Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l'Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans à travers le monde. Il enseigne dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l'auteur de Implosion – Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l'environnement et la cupidité des entreprises ; et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes : From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » ( Clarity Press – 1er novembre 2020).
Peter est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est également chercheur principal non-résident de l'Institut Chongyang de l'Université Renmin de Pékin.
Préserver les relations humaines dans un monde d’intelligence artificielle
Theodore est un écrivain solitaire qui traverse un divorce difficile. Samantha est intuitive, joyeuse et a une voix sensuelle. Leurs mondes se rejoignent, passant d’abord du stade de l’amitié à celui d’une romance intense. Ils parlent d’art, de vie et d’amour. Ils discutent, rient, se disputent et on peut même dire qu’ils ont une certaine intimité. Ils forment un couple comme les autres, à un détail près : il est de chair et d’os, « elle » est un système d’exploitation basé sur l’intelligence artificielle.
Par Juan José Murphy le 24 septembre 2023 à 7h30
Le marché global de l'Intelligence artificielle a atteint 383,3 milliards de dollars en 2021.
L'intrigue du film « Her » de Spike Jonze, sorti en 2013 et interprété par Joaquin Phoenix, et la voix de Scarlett Johansson, soulevait des questions avant-gardistes pour l’époque. Aujourd’hui la pertinence est plus frappante : peut-on humaniser une « machine » au point d’en tomber amoureux ? Au fur et à mesure des progrès technologiques, serons-nous tentés d’anthropomorphiser de plus en plus l’intelligence artificielle ? Réduirons-nous notre condition humaine à nos simples besoins, seulement pour les satisfaire grâce à des algorithmes mathématiques ?
Si nous parlons des utilisations quotidiennes de l’IA, il n’y a rien de mal à ce qu’une plateforme de streaming nous suggère un bon film à regarder ou à ce que nous passions du temps à scroller des vidéos et réels sur les réseaux sociaux. Mais cela devient problématique lorsqu’une dépendance se crée, donnant au cerveau des récompenses instantanées qui satisfont nos désirs de consommation et de satisfaction primaire. Le contenu est présenté comme apparemment gratuit et accessible à tout moment et en tout lieu. L'objectif de l'IA sur les réseaux sociaux est de charmer nos yeux et nos oreilles afin que nous passions de plus en plus de temps à consommer, nous transformant ainsi en automates numériques.
L'IA occupe et continuera d'occuper une place utile dans de nombreux domaines de notre vie. Cependant, il est important de prendre conscience des risques que comporte une dépendance excessive à l'égard de la technologie. L'objectif n'est pas de cesser d'utiliser l'IA, mais de l'humaniser et de l'utiliser pour améliorer notre qualité de vie.
Des leaders comme Tristan Harris, Elon Musk ou Yuval Noah Harari mettent en garde contre les risques de l'évolution de l'IA et présentent des scénarios pertinents pour générer une prise de conscience et gagner la bataille culturelle. Ils font appel au choc car ils veulent anticiper les potentiels effets dévastateurs de l'IA, non seulement en termes de cybersécurité mais aussi dans son incidence néfaste sur les relations sociales et la déshumanisation de l'utilisateur qui en découle, si rien n’est fait pour mieux la contrôler.
Imaginons un futur pas si lointain où nous vivrons tous avec un avatar virtuel. Une sorte de meilleur ami ou partenaire qui nous ressemble physiquement, qui nous parle comme nous le voulons, qui est toujours de bonne humeur, disponible 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 pour nous écouter et répondre à toutes nos questions, et qui a les mêmes centres d'intérêt que nous, comme dans le film Her. Pourquoi créer des liens physiques quand des avatars peuvent remplir cette fonction ? Peut-on être ami avec une machine ? La réponse est peut-être oui, mais il est important de se poser la question à temps et de comprendre les risques liés à ce type de relations avec l'IA.
Le confort peut être un obstacle à notre esprit critique, à notre capacité à approfondir des questions importantes, à interagir avec d'autres personnes et à nous développer en tant qu'êtres sociaux. L'intelligence artificielle peut parfois être antinomique à ces besoins fondamentaux.
Il est donc essentiel de parler de ce sujet dans les environnements familiaux, les salles de classe, les forums d'entreprises et les espaces politiques. Les entreprises qui travaillent au développement de l'IA ont également un rôle fondamental à jouer dans ce processus.
Nous devons sensibiliser la société aux chamboulements que va apporter l'intelligence artificielle et promouvoir les bonnes pratiques. Bien qu'il existe déjà des initiatives, telles que le Center for Humane Technology, qui vont dans ce sens, il reste encore beaucoup à faire.
La bonne nouvelle, c'est que nous avons encore le temps d'agir. Fut un temps où nous avons arrêté de fumer dans les avions et les espaces clos, réalisant que le tabac était toxique. Nous nous sommes habitués à utiliser la ceinture de sécurité dans les voitures lorsque nous avons compris que notre vie était en danger si nous ne le faisions pas. Le temps viendra donc où nous comprendrons que l'intelligence artificielle doit déshumaniser la machine pour humaniser la personne.
Nous sommes toutes & tous entourés depuis longtemps de machines, de frigos qui travaillent 24/24 h, de voitures disponibles elles aussi 24/24 h, et même des intermittentes du spectacle qui peuvent faire du café ou laver le linge. Oui mais est arrivée la voix ! Pareil que celle du téléphone mais qui sort du frigo, du four, des placards ou de sous la table pour annoncer qu'il faut aller faire les courses, prendre un parapluie, s'habiller chaudement, etc, etc comme un chien qui remue la queue. Bon, cette fois ce n'est pas le chien mais une boite qui écoute et parle. Mais, comme c'est un PROGRAMME il ne vous dira JAMAIS la vérité sur les pays en dictature et le pays seul au monde à être en Démocratie ! Ni ne vous répondra sur la vérité du '11 Septembre' ou celle de la poussière 'corona'. Et, comme les gosses sont friands de découvertes, il apprendront grâce à l''I.A.' qu'un rond est carré et qu'un carré est un rond ! Un gros rond comme lui !
Ne vous faites plus enculer ! ENCULEZ VOUS VOUS-MÊME ! Grâce à l'I.A. que vous avez acheté ou reçu à noel vous allez être 100 % VOTRE dictateur ! Whoâw ! VOTRE bourreau ! et VOTRE croque-mort !
WEF : L’IA mettra fin à la domination humaine dans « cinq ans ».
23 septembre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
Deux hauts responsables du WEF se sont assis pour une interview avec le magazine The Economist pour discuter de l'essor des machines contrôlées par l'IA. Mustafa Suleyman, co-fondateur de la société de technologie d'IA Google DeepMind, et Yuval Noah Harari, conseiller principal du WEF et de son fondateur Klaus Schwab, ont discuté de l'avancée de l'intelligence artificielle dans cinq ans. Suleyman, architecte de l'agenda du WEF et membre clé du « comité directeur » de Schwab, a prédit que d'ici cinq ans, l'IA remplacera bon nombre des tâches quotidiennes normalement effectuées par les humains aujourd'hui.
À titre d’exemple, il a déclaré que l’IA passerait et recevrait des appels téléphoniques pour conclure des accords avec des humains et d’autres machines. Süleyman était heureux que l’IA puisse remplacer les humains dans « de très nombreux domaines de notre économie ».
Après avoir entendu les prédictions de Süleyman, Harari a souri jusqu'aux oreilles lorsqu'on lui a demandé si la prédiction l'avait rempli d'« horreur ».
« C’est la fin de l’histoire de l’humanité », a déclaré Harari, un ardent défenseur du transhumanisme. « Pas la fin de l’histoire – la fin de l’histoire dominée par l’homme. »
En d’autres termes, les projets futurs du WEF visent à garantir que les humains ne seront plus la force vitale dominante sur Terre. Harari, qui se décrit comme un philosophe futuriste, estime que la technologie de l’IA est l’un des moteurs de sa vision d’une catastrophe dystopique.
Il parle souvent d’humains fusionnant avec des machines et finalement dominés par elles. Ses livres explorent également les projets d’un monde biotechnologique futuriste dans lequel les organismes biologiques intelligents seraient dépassés par leurs propres créations.
« L'Homo sapiens tel que nous le connaissons disparaîtra d'ici un siècle environ », a-t-il prédit. Il a affirmé l’année dernière que le « changement climatique » créerait sur Terre une « arche de Noé technologique » qui ne profiterait qu’aux « élites ».
Mustafa Suleyman est un chercheur et entrepreneur britannique en intelligence artificielle, co-fondateur et ancien responsable de l'IA appliquée chez Google DeepMind.
Il est actuellement co-fondateur et PDG d'Inflection AI, un studio d'IA, et développeur de Pi. L'équipe d'Inflection comprend certains des meilleurs experts en IA du secteur, qui ont déjà travaillé chez DeepMind, Google, Meta, Microsoft et OpenAI.
Suleyman est également membre du conseil d'administration de The Economist et membre du comité directeur de l'AI Governance Alliance du WEF, fondée en juin.
Lorsqu'on lui a demandé à quoi ressemblerait la vie des gens dans cinq ans, Suleyman a déclaré : « Ceux d'entre nous qui sont à l'avant-garde et qui forment les plus grands modèles d'IA formeront des modèles qui sont plus de mille fois plus grands que ce que nous voyons aujourd'hui… nous le ferons. voir une IA performante dans les cinq prochaines années.
« Des IA qui peuvent non seulement dire quelque chose, mais aussi faire quelque chose. »
Il a décrit sa vision dystopique d’un monde dans lequel l’IA téléphonerait à « d’autres humains » pour négocier et appeler d’autres IA afin de déterminer le bon ordre dans une chaîne d’approvisionnement.
L'IA pourra utiliser des interfaces de programmation d'application (API), des logiciels qui gèrent les transferts de données entre les systèmes, afin de pouvoir communiquer avec des sites Web, des bases de connaissances et des banques d'informations.
Après que Soliman ait exposé sa vision, Harari a déclaré : « …pour moi, ce que nous venons d’entendre est la fin de l’histoire humaine.
« Ce n’est pas la fin de l’histoire – la fin de l’histoire dominée par l’homme.
« L’histoire continuera lorsque quelqu’un d’autre prendra le contrôle. » Il est intéressant que Harari ait dit que « quelqu'un d'autre contrôle ».
L’utilisation de « quelqu’un » au lieu de « quelque chose » était-elle destinée à faire référence à ceux qui contrôleront la technologie ? De même, Süleyman a fait référence à une « IA capable » qui communique avec « d’autres personnes ».
L’idée de fusionner les personnes et les machines est souvent promue par Harari et le WEF.
Bien sûr si vous commencez à parler à votre cafetière "FAIS DU CAFÉ !", ou à votre voiture "METS TOI EN MARCHE !", ou à votre femme "SUZANNE OUVRE-TOI !" dans moins de 5 ans vous êtes à l'hosto !
Car... LIA est capable de répondre à toutes vos questions ! "Est-ce qu'il y a un con ici ?" "Oui !" "Dis-moi son nom !"...
Armement et « augmentation humaine » : « Détruire l’âme de l’humanité ». La guerre du futur immédiat ?
Collaboration des gouvernements allemand et britannique sur les exosquelettes militaires et le génie génétique
Par Julien Rose Recherche mondiale, 23 septembre 2023
Nous devons avoir le courage d'affronter nos ennemis. Je pense que la plupart des lecteurs de cet article savent déjà que l’élément psychotique de la race humaine, qui a réussi à s’établir au sommet de la pyramide de contrôle, ne reculera devant rien pour obtenir ce qu’il veut.
Cette « voie » consiste à détruire l’âme de l’humanité et à détruire au bulldozer toutes les expressions de la nature, à l’exception des plus élémentaires.
Ce que je dois rapporter aujourd’hui a échappé à mon attention jusqu’à très récemment, mais ne correspond malheureusement que trop bien à la description ci-dessus.
Le 13 mai 2021, le ministère de la Défense et des Forces armées (MOD) du gouvernement britannique a publié un document intitulé « Augmentation humaine – l'aube d'un nouveau paradigme » . Ce titre à lui seul m’a fait frissonner le dos ; mais ce frisson s'est prolongé à la lecture du premier paragraphe.
« Le Centre de développement, de concepts et de doctrine a travaillé en partenariat avec le Bureau de planification de défense de la Bundeswehr allemande pour comprendre les implications futures de l'augmentation humaine, jetant ainsi les bases d'une recherche et d'un développement de défense plus détaillés ».
- voir cadre sur site -
Capture d'écran du MOD
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Capture d'écran du MOD
Pourquoi un lien entre la Bundeswehr allemande et le ministère britannique de la Défense a-t-il provoqué un long frisson dans mon corps ?
Ensuite, nous apprenons que
"Le projet intègre des recherches menées par des spécialistes de la défense allemands, suédois, finlandais et britanniques pour comprendre comment les technologies émergentes d'augmentation humaine pourraient affecter l'avenir de la société, de la sécurité et de la défense."
Eh bien, sommes-nous censés croire que ces « spécialistes de la défense » se réunissent pour faire une étude détachée de l'état de l'art des êtres humains repensés pour devenir des armes instantanées sur le champ de bataille ?
Pas probable! Il s'agit d'une description d'une collaboration conçue pour exploiter le potentiel optimal de ces bipèdes cyborgiens kamikazes, afin d'être à la pointe du matériel militaire offensif dans un avenir très proche.
Nous lisons la suite
« Les technologies d’augmentation humaine offrent un large éventail d’opportunités pour aujourd’hui et pour l’avenir. Il s’agit de technologies matures qui pourraient être intégrées aujourd’hui avec des considérations politiques gérables, telles que la nutrition personnalisée, les appareils portables et les exosquelettes.
De quoi parlent-ils, nom de Dieu ?
Les lecteurs de ce document du gouvernement britannique sont-ils censés savoir ce que sont réellement la « nutrition personnelle », les « appareils portables » et les « exosquelettes » ?
Gardez à l’esprit que ceci a été écrit au milieu du grand canular du Covid. Cela ne sonne-t-il pas quelque chose d’aussi diabolique ?
Mais attends, ça devient pire
"Il existe d'autres technologies à l'avenir avec des promesses d'un plus grand potentiel, comme le génie génétique et les interfaces cerveau-ordinateur."
D'accord merci. Vous nous avez maintenant présenté une description claire de ce qui nous attend dans une langue que la plupart peuvent comprendre. Les caporaux armés en première ligne de la guerre avec… la Chine ?… la Russie ? seront des transhumains programmés par ordinateur – le joyau de la couronne de la grande réinitialisation de Klaus Schwab , la quatrième révolution industrielle. On aurait pu le deviner.
Mais bon, jetez juste un oeil à la prochaine révélation
« Les implications éthiques, morales et juridiques de l’augmentation humaine sont complexes et difficiles à prévoir et un engagement régulier sur ces questions doit être soigneusement pris en compte. »
Difficile de prévoir ? Seulement si vous êtes un démon profondément psychotique, aveugle et insensible, déguisé en être humain.
Le document se termine par la déclaration suivante
« L’augmentation humaine pourrait signaler l’arrivée d’une nouvelle ère d’avantage stratégique avec des implications possibles sur tout le spectre du développement des forces. »
« Une nouvelle ère d'avantage stratégique avec des « implications possibles » sur tout le spectre du développement des forces ». Maintenant, le frisson a atteint mon cœur, mais je ne le laisse pas y rester plus de quelques secondes. En fait, je suis indigné par l'obscénité totale de toutes ces déclarations.
De quel genre d’« avantage stratégique » parlent ces technocrates ? Quelles sortes d’« implications possibles » pour le « spectre du développement des forces » ? Des conséquences possibles ?
"Salut Sam, ici le centre de défense numérique automatisé de l'armée de Houston, voici vos instructions : branchez le caporal Jones et alignez-le avec la cible 371. Assurez-vous que ses appareils portables sont réglés en mode invisible et qu'il est équipé d'un "insecto-synth- capsules d'augmentation nutritive. Nous le dirigerons d'ici. Mais vous devez être attentifs à toute représailles sur le théâtre de guerre.
Il est très instructif de constater que dans la section « contenu associé » à la fin du document MOD se trouvent les liens suivants :
Financer l’Agenda 2030 pendant le Covid-19 et au-delà Agenda 2030 : atteindre les objectifs mondiaux La quatrième révolution industrielle Investir dans un monde meilleur : résultats d'une enquête britannique sur le financement des ODD (objectifs de développement durable). Il s’agit d’un avertissement direct pour quiconque ne parvient toujours pas à comprendre « le programme » mis en avant par la cabale mondialiste obscurément possédée. Un programme conçu pour exterminer des êtres humains chaleureux et vivants comme vous et moi et nous remplacer par un mélange d'esclaves contrôlés/hypnotisés par l'esprit et d'appareils robotiques programmés numériquement qui imitent les modèles de comportement humain élémentaires.
Les auteurs de ce rapport devraient déjà être sur le banc des accusés pour faire progresser la mise en œuvre de crimes contre l’humanité aussi odieux. Il s’agit d’un jeu techno-militaire glacial présenté comme un aperçu scientifique partagé et même « éthique » des derniers développements en matière de déploiements de haute technologie sur les champs de bataille sous-humains – et tout cela fait partie de l’Agenda 2030 de développement durable et de la Grande Réinitialisation.
Il ne faut pas sous-estimer les efforts déployés par cette cohorte maléfique pour réaliser ses ambitions. Rien ne l’arrêtera « volontairement ». Nous devons donc l'arrêter .
Si nous voulons que la lumière du jour brille sur les générations futures, nous devons résolument nous engager à consacrer toutes nos énergies pour garantir la victoire de cette guerre ; donner à notre lumière les moyens de vaincre les ténèbres.
Guerriers de la Golden Dawn – avancez !
*
Julian Rose est l'un des premiers pionniers de l'agriculture biologique au Royaume-Uni, écrivain, animateur et activiste international. Il est l'auteur de « Surmonter l'esprit robotique », « Pour la défense de la vie » et « Solutions créatives pour un monde en crise ». Pour plus d'informations, consultez son site www.julianrose.info
VÉRIFICATION DES FAITS : Certains vaccins contre la grippe contiennent encore du thimérosal (mercure), une « neurotoxine puissante »
22/09/2023 Ethan Huff
On croit souvent, à tort, que le thimérosal, un ingrédient vaccinal à base de mercure, a été complètement éliminé de tous les vaccins. La vérité est que le thimérosal est encore présent dans certains vaccins contre la grippe, notamment ceux administrés spécifiquement aux femmes enceintes, aux nourrissons et aux enfants. Malgré des centaines d'études montrant que le thimérosal est extrêmement nocif pour l'homme, divers autres vaccins en flacons multidoses – c'est-à-dire ceux qui sont prélevés individuellement avec des aiguilles sur place à partir d'un lot plus important – contiennent également du thimérosal en quantités allant jusqu'à 20 microgrammes (mcg ).
"Le CDC a créé l'illusion qu'ils supprimaient le thimérosal des vaccins entre 2001 et 2003 en abandonnant volontairement son utilisation comme conservateur dans les vaccins HepB, HiB et DTaP", prévient Brian Hooker, directeur scientifique de Children's Health Defense. , à propos du tour de passe-passe réalisé par les Centers for Disease Control and Prevention.
"Cependant, il a été réintroduit dans le calendrier de vaccination prénatale/nourrisson/enfant via le vaccin contre la grippe en même temps. En 2004, le CDC a indiqué que le vaccin contre la grippe contenant du mercure pouvait être administré au cours de n'importe quel trimestre de la grossesse, ce qui signifie que les enfants en développement l'embryon/le fœtus pourrait être exposé à 25 microgrammes de mercure.
(Connexe : En 2013, les Nations Unies ont envisagé d'adopter un nouveau traité pour interdire l'utilisation du thimérosal et d'autres ingrédients contenant du mercure dans les vaccins.)
S’il est prouvé que le mercure est destructeur pour l’homme, pourquoi est-il toujours autorisé en « médecine » ? Développé dans les années 1930 comme conservateur de vaccins, le thimérosal contient environ 50 % de mercure en poids et produit ce qu'on appelle l'éthylmercure comme métabolite. L’éthylmercure est ensuite transformé en mercure inorganique une fois à l’intérieur du corps, où il s’accumule ensuite principalement dans le cerveau et les reins.
L'Environmental Protection Agency (EPA) admet que le mercure est extrêmement toxique. L'exposition à ce produit peut nuire au cerveau, au cœur, aux reins, aux poumons et au système immunitaire. Et pourtant, les agences de santé américaines comme le CDC et la Food and Drug Administration (FDA) continuent d’autoriser son utilisation dans certains vaccins.
« Lorsqu'il s'agit de différentes formes de mercure, le mercure organique est plus toxique que le mercure inorganique – qui est du mercure combiné à d'autres éléments », note Megan Redshaw, écrivant pour The Epoch Times.
Selon Hooker, également titulaire d'un doctorat en génie biochimique, le mercure sous toutes ses formes est « une neurotoxine puissante qui détruira les neurones (via la démyélinisation) au contact ».
Le méthylmercure, présent principalement dans les poissons contaminés et dans les vapeurs de mercure, est considéré comme l'une des substances non radioactives les plus toxiques connues de l'homme. Et des études montrent que l’éthylmercure est fondamentalement tout aussi toxique, malgré les affirmations contraires de l’establishment.
"Le méthylmercure et l'éthylmercure sont les formes d'exposition les plus répandues chez les fœtus, les nouveau-nés, les jeunes enfants et les femmes enceintes et allaitantes", prévient en outre Redshaw.
Avant que le thimérosal ne soit retiré de la plupart des vaccins du calendrier des CDC, il était inclus dans plus de 30 injections différentes approuvées par la FDA. Lorsque tel était le cas, l’enfant moyen qui recevait le programme d’injection absorbait également au moins 200 mcg d’éthylmercure au cours de ses six premiers mois de vie – aïe !
Le CDC affirme à tort que « le corps élimine facilement le thimérosal » et qu’il « ne reste pas longtemps dans le corps ». L'agence fédérale insiste également sur le fait que le thimérosal a la réputation d'être « très sûr », même si plus de 75 ans de recherches scientifiques et d'études indépendantes montrent le contraire.
"Le mercure est le deuxième élément naturel le plus toxique de la planète", explique Hooker. "Il est absurde de l'inclure comme additif dans un vaccin."
Il n’y a jamais de bonne raison de se faire vacciner contre la grippe – ou contre toute autre maladie, d’ailleurs. Apprenez-en davantage sur ChemicalViolence.com.
Une étude révèle que l’ARNm contenu dans les vaccins contre la COVID-19 finit dans le lait maternel malgré l’insistance des autorités pour qu’il reste dans le bras
22/09/2023 Cassie B.
Une nouvelle étude a révélé que l'ARNm des vaccins contre la COVID se retrouve dans le lait maternel, prouvant une fois de plus que les autorités sanitaires avaient complètement tort lorsqu'elles insistaient sur le fait que ces vaccins étaient parfaitement sans danger pour les mères qui allaitent et que l'ARNm restait dans le bras et ne voyageait pas. à travers le corps.
C’est le résultat d’une étude publiée dans la revue médicale britannique Lancet. Pour l’étude, les chercheurs ont collecté des échantillons de lait maternel auprès de 13 femmes en bonne santé en post-partum avant et après avoir reçu des vaccins à ARNm contre la COVID-19. Ils ont découvert que 10 des échantillons contenaient de l’ARNm jusqu’à 45 heures après avoir reçu le vaccin. Alors que les auteurs de l’étude ont tenu, sans surprise, à déclarer qu’ils estimaient que les vaccins étaient importants pour lutter contre la maladie, ils se sont ensuite lancés dans une longue mise en garde concernant leur utilisation chez les mères qui allaitent.
« Même si nous pensons que l’allaitement après la vaccination par ARNm est sans danger, un dialogue entre une mère qui allaite et son prestataire de soins de santé devrait aborder les considérations avantages/risques de l’allaitement au cours des deux premiers jours suivant la vaccination maternelle par ARNm. »
Ils ont ajouté que leurs découvertes pourraient également s’appliquer aux futurs vaccins à ARNm. Ils ont ajouté : « L’importance de cette recherche s’étend au-delà de la portée des vaccins à ARNm contre la COVID-19. Les résultats fournissent des informations précieuses sur le transport et la présence de l’ARNm du vaccin dans le lait maternel, ce qui peut être pertinent pour évaluer l’innocuité et l’efficacité des futures thérapies à base d’ARNm administrées aux femmes qui allaitent.
Ce n’est pas la première étude à parvenir à cette conclusion ; une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association en 2022 a également trouvé des traces d'ARNm dans le lait maternel chez les femmes vaccinées.
Malheureusement, de nombreuses femmes ont été induites en erreur sur ce fait, le gouvernement ayant rapidement imposé ces vaccins aux femmes et les assurant qu'elles étaient sans danger, malgré l'absence de preuves scientifiques à l'appui de cette affirmation. Le CDC, l’American College of Obstetrics and Gynecology et de nombreux médecins ont insisté sur le fait que l’ARNm resterait dans le bras autour du site de vaccination. Pire encore, Facebook et d’autres plateformes de médias sociaux ont censuré les personnes qui remettaient en question cette affirmation et d’autres, ainsi que celles qui tentaient de partager la preuve que ce n’était peut-être pas aussi sûr qu’on le prétendait.
En réponse à la dernière étude, Jason Bassler du Free Thought Project a écrit sur X : « Il s'avère que les « experts » qui nous ont dit que « le vaccin reste dans le bras » avaient tort. Une nouvelle étude publiée dans le Lancet a révélé la présence du vaccin C-19 dans le lait de 10 mères sur 13 femmes allaitantes analysées. J'ai fait l'objet d'une vérification des faits et j'attends des excuses.»
Les femmes sont tenues dans l’ignorance quant à la présence d’ARNm dans le lait maternel Même maintenant que les scientifiques ont prouvé que l’ARNm passe effectivement dans le lait maternel, la page d’information du CDC recommande toujours aux femmes de se faire vacciner, en déclarant : « La vaccination contre le COVID-19 est recommandée à toutes les personnes âgées de 6 mois et plus. Cela inclut les personnes enceintes, qui allaitent, qui tentent de tomber enceintes maintenant ou celles qui pourraient tomber enceintes à l’avenir.
Même si certains experts ont déjà tenté de minimiser ces résultats, il n’en reste pas moins que l’on ne sait toujours pas quels sont les effets à long terme de ces vaccins, surtout lorsque les bébés sont exposés à l’ARNm à des stades aussi délicats de leur développement. Il faudra peut-être des années, voire des décennies, pour que les effets soient pleinement connus, et de nombreuses mères ne sont peut-être pas disposées à prendre un tel risque avec la vie de leur bébé.
Malheureusement, les résultats de ces études vaccinales sont minimisés et censurés, ce qui signifie que certaines femmes n’auront pas accès aux informations dont elles ont besoin pour prendre des décisions intelligentes et éclairées concernant la santé de leur enfant.
Des chercheurs expriment leur CHOC après avoir appris que le « vaccin » à ARNm COVID de Pfizer contient une contamination par l’ADN
22/09/2023 Ethan Huff
Dans un récent témoignage devant un comité ad hoc des affaires médicales du Sénat de Caroline du Sud, Phillip Buckhaults, expert en génomique du cancer et professeur à l'Université de Caroline du Sud, a révélé que le « vaccin » à ARNm de Pfizer contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) est contaminé par des milliards de minuscules ADN. fragments.
Selon Buckhaults, titulaire d'un doctorat en biochimie et biologie moléculaire, "il existe un danger très réel" avec ces fragments d'ADN étrangers car ils ont la capacité de s'insérer dans le génome d'une personne et de devenir "un élément permanent de la cellule".
Ce processus de modification génétique (OGM) pourrait expliquer pourquoi de nombreuses personnes « entièrement vaccinées » développent ce que Buckhaults a décrit comme « des effets secondaires rares mais graves comme la mort par arrêt cardiaque ».
Buckhaults, qui est lui-même triplement impliqué avec Pfizer, a précédemment qualifié la technologie de la plate-forme d'ARNm de « révolutionnaire », affirmant qu'elle a sauvé de nombreuses vies.
"Je suis un vrai fan de cette plateforme", a déclaré Buckhaults devant une salle remplie de politiciens. "Je pense qu'elle a le potentiel de traiter les cancers. Je crois vraiment que cette plateforme est révolutionnaire. De votre vivant, il y aura des vaccins à ARNm contre les antigènes de votre cancer unique. Mais ils doivent résoudre ce problème."
(En relation : les injections COVID nouvellement approuvées de Pfizer n’ont jamais été testées sur des humains, uniquement sur des souris – et seulement huit souris.)
Vérification des faits : les « vaccins » contre la COVID modifient de façon permanente l’ADN, transformant les humains en êtres hybrides OGM La plus grande préoccupation de Buckhaults concerne "le risque théorique très réel de cancer futur chez certaines personnes, selon l'endroit où ce morceau d'ADN étranger atterrit dans le génome, il peut interrompre un gène suppresseur de tumeur ou activer un oncogène", a-t-il expliqué.
"Je suis un peu alarmé par la présence de cet ADN dans le vaccin... L'ADN est un dispositif de stockage d'informations à longue durée de vie. C'est ce avec quoi vous êtes né, avec lequel vous allez mourir et le transmettre à vos enfants... Donc les altérations de l’ADN… eh bien, elles persistent. »
En d’autres termes, comme de nombreuses personnes l’ont prévenu, les injections de COVID réécrivent l’ADN humain et transforment un être humain en un être hybride génétiquement modifié au niveau génétique.
Une fois injecté et que les produits chimiques opèrent leur « magie », l’ADN d’une personne entièrement vaccinée n’existera plus jamais sous sa forme naturelle. Cela inquiète Buckhaults, qui a exhorté ses amis et les membres de sa famille à se faire injecter avant de divulguer à contrecœur cette information accablante.
Même si Buckhaults estime que les vaccins ont été produits de bonne foi, il estime également que la panique et l'hystérie entourant la « pandémie » ont entraîné « de nombreux raccourcis » pour injecter les injections dans les bras des gens à une vitesse vertigineuse.
Citant le rasoir de Hanlon, Buckhaults a déclaré que ce que certains pourraient attribuer à la malveillance, dans ce cas, « peut mieux s'expliquer par l'incompétence ».
"Il pourrait y avoir de la malveillance en dessous", a admis Buckhaults, "mais j'essaie de voir simplement de l'incompétence pour être aimable."
Deux processus de fabrication différents ont été utilisés pour fabriquer l'injection Pfizer : l'un étant la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour amplifier la matrice d'ADN utilisée pour la production d'ARNm, et l'autre étant une version améliorée du premier processus pour amplifier davantage l'ARNm et obtenir les vaccins produits le plus rapidement possible.
Selon le Brownstone Institute, ce deuxième processus d'amplification utilise des bactéries pour générer de grandes quantités de « plasmides d'ADN » ou d'instructions circulaires d'ADN. En conséquence, le produit final est contaminé à la fois par l’ADN plasmidique et l’ARNm.
Pfizer a tenté de résoudre ce problème en insérant des enzymes DNAse pour découper le plasmide en millions de minuscules fragments, ce qui n'a fait qu'aggraver le problème.
"[Pfizer] les a découpés pour tenter de les faire disparaître, mais ils ont en fait augmenté le risque de modification du génome au cours du processus", a déclaré Buckhaults.
"Je ne pense pas qu'il y ait eu quelque chose de néfaste ici. Je pense juste que c'était une sorte d'oubli stupide. Ils n'ont tout simplement pas pensé au danger de la modification du génome... ce n'est pas si coûteux d'ajouter un autre processus pour l'obtenir. dehors."
Les injections de COVID sont des injections mortelles. Apprenez-en davantage sur ChemicalViolence.com.
Avant qu’ils n’effacent cette Histoire: Un groupe documente les histoires des victimes du protocole Covid
Dans un entretien exclusif avec The Defender, Carolyn "CC" Blakeman, directrice des médias et coordinatrice du groupe de travail de la FormerFedsGroup Freedom Foundation, a décrit la mission du groupe, qui consiste à soutenir les personnes dont les membres de la famille ont été blessés ou sont décédés à cause des protocoles Covid-19 de l'hôpital et à intenter une action en justice en leur nom.
Par Michael Nevradakis Mondialisation.ca, 23 septembre 2023
Pour Carolyn “CC” Blakeman, directrice des médias et coordinatrice du groupe de travail de la Fondation pour la liberté du FormerFedsGroup (FFFF), ce sont les expériences de la vie qui l’ont amenée à défendre le protocole hospitalier du COVID-19 et les victimes de vaccins.
“J’ai commencé parce que j’ai perdu une fille en 1995. Elle a été tuée”, a déclaré Mme Blakeman. “Lorsque la pandémie de Covid-19 a été annoncée, l’idée de perdre un être cher m’a terrifiée.
Dans une interview exclusive accordée au Defender, Mme Blakeman a déclaré : “Les journaux télévisés nous ont tous terrifiés”, faisant référence aux compteurs de morts, aux camions frigorifiques et aux affirmations sur le nombre de personnes qui allaient mourir du virus. “J’étais déjà un blogueur politique, alors j’ai fait des recherches approfondies sur ce virus et sur ce que les autres pays utilisaient pour traiter leurs patients atteints du Covid.
Selon Mme Blakeman, ses recherches l’ont amenée à découvrir que d’autres pays utilisaient “des traitements précoces efficaces, mais qu’on nous les refusait”. Ces traitements comprenaient l’ivermectine et l’hydroxychloroquine.
Mais lorsque Mme Blakeman a tenté de faire connaître ces traitements en ligne, elle s’est aperçue que ses blogs étaient supprimés.
Je me suis dit : “Il s’agit d’un médicament vieux de 40 ans qui a reçu le prix Nobel. Pourquoi ne me laisse-t-on pas écrire sur l’ivermectine ?”, se souvient-elle.
Lorsqu’elle et son mari ont attrapé le Covid-19 en novembre 2020, ils ont immédiatement pris de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine. “Nous avons eu des symptômes pendant trois heures et c’est tout”, a-t-elle déclaré. Je me suis dit : “Mon Dieu, ils sont en train de tuer des gens !”.
Plusieurs membres de la famille proche de Mme Blakeman ont été blessés après avoir reçu les vaccins COVID-19, notamment par des problèmes cardiaques, des neuropathies et des vertiges.
C’est cette série d’événements qui a poussé Mme Blakeman à passer à l’action et à rejoindre la FFFF en tant que bénévole à plein temps. La fondation, créée en 2016, a commencé à “se concentrer strictement sur les crimes contre l’humanité liés à la pandémie de Covid-19”, a-t-elle déclaré.
Dans son interview, Mme Blakeman a décrit le travail effectué par la FFFF au nom des victimes du vaccin Covid-19 et des protocoles hospitaliers, notamment les actions en justice, les efforts visant à obtenir le rappel des vaccins Covid-19, le soutien aux dénonciateurs des hôpitaux, la publication des récits des victimes, la formation de groupes de soutien et l’organisation de campagnes visant à sensibiliser l’opinion publique.
Documenter les récits des victimes avant que “cette partie de l’histoire ne soit effacée”. La FFFF déclare que sa mission est de “restaurer l’Amérique et le monde occidental dans les conditions existantes et considérées comme normales avant l’émergence de la crise pandémique et des mandats inconstitutionnels qui l’ont accompagnée”.
Dans ce cadre, le groupe affirme qu’il exposera le “protocole de mort” de la FDA (Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux) pour ce qu’il est”, et “aidera les gens à affirmer leur droit légal de refuser de se soumettre aux mandats de vaccination et de test nuisibles du Covid-19” et “appellera à un arrêt” de l’utilisationd’un passeport vaccinal” et des systèmes d’identification numérique draconiens”.
Plusieurs des membres de la FFFF sont d’anciens agents fédéraux et procureurs, selon le groupe, qui déclare que “beaucoup de nos anciens fédéraux sont ‘anciens’ parce qu’ils ont été les témoins directs de la corruption de nos systèmes les plus fondamentaux et sont devenus par la suite des objecteurs de conscience”.
Le groupe a également lancé le Covid-19 Humanity Betrayal Memory Project (CHBMP) (Projet à la mémoire de l’Humanité trahie), décrit comme un effort pour développer “la plus grande ressource en ligne au monde pour les informations concernant les victimes individuelles et l’effort concerté pour refuser à des êtres humains un traitement médical sûr et disponible”.
“Nous savions que nous devions documenter les expériences de ces gens avec les protocoles hospitaliers et les blessures par vaccins avant qu’elles ne se fassent effacer de l’histoire”, a déclaré Mme Blakeman. “Il faut que ces personnes soient documentées, afin que nous puissions nous souvenir de ce qui s’est passé, faire en sorte que cela ne se reproduise plus jamais, et nous souvenir d’elles.
Mme Blakeman a expliqué comment le site Web a été créé à partir d’entretiens avec des membres de familles de personnes décédées à l’hôpital ou blessées par le vaccin.
“Au fur et à mesure que nous enregistrions des témoignages, nous avons constitué un dossier qui s’est transformé en notre projet COVID-19 Humanity Betrayal Memory Project, qui compte plus d’un millier d’histoires et qui continue de s’enrichir”, a-t-elle déclaré.
“Notre réseau de victimes est très étroit”, a déclaré Mme Blakeman. La FFFF compte sept enquêteurs et a mis en place des présidents et des coprésidents dans chaque État. Chaque État dispose de son propre site web du CHBMP, où sont hébergés les récits des victimes de cet État.
Les poursuites judiciaires franchissent les premiers obstacles de la loi PREP La FFFF est désormais impliquée dans un certain nombre de procès, d’actions en justice et d’efforts de lobbying à travers les États-Unis. Selon Mme Blakeman, la FFFF travaille avec une vingtaine d’avocats. Au total, “nous avons déposé environ 70 dossiers dans tout le pays”, a déclaré Mme Blakeman.
Certains de ces procès ont été intentés au nom de victimes de protocoles hospitaliers dans le cadre de la loi PREP (Public Readiness and Emergency Preparedness Act). Selon Mme Blakeman, “trois d’entre eux ont franchi la première étape de la loi PREP”.
En vertu de la loi PREP, l’immunité de responsabilité pour les vaccins Covid-19 sera maintenue au moins jusqu’en décembre 2024.
“Ils n’intentent pas de procès pour faute médicale”, a déclaré Mme Blakeman. “Ils déposent une plainte pour fraude présumée parce que le fiduciaire ou le médecin n’obtient pas le consentement de la victime ou de sa famille pour utiliser un médicament expérimental sur elle”, a déclaré Mme Blakeman. “La plupart du temps, ils ne leur disent rien ou leur jouent un tour.
“La plupart des cas de faute médicale sont prescrits”, a-t-elle ajouté. “En général, le délai de prescription est de deux ans dans la plupart des États… La fraude a un délai de prescription beaucoup plus long, en général.
Mme Blakeman a fait remarquer que si la loi PREP inclut les contre-mesures couvertes et le protocole, elle ne couvre pas nécessairement le médecin ou le fiduciaire qui n’a pas obtenu le consentement du patient pour prendre les médicaments. Elle a mentionné le remdesivir, un traitement qui, selon certains, a entraîné la mort ou des blessures chez des patients atteints du Covid-19 dans des hôpitaux.
“Si vous ne savez pas ce que quelqu’un met dans votre corps, ce n’est pas nécessairement couvert par la loi PREP”, a déclaré Mme Blakeman. “Dans les trois affaires qui sont passées devant un juge, le juge a déclaré que l’immunité de la loi PREP ne s’appliquait pas dans ce cas, car le patient n’a jamais su, la famille n’a jamais su ce que [le patient] se faisait donner.
Mme Blakeman a indiqué que les victimes peuvent également déposer des demandes au titre de la loi PREP sur la base de plusieurs autres types de réclamations, notamment la maltraitance des personnes âgées, l’abus médical (medical battery), le manquement à l’obligation fiduciaire, la faute professionnelle et la négligence.
Selon Mme Blakeman, cette stratégie juridique semble fonctionner jusqu’à présent. “Cela dépendra probablement de la juridiction et du juge, mais les cas qui ont passé sont en Californie et au Wisconsin”, a-t-elle déclaré. “Ils ont franchi l’étape de l’audition de la requête en irrecevabilité et se trouvent actuellement en phase de découverte (discovery) ou d’arbitrage.
Outre les poursuites engagées dans le cadre de la loi PREP, la FFFF a lancé la campagne “We The People 50-Recall the Shots“. “Nous allons d’État en État, auprès des bureaux des procureurs généraux, pour obtenir le retrait de ces vaccins, simplement parce que nous disposons des dernières données scientifiques de Kevin McKernan indiquant que les vaccins sont contaminés.
La FFFF a constitué une équipe d’experts médicaux qui interviendront au niveau de l’État, au niveau local ou au niveau fédéral “pour présenter nos faits et leur demander de les retirer [the vaccines] sur la base de la contamination”, a déclaré Mme Blakeman. “Nous sommes rendus assez loin dans l’Idaho, et ça s’annonce bien. Notre objectif est de les retirer avant que d’autres personnes ne soient blessées”.
La FFFF poursuit également une action en justice contre Gilead, le fabricant du remdesivir. “Nous travaillons avec un groupe d’avocats sur un recours collectif“, a déclaré Mme Blakeman, ajoutant que les avocats du groupe “ont trouvé un moyen de contourner la loi PREP en utilisant la publicité mensongère parce qu’ils annonçaient que le remdesivir faisait quelque chose qu’il ne faisait pas”.
“Nous essayons de collecter des fonds”, a déclaré Mme Blakeman. “L’affaire va coûter des millions de dollars. Ces quatre avocats sont issus de petits cabinets indépendants. Ce sont eux qui s’engagent. Ce ne sont pas ces grands cabinets. Ils ne touchent pas à ce genre de poursuites”.
“Ces avocats travaillent sur ce dossier depuis deux ans, pendant leur temps libre”, a-t-elle déclaré. “Ils ont une excellente plainte. Elle est prête à être déposée, mais ils ne peuvent pas aller contre Gilead sans un trésor de guerre.”
Mme Blakeman pense que la FFFF pourra utiliser sa stratégie de collecte de fonds pour des affaires contre Pfizer et d’autres grandes sociétés pharmaceutiques.
La FFFF organise également des réunions régulières d’avocats, connues sous le nom de “Changemaker Attorney Meeting”, où les avocats sont invités à se réunir sur Zoom pour élaborer des stratégies et faire du brainstorming. Ces appels ont donné lieu à des poursuites judiciaires dans huit ou neuf États, a indiqué M. Blakeman.
Suivre l’argent Sur la base de ses entretiens avec les victimes du protocole hospitalier Covid-19 ou les membres de leur famille, le CHBMP a dressé une liste de 25 points communs partagés par de nombreuses victimes. Selon le CHBMP :
« Après avoir examiné des centaines de cas dans tout le pays, nous avons dressé une liste des caractéristiques les plus courantes associées aux protocoles hospitaliers mortels pour Covid. Les victimes nous l’ont répété à maintes reprises.
« Les expériences déchirantes des patients qui ont souffert de ces protocoles et politiques liés à la Covid ne doivent pas être ignorées. »
Les points communs sont l’isolement de la victime, le refus du consentement éclairé et des traitements alternatifs, le gaslighting, le retrait des dispositifs de communication, la discrimination à l’encontre des personnes non vaccinées, la déshumanisation, la déshydratation et la famine, la ventilation non urgente, le refus de transfert et le respect strict des protocoles autorisés pour utilisation d’urgence.
Les enquêteurs du groupe “n’ont cessé d’entendre les mêmes choses”, a déclaré Mme Blakeman.
“Dans presque tous les cas, [patients] demandent des traitements alternatifs. Ils réclament de la vitamine C et de l’ivermectine. On le leur refuse, on se moque d’eux, on leur dit ‘tu n’es pas un cheval‘”.
Elle a déclaré que pas une seule personne dans la base de données de la FFFF n’a vu la fiche d’information sur le remdesivir que les hôpitaux sont légalement tenus de fournir.
Il y a eu des gens qui sont entrés à l’hôpital et dont la femme a écrit sur leur bras avec un Sharpie : “Pas de remdesivir”, et ils l’ont quand même reçu”, a déclaré Mme Blakeman. “Ou bien ils s’endorment et [doctors] leur apporte la poche de remdesivir au milieu de la nuit. Ils ne savent donc pas, et leur proche ne sait pas”.
Les gens ont dit avoir été “déshumanisés et traités comme des animaux”, a déclaré Mme Blakeman. “Ils ne sont pas lavés, ils ne reçoivent pas de soins buccaux, ils ne sont pas autorisés à aller aux toilettes. Ils ne sont pas nourris, on ne leur donne pas de liquides”.
“Et l’une des plus importantes est la discrimination à l’encontre des personnes non vaccinées”, a-t-elle déclaré. “C’est la première question qui sort de leur bouche.
Un autre point commun concerne les patients qui ont été “contraints chimiquement ou physiquement, attachés au lit”, mis sous ventilation non urgente ou soumis à des ordres de “ne pas réanimer” qui n’ont pas été autorisés par les patients ou leurs familles. D’autres ont reçu des surdoses de fentanyl ou de morphine et ont subi des violences physiques, notamment des cas de nez cassés.
“Ce n’est pas une coïncidence”, a déclaré Mme Blakeman. “Il est clair qu’ils ne sont pas morts du Covid-19. Elle a précisé que ces pratiques résultent des protocoles hospitaliers Covid-19 prescrits par les Centres de contrôle et de prévention des maladies et font l’objet d’un livre blanc intitulé “Follow the Money: L’argent du sang dans les soins de santé aux États-Unis”.
Mme Blakeman a indiqué que le gouvernement avait encouragé les hôpitaux dans le cadre de la loi CARES (Coronavirus Aid, Relief, and Economic Security Act). “Les hôpitaux recevaient tout cet argent à l’avance, et s’ils n’utilisaient pas un certain montant, ils devaient tout rembourser. C’est pourquoi ils se sont empressés de ventiler, de faire toutes ces procédures qui sont souvent inutiles”.
Le rapport indique que l’incitation moyenne par personne aux États-Unis pour un “patient Covid complexe” est de 292 566 dollars. “C’est sans aucun doute l’argent qui motive les hôpitaux et ce protocole”, a déclaré Mme Blakeman. “Les médecins ont également été achetés par Big Pharma et vont être corrompus par de gros salaires”.
“Ils reçoivent de l’argent s’ils ont une admission pour Covid-19, puis s’ils utilisent le remdesivir, ils reçoivent une prime de 20 % sur l’ensemble de la facture de l’hôpital”, a-t-elle ajouté. “S’ils les mettent sous respirateur, ils reçoivent 39 000 dollars de plus. Et s’ils inscrivent Covid-19 sur le certificat de décès, ils obtiennent une autre prime”.
Mme Blakeman a indiqué que la FFFF avait lancé la campagne “Halte aux homicides en milieu hospitalier“, une série de rassemblements avec des experts médicaux comme orateurs et des membres de la famille des victimes, portant “une chemise avec la photo de leur proche”. Le premier rassemblement a eu lieu à San Antonio, au Texas, en mars, et le prochain événement aura lieu à Nashville, dans le Tennessee, en mars 2024.
La FFFF a également lancé un programme de défense des intérêts [du patient] dans les hôpitaux. “Si vous êtes à l’hôpital et que vous avez besoin d’être secouru, vous pouvez nous appeler”, a déclaré Mme Blakeman, “et nous mettrons un avocat au téléphone avec le médecin”.
“Nous avons sorti plusieurs personnes, nous les avons secourues”, a déclaré Mme Blakeman. Bien que l’équipe de la FFFF ne l’ait pas sauvée, Mme Blakeman a cité la victime du protocole hospitalier, Gail Seiler, qui a pu quitter un hôpital texan après un “face-à-face” de six heures avec les médecins et le personnel.
Une autre initiative de la FFFF est le Amnesty and Leniency Project (projet d’amnistie et de clémence), “où nous encourageons les dénonciateurs à sortir” des hôpitaux “pour révéler ce qu’ils ont fait, vu, entendu”, a déclaré Mme Blakeman.
“C’est ainsi que nous gagnerons ces procès et l’opinion publique”, a-t-elle déclaré, ajoutant que le groupe “peut plaider en faveur de l’amnistie ou de la clémence” pour les dénonciateurs.
Certaines victimes se sont suicidées “parce que leur vie a été détruite”. La FFFF a également mis à profit son action auprès des victimes du protocole hospitalier et du vaccin Covid-19 pour lancer des groupes de soutien à leur intention et à celle de leurs familles.
“Tous ces bénévoles, toutes ces victimes, veulent aider. Ils veulent avoir l’impression de se battre pour quelque chose, et nous avons besoin de leur aide”, a déclaré Mme Blakeman. “La FFFF a démarré avec un groupe de soutien le lundi soir, qui s’est depuis étendu à six soirées par semaine, a déclaré Mme Blakeman, afin que personne ne se sente jamais seul.
Plus de 4 400 personnes font partie des groupes de soutien aux vaccins, mais selon Mme Blakeman, toutes ne reçoivent pas l’aide dont elles ont besoin. “Plus de 20 d’entre elles se sont suicidés au cours des trois derniers mois parce que leur vie a été détruite”, a-t-elle déclaré. “Elles ont perdu leur emploi. Leur santé a été détruite, et personne ne les a crus ou aidés”.
Grâce à la Task Force citoyenne de la FFFF, plus de 20 comités ont été formés avec la participation de plusieurs victimes de protocoles et de vaccins, dont un comité de législation, un comité des médias et un comité de rassemblement.
Au niveau des États, la FFFF s’efforce de sensibiliser le public aux blessures et aux décès liés aux vaccins et aux protocoles hospitaliers, notamment par le biais de récentes campagnes d’affichage dans le Michigan et dans les États de Washington et du New Jersey,ainsi qu’un avion survolant le Jersey Shore avec une bannière sensibilisant aux décès liés aux protocoles hospitaliers et aux efforts de la FFFF.
Parmi les autres initiatives de sensibilisation de la FFFF figurent une campagne d’autocollants et d’aimants pour voitures, le podcast “FormerFeds Focus“, une page Substack, des discussions avec des victimes de protocoles et de vaccins et avec des experts médicaux sur Twitter Spaces, ainsi qu’une série de vidéos “Rumble”. Cependant, le groupe a été censuré sur Facebook, Google et YouTube, a déclaré Mme Blakeman.
Il faut se souvenir des victimes
Mme Blakeman a déclaré qu’en dépit des efforts continus de la FFFF, il a été “très, très stressant” pour elle de recueillir les récits des victimes. “Au bout d’un certain temps, j’ai dû faire une petite pause dans les interviews parce que je faisais de terribles cauchemars.
Pourtant, elle a déclaré que ces expériences “m’ont aussi poussée à continuer parce que je connais ce niveau de chagrin lorsque quelqu’un vous est enlevé de la mauvaise manière”.
Mme Blakeman a déclaré que l’objectif final de la FFFF était d’ériger un monument national portant le nom de toutes les victimes. “Il faut se souvenir de ces personnes pour ce qu’elles ont sacrifié et pour ce qu’elles étaient”, a-t-elle déclaré. “Il y a tant de jeunes.”
Mme Blakeman a également encouragé les victimes ou les membres de leur famille à se manifester et à partager leur histoire.
“Faites enregistrer votre histoire. Participez à des groupes de soutien. Vous n’êtes pas seul. Beaucoup de gens se sentent très seuls. Nous vous croyons ici, nous vous soutiendrons, nous vous aiderons à raconter l’histoire qui vous tient à cœur et nous vous aiderons à rendre hommage à votre proche.
“Et nous vous aiderons à trouver un avocat si nous le pouvons. Nous essaierons de vous obtenir une certaine forme de justice.”
“Il s’agit d’une bataille spirituelle, je crois”, a déclaré Mme Blakeman. “Nous devons nous servir de ces décès pour inciter d’autres personnes à s’exprimer et à défendre ce qui est juste dans l’humanité.
Et encore une fois, un jeune athlète décède « subitement et de manière inattendue »
23 septembre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
Les conséquences néfastes des campagnes de vaccination perdurent. Comme l'explique aujourd'hui en détail Hartmut Glossmann , il existe toujours un taux de surmortalité élevé dû à la « vaccination » par les armes biologiques. Si cela concerne des célébrités ou de jeunes athlètes, des rapports apparaissent même dans les médias d'État comme la BBC.
La BBC mérite même ce titre : « Maddy Cusack : Sheffield United « dévasté » par la mort du milieu de terrain de 27 ans ». S'agit-il d'un autre cas tragique et mystérieux d'une personne jeune et en bonne santé décédée #soudainement ? Bien entendu, la BBC évite toute référence aux causes et au contexte.
"...C'est une nouvelle déchirante pour tout le monde à Bramall Lane", a déclaré Stephen Bettis, directeur général de Sheffield United.
«Maddy avait la position unique de faire partie de plusieurs équipes de Sheffield United et était populaire auprès de tous ceux avec qui elle entra en contact.
« Sa personnalité et son professionnalisme ont fait d’elle un atout pour sa famille – elle nous manquera beaucoup.
La cause de la mort de Cusack n'a pas encore été annoncée..."
Des millions de vies sauvées ou des massacres à l’aide d’armes biologiques ?
23 septembre 2023 par Em.O.Univ.Prof. Dr. méd. Hartmut Glossmann
Nous avons affaire à deux vagues d’armes biologiques. Le cardiologue américain Prof. Peter McCullough a donné une conférence remarquable au Parlement européen le 13 septembre 2023. Il appelle « Ross et. Cavalier » de la première vague de catastrophes et de souffrances qui a balayé le monde entier : un agent pathogène (SARS-CoV-2) construit en laboratoire (États-Unis, Chine). Il nomme la deuxième vague de souffrance qui s'ensuit et se poursuit comme l'injection d'ARNm mod transfectant la protéine Spike (appelée à tort « vaccination ») et énumère les effets potentiellement mortels qui sont maintenant reconnus comme causals : 1. Cardiovasculaire 2. Neurologique 3.Thromboembolique 4. Immunologique. Il demande l’arrêt immédiat des injections et souligne que l’on laisse croire au public que les différentes plaintes des victimes du modmRNA sont dues au « Long Covid ».
Ce qui était auparavant inconnu, c'est que les préparations d'ARNm mod destinées aux tests cliniques étaient produites selon un processus différent de celui des milliards de doses qui ont été et sont injectées dans le monde (bioréacteur avec E. coli). Ceux-ci contiennent, selon le témoignage du Pr Phillip Buckhaults devant le Sénat de Caroline du Sud, des fragments de plasmide (ADN vecteur d'expression), comme décrit par McKernan et al. largement documenté pour les injections bivalentes de Moderna et Pfizer. Le 7 septembre 2023, la « Société japonaise pour les complications liées aux vaccins » a tenu une conférence de presse au cours de laquelle le président, le professeur Masanori Fukushima, a prononcé un discours. La traduction anglaise se lit comme suit :
« Rien de tel n’est jamais arrivé auparavant…. J'ose dire un meurtre. On pourrait dire qu'il y a eu un massacre. « Cela ressemble plus à un meurtre de masse causé par une arme biologique »
Des millions de vies sauvées grâce aux injections de transfection de protéines Spike ? Si l’on en croit le récit des médias publics, les injections ont sauvé des millions de vies dans le monde. Ces chiffres sont basés sur des modèles informatiques et devraient être confirmés par les statistiques de décès.
1 - Cas particulier de l’Allemagne ? Une première publication qui aborde cette tâche pour l'Allemagne a été rédigée par Kuhbandner et Reitzner [Kuhbandner C, Reitzner M (23 mai 2023) Estimation of Excess Mortality in Germany Durant 2020-2022. Cureus 15(5):e39371. DOI 10.7759/cureus.39371], cité ci-dessous :
« Dans l’ensemble, en 2021, avec le début de la campagne de vaccination contre le COVID-19, on observera une surmortalité plus élevée que l’année précédente dans les mois au cours desquels de nombreuses personnes ont été vaccinées. En 2022, lorsqu’une grande partie de la population aura été entièrement, voire triplement vaccinée, la surmortalité augmentera continuellement à partir du printemps et atteindra un maximum de 28 % en décembre. Une telle observation est difficile à concilier avec l’hypothèse selon laquelle les vaccinations contre le COVID-19 sont très efficaces contre les décès dus au COVID-19. « Soit les vaccinations ne fonctionnent pas aussi efficacement que prévu, soit elles réussissent à prévenir les décès dus au COVID-19, mais soudain, des facteurs autres que le COVID-19 apparaissent qui conduisent à un nombre croissant de décès inattendus en 2021 et 2022. »
"D'un point de vue pharmacovigilance, la cooccurrence d'une surmortalité et de vaccinations représente un signal de sécurité. Les signaux de sécurité tels que l'observation d'une relation temporelle entre l'administration de vaccins et la survenue d'événements indésirables n'impliquent pas nécessairement une relation causale, car il peut y avoir des troisièmes variables potentielles, qui influencent à la fois le déroulement des vaccinations et l’évolution de la surmortalité. "Un signal de sécurité n'indique pas une relation causale entre un effet indésirable et un médicament, mais constitue simplement une hypothèse qui nécessite une évaluation plus approfondie."
« Compte tenu du lien temporel entre l'augmentation des vaccinations et la surmortalité, il semble surprenant qu'un signal de sécurité correspondant n'ait pas été reconnu par la pharmacovigilance de l'Institut Paul Ehrlich (PEI), responsable de la surveillance de la sécurité des médicaments. en Allemagne. » .
