- ENTREE de SECOURS -



dimanche 10 septembre 2023

CUTTING CLASS - Brad Pitt, Jill Schoelen, Roody McDowall, Brenda James

 

60 commentaires:

  1. Climat : la censure, l’anti-science et la désinformation !


    le 8 septembre 2023


    J’ai déjà relaté la censure dont a été victime le Docteur Clauser, prix Nobel de physique, interdit de parole au Fond Monétaire International, les campagnes de dénigrement à l’encontre en France du Professeur François Gervais, géophysicien, qui claqua la porte de l’IPCC, du Docteur Henrik Svensmark qui a osé émettre l’hypothèse d’une influence des rayons cosmiques sur l’évolution du climat et il est inutile de mentionner Valentina Zharkova, mathématicienne à l’Université de Northumbria, qui a analysé les variations de l’activité magnétique du Soleil à l’aide d’équations compliquées. Les autorités politiques occidentales ont ouvert une véritable chasse aux sorcières pour réduire définitivement au silence ces blasphémateurs, négationnistes de surcroît ! Le mot négationniste est ici utilisé à dessein car il est politiquement révélateur car il signifie une négation de faits historiques non contestables. Et le terme blasphémateur dénote cet aspect religieux de la mise en scène internationale de la destruction du climat (et par extension de la planète entière) par les consommateurs compulsifs d’énergie fossile carbonée. Il est en effet interdit de troubler la mise en place du « nouvel ordre mondial » décidé en haut lieu. Cette mise en place d’un nouvel ordre mondial est pourtant adossé à un mensonge, une hypothèse non prouvée et pour cause la théorie de l’effet de serre du gaz provenant de cette consommation de combustibles fossiles carbonés ne peut pas être prouvée puisqu’elle contredit les lois fondamentales de la thermodynamique.

    Qu’à cela ne tienne les manipulateurs d’opinion ont été investis d’une mission consistant à troubler les esprits encore habités par une once de bon sens. Il s’agit d’une véritable promotion de ces fausses théories exactement calquée sur le mécanisme de promotion d’un paquet de lessive ! Jamais on expliquera ce que contient un paquet de lessive : des détergents difficilement dégradables naturellement et, pire encore, des enzymes produits par des bactéries génétiquement modifiées. Jamais les intervenants sur les plateaux de télévision ne vous expliqueront que la théorie de l’effet de serre du gaz carbonique est une vue de l’esprit. Tony Heller, pseudonyme utilisé par Steven Goddard, un environnementaliste de longue date, publie des articles sur son site et maintenant sur X, ex-Twitter puisqu’il a été victime de censure, France24 reprenant une dépêche de l’AFP titrait en janvier 2023 cette information au sujet de Tony Heller :

    Comme je suis un lecteur assidu de Tony Heller je suis donc complice d’un « dénialiste » et « conspirationniste » de surcroit. Je retourne donc l’argument de France24 : qui est conspirationniste dans cette histoire, les fonctionnaires de l’ONU qui promeuvent de fausses théories ou les « dénialistes » qui respectent les lois fondamentales de la physique et ne font pas de « cherry-picking » pour prouver que le climat se réchauffe (cf. un précédent article). Pourquoi ont-ils besoin de censurer les centaines de scientifiques honnêtes qui ont osé clamer leur désaccord dans une démarche pragmatique ? La censure a été utilisée durant l’entre deux-guerre par des régimes totalitaires pour imposer leurs idéologies destructrices de liberté Nous en sommes au même point aujourd’hui, par conséquent le monde occidental n’a plus que ce choix pour sauver sa peau : sombrer dans le totalitarisme …

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  2. Mais reprenons ici deux graphes mis en ligne par Tony Heller avant que son site ne soit victime de censure. Il s’agit de représentations de la température enregistrée par les stations météo disséminées sur le territoire américain continental. La moyenne du nombre de ces stations dont la température a atteint seuil n’est pas une aberration scientifique contrairement aux moyennes de température, comparées à une autre moyenne de températures considérée à tort comme scientifiques. En effet la température est une mesure instantanée du mouvement brownien et des vibrations des molécules de gaz ou de liquide et de l’émission de photons par les solides ( cf. https://en.wikipedia.org/wiki/Black-body_radiation ) et également par les liquides et les gaz. On ne peut donc pas faire de moyennes de cette grandeur dite « vive », c’est tout simplement de la fausse science, de la science de café du commerce que le public n’est pas capable de comprendre. Tony Heller, sur cet aspect, est donc un véritable scientifique respectueux des lois physiques. Heller, accusé de révisionnisme et d’être un imposteur, analyse au contraire avec élégance les résultats des enregistrements des stations météo terrestres éloignées de sources de chaleur parasites comme les environnements urbains ou les aéroports considérés à tort comme éloignés des îlots artificiels de chaleur comme par exemple la Place des Vosges à Paris qui, bien qu’arborée, est soumise aux radiations infra-rouges émises par les quelques voitures qui la traverse mais surtout par les immeubles d’habitations majoritairement mal isolés puisqu’il s’agit de constructions classées dans le patrimoine architectural de Paris et construits au début du XVIIe siècle sous le règne de Henry IV. L’IPCC est un spécialiste de la manipulation des températures alors que Heller réalise des statistiques sur le nombre de stations météo procurant des données de température. Les deux représentations graphiques ci-dessous ne diffèrent que par le seuil de températures choisies qui diffèrent l’un de l’autre de seulement 2,8 °C :

    - voir graph sur site -

    On remarque tout de suite un premier épisode de températures élevées entre la fin des années 1920 et le début des années 1960 dans le graphique « 35 °C », épisode suivi d’une autre période « chaude » moins prononcée et plus courte dominée par un intense phénomène El Nino inhabituel de près de trois ans. Puis on ne peut que constater une chute progressive des températures matérialisée ici par une diminution du nombre de stations météo ayant enregistré une température de 35 °C. La courbe rouge est une moyenne glissante sur dix ans de ces nombres de stations météo. L’autre graphique « 32,2 °C » montre sans contestation possible une stabilisation de l’évolution de la température, comprenez du nombre de stations météo ayant enregistré une température de 32,2 °C au cours des années depuis la fin des années 1940 ! Bien malin celui qui arrivera à comparer une telle courbe avec la fameuse crosse de hockey, fer de lance de la propagande des adeptes du changement, de la perturbation, de la déconstruction et que sais-je encore du climat, le tout d’origine humaine : de qui se moque-t-on ? D’autant plus que l’activité humaine s’est développée de manière exponentielle dès la fin des hostilités de la seconde guerre mondiale. Il reste enfin à noter dans ce graphique « 32,2 °C » une totale décorrélation entre l’évolution des relevés des stations météo et l’augmentation de la teneur en gaz carbonique atmosphérique telle que mesurée à l’observation hawaïen de Mona-Loa, bizarre, bizarre, n’ai-je pas dit bizarre … Source : Tony Heller

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2023/09/08/climat-la-censure-lanti-science-et-la-desinformation/

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  3. Du 11 septembre aux acteurs de la menace nationale : le contrôle est l’objectif


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    9 septembre 2023


    Dans un article du 28 mars 2023 intitulé « Un guide pour comprendre le canular du siècle »,1,2 Jacob Siegel, rédacteur en chef du résumé d'actualités de l'après-midi du magazine Tablet, News and The Scroll, discute de l'émergence du « complexe industriel de désinformation ». », qui est le sujet de son prochain livre.

