- ENTREE de SECOURS -



mardi 5 septembre 2023

Le réchauffement du climat : une sombre histoire de « Cherry-Picking »

 le 4 septembre 2023

 

Lorsque j’étais un enfant nous allions choisir parmi les cerisiers les cerises qui semblaient les plus mûres à la fin du printemps. Nous étions avec mes sœurs impatients de manger ces premières cerises de l’année. C’est ce que les anglo-saxons appellent le « cherry picking ». Le dernier rapport « AR6 » de l’IPCC est un modèle de la stratégie choisie pour mettre en avant le réchauffement du climat. Il s’agit de choisir, sous couvert de probité scientifique, les relevés de température des stations de météorologie celles qui sont conformes à l’hypothèse du réchauffement d’origine anthropique. Les stations météo existant depuis la fin du XIXe siècle et qui se trouvaient dans un environnement rural mais aujourd’hui incluses au milieu des villes voire près d’un aéroport sont celles qui sont privilégiées pour la véracité de leurs enregistrements puisqu’elles existent depuis de nombreuses années. 

Le résumé technique de l’IPCC est clair : « le changement contemporain du climat est surtout une conséquence de l’activité humaine : le réchauffement du climat est de 1,07 °C entre les périodes 1850-1900 et 2011-2020 alors que le réchauffement d’origine naturelle est de l’ordre de -0,1 à +0,1 °C. Les causes de ce réchauffement, toujours selon l’AR6 de l’IPCC, sont d’origine humaine puisque tous les modèles rétrospectifs n’ont pas pu mettre en évidence un quelconque effet tant de l’activité solaire que de l’activité volcanique (sic). Une équipe internationale affiliée au CERES (Center for Environmental Research and Earth Sciences, à Salem, Massachusetts) sous la direction du docteur Weijia Zhang, Université de Shaoxing, Chine a procédé à une autre sorte de cherry-picking en éliminant toutes les données provenant des stations météo situées dans un environnement urbain caractérisées par la présence d’îlots de chaleur provoquant une surévaluation des températures (lien : https://doi.org/10.3390/cli11090179 ). L’étude a nécessité la collaboration de 40 personnes réparties dans le monde. Et les conclusions contredisent comme on pouvait s’y attendre les affirmations de l’IPCC :

L’irradiance solaire totale (TSI) dont il est fait mention dans ce schéma graphique (totalement ignorée par l’IPCC) est soit la température de surface brute mesurée par les relevés océaniques depuis le début du vingtième siècle et complétée par divers proxys avant les années 1900, soit (#2) complétée par les mesures des radiations solaires dans l’infra-rouge et les longueurs d’onde centimétriques. L’influence des éruptions volcaniques se traduit par de courtes périodes de refroidissement et enfin l’illustration fait figurer pour comparaison les résultats décrits dans l’AR6 de l’IPCC. Il faut noter que l’activité solaire joue un rôle prépondérant sur l’évolution du climat en raison des conséquences sur la configuration nuageuse de l’atmosphère, l’albedo et les courants océaniques.

Toutes les données de température proviennent exclusivement des stations météorologiques se trouvant en milieu rural et depuis la fin des années 1950 des bouées océaniques flottantes dérivantes ou amarrées, un « cherry-picking » inversé pour satisfaire l’honnêteté scientifique. Il n’est pas nécessaire de discuter plus avant pour constater la fraude caractérisée de l’IPCC, une organisation politique mandatée pour convaincre les peuples qu’ils ont par leur activité déréglé le climat et qu’ils devront être punis à travers des taxes et des mesures de comportement coercitives variées progressivement mises en place par le gouvernement global progressiste de même qu’entre les XIVe et XVIe siècle les chrétiens devaient acheter des indulgences pour sauver les âmes tachées de péchés imaginaires pour la plus grande gloire de la papauté …

 À l’époque des indulgences personne ne protesta sauf quelques personnalités comme Luther ou Calvin, mais aujourd’hui le système est tellement bien organisé avec l’appui d’une propagande médiatique incessante que toute voix discordante est immédiatement ostracisée et seuls les adeptes de la fraude de l’IPCC, souvent par intérêt politique ou idéologique, ont le droit de s’exprimer. À ce sujet et en particulier en France j’ai tenté de trouver des informations objectives au sujet de l’optimum du climat de l’Holocène en regardant l’exposé d’un membre du Collège de France, un organisme franco-français supposé refléter une certaine honnêteté scientifique. Quelle ne fut pas ma surprise de constater que cette docte assemblée est littéralement pourrie par la propagande de l’IPCC … Note. Pour retrouver l’article cité en référence il suffit de le localiser sur le site ResearchGate.

https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/09/04/le-rechauffement-du-climat-une-sombre-histoire-de-cherry-picking/

53 commentaires:

  1. Que chacun se fasse son opinion à partir d’une recherche honnête et de l’objectivité la plus rationnelle possible. Nous allons peu à peu lever le voile et comprendre où nous mène toute cette histoire. J’en appelle à la conscience des personnes, à leur responsabilité, à leur autonomie intellectuelle, à la souveraineté des êtres libres qu’ils sont et à leur bon sens. Toutes ces informations et ces réflexions présentes sont destinées à permettre d’y voir plus clair, à se faire une opinion documentée, à débroussailler le roncier innommable des falsifications qui ont été répandues sans arrêt depuis trois ans sur le sujet qui nous occupe. Bonne lecture

    Coronavirus & Great Reset Tome 1
    Parution : le 20 juin 2023.
    Editeur : Publibook

    Les lecteurs peuvent déjà se procurer le tome 1 sur http://www.publibook.com ou sur Amazon, la FNAC, etc.

    Le tome 2 bientôt disponible :

    Jean-Yves Jézéquel, philosophe et psychanalyste, diplômé du troisième cycle en sciences humaines (doctorat), est l’auteur d’une trentaine d’essais en philosophie, politique, spiritualité, re- ligion, psychologie. Il publie également depuis 2014, une série d’analyses sur les grandes questions actuelles de société. Il contribue régulièrement à Mondialisation.ca.

    https://www.mondialisation.ca/interrogations-sur-la-crise-covid-19-et-la-tyrannie-sanitaire-coronavirus-great-reset/5680987?doing_wp_cron=1693918412.8278250694274902343750

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  2. La FDA ne se préoccupe pas des naissances prématurées et approuve le vaccin contre le VRS de Pfizer pour les femmes enceintes

    La Food and Drug Administration (FDA) a approuvé lundi le vaccin Abrysvo de Pfizer, un vaccin maternel destiné à protéger les nourrissons contre le virus respiratoire syncytial (VRS) jusqu'à l'âge de six mois, en dépit de préoccupations liées à la sécurité, y compris de la part des propres conseillers de la FDA.


    Par Brenda Baletti
    Mondialisation.ca,
    02 septembre 2023


    La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a approuvé lundi le vaccin Abrysvo de Pfizer, un vaccin maternel destiné à protéger les nourrissons contre le virus respiratoire syncytial (VRS) jusqu’à l’âge de 6 mois.

    L’agence a approuvé le vaccin malgré les inquiétudes soulevées par les membres du comité consultatif de la FDA sur les vaccins et les produits biologiques connexes (VRBPAC) au sujet des naissances prématurées constatées lors des essais cliniques de Pfizer.

    Le Dr Paul Offit, pédiatre à l’hôpital pour enfants de Philadelphie et fréquemment cité comme défenseur des vaccins, a déclaré qu’il ne pensait pas qu’il y avait suffisamment de données pour indiquer que la sécurité du vaccin était “rassurante”.

    Dans sa déclaration aux investisseurs, Pfizer s’est toutefois montré enthousiaste quant à la perspective du vaccin.

    “L’approbation d’ABRYSVO en tant que premier et seul vaccin maternel permettant de protéger les nouveau-nés dès la naissance et jusqu’à l’âge de six mois contre le VRS marque une étape importante pour la communauté scientifique et la santé publique “, a déclaré Annaliesa Anderson, Ph.D., vice-présidente senior et responsable scientifique de Pfizer pour la recherche et le développement de vaccins.

    Le VRS ne provoque généralement que des symptômes légers, semblables à ceux d’un rhume, chez les nourrissons et les jeunes enfants. La plupart d’entre eux contractent la maladie avant l’âge de 2 ans et n’ont généralement pas besoin de soins médicaux. Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) estiment que 58 000 à 80 000 enfants de moins de 5 ans sont hospitalisés et que 100 à 300 enfants meurent du VRS au cours d’une année donnée.

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  3. Commentant le vaccin après que la VRBPAC l’a approuvé en mai, le Dr Peter McCullough a déclaré au Defender:

    « Ce produit représente une tentative sans précédent de vacciner les mères sans aucun bénéfice pour elles et avec une efficacité seulement théorique pour les bébés. Au cours de l’essai, moins de 2 % des nourrissons ont contracté le VRS à tout moment, ce qui est facilement traitable par nébulisation“.

    Avant que le médicament puisse être prescrit aux femmes enceintes, le comité consultatif des CDC sur les pratiques de vaccination (ACIP) doit recommander le vaccin et la directrice des CDC, Mandy Cohen, doit accepter la recommandation. On s’attend à ce qu’elle le fasse, a rapporté STAT News.

    La prochaine réunion de l’ACIP est prévue pour octobre, mais STAT a déclaré qu’une réunion spéciale pourrait être convoquée dans les prochains jours, étant donné “le début précoce de la saison du VRS l’année dernière”.

    Au début du mois, les CDC ont recommandé le tout premier anticorps monoclonal – le Beyfortusde Sanofi et AstraZeneca – pour protéger tous les nouveau-nés contre le VRS, après l’approbation du médicament par la FDA.

    La FDA a fait cette recommandation en dépit des 12 décès de nourrissons survenus au cours des essais cliniques et des critiques d’experts médicaux qui ont déclaré que cette mesure n’était pas nécessaire et qu’elle ne valait pas les risques connus.

    Fin mai, la FDA a approuvé le même vaccin Abrysvo de Pfizer que celui approuvé lundi pour les femmes enceintes, pour une utilisation chez les adultes de plus de 60 ans.

    Au début du mois de mai, l’agence a approuvé l’Arexvy de GSK, le premier vaccin autorisé contre le VRS, pour les adultes de plus de 60 ans.

    Taux d’accouchement prématuré supérieur de 20 % chez les mères vaccinées dans le cadre d’essais cliniques
    Selon la FDA, Abrysvo sera administré aux femmes enceintes entre la 32e et la 36e semaine de grossesse sous forme d’une injection à dose unique dans le muscle.

    La sécurité et l’efficacité des vaccins ont été déterminées par des études cliniques internationales en cours, randomisées et contrôlées par placebo.

    Pfizer a indiqué que dans son essai clinique de phase 3 – MATISSE (MATernal Immunization Study for Safety and Efficacy), publié dans le New England Journal of Medicine – la piqûre était efficace à près de 82 % pour prévenir les maladies graves dues au VRS chez les nouveau-nés au cours des 90 premiers jours de leur vie. Environ 7 000 personnes ont participé à l’essai clinique.

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  4. D’autres effets secondaires fréquemment rapportés de l’Abrysvo sont la douleur au point d’injection, les maux de tête, les douleurs musculaires et les nausées.

    La pré-éclampsie a également été observée chez 1,8 % des femmes enceintes ayant pris le médicament, contre 1,4 % des femmes du groupe placebo.

    L’entreprise a déclaré qu’elle continuerait à examiner les risques dans le cadre d’une étude sur les vaccins après leur mise sur le marché et que, dans ce contexte, elle créerait un registre pour le signalement des effets indésirables.

    Le Dr McCullough a écrit sur son Substack que ce vaccin est une preuve supplémentaire que “l’idéologie ou l’orgueil des vaccins apparaît partout ! Jamais nous n’avons autant entendu parler de vaccins dans notre vie quotidienne en tant que profanes ou professionnels de la santé”.

    Il a ajouté :

    “Pfizer a fait avancer de manière agressive les essais cliniques randomisés dans la population enceinte sans aucune garantie sur les résultats à long terme. Il n’y a pas de bénéfice direct pour les mères.

    “En outre, les promoteurs ont changé les règles du jeu pour faciliter la réussite de l’essai. Nous devrions exiger une sécurité à long terme, une efficacité élevée … et une durabilité d’au moins un an, pour une maladie aussi rare et facile à traiter chez les bébés”.

    Brenda Baletti, Ph.D.

    *

    Brenda Baletti, Ph.D.'s avatarBrenda Baletti Ph.D. est journaliste pour The Defender. Elle a écrit et enseigné sur le capitalisme et la politique pendant 10 ans dans le cadre du programme d’écriture de l’université Duke. Elle est titulaire d’un doctorat en géographie humaine de l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill et d’une maîtrise de l’université du Texas à Austin.

    https://www.mondialisation.ca/la-fda-ne-se-preoccupe-pas-des-naissances-prematurees-et-approuve-le-vaccin-contre-le-vrs-de-pfizer-pour-les-femmes-enceintes/5680909?doing_wp_cron=1693918662.4311590194702148437500

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  5. Cet inquiétant excès de mortalité chez les jeunes qui interroge sur la vaccination anti-Covid-19


    Par Jean-Noël Haas
    Mondialisation.ca,
    02 septembre 2023


    Qu’est-ce qui a bien pu changer au deuxième semestre 2021 ? Quoi d’autre sinon que les jeunes ont été massivement vaccinés avec les vaccins anti-Covid-19 ? »

    Depuis le deuxième semestre 2021, le site EuroMOMO (1) laisse apparaître un excès de mortalité dans la tranche des 15-44 ans, et cela sans déclencher aucune alerte dans l’opinion publique. L’institut minimise le problème en indiquant que le calcul de l’excédent de mortalité n’est plus fiable depuis la pandémie Covid car le modèle mathématique utilisé pour les prédictions de mortalité n’est plus adapté.

    *

    Voulant en avoir le cœur net j’ai développé un programme en suivant les indications du statisticien Pierre Chaillot pour analyser la mortalité Française à partir du journal des décès publié chaque mois sur data.gouv.fr. Je ne vais pas rentrer dans les détails du fonctionnement du programme. Ceux qui suivent Pierre Chaillot de la chaîne YouTube Décoder l’éco seront familiers avec les différents concepts utilisés dans le programme. Notamment la standardisation des décès qui permet de s’affranchir du vieillissement de la population pour avoir des chiffres comparables au fil des années.

    Le code source du programme se trouve sur le site GitHub et n’importe qui avec des compétences en programmation et en statistiques peut le vérifier, le modifier et soumettre des corrections.

    Au premier lancement, le programme télécharge automatiquement les journaux des décès depuis le site data.gouv.fr, ainsi que les fichiers de pyramide des âges depuis le site de l’INSEE.

    Cela fait, le programme insère les données dans une base de données, calcule des statistiques annuelles, ajuste une droite sur la courbe des décès d’avant la pandémie pour pouvoir donner des prédictions et calculer un excès de mortalité par rapport à ce qui est attendu. Les résultats sont consolidés à la fin dans un fichier Microsoft Excel avec des graphiques.

    Par défaut voici le graphique que le programme génère.

    - voir graph sur site -

    Nous voyons là le nombre de décès standardisés en bleu et en rouge la prédiction à partir d’une régression linéaire sur la période Pre-Covid de 2012 à 2019 inclus.

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  6. Nous voyons bien l’excès de mortalité à partir de 2020 avec l’épidémie de Covid et nous constatons également que cet excès de mortalité persiste toujours en 2022 alors que la pandémie est pratiquement terminée.

    Ceci est conforme aux constatations de l’INSEE qui titre dans un article 53.800 décès de plus qu’attendus en 2022 : une surmortalité plus élevée qu’en 2020 et 2021. Les excédents de mortalité donnés dans cet article sont équivalent à ceux donnés par mon programme malgré une méthodologie différente.

    - voir cadre sur site -

    Maintenant intéressons-nous aux jeunes. Nous pouvons spécifier au programme des arguments pour filtrer par exemple sur la tranche d’âge 5-40 ans et nous pouvons également choisir le semestre comme unité de temps plutôt que l’année pour augmenter la résolution temporelle.

