indiquent une transition de conditions humides à sèches le long du RP ibérique (Fig. 5c). La période sèche à la fin du RP dans les enregistrements des Baléares semble en accord avec un nouveau enregistrement de spéléothèmes du nord de l'Italie (Hu et al., 2022), suggérant que la tendance à l'assèchement observée était une possible contribution à l'effondrement de la période romaine. Empire en 476 après JC. Le signalement du Maroc (Ait Brahim et al., 2019), au contraire, marque une tendance humide à la fin du RP (Fig. 5d). De même, une augmentation de l'humidité a été observée dans le sud de la péninsule ibérique au cours de la période ibéro-romaine (Jiménez-Moreno et al., 2013 ; Martín-Puertas et al., 2009), reflétant ainsi une grande hétérogénéité spatiale des précipitations au cours de la RP lorsque l'on compare les enregistrements. du nord et du sud du bassin méditerranéen.

    REFERENCES

    Bartolomé, M., Moreno, A., Sancho, C., Cacho, I., Stoll, H., Haghipour, N., Belmonte, Á., Spötl, C., Hellstrom, J., Edwards, R. L., and Cheng, H.: Reconstructing land temperature changes of the past 2,500 years using speleothems from Pyrenean caves (NE Spain), Clim. Past Discuss. [preprint], https://doi.org/10.5194/cp-2023-54, in review, 2023.

    https://joannenova.com.au/2023/09/2500-years-of-wild-climate-change-in-southern-europe-it-was-warmer-in-roman-times-than-now/

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  33. Superprofits des autoroutes : vers une taxe en 2024… et une hausse des péages ?

    La taxation des superprofits des autoroutes est au cœur des débats de la Rentrée 2023. Le gouvernement envisage de mettre en place une taxe sur ces surprofits dès 2024. Une idée qui ne plaît guère aux principaux concernés, sans surprise. Mais est-ce que les automobilistes devront en payer le prix ?


    Par Paolo Garoscio
    le 13 septembre 2023 à 7h00


    Lors de la privatisation des autoroutes, le taux de rentabilité est estimé à 7,67 %.

    Une taxe sur les superprofits des autoroutes confirmée

    Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, l’a déclaré, le 12 septembre 2023 sur LCI : la taxe sera bien mise en place. « Je vous confirme que nous mettrons en place une taxation pour éviter les surprofits qui ont été faits par les sociétés d'autoroutes. » Cette nouvelle taxe pourrait voir le jour avec le Budget 2024. Une décision qui intervient après que plusieurs rapports aient mis en lumière la rentabilité exceptionnelle de ces sociétés, bien au-delà des prévisions initiales.

    « Nous avons bien vu que les profits des sociétés d'autoroutes ont été bien plus élevés que prévu. Nous avons étudié deux voies: la première était de raccourcir la durée de concession. Le Conseil d’État nous a dit que ce n'était pas possible », explique le ministre. La seconde option était donc la taxe. En 2020, un rapport du Sénat avait déjà mis en avant leur forte rentabilité, préconisant un rééquilibrage.

    Les concessionnaires prêt à aller en justice

    Vinci Autoroutes s'est dit surpris des propos de Bruno Le Maire concernant les "surprofits". L’Autorité de régulation des transports, qui contrôle la rentabilité des sociétés concessionnaires d'autoroutes, a pourtant établi le contraire de ce que prétend le ministre.

    Face à cette annonce, les concessionnaires ne comptent pas rester silencieux. Philippe Nourry, président des concessions autoroutières d'Eiffage en France, s'est dit prêt à attaquer l'État en justice en cas de surtaxe.

    Les automobilistes vont-ils payer cette taxe avec leur péage ?

    Si cette taxe est mise en place, elle pourrait avoir des répercussions sur le tarif des péages. En effet, les sociétés pourraient être tentées de répercuter cette taxe sur les utilisateurs en augmentant les tarifs. Des tarifs qui ne cessent, par ailleurs, d’augmenter. En février 2023, le prix des péages des autoroutes avait grimpé de 4,75 % en moyenne en France.

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  34. Et ce serait évidemment une très mauvaise nouvelle pour les ménages. Une augmentation des tarifs des péages pourrait avoir des conséquences sur le pouvoir d'achat des Français. Un nouveau coup dur au portefeuille alors que le coût de la vie explose. Selon 60 Millions de Consommateurs, l’inflation alimentaire a atteint plus de 20 % en deux ans...

    La taxe sur les superprofits des autoroutes aura-t-elle lieu ?

    Malgré les annonces de Bruno Le Maire, rien n’est gagné. La mise en place de cette taxe sur les superprofits des autoroutes pourrait rencontrer des obstacles juridiques. En effet, une telle taxe ne peut exister « que si toutes les autres sociétés concessionnaires sont également taxées : les barrages hydroélectriques sont des concessions, l'aéroport de Paris est une concession », avait précisé Bruno Le Maire en juin 2023.

    De fait, il ne serait pas étonnant que pour protéger les autres concessions, le gouvernement abandonne l’idée. Pour le plus grand plaisir des concessionnaires autoroutiers… et malgré la situation économique de la France.

    https://www.economiematin.fr/superprofits-autoroutes-taxe-augmentation-peages-transport-2024

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  35. Analyse du 11 septembre : de la guerre contre l’Afghanistan parrainée par Al-Qaïda de Reagan au 11 septembre de George W. Bush


    MICHEL CHOSSUDOVSKI
    11 SEPTEMBRE 2023


    Points forts
    Oussama ben Laden, le croque-mitaine américain, a été recruté par la CIA en 1979, au tout début du jihad parrainé par les États-Unis. Il avait 22 ans et avait été formé dans un camp d'entraînement de guérilla parrainé par la CIA.

    Les architectes de l’opération secrète de soutien au « fondamentalisme islamique » lancée sous la présidence Reagan ont joué un rôle clé dans le lancement de la « guerre mondiale contre le terrorisme » au lendemain du 11 septembre.

    Le président Ronald Reagan a rencontré les dirigeants du Jihad islamique à la Maison Blanche en 1985.

    Sous l’administration Reagan, la politique étrangère américaine a évolué vers un soutien et un soutien inconditionnels aux « combattants de la liberté » islamiques. Dans le monde d’aujourd’hui, les « combattants de la liberté » sont qualifiés de « terroristes islamiques ».

    En langue pachtoune, le mot « Taliban » signifie « Étudiants », ou diplômés des madrasas (lieux d'apprentissage ou écoles coraniques) mises en place par les missions wahhabites d'Arabie saoudite, avec le soutien de la CIA.

    La guerre soviéto-afghane faisait partie d’un programme secret de la CIA lancé sous l’administration Carter, qui consistait à soutenir et financer activement les brigades islamiques, connues plus tard sous le nom d’Al-Qaïda.

    Introduction

    Le régime militaire pakistanais a joué dès le début, à la fin des années 1970, un rôle clé dans les opérations militaires et de renseignement parrainées par les États-Unis en Afghanistan. Dans l’après-guerre froide, ce rôle central du Pakistan dans les opérations de renseignement américaines a été étendu à la région plus large de l’Asie centrale et du Moyen-Orient. Dès le début de la guerre soviétique en Afghanistan en 1979, le Pakistan, sous régime militaire, a activement soutenu les brigades islamiques. En liaison étroite avec la CIA, le renseignement militaire pakistanais, l’Inter-Services Intelligence (ISI), est devenu une organisation puissante, un gouvernement parallèle, exerçant un pouvoir et une influence considérables.

    La guerre secrète américaine en Afghanistan, utilisant le Pakistan comme rampe de lancement, a été lancée sous l’administration Carter, avant « l’invasion » soviétique.

    Confirmé par Zbigniew Brzezinski, conseiller à la sécurité nationale du président Carter :

    « Selon la version officielle de l’histoire, l’aide de la CIA aux moudjahidines a commencé dans les années 1980, c’est-à-dire après l’invasion de l’Afghanistan par l’armée soviétique, le 24 décembre 1979. Mais la réalité, secrètement gardée jusqu’à présent, est tout autre. En effet, c'est le 3 juillet 1979 que le président Carter signait la première directive d'aide secrète aux opposants au régime pro-soviétique de Kaboul.

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  36. Et le jour même, j’ai écrit une note au président dans laquelle je lui expliquais qu’à mon avis cette aide allait provoquer une intervention militaire soviétique.» (Ancien conseiller à la Sécurité nationale Zbigniew Brzezinski, Entretien avec Le Nouvel Observateur, 15-21 janvier 1998)

    Dans les mémoires publiées du secrétaire à la Défense Robert Gates, qui occupait le poste de directeur adjoint de la CIA au plus fort de la guerre soviétique en Afghanistan, les renseignements américains ont été directement impliqués dès le début, avant l’invasion soviétique, dans l’acheminement de l’aide aux brigades islamiques.

    Avec le soutien de la CIA et l’apport massif d’aide militaire américaine, l’ISI pakistanais s’est développé en une « structure parallèle exerçant un pouvoir énorme sur tous les aspects du gouvernement ». (Dipankar Banerjee, « Connexion possible de l'ISI avec l'industrie pharmaceutique », India Abroad, 2 décembre 1994). L'ISI disposait d'un effectif composé d'officiers militaires et du renseignement, de bureaucrates, d'agents infiltrés et d'informateurs, estimé à 150 000 personnes. (Idem)

    Entre-temps, les opérations de la CIA avaient également renforcé le régime militaire pakistanais dirigé par le général Zia Ul Haq :

    « Les relations entre la CIA et l’ISI étaient devenues de plus en plus chaleureuses après l’éviction de Bhutto par le [général] Zia et l’avènement du régime militaire. … Pendant la majeure partie de la guerre en Afghanistan, le Pakistan s'est montré plus agressivement antisoviétique que les États-Unis. Peu après l’invasion de l’Afghanistan par l’armée soviétique en 1980, Zia [ul Haq] envoya son chef de l’ISI déstabiliser les États soviétiques d’Asie centrale. La CIA n’a accepté ce plan qu’en octobre 1984. » (Idem)

    L’ISI, opérant pratiquement comme une filiale de la CIA, a joué un rôle central en canalisant le soutien aux groupes paramilitaires islamiques en Afghanistan, puis dans les républiques musulmanes de l’ex-Union soviétique.

    Agissant pour le compte de la CIA, l'ISI a également participé au recrutement et à la formation des moudjahidines.

    Au cours de la période de dix ans allant de 1982 à 1992, quelque 35 000 musulmans provenant de 43 pays islamiques ont été recrutés pour combattre dans le jihad afghan. Les madrassas au Pakistan, financées par des organisations caritatives saoudiennes, ont également été créées avec le soutien des États-Unis dans le but « d'inculquer les valeurs islamiques ». « Les camps sont devenus des universités virtuelles pour le futur radicalisme islamique » (Ahmed Rashid, Les Taliban). La formation à la guérilla sous les auspices de la CIA-ISI comprenait des assassinats ciblés et des attaques à la voiture piégée.

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  37. Des « cargaisons d’armes » ont été envoyées par l’armée pakistanaise et l’ISI vers les camps rebelles de la province de la frontière du Nord-Ouest, près de la frontière afghane. Le gouverneur de la province est le lieutenant général Fazle Haq, qui [selon Alfred McCoy] . a autorisé « des centaines de raffineries d’héroïne à s’installer dans sa province ». À partir de 1982 environ, les camions de l’armée pakistanaise transportant des armes de la CIA en provenance de Karachi récupéraient souvent de l’héroïne dans la province de Haq et revenaient chargés d’héroïne. Ils sont protégés des fouilles policières par les papiers de l'ISI. » (1982-1989 : Les États-Unis ferment les yeux sur la BCCI et l'implication du gouvernement pakistanais dans le commerce de l'héroïne. Voir également McCoy, 2003, p. 477).

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    Première rangée, de gauche à droite : le général de division Hamid Gul, directeur général de l'armée pakistanaise.
    Direction du renseignement interservices (ISI), directeur de la Central Intelligence Agency (CIA), Willian Webster ; le directeur adjoint des opérations Clair George ; un colonel de l'ISI ; et un haut responsable de la CIA, Milt Bearden, dans un camp d'entraînement de moudjahidin dans la province de la frontière du Nord-Ouest du Pakistan en 1987. (Source RAWA)

    Ousama Ben Laden
    Oussama ben Laden, le croque-mitaine américain, a été recruté par la CIA en 1979, au tout début du jihad parrainé par les États-Unis. Il avait 22 ans et avait été formé dans un camp d'entraînement de guérilla parrainé par la CIA.

    Sous l'administration Reagan, Oussama, qui appartenait à la riche famille saoudienne Ben Laden, fut chargé de collecter des fonds pour les brigades islamiques.

    De nombreuses associations caritatives et fondations ont été créées. L'opération a été coordonnée par les services de renseignement saoudiens, dirigés par le prince Turki al-Faisal, en étroite liaison avec la CIA.

    L'argent provenant des différentes œuvres caritatives a été utilisé pour financer le recrutement de volontaires moudjahidines. Al-Qaïda, « la base » en arabe, était une banque de données sur les volontaires enrôlés pour combattre dans le jihad afghan.

    Cette base de données était initialement détenue par Oussama ben Laden.

    Le soutien de l’administration Reagan au « fondamentalisme islamique ». Le NSDD 166
    L’ISI du Pakistan a été utilisée comme « intermédiaire ». Le soutien secret de la CIA aux Moudjahidines en Afghanistan s’opérait indirectement par l’intermédiaire de l’ISI pakistanais, c’est-à-dire la CIA n’a pas canalisé son soutien directement vers les moudjahidines.

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  38. Autrement dit, pour que ces opérations secrètes soient « réussies », Washington s’est bien gardé de révéler l’objectif ultime du « jihad », qui consistait à détruire l’Union soviétique.

    En décembre 1984, la charia (jurisprudence islamique) a été établie au Pakistan à la suite d'un référendum truqué lancé par le président Muhammad Zia-ul-Haq. À peine quelques mois plus tard, en mars 1985, le président Ronald Reagan a publié la directive de décision de sécurité nationale 166 (NSDD 166), qui autorisait « une aide militaire secrète renforcée aux moudjahidines » ainsi qu’un soutien à l’endoctrinement religieux.

    L’imposition de la charia au Pakistan et la promotion de « l’islam radical » étaient une politique américaine délibérée servant les intérêts géopolitiques américains en Asie du Sud, en Asie centrale et au Moyen-Orient.

    De nombreuses « organisations fondamentalistes islamiques » actuelles au Moyen-Orient et en Asie centrale étaient directement ou indirectement le produit du soutien et du financement secrets des États-Unis, souvent canalisés par l’intermédiaire de fondations d’Arabie Saoudite et des États du Golfe. Des missions de la secte wahhabite de l'islam conservateur en Arabie Saoudite ont été chargées de diriger les madrassas parrainées par la CIA dans le nord du Pakistan.

    Dans le cadre du NSDD 166, une série d’opérations secrètes CIA-ISI ont été lancées.

    Les États-Unis ont fourni des armes aux brigades islamiques par l’intermédiaire de l’ISI. Les responsables de la CIA et de l'ISI se réuniraient au siège de l'ISI à Rawalpindi pour coordonner le soutien américain aux moudjahidines.

    En vertu de la NSDD 166, l’achat d’armes américaines aux insurgés islamiques est passé de 10 000 tonnes d’armes et de munitions en 1983 à 65 000 tonnes par an en 1987.

    « En plus des armes, une formation, un équipement militaire complet, notamment des cartes satellite militaires et du matériel de communication de pointe » (University Wire, 7 mai 2002).

    Avec William Casey comme directeur de la CIA, NSDD 166 a été décrite comme la plus grande opération secrète de l’histoire des États-Unis :

    Le programme de soutien fourni par les États-Unis comportait trois éléments essentiels : l’organisation et la logistique, la technologie militaire et le soutien idéologique pour soutenir et encourager la résistance afghane….

    Les experts américains en contre-insurrection ont travaillé en étroite collaboration avec l’Inter-Services Intelligence (ISI) du Pakistan pour organiser des groupes de moudjahidines et planifier des opérations à l’intérieur de l’Afghanistan.

    … Mais la contribution la plus importante des États-Unis a été de… faire venir des hommes et du matériel du monde arabe et d’ailleurs. Les hommes les plus endurcis et idéologiquement dévoués étaient recherchés sur la base de la logique selon laquelle ils seraient les meilleurs combattants.

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  39. Des publicités, financées grâce aux fonds de la CIA, ont été placées dans les journaux et bulletins d'information du monde entier, offrant des incitations et des motivations pour rejoindre le Jihad. (Pervez Hoodbhoy, L'Afghanistan et la genèse du Jihad mondial, Peace Research, 1er mai 2005)

    Endoctrinement religieux sous NSDD 166

    En vertu de la NSDD 166, l’aide américaine aux brigades islamiques acheminée via le Pakistan ne se limitait pas à une véritable aide militaire. Washington a également soutenu et financé par l’Agence américaine pour le développement international (USAID) le processus d’endoctrinement religieux, en grande partie pour garantir la disparition des institutions laïques :

    … les États-Unis ont dépensé des millions de dollars pour fournir aux écoliers afghans des manuels remplis d’images violentes et d’enseignements islamiques militants, dans le cadre de tentatives secrètes visant à stimuler la résistance à l’occupation soviétique.

    Les manuels, remplis de discussions sur le jihad et présentant des dessins d’armes à feu, de balles, de soldats et de mines, constituent depuis lors le programme de base du système scolaire afghan. Même les talibans ont utilisé les livres produits aux États-Unis.

    La Maison Blanche défend le contenu religieux, affirmant que les principes islamiques imprègnent la culture afghane et que les livres « sont pleinement conformes à la loi et à la politique américaine ».

    Les experts juridiques se demandent cependant si ces livres violent une interdiction constitutionnelle d’utiliser l’argent des contribuables pour promouvoir la religion.

    … Les responsables de l'AID ont déclaré lors d'entretiens qu'ils avaient laissé les documents islamiques intacts parce qu'ils craignaient que les éducateurs afghans rejettent les livres dépourvus d'une forte dose de pensée musulmane.

    L'agence a supprimé son logo et toute mention du gouvernement américain des textes religieux, a déclaré la porte-parole de l'AID, Kathryn Stratos.

    « L’AID n’a pas pour politique de soutenir l’enseignement religieux », a déclaré Stratos.

    "Mais nous avons poursuivi ce projet parce que l'objectif premier... est d'éduquer les enfants, ce qui est essentiellement une activité laïque."

    … Publiés dans les langues afghanes dominantes du dari et du pachtoune, les manuels ont été élaborés au début des années 1980 grâce à une subvention de l'AID à l'Université du Nebraska-Omaha et à son Centre d'études sur l'Afghanistan.

    L’agence a dépensé 51 millions de dollars pour les programmes éducatifs de l’université en Afghanistan de 1984 à 1994. » (Washington Post, 23 mars 2002, italiques ajoutés)

    Le rôle des néoconservateurs

    Il y a une continuité. Les architectes de l’opération secrète de soutien au « fondamentalisme islamique » lancée sous la présidence Reagan ont joué un rôle clé dans le lancement de la « Guerre mondiale contre le terrorisme » (GWOT) au lendemain du 11 septembre.

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  40. Plusieurs néoconservateurs de l’administration Bush Junior étaient des hauts fonctionnaires sous la présidence Reagan.

    Richard Armitage a été secrétaire d’État adjoint lors du premier mandat de George W. Bush (2001-2004). Il a joué un rôle central dans les négociations avec le Pakistan après le 11 septembre, qui ont mené à l’invasion de l’Afghanistan en octobre 2001.

    Sous l'ère Reagan, il a occupé le poste de secrétaire adjoint à la Défense pour la politique de sécurité internationale. À ce titre, il a joué un rôle clé dans la mise en œuvre de la NSDD 163 tout en assurant la liaison avec l'appareil militaire et de renseignement pakistanais.

    Pendant ce temps, Paul Wolfowitz était au Département d'État à la tête d'une équipe de politique étrangère composée, entre autres, de Lewis Libby, Francis Fukuyama et Zalmay Khalilzad.

    Le groupe de Wolfowitz a également contribué à jeter les bases conceptuelles du soutien secret américain aux partis et organisations islamiques au Pakistan et en Afghanistan.

    Le secrétaire à la Défense, Robert Gates, qui a servi dans l’administration Obama, a également participé à la préparation des opérations secrètes de la CIA. Il a été nommé directeur adjoint du renseignement par Ronald Reagan en 1982, puis directeur adjoint de la CIA en 1986, poste qu'il a occupé jusqu'en 1989.

    Gates a joué un rôle clé dans la formulation de la NSDD 163, qui établit un cadre cohérent pour promouvoir le fondamentalisme islamique et canaliser un soutien secret aux brigades islamiques. Il a également été impliqué dans le scandale Iran Contra.

    L’opération Iran Contra
    Richard Gates, Colin Powell et Richard Armitage, entre autres, ont également participé à l’opération Iran-Contra.

    Armitage était en étroite liaison avec le colonel Oliver North. Son adjoint et chef de la lutte antiterroriste Noel Koch faisait partie de l'équipe mise en place par Oliver North.

    Il est important de noter que l’opération Iran-Contra était également liée au processus de canalisation d’un soutien secret aux brigades islamiques en Afghanistan. Le projet Iran Contra répondait à plusieurs objectifs de politique étrangère connexes :

    1) L’achat d’armes à l’Iran, alimentant ainsi la guerre Irak-Iran,

    2) Soutien aux Contras nicaraguayens,

    3) Soutien aux brigades islamiques en Afghanistan, via l’ISI pakistanais.