    Les États-Unis ont été uniques dans leur attachement à la liberté d’expression, mais ce droit constitutionnel s’érode rapidement au nom de la sécurité nationale et de la protection de la santé publique.

    Siegel fait remonter les premiers jours de la guerre de l'information au sénateur Joseph McCarthy, qui, en 1950, affirmait avoir la preuve de l'existence d'un réseau d'espionnage communiste au sein du Département d'État américain. Initialement, il prétendait détenir les noms de 205 espions communistes. Un jour plus tard, il l'a révisé à 57. Cependant, l'incohérence n'est pas la question.

    "Le problème était le pouvoir de l'accusation", explique Siegel. «Pendant plus d’un demi-siècle, le maccarthysme a constitué un chapitre déterminant de la vision du monde des libéraux américains : un avertissement sur l’attrait dangereux des listes noires, des chasses aux sorcières et des démagogues.»

    Les listes noires et les chasses aux sorcières reviennent

    En 2017, les libéraux américains avaient apparemment oublié cette leçon, alors que les experts des grands médias accusaient Donald Trump d’être un candidat mandchou installé par la Russie. Une organisation appelée Hamilton 68 prétendait détenir des preuves démontrant que des centaines de comptes Twitter affiliés à la Russie avaient manipulé les élections américaines pour faire entrer Trump à la Maison Blanche.

    Il s’avère qu’aucune de ces accusations n’était vraie et Hamilton 68 s’est avéré être un « canular de haut niveau ». La plupart des récits étaient des Américains engagés dans des conversations organiques, que Hamilton 68 a arbitrairement décrites comme des « intrigues russes ». Le responsable de la sécurité de Twitter, Yoel Roth, a même admis que l’entreprise avait qualifié de « vraies personnes » – encore une fois, principalement des Américains – de « comparses russes sans preuve ni recours ».

    Une différence clé entre les épisodes de McCarthy et Hamilton 68 était que les journalistes, les agences de renseignement américaines et les membres du Congrès n’ont pas avalé les accusations de McCarthy sans mâcher. Lorsque la chasse aux sorcières contre Trump a commencé, tous ceux qui remettaient en question les accusations ont été accusés de co-conspiration.

    Les médias ont même refusé de rendre compte des preuves prouvant que Hamilton 68 était une arnaque totale. Le niveau de désintérêt pour la vérité suggérait que le libéralisme américain « avait perdu confiance dans la promesse de liberté et avait adopté un nouvel idéal », écrit Siegel.

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  4. Propagande et censure : les deux faces d’une même médaille

    La propagande est aussi ancienne que l'humanité elle-même, mais sa version moderne remonte à 1948, lorsque le Bureau des projets spéciaux de la CIA a lancé l'opération Mockingbird, une campagne clandestine d'infiltration des médias de la CIA qui impliquait de soudoyer des centaines de journalistes pour qu'ils publient de fausses histoires au siège de la CIA. Demande de la CIA.

    Le rejet des théories du complot et des théoriciens du complot en les qualifiant de cinglés mentalement instables était l’une des tactiques inventées par la CIA à cette époque. Son intention était (et est toujours) de marginaliser et de démoraliser quiconque remet en question le récit fabriqué.

    Il est assez révélateur que l’Opération Mockingbird ait été lancée l’année même où la loi américaine sur l’échange d’informations et d’éducation (alias la loi Smith-Mundt) est devenue loi, qui interdisait au gouvernement américain de faire de la propagande auprès de la population américaine.

    Cette loi anti-propagande a été abrogée en 2013 par le président de l'époque, Barrack Obama. Ainsi, depuis juillet 2013, le gouvernement américain et la CIA sont légalement autorisés à faire de la propagande auprès des citoyens américains. Outre la simplification de la coordination mondiale de l’information par le biais des agences de presse, c’est une autre raison pour laquelle la propagande a prospéré et s’est développée de manière exponentielle ces dernières années.

    L’atteinte à la liberté d’expression a commencé fin 2016, lorsqu’Obama a promulgué la Loi sur la lutte contre la propagande étrangère et la désinformation, qui a ouvert la porte à une guerre de l’information offensive contre le public.
    Mais pour que la propagande réussisse réellement, surtout à long terme, il faut également la censure – un concept farouchement opposé aux États-Unis jusqu’à récemment – et la censure, du moins en Amérique, nécessite la remise en cause du droit à la liberté d’expression.

    Comme l’a noté Siegel, les efforts visant à saper la liberté d’expression ont véritablement décollé fin 2016, lorsqu’Obama a promulgué la Loi sur la lutte contre la propagande étrangère et la désinformation, qui a ouvert la porte à « une guerre de l’information offensante et illimitée » contre les États-Unis. grand public.

    Apparemment, du jour au lendemain, la « désinformation » et la « désinformation » ont constitué une menace existentielle urgente pour la sécurité nationale, la liberté, la démocratie et, plus tard, pour la santé publique. On nous dit maintenant que nous devons éliminer la désinformation pour préserver la liberté d’expression, qui est si tordue qu’aucune personne connaissant la Constitution ne peut y comprendre un sens.

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  5. L’accélération de l’élimination de la liberté d’expression

    En abrogeant la loi Smith-Mundt et en promulguant la loi contre la propagande étrangère et la désinformation, Obama a jeté les bases juridiques du contrôle gouvernemental de la parole aux États-Unis. Depuis lors, un vaste complexe industriel de désinformation a émergé, qui cherche à contrôler Internet. et toutes les informations qu'il contient.

    Comme l’a décrit Siegel, l’infrastructure de sécurité nationale américaine a désormais fusionné avec les plateformes de médias sociaux, où se déroule la guerre de l’information. La mobilisation nationale contre la désinformation est également passée d’une approche pangouvernementale à une approche pansociétale.

    Dans un document de 2018, le Global Engagement Center (GEC) du Département d’État appelle à « tirer parti de l’expertise du gouvernement, des secteurs de la technologie et du marketing, du monde universitaire et des ONG ». « C’est ainsi que la « guerre contre la désinformation » lancée par le gouvernement est devenue la grande croisade morale de son époque », écrit Siegel.

    Bien entendu, les médias ont également joué un rôle important dans la « réponse de l’ensemble de la société » à la désinformation, mais ils sont « de loin l’acteur le plus faible dans le complexe de la lutte contre la désinformation », note Seigel, ajoutant :3

    « La presse américaine, autrefois gardienne de la démocratie, a été vidée au point qu’elle pourrait être portée comme une marionnette par les agences de sécurité américaines et les agents des partis.

    Ce serait bien de qualifier ce qui s’est produit de tragédie, mais le public est censé apprendre quelque chose d’une tragédie. En tant que nation, non seulement l’Amérique n’a rien appris, mais elle a été délibérément empêchée d’apprendre quoi que ce soit tout en étant obligée de courir après les ombres.