    Voici la ligne de commande :

    FrenchMortalityAnalyzer.exe evolution –MinAge 5 –MaxAge 40 –TimeMode Semester

    Et voici le résultat :

    - voir graph sur site -

    Les années en +0,0 représentent les premiers semestres et les année en +0,5 représentent les seconds semestres. Il s’agit là purement d’une convention de notation. Par exemple 2021,0 représente le premier semestre 2021 et 2021,5 représente le deuxième semestre 2021.

    Voici le tableau depuis 2020

    - voir cadre sur site -

    Et que voyons-nous ?

    Premier semestre 2020 aucun excédent de mortalité alors que nous sommes en pleine première vague Covid.
    Deuxième semestre 2020 aucun excédent de mortalité alors que nous sommes en pleine deuxième vague Covid.
    Premier semestre 2021 aucun excédent de mortalité alors que la pandémie Covid est toujours en cours.
    On voit là que le Covid n’a strictement eu aucun impact en termes de mortalité sur les moins de 40 ans et que le modèle de prédiction des décès est valable. Le nombre de décès constaté est très proche de ce qui est attendu.

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  7. Et ensuite ?

    Eh bien tout change :

    Deuxième semestre 2021 excédent d’environ 400 décès par rapport aux prédictions alors que nous sommes au variant Delta, déjà beaucoup moins sévère et que les jeunes se font vacciner massivement.
    Premier semestre 2022 excédent d’environ 500 décès par rapport aux prédictions alors qu’on est passé au variant Omicron, encore moins sévère.
    Deuxième semestre 2022 excédent d’environ 600 décès par rapport aux prédictions alors que la pandémie est pratiquement terminée.
    Premier semestre 2023 encore un excédent de 330 décès qui semble aller à la baisse malgré qu’il faille encore rester prudent dans la mesure où tous les décès ne sont pas encore remontés pour cette période
    Avant de commenter il faut nous poser la question si cet excédent est significatif ?

    Pour cela nous pouvons faire les calculs d’erreur statistique. En utilisant la formule de l’écart-type pour la loi normale :

    - voir formule sur site -

    Avec un taux de mortalité (p) d’environ 0,2 pour 1.000 sur un semestre et une population (n) d’environ 27.400.000 individus pour la tranche d’âge des 5-40 ans, nous trouvons un écart-type théorique d’environ 73 décès.

    Si nous superposons la loi normale correspondant à un écart-type de 73 avec la distribution réelle du nombre de décès chaque semestre depuis 2012 nous obtenons l’histogramme suivant :

    - voir graph sur site -

    La loi normale en rouge et la distribution réelle en bleu. Nous voyons que tous les semestres strictement antérieurs aux deuxième semestre 2021 sont relativement bien regroupés autour de la distribution normale, confirmant qu’il n’y a que des fluctuations statistiques. En revanche les quatre derniers semestres (deuxième semestre 2021 et plus) sont bien à l’écart. L’excédent de mortalité dans ces quatre semestres est statistiquement significatif.

    Et quelle est la probabilité que cela arrive par hasard ?

    Le deuxième semestre 2021 avec un excédent de 400 se trouve à 5 fois l’écart-type (400/73).

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  8. Il faut réaliser que le fait que les décès dus à des effets secondaires de vaccin soient visibles en mortalité générale est du jamais vu dans l’histoire des vaccins et qu’en plus que les médias n’en parlent pas est encore plus effarant.

    En 1976, une campagne de vaccination massive antigrippale a été interrompue aux États-Unis juste pour une trentaines de décès. Nous sommes hélas tombés bien bas !

    Pour toutes espèces vivantes, c’est la descendance qui est systématiquement favorisée pour assurer coûte que coûte la survie de l’espèce. Il faut croire que chez les humains cette règle ne s’applique pas. Nous sommes capables de sacrifier la jeunesse pour prolonger la vie de quelques mois des personnes en fin de vie.

    Une sorte de sacrifice en plus inutile, dans la mesure où les vaccins anti-Covid-19 ne protègent que contre les formes graves et ne réduisent pas la retransmission du virus.

    Si la moyenne d’âge des décès Covid est de 81 ans et que l’espérance de vie est de 83 ans nous pouvons alors faire le raisonnement suivant :

    Quand vous décédez à 20 ans vous perdez 63 ans d’espérance de vie et ce sont les plus belles années de votre vie qu’on vous vole. Quand vous décédez à 81 ans vous perdez deux ans d’espérance de vie. Un mort de 20 ans compte 30 fois plus qu’un mort de 81 ans.

    Je vous laisse en tirer vos propres conclusions.

    Imaginez-vous en fin de vie à devoir choisir entre sacrifier votre descendance pour pouvoir vivre quelques mois de plus ou vous sacrifier vous-même pour que votre descendance puisse prospérer ? Que choisissez-vous ?

    Eh bien les autorités de santé et le gouvernement ont choisi pour vous. Et c’est comme s’ils avaient décidé de sacrifier votre descendance !

    Jean-Noël Haas

    *

    Source de l’image en vedette : The Defender

    Note :
    (1) EuroMOMO est un site dédié à la surveillance de la mortalité en Europe. Il vise à détecter et mesurer les décès excessifs liés à la grippe saisonnière, aux pandémies et à d’autres menaces pour la santé publique.

    *

    Jean-Noël Haas, titulaire d’un DEA en Physique subatomique, est informaticien, développeur de solutions de sécurité et d’authentification forte et créateur indépendant de logiciels d’analyse de journaux informatiques.

    https://www.mondialisation.ca/cet-inquietant-exces-de-mortalite-chez-les-jeunes-qui-interroge-sur-la-vaccination-anti-covid-19/5680973?doing_wp_cron=1693919466.3490800857543945312500

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  9. Traitement Corona ? Le Parlement du Land de Brandebourg montre comment procéder !


    5 septembre 2023
    par le Dr. Christine Né


    Il y a une révision officielle de la politique Corona ! Au moins au Parlement du Land de Brandebourg, actif et axé sur les citoyens, à Potsdam. Là, le 1er septembre 2023, lors de la septième réunion du Comité Corona, un interrogatoire public de témoins a duré plusieurs heures par le professeur Dr. Lothar Wieler, ancien directeur de l'Institut Robert Koch (RKI). Plus tard, le Dr. Brigitte Keller-Stanislawski dans son ancien rôle de chef du département de sécurité des médicaments biomédicaux et des diagnostics à l'Institut Paul Ehrlich (Î.-P.-É.).

    Les visiteurs et les représentants des médias ont été contrôlés à l'entrée. Il y avait une trentaine d'observateurs sur place. Tout d'abord, ils ont dû attendre dans le couloir avant l'ouverture vers 10h30 de la salle de réunion - une grande salle lumineuse dotée de baies vitrées avec vue sur la Breite Straße, les 21 députés de tous les groupes parlementaires présents. assis dans un fer à cheval, avec le chef du comité Daniel à l'étage Eichelbaum (CDU). Au fond se trouvent les sièges des témoins, derrière eux les rangées de visiteurs.

    Lothar Wieler était accompagné d'une personne clé du ministère fédéral de la Santé, Heiko Rottmann-Großner, chef du sous-département 61 de la sécurité sanitaire. 1 L'employé du ministère de la Santé s'est d'abord assis juste à côté de Lothar Wieler, mais a ensuite dû s'éloigner de lui à la demande de certains députés. Le témoin ne doit pas être influencé pendant l'interrogatoire. Et Rottmann-Großner, qui avait pris sa tâche au sérieux, chuchotait et distribuait des mots-clés, se limitait désormais à observer et à rédiger des procès-verbaux dans la salle de réunion.

    Questions procédurales à huis clos

    Des discussions ont eu lieu à plusieurs reprises avec le président du comité sur des questions de procédure. Celles-ci se sont ensuite déroulées à huis clos. A chaque fois, la foule des visiteurs devait se lever et quitter la salle. Démocratie et transparence ont ensuite été discutées devant la porte de la salle de réunion. – Derrière la porte se trouvait dès le début la question de l'autorisation de témoigner, ce qui limitait les possibilités de réponse de l'ancien patron officiel du RKI - et donc aussi l'éventail des questions posées par les députés. L'autorisation de témoigner avait apparemment été reçue par courrier électronique par les députés très tard la veille. Et plusieurs députés ont soutenu qu'il devrait être lu publiquement afin de rendre transparentes les restrictions sur les conversations. Cette demande n'a pas été accordée

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  10. Dès le début, les députés n'étaient autorisés à poser que des questions liées au Land de Brandebourg

    Les représentants du peuple, en particulier ceux de la CDU, de l'AfD, de la FW et parfois aussi du SPD, étaient bien préparés pour l'audition des témoins et ont posé successivement leurs nombreuses questions. Les Verts ont évidemment décidé de ne rien apporter au processus de réévaluation, auquel la majorité des Allemands - mais aussi de nombreux scientifiques - attachent une grande importance. 2 La gauche a ressenti le besoin de présenter dans ses discours un accord harmonieux avec le témoin. La consultation publique a duré environ six heures, avec une pause d'une demi-heure à l'heure du déjeuner. Lothar Wieler (62 ans) semblait naturellement stressé par moments.

    Il est devenu clair que le processus démocratique est pénible pour toutes les personnes activement impliquées. Ce processus mérite donc respect, reconnaissance et appréciation. Il est d’autant plus regrettable qu’il n’y ait eu pratiquement aucun média de premier plan intéressé à documenter ce travail politique pionnier.

    Le RKI n'a pas conseillé directement les gouvernements des États

    À la demande du président de la commission, Lothar Wieler a fait une déclaration sur la tâche du RKI dans le contexte de la situation du Corona. La Commission permanente de vaccination (STIKO), indépendante et scientifique, s'appuie sur des analyses et des modélisations et publie ses recommandations. Le RKI conseille également le ministère fédéral de la Santé sur les stratégies de vaccination et de test de la population. Il a décrit le RKI comme un centre de communication qui collecte des informations et les transmet au monde extérieur, y compris au niveau international.

    Par exemple, les Länder ont signalé leurs cas de maladie au RKI. Les agents de santé de l'État sont en contact avec le RKI. Comme Wieler l'a souligné à plusieurs reprises, à sa connaissance, le Land de Brandebourg n'a pas été informé directement, mais uniquement par le biais du groupe de travail sur la protection contre les infections (AGI), au sein duquel les responsables de la santé des Länder travaillent ensemble, et par la publication de données. Wieler a expliqué qu'il n'y avait pas de communication directe entre les autorités sanitaires de l'État et le RKI, seulement après que le gouvernement de l'État l'ait approuvée dans des cas individuels. Il ne savait pas non plus qu’il y avait eu une recommandation contre les autopsies des décès dus au COVID-19. 3Alors évasif : le département 3 du RKI pourrait dire quelque chose sur la transmission et la prise en compte des données de l'assurance maladie. Pour rappel : l'ancien président de la caisse d'assurance maladie d'entreprise (BKK), Andreas Schöfbeck, avait signalé à l'Île-du-Prince-Édouard qu'il y avait un niveau élevé de dommages aux vaccins selon les données disponibles de l'assurance maladie et avait ensuite été licencié. 4 Les gens ne voulaient pas entendre ses signaux d'avertissement.

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  11. Le RKI n'a donné que des recommandations

    La déclaration de Wieler selon laquelle le RKI n'avait fait que des recommandations a suscité des protestations décisives de la part des députés Dr. Saskia Ludwig (CDU). Si seulement il s’agissait de recommandations, dit-elle en faisant référence aux fermetures d’écoles. Elle a évoqué les conséquences massives des confinements sur les enfants et les jeunes qui ne couraient aucun risque face au COVID-19 et n’étaient pas des vecteurs de la maladie. Elle a critiqué les restrictions disproportionnées et drastiques imposées aux droits fondamentaux. Aucune réaction visible de la part du témoin. L'adjoint le docteur Dr. Hans Christoph Berndt (AfD) a également mis en doute cette déclaration de l'ancien patron du RKI. Si lui, en tant qu'ancien chef du RKI, ne savait pas que les recommandations du RKI étaient appliquées comme des lois, si l'on considère les actions de la justice ou de la police. Les « recommandations » du RKI seraient utilisées pour justifier les jugements devant les tribunaux. Les « recommandations » du RKI sont donc clairement contraignantes. Aucune réaction du témoin. Mais pourquoi Lothar Wieler ne peut-il pas reconnaître l'efficacité et les conséquences considérables que le travail du RKI a à de nombreux niveaux pour la société dans son ensemble ? Il devrait en fait se réjouir de la grande efficacité du RKI.

    Le RKI n'était pas responsable

    L’ancien chef du RKI n’a pas pu répondre à toutes les questions détaillées : « Je ne m’en souviens pas. » Il n’a pas non plus été autorisé à répondre à toutes, car le président de la commission a déclaré à plusieurs reprises que les questions étaient « irrecevables ». Surtout lorsqu'il s'agit de questions passionnantes, telles que la détermination fondamentale de la situation pandémique, la nécessité de vaccins en général, la surcharge des hôpitaux, la suppression continue de lits de soins intensifs pendant les années Corona ou la création d'une dynamique de la maladie grâce à des stratégies de test. . Un test PCR peut-il prouver si une personne est contagieuse était une question. "Non", a répondu Wieler, avant de dire que cette question était "inadmissible". Le RKI n’est pas chargé de tester l’efficacité des vaccins contre la COVID ; c’est la tâche de l’Île-du-Prince-Édouard, qui approuve également les vaccins.5 Post-Marketing – un terme et une association intéressants en matière de médecine, de santé et de vie humaine.

    Si les politiciens ont semé la panique généralisée avec des déclarations inappropriées ou ont créé une volonté de vacciner jusqu'au fond du village avec de fausses promesses ou même des dépréciations personnelles, alors le RKI ne les en a pas informés. Parce que – selon Wieler – ils ont droit à la liberté d’expression. Mais en principe, l’alarmisme n’est pas une question de santé publique.

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  12. L'efficacité de la vaccination est élevée

    Des points clés ont émergé au cours de l'enquête, car certains sujets ont été abordés à plusieurs reprises par les députés ou n'ont pas été autorisés à plusieurs reprises par le président de la commission. Les signes de nervosité de l'intimé et la montée de la tension dans le « public » ont attiré l'attention sur des questions sensibles. Ces sujets clés étaient : la sécurité des vaccins, les effets secondaires et les décès de la vaccination, les dommages consécutifs causés par les mesures, les études sur l'efficacité de la vaccination RKI, les questions de responsabilité. Lothar Wieler a évoqué les études que le RKI avait examinées et évaluées, « un niveau de compétence élevé ». 6Ces études promettent que les vaccins seront très efficaces. Bien que la protection vaccinale ait été réévaluée à plusieurs reprises par le RKI, les personnes vaccinées ont réduit la propagation du virus et excrété moins de virus. Wieler a contesté à plusieurs reprises les chiffres de l’OMS selon lesquels 14,4 millions de vies avaient été sauvées grâce aux injections du COVID-19. Le risque coût-bénéfice reste bon pour la vaccination. La protection d’une vaccination contre le COVID 19 est supérieure à celle d’une infection. Une maladie présente plus de risques qu’une vaccination.

    Les questions éthiques ne sont pas sujettes à débat car il s’agit d’un vaccin approuvé. Le confinement n’est pas venu du RKI, mais il aurait considérablement réduit le nombre d’infections. Pour Wieler, les problèmes liés à la vaccination des femmes enceintes étaient insignifiants et « négligeables ». Le député Lars Hünich (AfD) a demandé quelles étaient les recommandations du RKI concernant l'achat de vaccins et a déclaré qu'il ne s'en souvenait pas. Lorsque Wieler faisait de telles déclarations, des réactions telles que des rires désespérés ou des réactions résignées de la part du « public » étaient inévitables.