    Suite à la livraison des missiles antichar TOW à l'Iran, le produit de ces ventes a été déposé sur des comptes bancaires numérotés et l'argent a été utilisé pour financer les Contras nicaraguayens. et les moudjahidin :

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  41. « Le Washington Post a rapporté que les bénéfices des ventes d’armes à l’Iran étaient déposés sur un compte géré par la CIA sur lequel les États-Unis et l’Arabie Saoudite avaient chacun placé 250 millions de dollars. Cet argent a été versé non seulement aux contras d’Amérique centrale, mais aussi aux rebelles combattant les troupes soviétiques en Afghanistan.» (US News & World Report, 15 décembre 1986).

    Bien que le lieutenant-général Colin Powell n’ait pas été directement impliqué dans les négociations sur le transfert d’armes, qui avaient été confiées à Oliver North, il faisait partie « d’au moins cinq hommes au sein du Pentagone qui savaient que des armes étaient transférées à la CIA ». (The Record, 29 décembre 1986).

    À cet égard, Powell a directement joué un rôle déterminant en donnant le « feu vert » à des fonctionnaires de niveau inférieur, en violation flagrante des procédures du Congrès. Selon le New York Times, Colin Powell a pris la décision (au niveau des achats militaires) d'autoriser la livraison d'armes à l'Iran :

    « À la hâte, l’un des hommes les plus proches du secrétaire à la Défense Weinberger, le major-général Colin Powell, a contourné les procédures écrites du « système de points focaux » et a ordonné à l’Agence de logistique de la défense [responsable des achats] de remettre le premier des 2 008 missiles TOW. à la CIA, qui a servi de relais pour la livraison à l’Iran » (New York Times, 16 février 1987)

    Le secrétaire à la Défense, Robert Gates, a également été impliqué dans l’affaire Iran-Contra.

    Le trafic de drogue du Croissant d’Or

    L’histoire du trafic de drogue en Asie centrale est intimement liée aux opérations secrètes de la CIA. Avant la guerre soviéto-afghane, la production d’opium en Afghanistan et au Pakistan était dirigée vers de petits marchés régionaux. Il n’y avait pas de production locale d’héroïne. (Alfred McCoy, Drug Fallout : la complicité de la CIA pendant quarante ans dans le commerce des stupéfiants. The Progressive, 1er août 1997).

    L’étude d’Alfred McCoy confirme que deux ans après l’assaut de l’opération de la CIA en Afghanistan, « les zones frontalières entre le Pakistan et l’Afghanistan sont devenues le premier producteur mondial d’héroïne ». (Ibid) Divers groupes et organisations paramilitaires islamiques ont été créés. Les revenus du trafic de drogue afghan, protégés par la CIA, ont servi à financer les différentes insurrections :

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  42. « Sous la protection de la CIA et du Pakistan, l’armée pakistanaise et la résistance afghane ont ouvert des laboratoires d’héroïne à la frontière afghane et pakistanaise. Selon le Washington Post de mai 1990, parmi les principaux fabricants d’héroïne se trouvait Gulbuddin Hekmatyar, un dirigeant afghan qui a reçu environ la moitié des armes secrètes expédiées par les États-Unis au Pakistan. Bien qu’il y ait eu des plaintes concernant la brutalité et le trafic de drogue d’Hekmatyar dans les rangs de la résistance afghane de l’époque, la CIA a maintenu une alliance non critique et l’a soutenu sans réserve ni retenue.

    Une fois que l’héroïne a quitté ces laboratoires situés à la frontière nord-ouest du Pakistan, la mafia sicilienne a importé la drogue aux États-Unis, où elle a rapidement conquis soixante pour cent du marché américain de l’héroïne. Autrement dit, soixante pour cent de l’approvisionnement en héroïne des États-Unis provenait indirectement d’une opération de la CIA. Au cours de la décennie de cette opération, dans les années 1980, l’important contingent de la DEA à Islamabad n’a procédé à aucune arrestation ni participé à aucune saisie, laissant de facto aux syndicats les mains libres pour exporter de l’héroïne. En revanche, un seul détective norvégien, à la suite d’un trafic d’héroïne entre Oslo et Karachi, a mené une enquête qui a mis derrière les barreaux un puissant banquier pakistanais connu comme le fils de substitution du président Zia. La DEA à Islamabad n’a trouvé personne, n’a rien fait, est restée à l’écart.

    D'anciens agents de la CIA ont admis que cette opération avait conduit à une expansion du commerce de l'héroïne entre le Pakistan et l'Afghanistan. En 1995, l'ancien directeur de cette opération afghane par la CIA, M. Charles Cogan, a admis avoir sacrifié la guerre contre la drogue pour combattre la guerre froide. « Notre mission principale était de faire le plus de dégâts possible aux Soviétiques. Nous n’avions pas vraiment les ressources ni le temps à consacrer à une enquête sur le trafic de drogue », a-t-il déclaré à la télévision australienne. «Je ne pense pas que nous ayons besoin de nous excuser pour cela. Chaque situation a ses conséquences. Il y a eu des retombées en termes de drogue, certes, mais l'objectif principal a été atteint. Les Soviétiques ont quitté l’Afghanistan. (Alfred McCoy, Témoignage devant le séminaire spécial axé sur les allégations liant les opérations secrètes de la CIA et le trafic de drogue, organisé le 13 février 1997 par le représentant John Conyers, doyen du Congressional Black Caucus)

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  43. Le commerce lucratif des stupéfiants dans l’après-guerre froide

    Le trafic de drogue s'est poursuivi sans relâche pendant les années d'après-guerre froide. L'Afghanistan est devenu le principal fournisseur d'héroïne des marchés occidentaux, voire presque le seul : plus de 90 % de l'héroïne vendue dans le monde provient d'Afghanistan. Cette contrebande lucrative est liée à la politique pakistanaise et à la militarisation de l’État pakistanais. Cela a également une incidence directe sur la structure de l’économie pakistanaise et sur ses institutions bancaires et financières, qui depuis le début du trafic de drogue du Croissant d’Or ont été impliquées dans de vastes opérations de blanchiment d’argent, qui sont protégées par l’armée et les services de renseignement pakistanais :

    Selon le rapport sur la stratégie internationale de contrôle des stupéfiants du Département d'État américain (2006) (cité dans le Daily Times du 2 mars 2006),

    « Les réseaux criminels pakistanais jouent un rôle central dans le transbordement de stupéfiants et de marchandises de contrebande depuis l'Afghanistan vers les marchés internationaux. Le Pakistan est un important pays de transit de drogue. Les produits du trafic de stupéfiants et du financement des activités terroristes sont souvent blanchis au moyen du système alternatif appelé hawala. … .

    « À plusieurs reprises, un réseau d’organisations caritatives privées non réglementées est également apparu comme une source importante de fonds illicites pour les réseaux terroristes internationaux », souligne le rapport. … »

    Le système hawala et les associations caritatives ne sont que la pointe de l’iceberg. Selon le rapport du Département d'État,

    « La Banque d'État du Pakistan a gelé [pendant plus de vingt ans] un maigre 10,5 millions de dollars « appartenant à 12 entités et individus liés à Oussama ben Laden, à Al-Qaïda ou aux talibans ».

    Ce que le rapport oublie de mentionner, c’est que la majeure partie des revenus du trafic de drogue afghan a été blanchie auprès de véritables institutions bancaires occidentales.

    Les talibans répriment le trafic de drogue
    Un revirement majeur et inattendu dans le trafic de drogue parrainé par la CIA s’est produit en 2000.

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  44. Le gouvernement taliban, arrivé au pouvoir en 1996 avec le soutien de Washington, a mis en œuvre en 2000-2001 un vaste programme d’éradication de l’opium avec le soutien des Nations Unies, qui a permis de saper un commerce multimilliardaire. (Pour plus de détails, voir Michel Chossudovsky, America’s War on Terrorism, Global Research, 2005).

    En 2001, avant l’invasion américaine, la production d’opium dans le cadre du programme d’éradication des talibans avait diminué de plus de 90 pour cent.


    Au lendemain de l'invasion américaine, l'administration Bush a ordonné que la récolte d'opium ne soit pas détruite, sous le prétexte fabriqué que cela affaiblirait le gouvernement militaire de Pervez Musharraf.

    « Plusieurs sources au Capitole ont noté que la CIA s’oppose à la destruction des réserves d’opium afghanes car cela pourrait déstabiliser le gouvernement pakistanais du général Pervez Musharraf. Selon ces sources, les renseignements pakistanais auraient menacé de renverser le président Musharraf si les récoltes étaient détruites. …

    « S’ils [la CIA] s’opposent effectivement à la destruction du commerce de l’opium afghan, cela ne servira qu’à perpétuer la croyance selon laquelle la CIA est une agence dépourvue de morale ; suivre leur propre programme plutôt que celui de notre gouvernement constitutionnellement élu. » (NewsMax.com, 28 mars 2002)

    Depuis l’invasion américaine, la production d’opium a été multipliée par 33, passant de 185 tonnes en 2001 sous les talibans à 6 100 tonnes en 2006. Les superficies cultivées ont été multipliées par 21 depuis l’invasion américaine de 2001. (Michel Chossudovsky, Global Research, 6 janvier 2006)

    En 2007, l’Afghanistan fournissait environ 93 % de l’offre mondiale d’héroïne. Les recettes (en termes de valeur au détail) du trafic de drogue en Afghanistan sont estimées (2006) à plus de 190 milliards de dollars par an, ce qui représente une fraction significative du commerce mondial de stupéfiants. (Ibid.)

    Les produits de cette contrebande lucrative de plusieurs milliards de dollars sont déposés dans les banques occidentales. La quasi-totalité des revenus vont aux intérêts des entreprises et aux syndicats criminels en dehors de l’Afghanistan.

    Le blanchiment de l’argent de la drogue constitue une activité de plusieurs milliards de dollars, qui continue d’être protégée par la CIA et l’ISI. À la suite de l’invasion américaine de l’Afghanistan en 2001.

    Rétrospectivement, l’un des principaux objectifs de l’invasion de l’Afghanistan en 2001 était de rétablir le trafic de drogue.

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  45. La militarisation du Pakistan sert de puissants intérêts politiques, financiers et criminels qui sous-tendent le trafic de drogue. La politique étrangère américaine tend à soutenir ces intérêts puissants. La CIA continue de protéger le trafic de stupéfiants du Croissant d’Or. Malgré son engagement à éradiquer le trafic de drogue, la production d'opium sous le régime du président afghan Hamid Karzai a grimpé en flèche.

    L'assassinat du général Zia Ul-Haq

    En août 1988, le président Zia a été tué dans un accident d’avion avec l’ambassadeur américain au Pakistan Arnold Raphel et plusieurs des plus hauts généraux pakistanais. Les circonstances de l’accident aérien restent entourées de mystère.

    Après la mort de Zia, des élections parlementaires ont eu lieu et Benazir Bhutto a prêté serment en tant que Premier ministre en décembre 1988. Elle a ensuite été démise de ses fonctions par le successeur de Zia, le président Ghulam Ishaq Khan, pour cause de corruption présumée. En 1993, elle a été réélue et a de nouveau été démise de ses fonctions en 1996 sur ordre du président Farooq Leghari.

    La continuité a été maintenue tout au long. Sous les gouvernements élus de courte durée de Nawaz Sharif et Benazir Bhutto après l’arrivée de Zia, le rôle central de l’establishment du renseignement militaire et ses liens avec Washington n’ont jamais été remis en question.

    Benazir Bhutto et Nawaz Sharif ont tous deux servi les intérêts de la politique étrangère américaine. Lorsqu'ils étaient au pouvoir, les deux dirigeants démocratiquement élus ont néanmoins soutenu la continuité du régime militaire. En tant que Premier ministre de 1993 à 1996, Benazir Bhutto « a préconisé une politique de conciliation envers les islamistes, en particulier les talibans en Afghanistan » qui étaient soutenus par l’ISI pakistanais (voir F. William Engdahl, Global Research, janvier 2008).

    Le successeur de Benazir Bhutto au poste de Premier ministre, Mia Muhammad Nawaz Sharif de la Ligue musulmane du Pakistan (PML), a été destitué en 1999 lors d'un coup d'État soutenu par les États-Unis et dirigé par le général Pervez Musharraf.

    Le coup d’État de 1999 a été fomenté par le général Pervez Musharaf, avec le soutien du chef d’état-major général, le lieutenant-général Mahmoud Ahmad, qui a ensuite été nommé au poste clé de chef du renseignement militaire (ISI).

    Dès le début de l'administration Bush en 2001, le général Ahmad a noué des liens étroits non seulement avec son homologue américain, le directeur de la CIA, George Tenet, mais aussi avec des membres clés du gouvernement américain, notamment le secrétaire d'État Colin Powell, le secrétaire d'État adjoint Richard Armitage, sans parler de Porter Goss, qui était à l’époque président du comité de la Chambre sur le renseignement.

    Ironiquement, Mahmoud Ahmad est également connu, selon un rapport du FBI de septembre 2001, pour son rôle présumé dans le soutien et le financement des terroristes présumés du 11 septembre ainsi que pour ses liens avec Al-Qaïda et les talibans. (Voir Michel Chossudovsky, La « guerre américaine contre le terrorisme », Global Research, Montréal, 2005)

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  46. Conclusion

    Ces différentes organisations « terroristes » ont été créées grâce au soutien de la CIA. Ils ne sont pas le produit de la religion. Le projet d’établir « un califat panislamique » fait partie d’une opération de renseignement soigneusement conçue.

    Le soutien de la CIA à Al-Qaïda n’a en aucun cas été réduit à la fin de la guerre froide. En fait, tout le contraire. Le modèle antérieur de soutien secret a pris une ampleur mondiale et est devenu de plus en plus sophistiqué.

    La « guerre mondiale contre le terrorisme » est une construction complexe et complexe du renseignement.

    Le soutien secret apporté aux « groupes extrémistes islamiques » fait partie d’un agenda impérial. Il prétend affaiblir et finalement détruire les institutions gouvernementales laïques et civiles, tout en contribuant également à diffamer l’Islam. C’est un instrument de colonisation qui cherche à saper les États-nations souverains et à transformer les pays en territoires.

    Mais pour que l’opération de renseignement réussisse, les différentes organisations islamiques créées et entraînées par la CIA doivent rester ignorantes du rôle qu’elles jouent sur l’échiquier géopolitique, au nom de Washington.

    Au fil des années, ces organisations ont en effet acquis un certain degré d’autonomie et d’indépendance par rapport à leurs sponsors américano-pakistanais. Cette apparence d’« indépendance » est cependant cruciale ; cela fait partie intégrante des opérations secrètes de renseignement. Selon l’ancien agent de la CIA Milton Beardman, les moudjahidines ignoraient invariablement le rôle qu’ils jouaient au nom de Washington. Selon les mots de Ben Laden (cités par Beardman) : « ni moi, ni mes frères n'avons vu de preuve de l'aide américaine ». (Week-end dimanche (NPR) ; Eric Weiner, Ted Clark ; 16 août 1998).

    « Motivés par le nationalisme et la ferveur religieuse, les guerriers islamiques ignoraient qu’ils combattaient l’armée soviétique au nom de l’Oncle Sam. Même s’il y avait des contacts aux niveaux supérieurs de la hiérarchie du renseignement, les dirigeants rebelles islamiques sur le terrain n’avaient aucun contact avec Washington ou la CIA.» (Michel Chossudovsky, La guerre américaine contre le terrorisme, chapitre 2).

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  47. La fabrication du « terrorisme » – y compris le soutien secret aux terroristes – est nécessaire pour légitimer la « guerre contre le terrorisme ».

    Les différents groupes fondamentalistes et paramilitaires impliqués dans les activités « terroristes » parrainées par les États-Unis sont des « atouts du renseignement ». À la suite du 11 septembre, leur fonction désignée en tant qu’« agents du renseignement » est de jouer leur rôle d’« ennemis crédibles de l’Amérique ».

    Sous l’administration Bush, la CIA a continué à soutenir (par l’intermédiaire de l’ISI du Pakistan) plusieurs groupes islamiques basés au Pakistan. L’ISI est connu pour soutenir le Jamaat a-Islami, également présent en Asie du Sud-Est, au Lashkar-e-Tayyaba, au Jehad a-Kashmiri, au Hizbul-Mujahidin et au Jaish-e-Mohammed.

    Les groupes islamiques créés par la CIA visent également à rallier le soutien de l’opinion publique dans les pays musulmans. L’objectif sous-jacent est de créer des divisions au sein des sociétés nationales à travers le Moyen-Orient et l’Asie centrale, tout en déclenchant des conflits sectaires au sein de l’Islam, dans le but ultime de freiner le développement d’une résistance de masse laïque à large assise, qui remettrait en question les ambitions impériales américaines.

    Cette fonction d’ennemi extérieur est également un élément essentiel de la propagande de guerre nécessaire pour galvaniser l’opinion publique occidentale. Sans ennemi, aucune guerre ne peut avoir lieu. La politique étrangère américaine doit fabriquer un ennemi pour justifier ses diverses interventions militaires au Moyen-Orient et en Asie centrale. Il faut un ennemi pour justifier un agenda militaire, qui consiste à « s'en prendre à Al-Qaïda ». La fabrication et la diffamation de l’ennemi sont nécessaires pour justifier une action militaire.

    L’existence d’un ennemi extérieur entretient l’illusion que la « guerre contre le terrorisme » est réelle. Il justifie et présente l’intervention militaire comme une opération humanitaire fondée sur le droit de légitime défense. Il entretient l’illusion d’un « conflit de civilisations ». L’objectif sous-jacent est en fin de compte de dissimuler les véritables objectifs économiques et stratégiques derrière la guerre plus large au Moyen-Orient et en Asie centrale.

    Historiquement, le Pakistan a joué un rôle central dans la « guerre contre le terrorisme ». Le Pakistan constitue du point de vue de Washington une plaque tournante géopolitique. Il borde l'Afghanistan et l'Iran. Elle a joué un rôle crucial dans la conduite des opérations militaires américaines et alliées en Afghanistan ainsi que dans le contexte des plans de guerre du Pentagone contre l’Iran.

    https://michelchossudovsky.substack.com/p/911-analysis-reagan-al-qaeda-bush-911?utm_source=post-email-title&publication_id=1910355&post_id=136928494&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=9atnc&utm_medium=email

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  48. Glyphosate : et maintenant ?


    12 Septembre 2023
    André Heitz*


    Le 6 juillet 2023, l'Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (EFSA) a annoncé les résultats de ses travaux sur la demande de renouvellement de l'approbation du glyphosate. L'évaluation est essentiellement positive. Mais la matière active d'herbicides dont le plus emblématique est le Roundup de Bayer-Monsanto est l'objet de vives polémiques. Que peut-il se passer maintenant ? Consultons la boule de cristal.

    Petit rappel historique

    Le glyphosate a été réautorisé par un règlement d'exécution de la Commission Européenne du 12 décembre 2017 pour une durée de cinq ans au terme d'une procédure plutôt honteuse.

    Ce genre de règlement doit être approuvé par les États membres par une double majorité – au moins 55 % des États membres (soit 15 sur 27), représentant au moins 65 % de la population totale de l'UE, les abstentions étant comptabilisées en pratique avec les votes contre. La décision revient à la Commission après un vote initial suivi d'un vote en appel qui ne produisent pas de résultat conclusif.

    En novembre 2017, à la surprise générale, M. Christian Schmidt, ministre fédéral de l'Agriculture allemand, avait fait basculer la majorité en faveur de la proposition de règlement de la Commission sur fond de querelles personnelles au sein d'un gouvernement Merkel qui s'était auparavant abstenu. Il avait ainsi évité à la Commission du très anti-glyphosate Jean-Claude Juncker de « porter le chapeau » pour une décision qu'elle répugnait à prendre.

    C'est que, précédemment, confrontée à une situation de pat, la Commission s'était livrée à une sorte d'enchères descendantes à partir de la durée de 15 ans habituelle pour les renouvellements d'autorisations ne posant pas de problèmes particuliers.

    Relevons que dans le cadre de ces tractations, le 25 mai 2016, Mme Ségolène Royal, à l'époque ministre de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer, chargée des relations internationales sur le climat (et... finaliste présidentielle), s'est vu offrir – a accepté qu'on lui offre – un bouquet de fleurs au nom de 40 « organisations non gouvernementales » en reconnaissance de son « combat vs le glyphosate au niveau européen »...

    Une nouvelle procédure de renouvellement d'approbation

    L'encre de la signature au bas du règlement sur le renouvellement de l'autorisation du glyphosate était à peine sèche que les entreprises concernées de l'agrochimie – de la protection des plantes mais aussi, oui, oui, de la protection de l'environnement et d'autres intérêts essentiels – ont constitué un Glyphosate Renewal Group et initié une nouvelle procédure de renouvellement.

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  49. Cela a donné lieu à un dossier qui est sans doute le plus volumineux et le plus exhaustif de l'histoire. Ce dossier a été confié, non pas à un, mais à quatre États rapporteurs – la France, la Hongrie, les Pays-Bas et la Suède – pour un examen préalable. Leur rapport a été examiné par l'EFSA, c'est-à-dire par les experts de l'ensemble des États membres.

    Le dossier a aussi été soumis à une consultation publique qui a produit une masse de contributions telle que l'EFSA a décidé de prendre une année supplémentaire pour produire son rapport d'évaluation. L'approbation du glyphosate avait donc été prolongée pour un an, jusqu'au 15 décembre 2023.

    Un rapport favorable, mais...

    Le 6 juillet 2023, l'EFSA a publié un communiqué de presse dont le titre se lit : « Glyphosate : pas de domaine de préoccupation critique; identification de lacunes dans les données », après une correction que l'auteur du présent article a sans doute provoquée.

    Le rapport d'évaluation a été publié le 26 juillet 2023. On peut aussi lire une fiche d'information sur le processus d'évaluation et, si on est courageux, les quelque 6.000 pages de dossier (sans les annexes) mises en ligne.