    Ce n’est pas parce que les Américains sont stupides ; c’est parce que ce qui s’est passé n’est pas une tragédie mais quelque chose de plus proche d’un crime. La désinformation est à la fois le nom du crime et le moyen de le dissimuler ; une arme qui sert également de déguisement.

    Le crime est la guerre de l’information elle-même, qui a été lancée sous de faux prétextes et qui, de par sa nature, détruit les frontières essentielles entre le public et le privé et entre l’étranger et le national, dont dépendent la paix et la démocratie.

    En confondant la politique anti-establishment des populistes nationaux avec les actes de guerre commis par des ennemis étrangers, cela a justifié le recours aux armes de guerre contre les citoyens américains. Il a transformé les espaces publics où se déroule la vie sociale et politique en pièges de surveillance et en cibles pour des opérations psychologiques de masse.

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  6. Ce crime est une violation systématique des droits des Américains par des responsables non élus qui contrôlent secrètement ce que les individus peuvent penser et dire. Ce que nous voyons aujourd’hui, dans les révélations révélant le fonctionnement interne du régime de censure entre l’État et les entreprises, n’est que la fin du début.

    Les États-Unis en sont encore aux premiers stades d’une mobilisation de masse visant à rassembler tous les secteurs de la société sous un régime technocratique singulier.

    La mobilisation, qui a commencé comme une réponse à la menace soi-disant urgente d’ingérence [électorale] russe, évolue désormais vers un régime de contrôle total de l’information qui s’est arrogé la mission d’éradiquer les dangers abstraits tels que l’erreur, l’injustice et le préjudice – un un objectif digne uniquement des dirigeants qui se croient infaillibles ou des super-vilains de bande dessinée.

    Phase 2 de la guerre de l’information – Contrôle total

    La pandémie de COVID a constitué une partie importante de la phase 1 de la guerre de l’information, même si la guerre contre la perception du public a commencé des années plus tôt. Comme l’a noté Siegel, la phase COVID a été « marquée par des démonstrations typiquement humaines d’incompétence et d’intimidation par la force brute ». La phase 2 sera sans aucun doute réalisée par l’intelligence artificielle, désormais parfaitement entraînée à identifier les plus grands déclencheurs de peur et de panique, tant sur une base individuelle que sociétale.

    On peut également s’attendre à une censure par algorithme. Il ne s’agira plus d’un jeu de taupe avec des humains marquant les messages et demandant leur suppression. Au lieu de cela, les messages contenant certains mots n’iront tout simplement nulle part et ne seront pas vus. Les mots clés parlés et écrits seront automatiquement signalés et supprimés ou interdits de publication par l'IA.

    Des robots basés sur l’IA et des « marionnettes chaussettes » (faux comptes) peuvent également être lancés sur toutes les plateformes et amplifiés de manière algorithmique pour modifier les perceptions de milliards de personnes en temps réel. Nous avons vu cette tendance émerger lors de la première vague de COVID, où plusieurs comptes publiaient le même message « original », textuellement, en même temps.

    Comme l’a souligné Siegel, le but ultime de toutes ces querelles d’informations est le contrôle. Pas de contrôle partiel, mais total. Sur tout et sur tout le monde. C’est aussi pourquoi nous ne verrons jamais une autorité gouvernementale admettre qu’elle diffuse elle-même de la désinformation, même si, techniquement, elle s’en est rendu coupable à de nombreuses reprises au cours des trois dernières années.

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  7. Ils ont qualifié l’ordinateur portable de Hunter Biden de désinformation russe, même si les services de renseignement américains avaient la preuve que cet ordinateur et son contenu étaient réels. Ils ont affirmé que la théorie de la fuite en laboratoire était une conspiration raciste, même si, en privé, le consensus scientifique était que le virus provenait d’un laboratoire. Ils nous ont dit que les vaccins anti-Covid arrêteraient la transmission, même si cela n’avait jamais été testé au départ. La liste continue.

    « La désinformation, aujourd'hui et pour toujours, est ce qu'ils disent », écrit Siegel.4 « Cela n'est pas un signe que le concept est utilisé à mauvais escient ou corrompu ; c’est le fonctionnement précis d’un système totalitaire.

    Partenaires dans le crime

    Siegel n’est pas le seul à qualifier la guerre de l’information de crime. Dans un autre article de Tablet intitulé « Partners in Crime »,5 l’avocate de la New Civil Liberties Alliance, Jenin Younes, examine les preuves du procès du Missouri6 contre l’administration Biden, montrant comment le gouvernement et les grandes technologies ont construit « une campagne de censure à l’échelle du système » en violation flagrante. du premier amendement.

    Les méta-documents internes obtenus par le sous-comité spécial du comité judiciaire de la Chambre des représentants sur l'armement du gouvernement fédéral en juillet 2023 ont également étoffé l'histoire de la façon dont la censure parrainée par l'État est devenue la politique officielle de tant d'entreprises privées.

    Les preuves montrent que Facebook et d’autres sociétés de médias sociaux n’ont pas pris sur eux de devenir les arbitres de la vérité. Au contraire, ils ont subi des pressions agressives de la part des responsables de l’administration Biden et des responsables de diverses agences fédérales. Parfois, ils ont suivi docilement les instructions données, mais même dans les cas où ils ont tenté de réagir, ils ont finalement dû s'aligner par crainte de représailles du gouvernement.

    « Alors que d’autres poursuites alléguant des violations du Premier Amendement fondées sur l’implication du gouvernement dans la censure des médias sociaux ont été déposées au cours des deux dernières années, le Missouri [v. Biden] a connu un succès unique », écrit Younes.7

    « Lorsque la plainte a été déposée en mai 2022, la principale preuve dont disposaient les plaignants du Missouri étaient les déclarations publiques de membres de haut rang de l’administration, notamment l’ancienne secrétaire de presse de la Maison Blanche Jennifer Psaki, le chirurgien général Vivek Murthy et le président Biden lui-même.

    Les plaignants ont cité des déclarations publiques de représentants du gouvernement proclamant sans vergogne qu'ils signalaient des publications à censurer par les sociétés de médias sociaux ; critiquer ouvertement les entreprises pour la suppression inadéquate de contenus (en particulier tout ce qui jette un doute sur la sécurité et l'efficacité des vaccins contre la COVID-19) ; accusant les dirigeants du secteur technologique de « tuer des gens » pour ne pas avoir censuré de manière adéquate la soi-disant désinformation ; et les menaçant de les tenir pour responsables s'ils refusaient de se conformer.

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  8. Le juge Terrence Doughty a ordonné la découverte à un stade précoce du litige… Pour la première fois, le public a pris connaissance de l’opération de censure clandestine de l’administration Biden, qui a commencé trois jours seulement après l’investiture du président Biden…

    En février 2021, Robert Flaherty, alors directeur des médias numériques à la Maison Blanche, avait intensifié les tactiques de l'administration… Il a commencé à intimider les entreprises – en utilisant des jurons, en brandissant des accusations et en formulant des exigences – dans ses efforts pour les amener à supprimer le contenu qui, selon lui, pourrait causer des dommages. les gens à refuser les vaccins…

    À de nombreuses reprises, Brian Rice et d’autres employés de Meta ont envoyé à la Maison Blanche des listes détaillées de changements politiques convenus après que les premières tentatives visant à apaiser la colère de M. Flaherty se soient révélées infructueuses.

