- ENTREE de SECOURS -



samedi 23 septembre 2023

Le battage autour des énergies renouvelables – Un architecte parle sans détour

 

59 commentaires:

  1. Le battage autour des énergies renouvelables – Un architecte parle sans détour


    21.09.2023
    www.kla.tv/27048


    Le gouvernement fédéral allemand et la plupart des médias répètent sur tous les tons que les énergies renouvelables sont les anges gardiens du climat. Au lieu d'un débat public, les gens sont plongés dans la panique et dans l'angoisse existentielle avec toujours plus de mauvaises nouvelles et de nouvelles lois, et les politiciens concernés se révèlent être les bénéficiaires de la prétendue crise.
    Mais qu'en est-il réellement de l'urgence climatique, de l'effet de serre et de la panique liée au gaz carbonique ?
    L'architecte Konrad Fischer, aujourd’hui décédé, défend une toute autre vision de la politique climatique. Sa contre voix ne prétend pas détenir la vérité, mais doit inciter à poursuivre les recherches.

    Konrad Fischer :
    « ... cela signifie que si nous commençons à nous pencher sur les choses uniquement d'un point de vue scientifique et que nous n'y avons aucun intérêt, c’est-à-dire que nous n'avons plus de puits de pétrole ni peut-être notre propre centrale nucléaire ou quelque chose du genre. Si nous abordons les choses à partir de la véritable science brute et si nous avons le courage de nous servir de notre propre intelligence, comme Kant l'a demandé, lui un des grands de la philosophie d'Europe centrale. C'est le principe de l’investigation : « Ose te servir de ta propre intelligence ». Je crois que nous devrions suivre ce message une fois pour toutes, et des empires de fiefs bâtis sur des mensonges s'effondreraient, c’est à peu près mon objectif.

    Je ne suis pas un je-sais-tout. Personne ne peut tout savoir et demain, une nouvelle idée peut tout bouleverser. Mais si nous nous fions uniquement aux messages propagandistes de ce que le bon gouvernement a imaginé pour nous, nous ne parviendrons certainement pas à construire les meilleures baraques pour nos clients, je tiens à le dire ainsi. Mais là aussi, je mets une limite - il y a certainement des situations, je pense par exemple au fermier américain qui doit aller chercher son eau dans le sol et qui a une éolienne qui lui pompe son eau -, je trouve ça bien. Ou la station solaire qui génère l'électricité pour l'appel d'urgence sur l'autoroute grâce au photovoltaïque et qui permet d’économiser 5 km de câbles. Elle a une batterie et grâce à l'énergie solaire, l'appel d'urgence fonctionne. Mais ce n'est pas une solution pour l’approvisionnement de base ou complémentaire pour notre société avec une consommation d'énergie à laquelle non seulement nous nous sommes habitués, mais qui est vitale. Autant commencer à se chauffer avec du fumier de chameau importé, c'est à mon avis du même niveau.

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  2. Quand nous voyons des dizaines de milliers d'animaux allemands qui ont déjà péri dans des étables équipées de panneaux photovoltaïques en raison de l'insuffisance de cette technique - les panneaux ont tendance à s'enflammer spontanément, mais ce n'est pas très connu non plus. Quand nous voyons la quantité d'énergie nécessaire à la production d'une éolienne, l'accent étant focalisé sur l’acier, toute une vie ne suffit pas pour récupérer l'énergie qui y est alors injectée. Si nous obligions ces industries à se générer à partir de l'électricité qu'elles produisent elles-mêmes, ce serait immédiatement fini. C'est tout simplement impossible ; il s’agit donc d’un processus typique d'économie planifiée, où l'on provoque un changement sur le marché par le biais de subventions et de contraintes, au détriment des masses et au profit de quelques arnaqueurs - et cette technique n'a aucun avantage. Elle n'apporte pas une énergie sûre, la nuit il n'y a pas de soleil et le vent souffle comme il veut, mais pas quand le consommateur en a besoin, et puis si la nuit il n'y a pas de vent, c'est terminé.

    Et quand on voit le nombre de litres de pétrole qu’ils y mettent - je crois que c'est un litre de pétrole brut -, il faut qu’ils produisent 0,6 mètres cubes ou litres de biogaz équivalent. C'est donc également un bilan négatif. Et avec cette folie, c'est tout le paysage qui est défiguré, les agriculteurs sont poussés à la folie et à un endettement énorme, sans oublier que de temps en temps, des installations de biogaz explosent. Il s'agit de l’illusion typique d'une économie planifiée qui n'apporte aucune solution aux problèmes énergétiques. Oui, là où le colza et la nourriture sont finalement transformés en électricité, oui ou transformés en gaz et ensuite utilisés comme approvisionnement en gaz, il faut les enrichir en gaz naturel car cela n'apporte pas du tout la qualité, toute cette camelote. Et imaginez un peu combien de fois l'agriculteur doit passer dans son champ de colza avec son tracteur jusqu'à ce qu'il ait filtré son biogaz. Cela n'est possible que grâce aux subventions, et ça, c'est terrible.

    Quant à la question de l'énergie, deux choses sont décisives : la disponibilité et la densité énergétique. Cela signifie que si je prends un kilo d'uranium, ce qui, pour commencer, est l’exemple le plus provocateur, je peux en tirer autant d’énergie que - je ne connais pas le chiffre par cœur, mais c'est à peu près l'échelle – que de 80 000 tonnes de pétrole. Imaginez ! Un kilo contre 80 000 tonnes et la dimension qu'apporte une « énergie renouvelable », quelle qu'elle soit, c’est tellement absurde par rapport à ce qu'on attend d'un approvisionnement en énergie dans un pays industrialisé comme le nôtre, c'est, à mon avis, je dois le dire, tout simplement de la maladie mentale.

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  3. Pourquoi fait-on une chose pareille ? Le lobby du nucléaire essaie de faire baisser le prix du pétrole. C'est évident, c'est la concurrence. L'énergie nucléaire est en soi une énergie super bon marché. Les déchets peuvent, avec peu d’efforts, être modifiés par transmutation en substances parfaitement inoffensives. Tout ça ne se fait pas, car ça coûte un peu plus cher. Les déchets ne sont donc pas un problème non plus. Si en plus, on peut en extraire de l'énergie par transmutation, il est possible de les transformer en substances totalement inoffensives. Cela aussi, c'est l'art de la technologie nucléaire.
    J'ai moi-même fréquenté un lycée scientifique et j'ai aussi fait de la physique nucléaire et j'ai passé mon baccalauréat en physique. Je m’étais donc naturellement intéressé à cette technique de transmutation qui me semble être la solution. Mais personne n'en sait rien en Allemagne, c'est un sujet bien singulier. Ainsi, le problème des déchets nucléaires reste insoluble et sert d’argument. Mais le problème de l'industrie nucléaire est cette peur du nucléaire générée par la partie adverse et qui s'impose aussi d'elle-même. Ceux qui ont vu les bombes atomiques exploser sur les Japonais ont en eux une peur primaire, pour ainsi dire, qui est clairement liée à ce désastre et tout ce qui y est lié, qui engendre une crainte énorme et cette crainte est habilement exploitée de manière professionnelle par les concurrents.

    L'industrie nucléaire s'y oppose maintenant avec l’arnaque du gaz carbonique. C’est-à-dire qu'elle a réfléchi aux moyens possibles pour neutraliser ses concurrents. La principale différence entre l'énergie nucléaire et les énergies fossiles, entre guillemets, est que les énergies fossiles sont prétendument limitées et émettent du gaz carbonique lors de leur combustion. Maintenant, on affirme astucieusement que le gaz carbonique serait un problème. Mais dans ce cas, tout le monde est un problème. Car ce que j'expire, je ne sais pas combien de tonnes de gaz carbonique ça représente à ce jour. Et le gaz carbonique est un nutriment pour les plantes, il n'a aucun caractère toxique. Sauf si on se noie dans un puits de gaz carbonique. Car le gaz carbonique est bien plus lourd que l'air. Et tous ceux qui ont affaire à des caves ou des silos de fermentation connaissent ce danger, à savoir qu'on peut se noyer dans du gaz carbonique, invisible et inodore.

    Venons-en maintenant au lobby nucléaire et ses alliés météorologues qui ont imaginé que le gaz carbonique était capable de modifier le climat. En d'autres termes, ce serait précisément le gaz carbonique émis par l'homme qui provoquerait le changement climatique avec la combustion. Une folie absolue, car si on examine ne serait-ce que les faits physiques les plus simples, par exemple la quantité de gaz carbonique dans l'air, on obtient 0,038 %. C'est une quantité pratiquement indétectable, cela représente trois particules sur 10 000 molécules d'air. Il est donc quasiment inexistant et si nous nous demandons quelle part de ces 0,038 % est imputable à l'homme, il suffit de consulter l'Office fédéral allemand de l'environnement pour constater qu'il s'agit de 1,2 % de ces 0,038 %, une quantité tellement minime qu’elle dépasse toute imagination. Et ce serait elle, la responsable du réchauffement du globe ! Et maintenant on prétend encore que ce gaz carbonique formerait un écran là-haut sur lequel le rayonnement thermique émis par la terre se réfracte pour ainsi dire, se réfléchit et se réverbère, et renvoie la chaleur ici bas ! Une folie totale pour deux raisons : Premièrement, le gaz carbonique est si lourd qu'il n'existe pas du tout de gaz carbonique là-haut, à ces six kilomètres d'altitude environ. Déjà qu’il y en a peu de toute façon, mais là-haut, il n'y a rien du tout, je ne connais aucune mesure de gaz carbonique là-haut. C'est simplement hypothétique, car c'est un composant de l'air. Tout le monde sait que l'air a un poids de 29 et que le gaz carbonique, avec son poids de 44 se trouve en bas, il n'a rien à faire là-haut.

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  4. Et si nous nous demandons s'il fait froid là-haut… nous avons entendu tout à l'heure qu'il faisait moins 70 degrés là-haut. Et maintenant ils prétendent qu'une couche à moins 70 degrés pourrait réchauffer la terre. Comme si un radiateur froid pouvait chauffer une pièce. C'est tellement absurde que ça va à l'encontre de tout principe de physique.

    Le problème, c'est que personne ne s'y connaît, si bien que la politique et les scientifiques qui lui sont alliés peuvent nous « vendre » les contes les plus absurdes comme vérité, avec l'aide du journal « Bild » et d'autres médias, presque tous les autres. Et je dis donc, si nous revenons maintenant au thème de l'énergie. Ni la nocivité de l'énergie fossile ni celle des déchets nucléaires n’ont pu être démontrées. Nous avons pu constater le danger d'une explosion nucléaire à Fukushima. Si je vous demande combien de personnes y ont perdu la vie, alors c'est un zéro absolu. Personne n'y a perdu la vie. Et quand vous voyez les exigences qu’une « cure au radon » doit remplir pour être reconnue comme centre de soin, il s’y trouve une telle quantité de rayonnement radioactif… vous n’en trouverez jamais autant de toute votre vie. Cela signifie qu’encore une fois on construit autour de la notion du rayonnement une chimère qui, là encore, défie toute description. »

    de ah.

    https://www.kla.tv/fr

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    1. 🏡 L'air pèse: 1,2 gr/litre
      Gaz carbonique: 1,8 gr/l.
      Oxygène (O2): 1,42 gr/l.
      ___________________________

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  5. Prix de l’électricité : quelles perspectives pour la France ?

    Emmanuelle Wargon, présidente de la Commission de l’Énergie (CRE), est venue présenter ses prédictions sur les prix de l’électricité pour les années à venir. Loin d’être rassurantes, la question suivante se pose : le modèle français peut-il s’en sortir ?


    Par Axelle Ker
    le 22 septembre 2023 à 20h17


    25 % c'est l'augmentation du prix de l'électricité sur l'année 2023
    Prix de l'électricité : que préconise le rapport de la CRE ?

    Emmanuelle Wargon, présidente de la Commission de régulation de l'énergie (CRE), a partagé ses perspectives sur les tarifs de l'électricité au cours de son entretien sur BFM Business en ce matin du 22 septembre 2023. Mandaté par le gouvernement pour réaliser ces prévisions, le rapport du CRE a pour objectif de déterminer comment assurer un modèle économique viable à EDF. Selon Emmanuelle Wargon ce modèle devrait permettre de financer à la fois les travaux sur les centrales existantes et la construction de nouveaux réacteurs, tout en préservant le pouvoir d'achat et la compétitivité des entreprises. Cependant, il convient de noter que le financement du « nouveau nucléaire » n'a pas été inclus dans cette équation complexe.

    Madame Wargon a mis en lumière le chiffre de 60 euros, extrait du rapport, tout en précisant qu'il représentait principalement le coût de production de l'électricité, et non son prix. « Nous avons travaillé sur une hypothèse où l'intégralité du chiffre d'affaires d'EDF serait garanti à ce coût de production » explique-t-elle. Elle a également tenu à souligner qu'il existait d'autres options de régulation, mais que celles-ci pourraient mettre à mal la stabilité financière d'EDF. Le modèle français actuel connaît des difficultés. Selon Emmanuelle Wargon, la seule façon d'empêcher une augmentation significative des tarifs de l'électricité consiste à réduire l'écart entre les prix de l'électricité et les coûts de production. Pour y parvenir, elle a insisté sur la nécessité de sécuriser nos approvisionnements en électricité à long terme. En effet, les fluctuations sont actuellement si prononcées qu'au début de l'année, le prix de l'électricité avait atteint 1.000 euros par mégawattheure, contre 130 euros par mégawattheure actuellement. Prédire les prix de l'électricité pour les cinq à dix prochaines années s'avère difficile, a conclu Emmanuelle Wargon.

    Quel avenir pour le modèle français ?

    Dès le gouvernement Jospin, nos dirigeants ont commencé a prendre le parti anti-nucléaire lancé par l'Allemagne, partisane du Energiewende. Dominique Voynet, alors ministre de l'environnement et fervente opposante au nucléaire, s'était même vantée d'avoir tout fait pour détruire le modèle français au profit de l'éolien et des énergies renouvelables. La France était à la pointe du domaine nucléaire. Grâce au projet Astrid, elle aurait eu plusieurs décennies d'avance sur les autres pays. L'arrêt de ce projet par Emmanuel Macron l'a privée d'une énergie nucléaire qui aurait été la plus propre au monde, puisque que grâce à ce projet, elle aurait été capable de recycler ses propres déchets nucléaires... L'Allemagne a contraint la France à vendre l'électricité à bas prix aux autres compagnies européennes pour qu'elles puissent ensuite la revendre à des tarifs exorbitants. « La concurrence va faire baisser les prix ! », non, c'est tout l'inverse qui se produit, et le projet Hercule n'a rien arrangé. La France n'a plus les moyens d'investir dans le « nouveau nucléaire », sa population se retrouve à payer une électricité bien plus chère qu'elle ne le devrait. Quant au gouvernement français, il se félicite de la sobriété énergétique des Français, alors que le prix de l'électricité a augmenté de 25 % sur l'année 2023...