    Mais qui, diable, traiterait avec du glyphosate avec une rampe en position aussi haute ? (Source)

    Selon le communiqué, « Une préoccupation est définie comme critique lorsqu'elle affecte toutes les utilisations proposées de la substance active en cours d'évaluation (par exemple utilisation avant les semis, utilisation après la récolte, etc.), empêchant ainsi d’office son autorisation ou le renouvellement de son autorisation. »

    L'absence de telles préoccupations devrait – normalement – ouvrir la voie au renouvellement de l'approbation.

    Au titre des lacunes évoquées ci-dessus, trois questions seraient « non résolues » : l'évaluation de l'une des impuretés du glyphosate, l'évaluation du risque alimentaire pour les consommateurs, et l'évaluation des risques pour les plantes aquatiques.

    Il y a aussi des « questions en suspens » s'agissant de : la toxicité de l'un des composants (mais il n'y a pas d’indication de toxicité aiguë ou de génotoxicité) ; la biodiversité (mais, « De façon générale, les informations disponibles ne permettent pas de tirer des conclusions définitives sur cet aspect de l'évaluation des risques et les gestionnaires des risques pourraient envisager des mesures d'atténuation ») ; et l'écotoxicologie (l'approche prudente qui a été adoptée « a mis en évidence un risque élevé à long terme pour les mammifères dans 12 des 23 utilisations proposées du glyphosate »).

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  50. Un processus à la dérive ?

    L'impression qui se dégage de ce résumé est qu'on a vraiment « cherché la petite bête ». Cela donne lieu à deux lectures : d'une part, la chasse aux objections fatales à la ré-homologation qui raviraient certains gouvernements et surtout quelques fonds de commerce associatifs ant-pesticides n'a pas été fructueuse ; d'autre part, l'évaluation des produits de protection des plantes semble dériver vers l'ubuesque.

    La deuxième lecture constitue une réelle source d'inquiétude : les procédures européennes sont en effet essentiellement fondées sur l'identification de dangers, et non des risques (susceptibles d'être éliminés ou atténués) et ignorent largement les bénéfices.

    Selon un principe général, « absence de preuve ne vaut pas preuve de l'absence », et l'innocuité – comme l'inexistance des anges – est donc indémontrable.

    Mais où va-t-on si, malgré les énormes rapports annuels de l'EFSA sur les résidus de pesticides dans les denrées alimentaires, on conclut que l'évaluation du risque alimentaire pour les consommateurs serait une question non résolue... du fait de « données incomplètes sur la quantité de résidus de glyphosate dans les cultures de rotation telles que les carottes, la laitue et le blé » ? Sachant par ailleurs qu'il est établi que les résidus de glyphosate dans les aliments sont inférieurs à la dose journalière admissible d'au moins trois ordres de grandeur (merci les « pisseurs de glyphosate »).

    Également selon la fiche d'information, « L'évaluation des risques pour les plantes aquatiques n'a pas pu être finalisée en raison du manque de données sur leur exposition au glyphosate par dérive de pulvérisation ». Vraiment ? Après presque cinquante ans d'utilisation du glyphosate ?

    La Commission européenne a promptement réagi... et un document confidentiel a fuité...

    La Commission européenne a promptement réagi en soumettant un document présentant les conclusions de l'évaluation de l'EFSA et des commentaires au SCOPAFF (Comité permanent des végétaux, des animaux, des denrées alimentaires et de l'alimentation animale) les 11 et 12 juillet 2023.

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  51. Ce document donne des indications sur ce que pourrait contenir sa future proposition de règlement d'exécution. Par exemple, pour le risque alimentaire pour le consommateur, « les États membres devraient veiller à ce qu'une évaluation complète des résidus possibles soit effectuée avant d'autoriser les utilisations sur les cultures en rotation. »

    Pourquoi pouvons-nous citer ce document ? Parce qu'il a fuité en direction d'une entité anti-pesticides... C'est là un autre problème de dérive.

    Et, bien évidemment, le complotisme s'est déjà invité dans le processus : « Afin d'éviter un examen scientifique et public du travail de l'EFSA, la DG Santé accélère la procédure de prise de décision en secret avec les États membres ».

    Une procédure de décision en douceur ou un remake de la chienlit ?

    La Commission devrait présenter sa proposition de règlement à la mi-septembre.

    Pour les votes, faites vos jeux ici. On rappellera qu'en 2022, les États membres avaient bloqué en première instance et en appel la prolongation de l'approbation du glyphosate pour un an rendue nécessaire par le retard dans le processus décisionnel imputable aux instances de décision. La Croatie, le Luxembourg et Malte se seraient opposés à la prolongation, la France, l’Allemagne et la Slovénie ayant opté pour l'abstention.

    À ce stade, on peut penser que l'Allemagne, l'Autriche, le Luxembourg et la Slovénie voteront contre ou s'abstiendront (ce qui revient au même). Beaucoup dépendra de l'attitude de la France du « en même temps ». Il faut en effet deux grands pays pour faire échec à la condition des 65 % de la population en faveur de la proposition.

    À ce stade, on peut imaginer quatre scénarios : (1) la proposition (normalement une ré-homologation pour quinze ans) est adoptée par les États membres ; (2) la proposition, non adoptée par les États membres est adoptée, par la Commission ; (3) des tractations s'engagent pour réduire la durée et/ou restreindre les conditions de la ré-homologation ; (4) on s'accordera pour demander des études complémentaires et une prolongation temporaire.

    Quelle que soit la décision, elle sera attaquée en justice et l'affaire finira à une échéance plus ou moins lointaine devant la Cour de Justice de l'Union européenne.

    La mise en œuvre sur le plan national

    Rappelons ici le tweet très trumpien de notre Président Emmanuel Macron du 27 novembre 2017 : « J’ai demandé au gouvernement de prendre les dispositions nécessaires pour que l’utilisation du glyphosate soit interdite en France dès que des alternatives auront été trouvées, et au plus tard dans 3 ans. #MakeOurPlanetGreatAgain ».

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  52. Il y a certes eu un rétropédalage fort remarqué et commenté. Mais cette annonce avait aussi été suivie par des travaux d'un INRAE fort servile à l'égard du gouvernement censés montrer que la « sortie du glyphosate » était possible pour la plupart des usages et des situations. Des travaux également fort remarqués et commentés... et suivis de rétropédalages qui le furent beaucoup moins (la même histoire se reproduira pour l'utilisation de semences de betteraves enrobées avec un néonicotinoïde...).

    Le gouvernement avait embrayé avec un « plan de sortie du glyphosate » digne de Gribouille. Il en reste notamment un crédit d'impôt « sortie du glyphosate » et, surtout, une obligation pour le gouvernement – certes aussi relative que la cohérence de son action – d'adopter une politique restrictive à l'égard du glyphosate.

    D'où la question, évoquée ci-dessus, de savoir quelle sera la position à Bruxelles et la question de savoir si, et comment, le gouvernement se saisira des perches qui lui sont tendues par le rapport d'évaluation de l'EFSA et le seront par le règlement d'application de la Commission.

    Le glyphosate est devenu un totem à abattre. Dans l'arbitrage entre la démagogie et les importants enjeux économiques, environnementaux et sanitaires bien compris, les seconds ne partent pas favoris. Nous savons, malheureusement, que, malgré les incantations du style : « pas d'interdiction sans solutions », nos gouvernants restent des champions dans l'art de compromettre la compétitivité de notre agriculture.

    https://seppi.over-blog.com/2023/09/glyphosate-et-maintenant.html

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  53. Les parents ne devraient pas publier de photos d'enfants en ligne, préviennent les experts en sécurité


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 13 SEPTEMBRE 2023 - 01:25
    Rédigé par Masooma Haq via The Epoch Times


    Alors que les enfants passent de plus en plus de temps sur Internet et que beaucoup téléchargent des photos sur leurs comptes de réseaux sociaux, les prédateurs sexuels continuent de voler ces images pour produire du matériel pédopornographique (CSAM).

    L’accès facile à l’intelligence artificielle (IA) a encore aggravé la prolifération des contenus pédopornographiques, et les forces de l’ordre et les organisations de protection de l’enfance constatent une augmentation spectaculaire des contenus pédopornographiques générés par l’IA.

    Yaron Litwin est expert en sécurité numérique et directeur du marketing chez Netspark, la société à l'origine d'un programme appelé CaseScan qui identifie les CSAM en ligne générés par l'IA, aidant ainsi les forces de l'ordre dans leurs enquêtes.

    M. Litwin a déclaré à Epoch Times qu'il recommande aux parents et aux adolescents de ne publier de photos sur aucun forum public et que les parents parlent à leurs enfants des dangers potentiels liés à la révélation d'informations personnelles en ligne.

    "L'une de nos recommandations est d'être un peu plus prudent avec les images publiées en ligne et d'essayer vraiment de les conserver dans des réseaux fermés, où il n'y a que des personnes que vous connaissez", a déclaré M. Litwin.

    L'Académie américaine de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent a déclaré en 2020 qu'en moyenne, les enfants âgés de 8 à 12 ans passent quatre à six heures par jour à regarder ou à utiliser des écrans, et les adolescents passent jusqu'à 9 heures par jour sur leurs appareils.

    Parents Together, une organisation non gouvernementale qui fournit des informations sur les problèmes affectant les familles, a publié un rapport en 2023 (pdf) indiquant que « malgré les risques graves et croissants d'exploitation sexuelle en ligne, 97 % des enfants utilisent les médias sociaux et Internet chaque jour, et 1 personne sur 5 l'utilise « presque constamment ».

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  54. L'un des outils de sécurité de Netspark est Canopy, un outil basé sur l'IA qui permet aux parents de filtrer les contenus numériques sexuels préjudiciables pour leurs enfants mineurs, a déclaré M. Litwin, tout en donnant aux enfants la liberté d'explorer Internet.

    Expansion du contenu exploitant

    Le nombre de contenus pédopornographiques en ligne a augmenté de façon exponentielle depuis que l’IA générative est devenue courante début 2023, a déclaré M. Litwin. Le problème est suffisamment grave pour que les 50 États aient demandé au Congrès de créer une commission chargée d’étudier le problème du CSAM généré par l’IA, a-t-il déclaré.

    "Il existe certainement une corrélation entre l'augmentation du CSAM généré par l'IA et le lancement d'OpenAI, de DALL-E et de toutes ces plates-formes génératives de type IA", a déclaré M. Litwin.

    Le FBI a récemment mis en garde le public contre l’augmentation du matériel d’abus sexuel généré par l’IA.

    « Les acteurs malveillants utilisent des technologies et des services de manipulation de contenu pour exploiter des photos et des vidéos – généralement capturées à partir du compte de réseau social d'un individu, d'un Internet ouvert ou demandées à la victime – pour en faire des images à caractère sexuel qui semblent réalistes à l'image d'une victime. , puis diffusez-les sur les réseaux sociaux, les forums publics ou les sites Web pornographiques », a déclaré le FBI dans un récent communiqué.

    M. Litwin a déclaré que pour réellement protéger les enfants contre les prédateurs en ligne, il est important que les parents et les tuteurs discutent clairement des dangers potentiels liés à la publication de photos et aux discussions avec des inconnus en ligne.

    "Il suffit donc de vraiment communiquer avec nos enfants sur certains de ces risques, de leur expliquer que cela pourrait se produire et de s'assurer qu'ils en sont conscients", a-t-il déclaré.

    Dangers de l'IA générative

    Roo Powell, fondateur de Safe from Online Sex Abuse (SOSA), a déclaré à Epoch Times que, étant donné que les prédateurs peuvent utiliser l'image d'un enfant entièrement habillé pour créer une image explicite à l'aide de l'IA, il est préférable de ne publier aucune image d'enfant en ligne, même en tant que tout-petits, a-t-elle dit.

    «Chez SOSA, nous encourageons les parents à ne pas partager publiquement d'images ou de vidéos de leurs enfants en couches ou en train de prendre un bain. Même si leurs organes génitaux peuvent techniquement être couverts, les auteurs peuvent enregistrer ce contenu pour leur propre gratification, ou utiliser l'IA pour le rendre explicite, puis le partager largement », a déclaré Mme Powell dans un e-mail.

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  55. Si certaines personnes affirment que les images d’abus sexuels sur des enfants réels sont moins nocives que les images d’abus sexuels sur des enfants générés par l’IA, beaucoup pensent que c’est pire.

    Les CSAM générés par l’IA sont produits beaucoup plus rapidement que les images conventionnelles, inondant ensuite les forces de l’ordre d’encore plus de signalements d’abus, et les experts dans le domaine de l’IA et du contrôle parental en ligne s’attendent à ce que le problème ne fasse qu’empirer.

    Dans d’autres cas, l’image CSAM générée par l’IA pourrait être créée à partir d’une photo prise sur le compte de réseau social d’un enfant réel, qui est modifiée pour être sexuellement explicite et met ainsi en danger les enfants autrement non victimisés, ainsi que leurs parents.

    Dans le pire des cas, les mauvais acteurs utilisent des images de véritables victimes d’abus sexuels sur des enfants comme base pour créer des images générées par ordinateur. Ils peuvent utiliser la photographie originale comme entrée initiale, qui est ensuite modifiée en fonction des invites.

    Dans certains cas, le sujet de la photo peut paraître plus jeune ou plus âgé.

    En 2023, le Standford Internet Observatory de l'Université de Stanford, en collaboration avec Thorn, une organisation à but non lucratif axée sur la technologie qui aide à défendre les enfants contre les abus, a publié un rapport intitulé « Generative ML and CSAM : Implications and Mitigations », faisant référence à l'apprentissage automatique génératif (pdf). .

    « Au cours des premiers mois de 2023, un certain nombre d'avancées ont considérablement accru le contrôle de l'utilisateur final sur les résultats des images et le réalisme qui en résulte, au point que certaines images ne peuvent être distinguées de la réalité que si le spectateur est très familier avec la photographie, l'éclairage. et les caractéristiques des résultats du modèle de diffusion", indique le rapport.

    Des études ont montré un lien entre le visionnage d’images CSAM et les abus sexuels sur enfants dans la vie réelle.

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  56. En 2010, le psychologue légiste canadien Michael C. Seto et ses collègues ont examiné plusieurs études et ont découvert que 50 à 60 % des personnes ayant consulté du CSAM admettaient elles-mêmes avoir abusé d'enfants.

    Même si certaines images CSAM générées par l’IA ne sont pas créées avec des images d’enfants réels, ces images alimentent la croissance du marché de l’exploitation des enfants en normalisant le CSAM et en nourrissant les appétits de ceux qui cherchent à victimiser les enfants.

    La sextorsion à la hausse

    En raison de son réalisme, le CSAM généré par l’IA facilite une augmentation des cas de sextorsion.

    La sextorsion se produit lorsqu'un prédateur se fait passer pour un jeune pour solliciter des images à moitié ou entièrement nues d'une victime, puis lui extorque de l'argent ou des actes sexuels sous la menace de rendre ses images publiques.

    Dans le cas des cas générés par l’IA, le criminel peut modifier l’image de la victime pour la rendre sexuelle.

    Dans un cas, M. Litwin a déclaré qu'un adolescent passionné d'haltérophilie avait publié un selfie torse nu qui avait ensuite été utilisé par un criminel pour créer une photo nue de lui générée par l'IA afin d'extorquer de l'argent au mineur.

    Dans d’autres cas, l’auteur pourrait menacer de divulguer l’image, nuisant ainsi à la réputation du mineur. Face à une telle menace, de nombreux adolescents se conforment aux exigences du criminel ou finissent par se suicider plutôt que de risquer l'humiliation publique.

    Le Centre national pour les enfants disparus et exploités (NCMEC) gère la CyberTipLine, où les citoyens peuvent signaler toute exploitation sexuelle d'enfants sur Internet. En 2022, la ligne de signalement a reçu plus de 32 millions de signalements de CSAM. Bien que certains signalements concernent plusieurs fois une seule image virale d’abus sexuels sur des enfants, cela représente toujours une augmentation de 82 % par rapport à 2021, soit près de 87 000 signalements par jour.

    En décembre 2022, le FBI estimait à 3 000 le nombre de victimes mineures de sextorsion.

    « Le FBI a constaté une augmentation effroyable des rapports faisant état de stratagèmes de sextorsion financière ciblant des garçons mineurs – et le fait est que les nombreuses victimes qui ont peur de se manifester ne sont même pas incluses dans ces chiffres », a déclaré le directeur du FBI, Christopher Wray, dans un communiqué de 2022. .

    Le rapport Parents Together indique en outre que « des recherches récentes montrent qu’un enfant sur trois peut désormais s’attendre à vivre une expérience sexuelle indésirable en ligne avant l’âge de 18 ans ».

    De plus, un rapport de Thorn de 2022 (pdf) indique qu'un enfant sur six déclare avoir partagé des images explicites d'eux-mêmes en ligne, et qu'un enfant sur quatre déclare que cette pratique est normale.

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  57. Utiliser une bonne IA pour combattre la mauvaise IA

    Avant la large disponibilité de l’IA, l’édition et la génération d’images nécessitaient des compétences et des connaissances en logiciels d’édition d’images. Cependant, l’IA a rendu la tâche si rapide et si simple que même les utilisateurs amateurs peuvent générer des images réalistes.

    Netspark mène la lutte contre le CSAM généré par l'IA avec CaseScan, son propre outil de cybersécurité alimenté par l'IA, a déclaré M. Litwin.

    "Nous sommes convaincus que pour lutter contre la mauvaise IA, il faudra passer par l'IA pour le bien, et c'est sur cela que nous nous concentrons", a-t-il déclaré.

    Les forces de l'ordre doivent examiner chaque jour d'énormes quantités d'images et sont souvent incapables de traiter tous les rapports CSAM en temps opportun, a déclaré M. Litwin, mais c'est précisément là que CaseScan est en mesure d'aider les enquêteurs.

    À moins que les services de police n’utilisent des solutions centrées sur l’IA, la police passe beaucoup de temps à évaluer si l’enfant sur une photo est une fausse victime générée par l’IA ou une véritable victime d’abus sexuels. Même avant le contenu généré par l’IA, les organismes chargés de l’application de la loi et de la sécurité des enfants étaient submergés par l’immense volume de rapports CSAM.

    En vertu de la loi américaine, les CSAM générés par l’IA sont traités de la même manière que les CSAM d’enfants réels, mais M. Litwin a déclaré qu’il n’était au courant d’aucun cas de CSAM généré par l’IA qui aurait fait l’objet de poursuites, il n’y a donc pas encore de précédent.

    «Je pense qu'aujourd'hui, il est difficile de porter plainte, il est difficile de créer des dossiers solides. Et je suppose que c'est l'une des raisons pour lesquelles nous en voyons autant », a-t-il déclaré.

    Pour poursuivre les producteurs de ce CSAM en ligne généré par l’IA, les lois doivent être mises à jour pour cibler les activités criminelles technologiquement avancées commises par les prédateurs sexuels.

    M. Litwin a déclaré qu'il pensait que les prédateurs trouveraient toujours un moyen de contourner les limites technologiques fixées par les sociétés de sécurité, car l'IA progresse constamment, mais Netspark s'adapte également pour suivre ceux qui créent du CSAM généré par l'IA.

    M. Litwin a déclaré que CaseScan a permis aux enquêteurs de réduire considérablement le temps nécessaire pour identifier les CSAM générés par l'IA et d'alléger l'impact mental sur les enquêteurs qui doivent généralement visualiser les images.

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  58. Les entreprises technologiques doivent faire plus

    Mme Powell a déclaré que les sociétés de médias sociaux doivent faire davantage dans la lutte contre le CSAM.

    "Pour aider efficacement à protéger les enfants et les adolescents, le Congrès peut exiger que les plateformes de médias sociaux mettent en œuvre des systèmes efficaces de modération de contenu qui identifient les cas de maltraitance et d'exploitation des enfants et les transmettent aux forces de l'ordre si nécessaire", a-t-elle déclaré.

    « Le Congrès peut également exiger que toutes les plateformes de médias sociaux créent des fonctionnalités de contrôle parental pour aider à atténuer le risque de prédation en ligne. Celles-ci peuvent inclure la possibilité pour un utilisateur parent de désactiver toutes les fonctionnalités de chat/messagerie, de restreindre les personnes qui suivent son enfant et de gérer le temps d'écran sur l'application », a-t-elle ajouté.

    En avril, le sénateur Dick Durbin (D-Ill.) a présenté la loi STOP CSAM de 2023, qui comprend une disposition qui modifierait l'article 230 de la loi sur la décence en matière de communications et permettrait aux victimes de CSAM de poursuivre en justice les plateformes de médias sociaux qui hébergent, stockent ou sinon, rendre ce contenu illégal disponible.

    « Si [les sociétés de médias sociaux] ne mettent pas en place des mesures de sécurité suffisantes, elles devraient être tenues légalement responsables », a déclaré M. Durbin lors d'une réunion de la sous-commission judiciaire du Sénat en juin.

    Mme Powell a déclaré qu'elle pensait que le Congrès avait la responsabilité de faire davantage pour protéger les enfants contre les abus.

    « Les lois doivent suivre l’évolution constante de la technologie », a-t-elle déclaré, ajoutant que les forces de l’ordre ont également besoin d’outils pour les aider à travailler plus rapidement.

    Améliorer le NCMEC

    Les représentantes Ann Wagner (R-Mo.) et Sylvia Garcia (D-Texas) ont récemment introduit la loi de 2023 sur la modernisation de la sécurité des enfants en ligne pour combler les lacunes dans la manière dont les CSAM sont signalés, garantissant que les criminels peuvent être tenus responsables.

    Actuellement, il n'existe aucune exigence concernant ce que les plateformes en ligne doivent inclure dans un rapport adressé au CyberTipline du NCMEC, laissant souvent l'organisation et les forces de l'ordre sans suffisamment d'informations pour localiser et sauver l'enfant. En 2022, cela représentait environ 50 % des signalements introuvables.

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  59. De plus, la loi n’oblige pas les plateformes en ligne à signaler les cas de trafic sexuel d’enfants et d’incitation à des fins sexuelles.