« Comme point de départ pour des recherches plus approfondies visant à expliquer ces schémas de mortalité, nous avons comparé la surmortalité avec le nombre de décès signalés par le COVID-19 et le nombre de vaccinations contre le COVID-19. Cela soulève plusieurs questions ouvertes, dont la plus importante est la covariation entre la surmortalité, le nombre de décès dus au COVID-19 et les vaccinations contre le COVID-19.
Conclusion : Cette étude réfute non seulement le récit selon lequel les injections mentionnées ci-dessus ont sauvé des millions de vies, mais conclut également qu'il n'y a pas seulement de sous-mortalité en Allemagne en 2021 et 2022, mais même une covariation entre l'excès réel mortalité, le nombre de décès dus au Covid-19 et les vaccinations contre le Covid-19 sont disponibles
Une autre analyse indépendante de Rockenfeller R, Günther M, Mörl F. (2023) Les rapports de décès sont une exagération : mortalité toutes causes confondues et conditionnelle aux tests NAA en Allemagne à l'ère du SRAS-CoV-2 . R. Soc. OpenSci. 10 : 221551. arrive à des conclusions similaires : selon leur analyse, il y avait un taux de sous-mortalité de -18 500 pour 2020 et un taux de surmortalité de +70,00 pour 2021, qui atteint la valeur extrême de +41 200 en 2022. Les auteurs ne commentent pas (encore) le dernier chiffre (année 2022). D’ailleurs, les auteurs prennent l’OMS et les médias au sérieux :
« La couverture médiatique mondiale de la « pandémie de CoViD-19 » est inégalée par aucun événement récent (ou probablement historique). En conséquence, une multitude de données ont été collectées et analysées pour fournir des informations et des aperçus statistiques sur la dynamique de l’infection et les indicateurs de performance clés pour son confinement. L’augmentation spectaculaire du taux de mortalité a été l’un des principaux arguments avancés par les hommes politiques pour imposer des mesures socio-économiques strictes à la population. Dans ce travail, nous nous sommes fixés pour objectif d’examiner plus en détail la surmortalité prétendument élevée en 2020 et 2021. Contrairement aux estimations de l'OMS d'un excès de décès de 101 500 à 195 000 en Allemagne au cours de ces deux années, nous avons même constaté une sous-mortalité nette de -11 500, ce qui signifie qu'il n'y a eu rien d'autre que « mourir comme d'habitude ». méthode nette pour toutes les cohortes d’âge. Notre analyse montre que les estimations de l’OMS sont exagérées… »
Ce qui est remarquable chez Kuhbandner et Reitzner, c'est la critique ouverte de l'Institut Paul Ehrlich, qui ne veut pas reconnaître ces signaux.
Les corrélations, telles que celles de la figure 8, ne constituent pas une preuve de causalité, en particulier lorsque l’on analyse les données d’un seul pays.
Il existe des critères internationalement acceptés (Bradford-Hill) qui suggèrent fortement une causalité si certaines conditions sont remplies (Ioannidis (2016) https://doi.org/10.1002/sim.6825 ) :
1. « Cohérence » : Le même phénomène est observé indépendamment dans différents pays, régions, pour différentes tranches d’âge et à différents moments.
2. « Temporalité » : Une connexion temporelle existe : le phénomène est toujours précédé du même événement
3. « Cohérence » : Le phénomène est toujours qualitativement le même et d'ampleur comparable à chaque fois qu'il est observé.
Leçons du désastre du vaccin contre la variole pour les dommages monstrueux causés par les protéines de pointe
24 septembre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
Il devient de plus en plus évident que la campagne de vaccination provoque des dégâts à long terme d’une ampleur sans précédent. Les décès parmi les jeunes athlètes continuent. Les pathologistes Prof. Walter Lang et Prof. Arne Burkhardt ont montré que des dommages irréparables se produisent au cœur, aux cellules nerveuses du cerveau et, plus récemment, aux fibres élastiques. Et ceux-ci affectent tous les organes jusqu’à la peau, comme nous l’expliquons en détail dans cette interview . Ce qui est incroyable, c’est que les mêmes expériences ont déjà été faites avec les premiers vaccins. Un ami médecin résumait ainsi la situation ce matin : « Chers amis, la nouvelle injection Covid est enfin là. Une nouvelle recette de cuisine de bouillon de thérapie génique modmRNA emballé dans des coques LNP toxiques et aromatisé avec des contaminants d'ADN plasmidique. Et depuis le 5 septembre. à la pointe du nouveau plan de vaccination, approuvé dès la petite enfance et également recommandé aux femmes enceintes. C’est l’échec total et continu de notre éthique médicale et ce sera le plus grand scandale de l’histoire de la médecine. »
Un autre médecin, « A Midwestern Doctor », a écrit en juillet un article de synthèse fascinant sur les enseignements critiques mais largement oubliés des premiers pionniers de la médecine :
Que peut nous apprendre la catastrophe du vaccin contre la variole sur les lésions causées par les protéines Spike ? Lorsque vous étudiez l’histoire, vous êtes toujours frappé par la fréquence à laquelle des cycles de dysfonctionnement se répètent – c’est pourquoi beaucoup d’entre nous ont pu prédire une grande partie de ce qui s’est passé avec les désastreux vaccins contre le COVID-19. Il existe également un certain nombre d’erreurs en médecine (pour lesquelles il existe souvent peu ou pas de preuves). Malheureusement, ma profession les défend depuis des siècles, quels que soient les problèmes que ces croyances causent, et je pense que le mème du vaccin est l’un des plus dommageables.
À l'origine, j'ai été obligé de créer un sous-stack au début de 2022 lorsque j'ai réalisé que les manifestations massives contre les mandats de vaccination contre le COVID-19 (par exemple, le convoi de camions du Canada) étaient le miroir de ce qui s'est passé avec les vaccins contre la variole il y a environ 150 ans. J’ai pensé qu’il était important que tout le monde le sache afin que nous puissions tirer les leçons de nos ancêtres qui se sont battus contre des mandats vaccinaux similaires et injustifiés, et dans l’espoir que les circonstances actuelles nous permettront enfin de sortir de ce cycle.
Ne sachant pas vers qui me tourner, j'ai contacté Steve Kirsch (que je suivais). Même s'il ne me connaissait pas, il a gentiment (Steve est un gars vraiment sympa) utilisé sa plateforme pour promouvoir à la fois l'article et mon propre Substack, qui a depuis décollé grâce à vous tous (The Forgotten Side of Medicine est maintenant sur cinquante et un mille abonnés et est actuellement visionné six à sept cent mille fois par mois).
Lorsque j'ai écrit l'article sur Pox, je n'avais aucune expérience de blogging (il n'était donc pas particulièrement bien écrit) et je voulais qu'il s'agisse d'un article unique après lequel je n'écrirais plus. Lorsque j'ai écrit l'article, il se composait de deux parties : l'une sur les méfaits et les défauts généraux des vaccins et l'autre sur les changements spécifiques que la vaccination contre la variole provoque dans le corps humain. Parce que Steve (et ensuite d'autres comme le Dr Mercola - qui a également fourni un soutien inestimable à ce Substack) a fait la promotion de la première partie, elle a été largement vue.
Cependant, comme personne ne faisait la promotion du deuxième volet (et que j'avais très peu d'abonnés à l'époque), presque personne ne l'a vu. Je pense que cet article est tout aussi important car il fournit un aperçu crucial de la vague de maladies chroniques qui a déferlé sur la société occidentale au moment même où la vaccination contre la variole a été introduite. Ce qui suit est une version abrégée du premier article et une version révisée du deuxième article (mon écriture n'était pas la meilleure lorsque j'ai commencé à écrire ici).
La boucle de rétroaction positive du vaccin
Lorsque le vaccin contre la variole a été développé en 1796, il a suscité un grand scepticisme de la part de la communauté médicale, d'abord parce qu'il n'existait pratiquement aucune donnée à l'appui, puis parce qu'il n'a tout simplement pas fonctionné. Néanmoins, le vaccin a été rapidement adopté par les gouvernements du monde entier car il offrait une solution simple et descendante pour lutter contre la variole (ce que les gouvernements préfèrent toujours), et la communauté médicale en est progressivement venue à le soutenir, à mesure qu'elle gagnait à la fois le pouvoir politique grâce au vaccins ainsi que de l'argent.
De nombreux médecins se sont encore prononcés contre le vaccin, nombre d'entre eux étayant leurs objections par des données concrètes (par exemple, de grandes cohortes ont montré que le vaccin n'a pas empêché la variole et l'érysipèle, une infection cutanée pénible et parfois mortelle, est devenue courante). Malheureusement, ces médecins dissidents sont devenus une minorité de plus en plus petite, et des rapports de cette période indiquent que les médecins des premiers hôpitaux falsifiaient les dossiers médicaux pour dissimuler les dangers du vaccin et son inefficacité dans la prévention de la variole.
Le plus gros problème du vaccin contre la variole, cependant, était que la vaccination augmentait plutôt que diminuait l'incidence de la variole.
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Remarque : Pour de nombreux autres exemples de la manière dont l’augmentation des vaccinations a entraîné une augmentation des épidémies de variole, consultez l’article original ici .
Lorsque cela se produisait, les gouvernements avaient tendance à réagir à cette urgence en la considérant comme le résultat d’une couverture vaccinale insuffisante et en faisant tout ce qui était en leur pouvoir pour augmenter les taux de vaccination. Parce que la classe ouvrière était consciente à la fois des dangers du vaccin contre la variole et de son inefficacité, des mesures de plus en plus sévères ont dû être prises pour continuer à respecter les quotas de vaccination.
Alors que la situation continuait de s’aggraver, les responsables chargés de faire respecter la vaccination ont été attaqués et des émeutes ont régulièrement éclaté. Cette citation du professeur émérite FW Newman datant de 1874 résume bien l’ambiance de l’époque :
En réponse aux réglementations de vaccination de plus en plus draconiennes, une manifestation massive (impliquant des citoyens de toute l'Europe) a eu lieu à Leicester, en Angleterre, en 1885, qui a conduit à l'abrogation des lois de Leicester sur la vaccination obligatoire et à leur remplacement par des mesures visant à améliorer l'hygiène publique et la quarantaine. par les malades de la variole (et leurs contacts). Lorsque cette approche a été proposée par Leicester, la communauté médicale a attaqué les citoyens de Leicester, proclamant haut et fort que leurs politiques entraîneraient une mort massive et déclarant que Leicester servirait de leçon au monde pour ne jamais renoncer à la vaccination. Au lieu de cela, c’est le contraire qui s’est produit : Leicester a vaincu la variole, et ses méthodes (souvent combinées à la vaccination) ont ensuite été copiées afin que nous puissions enfin éradiquer la variole.
Comme vous l’avez peut-être remarqué, il existe de très nombreux parallèles entre ces événements d’il y a plus d’un siècle et ce que nous avons tous vécu ces dernières années.
Remarque : Un résumé détaillé du comportement frauduleux de Jenner rédigé par un autre auteur, ainsi que d'autres échecs documentés du vaccin contre la variole, peuvent être trouvés ici.
Premières écoles de médecine américaine
Au début des années 1900, il existait quatre principales écoles de médecine aux États-Unis : l'allopathie (médecine conventionnelle), l'homéopathie, la naturopathie (alors appelée école éclectique) et l'ostéopathie. L'allopathie a perdu en popularité parce que ses traitements ne fonctionnaient souvent pas et étaient très toxiques.
Au même moment, deux des personnes les plus riches de l’histoire (Andrew Carnegie et John D. Rockefeller) ont réalisé qu’ils devaient se diversifier au-delà de leurs industries respectives (acier et pétrole) après que Theodore Roosevelt ait décidé de démanteler leurs monopoles . La médecine allopathique a été reconnue comme un moyen prometteur de gagner beaucoup d'argent, et un certain nombre d'investissements ont été réalisés pour faire passer l'allopathie de l'impopularité à la principale forme de médecine aux États-Unis (par exemple, Flexner, publié en 1910, rapport utilisé pour fermer la plupart des écoles de médecine non allopathiques concurrentes en Amérique).
Remarque : Le livre The Robber Barons , qui détaille comment Rockefeller a monopolisé l'industrie pétrolière, fournit une perspective perspicace sur ce qu'il semble avoir également fait à l'industrie médicale.
Depuis la monopolisation de la médecine américaine, l'allopathie a accompli l'exploit remarquable de coûter au pays chaque année plus cher que l'année précédente, tout en échouant lamentablement sur bon nombre des problèmes de santé les plus importants auxquels notre pays est confronté - nous donnons plus que le le reste du monde en matière de soins de santé, mais nos résultats nationaux en matière de soins de santé sont pires que ceux de presque tous les autres pays développés.
La plupart des facultés de médecine non allopathiques de l’époque s’opposaient fermement à la vaccination en raison des dangers qu’elles y voyaient. Malheureusement, afin de se faire accepter dans l’industrie médicale lucrative, ils ont progressivement adopté le discours de la vaccination. Par exemple, Bastyr, la principale école de médecine naturopathique aux États-Unis, a rendu obligatoire la vaccination contre le COVID-19 pour ses étudiants, ce qui s'est heurté à l'opposition de nombreux médecins naturopathes traditionnels en exercice, car cette exigence allait à l'encontre de tout ce que représentait la médecine naturopathique.
Ainsi, en recherchant cette série, j’ai examiné ce que chacune de ces premières écoles de médecine rapportait à l’époque, car leurs premières publications étaient beaucoup plus disposées à critiquer la vache sacrée qu’est la vaccination. Ces récits méritent d’être lus deux fois, car ils décrivent tous des événements similaires qui diffèrent principalement par la perspective unique à travers laquelle leur modèle médical envisageait le corps.
Remarque : ci-dessous, j'aurais aimé inclure également la perspective chiropratique, la perspective ayurvédique et ce qui s'est passé au Japon ( les Japonais ont énormément souffert des vaccinations contre la variole ). Malheureusement, je n'ai trouvé aucune bonne source pour aucun de ces sujets .
L'article décrit également les autres écoles de médecine de l'homéopathie, de la naturopathie, de l'ostéopathie, de la médecine chinoise ainsi que les nouvelles recherches sur la stase sanguine - l'original continue ici .
Le rapport Flexner et la façon dont Rockefeller a développé le marché pharmaceutique et de la vaccination font également l'objet de cet article du TKP : 98 nouveaux vaccins à ARNm en préparation et ce que Rockefeller a à voir avec cela
Aujourd'hui, depuis l'émergence de la nouvelle maladie appelée COVID-19 ( CO rona VI rus D isease-20 19 ), la technique de diagnostic RT-PCR est utilisée pour définir les cas positifs, confirmés comme SARS-CoV-2 (coronavirus responsable de la nouveau syndrome de détresse respiratoire aiguë appelé COVID-19).
Ces cas positifs sont assimilés aux cas de COVID-19 dont certains sont hospitalisés voire admis dans les services de réanimation.
Postulat officiel de nos managers : cas RT-PCR positifs = patients COVID-19. [1]
C'est le postulat de départ, la prémisse de toute propagande officielle, qui justifie toutes les mesures gouvernementales restrictives : isolement, confinement, quarantaine, masques obligatoires, codes couleurs par pays et interdictions de voyager, tracking, distances sociales dans les entreprises, les magasins et même, bien plus encore. surtout, dans les écoles [2].
Cet usage abusif de la technique RT-PCR est utilisé comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements , soutenus par les conseils scientifiques de sécurité et par les médias dominants, pour justifier des mesures excessives telles que la violation d'un grand nombre de droits constitutionnels, la destruction de la économie avec la faillite de pans entiers de la société active, la dégradation des conditions de vie d'un grand nombre de citoyens ordinaires, sous prétexte d'une pandémie basée sur un certain nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre réel de patients .
Aspects techniques : pour mieux comprendre et ne pas se laisser manipuler
La technique PCR a été développée par le chimiste Kary B. Mullis en 1986. Kary Mullis a reçu le prix Nobel de chimie en 1993.
Bien que cela soit contesté [3], Kary Mullis lui-même aurait critiqué l'intérêt de la PCR comme outil de diagnostic d'une infection, notamment virale.
Il affirmait que si la PCR était un bon outil pour la recherche, elle était un très mauvais outil en médecine, en clinique [4].
Mullis faisait référence au virus du SIDA (rétrovirus VIH ou VIH) [5], avant la pandémie de COVID-19, mais cet avis sur la limitation de la technique dans les infections virales [6], par son créateur, ne peut être écarté d'un revers de main. ; il faut en tenir compte !
Les équipes surveillent en permanence l’évolution du génome viral du SARS-CoV-2 au fur et à mesure de son évolution [9-10-11], à travers les mutations qu’il subit. Il existe aujourd’hui de nombreuses variantes [12].
En prélevant quelques gènes spécifiques du génome du SARS-CoV-2, il est possible d’initier une RT-PCR sur un échantillon des voies respiratoires.
Pour la maladie COVID-19, qui a une porte d’entrée nasopharyngée (nez) et oropharyngée (bouche), le prélèvement doit être effectué le plus profondément possible dans les voies respiratoires supérieures afin d’éviter une contamination par la salive notamment.
- voir schéma sur site -
Toutes les personnes testées ont dit que c'était très douloureux [13].
Le Gold Standard (site privilégié pour le prélèvement) est l’ approche nasopharyngée (nasale) , la voie la plus douloureuse.
S'il existe une contre-indication à l'approche nasale, ou de préférence à la personne testée, selon les organes officiels, l'approche oropharyngée (par la bouche) est également acceptable. Le test peut déclencher un réflexe de nausée/vomissement chez la personne testée.
Normalement, pour que le résultat d'un test RT-PCR soit considéré comme fiable, une amplification à partir de 3 gènes différents (amorces) du virus étudié est requise .
« Les amorces sont des séquences d’ADN simple brin spécifiques du virus. Ils garantissent la spécificité de la réaction d'amplification. » [14]
« Le premier test développé à La Charité à Berlin par le Dr Victor Corman et ses associés en janvier 2020 permet de mettre en évidence les séquences d'ARN présentes dans 3 gènes du virus appelés E, RdRp et N. Pour savoir si les séquences de ces gènes sont présentes dans les échantillons d'ARN collectés, il est nécessaire d'amplifier les séquences de ces 3 gènes afin d'obtenir un signal suffisant pour leur détection et leur quantification. »[15].
La notion essentielle de Temps de Cycle ou Seuil de Cycle ou seuil de positivité Ct [16].
Un test RT-PCR est négatif (pas de trace de l'élément recherché) ou positif (présence de traces de l'élément recherché).
Cependant, même si l’élément recherché est présent en quantité infime et négligeable, le principe de la RT-PCR est de pouvoir enfin le mettre en évidence en poursuivant les cycles d’amplification autant que nécessaire.
La RT-PCR peut pousser jusqu’à 60 cycles d’amplification, voire plus !
Etc de façon exponentielle jusqu'à 40 à 60 cycles !
Quand on dit que le Ct (Cycle Time ou Cycle Threshold ou seuil de positivité RT-PCR) est égal à 40, cela signifie que le laboratoire a utilisé 40 cycles d'amplification , soit obtenu 2 à 40 copies.
C’est ce qui sous-tend la sensibilité du test RT-PCR.
S'il est vrai qu'en médecine nous aimons avoir une spécificité et une sensibilité élevées des tests pour éviter les faux positifs et les faux négatifs, dans le cas de la maladie COVID-19, cette hypersensibilité du test RT-PCR causée par le nombre de cycles d'amplification utilisé s’est retourné contre lui.
Cette sursensibilité du test RT-PCR est délétère et trompeuse ! Cela nous détache de la réalité médicale qui doit rester basée sur l'état clinique réel de la personne : la personne est-elle malade, présente-t-elle des symptômes ?
C'est la chose la plus importante !
Comme je le disais au début de l'article, en médecine on part toujours de la personne : on l'examine, on recueille ses symptômes (plaintes-anamnèse) et ses signes cliniques objectifs (examen) et sur la base d'un diagnostic clinique réflexion dans laquelle interviennent la connaissance et l’expérience scientifiques, nous émettons des hypothèses diagnostiques.
C'est seulement ensuite que nous prescrivons les tests les plus adaptés, en nous basant sur cette réflexion clinique.
Nous comparons constamment les résultats des tests avec l' état clinique du patient (symptômes et signes), qui prime sur tout le reste lorsqu'il s'agit de nos décisions et de nos traitements.
Aujourd'hui, nos gouvernements, appuyés par leurs avis scientifiques de sécurité, nous font faire le contraire et privilégier le test, suivi d'une réflexion clinique nécessairement influencée par ce test préalable, dont nous venons de voir les faiblesses, notamment son hypersensibilité.
Aucun de mes collègues cliniciens ne peut me contredire.
Hormis des cas très particuliers comme le dépistage génétique pour certaines catégories de populations (tranches d'âge, sexe) et certains cancers ou maladies génétiques familiales, nous travaillons toujours dans ce sens : de la personne (symptômes, signes) aux tests appropriés, jamais le inverse.
C'est la conclusion d'un article du Swiss Medical Journal (RMS) publié en 2007, rédigé par les docteurs Katia Jaton et Gilbert Greub microbiologistes de l'Université de Lausanne :
PCR en microbiologie : de l'amplification de l'ADN à l'interprétation des résultats :
« Pour interpréter le résultat d’une PCR, il est essentiel que cliniciens et microbiologistes partagent leurs expériences, afin que les niveaux d’interprétation analytique et clinique puissent être combinés. »
Il serait indéfendable de faire passer un électrocardiogramme à tout le monde pour dépister tous ceux qui pourraient un jour avoir une crise cardiaque.
En revanche, dans certains contextes cliniques ou sur la base de symptômes évocateurs spécifiques, là, oui, un électrocardiogramme peut être bénéfique.
Retour à RT-PCR et Ct (Durée de cycle ou seuil de cycle).
Dans le cas d’une maladie infectieuse, notamment virale, la notion de contagiosité est un autre élément important.
Puisque certains milieux scientifiques considèrent qu’une personne asymptomatique peut transmettre le virus, ils estiment qu’il est important de tester la présence du virus, même si la personne est asymptomatique, étendant ainsi l’indication de la RT-PCR à tout le monde.
Les tests RT-PCR sont-ils de bons tests de contagiosité ? [17]
Cette question nous ramène à la notion de charge virale et donc de Ct .
La relation entre contagiosité et charge virale est contestée par certains [18] et aucune preuve formelle, à ce jour, ne permet de trancher.
Cependant, le bon sens donne un crédit évident à l'idée selon laquelle plus une personne a de virus en elle , notamment dans les voies respiratoires supérieures (oropharynx et nasopharynx), avec des symptômes tels que la toux et les éternuements, plus le risque de contagiosité est élevé , proportionnel à la charge virale et l'importance des symptômes de la personne.
C'est ce qu'on appelle le bon sens , et bien que la médecine moderne ait grandement bénéficié de l'apport de la science à travers les statistiques et la médecine factuelle (EBM), elle repose toujours avant tout sur le bon sens, l'expérience et l'empirisme.
« C'est la quantité de virus qui devrait dicter la marche à suivre pour chaque patient testé. »
La quantité de virus (charge virale) ; mais aussi et surtout l'état clinique, symptomatique ou non de la personne !
Cela remet en cause l’utilisation du résultat binaire de ce test RT-PCR pour déterminer si une personne est contagieuse et doit suivre des mesures d’isolement strictes.
Ces questions sont soulevées par de nombreux médecins à travers le monde, non seulement aux États-Unis mais aussi en France, en Belgique ( Des experts belges de la santé demandent une enquête de l'OMS pour avoir simulé une pandémie de coronavirus ), en France, en Allemagne, en Italie, au Royaume-Uni, aux États-Unis. États-Unis et Royaume-Uni. en Allemagne, en Espagne…
Selon eux : « Nous allons mettre des dizaines de milliers de personnes en confinement, à l'isolement, pour rien. » [22]. 22] Et infliger par milliers des souffrances, des angoisses, des drames économiques et psychologiques !
La plupart des tests RT-PCR fixent le Ct à 40, selon le NYT. Certains le fixent à 37.
"Les tests avec des seuils (Ct) aussi élevés peuvent détecter non seulement des virus vivants mais aussi des fragments de gènes, restes d'une ancienne infection qui ne représentent pas de danger particulier", ont déclaré les experts.
Un virologue de l'Université de Californie admet qu'un test RT-PCR avec un Ct supérieur à 35 est trop sensible. « Un seuil plus raisonnable se situerait entre 30 et 35 », ajoute-t-elle.
Quasiment aucun laboratoire ne précise le Ct (nombre de cycles d'amplification réalisés) ou le nombre de copies d'ARN viral par échantillon µl.
Voici un exemple de résultat de laboratoire (approuvé par Sciensano, le centre national de référence belge) chez un patient RT-PCR négatif :
- voir cadre sur site -
Aucune mention du Ct.
Dans le New York Times, des experts ont compilé trois ensembles de données avec des responsables des États du Massachusetts, de New York et du Nevada qui les mentionnent.
Conclusion ?
« Jusqu’à 90 % des personnes testées positives n’étaient pas porteuses du virus. »
Le Wadworth Center, laboratoire de l'Etat de New York, a analysé les résultats de ses tests de juillet à la demande du NYT : 794 tests positifs avec un Ct de 40.
« Avec un seuil Ct de 35 , environ la moitié de ces tests PCR ne seraient plus considérés comme positifs », précise le New York Times.
« Et environ 70 % ne seraient plus considérés comme positifs avec un Ct de 30 ! "
Dans le Massachusetts, entre 85 et 90 % des personnes testées positives en juillet avec un Ct de 40 auraient été considérées comme négatives avec un Ct de 30, ajoute le NYT. Et pourtant, tous ces gens ont dû s’isoler, avec toutes les conséquences psychologiques et économiques dramatiques, alors qu’ils n’étaient pas malades et probablement pas du tout contagieux.
En France, le Centre National de Référence (CNR), la Société Française de Microbiologie (SFM) continuent de pousser Ct à 37 et recommandent aux laboratoires de n'utiliser qu'un seul gène du virus comme amorce.
Je vous rappelle qu'à partir de Ct 32, il devient très difficile de cultiver le virus ou d'en extraire une séquence complète, ce qui montre le caractère complètement artificiel de cette positivité du test, avec des taux de Ct aussi élevés, supérieurs à 30.
Des résultats similaires ont été rapportés par des chercheurs de l’Agence de santé publique britannique dans un article publié le 13 août dans Eurosurveillance : « La probabilité de cultiver le virus tombe à 8 % dans des échantillons présentant des niveaux de Ct supérieurs à 35. » [23]
De plus, actuellement, le Centre National de Référence en France n'évalue que la sensibilité des kits de réactifs disponibles dans le commerce, et non leur spécificité : de sérieux doutes persistent sur la possibilité d'une réactivité croisée avec d'autres virus que le SARS-CoV-2, comme d'autres rhumes bénins. coronavirus. [20]
C'est potentiellement la même situation dans d'autres pays, dont la Belgique.
De même, des mutations du virus peuvent avoir invalidé certaines amorces (gènes) utilisées pour détecter le SARS-CoV-2 : les fabricants ne donnent aucune garantie à ce sujet, et si les journalistes de l'AFP vous disent le contraire, testez leur bonne foi en leur demandant ces garanties, ces preuves.
S'ils n'ont rien à cacher et si ce que je dis est faux, cette garantie vous sera fournie et prouvera leur bonne foi.
Il faut exiger que les résultats RT-PCR soient restitués en mentionnant le Ct utilisé car au-delà de Ct 30, un test RT-PCR positif ne veut rien dire. Il faut écouter les scientifiques et les médecins, spécialistes, virologues qui préconisent l'utilisation de Ct adapté, inférieur, à 30 . Une alternative consiste à obtenir le nombre de copies d’ARN viral/μl ou /ml d’échantillon. [23] Il faut remonter au patient, à la personne, à son état clinique (présence ou absence de symptômes) et à partir de là juger de l'opportunité du test et de la meilleure façon d'interpréter le résultat. Jusqu’à ce qu’il y ait une meilleure justification pour le dépistage par PCR, avec un seuil Ct connu et approprié, une personne asymptomatique ne devrait en aucun cas être testée.
À une sorte de piège cognitif emprisonnant leur ego ?
En tout cas, nous devrions pouvoir les remettre en question, et si parmi les lecteurs de cet article il y a encore des journalistes honnêtes, ou des politiciens naïfs, ou des gens qui ont la possibilité de remettre en question nos dirigeants, alors faites-le en utilisant ces informations claires et scientifiques. arguments.
Il est d’autant plus incompréhensible que nos dirigeants se soient entourés de spécialistes parmi les plus expérimentés en la matière.
Si j'ai pu recueillir moi-même ces informations, partagées, je le rappelle, par des personnes compétentes au-dessus de tout soupçon de complot, comme Hélène Banoun, Pierre Sonigo, Jean-François Toussaint, Christophe De Brouwer, dont l'intelligence, l'honnêteté intellectuelle et la légitimité ne peut être remis en question, alors les conseillers scientifiques belges, français, québécois, etc., le savent aussi.
Donc ?
Que se passe-t-il ?
Pourquoi continuer dans cette direction déformée, en faisant obstinément des erreurs ?
Il n'est pas anodin de réimposer confinements, couvre-feux, quarantaines, réductions des bulles sociales, de bousculer à nouveau nos économies chancelantes, de plonger des familles entières dans la précarité, de semer tant de peur et d'anxiété générant un véritable état de stress post-traumatique à l'échelle mondiale, de réduire l’accès aux soins pour d’autres pathologies qui réduisent pourtant l’espérance de vie bien plus que le COVID-19 ! [24]
Y a-t-il une intention de nuire ?
Y a-t-il une intention d’utiliser l’alibi d’une pandémie pour amener l’humanité vers un résultat qu’elle n’aurait jamais accepté autrement ? En tout cas, pas comme ça !
Cette hypothèse, que les censeurs modernes s’empresseront de qualifier de « complot », serait-elle l’explication la plus valable de tout cela ?
En effet, si l'on tire une ligne droite des événements actuels, s'ils se maintiennent, nous pourrions nous retrouver une fois de plus confinés avec des centaines, des milliers d'êtres humains contraints de rester inactifs, ce qui, pour les métiers de la restauration, du spectacle, de la vente, de la fête foraine, itinérants, solliciteurs, risque d'être catastrophique avec des faillites, du chômage, des dépressions, des suicides par centaines de milliers. [25-26-27-28]
L'impact sur l'éducation, sur nos enfants, sur l'enseignement, sur la médecine avec des soins planifiés depuis longtemps, des opérations, des traitements qui seront annulés, reportés, sera profond et destructeur.
« Nous risquons de sombrer dans une crise alimentaire si des mesures ne sont pas prises rapidement. » [29].
Il est temps que tout le monde sorte de cette transe négative, de cette hystérie collective , car la famine, la pauvreté, le chômage massif vont tuer, faucher bien plus de personnes que le SARS-CoV-2 !
Tout cela a-t-il un sens face à une maladie en déclin, surdiagnostiquée et mal interprétée par cette utilisation abusive de tests PCR calibrés de manière trop sensible ?
Pour beaucoup, le port continu du masque semble être devenu une nouvelle norme.
Même si elle est constamment minimisée par certains professionnels de santé et journalistes fact-checkeurs, d'autres médecins alertent sur les conséquences néfastes, tant médicales que psychologiques, de cette obsession hygiénique qui, entretenue en permanence, est en fait une anomalie !
Quelle entrave aux relations sociales, qui sont le véritable fondement d’une humanité physiquement et psychologiquement saine !
Certains osent trouver tout cela normal, ou un moindre prix à payer face à la pandémie de tests PCR positifs.
Isolement, distanciation, masquage du visage, appauvrissement de la communication émotionnelle, peur des attouchements et des baisers même au sein des familles, des communautés, entre proches…
Des gestes spontanés de la vie quotidienne gênés et remplacés par des gestes mécaniques et contrôlés…
Des enfants terrifiés, maintenus dans une peur et une culpabilité permanentes…
Tout cela aura un impact profond, durable et négatif sur les organismes humains, dans leur représentation physique, mentale, émotionnelle et du monde et de la société.
Nous ne pouvons plus laisser nos dirigeants, pour quelque raison que ce soit, organiser notre suicide collectif.
Traduit du français par Global Research. Source originale : Mondialisation.ca
Le Dr Pascal Sacré est médecin spécialisé en soins intensifs, auteur et analyste de santé publique renommé, Charleroi, Belgique. Il est chercheur associé à l'Entre de Recherche sur la Mondialisation (CRG)
* * * *
Professionnels dont les références et commentaires constituent la base de cet article dans son aspect scientifique (notamment et principalement sur la RT-PCR) :
[6] « La vérité sur le kit de test PCR de l'inventeur et d'autres experts »
[7] PCR en microbiologie : de l'amplification de l'ADN à l'interprétation du résultat
[8] COVID : La PCR nasale peut-elle mentir ? , Dr Pascal Sacré, AIMSIB, 30 août 2020.
[9] https://www.youtube.com/watch?v=CaAcSJI0oMs&feature=youtu.be , 8 octobre 2020. Évolution génomique des virus ARN à l'Institut Pasteur , environ la moitié des nucléotides sont susceptibles d'avoir muté sur les 30 000 nucléotides de l'ARN viral. « Pour l'instant aucune mutation ou délétion n'a été associé à une perte de sévérité de la maladie sur une grande échelle géographique mais de nombreuses publications devraient préciser bientôt ces points. »
[10] https://www.mediterranee-infection.com/wp-content/uploads/2020/04/FD_Raoult_SARS-CoV-2_EID_Sep2020_vL2.pdf , Article IHU-Méditerranée , Professeur D. Raoult, Augmentation spectaculaire du SRAS-CoV Taux de mutation -2 et faible taux de mortalité lors de la deuxième épidémie de l'été à Marseille, le 7 septembre 2020
Conclusions :
Dans l'ensemble, comme l'ont récemment souligné Tomaszewski et al. (7) qui ont décrit pour les génomes viraux disponibles jusqu'en mai 2020 un déplacement mutationnel sur la pointe et le complexe de réplication vers des gènes codant pour d'autres protéines non structurelles qui interagissent avec les voies de défense de l'hôte, il semble que le taux de mutation du SARS-CoV-2 s'accélère depuis mai, impliquant principalement des mutations C vers U. L'augmentation du taux de mutation du SRAS-CoV-2 génère des génotypes viraux plus éloignés de la souche Wuhan initiale que ceux observés de mars à avril. Cela semble entraîner des épidémies de durée limitée, du moins pour le premier nouveau génotype que nous avons identifié, et est associé à une gravité globalement moindre à ce stade du développement de cette nouvelle épidémie.
Les mutations observées dans ces sept génotypes viraux différents sont localisées dans la plupart des gènes du SRAS-CoV-2, y compris les gènes structurels et non structurels parmi lesquels nsp2, nsp3 (phosphoestérase prédite), nsp5 (glycoprotéine membranaire), nsp12 (ARN polymérase ARN-dépendante), S (glycoprotéine Spike), ORF3a, E (glycoprotéine membranaire), M (glycoprotéine membranaire), ORF8 et N (phosphoprotéine nucléocapside).
[11] https://www.researchgate.net/profile/Helene_Banoun Evolution of SARS-CoV-2 : Review of mutations, role of the host immune system , octobre 2020, mise à jour par Hélène Banoun,
PhD, Pharmacien biologiste, ancien Chargé de Recherches INSERM, ancien Interne des Hôpitaux de Paris.
[12] https://nextstrain.org/ , Nous intégrons les génomes du SRAS-CoV-2 dès qu'ils sont partagés et fournissons des analyses et des rapports de situation. En outre, nous avons développé un certain nombre de ressources et d'outils et aidons des groupes indépendants à mener leur propre analyse. Veuillez consulter la page principale du SRAS-CoV-2 pour en savoir plus.
[13] Tutoriel prélèvement nasopharyngé : Un geste technique, essentiel à la fiabilité du test COVID-19
[14] Covid-19 : comment fonctionnent les tests et quelles sont leurs utilités ?
[15] COMMENT FONCTIONNENT LES TESTS DE DÉPISTAGE DU COVID-19 ? 7 avril 2020, Laboratoire de biologie et pharmacologie appliquée (LBPA), Clémence Richetta , maître de conférences au département biologie de l'ENS Paris-Saclay et chercheuse en virologie au LBPA : https://www.youtube.com/watch?v =hNVDHCf8bGA
Chercheur indépendant, PhD 9
Ancien chercheur à l'INSERM (Institut français de la santé et de la recherche médicale)
[16] Par Pierre Sonigo, virologue (un des découvreurs du VIH), MD PhD, CSO à Sebia, diagnostic clinique
Diagnostic du COVID19 : comprendre les tests PCR, leur interprétation et leurs limites , publié le 16 septembre 2020
La PCR utilise un principe très particulier : la cible du test, un fragment d'ARN viral, est massivement amplifié afin de permettre sa détection. Au cours de l'analyse, une réaction enzymatique associée à des « cycles » de variation de température permet une série de « réplications » successives de l'acide nucléique cible. Chaque cycle correspond à une multiplication théorique de la cible par 2. On multiplie donc par 2 en un cycle, par 4 en 2 cycles, par 8 en 3 cycles, par 16 en 4 cycles, et ainsi de suite de manière exponentielle. A l'heure actuelle, l'amplification est généralement pratiquée sur 40 cycles, soit une amplification théorique de 2^40, environ mille milliards de fois ! En réalité, la réplication n'est pas efficace à 100%, mais la cible est amplifiée environ un million de fois,
Lorsque l'acide nucléique viral est détectable après un petit nombre de cycles, cela signifie que la quantité de virus dans l'échantillon de départ est grande. Au contraire, lorsqu'il faut un grand nombre de cycles de réplication pour détecter l'ARN viral, cela signifie que l'échantillon de départ contient une quantité de virus très faible. On parle alors en nombre de cycles, ou Ct, qui signifie « cycle time », pour définir, au moins de façon semi quantitative, la quantité d'ARN présente dans l'échantillon de départ. Ainsi, un petit Ct correspond à un grand nombre de copies, un grand Ct à un petit nombre de copies.
Cette sensibilité spectaculaire n'est pas sans inconvénient et nécessite des précautions particulières. En effet, un échantillon positif amplifié un million de fois contient une très haute concentration de cible et le risque qu'il contamine (carry over) d'autres échantillons est particulièrement élevé. La saturation des laboratoires peut encore accroître ce risque et générer des faux positifs accidentels. Dans ces conditions, il est important que les résultats positifs soient confirmés par un deuxième test, à plus forte raison lorsqu'un test positif présente des conséquences significatives, qu'elles soient médicales, professionnelles ou liées à l'obligation d'isolement.
Explosif – Analyse des causes d’invalidité et de décès dus aux vaccins COVID
Introduction de Peter Koenig Par le Dr Anita Baxas et Peter Koenig Recherche mondiale, 23 septembre 2023
« Voix dissidente »
Dans une analyse explosive et extraordinaire, le Dr Anita Baxas, MD , explique les multiples causes de blessures et de décès dus aux injections de covid dans le monde. On estime que 20 millions de personnes sont mortes et 2 milliards ont été blessées (événements indésirables) dans le monde. Et cela après seulement 2 ans et demi de faux et mortels vaccins covid forcés.
Le Dr Baxas explique que la protéine Spike, comme toute protéine étrangère au corps, peut amener le système immunitaire à produire des anticorps contre elle.
Cela peut expliquer les dommages causés aux cellules et, en fin de compte, aux tissus qu’elles forment, tels que la paroi interne des vaisseaux sanguins, le muscle cardiaque, les reins, les ovaires, les testicules et pratiquement tout organe qui présente la protéine Spike.
Cela peut également expliquer l'inflammation, la myocardite, les complications vasculaires telles que les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux, le brouillard cérébral, l'embolie pulmonaire, la perte soudaine de la vision, de l'audition, les amputations de membres dues à la dysfonction érectile – et bien d'autres maladies, pas immédiatement liées aux injections de covid, mais aux déficits immunitaires provoqués par les injections.
En fin de compte, cela peut expliquer les symptômes d’une maladie auto-immune et une réponse immunitaire accrue, épuisant éventuellement le système immunitaire, conduisant à un déficit immunitaire.
Voir le rapport complet du Dr Baxas ci-dessous.
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Le NYT Covid Tracker a estimé en mars 2023 que plus de 5,55 milliards de personnes, soit 72,3 % de la population mondiale, ont reçu au moins deux injections de poison Vaxx. Voyez ceci .
Selon Michael Yeadon , ancien vice-président et chef de la recherche de Pfizer, le bilan réel des morts se manifestera trois à dix ans après les injections de covid et les « rappels ». En plus de l'effet vaxx direct, chaque injection de « suivi » de protéine de pointe d'ARNm perturbera et diminuera également le système immunitaire des personnes et entraînera par conséquent de nombreux décès pour diverses causes.
À plusieurs reprises, le Dr Yeadon a exprimé sa préoccupation selon laquelle les gens devraient à tout prix s’abstenir des injections de covid, ou du moins éviter les injections de « rappel ». Voyez ceci et ceci et cela .
Prendre conscience
Il n'est jamais trop tard pour prendre conscience et être proactif contre un système tueur qui veut réduire considérablement l'humanité, convertir les survivants en transhumains robotisés soumis à l'intelligence artificielle (IA) – et numériser complètement la matrice verrouillée du monde.
Nous NE DEVONS en aucun cas permettre au WEF, à l’OMS et aux Nations Unies de faire adopter la révision en 94 points prévue du Règlement sanitaire international (RSI), qui comprend le Traité sur la pandémie, donnant à l’ONU et à l’OMS le pouvoir de décider des réglementations sanitaires. au-delà de la souveraineté nationale des plus de 190 pays membres.
Cela impliquerait également des certificats et des identifiants numériques Vaxx reconnus et reconnaissables dans le monde entier.
Cela transformerait l’OMS et l’ONU en une tyrannie sanitaire internationale.
Ces mesures sont actuellement débattues à huis clos lors de l’Assemblée générale de l’ONU, du 19 au 26 septembre 2023.
Mise à jour : Juste dans : Le président de l'Assemblée générale des Nations Unies approuve la déclaration sur la pandémie – Les experts en matière de protection de la vie privée mettent en garde contre le « goulag numérique » (20 septembre 2023), voir ceci .
Si nous nous levons à l’unisson et solidairement – et dans un esprit de PAIX – nous pouvons mettre fin à ce gigantesque crime contre l’humanité .
Peter Koenig , 21 septembre 2023
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Quelles sont les causes de la mort et Le handicap dans les Shots COVID ?
Y a-t-il quelque chose de caché à l’intérieur qui pourrait provoquer l’illusion de la « prochaine pandémie » ?
Par Dr Anita Baxas
Les experts estiment que 20 millions de personnes sont mortes et 2 milliards ont été blessées à cause des injections de Covid 1 . Le spectre des symptômes dont souffrent les gens après avoir reçu les vaccins Covid est très large. Cela indique qu'il existe plusieurs ingrédients non divulgués dans les injections qui, seuls ou en combinaison les uns avec les autres, peuvent causer cette grande variété de problèmes de santé.
Des chercheurs sur cinq continents ont examiné les flacons et le sang des personnes injectées. Jusqu’à présent, les causes suivantes de décès et d’invalidité ont été découvertes, même si tous leurs effets ne sont pas encore complètement connus. 2 Au bas de l'article, vous trouverez un tableau répertoriant les systèmes organiques affectés et les symptômes/maladies qui les affectent ainsi que le(s) ingrédient(s) le plus susceptible de causer les problèmes.
ARNm (ARN modifié, PAS ARN messager)
Tous les flacons examinés ne contenaient pas d’ARNm, mais nous devons supposer que la majorité en contient. Il est transporté à travers les membranes cellulaires dans la cellule et, comme l' ont découvert des chercheurs suédois 3 , également dans le noyau où il peut être inséré dans l'ADN via une enzyme appelée transcriptase inverse. Il est censé forcer la cellule à fabriquer des protéines de pointe qui sont ensuite exprimées à l'extérieur de la membrane cellulaire. Là, il attire des anticorps qui finissent par détruire non seulement la protéine Spike, mais également la cellule qui la présente.
La protéine Spike serait l’enveloppe externe du virus. Comme il n’existe aucune preuve de l’existence des virus, la question se pose de savoir pour quoi l’ARNm est codé. L’ARNm et l’ADN sont essentiellement des modèles permettant aux cellules de produire des chaînes d’acides aminés. Deux ou plusieurs chaînes d'acides aminés courtes constituent les peptides et plusieurs peptides constituent les protéines. Toute protéine étrangère au corps amènera le système immunitaire à produire des anticorps contre elle. La question de savoir pour quelle protéine code l’ARNm contenu dans les injections reste une question ouverte.
Cela peut expliquer les dommages causés aux cellules et, en fin de compte, aux tissus/organes qu’elles forment, tels que la paroi interne des vaisseaux sanguins, le muscle cardiaque, les reins, les ovaires, les testicules et essentiellement tout organe qui présente la protéine de pointe. Cela peut expliquer l'inflammation, la myocardite, les complications vasculaires telles que les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux, le brouillard cérébral, l'embolie pulmonaire, la perte soudaine de la vision, de l'audition, les amputations de membres liées à la dysfonction érectile. Cela peut également expliquer les symptômes d’une maladie auto-immune et une réponse immunitaire accrue, qui finit par épuiser le système immunitaire, entraînant un déficit immunitaire.
Lipides Nano Particules LNP alias Hydrogel 4-9
Il s’agit censément d’un moyen de transport inoffensif pour amener l’ARNm dans la cellule. Les brevets découverts par Karen Kingston montrent cependant qu’ils sont bien plus que cela. Ils peuvent construire des « choses » et être dirigés par des stimuli extérieurs comme la température, les champs électriques et magnétiques, éventuellement par des signaux envoyés via la 5G (?). Ils peuvent servir de plateformes de capteurs et d’émetteurs. Ils pourraient être à l’origine de caillots fibreux arrachés par les coroners et les embaumeurs. Le Dr Ana Maria Mihalcea MD, PhD ainsi que le Dr Shelton en Australie, le Dr Nixon en Nouvelle-Zélande, les chercheurs de La Quinta Columna en Espagne, Shimon Yanowitz en Israël et d'autres ont photographié des structures qui ressemblent à des puces informatiques assemblées sous le influence des champs électromagnétiques.
Ces hydrogels pourraient être responsables de symptômes de coagulation car ils sont suspectés de former des caillots fibreux (et non des caillots sanguins). Ceux-ci incluent les mêmes symptômes que ceux provoqués par les protéines de pointe. Ils peuvent être responsables du déclin spirituel et des changements de personnalité ainsi que des symptômes neurologiques comme les convulsions.
Certes, du tissu fœtal humain a été utilisé pour créer les clichés. Le Dr Robert Young a déclaré que cela est utilisé pour conduire ou diriger le LNP avec l'ARNm vers des tissus particuliers du corps. Grâce à ma formation médicale en thérapie cellulaire fœtale (en utilisant des tissus cellulaires fœtaux animaux – JAMAIS humains) pour traiter une variété de maladies dites incurables, j'ai vu des études réalisées au début des années 50 et 70 prouvant que les cellules fœtales migrent vers les tissus de leur origine. Ainsi, lorsque nous injections des cellules hépatiques fœtales de veau par voie intramusculaire, ces cellules migrent vers le foie pour guérir l’organe du patient. Par conséquent, les fabricants de « vaccins » utilisent le tissu fœtal comme moteur pour diriger les LNP chargées d’ARNm et probablement de graphène vers des tissus particuliers. Le tir n’allait jamais rester uniquement dans le muscle deltoïde où l’injection était placée. Ils ont délibérément ciblé certains systèmes organiques tels que les ovaires, les testicules et le cerveau. La fertilité de la race humaine a été délibérément ciblée comme moyen de dépeuplement. Une analyse récente du professeur Konstantin Beck de l'Université de Lucerne, en Suisse, du 6 juin 2023, montre clairement une réduction des taux de natalité d'environ 10 % en Allemagne et en Suisse. Cela était dû à l'augmentation des mortinaissances, principalement dans les 9 mois suivant la première campagne de « vaccination ». Un rapport britannique vient également de confirmer une augmentation des mortinaissances. Cela était dû à l'augmentation des mortinaissances, principalement dans les 9 mois suivant la première campagne de « vaccination ». Un rapport britannique vient également de confirmer une augmentation des mortinaissances. Cela était dû à l'augmentation des mortinaissances, principalement dans les 9 mois suivant la première campagne de « vaccination ». Un rapport britannique vient également de confirmer une augmentation des mortinaissances.
Comme il est possible que le graphène soit également enfermé dans l’hydrogel, il pourrait être un cofacteur des problèmes de fertilité. Le tissu fœtal est le chauffeur de taxi, l'hydrogel est la cabine et l'ARNm et très probablement le graphène sont les passagers.
Oxyde de graphène
J'ai déjà écrit sur les effets du graphène sur le corps humain dans mon premier Substack. Voici un bref résumé des effets du graphène sur le corps :
Destruction physique des membranes cellulaires : Agit comme des lames de rasoir, coupant les membranes cellulaires.
Dommages causés par les radicaux libres : dégradation des lipides de la membrane cellulaire, cassure et mutation de l'ADN, fragmentation chromosomique, dénaturation des protéines, déformation des paires de bases terminales des chromosomes. Dysfonctionnement mitochondrial, vieillissement, mutagenèse, carcinogenèse. Réduit les antioxydants glutathion et SOD, augmente le malonaldéhyde radical libre.
Inflammation : élévation des cytokines pro-inflammatoires IL-6, 12, facteur de nécrose tumorale alpha, facteur nucléaire Kappa bêta. Active la réponse immunitaire avec les monocytes, les macrophages, les cellules T Helper 1+2 et les détruit.
Apoptose : déclenche des mécanismes dans la cellule pour induire la mort cellulaire, la nécrose
Modifie l'expression des gènes : effets épigénétiques par hyperméthylation ou hypométhylation de l'ADN
Forme de gros agrégats bloquant les vaisseaux sanguins Agrégation plaquettaire formant des thrombus (caillots sanguins) Retarde le développement du tissu cérébral chez le fœtus en diminuant la synthèse de l'ARN et de l'ADN Retarde la formation de vaisseaux sanguins dans le cœur du fœtus, conduisant à une hypoxie Conduit à l'avortement et à la mort de la mère chez les souris gravides Hémolyse (globules rouges détruits) Cytotoxique pour les lymphocytes T (toxique pour les cellules immunitaires appelées lymphocytes T) Diminue l'adhésion cellulaire, modifie la morphologie cellulaire conduisant à la dégradation cellulaire Diminue l'expression des gènes responsables de la structure et de la fonction des membranes cellulaires, de la régulation du cytosquelette, de l'endocytose et de l'adhésion focale. La fonction cellulaire devient dérégulée. La viabilité des cellules du cancer du côlon s'améliore grâce à l'oxyde de graphène ! Affecte l'activité locomotrice, l'équilibre, la coordination neuromusculaire Interactions électrostatiques avec les globules rouges (formation de Rouleau, agrégation) Chercheurs en Chine 10a étudié les effets du graphène sur le corps. En gros, il peut aller partout, passer la barrière hémato-encéphalique, la barrière placentaire, les barrières pulmonaires et testiculaires. Selon le mode d'administration (oral, intraveineux, sous-cutané, intratrachéal (dans la trachée), intrapéritonéal-dans l'abdomen), on le retrouve dans les poumons, le foie, la rate, la moelle osseuse et les vaisseaux sanguins.
Il pénètre les membranes cellulaires, le noyau et les mitochondries. Les particules plus grosses peuvent rester coincées dans les vaisseaux sanguins. Il détruit les membranes cellulaires, brise les brins d’ADN, mute l’ADN, fragmente les chromosomes et détruit les protéines. Cela provoque un dysfonctionnement des mitochondries, réduisant ainsi la production d’énergie cellulaire. Cela provoque le vieillissement et le cancer. Il provoque une inflammation massive et augmente les cytokines inflammatoires Interleukine 6, 12, Tumor Necrosis Factor et Nuclear Factor Kappa Beta. Il active les cellules immunitaires et les détruit. Cela déclenche la nécrose cellulaire et la mort cellulaire conduisant à une défaillance des organes.
Le graphène peut être responsable d'un effondrement du système immunitaire, d'une inflammation, de lésions de plusieurs organes, notamment des vaisseaux sanguins conduisant à des caillots sanguins et à une thrombocytopénie (manque de plaquettes sanguines dû à un saignement excessif, utilisant les plaquettes plus rapidement qu'elles ne peuvent être produites, entraînant un saignement plus excessif). De nombreux symptômes neurologiques peuvent être causés non seulement par une réduction du flux sanguin vers le système nerveux central en raison des protéines de pointe et des hydrogels, mais également par des dommages directs au tissu nerveux causés par le graphène. Ceux-ci incluent la paralysie (y compris la paralysie de Bell), les symptômes de la maladie de Parkinson, la SEP, les symptômes de Guillain Barré, les mouvements incontrôlables des membres et d'autres symptômes neurologiques. Le graphène sera également responsable de malformations fœtales et de mortinaissances ainsi que d'infertilité. L’effondrement du système immunitaire ainsi que les dommages causés à l’ADN pourraient expliquer l’augmentation massive des cancers observés dans la population injectée. Les dommages mitochondriaux expliquent la fatigue chronique et le brouillard cérébral.
Le graphène transportait des charges utiles qui pouvaient être libérées par activation à distance via des téléphones mobiles. Est-ce la prochaine « pandémie » ?
Un nouvel article vient d'être publié dans Science Direct 11expliquant comment l'oxyde de graphène peut être utilisé pour transporter des charges utiles telles qu'un produit pharmaceutique (et peut-être une toxine puissante, une arme biologique, un produit chimique de guerre ?), puis déclenché pour libérer la charge utile à distance via un téléphone mobile. Le graphène a non seulement été injecté avec le faux vaccin, mais a également été trouvé sur des masques et des écouvillons nasaux. Les implications de cela sont effrayantes. Des soupçons circulent selon lesquels la prochaine « pandémie » serait celle du virus de Marburg ou du virus Ebola. Puisqu'il n'y a aucune preuve que les virus existent (voir mon dernier article Substack), regardons quelles toxines pourraient provoquer des symptômes pouvant être attribués à ces deux virus. Les symptômes les plus importants de « l’infection » de Marburg sont la fièvre, la myalgie (douleurs musculaires), les maux de tête, les nausées, les vomissements, la douleur, la diarrhée, la toux, les douleurs thoraciques, les maux de gorge, la jaunisse, l’enflure des ganglions lymphatiques, le délire, la stupeur, le coma, les saignements. éruption cutanée, défaillance de plusieurs organes. La plupart de ces symptômes sont liés au fait que le corps essaie de se désintoxiquer.
Le venin des serpents crotalidés et viparidés peut provoquer des saignements diffus de la peau et des organes internes 12 . Les anticoagulants tels que la warfarine, qui est également utilisée dans la mort-aux-rats, provoquent des saignements disséminés. Les endotoxines provenant de bactéries à Gram négatif telles que E. Coli, Pseudomonas, Klebsiella, Salmonella et d'autres peuvent provoquer une coagulation intravasculaire généralisée (coagulation du sang à l'intérieur des vaisseaux sanguins), entraînant une diminution rapide des facteurs de coagulation sanguine et des plaquettes, ce qui provoque alors un saignement généralisé. Il peut exister des poisons inconnus, sauf dans des laboratoires top secrets, qui pourraient provoquer des symptômes de Marburg et d'Ebola.
Il existe ensuite des fréquences électromagnétiques qui peuvent inhiber la coagulation sanguine, entraînant une augmentation des saignements. Cette question a été étudiée en 2001 en Pologne 13 et en 2022 en Géorgie 14 . Nous savons également que les CEM peuvent provoquer des symptômes pseudo-grippaux qui sont principalement une réaction de désintoxication, comme détaillé dans le dernier article de Substack.
Il est important de ne considérer aucune information du gouvernement comme véridique au cas où la prochaine plandémie se déroulerait avec des symptômes attribués à des virus tels que Ebola et Marburg.
Métaux toxiques
On les retrouve dans la plupart des vaccins. Beaucoup sont des neurotoxines provoquant des problèmes neurologiques, mais elles interfèrent également avec le métabolisme cellulaire normal. En plus de provoquer des problèmes neurologiques, ils peuvent également interférer avec le système électrique du cœur, provoquant des palpitations.
Jusqu'à présent, de l'aluminium, de l'antimoine, du baryum, du titane, du césium et du thulium ont été trouvés dans des flacons.
Un parasite ici et là Le Dr Robert Young a trouvé un parasite dans l'un des flacons appelé Trypanosoma Cruzi.
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Le Dr Robert Young a trouvé Trypanosoma Cruzi dans un flacon Pfizer sous son microscope. Trypansosoma Brucei a également été découvert, ce qui provoque la maladie du sommeil. T. Brucei est l'un des rares agents pathogènes connus pour traverser la barrière hémato-encéphalique.
Trypanosoma Cruzi est à l'origine de la maladie de Chagas :
L'infection aiguë est suivie d'une période de latence qui peut rester asymptomatique ou évoluer vers une maladie chronique. L'infection pendant la grossesse entraîne une mortinatalité, un avortement ou une maladie néonatale chronique. La maladie de Chagas aiguë est mortelle. La mort résulte d'une myocardite aiguë avec insuffisance cardiaque ou méningo-encéphalite. La maladie chronique a des effets cardiaques et gastro-intestinaux avec une cardiomyopathie chronique avec insuffisance cardiaque, syncope, mort subite, thromboembolie. Dans le tractus gastro-intestinal, cela peut provoquer une hypertrophie de l’œsophage, provoquant une dysphagie et un mégacôlon avec difficulté à évacuer les selles.