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  6. Il reste tout de même une lueur d’espoir. En effet, comme l’avait déclaré, auprès de nos confrères du Figaro, Loïk Le Floch-Prigent, ancien PDG d'Elf, directeur de cabinet du ministère de l’Industrie et anciennement président de Gaz de France (GDF) et de la SNCF : « La compétitivité de l’ensemble de l’industrie française est en danger, car nous payons l’électricité la plus chère d’Europe, alors que nous la produisons au coût le plus bas grâce à notre outil de production nucléaire et hydraulique (...) Entrer sur le marché de l’électricité il y a une quinzaine d’années était un choix technocratique volontaire, contesté par les énergéticiens français. Cependant, aucun traité ne nous oblige à le faire, et surtout, nous pouvons nous en retirer quand nous le souhaitons sans enfreindre nos engagements contraignants (...) Se retirer du marché de l’électricité est donc une nécessité, et les réticences du gouvernement à le faire demeurent inexpliquées et irrationnelles ».

    https://www.economiematin.fr/prix-electricite-quelles-perspectives-france

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  7. Nouvelle étude : la Terre devrait se refroidir de 1°C en raison du minimum solaire


    22 septembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


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    Les études et les prédictions d’un minimum solaire « moderne », incluant une baisse significative des températures moyennes, se multiplient. Un certain nombre d’astrophysiciens sont parvenus à cet objectif de différentes manières. Le service météorologique spatial américain prévoit un déclin drastique des taches solaires au moins jusqu'en 2014. Et les analystes du marché s'attendent à un boom du secteur du déneigement .

    La nouvelle étude de Valentina V. Zharkova et al, intitulée « Périodicités de l'activité solaire, du rayonnement solaire et leurs liens avec l'environnement terrestre », clarifie les prédictions précédentes du groupe de recherche. En conséquence, l'irradiation solaire totale (TSI) de la Terre a augmenté d'environ 1 à 1,5 W/m², depuis ses valeurs les plus basses en 1700 jusqu'à son « amplitude maximale » au cours du cycle 24 (2020). Cela a entraîné une augmentation de la température mondiale d’environ 1,5°C au cours de cette période.

    « Le premier GSM1 [Grand Solar Minimum] moderne se produit entre 2020 et 2053, avec des amplitudes de cycle diminuant à 80 % au cycle 25, 30 % au cycle 26 et 70 % au cycle 27 de l'amplitude maximale du cycle 24. » Le prochain Le GSM n'est attendu qu'entre 23h70 et 24h15.

    « Les fluctuations mensuelles du TSI montrent une augmentation du TSI d'environ 1 - 1,3 W/m² en 2020 par rapport à 1700. Cette augmentation du TSI, telle que déterminée à partir des éphémérides Soleil-Terre, est proche de l'ordre de 1 - 1,5 W/m². m², qui ressort des observations actuelles du STI . "

    Cela explique le réchauffement climatique entre 1700 et aujourd’hui. Une des conséquences du réchauffement des océans est le dégazage du gaz carbonique et donc l'augmentation de sa proportion dans l'atmosphère.

    - voir graph sur site -

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  8. Image : Fluctuations de la température terrestre de 1880 à 2000, montrant l'augmentation de la température de base (ligne noire continue) provoquée par les oscillations décennales (formes bleues (décroissantes) et rouges (croissantes)).

    Les fluctuations de température terrestre au cours du cycle de 11 ans sont faibles mais perceptibles, comme le montrent les fluctuations décennales de la figure, qui sont proportionnelles au nombre moyen de taches solaires et à de nombreux facteurs terrestres tels que les fluctuations de la température des océans, la direction des jets et El Niño. La Nina -Les événements sont. Cela se traduit par des augmentations notables de la température terrestre pendant ou à proximité des maxima d'activité solaire et des diminutions pendant ou à proximité des minima.

    Mais au cours des 30 prochaines années (2020-2053), la Terre connaîtra une période d'activité solaire considérablement réduite et, en conséquence, un climat « mini-glaciaire » similaire au « minimum de Maunder » (1645-1715 après J.-C.), qui a marqué la période beaucoup plus froide. période du Petit Âge Glaciaire qu'aujourd'hui.

    Les températures baisseront d’environ 1°C au cours des prochaines décennies : la Terre ne sera alors plus chaude que de 0,5°C par rapport à 1700.

    « Étant donné que le rayonnement solaire et la température de la Terre ont déjà augmenté depuis le MM [Minimum de Maunder], comme le montrent clairement les fluctuations de la température terrestre, la température de la Terre devrait chuter d'environ 1,0 °C pour atteindre seulement 0 au cours du premier GSM moderne1,5 °C plus élevé. qu’en 1700. »

    La prédiction de l’étude de marché Precision Reports se réalisera. Il prévoit une très forte croissance pour l'industrie du déneigement .

    https://tkp.at/2023/09/22/neue-studie-abkuehlung-der-erde-um-1c-wegen-solaren-minimum-zu-erwarten/

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    1. (...) Une des conséquences du réchauffement des océans est le dégazage du gaz carbonique et donc l'augmentation de sa proportion dans l'atmosphère. (...)

      Le magma expulse des millions de m³ de gaz brûlants, mais le gaz carbonique n'a AUCUN pouvoir réchauffant ! au contraire il est (le gaz le plus lourd) responsable des gelées blanches.

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  9. Où le gaz est le moins cher et le plus cher aux États-Unis


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 23 SEPTEMBRE 2023 - 03H20


    Le prix de l'essence aux États-Unis augmente une fois de plus alors que la production atteint son plus bas niveau cet été tandis que les principaux producteurs, l'Arabie saoudite et la Russie, réduisent leur production.

    Au 21 septembre, l'aperçu des prix de l'essence AAA fixait le prix d'un gallon (3,78 l.) d'essence ordinaire à 3,87 $ aux États-Unis en moyenne – le plus élevé jamais enregistré pour cette période de l'année.

    Ce prix est cependant encore bien en dessous du nouveau sommet historique enregistré le 14 juin 2022 (5,02 $).

    Cependant, comme le note Katharina Buchholz de Statista, les prix du gaz varient également considérablement à travers les États-Unis.

    - voir graph sur site -

    Infographie : Les prix du gaz aux États-Unis augmentent à nouveau | Statiste
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    Les coûts de transport et de distribution spécifiques à chaque État peuvent faire monter les prix, comme dans le cas de l'Alaska et d'Hawaï. Les taxes nationales varient également considérablement, ce qui explique par exemple le prix élevé de l'essence en Californie.

    Mais les États qui proposent habituellement du gaz bon marché ressentent également la crise des prix en ce moment. Selon AAA, le gallon coûte désormais plus de 3,50 dollars dans tous les États sauf neuf.

    Seulement dans certaines parties du sud des États-Unis et du Texas, le prix du gallon est encore inférieur à ce chiffre. Parmi ceux qui dépensent le plus en gaz à l’heure actuelle figurent les résidents de Washington, du Nevada et de Californie.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/where-gas-cheapest-most-expensive-us

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  10. L'Amérique est tombée et elle ne peut pas se relever


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 22 SEPTEMBRE 2023 - 19H45
    Rédigé par Michael Shellenberger via Public,


    La frontière est tombée
    Pendant les années Trump, les démocrates ont critiqué Trump, le qualifiant de cruel pour avoir séparé les parents migrants et leurs enfants.

    « Une politique qui sépare les jeunes enfants de leurs parents n’est pas « dissuasive ». C’est inadmissible », a déclaré Biden en 2018. « Une politique qui traumatise les enfants n’est pas une monnaie d’échange. C’est odieux.

    Mais le Dr Paul Wise, pédiatre chargé de surveiller le traitement des enfants migrants confiés à la garde des douanes et de la protection des frontières des États-Unis, rapporte que les douanes et la protection des frontières américaines de l’administration Biden ont séparé des enfants dès l’âge de huit ans de leurs parents.

    "Les entretiens avec les parents et les enfants ont révélé qu'il y avait peu ou pas de possibilités de contact téléphonique ou d'interaction directe entre les parents et les enfants", a déclaré Wise dans le dossier judiciaire. « La séparation des familles et le manque d’interaction pendant la détention causent un préjudice important, et potentiellement durable, aux enfants, en particulier aux plus jeunes. »

    On ne peut nier la crise. Dans certaines régions, la frontière entre le Texas et le Mexique ressemble à un camp de réfugiés en Afrique subsaharienne. Des milliers de migrants africains et latino-américains y arrivent quotidiennement. Plus de deux millions de personnes sont venues l’année dernière, soit plus de 5 000 par jour, et presque autant le seront cette année.

    L’administration Biden souligne à juste titre qu’elle a tenté de dire aux migrants de ne pas venir. « Ne venez pas », a déclaré la vice-présidente Kamala Harris au Guatemala en 2021.

    Mais Biden avait clairement indiqué, de 2018 à 2020, qu’il annulerait la politique d’immigration du président Trump. Ainsi, de nombreux autres migrants arrivent.

    Ils le font aussi parce qu’ils savent que nous ne les refuserons pas. Ce serait cruel. Les enfants, les bébés et les mères mourraient. Et les photographies et vidéos de l’horreur parcourraient le monde en quelques minutes ou secondes.

    Si vous doutez que cela soit vrai, regardez les vidéos de parents envoyant leurs enfants à travers des barbelés et traversant le dangereux fleuve Rio Grande.

    Cela ne signifie pas pour autant que nous sommes impuissants à arrêter le flux. Cette année, pour la première fois, le contrôle des frontières américain rencontre plus de migrants provenant de l'extérieur de l'Amérique latine que de l'intérieur de celle-ci. Cela signifie que les gens volent de l’Afrique vers l’Amérique latine et entrent via le Mexique.

    Cela fait-il partie d’un plan des dirigeants démocrates visant à élargir les listes électorales ? Certains républicains le disent. Et en Californie, certains politiciens progressistes veulent donner le droit de vote aux immigrés sans papiers. Ils fournissent déjà des permis de conduire et des pièces d’identité officiels de l’État de Californie.

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  11. - voir graph sur site -

    Mais si tel était le plan, cela retournerait la nation contre eux

    Les migrants submergent non seulement l'État du Texas, mais aussi New York, dont les dirigeants démocrates, à la fois le maire Eric Adams et la gouverneure Kathy Hochul, affirment sans ambages que la ville est pleine.

    « Le gouvernement national a tourné le dos à la ville de New York », a déclaré Adams en avril. « Cela a un impact sur nos écoles, la sécurité publique, notre capacité à prendre soin de ceux qui se trouvaient déjà dans les refuges. Cela impacte toute la ville. » Hochul propose maintenant de supprimer la loi new-yorkaise sur le « droit au logement ».

    Peut-être que les démocrates progressistes qui dirigent Chicago, dans l’Illinois, ont plus de marge de manœuvre – ou de compassion ?

    Pas assez. « Permettez-moi de le dire clairement », a déclaré le nouveau maire progressiste de Chicago. « La ville de Chicago ne peut pas continuer à accueillir de nouveaux arrivants de manière sûre et compétente sans un soutien important et sans des changements importants en matière de politique d’immigration. »

    Que faut-il donc faire ?

    L’administration Biden ne prend même pas la peine de proposer une réponse. Les démocrates ne peuvent que dire ce qui ne doit pas être fait. Nous ne devons pas construire un mur. Il ne faut pas expulser. N'importe qui. Nous devons plutôt trouver des emplois pour les millions d’immigrés aux États-Unis, pour la plupart non qualifiés et sans instruction, qui, disent les critiques, feront baisser les salaires de la classe ouvrière et imposeront des systèmes de logement, d’éducation et de santé déjà surchargés.

    En conséquence, nous assistons à un retour du travail des enfants aux États-Unis, car les abattoirs embauchent illégalement des adolescents migrants pour le travail de nuit, qui sont ébouillantés par des produits chimiques caustiques et mutilés lors d’accidents industriels.

    Il y a quelques semaines à peine, le gouverneur de New York, Hochul, a tenté de rester au-dessus de la bataille entre le maire de New York, Adams, et la Maison Blanche de Biden. Tout a changé à la fin du mois dernier lorsque Hochul a enlevé ses gants. « Jusqu’à présent, nous avons réussi sans un soutien substantiel de la part de Washington », a-t-elle déclaré dans ce que ses collaborateurs ont qualifié de discours majeur.

    En fin de compte, personne ne sera en mesure de mesurer dans quelle mesure la crise est provoquée par Biden et dans quelle mesure elle est due à l’effondrement de la civilisation au sein des nations africaines et latino-américaines elles-mêmes.

    Ce qui est clair, c’est que si nous ne résolvons pas ce problème, ce ne sera pas seulement la frontière qui tombera.

    https://www.zerohedge.com/political/america-has-fallen-and-it-cant-get

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  12. Le Texas déclare une « invasion » alors que des dizaines de milliers de personnes traversent illégalement la frontière sud


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 22 SEPTEMBRE 2023 - 18H05


    Jeudi, Peter Doocy, correspondant de Fox News à la Maison Blanche, a demandé à Karine Jean-Pierre, attachée de presse de la Maison Blanche : "Alors, comment appelle-t-on ici à la Maison Blanche lorsque 10 000 personnes traversent illégalement la frontière en une seule journée ?"

    Jean-Pierre a répondu : "Alors, comment appelles-tu ça, Peter, quand [le] GOP a présenté un — attends, non, non, non, non, non, tu ne peux pas."

    Doocy a ensuite tenté d'affiner la question en ajoutant sans répondre à la question initiale : "Nous passons à autre chose".

    Doocy : « Comment appelle-t-on quand 10 000 clandestins traversent la frontière en une seule journée ? »

    Jean-Pierre : « Comment dit-on quand les républicains… »

    Doocy : Tu ne réponds pas

    Jean-Pierre : « On avance »
    pic.twitter.com/rvKDTDLUt9
    – Greg Price (@greg_price11) 21 septembre 2023

    La question de Doocy intervient alors que le syndicat représentant la US Border Patrol a prévenu :

    "Du 1er au 20 septembre, l'administration Biden a ordonné la libération de plus de 100 000 personnes illégalement frontalières, soit suffisamment pour doubler la population de villes comme Yuma, en Arizona.

    "Pensez à ce que Biden fait à ce pays avec ses politiques frontalières incontrôlables. Combien de millions de plus ?"

    Du 1er au 20 septembre, l’administration Biden a ordonné la libération de plus de 100 000 personnes illégalement frontalières, soit suffisamment pour doubler la population de villes comme Yuma, en Arizona.

    Pensez à ce que Biden fait à ce pays avec ses politiques frontalières incontrôlables. Combien de millions de plus ?
    – Union des patrouilles frontalières – NBPC (@BPUnion) 21 septembre 2023

    La Maison Blanche et les principaux médias d’entreprise de gauche se sont précipités sur l’aggravation de la crise frontalière.

    Presque tous les médias traditionnels (c'est-à-dire l'équipe d'encouragement du DNC) ont attaqué sans relâche Trump, le qualifiant d'être sans cœur et cruel pour avoir voulu sécuriser la frontière, même pour des politiques qui étaient inchangées par rapport à l'administration Obama !
    – Elon Musk (@elonmusk) 22 septembre 2023

    Plus tôt cette semaine, Elon Musk a réussi à attirer l'attention nationale sur la crise frontalière après avoir publié sur X : « Il est étrange qu'il n'y ait presque aucune couverture médiatique à ce sujet. » Il a cité le message de Bill Melugin de Fox News qui comprenait des images d'une "chute libre totale à Eagle Pass, au Texas, en ce moment".