    Selon un rapport de Thorn de 2022, la majorité des rapports CyberTipline soumis par l'industrie technologique contenaient des informations si limitées qu'il était impossible pour le NCMEC d'identifier l'endroit où l'infraction a eu lieu, et l'organisation n'a donc pas pu en informer les forces de l'ordre appropriées.

    La loi sur la modernisation de la sécurité des enfants en ligne renforce la CyberTipline du NCMEC en 1) exigeant que les rapports des plateformes en ligne incluent des informations permettant d'identifier et de localiser l'enfant représenté et le diffuseur du CSAM ; 2) exiger que les plateformes en ligne signalent les cas de trafic sexuel d’enfants et d’incitation sexuelle à l’encontre d’un enfant ; et 3) permettre au NCMEC de partager les identifiants techniques associés au CSAM avec des organisations à but non lucratif.

    Le projet de loi exige également que les rapports soient conservés pendant une année entière, ce qui donne aux forces de l'ordre le temps dont elles ont besoin pour enquêter sur les crimes.

    Stefan Turkheimer, vice-président par intérim des politiques publiques chez RAINN (Rape, Abuse & Incest National Network), a déclaré que le projet de loi de Mme Wagner est crucial pour aider les forces de l'ordre à enquêter avec succès sur les rapports CSAM.

    "La loi sur la modernisation de la sécurité des enfants en ligne est une étape vers une plus grande coopération entre les forces de l'ordre et les fournisseurs de services Internet qui soutiendront les efforts visant à enquêter, identifier et localiser les enfants représentés dans les matériels d'abus sexuels sur des enfants", a déclaré Turkheimer dans un récent communiqué de presse.

    Il est crucial d'apporter cette amélioration pour mettre un terme à l'exploitation sexuelle des enfants, a déclaré Mme Powell.

    « Dans le cadre de nos collaborations avec les forces de l’ordre, SOSA a vu un agresseur passer du tout premier message jusqu’à arriver au domicile d’un mineur pour des relations sexuelles en moins de deux heures. Toute personne ayant tendance à faire du mal aux enfants peut le faire rapidement et facilement depuis n’importe où dans le monde simplement grâce à l’accès à Internet », a-t-elle déclaré.

    https://www.zerohedge.com/political/parents-should-not-post-childrens-photos-online-warn-safety-experts

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  60. Le sale secret sur la façon dont les masques « fonctionnent » réellement


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 11 SEPTEMBRE 2023 - 23H00
    Rédigé par Clayton Baker, MD, via le Brownstone Institute,


    Il est difficile de croire que Public HealthTM essaie de forcer l’Amérique à porter à nouveau un masque, mais nous y sommes.

    La question est, pourquoi ?

    Le sale secret est le suivant : les masques ne marchent pas en contrôlant le virus. Les masques fonctionnent en contrôlant les gens.

    Si nous parlons d’arrêter la propagation du virus, les masques ne fonctionnent tout simplement pas.

    Mais s’il s’agit d’attiser la peur, d’inculquer une obéissance aveugle aux autorités de l’État, de semer la discorde entre les citoyens et de « dénoncer » publiquement les sceptiques et les dissidents – en d’autres termes, de créer un système de santé publique autoritaire, voire totalitaire – alors les masques fonctionnent très bien. bien en effet.

    LES MASQUES NE FONCTIONNENT PAS POUR CONTRÔLER LE VIRUS

    À cette date tardive, il a été établi au-delà de tout doute scientifique honnête que le masquage est inefficace pour arrêter la contraction et la propagation du COVID-19. Cela est vrai aussi bien au niveau microscopique qu’au niveau de la population.

    Les premiers masques obligatoires concernant le COVID-19 étaient largement « justifiés » par l’affirmation selon laquelle le virus SARS-CoV-2 n’était pas enclin à se propager par voie aérienne. Cependant, il a depuis été prouvé que le virus SARS-CoV-2 est un virus aéroporté (comme la grippe), ce qui signifie qu'il peut rester en circulation dans l'air ambiant pendant de longues périodes et se propage de cette manière. Il a également été prouvé que les virus du SRAS-CoV-2 sont beaucoup plus petits que les trous dans les tissus et les masques chirurgicaux.

    Par conséquent, à un niveau microscopique, Harvey Risch a raison : essayer de bloquer le virus SARS-CoV-2 avec un masque chirurgical équivaut littéralement à essayer de garder les moustiques hors de votre jardin en érigeant une clôture grillagée.

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  61. Au niveau de la population, la dernière méta-analyse Cochrane des essais randomisés et contrôlés disponibles sur le masquage et les virus respiratoires a conclu que « le port de masques dans la communauté ne fait probablement que peu ou pas de différence dans l'issue du syndrome grippal (SG)/COVID ». ‐19 comme la maladie par rapport au fait de ne pas porter de masques. Le port de masques dans la communauté ne fait probablement que peu ou pas de différence dans l’issue de la grippe/SRAS-CoV-2 confirmée en laboratoire par rapport au fait de ne pas porter de masques.

    (Il convient de noter qu’à mesure que le débat sur les masques a été ressuscité, Cochrane a subi d’intenses pressions de la part des entités pro-masques pour ajouter et modifier leurs commentaires sur cette étude, devant laquelle l’organisation a capitulé.)

    De plus, cette étude n’est qu’une parmi des centaines d’autres études qui soulignent clairement l’inefficacité épidémiologique et les méfaits réels des masques, dont beaucoup sont connues depuis au moins 2021.

    Pour résumer : au niveau microscopique, les masques n’empêchent pas la sortie ou l’entrée du virus dans le corps humain, et au niveau de la population, il n’a été démontré que le port du masque apporte un quelconque bénéfice et présente de nombreux inconvénients.

    LES MASQUES FONCTIONNENT POUR CONTRÔLER LES PERSONNES

    L’ensemble du projet de santé publique en Occident est animé dès sa conception par une forte impulsion politique et autoritaire. Bien qu’un examen détaillé de ce sujet dépasse le cadre de cet article, il rappelle au moins la figure de Rudolf Virchow, l’éminent médecin allemand du XIXe siècle, opposant à Semmelweis et Darwin et fondateur de ce qu’on appelle la « médecine sociale ». qui a écrit que « la médecine est une science sociale et la politique n’est rien d’autre que la médecine à plus grande échelle ».

    L’idée selon laquelle Public HealthTM devrait posséder le pouvoir de dicter la politique politique nationale et locale pour le « bien public » (comme eux, les « experts », le déterminent unilatéralement) s’est renforcée au cours du siècle dernier, en particulier aux États-Unis. Autour d’elle se sont développées de vastes industries lucratives, dont (depuis au moins la loi Bayh-Dole) les responsables de la santé publiqueTM profitent souvent largement. L’industrie des vaccins n’est que la plus évidente d’entre elles.

    À l’ère du COVID, l’autoritarisme de la santé publique s’est transformé en mode totalitaire, avec les confinements, fermetures d’écoles, restrictions de voyage, obligations de vaccination, etc. sans précédent que nous avons tous endurés. Le symbole le plus visible et le plus facilement applicable de cette prise de pouvoir était le masque.

    Les masques, même ceux comiquement inutiles faits de vieux mouchoirs, ou ceux en papier chirurgicaux sales et vieux d’une semaine que l’on voit sur d’innombrables mentons, signalaient la conformité et la soumission. Dans le but très réel de Santé PubliqueTM d’obéissance inconditionnelle, les masques fonctionnent en effet très bien.

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  62. Les masques sont efficaces pour susciter la peur chez les gens. Les personnes craintives se soumettent plus facilement à l’autorité, en particulier lorsque cette autorité leur promet une solution à la cause de leur peur.

    Les masques sont efficaces comme signaux de vertu de conformité, renforçant l’ego de la personne soumise. Les masques imposent également un très fort effet de pression des pairs, qui pousse les personnes incertaines à suivre la foule.

    Les masques sont efficaces pour susciter la peur chez les gens. Les personnes craintives se soumettent plus facilement à l’autorité, en particulier lorsque cette autorité leur promet une solution à la cause de leur peur.

    Les masques sont efficaces comme signaux de vertu de conformité, renforçant l’ego de la personne soumise. Les masques imposent également un très fort effet de pression des pairs, qui pousse les personnes incertaines à suivre la foule.

    Les masques sont efficaces pour humilier les gens. Ils sont inconfortables, laids, sales et contre nature. Ce sont vraiment des « couches pour le visage ». En un mot, les masques sont dégradants. Si les méthodes de l’ancien bloc de l’Est nous ont appris quelque chose, c’est que la dégradation systématique des individus, notamment pour des raisons manifestement stupides, est très efficace pour promouvoir des objectifs totalitaires.

    Les masques sont également extrêmement efficaces pour dénoncer les dissidents. Qui ose s’opposer à l’État ? Il y en a un, juste là-bas. Honte à eux. Évitez-les. Arrêtez-les.

    C’est ainsi que les masques « fonctionnent » vraiment, et c’est pourquoi les types de Santé publiqueTM les aiment.

    C’est pourquoi ils essaient de les ramener.

    Les masques sont efficaces pour susciter la peur chez les gens. Les personnes craintives se soumettent plus facilement à l’autorité, en particulier lorsque cette autorité leur promet une solution à la cause de leur peur.

    Les masques sont efficaces comme signaux de vertu de conformité, renforçant l’ego de la personne soumise. Les masques imposent également un très fort effet de pression des pairs, qui pousse les personnes incertaines à suivre la foule.

    Les masques sont efficaces pour humilier les gens. Ils sont inconfortables, laids, sales et contre nature. Ce sont vraiment des « couches pour le visage ». En un mot, les masques sont dégradants. Si les méthodes de l’ancien bloc de l’Est nous ont appris quelque chose, c’est que la dégradation systématique des individus, notamment pour des raisons manifestement stupides, est très efficace pour promouvoir des objectifs totalitaires.

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  63. Les masques sont également extrêmement efficaces pour dénoncer les dissidents. Qui ose s’opposer à l’État ? Il y en a un, juste là-bas. Honte à eux. Évitez-les. Arrêtez-les.

    C’est ainsi que les masques « fonctionnent » vraiment, et c’est pourquoi les types de Santé publiqueTM les aiment.

    C’est pourquoi ils essaient de les ramener.

    https://www.zerohedge.com/medical/dirty-secret-about-how-masks-really-work

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    Réponses
    1. (...) Les premiers masques obligatoires concernant le COVID-19 étaient largement « justifiés » par l’affirmation selon laquelle le virus SARS-CoV-2 n’était pas enclin à se propager par voie aérienne. Cependant, il a depuis été prouvé que le virus SARS-CoV-2 est un virus aéroporté (comme la grippe), (...)

      FAUX ! ARCHI-FAUX ! 'le virus SARS-CoV-2 est un virus aéroporté (comme la grippe),' NON ! Un virus est UNE POUSSIÈRE et non un microbe ! Cette poussière N'EST PAS dans l'air mais UNIQUEMENT en flacons injectables ! Il ne s'agit donc pas d'un vivant (microbe) qui transporte des maladies.
      Cette poussière (appelée 'virus') n'a JAMAIS été observée par les milliers de laboratoires dans le monde qui examinent chaque jour la 'qualité de l'air'.

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  64. La résistance à l’expansion du pouvoir de l’OMS augmente – audition d’un expert au Parlement européen


    12 septembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    L’OMS envisage actuellement de nouveaux accords censés améliorer la coordination internationale en cas de nouvelle pandémie ; ceux-ci devraient être adoptés en mai 2024. Mais ces efforts sont critiqués car ces traités sont dirigés contre les libertés civiles, la démocratie et l’indépendance nationale.
    De plus en plus d'experts - notamment des avocats et des médecins, mais aussi des citoyens critiques - critiquent désormais ce démantèlement des droits fondamentaux, censé se dérouler sans que l'opinion publique ne le remarque. A cet effet, une audition d'experts intitulée « Santé et démocratie selon les nouvelles règles proposées par l'OMS » aura lieu demain 13 septembre. Il y a une diffusion en direct à partir de 14h30 : https://ep.interactio.eu/x6sm-yxvp-v2ax

    Experts:
    Philipp Kruse, avocat (Suisse) ouvrira la partie juridique.

    Pourquoi les modifications du Règlement sanitaire international (RSI) sont encore plus dangereuses que le nouveau Traité sur la pandémie (CA+) et sont particulièrement préoccupantes pour les droits constitutionnels fondamentaux.

    RDA. Renate Holzeisen , avocate (Italie) :
    Pourquoi le Conseil de l'UE et la Commission européenne ont-ils déjà obligé les pays de l'UE à accepter les futurs traités de l'OMS ?

    Prof. Dr. Michael Geistlinger , professeur universitaire associé i. R. pour le droit international, le droit européen (Autriche) :
    Abus de pouvoir de la Commission européenne lors de la création de HERA, l'agence européenne pour les urgences sanitaires.

    docteur Beate Sibylle Pfeil , juriste, experte en droit international et droit des minorités (Allemagne) :

    Sur le danger de violations permanentes des droits de l'homme par l'OMS : traitements forcés, censure, manque de contrôles indépendants

    docteur Maria Hubmer-Mogg , médecin (Autriche) :
    Comment les standards de référence en matière de bonnes pratiques médicales sont violés par l'approche de l'OMS consistant en un diagnostic et un traitement uniformes à l'échelle mondiale pour tous.

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  65. Université Prof. Dr. Andreas Sönnichsen , médecin (Autriche) :
    Le manque total d'intérêt de l'OMS pour les effets dévastateurs de la technologie de l'ARNm.

    docteur Peter Mc Cullough , médecin (USA) :
    Nouvelles découvertes sur les dangers de la technologie de l'ARNm et la réaction des autorités de régulation EMA et OMS.

    Prof. Dr. Mattias Desmet, professeur de psychologie clinique (Belgique) :
    Impact du monopole de l'information et des régimes de censure sur le bien-être psychologique des personnes, sur la prise de décision individuelle et sur la démocratie dans son ensemble.

    docteur David Martin , PDG de M-CAM (États-Unis) :
    explique les fautes graves de l'OMS qui doivent être corrigées, notamment le fait que les médicaments à base d'ARNm étaient déjà utilisés bien avant la pandémie de Covid-19 dans un intérêt commercial évident et dans le cadre d'un cartel. Des accords similaires ont été élaborés. En outre, comment les questions et problèmes fondamentaux de la gestion de la pandémie par l’OMS restent totalement bannis du discours public.

    Députés :

    Plusieurs députés européens (MPE) poseront des questions approfondies aux intervenants à la fin des présentations.

    https://tkp.at/2023/09/12/widerstand-gegen-who-machterweiterung-waechst-expertenhearing-im-eu-parlament/

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  66. Malice réfléchie à propos de la pandémie de COVID-19 : « Il s’agit d’un coup d’État mondial et d’un meurtre de masse intentionnel. » Dr Mike Yeadon


    Par le Dr Mike Yeadon
    Recherche mondiale,
    11 septembre 2023


    Un message écrit à un ami de confiance en campagne, qui a du mal à accepter que ce qui se passe est intentionnel. C’est en effet un grand pas que de passer d’une critique justifiée à l’encontre de politiciens et d’industriels présumés incompétents à un regroupement des pièces de telle manière qu’elles ne puissent pointer que vers l’intentionnalité. Voyez ce que vous en pensez.

    *

    Cher X,

    Je trouve qu'il est impossible de tenter de rassembler toutes les informations de manière à ce que l'ensemble soit même inoffensif ou du moins pas totalement malveillant.

    C'est parce que, comme vous m'avez sans doute entendu le dire, je crois que c'est malveillant !

    Moi aussi, j'ai eu du mal au début, en arguant "ils devaient sûrement le savoir !?" Etc.

    Une fois que j’ai pris en compte la possibilité que toutes les mauvaises choses étaient intentionnelles, je trouve que tout le reste se met en place. Évidemment, cela ne prouve pas à lui seul que c'était intentionnel.

    Certains premiers indices de l’intentionnalité sont les réponses coordonnées de nombreux gouvernements à la prétendue pandémie : confinements, masquage, tests de masse des puits, mauvaise application des techniques basées sur la PCR pour tester en masse des échantillons cliniques, fermetures sélectives d’entreprises et d’écoles, restrictions aux frontières. etc.

    Aucun pays n’a intégré ces éléments au cœur de son propre plan de préparation à une pandémie.

    Même l'évaluation scientifique des NPI par l'OMS a conclu qu'aucun d'entre eux n'était efficace et que les seuls changements qui valaient un centime étaient de demander aux personnes présentant des symptômes de rester à la maison jusqu'à ce qu'elles soient rétablies et d'augmenter la fréquence de lavage des mains (car la voie de transmission ne serait pas connue au départ). à coup sûr).

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  67. J’avais soutenu à l’époque que la seule façon pour tous les pays d’adopter toutes ces NPI inutiles, mais dommageables et coûteuses, était d’avoir une coordination supranationale.

    Que ce soit de l'OMS, du WEF, etc., je ne sais pas. Mais illégitime en tout cas.

    On sait désormais qu’ils savaient qu’imposer ces restrictions ne sauverait personne, mais les conséquences négatives seraient dévastatrices, voire mortelles pour certains, qui n’auraient plus accès aux soins médicaux dont ils avaient besoin. De plus, le recours au congé allait évidemment être extrêmement préjudiciable aux souverains déjà endettés.

    Je note l’adoption généralisée du terme américain « congé » dans le discours public. Au Royaume-Uni, nous n’avions jamais utilisé ce terme auparavant. Personne ne s'est rendu compte de son arrivée, ce qui témoigne du rôle de premier plan joué par les Américains.

    Ensuite, nous avons l’imposition de protocoles médicaux radicalement modifiés.

    En raison de ma longue exposition aux problèmes respiratoires, j'ai immédiatement su qu'ils ont commencé à paniquer à propos des 30 000 ventilateurs mécaniques nécessaires et que quelque chose de vraiment démoniaque était à portée de main. Il n'est jamais approprié, chez un patient dont les voies respiratoires sont dégagées et la paroi thoracique intacte, de le mettre sous sédation, de l'intuber et de le ventiler. La ventilation mécanique est certainement une chose merveilleuse et salvatrice, mais elle comporte de graves risques pour le patient fragile, sous la forme d'une pneumonie acquise sous ventilation, de lésions pulmonaires dues à l'utilisation d'une pression pour gonfler les poumons et bien plus encore. Le traitement approprié serait un masque à oxygène, une dose unique de benzobenzène à faible dose, une tasse de thé et un biscuit et une main attentionnée sur un bras.

    Aux États-Unis également, beaucoup, une fois dans cet état vulnérable, ont reçu du remdesivir et n'ont pas reçu de nutrition intraveineuse totale. Dans la plupart des cas, ce n’était qu’une question de temps avant qu’ils ne meurent.

    Dans les maisons de retraite, des doses inappropriées et élevées de midazolam et de morphine ont été utilisées sans discernement. Non seulement à fortes doses, mais également administrées à plusieurs reprises à leurs charges âgées. Les plus hautes autorités médicales du pays leur avaient demandé de le faire et si peu de personnes l'avaient remis en question.

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  68. Mon doctorat, par coïncidence, portait sur ce domaine, l'effet des opiacés sur la fonction respiratoire. La découverte de plusieurs récepteurs opiacés a soulevé la possibilité d'inventer des ligands sélectifs des récepteurs qui soulageraient la douleur tout en réduisant la dépression respiratoire. Malheureusement, les deux sont médiés principalement par les récepteurs mu opiacés, à la fois au niveau central et en périphérie.

    L'association d'agonistes opiacés et de benzodiazépines est contre-indiquée chez les patients à moins qu'une surveillance étroite (pour détecter des signes de dépression respiratoire) soit mise en place.

    Ce n'est pas et ne peut pas être dans une maison de retraite. Eux aussi furent assassinés en grand nombre.

    Enfin, en communauté, les médecins de famille ont été déconseillés de prescrire des antibiotiques en cas de covid « car les antibiotiques ne peuvent pas traiter les maladies virales ». Il est bien connu que ce que l’on appelle habituellement une infection bactérienne secondaire est généralement ce qui entraîne la mort dans cette situation. Cependant, les dossiers montrent que les prescriptions d'antibiotiques en cas de suspicion d'infection bactérienne des poumons ont chuté de 50 % et qu'un grand nombre de personnes sont décédées de morts évitables (et de morts plutôt horribles également).

    Il n'est pas possible d'examiner toutes ces preuves sans conclure qu'une malveillance préméditée était à l'œuvre ici . C'est littéralement diabolique, ce qu'ils ont fait.

    Comment cela a-t-il été fait avec si peu de réticences me laisse encore perplexe. Je sais que de la fin des années 1990 à la fin de 2019, il y a eu une séquence de simulations sur table de scénarios de pandémie mondiale et de scénarios de bioterrorisme , qui ont permis aux auteurs de perfectionner leur savoir-faire dans les réponses et les mesures de contrôle imposées. Je crois que certains d'entre eux ont été traduits sur le terrain, donnant à l'équipe d'intervention d'urgence l'occasion de se former et de répéter ce que la plupart d'entre eux jugeaient approprié, compte tenu du contexte fictif, bien que cela soit spéculatif.

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  69. Pourtant, sachant cela, les entreprises et les régulateurs sont allés de l'avant, puis d'autres ont aggravé le risque de toxicité en recommandant ces injections aux femmes enceintes et aux enfants.

    J’ai encore mis du temps à rassembler toutes ces preuves de préjudices soigneusement réfléchis. Mais finalement, j’y suis arrivé et depuis, je parle dans des termes que beaucoup considèrent comme extrêmes.

    Je crains qu'il soit impossible de cacher la réalité : il s'agit d'un coup d'État mondial et d'un meurtre de masse intentionnel.

    Pire encore, nous constatons l’empiétement de la technologie de surveillance et des pouvoirs juridiques pour introduire l’identification numérique et la CBDC ainsi que pour éliminer les espèces.