Trypanosoma Brucei provoque la maladie du sommeil africaine :
Provoque une fièvre intermittente, des maux de tête, des frissons, une éruption cutanée rouge circulaire et un gonflement des ganglions lymphatiques. Incapacité de concentration, changements de personnalité (lassitude, indifférence), somnolence diurne, tremblements, ataxie, excès alimentaires, coma terminal.
Les entrées dans le système VAERS corroborent les conclusions du Dr Young. L’un d’eux parle d’une femme qui donne régulièrement son sang et dont le sang s’est révélé positif au parasite Trypanosoma cruzi après sa deuxième vaccination.
Jusqu’à présent, ce sont les seuls rapports et découvertes sur les parasites. Des recherches supplémentaires sont nécessaires.
Une équipe de recherche italienne a examiné 1 006 échantillons de sang. 12 Des échantillons ont été prélevés sur des patients avant et après la vaccination. 94,23 % avaient du sang anormal ! 15
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Vous trouverez ci-dessous un tableau indiquant les systèmes organiques concernés, les symptômes/maladies connus et la cause probable de ceux-ci.
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Personnellement, je soupçonne qu'il y a d'autres ingrédients encore inconnus dans les injections, car l'ARNm et le graphène ne peuvent pas expliquer complètement les affections cutanées trouvées chez les patients injectés. Ils ne constituent pas non plus une explication complète de certains des problèmes spirituels rencontrés par de nombreux guérisseurs énergétiques, tels que l'aura déchirée, mince, les énergies sombres entourant leurs clients et bien d'autres problèmes (voir l'article sur les implications spirituelles des faux vaccins Covid ) .
Il existe des traitements naturels qui peuvent atténuer, voire guérir, de nombreux problèmes causés par les injections. Le principal problème est que les médecins intégrateurs/alternatifs, les infirmières praticiennes et les assistants médicaux travaillent généralement dans de petits cabinets privés et n'ont pas les ressources nécessaires pour faire des études. Ils se démènent tous pour trouver les meilleures options de traitement pour leurs patients et beaucoup ont peur de les partager publiquement, de peur de perdre leur permis d’exercice. J'ai eu une conversation avec un médecin intégrateur à propos de son expérience. Vous pouvez le lire ici .
Je parlerai avec davantage de collègues et publierai leurs approches et expériences de traitement dans de prochains articles.
Pour obtenir un bref aperçu des traitements possibles, consultez www.vaccineinjuryrecoveryproject.com.
2. Que contiennent les « vaccins » contre le COVID-19 ? Partie 1 : Preuve d'un crime mondial contre l'humanité. Revue internationale de théorie, de pratique et de recherche sur les vaccins 2(2), 3 septembre 2022 Page 586
3. Transcription inverse intracellulaire du vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 de Pfizer BioNTech in vitro dans une lignée cellulaire hépatique humaine, Département des sciences cliniques, Université de Lund, 20502 Malmö, Suède Médecine des infections, Département des sciences cliniques, Université de Lund, 22362 Lund, Suède Curr . Problèmes Mol. Biol. 2022 , 44 (3), 1115-1126 ; https://doi.org/10.3390/cimb44030073
4. Les perturbations de la membrane cellulaire induites par l’hydrogel permettent la livraison cytosolique directe d’une cargaison imperméable à la membrane. Advanced Materials/ Volume33, Numéro 30/ 2008054 9 juin 2021 Jelter Van Hoeck et al.
5. Une nouvelle classe de matériaux biologiques : les échafaudages d’hydrogel dérivés de la membrane cellulaire. Biomatériaux Vol. 197, mars 2019, pages 244-254. Zhiyuan Fan et coll.
6. Principes d’optimisation et de validation des vaccins à nanoparticules lipidiques d’ARNm contre le COVID-19 à l’aide de la bioimpression 3D. Nano aujourd'hui, Vol. 43, avril 2022, 101403 Massimiliano Papi et al.
7. Vaccins à ARNm contre les variantes du SRAS-CoV-2 délivrés par des nanoparticules lipidiques basées sur de nouveaux lipides ionisables. Advanced Functional Materials/Early view/ 2204692, 19 juillet 2022, Kepan Chen et al.
8. Hydrogels intelligents en ingénierie tissulaire et médecine régénérative, Materials 2019,12,3323 doi:10.3390/ ma12203323, Somasundar Mantha et al.
9. Demande d'utilitaire USPTO Ser.No. 12/399 906. Dynamic Bio-Nanoparticle Elements déposé le 6 mars 2009.
10. Toxicité des nanoparticules de la famille du graphène : un aperçu général des origines et des mécanismes. Toxicologie des particules et des fibres (216) 13:57 DOI 10.1186/s12989-016-0168-y Lingling Ou et al.
12. Toxines hémorragiques provenant des venins de serpent, Jon Bragi Bjarnason et Jay William Fox, pages 121-209 | Publié en ligne : 28 septembre 2008 https://doi.org/10.3109/15569548809059729
13. L'effet des champs électromagnétiques sur la coagulation sanguine et la fibrinolyse chez l'homme], E Kazimierska, Pol Merkur Lekarski 2001 janvier ; 10 (55) : 9-11. PMID : 11320559
14. Électromagnétisme, flux sanguin et coagulation Merab Beraia , Département IRM de Guram Beraia , Institut de médecine clinique, Tbilissi, Géorgie . Université médicale d'État de Tbilissi, Tbilissi, Géorgie . DOI : 10.4236/jbise.2022.157017
15. Analyse microscopique en champ sombre sur le sang de 1006 personnes symptomatiques après injections d’ARNm anti-COVID de Pfizer/BioNtech ou Moderna. Journal international de théorie, de pratique et de recherche sur les vaccins. Franco Giovannini, MD, Riccardo Benzi Cipelli MD,DDS et Gianpaolo Pisano MD, OHNS 2(2), 12 août 2022 Page 385
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Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l'Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans à travers le monde. Il enseigne dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l'auteur de Implosion – Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l'environnement et la cupidité des entreprises ; et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes : From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » ( Clarity Press – 1er novembre 2020).
Peter est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est également chercheur principal non-résident de l'Institut Chongyang de l'Université Renmin de Pékin.
La maladie d'Alzheimer, désormais l'une des principales causes de décès aux États-Unis, devient de plus en plus répandue
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 24 SEPTEMBRE 2023 - 05h30
La maladie d’Alzheimer est désormais l’une des principales causes de décès aux États-Unis, selon les Centers for Disease Control and Prevention.
La maladie d’Alzheimer est une maladie cérébrale dégénérative et incurable qui touche principalement les personnes âgées.
Les premiers symptômes incluent une perte de mémoire et des erreurs de jugement, mais à un stade ultérieur, ils peuvent également évoluer vers des problèmes touchant un plus large éventail de fonctions, telles que l'équilibre, la respiration et la digestion.
Comme Anna Fleck de Statista le détaille ci-dessous, alors que les maladies cardiaques, le cancer et le Covid-19 ont fait de loin le plus grand nombre de morts en 2021 (qui étaient les dernières données disponibles), la maladie d'Alzheimer s'est classée au septième rang avec 119 399 décès cette année-là, ce qui équivaut à à 31 personnes pour 100 000 habitants.
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Infographie : La maladie d'Alzheimer est l'une des principales causes de décès aux États-Unis | Statiste Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Le taux de personnes mourant de la maladie d’Alzheimer aux États-Unis a plus que doublé entre 2000 et 2019, selon le dernier rapport de l’Alzheimer’s Association.
Alors qu’au tournant du millénaire, 17,6 personnes sur 100 000 en moyenne mouraient de démence, ce chiffre est passé à 37 pour 100 000 près de deux décennies plus tard.
- voir graph sur site -
Infographie : La maladie d’Alzheimer devient de plus en plus répandue | Statiste Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Selon l’Association Alzheimer, cela est probablement dû au vieillissement de la population, puisque l’âge est le facteur de risque prédominant de la démence d’Alzheimer. Cependant, notent-ils, cela pourrait également refléter une augmentation du nombre de diagnostics formels de la maladie ou même du nombre de médecins signalant la maladie d’Alzheimer comme cause de décès.
Les analystes de l'association prévoient que d'ici 2025, le nombre de personnes âgées de 65 ans et plus atteintes de démence d'Alzheimer aux États-Unis pourrait atteindre 7,2 millions, et jusqu'à 13,8 millions d'ici 2060, s'il n'y avait pas de percées médicales pendant cette période pour prévenir, ralentir ou guérir la maladie.
À cet égard, les sociétés pharmaceutiques ont un certain nombre de médicaments en cours de développement, ciblant différents symptômes, de l’inflammation aux voies de plasticité synaptique/neuroprotection.
Selon AgingCare, les dommages neurologiques et la faiblesse musculaire peuvent amener les patients à avoir des difficultés à gérer même des mouvements simples, comme avaler de la nourriture, sans aide. Il s'agit de la cause de décès la plus fréquente chez les patients atteints de la maladie d'Alzheimer, car elle peut entraîner l'inhalation d'aliments ou de liquides dans les poumons, ce qui peut conduire à une pneumonie, car il est plus difficile de combattre les infections bactériennes.
L’Association Alzheimer souligne l’importance de consulter un médecin lorsqu’une personne développe des symptômes d’Alzheimer. En effet, un diagnostic précoce permet un traitement plus précoce, ce qui peut atténuer les symptômes pendant une durée limitée et donner plus de temps aux personnes pour planifier l'avenir.
La « pandémie » comme expérience naturelle de la folie climatique
23 septembre 2023 par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander Faes
« Follow the Science™ » ou : « Nous sommes la science / Nous sommes d'accord » sont les slogans bon marché de ceux qui ne veulent pas de débat. Au lieu de débats ouverts, on entend dire que « 97 % sont d’avis… » ou que « des solutions simples à des problèmes complexes » peuvent simplement être trouvées « uniquement à l’échelle mondiale ». Le sujet n'a pas vraiment d'importance, mais ce qui ressort, c'est que le « cadrage » aboutit toujours à moins de démocratie, de responsabilité personnelle et d'individualisme.
Il existe de nombreuses « études » qui mettent l’accent sur la responsabilité humaine dans le « changement climatique » et répètent cela avec une insistance presque sectaire. Dans le contexte des références selon lesquelles les « émissions d’origine humaine » provoquent le « changement climatique », les références à « un accord à 97 % » ou similaire jouent un rôle énorme. Moins de gens savent que cela s’est produit selon une méthode douteuse et que leur « inventrice » Naomi Oreskes n’a pas travaillé très proprement, même si l’on pouvait lire ce qui suit dans le Wall Street Journal en 2014 (c’est moi qui souligne) :
L’affirmation selon laquelle 97 % des scientifiques pensent que le changement climatique est un problème urgent et d’origine humaine est une fiction. Le soi-disant consensus repose sur une poignée d’enquêtes et de décomptes abstraits qui ont été réfutés par des recherches plus fiables.
Je vous invite à lire l'article lié dans le WSJ , car il y a des références à d'autres « études » tout aussi manipulatrices qui incluent, entre autres, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) des Nations Unies.
Mais en principe, quiconque parle de consensus en « science » peut avoir d’autres motivations que l’acquisition de connaissances. Un signe évident d’agit-prop est le passage mis en évidence. Dans les sciences naturelles en particulier, le principe s'applique - ici, selon les mots du prix Nobel, le Dr. Kary Mullis († 2019) et inventeur du test PCR :
Les scientifiques ne croient pas avoir de preuves [orig. preuve].
Pour la citation : Celia Farber, Serious Adverse Events (Chelsea Green, 2023), p. 129 ; c'est aussi une recommandation expresse de lecture, car bien qu'il s'agisse du VIH/SIDA, les mêmes personnages continuent d'apparaître comme dans la « pandémie » déclarée par l'OMS, parmi lesquels Anthony Fauci.
Construire un consensus en « science »
En fait, vous n'avez pas besoin de nombreux contributeurs pour cela : vous prenez les revues les plus pertinentes sur un sujet (par exemple Nature ou Science ), dont les éditeurs veillent à la bonne ligne de publications. Idem dans les institutions de financement de la recherche telles que les académies des sciences ou similaires. Le résultat est une censure de facto des positions dissidentes, et non pas comme « à l'époque » lorsque Trofim Lyssenko en URSS, par la combinaison de la pseudoscience et de l'idéologie, une sorte de La croisade contre la génétique et la recherche génétique a été menée. Le terme « lysenkoïsme » possède non seulement sa propre page Wikipédia (pour la version « officielle »), mais il fait également l’objet de discussions répétées, entre autres, dans le domaine de l’histoire des sciences.peut être vu ici .
L’histoire du « Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique) » et du réseau d’institutions qui lui est associé (universités, groupes de réflexion, etc.) depuis un peu plus de 30 ans n’est pas une gloire dans les annales de la recherche. Il s’agit évidemment moins de « science » que de recherche de consensus et de répression des opinions dissidentes. C'est évidemment plus anti-science, propagée par des individus et des institutions comblés de « fonds de recherche » et d’attention médiatique, dont les carrières sont finalement « couronnées » par des nominations à des postes de direction dans ces mêmes institutions (universités, groupes de réflexion, etc.). Le « système » crée ses propres « successeurs » qui défendent le contraire de la pensée indépendante ou la promotion de la dissidence dans la « science ».
L'adolescent provocant dans la pièce
Le meilleur exemple de quelqu’un qui est présenté comme une sorte de trophée par les forains de la caste politique, qui est exalté comme un « saint pilier » par les « médias de premier plan et de qualité » et qui est considéré comme un camarade par la « science » est un peu plus qu'un adolescent méchant, joyeux et mal élevé qui ne tolère aucune contradiction. Ce terme est utilisé sur presque toutes les scènes politiques mondiales sous le nom de « Salutations d’août », manipulé avec des gants et ses déclarations sont répétées presque comme un moulin à prières par les forains de la caste politique et les inquisiteurs climatiques des « médias de premier plan et de qualité ».
Non, je ne parle pas des Greta Thunberg ou des Luisa Neubauer de ce monde, mais du « Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique) » IPCC de l'ONU. Si son enfance et son adolescence vous intéressent, nous vous recommandons de lire le livre de Donna Laframboise, The Delinquent Teenager Who Was Mistaken for the World's Top Climate Expert (Create Space, 2011) ; Si vous souhaitez « emprunter » mon e-book, écrivez-moi simplement un e-mail et je le partagerai – à des « fins de recherche » bien sûr (ce qui, soit dit en passant, est expressément autorisé en vertu de la loi sur le droit d'auteur en raison de « l'éducation et clauses de recherche »).
Cela dit, les « conseils de recherche » de tous les pays qui dominent ces institutions sont rarement nommés sur la base de critères de performance. Il s’agit plutôt de fiabilité politique et de fermeté idéologique. Le meilleur exemple en est probablement Rajendra Pachurri, ancien président du GIEC (2002-2015), qui a rejeté toutes les critiques en faisant référence à « nous sommes les experts » et a souligné presque à chaque occasion qu’il était un « ingénieur ». Ce qui n'est toujours pas mentionné, cependant, c'est que Pachurri est en réalité un ingénieur en mécanique dont la carrière a débuté chez les chemins de fer indiens dans le segment des locomotives diesel ; un « expert » dans (presque) tout, pour ainsi dire, même si son article Wikipédia en allemand n'est que celui-ciL'information est retenue, même si la version anglaise en fait mention.
Maintenant, taisez-vous, vous les jurons, car « les experts™ » parlent.
Un voyou qui pense mal.
Le lysenkoïsme climatique comme religion de substitution (culte) Les « Experts™ » médiatisés ne sont guère plus que les rangs inférieurs d’une nouvelle secte de la fin des temps. Des allégations souvent non fondées , des falsifications de données , des méthodologies médiocres , des modèles présentés comme des faits et des fraudes purement et délibérées.. La « science du climat » est devenue un véritable paradis terrestre de blanchiment politique. Le « Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique) » n’est pas une institution de recherche, mais plutôt un véhicule de prises de contrôle technocratiques (hostiles). Parce que cela distribue les informations d'identification pour accéder à ce club, il est facile de contrôler qui est autorisé à faire des déclarations bien en vue ou qui est « l'un des plus cool », surtout si les « médias de premier plan et de qualité » s'en mêlent.
Des affirmations absurdes sur les « records de chaleur » des 120 000 dernières années aux reportages trompeurs et incorrects dans les « médias de premier plan et de qualité » en passant par les « études » méthodologiquement douteuses propagées par le Forum économique mondial, tout fait « partie du jeu », pour ainsi dire. parler. En d’autres termes : plus cela dure, plus « les experts (officiels)™ » et leurs clients apparaissent comme n’étant qu’une farce.
Mais si l’on se demande maintenant d’où vient la motivation de tant d’« Experts™ » à participer à cela, leur volonté vient avant tout de désirs matériels inférieurs. Le « changement climatique™ » est donc le plus grand canular de tous les temps, car il est présenté comme une justification de dépenses inattendues – mot-clé : « Green Deal » ou « Build Back Better » – et de formes d’actionnisme sans précédent à travers la société.
Cependant, ce que les hommes de la caste politique, leurs exécutants volontaires dans les « médias de premier plan et de qualité » et les « experts™ » passent sous silence, c’est que nous savons très peu de choses sur la manière dont « le climat » fonctionne réellement.
Les « modèles » que nous utilisons pour donner un sens au « climat » sont d’une utilité limitée pour la prévision météorologique, et les systèmes de mesure dont nous disposons pour évaluer la qualité des modèles ne sont pas moins adaptés à cette fin. Les problèmes des stations de mesure aux États-Unis, par exemple, ont été largement documentés : elles sont souvent placées trop près du béton ou dans des emplacements inappropriés qui produisent trop de distorsion pour être considérés comme fiables.
Quelle est l’ampleur des problèmes ? Selon ce rapport d'Anthony Watt, chercheur principal au Heartland Institute (selon les normes américaines « conservatrices »), environ 96 % de toutes les stations de mesure exploitées par les autorités américaines sont situées dans des endroits problématiques. Environ deux tiers des thermomètres (64,4 %) sont placés de manière à provoquer des écarts de deux degrés Celsius ou plus ; un peu plus d'un cinquième (21,5 %) sont situés dans des endroits présentant une différence d'un ou plusieurs degrés Celsius ; 5 % supplémentaires présentent des écarts de plus de cinq (!) degrés Celsius. À l’inverse, seulement 7,9 % environ des stations de mesure sont installées de manière à ce que la plage d’erreur soit inférieure à un degré Celsius.
La tendance mondiale des changements de température est cependant de 0,1 degré Celsius par décennie, et avec les instruments existants et le potentiel d'erreur mentionné ci-dessus, il n'y a pratiquement aucune possibilité de collecter des données fiables, qui à leur tour peuvent être utilisées comme base solide. pour tout modèle climatique pour le futur. Ces dernières, à leur tour, sont conçues par l'IPCC et servent de base à de vastes décisions politiques qui ont un impact massif sur notre société.
Les limites de la connaissance humaine Nous ne comprenons pas le rôle des nuages et de la convection des précipitations dans le système climatique mondial, et ces deux facteurs constituent des forces motrices extrêmement importantes. Certains nuages réfléchissent la chaleur du soleil dans l'espace ; d’autres « captent » la chaleur. Les grands systèmes de tempêtes – notamment dans le Pacifique Sud – agissent comme une sorte de « bouclier thermique » ; La température et l’humidité affectent également les nuages, et la vapeur d’eau est de loin le gaz à effet de serre le plus puissant que le gaz carbonique. De légers changements dans le rayonnement solaire semblent affecter l’ionisation de la haute atmosphère et donc les structures nuageuses, ce qui entraîne des changements dans l’intensité totale du rayonnement solaire.
« Le climat » est incroyablement complexe, et c’est pourquoi des personnalités comme le prix Nobel John Clauser se sont prononcées.
Toutes les quelques années, des déclarations catégoriques et apparemment monolithiques sont faites (propagées), qui à leur tour se propagent par des interventions massives dans les algorithmes des escrocs en ligne (comparez ces résultats de recherche avec tout ce que vous trouvez sur Google). On lit souvent que « plus de réchauffement = plus de nuages = (encore) plus de réchauffement », comme si un système climatique comme celui de la Terre était caractérisé par cette forme linéaire de « rétroaction positive ». Cependant, il n’y a aucune preuve de cela.
Mais il existe certainement d ’« autres » indications .
Et si vous ne voulez pas croire cette information, vous pouvez continuer à lire ce week-end dans le journal de recherche officiel de la Commission européenne, où l'on lit, entre autres, ce qui suit :
Les formes et formations des nuages influencent le réchauffement climatique – mais nous ne les comprenons toujours pas
Cependant, dans quelle mesure ce « nous ne les comprenons vraiment pas » est-il utilisé pour continuer à acquérir des « fonds de recherche » ou pour ignorer le peu que nous savons réellement sur « les nuages » et leur contribution au « temps » ou au « climat ». .
La même chose peut s'appliquer à notre (in)connaissance de l'effet du vent solaire, qui bloque apparemment partiellement le rayonnement galactique, ce qui à son tour affecte le rayonnement de l'énergie solaire en watts par mètre carré sur la surface de la Terre (et par le biais du « re-rayonnement » » tour à tour sur la formation des nuages). . Sans parler de l’impact sur la modélisation rétroprojectée des températures passées et des concentrations de « gaz à effet de serre ».
Beaucoup veulent simplement un récit simple qui justifie leur programme actuel et le propagera sous toute nouvelle forme nécessaire.
« Pandémie » et « folie climatique » Avant de crier, voici autre chose à penser :
- voir graph sur site -
Si vous regardez attentivement, vous pouvez voir l’effet massif de « la pandémie », n’est-ce pas ? En haut, dans la ligne cumulée marquée « Monde », qui concerne les émissions annuelles de gaz carbonique, on peut constater une baisse.
Il est également clair que les émissions de « l’Asie » représentent environ la moitié de toutes les émissions mondiales de gaz carbonique. Et si vous le souhaitez, vous pouvez aussi manger des insectes , vivre dans des « villes de 15 minutes » et profiter de la vie de « mangeur inutile » (Yuval Harari).
Mais si vous pensez que ces « mesures » et bien d’autres – telles que les « confinements climatiques » – permettront d’aboutir à quelque chose, alors vous n’avez guère raison ; même pas proche.
Dans l’ensemble, les mesures préconisées ci-dessus n’auraient même pas d’impact sur les émissions de gaz carbonique, même si elles étaient mises en œuvre comme calculées et propagées. Ne pas le mentionner est de la triche, mais ne constitue en aucun cas une solution « verte ».
Et nous le savons parce que cela vient d’être mis à l’épreuve lors de la « pandémie » déclarée par l’OMS. Malgré les restrictions massives dues aux différentes « mesures Covid » du printemps 2020, force est de constater que cela n’a entraîné aucun changement visible dans la tendance gaz carbonique ( source ) :
En fin de compte, les faits sont tenaces, et même l’intervention humaine la plus coûteuse de tous les temps n’a finalement pas réussi à changer le cours de la « pandémie » déclarée par l’OMS ni la tendance des émissions de gaz carbonique d’origine humaine.
Le général Guterres de l’ONU utilise une rhétorique désastreuse lors du « sommet sur le climat ».
24 septembre 2023 par le Dr. Peter F. Mayer
Un soi-disant Sommet sur le climat a eu lieu en marge de l'Assemblée générale des Nations Unies à New York . Les cinq pays les plus producteurs de gaz carbonique ont été exclus : Chine, Inde, États-Unis, Russie et Japon. Le sommet annoncé par Guterres en décembre 2022 se voulait une vitrine « sobre » des « premiers arrivés » prônant l’objectif totalement irréaliste de contrôler les températures en limitant la production de gaz carbonique.
Parmi les pays non invités par Guterres, qui représentent près de la moitié de la population mondiale, les chefs d'État et de gouvernement de trois d'entre eux ont décidé de ne pas se rendre à New York, à savoir le Russe Vladimir Poutine, le Chinois Xi Jinping et l'Indien Narendra Modi. Le Premier ministre britannique Rishi Sunak et le président français Emanuel Macron n’étaient pas non plus présents. Guterres s’est probablement abstenu d’inviter les pays les plus importants parce qu’il pouvait s’attendre à une trop grande résistance de leur part.
J’ai également répété Guterres en tant que prédicateur de la catastrophe avec des déclarations complètement absurdes : « L’humanité a ouvert les portes de l’enfer », a déclaré Guterres. « Nous devons rattraper le temps perdu à cause des hésitations, des bras de fer et de l’avidité pure et simple d’intérêts bien établis qui gagnent des milliards grâce aux combustibles fossiles. »
« À tous ceux qui travaillent, marchent et plaident en faveur d’une véritable action climatique, je veux que vous sachiez que vous êtes du bon côté de l’histoire et que je suis avec vous », a déclaré mardi Guterres devant l’Assemblée générale .
« Un seul sommet ne changera pas le monde, mais aujourd’hui peut être un moment puissant pour créer une dynamique », a déclaré António Guterres. "Nous pouvons et nous devons accélérer le rythme."
Le programme du sommet sur le climat de mercredi contrastait fortement avec les deux précédents sommets de l'ONU sur le climat en 2014 et 2019 .
En 2014, Ban Ki-Moon, alors secrétaire général de l’ONU, avait qualifié le rassemblement d’un nombre record de chefs d’État, de chefs d’entreprise et de représentants de la société civile de « grand jour pour l’action climatique ». En 2019, 65 pays se sont engagés à réduire leurs émissions de carbone et des chefs d’État de tous les grands pays y ont participé, dont le Premier ministre indien Narendra Modi et l’ancien président américain Donald Trump.
L'intérêt pour ces événements a clairement diminué et l'absurdité du projet devient de plus en plus apparente. Comme indiqué hier , l'augmentation des niveaux de gaz carbonique dans l'air n'est pas la cause, mais plutôt la conséquence de la hausse des températures.
Au début du sommet sur le climat au siège de l'ONU à New York, le Premier ministre britannique Rishi Sunak - le premier Premier ministre depuis une décennie à ne pas assister à l'Assemblée générale de l'ONU - a annoncé son intention d'annuler bon nombre des engagements climatiques existants du Royaume-Uni, y compris ceux que ses prédécesseurs conservateurs, comme l’ancien Premier ministre Boris Johnson, qui a accueilli la conférence COP26 à Glasgow en 2021, avaient fait.
Cette décision fait suite à la promesse faite en août par Sunak d'« exploiter pleinement » les réserves britanniques de combustibles fossiles en mer du Nord. Infosys, une société de 6 000 milliards de dollars fondée par le beau-père de Sunak, a signé un accord de 1,5 milliard de dollars avec British Petroleum deux mois seulement avant l'annonce par Sunak de nouvelles licences de forage pétrolier et gazier. Ces mesures sont nécessaires si le Royaume-Uni veut sauver son industrie. Un changement de mentalité s’est produit plus rapidement sur l’île que dans la plupart des pays de l’UE.
L’UE à l’avant-garde de la désindustrialisation
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré lors du sommet que l'UE était en passe de dépasser son objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre de 55 % d'ici 2030. L’UE continuera à contribuer sa « juste part » de 27 milliards de dollars au fonds mondial de financement du climat, a-t-elle déclaré.
La gestion de l'argent des contribuables par Leyen et la Commission est notoirement souple : 100 milliards pour l'industrie pharmaceutique pour 5,4 milliards de doses de vaccin, 50 milliards ou plus pour l'Ukraine et 27 milliards pour financer l'industrie qui bénéficie du Green Deal.
Son homologue, le président du Conseil européen Charles Michel, a déclaré mardi à l'Assemblée générale que l'UE s'efforcerait de garantir que des financements concessionnels soient disponibles pour les pays qui en ont besoin.
Seuls 17 pays appellent à l’élimination progressive des combustibles fossiles à l’échelle mondiale Les chefs d'État de 17 pays, dont le Kenya, la Colombie, un groupe de petits États insulaires et des pays de l'UE comme la France, la Belgique, le Danemark et l'Espagne, ont publié une lettre avant le sommet sur le climat appelant à une élimination progressive mondiale des énergies fossiles. carburants.
"On ne peut plus prétendre qu'une limite autre que la limite de 1,5 degré est acceptable ", indique la lettre.
La déclaration de 17 pays rejette explicitement l’idée selon laquelle les technologies de captage du carbone peuvent constituer une solution à la crise climatique.
« Les technologies de captage du carbone jouent un rôle dans la réduction des émissions, mais ce rôle est minime dans la décarbonisation des systèmes énergétiques », indique la lettre. « Des changements systémiques sont nécessaires dans tous les secteurs de l’économie, entraînés par une élimination progressive des combustibles fossiles à l’échelle mondiale. »
La déclaration des 17 pays contredit directement les preuves et études scientifiques selon lesquelles le gaz carbonique agit comme un engrais pour la croissance des plantes , augmente les rendements agricoles et permet le verdissement des zones arides .
De plus en plus de pays se rendent peut-être également compte que c'est le soleil dont les cycles sont responsables des changements de température sur Terre. Et un ralentissement se profile même à l’horizon au cours des trois prochaines décennies.
Le président de l'Assemblée générale des Nations Unies approuve la déclaration sur la pandémie — Des experts en matière de protection de la vie privée mettent en garde contre le « goulag numérique »
Par Michael Nevradakis Recherche mondiale, 23 septembre 2023
Le président de l'Assemblée générale des Nations Unies (AGNU) a approuvé aujourd'hui la déclaration non contraignante des Nations Unies sur la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies (PPPR), sans vote de l'assemblée plénière et malgré les objections de 11 pays.
Les critiques ont qualifié la déclaration, qui cherche à créer une autorité mondiale de lutte contre la pandémie, dotée du pouvoir d’imposer le confinement, la vaccination universelle et la censure, de « désinformation », d’« hypocrisie » et de « déséquilibrée ».
L'approbation est intervenue dans le cadre d'une réunion de haut niveau sur le PPPR . Mais que signifie concrètement cette déclaration ?
Pour ses partisans, la déclaration constitue une étape clé vers une coordination mondiale en matière de prévention des pandémies et de santé publique.
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), cela « représente une opportunité… de prévenir et de se préparer aux pandémies et à leurs conséquences, en utilisant une approche qui implique tous les secteurs gouvernementaux ».
L’OMS a également déclaré que le PPPR vise à « appliquer les leçons tirées de la pandémie de COVID-19 » et « intervient alors que le monde est confronté à de multiples crises humanitaires et liées au climat qui menacent des vies et des moyens de subsistance dans le monde entier ».
Dans un communiqué, le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus , a déclaré : « Si le COVID-19 ne nous a rien appris d'autre, c'est que lorsque la santé est en danger, tout est en danger. » Il a lié le PPPR aux objectifs de développement durable (ODD) de l'ONU, affirmant que les dirigeants mondiaux devraient « montrer qu'ils ont tiré les douloureuses leçons de la pandémie ».
L'avocat Lawrence Gostin, directeur du centre collaborateur de l'OMS de l'Université de Georgetown – une figure clé « jouant un rôle clé en coulisses dans les négociations » pour le « traité sur la pandémie » proposé et les amendements au Règlement sanitaire international (2005) (RSI) – a déclaré la réunion de haut niveau « est notre meilleure chance d’obtenir le soutien et l’engagement profond des chefs d’État et de gouvernement ».
Un accord « sans précédent » se fait au détriment de la souveraineté nationale D'autres experts ont adopté un point de vue différent. L'auteur et podcasteur Frank Gaffney, fondateur et président du Center for Security Policy , a déclaré au Defender qu'il était « très inquiétant » que l'ONU et l'OMS « encouragent davantage, voire autorisent, le type de capacité ou d'autorité permanente de leur part ». essentiellement pour dicter ce qui constitue une urgence.
"Il est indéniable que cela se fera au détriment de la souveraineté des différentes nations, qui seront ensuite informées de l'état d'urgence et de ce qu'elles doivent faire pour y remédier", a-t-il ajouté. "C'est sans précédent."
Gostin a déclaré que « les négociateurs ne savent pas comment équilibrer la responsabilité et la souveraineté lors de la mise en œuvre d’instruments tels que le PPPR, le RSI ou le « traité sur la pandémie ».
Écrivant pour le Brownstone Institute , le Dr David Bell , médecin de santé publique, consultant en biotechnologie et ancien directeur des technologies de santé mondiales à l'Intellectual Ventures Global Good Fund, a déclaré que « l'objectif principal » du PPPR « est de soutenir » le « traité sur la pandémie ». » et les amendements au RSI actuellement en cours de négociation par les États membres de l’OMS.
Bell a déclaré qu’une « procédure de silence » est en place, « ce qui signifie que les États qui ne répondent pas seront considérés comme des partisans du texte ». Il a déclaré que le texte est « clairement contradictoire, parfois fallacieux et souvent dénué de sens » et vise à centraliser le pouvoir de l'OMS.
Bell a déclaré au Defender : « La déclaration n’a pas été écrite avec une intention sérieuse, mais est essentiellement une rhétorique vide de sens promouvant une centralisation continue du contrôle que l’ONU et l’OMS recherchent ouvertement, au détriment de la démocratie, des droits de l’homme et de l’égalité. »
Francis Boyle, JD, Ph.D. , expert en armes biologiques et professeur de droit international à l'Université de l'Illinois qui a rédigé la loi antiterroriste sur les armes biologiques de 1989 , est d'accord. « Les mêmes personnes qui ont rédigé le traité sur la pandémie et les amendements au RSI ont rédigé le document PPPR », a déclaré Bell au Defender.
« Il s’agit d’une pression totale pour que l’ensemble de l’Organisation des Nations Unies, ses agences spécialisées et ses organisations affiliées soutiennent et soutiennent leur proposition d’État policier totalitaire mondialiste, médical et scientifique, mondialiste de l’OMS », a-t-il déclaré.
La réunion de haut niveau d'aujourd'hui comprenait des discours prévus par 158 représentants nationaux, dont les présidents ou premiers ministres de 34 pays et, représentant les États-Unis, le secrétaire d'État Anthony Blinken.
Parmi les panélistes figuraient le ministre allemand de la Santé, le Dr Karl Lauterbach , et des représentants de la Biotechnology Innovation Organisation .
Le texte final de la déclaration politique du PPPR , daté du 1er septembre, comprend des déclarations et des propositions couvrant une série de questions, de la vaccination à ce qu'on appelle la « désinformation ».
- voir cadre sur site -
Capture d'écran de la Déclaration politique PPPR de l'ONU
Selon la déclaration, « les pandémies appellent un leadership opportun, urgent et continu, une solidarité mondiale, une coopération internationale accrue et un engagement multilatéral… pour mettre en œuvre des actions nationales, régionales et mondiales cohérentes et robustes, motivées par la science… pour renforcer la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies. .»
Déclarant que « la santé est une condition préalable pour tous » et un indicateur du « développement durable », la déclaration appelle à :
Vaccination universelle : La déclaration exprime une « profonde préoccupation » face à la baisse des taux de vaccination dans le monde et comprend un engagement à soutenir « la recherche et le développement de vaccins et de médicaments, ainsi que des mesures préventives et des traitements pour les maladies transmissibles et non transmissibles ». « La vaccination systématique est l'une des interventions de santé publique les plus efficaces et les plus rentables, avec la plus grande portée et les meilleurs résultats démontrés en matière de santé », indique la déclaration, tout en soulignant le « rôle important joué par le secteur privé dans la recherche et le développement de médicaments innovants ». y compris les vaccins.
Il appelle à l’amélioration « des capacités de vaccination de routine, de vaccination et de sensibilisation, notamment en fournissant des informations fondées sur des données probantes sur la promotion de la confiance, de l’adoption et de la demande » et « en élargissant la couverture vaccinale pour prévenir les épidémies ainsi que la propagation et la réémergence ». des maladies transmissibles.
Rend permanents les pouvoirs « temporaires » liés au COVID-19 : la déclaration exprime « une inquiétude face à l’émergence et à la réémergence continues de maladies à tendance épidémique », affirmant « la nécessité… de s’appuyer sur les enseignements tirés et les meilleures pratiques de la pandémie de COVID-19 ». », y compris « transformer, le cas échéant, les capacités temporairement renforcées » développées pendant la pandémie « en capacités permanentes de manière durable ». Appels à une surveillance accrue et à des documents de santé numériques, tels que les passeports vaccinaux : la déclaration « reconnaît[s]… le potentiel des technologies de santé numériques » dans « la mise en œuvre et le soutien des mesures de santé et le renforcement des efforts de réponse nationaux » aux pandémies et aux urgences sanitaires.
Les technologies numériques telles que les passeports vaccinaux sont un élément clé des amendements en cours de négociation au RSI. La déclaration, à son tour, affirme également la nécessité de « systèmes d’alerte précoce » et « d’une approche intégrée One Health », pour « la réponse la plus précoce et la plus adéquate » aux pandémies et aux urgences sanitaires.
Bell, cependant, n'est pas d'accord avec ce point de vue, écrivant : « L'OMS a récemment qualifié publiquement les personnes qui discutent des effets indésirables des vaccins contre la COVID et remettent en question les politiques de l'OMS d'« extrême droite », d'« agresseurs anti-scientifiques » et de « force meurtrière ». » ajoutant que « C’est déséquilibré. C’est le dénigrement et le discours de haine que les régimes fascistes utilisent.»
Pourtant, pour Gostin, la déclaration PPPR ne suffit pas. "C'est totalement insuffisant en termes d'actions concrètes, telles que les promesses de financement des systèmes de santé", a-t-il déclaré, ajoutant "il y a eu trop peu de coopération entre l'ONU et l'OMS".
11 pays opposés à la déclaration Le consensus sur le PPPR n’est pas universel. Dans une lettre du 17 septembre adressée à Dennis Francis , président de l'AGNU, co-signée par les représentants de 11 pays, des « inquiétudes légitimes » ont été soulevées : « un grand nombre de pays en développement ont été ignorés ».
Les 11 pays sont le Bélarus, la Bolivie, Cuba, la République populaire démocratique de Corée, l'Érythrée, la République islamique d'Iran, le Nicaragua, la Fédération de Russie, la République arabe syrienne, le Venezuela et le Zimbabwe.
Leur lettre rompait la « procédure de silence » et déclarait : « Nos délégations sont convaincues que ce n’est pas une manière de gérer les négociations multilatérales et intergouvernementales sur des questions d’une grande importance pour la communauté internationale, en particulier pour les pays en développement. »
Il a ajouté qu’« aucun consensus n’a été atteint sur aucun de ces processus ». Toutefois, la lettre ne contient pas d’objections spécifiques quant au contenu de la déclaration PPPR.
Selon Boyle, les objections des 11 pays devraient « empêcher que cette déclaration soit adoptée par consensus et devienne ainsi sans doute partie intégrante du droit international coutumier, ce qui est l’intention de ceux qui sont à l’origine de la déclaration ».
"Ils n'ont pas pu le faire adopter par l'AGNU en tant que résolution de consensus en raison des 11 États qui s'y sont opposés", a déclaré Boyle. « Ils essaient de le déformer et de le déformer », a-t-il déclaré, en faisant approuver la déclaration par le président de l’AGNU – et non l’AGNU.
Une organisation soutenue par Gates poussée à la déclaration du PPPR Outre les représentants nationaux, des organisations comme Gavi, l'Alliance du Vaccin – reconnue comme partie prenante et « observateur » par l'OMS – ont également participé à la réunion d'aujourd'hui.
Gavi proclame sa mission de « sauver des vies et protéger la santé des populations » et déclare qu'elle « aide à vacciner près de la moitié des enfants du monde contre les maladies infectieuses mortelles et débilitantes ».
La Fondation Bill & Melinda Gates est partenaire de Gavi et détient un siège permanent à son conseil d'administration , tout comme l'OMS, l'UNICEF et la Banque mondiale .
Gavi a décrit l'AGNU de cette année comme « une étape qui donne à réfléchir » sur la voie menant à l'atteinte de la date cible de 2030 pour les ODD, et a déclaré que la réunion de haut niveau est « une opportunité unique et historique pour les dirigeants d'adopter une stratégie pangouvernementale ». , approche globale et globale de la société pour faire face aux menaces de pandémie.
« En tirant les leçons de la phase aiguë de la pandémie, le moment est imminent de façonner un système plus réactif et plus résilient », a déclaré Gavi, ajoutant qu'« une action urgente est nécessaire pour atteindre les cibles de l'ODD3 [santé et bien-être] et atteindre tous les enfants avec des vaccins salvateurs.
Gavi s’est également assigné un rôle dans ce processus, déclarant : « Les agences spécialisées telles que Gavi devraient également jouer un rôle de premier plan, en s’appuyant sur l’expertise technique et les enseignements tirés de la réponse à la pandémie de COVID-19 pour parvenir à l’équité en santé. »
Bell a déclaré que Gavi est un exemple d’organisation qui n’a pas été « impactée négativement » par la catastrophe du COVID-19. « Les personnes et les entreprises qui parrainent une grande partie du travail d'urgence sanitaire de l'OMS et de ses organisations sœurs telles que le CEPI , Gavi et Unitaid , ont très bien réussi grâce aux politiques qu'ils ont défendues avec tant de force », a-t-il écrit.
Le PPPR envisage un «goulag numérique», négocié en «secret»
Gaffney, qui organise aujourd'hui un webinaire sur les propositions visant à étendre les passeports vaccinaux et à accorder plus de pouvoir à l'OMS, a déclaré que le PPPR fait partie d'une prise de pouvoir plus large de l'OMS et de l'ONU, y compris des propositions qui devraient être discutées à l'ONU en septembre 2024 . accorder au secrétaire général de l'ONU des pouvoirs d'urgence illimités .
« L’ONU et l’OMS envisagent ce type de goulag numérique comme un mécanisme sous-jacent à l’exercice de ce type d’autorité, et en particulier la capacité de ces entités à dicter ce qui doit être fait en réponse à tout ce qu’elles jugent être une crise, liée à la santé ou à la santé. sinon », a déclaré Gaffney. "C'est quelque chose qui m'inquiète beaucoup."
Le Dr Michel Kazatchkine , médecin et diplomate français et membre de l'équipe qui a rédigé la déclaration PPPR, a déclaré que la déclaration et la proposition d'accorder des pouvoirs d'urgence au secrétaire général de l'ONU sont liées .
Selon Roguski , la déclaration PPPR est l'une des « quatre pistes auxquelles il est important de prêter attention dès maintenant » – avec les amendements au RSI adoptés en mai 2022 , qui, selon lui, « doivent être rejetés d'ici la fin novembre », le les nouveaux amendements du RSI et le « traité sur la pandémie » (officiellement appelé Convention-cadre CA+ de l’OMS).
Roguski a déclaré au Defender que la date cible de mai 2024 pour l'adoption des amendements au RSI et du « traité sur la pandémie » à l'Assemblée mondiale de la santé de l'OMS est menacée en raison des nations qui s'y opposent – un point de vue partagé par Gostin, qui a déclaré que la date limite de mai 2024 est « en poussant », mais en notant que « la raison de la vitesse est impérieuse ».
Roguski a déclaré que les négociations du PPPR ont été menées « en secret » et a noté que la déclaration du PPPR « est muette » sur les efforts visant à développer un réseau mondial de certification de santé numérique – qui établirait un cadre mondial pour les « passeports vaccinaux » et d'autres types de certificats de santé. mis en œuvre.
Roguski a déclaré qu'au lieu d'appeler à la fin de la recherche sur les gains de fonction , le PPPR soutient le financement des efforts de l'OMS « pour mettre en œuvre un système d'accès aux agents pathogènes et de partage des avantages ». Il a déclaré que cela « augmente le risque de propagation d’agents pathogènes mortels, de par sa conception ».
Selon la déclaration du PPPR, une réunion de haut niveau examinant les progrès réalisés dans la mise en œuvre du PPPR se tiendra à New York en 2026. D'autres réunions de haut niveau liées à la santé à l'AGNU cette semaine se concentreront sur la couverture sanitaire universelle et la tuberculose .
Par Colin Todhunter Recherche mondiale, 23 septembre 2023
Si la violence physique ne doit être utilisée qu'en dernier recours, une classe dominante doit chercher à obtenir le consentement du peuple si elle veut gouverner et contrôler une population. Elle doit tenter de légitimer sa position aux yeux des gouvernés en réalisant une sorte de « coercition consentie » qui masque le véritable poing du pouvoir. Cela peut être réalisé par de nombreux moyens et, au fil des années, des commentateurs, de Gramsci à Althusser et Chomsky, ont décrit comment y parvenir.
Cependant, l'une des formes de contrôle les plus fondamentales et sans doute les plus efficaces est l'eugénisme/dépeuplement, une philosophie qui inclut la réduction de la capacité reproductive des sections « les moins désirables » d'une population.
On craint de plus en plus que l'eugénisme soit utilisé pour se débarrasser des segments de la population mondiale qui sont « excédentaires par rapport aux besoins ». Et c'est une crainte légitime, notamment parce qu'il existe une histoire sordide de stérilisations forcées/secrètes effectuées sur des personnes jugées « indésirables » ou « excédentaires par rapport aux besoins », qui reflète les préoccupations des eugénistes qui ont opéré aux plus hauts niveaux politiques. fabrication. Depuis les « philanthropes » du début du 20e siècle et les nazis jusqu'au mouvement naissant de la génétique et aux riches élites, débarrasser la planète des grandes masses indésirables d'une manière ou d'une autre a toujours été une priorité assez élevée (voir cet article informatif ) . )
Le baron millionnaire des médias américain Ted Turner estime qu'une population mondiale de deux milliards serait idéale, et le milliardaire Bill Gates a promis des centaines de millions de dollars pour améliorer l'accès à la contraception dans les pays du Sud.
Gates a également acheté des actions de Monsanto évaluées à plus de 23 millions de dollars au moment de l'achat. Son objectif est d’aider Monsanto à introduire à grande échelle ses organismes génétiquement modifiés (OGM) en Afrique. En 2001, Monsanto et Du Pont ont acheté une petite entreprise de biotechnologie appelée Epicyte qui avait créé un gène qui rend le sperme mâle stérile et l'ovule femelle insensible.
Le père de Bill Gates est impliqué depuis longtemps dans Planned Parenthood :
« Quand j'étais petite, mes parents étaient toujours impliqués dans diverses activités bénévoles. Mon père était à la tête de Planned Parenthood. Et c’était très controversé d’être impliqué dans cela.
La citation ci-dessus provient d’une interview de Bill Gates en 2003.
Planned Parenthood a été fondé sur le concept selon lequel la plupart des êtres humains sont des éleveurs imprudents. Gates senior est coprésident de la Fondation Bill & Melinda Gates et un des piliers de la vision et de l'orientation de la Fondation Gates, qui se concentre fortement sur la promotion des OGM en Afrique via son financement de l'Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA). ).
La Fondation Gates a donné au moins 264,5 millions de dollars à l'AGRA.
Selon un rapport publié par La Via Campesina en 2010, 70 pour cent des bénéficiaires de l'AGRA au Kenya travaillent directement avec Monsanto et près de 80 pour cent du financement de la Fondation Gates est consacré à la biotechnologie.
Le rapport explique également que la Fondation Gates a promis 880 millions de dollars pour créer le Programme mondial pour l'agriculture et la sécurité alimentaire (GAFSP), qui est un fervent promoteur des OGM.
La question du génie génétique ne peut être pleinement comprise sans s’intéresser à l’expansion mondiale de la puissance américaine. La dynastie Rockefeller, riche en pétrole, a contribué à promouvoir la « révolution verte », qui a permis aux États-Unis de coloniser l’agriculture indigène dans de grandes parties de la planète. En projetant sa puissance à travers l’OMC, le FMI et la Banque mondiale, Washington a pu placer l’alimentation et l’agriculture au cœur de sa stratégie géopolitique visant à assurer sa domination mondiale.
Comme pour le contrôle de l’alimentation et de l’agriculture, les États-Unis considèrent également le dépeuplement comme un outil géostratégique potentiel (voir ceci ) dans leur quête de contrôle des ressources mondiales. Quelle meilleure façon d’y parvenir via un système alimentaire (OGM) altéré que l’agro-industrie américaine domine de plus en plus ?
Quelle meilleure façon d'y parvenir qu'avec le « maïs spermicide » par exemple ? Au Mexique, le maïs biopharmaceutique suscite des inquiétudes. Il y a quelques années, Silvia Ribeiro , de l'organisation ETC, déclarait :
« Le potentiel du maïs spermicide en tant qu’arme biologique est scandaleux, car il se croise facilement avec d’autres variétés, peut passer inaperçu et pourrait se loger au cœur même des cultures indigènes et agricoles. Nous avons assisté à l'exécution de campagnes de stérilisation répétées contre les communautés indigènes. Cette méthode est certainement beaucoup plus difficile à retracer.
Alors que la majeure partie de la littérature sur les OGM s’intéresse aux impacts des cultures génétiquement modifiées pour lutter contre les ravageurs ou pour pulvériser des herbicides, il existe des tendances très inquiétantes concernant les plantes génétiquement modifiées pour contenir des produits pharmaceutiques industriels ou posséder d’éventuelles caractéristiques contraceptives.
Les problèmes du monde ne sont pas causés par la surpopulation, comme le dit Turner, mais par la cupidité et par un système de propriété et de relations de pouvoir mondiales qui garantissent la circulation des richesses de bas en haut . Il ne s’agit pas d’arrêter la croissance démographique, mais de changer un système économique mondial socialement conflictuel et l’épuisement insoutenable des ressources naturelles.
Des millionnaires comme Ted Turner estiment qu’il faut continuer à consommer malgré tout, tant que la population est réduite.
C'est l'idéologie des riches qui considèrent le reste de l'humanité comme un problème à « régler ». Il dit qu'il y a « trop de gens qui consomment trop de choses ». Il ne pouvait pas se tromper davantage. Par exemple, les pays en développement représentent plus de 80 pour cent de la population mondiale, mais ne consomment qu'environ un tiers de l'énergie mondiale . Les citoyens américains constituent 5 pour cent de la population mondiale mais consomment 24 pour cent de l'énergie mondiale.
Nous devrions nous méfier d’un secteur biotechnologique bien connecté politiquement et militairement, qui possède une technologie permettant le génie génétique des aliments et un gène qui pourrait être utilisé (ou l’est déjà) pour la stérilisation involontaire. Des campagnes secrètes de vaccination à la guerre bactériologique et à la géo-ingénierie , des pans de la population à travers le monde ont trop souvent été pulvérisés, injectés ou exposés à des processus nocifs pour induire la stérilité, l'infertilité ou simplement pour constater les résultats d'une exposition à des radiations, des bactéries ou des substances nocives. un virus. Ce n’est pas pour rien que certains confondent OGM et bioterrorisme .
Herbert Marcuse a un jour résumé le problème auquel nous sommes confrontés en disant que les capacités – tant intellectuelles que technologiques – de la société contemporaine sont infiniment plus grandes qu’auparavant. En conséquence, l’étendue de la domination de la société sur l’individu est également infiniment plus grande que jamais. Cette domination prend des formes de plus en plus sinistres.
Rencontrez la « nouvelle normalité » : manipulation, appauvrissement, pire que « l’ancienne normalité ». Vous êtes toujours l'ennemi intérieur
Par Colin Todhunter Recherche mondiale, 23 septembre 2023
Aujourd’hui, nous assistons à une poussée (manipulation) de la population pour qu’elle accepte une « nouvelle normalité » basée sur
un récit d’urgence climatique, restrictions de mouvement et de voyage, monnaie numérique programmable, « préparation à une pandémie » grâce au traité tyrannique sur la pandémie de l'Organisation mondiale de la santé, IA inexplicable et « nourriture » synthétique.
Qu’il s’agisse d’une « transition alimentaire », d’une « transition énergétique », de villes à 15 minutes ou d’un autre terme à consonance bénigne, tout cela doit être déterminé par une élite supranationale de « parties prenantes », les gens ordinaires étant mis à l’écart du processus . Un programme antidémocratique conçu pour imposer des restrictions à la liberté individuelle, marquant un changement radical vers l’autoritarisme.
Dans les années 1980, pour contribuer à légitimer le programme néolibéral de déréglementation et de privatisation de la mondialisation, le gouvernement et les médias ont lancé une offensive idéologique, faisant ressortir la primauté de la « libre entreprise », des droits et des responsabilités individuels et mettant l'accent sur l'abandon du rôle de l'État, du commerce. les syndicats et le collectif dans la société.
Nous assistons actuellement à un autre changement idéologique :
On dit que les droits et libertés individuels compromettent les besoins plus larges de la société et de la planète. Dans un revirement brutal, la liberté individuelle constitue désormais une menace pour la sécurité nationale, la santé publique ou le climat.
Comme dans les années 1980, ce message est motivé par une impulsion économique. Cette fois, c’est le projet néolibéral qui s’effondre.
Au Royaume-Uni, la pauvreté augmente dans les deux tiers des communautés, les banques alimentaires font désormais partie intégrante de la vie de millions de personnes et le niveau de vie s'effondre. En effet, les familles les plus pauvres subissent un effondrement « effrayant » de leur niveau de vie , ce qui entraîne une pauvreté qui change leur vie et la limite.
Aux États-Unis, environ 30 millions de personnes à faible revenu sont au bord du « précipice de la faim » alors qu'une partie de leur aide alimentaire fédérale leur est retirée.
En 2021, on estimait qu’un enfant sur huit souffrait de faim aux États-Unis. Aux États-Unis, les petites entreprises déclarent faillite à un rythme record .
L'économiste en chef de la Banque d'Angleterre, Huw Pill, estime que les gens devraient « accepter » d'être plus pauvres . Cette réponse est similaire à la réponse de Rob Kapito, co-fondateur de la plus grande société de gestion d'actifs au monde, BlackRock. En 2022, Kapito, incroyablement riche et titré, a déclaré qu’une génération « très habilitée » de personnes (travailleurs ordinaires) qui n’ont jamais eu à se sacrifier serait bientôt confrontée à des pénuries pour la première fois de leur vie.
Alors que le statu quo prévaut dans le monde privilégié de Kapito et dans celui des grandes sociétés d'armement, d'énergie, de produits pharmaceutiques et alimentaires, dont les propriétaires mégariches continuent d'engranger d'énormes profits, Kapito et Pill disent aux gens ordinaires de s'habituer à la pauvreté et à la « nouvelle normalité ». comme si nous étions « tous dans le même bateau » – milliardaires et classe ouvrière. Ils utilisent commodément le COVID et la situation en Ukraine comme couverture pour l’effondrement du néolibéralisme.
Mais cela fait partie du programme hégémonique qui cherche à garantir que la vision du monde de l’establishment soit la norme culturelle acceptée. Et quiconque remet en question cette vision du monde – qu’il s’agisse par exemple de remettre en question l’alarmisme climatique, la « nouvelle normalité », la nature de la crise économique, le discours dominant sur le COVID ou la position officielle à l’égard de l’Ukraine et de la Russie – est considéré comme un propagateur. de la désinformation et de « l’ennemi intérieur ».
Bien que le terme « ennemi intérieur » ait été popularisé par Margaret Thatcher lors de la grève des mineurs de 1984-1985 pour décrire les mineurs en grève, c'est une notion avec laquelle les dirigeants britanniques ont considéré les mouvements de protestation et les soulèvements au fil des siècles. De la révolte des paysans en 1381 aux niveleurs et creuseurs du XVIIe siècle , c'est un concept associé à toute personne ou à tout groupe qui remet en question l'ordre social existant et les intérêts de la classe dirigeante.
John Ball, un prêtre radical, s'est adressé aux rebelles de la révolte des paysans avec les mots suivants :
« Bons amis, les choses ne peuvent aller bien en Angleterre tant que tout n’est pas mis en commun ; quand il n'y aura ni vassaux ni seigneurs ; quand les seigneurs ne seront pas plus maîtres que nous.
La révolte fut réprimée. John Ball a été capturé et pendu, dessiné et écartelé. Une partie de l’histoire sanglante de la classe dirigeante britannique.
Plus tard, le mouvement des Diggers du XVIIe siècle a voulu créer de petites communautés rurales égalitaires et cultiver des terres communes privatisées par des enclos.
La chanson de 1975 « The World Turned Upside Down » de Leon Rosselson commémore les Diggers. Ses paroles décrivent les objectifs et le sort du mouvement. Selon les mots de Rosselson, les Diggers ont été dépossédés par le vol et le meurtre, mais ont récupéré ce qui leur appartenait pour ensuite être violemment réprimés.
Il n’est donc pas surprenant que, dans les années 1980, Margaret Thatcher ait utilisé l’appareil d’État pour vaincre le syndicat le plus puissant du pays et les troupes de choc du mouvement ouvrier, le Syndicat national des mineurs – « l’ennemi intérieur ». Elle devait le faire pour permettre au capital de profiter de la désindustrialisation ultérieure d’une grande partie du Royaume-Uni et du démantèlement d’une grande partie de l’État-providence.
Une économie vide de sens et gonflée de dettes, la destruction du tissu social de communautés entières et la grande chaîne financière de Ponzi – le « miracle » de la finance déréglementée – qui est maintenant au bord de l'effondrement, à l'origine de personnalités comme Kapito et Pill. dire au public de se préparer à devenir pauvre.