    Il est étrange qu’il n’y ait presque aucune couverture médiatique à ce sujet.

    Environ 2 millions de personnes – de tous les pays de la planète – entrent chaque année par la frontière sud des États-Unis.

    Ce nombre augmente rapidement, mais aucune mesure préventive n'est prise par le gouvernement actuel. https://t.co/EF7HTS1ktT
    – Elon Musk (@elonmusk) 20 septembre 2023

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  13. Les images de cette semaine montrant l'aggravation de la crise frontalière sont quelque chose de progressiste dans les médias et l'administration Biden ne veut pas que le peuple américain les voie avant le cycle des élections présidentielles.

    LES AFRICAINS S'INVERSENT AU MEXIQUE COMME LA GUERRE MONDIALE Z ###
    pic.twitter.com/hhAabno74V
    – The_Real_Fly (@The_Real_Fly) 22 septembre 2023

    Si vous ne le savez pas, la frontière sud-ouest est sur le point d’exploser. Le deuxième train rempli de clandestins est arrivé – et personne ne les arrête.

    Biden invite les clandestins à franchir la frontière en leur accordant un statut spécial et des cartes d'identité.

    Il est entièrement responsable de cette crise. pic.twitter.com/MnVh1v2Ygf
    — 👑💥 Sérénité 💥👑 (@polishprincessh) 22 septembre 2023

    Des milliers de migrants continuent d’affluer vers Eagle Pass, au Texas, après que l’administration Biden a été filmée en train de retirer des barbelés destinés à dissuader les passages illégaux.

    Le maire d'Eagle Pass a déclaré l'état d'urgence et "appelle à l'aide".pic.twitter.com/hlnZI10djO
    – KanekoaTheGreat (@KanekoaTheGreat) 21 septembre 2023

    Des soldats de la Garde nationale du Texas sont sur le terrain à Eagle Pass pour remplacer les barbelés que l'administrateur Biden a coupés hier.

    Le Texas n'abandonnera JAMAIS nos efforts pour sécuriser la frontière.#OperationLoneStar pic.twitter.com/yBywlBa8iv
    – Mike Banks (@TexasBorderCzar) 21 septembre 2023

    Eagle Pass TX hier ! Combien de femmes et d’enfants voyez-vous ? La situation va empirer et notre gouvernement fédéral ne fait rien pour y remédier ! Et nous, les contribuables, paierons la facture tout en faisant face à la hausse de la criminalité, sinon pire....🤬🤬🤬🤬 pic.twitter.com/3QIrHw31wA
    – ⚔Dennis⚔ (@clovis1931) 21 septembre 2023

    Préparez-vous à New York et Chicago ! Voici le prochain train à destination des États-Unis. Il s'ajoutera aux plus de 7 km qui ont traversé Eagle Pass, au Texas, au cours des dernières 72 heures. pic.twitter.com/aQIi8ADhfX
    – Randy Clark (@RandyClarkBBTX) 20 septembre 2023

    Mercredi, le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a déclaré une « invasion » à la frontière sud, face à l'afflux massif de migrants illégaux.

    J'ai officiellement déclaré une invasion à notre frontière à cause de la politique de Biden.

    Nous avons déployé la Garde nationale du Texas, le DPS et les forces de l'ordre locales.

    Nous construisons un mur frontalier, des barbelés barbelés et des barrières marines.

    Nous repoussons également les migrants.

    Plus : https://t.co/dEivr1lL2n pic.twitter.com/hzCl6ouTVJ
    – Greg Abbott (@GregAbbott_TX) 20 septembre 2023

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  14. Une vidéo présumée montre des agents de la patrouille frontalière qui pourraient rompre les rangs, tandis que certains affirment qu'il est « difficile de défendre la constitution ».

    Les agents de la patrouille frontalière BRISENT LES RANGS !! Ils se demandent pourquoi les dirigeants ne respectent pas la CONSTITUTION ‼️

    Chef de la patrouille frontalière « Nous restons concentrés, nous continuons à faire le travail et la mission pour laquelle nous nous sommes engagés. Nous nous sommes tous inscrits, nous avons tous levé la main.

    COURAGEUX… pic.twitter.com/yLmzFqwKMg
    – Singes de Wall Street (@WallStreetApes) 21 septembre 2023

    Les politiques d'ouverture des frontières de Biden ne correspondent pas à ce que souhaite la majorité des électeurs et ont déclenché le chaos des migrants dans les principales zones métropolitaines comme la ville de New York.

    Il semble que la minorité progressiste marginale des élites continue d’imposer à la majorité ses politiques impopulaires et désastreuses.

    https://www.zerohedge.com/political/texas-declares-invasion-10000-illegals-cross-southern-border-weeks

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  15. Arnaque : non, on ne cherche pas à vous tuer

    La cybermalveillance fait preuve d’une grande créativité pour essayer de vous extorquer de l’argent : des escrocs se font passer pour des tueurs à gages !


    Par Axelle Ker
    le 22 septembre 2023 à 18h30


    La nouvelle arnaque au faux tueur à gages

    Malheureusement, l'Internet est le terrain de jeu de nombreuses escroqueries, et une nouvelle méthode a récemment émergé : l'arnaque au faux tueur à gages. Si cette arnaque peut faire sourire certains, elle peut en inquiéter d'autres. « Dès lors qu'une personne est en situation de fragilité, elle peut penser que ce genre de menace est crédible et donc être tentée de payer l'escroc », souligne Jean-Jacques Latour, directeur de l'expertise en cybersécurité pour Cybermalveillance.gouv.fr, lors d'une entrevue avec nos confrères de TF1. Les escrocs envoient des e-mails menaçants prétendant qu'ils ont été engagés pour éliminer la cible, sauf si une somme d'argent est versée.

    Ils prétendent détenir des informations personnelles compromettantes sur leur cible et affirment être en mesure de la faire disparaître. « Cette semaine, un client m'a confié la mission secrète de vous éliminer physiquement en vous administrant un puissant poison (...). Si je ne reçois pas d'argent de votre part, je remplirai ma mission malgré tout ».

    Comment se protéger ?

    La règle d'or pour tout type de mails suspects est de ne surtout pas les ouvrir ! Ne communiquez aucune information personnelle, bancaire ou autre aux arnaqueurs. Il est crucial de signaler immédiatement cet e-mail à la plateforme dédiée du ministère de l'Intérieur (Pharos). Selon le rapport de 2021 de l'INSEE 35 % des internautes européens ont été exposés à du phishing qui est une technique frauduleuse destinée à leurrer l'internaute pour l'inciter à communiquer des données personnelles.

    Le 11 juillet 2023, le site du gouvernement dédié à la cybermalveillance a publié un communiqué mettant en garde contre cette arnaque qui s'est rapidement propagée. Le communiqué souligne l'importance de signaler ces tentatives d'extorsion pour aider les autorités à traquer les coupables. En signalant ces e-mails, vous contribuez à protéger d'autres personnes contre cette escroquerie. Restez vigilant.

    https://www.economiematin.fr/arnaque-tueur-gages-cybermalveillance

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  16. Production de volailles XXL : le site de production le plus moderne d'Europe est en construction en Croatie


    22 Septembre 2023
    Wiebke Herrmann, AGRARHEUTE*


    150.000 tonnes de viande et un investissement de plus de 500 millions d'euros – le site de production de volailles la plus moderne d'Europe doit voir le jour en Croatie.

    La Petrinja Chicken Company (PCC) prévoit de construire en Croatie le site de production de volailles le plus moderne d'Europe. Chaque année, 95 millions de poulets devraient être transformés en 150.000 tonnes de viande de poulet. Pour ce faire, l'entreprise croate mise sur un concept global d'économie circulaire. Toutes les étapes de production, de la production d'aliments pour volailles à la transformation de la viande en passant par les couvoirs, doivent être conçus selon les normes ESG les plus strictes.

    La durabilité au format XXL : Petrinja Chicken Company mise sur la neutralité climatique

    Pour atteindre la durabilité et la neutralité climatique, la PCC prévoit d'utiliser les technologies les plus modernes. Entre autres, une installation de fermentation doit produire chaque année environ 63.000 tonnes d'engrais organiques. En outre, selon l'entreprise, le biogaz CHP [valorisé en cogénération] et les panneaux solaires assureront un approvisionnement énergétique climatiquement neutre d'une capacité de 10 MW. L'entrepreneur ukrainien Andrii Matiukha, qui investit dans la production de volaille XXL, a expliqué ses motivations dans une interview en ligne : « L'aviculture moderne exige aujourd'hui de la recherche et un développement continu des process afin de répondre aux exigences des clients actuels. ». Les innovations et les progrès technologiques dans ce secteur ont notamment été déterminants pour son investissement dans ce domaine.

    Site de production de volailles XXL en Croatie : l'Allemagne doit devenir le marché le plus important

    La PCC prévoit de commercialiser dans l'UE 50 pour cent de la viande de poulet produite. Les 50 pour cent restants seraient, selon l'entreprise, destinés à l'espace arabique et à l'exportation vers l'Asie. L'Allemagne est mise en avant comme le marché le plus important de l'UE.

    La mise en service du site de production de volailles est prévue pour fin 2025. Le volume d'investissement s'élève à 572 millions d'euros. L'usine sera dirigée par Oleksiy Shevchenko, CEO de PCC. Il a plusieurs années d'expérience dans l'industrie alimentaire et a déjà réalisé plusieurs grandes installations de production de volaille d'une capacité de plus de 500.000 tonnes.

    ________

    * Wiebke Herrmann travaille chez AGRARHEUTE en tant que rédactrice cross-média dans la rubrique élevage. Elle écrit principalement sur des sujets relatifs à l'élevage bovin et porcin.

    Source : XXL-Geflügelproduktion: In Kroatien entsteht Europas modernste Anlage | agrarheute.com

    Ma note : Et, pendant ce temps, on s'oppose en France à des « méga-poulaillers » de 39.600 places et on s'étonne de voir que de plus en plus de viande de poulet est importée... Ce n'est pas que je m'extasie devant le projet croato-ukrainien, dont je ne connais pas les détails, mais il faut souligner la nécessité de voir les choses en face en France.

    https://seppi.over-blog.com/2023/09/production-de-volailles-xxl-le-site-de-production-le-plus-moderne-d-europe-est-en-construction-en-croatie.html

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    1. (...) Ma note : Et, pendant ce temps, on s'oppose en France à des « méga-poulaillers » de 39.600 places et on s'étonne de voir que de plus en plus de viande de poulet est importée... Ce n'est pas que je m'extasie devant le projet croato-ukrainien, dont je ne connais pas les détails, mais il faut souligner la nécessité de voir les choses en face en France. (...)

      39 600 m² ? ou 1000 m² pour 39 600 poules ?!

      (...) Chaque année, 95 millions de poulets devraient être transformés en 150.000 tonnes de viande de poulet. (...)

      Pour 95 000 000 de poulets par an:
      5 466 052,9344 de poulets tués à 3 semaines = 5 466 052,9344 poulets pour 1 m² chacun, soit 546,60 ha !?

      Çà m'étonnerait !

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  17. La dette nationale américaine atteint 33 000 milliards de dollars, dont 1 000 milliards de dollars contractés au cours des trois derniers mois seulement.


    21/09/2023
    Olivia Cook


    La dette nationale brute des États-Unis a dépassé les 33 000 milliards de dollars le 18 septembre – trois mois seulement après avoir atteint la barre des 32 000 milliards de dollars. Le Comité à but non lucratif pour un budget fédéral responsable (CRFB) a déclaré dans un communiqué de presse que le 15 juin, la dette brute du gouvernement fédéral a éclipsé 32 000 milliards de dollars.

    En comparaison, la dette nationale était inférieure à 907 milliards de dollars il y a quatre décennies.

    "Après la confrontation au plafond de la dette en juin, nous avons franchi le cap des 32 000 milliards de dollars. Aujourd'hui, alors que nous envisageons une éventuelle fermeture du gouvernement trois mois plus tard, nous avons dépassé les 33 000 milliards de dollars en encre rouge",

    Michael A. Peterson, PDG de la Fondation Peter G. Peterson (PGPF), a déclaré dans un communiqué.

    "La préoccupation que nous avons au [PGPF] n'est pas de savoir si la dette nationale doit un jour être utilisée. Elle devrait plutôt se demander comment elle est utilisée et dans quelle mesure elle est utilisée. Et malheureusement, nous l'utilisons pour les jours de pluie et les jours ensoleillés, n'est-ce pas ? maintenant."

    Les économistes mesurent la gravité de la dette d’un pays en fonction de son ratio dette/PIB. La dette américaine détenue par le public est proche de 100 pour cent, a rapporté CNBC. Selon le Comité pour le développement économique du Conference Board, un ratio responsable pour un pays de la taille des États-Unis serait de 70 pour cent.

    Peterson a souligné que les législateurs des deux partis devraient travailler ensemble pour éviter une fermeture du gouvernement et concentrer leurs efforts sur la stabilisation de notre dette nationale. "Comme nous l'avons vu avec la récente croissance de l'inflation et des taux d'intérêt, le coût de la dette peut augmenter soudainement et rapidement", a-t-il déclaré. "Avec plus de 10 000 milliards de dollars de coûts d'intérêts au cours de la prochaine décennie, ce cycle budgétaire croissant ne fera que continuer à causer des dommages à nos enfants et petits-enfants."

    Le Congressional Budget Office a confirmé que le déficit sous-jacent allait à peu près doubler entre l’exercice précédent et celui-ci. Même si la loi sur la responsabilité budgétaire de 2023 constitue un pas dans la bonne direction, pour maîtriser la dette, il faudra examiner sérieusement les soins de santé, la sécurité sociale et le code des impôts.

    Si les décideurs politiques trouvent trop difficile de le faire de manière régulière, ils devraient alors mettre en place une commission budgétaire bipartite pour proposer des solutions. Ils doivent être francs avec le public américain et s’entendre sur un plan visant à maîtriser la dette nationale.

    Principaux facteurs responsables de l’augmentation de la dette nationale américaine

    La dette croissante de l'Amérique est le résultat d'un simple calcul : chaque année, il y a un décalage entre les dépenses et les revenus. (Connexe : Explosion de la dette : la dette américaine a grimpé de 1,2 000 milliards de dollars depuis la suspension du plafond de la dette – et le Trésor s’attend à ajouter 1,5 000 milliards de dollars supplémentaires d’ici la fin de l’année.)

    Aujourd’hui, les déficits sont principalement causés par des facteurs structurels prévisibles – la génération vieillissante des « baby-boomers », la hausse des coûts des soins de santé et un système fiscal qui n’a pas assez d’argent pour payer ce que le gouvernement a promis à ses citoyens, selon le PGPF.

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  18. Vieillissement démographique

    La société américaine vieillit à mesure que la grande génération des « baby-boomers » (ceux nés entre la fin de la Seconde Guerre mondiale en 1945 et le milieu des années 1960) commence à prendre sa retraite – 10 000 d’entre eux atteindront 65 ans chaque jour jusqu’en 2030.