    Il n'est pas difficile d'imaginer des scénarios dans lesquels la présentation d'une pièce d'identité numérique deviendrait obligatoire.

    *

    Le Dr Michael Yeadon , PhD, était auparavant vice-président et directeur scientifique des allergies et des maladies respiratoires chez Pfizer Global R&D. Il est titulaire d'une spécialisation conjointe en biochimie et toxicologie et d'un doctorat en pharmacologie respiratoire. Il est consultant indépendant et co-fondateur et PDG de Ziarco Pharma Ltd.

    https://www.globalresearch.ca/malice-aforethought-covid-19-pandemic-global-coup-detat-intentional-mass-murder/5832062

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  70. RKI n’a pas de chiffres sur les décès à cause de Covid


    12 septembre 2023
    par Stefan Brandl


    Le RKI ne peut fournir aucun chiffre sur les décès survenus exclusivement « SUR et UNIQUEMENT AVEC » Covid-19 – et non « AVEC ou en relation AVEC ». Depuis que la « pandémie du coronavirus » a commencé à se déclarer en mars 2020 et avec le début des restrictions des droits fondamentaux, le RKI a annoncé le nombre de décès dus au corona, d'abord quotidiennement, puis hebdomadairement. Cependant, le RKI n’a pas distingué si ces personnes sont décédées « SUR – et exclusivement à cause du Corona » ou « AVEC – en lien avec Corona ».

    Le 15 juin 2023, le RKI a publié le nombre de décès (avec un mois de retard) qui, selon le RKI, sont morts du Covid-19 au cours des années 2020/2021/2022/2023 (jusqu'au 15 juin 2023). Dans le tableau Excel publié, le RKI a présenté les nombres de personnes décédées « AN Covid-19 » et « en lien AVEC Covid-19 ». Il est évident que sur la base de ces données publiées, il n’est pas possible de calculer les « décès réels » qui sont « exclusivement dus au Covid-19 », puisque ni les autopsies ni autres enquêtes n’ont été initiées par le RKI et le gouvernement fédéral.

    Dès 2022, le gouvernement britannique a dû réviser considérablement à la baisse le nombre de décès dus au coronavirus, car les citoyens britanniques ont invoqué le Freedom of Information Act au Royaume-Uni et ont forcé la publication des données. Le gouvernement britannique a parlé d'un total de 150 000 décès dus au Covid-19 en 2020 et 2021, mais ont également été inclus ici ces personnes décédées en relation avec le Covid-19 et qui étaient positives au moment de leur décès. 19, bien que ces personnes ne présentaient aucun symptôme du Covid-19. Néanmoins, ces personnes ont été comptées parmi les décès dus au Covid-19, même si la personne est décédée de causes naturelles, suite à une maladie (cancer, etc.) ou encore suite à un accident.

    Cela m'a incité à demander à nouveau au RKI ici et le 26 juin 2023, je fais une demande officielle en vertu de la loi sur la liberté d'information (IfG) en leur demandant de m'envoyer les données.

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  71. Ma question au RKI :
    Chiffres des décès dus au Corona :
    Merci de m'envoyer le nombre de décès attribués exclusivement au Covid-19 depuis février 2020 à décembre 2022 (d'après l'acte de décès), avec une liste des tranches d'âge et le sexe du défunt. S'il vous plaît, indiquez-moi également le nombre d'examens de cadavres (autopsies).

    Si l’on regarde les données officielles (UK Office for National Statistics) d’Angleterre et du Pays de Galles (Royaume-Uni), publiées par Atkinson le 24 janvier 2022 (à la demande d’une organisation), il faut littéralement « se frotter les yeux ». !

    Le résultat officiel est :

    Le nombre total de victimes du Covid-19 pour la période évoquée (février 2020 à décembre 2021 / environ 2 ans) était de 6183 personnes ! Cela ne représente qu’environ 4 % des quelque 150 000 « décès dus au coronavirus » revendiqués par les médias britanniques ! Si l’on rapporte ce chiffre aux quelque 70 millions de citoyens britanniques (Angleterre, Pays de Galles, Écosse, Irlande du Nord), cela représente 0,0088 % de décès réels dus au Covid-19 !

    On ne peut donc pas parler de pandémie ici !

    Même les chiffres officiels des décès sur les routes au Royaume-Uni étaient plus élevés au cours de cette période.

    Les données britanniques ont également été confirmées lorsque le 9 News Perth-Australia Bureau of Statistics a rapporté que seulement 10 % de tous les décès dus au Covid-19 étaient dus au virus lui-même. Les données britanniques sont donc confirmées. De plus, les données ont été confirmées dans une étude publiée par Axfors et Ioannidis 2022.

    Si l’on considère la situation des données au Royaume-Uni et en Australie (qui est comparable à celle de l’Allemagne), seules environ 10 000 personnes en Allemagne auraient pu mourir directement et uniquement à cause du Covid-19 entre février 2020 et décembre 2021.

    J'attends avec impatience vos données, que j'attends d'ici le 26 juillet 2023.

    Source : Livre du professeur Ulrich Kutschera « The Corona Madness » page 243.

    Le 28 juillet 2023, il y a eu une réponse du RKI, que je publie ici dans son intégralité :

    - voir doc sur site -

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  72. En principe, le RKI veut nous dire :

    "NOUS NE LE SAISONS PAS"

    Ici la question se pose :

    Avec quelle justification le RKI a-t-il fait ses recommandations aux hommes politiques sur la base de ces chiffres (ou aucun chiffre) au cours de la période 2020/2021/2022 (avec le soi-disant conseil d'experts, qui excluait fondamentalement d'autres avis), que les hommes politiques ont ensuite utilisé comme argument base pour restreindre massivement les droits fondamentaux des citoyens.

    Ainsi, le résultat politiquement souhaité a été atteint et non scientifiquement vérifiable. N'oubliez pas : sur la base des chiffres du RKI, toutes les mesures corona telles que la règle 2G/3G, l'obligation de porter un masque, les tests PCR et les tests rapides, les couvre-feux, les règles de distance, etc. ainsi que l'obligation de vaccination pour les professions médicales et la Bundeswehr ont été introduit. En outre, une tentative a été faite pour introduire une obligation générale de vaccination, mais celle-ci a échoué au Bundestag.

    De plus, la politique, les grands médias, les entreprises, etc. ont exercé une pression massive sur les « non vaccinés » pour qu’ils subissent cette thérapie génique expérimentale (ARNm) !

    Tout cela s'est produit sur la base de chiffres du RKI, qui n'existent pas du tout et ne pourront probablement jamais être déterminés avec précision, puisque l'OMS a modifié les directives relatives aux certificats de décès en février 2020 et que les médecins avaient donc des directives différentes quant à la cause sous-jacente du décès. devrait entrer.

    Normalement, le certificat de décès indique toujours d'abord la cause immédiate du décès et ensuite la cause sous-jacente du décès, les circonstances qui ont conduit à la première cause mentionnée. Jusqu'en mars 2020, l'acte de décès indiquait toujours la cause du décès et non la cause immédiate du décès.

    Exemple :

    Si une personne souffrait déjà d'une maladie coronarienne et décédait ensuite d'une crise cardiaque, jusqu'en février 2020, la cause du décès était toujours enregistrée comme « maladie coronarienne » sur le certificat de décès et non comme une crise cardiaque, car, de l'avis des médecins, la le cœur était déjà tellement endommagé et la crise cardiaque n'était que la goutte d'eau qui a fait déborder le vase mais pas la cause sous-jacente.

    L'OMS a simplement inversé les directives en février 2020 et si le patient a été testé positif au Covid-19, alors le Covid-19 doit toujours être indiqué comme cause sous-jacente du décès, que la personne ait ou non déjà eu d'innombrables maladies antérieures telles que le cancer, le cœur. maladie, etc.!

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  73. Puisque chaque personne décédée a été testée pour le Covid-19, même si elle ne présentait aucun symptôme et que les médecins étaient en mesure de facturer davantage pour les positifs au Covid-19, tout le monde peut mettre 1 et 1 ensemble, même si je ne veux rien présumer sur le médecins ici. Ce n'est un secret pour personne que les ventes de nombreuses cliniques, médecins et pompes funèbres, ... dans la pandémie de corona déclarée par l'OMS et les politiciens, ont eu un impact positif sur les ventes.

    Source :
    RKI, livre du professeur Ulrich Kutschera « The Corona Madness »,
    livre du Dr. Sucharit Bhakdi/Dr. Karina Reiss « CORONA DÉMASQUÉE »

    https://tkp.at/2023/09/12/rki-hat-keine-zahlen-wer-an-und-wegen-covid-verstorben-ist/

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  74. Les effets des vaccins sont un problème à long terme

    Si les gens se remettaient de la première dose du vaccin contre la COVID-19, celle-ci n’aurait pas le même effet que la cinquième dose, ce qui équivaut à une augmentation de 7 % de la mortalité.

    Il s’agit d’un problème à long terme car les gens ne se remettent pas des dégâts causés par les tirs en termes de surmortalité.

    Avec 2021 comme référence, une personne ayant reçu cinq doses du vaccin aurait 350 % plus de chances de mourir d’ici 2031, 700 % plus de chances de mourir d’ici 2041 et 1 050 % plus de chances de mourir d’ici 2051 qu’une personne non vaccinée.

    Grâce à ce résultat, les chercheurs calculent la perte d’espérance de vie pour un homme de 30 ans.

    Au Royaume-Uni, l'espérance de vie d'un homme non vacciné de 30 ans est d'environ 80 ans. Cela signifie qu’un homme dans la trentaine au Royaume-Uni peut espérer vivre encore 50 ans. Mais l’espérance de vie d’un britannique de 30 ans qui a reçu cinq doses du vaccin contre la COVID-19 n’est que de 56 ans. Tel est le risque que prennent les gens s’ils croient aux vaccins contre la COVID-19.

    Accédez à Pandemic.news pour plus de rapports sur les effets indésirables des vaccins contre la COVID-19.

    Regardez cette vidéo sur le débat sur les mandats des vaccins contre la COVID-19.

    Cette vidéo provient de la chaîne WAKE UP sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires connexes:

    Le Japon ordonne une enquête sur les décès dus au vaccin COVID-19.

    Un scientifique japonais met en garde : les méfaits du vaccin contre la COVID constituent désormais un problème mondial.

    Les vaccinés tombent morts à la vue de tous alors que Fauci et les médias admettent l’échec total du vaccin… tout en proposant davantage de rappels pour les crédules.

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  75. Le commissaire de la FDA, Robert Califf, accuse malhonnêtement la « désinformation sur la santé » de la baisse des taux d’espérance de vie… sans aucune mention de médicaments ou de vaccins mortels.

    Les sources incluent :

    SHTFPlan.com
    Expose-News.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-09-12-covid-vaccines-could-decrease-life-expectancy-men.html

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  76. RÉCOMPENSE DU DÉPOPULATION : L'ACOG a reçu 11,8 millions de dollars du HHS pour encourager les femmes enceintes à se faire vacciner


    09/12/2023
    Laura Harris


    Le Collège américain des obstétriciens et gynécologues (ACOG) a reçu 11,8 millions de dollars du ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) pour encourager les femmes enceintes à se faire vacciner contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) malgré le fait qu'elles aient été exclues des essais cliniques et la sécurité des vaccins n’a pas été testée.

    L'ACOG est l'organisation d'obstétriciens et gynécologues la plus grande et la plus respectée aux États-Unis. Selon la demande du Freedom of Information Act (FOIA) déposée en 2022 par la défenseure des soins de santé Maggie Thorp, l'ACOG a reçu trois subventions du HHS et des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) pendant la pandémie. (Connexe : La plus grande organisation d'OB-GYN en Amérique a accepté 11 millions de dollars du HHS pour promouvoir les vaccins COVID-19 auprès des FEMMES ENCEINTES.)

    Le 1er février 2021, l'ACOG a reçu pour la première fois une subvention d'accord de coopération du HHS et du CDC. Le contrat stipulait que l'ACOG devait céder les projets financés par le CDC et s'aligner sur les directives du CDC sur le COVID-19.

    De plus, si l’ACOG ne parvient pas à promouvoir correctement la sécurité et l’efficacité des vaccins contre le COVID-19 auprès des femmes enceintes et des nouvelles mères, l’ACOG sera obligé de restituer tout l’argent qu’il a reçu au HHS.

    Dans le cadre de la conformité, l'ACOG a rejoint le HHS dans son programme « COVID-19 Community Corps » le 1er avril 2021, pour créer un réseau de dirigeants communautaires locaux qui pourraient encourager les femmes enceintes et les nouvelles mères à se faire vacciner contre le COVID-19.

    Le HHS et le CDC ont fourni des informations sur la santé publique et des faits sur le COVID-19, tandis que le vice-président Kamala Harris et le chirurgien général Vivek Murthy ont rencontré les membres fondateurs pour planifier une campagne d'éducation publique de la Maison Blanche promouvant les vaccinations et renforçant la confiance dans les vaccins. .

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  77. De plus, lorsque l'ancienne directrice du CDC, la Dre Rochelle Walensky, a commencé à recommander à toutes les femmes enceintes de se faire vacciner le 23 avril 2021, l'ancien président de l'ACOG, le Dr J. Martin Tucker, ainsi que le Dr William Grobman, président de la Society of Maternal-Fetal Medicine. , a également commencé à le faire deux mois plus tard malgré l’absence de données d’essais cliniques.

    L'ACOG pousse également les femmes enceintes à recevoir des rappels de vaccin
    En plus de recommander des vaccins contre la COVID-19 sans données substantielles, l’ACOG a élargi ses recommandations pour inclure de nouveaux vaccins de rappel bivalents contre la COVID-19, malgré l’absence d’approbation de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis.

    "La vaccination peut avoir lieu à n'importe quel trimestre, et l'accent doit être mis sur la réception du vaccin le plus tôt possible afin de maximiser la santé maternelle et fœtale. Cette recommandation s'applique à la fois aux séries primaires et aux vaccinations de rappel", a déclaré l'ACOG sur son site Internet.

    De plus, l’ACOG a déclaré que les vaccins contre la COVID-19 pourraient être administrés simultanément avec d’autres vaccins, tels que les vaccins contre la grippe et le Tdap, malgré l’absence d’essais cliniques démontrant la sécurité de la co-administration de plusieurs vaccins aux femmes enceintes.

    Cependant, les fiches d'information de la FDA sur les vaccins bivalents Moderna et Pfizer indiquent le contraire :

    « Les données disponibles sur le vaccin Moderna contre la COVID-19 administré aux femmes enceintes sont insuffisantes pour éclairer les risques associés au vaccin pendant la grossesse. Les données ne sont pas disponibles sur le vaccin Moderna contre la COVID-19, bivalent, administré aux femmes enceintes. »

    "Aucune donnée n'est disponible concernant l'utilisation du vaccin bivalent Pfizer-BioNTech contre la COVID-19 pendant la grossesse. Les données disponibles sur le vaccin Pfizer-BioNTech contre la COVID-19 administré aux femmes enceintes sont insuffisantes pour informer sur les risques associés au vaccin pendant la grossesse."

    C’est-à-dire qu’ils ont tous deux souligné l’absence de données sur l’utilisation des vaccins Moderna et Pfizer pendant la grossesse, soulignant le manque d’informations sur les risques associés aux vaccins. Toutefois, malgré ces incertitudes, la recommandation de l’ACOG reste ferme.

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  78. Apprenez-en davantage sur la dangerosité des vaccins contre le COVID-19 sur VaccineDamage.news.

    Regardez Ben Armstrong discuter de la corruption de l'ACOG par le gouvernement pour promouvoir les vaccins contre le COVID-19 dans « The Ben Armstrong Show ».

    Cette vidéo provient de la chaîne The New American sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires connexes:

    Si votre médecin vous a dit de vous faire « vacciner » contre le COVID, il a été corrompu, comme le montrent les preuves.

    Les données de Pfizer révèlent que les vaccins contre le COVID-19 n’ont JAMAIS été sans danger pour les femmes enceintes.

    Infirmière dénonciatrice : Les décès fœtaux ont grimpé en flèche depuis que les femmes enceintes ont commencé à être obligées de se faire vacciner contre la COVID-19.

    L'OB/GYN affirme que les injections de covid déclenchent des événements indésirables « massifs » et « sans précédent » chez les femmes enceintes et les bébés.

    ANALYSE DES DONNÉES : Augmentation des fausses couches et des mortinaissances directement liées aux vaccins COVID-19.

    Sources include:

    TheEpochTimes.com
    SHTFPlan.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-09-12-hhs-paid-acog-encourage-pregnant-women-vaccinated.html

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  79. La FDA autorise de nouvelles injections Covid-19 de Pfizer et Moderna


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 11 SEPTEMBRE 2023 - 21:25


    La matrice continue de bugger...

    Maintenant que seuls les libéraux les plus instables mentalement exigent que le gouvernement les protège d'une mort quasi certaine en les forçant à porter des couches pour le visage qui ne fonctionnent pas - et n'ont jamais - fonctionné, dans l'après-midi du 11 septembre, les régulateurs américains des médicaments - dont beaucoup espèrent sans aucun doute obtenir une offre d’emploi chez Pfizer ou Moderna dès qu’ils auront quitté le secteur public – ils ont autorisé les nouveaux vaccins contre le COVID-19 pour tenter de contrer la faible efficacité de la liste actuelle.

    La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a autorisé les vaccins Moderna et Pfizer qui seront disponibles pour les Américains dès l'âge de 6 mois plus tard ce mois-ci. C'est une autre question de savoir si quelqu'un prendra ces injections à la suite des récentes informations suggérant que les effets secondaires des injections de covid sont bien plus dangereux que le soi-disant « vaccin » qui ne prévient pas réellement l'infection.

    "La vaccination reste essentielle à la santé publique et à la protection continue contre les conséquences graves du COVID-19, notamment l'hospitalisation et la mort", a déclaré le Dr Peter Marks, un haut responsable de la FDA, dans un communiqué.

    "Nous encourageons vivement ceux qui sont éligibles à envisager de se faire vacciner."

    La FDA a approuvé les vaccins Moderna et Pfizer pour les personnes âgées de 12 ans et plus. Les régulateurs ont accordé une autorisation d’urgence pour les injections destinées aux personnes âgées de 6 mois à 11 ans. Aucune mention n’a été faite de Novavax, dont le vaccin est également disponible aux États-Unis.

    Les piqûres ciblent XBB.1.5, une sous-variante de la variante du virus Omicron. Cette sous-variante a déjà été largement remplacée par des souches plus récentes, notamment EG.5, selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis.

    Les autorisations sont intervenues malgré le manque de données issues des essais cliniques.

    Comme le rapporte Epoch Times, Moderna affirme que sa nouvelle injection dans un essai a induit des réponses immunitaires contre EG.5 et d’autres variantes plus récentes. Pfizer affirme que les données précliniques ont montré que les anticorps générés par son nouveau vaccin « neutralisent efficacement » l'EG.5, également connu sous le nom d'Eris.

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  80. Les nouvelles injections ont été autorisées sur la base d'études sur les niveaux d'anticorps neutralisants qui semblaient montrer "une ampleur similaire au degré de neutralisation observé avec les versions antérieures des vaccins contre les variantes antérieures correspondantes contre lesquelles ils avaient été développés pour fournir une protection", a déclaré la FDA. . "Cela suggère que les 'vaccins' conviennent bien pour se protéger contre les variantes du COVID-19 actuellement en circulation."

    Le CDC prévoit de rencontrer ses conseillers mardi pour déterminer à quelles populations il devrait recommander de recevoir les nouveaux vaccins. Si le comité recommande un vaccin, le gouvernement fédéral doit le payer.

    De nombreux pays ont suggéré aux personnes jeunes et en bonne santé de ne pas se faire vacciner contre le COVID-19, la maladie étant en voie de disparition.

    Le Royaume-Uni, par exemple, a déclaré en août que la vaccination cet automne n’était recommandée que pour certains groupes, y compris les personnes désignées comme à risque.

    Le CDC a réduit ses recommandations plus tôt cette année pour certaines populations.

    La directrice du CDC, le Dr Mandy Cohen, a déclaré plus tôt cette année que le CDC était sur le point de recommander des injections annuelles contre le COVID-19.

    Pfizer et Moderna ont déclaré que les nouveaux vaccins coûteraient entre 110 et 130 dollars.

    Nombre de tirs
    Les nouvelles injections sont autorisées pour un nombre variable d’injections, en fonction du groupe d’âge et de la vaccination antérieure. Les personnes âgées de 5 ans et plus, qu'elles aient ou non reçu un vaccin, peuvent recevoir une dose unique de l'une des nouvelles injections.

    Les enfants âgés de 6 mois à 4 ans préalablement vaccinés peuvent recevoir une ou deux doses de l’un des nouveaux vaccins.

    Les enfants de ce groupe d’âge qui n’ont pas été vaccinés peuvent recevoir trois doses du nouveau vaccin Pfizer ou deux doses du nouveau vaccin Moderna.

    Un autre remplacement

    La FDA a autorisé et le CDC a recommandé la mise à jour des injections à l’automne 2022 dans un contexte de diminution de l’efficacité. Ces tirs étaient bivalents et contenaient des composants de la souche Wuhan et d’Omicron.

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  81. Ces injections n’ont pas donné de bons résultats contre les infections ou les maladies graves, selon les données d’observation. Ils ont été autorisés et recommandés sur la base de tests sur les animaux.

    Seulement 17 % de la population américaine avait reçu une dose bivalente au 10 mai, dernière date pour laquelle le CDC répertorie les données. Certains médecins ont choisi de ne pas les recevoir.

    La FDA a déclaré qu’elle prévoyait de mettre à jour les vaccins sur une base annuelle. C'est ce qui se fait actuellement pour les vaccins contre la grippe.