    Le 4 juillet de cette année, le juge Doughty a fait droit à la demande d'injonction préliminaire des plaignants dans le Missouri, observant que « la présente affaire implique sans doute l'attaque la plus massive contre la liberté d'expression dans l'histoire des États-Unis » et qualifiant le régime de censure de l'administration de semblable à un « ministère orwellien de la vérité ».

    La conclusion du tribunal8 selon laquelle l’administration Biden et diverses agences exécutives fédérales ont contraint, fait pression et encouragé les sociétés de médias sociaux à supprimer les discours protégés par le Premier Amendement, transformant ainsi une action autrement privée en action de l’État, a été cruciale pour le résultat.

    Le principe fondamental en cause, qui interdit au gouvernement de coopter l’industrie privée pour contourner les interdictions constitutionnelles, est connu sous le nom de « doctrine de l’action de l’État ». Sans lui, la Déclaration des droits n’aurait aucune valeur.

    La police pourrait, par exemple, engager une entreprise privée pour perquisitionner votre domicile malgré l’absence de motif probable, afin de contourner l’interdiction du Quatrième Amendement contre les perquisitions et saisies sans mandat. Ou bien le gouvernement pourrait se soustraire aux garanties d’égalité de protection du 14e amendement en finançant des écoles privées où règne la ségrégation raciale.

    Le juge a convenu avec les plaignants dans l’affaire Missouri c. Biden que… puisque le premier amendement interdit au gouvernement de restreindre la liberté d’expression, la Constitution ne peut pas être interprétée comme permettant au gouvernement de réquisitionner des entreprises privées pour atteindre ses objectifs de censure basée sur des points de vue.

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  9. Preuve directe de coercition

    Même si les premières preuves suggéraient que l’administration Biden était la force motrice de la censure des médias, elles restaient circonstancielles. Cela a changé fin juillet 2023, lorsque des méta-documents internes ont été obtenus par la sous-commission sur la militarisation du gouvernement fédéral.

    Selon Younes, « ces documents font le lien : ils établissent sans équivoque que sans la tactique musclée de l’administration Biden, certains points de vue n’auraient pas été supprimés ».

    Par exemple, dans un e-mail de juillet 2021, Nick Clegg, responsable des affaires mondiales de Meta, a demandé à Brian Rice, qui était en charge de la politique de contenu de Facebook, pourquoi ils avaient supprimé, plutôt que signalé ou rétrogradé, les affirmations selon lesquelles le SRAS-CoV-2 était artificiel.

    Rice a répondu : « Parce que nous étions sous la pression de l’administration [Biden] et d’autres pour faire plus et cela faisait partie du paquet « plus ». Il a terminé l’e-mail en disant : « Nous n’aurions pas dû le faire. »

    « Non seulement Rice a explicitement déclaré que la pression de la Maison Blanche avait poussé Meta à supprimer le contenu approuvant la théorie des fuites en laboratoire sur les origines du COVID, mais il a également exprimé des remords pour cette décision.

    Ces nouveaux documents prouvent également que la suppression des « contenus décourageant les vaccins » a eu lieu en raison de la pression du gouvernement », écrit Younes.

    Clegg, par exemple, a déclaré à Andy Slavitt, ancien conseiller principal de la Maison Blanche pour la réponse au COVID, que la suppression des mèmes humoristiques dénigrant le vaccin contre le COVID – comme l’exigeait Slavitt – « représenterait une incursion significative dans les frontières traditionnelles de la libre expression aux États-Unis ». Slavitt a insisté et a rejeté les inquiétudes de Clegg comme étant sans importance, et finalement, Clegg a acquiescé pour éviter d'éventuelles représailles.

    Quiproquo

    Younes continue :9

    « Les tactiques coercitives de la Maison Blanche ont eu l’effet escompté. Clegg et [Meta COO Sheryl] Sandberg ont tous deux exhorté à l'acquiescement pour éviter des conséquences néfastes. Selon les mots de Clegg, « Sheryl tient à ce que nous continuions à explorer certaines mesures que nous pouvons prendre pour montrer que nous essayons de répondre au WH. »

    Il a expliqué que « le cap actuel de l’entreprise… est une recette pour une acrimonie prolongée et accrue avec la WH alors que le déploiement du vaccin continue de bégayer tout au long de l’automne et de l’hiver ». Étant donné le plus gros poisson que nous devons affronter avec l’Administration – flux de données, etc. – cela ne semble pas être un endroit idéal pour nous.

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  10. Ainsi, « compte tenu de ce qui est en jeu ici, ce serait également une bonne idée que nous puissions nous regrouper pour faire le point sur où nous en sommes dans nos relations avec le WH, ainsi que sur nos méthodes internes. » Le « flux de données » faisait référence à un différend. Meta était à l'époque en conflit avec l'Union européenne au sujet du transfert des données des utilisateurs. En cas de résolution en faveur de l’UE, Meta pourrait se voir imposer des amendes importantes.

    Comme l’expliquaient récemment le journaliste Michael Shellenberger et ses co-auteurs de Twitter Files en analysant cet échange, « la série d’événements suggère une contrepartie ». Facebook se plierait aux demandes de censure de la Maison Blanche en échange de son aide auprès de l’Union européenne.

    Le premier amendement vise à empêcher la répression de la dissidence

    Comme l’a noté Younes, le président Biden avait promis de placer la vaccination de masse contre le COVID au centre de son agenda. Le problème était qu’un grand nombre d’Américains ne se sentaient pas à l’aise de se faire injecter une thérapie génique expérimentale sans données de sécurité à long terme.

    Cela a constitué un obstacle au programme politique de Biden, et plutôt que de reconnaître que la campagne de vaccination de masse a été mal accueillie, la Maison Blanche a simplement fait des médias sociaux un bouc émissaire.

    C’était de leur faute si les Américains ne retroussent pas leurs manches en nombre suffisant. Les méta-mails internes attestent du fait que les salariés se sentaient utilisés comme boucs émissaires chaque fois que la campagne de vaccination ne se déroulait pas comme espéré.

    « Un gouvernement utilisant son pouvoir pour réprimer la dissidence est précisément ce que le premier amendement cherchait à empêcher », note Younes.

    « La liberté d’expression est l’un des principaux piliers d’un gouvernement libre : lorsque ce soutien lui est retiré, la constitution d’une société libre est dissoute », a écrit Benjamin Franklin, l’un des pères fondateurs.

    Le premier président des États-Unis, George Washington, a dit un jour : « S’il faut empêcher les hommes d’exprimer leurs sentiments sur une question susceptible d’entraîner les conséquences les plus graves et les plus alarmantes qui puissent appeler l’attention de l’humanité, la raison n’est d’aucune utilité. utilisez-nous; la liberté d’expression peut être supprimée, et nous pouvons être conduits muets et silencieux, comme des moutons à l’abattoir.’