Et maintenant, en 2023, la dernière version de « l’ennemi intérieur » diffuse de la « désinformation » – tout ce qui remet en question le récit officiel de l’État et des entreprises. Donc, cette fois, l’un des objectifs est d’avoir un Internet entièrement contrôlé (censuré).
Par exemple, le Commandement des opérations spéciales des États-Unis (USSOCOM) a récemment attribué à Accrete un contrat pour Argus afin de détecter les menaces de désinformation provenant des médias sociaux. Argus est un logiciel d'IA qui analyse les données des réseaux sociaux pour prédire les récits émergents et générer des rapports de renseignement à une vitesse et à une échelle permettant de neutraliser les menaces de désinformation virale.
Accrete AI est une société leader dans le domaine de l'IA d'entreprise à double usage. Elle a déployé son logiciel AI Argus pour la détection des menaces open source avec le ministère américain de la Défense en 2022 .
Dans un récent communiqué de presse, Prashant Bhuyan, fondateur et PDG d'Accrete, se vante :
« Les médias sociaux sont largement reconnus comme un environnement non réglementé dans lequel les adversaires exploitent régulièrement les vulnérabilités du raisonnement et manipulent les comportements en diffusant intentionnellement de la désinformation. L’USSOCOM est à l’avant-garde en reconnaissant le besoin critique d’identifier et de prédire analytiquement les récits des médias sociaux à un stade embryonnaire avant que ces récits n’évoluent et ne gagnent du terrain. Accrete est fier de soutenir la mission de l'USSOCOM.
Il s’agit de prédire les mauvaises pensées sur les réseaux sociaux. Mais le contrôle d’Internet n’est qu’une partie d’un programme plus vaste de domination, de surveillance et de gestion des protestations et des dissidences.
Le récent article en ligne « Comment le gouvernement arme la surveillance pour faire taire ses critiques » note que, chaque jour, la personne moyenne aux États-Unis est surveillée, espionnée et traquée de plus de 20 manières différentes .
Les auteurs de l'article nous demandent de réfléchir à certaines des façons dont le gouvernement américain utilise ses technologies de surveillance pour signaler les citoyens comme une menace à la sécurité nationale , qu'ils aient ou non fait quelque chose de mal – depuis le signalement des citoyens comme un danger en fonction de leurs sentiments. , téléphone et déplacements vers leurs activités de dépenses, leurs activités sur les réseaux sociaux, leurs opinions politiques et leur correspondance.
L’élite a déterminé que la menace existentielle, c’est vous. L'article « Coûts de la guerre : Peterloo », écrit par Aly Renwick, membre de l'association britannique Veterans for Peace, détaille l'histoire de la répression brutale des manifestants par les dirigeants britanniques. Il élimine également toute idée que certains pourraient avoir d’une élite dirigeante actuelle, inoffensive et de tendance démocratique. Le léopard n'a pas changé ses taches.
Comme nous l’avons vu pendant la COVID, l’idée est que les droits durement acquis doivent être restreints, que la liberté d’association est imprudente, que la libre pensée est dangereuse, que la dissidence doit être piétinée, que la science impartiale est une menace et que la liberté d’expression est mortelle. Le gouvernement est « la vérité », Fauci (ou un personnage similaire) est « la science » et la censure est pour votre propre bien.
Rien de tout cela n’était justifié. Cela ne commence à avoir un sens que si l’on considère les restrictions liées au COVID dans le sens d’une tentative de faire face à une crise économique en fermant l’économie mondiale sous le couvert d’une crise de santé publique (voir les articles en ligne « De quoi s’agissait-il réellement avec le Covid ? Déclencher une crise multiple ») . - Crise de la dette mondiale d'un billion de dollars » et « Italie 2020 : à l'intérieur du point zéro de Covid » qui décrivent comment les politiques liées au COVID peuvent être expliquées par des facteurs économiques et non par des problèmes de santé).
La crise économique appauvrit de nombreuses personnes ; elles doivent donc être contrôlées, surveillées et soumises.
Les transitions mentionnées au début de cet article ainsi que le programme de surveillance (connus ensemble sous le nom de « Grande Réinitialisation ») s'accélèrent en cette période de crise économique où d'innombrables millions de personnes en Occident s'appauvrissent. L' effondrement du système financier entraîne une crise mondiale interdépendante de la dette, de l'inflation et de « l'austérité », ainsi que le plus grand transfert de richesse vers les riches de l'histoire.
En conséquence, les pouvoirs en place craignent que les masses ne reprennent leurs fourches et ne se révoltent. Ils insistent sur le fait que les paysans doivent connaître leur place.
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 23 SEPTEMBRE 2023 - 21H55 Rédigé par Tucker Davis via RealClear Wire,
Récemment, le Sierra Club a répandu un récit manifestement faux selon lequel les pannes d'électricité répétées survenues lors de la tempête hivernale Elliott dans le Kentucky le 23 décembre étaient le résultat de l'incapacité des centrales électriques au charbon à répondre à la demande. Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité.
En réalité, c’est le parc de production d’électricité au charbon restant de la région qui s’est intensifié pour répondre à la demande pendant le gel profond qui a ravagé la région en décembre.
Oui, les services publics combinés du Kentucky, LG&E et KU, ont été contraints d'instaurer des pannes d'électricité progressives à partir de 18 heures. à 22 heures dans la soirée du 23 décembre. Mais ce n’était pas dû à la panne de notre capacité de production au charbon. En fait, pendant ces pannes successives, leurs unités combinées au charbon – totalisant 5 100 MW de capacité – ont fonctionné à un facteur de capacité collective de 90 % et ont fourni plus de 70 % de l’énergie nécessaire pour empêcher notre réseau électrique de tomber en panne totale. Sans nos centrales au charbon, il est probable que l’ensemble du réseau se serait effondré au moment même où il était le plus nécessaire pour fournir la chaleur dont dépendait la vie du Kentucky.
C’est exactement la raison pour laquelle la Kentucky Coal Association s’oppose à la fermeture de toutes nos unités de production de charbon restantes, comme l’ont demandé LG&E et KU. La fiabilité électrique est une question cruciale ; il ne faut pas le sacrifier à des considérations politiques.
Si les 1 500 MW d'unités au charbon dont les sociétés ont demandé l'autorisation de se retirer n'avaient pas été disponibles pendant la période critique du 23 décembre, la panne de courant aurait sans aucun doute été bien pire et des vies auraient été perdues. Est-ce que c'est ca ce que nous voulons? Est-ce ce que veut le Kentucky ? Est-ce ce que veulent les Américains ?
Êtes-vous prêt à jouer la vie de vos proches sur la chaîne de Ponzi des énergies renouvelables ? Êtes-vous prêt à accepter les fausses promesses creuses et avérées de la « Big Green Money Machine » ?
La production d’électricité au charbon est une technologie éprouvée. Pendant des générations, il a répondu aux demandes de la puissance économique croissante qu’était l’Amérique, sans problèmes et sans appels à des pannes d’électricité à répétition. Par tous les temps, les trains de charbon roulaient, chaque train livrant 10 000 tonnes de charbon fiable et abordable aux centrales électriques de tout le pays.
La réalité est simple et facile à voir… ce n’est que lorsque le lobby vert et ses amis à Washington ont commencé leur attaque incessante contre la production de charbon – en fermant des milliers de MW de centrales électriques au charbon et en les remplaçant par des centrales solaires et éoliennes – que ces problèmes ont commencé. , et ils empirent de jour en jour.
Apparemment, le Sierra Club vit dans un monde orwellien étrange où le haut est le bas et la gauche est la droite, où la « réalité » est ce qu'ils décident d'être. Heureusement, la plupart des gens ne vivent pas dans ce monde. Nous vivons dans un monde limité par la réalité objective – un monde où les gens ont besoin d’une énergie fiable, et non de poussière de fée et de paillettes de lutin. Et nous n’apprécions pas les mensonges flagrants.
Cependant, cela a accompli une chose : cela a mis à nu le mépris du Sierra Club envers l’Américain moyen. Cela montre clairement qu’ils croient pouvoir tromper les familles américaines.
Chaque jour, des milliers de personnes travaillant dans l’industrie minière retroussent leurs manches et travaillent dur pour le bénéfice de tout le Kentucky – oui, même de ceux qui souhaitent détruire leurs entreprises. Même les membres du Sierra Club, l’opposant le plus ardent de l’industrie, bénéficient grandement d’une électricité fiable et abordable. Ces gens ne reconnaîtront jamais le fait que de nombreuses communautés bénéficient de bons salaires, de stabilité et de croissance économique grâce au charbon. La politique énergétique ne se résume pas à de vagues espoirs et rêves d’un « avenir vert », de vies réelles et d’emplois réels.
Ainsi, une fois de plus l’hiver dernier, le charbon a permis à la population du Kentucky de continuer à s’éclairer. Le charbon nous gardera en sécurité et au chaud, que nous assistions aux pires tempêtes de neige jamais enregistrées ou à une légère rafale de neige. Et rappelez-vous, les centrales au charbon qui devaient être mises hors service fournissaient un tiers de la production de charbon qui a empêché notre réseau électrique de tomber en panne complète et totale.
Tucker Davis est président de la Kentucky Coal Association.
Selon le discours commun, les aliments ultra-transformés sont mauvais, malsains et contre nature. Mais une nouvelle étude, en sens contraire, publiée dans le Journal of Nutrition démontre qu'un régime contenant 91 % d'aliments ultra-transformés est bien plus sain que le régime américain typique et, tenez-vous bien, bien aligné sur les Dietary Guidelines for Americans (directives diététiques pour les Américains). Lorsqu'il s'agit de faire honte et de blâmer les aliments ultra-transformés (AUT), l'empereur est nu.
L'étude s'est attachée à créer un menu de 7 jours d'environ 2.000 calories conforme aux Dietary Guidelines for Americans (DGA), tout en fournissant plus de 80 % de ses calories à partir d'aliments ultra-transformés (AUT). Les définitions de ce qui constitue un aliment ultra-transformé sont basées sur la classification NOVA, qui est peut-être la définition la plus largement utilisée des aliments en fonction de leur transformation[1].
Les chercheurs ont d'abord identifié les aliments qui reflétaient à la fois les recommandations de la DGA et nos choix alimentaires typiques. Les dernières données proviennent d'une compilation des choix alimentaires de la National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES). Les dix catégories les plus consommées ont donné 200 aliments différents. Les aliments définis par NOVA comme ultra-transformés ont ensuite été utilisés pour créer ce régime de 7 jours. Un exemple de régime se trouve à la fin de cet article.
- voir graph sur site -
91 % de toutes les calories de ce régime sont des AUP.
22 % des calories proviennent des protéines, 54 % des glucides et le reste des graisses.
Le régime respecte les recommandations en matière de graisses saturées et de sucres ajoutés.
Les seuls nutriments dont la teneur est inférieure aux recommandations sont les vitamines D et E.
La qualité de l'alimentation a été mesurée par l'indice 2015 de l'alimentation saine [2]. Le score était de 86, ce qui équivaut à un "B". À titre de comparaison, les scores les plus bas sont « moins bons pour la santé », et le score moyen des Américains en matière d'alimentation est de 56. (D+ ?)
« NOVA n'est pas utile pour déterminer le caractère sain des aliments individuels ou des régimes alimentaires lorsque les recommandations actuelles de la DGA sont utilisées comme contexte pour indiquer le caractère sain. [...] Les scores NOVA ne sont pas des marqueurs indirects de la qualité de l'alimentation. »
Cette citation est tirée de la discussion de l'étude par ses auteurs. Cela devrait mettre fin au mythe selon lequel la valeur nutritive des aliments dépend de la façon dont ils sont ou ne sont pas transformés, mais ce n'est pas le cas. Comme le soulignent les auteurs de l'étude, d'après des enquêtes menées auprès du public américain,
20 % « pensent qu'une transformation minimale est un déterminant important d'une alimentation saine », 39 % pensent que les aliments sans ingrédients artificiels sont « quelque peu ou fortement susceptibles d'être plus sains qu'un produit qui contient des ingrédients artificiels ».
Conformément à l'effet Dunning-Kruger, selon lequel les personnes ayant de faibles connaissances dans un domaine particulier ont tendance à surestimer leurs compétences, 52 % des personnes interrogées « indiquent qu'elles connaissent les DGA ».
L'indice moyen d'alimentation saine pour les Américains reste obstinément à 59 et « n'a pas changé de manière substantielle » depuis son élaboration en 1995.
« Il est peu probable que le fait d'encourager les Américains à éviter les AUT améliore la qualité de leur alimentation. »
Près de trois décennies de cajoleries, d'étiquetage, de taxes, d'éducation, de blâme et de honte n'ont pas rapproché le régime alimentaire américain des lignes directrices. Notre Institut National de la Santé est le principal bailleur de fonds de la recherche nutritionnelle, avec un budget de 1,9 milliard de dollars en 2020. En avons-nous vraiment pour notre argent ? ______________
[1] Les aliments sont considérés comme non transformés ou peu transformés, comme des ingrédients culinaires, comme des aliments transformés ou ultra-transformés. Pour en savoir plus sur NOVA, cliquez ici.
[2] Le Healthy Eating Index (HEI) est un système de notation mis au point par le Département Américain de l'Agriculture pour déterminer dans quelle mesure les choix alimentaires sont conformes aux recommandations diététiques.
Nos pérégrinations cybernétiques nous ont amené à un article de la Dépêche du Midi du 5 septembre 2023, « Des sangliers radioactifs dans le centre de l'Europe : une étude alerte sur les risques liés à la consommation des pachydermes ».
Voilà un journaliste – dont nous tairons le nom par charité – qui a voulu faire de la littérature et qui s'est lourdement trompé... Un éléphant, ça trompe, ha ! ha! ha !
Mais tout le monde peut se tromper. C'est même arrivé à de grands auteurs, à des hommes politiques et, bien plus souvent, à des candidats au bac.
La rédaction aurait pu rectifier dès le premier commentaire hilare. Elle n'a pas fait ce qui aurait bénéficié autant à son auteur qu'à ses lecteurs.
En fait, c'est tout l'article qui pose problème. Voici « l'essentiel » selon un encadré :
« Des scientifiques affirment que de nombreux sangliers qui prolifèrent en Europe centrale sont radioactifs. La faute entre autres à la catastrophe de Tchernobyl en 1986 mais aussi aux essais nucléaires qui ont été réalisés dans cette région au siècle dernier. »
Nous n'avons pas souvenir d'essais nucléaires en Europe centrale au siècle dernier...
Comme dans un jeu dont le nom usuel n'est plus utilisable présentement – qui consiste à se passer un message en chuchotant, puis à comparer le message initial et le message final –, l'auteur s'est fondé sur un article de Popular Mechanics, « The Wild Pigs of Europe Are Highly Radioactive Because of Chernobyl, Study Says » (selon une étude, les cochons sauvages d'Europe sont hautement radioactifs à cause de Tchernobyl).
Notons : ce n'est pas exactement le sens de l'article scientifique qui a servi de base (voir ci-dessous).
En sous-titre : « Don't eat them », ne les mangez pas... très bon conseil pour des États-Uniens qui doivent avoir du sanglier bavarois dans toutes les supérettes !
Cet article est d'un auteur dont le mini-CV figurant à la fin de sa prose ne fait pas état de compétences particulières... « Il couvre les stades, les chaussures de sport, les équipements, les infrastructures et bien d'autres choses encore pour diverses publications, dont Popular Mechanics. » Non, cela n'a pas eu l'air d'émouvoir notre journaliste de la Dépêche... Ni du reste le fait que Popular Mechanics se soit aventuré à publier un article qui ne relève pas de son domaine.
Et ceTim Newcomb a (aurait ?) pris ses informations dans un article scientifique, « Disproportionately High Contributions of 60 Year Old Weapons-137Cs Explain the Persistence of Radioactive Contamination in Bavarian Wild Boars » (des contributions disproportionnées de 137Cs d'armes datant de 60 ans expliquent la persistance de la contamination radioactive chez les sangliers bavarois) de Felix Stäger, Dorian Zok, Anna-Katharina Schiller, Bin Feng et Georg Steinhauser.
Ces chercheurs sont de l'Institut de Radioécologie et de Radioprotection, et de l'Institut de Chimie Inorganique, de l'Université Leibniz de Hanovre, et de l'Institut de Chimie Synthétique Appliquée de l'Université Technique de Vienne.
Leur ouvrage a été publié dans Environmental Science & Technology, une revue publiée l'American Chemical Society. Notre plumitif états-unien attribue – donc ! – l'étude à des chercheurs de l'ACS...
Chez nous, c'est :
« Des sangliers radioactifs, eu Europe centrale. C'est le constat qui est dressé par la Société américaine de chimie (ACS). Dans une étude publiée mercredi 30 août dernier et partagée dans le magazine américain Popular Mechanics, la structure affirme que de nombreux pachydermes sont contaminés à des niveaux "significatifs" au césium, un résidu des explosions d'armes atomiques. »
L'Europe centrale plutôt que la Bavière... L'étude qui est maintenant de l'ACS... L'étude qui est « partagée » – whatever that means – par un magazine de mécanique... Des sangliers qui deviennent des pachydermes... Des niveaux « significatifs », sans qu'on sache ce que cela signifie... Tchernobyl passé à l'as...
N'en jetons plus... Euh si !
Il y aurait eu des « essais nucléaires [...] entre les années 1960 et 1990 dans cette région »... et même des « essais nucléaires réalisés en 1939 sur le sol allemand [qui] seraient à l'origine de 68 % des contaminations de sangliers en Europe centrale. »
En fait, les 68 % sont un chiffre maximum.
- voir carte sur site -
Les zones de prélèvement d'échantillons avec indication du niveau de contamination des sols.
Les auteurs de l'étude ont sans nul doute élargi les connaissances sur les contaminations par le césium radioactif. Voici le résumé de leur article (découpé) :
« Les radionucléides libérés lors d'accidents ou d'explosions nucléaires constituent une menace à long terme pour la santé des écosystèmes. La contamination des sangliers en Europe centrale, connue pour ses niveaux élevés et persistants de 137Cs, en est un exemple frappant. Toutefois, en l'absence d'une identification fiable de la source, l'origine de ce problème vieux de plusieurs décennies reste incertaine.
Ici, nous ciblons la contamination au radiocésium chez les sangliers de Bavière. Nos échantillons (2019-2021) contiennent de 370 à 15.000 Bq.kg-1 de 137Cs, dépassant jusqu'à 25 fois les limites réglementaires (600 Bq.kg-1).
En utilisant une nouvelle empreinte nucléaire médico-légale, 135Cs/137Cs, nous avons distingué différents héritages de sources de radiocésium dans leur composition. Tous les échantillons présentent des signatures de mélange de retombées de Tchernobyl et d'armes nucléaires, avec des rapports 135Cs/137Cs allant de 0,67 à 1,97.
Bien que Tchernobyl soit largement considéré comme la principale source de 137Cs dans les sangliers, nous constatons que les 137Cs "anciens" provenant des retombées d'armes nucléaires contribuent de manière significative au niveau total (10-68 %) dans les échantillons qui dépassent la limite réglementaire.
Dans certains cas, le 137Cs des armes peut à lui seul entraîner des dépassements de la limite réglementaire, en particulier dans les échantillons dont les niveaux de 137C totaux sont relativement faibles.
Nos résultats montrent que la superposition d'héritages anciens et récents de 137Cs peut dépasser de loin l'impact d'une source unique mais dominante, soulignant ainsi le rôle critique des rejets historiques de 137Cs dans les défis environnementaux actuels. »
Les résultats des analyses
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Cet article mérite sans doute une analyse plus fine. Donner des chiffres sur une sous-population (les sangliers qui dépassent les limites réglementaires) plutôt que sur la population dans son ensemble nous semble relever de la démarche militante.
Il nous sera bien difficile d'analyser les conséquences sanitaires de la contamination. Wikipedia a un article détaillé sur le césium 137. Les normes européenne et japonaise sont actuellement de 600 et 500 Bq/kg, respectivement pour la venaison et la viande d'animaux d'élevage.
La Dépêche nous apprend que :
«Selon les chercheurs, cela s'explique en partie grâce aux habitudes alimentaires des sangliers qui se nourrissent généralement de champignons et de truffes souterraines. Ces aliments sont en réalité de véritables "éponges" à radioactivité. »
Des « truffes souterraines » ? La Dépêche nous prend ici pour des truffes...
Guerre nucléaire mondiale et pandémies mises en scène : Michel Chossudovsky et Mike Adams
Par le professeur Michel Chossudovsky et Mike Adams Recherche mondiale, 23 septembre 2023
Nous sommes actuellement au carrefour de la crise économique et sociale la plus grave de l’histoire mondiale. Il s’agit d’une guerre pure et simple contre l’humanité toute entière : les 8 milliards d’habitants de la planète.
Débutée par la crise du coronavirus fin janvier 2020, la crise mondiale (2020-2023) – qui se poursuit – a littéralement perturbé et détruit la vie des gens dans le monde entier au cours des trois dernières années.
En retour, les dangers d’une Troisième Guerre mondiale sont régulièrement occultés par les médias. Un monde de fantaisie imprègne les grands médias qui soutiennent tacitement la conduite d’une guerre nucléaire comme un effort de rétablissement de la paix.
Tout est lié : la guerre en Ukraine, la censure et les dérogations aux droits fondamentaux, les confinements et le « vaccin tueur » du Covid-19, les gouvernements corrompus, … (Michel Chossudovsky)
Cette interview aborde les complexités de cette crise mondiale.
Publié pour la première fois le 15 septembre 2023
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Perspectives structurelles haussières pour le pétrole et économie américaine
le 23 septembre 2023
La volatilité des prix du pétrole s’est effondrée, ce qui implique une complaisance à l’égard des prix. Cependant, la combinaison d’une forte demande structurelle de l’Inde et de la Chine par rapport à l’offre marginale, tirée par la production de schiste des États-Unis, est un catalyseur de la hausse des prix. La résilience actuelle de l’économie américaine a maintenu les stocks de pétrole brut et de distillats à un niveau peu élevé. La vigueur des prix du pétrole n’est pas nécessairement inflationniste à long terme. À court terme, le pétrole supérieur à 100 $ ferait éclater les attentes d’inflation, mais à plus long terme, les prix élevés du pétrole sont un choc relatif des prix et un choc de croissance. L’inflation acyclique (tirée par l’offre) n’était pas corrélée aux prix du pétrole, avant l’épidémie de coronavirus. Cette corrélation a augmenté depuis 2020, probablement en raison de chocs ponctuels de l’offre liés à la pandémie qui s’estompent, puisque l’énergie joue maintenant un rôle moins important dans le panier de consommation des États-Unis qu’auparavant. Et pourtant l’indice de l’inflation utilisé par la FED, le Core PCE (Personal Consumption Expenditure Index) hors nourriture et énergie, est devenu fortement corrélé à celui du prix du baril de WTI (West Texas Intermediate) :
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Le contexte économique américain ressemble à un atterrissage en douceur… pour l’instant. Le discours actuel du marché est également bénin. Le resserrement des écarts de taux des titres à rendement élevé, le ratio actions-obligations et la récente sur-performance des titres cycliques par rapport aux titres défensifs stimulent la croissance résiliente à l’escompte, ce qui est troublant, compte tenu du resserrement considérable de la politique monétaire. Les bénéfices nominaux et les multiples p/e ont été exceptionnellement forts dans un contexte de taux élevés, ce qui est en contradiction avec l’expérience historique.
Comment la croissance américaine a-t-elle résisté à la politique de plus en plus restrictive de la Fed ?
1) L’expansion budgétaire a été vigoureuse, compte tenu de la hausse du solde budgétaire primaire (déficit plus important hors paiements d’intérêts), qui a annulé l’effet restrictif de la hausse des taux d’intérêt (habituellement, les politiques budgétaire et monétaire sont alignées). Les recettes de l’impôt sur les gains en capital aux États-Unis se sont effondrées en 2022 (faiblesse du volume des marchés), tout comme les dépenses nettes ont augmenté grâce à l’infrastructure, à la réduction de l’inflation et à la législation sur les puces.
2) La croissance de la productivité est en moyenne revenue à la hausse après un effondrement lié à la pandémie. Depuis, cette tendance a gonflé la croissance.
3) Un mini-boom des dépenses d’investissement dans le secteur manufacturier s’est produit au cours des deux dernières années, lié à l’étaiement (le rattrapage du retard conséquence de la pandémie). Ces trois facteurs ne sont pas touchés par des taux plus élevés lorsqu’ils sont dictés par la politique gouvernementale (subventions), plutôt que par le secteur privé en vase clos.
Les taux réels aux États-Unis ont augmenté davantage pour contrer la croissance budgétaire. Les taux des TIPS américains à 10 ans ont dépassé la juste valeur de 3 sigma [TIPS = Treasury Inflation-Protected Securities, c’est-à-dire des T-bonds dont le taux est indexé sur le taux d’inflation]. De plus, la corrélation entre le prix des actions et celui des obligations est généralement positivement corrélée en période d’inflation, mais au cours de la dernière année, les actions ont progressé malgré des rendements plus élevés (prix des obligations plus faibles). L’expansion budgétaire a été bonne pour la croissance (et donc les bénéfices/actions), mais la même dynamique a également fait grimper les taux.
Quelle est la viabilité de la croissance aux États-Unis ? L’orientation budgétaire (le taux de variation du déficit primaire) devrait s’estomper après la récente flambée. Le vent arrière qui avait été prévu pour le PIB disparaîtra alors. Dans six mois, les rendements réels finiront par être beaucoup trop élevés pour une croissance économique concomitante (si les mesures de relance budgétaire sont progressivement retirées, comme nous nous y attendons). De plus, le resserrement de la politique de la Fed a un impact sur la croissance avec un long décalage. Nous sommes maintenant 18 mois après le début de la campagne de resserrement de la Fed. Depuis, l’inflation attribuable à l’offre s’est normalisée, mais les composantes cycliques de l’inflation (les composantes les plus sensibles aux taux d’intérêt) viennent tout juste de se renverser et sont beaucoup plus baissières, de sorte que l’inflation globale pourrait chuter plus rapidement et plus loin que prévu actuellement, cela entraîne une demande globale plus faible. Le scénario d’atterrissage en douceur est donc à risque si ou lorsque la poussée budgétaire s’estompe, auquel cas une légère récession est probablement due à une politique monétaire extrêmement restrictive.
Répartition de l’actif – atténuer la hausse des actions. Dans trois à six mois, les obligations pourraient sur-performer les actions. Nous sommes plus près d’un point d’étranglement pour les actions où les rendements obligataires élevés constituent une contrainte à l’expansion du ratio cours/bénéfice.
Répartition régionale des actions – sur-pondération des États-Unis. Sans soutien budgétaire, les économies non américaines sont en difficulté – le Canada, la zone euro et la Chine se heurtent à un mur. Le Japon est une exception. Le pays a une courbe des taux positivement inclinée, ce qui renforce la rentabilité des banques japonaises, mais la devise devrait être couverte. Le yen est très bon marché en raison de la divergence massive de la politique monétaire (le Japon gardant les taux ancrés), tandis que le reste du monde se resserre.
Perspectives pour l’Europe ? L’Europe n’a pas bénéficié d’une expansion budgétaire ou d’une reprise de la productivité. La stagflation est donc une dure réalité. Il est difficile d’être trop haussier sur les actions européennes parce que la BCE est coincée entre une croissance plus faible et une inflation sous-jacente toujours collante. De plus, l’euro est vulnérable à une période de vigueur du dollar américain, compte tenu de l’orientation budgétaire, du manque d’argent aux États-Unis et de la faiblesse de la Chine. Le contexte macroéconomique de l’euro est haussier.
Des risques sur 12 à 18 mois ? Un ralentissement économique mondial synchronisé. Le nirvana du PIB américain touche à sa fin. La Chine reste atone en raison de l’épargne excessive chronique du secteur privé et de la politique budgétaire avare, qui sont toutes deux haussières des obligations, car la Chine exporte des pressions déflationnistes à l’échelle mondiale. L’Europe est redevable aux États-Unis et à la Chine, compte tenu de leur orientation vers l’exportation. L’équilibre des risques d’inflation est à la baisse, et non à la hausse, car l’impact d’un resserrement monétaire agressif commence tout juste à se manifester comme une contrainte sur l’activité économique dans le G10.
Les matières premières et le dollar américain. Les rendements réels élevés, la vigueur du dollar américain et la faiblesse de l’économie chinoise ne constituent pas un contexte cyclique favorable pour les prix des ressources. Les prix des produits de base sont expliqués 1/3 par le dollar (vent de face), 1/3 par la demande (vent de face) et 1/3 par l’offre (vent de dos). Le dollar américain restera bon tant que l’économie chinoise ne montrera pas de signes de reprise durable. Cependant, pour mettre les choses en contexte, la toile de fond structurelle pour les produits de base est plus haussière en raison de la discipline de production et des contraintes d’investissement sur l’offre future. Source. Alpine Macro : David Abramson et Chen Zhao
Commentaire de votre serviteur. Cet exposé très technique ne permet pas de prévoir une évolution de l’économie américaine. La situation géopolitique n’a pas été abordée malgré le fait que son influence sur l’économie ne peut pas être négligée. La consolidation de l’organisation des BRICS+ et l’extension des membres de l’Organisation de Coopération de Shanghaï (OCS) n’ont pas été abordées. L’analyse ne concerne que l’évolution des taux aux USA. Je me hasarderai à commenter le premier graphique figurant dans cet article malgré ma totale méconnaissance des mécanismes complexes de l’économie et de la finance. Jusqu’à l’année 2020 l’indice de l’inflation (core PCE, échelle de droite) était indépendant de l’évolution du prix du baril de pétrole (WTI, échelle de gauche). L’évolution « dramatique » du cours du WTI précédant la crise de 2008 n’eut que peu d’effet sur l’inflation. La chute du cours du pétrole consécutive à la crise des « sub-primes » suivie d’une remontée progressive n’affecta que très modérément le taux d’inflation qui est resté remarquablement stable pendant les 20 années analysées sur ce graphique. Dès l’année 2020 une surprenante décorrélation entre ces deux indices apparaît. Laissons de côté la pandémie coronavirale et considérons qu’il existait des causes sous-jacentes provoquant cette décorrélation. Toutes sortes de facteurs ont été évoquées, depuis les confinements jusqu’à la pénurie de pièces détachées pour l’industrie automobile. Bien qu’étant un béotien dans le domaine de la finance, je pencherais sur un découplage entre le dollar « domestique » c’est-à-dire le billet vert utilisé aux Etats-Unis et le dollar monnaie de réserve internationale. Qu’elle soit appelée euro-dollar ou pétro-dollar cette monnaie de réserve, ou de référence pour les échanges internationaux, n’est plus adossée à un quelconque actif tangible comme ce fut le cas avant l’abandon de la parité entre le dollar et l’or par le Président Nixon. La confiance internationale s’est effritée et la masse de dollars astronomique qui circulent dans le monde est devenue un facteur d’inflation non maitrisable. Le gouvernement américain pourra décider de toutes sortes de mesures comme l’« Inflation Reduction Act » la perte de confiance en ce billet vert doit être actée, c’est un fait nouveau qui va rebattre les cartes plus rapidement qu’on ne l’imagine. Un fait révélateur est le mutisme des autorités américaines lorsque le Prince héritier Mohamed bin Salman a décidé d’être payé en renminbi pour ses ventes de pétrole à la Chine. Pour avoir envisagé un tel comportement Saddam Hussein et Mouammar Kadhafi ont payé de leur vie leurs tentatives de dédollarisation de leur pétrole. Les Américains ne feront rien contre MBS, ni contre la Chine …
Comme l’indique clairement le second graphique la baisse des taux réels des T-bonds reflète une tendance qui explique l’attitude hésitante des investisseurs. Compte tenu des statistiques de l’endettement des ménages américains l’indice de l’inflation officiel conduit à un taux appliqué au découvert des cartes de crédit de l’ordre de 10 % au minimum. Cet indice montre que la masse monétaire (M1) se resserre. Par voie de conséquence la croissance économique se trouve donc, contrairement à l’optimisme des analystes de Alpine Macro, condamnée à ressembler à un feu de paille de courte durée. Par des artifices complexes mis en place par la FED pour masquer cette fragilité de l’économie américaine tout semble aller pour le mieux, ce qui n’est pas le cas. Les Etats-Unis, comme l’Europe occidentale, entrent dans une période de « stagflation », la pire situation qui puisse être imaginée par un économiste. Seuls de graves troubles sociaux obligeront les gouvernements à imaginer des mesures pour sortir de ce piège qui va ruiner les rentiers et les salariés. Le secteur public suivra cette paupérisation car les Etats sont tous endettés. Il n’y a donc aucune raison d’être optimiste. Pour rappel le gouvernement français a décidé d’émettre des bonds du Trésor au taux indexé sur l’inflation équivalents aux TIPS (cf. supra). Le gouvernement français aurait-il parié sur une baisse du taux d’inflation ? Pourtant le taux tangible de l’inflation du panier de la ménagère, énergie et nourriture compris, atteint 10 % en France et dans d’autres pays comme l’Italie ou la Grèce. Nous sommes entrés dans une économie virtuelle … et ce sont les BRICS+ qui se trouvent maintenant dans la réalité. Les temps vont devenir difficiles pour les Occidentaux.
Note additionnelle. Selon la presse américaine pratiquement la totalité des constructeurs de véhicules automobiles américains sont paralysés par une grève et selon les dernières informations ce mouvement de grève de grande ampleur serait provoqué par l’appel de la Maison-Blanche à orienter dans l’urgence une production de guerre dans l’éventualité d’une intervention américaine directe en Ukraine …
Les pays occidentaux ont également mis en place un plafonnement des prix du pétrole russe, dont l'objectif est de ne pas dépasser 60 dollars pour le pétrole russe. Actuellement, le prix du pétrole russe de l'Oural est de 77,7 dollars le baril. Il s'agit du niveau le plus élevé depuis dix mois.
L'Allemagne importe des quantités considérables de pétrole russe via l'Inde. Plus précisément du gazole, le principal précurseur du diesel et du mazout. C'est en tout cas la conclusion que l'on peut tirer des chiffres actuels de l'Office Fédéral de la Statistique. Les importations en provenance d'Inde ont été multipliées par douze.
Les importations allemandes de produits pétroliers en provenance d'Inde ont été multipliées par douze au cours des sept premiers mois de l'année 2023 par rapport aux mois correspondants de 2022. Ces importations en provenance d'Inde étaient principalement des gazoles utilisés pour la production de diesel et de mazout.
Les données actuelles de l'Office Fédéral de la Statistique montrent que les importations de produits pétroliers en provenance d'Inde ont été multipliées par plus de douze au cours des sept premiers mois de cette année par rapport à la même période de l'année précédente.
Les importations allemandes de produits pétroliers en provenance d'Inde ont été multipliées par 12, passant de seulement 37 millions d'euros au cours des sept premiers mois de 2022 à une valeur de 451 millions d'euros de janvier à juillet 2023 (+1.127,4 %), soit 2,4 % de toutes les importations allemandes de produits pétroliers au cours de cette période.
Ces importations en provenance d'Inde étaient principalement des gazoles utilisés pour la production de diesel et de mazout.
Parallèlement, selon la base de données Comtrade des Nations Unies, l'Inde importe de grandes quantités de pétrole brut de Russie depuis le début de la guerre d'agression russe en Ukraine. Le pétrole brut est la matière première de base pour la production de gazole.
Le plafonnement des prix du pétrole de l'Oural ne fonctionne pas non plus
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Actuellement, le prix du pétrole russe de l'Oural est de 77,7 USD le baril. Il s'agit du niveau le plus élevé depuis dix mois.
Les pays occidentaux ont également introduit un plafonnement des prix du pétrole russe, l'objectif étant de ne pas dépasser 60 dollars pour le pétrole russe. Actuellement, le prix du pétrole russe de l'Oural est de 77,7 dollars le baril.
Il s'agit du niveau le plus élevé depuis dix mois, après que la Russie a annoncé la semaine dernière qu'elle réduirait volontairement ses livraisons de pétrole de 300.000 barils par jour jusqu'en décembre.
En outre, l'Arabie Saoudite avait annoncé qu'elle prolongerait sa réduction unilatérale de production d'un million de barils par jour jusqu'à la fin de l'année.
En août, les livraisons russes de pétrole de l'Oural à l'Inde représentaient environ 74 % des livraisons totales de la Russie, tandis que la Turquie et la Chine représentaient respectivement 12 % et 7 %, rapportent les analystes de tradingeconomics.
Depuis le 10 juillet, le prix a dépassé le plafond de 60 dollars le baril fixé en décembre par l'Union Européenne, les pays du G7 et l'Australie.
Analyste : l'Allemagne achète du pétrole russe
M. Georg Zachmann, du think tank Bruegel à Bruxelles, a déclaré à l'AFP à propos de l'évolution des importations de pétrole en provenance d'Inde qu'il était « très plausible que l'Allemagne et d'autres pays européens achètent implicitement du pétrole russe », rapporte tageschau.de.
Dès qu'une route commerciale directe est bloquée, le marché est en mesure de « l'équilibrer indirectement ». Même si l'origine exacte du pétrole brut est « dissimulée », il est « probablement russe ».
M. Zachmann estime en outre qu'il est « peu probable » que l'embargo de l'UE « réduise considérablement les exportations de pétrole russes ». Concernant le plafonnement des prix, l'expert a déclaré que la Russie exportant globalement de très grandes quantités de pétrole, « ses revenus restent très élevés ».
L'Allemagne a en fait cessé ses importations directes de pétrole en provenance de Russie en raison de la guerre en Ukraine.
De la pénurie de baleines à l’essor de l’automobile
La raison pour laquelle nous roulons en voiture à essence provient d’une pénurie de baleines.
le 24 septembre 2023 François Jolain
Article disponible en vidéo ici.
L’innovation ne peut guère être planifiée, encore moins par un État. Par exemple, la raison pour laquelle nous roulons en voiture à essence provient d’une pénurie de baleine.
Pétrole, un éternel remède
L’humanité utilise le pétrole depuis l’Antiquité. Son mode d’extraction est particulièrement laborieux. Comme son origine grecque l’indique, pétrole signifie « huile de roche ». Certaines roches transpirent cette mystérieuse huile, ce qui donne des boues bitumineuses.
Le pétrole est donc un produit de luxe compliqué à trouver. En 1860 aux États-Unis, il est surtout à l’origine de nombreux remèdes vendus par des charlatans, promettant 95 % d’efficacité…
Les humains préfèrent utiliser l’huile de baleine pour alimenter leurs lampes, et notamment les phares.
Problème : la surpêche de baleines a raréfié le cétacé. La pénurie guette.
C’est alors qu’un certain Edwin Drake décida de forer le pétrole en Pennsylvanie. Il eut l’intuition que le pétrole se trouvait dessous, prêt à jaillir. Le 27 août 1859, il fora son premier puits de pétrole. L’or noir jaillit de la terre. Avec son seul puits, il venait de multiplier par deux la production mondiale de pétrole.
Cette ressource a permis à toute la région de s’enrichir, excepté Drake. N’ayant mis ni son forage ni son derrick sous brevet, la concurrence le mit sur la paille.
Un moteur pour cette énergie bon marché
Autour du charbon, James Watt a conçu la première machine à vapeur. De tels moteurs ont permis la fabrication des locomotives et le début du chemin de fer.
Le charbon demande beaucoup de main-d’œuvre, aussi bien pour l’extraire de la terre, le transporter, jusqu’aux cheminots qui devaient régulièrement alimenter la locomotive durant le trajet.
On s’est intéressé au gaz de ville. Étienne Lenoir a créé le premier moteur à explosion en 1860. Contrairement aux moteurs à vapeur, l’explosion permet une grande variabilité du régime moteur, on peut changer la puissance facilement.
Ensuite Alphone Eugène Beau a théorisé le moteur à 4 temps. Puis, l’ingénieur allemand Nikolaus Otto réussit à perfectionner la machine et à l’industrialiser.
Le gaz reste dangereux. Son stockage et son transport peuvent provoquer des explosions.
Il faut attendre Gottlieb Daimler pour concevoir un moteur 4 temps à explosion fonctionnant au pétrole. Cette énergie sort d’elle-même de terre comme le gaz, mais nécessite peu de main-d’œuvre comme le charbon.
Daimler ne s’est pas trompé. Passer du gaz au pétrole permet de monter les moteurs sur des engins autonomes et mobiles. L’essor de la voiture pouvait commencer.
Il n’y a pas d’État ni de grand commissaire au plan pour concevoir la voiture. La montée du prix de l’huile de baleine a poussé la recherche d’un substituant. La baisse drastique du pétrole a poussé des ingénieurs à adapter leurs moteurs pour cette nouvelle énergie.
Les avantages des nouveaux moteurs à essence à explosion ont permis de nouveaux usages comme la voiture.
France : Les étrangers commettent 69 % des vols, crimes violents et agressions sexuelles dans les transports publics
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 24 SEPTEMBRE 2023 - 13H00 Rédigé par Denes Albert via Remix News,
L'année dernière, 69 % des vols avec violence et autres délits violents, y compris les agressions sexuelles, dans les transports publics d'Île-de-France ont été perpétrés par des ressortissants étrangers, selon les chiffres annuels du SSMSI, le bureau des statistiques de l'Île-de-France. le ministère français de l'Intérieur.
Cependant, en regardant les données de plus près, il apparaît que les Africains sont à eux seuls responsables de 52 pour cent de ces crimes alors qu'ils ne représentent que 3,2 pour cent de la population française.
Même pour l’ensemble de la France, les données montrent clairement que les ressortissants africains représentent 42 pour cent des types de crimes mentionnés ci-dessus, bien au-dessus de leur poids statistique au sein de la population française.
En ce qui concerne les délits spécifiques aux transports publics, la situation n’a en réalité pas beaucoup changé au fil des années. La dernière fois que Remix News a publié de telles données en 2020, 69 % des agressions sexuelles avaient également été commises par des étrangers.
Globalement en France, ces délits sont également majoritairement (55 %) commis par des ressortissants étrangers, indiquent les données.
Selon les statistiques de la ville de Paris, 38 pour cent des vols violents et autres crimes violents ont été perpétrés par des ressortissants étrangers de la région du Maghreb, qui constitue des pays d'Afrique du Nord comme la Tunisie, l'Algérie et le Maroc, suivis par des Africains de pays extérieurs. la région du Maghreb. Au total, les étrangers ont commis environ 70 pour cent de tous les vols avec violence à Paris.
Huit pour cent supplémentaires de ces crimes ont été commis par des ressortissants européens non français et 6 pour cent par des ressortissants européens non originaires de l’Union européenne.
La dernière fois que Remix News a rendu compte des statistiques générales de la criminalité en France, c'était l'année dernière, le ministère de l'Intérieur a annoncé que 48 pour cent de tous les crimes à Paris étaient commis par des étrangers.
Un facteur à garder à l’esprit est que les statistiques françaises ne ventilent pas les crimes basés sur la race ou l’origine ethnique ; ils ne révèlent pas non plus les antécédents d’immigration. Ainsi, un citoyen français dont les parents sont tous deux algériens sera compté comme un ressortissant français dans les statistiques de la délinquance. Au Danemark, de telles informations sont disponibles et montrent que les migrants de deuxième génération ayant la nationalité danoise ont en réalité des taux de criminalité plus élevés, y compris les meurtres et les agressions physiques.
Comme Remix News l'a rapporté en juin, un sondage réalisé pour le grand journal français Le Figaro montre que près de trois Français sur quatre pensent qu'il y a trop de migrants dans le pays, les résultats du sondage étant publiés après que le pays a accepté un nombre record d'étrangers en 2022 sous le président Emmanuel Macron.
Nos gardiens moraux : des militants pour le climat apprennent aux enfants à envoyer des cookies malveillants à des grands-parents sceptiques
AYCC, Coalition australienne des jeunes pour le climat. La justice climatique ressemble un peu à une campagne de phishing criminelle.
Par Jo Nova September 23rd, 2023
Un malware pour sauver la planète, hein ?
L’Australian Youth Climate Coalition (AYCC) demande à ses partisans d’envoyer à leurs amis et à leur famille des liens trompeurs qui ressemblent à une recette de cookies mais qui intègrent des cookies logiciels sur l’ordinateur de la victime. Le cookie numérique diffuse ensuite des vidéos sur le climat vert dans leurs flux (comme si les actualités ABC n’étaient pas suffisamment chargées).
Recherchez les liens vers oneminutecookie.com.
L'AYCC reçoit environ 3 millions de dollars de dons et visite même les écoles pour apprendre aux enfants à tricher et à mentir pour sauver la planète, ou quelque chose du genre. Après tout, sur quoi reposent de bonnes relations familiales, sinon la tromperie ? Qu'est-ce que la science si ce n'est de la propagande ?
Ce sont toutes de bonnes questions à aborder avec les enfants de votre vie et les écoles de votre région. N'attendez pas l'arrivée d'un e-mail, remerciez l'AYCC de vous offrir l'opportunité de démarrer la conversation maintenant.
Si les croyants sont si attentionnés, éthiques et moraux, pourquoi enseignent-ils aux enfants qu’il est acceptable de tromper les membres de la famille ? Est-ce le genre de monde « juste et juste » dans lequel nous voulons vivre ?
Appelez les écoles et les services P&C locaux et demandez-leur s'ils savent que l'AYCC – qui gère des programmes dans les écoles – enseigne aux enfants à tromper leurs parents et leurs grands-parents et à utiliser des logiciels malveillants. Est-ce le genre de valeurs familiales qui appartiennent à nos écoles ? L'école locale garantira-t-elle qu'elle ne permettra pas à ce groupe de manipuler les enfants ?
L'Australien a dévoilé son jeu tordu cette semaine et le trafic vers oneminutecookies.com est tombé à zéro. Il est donc probable que le piège des liens changera. (La campagne a été suspendue).
Le journaliste Joseph Lam s'est entretenu avec des experts en cybersécurité de Check Point Research :
Ashwin Ram, l'évangéliste technologique de l'entreprise, l'un des 100 plus grands innovateurs d'Australie, a déclaré que cette technique n'était pas courante mais qu'il imaginait que les cybercriminels l'utiliseraient dans le cadre de campagnes de phishing.
M. Ram a déclaré que les cookies étaient utilisés pour « améliorer l'expérience utilisateur », mais dans le cas de la campagne AYCC, « il semble que le but ici était d'attirer les sceptiques du changement climatique vers oneminutecookie.com ». Il ajoute : « Même si le site semble innocent, le navigateur d’une victime stockera des cookies qui affecteront son expérience de navigation en affichant du contenu pour soutenir un récit particulier. »
Si les preuves du changement climatique sont si accablantes, pourquoi ne les utilisent-ils pas pour se faire des amis et influencer les gens au lieu de recourir aux astuces de phishing que les criminels pourraient utiliser ?
AYCC, Coalition australienne des jeunes pour le climat.
Poing rouge des camarades, communistes.
La meilleure leçon que les enfants puissent apprendre aujourd’hui est que les fascistes et les communistes ont toujours appris aux enfants à mentir. C’est un moyen pour parvenir à une fin. Lisez les confessions d'un garde rouge : « J'ai mené une vie hantée par la culpabilité ». Les poings levés ne sont peut-être pas le symbole qui vous élève.
Kiev cherche désespérément de nouvelles sources d’énergie: Utilisation de prisonniers pour produire de l’électricité à l’aide de « Vélo générateur d’électricité ».
Par Lucas Leiroz de Almeida Mondialisation.ca, 24 septembre 2023
La preuve du désespoir ukrainien devient de plus en plus claire. Pour tenter d’obtenir de nouvelles sources d’énergie, la possibilité d’utiliser des prisonniers pour produire de l’électricité est discutée au Parlement ukrainien. En pratique, il s’agirait d’un effort humain extrême pour produire une petite quantité d’énergie, ce qui montre à quel point Kiev est déterminé à réduire les effets de la crise énergétique.
La proposition a été présentée par le législateur ukrainien Sergey Grivko et sera bientôt évaluée par d’autres parlementaires. Ce qu’il prévoit, c’est de littéralement « motiver 50 000 détenus à produire de l’électricité à l’aide de générateurs de bicyclettes ». M. Grivko et ses partenaires politiques espèrent ainsi au moins atténuer les effets désastreux de la crise énergétique majeure qui frappe actuellement l’Ukraine.
Cette mesure, qualifiée de « non conventionnelle » par son propre promoteur, intervient dans un contexte de véritable désespoir de la part du régime de Kiev, qui tente de trouver le plus rapidement possible des sources d’énergie sûres, l’infrastructure énergétique du pays ayant été gravement affectée par le conflit. Récemment, le directeur de la compagnie nationale d’électricité ukrainienne Ukrenergo, Vladimir Kudritsky, avait déjà fait savoir qu’il serait impossible de réparer les installations détruites avant l’arrivée de l’hiver.
En théorie, le projet devrait être mis en œuvre dans le cadre d’une relation « gagnant-gagnant » entre l’État et les prisonniers. Ils pourront « travailler » à la production d’énergie sur des vélos électriques en échange de peines plus courtes. Plus ils travailleront, plus leur temps de détention sera réduit. Dans la pratique, cependant, les choses pourraient être très différentes et plus difficiles que prévu.
Il est pratiquement impossible que l’utilisation de vélos électriques suffise à rétablir la stabilité énergétique d’un pays. La capacité de ces vélos est faible par rapport aux sources d’énergie conventionnelles. Le modèle de bicyclette a été conçu comme une alternative écologique et durable pour un usage domestique et pour réduire les coûts énergétiques dans les petites installations, mais il ne semble pas être une alternative viable pour surmonter une urgence énergétique nationale.
Pour produire une quantité significative d’énergie, les prisonniers devront travailler sur les bicyclettes pendant de nombreuses heures. Cela peut être un problème si l’on considère que tous les prisonniers n’ont pas les conditions de santé et les capacités physiques nécessaires pour ce type d’effort corporel. En ce sens, compte tenu de la nature dictatoriale, terroriste et anti-humanitaire du régime néo-nazi, il est très probable que, dans la pratique, les prisonniers seront contraints de travailler jusqu’à l’épuisement pour produire autant d’énergie que possible, créant ainsi un système analogue à l’esclavage et aux châtiments corporels.
Ce type de plan non conventionnel et irrationnel ne fait que démontrer la gravité de la crise énergétique du pays et la façon dont les autorités locales cherchent des « solutions » par tous les moyens possibles. Cette crise est due aux attaques massives lancées par les forces armées russes depuis l’année dernière, principalement après le début du commandement du général Sergey Surovikin. À l’époque, une vague de frappes de haute précision a été lancée contre les infrastructures critiques de l’Ukraine, privant plusieurs régions du pays d’énergie et affectant gravement la logistique militaire de Kiev.
Contrairement aux attaques ukrainiennes contre des régions civiles russes, l’intention de Moscou avec ce type d’opération n’a jamais été de nuire à la population ukrainienne et à l’approvisionnement en énergie dans les zones civiles. Au contraire, l’intérêt stratégique de ces attaques était précisément de neutraliser les lignes d’approvisionnement en énergie qui garantissaient à la fois le maintien des centres de décision et l’opérabilité des forces armées ukrainiennes. En effet, la stabilité énergétique ukrainienne rendait viables les incursions terroristes contre les civils russes, et Moscou devait donc l’endommager.
Malheureusement, dans de nombreux cas, la population civile subit les conséquences de la destruction des infrastructures, mais c’était la seule alternative qui restait à Moscou face à tant d’attaques terroristes menées par les forces armées ukrainiennes. En d’autres termes, la Russie a simplement voulu protéger ses propres citoyens.
En effet, avec l’arrivée de l’hiver, l’Ukraine va certainement connaître des moments très difficiles, pires encore que ceux de 2022. Et ce, alors que la situation des forces armées du pays est déjà catastrophique et qu’elles n’ont pas été en mesure de lancer une « contre-offensive » au cours de la saison printemps-été. Les conséquences de l’hiver devraient être considérables tant sur le plan militaire que sur le plan social, accélérant le processus inévitable de défaite dans le conflit et d’effondrement de la société ukrainienne.
La bonne façon d’éviter le pire n’est pas de forcer les prisonniers à travailler sur des sources inefficaces de production d’énergie, mais de prendre des décisions stratégiques qui mettent fin au conflit. Kiev devrait rompre avec l’Occident, cesser d’être un État proxy et accepter les conditions de paix russes. Moscou aiderait alors certainement l’Ukraine à surmonter les problèmes sociaux causés par les hostilités. Malheureusement, la junte de Kiev ne semble pas intéressée par ce type de solution.
Lucas Leiroz de Almeida
*
Article original en anglais : Kiev Desperate in Search for New Energy Sources: Using Prison Inmates to Generate Electricity with “Bicycle Generators”
L’article a été initialement publié sur InfoBrics.
Traduction : Mondialisation.ca
Lucas Leiroz est journaliste, chercheur au Centre d’études géostratégiques et consultant en géopolitique.
*
RépondreSupprimerPeter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l'Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans à travers le monde. Il enseigne dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l'auteur de Implosion – Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l'environnement et la cupidité des entreprises ; et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes : From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » ( Clarity Press – 1er novembre 2020).
Peter est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est également chercheur principal non-résident de l'Institut Chongyang de l'Université Renmin de Pékin.
https://www.globalresearch.ca/brain-battlefield-future/5822326
Préserver les relations humaines dans un monde d’intelligence artificielle
RépondreSupprimerTheodore est un écrivain solitaire qui traverse un divorce difficile. Samantha est intuitive, joyeuse et a une voix sensuelle. Leurs mondes se rejoignent, passant d’abord du stade de l’amitié à celui d’une romance intense. Ils parlent d’art, de vie et d’amour. Ils discutent, rient, se disputent et on peut même dire qu’ils ont une certaine intimité. Ils forment un couple comme les autres, à un détail près : il est de chair et d’os, « elle » est un système d’exploitation basé sur l’intelligence artificielle.
Par Juan José Murphy
le 24 septembre 2023 à 7h30
Le marché global de l'Intelligence artificielle a atteint 383,3 milliards de dollars en 2021.
L'intrigue du film « Her » de Spike Jonze, sorti en 2013 et interprété par Joaquin Phoenix, et la voix de Scarlett Johansson, soulevait des questions avant-gardistes pour l’époque. Aujourd’hui la pertinence est plus frappante : peut-on humaniser une « machine » au point d’en tomber amoureux ? Au fur et à mesure des progrès technologiques, serons-nous tentés d’anthropomorphiser de plus en plus l’intelligence artificielle ? Réduirons-nous notre condition humaine à nos simples besoins, seulement pour les satisfaire grâce à des algorithmes mathématiques ?
Si nous parlons des utilisations quotidiennes de l’IA, il n’y a rien de mal à ce qu’une plateforme de streaming nous suggère un bon film à regarder ou à ce que nous passions du temps à scroller des vidéos et réels sur les réseaux sociaux. Mais cela devient problématique lorsqu’une dépendance se crée, donnant au cerveau des récompenses instantanées qui satisfont nos désirs de consommation et de satisfaction primaire. Le contenu est présenté comme apparemment gratuit et accessible à tout moment et en tout lieu. L'objectif de l'IA sur les réseaux sociaux est de charmer nos yeux et nos oreilles afin que nous passions de plus en plus de temps à consommer, nous transformant ainsi en automates numériques.
L'IA occupe et continuera d'occuper une place utile dans de nombreux domaines de notre vie. Cependant, il est important de prendre conscience des risques que comporte une dépendance excessive à l'égard de la technologie. L'objectif n'est pas de cesser d'utiliser l'IA, mais de l'humaniser et de l'utiliser pour améliorer notre qualité de vie.
Des leaders comme Tristan Harris, Elon Musk ou Yuval Noah Harari mettent en garde contre les risques de l'évolution de l'IA et présentent des scénarios pertinents pour générer une prise de conscience et gagner la bataille culturelle. Ils font appel au choc car ils veulent anticiper les potentiels effets dévastateurs de l'IA, non seulement en termes de cybersécurité mais aussi dans son incidence néfaste sur les relations sociales et la déshumanisation de l'utilisateur qui en découle, si rien n’est fait pour mieux la contrôler.
Imaginons un futur pas si lointain où nous vivrons tous avec un avatar virtuel. Une sorte de meilleur ami ou partenaire qui nous ressemble physiquement, qui nous parle comme nous le voulons, qui est toujours de bonne humeur, disponible 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 pour nous écouter et répondre à toutes nos questions, et qui a les mêmes centres d'intérêt que nous, comme dans le film Her. Pourquoi créer des liens physiques quand des avatars peuvent remplir cette fonction ? Peut-on être ami avec une machine ? La réponse est peut-être oui, mais il est important de se poser la question à temps et de comprendre les risques liés à ce type de relations avec l'IA.
RépondreSupprimerLe confort peut être un obstacle à notre esprit critique, à notre capacité à approfondir des questions importantes, à interagir avec d'autres personnes et à nous développer en tant qu'êtres sociaux. L'intelligence artificielle peut parfois être antinomique à ces besoins fondamentaux.
Il est donc essentiel de parler de ce sujet dans les environnements familiaux, les salles de classe, les forums d'entreprises et les espaces politiques. Les entreprises qui travaillent au développement de l'IA ont également un rôle fondamental à jouer dans ce processus.
Nous devons sensibiliser la société aux chamboulements que va apporter l'intelligence artificielle et promouvoir les bonnes pratiques. Bien qu'il existe déjà des initiatives, telles que le Center for Humane Technology, qui vont dans ce sens, il reste encore beaucoup à faire.