    Une enquête menée auprès de plus de 2 000 adultes en Arizona a révélé que la principale raison pour laquelle ils ne recevaient pas de bivalent était la protection contre une infection antérieure.

    D’autres raisons courantes incluaient la méfiance à l’égard des effets secondaires, la conviction que le rappel n’ajouterait pas de protection et la conviction que le rappel ne protégerait pas contre l’infection.

    Novavax avait déclaré que son nouveau vaccin fonctionnait bien contre les nouvelles variantes, mais la FDA ne l'a pas autorisé. Novavax a déclaré dans un communiqué que son vaccin mis à jour était « en cours d'examen » par la FDA, qui n'a pas répondu à une demande de commentaires.

    Critique

    Certains experts ont critiqué les autorités américaines pour avoir autorisé les nouveaux tirs sans données solides.

    "Il n'y a pratiquement aucune donnée", a déclaré le chirurgien général de Floride, le Dr Joseph Ladapo, lors d'une récente conférence de presse.

    "Non seulement cela, mais il y a beaucoup de signaux d'alarme."

    Il a souligné que des études révélaient que l’efficacité des vaccins devenait négative avec le temps. D'autres articles ont révélé que les vaccins provoquent des problèmes cardiaques comme une inflammation cardiaque, a noté le médecin.

    "Il est vraiment irresponsable de la part de la FDA, du CDC et d'autres de défendre quelque chose... alors que nous n'en connaissons pas les implications", a-t-il déclaré.

    Le Dr Paul Offit, conseiller de la FDA, a suggéré au Daily Mail que les personnes plus jeunes et en bonne santé qui ont déjà été vaccinées n'ont pas besoin d'une des nouvelles doses.

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  82. "Nous sommes mieux servis en ciblant ces doses de rappel sur ceux qui sont les plus exposés au risque de maladie grave", comme les personnes de plus de 75 ans, a déclaré le Dr Offit.

    "Stimuler les jeunes en bonne santé est une stratégie à faible risque et peu rémunératrice", a-t-il ajouté.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/fda-authorizes-new-covid-19-shots-pfizer-moderna

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  83. Prof. Martin Neil : Une pneumonie non traitée et non le Corona responsable de la maladie et de la mort


    13 septembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Dans le sous-groupe des professeurs Martin Neil et Norman Fenton, il est une fois de plus méticuleusement prouvé que la cause des maladies graves et des décès en cas d'infection corona réside principalement dans le refus de traiter avec des antibiotiques. C’était autrefois la référence, mais elle a été interdite au début de la pandémie de Corona.

    La pneumonie bactérienne est une comorbidité courante des infections respiratoires virales. Jusqu’au début de l’année 2020, l’administration d’antibiotiques était la norme en cas d’aggravation de l’état. Cependant, en mars et avril 2020, les directives ont été modifiées et ont mis en garde contre l’utilisation d’antibiotiques car ils seraient nocifs pour le cœur. En Allemagne, la prescription d'antibiotiques a chuté, selon les données des caisses d'assurance maladie . Au lieu des antibiotiques, une ventilation forcée précoce a été recommandée, ce qui entraîne un taux de mortalité élevé. TKP en a parlé en détail ici et ici .

    Martin Neil écrit que la première victime du pathogène connu sous le nom de SRAS-CoV-2 était le « Patient Zéro », dont le cas a été enregistré le 26 décembre 2019 à Wuhan, en Chine. Il a été hospitalisé avec des symptômes respiratoires, notamment de la fièvre, des étourdissements et de la toux.

    Le Patient Zéro était relativement jeune et n'avait aucun problème de santé significatif, mais il a subi une série de tests, notamment le séquençage génétique du liquide de ses voies respiratoires. Cela aurait conduit à la découverte d’un nouveau coronavirus, plus tard nommé SARS-CoV-2.

    Comme décrit dans la publication révolutionnaire de Nature du 3 février 2020, les caractéristiques cliniques de la maladie du prétendu patient zéro, dont le génome du « nouveau virus » aurait été séquencé, sont tout à fait typiques d’une pneumonie bactérienne normale . Puisqu’il ne présentait aucun symptôme inhabituel, il ne s’agissait clairement pas d’une réaction médicale de routine à ce qui semble être une infection respiratoire typique.

    Mais ce n’est pas tout ce qu’il y a d’étrange dans cette histoire. Avez-vous déjà beaucoup lu sur les vaccins contre la pneumonie ? Les chercheurs ont découvert qu'un prétendu vaccin préventif contre l'une des principales causes de pneumonie bactérienne, le vaccin antipneumococcique, est parfois administré aux personnes âgées et vulnérables. Il a cependant été très difficile à obtenir en 2020 .

    Les chercheurs qui ont étudié l’interaction entre la pneumonie bactérienne et le SRAS-CoV-2 ont découvert que la vaccination contre la pneumonie bactérienne réduit statistiquement de manière significative le risque de Covid-19. Mais comment un vaccin contre une bactérie peut-il réduire le risque lié à un virus ?

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  84. Co-infections de bactéries (microbes) et de virus (poussières)

    Des études sur l'étiologie de la pneumonie ont montré que des espèces virales colonisent le nasopharynx des patients après avoir contracté une pneumonie bactérienne, ce qui suggère qu'une pneumonie séquentielle suivie d'une infection virale et une infection parallèle, les deux infections survenant ensemble, sont possibles. Cependant, dans la littérature et la pratique médicales, on suppose généralement le contraire : une infection virale suivie d’une infection bactérienne, et depuis 2020, le SRAS-CoV-2 est identifié comme la « nouvelle » cause.

    Ces résultats de recherche suggèrent que le risque réel pour les patients n’est pas du tout le SRAS-CoV-2, mais la pneumonie bactérienne, et que le SRAS-Cov-2 est secondaire ou masque la pneumonie bactérienne et non l’inverse. Se pourrait-il alors que la pneumonie bactérienne se contracte dans la communauté plutôt qu'à l'hôpital et que le signal d'infection virale suive la pneumonie bactérienne ? Et si oui, pourquoi l’accent a-t-il été mis sur un virus et non sur le risque omniprésent de pneumonie bactérienne ?

    Les changements de directives sont à l’origine des décès

    De nombreuses images horrifiantes circulant dans les médias au printemps 2020 provenaient des unités de soins intensifs et montraient des patients traités sous respirateur. Il a été affirmé que des personnes mouraient de détresse respiratoire aiguë causée par le SRAS-CoV-2 alors qu’elles étaient sous respirateur. La pneumonie sous ventilation assistée (PAV) est une maladie bien connue dans laquelle les patients ventilés ont un risque de décès significativement plus élevé après avoir contracté une pneumonie « secondaire » pendant leur ventilation. De nombreux patients décédés des suites d’une PAV au printemps 2020 ont été enregistrés comme étant décédés du SRAS-CoV-2.

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  85. Bien que les autorités reconnaissent les taux élevés de pneumonie liée à la ventilation assistée, leur utilisation continue d'être défendue comme nécessaire. Même Anthony Fauci a reconnu que la ventilation était surutilisée . Cette surutilisation de la ventilation s'est accompagnée de changements dans les protocoles, de retards d'admission et de changements dans les médicaments et les tests. Étant donné que la plupart des personnes décédées du « Covid-19 avec symptômes respiratoires » sont décédées dans des unités de soins intensifs, il semble inadmissible d’attribuer ces décès au SRAS-CoV-2. Les données d'observation sont très confuses, et celaLes décès sont tout aussi susceptibles de résulter d’une infection bactérienne et de modifications des protocoles de traitement que d’agents pathogènes découverts ou non détectés, entre autres facteurs.

    Dans un article paru en 2008 dans le Journal of Infectious Diseases (sur la pandémie de grippe espagnole), Anthony Fauci conclut : La prévention, le diagnostic, la prophylaxie et le traitement des pneumonies bactériennes secondaires, ainsi que la constitution de stocks d'antibiotiques et de vaccins bactériens, devraient également être des priorités élevées. dans la planification en cas de pandémie.

    Indépendamment de la création ou non de tels stocks d’antibiotiques, les prescriptions d’antibiotiques dans la population ont été considérablement réduites au printemps 2020. Rappelons qu’au printemps 2020, il était demandé aux personnes souffrant de symptômes du Covid de s’isoler. Cela donnerait aux agents pathogènes le temps de se multiplier et de développer une maladie plus grave, qui pourrait alors être plus difficile à traiter. De nombreuses personnes se sont présentées tardivement à l’unité de soins intensifs, avec une pneumonie naissante ou persistante (peut-être due à la saison grippale normale précédente) se faisant passer pour Covid-19, et n’ont peut-être pas été traitées avec des antibiotiques jusqu’à ce que leur état se détériore davantage.

    La réticence à effectuer des tests bactériologiques dans l’unité de soins intensifs (et à exposer le personnel à un agent pathogène soi-disant mortel) pourrait avoir été un autre facteur. Les patients souffraient donc d’essoufflement plus que par le passé. L’admission tardive en réanimation et l’administration très tardive d’antibiotiques peuvent ne pas les protéger d’une infection bactérienne (détectée ou non).

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  86. Confondre pneumonie et Covid-19 répète une tactique officielle de longue date consistant à confondre grippe et pneumonie. Il existe des preuves selon lesquelles une diminution de la perception par le public de la menace de grippe aurait pu conduire l'industrie pharmaceutique à tenter de modifier l'image de la menace ainsi qu'une nouvelle gamme de produits commercialisables pour répondre à cette menace.

    Bons résultats avec des antibiotiques

    Contrairement aux conclusions présentées ci-dessus, des médecins de Tolède, en Espagne, ont administré des antibiotiques à des patients atteints du Covid-19 au printemps 2020, contrairement aux instructions officielles. Cela n’a entraîné aucune hospitalisation ni aucun décès dans leurs maisons de retraite après le début du traitement de routine. La mortalité qui en a résulté était d’environ 7 pour cent au printemps 2020, contre 28 pour cent dans d’autres maisons de retraite comparables (et les 7 pour cent sont décédés avant le début des antibiotiques de routine).

    L’hypothèse (pneumonie) selon laquelle une partie des décès dus au Covid-19 en 2020, en particulier ceux accompagnés de symptômes respiratoires, étaient causés par une pneumonie bactérienne, et que la pneumonie bactérienne aurait pu être l’infection primaire plutôt que secondaire, semble assez solide. C’est important car cela remet en question les idées reçues sur la véritable cause des décès dus à la « pandémie » – une bactérie ou un virus, les deux ou ni l’un ni l’autre ? Cela remet également en question la manière dont l’agent pathogène s’est propagé et, surtout, comment et si la maladie a été traitée de manière adéquate.

    Une autre confirmation que la pneumonie bactérienne et non le Covid est le véritable danger vient de deux groupes de médecins qui ont réussi à 100 % à utiliser des antibiotiques pour traiter le « Covid ».

    https://tkp.at/2023/09/13/prof-martin-neil-unbehandelte-lungenentzuendung-und-nicht-corona-fuer-krankheit-und-tod-verantwortlich/

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  87. La carence en vitamine D, facteur clé des formes graves de Covid-19 et des décès – études supprimées


    13 septembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Le conseiller scientifique en chef de la Nouvelle-Zélande a publié un rapport le 2 juin 2020 concluant que la carence en vitamine D joue un rôle clé dans les formes graves de Covid-19 et dans les décès. Il a documenté les dernières recherches, travaux menés par des chercheurs philippins et indonésiens, montrant que les formes graves de COVID-19 et les décès sont liés à une carence en vitamine D.
    Un mois plus tard, les deux articles ont été supprimés et les chercheurs indonésiens ont disparu de la scène, tandis qu'un article (également d'Indonésie) est sorti affirmant que la vitamine D était une « désinformation » et que les chercheurs indonésiens n'avaient jamais existé !

    Ces premiers chercheurs sur la vitamine D et le Covid-19 ont-ils été anéantis ? Au moins quatre premières études sur la vitamine D ont été sabotées ou supprimées. La carence en vitamine D était le facteur clé des formes graves de Covid-19 et des décès. La vitamine D était tout ce dont nous avions besoin et tout le monde au sein de la Santé publique le savait.

    Le titre de l'examen du conseiller scientifique en chef de la Nouvelle-Zélande est simplement intitulé « RAPID REVIEW: COVID-19 and vitamin D » et peut toujours être consulté sur le site Web du gouvernement néo-zélandais et sur le site du Dr. William Makis les a déterrés.

    Des recherches ultérieures menées dans le monde entier leur ont donné raison. TKP a publié toute une série d’études sur la vitamine D car ses effets sont connus depuis longtemps et les mécanismes biochimiques largement élucidés. Un niveau supérieur à 50 ng/ml offre une protection fiable et TKP en a également fait état dans plusieurs articles .

    D'autres études ont montré

    Environ 90 % des décès dus au COVID-19 sont survenus chez des patients présentant des taux de vitamine D < 30 ng/mL.
    Environ 95 % des décès dus au COVID-19 sont survenus chez des patients présentant des taux de vitamine D <40 ng/mL.

    Tout ce qu’il aurait fallu, c’était des tests de vitamine D et des suppléments, mais cela n’a pas été fait. Pas un seul responsable de la santé publique, ministre de la Santé ou homme politique ne l’a défendu. Pourquoi ?

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  88. Si le gouvernement néo-zélandais savait en juin 2020 que pour sauver des vies pendant la pandémie de COVID-19, il suffisait d’apporter de la vitamine D aux gens, alors tous les gouvernements le savaient.

    Si tous les gouvernements connaissaient la vitamine D et choisissaient de ne pas fournir de vitamine D à leur population ou de promouvoir la vitamine D, alors leur intention a toujours été de laisser les gens mourir du Covid-19 et d’augmenter le nombre de décès dus à la conduite automobile. Et ainsi pouvoir poursuivre la « pandémie » et vendre la campagne de vaccination à la population.

    La vitamine D a été victime d'une campagne de diffamation et de sabotage de mai à septembre 2020, exactement au même moment où l'hydroxychloroquine et l'ivermectine étaient également sabotées par des publications frauduleuses (comme la publication Mehra/Surgisphere de mai 2020 dans le Lancet #Lancetgate, qui hydroxychloroquine le fini) ?

    La littérature sur les bienfaits de la vitamine D est variée, comme dans le livre « Herd Health » de l’auteur invité du TKP, PD. docteur méd. Michel Nehls. Afin de traverser la saison des maladies respiratoires, il est recommandé de se supplémenter en vitamine D.

    Une fois que le soleil reste à un angle de 45 degrés, les UVB ne passent plus à travers en raison du trajet plus long des rayons du soleil dans l'air. Si vous disposez d’un bon coussin pour l’été, il durera un certain temps, mais le niveau baissera lentement. La prohormone vitamine D3, la forme de stockage également appelée calcidiol, a une demi-vie d'environ 6 semaines. Les miroirs peuvent être facilement mesurés et vous pouvez les ajouter de manière ciblée.

    https://tkp.at/2023/09/13/vitamin-d-mangel-schluesselfaktor-fuer-schweres-covid-19-und-tod-studien-wurden-geloescht/

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  89. La FDA approuve les vaccins COVID « mis à jour » de Pfizer et Moderna sur la base de ZÉRO PREUVE de sécurité ou d’efficacité


    13/09/2023
    Ethan Huff


    Comme prévu, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis n'a pas pu approuver assez rapidement les dernières injections de rappel du coronavirus de Wuhan (COVID-19) de Pfizer et Moderna, car les injections sont maintenant prêtes à être distribuées après l'approbation de l'agence.
    Malgré l'absence totale et totale de preuves scientifiques démontrant soit l'innocuité, soit l'efficacité, les injections, qui, selon CNBC, ciblent la « variante omicron XBB.1.5 », seront accessibles au public au moment où vous lirez cet article.

    Avant que le COVIDIOTS puisse réellement en recevoir un dans le bras, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis devront émettre une recommandation officielle pour leur utilisation. Ce n’est qu’à ce moment-là que les vaccins seront disponibles dans les pharmacies, les cliniques et les prestataires de soins de santé.

    Selon CNBC, ces derniers vaccins COVID sont une version « mise à jour » des précédents rappels de Pfizer et Moderna. Aux États-Unis, les personnes âgées de 12 ans et plus sont autorisées à recevoir les nouvelles injections, tandis que les enfants âgés de six mois à 11 ans sont autorisés en cas d'urgence à se faire injecter.

    (Connexe : Saviez-vous que l'un des effets secondaires très graves de la « vaccination » contre le COVID est la lèpre ?)

    La FDA dit qu'elle n'a pas encore pris de décision concernant le vaccin COVID « à base de protéines » de Novavax
    Une fois que le CDC aura approuvé sans réserve son approbation pour les vaccins, le régime Biden les enverra à une vitesse vertigineuse vers des sites de distribution partout en Amérique. D’ici l’automne, les nouvelles injections seront très probablement prêtes à être injectées en masse.

    Quant au rappel COVID de Novavax, qui n’a pas participé au programme Operation Warp Speed ​​de l’administration Trump, la FDA n’a pas encore pris de décision à ce sujet.

    Selon les rapports, le vaccin Novavax COVID est différent des vaccins COVID à ARNm de Pfizer et Moderna. Il utilise une technologie à base de protéines vieille de plusieurs décennies, ayant été utilisée dans d'autres vaccins tels que ceux contre l'hépatite B et le zona.

    "Pendant ce temps, les injections de Pfizer et Moderna utilisent l'ARN messager, qui enseigne aux cellules comment fabriquer des protéines qui déclenchent une réponse immunitaire contre le Covid", explique CNBC.

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  90. On nous dit cependant que ces injections nouvelles et améliorées ne ciblent pas les variantes dominantes actuellement en circulation. Pfizer, Moderna et Novavax affirment tous que leurs injections respectives offriront toujours une certaine protection, surtout à mesure que le temps se refroidit.

    "Nous espérons que le vaccin de cette saison sera disponible dans les prochains jours, en attendant les recommandations des autorités de santé publique", a proclamé Albert Bourla, PDG de Pfizer.

    Comme d'habitude, Bourla et son homologue de Moderna exhortent les Américains à se précipiter immédiatement une fois que les vaccins seront disponibles afin de pouvoir se faire vacciner immédiatement. Cela garantira que des milliards de dollars afflueront dans les deux sociétés, enrichissant encore davantage la fortune de Bourla.

    Tout comme ils l’ont fait lors de la crise du COVID 1.0, les grands médias affirment que les hospitalisations sont en augmentation. Et pour les faire redescendre, tout le monde doit se faire injecter les derniers boosters COVID.

    "Les vaccins mis à jour devraient offrir une bonne protection contre le COVID-19 contre les variantes actuellement en circulation", a déclaré la FDA dans un communiqué faisant suite à sa décision.

    Pfizer, Moderna et Novavax affirment tous que les « données des premiers essais » suggèrent que leurs injections respectives pour le COVID offrent une protection supplémentaire contre « Eris », c'est ainsi qu'ils ont nommé une nouvelle souche présumée en circulation de la grippe Fauci.

    Il est intéressant de noter que toutes les injections de rappel COVID précédentes de Pfizer et Moderna ne sont plus autorisées aux États-Unis. Toute personne qui se fera vacciner contre le COVID dans les prochains jours n’aura accès qu’aux rappels les plus récents.

    La FDA est devenue voyou et doit être immédiatement dépouillée de son pouvoir. Apprenez-en davantage sur FDA.news.

    Les sources de cet article incluent :

    CNBC.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-09-13-fda-approves-updated-covid-jabs-zero-evidence.html

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  91. Le lanceur d’alerte américain qui a révélé la recrudescence de la myocardite dans l’armée après l’introduction du vaccin contre le COVID rend son rapport public

    Le lieutenant Ted Macie, officier de marine, a fourni de nouvelles données montrant une augmentation des accidents, des automutilations et des agressions dans l'armée en 2021.


    Par J.M. Phelps
    Mondialisation.ca,
    13 septembre 2023


    Un militaire qui, au début de l’année, a dénoncé et divulgué des données provenant d’une base de données médicales du Pentagone et montrant un pic du taux de myocardite dans l’armée en 2021, après le lancement des vaccins contre le COVID-19, rend son témoignage public.

    Le dénonciateur est le lieutenant Ted Macie, officier du corps médical de la marine. Il a également révélé de nouvelles données montrant une augmentation substantielle des accidents, des agressions, des automutilations et des tentatives de suicide dans l’armée en 2021, par rapport à la moyenne de 2016 à 2021.

    Ces données font état d’une augmentation de 147 % des cas d’automutilation intentionnelle chez les militaires et d’une augmentation de 828 % des blessures causées par des agressions.

    Le lieutenant Macie a déclaré à l’Epoch Times qu’il avait commencé à « surveiller » une base de données médicale de la défense lorsqu’un autre dénonciateur l’a alerté sur une augmentation des incidents liés à la santé au cours de l’hiver 2021/2022.

    La base de données épidémiologiques médicales de la défense (DMED) contient tous les diagnostics — enregistrés à l’aide des codes de la classification internationale des maladies (CIM) — lorsqu’un membre actif du service est examiné sur la base ou en dehors de celle-ci par un prestataire militaire ou civil. La base de données ne contient aucune information permettant d’identifier personnellement les militaires.

    En janvier, le lieutenant Macie et son épouse se sont rendus à Washington avec un rapport sur les données qu’il a recueillies auprès de la DMED.

    On montre ainsi que les diagnostics de myocardite, une forme d’inflammation cardiaque, ont fait un bond de 130,5 % en 2021 par rapport à la moyenne des années 2016 à 2020. La myocardite est une maladie grave qui peut entraîner la mort.

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  92. Les quatre vaccins contre le COVID-19 autorisés aux États-Unis peuvent provoquer une myocardite, selon les autorités américaines. Le COVID-19 peut également provoquer une myocardite, mais certains experts estiment que les données à ce sujet sont plus faibles.