    Espérons que lorsque la Cour d’appel du cinquième circuit, et probablement la Cour suprême, examineront ces affaires dans les mois à venir, elles interpréteront le premier amendement comme l’ont compris les rédacteurs de la Constitution. Autrement, l’avenir de la liberté d’expression, et la liberté elle-même, est gravement menacé. »

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  11. En conclusion, même si Younes reconnaît la terrible menace que représente la censure parrainée par l’État, il ne suit pas les miettes de pain aussi loin que le fait Siegel. Younes semble croire que le réseau de censure du gouvernement a été créé pour protéger les objectifs politiques de Biden, mais il est bien plus important que cela.

    Comme le dit Siegel, l’objectif final est le contrôle mondial. Pour y parvenir, ceux qui recherchent ce contrôle doivent créer un contrôle total sur toutes les informations, car c’est ainsi que l’on contrôle le mieux une population.

    Qui plus est, cette mainmise est mondiale. Ce n’est pas un phénomène américain apparu parce que Biden voulait se faire vacciner dans tous les bras. La censure liée au COVID est présente dans tous les pays, et chaque pays doit enquêter sur le rôle, le cas échéant, joué par son gouvernement dans la suppression de la vérité.

    Sources and References

    1, 3, 4 Tablet March 28, 2023
    2 Patreon Manifesto Podcast April 4, 2023
    5, 7, 9 Tablet August 20, 2023
    6 Missouri v. Biden Case No. 3:22-cv-01213
    8 Missouri v Biden Memorandum Ruling on Request for Preliminary Injunction

    https://www.lewrockwell.com/2023/09/joseph-mercola/from-9-11-to-domestic-threat-actors-control-is-the-goal/

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  12. Couverture médiatique du 11 septembre : comment 36 journalistes nous ont raconté la démolition explosive des tours jumelles le 11 septembre


    Par Ted Walter et le professeur Graeme MacQueen
    Recherche mondiale,
    8 septembre 2023


    En commémoration du 22e anniversaire du 11 septembre, nous republions cet article de Ted Walter et du regretté professeur Graeme MacQueen, publié pour la première fois en 2020.

    Architectes et ingénieurs pour la vérité sur le 11 septembre, Note de l'éditeur

    Au moment de la publication de cet article, Architects & Engineers for 9/11 Truth attend une décision du National Institute of Standards and Technology (NIST) concernant la demande de correction soumise par AE911Truth et dix membres de la famille des victimes du 11 septembre au NIST. le 15 avril 2020. La demande vise à corriger huit éléments d'information distincts dans le rapport de 2008 du NIST sur l'effondrement du bâtiment 7 du World Trade Center, dont chacun forcerait effectivement le NIST à revenir sur sa conclusion selon laquelle les incendies ont causé la destruction du bâtiment.

    Le NIST a informé AE911Truth le 12 juin 2020 qu'il n'était pas en mesure d'atteindre son objectif de répondre dans un délai de 60 jours. Selon la procédure régissant de telles demandes, le NIST doit rendre une décision dans les 120 jours suivant la soumission, qui tomberait le 13 août 2020. Si le NIST choisit de ne pas prendre les mesures correctives demandées, AE911Truth et ses collègues demandeurs auraient alors 30 jours. faire appel auprès du NIST. Si le NIST ne parvient pas, de quelque manière que ce soit, à se conformer à la procédure régissant les demandes ou s'il ne parvient pas à rectifier les violations de la qualité des informations documentées dans la demande, AE911Truth et ses collègues demandeurs sont prêts à engager des poursuites judiciaires.

    En attendant, AE911Truth fait un pas de plus vers la rectification du bilan de la destruction des Twin Towers avec la publication de cet article. Cet examen exhaustif de 70 heures de couverture médiatique du 11 septembre révèle que l’hypothèse d’explosions entraînant la chute des Twin Towers n’était pas seulement répandue parmi les journalistes couvrant les événements de New York le 11 septembre, mais qu’elle était, en fait, l’hypothèse dominante.

    Les 36 journalistes qui nous ont rapporté la démolition explosive des Twin Towers le 11 septembre incluent, par réseau, George Stephanopoulos et Cynthia McFadden d'ABC ; Harold Dow , Tom Flynn , Mika Brzezinski et Carol Marin de CBS (apparaissant sur WCBS) ; Pat Dawson et Anne Thompson de NBC ; Aaron Brown , Rose Arce , Patty Sabga et Alan Dodds Frank de CNN ; David Lee Miller et Rick Leventhal de Fox News ; Ashleigh Banfield et Rick Sanchez de MSNBC ; CNBCJohn Bussey , Ron Insana et Bob Pisani ; NJ Burkett , Michelle Charlesworth , Nina Pineda , Cheryl Fiandaca et Joe Torres de WABC ; John Slattery , Marcella Palmer , Vince DeMentri et Marcia Kramer du WCBS ; Walter Pérez de WNBC ; Kristen Shaughnessy , Andrew Siff , John Schiumo et Andrew Kirtzman de New York 1 ; Jack Kelley d'USA Today ; et deux journalistes non identifiés ( 1et 2 ) qui a assisté à une conférence de presse avec le maire Giuliani et le gouverneur Pataki. Des extraits vidéo des déclarations de chaque journaliste sur le 11 septembre peuvent être visionnés ci-dessous.

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  13. Voir l'article de suivi des auteurs (Partie II) publié le 9 septembre 2022 :

    Le triomphe du récit officiel : comment les chaînes de télévision ont caché la démolition explosive des tours jumelles le 11 septembre

    Par le professeur Graeme MacQueen et Ted Walter , le 9 septembre 2022

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    La croyance largement répandue selon laquelle les tours jumelles se sont effondrées à la suite des impacts d’avions et des incendies qui en ont résulté est, à l’insu de la plupart des gens, une théorie révisionniste. Parmi les témoins directs de l’événement, l’hypothèse la plus répandue était que les Twin Towers avaient été détruites par des explosions massives.

    Cette observation a été faite pour la première fois il y a 14 ans dans l'article « 118 témoins : le témoignage des pompiers sur les explosions dans les tours jumelles ». Un examen des entretiens menés avec 503 membres des pompiers de New York (FDNY) dans les semaines et les mois qui ont suivi le 11 septembre a révélé que 118 d'entre eux ont déclaré avoir été témoins de ce qu'ils ont interprété ce jour-là comme des explosions. Seuls 10 membres du FDNY ont décrit la destruction d’une manière qui conforte l’hypothèse de l’effondrement provoqué par un incendie.

    Les entretiens du commissaire aux incendies John Coyle et du pompier Christopher Fenyo soutiennent explicitement cette conclusion. Coyle a fait remarquer dans son interview : « En fait, je pensais que ça explosait. C'est ce que j'ai pensé pendant des heures après. . . . Je pense qu’à ce moment-là, tout le monde pensait encore que ces choses avaient explosé. De même, Fenyo a rappelé dans son interview : « À ce moment-là, un débat a commencé à faire rage [sur l'opportunité de poursuivre les opérations de sauvetage dans l'autre tour, encore debout] parce que la perception était que le bâtiment avait l'air d'avoir été détruit avec des accusations. .»

    Les journalistes constituent un autre groupe d’individus qui ont été témoins directs de l’événement et dont les récits ont été rendus publics. Bien que de nombreuses personnes aient vu sur Internet quelques extraits d’actualités dans lesquels des journalistes décrivent des explosions, il n’y a jamais eu, à notre connaissance, de tentative systématique de collecter ces extraits d’actualité et de les analyser.