La bonne nouvelle, c'est que nous avons encore le temps d'agir. Fut un temps où nous avons arrêté de fumer dans les avions et les espaces clos, réalisant que le tabac était toxique. Nous nous sommes habitués à utiliser la ceinture de sécurité dans les voitures lorsque nous avons compris que notre vie était en danger si nous ne le faisions pas. Le temps viendra donc où nous comprendrons que l'intelligence artificielle doit déshumaniser la machine pour humaniser la personne.
https://www.economiematin.fr/intelligence-artificielle-relations-humaines-risque-deconnexion-societe-murphy
Nous sommes toutes & tous entourés depuis longtemps de machines, de frigos qui travaillent 24/24 h, de voitures disponibles elles aussi 24/24 h, et même des intermittentes du spectacle qui peuvent faire du café ou laver le linge. Oui mais est arrivée la voix ! Pareil que celle du téléphone mais qui sort du frigo, du four, des placards ou de sous la table pour annoncer qu'il faut aller faire les courses, prendre un parapluie, s'habiller chaudement, etc, etc comme un chien qui remue la queue.
SupprimerBon, cette fois ce n'est pas le chien mais une boite qui écoute et parle. Mais, comme c'est un PROGRAMME il ne vous dira JAMAIS la vérité sur les pays en dictature et le pays seul au monde à être en Démocratie ! Ni ne vous répondra sur la vérité du '11 Septembre' ou celle de la poussière 'corona'.
Et, comme les gosses sont friands de découvertes, il apprendront grâce à l''I.A.' qu'un rond est carré et qu'un carré est un rond ! Un gros rond comme lui !
Ne vous faites plus enculer ! ENCULEZ VOUS VOUS-MÊME ! Grâce à l'I.A. que vous avez acheté ou reçu à noel vous allez être 100 % VOTRE dictateur ! Whoâw ! VOTRE bourreau ! et VOTRE croque-mort !
WEF : L’IA mettra fin à la domination humaine dans « cinq ans ».
RépondreSupprimer23 septembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Deux hauts responsables du WEF se sont assis pour une interview avec le magazine The Economist pour discuter de l'essor des machines contrôlées par l'IA. Mustafa Suleyman, co-fondateur de la société de technologie d'IA Google DeepMind, et Yuval Noah Harari, conseiller principal du WEF et de son fondateur Klaus Schwab, ont discuté de l'avancée de l'intelligence artificielle dans cinq ans.
Suleyman, architecte de l'agenda du WEF et membre clé du « comité directeur » de Schwab, a prédit que d'ici cinq ans, l'IA remplacera bon nombre des tâches quotidiennes normalement effectuées par les humains aujourd'hui.
À titre d’exemple, il a déclaré que l’IA passerait et recevrait des appels téléphoniques pour conclure des accords avec des humains et d’autres machines. Süleyman était heureux que l’IA puisse remplacer les humains dans « de très nombreux domaines de notre économie ».
Après avoir entendu les prédictions de Süleyman, Harari a souri jusqu'aux oreilles lorsqu'on lui a demandé si la prédiction l'avait rempli d'« horreur ».
« C’est la fin de l’histoire de l’humanité », a déclaré Harari, un ardent défenseur du transhumanisme. « Pas la fin de l’histoire – la fin de l’histoire dominée par l’homme. »
En d’autres termes, les projets futurs du WEF visent à garantir que les humains ne seront plus la force vitale dominante sur Terre. Harari, qui se décrit comme un philosophe futuriste, estime que la technologie de l’IA est l’un des moteurs de sa vision d’une catastrophe dystopique.
Il parle souvent d’humains fusionnant avec des machines et finalement dominés par elles. Ses livres explorent également les projets d’un monde biotechnologique futuriste dans lequel les organismes biologiques intelligents seraient dépassés par leurs propres créations.
« L'Homo sapiens tel que nous le connaissons disparaîtra d'ici un siècle environ », a-t-il prédit. Il a affirmé l’année dernière que le « changement climatique » créerait sur Terre une « arche de Noé technologique » qui ne profiterait qu’aux « élites ».
Mustafa Suleyman est un chercheur et entrepreneur britannique en intelligence artificielle, co-fondateur et ancien responsable de l'IA appliquée chez Google DeepMind.
Il est actuellement co-fondateur et PDG d'Inflection AI, un studio d'IA, et développeur de Pi. L'équipe d'Inflection comprend certains des meilleurs experts en IA du secteur, qui ont déjà travaillé chez DeepMind, Google, Meta, Microsoft et OpenAI.
Suleyman est également membre du conseil d'administration de The Economist et membre du comité directeur de l'AI Governance Alliance du WEF, fondée en juin.
Lorsqu'on lui a demandé à quoi ressemblerait la vie des gens dans cinq ans, Suleyman a déclaré : « Ceux d'entre nous qui sont à l'avant-garde et qui forment les plus grands modèles d'IA formeront des modèles qui sont plus de mille fois plus grands que ce que nous voyons aujourd'hui… nous le ferons. voir une IA performante dans les cinq prochaines années.
RépondreSupprimer« Des IA qui peuvent non seulement dire quelque chose, mais aussi faire quelque chose. »
Il a décrit sa vision dystopique d’un monde dans lequel l’IA téléphonerait à « d’autres humains » pour négocier et appeler d’autres IA afin de déterminer le bon ordre dans une chaîne d’approvisionnement.
L'IA pourra utiliser des interfaces de programmation d'application (API), des logiciels qui gèrent les transferts de données entre les systèmes, afin de pouvoir communiquer avec des sites Web, des bases de connaissances et des banques d'informations.
Après que Soliman ait exposé sa vision, Harari a déclaré : « …pour moi, ce que nous venons d’entendre est la fin de l’histoire humaine.
« Ce n’est pas la fin de l’histoire – la fin de l’histoire dominée par l’homme.
« L’histoire continuera lorsque quelqu’un d’autre prendra le contrôle. » Il est intéressant que Harari ait dit que « quelqu'un d'autre contrôle ».
L’utilisation de « quelqu’un » au lieu de « quelque chose » était-elle destinée à faire référence à ceux qui contrôleront la technologie ? De même, Süleyman a fait référence à une « IA capable » qui communique avec « d’autres personnes ».
L’idée de fusionner les personnes et les machines est souvent promue par Harari et le WEF.
https://tkp.at/2023/09/23/wef-ki-wird-in-fuenf-jahren-die-menschliche-dominanz-beenden/
Bien sûr si vous commencez à parler à votre cafetière "FAIS DU CAFÉ !", ou à votre voiture "METS TOI EN MARCHE !", ou à votre femme "SUZANNE OUVRE-TOI !" dans moins de 5 ans vous êtes à l'hosto !
SupprimerCar... LIA est capable de répondre à toutes vos questions ! "Est-ce qu'il y a un con ici ?" "Oui !" "Dis-moi son nom !"...
Armement et « augmentation humaine » : « Détruire l’âme de l’humanité ». La guerre du futur immédiat ?
RépondreSupprimerCollaboration des gouvernements allemand et britannique sur les exosquelettes militaires et le génie génétique
Par Julien Rose
Recherche mondiale,
23 septembre 2023
Nous devons avoir le courage d'affronter nos ennemis. Je pense que la plupart des lecteurs de cet article savent déjà que l’élément psychotique de la race humaine, qui a réussi à s’établir au sommet de la pyramide de contrôle, ne reculera devant rien pour obtenir ce qu’il veut.
Cette « voie » consiste à détruire l’âme de l’humanité et à détruire au bulldozer toutes les expressions de la nature, à l’exception des plus élémentaires.
Ce que je dois rapporter aujourd’hui a échappé à mon attention jusqu’à très récemment, mais ne correspond malheureusement que trop bien à la description ci-dessus.
Le 13 mai 2021, le ministère de la Défense et des Forces armées (MOD) du gouvernement britannique a publié un document intitulé « Augmentation humaine – l'aube d'un nouveau paradigme » . Ce titre à lui seul m’a fait frissonner le dos ; mais ce frisson s'est prolongé à la lecture du premier paragraphe.
« Le Centre de développement, de concepts et de doctrine a travaillé en partenariat avec le Bureau de planification de défense de la Bundeswehr allemande pour comprendre les implications futures de l'augmentation humaine, jetant ainsi les bases d'une recherche et d'un développement de défense plus détaillés ».
- voir cadre sur site -
Capture d'écran du MOD
- voir cadre sur site -
Capture d'écran du MOD
Pourquoi un lien entre la Bundeswehr allemande et le ministère britannique de la Défense a-t-il provoqué un long frisson dans mon corps ?
Ensuite, nous apprenons que
"Le projet intègre des recherches menées par des spécialistes de la défense allemands, suédois, finlandais et britanniques pour comprendre comment les technologies émergentes d'augmentation humaine pourraient affecter l'avenir de la société, de la sécurité et de la défense."
Eh bien, sommes-nous censés croire que ces « spécialistes de la défense » se réunissent pour faire une étude détachée de l'état de l'art des êtres humains repensés pour devenir des armes instantanées sur le champ de bataille ?
Pas probable! Il s'agit d'une description d'une collaboration conçue pour exploiter le potentiel optimal de ces bipèdes cyborgiens kamikazes, afin d'être à la pointe du matériel militaire offensif dans un avenir très proche.
Nous lisons la suite
« Les technologies d’augmentation humaine offrent un large éventail d’opportunités pour aujourd’hui et pour l’avenir. Il s’agit de technologies matures qui pourraient être intégrées aujourd’hui avec des considérations politiques gérables, telles que la nutrition personnalisée, les appareils portables et les exosquelettes.
De quoi parlent-ils, nom de Dieu ?
Les lecteurs de ce document du gouvernement britannique sont-ils censés savoir ce que sont réellement la « nutrition personnelle », les « appareils portables » et les « exosquelettes » ?
Gardez à l’esprit que ceci a été écrit au milieu du grand canular du Covid. Cela ne sonne-t-il pas quelque chose d’aussi diabolique ?
Mais attends, ça devient pire
"Il existe d'autres technologies à l'avenir avec des promesses d'un plus grand potentiel, comme le génie génétique et les interfaces cerveau-ordinateur."
D'accord merci. Vous nous avez maintenant présenté une description claire de ce qui nous attend dans une langue que la plupart peuvent comprendre. Les caporaux armés en première ligne de la guerre avec… la Chine ?… la Russie ? seront des transhumains programmés par ordinateur – le joyau de la couronne de la grande réinitialisation de Klaus Schwab , la quatrième révolution industrielle. On aurait pu le deviner.
RépondreSupprimerMais bon, jetez juste un oeil à la prochaine révélation
« Les implications éthiques, morales et juridiques de l’augmentation humaine sont complexes et difficiles à prévoir et un engagement régulier sur ces questions doit être soigneusement pris en compte. »
Difficile de prévoir ? Seulement si vous êtes un démon profondément psychotique, aveugle et insensible, déguisé en être humain.
Le document se termine par la déclaration suivante
« L’augmentation humaine pourrait signaler l’arrivée d’une nouvelle ère d’avantage stratégique avec des implications possibles sur tout le spectre du développement des forces. »
« Une nouvelle ère d'avantage stratégique avec des « implications possibles » sur tout le spectre du développement des forces ». Maintenant, le frisson a atteint mon cœur, mais je ne le laisse pas y rester plus de quelques secondes. En fait, je suis indigné par l'obscénité totale de toutes ces déclarations.
De quel genre d’« avantage stratégique » parlent ces technocrates ? Quelles sortes d’« implications possibles » pour le « spectre du développement des forces » ? Des conséquences possibles ?
"Salut Sam, ici le centre de défense numérique automatisé de l'armée de Houston, voici vos instructions : branchez le caporal Jones et alignez-le avec la cible 371. Assurez-vous que ses appareils portables sont réglés en mode invisible et qu'il est équipé d'un "insecto-synth- capsules d'augmentation nutritive. Nous le dirigerons d'ici. Mais vous devez être attentifs à toute représailles sur le théâtre de guerre.
Il est très instructif de constater que dans la section « contenu associé » à la fin du document MOD se trouvent les liens suivants :
Financer l’Agenda 2030 pendant le Covid-19 et au-delà
Agenda 2030 : atteindre les objectifs mondiaux
La quatrième révolution industrielle
Investir dans un monde meilleur : résultats d'une enquête britannique sur le financement des ODD (objectifs de développement durable).
Il s’agit d’un avertissement direct pour quiconque ne parvient toujours pas à comprendre « le programme » mis en avant par la cabale mondialiste obscurément possédée. Un programme conçu pour exterminer des êtres humains chaleureux et vivants comme vous et moi et nous remplacer par un mélange d'esclaves contrôlés/hypnotisés par l'esprit et d'appareils robotiques programmés numériquement qui imitent les modèles de comportement humain élémentaires.
Les auteurs de ce rapport devraient déjà être sur le banc des accusés pour faire progresser la mise en œuvre de crimes contre l’humanité aussi odieux. Il s’agit d’un jeu techno-militaire glacial présenté comme un aperçu scientifique partagé et même « éthique » des derniers développements en matière de déploiements de haute technologie sur les champs de bataille sous-humains – et tout cela fait partie de l’Agenda 2030 de développement durable et de la Grande Réinitialisation.
RépondreSupprimerIl ne faut pas sous-estimer les efforts déployés par cette cohorte maléfique pour réaliser ses ambitions. Rien ne l’arrêtera « volontairement ». Nous devons donc l'arrêter .
Si nous voulons que la lumière du jour brille sur les générations futures, nous devons résolument nous engager à consacrer toutes nos énergies pour garantir la victoire de cette guerre ; donner à notre lumière les moyens de vaincre les ténèbres.
Guerriers de la Golden Dawn – avancez !
*
Julian Rose est l'un des premiers pionniers de l'agriculture biologique au Royaume-Uni, écrivain, animateur et activiste international. Il est l'auteur de « Surmonter l'esprit robotique », « Pour la défense de la vie » et « Solutions créatives pour un monde en crise ». Pour plus d'informations, consultez son site www.julianrose.info
https://www.globalresearch.ca/human-augmentation-warfare-immediate-future/5831385
VÉRIFICATION DES FAITS : Certains vaccins contre la grippe contiennent encore du thimérosal (mercure), une « neurotoxine puissante »
RépondreSupprimer22/09/2023
Ethan Huff
On croit souvent, à tort, que le thimérosal, un ingrédient vaccinal à base de mercure, a été complètement éliminé de tous les vaccins. La vérité est que le thimérosal est encore présent dans certains vaccins contre la grippe, notamment ceux administrés spécifiquement aux femmes enceintes, aux nourrissons et aux enfants.
Malgré des centaines d'études montrant que le thimérosal est extrêmement nocif pour l'homme, divers autres vaccins en flacons multidoses – c'est-à-dire ceux qui sont prélevés individuellement avec des aiguilles sur place à partir d'un lot plus important – contiennent également du thimérosal en quantités allant jusqu'à 20 microgrammes (mcg ).
"Le CDC a créé l'illusion qu'ils supprimaient le thimérosal des vaccins entre 2001 et 2003 en abandonnant volontairement son utilisation comme conservateur dans les vaccins HepB, HiB et DTaP", prévient Brian Hooker, directeur scientifique de Children's Health Defense. , à propos du tour de passe-passe réalisé par les Centers for Disease Control and Prevention.
"Cependant, il a été réintroduit dans le calendrier de vaccination prénatale/nourrisson/enfant via le vaccin contre la grippe en même temps. En 2004, le CDC a indiqué que le vaccin contre la grippe contenant du mercure pouvait être administré au cours de n'importe quel trimestre de la grossesse, ce qui signifie que les enfants en développement l'embryon/le fœtus pourrait être exposé à 25 microgrammes de mercure.
(Connexe : En 2013, les Nations Unies ont envisagé d'adopter un nouveau traité pour interdire l'utilisation du thimérosal et d'autres ingrédients contenant du mercure dans les vaccins.)
S’il est prouvé que le mercure est destructeur pour l’homme, pourquoi est-il toujours autorisé en « médecine » ?
Développé dans les années 1930 comme conservateur de vaccins, le thimérosal contient environ 50 % de mercure en poids et produit ce qu'on appelle l'éthylmercure comme métabolite. L’éthylmercure est ensuite transformé en mercure inorganique une fois à l’intérieur du corps, où il s’accumule ensuite principalement dans le cerveau et les reins.
L'Environmental Protection Agency (EPA) admet que le mercure est extrêmement toxique. L'exposition à ce produit peut nuire au cerveau, au cœur, aux reins, aux poumons et au système immunitaire. Et pourtant, les agences de santé américaines comme le CDC et la Food and Drug Administration (FDA) continuent d’autoriser son utilisation dans certains vaccins.
RépondreSupprimer« Lorsqu'il s'agit de différentes formes de mercure, le mercure organique est plus toxique que le mercure inorganique – qui est du mercure combiné à d'autres éléments », note Megan Redshaw, écrivant pour The Epoch Times.
Selon Hooker, également titulaire d'un doctorat en génie biochimique, le mercure sous toutes ses formes est « une neurotoxine puissante qui détruira les neurones (via la démyélinisation) au contact ».
Le méthylmercure, présent principalement dans les poissons contaminés et dans les vapeurs de mercure, est considéré comme l'une des substances non radioactives les plus toxiques connues de l'homme. Et des études montrent que l’éthylmercure est fondamentalement tout aussi toxique, malgré les affirmations contraires de l’establishment.
"Le méthylmercure et l'éthylmercure sont les formes d'exposition les plus répandues chez les fœtus, les nouveau-nés, les jeunes enfants et les femmes enceintes et allaitantes", prévient en outre Redshaw.
Avant que le thimérosal ne soit retiré de la plupart des vaccins du calendrier des CDC, il était inclus dans plus de 30 injections différentes approuvées par la FDA. Lorsque tel était le cas, l’enfant moyen qui recevait le programme d’injection absorbait également au moins 200 mcg d’éthylmercure au cours de ses six premiers mois de vie – aïe !
Le CDC affirme à tort que « le corps élimine facilement le thimérosal » et qu’il « ne reste pas longtemps dans le corps ». L'agence fédérale insiste également sur le fait que le thimérosal a la réputation d'être « très sûr », même si plus de 75 ans de recherches scientifiques et d'études indépendantes montrent le contraire.
"Le mercure est le deuxième élément naturel le plus toxique de la planète", explique Hooker. "Il est absurde de l'inclure comme additif dans un vaccin."
Il n’y a jamais de bonne raison de se faire vacciner contre la grippe – ou contre toute autre maladie, d’ailleurs. Apprenez-en davantage sur ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent :
TheEpochTimes.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-09-22-fact-flu-shots-contain-thimerosal-mercury-neurotoxin.html
Une étude révèle que l’ARNm contenu dans les vaccins contre la COVID-19 finit dans le lait maternel malgré l’insistance des autorités pour qu’il reste dans le bras
RépondreSupprimer22/09/2023
Cassie B.
Une nouvelle étude a révélé que l'ARNm des vaccins contre la COVID se retrouve dans le lait maternel, prouvant une fois de plus que les autorités sanitaires avaient complètement tort lorsqu'elles insistaient sur le fait que ces vaccins étaient parfaitement sans danger pour les mères qui allaitent et que l'ARNm restait dans le bras et ne voyageait pas. à travers le corps.
C’est le résultat d’une étude publiée dans la revue médicale britannique Lancet. Pour l’étude, les chercheurs ont collecté des échantillons de lait maternel auprès de 13 femmes en bonne santé en post-partum avant et après avoir reçu des vaccins à ARNm contre la COVID-19. Ils ont découvert que 10 des échantillons contenaient de l’ARNm jusqu’à 45 heures après avoir reçu le vaccin. Alors que les auteurs de l’étude ont tenu, sans surprise, à déclarer qu’ils estimaient que les vaccins étaient importants pour lutter contre la maladie, ils se sont ensuite lancés dans une longue mise en garde concernant leur utilisation chez les mères qui allaitent.
« Même si nous pensons que l’allaitement après la vaccination par ARNm est sans danger, un dialogue entre une mère qui allaite et son prestataire de soins de santé devrait aborder les considérations avantages/risques de l’allaitement au cours des deux premiers jours suivant la vaccination maternelle par ARNm. »
Ils ont ajouté que leurs découvertes pourraient également s’appliquer aux futurs vaccins à ARNm. Ils ont ajouté : « L’importance de cette recherche s’étend au-delà de la portée des vaccins à ARNm contre la COVID-19. Les résultats fournissent des informations précieuses sur le transport et la présence de l’ARNm du vaccin dans le lait maternel, ce qui peut être pertinent pour évaluer l’innocuité et l’efficacité des futures thérapies à base d’ARNm administrées aux femmes qui allaitent.
Ce n’est pas la première étude à parvenir à cette conclusion ; une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association en 2022 a également trouvé des traces d'ARNm dans le lait maternel chez les femmes vaccinées.
Malheureusement, de nombreuses femmes ont été induites en erreur sur ce fait, le gouvernement ayant rapidement imposé ces vaccins aux femmes et les assurant qu'elles étaient sans danger, malgré l'absence de preuves scientifiques à l'appui de cette affirmation. Le CDC, l’American College of Obstetrics and Gynecology et de nombreux médecins ont insisté sur le fait que l’ARNm resterait dans le bras autour du site de vaccination. Pire encore, Facebook et d’autres plateformes de médias sociaux ont censuré les personnes qui remettaient en question cette affirmation et d’autres, ainsi que celles qui tentaient de partager la preuve que ce n’était peut-être pas aussi sûr qu’on le prétendait.
En réponse à la dernière étude, Jason Bassler du Free Thought Project a écrit sur X : « Il s'avère que les « experts » qui nous ont dit que « le vaccin reste dans le bras » avaient tort. Une nouvelle étude publiée dans le Lancet a révélé la présence du vaccin C-19 dans le lait de 10 mères sur 13 femmes allaitantes analysées. J'ai fait l'objet d'une vérification des faits et j'attends des excuses.»
Les femmes sont tenues dans l’ignorance quant à la présence d’ARNm dans le lait maternel
RépondreSupprimerMême maintenant que les scientifiques ont prouvé que l’ARNm passe effectivement dans le lait maternel, la page d’information du CDC recommande toujours aux femmes de se faire vacciner, en déclarant : « La vaccination contre le COVID-19 est recommandée à toutes les personnes âgées de 6 mois et plus. Cela inclut les personnes enceintes, qui allaitent, qui tentent de tomber enceintes maintenant ou celles qui pourraient tomber enceintes à l’avenir.
Même si certains experts ont déjà tenté de minimiser ces résultats, il n’en reste pas moins que l’on ne sait toujours pas quels sont les effets à long terme de ces vaccins, surtout lorsque les bébés sont exposés à l’ARNm à des stades aussi délicats de leur développement. Il faudra peut-être des années, voire des décennies, pour que les effets soient pleinement connus, et de nombreuses mères ne sont peut-être pas disposées à prendre un tel risque avec la vie de leur bébé.
Malheureusement, les résultats de ces études vaccinales sont minimisés et censurés, ce qui signifie que certaines femmes n’auront pas accès aux informations dont elles ont besoin pour prendre des décisions intelligentes et éclairées concernant la santé de leur enfant.
Les sources de cet article incluent :
WNDNewsCenter.org
TheLancet.com
https://www.naturalnews.com/2023-09-22-mrna-covid-vaccines-in-breast-milk.html
Des chercheurs expriment leur CHOC après avoir appris que le « vaccin » à ARNm COVID de Pfizer contient une contamination par l’ADN
RépondreSupprimer22/09/2023
Ethan Huff
Dans un récent témoignage devant un comité ad hoc des affaires médicales du Sénat de Caroline du Sud, Phillip Buckhaults, expert en génomique du cancer et professeur à l'Université de Caroline du Sud, a révélé que le « vaccin » à ARNm de Pfizer contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) est contaminé par des milliards de minuscules ADN. fragments.
Selon Buckhaults, titulaire d'un doctorat en biochimie et biologie moléculaire, "il existe un danger très réel" avec ces fragments d'ADN étrangers car ils ont la capacité de s'insérer dans le génome d'une personne et de devenir "un élément permanent de la cellule".
Ce processus de modification génétique (OGM) pourrait expliquer pourquoi de nombreuses personnes « entièrement vaccinées » développent ce que Buckhaults a décrit comme « des effets secondaires rares mais graves comme la mort par arrêt cardiaque ».
Buckhaults, qui est lui-même triplement impliqué avec Pfizer, a précédemment qualifié la technologie de la plate-forme d'ARNm de « révolutionnaire », affirmant qu'elle a sauvé de nombreuses vies.
"Je suis un vrai fan de cette plateforme", a déclaré Buckhaults devant une salle remplie de politiciens. "Je pense qu'elle a le potentiel de traiter les cancers. Je crois vraiment que cette plateforme est révolutionnaire. De votre vivant, il y aura des vaccins à ARNm contre les antigènes de votre cancer unique. Mais ils doivent résoudre ce problème."
(En relation : les injections COVID nouvellement approuvées de Pfizer n’ont jamais été testées sur des humains, uniquement sur des souris – et seulement huit souris.)
Vérification des faits : les « vaccins » contre la COVID modifient de façon permanente l’ADN, transformant les humains en êtres hybrides OGM
La plus grande préoccupation de Buckhaults concerne "le risque théorique très réel de cancer futur chez certaines personnes, selon l'endroit où ce morceau d'ADN étranger atterrit dans le génome, il peut interrompre un gène suppresseur de tumeur ou activer un oncogène", a-t-il expliqué.
"Je suis un peu alarmé par la présence de cet ADN dans le vaccin... L'ADN est un dispositif de stockage d'informations à longue durée de vie. C'est ce avec quoi vous êtes né, avec lequel vous allez mourir et le transmettre à vos enfants... Donc les altérations de l’ADN… eh bien, elles persistent. »
En d’autres termes, comme de nombreuses personnes l’ont prévenu, les injections de COVID réécrivent l’ADN humain et transforment un être humain en un être hybride génétiquement modifié au niveau génétique.
RépondreSupprimerUne fois injecté et que les produits chimiques opèrent leur « magie », l’ADN d’une personne entièrement vaccinée n’existera plus jamais sous sa forme naturelle. Cela inquiète Buckhaults, qui a exhorté ses amis et les membres de sa famille à se faire injecter avant de divulguer à contrecœur cette information accablante.
Même si Buckhaults estime que les vaccins ont été produits de bonne foi, il estime également que la panique et l'hystérie entourant la « pandémie » ont entraîné « de nombreux raccourcis » pour injecter les injections dans les bras des gens à une vitesse vertigineuse.
Citant le rasoir de Hanlon, Buckhaults a déclaré que ce que certains pourraient attribuer à la malveillance, dans ce cas, « peut mieux s'expliquer par l'incompétence ».
"Il pourrait y avoir de la malveillance en dessous", a admis Buckhaults, "mais j'essaie de voir simplement de l'incompétence pour être aimable."
Deux processus de fabrication différents ont été utilisés pour fabriquer l'injection Pfizer : l'un étant la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour amplifier la matrice d'ADN utilisée pour la production d'ARNm, et l'autre étant une version améliorée du premier processus pour amplifier davantage l'ARNm et obtenir les vaccins produits le plus rapidement possible.
Selon le Brownstone Institute, ce deuxième processus d'amplification utilise des bactéries pour générer de grandes quantités de « plasmides d'ADN » ou d'instructions circulaires d'ADN. En conséquence, le produit final est contaminé à la fois par l’ADN plasmidique et l’ARNm.
Pfizer a tenté de résoudre ce problème en insérant des enzymes DNAse pour découper le plasmide en millions de minuscules fragments, ce qui n'a fait qu'aggraver le problème.
"[Pfizer] les a découpés pour tenter de les faire disparaître, mais ils ont en fait augmenté le risque de modification du génome au cours du processus", a déclaré Buckhaults.
"Je ne pense pas qu'il y ait eu quelque chose de néfaste ici. Je pense juste que c'était une sorte d'oubli stupide. Ils n'ont tout simplement pas pensé au danger de la modification du génome... ce n'est pas si coûteux d'ajouter un autre processus pour l'obtenir. dehors."
Les injections de COVID sont des injections mortelles. Apprenez-en davantage sur ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent :
Brownstone.org
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2023-09-22-researchers-shocked-pfizer-mrna-covid-vaccine-dna-contamination.html
Avant qu’ils n’effacent cette Histoire: Un groupe documente les histoires des victimes du protocole Covid
RépondreSupprimerDans un entretien exclusif avec The Defender, Carolyn "CC" Blakeman, directrice des médias et coordinatrice du groupe de travail de la FormerFedsGroup Freedom Foundation, a décrit la mission du groupe, qui consiste à soutenir les personnes dont les membres de la famille ont été blessés ou sont décédés à cause des protocoles Covid-19 de l'hôpital et à intenter une action en justice en leur nom.
Par Michael Nevradakis
Mondialisation.ca,
23 septembre 2023
Pour Carolyn “CC” Blakeman, directrice des médias et coordinatrice du groupe de travail de la Fondation pour la liberté du FormerFedsGroup (FFFF), ce sont les expériences de la vie qui l’ont amenée à défendre le protocole hospitalier du COVID-19 et les victimes de vaccins.
“J’ai commencé parce que j’ai perdu une fille en 1995. Elle a été tuée”, a déclaré Mme Blakeman. “Lorsque la pandémie de Covid-19 a été annoncée, l’idée de perdre un être cher m’a terrifiée.
Dans une interview exclusive accordée au Defender, Mme Blakeman a déclaré : “Les journaux télévisés nous ont tous terrifiés”, faisant référence aux compteurs de morts, aux camions frigorifiques et aux affirmations sur le nombre de personnes qui allaient mourir du virus. “J’étais déjà un blogueur politique, alors j’ai fait des recherches approfondies sur ce virus et sur ce que les autres pays utilisaient pour traiter leurs patients atteints du Covid.
Selon Mme Blakeman, ses recherches l’ont amenée à découvrir que d’autres pays utilisaient “des traitements précoces efficaces, mais qu’on nous les refusait”. Ces traitements comprenaient l’ivermectine et l’hydroxychloroquine.
Mais lorsque Mme Blakeman a tenté de faire connaître ces traitements en ligne, elle s’est aperçue que ses blogs étaient supprimés.
Je me suis dit : “Il s’agit d’un médicament vieux de 40 ans qui a reçu le prix Nobel. Pourquoi ne me laisse-t-on pas écrire sur l’ivermectine ?”, se souvient-elle.
Lorsqu’elle et son mari ont attrapé le Covid-19 en novembre 2020, ils ont immédiatement pris de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine. “Nous avons eu des symptômes pendant trois heures et c’est tout”, a-t-elle déclaré. Je me suis dit : “Mon Dieu, ils sont en train de tuer des gens !”.
Plusieurs membres de la famille proche de Mme Blakeman ont été blessés après avoir reçu les vaccins COVID-19, notamment par des problèmes cardiaques, des neuropathies et des vertiges.
C’est cette série d’événements qui a poussé Mme Blakeman à passer à l’action et à rejoindre la FFFF en tant que bénévole à plein temps. La fondation, créée en 2016, a commencé à “se concentrer strictement sur les crimes contre l’humanité liés à la pandémie de Covid-19”, a-t-elle déclaré.
Dans son interview, Mme Blakeman a décrit le travail effectué par la FFFF au nom des victimes du vaccin Covid-19 et des protocoles hospitaliers, notamment les actions en justice, les efforts visant à obtenir le rappel des vaccins Covid-19, le soutien aux dénonciateurs des hôpitaux, la publication des récits des victimes, la formation de groupes de soutien et l’organisation de campagnes visant à sensibiliser l’opinion publique.
RépondreSupprimerDocumenter les récits des victimes avant que “cette partie de l’histoire ne soit effacée”.
La FFFF déclare que sa mission est de “restaurer l’Amérique et le monde occidental dans les conditions existantes et considérées comme normales avant l’émergence de la crise pandémique et des mandats inconstitutionnels qui l’ont accompagnée”.
Dans ce cadre, le groupe affirme qu’il exposera le “protocole de mort” de la FDA (Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux) pour ce qu’il est”, et “aidera les gens à affirmer leur droit légal de refuser de se soumettre aux mandats de vaccination et de test nuisibles du Covid-19” et “appellera à un arrêt” de l’utilisationd’un passeport vaccinal” et des systèmes d’identification numérique draconiens”.
Plusieurs des membres de la FFFF sont d’anciens agents fédéraux et procureurs, selon le groupe, qui déclare que “beaucoup de nos anciens fédéraux sont ‘anciens’ parce qu’ils ont été les témoins directs de la corruption de nos systèmes les plus fondamentaux et sont devenus par la suite des objecteurs de conscience”.
Le groupe a également lancé le Covid-19 Humanity Betrayal Memory Project (CHBMP) (Projet à la mémoire de l’Humanité trahie), décrit comme un effort pour développer “la plus grande ressource en ligne au monde pour les informations concernant les victimes individuelles et l’effort concerté pour refuser à des êtres humains un traitement médical sûr et disponible”.
“Nous savions que nous devions documenter les expériences de ces gens avec les protocoles hospitaliers et les blessures par vaccins avant qu’elles ne se fassent effacer de l’histoire”, a déclaré Mme Blakeman. “Il faut que ces personnes soient documentées, afin que nous puissions nous souvenir de ce qui s’est passé, faire en sorte que cela ne se reproduise plus jamais, et nous souvenir d’elles.
Mme Blakeman a expliqué comment le site Web a été créé à partir d’entretiens avec des membres de familles de personnes décédées à l’hôpital ou blessées par le vaccin.
“Au fur et à mesure que nous enregistrions des témoignages, nous avons constitué un dossier qui s’est transformé en notre projet COVID-19 Humanity Betrayal Memory Project, qui compte plus d’un millier d’histoires et qui continue de s’enrichir”, a-t-elle déclaré.
“Notre réseau de victimes est très étroit”, a déclaré Mme Blakeman. La FFFF compte sept enquêteurs et a mis en place des présidents et des coprésidents dans chaque État. Chaque État dispose de son propre site web du CHBMP, où sont hébergés les récits des victimes de cet État.
Les poursuites judiciaires franchissent les premiers obstacles de la loi PREP
La FFFF est désormais impliquée dans un certain nombre de procès, d’actions en justice et d’efforts de lobbying à travers les États-Unis. Selon Mme Blakeman, la FFFF travaille avec une vingtaine d’avocats. Au total, “nous avons déposé environ 70 dossiers dans tout le pays”, a déclaré Mme Blakeman.
Certains de ces procès ont été intentés au nom de victimes de protocoles hospitaliers dans le cadre de la loi PREP (Public Readiness and Emergency Preparedness Act). Selon Mme Blakeman, “trois d’entre eux ont franchi la première étape de la loi PREP”.
RépondreSupprimerEn vertu de la loi PREP, l’immunité de responsabilité pour les vaccins Covid-19 sera maintenue au moins jusqu’en décembre 2024.
“Ils n’intentent pas de procès pour faute médicale”, a déclaré Mme Blakeman. “Ils déposent une plainte pour fraude présumée parce que le fiduciaire ou le médecin n’obtient pas le consentement de la victime ou de sa famille pour utiliser un médicament expérimental sur elle”, a déclaré Mme Blakeman. “La plupart du temps, ils ne leur disent rien ou leur jouent un tour.
“La plupart des cas de faute médicale sont prescrits”, a-t-elle ajouté. “En général, le délai de prescription est de deux ans dans la plupart des États… La fraude a un délai de prescription beaucoup plus long, en général.
Mme Blakeman a fait remarquer que si la loi PREP inclut les contre-mesures couvertes et le protocole, elle ne couvre pas nécessairement le médecin ou le fiduciaire qui n’a pas obtenu le consentement du patient pour prendre les médicaments. Elle a mentionné le remdesivir, un traitement qui, selon certains, a entraîné la mort ou des blessures chez des patients atteints du Covid-19 dans des hôpitaux.
“Si vous ne savez pas ce que quelqu’un met dans votre corps, ce n’est pas nécessairement couvert par la loi PREP”, a déclaré Mme Blakeman. “Dans les trois affaires qui sont passées devant un juge, le juge a déclaré que l’immunité de la loi PREP ne s’appliquait pas dans ce cas, car le patient n’a jamais su, la famille n’a jamais su ce que [le patient] se faisait donner.
Mme Blakeman a indiqué que les victimes peuvent également déposer des demandes au titre de la loi PREP sur la base de plusieurs autres types de réclamations, notamment la maltraitance des personnes âgées, l’abus médical (medical battery), le manquement à l’obligation fiduciaire, la faute professionnelle et la négligence.
Selon Mme Blakeman, cette stratégie juridique semble fonctionner jusqu’à présent. “Cela dépendra probablement de la juridiction et du juge, mais les cas qui ont passé sont en Californie et au Wisconsin”, a-t-elle déclaré. “Ils ont franchi l’étape de l’audition de la requête en irrecevabilité et se trouvent actuellement en phase de découverte (discovery) ou d’arbitrage.
Outre les poursuites engagées dans le cadre de la loi PREP, la FFFF a lancé la campagne “We The People 50-Recall the Shots“. “Nous allons d’État en État, auprès des bureaux des procureurs généraux, pour obtenir le retrait de ces vaccins, simplement parce que nous disposons des dernières données scientifiques de Kevin McKernan indiquant que les vaccins sont contaminés.
La FFFF a constitué une équipe d’experts médicaux qui interviendront au niveau de l’État, au niveau local ou au niveau fédéral “pour présenter nos faits et leur demander de les retirer [the vaccines] sur la base de la contamination”, a déclaré Mme Blakeman. “Nous sommes rendus assez loin dans l’Idaho, et ça s’annonce bien. Notre objectif est de les retirer avant que d’autres personnes ne soient blessées”.
La FFFF poursuit également une action en justice contre Gilead, le fabricant du remdesivir. “Nous travaillons avec un groupe d’avocats sur un recours collectif“, a déclaré Mme Blakeman, ajoutant que les avocats du groupe “ont trouvé un moyen de contourner la loi PREP en utilisant la publicité mensongère parce qu’ils annonçaient que le remdesivir faisait quelque chose qu’il ne faisait pas”.
RépondreSupprimer“Nous essayons de collecter des fonds”, a déclaré Mme Blakeman. “L’affaire va coûter des millions de dollars. Ces quatre avocats sont issus de petits cabinets indépendants. Ce sont eux qui s’engagent. Ce ne sont pas ces grands cabinets. Ils ne touchent pas à ce genre de poursuites”.
“Ces avocats travaillent sur ce dossier depuis deux ans, pendant leur temps libre”, a-t-elle déclaré. “Ils ont une excellente plainte. Elle est prête à être déposée, mais ils ne peuvent pas aller contre Gilead sans un trésor de guerre.”
Mme Blakeman pense que la FFFF pourra utiliser sa stratégie de collecte de fonds pour des affaires contre Pfizer et d’autres grandes sociétés pharmaceutiques.
La FFFF organise également des réunions régulières d’avocats, connues sous le nom de “Changemaker Attorney Meeting”, où les avocats sont invités à se réunir sur Zoom pour élaborer des stratégies et faire du brainstorming. Ces appels ont donné lieu à des poursuites judiciaires dans huit ou neuf États, a indiqué M. Blakeman.
Suivre l’argent
Sur la base de ses entretiens avec les victimes du protocole hospitalier Covid-19 ou les membres de leur famille, le CHBMP a dressé une liste de 25 points communs partagés par de nombreuses victimes. Selon le CHBMP :
« Après avoir examiné des centaines de cas dans tout le pays, nous avons dressé une liste des caractéristiques les plus courantes associées aux protocoles hospitaliers mortels pour Covid. Les victimes nous l’ont répété à maintes reprises.
« Les expériences déchirantes des patients qui ont souffert de ces protocoles et politiques liés à la Covid ne doivent pas être ignorées. »
Les points communs sont l’isolement de la victime, le refus du consentement éclairé et des traitements alternatifs, le gaslighting, le retrait des dispositifs de communication, la discrimination à l’encontre des personnes non vaccinées, la déshumanisation, la déshydratation et la famine, la ventilation non urgente, le refus de transfert et le respect strict des protocoles autorisés pour utilisation d’urgence.
Les enquêteurs du groupe “n’ont cessé d’entendre les mêmes choses”, a déclaré Mme Blakeman.
RépondreSupprimer“Dans presque tous les cas, [patients] demandent des traitements alternatifs. Ils réclament de la vitamine C et de l’ivermectine. On le leur refuse, on se moque d’eux, on leur dit ‘tu n’es pas un cheval‘”.
Elle a déclaré que pas une seule personne dans la base de données de la FFFF n’a vu la fiche d’information sur le remdesivir que les hôpitaux sont légalement tenus de fournir.
Il y a eu des gens qui sont entrés à l’hôpital et dont la femme a écrit sur leur bras avec un Sharpie : “Pas de remdesivir”, et ils l’ont quand même reçu”, a déclaré Mme Blakeman. “Ou bien ils s’endorment et [doctors] leur apporte la poche de remdesivir au milieu de la nuit. Ils ne savent donc pas, et leur proche ne sait pas”.
Les gens ont dit avoir été “déshumanisés et traités comme des animaux”, a déclaré Mme Blakeman. “Ils ne sont pas lavés, ils ne reçoivent pas de soins buccaux, ils ne sont pas autorisés à aller aux toilettes. Ils ne sont pas nourris, on ne leur donne pas de liquides”.
“Et l’une des plus importantes est la discrimination à l’encontre des personnes non vaccinées”, a-t-elle déclaré. “C’est la première question qui sort de leur bouche.
Un autre point commun concerne les patients qui ont été “contraints chimiquement ou physiquement, attachés au lit”, mis sous ventilation non urgente ou soumis à des ordres de “ne pas réanimer” qui n’ont pas été autorisés par les patients ou leurs familles. D’autres ont reçu des surdoses de fentanyl ou de morphine et ont subi des violences physiques, notamment des cas de nez cassés.
“Ce n’est pas une coïncidence”, a déclaré Mme Blakeman. “Il est clair qu’ils ne sont pas morts du Covid-19. Elle a précisé que ces pratiques résultent des protocoles hospitaliers Covid-19 prescrits par les Centres de contrôle et de prévention des maladies et font l’objet d’un livre blanc intitulé “Follow the Money: L’argent du sang dans les soins de santé aux États-Unis”.
Mme Blakeman a indiqué que le gouvernement avait encouragé les hôpitaux dans le cadre de la loi CARES (Coronavirus Aid, Relief, and Economic Security Act). “Les hôpitaux recevaient tout cet argent à l’avance, et s’ils n’utilisaient pas un certain montant, ils devaient tout rembourser. C’est pourquoi ils se sont empressés de ventiler, de faire toutes ces procédures qui sont souvent inutiles”.
Le rapport indique que l’incitation moyenne par personne aux États-Unis pour un “patient Covid complexe” est de 292 566 dollars. “C’est sans aucun doute l’argent qui motive les hôpitaux et ce protocole”, a déclaré Mme Blakeman. “Les médecins ont également été achetés par Big Pharma et vont être corrompus par de gros salaires”.
“Ils reçoivent de l’argent s’ils ont une admission pour Covid-19, puis s’ils utilisent le remdesivir, ils reçoivent une prime de 20 % sur l’ensemble de la facture de l’hôpital”, a-t-elle ajouté. “S’ils les mettent sous respirateur, ils reçoivent 39 000 dollars de plus. Et s’ils inscrivent Covid-19 sur le certificat de décès, ils obtiennent une autre prime”.
RépondreSupprimerMme Blakeman a indiqué que la FFFF avait lancé la campagne “Halte aux homicides en milieu hospitalier“, une série de rassemblements avec des experts médicaux comme orateurs et des membres de la famille des victimes, portant “une chemise avec la photo de leur proche”. Le premier rassemblement a eu lieu à San Antonio, au Texas, en mars, et le prochain événement aura lieu à Nashville, dans le Tennessee, en mars 2024.
La FFFF a également lancé un programme de défense des intérêts [du patient] dans les hôpitaux. “Si vous êtes à l’hôpital et que vous avez besoin d’être secouru, vous pouvez nous appeler”, a déclaré Mme Blakeman, “et nous mettrons un avocat au téléphone avec le médecin”.
“Nous avons sorti plusieurs personnes, nous les avons secourues”, a déclaré Mme Blakeman. Bien que l’équipe de la FFFF ne l’ait pas sauvée, Mme Blakeman a cité la victime du protocole hospitalier, Gail Seiler, qui a pu quitter un hôpital texan après un “face-à-face” de six heures avec les médecins et le personnel.
Une autre initiative de la FFFF est le Amnesty and Leniency Project (projet d’amnistie et de clémence), “où nous encourageons les dénonciateurs à sortir” des hôpitaux “pour révéler ce qu’ils ont fait, vu, entendu”, a déclaré Mme Blakeman.
“C’est ainsi que nous gagnerons ces procès et l’opinion publique”, a-t-elle déclaré, ajoutant que le groupe “peut plaider en faveur de l’amnistie ou de la clémence” pour les dénonciateurs.
Certaines victimes se sont suicidées “parce que leur vie a été détruite”.
La FFFF a également mis à profit son action auprès des victimes du protocole hospitalier et du vaccin Covid-19 pour lancer des groupes de soutien à leur intention et à celle de leurs familles.
“Tous ces bénévoles, toutes ces victimes, veulent aider. Ils veulent avoir l’impression de se battre pour quelque chose, et nous avons besoin de leur aide”, a déclaré Mme Blakeman. “La FFFF a démarré avec un groupe de soutien le lundi soir, qui s’est depuis étendu à six soirées par semaine, a déclaré Mme Blakeman, afin que personne ne se sente jamais seul.
Plus de 4 400 personnes font partie des groupes de soutien aux vaccins, mais selon Mme Blakeman, toutes ne reçoivent pas l’aide dont elles ont besoin. “Plus de 20 d’entre elles se sont suicidés au cours des trois derniers mois parce que leur vie a été détruite”, a-t-elle déclaré. “Elles ont perdu leur emploi. Leur santé a été détruite, et personne ne les a crus ou aidés”.
Grâce à la Task Force citoyenne de la FFFF, plus de 20 comités ont été formés avec la participation de plusieurs victimes de protocoles et de vaccins, dont un comité de législation, un comité des médias et un comité de rassemblement.
RépondreSupprimerAu niveau des États, la FFFF s’efforce de sensibiliser le public aux blessures et aux décès liés aux vaccins et aux protocoles hospitaliers, notamment par le biais de récentes campagnes d’affichage dans le Michigan et dans les États de Washington et du New Jersey,ainsi qu’un avion survolant le Jersey Shore avec une bannière sensibilisant aux décès liés aux protocoles hospitaliers et aux efforts de la FFFF.
Parmi les autres initiatives de sensibilisation de la FFFF figurent une campagne d’autocollants et d’aimants pour voitures, le podcast “FormerFeds Focus“, une page Substack, des discussions avec des victimes de protocoles et de vaccins et avec des experts médicaux sur Twitter Spaces, ainsi qu’une série de vidéos “Rumble”. Cependant, le groupe a été censuré sur Facebook, Google et YouTube, a déclaré Mme Blakeman.
Il faut se souvenir des victimes
Mme Blakeman a déclaré qu’en dépit des efforts continus de la FFFF, il a été “très, très stressant” pour elle de recueillir les récits des victimes. “Au bout d’un certain temps, j’ai dû faire une petite pause dans les interviews parce que je faisais de terribles cauchemars.
Pourtant, elle a déclaré que ces expériences “m’ont aussi poussée à continuer parce que je connais ce niveau de chagrin lorsque quelqu’un vous est enlevé de la mauvaise manière”.
Mme Blakeman a déclaré que l’objectif final de la FFFF était d’ériger un monument national portant le nom de toutes les victimes. “Il faut se souvenir de ces personnes pour ce qu’elles ont sacrifié et pour ce qu’elles étaient”, a-t-elle déclaré. “Il y a tant de jeunes.”
Mme Blakeman a également encouragé les victimes ou les membres de leur famille à se manifester et à partager leur histoire.
“Nous devons sensibiliser l’opinion publique”, a-t-elle ajouté :
“Faites enregistrer votre histoire. Participez à des groupes de soutien. Vous n’êtes pas seul. Beaucoup de gens se sentent très seuls. Nous vous croyons ici, nous vous soutiendrons, nous vous aiderons à raconter l’histoire qui vous tient à cœur et nous vous aiderons à rendre hommage à votre proche.
“Et nous vous aiderons à trouver un avocat si nous le pouvons. Nous essaierons de vous obtenir une certaine forme de justice.”
“Il s’agit d’une bataille spirituelle, je crois”, a déclaré Mme Blakeman. “Nous devons nous servir de ces décès pour inciter d’autres personnes à s’exprimer et à défendre ce qui est juste dans l’humanité.
RépondreSupprimerhttps://www.mondialisation.ca/avant-quils-neffacent-cette-histoire-un-groupe-documente-les-histoires-des-victimes-du-protocole-covid/5681470?doing_wp_cron=1695538779.3383319377899169921875
Et encore une fois, un jeune athlète décède « subitement et de manière inattendue »
RépondreSupprimer23 septembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Les conséquences néfastes des campagnes de vaccination perdurent. Comme l'explique aujourd'hui en détail Hartmut Glossmann , il existe toujours un taux de surmortalité élevé dû à la « vaccination » par les armes biologiques. Si cela concerne des célébrités ou de jeunes athlètes, des rapports apparaissent même dans les médias d'État comme la BBC.
La BBC mérite même ce titre : « Maddy Cusack : Sheffield United « dévasté » par la mort du milieu de terrain de 27 ans ». S'agit-il d'un autre cas tragique et mystérieux d'une personne jeune et en bonne santé décédée #soudainement ? Bien entendu, la BBC évite toute référence aux causes et au contexte.
"...C'est une nouvelle déchirante pour tout le monde à Bramall Lane", a déclaré Stephen Bettis, directeur général de Sheffield United.
«Maddy avait la position unique de faire partie de plusieurs équipes de Sheffield United et était populaire auprès de tous ceux avec qui elle entra en contact.
« Sa personnalité et son professionnalisme ont fait d’elle un atout pour sa famille – elle nous manquera beaucoup.
La cause de la mort de Cusack n'a pas encore été annoncée..."
https://tkp.at/2023/09/23/und-wieder-stirbt-eine-junge-sportlerin-ploetzlich-und-unerwartet/
Des millions de vies sauvées ou des massacres à l’aide d’armes biologiques ?
RépondreSupprimer23 septembre 2023
par Em.O.Univ.Prof. Dr. méd. Hartmut Glossmann
Nous avons affaire à deux vagues d’armes biologiques. Le cardiologue américain Prof. Peter McCullough a donné une conférence remarquable au Parlement européen le 13 septembre 2023. Il appelle « Ross et. Cavalier » de la première vague de catastrophes et de souffrances qui a balayé le monde entier : un agent pathogène (SARS-CoV-2) construit en laboratoire (États-Unis, Chine).
Il nomme la deuxième vague de souffrance qui s'ensuit et se poursuit comme l'injection d'ARNm mod transfectant la protéine Spike (appelée à tort « vaccination ») et énumère les effets potentiellement mortels qui sont maintenant reconnus comme causals : 1. Cardiovasculaire 2. Neurologique
3.Thromboembolique 4. Immunologique.
Il demande l’arrêt immédiat des injections et souligne que l’on laisse croire au public que les différentes plaintes des victimes du modmRNA sont dues au « Long Covid ».
Ce qui était auparavant inconnu, c'est que les préparations d'ARNm mod destinées aux tests cliniques étaient produites selon un processus différent de celui des milliards de doses qui ont été et sont injectées dans le monde (bioréacteur avec E. coli). Ceux-ci contiennent, selon le témoignage du Pr Phillip Buckhaults devant le Sénat de Caroline du Sud, des fragments de plasmide (ADN vecteur d'expression), comme décrit par McKernan et al. largement documenté pour les injections bivalentes de Moderna et Pfizer. Le 7 septembre 2023, la « Société japonaise pour les complications liées aux vaccins » a tenu une conférence de presse au cours de laquelle le président, le professeur Masanori Fukushima, a prononcé un discours. La traduction anglaise se lit comme suit :
« Rien de tel n’est jamais arrivé auparavant…. J'ose dire un meurtre. On pourrait dire qu'il y a eu un massacre. « Cela ressemble plus à un meurtre de masse causé par une arme biologique »
Des millions de vies sauvées grâce aux injections de transfection de protéines Spike ?
Si l’on en croit le récit des médias publics, les injections ont sauvé des millions de vies dans le monde. Ces chiffres sont basés sur des modèles informatiques et devraient être confirmés par les statistiques de décès.
1 - Cas particulier de l’Allemagne ?
Une première publication qui aborde cette tâche pour l'Allemagne a été rédigée par Kuhbandner et Reitzner [Kuhbandner C, Reitzner M (23 mai 2023) Estimation of Excess Mortality in Germany Durant 2020-2022. Cureus 15(5):e39371. DOI 10.7759/cureus.39371], cité ci-dessous :
« Dans l’ensemble, en 2021, avec le début de la campagne de vaccination contre le COVID-19, on observera une surmortalité plus élevée que l’année précédente dans les mois au cours desquels de nombreuses personnes ont été vaccinées. En 2022, lorsqu’une grande partie de la population aura été entièrement, voire triplement vaccinée, la surmortalité augmentera continuellement à partir du printemps et atteindra un maximum de 28 % en décembre. Une telle observation est difficile à concilier avec l’hypothèse selon laquelle les vaccinations contre le COVID-19 sont très efficaces contre les décès dus au COVID-19. « Soit les vaccinations ne fonctionnent pas aussi efficacement que prévu, soit elles réussissent à prévenir les décès dus au COVID-19, mais soudain, des facteurs autres que le COVID-19 apparaissent qui conduisent à un nombre croissant de décès inattendus en 2021 et 2022. »
RépondreSupprimer"D'un point de vue pharmacovigilance, la cooccurrence d'une surmortalité et de vaccinations représente un signal de sécurité. Les signaux de sécurité tels que l'observation d'une relation temporelle entre l'administration de vaccins et la survenue d'événements indésirables n'impliquent pas nécessairement une relation causale, car il peut y avoir des troisièmes variables potentielles, qui influencent à la fois le déroulement des vaccinations et l’évolution de la surmortalité. "Un signal de sécurité n'indique pas une relation causale entre un effet indésirable et un médicament, mais constitue simplement une hypothèse qui nécessite une évaluation plus approfondie."
« Compte tenu du lien temporel entre l'augmentation des vaccinations et la surmortalité, il semble surprenant qu'un signal de sécurité correspondant n'ait pas été reconnu par la pharmacovigilance de l'Institut Paul Ehrlich (PEI), responsable de la surveillance de la sécurité des médicaments. en Allemagne. » .
« Comme point de départ pour des recherches plus approfondies visant à expliquer ces schémas de mortalité, nous avons comparé la surmortalité avec le nombre de décès signalés par le COVID-19 et le nombre de vaccinations contre le COVID-19. Cela soulève plusieurs questions ouvertes, dont la plus importante est la covariation entre la surmortalité, le nombre de décès dus au COVID-19 et les vaccinations contre le COVID-19.
Conclusion : Cette étude réfute non seulement le récit selon lequel les injections mentionnées ci-dessus ont sauvé des millions de vies, mais conclut également qu'il n'y a pas seulement de sous-mortalité en Allemagne en 2021 et 2022, mais même une covariation entre l'excès réel mortalité, le nombre de décès dus au Covid-19 et les vaccinations contre le Covid-19 sont disponibles
Une autre analyse indépendante de Rockenfeller R, Günther M, Mörl F. (2023) Les rapports de décès sont une exagération : mortalité toutes causes confondues et conditionnelle aux tests NAA en Allemagne à l'ère du SRAS-CoV-2 . R. Soc. OpenSci. 10 : 221551. arrive à des conclusions similaires : selon leur analyse, il y avait un taux de sous-mortalité de -18 500 pour 2020 et un taux de surmortalité de +70,00 pour 2021, qui atteint la valeur extrême de +41 200 en 2022. Les auteurs ne commentent pas (encore) le dernier chiffre (année 2022). D’ailleurs, les auteurs prennent l’OMS et les médias au sérieux :
RépondreSupprimer« La couverture médiatique mondiale de la « pandémie de CoViD-19 » est inégalée par aucun événement récent (ou probablement historique). En conséquence, une multitude de données ont été collectées et analysées pour fournir des informations et des aperçus statistiques sur la dynamique de l’infection et les indicateurs de performance clés pour son confinement. L’augmentation spectaculaire du taux de mortalité a été l’un des principaux arguments avancés par les hommes politiques pour imposer des mesures socio-économiques strictes à la population. Dans ce travail, nous nous sommes fixés pour objectif d’examiner plus en détail la surmortalité prétendument élevée en 2020 et 2021. Contrairement aux estimations de l'OMS d'un excès de décès de 101 500 à 195 000 en Allemagne au cours de ces deux années, nous avons même constaté une sous-mortalité nette de -11 500, ce qui signifie qu'il n'y a eu rien d'autre que « mourir comme d'habitude ». méthode nette pour toutes les cohortes d’âge. Notre analyse montre que les estimations de l’OMS sont exagérées… »
Ce qui est remarquable chez Kuhbandner et Reitzner, c'est la critique ouverte de l'Institut Paul Ehrlich, qui ne veut pas reconnaître ces signaux.
Les corrélations, telles que celles de la figure 8, ne constituent pas une preuve de causalité, en particulier lorsque l’on analyse les données d’un seul pays.