    Cette énorme tendance démographique exerce une pression croissante sur le budget fédéral. En particulier, les programmes vitaux destinés aux Américains âgés et vulnérables – tels que la sécurité sociale, Medicare et Medicaid – supportent le plus lourd fardeau.

    Des coûts de santé en hausse

    Le système de santé américain, considéré comme le plus cher au monde, représente près d’un cinquième de l’ensemble de l’économie. Il s’agit également de la deuxième partie du budget qui connaît la croissance la plus rapide.

    Le pays dépense plus de deux fois plus en soins de santé que les autres pays avancés. Les experts affirment que l’amélioration des performances du système de santé américain améliorera non seulement la vie des Américains, mais contribuera également à stabiliser les perspectives budgétaires et économiques du pays.

    Des revenus insuffisants

    Le système fiscal américain ne génère pas suffisamment de recettes pour couvrir les dépenses décidées par les décideurs. Selon le rapport sur les revenus et dépenses fédéraux de 2022, les revenus totaux s'élevaient à 4 900 milliards de dollars, contre des dépenses totales déclarées à 6 300 milliards de dollars.

    Le PGPF affirme que ce déséquilibre croissant entre les recettes et les dépenses conduit à des déficits annuels de plus en plus élevés, ce qui se traduit par une augmentation du solde de la dette nationale.

    À mesure que la dette augmente, les intérêts qui doivent être payés augmentent également et dépenser plus de 1,8 milliard de dollars chaque jour en intérêts deviendra « la partie du budget fédéral qui connaît la croissance la plus rapide ». Dans 10 ans, les intérêts auront plus que doublé par rapport à ce qu’ils sont aujourd’hui et « chaque dollar consacré au paiement des intérêts signifie moins de ressources disponibles pour construire un avenir plus fort et plus résilient.

    Visitez GovernmentDebt.news pour plus d’histoires sur la dette américaine qui continue de croître.

    Regardez Gregory Mannarino souligner la montée en flèche de la dette américaine, comme le montre l'effondrement des principaux indicateurs économiques.

    Cette vidéo provient de la chaîne What is Happening sur Brighteon.com.

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  19. Plus d'histoires connexes:

    La dette nationale américaine va continuer à augmenter dans les années à venir, estime le FMI.

    Les États-Unis et la Chine sont les plus gros emprunteurs au premier trimestre alors que la dette mondiale atteint 305 000 milliards de dollars.

    La dette nationale américaine atteint pour la première fois 31 000 milliards de dollars.

    Sources include:

    FoxBusiness.com
    CRFB.org
    PGPF.org 1
    PGPF.org 2
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-09-21-us-national-debt-hits-33-trillion-mark.html

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    1. Dès lors que des escrocs (banques) prêtent de l''argent' qu'elles n'ont pas, elles inscrivent ce transfert d'ordinateurs à compte en liste 'dettes' !!

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  20. Pouvez-vous faire la différence ?


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 23 SEPTEMBRE 2023 - 04H00


    Les efforts publicitaires de McDonald's décrivent sa promotion des valeurs familiales au Japon, alors qu'en Occident, il subvertit la société avec une propagande « éveillée ».

    Le compte X End Wokeness a d'abord souligné les publicités de McDonald's dans un article intitulé "McDonald's Japon vs McDonald's USA. Essayez de repérer la différence" jeudi. La chaîne de restauration rapide chargée de cholestérol semble adopter la raison au Japon tout en promouvant la folie éveillée aux États-Unis.

    McDonald's Japon contre McDonald's États-Unis. Essayez de repérer la différence. pic.twitter.com/yUD1pTIa5K
    – Mettre fin à l’éveil (@EndWokeness) 22 septembre 2023

    Commençons par la publicité japonaise. McDonald's comprend que le Japon ne tolère pas la maladie mentale et adhère plutôt aux traditions familiales. Après tout, le Japon est au milieu d’un hiver démographique.
    特別じゃない、しあわせな時間。 pic.twitter.com/P7Og6hbMsx
    – マ ク ド ナ ル ド (@McDonaldsJapan) 20 septembre 2023

    En Occident, McDonald's a saisi l'opportunité d'augmenter considérablement son indice de diversité et d'inclusion en surpassant tous les autres restaurants de hamburgers avec cette publicité ridicule : « Les femmes trans noires ont un message très simple : arrêtez de nous tuer. C’est la DEI à l’œuvre et une petite minorité imposant ses idéaux et ses croyances à la grande majorité. Très peu de personnes dans la majorité veulent entendre ce que dit cette femme trans noire morbidement obèse en mangeant un hamburger chargé de cholestérol.

    « Les femmes trans noires ont un message très simple : arrêtez de nous tuer » - @imarajoneshttps://t.co/KLsZbLzH7i pic.twitter.com/F7IGLPlAK4
    – McDonald's (@McDonalds) 29 juin 2020

    Des centaines d'utilisateurs de X ont réagi au message de End Wokeness, beaucoup exprimant leur incrédulité face au contraste frappant entre les publicités des pays.
    Mon avis :https://t.co/DuO1VEXwCj
    – Jonathan Wong (@WGthink) 22 septembre 2023

    Je ne mangerai plus de McDonald's.
    – Freddy (@FreddyDEFI) 22 septembre 2023

    Ça fait du bien de voir que certains endroits dans le monde ne sont pas envahis par cette idéologie
    – Rob Coates 🇺🇸 (@LuckyHippie926) 22 septembre 2023
    pic.twitter.com/Sd2ryjnRJX
    – Stephen Lloyd (@apparentlysteve) 22 septembre 2023

    Il faut souligner que la publicité trans noire a fait ses débuts en 2020, et depuis lors, McDonald's a supprimé son site Web de l'acronyme désormais controversé ESG, qui représente les principes environnementaux, sociaux et de gouvernance d'entreprise.

    Si les consommateurs n'aiment pas la propagande réveillée de McDonald's, il est peut-être temps d'abandonner la bave rose pour des options plus saines, comme acheter de la nourriture dans les fermes et les petites entreprises locales.

    https://www.zerohedge.com/political/can-you-spot-difference

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  21. Ignorer le cœur du problème : comment la myocardite est devenue le scandale silencieux de la vaccination contre le COVID-19


    Par Justin Hart
    Recherche mondiale,
    22 septembre 2023


    Tout a commencé lentement au début – un filet de rapports inquiétants indiquant que quelque chose n'allait pas. En janvier 2021, quelques semaines seulement après le déploiement des vaccins contre la COVID-19, des cas de myocardite ont commencé à apparaître.

    La myocardite – inflammation du muscle cardiaque – n’avait jamais été associée aux vaccins auparavant. Ainsi, lorsque 28 cas ont été signalés au système américain de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) [1] ce mois-là, cela a fait sourciller.

    En février, le filet était devenu un ruisseau. Le VAERS a reçu 64 rapports supplémentaires, dont deux décès [2]. Puis, en mars, Israël [3] et l’armée [4] ont également commencé à signaler des cas.

    Il se passait quelque chose d’étrange. Mais les autorités l'ont ignoré.

    En mars, la FDA a autorisé le vaccin Johnson & Johnson sans l’ombre d’une myocardite [5]. Le CDC l'a rapidement recommandé à tous les adultes [6]. Les collèges et les entreprises ont commencé à rendre obligatoires les injections [7]. C'était à toute vitesse.

    Pourtant, à huis clos, la sonnette d’alarme retentit. Le CDC a rencontré les militaires pour discuter des cas de myocardite chez les jeunes soldats [8]. Israël signalait des dizaines de cas, notamment chez des adolescents [9]. La FDA savait grâce à Pfizer qu’il y avait déjà près de 60 cas dans sa base de données [10].

    Mais en public, c'était le déni et le licenciement . La directrice du CDC a affirmé qu'elle n'était au courant d'aucun cas militaire [11]. Pfizer a caché les numéros de ses bases de données [12]. Et la FDA a approuvé en mai l’autorisation du vaccin Pfizer pour les adolescents sans mention de myocardite [13].

    Alors que les rapports de myocardite affluaient dans le VAERS par centaines au cours de l’été [14], les jeunes et les personnes en bonne santé ont continué à subir des pressions pour se faire vacciner. Mandats déployés à travers le pays [15]. Les autorités ont déclaré au public que les avantages dépassaient les risques [16].

    Mais les patients ont commencé à partager leurs histoires d’hospitalisation pour problèmes cardiaques après la vaccination [17]. Les chercheurs ont commencé à publier des rapports de cas dans des revues médicales [18]. Et pourtant, le CDC a publiquement minimisé ses inquiétudes [19].

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  22. Derrière des portes closes, les responsables ont élaboré une stratégie pour surveiller les rapports alarmants [20]. Ils ont élargi les critères d'identification des cas de myocardite [21]. Davantage d'hôpitaux ont confirmé avoir vu des cas inhabituels chez des jeunes vaccinés [22].

    En juin, la FDA a discrètement ajouté des avertissements concernant la myocardite aux fiches d’information sur les vaccins [23]. La nouvelle s’est répandue lentement selon laquelle les conseillers du CDC reconnaissaient désormais une « association probable » [24].

    Mais l’ampleur de ce phénomène restait obscurcie. Les autorités s’accrochaient au discours selon lequel les avantages l’emportaient sur les risques [25]. Ils ont utilisé des données incomplètes et des hypothèses optimistes pour affirmer que les vaccins en valaient toujours la peine pour les jeunes [26].

    Des millions d’adolescents ont continué à subir des pressions pour se faire vacciner tout au long de l’été et de l’automne [27]. Il est devenu malheureusement évident que la campagne en faveur d’une vaccination généralisée avait préséance sur la transparence et la prudence .

    Ce n’est qu’en octobre 2021 que les avertissements ont été pris plus au sérieux. Les pays nordiques ont limité le vaccin Moderna en raison de problèmes de myocardite [28]. La FDA et le CDC ont été contraints d'aborder les risques plus ouvertement lors de réunions [29] .

    Mais ils ont quand même continué en élargissant les injections aux plus jeunes [30]. Les enfants de cinq ans ont commencé à se faire vacciner en novembre malgré une absence totale de données de sécurité [31]. Des doses de rappel ont été promues pour les adolescents contre l'avis de leurs homologues européens [32].

    Les preuves ont continué à s’accumuler jusqu’en 2022 selon lesquelles les vaccins enflammaient les cœurs [33]. Les jeunes, presque tous des hommes, souffraient de graves conséquences [34]. La FDA a entièrement approuvé les vaccins Moderna et Pfizer avec à peine une mention de la myocardite [35].

    Les régulateurs du monde entier ont réduit leurs recommandations concernant les rappels chez les jeunes à mesure que de nouveaux signaux de sécurité apparaissaient [36]. Mais les États-Unis ont pris les devants, autorisant même une quatrième dose avant que les données des essais ne soient disponibles [37].

    Trois ans et plus de 1 600 rapports VAERS confirmés plus tard [38], le CDC a finalement admis publiquement que les vaccins à ARNm provoquaient une myocardite [39]. Mais les autorités continuent de maintenir la position selon laquelle les avantages l’emportent sur les risques dans tous les groupes [40].

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  23. Pourtant, alors que les chercheurs rapportent avoir découvert des anomalies cardiaques des mois plus tard [41], il n'est pas clair si l'ensemble des risques est connu. Certains experts affirment que la société a perdu de vue le principe « d’abord, ne pas nuire » dans la précipitation visant à vacciner toute une population contre le COVID-19 [42].

    Pourquoi les premiers signes avant-coureurs ont-ils été ignorés ? Combien ont été blessés à cause de signaux ignorés ou cachés [43] ? Et pourquoi le débat sur la prudence en matière de vaccination reste-t-il tabou malgré l’accumulation de preuves condamnant des politiques de vaccination trop larges [44] ?

    Cette histoire est loin d'être terminée. À mesure que de nouvelles études examinent les effets à long terme et les décès potentiellement causés par la myocardite induite par le vaccin [45], les questions continueront de tourbillonner.

    Les familles changées à jamais veulent des comptes. Reconnaissance du fait que les programmes de vaccination de masse n'ont pas réussi à respecter le consentement éclairé [46]. Et l'assurance que « suivre aveuglément la science » ne primera plus sur la santé des individus [47].

    La myocardite s’est avérée n’être que la pointe de l’iceberg lorsqu’il s’agissait de risques vaccinaux sous-estimés [48]. Seul le temps nous dira toute l’ampleur des vies bouleversées et perdues dans la course à la vaccination du monde [49].

    Bravo à Epoch Times pour sa chronologie détaillée de tout cela !

    *

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  24. Remarques

    [1] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-06/03-COVID-Shimabukuro-508.pdf
    [2] https://www.cdc.gov/vaccines /acip/meetings/downloads/slides-2021-02/28-03-01/05-covid-Shimabukuro.pdf
    [3] https://www.fda.gov/media/144416/download
    [4] https:/ /childrenshealthdefense.org/defender/cdc-ignore-inquiry-military-covid-vaccine-injuries/
    [5] https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/fda-issues-emergency-use- autorisation-troisième-covid-19-vaccine
    [6] https://www.cdc.gov/media/releases/2021/s0303-COVID-19-Vaccines.html
    [7] https://www.nytimes.com/ 2021/05/06/us/rutgers-vaccine-mandate.html
    [8]https://childrenshealthdefense.org/wp-content/uploads/fauci-redacted-emails-041321.pdf
    [9] https://www.fda.gov/media/148542/download
    [10] https://www. cdc.gov/media/releases/2021/s0426-covid-19-vaccination-young-people.html
    [11] https://childrenshealthdefense.org/defender/cdc-ignore-inquiry-military-covid-vaccine-injuries/
    [12] https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/coronavirus-covid-19-update-fda-authorizes-pfizer-biontech-covid-19-vaccine-emergency-use
    [13] https https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-06/03-COVID-Shimabukuro-508.pdf
    [14] https://www.nytimes.com/2021/07/01 /us/college-vaccine-mandates.html
    [15]https://www.cdc.gov/vaccines/acip/recs/grade/covid-19-pfizer-biontech-vaccine.html
    [16] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2779731
    [17] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33975157/
    [18] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-05/05-COVID-Shimabukuro-508 .pdf
    [19] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/min-archive/min-2021-05.pdf
    [20] https://brightoncollaboration.us/brighton-collaboration-case -definition-myocarditis-published/#:~:text=On%20May%2030%2C%202021%20the,case%20definition%20for%20myocarditis%20globalement .
    [21] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/min-archive/min-2021-05-508.pdf
    [22]https://www.fda.gov/media/150054/download
    [23] https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/coronavirus-covid-19-update-june-25-2021
    [ 24] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-06/03-COVID-Shimabukuro-508.pdf
    [25] https://www.cdc.gov/mmwr/ volumes/70/wr/mm7027e2.htm?s_cid=mm7027e2_w