    Nous avons décidé d'entreprendre cette tâche pour deux raisons. Premièrement, nous voulions savoir dans quelle mesure l’hypothèse de l’explosion était répandue parmi les journalistes. Deuxièmement, anticipant que cette hypothèse serait la plus répandue, nous avons voulu déterminer exactement comment elle avait été supplantée par l’hypothèse d’un effondrement provoqué par un incendie.

    Dans cet article, nous présentons nos résultats liés à la première question. Dans un article ultérieur, nous examinerons comment l’hypothèse d’un effondrement provoqué par un incendie a si rapidement supplanté l’hypothèse d’explosion initialement dominante.

    Couverture télévisée compilée

    Pour déterminer dans quelle mesure l'hypothèse de l'explosion était répandue parmi les journalistes, nous avons entrepris d'examiner autant de couverture médiatique continue que possible de la part des principaux réseaux de télévision, des chaînes d'information par câble et des réseaux affiliés aux réseaux locaux couvrant les événements de New York.

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  14. Grâce à des recherches sur Internet, nous avons trouvé une couverture continue de l'actualité provenant de 11 réseaux de télévision différents, chaînes d'information par câble et réseaux affiliés locaux. Il s'agissait notamment des réseaux ABC, CBS et NBC ; les chaînes d'information par câble CNN, Fox News, MSNBC et CNBC ; et les affiliés du réseau local WABC, WCBS et WNBC. Nous avons également intégré la couverture de New York One (NY1), une chaîne d'information par câble basée à New York et appartenant à Time Warner (maintenant Spectrum), que nous avons regroupée avec les filiales du réseau local dans une catégorie de chaînes locales.

    Malheureusement, nous n’avons pas pu trouver une couverture couvrant la majeure partie de la journée pour chaque chaîne. Ainsi, même si la collection de reportages que nous avons compilée est vaste, elle n’est pas exhaustive. Pour combler les lacunes lorsque cela était possible, nous avons inclus des extraits de couverture diffusés plus tard dans la journée si nous trouvions cette couverture pertinente. Nous avons également inclus un extrait de la couverture de USA Today que nous avons jugé pertinent et trois extraits d'une conférence de presse de l'après-midi avec le maire Rudolph Giuliani et le gouverneur George Pataki, diffusée sur presque toutes les chaînes. En général, les heures de diffusion de ces extraits sont inconnues, même si dans certains cas, nous avons pu identifier une heure approximative.

    La couverture médiatique que nous avons compilée et examinée a totalisé environ 70 heures.

    Tableau 1 : Compilation de la couverture télévisée

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    Remarque : Nous invitons toute personne possédant des portions de la couverture télévisée que nous n'avons pas pu trouver à nous les envoyer à info@AE911Truth.org . Nous intégrerons tout ce que nous recevrons et mettrons à jour cet article en conséquence. Pour tous ceux qui souhaitent reproduire notre travail, l’intégralité de la collection de séquences peut être téléchargée ici .

    Critères pour définir les journalistes « explosion » et « non-explosion »

    Nous avons cherché à répondre à une question principale dans notre examen de la couverture médiatique : combien de journalistes ont décrit les explosions – à la fois en nombre brut de journalistes et en pourcentage de tous les journalistes qui ont couvert la destruction des Twin Towers – et quelle en était la nature. de leurs reportages ? Pour répondre à cette question, nous devions établir des critères clairs pour identifier ce que nous appellerons les « déclarants d’explosion » et les « déclarants de non-explosion ».

    Nous devons préciser que cet article traite uniquement des déclarations des journalistes et ne traite pas des déclarations des présentateurs, sauf dans le cas d'un présentateur (Aaron Brown de CNN) qui avait une vue directe sur les Twin Towers. Dans notre prochain article, nous aborderons les déclarations des présentateurs, qui interprétaient également la destruction des Twin Towers mais sans en avoir été témoins.

    Parce que les impacts d'avions étaient souvent qualifiés d'explosions, nous avons pris soin d'exclure tous les cas où il n'était pas absolument clair que le journaliste faisait référence uniquement à la destruction des Twin Towers.

    Alors que nous étudiions la couverture médiatique et commencions à reconnaître des modèles dans la manière dont la destruction des Twin Towers était rapportée, nous avons développé trois catégories distinctes de reportages qui classeraient quelqu'un comme un « reporter d'explosion » : (1) les reportages de témoins oculaires, (2) les reportages narratifs. , et (3) les rapports basés sur la source. Ci-dessous, nous fournissons des définitions de chacun.

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  15. Rapports de témoins oculaires

    On parle de « témoignage oculaire » lorsqu'un journaliste est un témoin oculaire ayant une vue directe ou à proximité immédiate de la destruction de l'une ou des deux tours jumelles et perçoit une ou plusieurs explosions en conjonction avec la destruction – ou perçoit l'un ou les deux des deux. les tours explosent, explosent, explosent ou entrent en éruption. Bien que nous ayons habituellement exclu le mot « boum », qui pouvait s'appliquer soit à une explosion, soit à un effondrement, nous l'avons inclus dans un cas parce que la totalité de ce que la journaliste (Nina Pineda) a décrit indiquait qu'elle considérait l'événement comme une explosion. basé.

    Nous n’avons pas inclus les journalistes qui ont décrit uniquement un « tremblement » ou un « tremblement » du sol. La perception des secousses du sol était répandue et constitue un témoignage oculaire important, mais elle ne révèle pas nécessairement grand-chose sur la façon dont le journaliste a interprété ce dont il était témoin. Parmi les journalistes qui ont mentionné la démolition, nous avons exclu ceux qui ont simplement comparé la destruction à une démolition lorsqu'il était clair que le journaliste pensait qu'il s'agissait d'un effondrement provoqué par une défaillance structurelle. Nous avons également exclu les journalistes qui utilisaient le mot « implosion » ou « implosion » chaque fois qu'il était clair qu'ils l'utilisaient pour décrire le bâtiment s'effondrant sur lui-même, par opposition à une démolition.

    Voici un exemple de témoignage oculaire :

    David Lee Miller, Fox News, 10h01 :

    « Soudain, alors que je parlais à un officier qui m'interrogeait sur mes références de presse, nous avons entendu un bruit très fort, une explosion. Nous avons levé les yeux et le bâtiment a littéralement commencé à s’effondrer devant nous. . . . On ne sait pas encore pourquoi cette explosion a eu lieu. Était-ce à cause des avions, euh, deux avions, deux attaques ce matin, ou y a-t-il eu une autre attaque, dont on a parlé ici dans la rue.

    Rapport narratif

    On parle de « reportage narratif » lorsqu'un journaliste fait référence à la destruction des Twin Towers comme à un événement basé sur une explosion lorsqu'il en parle au cours de son reportage. Il peut s'agir d'un journaliste qui a été témoin oculaire de la destruction ou d'un journaliste qui a autrement compris que la destruction était un événement basé sur une explosion.