    Favorise le traitement : connaissances spécialisées, questions ciblées, persévérance et confiance en soi

    Lothar Wieler a surtout gardé son sang-froid lors de cet interrogatoire intense et a également fait preuve d'humour. Interrogé par Saskia Ludwig, qui l'interroge sur ses déclarations contradictoires sur les personnes non vaccinées, les mesures 2G et 3G+ et le changement de statut des guéris, il s'emporte brièvement et l'accuse d'insinuations malveillantes et tendancieuses. . Cependant, les chrétiens-démocrates défensifs n’ont pas été découragés et ont rétorqué qu’il s’agissait probablement de remédier aux points faibles de la politique du Corona afin d’éviter de futures erreurs. Wieler a finalement été d'accord avec elle et s'est déclaré plus tard en faveur d'une évaluation sérieuse des mesures.

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  13. La clarté inébranlable des députés a montré quelles qualités favorisent le processus de réévaluation : une connaissance approfondie, une vivacité d'esprit, une saine confiance en soi et de la persévérance. Par ailleurs, Saskia Ludwig a également introduit dans les cliniques la pratique de la ventilation, qui au départ était souvent mortelle. Hans Christoph Berndt a pu marquer des points grâce à ses connaissances spécialisées lorsqu'il a abordé les « données anglaises ». Au fil des années, la situation des données concernant le coronavirus a été beaucoup plus fiable en Grande-Bretagne qu’en Allemagne. Et ces données indiquent que la vaccination contre le COVID 19 augmente le risque de tomber malade et ne protège pas contre les maladies graves et la mort. 7 Wieler a déclaré qu'il n'était pas au courant de ces données. Et cela malgré l’orientation internationale du RKI ?

    Wieler était au courant des déclarations faites par Janine Small, présidente des marchés de développement international chez Pfizer, au Parlement européen, selon lesquelles l'efficacité du vaccin n'avait pas été vérifiée, mais il n'a pas fait de commentaire à ce sujet lors de la réunion au parlement du Land. 8 Dans une interview sur Phönix en octobre 2020, il a cependant déclaré quelque chose de similaire. 9 Les premières données corona de John Ioannidis en 2020 lui étaient également familières, mais ses déclarations ne concordaient pas avec ses propres données et celles d'autres scientifiques. dix

    Tout va bien – l’Institut Paul Ehrlich s’occupe de la sécurité des médicaments

    L'air dans la pièce était désormais vicié et étouffant, la lumière du soleil était devenue plus forte et la journée avait progressé. Vers 16 h 30, l'expert de l'Île-du-Prince-Édouard, le Dr. Brigitte Keller-Stanislawski, sur le ring. Elle n'avait aucun compagnon avec elle. Elle avait reçu à l'avance une liste de questions pour lesquelles elle s'était préparée. Le fait que le président n'ait pas suivi dans un premier temps l'ordre des questions a quelque peu surpris le spécialiste en pharmacologie clinique. Elle a présenté son travail. L'Île-du-Prince-Édouard est responsable des tests par lots, de la surveillance et de l'approbation des vaccins et est tenue de faire rapport au ministère fédéral de la Santé.

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  14. 700 000 personnes utilisent l’application PEI SafeVac

    Dans son département, les informations produits sur les vaccins COVID-19 ont été créées, les fiches d'information ont été adaptées en fonction du niveau de connaissance et des informations ont été publiées sur la page d'accueil, par exemple sur le choc anaphylactique provoqué par la vaccination. Un premier reportage à ce sujet a eu lieu le 23 décembre 2021. Des recommandations et des lettres de la main rouge ont été créées. Les cas suspectés d'effets secondaires ont été résumés, évalués et signalés. Des commentaires ont été formulés sur les risques et les signaux liés à la vaccination, tels que la myocardite, l'embolie pulmonaire et les problèmes menstruels. Il existe une coopération avec l'Agence européenne des médicaments (EMA) et elle était elle-même membre du comité de sécurité de l'EMA. Les médecins devraient signaler les effets secondaires de la vaccination au service de santé. Si l’effet secondaire est dû à la maladie sous-jacente, il n’y a aucune obligation de le signaler.11 Beaucoup de données avec lesquelles on pourrait certainement faire beaucoup, mais il n'y avait aucune information sur la manière dont ces informations étaient utilisées. Selon leur déclaration, les caisses d'assurance maladie ne voulaient pas initialement travailler avec l'Île-du-Prince-Édouard, mais l'Île-du-Prince-Édouard collabore désormais avec le RKI et les caisses d'assurance maladie - après trois ans. On sait que les données d'assurance maladie de la caisse maladie d'entreprise (BKK) sont disponibles depuis longtemps et n'ont malheureusement pas été prises en compte. 12

    Effets secondaires de la vaccination dans le Brandebourg

    Pour le Land de Brandebourg, il y a eu jusqu'à présent 5 860 cas suspects d'effets secondaires, dont 336 enfants, 1 527 cas graves et 88 décès, soit près de trois par mois, car la vaccination a commencé en décembre 2020. Afin de vérifier s'il s'agissait d'une vaccination décès, les critères de l’OMS s’appliquent. Il est difficile de prouver la causalité d’un effet secondaire ; il s’agit de savoir si un effet secondaire est cohérent. L'algorithme de l'OMS utilisé indique le degré de certitude d'un effet secondaire.

    L'interrogatoire de la chef de service, qui comparut devant la commission d'enquête le premier jour de sa retraite, n'a pas duré longtemps. Après une nouvelle discussion interne entre les députés, au cours de laquelle le « public » a dû s'asseoir devant la porte, l'enquête a été conclue. Vers 17h30, les participants à la réunion ont quitté lentement le bâtiment du Parlement du Land, l'ancien palais municipal situé sur l'Alter Markt à Potsdam. La prochaine réunion publique aura lieu le 13 octobre 2023 et l'interrogatoire de Brigitte Keller-Stanislawski se poursuivra. Il est recommandé à toute personne intéressée par la lutte contre le Corona de participer dans un cadre « public ». Au Parlement du Land de Brandebourg - le seul parlement du Land du pays - les gens ne se plaignent pas de la politique liée au Corona, mais agissent plutôt politiquement d'une manière factuelle et tournée vers l'avenir. Les acteurs politiques du Corona se posent des questions cruciales. Les représentants du peuple assument leur responsabilité envers les électeurs.

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  15. informations d'identification
    1 Comment le confinement est arrivé en Allemagne – (multipolar-magazin.de)

    2 Commission doit être fondée : les scientifiques demandent une révision des mesures Corona – n-tv.de

    3 Médecine légale et COVID-19 – différend sur les exigences en matière d'autopsie (deutschlandfunk.de)

    4 Le conseil d'administration du BKK met en garde les autorités allemandes contre la sous-déclaration massive des dommages causés par les vaccins (tkp.at)

    5 AWB : Quelle est l'utilité des études pratiques après approbation ? (medscape.com)

    6 Comment le RKI analyse-t-il les études sur l’efficacité de la vaccination ? (tkp.at)

    7 données d'Angleterre : la vaccination contre le Covid ne protège même pas contre les évolutions sévères (tkp.at)

    8 Pfizer ne savait pas si le vaccin Covid avait arrêté la transmission avant son déploiement – ​​YouTube

    9 Lothar Wieler RKI – Nous ne savons pas QUOI ni COMMENT le vaccin fonctionnera. - Youtube

    10 Nouvelle étude Ioannidis : mortalité due aux infections dans le monde autour de 0,15 pour cent (tkp.at)

    11 rapports – SafeVac 2.0 – Application pour smartphone pour évaluer la tolérance des vaccins COVID-19 – Institut Paul Ehrlich (pei.de)

    12 BKK ProVita confirme l'exactitude de l'évaluation des effets secondaires et se défend contre les critiques non objectives (tkp.at)

    https://tkp.at/2023/09/05/corona-aufarbeitung-der-landtag-brandenburg-zeigt-wies-geht/

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  16. Autorité sanitaire américaine : risque de Covid plus élevé pour les personnes vaccinées que pour les personnes non vaccinées


    5 septembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    L’ autorité sanitaire américaine CDC a fait un aveu stupéfiant : les Américains qui ont reçu un vaccin à ARNm contre le Covid courent désormais un risque plus élevé d’être infectés par de nouvelles variantes du virus que ceux qui ne sont pas vaccinés. La raison en est – comme cela est rapporté ici sur TKP depuis des années – l’affaiblissement du système immunitaire inné dû aux vaccinations. Certes, nous n’en sommes pas encore là.

    Le CDC a fait cet aveu accablant dans une mise à jour de ses directives sur les variantes émergentes du virus Covid. Cette mise à jour peut également servir à réintroduire les confinements, les règles de distance , les exigences en matière de masques et les exigences en matière de vaccination. Il y a au moins des rumeurs selon lesquelles l’administration Biden y réfléchirait. En Israël , les tests obligatoires dans les hôpitaux viennent d'être réintroduits .

    En réponse aux rapports sur la variante, le CDC a publié le « Résumé de l'évaluation des risques pour la sous-lignée BA.2.86 du SRAS CoV-2 » . Selon l'annonce, les personnes vaccinées sont plus susceptibles d'être infectées par la nouvelle variante que les personnes qui n'ont ni été vaccinées ni infectées .

    Il indique que la nouvelle variante « pourrait être plus susceptible de provoquer une infection chez les personnes qui ont déjà été infectées par le COVID-19 ou qui ont reçu des vaccins contre le COVID-19 ».

    Cet aveu est un coup dur pour les propagandistes « sûrs et efficaces » qui ont exhorté le public à se faire vacciner. Malgré cet aveu du CDC, l’agence fédérale continue de faire pression pour que les gens se fassent vacciner.

    " Ce vaccin mis à jour réduira efficacement le nombre de maladies graves et d'hospitalisations ", affirme le CDC. Il est troublant de constater que le CDC fait cette affirmation tout en déclarant que « les scientifiques évaluent [toujours] l’efficacité du prochain vaccin COVID-19 mis à jour. "

    L’évaluation des risques du CDC indique :

    Sur la base des connaissances actuelles du CDC, les tests existants pour détecter et les médicaments pour traiter le COVID-19 semblent efficaces contre cette variante.

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  17. BA.2.86 peut être plus susceptible de provoquer une infection chez les personnes qui ont déjà eu le COVID-19 ou qui ont reçu des vaccins contre le COVID-19.

    Les scientifiques évaluent actuellement l’efficacité du prochain vaccin COVID-19 mis à jour.

    Le CDC s’attend actuellement à ce que ce vaccin mis à jour soit efficace pour réduire les maladies graves et les hospitalisations.

    À l’heure actuelle, rien ne prouve que cette variante provoque une maladie plus grave.

    Cette évaluation pourrait changer à mesure que davantage de données scientifiques seront disponibles. Le CDC en rendra compte davantage à mesure que nous en saurons plus...

    ...des vaccins actualisés seront disponibles dans votre pharmacie ou cabinet médical à partir de la mi-septembre.

    Même les autorités sanitaires ne peuvent manquer de remarquer le nombre croissant d’études démontrant un affaiblissement du système immunitaire inné. Il s’agit de la première et la plus efficace ligne de défense contre toutes sortes de nouveaux agents pathogènes, qu’il s’agisse de virus, de bactéries, de champignons ou autres. Les vaccinations contre des agents pathogènes qui évoluent rapidement et mutent continuellement n’ont généralement pas de sens. Le développement de vaccins adaptés par l’industrie pharmaceutique est logiquement en retard par rapport à l’émergence de nouveaux variants.

    La seule protection efficace et sensée consiste à renforcer le système immunitaire inné, c’est-à-dire l’opposé de la vaccination. Il a été prouvé à maintes reprises qu'un taux de vitamine D3 de 50 ng/ml constitue la meilleure protection, la plus sûre et la moins chère contre tous les types d'infections et, en prime, contre le cancer. La D3 est connue sous le nom de « vitamine du soleil » car elle est produite par la peau par le soleil. Mais seulement en été. Et c’est exactement la raison pour laquelle il y a des épidémies de grippe en hiver mais pas en été. La vaccination nuit, la vitamine D protège.

    https://tkp.at/2023/09/05/us-gesundheitsbehoerde-hoeh

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    1. (...) L’ autorité sanitaire américaine CDC a fait un aveu stupéfiant : les Américains qui ont reçu un vaccin à ARNm contre le Covid courent désormais un risque plus élevé d’être infectés par de nouvelles variantes du virus que ceux qui ne sont pas vaccinés. La raison en est – comme cela est rapporté ici sur TKP depuis des années – l’affaiblissement du système immunitaire inné dû aux vaccinations. (...)

      Bêh ouais, c'est t'es piqué tu l'as, et si tu l'as t'es mort !

      (...) Il indique que la nouvelle variante « pourrait être plus susceptible de provoquer une infection chez les personnes qui ont déjà été infectées par le COVID-19 ou qui ont reçu des vaccins contre le COVID-19 ». (...)

      Voir les rapports d'analyse des flacons injectables par Astrid Stuckelberger et Carrie Madej qui indiquent que: 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène sont présentes dans les flacons !! ° des spikes !! + des hydres !! + diverses maladies animales et une quarantaine de venins de serpents différents !!

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  18. De plus en plus de preuves des méfaits causés par les « vaccinations » C19


    5 septembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Le week-end dernier, TKP a rendu compte d'une nouvelle façon de distinguer le prétendu long Covid des dommages beaucoup plus courants et de longue durée de la vaccination, appelés péjorativement syndrome post-vaccin. La méthode permet de déterminer assez facilement la différence entre les pics de virus et de vaccins , comme le souligne Em.O.Univ.Prof. Dr. méd. Hartmut Glossmann a rapporté .

    Ces dernières semaines, plusieurs études ont été publiées qui apportent de bonnes preuves de la nocivité de la vaccination. L’une d’elles a révélé que la vaccination contre le COVID-19 augmente la sensibilité aux infections bactériennes et virales chez les jeunes – elle affaiblit le système immunitaire. L'autre a révélé que les lésions du muscle cardiaque causées par la vaccination contre le COVID-19 sont beaucoup plus fréquentes qu'on ne le pensait auparavant - affectant une personne sur 35, soit 1 000 fois plus que le taux admis par les autorités sanitaires .

    L' étude de Carlo Brogna et al, citée par Glossmann , intitulée « Détection de la protéine Spike recombinante dans le sang des individus vaccinés contre le SRAS-CoV-2 : Mécanismes moléculaires possibles » SARS-CoV-2 : Mécanismes moléculaires possibles), la spectrométrie de masse a été utilisé pour détecter la présence d’une version de la protéine Spike Covid connue sous le nom de type PP, qui résulte spécifiquement uniquement d’une vaccination à ARNm. Les auteurs rapportent que

    « Le fragment spécifique de Spike PP a été trouvé dans 50 % des échantillons biologiques examinés, et sa présence était indépendante du titre d’anticorps IgG SARS CoV-2. Les moments minimum et maximum auxquels un pic de PP a été détecté après la vaccination étaient respectivement de 69 et 187 jours.

    Dans l’étude menée dans le sud de l’Italie, 20 sujets ont été vaccinés avec de l’ARNm, 20 n’étaient pas vaccinés (ce groupe de sujets n’avait ni Covid ni anticorps Covid), 20 autres sujets n’étaient pas vaccinés mais ont été testés positifs pour Covid. Seul le groupe vacciné a été testé positif pour la protéine de pointe PP induite par le vaccin.

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  19. Initialement, il a été largement affirmé que la protéine Spike était produite quelques jours seulement après la vaccination, ce qui était censé suffire à stimuler une réponse immunitaire, puis disparaissait à nouveau. Cependant, aucune étude n’a soutenu ces affirmations. La nouvelle étude prouve une fois de plus que ces affirmations sont fausses. Plus de la moitié des sujets vaccinés présentaient la protéine de pointe PP tout au long de la période d’étude pouvant aller jusqu’à six mois. Les auteurs avancent la théorie suivante :

    « Il est possible que les séquences d'ARNm du vaccin soient intégrées ou transcrites dans certaines cellules ».

    Compte tenu du lien suspecté entre les lésions du muscle cardiaque et la protéine Spike, cela suggère la production continue d’une toxine cardiaque par certaines cellules génétiquement modifiées chez une forte proportion de personnes vaccinées. L’étude ayant été arrêtée au bout de six mois, il est tout à fait possible, voire probable, que l’effet dure au-delà de six mois.