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  25. [26] https://www.cdc.gov/media/releases/2021/s0506-Pfizer-BioNTech.html
    [27] https://www.reuters. com/world/europe/sweden-pauses-use-moderna-covid-vaccine-cites-rare-side-effects-2021-10-06/ [
    28] https://www.fda.gov/media/153409/download
    [29]https://www.fda.gov/news-events/press-announcements/fda-authorizes-pfizer-biontech-covid-19-vaccine-emergency-use-children-5-through-11-years-age
    [30] https://www.fda.gov/media/153086/download
    [31] https://www.theguardian.com/world/2021/sep/03/uk-reportedly-reconsiders-giving-second-jabs-to- adolescents
    [32] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34931745/
    [33] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34519242/
    [34] https://www.fda. gov/media/151710/download
    [35] https://www.gov.uk/government/news/jcvi-issues-updated-advice-on-covid-19-vaccination-of-children-aged-12-to- 15
    [36]https://www.whitehouse.gov/briefing-room/statements-releases/2022/03/29/fact-sheet-the-biden-administration-launches-covid-gov-one-stop-shop-for-americans- pour-obtenir-covid-19-tests-treatments-vaccines-and-high-quality-masks/
    [37] https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2022-02/02 -COVID-Su-508.pdf
    [38] https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/vaccines/safety/myocarditis.html
    [39] https://www.cdc.gov/vaccines/acip /recs/grade/covid-19-pfizer-biontech-vaccine.html
    [40] https://journals.lww.com/pidj/Fulltext/2022/11000/Seven_Month_Follow_up_of_Symptoms_and_Health.1.aspx
    [41]https://www.wsj.com/articles/cdc-covid-19-vaccine-kids-payment-physicians-committee-ethics-newsom-california-mandate-school-11663518249
    [42] https://trialsitenews.com/ est-ce que pfizer-a-fail-to-perform-industry-standard-testing-avant-to-requesting-eua-from-the-fda/?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter [43
    ] https://www.bmj.com /content/376/bmj.o102
    [44] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35713431/
    [45] https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2203965
    [46] https://blogs.bmj.com/bmj/2022/09/28/ignored-and-denied-how-officials-have-failed-vaccine-injured-people/
    [47] https://www.thelancet.com /journals/landia/article/PIIS2213-8587(22)00251-0/fulltext
    [48]https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/CIRCEP.121.010666
    [49] https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/35713431/

    https://www.globalresearch.ca/ignoring-heart-matter-how-myocarditis-silent-scandal-covid-19-vaccination/5833483

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  26. Covid, super-variant, vaccination, retour du masque... : "Ils continuent leur campagne de peur". Entretien avec le Pr Christian Perronne


    France-Soir
    le 22 septembre 2023 - 16:30


    ENTRETIEN ESSENTIEL - Le Covid est de retour. C'est en tout cas ce qu'une récente campagne médiatique affirme. Le 1er septembre dernier, France-Info évoque lors de son édition matinale un "super variant" nommé Pirola. Plusieurs journaux reprennent l'expression, comme Le Point ou L'Indépendant. La veille, une dépêche AFP décrit un "nouveau variant du Covid-19, BA.2.86, surveillé attentivement par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS)". Selon la présidente du Comité de veille et d'anticipation des risques sanitaires (COVARS), Brigitte Autran, ce variant issu de la famille Omicron inquiète du fait d'un "plus grand nombre de mutations" qui le rendent "susceptible d'évoluer de façon plus importante et de se répandre plus facilement". Mais s'agit-il pour autant d'un "super variant", sous-entendu capable d'être plus redoutable que les autres ? Vraisemblablement pas. "Nous ne nous attendons pas à voir des niveaux comparables de maladies graves et de décès par rapport (...) aux variants Alpha ou Delta", analyse le généticien François Balloux, de l'University College de Londres. Un constat qui est partagé par le professeur Christian Perronne, qui dénonce dans cet Entretien Essentiel un nouvel épisode irrationnel de peur, imposé à la population. (Lire la suite de l'article en dessous de la vidéo.)

    Le Pr Perronne a été le conseiller santé de plusieurs gouvernements. Il nous rassure sur la dangerosité des variants récemment évoqués par "les médias de grand chemin". "Ce n'est pas vraiment un sujet de santé publique dans les hôpitaux aujourd'hui", affirme-t-il.

    "Un virus très bénin"

    Le médecin infectiologue pointe ici du doigt un mécanisme virologique bien connu. Plus un variant devient contagieux, moins il est dangereux. L'hypothèse d'une infection virale qui cherche à se perpétuer, en contaminant et en ne tuant pas le plus grand nombre d'hôtes, est généralement évoquée au sein de la communauté scientifique.

    "Le coronavirus s'adapte à la population humaine et l'homme s'adapte au virus, il devient de moins en moins virulent", rappelle le Pr Perronne. "Aujourd'hui, le variant Eris, on s'en fiche complètement. C'est un virus très bénin qui donne des rhumes et des bronchites". Comme les autres souches anciennes de coronavirus qui circulent sur le continent européen depuis des dizaines d'années.

    En effet, chaque hiver, des virus à tropisme respiratoire touchent la population, principalement âgée ou fragile. Et cela n'a "pas à faire le journal de TF1", résume-t-il. Certes, à l'hôpital, "quelques patients très âgés, de plus de 85 ans", peuvent développer "de temps en temps une forme grave" avec les nouveaux variants.

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  27. Pour autant, une baisse générale des cas graves et mortels, suite à une infection à cause d' un variant ou d'un sous-variant du Sars-CoV-2, est observée. Par exemple, le variant Omicron apparaît comme nettement moins dangereux que son prédécesseur Delta : en décembre 2021, en Afrique du Sud, les nouvelles admissions à l'hôpital se font alors rares et causent très peu de décès malgré un bond des contaminations. En somme,"ce qui compte, c'est la mortalité", dit Christian Perronne. Et celle-ci, à l'heure actuelle, ne peut plus inquiéter la population en comparaison avec le bilan d'autres infections respiratoires récurrentes.

    Peur persistante relayée par les médias

    Pourtant, l'idée que le nombre de "réinfections" peut causer un problème général de santé publique s'installe. Une forme de peur persiste, corrélée à l'idée qu'un variant puisse entraîner soudainement une létalité élevée. Pour Pirola ou Eris, le "récit" est donc le même. En janvier 2023, plusieurs médias français se sont affolés pour un autre variant, baptisé Kraken, du nom d'un monstre marin... De façon assez systématique, un scénario potentiellement obscur et anxiogène est présenté, sans reposer toujours sur des données médicales et scientifiques solides.

    "C'est juste pour occuper l'actualité, c'est pour faire peur aux Français", pense le Professeur Perronne. Mais pourquoi ? Les autorités ont "encore des stocks de vaccins qu'ils ont achetés pour des milliards à fourguer". La peur servirait à faire "adhérer la population" et à relancer les campagnes de vaccination pour "justifier cette inoculation expérimentale".

    De fait, lorsque d'autres experts arpentent les plateaux télé et radio, la vaccination est évoquée de façon régulière. Sur France-Info (01/09), l'infectiologue Benjamin Davido, de l'AP-HP, tente de démontrer que les variants Covid représentent toujours "un fardeau pour la société". À ses yeux, une "pédagogie reste à faire" dans cette "nouvelle ère du Covid" qui doit passer par une prochaine campagne de vaccination. Une campagne de vaccination qui a été avancée au 2 octobre par les autorités sanitaires.

    Dans cet Entretien essentiel, le Pr Christian Perronne répond à nos questions afin de démêler le vrai du faux en matière d’information sanitaire. D'après lui, l'actuel traitement médiatique du Covid continue de poser un problème démocratique.

    Rétabli dans sa position d'expert incontestable par le conseil régional d'Île-de-France de l'Ordre des médecins, l'infectiologue international nous offre les clefs de compréhension de la situation sanitaire. Non opposé à la vaccination en soi, après avoir exercé notamment comme expert en la matière auprès de l'OMS, il s'inquiète pour la jeunesse qui a durement subi la gestion du Covid, avec de graves conséquences sur sa santé mentale et physique.

    https://www.francesoir.fr/videos-l-entretien-essentiel/covid-supervariant-masque-vaccins-continuent-peur-perronne

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    1. RAPPEL QU'UN 'VIRUS' EST UNE POUSSIÈRE ! (et non un microbe !)

      Or, nous respirons toutes & tous 200 000 poussières (appelées 'virus') et microbes PAR MINUTE ! soit DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis notre naissance !... ET NOUS NE SOMMES PAS MORTS !! Çà alors !!

      A savoir aussi qu'une poussière NE MUTE PAS ! N'A PAS D'ENFANT OU DE COUSIN-GERMAIN !
      Ces poussières NE SONT PAS MORTELLES ni ne provoquent de maladie (simplement parfois des 'atchoums' !).

      L’État (et ses merdias et faux docteurs) parlent depuis 3 ans de VIRUS !! (c-à-d poussières) et non de MICROBES !!

      Or, il y a DES milliers de laboratoires dans le monde qui examinent tous les jours la 'qualité de l'air' et n'ont... JAMAIS TROUVÉ de poussières appelées 'corona', cocovide19' ou 'Delta-Tango-Charlie-Omicron' !! Çà alors !!

      Mais alors... qu'est-ce qui provoque la mort de dizaines de millions de personnes puisque la mort N'EST PAS dans l'air ??? DEVINEZ !!

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  28. Indices pour éliminer l’OXYDE DE GRAPHÈNE et d’autres ingrédients dangereux du « vaccin » COVID de votre corps


    21/09/2023
    Ethan Huff


    On a beaucoup parlé ces derniers temps du composant caché oxyde de graphène des « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) et de la façon dont il interagit avec, et est même activé par, les fréquences électromagnétiques (CEM) telles que la 5G – mais ne paniquez pas. : il existe des moyens de débarrasser votre corps de ces substances naturellement.

    Même si vous n'avez jamais reçu une seule injection de Fauci contre la grippe, il n'en demeure pas moins que l'oxyde de graphène et ses dérivés altèrent l'approvisionnement en eau, l'air que nous respirons grâce à la géo-ingénierie et aux « chemtrails », ainsi que l'approvisionnement alimentaire. Il existe également un risque spéculatif d'« excrétion » du vaccin, par lequel une personne non vaccinée peut être « infectée » par le poison simplement en étant à proximité immédiate d'une personne qui a récemment été vaccinée.

    Il est intéressant de noter que les symptômes associés à l’empoisonnement à l’oxyde de graphène et à l’exposition aux rayonnements CEM sont à peu près les mêmes que ceux décrits comme « COVID ». C’est pourquoi, dès le début de la « pandémie », beaucoup se sont demandé s’il existait réellement un « virus » en circulation, car il se pourrait que le « COVID » ne soit qu’un empoisonnement à l’oxyde de graphène et une pollution par les champs électromagnétiques – bon sang, « COVID » pourrait même simplement s’agir d’une exposition extrême à la 5G sous un autre nom.

    Nous savons que les injections de COVID sont chargées d’oxyde de graphène, ce qui expliquerait pourquoi la majeure partie des maladies graves et des décès attribués au « COVID » sont survenus presque entièrement chez les personnes entièrement vaccinées. Et maintenant, les personnes entièrement vaccinées répandent le contenu du vaccin sur la population non vaccinée.

    (Connexe : La dernière génération d’injection de COVID n’est pas un rappel, mais une toute nouvelle injection de « vaccin » [non testée].)

    Tout cela est effrayant, mais il existe des moyens d'aider à nettoyer votre corps de tout empoisonnement potentiel à l'oxyde de graphène, l'un d'entre eux étant le glutathion, également connu sous le nom de « maître » antioxydant. Le glutathion, composé des acides aminés glycine, cystéine et acide glutamique, est produit naturellement par le foie et est utilisé par l'organisme pour reconstruire les tissus tout en renforçant le système immunitaire.

    Si le corps est surchargé en oxyde de graphène, les niveaux de glutathion peuvent diminuer – et particulièrement si vous avez plus de 65 ans. Les personnes ayant des problèmes de santé préexistants ont également tendance à avoir une faible teneur en glutathion, c'est pourquoi il est important de compléter avec ainsi qu'avec la n-acétylcystéine, ou NAC.

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  29. Des essais cliniques impliquant des centaines de patients en soins intensifs en respiration et sur le point de mourir ont révélé que la propagation de l’oxyde de graphène combinée à l’exposition à la 5G est à l’origine des plaques pulmonaires communément associées au COVID. Les traiter avec du glutathion par injection intraveineuse directe ou par voie orale, ainsi qu'avec 600 milligrammes ou plus de NAC, peut aider ces types de patients à commencer à se rétablir en quelques heures seulement, selon Ricardo Delgado de La Quinta Columna.

    "L'oxyde de graphène, lorsqu'il est oxydé ou activé par des fréquences EMF spécifiques, dépasse la capacité du corps à créer suffisamment de glutathion, ce qui détruit le système immunitaire et provoque la maladie", explique The Exposé. "En cas de maladie (comme les symptômes du Covid et toutes les 'variantes'), il est nécessaire d'augmenter les niveaux de glutathion dans le corps afin de faire face à la toxine (oxyde de graphène) qui a été introduite ou activée électriquement."

    Puisque la NAC est un précurseur du glutathion, c’est un moyen préférable de reconstituer vos réserves de glutathion plutôt que de prendre directement du glutathion. Et la NAC est particulièrement bénéfique lorsqu’elle est prise avec du zinc, qui dégraderait l’oxyde de graphène. D’autres suppléments utiles qui peuvent aider à débarrasser le corps de l’oxyde de graphène (et garantir une étude plus approfondie) comprennent :

    Astaxanthine
    Mélatonine
    Chardon-Marie (Milk thistle)
    Quercétine
    Vitamine C
    Vitamine D3

    D’autres histoires sur la façon dont vous pouvez débarrasser votre corps des injections de vaccins antérieures et d’autres poisons peuvent être trouvées sur Remedies.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Expose-News.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2023-09-21-remove-graphene-oxide-dangerous-covid-vaccine-ingredients.html

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    Réponses
    1. (...) car il se pourrait que le « COVID » ne soit qu’un empoisonnement à l’oxyde de graphène (...)

      Les nano-particules (1 millième de millimètre, 1 millionième de centimètre ou 1 milliardième de mètre) d'oxyde de graphène n'entrent pas dans la catégorie des poisons. Il s'agit d'une poussière nano-métrique incidentielle sur le système nerveux et cervical. Elle peut (par signal extérieur reçu par téléphone ou par tours 5G) se grouper et est appelée alors 'morgelon'. Elle obstrue alors les veines provoquant des paralysies bras, jambes ou parties de la tête.

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  30. Idriss Aberkane & Carlo Alberto Brusa : Les contrats Pfizer enfin révélés en Afrique du Sud


    Par Maître Carlo Alberto Brusa et Idriss J. Aberkane
    Mondialisation.ca,
    22 septembre 2023


    On nous aura donc littéralement présenté des preuves de l’existence d’extra-terrestres avant de nous ouvrir les clauses scandaleuses de Pfizer ! Le journalisme est-il mort et enterré pour que plus aucun professionnel de l’information n’ait le courage de confronter cette multinationale factuellement criminelle et ses contrats du même métal ?

    Heureusement, de la charogne pourrissante du journalisme de grand chemin (ou «journalisme mainstream») émerge le réel Quatrième Pouvoir qu’est le Journalisme Citoyen. Oui par une campagne sans précédent la presse-voyou a agi de concert pour vendre l’inoculation d’un produit expérimental distribué par une multinationale criminelle à plus de cinq milliards d’êtres humains, oui les contrats de cette campagne ont été voilés du plus scandaleux secret en violation patente du droit du public à connaître la vérité, mais oui, enfin, le Journalisme Citoyen vient restaurer la Charte de Munich à son corps défendant : informer, informer et informer !