    Le secrétaire américain à la défense, Lloyd Austin, a rendu ces vaccins obligatoires en 2021, une obligation qui est restée en vigueur jusqu’à ce que le Congrès impose son retrait à la fin de l’année 2022.

    Les données ont également montré une augmentation des diagnostics d’embolie pulmonaire (41,2 %), de caillots sanguins dans les poumons, de dysfonctionnement ovarien (38,2 %) et de « complications et descriptions mal définies de maladies cardiaques » (37,7 %).

    Données DMED
    Le lieutenant Macie a téléchargé les données près d’un an après que le Pentagone a déclaré avoir résolu un problème de corruption des données du DMED.

    En 2022, d’autres dénonciateurs militaires ont fait état de pics choquants dans les taux de maladie après l’introduction du vaccin contre le COVID-19. Mais le Pentagone a répondu que ces chiffres n’étaient pas corrects parce que certains diagnostics des années 2016 à 2020 n’avaient pas été comptabilisés, un problème dû à des données « corrompues ».

    Après que le Pentagone a déclaré que le problème avait été corrigé, le lieutenant Macie et d’autres personnes — dont le lieutenant Mark Bashaw, officier de médecine préventive de l’armée de terre, le lieutenant de marine Billy Mosley, le lieutenant-colonel Theresa Long, chirurgien de l’armée de terre, et le major Samuel Sigoloff, médecin de l’armée de terre — ont remarqué qu’il y avait encore des signes inquiétants d’augmentation des diagnostics, tels que la myocardite et l’embolie pulmonaire.

    « >Depuis que la nouvelle s’est répandue que le lieutenant Macie était le seul membre actif de son commandement à ne pas avoir reçu le vaccin contre le COVID-19 et qu’il poursuivait activement le secrétaire à la défense, le lieutenant Macie a déclaré que les gens ont commencé à venir le voir en toute confiance pour lui faire part d’effets secondaires indésirables, dont ils étaient convaincus qu’elles étaient « dues à l’injection ».

    « Ces blessures personnelles anecdotiques, mais convaincantes, ont été une source de motivation pou mettre les choses sur la bonne voie. »

    Le sénateur Ron Johnson (Républicain-Wisconsin) s’exprime lors d’une interview pour American Thought Leaders à Washington le 15 mai 2023.

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  93. Après avoir vérifié le rapport du lieutenant Macie auprès de la sous-commission d’enquête du Sénat, le sénateur Ron Johnson principal membre républicain de cette commission, a envoyé une lettre (Fichier PDF) à M. Austin en mars, demandant au Pentagone de confirmer les données du lieutenant Macie.

    Le lieutenant Macie se doutait que le Pentagone ne répondrait pas, compte tenu de son expérience des demandes antérieures faites au sein du département et restées sans suite.

    « Au cas où nos soupçons seraient fondés, j’ai gardé des données supplémentaires à révéler dès que celles que nous avions apportées [à Washington] auraient été confirmées, ou après avoir été ignorées pendant un certain temps », a-t-il déclaré.

    “À ma grande surprise”, a déclaré le lieutenant Macie, le Pentagone a confirmé, dans une réponse datée de juillet (Fichier PDF) à la lettre de M. Johnson, que ses données étaient exactes.

    Dans la réponse du Pentagone, Gilbert Cisneros Jr, sous-secrétaire à la défense pour le personnel et la préparation, a présenté des données sur le taux de cas pour 100 000 années-personnes, une manière de mesurer le risque sur une certaine période. Pour la quasi-totalité des affections pour lesquelles le nombre de cas a augmenté en 2021, le taux de nouveaux cas était plus élevé chez les militaires ayant déjà été infectés par le virus du COVID-19 que chez ceux qui avaient déjà été vaccinés contre ce virus.

    « Cela suggère qu’il est plus probable que ce soit l’infection [COVID-19] et non la vaccination contre le COVID-19 qui en soit la cause », a déclaré M. Cisneros.

    Le lieutenant Macie a déclaré qu’il avait l’intention de faire remonter les données supplémentaires qu’il avait conservées « à ma hiérarchie dans le but de trouver une solution et une validation pour les militaires victimes d’effets secondaires, mais je ne retiens pas mon souffle ».

    Le lieutenant Macie a également apporté ces nouvelles données au bureau du représentant Matt Gaetz (Républicaine-Floride), dans l’espoir d’attirer l’attention de la commission des forces armées de la Chambre des représentants, à laquelle M. Gaetz siège. Le lieutenant Macie ne sait pas ce que M. Gaetz et son équipe vont faire, mais le bureau du législateur a reconnu en juin qu’ils allaient jeter un coup d’œil. L’Epoch Times a contacté le bureau de M. Gaetz pour un commentaire.

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  94. Augmentation des accidents et des automutilations

    Selon ses recherches, les incidents liés à la santé en 2021 ont considérablement augmenté par rapport à la moyenne quinquennale de 2016 à 2020. “Comme on pouvait s’y attendre, les lésions internes telles que la myocardite (130 %), les acouphènes (42 %) et l’infarctus cérébral (43,5 %) sont en hausse.

    Mais c’est la femme de Macie qui s’est montrée curieuse, posant des questions sur d’autres types de problèmes de santé.

    « Qu’en est-il des morbidités dues à des causes externes, comme les brûlures, les accidents, les lésions auto-infligées et les blessures qui ne devraient pas être associées à l’injection contre le COVID ?

    Grâce aux nouvelles données qu’il a découvertes, les incidents suivants ont connu en 2021 des augmentations supérieures à la moyenne quinquennale : exposition aux forces de la nature (773 %), accidents de transport maritime (7 400 %), véhicules de transport terrestre (526 %), tentatives de suicide (33 %), agressions (828 %), glissades, trébuchements, chutes (471 %) et automutilations intentionnelles (147 %).

    Certains d’entre eux ont non seulement augmenté en 2021, mais ont continué à augmenter en 2022. L’Epoch Times a consulté des captures d’écran de ces données provenant de la DMED.

    Historiquement, si le Pentagone remarquait une tendance dans certains domaines tels que les abus et les suicides, le département organisait un stand-down de sécurité — une formation et un examen obligatoires à l’échelle de l’armée où tous les commandements exigent une participation à 100 %’.

    ‘Que feront les officiers généraux de haut rang, le chirurgien général, l’agence de santé de la défense et les chefs d’état-major lorsqu’ils apprendront que les codes CIM et les blessures liés à ces incidents sont en augmentation ?

    ‘Nous verrons bientôt si les personnes qui prétendent que le militaire est leur priorité absolue le démontrent réellement par leurs actions’, a-t-il ajouté.

    Selon le lieutenant Macie, il y a plusieurs possibilités concernant les nouvelles données collectées.

    Si les données sont correctes et confirmées par [le Pentagone], il faut aller plus loin qu’une simple mise en veille. Il faut s’attaquer immédiatement aux problèmes croissants tels que l’automutilation, les tentatives de suicide, les accidents et les agressions, et pas seulement au gâchis des blessures [dues aux vaccins]’.

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  95. Il a noté que le Pentagone pourrait, pour la deuxième fois, répondre que les données sont incorrectes, même si le ministère a déclaré précédemment qu’il avait résolu les problèmes de corruption des données dans le système afin d’éviter de nouvelles erreurs. Mais une telle réponse soulèverait encore plus de questions quant à l’intégrité de la base de données et à l’existence d’une dissimulation, a-t-il prévu.

    Le lieutenant Macie espère que le Congrès fera pression sur le Pentagone pour obtenir des réponses concernant ces nouvelles données.

    Mais si les législateurs n’y parviennent pas, ‘le peuple doit intervenir pour demander des comptes à notre gouvernement’.

    Le lieutenant Macie a souligné que ses opinions ne reflètent pas celles du ministère de la défense ou du ministère de la marine. Le Pentagone n’a pas répondu aux demandes d’explication de l’Epoch Times concernant l’augmentation des morbidités dues à des causes externes.

    https://www.mondialisation.ca/le-lanceur-dalerte-americain-qui-a-revele-la-recrudescence-de-la-myocardite-dans-larmee-apres-lintroduction-du-vaccin-contre-le-covid-rend-son-rapport-public/5681266?doing_wp_cron=1694667588.0424079895019531250000

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  96. Vidéo : Rapport « secret » de Pfizer sur le vaccin Covid. Au-delà de l'homicide involontaire. Les preuves sont accablantes. Le vaccin devrait être immédiatement retiré dans le monde entier


    Par le professeur Michel Chossudovsky
    Recherche mondiale,
    14 septembre 2023


    Note de l'auteur

    Pourquoi le « rapport confidentiel Pfizer » rendu public au titre de la liberté d’information (FOI) en octobre 2021 n’est-il pas cité ou évoqué dans les enquêtes parlementaires comme moyen de réfuter le discours officiel (qui prétend que le vaccin Covid-19 est « sûr et efficace »). efficace").

    Nous avons documenté de nombreuses enquêtes publiques. Les plus récentes sont les auditions du Sénat australien. (août 2023)

    Les preuves confirment amplement que le vaccin Pfizer est une substance dangereuse, entraînant des décès et des événements indésirables.

    Ceci est confirmé par le rapport confidentiel de Pfizer publié sous FOI en octobre 2021. Il vient de Horse's Mouth.

    Michel Chossudovsky , Global Research, 19 août 2023

    * * *

    Le rapport confidentiel fait l'effet d'une bombe. Le vaccin a été lancé à la mi-décembre 2020. Fin février 2021, « Pfizer avait déjà reçu plus de 1 200 rapports de décès prétendument causés par le vaccin et des dizaines de milliers d’effets indésirables signalés , dont 23 cas d’avortements spontanés survenus survenus à la mi-décembre 2020. » 270 grossesses et plus de 2 000 signalements de troubles cardiaques.

    Ce Rapport Confidentiel Pfizer fournit des données sur les décès et les événements indésirables enregistrés par Pfizer depuis le début du projet vaccinal en décembre 2020 jusqu'à fin février 2021, soit une période très courte (au maximum deux mois et demi).

    Les données de mi-décembre 2020 à fin février 2021 confirment sans équivoque « un homicide involontaire ». Sur la base des preuves, Pfizer avait la responsabilité d’annuler et de retirer immédiatement le « vaccin ».

    La commercialisation mondiale par Pfizer du vaccin Covid-19 au-delà du 28 février 2021 ne constitue plus un « acte d'homicide involontaire ».

    Le meurtre, par opposition à l’homicide involontaire, implique une « intention criminelle ».

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  97. Le vaccin Covid 19 de Pfizer constitue un acte pénal. D’un point de vue juridique, il s’agit d’un « acte de meurtre » appliqué dans le monde entier à une population cible de 8 milliards de personnes. Jusqu'à présent, plus de 60 % de la population mondiale a été vaccinée contre le Covid-19.

    Cliquez ici pour lire le rapport complet de Pfizer.
    voir aussi les détails dans les annexes

    Extraits choisis du rapport

    - voir sur site -

    Ce document fournit une analyse intégrée des données cumulatives de sécurité post-autorisation, y compris les rapports d'événements indésirables post-autorisation aux États-Unis et à l'étranger reçus jusqu'au 28 février 2021.

    (…)

    Pfizer est responsable de la gestion des données de sécurité post-autorisation pour le compte du MAH BioNTech conformément à l'accord de pharmacovigilance en vigueur. Les données de BioNTech sont incluses dans le rapport le cas échéant.

    Les rapports sont soumis volontairement et l’ampleur de la sous-déclaration est inconnue.

    (…)

    Au total, jusqu'au 28 février 2021 [en moins de trois mois], il y a eu un total de 42 086 rapports de cas (25 379 médicalement confirmés et 16 707 non médicalement confirmés) contenant 158 893 événements . La plupart des cas (34 762) ont été reçus des États-Unis (13 739), du Royaume-Uni (13 404), d'Italie (2 578), d'Allemagne (1 913), de France (1 506), du Portugal (866) et d'Espagne (756) ; les 7 324 restants étaient répartis entre 56 autres pays.

    (…)

    Comme le montre la figure 1 [voir ci-dessous], les classes de systèmes d'organes (SOC) qui contenaient le plus grand nombre (≥ 2 %) d'événements, dans l'ensemble des données globales, étaient les troubles généraux et les affections au site d'administration (51 335 EI), les troubles du système nerveux . (25 957), Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif (17 283), Troubles gastro-intestinaux (14 096), Troubles de la peau et du tissu sous-cutané (8 476), Troubles respiratoires, thoraciques et médiastinaux (8 848), Infections et infestations (4 610), Blessures, empoisonnements et procédures complications (5 590) et investigations (3 693

    - voir graph sur site -

    Cliquez ici pour lire Pfizer

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  98. L'entretien vidéo suivant avec le professeur Michel Chossudovsky concerne le rapport confidentiel Pfizer publié dans le cadre d'une procédure d'accès à l'information (FOI).

    Ce que contient le rapport « confidentiel » de Pfizer, ce sont des preuves détaillées des impacts du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ces données qui émanent de la « Bouche du Cheval » peuvent désormais être utilisées pour affronter ainsi que formuler des procédures juridiques contre les grandes sociétés pharmaceutiques, les gouvernements, l'OMS et les médias.

    Vidéo : Entretien avec Caroline Mailloux , Lux Media : Le professeur Michel Chossudovsky sur le rapport « secret » de Pfizer propose une stratégie et une procédure juridique pour affronter les grandes sociétés pharmaceutiques en vue de retirer le vaccin Covid-19 dans le monde

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    Parmi tous les acteurs majeurs des grandes sociétés pharmaceutiques, Pfizer a un casier judiciaire aux États-Unis (jugement du DoD de 2009).

    Vidéo : Pfizer a un casier judiciaire. Est-ce pertinent ?

    Par le ministère américain de la Justice ,

    Faites défiler vers le bas pour continuer la lecture de l'article

    Pour une analyse plus détaillée et complète (Livre sorti en août 2022)

    La crise mondiale du coronavirus, un coup d'État mondial contre l'humanité
    Détruire la société civile et provoquer une dépression économique

    Par Michel Chossudovsky

    ISBN : 978-0-9879389-3-0, Année : 2022, Type de produit : Fichier PDF, Pages : 164 (15 chapitres)

    Des traductions en plusieurs langues sont prévues. Le livre est disponible sous forme imprimée en japonais .

    Afin d'atteindre les millions de personnes dans le monde dont la vie a été affectée par la crise du coronavirus, nous avons décidé de distribuer GRATUITEMENT le livre électronique au cours des prochaines semaines .

    * * *

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  99. Devant un tribunal, les preuves contenues dans ce rapport confidentiel des grandes sociétés pharmaceutiques ( associées aux données sur les décès et les événements indésirables compilées par les autorités nationales de l'UE, du Royaume-Uni et des États-Unis ) sont irréfutables : car ce sont leurs données et leurs estimations et pas les nôtres.

    Gardez à l’esprit : il s’agit de données basées sur les cas signalés et enregistrés, qui constituent un petit pourcentage du nombre réel de décès et d’événements indésirables liés au vaccin.

    Il s’agit de facto d’ un Mea Culpa de la part de Pfizer. #Oui, c'est un vaccin tueur

    Pfizer était pleinement conscient que le vaccin à ARNm qu’il commercialise dans le monde entier entraînerait une vague de mortalité et de morbidité. Cela équivaut à un crime contre l’humanité de la part des Big Pharma.

    Pfizer savait dès le départ qu’il s’agissait d’un vaccin tueur.

    Il s’agit également d’un Mea Culpa et d’une trahison de la part des gouvernements nationaux corrompus du monde entier qui sont menacés et soudoyés par les grandes sociétés pharmaceutiques.

    Aucune tentative n’a été faite par les gouvernements pour appeler au retrait du vaccin tueur.

    On dit aux gens que le vaccin est destiné à sauver des vies.

    Cliquez ici pour lire le rapport Pfizer.
    Voir également les détails dans les annexes.

    https://www.globalresearch.ca/video-pfizers-secret-report-on-the-covid-vaccine-beyond-manslaughter-the-evidence-is-overwhelming-the-vaccine-should-be-immediately-withdrawn-worldwide/5780561

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  100. Opioïdes : les décès par surdose de drogue chez les adolescents liés au fentanyl ont triplé en trois ans


    Par le Dr Joseph Mercola
    Recherche mondiale,
    13 septembre 2023


    84 % de tous les décès par surdose chez les adolescents en 2021 étaient liés au fentanyl

    Les décès par surdose d'adolescents liés au fentanyl ont presque triplé entre 2019 et 2021, et un quart de ces décès concernaient des médicaments contrefaits – des pilules comme le Valium, le Xanax ou le Percocet, souvent obtenues auprès d'amis ou achetées via les réseaux sociaux.

    Le fentanyl est un opioïde synthétique incroyablement puissant. C'est 50 fois plus fort que l'héroïne et 100 fois plus fort que la morphine. Seulement 2 milligrammes, soit l’équivalent de 10 à 15 grains de sel de table, peuvent être mortels

    Avoir les bons outils, comme des bandelettes de test de fentanyl et du Narcan (naloxone) dans votre trousse médicale à la maison ou à l’école, peut également sauver des vies. N’achetez jamais de tests de fentanyl auprès d’amis ou en ligne. Obtenez-les toujours auprès de votre service de santé local ou d'un organisme communautaire de confiance, tel que des programmes de désintoxication, car des tests contrefaits sont en circulation. Assurez-vous également qu'il est légal de les obtenir dans votre état.

    Les fabricants de médicaments travaillent actuellement sur des vaccins anti-opioïdes, un contre l'héroïne, un contre l'oxycodone et un contre le fentanyl. On dit que le vaccin au fentanyl agit en empêchant le médicament de pénétrer dans le cerveau, éliminant ainsi l’expérience « élevée » des utilisateurs, ainsi que le risque de dépression respiratoire. Les autres vaccins fonctionnent sur le même principe

    *

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  101. Alors même que les décès liés aux opioïdes sont devenus l’une des principales causes de décès chez les Américains de moins de 50 ans1, une autre tendance horrible se dessine : les décès d’adolescents causés par des médicaments contrefaits contenant du fentanyl. 2 , 3

    Selon les Centers for Disease Control and Prevention, 4 à 84 % de tous les décès par surdose chez les adolescents en 2021 étaient liés au fentanyl, un opioïde synthétique incroyablement puissant. C'est 50 fois plus fort que l'héroïne et 100 fois plus fort que la morphine. Seulement 2 milligrammes, soit l’équivalent de 10 à 15 grains de sel de table, peuvent être mortels. 5 Tel que rapporté par USA Today : 6

    « Le fentanyl est responsable de plus de 67 000 décès évitables en 2021, ce qui représente une augmentation de 21 % depuis 2020, selon le Conseil national de sécurité. 7 Plus de 5 600 de ces décès sont survenus chez des personnes âgées de 15 à 24 ans.

    D’autres données montrent que les décès par surdose d’adolescents liés au fentanyl ont presque triplé entre 2019 et 2021, et qu’un quart de ces décès concernaient des médicaments contrefaits – des pilules comme le Valium, le Xanax ou le Percocet, souvent obtenues auprès d’amis ou achetées via les réseaux sociaux. 8

    Bien que bien plus mortel que les autres opioïdes, le fentanyl est beaucoup plus facile et moins cher à fabriquer, c'est pourquoi il est utilisé dans des contrefaçons. Sa puissance le rend cependant risqué. S’ils sont inégalement répartis, vous pouvez facilement vous retrouver avec des doses mortelles dans certaines pilules.

    En 2022, 75 000 des près de 110 000 décès par surdose étaient liés au fentanyl9, et encore une fois, des milliers d’entre eux étaient des adolescents. Dans le comté de Hays, au Texas, près de 40 % des surdoses liées au fentanyl en 2022 concernaient des personnes de moins de 18 ans10 – une statistique attribuée en partie à l’augmentation des problèmes de santé mentale chez les adolescents pendant la pandémie de COVID.

    La politique d'ouverture des frontières du président Biden a également été identifiée comme un facteur contributif, car le fentanyl et d'autres drogues illicites entrent sans entrave. L’accès insuffisant aux soins de santé mentale et au traitement de la toxicomanie en sont d’autres. 11

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  102. Nous devons relancer l’éducation sur les drogues

    Les écoles de tout le pays se demandent désormais comment répondre au mieux à cette nouvelle tendance. Beaucoup ne stockent pas le médicament anti-surdose Narcan, qui pourrait être utile, mais plus important encore, les écoles sensibilisent rarement les enfants et les adolescents aux dangers des drogues.

    La plupart des programmes éducatifs sont actuellement dirigés par des familles qui ont perdu un enfant ou un proche à cause du fentanyl. Les exemples incluent Project 1 Life, fondé par Avery Kalafatas, un jeune de 18 ans de la Bay Area dont le cousin est décédé d'une overdose de fentanyl après avoir pris ce qu'il pensait être un comprimé de Percocet.

    "Ce n'est pas comme la crise de la drogue à laquelle nous étions confrontés il y a 20 ans, c'est un jeu de balle complètement différent", a déclaré Kalafatas à NPR. 12 La situation est différente, car les étudiants recherchent rarement intentionnellement du fentanyl. Ils recherchent d'autres médicaments et finissent par prendre des contrefaçons.

    Beaucoup ne savent pas non plus à quel point le fentanyl peut être mortel et à quel point les médicaments contrefaits sont répandus. Un autre groupe axé sur l'éducation sur le fentanyl auprès des adolescents est Song for Charlie, fondé par Ed et Mary Ternan, qui ont perdu leur fils, Charlie, à la suite d'une surdose accidentelle de fentanyl.

    « Nous devons relancer l'éducation sur la drogue en Amérique », a déclaré Ed à NPR, ajoutant que le vieil adage « dites non » ne fonctionne pas avec les adolescents d'aujourd'hui. Ils ont besoin de messages fondés sur des faits, c’est ce que Song for Charlie diffuse sur les réseaux sociaux.