    Il ne s’agit pas d’une spéculation isolée. L’année dernière, nous avons rendu compte d’ une étude intitulée « Transcription inverse intracellulaire du vaccin à ARNm Pfizer BioNTech COVID-19 BNT162b2 in vitro dans une lignée de cellules hépatiques humaines », qui a révélé cette transcription inverse du vaccin à ARNm de Pfizer in vitro (en dehors du corps humain). Nous avons désormais de bonnes raisons de soupçonner que cela se produit également au sein de notre physiologie.

    Les comités nationaux de vaccination, c’est-à-dire les fervents défenseurs de la vaccination, pourraient tenter de défendre la vaccination contre le Covid en arguant que même si elle augmente certains risques, elle réduit le taux et le risque d’infections au Covid. Mais il y a un an, comme indiqué ici, une étude a été publiée dans la revue Clinical Infectious Diseases intitulée « Coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) Immunité naturellement acquise versus immunité induite par le vaccin, réinfections versus infections révolutionnaires : une rétrospective ». Étude de cohorte», dans lequel le contraire a été affirmé. Les auteurs ont rapporté que les personnes vaccinées ont un risque 13 fois plus élevé d’infection à Covid par rapport aux personnes non vaccinées qui ont acquis une immunité naturelle grâce à une infection antérieure. De plus, le groupe vacciné présentait un risque 7 fois plus élevé d’infection symptomatique au Covid nécessitant une hospitalisation par rapport aux personnes non vaccinées.

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  20. Cela ne semble pas avoir empêché les autorités sanitaires de l’UE de se précipiter pour recommander ou autoriser de nouvelles vaccinations contre le Covid immédiatement après la découverte de nouveaux variants , sans prendre la peine d’enquêter. Le Pirola (BA.2.86) récemment découvert, une variante d’Omicron, en est un bon exemple. L' EMA accélère les approbations afin de pouvoir vendre le plus possible . Les personnes non vaccinées devraient même être attirées par le fait qu’une seule (!) vaccination suffit désormais et non plus, comme c’était le cas auparavant, trois injections comme « immunisation de base » et ensuite, comme c’est typique pour la variante, des rappels ou des « rappels ». ».

    Mais heureusement, il existe désormais une méthode permettant de distinguer les dommages causés par la vaccination du prétendu Long Covid.

    https://tkp.at/2023/09/05/immer-mehr-beweise-fuer-die-schaeden-durch-c19-impfungen/

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  21. Hésitation à l'égard du vaccin contre la COVID-19 et des rappels : comment les escrocs du vaccin à ARNm et les promoteurs de médicaments des grandes sociétés pharmaceutiques perçoivent-ils ceux qui ne veulent plus de leurs produits toxiques ?

    Les mandats Vaccine Booster arrivent !


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    5 septembre 2023


    Nouvelles études sur « l’hésitation à la vaccination »
    Je passe brièvement en revue les études suivantes :

    12 janvier 2023, Aashka Shah et al. – Hésitation au rappel du COVID-19 dans le monde
    17 janvier 2023, Alice Cancer et al – Vous ne vous faites pas vacciner ?
    17 janvier 2023, Alice Cancer et al – Vous ne vous faites pas vacciner ? C'est une question de capacités à résoudre des problèmes et de polarisation socio-cognitive

    Cette étude provient de l'Université du Texas et d'Italie
    Ils ont étudié 277 participants américains, âgés de 18 à 50 ans, qui ont répondu à une enquête en ligne mesurant à quel point ils étaient conservateurs, rigides et anti-immigrés (xénophobes) .
    L'OMS définit « l'hésitation à la vaccination » comme « un retard dans l'acceptation ou le refus de la vaccination malgré la disponibilité des services de vaccination ».
    Les premières recherches sur le « scepticisme à l’égard des vaccins » ont révélé une corrélation avec le sexe féminin, les faibles revenus, la désinformation sur les réseaux sociaux, les théories du complot, la méfiance du gouvernement et le sentiment anti-gouvernemental.
    ceux ayant des opinions politiques plus conservatrices et de droite étaient plus susceptibles de signaler des attitudes anti-vaccination et un taux de vaccination plus faible.
    Les conservateurs ne peuvent pas gérer la complexité , ils recherchent donc des solutions trop simplistes et ne parviennent pas à trouver des explications alternatives.
    les conservateurs ont tendance à être « cognitivement rigides » et moins ouverts aux nouvelles informations et aux « points de vue alternatifs ».
    Les parents hésitent à vacciner leurs jeunes enfants en raison d’une « rigidité cognitive »
    Résultats de l'étude : 71 % étaient pro-vax, 29 % étaient anti-vax
    Les anti-vaccins avaient de faibles compétences en résolution de problèmes combinées à une rigidité cognitive et sociale
    ce que les auteurs définissent comme des compétences en résolution de problèmes : « des perspectives politiques flexibles, la tolérance de la diversité et le discernement des fausses nouvelles. » »

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  22. 87 % ont pris une décision ferme concernant un rappel dans un sens ou dans l’autre, mais les 13 % peuvent être convaincus.
    Solution : utiliser des tactiques médiatiques – le message doit être « adapté » à « l’ altruisme de recevoir le vaccin », « l’accent mis sur les dangers du COVID-19 » et le « regret de ne pas avoir reçu le rappel du COVID-19 » .
    Encore plus efficace : les médecins de famille doivent prendre le temps d’expliquer les avantages du rappel COVID-19, mais ne doivent pas parler des risques. Méfiance envers le gouvernement
    « Pour certains groupes ethniques tels que les Noirs et les Latino-Américains, les incitations monétaires pour recevoir le rappel ont diminué la confiance dans le vaccin, tandis que pour la population générale, l'acceptation du vaccin a légèrement augmenté grâce aux incitations monétaires . »

    "Grâce aux leçons tirées de la commercialisation du vaccin , les responsables peuvent s'assurer de commercialiser le rappel de manière spécifique au public "
    les agents de santé sont CLÉS pour vendre le rappel à la population générale
    une moindre hésitation à l’égard de la vaccination parmi les travailleurs de la santé entraîne une augmentation du taux de vaccination dans la population générale
    Solution : mettre l’accent sur les « groupes civils importants », comme les travailleurs de la santé, et sur leur réponse au vaccin contre le COVID-19. Hésitation dans le monde entier.
    les raisons pour lesquelles les gens ne veulent pas de rappels varient à travers le monde
    La Chine a des taux de vaccination et de rappel plus élevés que les États-Unis
    La Chine met l'accent sur l'obtention d'un rappel pour protéger ses proches , une incitation plus importante que la sécurité personnelle.
    Les Chinois respectent également beaucoup les médecins et les médecins en convainquent beaucoup de l'obtenir.

    les auteurs sont surpris que les taux d’acceptation des vaccins aient chuté au Royaume-Uni, aux États-Unis, au Canada et dans certains pays européens « car on pourrait s’attendre à ce qu’à mesure que le vaccin passe plus de temps sur le marché, la confiance dans le vaccin augmente au sein de la population ».
    la confiance du gouvernement a été citée comme « le facteur le plus important » dans l’acceptation du vaccin Iniquité mondiale en matière de vaccins
    Seulement 28,3 % des habitants des pays à faible revenu ont reçu au moins une dose de vaccin, contre 72,8 % dans les pays à revenu élevé.
    « Les pays à revenu faible et intermédiaire (PRFI) ont connu des taux de mortalité et de transmission plus élevés pendant la pandémie en raison d'un équipement de protection limité, de ressources médicales insuffisantes et de l'augmentation des comorbidités. »
    Les pays à revenu faible et intermédiaire (PRFI) sont des « points chauds pour les mutations du SRAS-CoV-2 qui peuvent se propager rapidement à l’échelle mondiale » .
    « Nous avons déjà constaté une diminution de l’efficacité du vaccin contre la COVID-19 et de nouvelles mutations pourraient éventuellement rendre le vaccin inefficace. »
    « Il a été démontré que la propagation de la variante Omicron est en partie due aux inégalités mondiales en matière de vaccination ; des taux de transmission plus élevés en Afrique du Sud ont conduit à des mutations qui à leur tour se sont propagées dans le monde entier. » Mandats de rappel du COVID-19

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  23. « À l’étranger, certains pays ont déjà mis en place la vaccination obligatoire contre le COVID-19 et ces pays peuvent servir de modèle pour prédire le résultat de ce mandat aux États-Unis. »
    une étude a montré une augmentation de la vaccination de 20 jours avant le début du mandat à 40 jours après le début du mandat.
    Ce sont les moins de 20 ans et les 20-29 ans qui ont le plus répondu au mandat, car les taux de vaccination dans ce groupe d'âge ont le plus augmenté.
    La tranche d'âge la plus réactive dépendait également des lieux accessibles uniquement aux personnes vaccinées : lorsque les boîtes de nuit étaient restreintes en Suisse, l'augmentation des taux de vaccination était la plus forte chez les personnes de moins de 20 ans et ce n'est que lorsque davantage d'endroits ont été restreints (tout endroit avec > 30 ans). personnes) que les taux de vaccination ont augmenté de manière significative pour les autres groupes d’âge
    « La vaccination obligatoire… pourrait conduire les États-Unis à l’augmentation souhaitée du taux de vaccination »
    Exiger le vaccin et le rappel contre la COVID-19 parmi les travailleurs de la santé pourrait avoir des implications considérables
    En invoquant le serment d'Hippocrate, le premier devoir du médecin est de « ne pas faire de mal » à son patient. Rendre obligatoire le vaccin contre la COVID-19 garantirait que le médecin limite le risque de transmission de la COVID-19 à son patient.
    Comme nous l’avons vu avec le vaccin contre la grippe, les politiques de vaccination obligatoire parmi les travailleurs de la santé étaient le moyen le plus efficace d’obtenir des taux de vaccination maximaux.

    le problème de l'obligation des rappels de COVID-19 – pas de données de sécurité à long terme – crée des discussions qui ne disparaîtront pas
    le besoin croissant d’un vaccin universel contre la COVID-19 devient impératif pour bénéficier d’une immunité plus large
    En attendant, jusqu'à ce qu'un vaccin plus large soit créé, des rappels continus pourraient être nécessaires pour empêcher une augmentation des cas de coronavirus .
    Rendre obligatoire les rappels annuels de la COVID – étant donné que le taux de vaccination contre la grippe a augmenté au fil des ans, rendre obligatoire les rappels annuels de la COVID pourrait avoir un effet similaire.
    Si le vaccin était obligatoire chaque année, les patients se sentiraient peut-être plus à l'aise de recevoir le vaccin puisqu'il est approuvé depuis plus longtemps . Le CDC rapporte qu'en 1980, seulement 12,4 millions de doses de vaccin contre la grippe ont été administrées, mais qu'en 2020, ce chiffre était passé à 194 millions de doses.

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  24. On peut supposer qu’au fil du temps, le vaccin contre la COVID-19 suivra la même tendance et que des taux de vaccination plus élevés seront atteints plus le vaccin sera longtemps sur le marché et s’il est obligatoire chaque année .
    Mon avis…
    Lire des articles comme celui-ci, c’est comme entrer dans l’esprit d’un psychopathe ou d’un tueur en série. Vous voulez savoir comment ils pensent, comprendre ce qu’ils feront ensuite.

    En mettant de côté la fraude scientifique et la propagande, voici ce qui reste :

    « L’hésitation » aux rappels de COVID-19 est un énorme problème pour les grandes sociétés pharmaceutiques (à l’époque, elles pensaient que 44 % des Américains continueraient à prendre des rappels, mais ce chiffre est maintenant tombé à 5 % , donc la situation pour eux est bien pire maintenant) .

    Les grandes sociétés pharmaceutiques qualifient ceux qui ne veulent pas se faire vacciner d'« analphabètes en matière de vaccins » – des tactiques de diffamation, en utilisant des termes désobligeants comme « sans instruction », « pensée rigide », « inflexible », y compris contre les parents qui veulent protéger leurs enfants des vaccins .

    Les grandes sociétés pharmaceutiques estiment que la « désinformation » est la principale raison qui pousse les gens à éviter les injections de rappel contre le COVID-19.
    Les histoires personnelles de blessures et d’anecdotes liées aux vaccins sont les plus dommageables pour les grandes sociétés pharmaceutiques – des récits et des images saisissantes dont les gens se souviennent !

    Les vérifications des faits ne fonctionnent pas, les médias grand public doivent intensifier le lavage de cerveau : se concentrer sur l'altruisme de se faire piquer , craindre la pornographie du COVID-19, le regret de ne pas avoir reçu de rappel et la rareté des blessures causées par les vaccins.
    Le plus efficace : un médecin de confiance vantant les avantages des vaccins (sans parler des risques)
    Commercialiser les vaccins : ils ont appris de nombreuses leçons et commercialiseront mieux leurs produits auprès de groupes spécifiques de personnes la prochaine fois. Les incitations financières se sont souvent retournées contre eux, suscitant plus de méfiance que prévu.
    Les mandats de rappel du COVID-19 arrivent

    Les grandes sociétés pharmaceutiques aiment la façon dont la Chine a réussi à obtenir un taux de vaccination élevé grâce à la propagande, au lavage de cerveau (protégez vos proches) et à la force brute.

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  25. Les mandats de rappel du COVID-19 sont le seul moyen d’amener 85 % des Américains à reprendre régulièrement des injections d’ARNm.

    Les mandats de rappel seront mis en œuvre sous forme de vaccins annuels , comme le vaccin contre la grippe, ils pensent que les gens s'y conformeront parce qu'ils ont accepté le vaccin contre la grippe au fil des ans.

    Les rappels contre le COVID-19 deviendront une partie intégrante d'une visite chez le médecin – vous ne pourrez probablement pas consulter un médecin à moins d'accepter de recevoir votre rappel.
    Obliger les médecins et les travailleurs de la santé à continuer à prendre des rappels contre le COVID-19 est essentiel pour les grandes sociétés pharmaceutiques , mais elles pourraient se concentrer sur d’autres « groupes civils » ayant un taux de vaccination élevé, pour convaincre la population de prendre à nouveau des rappels.
    Les médecins devront passer plus de temps avec tous leurs patients et les convaincre de prendre des injections de rappel contre le COVID-19.

    Ils ont l’intention de maintenir les injections de rappel obligatoires régulières jusqu’à ce qu’il existe un « vaccin universel contre le COVID-19 », qui sera alors obligatoire pour la population.

    Je pense que l’intention de ces psychopathes est assez claire.

    https://www.globalresearch.ca/covid-19-vaccine-booster-hesitancy-mrna-vaccine-con-artists-big-pharma-drug-pushers-view-dont-want-their-toxic-products/5831290

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  26. « À en juger par les normes que je connais, ce n'est pas le cas. Les anti-vaccins sont des cinglés et des parias qui doivent être évités par les membres de l’Église de vaccinologie.

    Le point que je souhaite souligner ici, d’un point de vue psychologique, c’est que la campagne de piqûre et la propagande qui la sous-tend – qui a duré des décennies à mariner – a créé un état d’esprit que la vérité ne peut pas éclairer.

    Il faut informer nos concitoyens et faire preuve de bon sens.

    Q uel est l’impact du « vaccin » contre le Covid-19 à l’échelle de la planète entière ?
    Comment cela affecte-t-il la population humaine de 8 milliards de personnes, y compris les nouveau-nés et les enfants à naître ?

    J'ai examiné les données au niveau mondial. Cela laisse perplexe.

    Sur une période de deux ans commençant à la mi-décembre 2020, plus de 12,9 milliards de doses de vaccin ont été administrées dans 184 pays (Bloomberg, 21 septembre 2022 , voir graphique ci-dessous).

    - voir graph sur site -

    Enregistré le 21 septembre 2022 : 12,9 millions de doses administrées (mi-décembre 2020-21 septembre 2022)

    Au moment de la rédaction de cet article (1er juillet 2023), près de 13,5 milliards de doses de vaccin ont été administrées à une population mondiale de 8 milliards de personnes , soit une moyenne de 1,7 dose par personne.