    Nous faisons le point avec Maître Carlo Alberto Brusa, avocat pénaliste international et lanceur d’alerte qui a sacrifié une partie très significative de ses opportunités professionnelles dans le choix délibéré d’informer le public des graves malversations de Pfizer.

    - voir clip sur site -

    Coquille : Gilead a gagné 36% de valorisation environ pendant la période de promotion du remdesivir

    https://www.mondialisation.ca/idriss-aberkane-carlo-alberto-brusa-les-contrats-pfizer-enfin-reveles-en-afrique-du-sud/5681494?doing_wp_cron=1695402607.1683220863342285156250

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  31. Le président de l’ONU approuve la déclaration sur la pandémie – les experts en protection des données mettent en garde contre un « goulag numérique »


    22 septembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Le président de l'Assemblée générale des Nations Unies a adopté une déclaration sur la prévention des pandémies qui créerait une autorité mondiale en matière de pandémie, malgré les objections de 11 pays . Les critiques ont déclaré que la déclaration soutenait les restrictions de type C19, notamment « la fermeture des écoles et l’exclusion disproportionnée des femmes du marché du travail et de la pauvreté ».

    par Michael Nevradakis, Ph.D. via la défense de la santé des enfants

    Le président de l'Assemblée générale des Nations Unies (AGNU) a adopté la Déclaration non contraignante des Nations Unies sur la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies (PPPR) sans vote à l'Assemblée générale et malgré les objections de 11 pays.

    Les critiques ont qualifié la déclaration, qui cherche à créer une autorité mondiale de lutte contre la pandémie, dotée du pouvoir d’imposer des confinements, des vaccinations universelles et la censure de la « désinformation », d’« hypocrite » et de « déséquilibrée ».

    L'approbation est intervenue lors d'une réunion de haut niveau sur le PPPR . Mais que signifie concrètement cette déclaration ?

    Pour ses partisans, la déclaration constitue une étape importante vers la coordination mondiale de la prévention des pandémies et de la santé publique.

    Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS), elle « offre la possibilité de prévenir et de se préparer aux pandémies et à leurs conséquences, avec une approche qui implique tous les secteurs du gouvernement ».

    L'OMS a également déclaré que le PPPR vise à « tirer les leçons de la pandémie de COVID-19 » et qu'il « intervient à un moment où le monde est confronté à de nombreuses crises humanitaires et liées au climat qui affectent des vies et menacent les moyens de subsistance dans le monde entier » . .

    Dans un communiqué, le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré : « Si le COVID-19 ne nous a rien appris d'autre, c'est que lorsque la santé est en danger, tout est en danger. "Il a lié le PPPR aux objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies et a déclaré que les dirigeants mondiaux devraient montrer qu'ils ont tiré les douloureuses leçons de la pandémie."

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  32. L'avocat Lawrence Gostin , chef du Centre collaborateur de l'OMS à l'Université de Georgetown - une figure clé jouant un rôle important en coulisses dans les négociations sur le projet de « Traité sur la pandémie » et les amendements au Règlement sanitaire international (2005) (RSI) - a déclaré que les réunions de haut niveau sont « notre meilleure chance d'obtenir le soutien et l'engagement profond des chefs d'État et de gouvernement ».

    Accord « sans précédent » au détriment de la souveraineté nationale

    D'autres experts avaient un avis différent. L'auteur et podcasteur Frank Gaffney, fondateur et président du Center for Security Policy , a déclaré au Defender qu'il est « très préoccupant » que l'ONU et l'OMS aient « le genre de capacité ou d'autorité constante de leur part pour dicter essentiellement ce que sont les urgences ». encouragé, s’il n’est pas approuvé .

    « On ne peut éviter que cela se fasse au détriment de la souveraineté des différentes nations, à qui on dit ensuite qu'il y a une urgence et que faire pour y remédier », a-t-il ajouté. " C'est sans précédent."

    Gostin a déclaré que les négociateurs ne savaient pas comment équilibrer la responsabilité et la souveraineté lors de la mise en œuvre d'instruments tels que le PPPR, le RSI ou le « Traité sur la pandémie ».

    Dr. David Bell, médecin de santé publique, consultant en biotechnologie et ancien directeur des technologies de santé mondiales chez Intellectual Ventures Global Good Fund, a écrit pour le Brownstone Institute que « l'objectif principal » du PPPR est de « faire respecter le traité sur la pandémie » et les modifications du RSI. actuellement en place et doit être négocié par les États membres de l’OMS ». Bell a déclaré qu'il y avait une « procédure de mise au silence », ce qui signifie que les États qui ne répondraient pas seraient considérés comme soutenant le texte. Il a déclaré que le texte était « clairement contradictoire, parfois trompeur et souvent tout à fait inutile » et visait à centraliser le pouvoir de l'OMS.

    Bell a déclaré au Défenseur : « La déclaration n'a pas été écrite avec une intention sérieuse, mais est essentiellement une rhétorique creuse qui promeut la centralisation continue du contrôle que l'ONU et l'OMS recherchent ouvertement, au détriment de la démocratie, des droits de l'homme et de l'égalité. »

    Francis Boyle, JD, Ph.D. , expert en armes biologiques et professeur de droit international à l'Université de l'Illinois qui a rédigé la loi antiterroriste sur les armes biologiques de 1989, est d'accord. « Les mêmes personnes qui ont rédigé le traité sur la pandémie et les amendements au RSI ont également rédigé le document PPPR », a déclaré Bell au Défenseur.

    « Il s’agit d’une tentative visant à amener l’ensemble des Nations Unies, ses agences spécialisées et ses organisations affiliées à soutenir l’État policier totalitaire médical et scientifique proposé par l’OMS », a-t-il déclaré .

    La réunion de haut niveau devait prononcer les discours de 158 représentants nationaux, dont les présidents ou premiers ministres de 34 pays et, représentant les États-Unis, le secrétaire d'État Anthony Blinken.

    Parmi les participants au panel figuraient le ministre allemand de la Santé, le Dr. Karl Lauterbach et des représentants de la Biotechnology Innovation Organisation.

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  33. Que signifie pour vous la déclaration ?

    Le texte final de la déclaration politique du PPPR du 1er septembre contient des déclarations et des suggestions sur une série de sujets, de la vaccination à la « désinformation ».

    Le communiqué indique : « Les pandémies nécessitent un leadership opportun, urgent et soutenu, une solidarité mondiale, une coopération internationale renforcée et un engagement multilatéral… pour mettre en œuvre des actions nationales, régionales et mondiales cohérentes et robustes, fondées sur la science… pour assurer la prévention ». préparation et réponse aux pandémies.

    La déclaration affirme que « la santé est une exigence pour tous » et un indicateur du « développement durable » et formule les exigences suivantes :

    Vaccination universelle : La déclaration exprime une « profonde préoccupation » face à la baisse des taux de vaccination dans le monde et comprend un engagement à soutenir « la recherche et le développement de vaccins et de médicaments, ainsi que des mesures préventives et des traitements pour les maladies transmissibles et non transmissibles ».

    « Les vaccinations de routine comptent parmi les interventions de santé publique les plus efficaces et les plus rentables, avec la portée la plus large et les meilleurs résultats prouvés », indique le communiqué, qui souligne également le « rôle important du secteur privé dans la recherche et le développement de médicaments innovants ». y compris les vaccins. est mis en évidence.

    Il appelle à améliorer les capacités en matière de « vaccination de routine, de vaccination et de sensibilisation, notamment en fournissant des informations fondées sur des données probantes pour promouvoir la confiance, l’acceptation et la demande », et à élargir la couverture vaccinale pour lutter contre les épidémies et « la propagation et la réémergence de maladies transmissibles ». prévenir » .

    Les pouvoirs « temporaires » liés au COVID-19 deviennent permanents : le communiqué exprime « son inquiétude quant à l’émergence et à la réémergence continues de maladies à tendance épidémique » et note la nécessité de « s’appuyer sur les leçons et les meilleures pratiques tirées de la pandémie de COVID-19 ». ", y compris "transformer les capacités temporairement accrues développées pendant la pandémie" en "capacités permanentes de manière durable ".

    Elle réclame une surveillance accrue et des documents de santé numériques, tels que : B. Passeports vaccinaux : La déclaration reconnaît « le potentiel des technologies de santé numérique » pour « mettre en œuvre et soutenir des mesures sanitaires et renforcer les mesures de réponse nationale » aux pandémies et aux urgences sanitaires.

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  34. Les technologies numériques telles que les passeports vaccinaux sont un élément clé des modifications du RSI actuellement en cours de négociation. La déclaration souligne également la nécessité de « systèmes d’alerte précoce » et d’une « approche intégrée One Health » afin de répondre le plus tôt et de manière appropriée possible aux pandémies et aux urgences sanitaires.

    Censure possible des médias sociaux : la déclaration exprime son inquiétude quant au fait que « la désinformation et la désinformation liées à la santé ont eu un impact négatif sur les vaccinations de routine dans le monde entier ».

    En conséquence, la déclaration appelle à « des actions pour contrer et traiter les impacts négatifs de la désinformation, de la désinformation, des discours de haine et de la stigmatisation liés à la santé, en particulier sur les plateformes de médias sociaux... y compris en s'attaquant à l'hésitation à se faire vacciner... et à accroître la confiance dans promouvoir les systèmes et les autorités de santé publique ».

    La déclaration appelle à la conclusion d'un contrat de pandémie et de modifications du RSI : La déclaration « encourage » la conclusion des négociations sur les modifications du RSI et le « contrat de pandémie » car celui-ci « est le plus durable, le plus abordable, le plus juste, le plus équitable et le plus efficace ». , efficace et opportun « Garantir y compris les vaccins.
    Ils en paieront le prix : la déclaration salue la création du Fonds de lutte contre la pandémie pour financer des investissements essentiels dans la préparation et la réponse à une pandémie, qui coûtent 30 milliards de dollars par an. Cela inclut un « déficit estimé à 10 milliards de dollars par an en nouveaux financements extérieurs au-delà des niveaux actuels de l’aide publique au développement » – à savoir les contributions versées par les États membres de l’OMS .
    Selon Bell, l'OMS a noté en 2019 que les pandémies étaient rares et insignifiantes en termes de mortalité globale au cours du siècle dernier, mais « l'OMS et l'ensemble du système des Nations Unies considèrent désormais les pandémies comme une menace existentielle et imminente ».

    Il a déclaré que c'était important parce que « ils demandent beaucoup plus d'argent que ce qui est dépensé pour tout autre programme international de santé », ce qui « apportera une grande richesse à certaines personnes » et donnera aux gouvernements de grands pouvoirs qui pourront être utilisés pour « prendre ces personnes en charge » . mesures ". réintroduire celles qui viennent de provoquer la plus grande augmentation de la pauvreté et de la maladie de notre vie. »

    « Logiquement, les pandémies ne deviendront plus fréquentes que si quelqu’un a l’intention de les provoquer (nous devrions donc nous demander ce qui se passe ici) », a écrit Bell.

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  35. Bell a déclaré que même si la déclaration faisait semblant de parler de questions telles que les droits des femmes et l'éducation, elle se contredisait en soutenant les restrictions de type COVID-19, notamment la "fermeture des écoles et le déplacement disproportionné des femmes du marché du travail et de leur entrée dans la "pauvreté" . .

    Le journaliste indépendant James Roguski a déclaré au Defender : « Les dommages énormes causés par les thérapies et les injections approuvées rendent l’hypocrisie » de la déclaration appelant à « un plus grand accès » aux vaccins « absolument étonnante ».

    "Si l'OMS se souciait encore d'améliorer la santé publique, elle ne s'impliquerait évidemment pas dans cette cause car elle est incompatible avec une bonne politique de santé publique ", a déclaré Bell.

    Gostin a déclaré que « la désinformation constitue une menace sérieuse pour la santé, en particulier dans la distribution des vaccins », ajoutant que « trouver l’équilibre entre la liberté d’expression et la lutte contre la désinformation est un défi » et que « l’OMS soutient les partenariats entre experts scientifiques et diffuseurs d’informations ». pour garantir que des informations crédibles parviennent au public.

    Cependant, Bell n'est pas d'accord avec ce point de vue, écrivant : « L'OMS a récemment qualifié publiquement les personnes qui discutent des effets négatifs des vaccins contre le COVID et remettent en question la politique de l'OMS d'« extrême droite », d'« agresseurs anti-scientifiques » et de « force meurtrière ». à », ajoutant : « Ce n’est pas bien. Ce sont les discours de diffamation et de haine que les régimes fascistes utilisent.»

    Cependant, pour Gostin, la déclaration PPPR n’est pas suffisante. « Elle est terriblement insuffisante lorsqu'il s'agit de mesures concrètes, telles que des engagements en faveur du financement des systèmes de santé », a-t-il déclaré, ajoutant : « Il y a eu trop peu de coopération entre l'ONU et l'OMS. »

    11 pays rejettent la déclaration

    Le consensus sur le PPPR n’est pas universel. Une lettre du 17 septembre adressée à Dennis Francis, président de l'Assemblée générale des Nations Unies, co-signée par les représentants de 11 pays, « a ignoré » les « préoccupations légitimes » d'un grand nombre de pays en développement.

    Les 11 pays sont le Bélarus, la Bolivie, Cuba, la République populaire démocratique de Corée, l'Érythrée, la République islamique d'Iran, le Nicaragua, la Fédération de Russie, la République arabe syrienne, le Venezuela et le Zimbabwe.

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  36. Dans leur lettre, ils ont rompu la « procédure du silence » et déclaré : « Nos délégations sont convaincues que ce n'est pas une manière de mener des négociations multilatérales et intergouvernementales sur des questions d'une grande importance pour la communauté internationale et en particulier pour les pays en développement. »

    Il a en outre déclaré qu'« aucun consensus n'a été atteint dans aucun de ces processus » . Toutefois, la lettre ne contient aucune objection spécifique quant au contenu de la déclaration PPPR.

    Selon Boyle, les objections des 11 nations visaient à « empêcher que cette déclaration soit adoptée par consensus et devienne ainsi sans doute une partie du droit international coutumier, ce qui est l'intention des auteurs de la déclaration ».

    "Ils n'ont pas pu faire adopter une résolution consensuelle par l'Assemblée générale des Nations Unies parce que les 11 États s'y sont opposés ", a déclaré Boyle. « Ils tentent de la déformer et de la dénaturer », a-t-il déclaré, en faisant approuver la déclaration par le président de l’Assemblée générale des Nations Unies – et non l’Assemblée générale des Nations Unies.

    Une organisation soutenue par Gates a poussé en faveur de la déclaration du PPPR
    Outre les représentants nationaux, des organisations comme Gavi, l'Alliance du Vaccin, reconnue par l' OMS comme partie prenante et « observateur » , ont également pris part à la réunion.

    La mission de Gavi est de « sauver des vies et de protéger la santé des populations » et déclare qu'elle « aide à vacciner près de la moitié des enfants dans le monde contre les maladies infectieuses mortelles et débilitantes ».