    « Plutôt que de se concentrer sur 'Ne prenez pas de drogues, elles pourraient vous faire du mal', le message de Song for Charlie est : 'Vous vous faites arnaquer.' Ces revendeurs qui font de la publicité sur les réseaux sociaux s'en moquent. Ils ne vous connaissent pas, ils ne sont pas vos amis et ils vous mentent sur ce qu'ils vous vendent », écrit NPR. 13

    «C'est ce qui est arrivé au plus jeune fils de Ternan, Charlie… En mai 2020, Charlie était sur son campus universitaire dans le nord de la Californie. Il était à quelques semaines de l'obtention de son diplôme et se préparait pour un entretien d'embauche. Il souffrait également. Ternan dit que son fils a récemment subi une opération au dos.

    Charlie a acheté ce qu'il pensait être un Percocet sur Snapchat. Il contenait du fentanyl. "En fait, il l'a pris quelques heures avant son entretien téléphonique", explique Ternan. "Et donc il est mort très rapidement dans sa chambre de sa fraternité en attendant que le téléphone sonne vers quatre heures un jeudi après-midi."

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  103. Après la mort de son fils, Ternan affirme que la plupart des informations sur le fentanyl qu'il a pu trouver ont été enfouies sur les sites Web du gouvernement et dans une poignée d'articles de presse.

    "Vous pouvez mettre ces informations dans ces endroits pendant les 10 prochaines années, et Charlie et ses amis ne les auraient jamais vues parce que ce n'est pas là qu'ils se trouvent." Là où ils se trouvent, c’est sur les réseaux sociaux.

    Ternan affirme que leurs messages font également appel aux liens sociaux forts des adolescents. Il a appris que dire aux adolescents d’avertir leurs amis du fentanyl est plus puissant que d’alimenter la peur de leur propre danger.

    Une sensibilisation accrue peut sauver des vies

    Une sensibilisation accrue aux risques du fentanyl et des médicaments contrefaits pourrait sauver de nombreuses vies. Selon une étude du CDC, 14 passants étaient présents dans les deux tiers des décès par surdose chez les adolescents. S'ils avaient reconnu les signes avant-coureurs et su comment réagir en cas de suspicion de surdose, ils auraient peut-être pu sauver bon nombre de ces enfants.

    Avoir les bons outils, comme des bandelettes de test de fentanyl et du Narcan (naloxone) dans votre trousse médicale à la maison ou à l’école, en fait également partie. Les bandelettes de test de fentanyl peuvent être utilisées pour détecter la présence de fentanyl dans une grande variété de drogues, notamment les pilules, les poudres et les produits injectables, c'est-à-dire tout ce qui peut être dissous dans l'eau. Pour tester le fentanyl : 15

    Placez une petite quantité du médicament dans un récipient propre et sec
    Ajouter une petite quantité d'eau et mélanger
    Placez l'extrémité ondulée de la bandelette de test dans le mélange pendant environ 15 secondes.
    Retirez la bandelette et placez-la sur une surface plane pendant deux à cinq minutes
    Lire les résultats : Une seule ligne rose signifie que du fentanyl a été détecté (résultat positif). Deux lignes signifient qu'aucun fentanyl n'a été détecté (résultat négatif)
    La prudence est toutefois de mise, car des bandelettes de test de fentanyl contrefaites circulent également. Ne les achetez jamais à des amis ou en ligne. Le mieux est de les obtenir auprès de votre service de santé local ou d'un organisme communautaire de confiance, tel que des programmes de désintoxication.

    Les tests de fentanyl sont-ils légaux dans votre État ?

    Vérifiez également les lois de votre état. Les bandelettes de test de fentanyl sont toujours considérées comme des « accessoires de drogue » illégaux dans la plupart des États, bien que plusieurs États aient des exceptions pour les tests de fentanyl, et certains les ont décriminalisés et les ont retirés de la liste des accessoires de drogue.

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  104. En janvier 2022, les États où les bandelettes de test de fentanyl étaient toujours illégales étaient les suivants. 16 De nombreux États reconsidèrent actuellement cette interdiction, alors assurez-vous de vérifier la situation actuelle dans votre État.

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    L'Utah et Washington ont des programmes de distribution qui permettent à certaines entités de distribuer légalement des bandelettes de test de fentanyl, bien qu'elles soient par ailleurs interdites en tant qu'attirail de drogue. De même, le Dakota du Nord et le Vermont autorisent l’utilisation des bandelettes réactives au fentanyl uniquement dans le cadre des programmes de réduction des méfaits.

    La Californie, le Connecticut, le Maine, le New Jersey et l’Ohio disposent également de programmes de distribution spécialisés pour les tests de fentanyl, tout en les classant légalement parmi les accessoires interdits aux drogues. Ainsi, dans tous ces États, vous devez vous assurer que vous les obtenez auprès d’une source légale. Les États et territoires où les bandelettes de test de fentanyl ont été légalisées comprennent :

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    Ce que vous devez savoir sur Narcan

    La Food and Drug Administration des États-Unis a approuvé la naloxone (nom de marque Narcan) sous forme de spray nasal pour la vente en vente libre (OTC) sans ordonnance fin mars 2023.19 La naloxone est également disponible sous forme injectable, mais nécessite une ordonnance. 20

    Le médicament inverse les effets mortels d’une surdose d’opioïdes (y compris l’oxycodone, l’héroïne et le fentanyl). Il fonctionne en déplaçant les molécules opioïdes des récepteurs opioïdes dans le cerveau. Cela ne fonctionnera donc pas si la personne a fait une surdose d'un médicament non opiacé. Cependant, cela n’aggravera pas les choses, alors en cas de doute, utilisez-le. Les personnes recommandées pour transporter de la naloxone sur elles comprennent : 21

    Les personnes qui consomment simultanément des opioïdes et des benzodiazépines.
    Les personnes qui consomment des opioïdes illicites comme l’héroïne.
    Les personnes prenant des médicaments opioïdes à forte dose prescrits par un médecin. Idéalement, demandez à votre médecin de vous prescrire conjointement de la naloxone. Vous voudrez peut-être également parler à votre médecin de la naltrexone à faible dose (LDN).
    Comme décrit dans « Les avantages remarquables de la naltrexone à faible dose (LDN) », en utilisant des microdoses (0,001 milligrammes ou 1 microgramme) de naltrexone, les utilisateurs d'opioïdes à long terme qui ont développé une tolérance au médicament et qui prennent des doses élevées peuvent Au fil du temps, réduisez leur dose et évitez les symptômes de sevrage, car le LDN rend l'opioïde plus efficace. Ceci, à son tour, réduira votre risque de subir une surdose d’opioïdes en premier lieu.

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  105. Pour la dépendance aux opioïdes, la dose initiale typique est de 1 microgramme deux fois par jour, ce qui leur permettra de réduire leur dose d'opioïdes d'environ 60 %. Lorsque l'opioïde est pris contre la douleur, le LDN doit être pris à quatre à six heures d'intervalle de l'opioïde afin de ne pas déplacer les effets de l'opioïde.

    De plus, comme vous ne pouvez pas vous administrer de naloxone, assurez-vous de faire savoir à votre entourage que vous en avez, où vous le conservez et, idéalement, comment l'utiliser, afin qu'ils puissent vous aider en cas de surdose.

    Si vous n'avez pas les moyens d'acheter de la naloxone en vente libre ou sur ordonnance, vous pourrez peut-être l'obtenir gratuitement auprès d'un programme communautaire de naloxone ou de votre programme local de services de seringues. Nextdistro.org 22 et Nasen.org 23 peuvent vous aider à localiser les ressources en naloxone dans votre état.

    Comment utiliser la naloxone

    Avant d'utiliser la naloxone, 24 commencez par déterminer si la personne a fait une surdose d'opioïdes. Les symptômes d’une surdose d’opioïdes comprennent :

    Respiration ralentie, gargouillis ou absence de respiration
    Les élèves sont réduits à un point précis
    Lèvres et/ou ongles bleus ou violets
    Peau moite
    Ne peut pas être réveillé en tremblant et en criant
    La boîte OTC Narcan contient deux sprays nasaux à pistons contenant chacun 4 mg de naloxone. N'amorcez pas le piston car cela libérerait le contenu. Attendez d'être prêt à administrer la dose.

    Préparez le Narcan, puis inclinez la tête de la personne vers l'arrière et insérez l'embout du vaporisateur dans une narine jusqu'à ce que vos deux doigts touchent le nez. Poussez le piston vers le bas pour administrer la dose.
    Appelez les services d'urgence (911 aux États-Unis) après avoir administré la première dose, car chaque seconde compte.
    Ensuite, faites rouler la personne sur le côté. Placez une de leurs mains sous leur tête et pliez la jambe qui se trouve au-dessus du genou pour éviter qu'ils ne se retournent. Narcan peut déclencher des symptômes de sevrage aigus, notamment des vomissements, alors assurez-vous que les voies respiratoires restent dégagées pour éviter de s'étouffer.
    Si la personne n’a pas repris conscience après deux à trois minutes, répétez le processus et administrez la deuxième dose dans l’autre narine.
    Restez avec eux jusqu'à l'arrivée des services d'urgence, ou pendant au moins quatre heures pour vous assurer que leur respiration redevient normale.
    Un vaccin contre les surdoses de Fentanyl ?
    Ne voulant pas laisser une crise se gâter, l’industrie du vaccin travaille désormais d’arrache-pied pour créer une solution injectable. Le 14 novembre 2022, l'Université de Houston a annoncé les résultats positifs d'une étude animale 25 dans laquelle elle a testé un vaccin contre le fentanyl. 26 Le vaccin agirait en empêchant le fentanyl de pénétrer dans le cerveau, éliminant ainsi l’expérience « élevée » des utilisateurs, ainsi que le risque de dépression respiratoire.

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  106. L'auteur principal de l'étude, Colin Haile, a décrit le vaccin potentiel comme un « impact significatif sur un problème très grave » puisque l'utilisateur ne ressent pas l'euphorie associée au fentanyl et « peut « reprendre le train » vers la sobriété. 27

    Le vaccin comprend une toxine diphtérique désactivée et un adjuvant dérivé d'E. coli appelé dmLT. Les chercheurs ont rapporté que cet adjuvant avait été combiné avec d’autres vaccins dans d’autres essais cliniques sur l’homme, mais dans chacun de ces essais, le dmLT était administré par voie orale et donc exposé au tube digestif.

    Dans ce cas, le vaccin est administré par injection, ce qui signifie que le dmLT pénètre directement dans les muscles et la circulation sanguine. Le vaccin a été administré à 28 souris mâles et femelles, après quoi les chercheurs ont mesuré les anticorps.

    Les tests sériques ont montré que les niveaux d’anticorps ont augmenté de manière significative après la troisième dose, entre les semaines quatre et six. Ils ont testé si le fentanyl avait atteint le cerveau en évaluant les réactions douloureuses, puisque les opioïdes sont utilisés pour atténuer la sensation de douleur.

    La série de trois injections a incité l'animal à créer des anticorps anti-fentanyl qui se sont liés au fentanyl, l'empêchant de pénétrer dans le cerveau et lui permettant d'être éliminé par les reins. D’autres vaccins, basés sur le même principe, sont développés pour cibler l’héroïne et l’oxycodone. 28

    Aucun effet secondaire aigu n'a été signalé dans cet essai sur des rongeurs, mais les effets secondaires à long terme restent inconnus. L’équipe de recherche se prépare à lancer des essais humains de phase 1 dans le courant de 2024 – un pour un vaccin à l’héroïne et un autre pour le fentanyl. À terme, ils espèrent développer un vaccin multivalent ciblant les deux. 29

    Si vous me le demandez, cela ressemble à un autre stratagème des grandes sociétés pharmaceutiques dans lequel les entreprises qui créent les opioïdes finiront par profiter des vaccins anti-opioïdes, tout comme l’a fait la famille Sackler.

    Ils ont créé OxyContin et l’ont commercialisé frauduleusement comme étant non addictif, déclenchant ainsi la crise des opioïdes. Ensuite, plutôt que de reculer et de rendre l’OxyContin plus difficile à obtenir, ils ont créé et vendu un antidote aux surdoses, un spray de naloxone appelé Nyxoid. 30

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  107. Où trouver de l'aide pour la toxicomanie

    Si vous ou un de vos proches souffrez de toxicomanie, la Substance Abuse Mental Health Service Administration 31 peut être contactée 24 heures sur 24 au 1-800-622-HELP. Le programme d'aide aux employés de votre lieu de travail peut également être en mesure de vous aider.

    Pensez également à avoir du Narcan à portée de main et des bandelettes de test de fentanyl (là où c'est légal). Bien qu'aucun de ces éléments ne fasse quoi que ce soit pour résoudre le problème de la dépendance, la bandelette de test peut empêcher une surdose accidentelle d'une drogue contenant du fentanyl, et Narcan peut vous sauver la vie ou celle de quelqu'un d'autre en cas de surdose, vous donnant ainsi une autre chance de faire un choix différent.

    *

    Remarques

    1 CBS News 6 juin 2017

    2, 8, 12, 13 NPR 30 août 2023

    3, 10, 11, 18 The New Yorker 28 mars 2023

    4 CDC Fentanyl 3 mai 2023

    5 HHS.texas.gov Fentanyl

    6, 15 USA Today 21 août 2023

    7 surdoses de drogues du Conseil national de sécurité

    9 KCRA 8 juin 2023

    14 CDC MMWR 16 décembre 2022 ; 71(50) : 1576-1582

    16 Ressource sur la toxicomanie 13 janvier 2022

    17 Nouvelles locales Spectrum 7 juillet 2023

    19 FDA 29 mars 2023

    20 FAQ sur la naloxone sur SAMHSA.gov

    21, 24 CDC Sauvetage

    22 Nextdistro.org

    23 Nasen.org

    25 Pharmaceutique, 2022;14(11): 2290

    26, 27 Université de Houston, 14 novembre 2022

    28, 29 Medicalxpress 29 août 2023

    30 Fox News 18 mars 2023

    31 Administration des services de santé mentale en matière de toxicomanie

    https://www.globalresearch.ca/fentanyl-related-teen-deaths-triple-three-years/5832267

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  108. Le Canada approuve de nouveaux rappels obsolètes du vaccin à ARNm contre la COVID-19 (XBB.1.5)
    Les pousse sur les enfants de 6 mois et plus et les femmes enceintes – Problèmes de sécurité majeurs ! AUCUNE étude de SÉCURITÉ réalisée sur les enfants ou la grossesse !


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    13 septembre 2023


    Le Canada RE-BRANDING les vaccins à ARNm contre la COVID-19 obsolètes et échoués afin de supprimer le mot « BOOSTER ». Il s’agit d’une décision intentionnelle visant à faire des vaccins contre la COVID-19 une « injection annuelle » comme le vaccin contre la grippe, qu’ils considèrent comme extrêmement efficace (12 septembre 2023).

    « Il existe MAINTENANT un schéma posologique simplifié convenu au niveau international » – « Cela peut ressembler beaucoup aux vaccins contre la grippe, où les gens peuvent suivre un HORAIRE RÉGULIER pour recevoir un vaccin mis à jour » (Conseiller médical en chef du Canada, Dr Supriya Sharma – 12 septembre)

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    Le masquage est à nouveau poussé : « c’est le moment de préparer votre masque ». (12 septembre 2023)

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  109. Ils s'en prennent à nouveau aux enfants (conseillère médicale en chef du Canada, Dre Supriya Sharma) :

    « Les 5 ans ou plus devraient recevoir 1 dose, quels que soient les antécédents de vaccination contre la COVID »
    « Les enfants de 6 mois à 4 ans devraient recevoir 2 doses s’ils ne sont pas préalablement vaccinés, 1 dose s’ils sont déjà vaccinés »

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    SÉCURITÉ : le chirurgien général de Floride, Joseph Ladapo, met en garde contre le rappel du Covid :

    « Aucun essai clinique n'a été réalisé sur des êtres humains démontrant que cela profite aux gens. Aucun essai clinique n’a montré qu’il s’agissait d’un produit sûr pour l’homme. "Il y a beaucoup de signaux d'alarme."

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  110. SÉCURITÉ : Le vaccin Moderna XBB.1.5 Covid-19 nouvellement approuvé a été testé sur seulement 50 participants adultes et surveillé uniquement sur une période de 20 jours sans groupe témoin. De plus, Santé Canada déclare avoir autorisé le vaccin sur la base de données plus anciennes provenant de la série initiale de vaccins primaires et de rappels.

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    « La sécurité et l'efficacité de Spikevax XBB.1.5 pour les personnes âgées de 6 mois et plus sont déduites d'études sur une série primaire et une dose de rappel. » Ils n'ont fait AUCUNE étude de sécurité pour les enfants !

    AUCUNE étude n'a été réalisée pour garantir la sécurité pendant la grossesse !

    "La réactogénicité était similaire aux doses précédentes du Spikevax et du Bivalent d'origine."

    La situation aux États-Unis est encore pire : ils poussent 3 doses de Pfizer aux enfants de 6 mois à 4 ans !

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  111. États-Unis : des « vaccinations annuelles contre le COVID-19 » sont encouragées.

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    Approuvé par la FDA 13 : 1, le membre qui a voté « NON » : »

    Pablo J. Sanchez, MD, qui a voté non, a expliqué : « Nous disposons de données extrêmement limitées sur les enfants, les nourrissons et d'autres individus, et je pense qu'elles doivent être mises à la disposition des parents.

    Je pense également que dans certaines circonstances, il faut s'inquiéter des effets secondaires potentiels, en particulier chez les jeunes adultes et chez les jeunes adultes de sexe masculin . Et donc, je pense que tout cela doit être pesé. C’est pourquoi j’hésite à en faire simplement une recommandation universelle.

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    Pourquoi les nouveaux boosters COVID-19 sont-ils obsolètes ?
    XBB.1.5 aura disparu au moment où les nouveaux boosters seront déployés
    Santé Canada vient d'approuver un produit qui présente tous les risques et aucun bénéfice

    La myocardite induite par le vaccin à ARNm contre la COVID-19 est de 1 sur 35 par dose, cela inclut les jeunes adultes et les enfants :

    L'étude Suisse est ici

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    Mon avis…
    La FDA et Santé Canada viennent d’approuver une nouvelle injection de rappel monovalente du vaccin à ARNm COVID-19 obsolète pour la variante XBB.1.5 qui est presque éteinte.

    La seule « étude de sécurité » réalisée sur ce produit a porté sur 50 adultes surveillés pendant 20 jours, sans groupe témoin ! C'est une fraude médicale.
    Aucune étude de sécurité n'a été réalisée sur des enfants de 6 mois ou plus (recommandé de toute façon par Santé Canada – il s'agit d'un délit médical ou d'une faute professionnelle).
    Un membre de la FDA qui a voté NON a cité « des données extrêmement limitées sur les enfants et les nourrissons » et des inquiétudes concernant les effets secondaires chez les jeunes adultes (et les jeunes adultes de sexe masculin).

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  112. Aucune étude de sécurité n'a été réalisée sur les femmes enceintes (recommandé de toute façon par Santé Canada – il s'agit d'un délit médical et d'une faute professionnelle).
    « La réactogénicité était similaire aux doses précédentes du vaccin Spikevax original et du Spikevax Bivalent » – c'est un aveu que nous verrons des milliers de blessures et de décès induits par le vaccin à ARNm COVID-19 d'enfants, de jeunes adultes et de femmes enceintes (j'ai documenté des milliers de personnes). de ces blessures et décès sur ma substack et Twitter).

    « Le vaccin Spikevax XBB.1.5 est fabriqué selon le même processus que les formulations Spikevax actuellement approuvées » – c'est un aveu que nous verrons des « lots chauds », des « mauvais lots de vaccins » potentiellement mortels, une contamination métallique, une contamination du plasmide ADN, un promoteur SV40. contamination et tous les problèmes de contrôle qualité des produits originaux ! Ils n'ont rien fait pour améliorer le contrôle de la qualité.
    Où cela va-t-il :

    Santé Canada a l'intention de continuer à blesser et à tuer des milliers d'enfants, de jeunes adultes, de femmes enceintes, de personnes immunodéprimées et d'autres groupes vulnérables avec ces nouveaux rappels obsolètes du vaccin à ARNm COVID-19 XBB.1.5.

    Il existe une volonté « internationalement reconnue » de rebaptiser ces produits expérimentaux de thérapie génique à ARNm toxiques et ayant échoué en « vaccins mis à jour » ou « vaccins annuels » et d’arrêter d’utiliser le mot « rappel » . C'est au Canada et aux États-Unis.

    L'objectif est de rendre ces « vaccins annuels contre la COVID-19 » OBLIGATOIRES comme condition pour pouvoir consulter votre médecin de famille (vous ne pouvez pas consulter un médecin à moins d'avoir votre vaccin annuel contre la COVID-19 à jour).

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  113. Ils pensent pouvoir mettre en œuvre ce nouveau type de « mandat vaccinal ».

    Tous les médecins et infirmières seront forcés (mandataires) d'avoir ce nouveau rappel COVID-19 XBB.1.5 et seront obligés de l'imposer à tous leurs patients ou ils seront déchus de leur licence, condamnés à une amende et éventuellement emprisonnés (déjà loi dans le projet de loi 36 en Colombie-Britannique).

    J'ai réalisé une vaste sous-pile à ce sujet que vous pouvez trouver ICI .

    Enfin, ils veulent 2 ou 3 de ces nouveaux rappels COVID-19 XBB.1.5 mis à jour chez les enfants de moins de 5 ans (le seul groupe sur lequel ils proposent plusieurs injections) – CHAQUE PARENT devrait se demander POURQUOI.

    https://www.globalresearch.ca/canada-approves-new-obsolete-covid-19-mrna-vaccine-boosters-xbb-1-5/5832385

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  114. ENCORE 5 ARTICLES CENSURÉS ! (120 - 15 = 115)

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