    Les données compilées par l'OMS (27 juin 2023) sont les suivantes ( voir tableau OMS) :

    13 461 751 619 doses de vaccin administrées
    5 579 548 776 personnes vaccinées avec au moins une dose
    5 137 861 772 personnes vaccinées avec une primo-série complète (CPS)

    Les chiffres ci-dessus confirment qu'environ 70 % (5,138 milliards de personnes) de la population mondiale a été vaccinée avec « une série primaire complète » qui comprend normalement au moins deux doses de vaccin.

    La carte de l’OMS ci-dessous doit être soigneusement analysée. 13,5 milliards de doses ont été administrées.

    Dans la plupart des pays, y compris les pays les plus peuplés de la planète, le nombre total de doses de vaccin administrées pour 100 habitants dépasse largement 100 (vert foncé sur la carte ci-dessous).

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  27. La seule région du monde qui a jusqu’à présent échappé au « vaccin tueur » est l’Afrique, avec à peine 25 % de ses 1,4 milliard d’habitants entièrement vaccinés ( Africa CDC ) (voir carte ci-dessous). Récemment, l'Union africaine et le CDC Afrique, en liaison avec l'OMS, vont établir des installations locales de fabrication de vaccins en Afrique. Cet objectif est de vacciner entièrement 70 % de la population pauvre d’Afrique. Nous appelons les peuples d’Afrique, qui sont déjà victimes d’une crise alimentaire sans précédent , à s’opposer fermement à ce programme insidieux qui, ironiquement, est pleinement soutenu par le FMI , dans le cadre de ses réformes « choc et crainte » qui, au fil des années, années ont contribué à appauvrir tout un continent.

    - voir carte sur site -

    Alors que les gouvernements nationaux et l'OMS publient de fausses statistiques sur la mortalité présumée liée au SRAS-CoV2 (voir le chapitre III du livre de Michel Chossudovsky), ils omettent d'informer le public sur les impacts mortels du vaccin Covid-19 (c'est-à-dire le tableau des pays (mortalité et morbidité liées au vaccin Covid-19).

    Désinformation médiatique et « fausse science » : campagne de peur. « Le virus est plus dangereux que le vaccin »
    Un reportage sensationnaliste de la BBC sous le titre : Pourquoi le virus est-il une telle menace » … Citant « l'opinion scientifique », le virus a une « tactique évolutive meurtrière » pour propager l'infection Covid-19 partout.

    Rapport opportun publié deux semaines avant le lancement du vaccin à ARNm en novembre 2020. L'objectif de ce rapport insidieux de la BBC était de susciter la peur dans tout le Royaume-Uni ainsi que l'acceptation du vaccin à ARNm.

    « En termes simples, « le virus s'en fiche » si vous mourez, déclare le professeur Lehner de [Cambridge], « c'est un virus avec délit de fuite » . ….

    Il fait des choses particulières et inattendues sur le corps ( BBC, James Gallagher, 22 octobre 2020, italiques ajoutés)

    Implications mondiales
    D’après notre connaissance de la mortalité à l’échelle nationale ainsi que d’études et d’enquêtes par sondage soigneusement documentées, les implications mondiales du « vaccin tueur » sur l’humanité sont au-delà de toute description.

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  28. Il y a une « marée de dépopulation » mondiale . Cette tendance peut-elle être inversée ?
    La réponse passe par le développement urgent de procédures de santé et/ou de médicaments efficaces qui contribuent à inverser les effets dévastateurs sur la santé (par exemple, la protéine de pointe) du vaccin Covid-19.

    Des recherches préliminaires sont en cours : Voir l'article du Dr William Makis intitulé :

    « Traitement des blessures causées par le vaccin Covid : le jeûne pendant 48 à 72 heures crée une autophagie »

    L'accent est mis sur « Le processus de désintoxication du corps qui tue les cellules endommagées par les protéines de pointe du vaccin COVID-19 et redémarre le système immunitaire »

    https://www.globalresearch.ca/covid-19-vaccine-applied-at-the-level-of-the-entire-planet-how-many-deaths-its-a-criminal-undertaking/5823739

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  29. Sur l'avenir des pandémies fabriquées : origines du COVID-19, programme d'armes biologiques de l'armée américaine, résistance mondiale aux vaccins


    Par Timothy Alexander Guzman
    Recherche mondiale,
    4 septembre 2023


    Le 2 août 2019 , un journal local basé à Frederick, dans le Maryland, appelé The Frederick News-Post, a publié un rapport : « Le laboratoire de Fort Detrick a été fermé après un échec d'une inspection de sécurité ; toutes les recherches ont été interrompues indéfiniment » suite à la fermeture soudaine du laboratoire de l'Institut de recherche médicale sur les maladies infectieuses de l'armée américaine situé à Fort. Detrick, Maryland :

    Toutes les recherches dans un laboratoire de Fort Detrick qui manipule des matières pathogènes de haut niveau, comme Ebola, sont suspendues indéfiniment après que les Centers for Disease Control and Prevention ont constaté que l'organisation ne respectait pas les normes de biosécurité.

    Aucun agent pathogène infectieux ou matériel pathogène n'a été trouvé en dehors des zones autorisées de l'Institut de recherche médicale sur les maladies infectieuses de l'armée américaine.

    Les raisons de la fermeture sont discutables :

    Selon le Code des réglementations fédérales, qui répertorie également la formation requise, les dossiers et les plans de biosécurité, l'inscription au Federal Select Agents Program peut être suspendue pour protéger la santé et la sécurité publiques. On ne sait pas si c'est la raison pour laquelle l'enregistrement USAMRIID a été suspendu.

    Cependant, les raisons pour lesquelles ils ont fermé le laboratoire allaient de la non-recertification des travailleurs au système de décontamination des eaux usées qui ne répondait pas aux normes de sécurité requises :

    La suspension était due à de multiples causes, notamment le non-respect des procédures locales et le manque de formation périodique de recertification pour les travailleurs des laboratoires de bioconfinement , selon Vander Linden. Le système de décontamination des eaux usées n'a pas non plus respecté les normes établies par le programme fédéral d'agents sélectionnés.

    Peu de temps après, le 30 janvier 2020, la pandémie de coronavirus est annoncée. Je ne dis pas que Covid-19 a commencé à Fort. Detrick [AUCUNE PREUVE] , mais cela vaut la peine de réexaminer ce qui s'est réellement passé qui a obligé les responsables du CDC à ordonner la fermeture du laboratoire en raison de employés non recertifiés ou de problèmes de gestion du système de décontamination des eaux usées.

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  30. Le 13 mars 2020 , le New York Times a titré « La Chine raconte que l'armée américaine a déclenché l'épidémie de coronavirus », qui était basée sur les « théories du complot » de la Chine, et qu'il s'agissait de l' Institut de recherche médicale sur les maladies infectieuses de l'armée américaine ( USAMRIID) basé à Fort Detrick, Maryland qui a libéré Covid-19,

    « Après avoir critiqué les responsables américains pour avoir politisé la pandémie, les responsables chinois et les médias ont lancé des théories infondées selon lesquelles les États-Unis étaient à l’origine du virus. »

    Les autorités chinoises faisaient référence à un article publié dans le New York Times le 5 août 2019 , « La recherche sur les germes mortels est arrêtée au laboratoire de l'armée pour des raisons de sécurité », qui affirmait pourquoi le laboratoire militaire américain avait été fermé et avait annulé toutes les recherches sur les germes mortels. microbes « Les problèmes de sécurité dans un laboratoire militaire de premier plan sur les germes ont conduit le gouvernement à interrompre les recherches impliquant des microbes dangereux comme le virus Ebola. »

    La porte-parole de l’armée américaine, Mme Vander Linden, a déclaré que « les recherches sont actuellement suspendues ». Cependant, le New York Times a eu des nouvelles positives, je suppose : « Mais il n’y a eu aucune menace pour la santé publique, aucun blessé parmi les employés et aucune fuite de matières dangereuses à l’extérieur du laboratoire. » Mais plus d’informations à partir de ce moment-là : « Dans la déclaration, le CDC a cité des « raisons de sécurité nationale » comme justification pour ne pas divulguer d’informations sur sa décision. » Très étrange à mon avis.

    Cui Bono : La Russie révèle qui bénéficie du programme d'armes biologiques de l'armée américaine
    Cependant, le lieutenant-général Igor Kirillov , chef des troupes de protection nucléaire, chimique et biologique des forces armées de la Fédération de Russie, a récemment organisé une séance d'information importante sur les activités biologiques militaires américaines et le danger qu'elles représentent pour nous tous.

    En fait, c'est un avertissement sur ce dont le gouvernement américain est capable, à savoir libérer une autre arme biologique, qu'elle soit dangereuse ou non pour ses agendas géopolitiques, y compris l'objectif du WEF de dépeupler la terre. Quant aux mondialistes, il sera beaucoup plus facile de contrôler moins de personnes sur la planète.

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  31. Lancez une arme biologique, découvrez un vaccin comme remède, puis effrayez ou forcez les gens à prendre ce qu’on appelle le « vaccin » ou ce que j’aime appeler des « injections expérimentales ».

    Outre les objectifs de dépeuplement, l’establishment politique et corporatif et leurs cartels des grandes sociétés pharmaceutiques ont créé des patients à long terme à cause des blessures causées par les tirs expérimentaux du Covid-19, ce qui, selon eux, est bon pour les affaires.

    La prochaine pandémie est la deuxième phase d'une guerre à long terme contre l'humanité , alors que Kirillov a exposé les objectifs déclarés du gouvernement américain qui

    "visent principalement à étudier les agents potentiels des armes biologiques - le charbon, la tularémie, le coronavirus, ainsi que les agents pathogènes d'infections économiquement importantes - la grippe aviaire pathogène et la peste porcine africaine"

    il a continué

    «Il y a une tendance claire : les agents pathogènes qui relèvent de la zone d'intérêt du Pentagone, comme le COVID-19, la grippe aviaire, la peste porcine africaine, deviennent ensuite des pandémies, et les sociétés pharmaceutiques américaines en deviennent les bénéficiaires.»

    Kirillov a également mentionné l'Event 201 , un exercice mené avant la pandémie de Covid-19 le 18 octobre 2019 , qui

    " a simulé l'épidémie d'un coronavirus jusqu'alors inconnu qui, selon le scénario, se serait transmis de la chauve-souris à l'homme via un organisme porcin, porteur intermédiaire du virus. "

    Pour les autorités russes, « l’évolution de la pandémie dans ce scénario, ainsi que la mise en œuvre des projets de l’EcoHealth Alliance, soulèvent des questions sur le caractère intentionnel possible du COVID-19 et l’implication des États-Unis dans l’incident ».

    Ainsi, l’armée américaine crée un problème, les grandes sociétés pharmaceutiques créent la solution
    La question demeure : le gouvernement américain est-il à l’origine de l’épidémie de Covid-19 ?

    C'est difficile à dire à ce stade, mais une chose est sûre, les dirigeants des grandes sociétés pharmaceutiques de Pfizer, Moderna, AstraZeneca et d'autres sociétés de biotechnologie se léchaient les lèvres en pensant aux futurs bénéfices qu'ils étaient sur le point de réaliser avec les vaccins qu'ils produisaient. La campagne de propagande visant à effrayer l’humanité pour qu’elle prenne ces soi-disant vaccins a fonctionné dans une certaine mesure malgré ceux qui sont tombés dans le piège du vaccin expérimental contre le Covid-19.

    Cependant, on estime que plus de 2 milliards de personnes n’ont pas reçu le vaccin expérimental contre le Covid-19, ce qui devrait nous donner l’espoir d’être plus optimistes quant à tout futur virus actuellement créé par des biolabs financés par l’Occident dans le monde, y compris ceux d’Ukraine . et ailleurs.

    Une plateforme créée par le Centre pour le développement mondial et le Programme des Nations Unies pour le développement appelée Pandem-ic.com a publié un rapport mis à jour le 6 août 2023,

    « Cartographier notre monde non vacciné » et a déclaré que « À l'échelle mondiale, 2,2 milliards de personnes ne sont absolument pas vaccinées.

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  32. « Il s’agit du décompte mondial à ce jour, basé sur les dernières informations disponibles. Cela représente le nombre total de personnes qui n’ont pas encore reçu leur première injection.

    Et Dieu merci ! Ne vous y trompez pas, il s’agissait et il s’agit toujours d’une guerre biologique et de nombreuses personnes dans le monde ont riposté et résisté aux autorités occidentales et à leurs institutions telles que les grandes sociétés pharmaceutiques, les Centres de contrôle des maladies ( CDC ) et l’ Organisation mondiale de la santé (OMS).

    Il y a de l'espoir et de l'optimisme concernant la prochaine « plandémie » parce que les gens ont pris conscience du fait qu'il existe un culte de la mort et de la destruction appelé « mondialiste » qui veut dépeupler notre planète.

    Vous trouverez ci-dessous les données pertinentes publiées par l'OMS (27 juin 2023)

    13 461 751 619 doses de vaccin administrées
    5 579 548 776 personnes vaccinées avec au moins une dose
    5 137 861 772 personnes vaccinées en primo-série complète (CPS)
    « Les chiffres ci-dessus confirment qu'environ 70 % (5,138 milliards de personnes) de la population mondiale a été vaccinée avec « une série primaire complète » qui comprend normalement au moins deux doses de vaccin.

    La carte de l’OMS ci-dessous doit être soigneusement analysée. 13,5 milliards de doses ont été administrées.

    Dans la plupart des pays, y compris les pays les plus peuplés de la planète, le nombre total de doses de vaccin administrées pour 100 habitants dépasse largement 100 (vert foncé sur la carte ci-dessous).

    La seule région du monde qui a jusqu’à présent échappé au « vaccin tueur » est l’Afrique, avec à peine 25 % de ses 1,4 milliard d’habitants entièrement vaccinés ( Africa CDC ) (voir carte ci-dessous) » (Pour plus de détails, voir Michel Chossudovsky, juillet 2017). 2023 )

    Résistance mondiale contre les confinements et les mandats de vaccination

    La résistance mondiale contre les confinements liés au Covid-19, les vaccins obligatoires, les masques faciaux et la distanciation sociale au plus fort de la pandémie a été et est toujours une source d’inspiration pour nous tous. Même si de nombreuses personnes ont résisté à l’establishment médical dans le monde entier, je tiens à mentionner plusieurs pays, groupes de résistance, organisations et personnes qui ont résisté aux mensonges et ils devraient tous être reconnus pour cela.

    Le problème majeur des grandes sociétés pharmaceutiques : la résistance mondiale
    Kirillov a déclaré que lorsque l’armée américaine travaille avec des agents pathogènes dangereux, « les sociétés pharmaceutiques américaines en deviennent les bénéficiaires », ce qui constitue une déclaration factuelle.

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  33. Quoi que projettent le gouvernement américain et les grandes sociétés pharmaceutiques à huis clos, ils échoueront. C'est comme ce vieil adage : « trompe-moi une fois, honte à toi, trompe-moi deux fois, honte à moi » .

    La bonne nouvelle est qu’il n’y a aucune confiance dans les grandes sociétés pharmaceutiques dans le monde, en particulier dans la plupart des pays africains.

    Le 9 mars 2021 , Afrobaromètre , un réseau panafricain de recherche par sondage non partisan, a publié

    « Qui veut se faire vacciner contre le COVID-19 ? Dans cinq pays d'Afrique de l'Ouest, l'hésitation est élevée et la confiance faible », selon une enquête menée dans cinq pays d'Afrique au cours de laquelle des entretiens en face à face ont été menés sur leurs points de vue sur les vaccins contre le Covid-19 :

    Cette dépêche s'appuie sur des données collectées sur la période octobre 2020-janvier 2021 dans cinq pays d'Afrique de l'Ouest : Bénin, Libéria, Niger, Sénégal et Togo. Dans chaque pays, Afrobaromètre a mené des entretiens en face-à-face dans la langue du choix du répondant avec un échantillon national représentatif de 1 200 citoyens adultes qui ont donné des résultats au niveau national avec une marge d'erreur de +/-3 points de pourcentage à 95 %. un niveau de confiance

    Voici les résultats les plus importants à prendre en compte dans l’enquête :

    Dans les cinq pays d’Afrique de l’Ouest étudiés, la plupart des citoyens – 92 % en moyenne – se disent « plutôt bien informés » ou « très bien informés » sur la pandémie de COVID-19 et les efforts pour la combattre.
    Seulement trois personnes interrogées sur 10 (31 %) déclarent faire « assez » ou « beaucoup » confiance à leur gouvernement pour garantir que tout vaccin est sûr avant qu’il ne soit proposé aux citoyens. La méfiance est particulièrement forte au Sénégal (83%) et au Libéria (78%)
    En moyenne, six citoyens sur 10 (60 %) déclarent qu’il est peu probable qu’ils tentent de se faire vacciner, dont 44 % qui considèrent que cela est « hautement improbable ». Les Sénégalais (79 %) et les Libériens (66 %) sont les plus susceptibles d'exprimer une réticence à se faire vacciner.
    L'hésitation/résistance à l'égard des vaccins monte en flèche parallèlement aux doutes quant à la capacité du gouvernement à garantir la sécurité des vaccins. Ceux qui font pleinement confiance à leur gouvernement sur ce point sont cinq à dix fois plus susceptibles de vouloir se faire vacciner que ceux qui n'y font pas confiance.