    La principale distinction entre le reportage par témoin oculaire et le reportage narratif est que le reportage par témoin oculaire implique un témoin oculaire décrivant ses perceptions directes, les exprimant souvent spontanément, tandis que le reportage narratif implique une interprétation et/ou une influence extérieure, l'une ou l'autre informant le récit en cours du journaliste sur ce qui s'est passé. lieu. (Dans plusieurs cas, les journalistes passent du reportage de témoins oculaires au moment de la destruction à celui de reportages narratifs plus tard, leurs perceptions directes éclairant le développement de leur récit).

    Cette distinction ne signifie pas qu’un type de reporting est plus précieux ou plus fiable qu’un autre. Dans cette analyse, les témoignages oculaires nous renseignent sur ce que les journalistes ont perçu et immédiatement interprété pendant ou peu après l’événement. Cela nous donne ainsi plus d’informations sur l’événement réel. Le reportage narratif, en revanche, nous raconte comment les journalistes ont interprété l’événement après avoir eu plus de temps pour traiter leurs perceptions et synthétiser des informations supplémentaires provenant d’autres sources. Le reportage narratif nous renseigne ainsi sur le récit collectif qui se développait parmi les journalistes couvrant l’événement.

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  16. Voici un exemple de rapport narratif :

    George Stephanopoulos, ABC, 12h27 :

    "Eh bien, Peter, je vais vous donner une sorte de rapport groupé de plusieurs de nos correspondants ici sur ce qui s'est passé ici au centre-ville de New York entre 9h45 et 10h45 lorsque les deux explosions et l'effondrement de le World Trade Center s'est produit. À ce moment-là, j'étais en fait dans le métro en direction du World Trade Center, juste à côté de Franklin Street. Et après la première explosion, la station de métro a commencé à se remplir de fumée. Les wagons du métro ont commencé à se remplir de fumée et les métros se sont arrêtés. Ils nous ont ensuite fait contourner le World Trade Center jusqu'à Park Place, qui se trouve à un arrêt au-delà du World Trade Center. Nous sommes arrivés à cette gare vers 22h35, Peter, et c'était une scène comme je n'en avais jamais vue de toute ma vie.

    Rapports basés sur la source

    On parle de « reportage basé sur la source » lorsqu'un journaliste fait un reportage sur l'utilisation possible d'explosifs sur la base d'informations provenant de responsables gouvernementaux qui ont déclaré soupçonner que des explosifs avaient été utilisés pour faire tomber les Twin Towers.

    Le reporting basé sur la source est similaire au reporting narratif dans la mesure où il implique une influence extérieure. La principale distinction est que les rapports basés sur les sources sont basés sur des informations provenant de sources gouvernementales. Les informations provenant de sources gouvernementales indiquent par nature comment les agences gouvernementales ont interprété l’événement et reçoivent parfois un poids supplémentaire de la part des journalistes et des téléspectateurs.

    Voici un exemple de reporting basé sur la source :

    Pat Dawson, NBC, 11h55 :

    « Il y a quelques instants, j'ai parlé au chef de la sécurité des pompiers de la ville de New York. . . [Il] m'a dit que peu après 9 heures, il avait reçu une dizaine d'alarmes, environ 200 hommes dans le bâtiment tentaient de sauver certains des civils qui s'y trouvaient, et qu'en gros, il avait été informé de la possibilité d'un incident secondaire. dispositif, c'est-à-dire qu'une autre bombe explose. Il a essayé de faire sortir ses hommes le plus rapidement possible, mais il a déclaré qu'une autre explosion avait eu lieu. Et puis, une heure après le premier impact ici, le premier crash qui a eu lieu, il a dit qu'il y avait eu une autre explosion qui avait eu lieu dans l'une des tours ici. Alors évidemment, selon sa théorie, il pense qu’il y avait en fait des appareils qui étaient implantés dans le bâtiment. . . . Mais l'essentiel est que, selon le chef de la sécurité des pompiers de la ville de New York, il affirme qu'il a probablement perdu un grand nombre d'hommes dans ces explosions secondaires. Et il a dit qu’il y avait littéralement des centaines, voire des milliers de personnes dans ces deux tours lorsque les explosions ont eu lieu. »

    Reporters non-explosifs

    Le principal critère que nous avons développé pour classer quelqu’un comme « journaliste non-explosif » était qu’il ou elle ait rendu compte de la destruction de l’une ou des deux tours jumelles et qu’il ne se soit livré à aucun des types de reportages sur les explosions définis ci-dessus. Pour être considéré comme un journaliste sans explosion, il n’était pas nécessaire que le journaliste exprime explicitement l’hypothèse de l’effondrement provoqué par un incendie. La simple absence de rapport sur une explosion suffisait à classer quelqu'un comme un journaliste sans explosion.

    Le défi ici ne consistait pas à identifier l’absence de signalement d’explosion mais à définir ce qui constituait un « rapport sur la destruction ». En fin de compte, nous avons décidé que cela signifiait que le journaliste devait décrire l'événement de la destruction et ne pas simplement le mentionner en passant.

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  17. Il convient de noter que l'utilisation du mot « effondrement » par un journaliste ne qualifie pas nécessairement cette personne de journaliste sans explosion. De nombreux journalistes sur les explosions ont décrit l’apparition d’une explosion suivie d’un effondrement et ont utilisé le mot « effondrement » dans leurs reportages (David Lee Miller, cité ci-dessus, en est un excellent exemple). Ainsi, l’utilisation du mot « effondrement » n’est pas incompatible avec le fait d’être un journaliste d’explosion et ne permet pas de qualifier quelqu’un de non-journaliste d’explosion.

    De plus, si un journaliste faisait une déclaration le qualifiant de journaliste d'explosion, puis faisait ensuite une déclaration soutenant explicitement l'hypothèse de l'effondrement provoqué par un incendie (ce qui est le cas de Joe Torres du WABC), nous avons classé ce journaliste comme journaliste d'explosion. parce qu'il ou elle a participé à un reportage sur une explosion à un moment donné de la journée. Dans cette analyse, être classé comme « reporter d’explosions » n’implique pas une position permanente. Cela signifie simplement qu'à un moment donné de la journée, il ou elle a signalé la survenue d'explosions ou l'utilisation possible d'explosifs en relation avec la destruction des Twin Towers.

    Avant de passer à la section suivante, il est important de noter que, étant donné que les journalistes non-exploseurs devaient décrire l'événement de destruction et ne pas simplement le mentionner en passant, la seule façon de faire une comparaison numérique valide entre les journalistes non-explosés et les non-explosions. -Les journalistes sur les explosions doivent inclure uniquement ceux qui ont participé à des reportages par témoins oculaires. Selon les critères que nous avons développés, les reporters d'explosion qui se livraient à un reportage narratif ne décrivaient pas l'événement de destruction mais y faisaient plutôt référence comme à un événement basé sur une explosion au cours de leur reportage, c'est-à-dire en passant. Une classification comparable n’existe pas pour les journalistes qui ne concernent pas les explosions, car nous avons exclu ceux qui n’ont mentionné l’événement qu’en passant (en utilisant le plus souvent le mot « effondrement »).