Il existe des critères internationalement acceptés (Bradford-Hill) qui suggèrent fortement une causalité si certaines conditions sont remplies (Ioannidis (2016) https://doi.org/10.1002/sim.6825 ) :
1. « Cohérence » : Le même phénomène est observé indépendamment dans différents pays, régions, pour différentes tranches d’âge et à différents moments.
2. « Temporalité » : Une connexion temporelle existe : le phénomène est toujours précédé du même événement
3. « Cohérence » : Le phénomène est toujours qualitativement le même et d'ampleur comparable à chaque fois qu'il est observé.
Leçons du désastre du vaccin contre la variole pour les dommages monstrueux causés par les protéines de pointe
RépondreSupprimer24 septembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Il devient de plus en plus évident que la campagne de vaccination provoque des dégâts à long terme d’une ampleur sans précédent. Les décès parmi les jeunes athlètes continuent. Les pathologistes Prof. Walter Lang et Prof. Arne Burkhardt ont montré que des dommages irréparables se produisent au cœur, aux cellules nerveuses du cerveau et, plus récemment, aux fibres élastiques. Et ceux-ci affectent tous les organes jusqu’à la peau, comme nous l’expliquons en détail dans cette interview . Ce qui est incroyable, c’est que les mêmes expériences ont déjà été faites avec les premiers vaccins.
Un ami médecin résumait ainsi la situation ce matin : « Chers amis, la nouvelle injection Covid est enfin là. Une nouvelle recette de cuisine de bouillon de thérapie génique modmRNA emballé dans des coques LNP toxiques et aromatisé avec des contaminants d'ADN plasmidique. Et depuis le 5 septembre. à la pointe du nouveau plan de vaccination, approuvé dès la petite enfance et également recommandé aux femmes enceintes. C’est l’échec total et continu de notre éthique médicale et ce sera le plus grand scandale de l’histoire de la médecine. »
Un autre médecin, « A Midwestern Doctor », a écrit en juillet un article de synthèse fascinant sur les enseignements critiques mais largement oubliés des premiers pionniers de la médecine :
Que peut nous apprendre la catastrophe du vaccin contre la variole sur les lésions causées par les protéines Spike ?
Lorsque vous étudiez l’histoire, vous êtes toujours frappé par la fréquence à laquelle des cycles de dysfonctionnement se répètent – c’est pourquoi beaucoup d’entre nous ont pu prédire une grande partie de ce qui s’est passé avec les désastreux vaccins contre le COVID-19. Il existe également un certain nombre d’erreurs en médecine (pour lesquelles il existe souvent peu ou pas de preuves). Malheureusement, ma profession les défend depuis des siècles, quels que soient les problèmes que ces croyances causent, et je pense que le mème du vaccin est l’un des plus dommageables.
À l'origine, j'ai été obligé de créer un sous-stack au début de 2022 lorsque j'ai réalisé que les manifestations massives contre les mandats de vaccination contre le COVID-19 (par exemple, le convoi de camions du Canada) étaient le miroir de ce qui s'est passé avec les vaccins contre la variole il y a environ 150 ans. J’ai pensé qu’il était important que tout le monde le sache afin que nous puissions tirer les leçons de nos ancêtres qui se sont battus contre des mandats vaccinaux similaires et injustifiés, et dans l’espoir que les circonstances actuelles nous permettront enfin de sortir de ce cycle.
Ne sachant pas vers qui me tourner, j'ai contacté Steve Kirsch (que je suivais). Même s'il ne me connaissait pas, il a gentiment (Steve est un gars vraiment sympa) utilisé sa plateforme pour promouvoir à la fois l'article et mon propre Substack, qui a depuis décollé grâce à vous tous (The Forgotten Side of Medicine est maintenant sur cinquante et un mille abonnés et est actuellement visionné six à sept cent mille fois par mois).
Lorsque j'ai écrit l'article sur Pox, je n'avais aucune expérience de blogging (il n'était donc pas particulièrement bien écrit) et je voulais qu'il s'agisse d'un article unique après lequel je n'écrirais plus. Lorsque j'ai écrit l'article, il se composait de deux parties : l'une sur les méfaits et les défauts généraux des vaccins et l'autre sur les changements spécifiques que la vaccination contre la variole provoque dans le corps humain. Parce que Steve (et ensuite d'autres comme le Dr Mercola - qui a également fourni un soutien inestimable à ce Substack) a fait la promotion de la première partie, elle a été largement vue.
Cependant, comme personne ne faisait la promotion du deuxième volet (et que j'avais très peu d'abonnés à l'époque), presque personne ne l'a vu. Je pense que cet article est tout aussi important car il fournit un aperçu crucial de la vague de maladies chroniques qui a déferlé sur la société occidentale au moment même où la vaccination contre la variole a été introduite. Ce qui suit est une version abrégée du premier article et une version révisée du deuxième article (mon écriture n'était pas la meilleure lorsque j'ai commencé à écrire ici).
RépondreSupprimerLa boucle de rétroaction positive du vaccin
Lorsque le vaccin contre la variole a été développé en 1796, il a suscité un grand scepticisme de la part de la communauté médicale, d'abord parce qu'il n'existait pratiquement aucune donnée à l'appui, puis parce qu'il n'a tout simplement pas fonctionné. Néanmoins, le vaccin a été rapidement adopté par les gouvernements du monde entier car il offrait une solution simple et descendante pour lutter contre la variole (ce que les gouvernements préfèrent toujours), et la communauté médicale en est progressivement venue à le soutenir, à mesure qu'elle gagnait à la fois le pouvoir politique grâce au vaccins ainsi que de l'argent.
De nombreux médecins se sont encore prononcés contre le vaccin, nombre d'entre eux étayant leurs objections par des données concrètes (par exemple, de grandes cohortes ont montré que le vaccin n'a pas empêché la variole et l'érysipèle, une infection cutanée pénible et parfois mortelle, est devenue courante). Malheureusement, ces médecins dissidents sont devenus une minorité de plus en plus petite, et des rapports de cette période indiquent que les médecins des premiers hôpitaux falsifiaient les dossiers médicaux pour dissimuler les dangers du vaccin et son inefficacité dans la prévention de la variole.
Le plus gros problème du vaccin contre la variole, cependant, était que la vaccination augmentait plutôt que diminuait l'incidence de la variole.
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Remarque : Pour de nombreux autres exemples de la manière dont l’augmentation des vaccinations a entraîné une augmentation des épidémies de variole, consultez l’article original ici .
Lorsque cela se produisait, les gouvernements avaient tendance à réagir à cette urgence en la considérant comme le résultat d’une couverture vaccinale insuffisante et en faisant tout ce qui était en leur pouvoir pour augmenter les taux de vaccination. Parce que la classe ouvrière était consciente à la fois des dangers du vaccin contre la variole et de son inefficacité, des mesures de plus en plus sévères ont dû être prises pour continuer à respecter les quotas de vaccination.
Alors que la situation continuait de s’aggraver, les responsables chargés de faire respecter la vaccination ont été attaqués et des émeutes ont régulièrement éclaté. Cette citation du professeur émérite FW Newman datant de 1874 résume bien l’ambiance de l’époque :
En réponse aux réglementations de vaccination de plus en plus draconiennes, une manifestation massive (impliquant des citoyens de toute l'Europe) a eu lieu à Leicester, en Angleterre, en 1885, qui a conduit à l'abrogation des lois de Leicester sur la vaccination obligatoire et à leur remplacement par des mesures visant à améliorer l'hygiène publique et la quarantaine. par les malades de la variole (et leurs contacts). Lorsque cette approche a été proposée par Leicester, la communauté médicale a attaqué les citoyens de Leicester, proclamant haut et fort que leurs politiques entraîneraient une mort massive et déclarant que Leicester servirait de leçon au monde pour ne jamais renoncer à la vaccination. Au lieu de cela, c’est le contraire qui s’est produit : Leicester a vaincu la variole, et ses méthodes (souvent combinées à la vaccination) ont ensuite été copiées afin que nous puissions enfin éradiquer la variole.
RépondreSupprimerComme vous l’avez peut-être remarqué, il existe de très nombreux parallèles entre ces événements d’il y a plus d’un siècle et ce que nous avons tous vécu ces dernières années.
Remarque : Un résumé détaillé du comportement frauduleux de Jenner rédigé par un autre auteur, ainsi que d'autres échecs documentés du vaccin contre la variole, peuvent être trouvés ici.
Premières écoles de médecine américaine
Au début des années 1900, il existait quatre principales écoles de médecine aux États-Unis : l'allopathie (médecine conventionnelle), l'homéopathie, la naturopathie (alors appelée école éclectique) et l'ostéopathie. L'allopathie a perdu en popularité parce que ses traitements ne fonctionnaient souvent pas et étaient très toxiques.
Au même moment, deux des personnes les plus riches de l’histoire (Andrew Carnegie et John D. Rockefeller) ont réalisé qu’ils devaient se diversifier au-delà de leurs industries respectives (acier et pétrole) après que Theodore Roosevelt ait décidé de démanteler leurs monopoles . La médecine allopathique a été reconnue comme un moyen prometteur de gagner beaucoup d'argent, et un certain nombre d'investissements ont été réalisés pour faire passer l'allopathie de l'impopularité à la principale forme de médecine aux États-Unis (par exemple, Flexner, publié en 1910, rapport utilisé pour fermer la plupart des écoles de médecine non allopathiques concurrentes en Amérique).
Remarque : Le livre The Robber Barons , qui détaille comment Rockefeller a monopolisé l'industrie pétrolière, fournit une perspective perspicace sur ce qu'il semble avoir également fait à l'industrie médicale.
Depuis la monopolisation de la médecine américaine, l'allopathie a accompli l'exploit remarquable de coûter au pays chaque année plus cher que l'année précédente, tout en échouant lamentablement sur bon nombre des problèmes de santé les plus importants auxquels notre pays est confronté - nous donnons plus que le le reste du monde en matière de soins de santé, mais nos résultats nationaux en matière de soins de santé sont pires que ceux de presque tous les autres pays développés.
- voir graph sur site -
RépondreSupprimerLa plupart des facultés de médecine non allopathiques de l’époque s’opposaient fermement à la vaccination en raison des dangers qu’elles y voyaient. Malheureusement, afin de se faire accepter dans l’industrie médicale lucrative, ils ont progressivement adopté le discours de la vaccination. Par exemple, Bastyr, la principale école de médecine naturopathique aux États-Unis, a rendu obligatoire la vaccination contre le COVID-19 pour ses étudiants, ce qui s'est heurté à l'opposition de nombreux médecins naturopathes traditionnels en exercice, car cette exigence allait à l'encontre de tout ce que représentait la médecine naturopathique.
Ainsi, en recherchant cette série, j’ai examiné ce que chacune de ces premières écoles de médecine rapportait à l’époque, car leurs premières publications étaient beaucoup plus disposées à critiquer la vache sacrée qu’est la vaccination. Ces récits méritent d’être lus deux fois, car ils décrivent tous des événements similaires qui diffèrent principalement par la perspective unique à travers laquelle leur modèle médical envisageait le corps.
Remarque : ci-dessous, j'aurais aimé inclure également la perspective chiropratique, la perspective ayurvédique et ce qui s'est passé au Japon ( les Japonais ont énormément souffert des vaccinations contre la variole ). Malheureusement, je n'ai trouvé aucune bonne source pour aucun de ces sujets .
L'article décrit également les autres écoles de médecine de l'homéopathie, de la naturopathie, de l'ostéopathie, de la médecine chinoise ainsi que les nouvelles recherches sur la stase sanguine - l'original continue ici .
Le rapport Flexner et la façon dont Rockefeller a développé le marché pharmaceutique et de la vaccination font également l'objet de cet article du TKP : 98 nouveaux vaccins à ARNm en préparation et ce que Rockefeller a à voir avec cela
https://tkp.at/2023/09/24/lehren-aus-dem-pockenimpfstoff-desaster-fuer-die-monstroesen-impfschaeden-durch-spike-proteine/
Aujourd'hui, depuis l'émergence de la nouvelle maladie appelée COVID-19 ( CO rona VI rus D isease-20 19 ), la technique de diagnostic RT-PCR est utilisée pour définir les cas positifs, confirmés comme SARS-CoV-2 (coronavirus responsable de la nouveau syndrome de détresse respiratoire aiguë appelé COVID-19).
RépondreSupprimerCes cas positifs sont assimilés aux cas de COVID-19 dont certains sont hospitalisés voire admis dans les services de réanimation.
Postulat officiel de nos managers : cas RT-PCR positifs = patients COVID-19. [1]
C'est le postulat de départ, la prémisse de toute propagande officielle, qui justifie toutes les mesures gouvernementales restrictives : isolement, confinement, quarantaine, masques obligatoires, codes couleurs par pays et interdictions de voyager, tracking, distances sociales dans les entreprises, les magasins et même, bien plus encore. surtout, dans les écoles [2].
Cet usage abusif de la technique RT-PCR est utilisé comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements , soutenus par les conseils scientifiques de sécurité et par les médias dominants, pour justifier des mesures excessives telles que la violation d'un grand nombre de droits constitutionnels, la destruction de la économie avec la faillite de pans entiers de la société active, la dégradation des conditions de vie d'un grand nombre de citoyens ordinaires, sous prétexte d'une pandémie basée sur un certain nombre de tests RT-PCR positifs, et non sur un nombre réel de patients .
Aspects techniques : pour mieux comprendre et ne pas se laisser manipuler
La technique PCR a été développée par le chimiste Kary B. Mullis en 1986. Kary Mullis a reçu le prix Nobel de chimie en 1993.
Bien que cela soit contesté [3], Kary Mullis lui-même aurait critiqué l'intérêt de la PCR comme outil de diagnostic d'une infection, notamment virale.
Il affirmait que si la PCR était un bon outil pour la recherche, elle était un très mauvais outil en médecine, en clinique [4].
Mullis faisait référence au virus du SIDA (rétrovirus VIH ou VIH) [5], avant la pandémie de COVID-19, mais cet avis sur la limitation de la technique dans les infections virales [6], par son créateur, ne peut être écarté d'un revers de main. ; il faut en tenir compte !
Les équipes surveillent en permanence l’évolution du génome viral du SARS-CoV-2 au fur et à mesure de son évolution [9-10-11], à travers les mutations qu’il subit. Il existe aujourd’hui de nombreuses variantes [12].
RépondreSupprimerEn prélevant quelques gènes spécifiques du génome du SARS-CoV-2, il est possible d’initier une RT-PCR sur un échantillon des voies respiratoires.
Pour la maladie COVID-19, qui a une porte d’entrée nasopharyngée (nez) et oropharyngée (bouche), le prélèvement doit être effectué le plus profondément possible dans les voies respiratoires supérieures afin d’éviter une contamination par la salive notamment.
- voir schéma sur site -
Toutes les personnes testées ont dit que c'était très douloureux [13].
Le Gold Standard (site privilégié pour le prélèvement) est l’ approche nasopharyngée (nasale) , la voie la plus douloureuse.
S'il existe une contre-indication à l'approche nasale, ou de préférence à la personne testée, selon les organes officiels, l'approche oropharyngée (par la bouche) est également acceptable. Le test peut déclencher un réflexe de nausée/vomissement chez la personne testée.
Normalement, pour que le résultat d'un test RT-PCR soit considéré comme fiable, une amplification à partir de 3 gènes différents (amorces) du virus étudié est requise .
« Les amorces sont des séquences d’ADN simple brin spécifiques du virus. Ils garantissent la spécificité de la réaction d'amplification. » [14]
« Le premier test développé à La Charité à Berlin par le Dr Victor Corman et ses associés en janvier 2020 permet de mettre en évidence les séquences d'ARN présentes dans 3 gènes du virus appelés E, RdRp et N. Pour savoir si les séquences de ces gènes sont présentes dans les échantillons d'ARN collectés, il est nécessaire d'amplifier les séquences de ces 3 gènes afin d'obtenir un signal suffisant pour leur détection et leur quantification. »[15].
La notion essentielle de Temps de Cycle ou Seuil de Cycle ou seuil de positivité Ct [16].
Un test RT-PCR est négatif (pas de trace de l'élément recherché) ou positif (présence de traces de l'élément recherché).
Cependant, même si l’élément recherché est présent en quantité infime et négligeable, le principe de la RT-PCR est de pouvoir enfin le mettre en évidence en poursuivant les cycles d’amplification autant que nécessaire.
La RT-PCR peut pousser jusqu’à 60 cycles d’amplification, voire plus !
Voici comment cela fonctionne :
RépondreSupprimerCycle 1 : cible x 2 (2 exemplaires)
Cycle 2 : cible x 4 (4 exemplaires)
Cycle 3 : cible x 8 (8 exemplaires)
Cycle 4 : cible x 16 (16 exemplaires)
Cycle 5 ; cible x 32 (32 exemplaires)
Etc de façon exponentielle jusqu'à 40 à 60 cycles !
Quand on dit que le Ct (Cycle Time ou Cycle Threshold ou seuil de positivité RT-PCR) est égal à 40, cela signifie que le laboratoire a utilisé 40 cycles d'amplification , soit obtenu 2 à 40 copies.
C’est ce qui sous-tend la sensibilité du test RT-PCR.
S'il est vrai qu'en médecine nous aimons avoir une spécificité et une sensibilité élevées des tests pour éviter les faux positifs et les faux négatifs, dans le cas de la maladie COVID-19, cette hypersensibilité du test RT-PCR causée par le nombre de cycles d'amplification utilisé s’est retourné contre lui.
Cette sursensibilité du test RT-PCR est délétère et trompeuse !
Cela nous détache de la réalité médicale qui doit rester basée sur l'état clinique réel de la personne : la personne est-elle malade, présente-t-elle des symptômes ?
C'est la chose la plus importante !
Comme je le disais au début de l'article, en médecine on part toujours de la personne : on l'examine, on recueille ses symptômes (plaintes-anamnèse) et ses signes cliniques objectifs (examen) et sur la base d'un diagnostic clinique réflexion dans laquelle interviennent la connaissance et l’expérience scientifiques, nous émettons des hypothèses diagnostiques.
C'est seulement ensuite que nous prescrivons les tests les plus adaptés, en nous basant sur cette réflexion clinique.
Nous comparons constamment les résultats des tests avec l' état clinique du patient (symptômes et signes), qui prime sur tout le reste lorsqu'il s'agit de nos décisions et de nos traitements.
Aujourd'hui, nos gouvernements, appuyés par leurs avis scientifiques de sécurité, nous font faire le contraire et privilégier le test, suivi d'une réflexion clinique nécessairement influencée par ce test préalable, dont nous venons de voir les faiblesses, notamment son hypersensibilité.
Aucun de mes collègues cliniciens ne peut me contredire.
Hormis des cas très particuliers comme le dépistage génétique pour certaines catégories de populations (tranches d'âge, sexe) et certains cancers ou maladies génétiques familiales, nous travaillons toujours dans ce sens : de la personne (symptômes, signes) aux tests appropriés, jamais le inverse.
C'est la conclusion d'un article du Swiss Medical Journal (RMS) publié en 2007, rédigé par les docteurs Katia Jaton et Gilbert Greub microbiologistes de l'Université de Lausanne :
PCR en microbiologie : de l'amplification de l'ADN à l'interprétation des résultats :
RépondreSupprimer« Pour interpréter le résultat d’une PCR, il est essentiel que cliniciens et microbiologistes partagent leurs expériences, afin que les niveaux d’interprétation analytique et clinique puissent être combinés. »
Il serait indéfendable de faire passer un électrocardiogramme à tout le monde pour dépister tous ceux qui pourraient un jour avoir une crise cardiaque.
En revanche, dans certains contextes cliniques ou sur la base de symptômes évocateurs spécifiques, là, oui, un électrocardiogramme peut être bénéfique.
Retour à RT-PCR et Ct (Durée de cycle ou seuil de cycle).
Dans le cas d’une maladie infectieuse, notamment virale, la notion de contagiosité est un autre élément important.
Puisque certains milieux scientifiques considèrent qu’une personne asymptomatique peut transmettre le virus, ils estiment qu’il est important de tester la présence du virus, même si la personne est asymptomatique, étendant ainsi l’indication de la RT-PCR à tout le monde.
Les tests RT-PCR sont-ils de bons tests de contagiosité ? [17]
Cette question nous ramène à la notion de charge virale et donc de Ct .
La relation entre contagiosité et charge virale est contestée par certains [18] et aucune preuve formelle, à ce jour, ne permet de trancher.
Cependant, le bon sens donne un crédit évident à l'idée selon laquelle plus une personne a de virus en elle , notamment dans les voies respiratoires supérieures (oropharynx et nasopharynx), avec des symptômes tels que la toux et les éternuements, plus le risque de contagiosité est élevé , proportionnel à la charge virale et l'importance des symptômes de la personne.
C'est ce qu'on appelle le bon sens , et bien que la médecine moderne ait grandement bénéficié de l'apport de la science à travers les statistiques et la médecine factuelle (EBM), elle repose toujours avant tout sur le bon sens, l'expérience et l'empirisme.
« C'est la quantité de virus qui devrait dicter la marche à suivre pour chaque patient testé. »
RépondreSupprimerLa quantité de virus (charge virale) ; mais aussi et surtout l'état clinique, symptomatique ou non de la personne !
Cela remet en cause l’utilisation du résultat binaire de ce test RT-PCR pour déterminer si une personne est contagieuse et doit suivre des mesures d’isolement strictes.
Ces questions sont soulevées par de nombreux médecins à travers le monde, non seulement aux États-Unis mais aussi en France, en Belgique ( Des experts belges de la santé demandent une enquête de l'OMS pour avoir simulé une pandémie de coronavirus ), en France, en Allemagne, en Italie, au Royaume-Uni, aux États-Unis. États-Unis et Royaume-Uni. en Allemagne, en Espagne…
Selon eux : « Nous allons mettre des dizaines de milliers de personnes en confinement, à l'isolement, pour rien. » [22]. 22] Et infliger par milliers des souffrances, des angoisses, des drames économiques et psychologiques !
La plupart des tests RT-PCR fixent le Ct à 40, selon le NYT. Certains le fixent à 37.
"Les tests avec des seuils (Ct) aussi élevés peuvent détecter non seulement des virus vivants mais aussi des fragments de gènes, restes d'une ancienne infection qui ne représentent pas de danger particulier", ont déclaré les experts.
Un virologue de l'Université de Californie admet qu'un test RT-PCR avec un Ct supérieur à 35 est trop sensible. « Un seuil plus raisonnable se situerait entre 30 et 35 », ajoute-t-elle.
Quasiment aucun laboratoire ne précise le Ct (nombre de cycles d'amplification réalisés) ou le nombre de copies d'ARN viral par échantillon µl.
Voici un exemple de résultat de laboratoire (approuvé par Sciensano, le centre national de référence belge) chez un patient RT-PCR négatif :
- voir cadre sur site -
Aucune mention du Ct.
Dans le New York Times, des experts ont compilé trois ensembles de données avec des responsables des États du Massachusetts, de New York et du Nevada qui les mentionnent.
Conclusion ?
« Jusqu’à 90 % des personnes testées positives n’étaient pas porteuses du virus. »
Le Wadworth Center, laboratoire de l'Etat de New York, a analysé les résultats de ses tests de juillet à la demande du NYT : 794 tests positifs avec un Ct de 40.
« Avec un seuil Ct de 35 , environ la moitié de ces tests PCR ne seraient plus considérés comme positifs », précise le New York Times.
« Et environ 70 % ne seraient plus considérés comme positifs avec un Ct de 30 ! "
RépondreSupprimerDans le Massachusetts, entre 85 et 90 % des personnes testées positives en juillet avec un Ct de 40 auraient été considérées comme négatives avec un Ct de 30, ajoute le NYT. Et pourtant, tous ces gens ont dû s’isoler, avec toutes les conséquences psychologiques et économiques dramatiques, alors qu’ils n’étaient pas malades et probablement pas du tout contagieux.
En France, le Centre National de Référence (CNR), la Société Française de Microbiologie (SFM) continuent de pousser Ct à 37 et recommandent aux laboratoires de n'utiliser qu'un seul gène du virus comme amorce.
Je vous rappelle qu'à partir de Ct 32, il devient très difficile de cultiver le virus ou d'en extraire une séquence complète, ce qui montre le caractère complètement artificiel de cette positivité du test, avec des taux de Ct aussi élevés, supérieurs à 30.
Des résultats similaires ont été rapportés par des chercheurs de l’Agence de santé publique britannique dans un article publié le 13 août dans Eurosurveillance : « La probabilité de cultiver le virus tombe à 8 % dans des échantillons présentant des niveaux de Ct supérieurs à 35. » [23]
De plus, actuellement, le Centre National de Référence en France n'évalue que la sensibilité des kits de réactifs disponibles dans le commerce, et non leur spécificité : de sérieux doutes persistent sur la possibilité d'une réactivité croisée avec d'autres virus que le SARS-CoV-2, comme d'autres rhumes bénins. coronavirus. [20]
C'est potentiellement la même situation dans d'autres pays, dont la Belgique.
De même, des mutations du virus peuvent avoir invalidé certaines amorces (gènes) utilisées pour détecter le SARS-CoV-2 : les fabricants ne donnent aucune garantie à ce sujet, et si les journalistes de l'AFP vous disent le contraire, testez leur bonne foi en leur demandant ces garanties, ces preuves.
S'ils n'ont rien à cacher et si ce que je dis est faux, cette garantie vous sera fournie et prouvera leur bonne foi.
Il faut exiger que les résultats RT-PCR soient restitués en mentionnant le Ct utilisé car au-delà de Ct 30, un test RT-PCR positif ne veut rien dire.
Il faut écouter les scientifiques et les médecins, spécialistes, virologues qui préconisent l'utilisation de Ct adapté, inférieur, à 30 . Une alternative consiste à obtenir le nombre de copies d’ARN viral/μl ou /ml d’échantillon. [23]
Il faut remonter au patient, à la personne, à son état clinique (présence ou absence de symptômes) et à partir de là juger de l'opportunité du test et de la meilleure façon d'interpréter le résultat.
Jusqu’à ce qu’il y ait une meilleure justification pour le dépistage par PCR, avec un seuil Ct connu et approprié, une personne asymptomatique ne devrait en aucun cas être testée.
À une sorte de piège cognitif emprisonnant leur ego ?
RépondreSupprimerEn tout cas, nous devrions pouvoir les remettre en question, et si parmi les lecteurs de cet article il y a encore des journalistes honnêtes, ou des politiciens naïfs, ou des gens qui ont la possibilité de remettre en question nos dirigeants, alors faites-le en utilisant ces informations claires et scientifiques. arguments.
Il est d’autant plus incompréhensible que nos dirigeants se soient entourés de spécialistes parmi les plus expérimentés en la matière.
Si j'ai pu recueillir moi-même ces informations, partagées, je le rappelle, par des personnes compétentes au-dessus de tout soupçon de complot, comme Hélène Banoun, Pierre Sonigo, Jean-François Toussaint, Christophe De Brouwer, dont l'intelligence, l'honnêteté intellectuelle et la légitimité ne peut être remis en question, alors les conseillers scientifiques belges, français, québécois, etc., le savent aussi.
Donc ?
Que se passe-t-il ?
Pourquoi continuer dans cette direction déformée, en faisant obstinément des erreurs ?
Il n'est pas anodin de réimposer confinements, couvre-feux, quarantaines, réductions des bulles sociales, de bousculer à nouveau nos économies chancelantes, de plonger des familles entières dans la précarité, de semer tant de peur et d'anxiété générant un véritable état de stress post-traumatique à l'échelle mondiale, de réduire l’accès aux soins pour d’autres pathologies qui réduisent pourtant l’espérance de vie bien plus que le COVID-19 ! [24]
Y a-t-il une intention de nuire ?
Y a-t-il une intention d’utiliser l’alibi d’une pandémie pour amener l’humanité vers un résultat qu’elle n’aurait jamais accepté autrement ? En tout cas, pas comme ça !
Cette hypothèse, que les censeurs modernes s’empresseront de qualifier de « complot », serait-elle l’explication la plus valable de tout cela ?
En effet, si l'on tire une ligne droite des événements actuels, s'ils se maintiennent, nous pourrions nous retrouver une fois de plus confinés avec des centaines, des milliers d'êtres humains contraints de rester inactifs, ce qui, pour les métiers de la restauration, du spectacle, de la vente, de la fête foraine, itinérants, solliciteurs, risque d'être catastrophique avec des faillites, du chômage, des dépressions, des suicides par centaines de milliers. [25-26-27-28]
RépondreSupprimerL'impact sur l'éducation, sur nos enfants, sur l'enseignement, sur la médecine avec des soins planifiés depuis longtemps, des opérations, des traitements qui seront annulés, reportés, sera profond et destructeur.
« Nous risquons de sombrer dans une crise alimentaire si des mesures ne sont pas prises rapidement. » [29].
Il est temps que tout le monde sorte de cette transe négative, de cette hystérie collective , car la famine, la pauvreté, le chômage massif vont tuer, faucher bien plus de personnes que le SARS-CoV-2 !
Tout cela a-t-il un sens face à une maladie en déclin, surdiagnostiquée et mal interprétée par cette utilisation abusive de tests PCR calibrés de manière trop sensible ?
Pour beaucoup, le port continu du masque semble être devenu une nouvelle norme.
Même si elle est constamment minimisée par certains professionnels de santé et journalistes fact-checkeurs, d'autres médecins alertent sur les conséquences néfastes, tant médicales que psychologiques, de cette obsession hygiénique qui, entretenue en permanence, est en fait une anomalie !
Quelle entrave aux relations sociales, qui sont le véritable fondement d’une humanité physiquement et psychologiquement saine !
Certains osent trouver tout cela normal, ou un moindre prix à payer face à la pandémie de tests PCR positifs.
Isolement, distanciation, masquage du visage, appauvrissement de la communication émotionnelle, peur des attouchements et des baisers même au sein des familles, des communautés, entre proches…
Des gestes spontanés de la vie quotidienne gênés et remplacés par des gestes mécaniques et contrôlés…
Des enfants terrifiés, maintenus dans une peur et une culpabilité permanentes…
Tout cela aura un impact profond, durable et négatif sur les organismes humains, dans leur représentation physique, mentale, émotionnelle et du monde et de la société.
Ce n'est pas normal !
Nous ne pouvons plus laisser nos dirigeants, pour quelque raison que ce soit, organiser notre suicide collectif.
RépondreSupprimerTraduit du français par Global Research. Source originale : Mondialisation.ca
Le Dr Pascal Sacré est médecin spécialisé en soins intensifs, auteur et analyste de santé publique renommé, Charleroi, Belgique. Il est chercheur associé à l'Entre de Recherche sur la Mondialisation (CRG)
* * * *
Professionnels dont les références et commentaires constituent la base de cet article dans son aspect scientifique (notamment et principalement sur la RT-PCR) :
1) Hélène Banoun
https://www.researchgate.net/profile/Helene_Banoun
PhD, Pharmacien biologiste
Ancien chargé de recherche INSERM
Ancien interne aux Hôpitaux de Paris
2) Pierre Sonigo
Virologue
Directeur de recherche INSERM, a travaillé à l'Institut Pasteur
Dirige le Laboratoire de Génétique des Virus à Cochin, Paris.
Participé en 1985 au séquençage du virus du SIDA.
3) Christophe De Brouwer
Doctorat en sciences de la santé publique
Professeur honoraire à l'École de Santé Publique de l'ULB, Belgique
4) Jean-François Toussaint
Docteur, Professeur de Physiologie à l'Université Paris-Descartes
Directeur de l'IRMES, Institut de Recherche Biomédicale et d'Épidémiologie du Sport
Ancien membre du Haut Conseil de la Santé Publique
* * *
Notes (français)
RépondreSupprimer[1] « Une nette augmentation du nombre de cas dans toutes les provinces et toutes les tranches d'âge » , 7sur7 ACTU Belgique, 5-10-2020
[2] Le gouvernement belge renforce les mesures anti-Covid , VRT.be ; 6 octobre 2020.
[3] Non, l'inventeur du test PCR n'a pas dit que sa méthode était inefficace pour détecter les virus , dans Le Monde, 7 octobre 2020
[4] Kary Mullis : « Le test PCR ne permet pas de savoir si vous êtes malade » , vidéo accessible sur YouTube, 9 octobre 2020.
[5] https://www.weblyf.com/2020/05/coronavirus-the-truth-about-pcr-test-kit-from-the-inventor-and-other-experts/
[6] « La vérité sur le kit de test PCR de l'inventeur et d'autres experts »
[7] PCR en microbiologie : de l'amplification de l'ADN à l'interprétation du résultat
[8] COVID : La PCR nasale peut-elle mentir ? , Dr Pascal Sacré, AIMSIB, 30 août 2020.
[9] https://www.youtube.com/watch?v=CaAcSJI0oMs&feature=youtu.be , 8 octobre 2020. Évolution génomique des virus ARN à l'Institut Pasteur , environ la moitié des nucléotides sont susceptibles d'avoir muté sur les 30 000 nucléotides de l'ARN viral. « Pour l'instant aucune mutation ou délétion n'a été associé à une perte de sévérité de la maladie sur une grande échelle géographique mais de nombreuses publications devraient préciser bientôt ces points. »
[10] https://www.mediterranee-infection.com/wp-content/uploads/2020/04/FD_Raoult_SARS-CoV-2_EID_Sep2020_vL2.pdf , Article IHU-Méditerranée , Professeur D. Raoult, Augmentation spectaculaire du SRAS-CoV Taux de mutation -2 et faible taux de mortalité lors de la deuxième épidémie de l'été à Marseille, le 7 septembre 2020
Conclusions :
Dans l'ensemble, comme l'ont récemment souligné Tomaszewski et al. (7) qui ont décrit pour les génomes viraux disponibles jusqu'en mai 2020 un déplacement mutationnel sur la pointe et le complexe de réplication vers des gènes codant pour d'autres protéines non structurelles qui interagissent avec les voies de défense de l'hôte, il semble que le taux de mutation du SARS-CoV-2 s'accélère depuis mai, impliquant principalement des mutations C vers U. L'augmentation du taux de mutation du SRAS-CoV-2 génère des génotypes viraux plus éloignés de la souche Wuhan initiale que ceux observés de mars à avril. Cela semble entraîner des épidémies de durée limitée, du moins pour le premier nouveau génotype que nous avons identifié, et est associé à une gravité globalement moindre à ce stade du développement de cette nouvelle épidémie.
Les mutations observées dans ces sept génotypes viraux différents sont localisées dans la plupart des gènes du SRAS-CoV-2, y compris les gènes structurels et non structurels parmi lesquels nsp2, nsp3 (phosphoestérase prédite), nsp5 (glycoprotéine membranaire), nsp12 (ARN polymérase ARN-dépendante), S (glycoprotéine Spike), ORF3a, E (glycoprotéine membranaire), M (glycoprotéine membranaire), ORF8 et N (phosphoprotéine nucléocapside).
[11] https://www.researchgate.net/profile/Helene_Banoun Evolution of SARS-CoV-2 : Review of mutations, role of the host immune system , octobre 2020, mise à jour par Hélène Banoun,
RépondreSupprimerPhD, Pharmacien biologiste, ancien Chargé de Recherches INSERM, ancien Interne des Hôpitaux de Paris.
[12] https://nextstrain.org/ , Nous intégrons les génomes du SRAS-CoV-2 dès qu'ils sont partagés et fournissons des analyses et des rapports de situation. En outre, nous avons développé un certain nombre de ressources et d'outils et aidons des groupes indépendants à mener leur propre analyse. Veuillez consulter la page principale du SRAS-CoV-2 pour en savoir plus.
[13] Tutoriel prélèvement nasopharyngé : Un geste technique, essentiel à la fiabilité du test COVID-19
[14] Covid-19 : comment fonctionnent les tests et quelles sont leurs utilités ?
[15] COMMENT FONCTIONNENT LES TESTS DE DÉPISTAGE DU COVID-19 ? 7 avril 2020, Laboratoire de biologie et pharmacologie appliquée (LBPA), Clémence Richetta , maître de conférences au département biologie de l'ENS Paris-Saclay et chercheuse en virologie au LBPA : https://www.youtube.com/watch?v =hNVDHCf8bGA
Chercheur indépendant, PhD 9
Ancien chercheur à l'INSERM (Institut français de la santé et de la recherche médicale)
[16] Par Pierre Sonigo, virologue (un des découvreurs du VIH), MD PhD, CSO à Sebia, diagnostic clinique
https://www.linkedin.com/pulse/diagnostic-du-covid19-comprendre-les-tests-pcr-leur-et-pierre-sonigo/?trackingId=pTYxDkpvRzKHWZwCzxSIag%3D%3D
Diagnostic du COVID19 : comprendre les tests PCR, leur interprétation et leurs limites , publié le 16 septembre 2020
La PCR utilise un principe très particulier : la cible du test, un fragment d'ARN viral, est massivement amplifié afin de permettre sa détection. Au cours de l'analyse, une réaction enzymatique associée à des « cycles » de variation de température permet une série de « réplications » successives de l'acide nucléique cible. Chaque cycle correspond à une multiplication théorique de la cible par 2. On multiplie donc par 2 en un cycle, par 4 en 2 cycles, par 8 en 3 cycles, par 16 en 4 cycles, et ainsi de suite de manière exponentielle. A l'heure actuelle, l'amplification est généralement pratiquée sur 40 cycles, soit une amplification théorique de 2^40, environ mille milliards de fois ! En réalité, la réplication n'est pas efficace à 100%, mais la cible est amplifiée environ un million de fois,
Lorsque l'acide nucléique viral est détectable après un petit nombre de cycles, cela signifie que la quantité de virus dans l'échantillon de départ est grande. Au contraire, lorsqu'il faut un grand nombre de cycles de réplication pour détecter l'ARN viral, cela signifie que l'échantillon de départ contient une quantité de virus très faible. On parle alors en nombre de cycles, ou Ct, qui signifie « cycle time », pour définir, au moins de façon semi quantitative, la quantité d'ARN présente dans l'échantillon de départ. Ainsi, un petit Ct correspond à un grand nombre de copies, un grand Ct à un petit nombre de copies.
Cette sensibilité spectaculaire n'est pas sans inconvénient et nécessite des précautions particulières. En effet, un échantillon positif amplifié un million de fois contient une très haute concentration de cible et le risque qu'il contamine (carry over) d'autres échantillons est particulièrement élevé. La saturation des laboratoires peut encore accroître ce risque et générer des faux positifs accidentels. Dans ces conditions, il est important que les résultats positifs soient confirmés par un deuxième test, à plus forte raison lorsqu'un test positif présente des conséquences significatives, qu'elles soient médicales, professionnelles ou liées à l'obligation d'isolement.
Explosif – Analyse des causes d’invalidité et de décès dus aux vaccins COVID
RépondreSupprimerIntroduction de Peter Koenig
Par le Dr Anita Baxas et Peter Koenig
Recherche mondiale,
23 septembre 2023
« Voix dissidente »
Dans une analyse explosive et extraordinaire, le Dr Anita Baxas, MD , explique les multiples causes de blessures et de décès dus aux injections de covid dans le monde. On estime que 20 millions de personnes sont mortes et 2 milliards ont été blessées (événements indésirables) dans le monde. Et cela après seulement 2 ans et demi de faux et mortels vaccins covid forcés.
Le Dr Baxas explique que la protéine Spike, comme toute protéine étrangère au corps, peut amener le système immunitaire à produire des anticorps contre elle.
Cela peut expliquer les dommages causés aux cellules et, en fin de compte, aux tissus qu’elles forment, tels que la paroi interne des vaisseaux sanguins, le muscle cardiaque, les reins, les ovaires, les testicules et pratiquement tout organe qui présente la protéine Spike.
Cela peut également expliquer l'inflammation, la myocardite, les complications vasculaires telles que les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux, le brouillard cérébral, l'embolie pulmonaire, la perte soudaine de la vision, de l'audition, les amputations de membres dues à la dysfonction érectile – et bien d'autres maladies, pas immédiatement liées aux injections de covid, mais aux déficits immunitaires provoqués par les injections.
En fin de compte, cela peut expliquer les symptômes d’une maladie auto-immune et une réponse immunitaire accrue, épuisant éventuellement le système immunitaire, conduisant à un déficit immunitaire.
Voir le rapport complet du Dr Baxas ci-dessous.
*
Le NYT Covid Tracker a estimé en mars 2023 que plus de 5,55 milliards de personnes, soit 72,3 % de la population mondiale, ont reçu au moins deux injections de poison Vaxx. Voyez ceci .
Selon Michael Yeadon , ancien vice-président et chef de la recherche de Pfizer, le bilan réel des morts se manifestera trois à dix ans après les injections de covid et les « rappels ». En plus de l'effet vaxx direct, chaque injection de « suivi » de protéine de pointe d'ARNm perturbera et diminuera également le système immunitaire des personnes et entraînera par conséquent de nombreux décès pour diverses causes.
À plusieurs reprises, le Dr Yeadon a exprimé sa préoccupation selon laquelle les gens devraient à tout prix s’abstenir des injections de covid, ou du moins éviter les injections de « rappel ». Voyez ceci et ceci et cela .
RépondreSupprimerPrendre conscience
Il n'est jamais trop tard pour prendre conscience et être proactif contre un système tueur qui veut réduire considérablement l'humanité, convertir les survivants en transhumains robotisés soumis à l'intelligence artificielle (IA) – et numériser complètement la matrice verrouillée du monde.
Nous NE DEVONS en aucun cas permettre au WEF, à l’OMS et aux Nations Unies de faire adopter la révision en 94 points prévue du Règlement sanitaire international (RSI), qui comprend le Traité sur la pandémie, donnant à l’ONU et à l’OMS le pouvoir de décider des réglementations sanitaires. au-delà de la souveraineté nationale des plus de 190 pays membres.
Cela impliquerait également des certificats et des identifiants numériques Vaxx reconnus et reconnaissables dans le monde entier.
Cela transformerait l’OMS et l’ONU en une tyrannie sanitaire internationale.
Ces mesures sont actuellement débattues à huis clos lors de l’Assemblée générale de l’ONU, du 19 au 26 septembre 2023.
Mise à jour : Juste dans : Le président de l'Assemblée générale des Nations Unies approuve la déclaration sur la pandémie – Les experts en matière de protection de la vie privée mettent en garde contre le « goulag numérique » (20 septembre 2023), voir ceci .
Si nous nous levons à l’unisson et solidairement – et dans un esprit de PAIX – nous pouvons mettre fin à ce gigantesque crime contre l’humanité .
Peter Koenig , 21 septembre 2023
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Quelles sont les causes de la mort et
Le handicap dans les Shots COVID ?
Y a-t-il quelque chose de caché à l’intérieur qui pourrait provoquer l’illusion de la « prochaine pandémie » ?
Par
Dr Anita Baxas
Les experts estiment que 20 millions de personnes sont mortes et 2 milliards ont été blessées à cause des injections de Covid 1 . Le spectre des symptômes dont souffrent les gens après avoir reçu les vaccins Covid est très large. Cela indique qu'il existe plusieurs ingrédients non divulgués dans les injections qui, seuls ou en combinaison les uns avec les autres, peuvent causer cette grande variété de problèmes de santé.
Des chercheurs sur cinq continents ont examiné les flacons et le sang des personnes injectées. Jusqu’à présent, les causes suivantes de décès et d’invalidité ont été découvertes, même si tous leurs effets ne sont pas encore complètement connus. 2 Au bas de l'article, vous trouverez un tableau répertoriant les systèmes organiques affectés et les symptômes/maladies qui les affectent ainsi que le(s) ingrédient(s) le plus susceptible de causer les problèmes.
RépondreSupprimerARNm (ARN modifié, PAS ARN messager)
Tous les flacons examinés ne contenaient pas d’ARNm, mais nous devons supposer que la majorité en contient. Il est transporté à travers les membranes cellulaires dans la cellule et, comme l' ont découvert des chercheurs suédois 3 , également dans le noyau où il peut être inséré dans l'ADN via une enzyme appelée transcriptase inverse. Il est censé forcer la cellule à fabriquer des protéines de pointe qui sont ensuite exprimées à l'extérieur de la membrane cellulaire. Là, il attire des anticorps qui finissent par détruire non seulement la protéine Spike, mais également la cellule qui la présente.
La protéine Spike serait l’enveloppe externe du virus. Comme il n’existe aucune preuve de l’existence des virus, la question se pose de savoir pour quoi l’ARNm est codé. L’ARNm et l’ADN sont essentiellement des modèles permettant aux cellules de produire des chaînes d’acides aminés. Deux ou plusieurs chaînes d'acides aminés courtes constituent les peptides et plusieurs peptides constituent les protéines. Toute protéine étrangère au corps amènera le système immunitaire à produire des anticorps contre elle. La question de savoir pour quelle protéine code l’ARNm contenu dans les injections reste une question ouverte.
Cela peut expliquer les dommages causés aux cellules et, en fin de compte, aux tissus/organes qu’elles forment, tels que la paroi interne des vaisseaux sanguins, le muscle cardiaque, les reins, les ovaires, les testicules et essentiellement tout organe qui présente la protéine de pointe. Cela peut expliquer l'inflammation, la myocardite, les complications vasculaires telles que les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux, le brouillard cérébral, l'embolie pulmonaire, la perte soudaine de la vision, de l'audition, les amputations de membres liées à la dysfonction érectile. Cela peut également expliquer les symptômes d’une maladie auto-immune et une réponse immunitaire accrue, qui finit par épuiser le système immunitaire, entraînant un déficit immunitaire.
Lipides Nano Particules LNP alias Hydrogel 4-9
Il s’agit censément d’un moyen de transport inoffensif pour amener l’ARNm dans la cellule. Les brevets découverts par Karen Kingston montrent cependant qu’ils sont bien plus que cela. Ils peuvent construire des « choses » et être dirigés par des stimuli extérieurs comme la température, les champs électriques et magnétiques, éventuellement par des signaux envoyés via la 5G (?). Ils peuvent servir de plateformes de capteurs et d’émetteurs. Ils pourraient être à l’origine de caillots fibreux arrachés par les coroners et les embaumeurs. Le Dr Ana Maria Mihalcea MD, PhD ainsi que le Dr Shelton en Australie, le Dr Nixon en Nouvelle-Zélande, les chercheurs de La Quinta Columna en Espagne, Shimon Yanowitz en Israël et d'autres ont photographié des structures qui ressemblent à des puces informatiques assemblées sous le influence des champs électromagnétiques.
Ces hydrogels pourraient être responsables de symptômes de coagulation car ils sont suspectés de former des caillots fibreux (et non des caillots sanguins). Ceux-ci incluent les mêmes symptômes que ceux provoqués par les protéines de pointe. Ils peuvent être responsables du déclin spirituel et des changements de personnalité ainsi que des symptômes neurologiques comme les convulsions.
Tissu fœtal
RépondreSupprimerCertes, du tissu fœtal humain a été utilisé pour créer les clichés. Le Dr Robert Young a déclaré que cela est utilisé pour conduire ou diriger le LNP avec l'ARNm vers des tissus particuliers du corps. Grâce à ma formation médicale en thérapie cellulaire fœtale (en utilisant des tissus cellulaires fœtaux animaux – JAMAIS humains) pour traiter une variété de maladies dites incurables, j'ai vu des études réalisées au début des années 50 et 70 prouvant que les cellules fœtales migrent vers les tissus de leur origine. Ainsi, lorsque nous injections des cellules hépatiques fœtales de veau par voie intramusculaire, ces cellules migrent vers le foie pour guérir l’organe du patient. Par conséquent, les fabricants de « vaccins » utilisent le tissu fœtal comme moteur pour diriger les LNP chargées d’ARNm et probablement de graphène vers des tissus particuliers. Le tir n’allait jamais rester uniquement dans le muscle deltoïde où l’injection était placée. Ils ont délibérément ciblé certains systèmes organiques tels que les ovaires, les testicules et le cerveau. La fertilité de la race humaine a été délibérément ciblée comme moyen de dépeuplement. Une analyse récente du professeur Konstantin Beck de l'Université de Lucerne, en Suisse, du 6 juin 2023, montre clairement une réduction des taux de natalité d'environ 10 % en Allemagne et en Suisse. Cela était dû à l'augmentation des mortinaissances, principalement dans les 9 mois suivant la première campagne de « vaccination ». Un rapport britannique vient également de confirmer une augmentation des mortinaissances. Cela était dû à l'augmentation des mortinaissances, principalement dans les 9 mois suivant la première campagne de « vaccination ». Un rapport britannique vient également de confirmer une augmentation des mortinaissances. Cela était dû à l'augmentation des mortinaissances, principalement dans les 9 mois suivant la première campagne de « vaccination ». Un rapport britannique vient également de confirmer une augmentation des mortinaissances.
Comme il est possible que le graphène soit également enfermé dans l’hydrogel, il pourrait être un cofacteur des problèmes de fertilité. Le tissu fœtal est le chauffeur de taxi, l'hydrogel est la cabine et l'ARNm et très probablement le graphène sont les passagers.
Oxyde de graphène
J'ai déjà écrit sur les effets du graphène sur le corps humain dans mon premier Substack. Voici un bref résumé des effets du graphène sur le corps :
Destruction physique des membranes cellulaires : Agit comme des lames de rasoir, coupant les membranes cellulaires.
Dommages causés par les radicaux libres : dégradation des lipides de la membrane cellulaire, cassure et mutation de l'ADN, fragmentation chromosomique, dénaturation des protéines, déformation des paires de bases terminales des chromosomes.
RépondreSupprimerDysfonctionnement mitochondrial, vieillissement, mutagenèse, carcinogenèse. Réduit les antioxydants glutathion et SOD, augmente le malonaldéhyde radical libre.
Inflammation : élévation des cytokines pro-inflammatoires IL-6, 12, facteur de nécrose tumorale alpha, facteur nucléaire Kappa bêta. Active la réponse immunitaire avec les monocytes, les macrophages, les cellules T Helper 1+2 et les détruit.
Apoptose : déclenche des mécanismes dans la cellule pour induire la mort cellulaire, la nécrose
Modifie l'expression des gènes : effets épigénétiques par hyperméthylation ou hypométhylation de l'ADN
Forme de gros agrégats bloquant les vaisseaux sanguins
Agrégation plaquettaire formant des thrombus (caillots sanguins)
Retarde le développement du tissu cérébral chez le fœtus en diminuant la synthèse de l'ARN et de l'ADN
Retarde la formation de vaisseaux sanguins dans le cœur du fœtus, conduisant à une hypoxie
Conduit à l'avortement et à la mort de la mère chez les souris gravides
Hémolyse (globules rouges détruits)
Cytotoxique pour les lymphocytes T (toxique pour les cellules immunitaires appelées lymphocytes T)
Diminue l'adhésion cellulaire, modifie la morphologie cellulaire conduisant à la dégradation cellulaire
Diminue l'expression des gènes responsables de la structure et de la fonction des membranes cellulaires, de la régulation du cytosquelette, de l'endocytose et de l'adhésion focale. La fonction cellulaire devient dérégulée.
La viabilité des cellules du cancer du côlon s'améliore grâce à l'oxyde de graphène !
Affecte l'activité locomotrice, l'équilibre, la coordination neuromusculaire
Interactions électrostatiques avec les globules rouges (formation de Rouleau, agrégation)
Chercheurs en Chine 10a étudié les effets du graphène sur le corps. En gros, il peut aller partout, passer la barrière hémato-encéphalique, la barrière placentaire, les barrières pulmonaires et testiculaires. Selon le mode d'administration (oral, intraveineux, sous-cutané, intratrachéal (dans la trachée), intrapéritonéal-dans l'abdomen), on le retrouve dans les poumons, le foie, la rate, la moelle osseuse et les vaisseaux sanguins.
Il pénètre les membranes cellulaires, le noyau et les mitochondries. Les particules plus grosses peuvent rester coincées dans les vaisseaux sanguins. Il détruit les membranes cellulaires, brise les brins d’ADN, mute l’ADN, fragmente les chromosomes et détruit les protéines. Cela provoque un dysfonctionnement des mitochondries, réduisant ainsi la production d’énergie cellulaire. Cela provoque le vieillissement et le cancer. Il provoque une inflammation massive et augmente les cytokines inflammatoires Interleukine 6, 12, Tumor Necrosis Factor et Nuclear Factor Kappa Beta. Il active les cellules immunitaires et les détruit. Cela déclenche la nécrose cellulaire et la mort cellulaire conduisant à une défaillance des organes.
RépondreSupprimerLe graphène peut être responsable d'un effondrement du système immunitaire, d'une inflammation, de lésions de plusieurs organes, notamment des vaisseaux sanguins conduisant à des caillots sanguins et à une thrombocytopénie (manque de plaquettes sanguines dû à un saignement excessif, utilisant les plaquettes plus rapidement qu'elles ne peuvent être produites, entraînant un saignement plus excessif). De nombreux symptômes neurologiques peuvent être causés non seulement par une réduction du flux sanguin vers le système nerveux central en raison des protéines de pointe et des hydrogels, mais également par des dommages directs au tissu nerveux causés par le graphène. Ceux-ci incluent la paralysie (y compris la paralysie de Bell), les symptômes de la maladie de Parkinson, la SEP, les symptômes de Guillain Barré, les mouvements incontrôlables des membres et d'autres symptômes neurologiques. Le graphène sera également responsable de malformations fœtales et de mortinaissances ainsi que d'infertilité. L’effondrement du système immunitaire ainsi que les dommages causés à l’ADN pourraient expliquer l’augmentation massive des cancers observés dans la population injectée. Les dommages mitochondriaux expliquent la fatigue chronique et le brouillard cérébral.
Le graphène transportait des charges utiles qui pouvaient être libérées par activation à distance via des téléphones mobiles. Est-ce la prochaine « pandémie » ?
Un nouvel article vient d'être publié dans Science Direct 11expliquant comment l'oxyde de graphène peut être utilisé pour transporter des charges utiles telles qu'un produit pharmaceutique (et peut-être une toxine puissante, une arme biologique, un produit chimique de guerre ?), puis déclenché pour libérer la charge utile à distance via un téléphone mobile. Le graphène a non seulement été injecté avec le faux vaccin, mais a également été trouvé sur des masques et des écouvillons nasaux. Les implications de cela sont effrayantes. Des soupçons circulent selon lesquels la prochaine « pandémie » serait celle du virus de Marburg ou du virus Ebola. Puisqu'il n'y a aucune preuve que les virus existent (voir mon dernier article Substack), regardons quelles toxines pourraient provoquer des symptômes pouvant être attribués à ces deux virus. Les symptômes les plus importants de « l’infection » de Marburg sont la fièvre, la myalgie (douleurs musculaires), les maux de tête, les nausées, les vomissements, la douleur, la diarrhée, la toux, les douleurs thoraciques, les maux de gorge, la jaunisse, l’enflure des ganglions lymphatiques, le délire, la stupeur, le coma, les saignements. éruption cutanée, défaillance de plusieurs organes. La plupart de ces symptômes sont liés au fait que le corps essaie de se désintoxiquer.
Le venin des serpents crotalidés et viparidés peut provoquer des saignements diffus de la peau et des organes internes 12 . Les anticoagulants tels que la warfarine, qui est également utilisée dans la mort-aux-rats, provoquent des saignements disséminés. Les endotoxines provenant de bactéries à Gram négatif telles que E. Coli, Pseudomonas, Klebsiella, Salmonella et d'autres peuvent provoquer une coagulation intravasculaire généralisée (coagulation du sang à l'intérieur des vaisseaux sanguins), entraînant une diminution rapide des facteurs de coagulation sanguine et des plaquettes, ce qui provoque alors un saignement généralisé. Il peut exister des poisons inconnus, sauf dans des laboratoires top secrets, qui pourraient provoquer des symptômes de Marburg et d'Ebola.
RépondreSupprimerIl existe ensuite des fréquences électromagnétiques qui peuvent inhiber la coagulation sanguine, entraînant une augmentation des saignements. Cette question a été étudiée en 2001 en Pologne 13 et en 2022 en Géorgie 14 . Nous savons également que les CEM peuvent provoquer des symptômes pseudo-grippaux qui sont principalement une réaction de désintoxication, comme détaillé dans le dernier article de Substack.
Il est important de ne considérer aucune information du gouvernement comme véridique au cas où la prochaine plandémie se déroulerait avec des symptômes attribués à des virus tels que Ebola et Marburg.
Métaux toxiques
On les retrouve dans la plupart des vaccins. Beaucoup sont des neurotoxines provoquant des problèmes neurologiques, mais elles interfèrent également avec le métabolisme cellulaire normal. En plus de provoquer des problèmes neurologiques, ils peuvent également interférer avec le système électrique du cœur, provoquant des palpitations.
Jusqu'à présent, de l'aluminium, de l'antimoine, du baryum, du titane, du césium et du thulium ont été trouvés dans des flacons.
Un parasite ici et là
Le Dr Robert Young a trouvé un parasite dans l'un des flacons appelé Trypanosoma Cruzi.
- voir photo sur site -
Le Dr Robert Young a trouvé Trypanosoma Cruzi dans un flacon Pfizer sous son microscope. Trypansosoma Brucei a également été découvert, ce qui provoque la maladie du sommeil. T. Brucei est l'un des rares agents pathogènes connus pour traverser la barrière hémato-encéphalique.