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  34. De larges majorités au Niger (89 %), au Libéria (86 %) et au Sénégal (71 %) pensent que la prière est plus efficace qu’un vaccin pour prévenir l’infection au coronavirus. Les avis sont plus partagés au Bénin (41%) et au Togo (40%)
    Les répondants pauvres expriment une plus grande réticence à se faire vacciner que leurs homologues aisés.
    « Sauf au Libéria, les citoyens ayant une éducation plus formelle ne sont pas significativement plus susceptibles de vouloir se faire vacciner que leurs homologues moins instruits. »
    « La réticence à la vaccination est nettement plus forte dans les villes que dans les zones rurales au Bénin, au Togo et au Niger »

    Dans un autre rapport publié le 24 novembre 2022 , cette fois par la BBC , « L'hésitation à la vaccination dans le « trou noir » du Covid en Afrique du Nord, a rendu compte de la population du Maroc et de son taux élevé de vaccination par rapport à celle du Sahara occidental qui ne l'a pas été, « Selon une enquête internationale publiée en 2019 avant le début de la pandémie, 80 % des Marocains considéraient les vaccins comme sûrs, un taux parmi les plus élevés au monde. » Cependant, au Sahara occidental, c’est une autre histoire :

    Mais ce niveau élevé de confiance pourrait être bien plus faible parmi les 600 000 personnes vivant au Sahara occidental – un territoire non autonome administré par le Maroc. En ce qui concerne la pandémie de Covid-19, le Sahara occidental est un trou noir : aucune information n’existe. La zone est une zone vierge sur la carte mondiale des cas de Covid-19 et des vaccins de l'Organisation mondiale de la santé, car le Maroc refuse de publier des données sur le nombre de Sahraouis vaccinés dans cette région politiquement sensible.

    Au Sahara occidental, la BBC a interviewé un chauffeur de camion du nom de Hanzali qui connaît des gens qui ont acheté un certificat de vaccination pour éviter de se faire vacciner : « même les personnes qui ont pris le vaccin ne l'ont pas pris parce qu'elles le voulaient mais parce qu'on leur a dit. " Je ne suis pas contre le vaccin , je suis contre les gens qui essaient de me forcer à me faire vacciner. "

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  35. Il y avait des Sahraouis non vaccinés qui ne faisaient pas confiance à leurs politiques, ce sont eux qui ont poussé ces vaccins aux Sahraouis », ont déclaré plusieurs Sahraouis non vaccinés à la BBC que leur hésitation vient du fait que les politiques du Maroc – et non ses médecins – ont été en première ligne. de la campagne de vaccination du pays. Un étudiant anonyme en médias et technologie à Laayoune a déclaré à la BBC : « À mon avis, le gouvernement a utilisé le « corona » à des fins politiques », a-t-il poursuivi. « À Casablanca et à Rabat, il y a eu de nombreuses manifestations contre le gouvernement – ​​et ici aussi [à Laayoune]. C'est parce que ça vient du gouvernement que les gens ne sont pas d'accord.» Le point culminant de l’histoire est que l’étudiant anonyme refuse toujours le vaccin,« Trois ans après le début de la pandémie, il dit qu’il refuse toujours de se faire vacciner. Son point de vue est partagé par d’autres personnes avec lesquelles la BBC s’est entretenue dans la région.

    Afrique : le continent de la résistance

    Dans un article des blogs de la Banque mondiale rédigé par plusieurs auteurs, dont Neia Prata Muloongo Simuzingili, Zelalem Yilma Debebe, Fedja Pivodic et Ernest Massiah, intitulé « Qu'est-ce qui motive l'hésitation à la vaccination contre le COVID-19 en Afrique sub-saharienne ? sur les raisons pour lesquelles tant d’Africains rejettent les vaccins contre le Covid-19 :

    En Afrique, il existe de multiples facteurs d’hésitation à la vaccination. Les inquiétudes concernant la sécurité, les effets secondaires et l'efficacité sont répandues et observées parmi les agents de santé au Zimbabwe, au Ghana, en Afrique du Sud, au Kenya, au Soudan et en Éthiopie. L'enquête du CDC Afrique a noté que les personnes interrogées considéraient les vaccins contre la COVID-19 comme moins sûrs et efficaces que les autres vaccins. Des résultats similaires ont été observés en Ouganda, en Sierra Leone, au Rwanda, au Mozambique, au Burkina Faso, au Cameroun et en Afrique du Sud. La suspension du déploiement d'AstraZeneca dans certains pays européens, les données sud-africaines sur son efficacité et la suspension temporaire du vaccin Johnson & Johnson aux États-Unis pour évaluer les rapports de coagulation sanguine ont affecté la confiance dans la vaccination contre le COVID-19. Finalement, le vaccin d'AstraZeneca a été refusé par plusieurs pays africains

    Alors pourquoi les Africains rejettent les injections expérimentales des grandes sociétés pharmaceutiques ? Les autorités accusent Internet et les réseaux sociaux d’être responsables des « théories du complot » qui propagent la désinformation médicale :

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  36. L’accès aux réseaux sociaux a facilité la propagation de la désinformation et des théories du complot. Dans l’étude du CDC Afrique, les personnes très hésitantes étaient plus susceptibles d’utiliser les médias sociaux et d’être exposées à la désinformation. La moitié des personnes interrogées en Afrique du Sud pensent que le virus est lié à la technologie 5G. Dans une autre étude sud-africaine, environ un tiers de ceux qui refuseraient le vaccin faisaient confiance aux médias sociaux comme principale source d’information. Une petite étude menée à Addis-Abeba a montré que l'hésitation était 3,6 fois plus élevée chez ceux qui recevaient leurs informations sur les réseaux sociaux que chez ceux qui s'en remettaient à la télévision et à la radio.

    Les Africains sont conscients du fait qu’ils ne veulent en aucun cas servir de cobayes :

    La méfiance à l'égard des vaccins développés dans les pays occidentaux n'est pas nouvelle en Afrique . Cette situation trouve son origine dans l’histoire de pratiques médicales occidentales contraires à l’éthique sur le continent, où les premiers efforts visant à lutter contre la maladie ont diminué la confiance dans la médecine occidentale et ont conduit à une sous-utilisation des services de santé. Environ 43 % des personnes interrogées dans le cadre de l’étude menée dans 15 pays par le CDC Afrique pensaient que les Africains étaient utilisés comme cobayes dans les essais de vaccins. Des constatations similaires ont été constatées en RDC ; et, une enquête réalisée en 2021 à Addis-Abeba, l'hésitation était associée à la conviction que le vaccin était une arme biologique des pays développés pour contrôler la croissance démographique.

    À la mémoire du président tanzanien, John Magufuli, un combattant contre la propagande vaccinale contre le COVID-19 des grandes sociétés pharmaceutiques

    Le président tanzanien John Magufuli , décédé le 17 mars 2021 , a rejeté les diktats des gouvernements occidentaux, de leurs institutions et entreprises, notamment l'OMS et les grandes sociétés pharmaceutiques. Magufuli a dit un jour que

    "Le ministère de la Santé doit être prudent, il ne doit pas se précipiter pour essayer ces vaccins sans faire de recherche. Tous les vaccins ne sont pas importants pour nous, nous devons être prudents."

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  37. Il a déclaré avec fermeté : « Nous ne devrions pas être utilisés comme « cobayes » ». Magufuli a dénoncé dès le début l’hystérie collective du virus Covid-19 comme une exagération excessive.

    Aujourd’hui, la Tanzanie a changé son attitude envers les vaccins contre le Covid-19 depuis le décès de Magufuli ; en fait, il y a une campagne de propagande. Dans ce que nous pouvons appeler un article de propagande de Health Policy Watch, « La Tanzanie mobilise les musiciens et les influenceurs pour se débarrasser de l'héritage de son ex-président niant le COVID » basé sur l'augmentation des vaccinations de 10 % de la population à 50 % :

    Cependant, la Tanzanie a eu du mal à plusieurs reprises à contrer la désinformation et la réticence de la population à se faire vacciner. Pour apaiser le scepticisme croissant à l'égard des vaccins contre la COVID-19, le ministère tanzanien de la Santé s'est lancé dans des campagnes de mobilisation communautaire auxquelles ont participé des influenceurs communautaires.

    Les agents de santé communautaires, les musiciens et autres participent désormais à la stratégie de communication menée par le gouvernement pour partager des informations fiables sur la pandémie, dissiper la vague de désinformation et augmenter le nombre de vaccins.

    Si les statistiques sont exactes, sur une population de 62 millions d’habitants, seule la moitié a été vaccinée, donc plus de 30 millions de personnes ne l’ont pas été. Beaucoup en Tanzanie ne tombent pas dans le piège de la propagande selon laquelle les injections expérimentales de Covid-19 sont sûres et efficaces.

    L’héritage de John Magafuli sera qu’il s’est opposé aux diktats des institutions occidentales et des grandes sociétés pharmaceutiques. L’histoire se souviendra de lui comme d’un héros pour le peuple tanzanien car depuis l’annonce de la pandémie de Covid, il a mis en garde le peuple contre les dangers des Big Pharma et de leurs institutions occidentales.

    John Magafuli restera un héros non seulement pour le peuple tanzanien et le continent africain, mais aussi pour nous tous dans le monde qui nous opposons aux opérateurs mondialistes et à leur programme de vaccination de la planète soit pour créer une population malade qui bénéficiera aux grands Pharma ou simplement éliminer les « mangeurs inutiles » qui les empêchent d’atteindre leurs objectifs.

    Oubliez l’opposition à une occupation illégale, les Palestiniens sont désormais des théoriciens du complot anti-vaxx !
    Si l’un d’entre nous était Palestinien vivant dans la bande de Gaza, en Cisjordanie ou dans d’autres régions de la Palestine et de ses environs, je rejetterais absolument le vaccin contre le Covid-19 pour plusieurs raisons. Premièrement, accepteriez-vous un vaccin des pays occidentaux qui soutiennent Israël sans condition depuis 1948 ? Comment sauriez-vous s’ils sont en sécurité ? Deuxièmement, feriez-vous confiance aux sociétés de biotechnologie occidentales qui ont produit un vaccin en moins de quelques mois alors que la plupart des vaccins avaient fait l’objet de nombreuses années d’études et de tests avant d’être approuvés ?

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  38. En fin de compte, les Palestiniens ne veulent pas être des sujets de test comme les Israéliens.

    « Le PDG de Pfizer a déclaré qu'il avait choisi Israël comme « seul pays » pour faire la démonstration du vaccin anti-COVID de son entreprise parce qu'il était « franchement impressionné par l'obsession de votre Premier ministre », selon allisraelnews.com . « Il m'a appelé 30 fois. Il m'appelait à 3 heures du matin et me posait des questions sur les variantes (du coronavirus), de quelles données nous disposions", a poursuivi Bourla "et je disais : 'Premier ministre, il est 3 heures du matin. ", et il disait:" Non, non, ne vous inquiétez pas, dites-le-moi simplement. Ou bien il m'appelait pour me poser des questions sur les enfants : « Je dois vacciner les écoles ». Ou sur les femmes enceintes.

    Bourla a déclaré « il m’a convaincu, franchement, qu’il serait au courant des choses » et que « nous avons placé notre pari avec Israël et nous sommes très heureux de la façon dont vous avez exécuté la vaccination. Et un an après la déclaration de la pandémie par l'OMS (Organisation mondiale de la santé), nous avons pu publier aujourd'hui un communiqué de presse avec le ministère de la Santé de votre pays sur les résultats.

    Dans un rapport scientifique de 2022 basé sur les résultats des injections expérimentales de Big Pharma sur la population âgée de 16 à 39 ans en Israël, les facteurs associés entre les taux d'infection par le Covid-19 et ceux qui ont reçu le vaccin contre le Covid-19 sont les suivants :

    À l’aide d’un ensemble de données unique des services médicaux d’urgence nationaux (EMS) israéliens de 2019 à 2021, l’étude vise à évaluer l’association entre le volume d’arrêt cardiaque et les appels EMS pour syndrome coronarien aigu chez la population de 16 à 39 ans avec des facteurs potentiels. y compris les taux d’infection au COVID-19 et de vaccination . Une augmentation de plus de 25 % a été détectée dans les deux types d’appels entre janvier et mai 2021.

    Le rapport admet qu'il existe des préoccupations légitimes,

    "Bien qu'ils n'établissent pas de relations causales, les résultats soulèvent des inquiétudes concernant les effets secondaires cardiovasculaires graves non détectés induits par le vaccin et soulignent la relation causale déjà établie entre les vaccins et la myocardite, une cause fréquente d'arrêt cardiaque inattendu chez les jeunes."

    Le 23 juillet 2021 , Al Jazeera , « La réticence et la méfiance définissent les attitudes à l'égard des vaccins à Gaza », a fait état de la méfiance des Palestiniens à l'égard des vaccins contre le Covid-19. « Suhair Zakkout, porte-parole du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) dans la bande de Gaza, a déclaré que son secteur de la santé est depuis longtemps confronté à des problèmes systémiques majeurs », mais des inquiétudes demeurent car un tiers des habitants de la bande de Gaza et de Cisjordanie refusent de se faire soigner. vaccinés avec des injections expérimentales de Covid-19 :

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  39. La réticence des gens à se faire vacciner a toutefois suscité des inquiétudes et incité le CICR – aux côtés du ministère de la Santé et du ministère des Dotations et des Affaires religieuses – à lancer une campagne visant à sensibiliser davantage aux effets positifs des vaccins.

    Le 15 juin 2021 , le Centre palestinien de recherche sur les politiques et les enquêtes (PCPSR) a constaté que « 35 % (37 % en Cisjordanie et 32 ​​% dans la bande de Gaza) déclarent qu'eux-mêmes et leurs familles ne sont pas disposés à se faire vacciner. quand ils en auront accès. » Un tiers du peuple palestinien ne recevra aucune injection expérimentale de Covid-19 et c’est une bonne chose.

    Le mouvement Houthi au Yémen et la résistance contre les vaccins contre le COVID-19
    Daraj, un média dit indépendant parrainé par la fondation Soros, a publié le 23 février 2021 un rapport intitulé « Yémen : « Nous ne voulons pas de vaccins. Il n'y a pas de Corona ici. We Are Fine » qualifie clairement de théoriciens du complot ceux qui rejettent les vaccins contre le Covid-19 :

    Les avis sur le coronavirus au Yémen sont aussi partagés que le pays lui-même. Tandis que le sud attend les premiers vaccins, le nord affirme n’avoir aucun besoin de vaccination. Ce que les deux parties ont en commun, c'est un secteur de la santé en ruine et un amour frappant pour les théories du complot.

    Ils disent que le Yémen est divisé entre le gouvernement yéménite du sud qui attend avec impatience ses premiers vaccins tandis que le nord, contrôlé par le mouvement Houthi qui combat la coalition saoudienne depuis le 26 mars 2015, a déclaré qu'il ne le faisait pas . je n'en veux pas :

    Alors que les pays du monde entier s’efforcent de fournir à leurs citoyens le vaccin contre le coronavirus, les autorités yéménites restent confuses et divisées. Le gouvernement yéménite internationalement reconnu tente d’une part d’obtenir progressivement le vaccin gratuitement, tandis que le mouvement Houthi (Ansar Allah) rejette catégoriquement le vaccin.