    La Fondation Bill & Melinda Gates est partenaire de Gavi et dispose d'un siège permanent au conseil d'administration, tout comme l'OMS, l'UNICEF et la Banque mondiale.

    Qualifiant l'Assemblée générale des Nations Unies de cette année de « jalon qui donne à réfléchir » sur la voie vers la réalisation de l'objectif 2030 des ODD, Gavi a déclaré que la réunion de haut niveau était « une opportunité unique et historique pour les dirigeants d'adopter une approche globale des ODD ». pour faire face aux menaces de pandémie qui impliquent l’ensemble du gouvernement et l’ensemble de la société.

    « En tirant les leçons de la phase aiguë de la pandémie, le moment est venu de créer un système plus réactif et plus résilient », a déclaré Gavi, ajoutant qu'« il est urgent d'agir pour atteindre les objectifs de l'ODD3 [santé et bien-être ». ] et de fournir à tous les enfants des vaccins vitaux ».

    Gavi s’est également assigné un rôle dans ce processus, en déclarant : « Les agences spécialisées comme Gavi devraient également jouer un rôle de premier plan, en s’appuyant sur l’expertise technique et les enseignements tirés de la réponse à la pandémie de COVID-19, pour parvenir à l’équité en santé. "

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  37. Bell a déclaré que Gavi est un exemple d’organisation qui n’a pas été « impactée négativement » par la catastrophe du COVID-19. « Les personnes et les entreprises qui financent une grande partie du travail de santé d’urgence de l’OMS et de ses organisations sœurs telles que le CEPI, Gavi et Unitaid ont grandement bénéficié des politiques qu’elles ont défendues avec tant de force », a-t-il écrit .

    PPPR prévoit un "goulag numérique" et négocie en "secret"

    Gaffney, qui organise un webinaire sur les propositions visant à étendre les passeports vaccinaux et à donner plus de pouvoir à l'OMS, a déclaré que le PPPR fait partie d'une prise de pouvoir plus large de l'OMS et des Nations Unies, y compris des propositions qui devraient être discutées à l'ONU en septembre 2024. d'accorder au Secrétaire général de l'ONU des pouvoirs d'urgence permanents.

    « Tant l’ONU que l’OMS envisagent ce type de goulag numérique comme un mécanisme permettant d’exercer ce type d’autorité, et en particulier la capacité de ces organisations à dicter ce qui se passe en réponse à une crise, qu’elle soit liée à la santé ou non. à faire », a déclaré Gaffney. " C'est ce qui m'inquiète vraiment."

    Dr. Michel Kazatchkine, médecin et diplomate français et membre de l'équipe qui a rédigé la déclaration du PPPR, a déclaré que la déclaration et la proposition visant à donner des pouvoirs d'urgence au secrétaire général des Nations Unies sont liées.

    Selon Roguski, la déclaration du PPPR est l'une des « quatre pistes auxquelles il faut prêter attention maintenant » – avec les amendements au RSI adoptés en mai 2022, qui, à son avis, « doivent être rejetés d'ici la fin novembre ». les nouveaux amendements au RSI et au « Traité sur la pandémie » (officiellement appelé Convention-cadre CA+ de l’OMS).

    Roguski a déclaré au Defender que la date cible de mai 2024 pour l'adoption des amendements au RSI et du « Traité sur la pandémie » à l'Assemblée mondiale de la santé de l'OMS était menacée en raison de l'opposition des États – un point de vue partagé par Gostin, qui a déclaré que la date limite était mai 2024. était « trop serré », mais a noté que « les raisons de la vitesse sont convaincantes ».

    Roguski a déclaré que les négociations du PPPR ont été menées « à huis clos », notant que la déclaration du PPPR ne dit rien sur les efforts visant à développer un réseau mondial de certification de santé numérique qui créerait un cadre mondial pour les passeports vaccinaux et d'autres types de certificats de santé.

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  38. Roguski a déclaré que la déclaration du PPPR n'appelle pas à la fin de la recherche sur les gains de fonction, mais soutient plutôt le financement des « efforts de l'OMS pour mettre en œuvre un système d'accès aux agents pathogènes et de partage des avantages ». Il a déclaré que cela « augmente intentionnellement le risque de propagation d’agents pathogènes mortels » .

    Selon le communiqué du PPPR, une réunion de haut niveau visant à examiner les progrès réalisés dans la mise en œuvre du PPPR se tiendra à New York en 2026. D'autres réunions de haut niveau sur la santé à l'Assemblée générale des Nations Unies cette semaine se concentrent sur la couverture sanitaire universelle et la tuberculose.

    https://tkp.at/2023/09/22/un-praesident-billigt-pandemie-erklaerung-datenschutzexperten-warnen-vor-digitalem-gulag/

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  39. Fibres élastiques détruites après les « vaccinations » corona - le pathologiste Prof. Walter Lang dans une interview


    22 septembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    À la mi-août, TKP a publié en exclusivité une étude réalisée par les pathologistes expérimentés Prof. Arne Burkhardt et Prof. Walter Lang. Il présente les dernières découvertes sur les dommages causés aux fibres élastiques par les pics de vaccination. Les effets et les conséquences à long terme des dégâts sont encore largement sous-estimés car nombre d’entre eux ne peuvent être guéris.
    Afin de présenter les conclusions de l'équipe du professeur Walter Lang, du regretté professeur Arne Burkhardt et du PD Dr. TKP a invité Norbert Schwarz à l'entretien pour expliquer et approfondir le sujet. Il y a aussi DDr. Christian Fiala, qui évalue ces résultats du point de vue d'un clinicien. L'étude intitulée Fibres élastiques détruites après les « vaccinations » corona a été publiée au préalable ici sur TKP le 11 août 2023 .

    Les « vaccinations » Corona entraînent la perte d’éléments non régénératifs des organes et des vaisseaux sanguins, qui sont perdus à vie. Il s'agit des cellules du muscle cardiaque, des cellules nerveuses du cerveau et des structures périphériques. Une nouvelle découverte concerne les lamelles élastiques, les fibres et les ligaments, qui entraînent des dommages importants et irréparables. Ces dernières ne sont pas encore prises en compte dans la littérature.

    L’énorme importance de l’étude est qu’elle peut expliquer de nombreux dommages causés par les vaccins, dont les causes n’étaient pas encore claires. Il s’agit surtout de dommages à long terme, car la production de fibres élastiques s’arrête vers 20 ans. Les cicatrices inélastiques ne peuvent donc plus être remplacées par des fibres élastiques.

    Comme l'explique le professeur Lang dans la vidéo, ce type de dommage peut toucher pratiquement tous les organes. Les dommages qui affectent les lamelles élastiques ou les fibres sont permanents. PD Dr. Dans la vidéo, Norbert Schwarz explique comment les deux pathologistes, forts de leurs 40 années d'expérience, ont pu constater ces dégâts. D'autres techniques de coloration doivent être utilisées pour rendre les dégâts plus visibles. Plus récemment, ils ont non seulement été diagnostiqués chez des personnes décédées, mais également trouvés dans des biopsies de personnes vaccinées.

    RDA. Christian Fiala souligne combien il est important pour les cliniciens de recevoir des informations précises de la part des pathologistes sur la nature et l'origine des dommages. Plus les informations peuvent être clarifiées, meilleures sont les chances de guérison ou au moins d’amélioration des symptômes.

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  40. Voici la vidéo :

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    https://tkp.at/2023/09/22/zerstoerte-elastische-fasern-nach-corona-impfungen-der-pathologe-prof-walter-lang-im-interview/

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  41. Vidéo : Les vaccinations obligatoires contre la COVID au Canada et leur impact sur la santé des Canadiens


    Par la police de garde et le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    22 septembre 2023


    Le Dr William Makis s'est entretenu avec Police on Guard pour faire part au monde de ses observations concernant les injections obligatoires et de l'impact qu'elles ont sur la santé des Canadiens.

    De l’apparition soudaine de cancers imprévus chez les enfants comme chez les adultes jusqu’à la mort accélérée des personnes diagnostiquées, ce qui est observé est sans précédent.

    Voici la vidéo :

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    https://www.globalresearch.ca/video-canada-covid-mandatory-vaccinations-their-impact-health-canadians/5833401

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  42. Le rachat mondial avance vers les étapes finales


    Par le Dr Joseph Mercola
    Recherche mondiale,
    22 septembre 2023


    Le traité de l'Organisation mondiale de la santé sur la pandémie, les amendements au Règlement sanitaire international (RSI) et le programme mondial One Health font tous partie d'un coup d'État en douceur, d'une prise de pouvoir mondiale.

    Le plan des mondialistes pour notre avenir peut être résumé comme suit : « domination mondiale par un petit nombre et contrôle total des masses ».

    La cabale technocratique contrôle la plupart, sinon la totalité, des gouvernements occidentaux, ainsi que la structure bureaucratique de l’OMS ; 85 % de son financement provient d'entités privées, il appartient donc à des intérêts privés

    Sur la base du projet de traité actuel et des amendements proposés au RSI, il est clair que les vaccinations à base d'ARNm seront obligatoires sous la structure de pouvoir de l'OMS, et ces vaccins seront fabriqués en 100 jours en sautant les essais sur les humains et en réduisant au strict minimum les tests de sécurité et d'efficacité. os

    En vertu du traité, tel qu’il est actuellement rédigé, les nations seront tenues de surveiller et de censurer les médias sociaux. Le récit de l'OMS sera le seul autorisé

    Voici la vidéo :

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    Dans cette interview Highwire du 1er septembre 2023, 1 le Dr Meryl Nass, experte en guerre biologique et en épidémies, expose la menace posée par le traité sur la pandémie de l'Organisation mondiale de la santé et les amendements au Règlement sanitaire international (RSI), qui s'ajoutent et s'ajoutent renforcer les pouvoirs de l'OMS en vertu du traité. Le programme One Health de l’OMS fait également partie de cette prise de pouvoir.

    Nass a également récemment publié un article intitulé « Le traité proposé par l'OMS augmentera les pandémies d'origine humaine » 2 , 3 dans lequel elle passe en revue l'histoire de la guerre biologique et le rôle de la recherche sur les gains de fonction, où nous en sommes actuellement et ce que le Le plan des mondialistes pour notre avenir l'est. Il est impératif que tout le monde comprenne ce qu’est ce plan, car nous ne pouvons l’arrêter qu’en le rejetant en masse.

    Nass persécuté par le Conseil médical de l'État sans loi
    Mais d’abord, Nass fait le point sur sa situation personnelle. En janvier 2022, le conseil médical du Maine a suspendu la licence médicale de Nass pour avoir diffusé de la « désinformation sur le COVID » et prescrit de l'ivermectine. Ils lui ont également ordonné de se soumettre à une évaluation psychologique par un psychologue sélectionné par le conseil. 4 Nass a refusé.

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  43. Selon l’OMS, la raison pour laquelle la pandémie de COVID s’est si aggravée est que les nations n’ont pas réussi à coopérer. Par conséquent, selon le raisonnement, nous avons besoin d’un traité international qui centralise les pouvoirs de réponse à la pandémie au sein de l’OMS. Le problème, bien entendu, est que la plupart des pays ont suivi les recommandations irrationnelles et non scientifiques de l’OMS. Son incompétence – intentionnelle ou non – est ce qui a détruit les économies et entraîné des morts inutiles.

    Sur la base du projet de traité actuel et des amendements proposés au RSI, il est clair que les vaccinations à base d'ARNm seront obligatoires sous la structure de pouvoir de l'OMS, et ces vaccins seront fabriqués en 100 jours au lieu de 10 ans en sautant les essais sur les humains et en éliminant les tests de sécurité et d'efficacité. jusqu'aux os nus.

    L’OMS décidera également quels médicaments peuvent être utilisés en cas d’urgence médicale et lesquels vous ne pouvez pas avoir. En d’autres termes, le directeur général de l’OMS décidera des soins de santé pour chaque personne dans chaque État membre, et votre médecin local sera tenu de suivre ses décrets. Vous n'aurez plus aucune liberté médicale ni autonomie corporelle.

    Les pays seront également contraints de mettre en œuvre des programmes massifs de biosurveillance à l’échelle nationale pour identifier les agents pathogènes potentiels à potentiel pandémique. Cela comprendra le prélèvement et les tests sur les humains, les animaux domestiques, les animaux de ferme, la faune sauvage, les fermes, les usines, les eaux usées et plus encore, et les chances de trouver un agent pathogène ayant un potentiel pandémique si on le recherche dans tous les coins et recoins du monde sont de 100 %.

    Le directeur général de l’OMS aura alors seul pouvoir de déclarer une pandémie, voire une pandémie potentielle, auquel cas tous les pouvoirs décisionnels relèveront de l’OMS. Cependant, aucune norme ne doit être respectée avant de pouvoir déclarer une urgence de santé publique.

    De la manière dont ces documents sont rédigés, le directeur général peut même agir sur la base de ouï-dire. Il n’a pas besoin d’avoir la preuve qu’une pandémie est imminente ou en cours. Il peut agir sur suspicion. Plus inquiétant encore, le traité sera en vigueur en permanence, de sorte que le directeur général n'aura même pas besoin de déclarer une urgence. Il aura le pouvoir de dicter la santé publique même en l’absence de pandémie. C’est dire à quel point ce traité a une portée considérable.

    Les nations devront également surveiller et censurer les médias sociaux. Le récit de l’OMS sera le seul autorisé. YouTube a déjà mis en œuvre cette politique, même si le traité n'est pas encore en vigueur.

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  44. L'histoire de la guerre biologique et comment nous en sommes arrivés là
    Nass passe également en revue l’histoire des armes biologiques et explique pourquoi nous nous trouvons actuellement dans une situation où la plupart des pandémies qui se sont produites sont essentiellement le résultat du développement d’armes biologiques.

    En 1969, le président Nixon a annoncé que les États-Unis mettraient fin à leur programme offensif de guerre biologique. Il s’agissait d’une décision stratégique plutôt qu’altruiste, car les États-Unis étaient bien en avance sur les autres pays en matière d’armes chimiques et nucléaires. En interdisant les armes biologiques, qui sont relativement simples et peu coûteuses à créer, les États-Unis obtiendraient un avantage stratégique sur la scène mondiale.

    Nixon a lancé le premier traité mondial visant à empêcher la création et l'utilisation d'armes biologiques en 1972. La Convention sur les armes biologiques est entrée en vigueur trois ans plus tard, en 1975. Cependant, en 1973, le génie génétique a été découvert, ce qui a soudainement permis aux États-Unis d'acquérir une avance technologique. avantage qui nous permettrait de fabriquer des armes biologiques meilleures et plus précises.

    Le problème avec la Convention sur les armes biologiques, c'est qu'elle n'est pas appliquée. Pour être efficace et vérifiable, une nation doit pouvoir défier une autre nation et avoir le droit de procéder à des inspections et d’ajouter des sanctions en cas de non-respect. Mais cette méthode d’application n’a pas été incluse et les États-Unis ont bloqué tous les efforts visant à ajouter des articles d’application au traité depuis 1991. Ainsi, comme l’explique Nass : 7

    « Sous couvert de préparer leurs défenses contre la guerre biologique et les pandémies, les nations ont mené des recherches et des développements à « double usage » (à la fois offensifs et défensifs), ce qui a conduit à la création de micro-organismes plus mortels et plus transmissibles. Et en employant un nouveau langage pour protéger cet effort de tout examen minutieux, la recherche sur la guerre biologique a été baptisée recherche sur le « gain de fonction ».