Trypanosoma Cruzi est à l'origine de la maladie de Chagas :
L'infection aiguë est suivie d'une période de latence qui peut rester asymptomatique ou évoluer vers une maladie chronique. L'infection pendant la grossesse entraîne une mortinatalité, un avortement ou une maladie néonatale chronique. La maladie de Chagas aiguë est mortelle. La mort résulte d'une myocardite aiguë avec insuffisance cardiaque ou méningo-encéphalite. La maladie chronique a des effets cardiaques et gastro-intestinaux avec une cardiomyopathie chronique avec insuffisance cardiaque, syncope, mort subite, thromboembolie. Dans le tractus gastro-intestinal, cela peut provoquer une hypertrophie de l’œsophage, provoquant une dysphagie et un mégacôlon avec difficulté à évacuer les selles.
Trypanosoma Brucei provoque la maladie du sommeil africaine :
RépondreSupprimerProvoque une fièvre intermittente, des maux de tête, des frissons, une éruption cutanée rouge circulaire et un gonflement des ganglions lymphatiques. Incapacité de concentration, changements de personnalité (lassitude, indifférence), somnolence diurne, tremblements, ataxie, excès alimentaires, coma terminal.
Les entrées dans le système VAERS corroborent les conclusions du Dr Young. L’un d’eux parle d’une femme qui donne régulièrement son sang et dont le sang s’est révélé positif au parasite Trypanosoma cruzi après sa deuxième vaccination.
Jusqu’à présent, ce sont les seuls rapports et découvertes sur les parasites. Des recherches supplémentaires sont nécessaires.
Une équipe de recherche italienne a examiné 1 006 échantillons de sang. 12 Des échantillons ont été prélevés sur des patients avant et après la vaccination. 94,23 % avaient du sang anormal ! 15
- voir photo sur site -
Vous trouverez ci-dessous un tableau indiquant les systèmes organiques concernés, les symptômes/maladies connus et la cause probable de ceux-ci.
- voir photo sur site -
Personnellement, je soupçonne qu'il y a d'autres ingrédients encore inconnus dans les injections, car l'ARNm et le graphène ne peuvent pas expliquer complètement les affections cutanées trouvées chez les patients injectés. Ils ne constituent pas non plus une explication complète de certains des problèmes spirituels rencontrés par de nombreux guérisseurs énergétiques, tels que l'aura déchirée, mince, les énergies sombres entourant leurs clients et bien d'autres problèmes (voir l'article sur les implications spirituelles des faux vaccins Covid ) .
Possibilités de traitement naturel
RépondreSupprimerIl existe des traitements naturels qui peuvent atténuer, voire guérir, de nombreux problèmes causés par les injections. Le principal problème est que les médecins intégrateurs/alternatifs, les infirmières praticiennes et les assistants médicaux travaillent généralement dans de petits cabinets privés et n'ont pas les ressources nécessaires pour faire des études. Ils se démènent tous pour trouver les meilleures options de traitement pour leurs patients et beaucoup ont peur de les partager publiquement, de peur de perdre leur permis d’exercice. J'ai eu une conversation avec un médecin intégrateur à propos de son expérience. Vous pouvez le lire ici .
Je parlerai avec davantage de collègues et publierai leurs approches et expériences de traitement dans de prochains articles.
Pour obtenir un bref aperçu des traitements possibles, consultez www.vaccineinjuryrecoveryproject.com.
Remarques
1. https://expose-news.com/2023/09/15/20m-dead-2b-injured-covid-vaccination/?cmid=a18ca5fb-e862-4aed-8e59-ae3343383f1e
2. Que contiennent les « vaccins » contre le COVID-19 ? Partie 1 : Preuve d'un crime mondial contre l'humanité. Revue internationale de théorie, de pratique et de recherche sur les vaccins 2(2), 3 septembre 2022 Page 586
3. Transcription inverse intracellulaire du vaccin à ARNm COVID-19 BNT162b2 de Pfizer BioNTech in vitro dans une lignée cellulaire hépatique humaine, Département des sciences cliniques, Université de Lund, 20502 Malmö, Suède Médecine des infections, Département des sciences cliniques, Université de Lund, 22362 Lund,
Suède
Curr . Problèmes Mol. Biol. 2022 , 44 (3), 1115-1126 ; https://doi.org/10.3390/cimb44030073
4. Les perturbations de la membrane cellulaire induites par l’hydrogel permettent la livraison cytosolique directe d’une cargaison imperméable à la membrane. Advanced Materials/ Volume33, Numéro 30/ 2008054 9 juin 2021 Jelter Van Hoeck et al.
5. Une nouvelle classe de matériaux biologiques : les échafaudages d’hydrogel dérivés de la membrane cellulaire. Biomatériaux Vol. 197, mars 2019, pages 244-254. Zhiyuan Fan et coll.
6. Principes d’optimisation et de validation des vaccins à nanoparticules lipidiques d’ARNm contre le COVID-19 à l’aide de la bioimpression 3D. Nano aujourd'hui, Vol. 43, avril 2022, 101403 Massimiliano Papi et al.
7. Vaccins à ARNm contre les variantes du SRAS-CoV-2 délivrés par des nanoparticules lipidiques basées sur de nouveaux lipides ionisables. Advanced Functional Materials/Early view/ 2204692, 19 juillet 2022, Kepan Chen et al.
8. Hydrogels intelligents en ingénierie tissulaire et médecine régénérative, Materials 2019,12,3323 doi:10.3390/ ma12203323, Somasundar Mantha et al.
RépondreSupprimer9. Demande d'utilitaire USPTO Ser.No. 12/399 906. Dynamic Bio-Nanoparticle Elements déposé le 6 mars 2009.
10. Toxicité des nanoparticules de la famille du graphène : un aperçu général des origines et des mécanismes. Toxicologie des particules et des fibres (216) 13:57 DOI 10.1186/s12989-016-0168-y Lingling Ou et al.
11. https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S2468519422002166
12. Toxines hémorragiques provenant des venins de serpent, Jon Bragi Bjarnason et Jay William Fox, pages 121-209 | Publié en ligne : 28 septembre 2008 https://doi.org/10.3109/15569548809059729
13. L'effet des champs électromagnétiques sur la coagulation sanguine et la fibrinolyse chez l'homme], E Kazimierska, Pol Merkur Lekarski 2001 janvier ; 10 (55) : 9-11. PMID : 11320559
14. Électromagnétisme, flux sanguin et coagulation Merab Beraia , Département IRM de Guram Beraia , Institut de médecine clinique, Tbilissi, Géorgie . Université médicale d'État de Tbilissi, Tbilissi, Géorgie . DOI : 10.4236/jbise.2022.157017
15. Analyse microscopique en champ sombre sur le sang de 1006 personnes symptomatiques après injections d’ARNm anti-COVID de Pfizer/BioNtech ou Moderna. Journal international de théorie, de pratique et de recherche sur les vaccins. Franco Giovannini, MD, Riccardo Benzi Cipelli MD,DDS et Gianpaolo Pisano MD, OHNS 2(2), 12 août 2022 Page 385
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Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l'Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans à travers le monde. Il enseigne dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l'auteur de Implosion – Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l'environnement et la cupidité des entreprises ; et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes : From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » ( Clarity Press – 1er novembre 2020).
Peter est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est également chercheur principal non-résident de l'Institut Chongyang de l'Université Renmin de Pékin.
https://www.globalresearch.ca/explosive-analysis-causes-disability-death-covid-vaccines/5833297
La maladie d'Alzheimer, désormais l'une des principales causes de décès aux États-Unis, devient de plus en plus répandue
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 24 SEPTEMBRE 2023 - 05h30
La maladie d’Alzheimer est désormais l’une des principales causes de décès aux États-Unis, selon les Centers for Disease Control and Prevention.
La maladie d’Alzheimer est une maladie cérébrale dégénérative et incurable qui touche principalement les personnes âgées.
Les premiers symptômes incluent une perte de mémoire et des erreurs de jugement, mais à un stade ultérieur, ils peuvent également évoluer vers des problèmes touchant un plus large éventail de fonctions, telles que l'équilibre, la respiration et la digestion.
Comme Anna Fleck de Statista le détaille ci-dessous, alors que les maladies cardiaques, le cancer et le Covid-19 ont fait de loin le plus grand nombre de morts en 2021 (qui étaient les dernières données disponibles), la maladie d'Alzheimer s'est classée au septième rang avec 119 399 décès cette année-là, ce qui équivaut à à 31 personnes pour 100 000 habitants.
- voir graph sur site -
Infographie : La maladie d'Alzheimer est l'une des principales causes de décès aux États-Unis | Statiste
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Le taux de personnes mourant de la maladie d’Alzheimer aux États-Unis a plus que doublé entre 2000 et 2019, selon le dernier rapport de l’Alzheimer’s Association.
Alors qu’au tournant du millénaire, 17,6 personnes sur 100 000 en moyenne mouraient de démence, ce chiffre est passé à 37 pour 100 000 près de deux décennies plus tard.
- voir graph sur site -
Infographie : La maladie d’Alzheimer devient de plus en plus répandue | Statiste
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Selon l’Association Alzheimer, cela est probablement dû au vieillissement de la population, puisque l’âge est le facteur de risque prédominant de la démence d’Alzheimer. Cependant, notent-ils, cela pourrait également refléter une augmentation du nombre de diagnostics formels de la maladie ou même du nombre de médecins signalant la maladie d’Alzheimer comme cause de décès.
Les analystes de l'association prévoient que d'ici 2025, le nombre de personnes âgées de 65 ans et plus atteintes de démence d'Alzheimer aux États-Unis pourrait atteindre 7,2 millions, et jusqu'à 13,8 millions d'ici 2060, s'il n'y avait pas de percées médicales pendant cette période pour prévenir, ralentir ou guérir la maladie.
À cet égard, les sociétés pharmaceutiques ont un certain nombre de médicaments en cours de développement, ciblant différents symptômes, de l’inflammation aux voies de plasticité synaptique/neuroprotection.
Selon AgingCare, les dommages neurologiques et la faiblesse musculaire peuvent amener les patients à avoir des difficultés à gérer même des mouvements simples, comme avaler de la nourriture, sans aide. Il s'agit de la cause de décès la plus fréquente chez les patients atteints de la maladie d'Alzheimer, car elle peut entraîner l'inhalation d'aliments ou de liquides dans les poumons, ce qui peut conduire à une pneumonie, car il est plus difficile de combattre les infections bactériennes.
RépondreSupprimerL’Association Alzheimer souligne l’importance de consulter un médecin lorsqu’une personne développe des symptômes d’Alzheimer. En effet, un diagnostic précoce permet un traitement plus précoce, ce qui peut atténuer les symptômes pendant une durée limitée et donner plus de temps aux personnes pour planifier l'avenir.
Que Dieu bénisse Nana.
https://www.zerohedge.com/medical/alzheimers-now-leading-cause-death-us-becoming-more-prevalent
La « pandémie » comme expérience naturelle de la folie climatique
RépondreSupprimer23 septembre 2023
par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander Faes
« Follow the Science™ » ou : « Nous sommes la science / Nous sommes d'accord » sont les slogans bon marché de ceux qui ne veulent pas de débat. Au lieu de débats ouverts, on entend dire que « 97 % sont d’avis… » ou que « des solutions simples à des problèmes complexes » peuvent simplement être trouvées « uniquement à l’échelle mondiale ». Le sujet n'a pas vraiment d'importance, mais ce qui ressort, c'est que le « cadrage » aboutit toujours à moins de démocratie, de responsabilité personnelle et d'individualisme.
Il existe de nombreuses « études » qui mettent l’accent sur la responsabilité humaine dans le « changement climatique » et répètent cela avec une insistance presque sectaire. Dans le contexte des références selon lesquelles les « émissions d’origine humaine » provoquent le « changement climatique », les références à « un accord à 97 % » ou similaire jouent un rôle énorme. Moins de gens savent que cela s’est produit selon une méthode douteuse et que leur « inventrice » Naomi Oreskes n’a pas travaillé très proprement, même si l’on pouvait lire ce qui suit dans le Wall Street Journal en 2014 (c’est moi qui souligne) :
L’affirmation selon laquelle 97 % des scientifiques pensent que le changement climatique est un problème urgent et d’origine humaine est une fiction. Le soi-disant consensus repose sur une poignée d’enquêtes et de décomptes abstraits qui ont été réfutés par des recherches plus fiables.
Je vous invite à lire l'article lié dans le WSJ , car il y a des références à d'autres « études » tout aussi manipulatrices qui incluent, entre autres, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) des Nations Unies.
Mais en principe, quiconque parle de consensus en « science » peut avoir d’autres motivations que l’acquisition de connaissances. Un signe évident d’agit-prop est le passage mis en évidence. Dans les sciences naturelles en particulier, le principe s'applique - ici, selon les mots du prix Nobel, le Dr. Kary Mullis († 2019) et inventeur du test PCR :
Les scientifiques ne croient pas avoir de preuves [orig. preuve].
Pour la citation : Celia Farber, Serious Adverse Events (Chelsea Green, 2023), p. 129 ; c'est aussi une recommandation expresse de lecture, car bien qu'il s'agisse du VIH/SIDA, les mêmes personnages continuent d'apparaître comme dans la « pandémie » déclarée par l'OMS, parmi lesquels Anthony Fauci.
RépondreSupprimerConstruire un consensus en « science »
En fait, vous n'avez pas besoin de nombreux contributeurs pour cela : vous prenez les revues les plus pertinentes sur un sujet (par exemple Nature ou Science ), dont les éditeurs veillent à la bonne ligne de publications. Idem dans les institutions de financement de la recherche telles que les académies des sciences ou similaires. Le résultat est une censure de facto des positions dissidentes, et non pas comme « à l'époque » lorsque Trofim Lyssenko en URSS, par la combinaison de la pseudoscience et de l'idéologie, une sorte de La croisade contre la génétique et la recherche génétique a été menée. Le terme « lysenkoïsme » possède non seulement sa propre page Wikipédia (pour la version « officielle »), mais il fait également l’objet de discussions répétées, entre autres, dans le domaine de l’histoire des sciences.peut être vu ici .
L’histoire du « Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique) » et du réseau d’institutions qui lui est associé (universités, groupes de réflexion, etc.) depuis un peu plus de 30 ans n’est pas une gloire dans les annales de la recherche. Il s’agit évidemment moins de « science » que de recherche de consensus et de répression des opinions dissidentes. C'est évidemment plus anti-science, propagée par des individus et des institutions comblés de « fonds de recherche » et d’attention médiatique, dont les carrières sont finalement « couronnées » par des nominations à des postes de direction dans ces mêmes institutions (universités, groupes de réflexion, etc.). Le « système » crée ses propres « successeurs » qui défendent le contraire de la pensée indépendante ou la promotion de la dissidence dans la « science ».
L'adolescent provocant dans la pièce
Le meilleur exemple de quelqu’un qui est présenté comme une sorte de trophée par les forains de la caste politique, qui est exalté comme un « saint pilier » par les « médias de premier plan et de qualité » et qui est considéré comme un camarade par la « science » est un peu plus qu'un adolescent méchant, joyeux et mal élevé qui ne tolère aucune contradiction. Ce terme est utilisé sur presque toutes les scènes politiques mondiales sous le nom de « Salutations d’août », manipulé avec des gants et ses déclarations sont répétées presque comme un moulin à prières par les forains de la caste politique et les inquisiteurs climatiques des « médias de premier plan et de qualité ».
Non, je ne parle pas des Greta Thunberg ou des Luisa Neubauer de ce monde, mais du « Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique) » IPCC de l'ONU. Si son enfance et son adolescence vous intéressent, nous vous recommandons de lire le livre de Donna Laframboise, The Delinquent Teenager Who Was Mistaken for the World's Top Climate Expert (Create Space, 2011) ; Si vous souhaitez « emprunter » mon e-book, écrivez-moi simplement un e-mail et je le partagerai – à des « fins de recherche » bien sûr (ce qui, soit dit en passant, est expressément autorisé en vertu de la loi sur le droit d'auteur en raison de « l'éducation et clauses de recherche »).
RépondreSupprimerCela dit, les « conseils de recherche » de tous les pays qui dominent ces institutions sont rarement nommés sur la base de critères de performance. Il s’agit plutôt de fiabilité politique et de fermeté idéologique. Le meilleur exemple en est probablement Rajendra Pachurri, ancien président du GIEC (2002-2015), qui a rejeté toutes les critiques en faisant référence à « nous sommes les experts » et a souligné presque à chaque occasion qu’il était un « ingénieur ». Ce qui n'est toujours pas mentionné, cependant, c'est que Pachurri est en réalité un ingénieur en mécanique dont la carrière a débuté chez les chemins de fer indiens dans le segment des locomotives diesel ; un « expert » dans (presque) tout, pour ainsi dire, même si son article Wikipédia en allemand n'est que celui-ciL'information est retenue, même si la version anglaise en fait mention.
Maintenant, taisez-vous, vous les jurons, car « les experts™ » parlent.
Un voyou qui pense mal.
Le lysenkoïsme climatique comme religion de substitution (culte)
Les « Experts™ » médiatisés ne sont guère plus que les rangs inférieurs d’une nouvelle secte de la fin des temps. Des allégations souvent non fondées , des falsifications de données , des méthodologies médiocres , des modèles présentés comme des faits et des fraudes purement et délibérées.. La « science du climat » est devenue un véritable paradis terrestre de blanchiment politique. Le « Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique) » n’est pas une institution de recherche, mais plutôt un véhicule de prises de contrôle technocratiques (hostiles). Parce que cela distribue les informations d'identification pour accéder à ce club, il est facile de contrôler qui est autorisé à faire des déclarations bien en vue ou qui est « l'un des plus cool », surtout si les « médias de premier plan et de qualité » s'en mêlent.
Des affirmations absurdes sur les « records de chaleur » des 120 000 dernières années aux reportages trompeurs et incorrects dans les « médias de premier plan et de qualité » en passant par les « études » méthodologiquement douteuses propagées par le Forum économique mondial, tout fait « partie du jeu », pour ainsi dire. parler. En d’autres termes : plus cela dure, plus « les experts (officiels)™ » et leurs clients apparaissent comme n’étant qu’une farce.
Mais si l’on se demande maintenant d’où vient la motivation de tant d’« Experts™ » à participer à cela, leur volonté vient avant tout de désirs matériels inférieurs. Le « changement climatique™ » est donc le plus grand canular de tous les temps, car il est présenté comme une justification de dépenses inattendues – mot-clé : « Green Deal » ou « Build Back Better » – et de formes d’actionnisme sans précédent à travers la société.
RépondreSupprimerCependant, ce que les hommes de la caste politique, leurs exécutants volontaires dans les « médias de premier plan et de qualité » et les « experts™ » passent sous silence, c’est que nous savons très peu de choses sur la manière dont « le climat » fonctionne réellement.
Les « modèles » que nous utilisons pour donner un sens au « climat » sont d’une utilité limitée pour la prévision météorologique, et les systèmes de mesure dont nous disposons pour évaluer la qualité des modèles ne sont pas moins adaptés à cette fin. Les problèmes des stations de mesure aux États-Unis, par exemple, ont été largement documentés : elles sont souvent placées trop près du béton ou dans des emplacements inappropriés qui produisent trop de distorsion pour être considérés comme fiables.
Quelle est l’ampleur des problèmes ? Selon ce rapport d'Anthony Watt, chercheur principal au Heartland Institute (selon les normes américaines « conservatrices »), environ 96 % de toutes les stations de mesure exploitées par les autorités américaines sont situées dans des endroits problématiques. Environ deux tiers des thermomètres (64,4 %) sont placés de manière à provoquer des écarts de deux degrés Celsius ou plus ; un peu plus d'un cinquième (21,5 %) sont situés dans des endroits présentant une différence d'un ou plusieurs degrés Celsius ; 5 % supplémentaires présentent des écarts de plus de cinq (!) degrés Celsius. À l’inverse, seulement 7,9 % environ des stations de mesure sont installées de manière à ce que la plage d’erreur soit inférieure à un degré Celsius.
La tendance mondiale des changements de température est cependant de 0,1 degré Celsius par décennie, et avec les instruments existants et le potentiel d'erreur mentionné ci-dessus, il n'y a pratiquement aucune possibilité de collecter des données fiables, qui à leur tour peuvent être utilisées comme base solide. pour tout modèle climatique pour le futur. Ces dernières, à leur tour, sont conçues par l'IPCC et servent de base à de vastes décisions politiques qui ont un impact massif sur notre société.
Qu'est ce qui pourrait aller mal ?
RépondreSupprimerLes limites de la connaissance humaine
Nous ne comprenons pas le rôle des nuages et de la convection des précipitations dans le système climatique mondial, et ces deux facteurs constituent des forces motrices extrêmement importantes. Certains nuages réfléchissent la chaleur du soleil dans l'espace ; d’autres « captent » la chaleur. Les grands systèmes de tempêtes – notamment dans le Pacifique Sud – agissent comme une sorte de « bouclier thermique » ; La température et l’humidité affectent également les nuages, et la vapeur d’eau est de loin le gaz à effet de serre le plus puissant que le gaz carbonique. De légers changements dans le rayonnement solaire semblent affecter l’ionisation de la haute atmosphère et donc les structures nuageuses, ce qui entraîne des changements dans l’intensité totale du rayonnement solaire.
« Le climat » est incroyablement complexe, et c’est pourquoi des personnalités comme le prix Nobel John Clauser se sont prononcées.
Toutes les quelques années, des déclarations catégoriques et apparemment monolithiques sont faites (propagées), qui à leur tour se propagent par des interventions massives dans les algorithmes des escrocs en ligne (comparez ces résultats de recherche avec tout ce que vous trouvez sur Google). On lit souvent que « plus de réchauffement = plus de nuages = (encore) plus de réchauffement », comme si un système climatique comme celui de la Terre était caractérisé par cette forme linéaire de « rétroaction positive ». Cependant, il n’y a aucune preuve de cela.
Mais il existe certainement d ’« autres » indications .
Et si vous ne voulez pas croire cette information, vous pouvez continuer à lire ce week-end dans le journal de recherche officiel de la Commission européenne, où l'on lit, entre autres, ce qui suit :
Les formes et formations des nuages influencent le réchauffement climatique – mais nous ne les comprenons toujours pas
Cependant, dans quelle mesure ce « nous ne les comprenons vraiment pas » est-il utilisé pour continuer à acquérir des « fonds de recherche » ou pour ignorer le peu que nous savons réellement sur « les nuages » et leur contribution au « temps » ou au « climat ». .
La même chose peut s'appliquer à notre (in)connaissance de l'effet du vent solaire, qui bloque apparemment partiellement le rayonnement galactique, ce qui à son tour affecte le rayonnement de l'énergie solaire en watts par mètre carré sur la surface de la Terre (et par le biais du « re-rayonnement » » tour à tour sur la formation des nuages). . Sans parler de l’impact sur la modélisation rétroprojectée des températures passées et des concentrations de « gaz à effet de serre ».
Mais tout le monde ne veut pas « comprendre ».
RépondreSupprimerBeaucoup veulent simplement un récit simple qui justifie leur programme actuel et le propagera sous toute nouvelle forme nécessaire.
« Pandémie » et « folie climatique »
Avant de crier, voici autre chose à penser :
- voir graph sur site -
Si vous regardez attentivement, vous pouvez voir l’effet massif de « la pandémie », n’est-ce pas ? En haut, dans la ligne cumulée marquée « Monde », qui concerne les émissions annuelles de gaz carbonique, on peut constater une baisse.
Il est également clair que les émissions de « l’Asie » représentent environ la moitié de toutes les émissions mondiales de gaz carbonique. Et si vous le souhaitez, vous pouvez aussi manger des insectes , vivre dans des « villes de 15 minutes » et profiter de la vie de « mangeur inutile » (Yuval Harari).
Mais si vous pensez que ces « mesures » et bien d’autres – telles que les « confinements climatiques » – permettront d’aboutir à quelque chose, alors vous n’avez guère raison ; même pas proche.
Dans l’ensemble, les mesures préconisées ci-dessus n’auraient même pas d’impact sur les émissions de gaz carbonique, même si elles étaient mises en œuvre comme calculées et propagées. Ne pas le mentionner est de la triche, mais ne constitue en aucun cas une solution « verte ».
Et nous le savons parce que cela vient d’être mis à l’épreuve lors de la « pandémie » déclarée par l’OMS. Malgré les restrictions massives dues aux différentes « mesures Covid » du printemps 2020, force est de constater que cela n’a entraîné aucun changement visible dans la tendance gaz carbonique ( source ) :
En fin de compte, les faits sont tenaces, et même l’intervention humaine la plus coûteuse de tous les temps n’a finalement pas réussi à changer le cours de la « pandémie » déclarée par l’OMS ni la tendance des émissions de gaz carbonique d’origine humaine.
https://tkp.at/2023/09/23/die-pandemie-als-natuerliches-experiment-des-klimawahns/
Le général Guterres de l’ONU utilise une rhétorique désastreuse lors du « sommet sur le climat ».
RépondreSupprimer24 septembre 2023
par le Dr. Peter F. Mayer
Un soi-disant Sommet sur le climat a eu lieu en marge de l'Assemblée générale des Nations Unies à New York . Les cinq pays les plus producteurs de gaz carbonique ont été exclus : Chine, Inde, États-Unis, Russie et Japon. Le sommet annoncé par Guterres en décembre 2022 se voulait une vitrine « sobre » des « premiers arrivés » prônant l’objectif totalement irréaliste de contrôler les températures en limitant la production de gaz carbonique.
Parmi les pays non invités par Guterres, qui représentent près de la moitié de la population mondiale, les chefs d'État et de gouvernement de trois d'entre eux ont décidé de ne pas se rendre à New York, à savoir le Russe Vladimir Poutine, le Chinois Xi Jinping et l'Indien Narendra Modi. Le Premier ministre britannique Rishi Sunak et le président français Emanuel Macron n’étaient pas non plus présents. Guterres s’est probablement abstenu d’inviter les pays les plus importants parce qu’il pouvait s’attendre à une trop grande résistance de leur part.
J’ai également répété Guterres en tant que prédicateur de la catastrophe avec des déclarations complètement absurdes : « L’humanité a ouvert les portes de l’enfer », a déclaré Guterres. « Nous devons rattraper le temps perdu à cause des hésitations, des bras de fer et de l’avidité pure et simple d’intérêts bien établis qui gagnent des milliards grâce aux combustibles fossiles. »
« À tous ceux qui travaillent, marchent et plaident en faveur d’une véritable action climatique, je veux que vous sachiez que vous êtes du bon côté de l’histoire et que je suis avec vous », a déclaré mardi Guterres devant l’Assemblée générale .
« Un seul sommet ne changera pas le monde, mais aujourd’hui peut être un moment puissant pour créer une dynamique », a déclaré António Guterres. "Nous pouvons et nous devons accélérer le rythme."
Le programme du sommet sur le climat de mercredi contrastait fortement avec les deux précédents sommets de l'ONU sur le climat en 2014 et 2019 .
En 2014, Ban Ki-Moon, alors secrétaire général de l’ONU, avait qualifié le rassemblement d’un nombre record de chefs d’État, de chefs d’entreprise et de représentants de la société civile de « grand jour pour l’action climatique ». En 2019, 65 pays se sont engagés à réduire leurs émissions de carbone et des chefs d’État de tous les grands pays y ont participé, dont le Premier ministre indien Narendra Modi et l’ancien président américain Donald Trump.
L'intérêt pour ces événements a clairement diminué et l'absurdité du projet devient de plus en plus apparente. Comme indiqué hier , l'augmentation des niveaux de gaz carbonique dans l'air n'est pas la cause, mais plutôt la conséquence de la hausse des températures.
RépondreSupprimerAu début du sommet sur le climat au siège de l'ONU à New York, le Premier ministre britannique Rishi Sunak - le premier Premier ministre depuis une décennie à ne pas assister à l'Assemblée générale de l'ONU - a annoncé son intention d'annuler bon nombre des engagements climatiques existants du Royaume-Uni, y compris ceux que ses prédécesseurs conservateurs, comme l’ancien Premier ministre Boris Johnson, qui a accueilli la conférence COP26 à Glasgow en 2021, avaient fait.
Cette décision fait suite à la promesse faite en août par Sunak d'« exploiter pleinement » les réserves britanniques de combustibles fossiles en mer du Nord. Infosys, une société de 6 000 milliards de dollars fondée par le beau-père de Sunak, a signé un accord de 1,5 milliard de dollars avec British Petroleum deux mois seulement avant l'annonce par Sunak de nouvelles licences de forage pétrolier et gazier. Ces mesures sont nécessaires si le Royaume-Uni veut sauver son industrie. Un changement de mentalité s’est produit plus rapidement sur l’île que dans la plupart des pays de l’UE.
L’UE à l’avant-garde de la désindustrialisation
La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré lors du sommet que l'UE était en passe de dépasser son objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre de 55 % d'ici 2030. L’UE continuera à contribuer sa « juste part » de 27 milliards de dollars au fonds mondial de financement du climat, a-t-elle déclaré.
La gestion de l'argent des contribuables par Leyen et la Commission est notoirement souple : 100 milliards pour l'industrie pharmaceutique pour 5,4 milliards de doses de vaccin, 50 milliards ou plus pour l'Ukraine et 27 milliards pour financer l'industrie qui bénéficie du Green Deal.
Son homologue, le président du Conseil européen Charles Michel, a déclaré mardi à l'Assemblée générale que l'UE s'efforcerait de garantir que des financements concessionnels soient disponibles pour les pays qui en ont besoin.
Seuls 17 pays appellent à l’élimination progressive des combustibles fossiles à l’échelle mondiale
Les chefs d'État de 17 pays, dont le Kenya, la Colombie, un groupe de petits États insulaires et des pays de l'UE comme la France, la Belgique, le Danemark et l'Espagne, ont publié une lettre avant le sommet sur le climat appelant à une élimination progressive mondiale des énergies fossiles. carburants.
"On ne peut plus prétendre qu'une limite autre que la limite de 1,5 degré est acceptable ", indique la lettre.
La déclaration de 17 pays rejette explicitement l’idée selon laquelle les technologies de captage du carbone peuvent constituer une solution à la crise climatique.
« Les technologies de captage du carbone jouent un rôle dans la réduction des émissions, mais ce rôle est minime dans la décarbonisation des systèmes énergétiques », indique la lettre. « Des changements systémiques sont nécessaires dans tous les secteurs de l’économie, entraînés par une élimination progressive des combustibles fossiles à l’échelle mondiale. »
RépondreSupprimerLa déclaration des 17 pays contredit directement les preuves et études scientifiques selon lesquelles le gaz carbonique agit comme un engrais pour la croissance des plantes , augmente les rendements agricoles et permet le verdissement des zones arides .
De plus en plus de pays se rendent peut-être également compte que c'est le soleil dont les cycles sont responsables des changements de température sur Terre. Et un ralentissement se profile même à l’horizon au cours des trois prochaines décennies.
https://tkp.at/2023/09/24/un-general-guterres-uebt-sich-bei-klimagipfel-in-katastrophen-rhetorik/
Le président de l'Assemblée générale des Nations Unies approuve la déclaration sur la pandémie — Des experts en matière de protection de la vie privée mettent en garde contre le « goulag numérique »
RépondreSupprimerPar Michael Nevradakis
Recherche mondiale,
23 septembre 2023
Le président de l'Assemblée générale des Nations Unies (AGNU) a approuvé aujourd'hui la déclaration non contraignante des Nations Unies sur la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies (PPPR), sans vote de l'assemblée plénière et malgré les objections de 11 pays.
Les critiques ont qualifié la déclaration, qui cherche à créer une autorité mondiale de lutte contre la pandémie, dotée du pouvoir d’imposer le confinement, la vaccination universelle et la censure, de « désinformation », d’« hypocrisie » et de « déséquilibrée ».
L'approbation est intervenue dans le cadre d'une réunion de haut niveau sur le PPPR . Mais que signifie concrètement cette déclaration ?
Pour ses partisans, la déclaration constitue une étape clé vers une coordination mondiale en matière de prévention des pandémies et de santé publique.
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), cela « représente une opportunité… de prévenir et de se préparer aux pandémies et à leurs conséquences, en utilisant une approche qui implique tous les secteurs gouvernementaux ».
L’OMS a également déclaré que le PPPR vise à « appliquer les leçons tirées de la pandémie de COVID-19 » et « intervient alors que le monde est confronté à de multiples crises humanitaires et liées au climat qui menacent des vies et des moyens de subsistance dans le monde entier ».
Dans un communiqué, le directeur général de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus , a déclaré : « Si le COVID-19 ne nous a rien appris d'autre, c'est que lorsque la santé est en danger, tout est en danger. » Il a lié le PPPR aux objectifs de développement durable (ODD) de l'ONU, affirmant que les dirigeants mondiaux devraient « montrer qu'ils ont tiré les douloureuses leçons de la pandémie ».
L'avocat Lawrence Gostin, directeur du centre collaborateur de l'OMS de l'Université de Georgetown – une figure clé « jouant un rôle clé en coulisses dans les négociations » pour le « traité sur la pandémie » proposé et les amendements au Règlement sanitaire international (2005) (RSI) – a déclaré la réunion de haut niveau « est notre meilleure chance d’obtenir le soutien et l’engagement profond des chefs d’État et de gouvernement ».
Un accord « sans précédent » se fait au détriment de la souveraineté nationale
D'autres experts ont adopté un point de vue différent. L'auteur et podcasteur Frank Gaffney, fondateur et président du Center for Security Policy , a déclaré au Defender qu'il était « très inquiétant » que l'ONU et l'OMS « encouragent davantage, voire autorisent, le type de capacité ou d'autorité permanente de leur part ». essentiellement pour dicter ce qui constitue une urgence.
"Il est indéniable que cela se fera au détriment de la souveraineté des différentes nations, qui seront ensuite informées de l'état d'urgence et de ce qu'elles doivent faire pour y remédier", a-t-il ajouté. "C'est sans précédent."
RépondreSupprimerGostin a déclaré que « les négociateurs ne savent pas comment équilibrer la responsabilité et la souveraineté lors de la mise en œuvre d’instruments tels que le PPPR, le RSI ou le « traité sur la pandémie ».
Écrivant pour le Brownstone Institute , le Dr David Bell , médecin de santé publique, consultant en biotechnologie et ancien directeur des technologies de santé mondiales à l'Intellectual Ventures Global Good Fund, a déclaré que « l'objectif principal » du PPPR « est de soutenir » le « traité sur la pandémie ». » et les amendements au RSI actuellement en cours de négociation par les États membres de l’OMS.
Bell a déclaré qu’une « procédure de silence » est en place, « ce qui signifie que les États qui ne répondent pas seront considérés comme des partisans du texte ». Il a déclaré que le texte est « clairement contradictoire, parfois fallacieux et souvent dénué de sens » et vise à centraliser le pouvoir de l'OMS.
Bell a déclaré au Defender : « La déclaration n’a pas été écrite avec une intention sérieuse, mais est essentiellement une rhétorique vide de sens promouvant une centralisation continue du contrôle que l’ONU et l’OMS recherchent ouvertement, au détriment de la démocratie, des droits de l’homme et de l’égalité. »
Francis Boyle, JD, Ph.D. , expert en armes biologiques et professeur de droit international à l'Université de l'Illinois qui a rédigé la loi antiterroriste sur les armes biologiques de 1989 , est d'accord. « Les mêmes personnes qui ont rédigé le traité sur la pandémie et les amendements au RSI ont rédigé le document PPPR », a déclaré Bell au Defender.
« Il s’agit d’une pression totale pour que l’ensemble de l’Organisation des Nations Unies, ses agences spécialisées et ses organisations affiliées soutiennent et soutiennent leur proposition d’État policier totalitaire mondialiste, médical et scientifique, mondialiste de l’OMS », a-t-il déclaré.
La réunion de haut niveau d'aujourd'hui comprenait des discours prévus par 158 représentants nationaux, dont les présidents ou premiers ministres de 34 pays et, représentant les États-Unis, le secrétaire d'État Anthony Blinken.
Parmi les panélistes figuraient le ministre allemand de la Santé, le Dr Karl Lauterbach , et des représentants de la Biotechnology Innovation Organisation .
Que signifie pour vous la déclaration ?
RépondreSupprimerLe texte final de la déclaration politique du PPPR , daté du 1er septembre, comprend des déclarations et des propositions couvrant une série de questions, de la vaccination à ce qu'on appelle la « désinformation ».
- voir cadre sur site -
Capture d'écran de la Déclaration politique PPPR de l'ONU
Selon la déclaration, « les pandémies appellent un leadership opportun, urgent et continu, une solidarité mondiale, une coopération internationale accrue et un engagement multilatéral… pour mettre en œuvre des actions nationales, régionales et mondiales cohérentes et robustes, motivées par la science… pour renforcer la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies. .»
Déclarant que « la santé est une condition préalable pour tous » et un indicateur du « développement durable », la déclaration appelle à :
Vaccination universelle : La déclaration exprime une « profonde préoccupation » face à la baisse des taux de vaccination dans le monde et comprend un engagement à soutenir « la recherche et le développement de vaccins et de médicaments, ainsi que des mesures préventives et des traitements pour les maladies transmissibles et non transmissibles ».
« La vaccination systématique est l'une des interventions de santé publique les plus efficaces et les plus rentables, avec la plus grande portée et les meilleurs résultats démontrés en matière de santé », indique la déclaration, tout en soulignant le « rôle important joué par le secteur privé dans la recherche et le développement de médicaments innovants ». y compris les vaccins.
Il appelle à l’amélioration « des capacités de vaccination de routine, de vaccination et de sensibilisation, notamment en fournissant des informations fondées sur des données probantes sur la promotion de la confiance, de l’adoption et de la demande » et « en élargissant la couverture vaccinale pour prévenir les épidémies ainsi que la propagation et la réémergence ». des maladies transmissibles.
Rend permanents les pouvoirs « temporaires » liés au COVID-19 : la déclaration exprime « une inquiétude face à l’émergence et à la réémergence continues de maladies à tendance épidémique », affirmant « la nécessité… de s’appuyer sur les enseignements tirés et les meilleures pratiques de la pandémie de COVID-19 ». », y compris « transformer, le cas échéant, les capacités temporairement renforcées » développées pendant la pandémie « en capacités permanentes de manière durable ».
Appels à une surveillance accrue et à des documents de santé numériques, tels que les passeports vaccinaux : la déclaration « reconnaît[s]… le potentiel des technologies de santé numériques » dans « la mise en œuvre et le soutien des mesures de santé et le renforcement des efforts de réponse nationaux » aux pandémies et aux urgences sanitaires.
Les technologies numériques telles que les passeports vaccinaux sont un élément clé des amendements en cours de négociation au RSI. La déclaration, à son tour, affirme également la nécessité de « systèmes d’alerte précoce » et « d’une approche intégrée One Health », pour « la réponse la plus précoce et la plus adéquate » aux pandémies et aux urgences sanitaires.
Bell, cependant, n'est pas d'accord avec ce point de vue, écrivant : « L'OMS a récemment qualifié publiquement les personnes qui discutent des effets indésirables des vaccins contre la COVID et remettent en question les politiques de l'OMS d'« extrême droite », d'« agresseurs anti-scientifiques » et de « force meurtrière ». » ajoutant que « C’est déséquilibré. C’est le dénigrement et le discours de haine que les régimes fascistes utilisent.»
RépondreSupprimerPourtant, pour Gostin, la déclaration PPPR ne suffit pas. "C'est totalement insuffisant en termes d'actions concrètes, telles que les promesses de financement des systèmes de santé", a-t-il déclaré, ajoutant "il y a eu trop peu de coopération entre l'ONU et l'OMS".
11 pays opposés à la déclaration
Le consensus sur le PPPR n’est pas universel. Dans une lettre du 17 septembre adressée à Dennis Francis , président de l'AGNU, co-signée par les représentants de 11 pays, des « inquiétudes légitimes » ont été soulevées : « un grand nombre de pays en développement ont été ignorés ».
Les 11 pays sont le Bélarus, la Bolivie, Cuba, la République populaire démocratique de Corée, l'Érythrée, la République islamique d'Iran, le Nicaragua, la Fédération de Russie, la République arabe syrienne, le Venezuela et le Zimbabwe.
Leur lettre rompait la « procédure de silence » et déclarait : « Nos délégations sont convaincues que ce n’est pas une manière de gérer les négociations multilatérales et intergouvernementales sur des questions d’une grande importance pour la communauté internationale, en particulier pour les pays en développement. »
Il a ajouté qu’« aucun consensus n’a été atteint sur aucun de ces processus ». Toutefois, la lettre ne contient pas d’objections spécifiques quant au contenu de la déclaration PPPR.
Selon Boyle, les objections des 11 pays devraient « empêcher que cette déclaration soit adoptée par consensus et devienne ainsi sans doute partie intégrante du droit international coutumier, ce qui est l’intention de ceux qui sont à l’origine de la déclaration ».
"Ils n'ont pas pu le faire adopter par l'AGNU en tant que résolution de consensus en raison des 11 États qui s'y sont opposés", a déclaré Boyle. « Ils essaient de le déformer et de le déformer », a-t-il déclaré, en faisant approuver la déclaration par le président de l’AGNU – et non l’AGNU.
Une organisation soutenue par Gates poussée à la déclaration du PPPR
Outre les représentants nationaux, des organisations comme Gavi, l'Alliance du Vaccin – reconnue comme partie prenante et « observateur » par l'OMS – ont également participé à la réunion d'aujourd'hui.
Gavi proclame sa mission de « sauver des vies et protéger la santé des populations » et déclare qu'elle « aide à vacciner près de la moitié des enfants du monde contre les maladies infectieuses mortelles et débilitantes ».
RépondreSupprimerLa Fondation Bill & Melinda Gates est partenaire de Gavi et détient un siège permanent à son conseil d'administration , tout comme l'OMS, l'UNICEF et la Banque mondiale .
Gavi a décrit l'AGNU de cette année comme « une étape qui donne à réfléchir » sur la voie menant à l'atteinte de la date cible de 2030 pour les ODD, et a déclaré que la réunion de haut niveau est « une opportunité unique et historique pour les dirigeants d'adopter une stratégie pangouvernementale ». , approche globale et globale de la société pour faire face aux menaces de pandémie.
« En tirant les leçons de la phase aiguë de la pandémie, le moment est imminent de façonner un système plus réactif et plus résilient », a déclaré Gavi, ajoutant qu'« une action urgente est nécessaire pour atteindre les cibles de l'ODD3 [santé et bien-être] et atteindre tous les enfants avec des vaccins salvateurs.
Gavi s’est également assigné un rôle dans ce processus, déclarant : « Les agences spécialisées telles que Gavi devraient également jouer un rôle de premier plan, en s’appuyant sur l’expertise technique et les enseignements tirés de la réponse à la pandémie de COVID-19 pour parvenir à l’équité en santé. »
Bell a déclaré que Gavi est un exemple d’organisation qui n’a pas été « impactée négativement » par la catastrophe du COVID-19. « Les personnes et les entreprises qui parrainent une grande partie du travail d'urgence sanitaire de l'OMS et de ses organisations sœurs telles que le CEPI , Gavi et Unitaid , ont très bien réussi grâce aux politiques qu'ils ont défendues avec tant de force », a-t-il écrit.
Le PPPR envisage un «goulag numérique», négocié en «secret»
Gaffney, qui organise aujourd'hui un webinaire sur les propositions visant à étendre les passeports vaccinaux et à accorder plus de pouvoir à l'OMS, a déclaré que le PPPR fait partie d'une prise de pouvoir plus large de l'OMS et de l'ONU, y compris des propositions qui devraient être discutées à l'ONU en septembre 2024 . accorder au secrétaire général de l'ONU des pouvoirs d'urgence illimités .
« L’ONU et l’OMS envisagent ce type de goulag numérique comme un mécanisme sous-jacent à l’exercice de ce type d’autorité, et en particulier la capacité de ces entités à dicter ce qui doit être fait en réponse à tout ce qu’elles jugent être une crise, liée à la santé ou à la santé. sinon », a déclaré Gaffney. "C'est quelque chose qui m'inquiète beaucoup."
RépondreSupprimerLe Dr Michel Kazatchkine , médecin et diplomate français et membre de l'équipe qui a rédigé la déclaration PPPR, a déclaré que la déclaration et la proposition d'accorder des pouvoirs d'urgence au secrétaire général de l'ONU sont liées .
Selon Roguski , la déclaration PPPR est l'une des « quatre pistes auxquelles il est important de prêter attention dès maintenant » – avec les amendements au RSI adoptés en mai 2022 , qui, selon lui, « doivent être rejetés d'ici la fin novembre », le les nouveaux amendements du RSI et le « traité sur la pandémie » (officiellement appelé Convention-cadre CA+ de l’OMS).
Roguski a déclaré au Defender que la date cible de mai 2024 pour l'adoption des amendements au RSI et du « traité sur la pandémie » à l'Assemblée mondiale de la santé de l'OMS est menacée en raison des nations qui s'y opposent – un point de vue partagé par Gostin, qui a déclaré que la date limite de mai 2024 est « en poussant », mais en notant que « la raison de la vitesse est impérieuse ».
Roguski a déclaré que les négociations du PPPR ont été menées « en secret » et a noté que la déclaration du PPPR « est muette » sur les efforts visant à développer un réseau mondial de certification de santé numérique – qui établirait un cadre mondial pour les « passeports vaccinaux » et d'autres types de certificats de santé. mis en œuvre.
Roguski a déclaré qu'au lieu d'appeler à la fin de la recherche sur les gains de fonction , le PPPR soutient le financement des efforts de l'OMS « pour mettre en œuvre un système d'accès aux agents pathogènes et de partage des avantages ». Il a déclaré que cela « augmente le risque de propagation d’agents pathogènes mortels, de par sa conception ».
Selon la déclaration du PPPR, une réunion de haut niveau examinant les progrès réalisés dans la mise en œuvre du PPPR se tiendra à New York en 2026. D'autres réunions de haut niveau liées à la santé à l'AGNU cette semaine se concentreront sur la couverture sanitaire universelle et la tuberculose .
https://www.globalresearch.ca/un-president-approves-pandemic-declaration-privacy-experts-warn-digital-gulag/5833360
Semer les graines OGM du dépeuplement ?
RépondreSupprimerPar Colin Todhunter
Recherche mondiale,
23 septembre 2023
Si la violence physique ne doit être utilisée qu'en dernier recours, une classe dominante doit chercher à obtenir le consentement du peuple si elle veut gouverner et contrôler une population. Elle doit tenter de légitimer sa position aux yeux des gouvernés en réalisant une sorte de « coercition consentie » qui masque le véritable poing du pouvoir. Cela peut être réalisé par de nombreux moyens et, au fil des années, des commentateurs, de Gramsci à Althusser et Chomsky, ont décrit comment y parvenir.
Cependant, l'une des formes de contrôle les plus fondamentales et sans doute les plus efficaces est l'eugénisme/dépeuplement, une philosophie qui inclut la réduction de la capacité reproductive des sections « les moins désirables » d'une population.
On craint de plus en plus que l'eugénisme soit utilisé pour se débarrasser des segments de la population mondiale qui sont « excédentaires par rapport aux besoins ». Et c'est une crainte légitime, notamment parce qu'il existe une histoire sordide de stérilisations forcées/secrètes effectuées sur des personnes jugées « indésirables » ou « excédentaires par rapport aux besoins », qui reflète les préoccupations des eugénistes qui ont opéré aux plus hauts niveaux politiques. fabrication. Depuis les « philanthropes » du début du 20e siècle et les nazis jusqu'au mouvement naissant de la génétique et aux riches élites, débarrasser la planète des grandes masses indésirables d'une manière ou d'une autre a toujours été une priorité assez élevée (voir cet article informatif ) . )
Le baron millionnaire des médias américain Ted Turner estime qu'une population mondiale de deux milliards serait idéale, et le milliardaire Bill Gates a promis des centaines de millions de dollars pour améliorer l'accès à la contraception dans les pays du Sud.
Gates a également acheté des actions de Monsanto évaluées à plus de 23 millions de dollars au moment de l'achat. Son objectif est d’aider Monsanto à introduire à grande échelle ses organismes génétiquement modifiés (OGM) en Afrique. En 2001, Monsanto et Du Pont ont acheté une petite entreprise de biotechnologie appelée Epicyte qui avait créé un gène qui rend le sperme mâle stérile et l'ovule femelle insensible.
Le père de Bill Gates est impliqué depuis longtemps dans Planned Parenthood :
« Quand j'étais petite, mes parents étaient toujours impliqués dans diverses activités bénévoles. Mon père était à la tête de Planned Parenthood. Et c’était très controversé d’être impliqué dans cela.
La citation ci-dessus provient d’une interview de Bill Gates en 2003.
Planned Parenthood a été fondé sur le concept selon lequel la plupart des êtres humains sont des éleveurs imprudents. Gates senior est coprésident de la Fondation Bill & Melinda Gates et un des piliers de la vision et de l'orientation de la Fondation Gates, qui se concentre fortement sur la promotion des OGM en Afrique via son financement de l'Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA). ).
La Fondation Gates a donné au moins 264,5 millions de dollars à l'AGRA.
Selon un rapport publié par La Via Campesina en 2010, 70 pour cent des bénéficiaires de l'AGRA au Kenya travaillent directement avec Monsanto et près de 80 pour cent du financement de la Fondation Gates est consacré à la biotechnologie.
Le rapport explique également que la Fondation Gates a promis 880 millions de dollars pour créer le Programme mondial pour l'agriculture et la sécurité alimentaire (GAFSP), qui est un fervent promoteur des OGM.
RépondreSupprimerLa question du génie génétique ne peut être pleinement comprise sans s’intéresser à l’expansion mondiale de la puissance américaine. La dynastie Rockefeller, riche en pétrole, a contribué à promouvoir la « révolution verte », qui a permis aux États-Unis de coloniser l’agriculture indigène dans de grandes parties de la planète. En projetant sa puissance à travers l’OMC, le FMI et la Banque mondiale, Washington a pu placer l’alimentation et l’agriculture au cœur de sa stratégie géopolitique visant à assurer sa domination mondiale.
Comme pour le contrôle de l’alimentation et de l’agriculture, les États-Unis considèrent également le dépeuplement comme un outil géostratégique potentiel (voir ceci ) dans leur quête de contrôle des ressources mondiales. Quelle meilleure façon d’y parvenir via un système alimentaire (OGM) altéré que l’agro-industrie américaine domine de plus en plus ?
Quelle meilleure façon d'y parvenir qu'avec le « maïs spermicide » par exemple ? Au Mexique, le maïs biopharmaceutique suscite des inquiétudes. Il y a quelques années, Silvia Ribeiro , de l'organisation ETC, déclarait :
« Le potentiel du maïs spermicide en tant qu’arme biologique est scandaleux, car il se croise facilement avec d’autres variétés, peut passer inaperçu et pourrait se loger au cœur même des cultures indigènes et agricoles. Nous avons assisté à l'exécution de campagnes de stérilisation répétées contre les communautés indigènes. Cette méthode est certainement beaucoup plus difficile à retracer.
Alors que la majeure partie de la littérature sur les OGM s’intéresse aux impacts des cultures génétiquement modifiées pour lutter contre les ravageurs ou pour pulvériser des herbicides, il existe des tendances très inquiétantes concernant les plantes génétiquement modifiées pour contenir des produits pharmaceutiques industriels ou posséder d’éventuelles caractéristiques contraceptives.
Les problèmes du monde ne sont pas causés par la surpopulation, comme le dit Turner, mais par la cupidité et par un système de propriété et de relations de pouvoir mondiales qui garantissent la circulation des richesses de bas en haut . Il ne s’agit pas d’arrêter la croissance démographique, mais de changer un système économique mondial socialement conflictuel et l’épuisement insoutenable des ressources naturelles.
Des millionnaires comme Ted Turner estiment qu’il faut continuer à consommer malgré tout, tant que la population est réduite.
RépondreSupprimerC'est l'idéologie des riches qui considèrent le reste de l'humanité comme un problème à « régler ». Il dit qu'il y a « trop de gens qui consomment trop de choses ». Il ne pouvait pas se tromper davantage. Par exemple, les pays en développement représentent plus de 80 pour cent de la population mondiale, mais ne consomment qu'environ un tiers de l'énergie mondiale . Les citoyens américains constituent 5 pour cent de la population mondiale mais consomment 24 pour cent de l'énergie mondiale.
Nous devrions nous méfier d’un secteur biotechnologique bien connecté politiquement et militairement, qui possède une technologie permettant le génie génétique des aliments et un gène qui pourrait être utilisé (ou l’est déjà) pour la stérilisation involontaire. Des campagnes secrètes de vaccination à la guerre bactériologique et à la géo-ingénierie , des pans de la population à travers le monde ont trop souvent été pulvérisés, injectés ou exposés à des processus nocifs pour induire la stérilité, l'infertilité ou simplement pour constater les résultats d'une exposition à des radiations, des bactéries ou des substances nocives. un virus. Ce n’est pas pour rien que certains confondent OGM et bioterrorisme .
Herbert Marcuse a un jour résumé le problème auquel nous sommes confrontés en disant que les capacités – tant intellectuelles que technologiques – de la société contemporaine sont infiniment plus grandes qu’auparavant. En conséquence, l’étendue de la domination de la société sur l’individu est également infiniment plus grande que jamais. Cette domination prend des formes de plus en plus sinistres.
https://www.globalresearch.ca/sowing-the-gmo-seeds-of-depopulation-2/5450801
Rencontrez la « nouvelle normalité » : manipulation, appauvrissement, pire que « l’ancienne normalité ». Vous êtes toujours l'ennemi intérieur
RépondreSupprimerPar Colin Todhunter
Recherche mondiale,
23 septembre 2023
Aujourd’hui, nous assistons à une poussée (manipulation) de la population pour qu’elle accepte une « nouvelle normalité » basée sur
un récit d’urgence climatique,
restrictions de mouvement et de voyage,
monnaie numérique programmable,
« préparation à une pandémie » grâce au traité tyrannique sur la pandémie de l'Organisation mondiale de la santé,
IA inexplicable et « nourriture » synthétique.
Qu’il s’agisse d’une « transition alimentaire », d’une « transition énergétique », de villes à 15 minutes ou d’un autre terme à consonance bénigne, tout cela doit être déterminé par une élite supranationale de « parties prenantes », les gens ordinaires étant mis à l’écart du processus . Un programme antidémocratique conçu pour imposer des restrictions à la liberté individuelle, marquant un changement radical vers l’autoritarisme.
Dans les années 1980, pour contribuer à légitimer le programme néolibéral de déréglementation et de privatisation de la mondialisation, le gouvernement et les médias ont lancé une offensive idéologique, faisant ressortir la primauté de la « libre entreprise », des droits et des responsabilités individuels et mettant l'accent sur l'abandon du rôle de l'État, du commerce. les syndicats et le collectif dans la société.
Nous assistons actuellement à un autre changement idéologique :
On dit que les droits et libertés individuels compromettent les besoins plus larges de la société et de la planète. Dans un revirement brutal, la liberté individuelle constitue désormais une menace pour la sécurité nationale, la santé publique ou le climat.
Comme dans les années 1980, ce message est motivé par une impulsion économique. Cette fois, c’est le projet néolibéral qui s’effondre.
Au Royaume-Uni, la pauvreté augmente dans les deux tiers des communautés, les banques alimentaires font désormais partie intégrante de la vie de millions de personnes et le niveau de vie s'effondre. En effet, les familles les plus pauvres subissent un effondrement « effrayant » de leur niveau de vie , ce qui entraîne une pauvreté qui change leur vie et la limite.
Aux États-Unis, environ 30 millions de personnes à faible revenu sont au bord du « précipice de la faim » alors qu'une partie de leur aide alimentaire fédérale leur est retirée.
En 2021, on estimait qu’un enfant sur huit souffrait de faim aux États-Unis. Aux États-Unis, les petites entreprises déclarent faillite à un rythme record .
L'économiste en chef de la Banque d'Angleterre, Huw Pill, estime que les gens devraient « accepter » d'être plus pauvres . Cette réponse est similaire à la réponse de Rob Kapito, co-fondateur de la plus grande société de gestion d'actifs au monde, BlackRock. En 2022, Kapito, incroyablement riche et titré, a déclaré qu’une génération « très habilitée » de personnes (travailleurs ordinaires) qui n’ont jamais eu à se sacrifier serait bientôt confrontée à des pénuries pour la première fois de leur vie.
Alors que le statu quo prévaut dans le monde privilégié de Kapito et dans celui des grandes sociétés d'armement, d'énergie, de produits pharmaceutiques et alimentaires, dont les propriétaires mégariches continuent d'engranger d'énormes profits, Kapito et Pill disent aux gens ordinaires de s'habituer à la pauvreté et à la « nouvelle normalité ». comme si nous étions « tous dans le même bateau » – milliardaires et classe ouvrière. Ils utilisent commodément le COVID et la situation en Ukraine comme couverture pour l’effondrement du néolibéralisme.
Mais cela fait partie du programme hégémonique qui cherche à garantir que la vision du monde de l’establishment soit la norme culturelle acceptée. Et quiconque remet en question cette vision du monde – qu’il s’agisse par exemple de remettre en question l’alarmisme climatique, la « nouvelle normalité », la nature de la crise économique, le discours dominant sur le COVID ou la position officielle à l’égard de l’Ukraine et de la Russie – est considéré comme un propagateur. de la désinformation et de « l’ennemi intérieur ».