    Daraj a mentionné que la guerre et les problèmes de stockage sont quelques-uns des facteurs expliquant pourquoi la population yéménite n'a pas été vaccinée, mais les résidents qui vivent dans le nord, comme Ahmed Al-Washali, 31 ans, qui a déclaré que

    « Nous ne voulons pas de vaccins, il n’y a pas de corona au Yémen, nous allons bien » et que « cela ne nous a pas affectés. Alors que d’autres pays étaient enfermés dans leurs maisons et ne pouvaient pas travailler, nous vivions normalement et rien ne se passait.

    Les journalistes de Daraj ont interrogé 52 personnes vivant sur le territoire Houthi sur le vaccin Covid et voici le résultat :

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  40. Notre équipe a rencontré 53 personnes dans les zones sous contrôle du mouvement Houthi, dont la plupart sont titulaires d'un diplôme universitaire, sont employées dans le secteur public ou privé et ont une moyenne d'âge de 27 à 35 ans.

    Nous avons constaté que 42 personnes sur 53 refusent de recevoir le vaccin s’il était disponible. Parce qu’ils n’en avaient pas besoin, ont déclaré la plupart, tandis que 17 ont affirmé que le vaccin pourrait être un « complot » représentant une menace pour leur santé. Sur les 9 personnes disposées à recevoir le vaccin, 7 ont stipulé qu'il devrait être gratuit. Deux personnes n’auraient jamais entendu parler d’un vaccin contre le virus

    Les résultats sont pour le moins inspirants. Les organisations soutenues par l’Occident telles que l’ Organisation mondiale de la santé (OMS) ne suscitent aucune confiance :

    Certains ont vu dans l’absence d’une flambée complète de l’épidémie une raison pour rejeter le vaccin et dénoncer l’intégrité de l’OMS. Un médecin de Taiz, qui a requis l'anonymat, a déclaré qu'il soutenait la Déclaration de Great Barrington, une déclaration signée par des milliers d'universitaires dans le domaine de la médecine et de la santé publique appelant à une approche alternative à la pandémie de Covid basée sur une « protection ciblée » des personnes les plus vulnérables. en danger.

    Malgré le faible taux d’analphabétisme par rapport aux autres gouvernorats, à Taiz également, la résistance à la vaccination est restée élevée. Et là aussi, cela ne se limitait pas aux religieux, mais incluait les titulaires de diplômes universitaires et les laïcs. Pour Jamil, enseignant de 49 ans, par exemple, le coronavirus n’était « qu’une illusion ».

    Dans la ville d’Aden, les résultats ont été similaires :

    Les choses n’étaient pas très différentes à Aden, où prédominait la peur du vaccin. Dans un sondage réalisé par notre équipe auprès de 121 habitants de la ville d'Aden, plus de 84 % ont refusé de se faire vacciner. La principale raison était le manque de confiance dans les autorités responsables de l’importation du vaccin et la crainte quant aux conditions dans lesquelles le vaccin serait réfrigéré et stocké. Même certains agents de santé craignaient le vaccin en termes de sécurité et d’effets secondaires potentiels.

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  41. Le mouvement Houthi et ceux qui le soutiennent sont clairement conscients du fait que les pays occidentaux et leurs grandes sociétés pharmaceutiques font la promotion de dangereux vaccins expérimentaux contre le Covid-19. Ils voient les dangers.

    Le mouvement Houthi sait que ces tirs expérimentaux contre le Covid-19 sont utilisés comme une autre arme de guerre, une arme biologique qui peut être utilisée pour dépeupler leur société. Au moins, nous savons que lors de la prochaine pandémie fabriquée de toutes pièces, le mouvement Houthi continuera de résister aux pays occidentaux et aux grandes sociétés pharmaceutiques, tout comme il a résisté au gouvernement yéménite soutenu par l’Occident et dirigé par Abdrabbuh Mansur Hadi et à une coalition de forces militaires dirigée par l’Arabie saoudite depuis. 2014.

    Hésitation à la vaccination en Afrique, en Amérique latine et dans les Caraïbes
    Une étude brésilienne sur l'hésitation à la vaccination réalisée par Cardenos De Saude Publica (CSP), traduction anglaise « Reports in Public Health », intitulée « hésitation à la vaccination contre la COVID-19 en Amérique latine et en Afrique : une revue de la portée » a déclaré que plusieurs pays avaient un pourcentage de personnes qui a refusé les vaccins expérimentaux contre le Covid-19 pour diverses raisons :

    Dans le cas de la vaccination contre le COVID-19, des études menées dans des pays d'Afrique et d'Amérique latine ont montré que l'hésitation était liée aux croyances religieuses, à l'association entre la vaccination et la surveillance des autorités gouvernementales, au manque d'informations sur les événements indésirables, à la sécurité et à l'efficacité des vaccins et à leur diffusion. de fausses nouvelles

    Quels sont les principaux pays d’Amérique latine présentant des taux d’hésitation élevés ?

    Dans les pays d’Amérique latine, le taux d’hésitation à la vaccination le plus élevé (26,1 %) et le plus faible (8,4 %) ont été signalés au Brésil. En Équateur, l’hésitation variait entre 73 % et 9 %, selon l’efficacité du vaccin. Au Chili, 28 % étaient hésitants et 23 % refusaient le vaccin. Le Pérou a eu 10,1% de refus et 19,5% d'hésitation. Au Venezuela, l'hésitation à la vaccination était de 28,75 %

    L’un des points sur lesquels l’étude brésilienne a réfléchi est l’histoire du Nord (nations occidentales), héritage du colonialisme et de la violence (invasions militaires, changements de régime et projets de dépeuplement) que les peuples d’Afrique, d’Amérique latine et des Caraïbes ont vécue. rappelez-vous de leur histoire avec les puissances impériales occidentales :

    Les pays sous-développés ont été utilisés à plusieurs reprises pour des tests sur des êtres humains, ce qui aboutit aujourd'hui à un refus du vaccin par peur d'être des sujets de laboratoire. Le rapport de force entre le Nord et le Sud, exprimé dans un passé de colonialité et de violence encore vivace dans la mémoire des pays colonisés, se reflète dans le rejet des pratiques censées venir du Nord. Ensuite, les vaccins sont considérés par différents groupes comme des stratégies de contrôle de la population dans les pays sous-développés, comme une « malveillance occidentale » ou comme une méthode pour éteindre des groupes indésirables.

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  42. Les personnes qui ont refusé les vaccins contre le Covid-19 en Afrique, en Amérique latine et dans les Caraïbes lors de la dernière pandémie continueront de résister aux pays occidentaux et à leurs escroqueries des grandes sociétés pharmaceutiques parce qu’elles savent qu’il y a un programme dans la prochaine pandémie fabriquée.

    Résistance aux vaccins dans les pays occidentaux

    Le magazine Forbes a rapporté le 8 mars 2021 que « l'hésitation à la vaccination contre le Covid-19 est pire dans l'UE qu'aux États-Unis » et a affirmé que « mais il s'est avéré beaucoup plus difficile de se faire vacciner dans les bras des résidents de l'Union européenne (UE). Les États-Unis vaccinent à un rythme plus rapide que n’importe quel autre membre de l’UE, et trois fois plus que la moyenne de l’UE » et c’est en quelque sorte une bonne nouvelle . Les sondages suggèrent que les Européens ne font pas non plus confiance aux grandes sociétés pharmaceutiques puisque « seulement 36 % des Européens interrogés sont tout à fait d’accord avec l’affirmation selon laquelle les vaccins sont sûrs ». En fait, l’Europe a un historique de résistance au vaccin AstraZeneca des grandes sociétés pharmaceutiques :

    En Europe, même les produits approuvés qui ne posent pas nécessairement de problèmes d’approvisionnement se sont heurtés à une forte résistance. En France et en Allemagne, par exemple, le vaccin AstraZeneca, approuvé, a un problème d'image , ce qui fait que beaucoup hésitent à le prendre, y compris le personnel soignant en première ligne. Des messages médiocres et incohérents ont alimenté la confusion du public quant à la sécurité et à l'efficacité du vaccin d'AstraZeneca. L’affirmation du président Macron le mois dernier selon laquelle le vaccin était « quasi inefficace » pour les personnes âgées n’a pas arrangé les choses. Depuis, il s’est inversé et plaide désormais pour que les gens se fassent vacciner avec le vaccin à leur disposition. Mais le dommage était déjà fait

    Les Européens des deux mouvements politiques, qu'ils soient d'extrême gauche ou d'extrême droite, sont généralement contestataires et, de toute évidence, ils ne font pas non plus confiance aux injections expérimentales de Big Pharma contre le Covid-19 :

    Le degré d'aversion de l'Europe à l'égard du vaccin contre le Covid-19 est peut-être surprenant, mais pas si l'on le situe dans le contexte d'une politique farouchement anti-establishment à l'extrême gauche et à l'extrême droite, et d'un sentiment anti-scientifique particulièrement virulent qui existait bien avant le Covid. -19 touché. À titre d’illustration, la Ligue d’extrême droite et le Mouvement Cinq Étoiles de gauche en Italie ont tous deux incité à semer la peur à propos des vaccins. De même, des dirigeants politiques d’extrême droite et d’extrême gauche en France, comme Le Pen et Mélenchon, ont attisé les attitudes anti-vaccin.

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  43. De l'Afrique, du Moyen-Orient, de l'Amérique latine à l'Europe et même aux États-Unis, où un tiers de la population n'a pas reçu les injections expérimentales du Covid-19 pour une raison quelconque, il y aura une autre résistance populaire contre les injections expérimentales des grandes sociétés pharmaceutiques et un éventuel futur confinement.

    Pour la prochaine pandémie fabriquée, les mondialistes et le Pentagone, y compris toutes leurs institutions, y compris l'éléphant dans la pièce, les grandes sociétés pharmaceutiques seront confrontées à une résistance de la part de personnes de tous horizons et elles échoueront parce que les 2 milliards de personnes dans le monde continuent de s’opposer aux injections expérimentales des grandes sociétés pharmaceutiques contre le Covid-19 et c’est quelque chose que les mondialistes n’attendent pas avec impatience.

    https://www.globalresearch.ca/theme/law-and-justice

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  44. « Augmentation humaine » : la guerre du futur immédiat ?

    Collaboration des gouvernements allemand et britannique sur les exosquelettes militaires et le génie génétique


    Par Julien Rose
    Recherche mondiale,
    4 septembre 2023


    Nous devons avoir le courage d'affronter nos ennemis. Je pense que la plupart des lecteurs de cet article savent déjà que l’élément psychotique de la race humaine, qui a réussi à s’établir au sommet de la pyramide de contrôle, ne reculera devant rien pour obtenir ce qu’il veut.

    Cette « voie » consiste à détruire l’âme de l’humanité et à détruire au bulldozer toutes les expressions de la nature, à l’exception des plus élémentaires.

    Ce que je dois rapporter aujourd’hui a échappé à mon attention jusqu’à très récemment, mais ne correspond malheureusement que trop bien à la description ci-dessus.

    Le 13 mai 2021, le ministère de la Défense et des Forces armées (MOD) du gouvernement britannique a publié un document intitulé « Augmentation humaine – l'aube d'un nouveau paradigme » . Ce titre à lui seul m’a fait frissonner le dos ; mais ce frisson s'est prolongé à la lecture du premier paragraphe.

    « Le Centre de développement, de concepts et de doctrine a travaillé en partenariat avec le Bureau de planification de défense de la Bundeswehr allemande pour comprendre les implications futures de l'augmentation humaine, jetant ainsi les bases d'une recherche et d'un développement de défense plus détaillés ».

    Capture d'écran du MOD

    - voir cadre sur site -

    Capture d'écran du MOD

    - voir cadre sur site -

    Pourquoi un lien entre la Bundeswehr allemande et le ministère britannique de la Défense a-t-il provoqué un long frisson dans mon corps ?

    Ensuite, nous apprenons que

    "Le projet intègre des recherches menées par des spécialistes de la défense allemands, suédois, finlandais et britanniques pour comprendre comment les technologies émergentes d'augmentation humaine pourraient affecter l'avenir de la société, de la sécurité et de la défense."

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  45. Eh bien, sommes-nous censés croire que ces « spécialistes de la défense » se réunissent pour faire une étude détachée de l'état de l'art des êtres humains repensés pour devenir des armes instantanées sur le champ de bataille ?

    Pas probable! Il s'agit d'une description d'une collaboration conçue pour exploiter le potentiel optimal de ces bipèdes cyborgiens kamikazes, afin d'être à la pointe du matériel militaire offensif dans un avenir très proche.

    Nous lisons la suite

    « Les technologies d’augmentation humaine offrent un large éventail d’opportunités pour aujourd’hui et pour l’avenir. Il s’agit de technologies matures qui pourraient être intégrées aujourd’hui avec des considérations politiques gérables, telles que la nutrition personnalisée, les appareils portables et les exosquelettes.

    De quoi parlent-ils, nom de Dieu ?

    Les lecteurs de ce document du gouvernement britannique sont-ils censés savoir ce que sont réellement la « nutrition personnelle », les « appareils portables » et les « exosquelettes » ?

    Gardez à l’esprit que ceci a été écrit au milieu du grand canular du Covid. Cela ne sonne-t-il pas quelque chose d’aussi diabolique ?

    Mais attends, ça devient pire

    "Il existe d'autres technologies à l'avenir avec des promesses d'un plus grand potentiel, comme le génie génétique et les interfaces cerveau-ordinateur."

    D'accord merci. Vous nous avez maintenant présenté une description claire de ce qui nous attend dans une langue que la plupart peuvent comprendre. Les caporaux armés en première ligne de la guerre avec… la Chine ?… la Russie ? seront des transhumains programmés par ordinateur – le joyau de la couronne de la grande réinitialisation de Klaus Schwab , la quatrième révolution industrielle. On aurait pu le deviner.

    Mais bon, jetez juste un œil à la prochaine révélation

    « Les implications éthiques, morales et juridiques de l’augmentation humaine sont complexes et difficiles à prévoir et un engagement régulier sur ces questions doit être soigneusement pris en compte. »

    Difficile de prévoir ? Seulement si vous êtes un démon profondément psychotique, aveugle et insensible, déguisé en être humain.

    Le document se termine par la déclaration suivante

    « L’augmentation humaine pourrait signaler l’arrivée d’une nouvelle ère d’avantage stratégique avec des implications possibles sur tout le spectre du développement des forces. »

    « Une nouvelle ère d'avantage stratégique avec des « implications possibles » sur tout le spectre du développement des forces ». Maintenant, le frisson a atteint mon cœur, mais je ne le laisse pas y rester plus de quelques secondes. En fait, je suis indigné par l'obscénité totale de toutes ces déclarations.

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  46. De quel genre d’« avantage stratégique » parlent ces technocrates ? Quelles sortes d’« implications possibles » pour le « spectre du développement des forces » ? Des conséquences possibles ?

    "Salut Sam, ici le centre de défense numérique automatisé de l'armée de Houston, voici vos instructions : branchez le caporal Jones et alignez-le avec la cible 371. Assurez-vous que ses appareils portables sont réglés en mode invisible et qu'il est équipé d'un "insecto-synth- capsules d'augmentation nutritive. Nous le dirigerons d'ici. Mais vous devez être attentifs à toute représailles sur le théâtre de guerre.

    Il est très instructif de constater que dans la section « contenu associé » à la fin du document MOD se trouvent les liens suivants :

    Financer l’Agenda 2030 pendant le Covid-19 et au-delà
    Agenda 2030 : atteindre les objectifs mondiaux
    La quatrième révolution industrielle
    Investir dans un monde meilleur : résultats d'une enquête britannique sur le financement des ODD (objectifs de développement durable).
    Il s’agit d’un avertissement direct pour quiconque ne parvient toujours pas à comprendre « le programme » mis en avant par la cabale mondialiste obscurément possédée. Un programme conçu pour exterminer des êtres humains chaleureux et vivants comme vous et moi et nous remplacer par un mélange d'esclaves contrôlés/hypnotisés par l'esprit et d'appareils robotiques programmés numériquement qui imitent les modèles de comportement humain élémentaires.