    Le SRAS-CoV-2, par exemple, semble être le résultat direct de la recherche sur le gain de fonction. [Ce problème n'est pas corroboré, GR Editor] .

    Comme l’a noté Nass, il présente « des homologies inhabituelles (courts segments identiques de nucléotides) avec les tissus humains et le virus VIH, qui peuvent avoir causé ou contribué au stade tardif de la maladie auto-immune, à une réponse immunitaire altérée et à un « long COVID ».

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  45. En tant que tel, le SRAS-CoV-2 est une arme biologique [non corroboré] . David Martin, Ph.D., a également réalisé de nombreuses interviews, discours et conférences exposant le COVID-19 comme un crime de guerre biologique.

    Voici la vidéo :

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    Finançons-nous la santé publique ou le développement d’armes biologiques ?

    Comme indiqué dans l’article de Nass, le financement des épidémies naturelles, comme la grippe saisonnière, a été regroupé avec le financement de la biodéfense, ce qui cache le coût du développement des armes biologiques de notre pays, car en réalité, la « biodéfense » est le « développement d’armes biologiques ».

    Et même si le développement d’armes biologiques est dangereux et viole le traité international, la biodéfense est inutile et constitue un gaspillage total d’argent. C’est donc une proposition perdant-perdant pour les contribuables.

    En mars 2023, l’ancien directeur du CDC, le Dr Robert Redfield, a témoigné devant le Congrès, déclarant que la recherche sur le gain de fonction n’avait jamais, à sa connaissance, abouti à un seul médicament, vaccin ou thérapeutique bénéfique. 8

    En d’autres termes, bien qu’ils mènent ces recherches sous couvert de « défense », toute recherche sur les gains de fonction est une recherche sur les armes biologiques et n’a aucune application bénéfique en matière de santé publique.

    Le traité de l’OMS ne fait qu’empirer les choses en obligeant les pays membres à rechercher des agents pathogènes potentiellement pandémiques et, lorsqu’ils les trouvent, à les partager, ainsi que toute recherche effectuée à leur sujet, avec tout le monde.

    Ainsi, le traité de l’OMS favorise littéralement la prolifération des armes biologiques et ouvre grande la porte à la recherche et aux essais sur les armes biologiques. Cela supprimera également la possibilité de rejeter la faute sur une nation particulière pour avoir déclenché une pandémie (c’est-à-dire déclencher une arme biologique), car tout le monde travaille avec les mêmes agents pathogènes.

    Le traité exige également que les nations éliminent les obstacles administratifs à la recherche efficace sur les agents pathogènes à potentiel pandémique, alors que nous avons réellement besoin de réglementations beaucoup plus strictes sur ce type de travail, si nous voulons nous y engager.

    Ainsi, le traité de l’OMS nous mènera dans la direction complètement opposée à celle que nous devons réellement prendre si nous voulons prévenir de futures pandémies. Pour les prévenir, nous devons arrêter la recherche sur les gains de fonction, car c’est la plus grande menace de pandémie.

    La préparation à une pandémie est un écran de fumée
    De la même manière, l’idée selon laquelle le monde peut se préparer à l’avance à une pandémie mondiale est « un écran de fumée derrière lequel se cache une approche fasciste de la gestion sociale », écrit Nass. Elle ajoute : 9

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  46. « Il n'existe aucun moyen connu de prévenir les pandémies, et les méthodes pour lesquelles les gouvernements dépensent de l'argent vont en réalité aggraver ce problème.

    Le concept de "réponse": refuser des médicaments génériques bon marché et disponibles au profit du développement à grande vitesse de médicaments et de vaccins brevetables, qui seront soumis à des tests minimes et n'engageront aucune responsabilité, est un autre désastre en devenir.»

    Nos agences de santé nous trahissent
    Il est important de noter que le gouvernement américain – y compris nos agences de santé – a joué un rôle central dans l’élaboration et la rédaction de ces documents, qui nous privent de notre souveraineté en tant que nation, de notre autonomie corporelle en tant que peuple, ainsi que de la liberté, des droits de l’homme et de la démocratie en général.

    En effet, les amendements du RSI suppriment spécifiquement la nécessité de respecter « les droits de l’homme, la dignité et la liberté des personnes » lors d’urgences de santé publique. Cette suppression n’est cependant pas passée inaperçue et, après de sévères critiques, une formulation « garantissant » les droits de l’homme a été insérée dans le dernier projet (le projet du Bureau) de traité sur la pandémie.

    En fin de compte, nos agences de santé ne nous protègent pas. Ils sont contrôlés par des intérêts privés mondialistes et ils nous trahissent.

    Nous le voyons également dans la manière dont les agences de santé américaines comme les Centers for Disease Control and Prevention et la Food and Drug Administration ont refusé de rectifier le tir une fois qu'il est devenu clair que les injections de COVID n'empêchaient pas l'infection ou la transmission, et provoquaient des taux de contamination historiquement élevés. blessures.

    Au lieu de cela, ils ont redoublé d’efforts et imposé des mandats, et ont commencé à manipuler les algorithmes des bases de données pour cacher l’ampleur des blessures et des décès. De même, l’OMS travaille sur un passeport vaccinal international, même si les prémisses de ce projet ont été supprimées. Si les vaccins n’empêchent pas l’infection ou la transmission, à quoi sert alors la preuve de « vaccination » ?

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  47. Pareil avec les masques. Peu importe la quantité de preuves scientifiques qui leur ont été présentées, les autorités sanitaires ont refusé d'admettre que les masques ne fonctionnent pas et ont préconisé le port de deux ou trois masques à la place. Et que dire de la recommandation mondiale de traiter uniquement les infections à un stade avancé ? C'est la médecine 101 que de traiter une maladie le plus tôt possible, surtout lorsqu'il s'agit d'infections.

    Comme l’a noté Nass, « cela ne fait aucun doute : nos agences de santé sont coupables de malversations, de fausses déclarations et d’infliger délibérément des dommages à leurs propres populations. »

    Toutes les règles fondamentales de la médecine ont été rejetées pendant la COVID, et en vertu du traité sur la pandémie, le bon sens et les faits médicaux fondamentaux seront évincés à jamais. Nass en explique beaucoup plus dans son article, je vous invite donc à le lire dans son intégralité.

    La chronologie

    Les amendements au RSI ne nécessiteront qu'un vote de 50 % des personnes présentes dans la salle au moment du vote, qui aura lieu lors de la réunion annuelle de l'Assemblée mondiale de la Santé, du 22 au 24 mai 2024.11 Les amendements entreront en vigueur dans 10 mois . plus tard pour toute nation qui ne se retirera pas.

    Les nations qui ne se sont pas officiellement retirées seront alors liées par les nouvelles conditions énoncées dans les amendements. Le traité sur la pandémie sera également voté lors de cette réunion. Il nécessitera un vote favorable des deux tiers des membres présents dans la salle et entrera en vigueur dès que 30 pays l’auront ratifié.

    Trente jours plus tard, le traité entrera en vigueur pour toutes les nations qui l’auront signé. Toute nation qui n’aura pas signé le traité sera exclue de ses termes. Ceux qui signent le traité doivent attendre trois ans avant de pouvoir en sortir.

    Porte vers la liberté

    Pour éviter ce cauchemar, Nass a fondé une nouvelle organisation appelée Door To Freedom ( doortofreedom.org ), qui cherche à éduquer les gens du monde entier sur ce que le traité sur la pandémie et les amendements du RSI changeront la vie telle que nous la connaissons et nous priveront de tout. vestige de liberté.

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  48. Door To Freedom a créé une affiche pour expliquer les impacts qu’auront le traité sur la pandémie et les amendements au RSI. Veuillez télécharger cette affiche et la partager avec tous ceux que vous connaissez. Affichez-le également sur les panneaux d'affichage publics et sur les lieux où les communautés partagent des informations.

    Autres éléments d'action
    Bien que la situation semble incroyablement sombre, Nass insiste sur le fait qu'il y a beaucoup de choses que nous pouvons faire pour empêcher la prise de pouvoir de l'OMS, notamment les suivantes :

    Appelez votre membre ou membre du Congrès et exhortez-le à parrainer HR79 — The WHO Withdrawal Act , 12 présenté par le représentant Andy Biggs, qui appelle au définancement et à la sortie de l'OMS. Au moment d’écrire ces lignes, il compte 51 coparrains, tous républicains. Nous ne pouvons pas faire adopter ce projet de loi sans les démocrates, nous devons donc leur faire comprendre les enjeux.
    La Coalition pour la souveraineté permet à chacun de faire entendre plus facilement sa voix. Sa page Help the House Defund the WHO vous permettra de contacter tous vos élus en quelques clics seulement. Remplissez simplement le champ requis, cliquez sur Soumettre et vos coordonnées seront utilisées pour vous mettre en relation avec vos représentants élus.

    Exhortez également votre membre ou membre du Congrès à parrainer le HR1425 , 13 , ce qui nécessiterait que le traité sur la pandémie soit approuvé par le Sénat. Il compte actuellement 27 coparrainants.
    Appelez vos sénateurs et exhortez-les à parrainer la version sénatoriale du HR1425, qui est le S.444, le Traité de préparation à une pandémie de l'OMS sans l'approbation du Sénat . 14 Il compte actuellement 47 coparrainants.
    Partagez l'affiche éducative 15 de Door To Freedom partout où vous le pouvez et dirigez-les vers doortofreedom.org pour plus d'informations. Partagez, partagez et partagez également des informations sur les amendements du RSI et sur la manière dont ils détruiront la souveraineté nationale et augmenteront la surveillance et la censure. Vous pouvez trouver un résumé rapide ici .
    *

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    Remarques

    1Le Highwire 1er septembre 2023

    2, 7, 9, 10 Porte vers la liberté 28 août 2023

    3 Anthraxvaccine.blogspot.com 3 septembre 2023

    4 Medpage aujourd’hui 13 janvier 2022

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    13 H.R.1425, le Traité de préparation à une pandémie de l'OMS sans l'approbation du Sénat

    14 S.444, la Loi contre le Traité de l'OMS sur la préparation à une pandémie sans l'approbation du Sénat

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  50. Des cancers apparaissant d’une manière jamais vue auparavant après les vaccinations contre la COVID : Dr Harvey Risch


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 23 SEPTEMBRE 2023 - 04:20
    Rédigé par Efthymis Oraiopoulos et Jan Jekielek via The Epoch Times


    Selon le Dr Harvey Risch, il existe des preuves que les cancers surviennent en excès après que les gens ont été vaccinés contre le COVID-19.

    Le Dr Risch est professeur émérite d'épidémiologie au Département d'épidémiologie et de santé publique de la Yale School of Public Health et de la Yale School of Medicine. Ses recherches se sont largement concentrées sur les causes du cancer ainsi que sur la prévention et le diagnostic précoce.

    Dans une interview pour "American Thought Leaders" d'EpochTV, le Dr Risch a déclaré que les patients doivent désormais attendre des mois, et non des semaines, pour obtenir un rendez-vous dans une clinique d'oncologie à New York.

    Il est difficile d'observer si un vaccin peut provoquer le cancer, car le cancer prend généralement du temps à se développer, a déclaré le Dr Risch. Cela peut prendre de deux à 30 ans, selon les différents types de cancer, de la leucémie au cancer du côlon.

    "Ce que les cliniciens ont vu", a déclaré le Dr Risch, "ce sont des choses très étranges : par exemple, des jeunes de 25 ans atteints d'un cancer du côlon, qui n'ont pas d'antécédents familiaux de la maladie - c'est fondamentalement impossible selon le paradigme connu pour comment fonctionne le cancer du côlon et d'autres cancers à longue latence qu'ils observent chez les très jeunes."

    Il a dit que ce n’est pas ainsi que le cancer se développe normalement.

    "Il doit y avoir une incitation à expliquer pourquoi cela se produit", a-t-il déclaré.

    Combattre le cancer

    Le Dr Risch a déclaré qu'à son avis, le cancer est quelque chose qu'un corps humain en bonne santé peut combattre et désactiver, car les cellules cancéreuses anormales sont englouties lorsqu'elles sont détectées dans un corps doté d'un système immunitaire fonctionnel. Cependant, si le système immunitaire est compromis, il ne peut pas accomplir sa tâche de neutralisation des cellules cancéreuses, et celles-ci doivent se multiplier et se développer, entraînant des symptômes de cancer.

    "Je pense que c'est le mécanisme le plus probable ici", a déclaré le Dr Risch. « Nous savons que les vaccins contre la COVID ont causé des dommages à divers degrés au système immunitaire chez une fraction des personnes qui les ont pris. »

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  51. Ces dommages pourraient se traduire par une infection plus fréquente du COVID, par d’autres maladies infectieuses ou par un cancer.

    Un autre exemple donné par le Dr Risch est celui du cancer du sein, qui, normalement, s'il y a une remanifestation après une ablation chirurgicale, la remanifestation survient après deux décennies. Cependant, on constate désormais que les femmes vaccinées présentent à nouveau des cancers du sein dans des délais beaucoup plus courts.

    "Ce sont les premiers signaux que nous avons observés, et parce que ces cancers sont apparus chez des personnes trop jeunes pour les contracter, par rapport à la manière normale dont cela fonctionne, ils ont été désignés comme des turbo-cancers". » a déclaré le Dr Risch.

    "Certains de ces cancers sont si agressifs qu'entre le moment où ils sont observés pour la première fois et celui où ils reviennent pour un traitement après quelques semaines, ils ont connu une croissance spectaculaire par rapport à ce à quoi les oncologues auraient pu s'attendre en ce qui concerne la façon dont le cancer progresse normalement", il ajouta.

    «Soyez à l'écoute de votre corps», recommande le Dr Risch, pour remarquer tout nouveau signal que le corps pourrait émettre.

    Événements indésirables après la vaccination

    Le Dr Risch a également évoqué le fait que les agences médicales officielles ne reconnaissent pas une personne comme étant vaccinée au cours des deux premières semaines de vaccination. Cela se produit, a-t-il expliqué, parce que les agences médicales affirment qu’il faut deux semaines pour que les effets du vaccin commencent à se manifester. Les effets indésirables survenus quelques jours après la vaccination ont été officiellement comptabilisés comme des problèmes de santé se manifestant chez des personnes non vaccinées, a-t-il déclaré.

    Cependant, des événements indésirables graves sont survenus après la réception du vaccin au cours des quatre premiers jours, a déclaré le Dr Risch. Il a déclaré que les trois quarts des effets indésirables enregistrés concernaient des personnes non vaccinées.

    Les décideurs qui étaient aux commandes pendant la pandémie « ont rejeté les principes de santé publique six jours après le début de la pandémie et ont fait le contraire de tout ce que nous savions qu'il fallait faire pour les virus respiratoires », a-t-il déclaré.

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  52. Naomi Wolf rejoint WarRoom pour publier un rapport explosif sur les conclusions de la demande FOIA


    Par Steve Bannon
    Salle de guerre des bannons
    23 septembre 2023


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  53. ENCORE UN ARTICLE CENSURÉ ! (60 - 1 = 59)

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