RépondreSupprimerBien que le terme « ennemi intérieur » ait été popularisé par Margaret Thatcher lors de la grève des mineurs de 1984-1985 pour décrire les mineurs en grève, c'est une notion avec laquelle les dirigeants britanniques ont considéré les mouvements de protestation et les soulèvements au fil des siècles. De la révolte des paysans en 1381 aux niveleurs et creuseurs du XVIIe siècle , c'est un concept associé à toute personne ou à tout groupe qui remet en question l'ordre social existant et les intérêts de la classe dirigeante.
John Ball, un prêtre radical, s'est adressé aux rebelles de la révolte des paysans avec les mots suivants :
« Bons amis, les choses ne peuvent aller bien en Angleterre tant que tout n’est pas mis en commun ; quand il n'y aura ni vassaux ni seigneurs ; quand les seigneurs ne seront pas plus maîtres que nous.
La révolte fut réprimée. John Ball a été capturé et pendu, dessiné et écartelé. Une partie de l’histoire sanglante de la classe dirigeante britannique.
Plus tard, le mouvement des Diggers du XVIIe siècle a voulu créer de petites communautés rurales égalitaires et cultiver des terres communes privatisées par des enclos.
La chanson de 1975 « The World Turned Upside Down » de Leon Rosselson commémore les Diggers. Ses paroles décrivent les objectifs et le sort du mouvement. Selon les mots de Rosselson, les Diggers ont été dépossédés par le vol et le meurtre, mais ont récupéré ce qui leur appartenait pour ensuite être violemment réprimés.
Il n’est donc pas surprenant que, dans les années 1980, Margaret Thatcher ait utilisé l’appareil d’État pour vaincre le syndicat le plus puissant du pays et les troupes de choc du mouvement ouvrier, le Syndicat national des mineurs – « l’ennemi intérieur ». Elle devait le faire pour permettre au capital de profiter de la désindustrialisation ultérieure d’une grande partie du Royaume-Uni et du démantèlement d’une grande partie de l’État-providence.
Et le résultat ?
RépondreSupprimerUne économie vide de sens et gonflée de dettes, la destruction du tissu social de communautés entières et la grande chaîne financière de Ponzi – le « miracle » de la finance déréglementée – qui est maintenant au bord de l'effondrement, à l'origine de personnalités comme Kapito et Pill. dire au public de se préparer à devenir pauvre.
Et maintenant, en 2023, la dernière version de « l’ennemi intérieur » diffuse de la « désinformation » – tout ce qui remet en question le récit officiel de l’État et des entreprises. Donc, cette fois, l’un des objectifs est d’avoir un Internet entièrement contrôlé (censuré).
Par exemple, le Commandement des opérations spéciales des États-Unis (USSOCOM) a récemment attribué à Accrete un contrat pour Argus afin de détecter les menaces de désinformation provenant des médias sociaux. Argus est un logiciel d'IA qui analyse les données des réseaux sociaux pour prédire les récits émergents et générer des rapports de renseignement à une vitesse et à une échelle permettant de neutraliser les menaces de désinformation virale.
Accrete AI est une société leader dans le domaine de l'IA d'entreprise à double usage. Elle a déployé son logiciel AI Argus pour la détection des menaces open source avec le ministère américain de la Défense en 2022 .
Dans un récent communiqué de presse, Prashant Bhuyan, fondateur et PDG d'Accrete, se vante :
« Les médias sociaux sont largement reconnus comme un environnement non réglementé dans lequel les adversaires exploitent régulièrement les vulnérabilités du raisonnement et manipulent les comportements en diffusant intentionnellement de la désinformation. L’USSOCOM est à l’avant-garde en reconnaissant le besoin critique d’identifier et de prédire analytiquement les récits des médias sociaux à un stade embryonnaire avant que ces récits n’évoluent et ne gagnent du terrain. Accrete est fier de soutenir la mission de l'USSOCOM.
Il s’agit de prédire les mauvaises pensées sur les réseaux sociaux. Mais le contrôle d’Internet n’est qu’une partie d’un programme plus vaste de domination, de surveillance et de gestion des protestations et des dissidences.
Le récent article en ligne « Comment le gouvernement arme la surveillance pour faire taire ses critiques » note que, chaque jour, la personne moyenne aux États-Unis est surveillée, espionnée et traquée de plus de 20 manières différentes .
RépondreSupprimerLes auteurs de l'article nous demandent de réfléchir à certaines des façons dont le gouvernement américain utilise ses technologies de surveillance pour signaler les citoyens comme une menace à la sécurité nationale , qu'ils aient ou non fait quelque chose de mal – depuis le signalement des citoyens comme un danger en fonction de leurs sentiments. , téléphone et déplacements vers leurs activités de dépenses, leurs activités sur les réseaux sociaux, leurs opinions politiques et leur correspondance.
L’élite a déterminé que la menace existentielle, c’est vous. L'article « Coûts de la guerre : Peterloo », écrit par Aly Renwick, membre de l'association britannique Veterans for Peace, détaille l'histoire de la répression brutale des manifestants par les dirigeants britanniques. Il élimine également toute idée que certains pourraient avoir d’une élite dirigeante actuelle, inoffensive et de tendance démocratique. Le léopard n'a pas changé ses taches.
Comme nous l’avons vu pendant la COVID, l’idée est que les droits durement acquis doivent être restreints, que la liberté d’association est imprudente, que la libre pensée est dangereuse, que la dissidence doit être piétinée, que la science impartiale est une menace et que la liberté d’expression est mortelle. Le gouvernement est « la vérité », Fauci (ou un personnage similaire) est « la science » et la censure est pour votre propre bien.
Rien de tout cela n’était justifié. Cela ne commence à avoir un sens que si l’on considère les restrictions liées au COVID dans le sens d’une tentative de faire face à une crise économique en fermant l’économie mondiale sous le couvert d’une crise de santé publique (voir les articles en ligne « De quoi s’agissait-il réellement avec le Covid ? Déclencher une crise multiple ») . - Crise de la dette mondiale d'un billion de dollars » et « Italie 2020 : à l'intérieur du point zéro de Covid » qui décrivent comment les politiques liées au COVID peuvent être expliquées par des facteurs économiques et non par des problèmes de santé).
La crise économique appauvrit de nombreuses personnes ; elles doivent donc être contrôlées, surveillées et soumises.
Les transitions mentionnées au début de cet article ainsi que le programme de surveillance (connus ensemble sous le nom de « Grande Réinitialisation ») s'accélèrent en cette période de crise économique où d'innombrables millions de personnes en Occident s'appauvrissent. L' effondrement du système financier entraîne une crise mondiale interdépendante de la dette, de l'inflation et de « l'austérité », ainsi que le plus grand transfert de richesse vers les riches de l'histoire.
En conséquence, les pouvoirs en place craignent que les masses ne reprennent leurs fourches et ne se révoltent. Ils insistent sur le fait que les paysans doivent connaître leur place.
https://www.globalresearch.ca/meet-new-normal-still-enemy-within/5831748
Mensonges, foutus mensonges et le Sierra Club
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 23 SEPTEMBRE 2023 - 21H55
Rédigé par Tucker Davis via RealClear Wire,
Récemment, le Sierra Club a répandu un récit manifestement faux selon lequel les pannes d'électricité répétées survenues lors de la tempête hivernale Elliott dans le Kentucky le 23 décembre étaient le résultat de l'incapacité des centrales électriques au charbon à répondre à la demande. Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité.
En réalité, c’est le parc de production d’électricité au charbon restant de la région qui s’est intensifié pour répondre à la demande pendant le gel profond qui a ravagé la région en décembre.
Oui, les services publics combinés du Kentucky, LG&E et KU, ont été contraints d'instaurer des pannes d'électricité progressives à partir de 18 heures. à 22 heures dans la soirée du 23 décembre. Mais ce n’était pas dû à la panne de notre capacité de production au charbon. En fait, pendant ces pannes successives, leurs unités combinées au charbon – totalisant 5 100 MW de capacité – ont fonctionné à un facteur de capacité collective de 90 % et ont fourni plus de 70 % de l’énergie nécessaire pour empêcher notre réseau électrique de tomber en panne totale. Sans nos centrales au charbon, il est probable que l’ensemble du réseau se serait effondré au moment même où il était le plus nécessaire pour fournir la chaleur dont dépendait la vie du Kentucky.
C’est exactement la raison pour laquelle la Kentucky Coal Association s’oppose à la fermeture de toutes nos unités de production de charbon restantes, comme l’ont demandé LG&E et KU. La fiabilité électrique est une question cruciale ; il ne faut pas le sacrifier à des considérations politiques.
Si les 1 500 MW d'unités au charbon dont les sociétés ont demandé l'autorisation de se retirer n'avaient pas été disponibles pendant la période critique du 23 décembre, la panne de courant aurait sans aucun doute été bien pire et des vies auraient été perdues. Est-ce que c'est ca ce que nous voulons? Est-ce ce que veut le Kentucky ? Est-ce ce que veulent les Américains ?
Êtes-vous prêt à jouer la vie de vos proches sur la chaîne de Ponzi des énergies renouvelables ? Êtes-vous prêt à accepter les fausses promesses creuses et avérées de la « Big Green Money Machine » ?
La production d’électricité au charbon est une technologie éprouvée. Pendant des générations, il a répondu aux demandes de la puissance économique croissante qu’était l’Amérique, sans problèmes et sans appels à des pannes d’électricité à répétition. Par tous les temps, les trains de charbon roulaient, chaque train livrant 10 000 tonnes de charbon fiable et abordable aux centrales électriques de tout le pays.
La réalité est simple et facile à voir… ce n’est que lorsque le lobby vert et ses amis à Washington ont commencé leur attaque incessante contre la production de charbon – en fermant des milliers de MW de centrales électriques au charbon et en les remplaçant par des centrales solaires et éoliennes – que ces problèmes ont commencé. , et ils empirent de jour en jour.
Apparemment, le Sierra Club vit dans un monde orwellien étrange où le haut est le bas et la gauche est la droite, où la « réalité » est ce qu'ils décident d'être. Heureusement, la plupart des gens ne vivent pas dans ce monde. Nous vivons dans un monde limité par la réalité objective – un monde où les gens ont besoin d’une énergie fiable, et non de poussière de fée et de paillettes de lutin. Et nous n’apprécions pas les mensonges flagrants.
Cependant, cela a accompli une chose : cela a mis à nu le mépris du Sierra Club envers l’Américain moyen. Cela montre clairement qu’ils croient pouvoir tromper les familles américaines.
Chaque jour, des milliers de personnes travaillant dans l’industrie minière retroussent leurs manches et travaillent dur pour le bénéfice de tout le Kentucky – oui, même de ceux qui souhaitent détruire leurs entreprises. Même les membres du Sierra Club, l’opposant le plus ardent de l’industrie, bénéficient grandement d’une électricité fiable et abordable. Ces gens ne reconnaîtront jamais le fait que de nombreuses communautés bénéficient de bons salaires, de stabilité et de croissance économique grâce au charbon. La politique énergétique ne se résume pas à de vagues espoirs et rêves d’un « avenir vert », de vies réelles et d’emplois réels.
RépondreSupprimerAinsi, une fois de plus l’hiver dernier, le charbon a permis à la population du Kentucky de continuer à s’éclairer. Le charbon nous gardera en sécurité et au chaud, que nous assistions aux pires tempêtes de neige jamais enregistrées ou à une légère rafale de neige. Et rappelez-vous, les centrales au charbon qui devaient être mises hors service fournissaient un tiers de la production de charbon qui a empêché notre réseau électrique de tomber en panne complète et totale.
Tucker Davis est président de la Kentucky Coal Association.
https://www.zerohedge.com/energy/lies-damn-lies-and-sierra-club
L'empereur des aliments ultra-transformés est nu
RépondreSupprimer23 Septembre 2023
Chuck Dinerstein, ACSH*
Selon le discours commun, les aliments ultra-transformés sont mauvais, malsains et contre nature. Mais une nouvelle étude, en sens contraire, publiée dans le Journal of Nutrition démontre qu'un régime contenant 91 % d'aliments ultra-transformés est bien plus sain que le régime américain typique et, tenez-vous bien, bien aligné sur les Dietary Guidelines for Americans (directives diététiques pour les Américains). Lorsqu'il s'agit de faire honte et de blâmer les aliments ultra-transformés (AUT), l'empereur est nu.
L'étude s'est attachée à créer un menu de 7 jours d'environ 2.000 calories conforme aux Dietary Guidelines for Americans (DGA), tout en fournissant plus de 80 % de ses calories à partir d'aliments ultra-transformés (AUT). Les définitions de ce qui constitue un aliment ultra-transformé sont basées sur la classification NOVA, qui est peut-être la définition la plus largement utilisée des aliments en fonction de leur transformation[1].
Les chercheurs ont d'abord identifié les aliments qui reflétaient à la fois les recommandations de la DGA et nos choix alimentaires typiques. Les dernières données proviennent d'une compilation des choix alimentaires de la National Health and Nutrition Examination Survey (NHANES). Les dix catégories les plus consommées ont donné 200 aliments différents. Les aliments définis par NOVA comme ultra-transformés ont ensuite été utilisés pour créer ce régime de 7 jours. Un exemple de régime se trouve à la fin de cet article.
- voir graph sur site -
91 % de toutes les calories de ce régime sont des AUP.
22 % des calories proviennent des protéines, 54 % des glucides et le reste des graisses.
Le régime respecte les recommandations en matière de graisses saturées et de sucres ajoutés.
Les seuls nutriments dont la teneur est inférieure aux recommandations sont les vitamines D et E.
La qualité de l'alimentation a été mesurée par l'indice 2015 de l'alimentation saine [2]. Le score était de 86, ce qui équivaut à un "B". À titre de comparaison, les scores les plus bas sont « moins bons pour la santé », et le score moyen des Américains en matière d'alimentation est de 56. (D+ ?)
« NOVA n'est pas utile pour déterminer le caractère sain des aliments individuels ou des régimes alimentaires lorsque les recommandations actuelles de la DGA sont utilisées comme contexte pour indiquer le caractère sain. [...] Les scores NOVA ne sont pas des marqueurs indirects de la qualité de l'alimentation. »
RépondreSupprimerCette citation est tirée de la discussion de l'étude par ses auteurs. Cela devrait mettre fin au mythe selon lequel la valeur nutritive des aliments dépend de la façon dont ils sont ou ne sont pas transformés, mais ce n'est pas le cas. Comme le soulignent les auteurs de l'étude, d'après des enquêtes menées auprès du public américain,
20 % « pensent qu'une transformation minimale est un déterminant important d'une alimentation saine », 39 % pensent que les aliments sans ingrédients artificiels sont « quelque peu ou fortement susceptibles d'être plus sains qu'un produit qui contient des ingrédients artificiels ».
Conformément à l'effet Dunning-Kruger, selon lequel les personnes ayant de faibles connaissances dans un domaine particulier ont tendance à surestimer leurs compétences, 52 % des personnes interrogées « indiquent qu'elles connaissent les DGA ».
L'indice moyen d'alimentation saine pour les Américains reste obstinément à 59 et « n'a pas changé de manière substantielle » depuis son élaboration en 1995.
« Il est peu probable que le fait d'encourager les Américains à éviter les AUT améliore la qualité de leur alimentation. »
Près de trois décennies de cajoleries, d'étiquetage, de taxes, d'éducation, de blâme et de honte n'ont pas rapproché le régime alimentaire américain des lignes directrices. Notre Institut National de la Santé est le principal bailleur de fonds de la recherche nutritionnelle, avec un budget de 1,9 milliard de dollars en 2020. En avons-nous vraiment pour notre argent ?
______________
[1] Les aliments sont considérés comme non transformés ou peu transformés, comme des ingrédients culinaires, comme des aliments transformés ou ultra-transformés. Pour en savoir plus sur NOVA, cliquez ici.
[2] Le Healthy Eating Index (HEI) est un système de notation mis au point par le Département Américain de l'Agriculture pour déterminer dans quelle mesure les choix alimentaires sont conformes aux recommandations diététiques.
- voir tableau sur site -
https://seppi.over-blog.com/2023/09/l-empereur-des-aliments-ultra-transformes-est-nu.html
Journalisme pachydermique à la Dépêche du Midi
RépondreSupprimer24 Septembre 2023
La dissémination des bêtises illustrée
- voir schéma sur site -
Le résumé de l'article scientifique en image
Nos pérégrinations cybernétiques nous ont amené à un article de la Dépêche du Midi du 5 septembre 2023, « Des sangliers radioactifs dans le centre de l'Europe : une étude alerte sur les risques liés à la consommation des pachydermes ».
Voilà un journaliste – dont nous tairons le nom par charité – qui a voulu faire de la littérature et qui s'est lourdement trompé... Un éléphant, ça trompe, ha ! ha! ha !
Mais tout le monde peut se tromper. C'est même arrivé à de grands auteurs, à des hommes politiques et, bien plus souvent, à des candidats au bac.
La rédaction aurait pu rectifier dès le premier commentaire hilare. Elle n'a pas fait ce qui aurait bénéficié autant à son auteur qu'à ses lecteurs.
En fait, c'est tout l'article qui pose problème. Voici « l'essentiel » selon un encadré :
« Des scientifiques affirment que de nombreux sangliers qui prolifèrent en Europe centrale sont radioactifs. La faute entre autres à la catastrophe de Tchernobyl en 1986 mais aussi aux essais nucléaires qui ont été réalisés dans cette région au siècle dernier. »
Nous n'avons pas souvenir d'essais nucléaires en Europe centrale au siècle dernier...
Comme dans un jeu dont le nom usuel n'est plus utilisable présentement – qui consiste à se passer un message en chuchotant, puis à comparer le message initial et le message final –, l'auteur s'est fondé sur un article de Popular Mechanics, « The Wild Pigs of Europe Are Highly Radioactive Because of Chernobyl, Study Says » (selon une étude, les cochons sauvages d'Europe sont hautement radioactifs à cause de Tchernobyl).
Notons : ce n'est pas exactement le sens de l'article scientifique qui a servi de base (voir ci-dessous).
En sous-titre : « Don't eat them », ne les mangez pas... très bon conseil pour des États-Uniens qui doivent avoir du sanglier bavarois dans toutes les supérettes !
Cet article est d'un auteur dont le mini-CV figurant à la fin de sa prose ne fait pas état de compétences particulières... « Il couvre les stades, les chaussures de sport, les équipements, les infrastructures et bien d'autres choses encore pour diverses publications, dont Popular Mechanics. » Non, cela n'a pas eu l'air d'émouvoir notre journaliste de la Dépêche... Ni du reste le fait que Popular Mechanics se soit aventuré à publier un article qui ne relève pas de son domaine.
RépondreSupprimerEt ceTim Newcomb a (aurait ?) pris ses informations dans un article scientifique, « Disproportionately High Contributions of 60 Year Old Weapons-137Cs Explain the Persistence of Radioactive Contamination in Bavarian Wild Boars » (des contributions disproportionnées de 137Cs d'armes datant de 60 ans expliquent la persistance de la contamination radioactive chez les sangliers bavarois) de Felix Stäger, Dorian Zok, Anna-Katharina Schiller, Bin Feng et Georg Steinhauser.
Ces chercheurs sont de l'Institut de Radioécologie et de Radioprotection, et de l'Institut de Chimie Inorganique, de l'Université Leibniz de Hanovre, et de l'Institut de Chimie Synthétique Appliquée de l'Université Technique de Vienne.
Leur ouvrage a été publié dans Environmental Science & Technology, une revue publiée l'American Chemical Society. Notre plumitif états-unien attribue – donc ! – l'étude à des chercheurs de l'ACS...
Chez nous, c'est :
« Des sangliers radioactifs, eu Europe centrale. C'est le constat qui est dressé par la Société américaine de chimie (ACS). Dans une étude publiée mercredi 30 août dernier et partagée dans le magazine américain Popular Mechanics, la structure affirme que de nombreux pachydermes sont contaminés à des niveaux "significatifs" au césium, un résidu des explosions d'armes atomiques. »
L'Europe centrale plutôt que la Bavière... L'étude qui est maintenant de l'ACS... L'étude qui est « partagée » – whatever that means – par un magazine de mécanique... Des sangliers qui deviennent des pachydermes... Des niveaux « significatifs », sans qu'on sache ce que cela signifie... Tchernobyl passé à l'as...
N'en jetons plus... Euh si !
Il y aurait eu des « essais nucléaires [...] entre les années 1960 et 1990 dans cette région »... et même des « essais nucléaires réalisés en 1939 sur le sol allemand [qui] seraient à l'origine de 68 % des contaminations de sangliers en Europe centrale. »
En fait, les 68 % sont un chiffre maximum.
- voir carte sur site -
Les zones de prélèvement d'échantillons avec indication du niveau de contamination des sols.
Les auteurs de l'étude ont sans nul doute élargi les connaissances sur les contaminations par le césium radioactif. Voici le résumé de leur article (découpé) :
« Les radionucléides libérés lors d'accidents ou d'explosions nucléaires constituent une menace à long terme pour la santé des écosystèmes. La contamination des sangliers en Europe centrale, connue pour ses niveaux élevés et persistants de 137Cs, en est un exemple frappant. Toutefois, en l'absence d'une identification fiable de la source, l'origine de ce problème vieux de plusieurs décennies reste incertaine.
Ici, nous ciblons la contamination au radiocésium chez les sangliers de Bavière. Nos échantillons (2019-2021) contiennent de 370 à 15.000 Bq.kg-1 de 137Cs, dépassant jusqu'à 25 fois les limites réglementaires (600 Bq.kg-1).
RépondreSupprimerEn utilisant une nouvelle empreinte nucléaire médico-légale, 135Cs/137Cs, nous avons distingué différents héritages de sources de radiocésium dans leur composition. Tous les échantillons présentent des signatures de mélange de retombées de Tchernobyl et d'armes nucléaires, avec des rapports 135Cs/137Cs allant de 0,67 à 1,97.
Bien que Tchernobyl soit largement considéré comme la principale source de 137Cs dans les sangliers, nous constatons que les 137Cs "anciens" provenant des retombées d'armes nucléaires contribuent de manière significative au niveau total (10-68 %) dans les échantillons qui dépassent la limite réglementaire.
Dans certains cas, le 137Cs des armes peut à lui seul entraîner des dépassements de la limite réglementaire, en particulier dans les échantillons dont les niveaux de 137C totaux sont relativement faibles.
Nos résultats montrent que la superposition d'héritages anciens et récents de 137Cs peut dépasser de loin l'impact d'une source unique mais dominante, soulignant ainsi le rôle critique des rejets historiques de 137Cs dans les défis environnementaux actuels. »
Les résultats des analyses
- voir graph sur site -
Cet article mérite sans doute une analyse plus fine. Donner des chiffres sur une sous-population (les sangliers qui dépassent les limites réglementaires) plutôt que sur la population dans son ensemble nous semble relever de la démarche militante.
Il nous sera bien difficile d'analyser les conséquences sanitaires de la contamination. Wikipedia a un article détaillé sur le césium 137. Les normes européenne et japonaise sont actuellement de 600 et 500 Bq/kg, respectivement pour la venaison et la viande d'animaux d'élevage.
La Dépêche nous apprend que :
«Selon les chercheurs, cela s'explique en partie grâce aux habitudes alimentaires des sangliers qui se nourrissent généralement de champignons et de truffes souterraines. Ces aliments sont en réalité de véritables "éponges" à radioactivité. »
Des « truffes souterraines » ? La Dépêche nous prend ici pour des truffes...
https://seppi.over-blog.com/2023/09/journalisme-pachydermique-a-la-depeche-du-midi.html
Guerre nucléaire mondiale et pandémies mises en scène : Michel Chossudovsky et Mike Adams
RépondreSupprimerPar le professeur Michel Chossudovsky et Mike Adams
Recherche mondiale,
23 septembre 2023
Nous sommes actuellement au carrefour de la crise économique et sociale la plus grave de l’histoire mondiale. Il s’agit d’une guerre pure et simple contre l’humanité toute entière : les 8 milliards d’habitants de la planète.
Débutée par la crise du coronavirus fin janvier 2020, la crise mondiale (2020-2023) – qui se poursuit – a littéralement perturbé et détruit la vie des gens dans le monde entier au cours des trois dernières années.
En retour, les dangers d’une Troisième Guerre mondiale sont régulièrement occultés par les médias. Un monde de fantaisie imprègne les grands médias qui soutiennent tacitement la conduite d’une guerre nucléaire comme un effort de rétablissement de la paix.
Tout est lié : la guerre en Ukraine, la censure et les dérogations aux droits fondamentaux, les confinements et le « vaccin tueur » du Covid-19, les gouvernements corrompus, … (Michel Chossudovsky)
Cette interview aborde les complexités de cette crise mondiale.
Publié pour la première fois le 15 septembre 2023
Cliquez ici pour accéder à la vidéo sur Brighteon.com et/ou laisser un commentaire!
https://www.globalresearch.ca/global-nuclear-war-and-staged-pandemics-michel-chossudovsky-and-mike-adams/5832671
Perspectives structurelles haussières pour le pétrole et économie américaine
RépondreSupprimerle 23 septembre 2023
La volatilité des prix du pétrole s’est effondrée, ce qui implique une complaisance à l’égard des prix. Cependant, la combinaison d’une forte demande structurelle de l’Inde et de la Chine par rapport à l’offre marginale, tirée par la production de schiste des États-Unis, est un catalyseur de la hausse des prix. La résilience actuelle de l’économie américaine a maintenu les stocks de pétrole brut et de distillats à un niveau peu élevé. La vigueur des prix du pétrole n’est pas nécessairement inflationniste à long terme. À court terme, le pétrole supérieur à 100 $ ferait éclater les attentes d’inflation, mais à plus long terme, les prix élevés du pétrole sont un choc relatif des prix et un choc de croissance. L’inflation acyclique (tirée par l’offre) n’était pas corrélée aux prix du pétrole, avant l’épidémie de coronavirus. Cette corrélation a augmenté depuis 2020, probablement en raison de chocs ponctuels de l’offre liés à la pandémie qui s’estompent, puisque l’énergie joue maintenant un rôle moins important dans le panier de consommation des États-Unis qu’auparavant. Et pourtant l’indice de l’inflation utilisé par la FED, le Core PCE (Personal Consumption Expenditure Index) hors nourriture et énergie, est devenu fortement corrélé à celui du prix du baril de WTI (West Texas Intermediate) :
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Le contexte économique américain ressemble à un atterrissage en douceur… pour l’instant. Le discours actuel du marché est également bénin. Le resserrement des écarts de taux des titres à rendement élevé, le ratio actions-obligations et la récente sur-performance des titres cycliques par rapport aux titres défensifs stimulent la croissance résiliente à l’escompte, ce qui est troublant, compte tenu du resserrement considérable de la politique monétaire. Les bénéfices nominaux et les multiples p/e ont été exceptionnellement forts dans un contexte de taux élevés, ce qui est en contradiction avec l’expérience historique.
Comment la croissance américaine a-t-elle résisté à la politique de plus en plus restrictive de la Fed ?
1) L’expansion budgétaire a été vigoureuse, compte tenu de la hausse du solde budgétaire primaire (déficit plus important hors paiements d’intérêts), qui a annulé l’effet restrictif de la hausse des taux d’intérêt (habituellement, les politiques budgétaire et monétaire sont alignées). Les recettes de l’impôt sur les gains en capital aux États-Unis se sont effondrées en 2022 (faiblesse du volume des marchés), tout comme les dépenses nettes ont augmenté grâce à l’infrastructure, à la réduction de l’inflation et à la législation sur les puces.
2) La croissance de la productivité est en moyenne revenue à la hausse après un effondrement lié à la pandémie. Depuis, cette tendance a gonflé la croissance.
3) Un mini-boom des dépenses d’investissement dans le secteur manufacturier s’est produit au cours des deux dernières années, lié à l’étaiement (le rattrapage du retard conséquence de la pandémie). Ces trois facteurs ne sont pas touchés par des taux plus élevés lorsqu’ils sont dictés par la politique gouvernementale (subventions), plutôt que par le secteur privé en vase clos.
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RépondreSupprimerLes taux réels aux États-Unis ont augmenté davantage pour contrer la croissance budgétaire. Les taux des TIPS américains à 10 ans ont dépassé la juste valeur de 3 sigma [TIPS = Treasury Inflation-Protected Securities, c’est-à-dire des T-bonds dont le taux est indexé sur le taux d’inflation]. De plus, la corrélation entre le prix des actions et celui des obligations est généralement positivement corrélée en période d’inflation, mais au cours de la dernière année, les actions ont progressé malgré des rendements plus élevés (prix des obligations plus faibles). L’expansion budgétaire a été bonne pour la croissance (et donc les bénéfices/actions), mais la même dynamique a également fait grimper les taux.
Quelle est la viabilité de la croissance aux États-Unis ? L’orientation budgétaire (le taux de variation du déficit primaire) devrait s’estomper après la récente flambée. Le vent arrière qui avait été prévu pour le PIB disparaîtra alors. Dans six mois, les rendements réels finiront par être beaucoup trop élevés pour une croissance économique concomitante (si les mesures de relance budgétaire sont progressivement retirées, comme nous nous y attendons). De plus, le resserrement de la politique de la Fed a un impact sur la croissance avec un long décalage. Nous sommes maintenant 18 mois après le début de la campagne de resserrement de la Fed. Depuis, l’inflation attribuable à l’offre s’est normalisée, mais les composantes cycliques de l’inflation (les composantes les plus sensibles aux taux d’intérêt) viennent tout juste de se renverser et sont beaucoup plus baissières, de sorte que l’inflation globale pourrait chuter plus rapidement et plus loin que prévu actuellement, cela entraîne une demande globale plus faible. Le scénario d’atterrissage en douceur est donc à risque si ou lorsque la poussée budgétaire s’estompe, auquel cas une légère récession est probablement due à une politique monétaire extrêmement restrictive.
Répartition de l’actif – atténuer la hausse des actions. Dans trois à six mois, les obligations pourraient sur-performer les actions. Nous sommes plus près d’un point d’étranglement pour les actions où les rendements obligataires élevés constituent une contrainte à l’expansion du ratio cours/bénéfice.
Répartition régionale des actions – sur-pondération des États-Unis. Sans soutien budgétaire, les économies non américaines sont en difficulté – le Canada, la zone euro et la Chine se heurtent à un mur. Le Japon est une exception. Le pays a une courbe des taux positivement inclinée, ce qui renforce la rentabilité des banques japonaises, mais la devise devrait être couverte. Le yen est très bon marché en raison de la divergence massive de la politique monétaire (le Japon gardant les taux ancrés), tandis que le reste du monde se resserre.
Perspectives pour l’Europe ? L’Europe n’a pas bénéficié d’une expansion budgétaire ou d’une reprise de la productivité. La stagflation est donc une dure réalité. Il est difficile d’être trop haussier sur les actions européennes parce que la BCE est coincée entre une croissance plus faible et une inflation sous-jacente toujours collante. De plus, l’euro est vulnérable à une période de vigueur du dollar américain, compte tenu de l’orientation budgétaire, du manque d’argent aux États-Unis et de la faiblesse de la Chine. Le contexte macroéconomique de l’euro est haussier.
Des risques sur 12 à 18 mois ? Un ralentissement économique mondial synchronisé. Le nirvana du PIB américain touche à sa fin. La Chine reste atone en raison de l’épargne excessive chronique du secteur privé et de la politique budgétaire avare, qui sont toutes deux haussières des obligations, car la Chine exporte des pressions déflationnistes à l’échelle mondiale. L’Europe est redevable aux États-Unis et à la Chine, compte tenu de leur orientation vers l’exportation. L’équilibre des risques d’inflation est à la baisse, et non à la hausse, car l’impact d’un resserrement monétaire agressif commence tout juste à se manifester comme une contrainte sur l’activité économique dans le G10.
Les matières premières et le dollar américain. Les rendements réels élevés, la vigueur du dollar américain et la faiblesse de l’économie chinoise ne constituent pas un contexte cyclique favorable pour les prix des ressources. Les prix des produits de base sont expliqués 1/3 par le dollar (vent de face), 1/3 par la demande (vent de face) et 1/3 par l’offre (vent de dos). Le dollar américain restera bon tant que l’économie chinoise ne montrera pas de signes de reprise durable. Cependant, pour mettre les choses en contexte, la toile de fond structurelle pour les produits de base est plus haussière en raison de la discipline de production et des contraintes d’investissement sur l’offre future. Source. Alpine Macro : David Abramson et Chen Zhao
RépondreSupprimerCommentaire de votre serviteur. Cet exposé très technique ne permet pas de prévoir une évolution de l’économie américaine. La situation géopolitique n’a pas été abordée malgré le fait que son influence sur l’économie ne peut pas être négligée. La consolidation de l’organisation des BRICS+ et l’extension des membres de l’Organisation de Coopération de Shanghaï (OCS) n’ont pas été abordées. L’analyse ne concerne que l’évolution des taux aux USA. Je me hasarderai à commenter le premier graphique figurant dans cet article malgré ma totale méconnaissance des mécanismes complexes de l’économie et de la finance. Jusqu’à l’année 2020 l’indice de l’inflation (core PCE, échelle de droite) était indépendant de l’évolution du prix du baril de pétrole (WTI, échelle de gauche). L’évolution « dramatique » du cours du WTI précédant la crise de 2008 n’eut que peu d’effet sur l’inflation. La chute du cours du pétrole consécutive à la crise des « sub-primes » suivie d’une remontée progressive n’affecta que très modérément le taux d’inflation qui est resté remarquablement stable pendant les 20 années analysées sur ce graphique. Dès l’année 2020 une surprenante décorrélation entre ces deux indices apparaît. Laissons de côté la pandémie coronavirale et considérons qu’il existait des causes sous-jacentes provoquant cette décorrélation. Toutes sortes de facteurs ont été évoquées, depuis les confinements jusqu’à la pénurie de pièces détachées pour l’industrie automobile. Bien qu’étant un béotien dans le domaine de la finance, je pencherais sur un découplage entre le dollar « domestique » c’est-à-dire le billet vert utilisé aux Etats-Unis et le dollar monnaie de réserve internationale. Qu’elle soit appelée euro-dollar ou pétro-dollar cette monnaie de réserve, ou de référence pour les échanges internationaux, n’est plus adossée à un quelconque actif tangible comme ce fut le cas avant l’abandon de la parité entre le dollar et l’or par le Président Nixon. La confiance internationale s’est effritée et la masse de dollars astronomique qui circulent dans le monde est devenue un facteur d’inflation non maitrisable. Le gouvernement américain pourra décider de toutes sortes de mesures comme l’« Inflation Reduction Act » la perte de confiance en ce billet vert doit être actée, c’est un fait nouveau qui va rebattre les cartes plus rapidement qu’on ne l’imagine. Un fait révélateur est le mutisme des autorités américaines lorsque le Prince héritier Mohamed bin Salman a décidé d’être payé en renminbi pour ses ventes de pétrole à la Chine. Pour avoir envisagé un tel comportement Saddam Hussein et Mouammar Kadhafi ont payé de leur vie leurs tentatives de dédollarisation de leur pétrole. Les Américains ne feront rien contre MBS, ni contre la Chine …
Comme l’indique clairement le second graphique la baisse des taux réels des T-bonds reflète une tendance qui explique l’attitude hésitante des investisseurs. Compte tenu des statistiques de l’endettement des ménages américains l’indice de l’inflation officiel conduit à un taux appliqué au découvert des cartes de crédit de l’ordre de 10 % au minimum. Cet indice montre que la masse monétaire (M1) se resserre. Par voie de conséquence la croissance économique se trouve donc, contrairement à l’optimisme des analystes de Alpine Macro, condamnée à ressembler à un feu de paille de courte durée. Par des artifices complexes mis en place par la FED pour masquer cette fragilité de l’économie américaine tout semble aller pour le mieux, ce qui n’est pas le cas. Les Etats-Unis, comme l’Europe occidentale, entrent dans une période de « stagflation », la pire situation qui puisse être imaginée par un économiste. Seuls de graves troubles sociaux obligeront les gouvernements à imaginer des mesures pour sortir de ce piège qui va ruiner les rentiers et les salariés. Le secteur public suivra cette paupérisation car les Etats sont tous endettés. Il n’y a donc aucune raison d’être optimiste. Pour rappel le gouvernement français a décidé d’émettre des bonds du Trésor au taux indexé sur l’inflation équivalents aux TIPS (cf. supra). Le gouvernement français aurait-il parié sur une baisse du taux d’inflation ? Pourtant le taux tangible de l’inflation du panier de la ménagère, énergie et nourriture compris, atteint 10 % en France et dans d’autres pays comme l’Italie ou la Grèce. Nous sommes entrés dans une économie virtuelle … et ce sont les BRICS+ qui se trouvent maintenant dans la réalité. Les temps vont devenir difficiles pour les Occidentaux.
RépondreSupprimerNote additionnelle. Selon la presse américaine pratiquement la totalité des constructeurs de véhicules automobiles américains sont paralysés par une grève et selon les dernières informations ce mouvement de grève de grande ampleur serait provoqué par l’appel de la Maison-Blanche à orienter dans l’urgence une production de guerre dans l’éventualité d’une intervention américaine directe en Ukraine …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/09/23/perspectives-structurelles-haussieres-pour-le-petrole-et-economie-americaine/
L'Allemagne importe du gazole russe – via l'Inde
RépondreSupprimer24 Septembre 2023
Olaf Zinke, AGRARHEUTE*
Les pays occidentaux ont également mis en place un plafonnement des prix du pétrole russe, dont l'objectif est de ne pas dépasser 60 dollars pour le pétrole russe. Actuellement, le prix du pétrole russe de l'Oural est de 77,7 dollars le baril. Il s'agit du niveau le plus élevé depuis dix mois.
L'Allemagne importe des quantités considérables de pétrole russe via l'Inde. Plus précisément du gazole, le principal précurseur du diesel et du mazout. C'est en tout cas la conclusion que l'on peut tirer des chiffres actuels de l'Office Fédéral de la Statistique. Les importations en provenance d'Inde ont été multipliées par douze.
Les importations allemandes de produits pétroliers en provenance d'Inde ont été multipliées par douze au cours des sept premiers mois de l'année 2023 par rapport aux mois correspondants de 2022. Ces importations en provenance d'Inde étaient principalement des gazoles utilisés pour la production de diesel et de mazout.
Les données actuelles de l'Office Fédéral de la Statistique montrent que les importations de produits pétroliers en provenance d'Inde ont été multipliées par plus de douze au cours des sept premiers mois de cette année par rapport à la même période de l'année précédente.
Les importations allemandes de produits pétroliers en provenance d'Inde ont été multipliées par 12, passant de seulement 37 millions d'euros au cours des sept premiers mois de 2022 à une valeur de 451 millions d'euros de janvier à juillet 2023 (+1.127,4 %), soit 2,4 % de toutes les importations allemandes de produits pétroliers au cours de cette période.
Ces importations en provenance d'Inde étaient principalement des gazoles utilisés pour la production de diesel et de mazout.
Parallèlement, selon la base de données Comtrade des Nations Unies, l'Inde importe de grandes quantités de pétrole brut de Russie depuis le début de la guerre d'agression russe en Ukraine. Le pétrole brut est la matière première de base pour la production de gazole.
Le plafonnement des prix du pétrole de l'Oural ne fonctionne pas non plus
- voir graph sur site -
Actuellement, le prix du pétrole russe de l'Oural est de 77,7 USD le baril. Il s'agit du niveau le plus élevé depuis dix mois.
Les pays occidentaux ont également introduit un plafonnement des prix du pétrole russe, l'objectif étant de ne pas dépasser 60 dollars pour le pétrole russe. Actuellement, le prix du pétrole russe de l'Oural est de 77,7 dollars le baril.
Il s'agit du niveau le plus élevé depuis dix mois, après que la Russie a annoncé la semaine dernière qu'elle réduirait volontairement ses livraisons de pétrole de 300.000 barils par jour jusqu'en décembre.
En outre, l'Arabie Saoudite avait annoncé qu'elle prolongerait sa réduction unilatérale de production d'un million de barils par jour jusqu'à la fin de l'année.
En août, les livraisons russes de pétrole de l'Oural à l'Inde représentaient environ 74 % des livraisons totales de la Russie, tandis que la Turquie et la Chine représentaient respectivement 12 % et 7 %, rapportent les analystes de tradingeconomics.
RépondreSupprimerDepuis le 10 juillet, le prix a dépassé le plafond de 60 dollars le baril fixé en décembre par l'Union Européenne, les pays du G7 et l'Australie.
Analyste : l'Allemagne achète du pétrole russe
M. Georg Zachmann, du think tank Bruegel à Bruxelles, a déclaré à l'AFP à propos de l'évolution des importations de pétrole en provenance d'Inde qu'il était « très plausible que l'Allemagne et d'autres pays européens achètent implicitement du pétrole russe », rapporte tageschau.de.
Dès qu'une route commerciale directe est bloquée, le marché est en mesure de « l'équilibrer indirectement ». Même si l'origine exacte du pétrole brut est « dissimulée », il est « probablement russe ».
M. Zachmann estime en outre qu'il est « peu probable » que l'embargo de l'UE « réduise considérablement les exportations de pétrole russes ». Concernant le plafonnement des prix, l'expert a déclaré que la Russie exportant globalement de très grandes quantités de pétrole, « ses revenus restent très élevés ».
L'Allemagne a en fait cessé ses importations directes de pétrole en provenance de Russie en raison de la guerre en Ukraine.
https://seppi.over-blog.com/2023/09/l-allemagne-importe-du-gazole-russe-via-l-inde.html
De la pénurie de baleines à l’essor de l’automobile
RépondreSupprimerLa raison pour laquelle nous roulons en voiture à essence provient d’une pénurie de baleines.
le 24 septembre 2023
François Jolain
Article disponible en vidéo ici.
L’innovation ne peut guère être planifiée, encore moins par un État. Par exemple, la raison pour laquelle nous roulons en voiture à essence provient d’une pénurie de baleine.
Pétrole, un éternel remède
L’humanité utilise le pétrole depuis l’Antiquité. Son mode d’extraction est particulièrement laborieux. Comme son origine grecque l’indique, pétrole signifie « huile de roche ». Certaines roches transpirent cette mystérieuse huile, ce qui donne des boues bitumineuses.
Le pétrole est donc un produit de luxe compliqué à trouver. En 1860 aux États-Unis, il est surtout à l’origine de nombreux remèdes vendus par des charlatans, promettant 95 % d’efficacité…
Les humains préfèrent utiliser l’huile de baleine pour alimenter leurs lampes, et notamment les phares.
Problème : la surpêche de baleines a raréfié le cétacé. La pénurie guette.
C’est alors qu’un certain Edwin Drake décida de forer le pétrole en Pennsylvanie. Il eut l’intuition que le pétrole se trouvait dessous, prêt à jaillir. Le 27 août 1859, il fora son premier puits de pétrole. L’or noir jaillit de la terre. Avec son seul puits, il venait de multiplier par deux la production mondiale de pétrole.
Cette ressource a permis à toute la région de s’enrichir, excepté Drake. N’ayant mis ni son forage ni son derrick sous brevet, la concurrence le mit sur la paille.
Un moteur pour cette énergie bon marché
Autour du charbon, James Watt a conçu la première machine à vapeur. De tels moteurs ont permis la fabrication des locomotives et le début du chemin de fer.
Le charbon demande beaucoup de main-d’œuvre, aussi bien pour l’extraire de la terre, le transporter, jusqu’aux cheminots qui devaient régulièrement alimenter la locomotive durant le trajet.
On s’est intéressé au gaz de ville. Étienne Lenoir a créé le premier moteur à explosion en 1860. Contrairement aux moteurs à vapeur, l’explosion permet une grande variabilité du régime moteur, on peut changer la puissance facilement.
Ensuite Alphone Eugène Beau a théorisé le moteur à 4 temps. Puis, l’ingénieur allemand Nikolaus Otto réussit à perfectionner la machine et à l’industrialiser.
Le gaz reste dangereux. Son stockage et son transport peuvent provoquer des explosions.
Il faut attendre Gottlieb Daimler pour concevoir un moteur 4 temps à explosion fonctionnant au pétrole. Cette énergie sort d’elle-même de terre comme le gaz, mais nécessite peu de main-d’œuvre comme le charbon.
Daimler ne s’est pas trompé. Passer du gaz au pétrole permet de monter les moteurs sur des engins autonomes et mobiles. L’essor de la voiture pouvait commencer.
Il n’y a pas d’État ni de grand commissaire au plan pour concevoir la voiture. La montée du prix de l’huile de baleine a poussé la recherche d’un substituant. La baisse drastique du pétrole a poussé des ingénieurs à adapter leurs moteurs pour cette nouvelle énergie.
Les avantages des nouveaux moteurs à essence à explosion ont permis de nouveaux usages comme la voiture.
https://www.contrepoints.org/2023/09/24/463892-de-la-penurie-de-baleine-a-lessor-de-lautomobile
France : Les étrangers commettent 69 % des vols, crimes violents et agressions sexuelles dans les transports publics
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 24 SEPTEMBRE 2023 - 13H00
Rédigé par Denes Albert via Remix News,
L'année dernière, 69 % des vols avec violence et autres délits violents, y compris les agressions sexuelles, dans les transports publics d'Île-de-France ont été perpétrés par des ressortissants étrangers, selon les chiffres annuels du SSMSI, le bureau des statistiques de l'Île-de-France. le ministère français de l'Intérieur.
Cependant, en regardant les données de plus près, il apparaît que les Africains sont à eux seuls responsables de 52 pour cent de ces crimes alors qu'ils ne représentent que 3,2 pour cent de la population française.
Même pour l’ensemble de la France, les données montrent clairement que les ressortissants africains représentent 42 pour cent des types de crimes mentionnés ci-dessus, bien au-dessus de leur poids statistique au sein de la population française.
En ce qui concerne les délits spécifiques aux transports publics, la situation n’a en réalité pas beaucoup changé au fil des années. La dernière fois que Remix News a publié de telles données en 2020, 69 % des agressions sexuelles avaient également été commises par des étrangers.
Globalement en France, ces délits sont également majoritairement (55 %) commis par des ressortissants étrangers, indiquent les données.
Selon les statistiques de la ville de Paris, 38 pour cent des vols violents et autres crimes violents ont été perpétrés par des ressortissants étrangers de la région du Maghreb, qui constitue des pays d'Afrique du Nord comme la Tunisie, l'Algérie et le Maroc, suivis par des Africains de pays extérieurs. la région du Maghreb. Au total, les étrangers ont commis environ 70 pour cent de tous les vols avec violence à Paris.
Huit pour cent supplémentaires de ces crimes ont été commis par des ressortissants européens non français et 6 pour cent par des ressortissants européens non originaires de l’Union européenne.
La dernière fois que Remix News a rendu compte des statistiques générales de la criminalité en France, c'était l'année dernière, le ministère de l'Intérieur a annoncé que 48 pour cent de tous les crimes à Paris étaient commis par des étrangers.
Un facteur à garder à l’esprit est que les statistiques françaises ne ventilent pas les crimes basés sur la race ou l’origine ethnique ; ils ne révèlent pas non plus les antécédents d’immigration. Ainsi, un citoyen français dont les parents sont tous deux algériens sera compté comme un ressortissant français dans les statistiques de la délinquance. Au Danemark, de telles informations sont disponibles et montrent que les migrants de deuxième génération ayant la nationalité danoise ont en réalité des taux de criminalité plus élevés, y compris les meurtres et les agressions physiques.
Comme Remix News l'a rapporté en juin, un sondage réalisé pour le grand journal français Le Figaro montre que près de trois Français sur quatre pensent qu'il y a trop de migrants dans le pays, les résultats du sondage étant publiés après que le pays a accepté un nombre record d'étrangers en 2022 sous le président Emmanuel Macron.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/france-foreigners-commit-69-robberies-violent-crimes-sexual-assaults-public-transport
Nos gardiens moraux : des militants pour le climat apprennent aux enfants à envoyer des cookies malveillants à des grands-parents sceptiques
RépondreSupprimerAYCC, Coalition australienne des jeunes pour le climat.
La justice climatique ressemble un peu à une campagne de phishing criminelle.
Par Jo Nova
September 23rd, 2023
Un malware pour sauver la planète, hein ?
L’Australian Youth Climate Coalition (AYCC) demande à ses partisans d’envoyer à leurs amis et à leur famille des liens trompeurs qui ressemblent à une recette de cookies mais qui intègrent des cookies logiciels sur l’ordinateur de la victime. Le cookie numérique diffuse ensuite des vidéos sur le climat vert dans leurs flux (comme si les actualités ABC n’étaient pas suffisamment chargées).
Recherchez les liens vers oneminutecookie.com.
L'AYCC reçoit environ 3 millions de dollars de dons et visite même les écoles pour apprendre aux enfants à tricher et à mentir pour sauver la planète, ou quelque chose du genre. Après tout, sur quoi reposent de bonnes relations familiales, sinon la tromperie ? Qu'est-ce que la science si ce n'est de la propagande ?
Ce sont toutes de bonnes questions à aborder avec les enfants de votre vie et les écoles de votre région. N'attendez pas l'arrivée d'un e-mail, remerciez l'AYCC de vous offrir l'opportunité de démarrer la conversation maintenant.
Si les croyants sont si attentionnés, éthiques et moraux, pourquoi enseignent-ils aux enfants qu’il est acceptable de tromper les membres de la famille ? Est-ce le genre de monde « juste et juste » dans lequel nous voulons vivre ?
Appelez les écoles et les services P&C locaux et demandez-leur s'ils savent que l'AYCC – qui gère des programmes dans les écoles – enseigne aux enfants à tromper leurs parents et leurs grands-parents et à utiliser des logiciels malveillants. Est-ce le genre de valeurs familiales qui appartiennent à nos écoles ? L'école locale garantira-t-elle qu'elle ne permettra pas à ce groupe de manipuler les enfants ?
L'Australien a dévoilé son jeu tordu cette semaine et le trafic vers oneminutecookies.com est tombé à zéro. Il est donc probable que le piège des liens changera. (La campagne a été suspendue).
Le journaliste Joseph Lam s'est entretenu avec des experts en cybersécurité de Check Point Research :
Ashwin Ram, l'évangéliste technologique de l'entreprise, l'un des 100 plus grands innovateurs d'Australie, a déclaré que cette technique n'était pas courante mais qu'il imaginait que les cybercriminels l'utiliseraient dans le cadre de campagnes de phishing.
M. Ram a déclaré que les cookies étaient utilisés pour « améliorer l'expérience utilisateur », mais dans le cas de la campagne AYCC, « il semble que le but ici était d'attirer les sceptiques du changement climatique vers oneminutecookie.com ». Il ajoute : « Même si le site semble innocent, le navigateur d’une victime stockera des cookies qui affecteront son expérience de navigation en affichant du contenu pour soutenir un récit particulier. »
Si les preuves du changement climatique sont si accablantes, pourquoi ne les utilisent-ils pas pour se faire des amis et influencer les gens au lieu de recourir aux astuces de phishing que les criminels pourraient utiliser ?
AYCC, Coalition australienne des jeunes pour le climat.
Poing rouge des camarades, communistes.
La meilleure leçon que les enfants puissent apprendre aujourd’hui est que les fascistes et les communistes ont toujours appris aux enfants à mentir. C’est un moyen pour parvenir à une fin. Lisez les confessions d'un garde rouge : « J'ai mené une vie hantée par la culpabilité ». Les poings levés ne sont peut-être pas le symbole qui vous élève.
https://joannenova.com.au/2023/09/our-moral-guardians-climate-activists-teach-children-to-send-cookie-malware-to-skeptical-grandparents/
Kiev cherche désespérément de nouvelles sources d’énergie: Utilisation de prisonniers pour produire de l’électricité à l’aide de « Vélo générateur d’électricité ».
RépondreSupprimerPar Lucas Leiroz de Almeida
Mondialisation.ca,
24 septembre 2023
La preuve du désespoir ukrainien devient de plus en plus claire. Pour tenter d’obtenir de nouvelles sources d’énergie, la possibilité d’utiliser des prisonniers pour produire de l’électricité est discutée au Parlement ukrainien. En pratique, il s’agirait d’un effort humain extrême pour produire une petite quantité d’énergie, ce qui montre à quel point Kiev est déterminé à réduire les effets de la crise énergétique.
La proposition a été présentée par le législateur ukrainien Sergey Grivko et sera bientôt évaluée par d’autres parlementaires. Ce qu’il prévoit, c’est de littéralement « motiver 50 000 détenus à produire de l’électricité à l’aide de générateurs de bicyclettes ». M. Grivko et ses partenaires politiques espèrent ainsi au moins atténuer les effets désastreux de la crise énergétique majeure qui frappe actuellement l’Ukraine.
Cette mesure, qualifiée de « non conventionnelle » par son propre promoteur, intervient dans un contexte de véritable désespoir de la part du régime de Kiev, qui tente de trouver le plus rapidement possible des sources d’énergie sûres, l’infrastructure énergétique du pays ayant été gravement affectée par le conflit. Récemment, le directeur de la compagnie nationale d’électricité ukrainienne Ukrenergo, Vladimir Kudritsky, avait déjà fait savoir qu’il serait impossible de réparer les installations détruites avant l’arrivée de l’hiver.
En théorie, le projet devrait être mis en œuvre dans le cadre d’une relation « gagnant-gagnant » entre l’État et les prisonniers. Ils pourront « travailler » à la production d’énergie sur des vélos électriques en échange de peines plus courtes. Plus ils travailleront, plus leur temps de détention sera réduit. Dans la pratique, cependant, les choses pourraient être très différentes et plus difficiles que prévu.
RépondreSupprimerIl est pratiquement impossible que l’utilisation de vélos électriques suffise à rétablir la stabilité énergétique d’un pays. La capacité de ces vélos est faible par rapport aux sources d’énergie conventionnelles. Le modèle de bicyclette a été conçu comme une alternative écologique et durable pour un usage domestique et pour réduire les coûts énergétiques dans les petites installations, mais il ne semble pas être une alternative viable pour surmonter une urgence énergétique nationale.
Pour produire une quantité significative d’énergie, les prisonniers devront travailler sur les bicyclettes pendant de nombreuses heures. Cela peut être un problème si l’on considère que tous les prisonniers n’ont pas les conditions de santé et les capacités physiques nécessaires pour ce type d’effort corporel. En ce sens, compte tenu de la nature dictatoriale, terroriste et anti-humanitaire du régime néo-nazi, il est très probable que, dans la pratique, les prisonniers seront contraints de travailler jusqu’à l’épuisement pour produire autant d’énergie que possible, créant ainsi un système analogue à l’esclavage et aux châtiments corporels.
Ce type de plan non conventionnel et irrationnel ne fait que démontrer la gravité de la crise énergétique du pays et la façon dont les autorités locales cherchent des « solutions » par tous les moyens possibles. Cette crise est due aux attaques massives lancées par les forces armées russes depuis l’année dernière, principalement après le début du commandement du général Sergey Surovikin. À l’époque, une vague de frappes de haute précision a été lancée contre les infrastructures critiques de l’Ukraine, privant plusieurs régions du pays d’énergie et affectant gravement la logistique militaire de Kiev.
Contrairement aux attaques ukrainiennes contre des régions civiles russes, l’intention de Moscou avec ce type d’opération n’a jamais été de nuire à la population ukrainienne et à l’approvisionnement en énergie dans les zones civiles. Au contraire, l’intérêt stratégique de ces attaques était précisément de neutraliser les lignes d’approvisionnement en énergie qui garantissaient à la fois le maintien des centres de décision et l’opérabilité des forces armées ukrainiennes. En effet, la stabilité énergétique ukrainienne rendait viables les incursions terroristes contre les civils russes, et Moscou devait donc l’endommager.
Malheureusement, dans de nombreux cas, la population civile subit les conséquences de la destruction des infrastructures, mais c’était la seule alternative qui restait à Moscou face à tant d’attaques terroristes menées par les forces armées ukrainiennes. En d’autres termes, la Russie a simplement voulu protéger ses propres citoyens.
En effet, avec l’arrivée de l’hiver, l’Ukraine va certainement connaître des moments très difficiles, pires encore que ceux de 2022. Et ce, alors que la situation des forces armées du pays est déjà catastrophique et qu’elles n’ont pas été en mesure de lancer une « contre-offensive » au cours de la saison printemps-été. Les conséquences de l’hiver devraient être considérables tant sur le plan militaire que sur le plan social, accélérant le processus inévitable de défaite dans le conflit et d’effondrement de la société ukrainienne.
RépondreSupprimerLa bonne façon d’éviter le pire n’est pas de forcer les prisonniers à travailler sur des sources inefficaces de production d’énergie, mais de prendre des décisions stratégiques qui mettent fin au conflit. Kiev devrait rompre avec l’Occident, cesser d’être un État proxy et accepter les conditions de paix russes. Moscou aiderait alors certainement l’Ukraine à surmonter les problèmes sociaux causés par les hostilités. Malheureusement, la junte de Kiev ne semble pas intéressée par ce type de solution.
Lucas Leiroz de Almeida
*
Article original en anglais :
Kiev Desperate in Search for New Energy Sources: Using Prison Inmates to Generate Electricity with “Bicycle Generators”
L’article a été initialement publié sur InfoBrics.
Traduction : Mondialisation.ca
Lucas Leiroz est journaliste, chercheur au Centre d’études géostratégiques et consultant en géopolitique.
https://www.mondialisation.ca/kiev-cherche-desesperement-de-nouvelles-sources-denergie-utilisation-de-prisonniers-pour-produire-de-lelectricite-a-laide-de-velo-generateur-delectricite/5681553?doing_wp_cron=1695622817.2285380363464355468750
La Bérézina !
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