    Les auteurs de ce rapport devraient déjà être sur le banc des accusés pour faire progresser la mise en œuvre de crimes contre l’humanité aussi odieux. Il s’agit d’un jeu techno-militaire glacial présenté comme un aperçu scientifique partagé et même « éthique » des derniers développements en matière de déploiements de haute technologie sur les champs de bataille sous-humains – et tout cela fait partie de l’Agenda 2030 de développement durable et de la Grande Réinitialisation.

    Il ne faut pas sous-estimer les efforts déployés par cette cohorte maléfique pour réaliser ses ambitions. Rien ne l’arrêtera « volontairement ». Nous devons donc l'arrêter .

    Si nous voulons que la lumière du jour brille sur les générations futures, nous devons résolument nous engager à consacrer toutes nos énergies pour garantir la victoire de cette guerre ; donner à notre lumière les moyens de vaincre les ténèbres.

    Guerriers de la Golden Dawn – avancez !

    https://www.globalresearch.ca/human-augmentation-warfare-immediate-future/5831385

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  47. Désolé pour la chimie. Mais lisez-le quand même.

    Il s'agit d'une réaction chimique fondamentale et bien connue appelée hydrolyse d'ester – la rupture d'une liaison ester par l'eau, produisant un acide carboxylique et un alcool (figure 1).

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    Figure 1. L'hydrolyse d'un ester consiste en l'ajout d'eau à la liaison ester et au déplacement d'un alcool (R-OH), formant un acide carboxylique. Les cases rouges représentent la molécule d'eau d'origine. La ligne bleue montre la liaison qui est rompue lors de la réaction.

    Les esters de phosphate, l'épine dorsale de l'ADN et de l'ARN, peuvent également être hydrolysés. Le processus (figure 2) est conceptuellement identique à celui des esters.

    - voir schéma sur site -

    Figure 2. Hydrolyse d'un ester de phosphate. Les carrés rouges représentent la molécule d'eau d'origine. La ligne bleue hachurée montre la liaison qui est rompue lors de la réaction.

    Quel est le rapport avec l'instabilité de l'ARN et les mutations virales ? Il est temps de sortir la chimie. Désolé.

    L'assistance anchimérique (participation des groupes voisins) provoque l'autoclivage de l'ARN

    Pour des raisons qu'il vaut mieux ne pas expliquer, lorsqu'un groupe hydroxyle se trouve à cinq ou six atomes d'un ester ou d'un phosphate, ces groupes deviennent beaucoup plus réactifs et se décomposent plus facilement. Ce phénomène est appelé assistance anchimérique (ou participation des groupes voisins) et son effet est significatif (figure 3).

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    Figure 3. Comparaison des taux d'hydrolyse de deux esters. (En haut) Le groupe hydroxyle en position 5 de l'ester s'hydrolyse (se décompose) rapidement. (En bas) Lorsque le groupe hydroxyle est en position 4 de l'ester, la réaction est plus lente.

    - voir schéma sur site -

    La figure 4 illustre le concept de participation des groupes voisins. Mais pourquoi un seul atome de carbone fait-il la différence ? Cela n'a aucun sens. Sauf que c'est le cas. C'est l'une des raisons pour lesquelles les gens détestent la chimie organique. Pour chaque règle, il y a une exception. En voici une.

    Figure 4. Le 4-hydroxybutyrate de méthyle illustré dans deux conformations différentes. Les choses risquent de se gâter maintenant. Bonne chance.

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  48. Dans la figure 4, les deux figures sont simplement des représentations différentes de la même molécule. Elles sont dessinées dans des configurations différentes (pour une raison précise), mais il s'agit toujours de la même molécule.

    Vous pouvez maintenant voir (figure 5) pourquoi j'ai dessiné la molécule de cette façon. Lorsque le groupe hydroxyle (OH) se trouve à 5 atomes du groupe carbonyle, il se trouve à une distance de liaison parfaite pour réagir avec le groupe carbonyle (C=O). En revanche, lorsque les deux groupes sont séparés de 4 atomes, ils ne sont pas à une distance de liaison optimale et le groupe hydroxyle n'interagit pas avec le groupe carbonyle.

    - voir schéma sur site -

    Figure 5 (Haut) La réaction de l'ester méthylique de l'acide 4-hydroxybutyrique en gamma-butyrolactone est favorisée par le groupe hydroxyle situé à 5 atomes de distance. Tout d'abord, l'ester méthylique de l'acide 4-hydroxybutyrique réagit avec lui-même pour former le gamma-butyrolactone, qui réagit ensuite avec l'eau (ligne hachurée verte) pour compléter la réaction d'hydrolyse. Il s'agit d'un exemple de participation d'un groupe voisin. (En bas) La suppression d'un carbone dans l'exemple du haut fait une grande différence. Les groupes hydroxyle et ester sont séparés par quatre atomes, ce qui n'est pas une distance de liaison idéale. Par conséquent, le chauffage de la molécule n'entraîne pas la formation de la lactone à quatre chaînons correspondante.

    Quel est le rapport avec l'instabilité de l'ARN ?

    Beaucoup de choses. Voici pourquoi. Il s'agit à nouveau d'une assistance anachiométrique, cette fois avec du phosphore à la place du carbone (figure 6). Cet effet favorise l'autoclivage de l'ARN, ce qui explique son instabilité.

    - voir schéma sur site -

    Figure 6. Autoclivage de l'ARN. (Gauche) Comme dans la figure 5, l'ARN possède un groupe hydroxyle qui se trouve à 5 atomes (juste la bonne distance de liaison) du groupe phosphate (flèche bleue) qui maintient l'ARN (et l'ADN) ensemble. Cela favorise une réaction de cyclisation, formant un phosphate cyclique transitoire (boîte rouge) dans lequel la liaison phosphate critique (ligne hachurée rouge) a été rompue. Le fragment d'ARN qui en résulte se trouve dans l'encadré vert. (À droite) L'ADN comporte un atome d'hydrogène (cercle rouge) à la place du groupe hydroxyle de l'ARN. L'hydrogène ne participe pas à la participation des groupes voisins et n'améliore pas l'hydrolyse. C'est pourquoi l'ARN est instable par rapport à l'ADN.

    En fait, tout se résume à ceci :

    - voir schéma sur site -

    L'ADN diffère de l'ARN par un atome d'oxygène, un changement apparemment insignifiant dans une énorme molécule. Mais c'est tout ce qu'il faut pour rendre l'ARN moins stable que l'ADN, ce qui explique en partie les innombrables variants et sous-variants qui apparaissent spontanément dans le monde entier. Comme la vie elle-même, tout cela repose sur une chimie « simple ».

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  49. REMARQUE :

    ChatGPT fournit une explication intéressante sur la manière dont cette lésion particulière de l'ARN contribue à la mutation. Je n'ai pas osé l'inclure dans l'article par crainte d'un courrier haineux. Ou pire.

    « Le groupe hydroxyle 2' est directement impliqué dans le processus de réplication de l'ARN, et sa présence contribue aux taux de mutation plus élevés observés chez les virus à ARN que chez les virus à ADN. Voici comment le groupe hydroxyle 2' peut influencer la mutation... La combinaison de la réplication sujette aux erreurs et de l'absence de relecture entraîne un taux de mutation plus élevé chez les virus à ARN. Les mutations peuvent s'accumuler rapidement dans le génome viral, ce qui entraîne la création de diverses populations virales.
    _______________

    * Josh Bloom, directeur des sciences chimiques et pharmaceutiques.

    Josh Bloom, vice-président exécutif et directeur des sciences chimiques et pharmaceutiques, vient du monde de la découverte de médicaments, où il a fait de la recherche pendant plus de 20 ans. Il est titulaire d'un doctorat en chimie.

    Source : Why Do RNA Viruses (Like Covid) Mutate So Quickly? One Oxygen Atom. | American Council on Science and Health (acsh.org)

    Ma note : J'ai demandé à Monica :

    « Les virus à ARN mutent plus fréquemment que les virus à ADN en raison de la nature de l'ARN. L'ARN est une molécule plus instable et moins fiable que l'ADN, ce qui signifie qu'il est plus susceptible de subir des erreurs de copie lors de la réplication virale. De plus, les virus à ARN ont souvent des taux de réplication plus élevés que les virus à ADN, ce qui augmente encore le risque de mutations. Les mutations peuvent être bénéfiques, nuisibles ou neutres pour le virus, et peuvent affecter la façon dont il interagit avec son hôte. »

    https://seppi.over-blog.com/2023/09/pourquoi-les-virus-a-arn-comme-le-virus-de-la-covid-mutent-ils-si-rapidement-un-atome-d-oxygene.html

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    Réponses
    1. Après les rapports formels de milliers de laboratoires qui tous les jours dans le monde analysent la 'qualité de l'air' et n'ont JAMAIS trouvé trace de 'corona', 'covid19', 'Delta-Boeing', ou 'Omicron-Charlie-Bravo'. Donc, comme il n'est pas dans l'air...

      Nous connaissons toutes et tous depuis 3 ans le contenu des seringues létales grâce aux travaux de recherche des docteures Ingrid Stuckelberger et de Carrie Madej. En effet l'analyse des flacons injectables à démontré contenir de 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène ! (çà, c'est de la poussière) et puis des hydres ! des spikes ! et diverses maladies animales et une quarantaine de venins différents de serpents !! (çà, c'est pour les microbes).
      Ce cocktail a la particularité d'être plus ou moins bien accepté plus ou moins vite par les victimes qui se sont faites inoculer (profond !).
      La touche finale à brève ou moyenne échéance est: la mort.

      Donc, pour en revenir à l'article, un virus NE MUTE PAS ! Parce qu'une poussière ne peut avoir de petit, de frère ou de sœur, de cousine ou de cousin même éloigné ou d'oncle d'Amérique !
      Par contre, le microbe, lui, il attaque. On a jamais attrapé des fièvres de cheval, ni de tremblante de mouton, de diarrhée porcine ou de vache folle dans notre vie, mais si on mélange tout çà et qu'on secoue... Plus, petite cerise par dessus: des hydres !! Des sortes de blobs qui peuvent se sectionner et faire autant de blobs que de morceaux ! C'est le pouvoir de régénérescence des hydres.
      Ajoutons-y des spikes et quelques venins de serpents pour voir si on va l"appeler Monaco ou Margharita !

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  50. De plus en plus de preuves des méfaits causés par les « vaccinations » C19


    5 septembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Le week-end dernier, TKP a rendu compte d'une nouvelle façon de distinguer le prétendu long Covid des dommages beaucoup plus courants et de longue durée de la vaccination, appelés péjorativement syndrome post-vaccin. La méthode permet de déterminer assez facilement la différence entre les pics de virus et de vaccins , comme le souligne Em.O.Univ.Prof. Dr. méd. Hartmut Glossmann a rapporté.

    Ces dernières semaines, plusieurs études ont été publiées qui apportent de bonnes preuves de la nocivité de la vaccination. L’une d’elles a révélé que la vaccination contre le COVID-19 augmente la sensibilité aux infections bactériennes et virales chez les jeunes – elle affaiblit le système immunitaire. L'autre a révélé que les lésions du muscle cardiaque causées par la vaccination contre le COVID-19 sont beaucoup plus fréquentes qu'on ne le pensait auparavant - affectant une personne sur 35, soit 1 000 fois plus que le taux admis par les autorités sanitaires .

    L'étude de Carlo Brogna et al, citée par Glossmann, intitulée « Détection de la protéine Spike recombinante dans le sang des individus vaccinés contre le SRAS-CoV-2 : Mécanismes moléculaires possibles » SARS-CoV-2 : Mécanismes moléculaires possibles), la spectrométrie de masse a été utilisé pour détecter la présence d’une version de la protéine Spike Covid connue sous le nom de type PP, qui résulte spécifiquement uniquement d’une vaccination à ARNm. Les auteurs rapportent que

    « Le fragment spécifique de Spike PP a été trouvé dans 50 % des échantillons biologiques examinés, et sa présence était indépendante du titre d’anticorps IgG SARS CoV-2. Les moments minimum et maximum auxquels un pic de PP a été détecté après la vaccination étaient respectivement de 69 et 187 jours.

    Dans l’étude menée dans le sud de l’Italie, 20 sujets ont été vaccinés avec de l’ARNm, 20 n’étaient pas vaccinés (ce groupe de sujets n’avait ni Covid ni anticorps Covid), 20 autres sujets n’étaient pas vaccinés mais ont été testés positifs pour Covid. Seul le groupe vacciné a été testé positif pour la protéine de pointe PP induite par le vaccin.

    Initialement, il a été largement affirmé que la protéine Spike était produite quelques jours seulement après la vaccination, ce qui était censé suffire à stimuler une réponse immunitaire, puis disparaissait à nouveau. Cependant, aucune étude n’a soutenu ces affirmations. La nouvelle étude prouve une fois de plus que ces affirmations sont fausses. Plus de la moitié des sujets vaccinés présentaient la protéine de pointe PP tout au long de la période d’étude pouvant aller jusqu’à six mois. Les auteurs avancent la théorie suivante :

    « Il est possible que les séquences d'ARNm du vaccin soient intégrées ou transcrites dans certaines cellules ».

    Compte tenu du lien suspecté entre les lésions du muscle cardiaque et la protéine Spike, cela suggère la production continue d’une toxine cardiaque par certaines cellules génétiquement modifiées chez une forte proportion de personnes vaccinées. L’étude ayant été arrêtée au bout de six mois, il est tout à fait possible, voire probable, que l’effet dure au-delà de six mois.

    Il ne s’agit pas d’une spéculation isolée. L’année dernière, nous avons rendu compte d’ une étude intitulée « Transcription inverse intracellulaire du vaccin à ARNm Pfizer BioNTech COVID-19 BNT162b2 in vitro dans une lignée de cellules hépatiques humaines », qui a révélé cette transcription inverse du vaccin à ARNm de Pfizer in vitro (en dehors du corps humain). Nous avons désormais de bonnes raisons de soupçonner que cela se produit également au sein de notre physiologie.

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  51. Les comités nationaux de vaccination, c’est-à-dire les fervents défenseurs de la vaccination, pourraient tenter de défendre la vaccination contre le Covid en arguant que même si elle augmente certains risques, elle réduit le taux et le risque d’infections au Covid. Mais il y a un an, comme indiqué ici, une étude a été publiée dans la revue Clinical Infectious Diseases intitulée « Coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) Immunité naturellement acquise versus immunité induite par le vaccin, réinfections versus infections révolutionnaires : une rétrospective ». Étude de cohorte», dans lequel le contraire a été affirmé. Les auteurs ont rapporté que les personnes vaccinées ont un risque 13 fois plus élevé d’infection à Covid par rapport aux personnes non vaccinées qui ont acquis une immunité naturelle grâce à une infection antérieure. De plus, le groupe vacciné présentait un risque 7 fois plus élevé d’infection symptomatique au Covid nécessitant une hospitalisation par rapport aux personnes non vaccinées.

    Cela ne semble pas avoir empêché les autorités sanitaires de l’UE de se précipiter pour recommander ou autoriser de nouvelles vaccinations contre le Covid immédiatement après la découverte de nouveaux variants , sans prendre la peine d’enquêter. Le Pirola (BA.2.86) récemment découvert, une variante d’Omicron, en est un bon exemple. L' EMA accélère les approbations afin de pouvoir vendre le plus possible . Les personnes non vaccinées devraient même être attirées par le fait qu’une seule (!) vaccination suffit désormais et non plus, comme c’était le cas auparavant, trois injections comme « immunisation de base » et ensuite, comme c’est typique pour la variante, des rappels ou des « rappels ». ».

    Mais heureusement, il existe désormais une méthode permettant de distinguer les dommages causés par la vaccination du prétendu Long Covid.

    https://tkp.at/2023/09/05/immer-mehr-beweise-fuer-die-schaeden-durch-c19-impfungen/

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