    Analyse numérique des journalistes « explosion » et « non-explosion »

    Au total, nous avons identifié 36 journalistes sur les explosions et quatre journalistes sur les non-explosions au cours des quelque 70 heures de couverture médiatique que nous avons examinées. Les 36 déclarants d'explosion et leurs déclarations sont répertoriés à l'annexe A. Les quatre déclarants de non-explosion et leurs déclarations sont répertoriés à l'annexe B. De plus, il y avait trois cas limites qui, selon nous, ne pouvaient pas être clairement classés comme explosion ou non-explosion. journalistes sur les explosions. Ces cas sont répertoriés à l’annexe C.

    Sur les 36 reporters d'explosions, 21 d'entre eux ont réalisé des reportages par témoins oculaires, 22 d'entre eux ont réalisé des reportages narratifs et trois d'entre eux ont réalisé des reportages fondés sur des sources. En rappelant nos définitions ci-dessus, cela signifie ce qui suit :

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  18. 21 journalistes ont été témoins de ce qu'ils ont perçu comme une ou plusieurs explosions lors de la destruction des Twin Towers ou ont perçu les Twin Towers comme explosant, explosant, explosant ou entrant en éruption.
    22 journalistes (dont huit entrent également dans la catégorie des témoignages oculaires) ont évoqué la destruction des Twin Towers comme une explosion ou un événement basé sur une explosion lorsqu'ils en parlaient au cours de leur reportage.
    Trois journalistes (dont deux entrent également dans la catégorie des reportages narratifs) ont fait état de l'utilisation possible d'explosifs sur la base d'informations provenant de responsables gouvernementaux qui ont déclaré soupçonner que des explosifs avaient été utilisés pour faire tomber les Twin Towers.
    Quatre journalistes ont rendu compte de la destruction des Twin Towers et n'ont signalé aucune explosion (soit après avoir été témoins d'explosions, soit après avoir interprété la destruction comme étant un événement basé sur une explosion, soit après avoir été informés par des responsables gouvernementaux de l'utilisation possible d'explosifs). .
    En termes de pourcentage de journalistes ayant rapporté des explosions et des non-explosions, 21 des 25 journalistes qui ont été directement témoins de la destruction des Twin Towers, soit 84 %, ont soit perçu une ou plusieurs explosions, soit perçu les Twin Towers comme explosant, explosant, souffler ou éclater. En comparaison, quatre des 25 journalistes qui ont été directement témoins de la destruction des Twin Towers, soit 16 %, n'ont en aucune façon signalé d'explosions.

    Les tableaux ci-dessous répertorient chaque déclarant et chaque instance de reporting en fonction de l'heure à laquelle chaque signalement a été effectué.

    Tableau 2A : Témoignages oculaires des journalistes chargés des explosions

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    Tableau 2B : Reportages narratifs des journalistes sur les explosions

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    *Ces journalistes ont également participé à des reportages de témoins oculaires.

    Tableau 2C : Rapports basés sur la source par les journalistes des explosions

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    *Ces journalistes se sont également engagés dans des reportages narratifs.

    Tableau 2D : Reporteurs non liés aux explosions

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    Comment les journalistes ont rapporté la destruction des tours jumelles

    L’image qui se dégage sans équivoque est que la grande majorité des journalistes qui ont assisté à la destruction des Twin Towers ont soit perçu une explosion, soit perçu les tours comme explosant. Cette hypothèse de la destruction des tours jumelles a ensuite continué à prévaloir parmi les journalistes couvrant l'événement, qui considéraient essentiellement la destruction des tours comme une attaque par explosion consécutive aux frappes aériennes. Nous apprenons des rapports basés sur les sources que la même hypothèse était également soutenue par des responsables du FDNY, du département de police de New York (NYPD) et du Federal Bureau of Investigation (FBI) – trois des agences les plus importantes impliquées dans la réponse. aux attentats. En particulier, en ce qui concerne le FBI, on nous dit que l'hypothèse de l'explosion était la « théorie de travail » de l'agence en fin d'après-midi du 11 septembre.

    Contrairement aux membres du FDNY, dont la plupart ont livré leurs témoignages lors d’entretiens menés des semaines ou des mois après l’événement, il appartenait aux journalistes de communiquer spontanément leur perception et leur interprétation des événements. Ainsi, lorsque leurs reportages sont compilés dans un seul document, nous nous retrouvons avec un récit collectif riche et largement non filtré de ce qui s’est passé. Considérées aux côtés des histoires orales du FDNY, les déclarations de ces journalistes constituent, à notre avis, une preuve solide et corroborante selon laquelle des explosifs ont été utilisés pour détruire les Twin Towers.

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  19. Concernant les quatre rapporteurs non-explosion, outre le fait qu'ils sont si peu nombreux, on constate que leurs récits individuels n'apportent que peu de soutien à l'hypothèse d'un effondrement provoqué par un incendie.

    Deux des journalistes se trouvaient assez loin des Twin Towers au moment de leur destruction par rapport à la plupart des journalistes de l'explosion : Drew Millhon se trouvait « à environ 10 à 12 pâtés de maisons au nord du World Trade Center », à l'intersection de Varick Street et Canal Street, tandis que Bob Bazell se trouvait à l'hôpital St. Vincent sur West 12th Street, à environ trois kilomètres du World Trade Center. De son côté, Don Dahler, le seul journaliste à avoir formulé explicitement l'hypothèse d'un effondrement provoqué par un incendie, a néanmoins comparé la destruction de la tour Sud à une démolition contrôlée, déclarant : « Le bâtiment tout entier vient de s'effondrer comme si une équipe de démolition se précipitait – quand on voit le anciennes démolitions de ces vieux bâtiments. Le quatrième journaliste non-explosé, John Zito, se trouvait tout près de la tour sud lorsque celle-ci s'est effondrée. Il n'a pas décrit une explosion, mais il n'a pas non plus attribué la destruction à un effondrement provoqué par un incendie. Il convient de noter que Ron Insana, avec qui Zito se trouvait, a décrit de manière vivante avoir vu le bâtiment « exploser » et « souffler » et avoir entendu un « bruit associé à une implosion ».

    Conclusion

    Revenant à la première question posée en tête de cet article, nous concluons que l’hypothèse d’explosions entraînant la chute des Twin Towers n’était pas seulement répandue parmi les journalistes mais était, en fait, l’hypothèse dominante.

    En outre, les 21 témoignages oculaires, qui contiennent tous des descriptions spontanées des phénomènes dont les journalistes ont été témoins, corroborent fortement les preuves scientifiques accablantes selon lesquelles des explosifs ont été utilisés pour détruire les Twin Towers.

    Dans un article ultérieur, nous examinerons comment l’hypothèse d’un effondrement provoqué par un incendie a si rapidement supplanté l’hypothèse d’explosion initialement dominante.

    * * *

    Annexe A : Déclarations de 36 journalistes sur les explosions

    Ces déclarations sont organisées par chaîne dans le même ordre que celui présenté dans le tableau 1. Au sein de chaque chaîne, elles sont organisées chronologiquement en fonction de l'heure de la première déclaration notée par chaque journaliste.

    1. George Stephanopoulos, ABC

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    12h27, Reportage narratif

    "Eh bien, Peter, je vais vous donner une sorte de rapport groupé de plusieurs de nos correspondants ici sur ce qui s'est passé ici au centre-ville de New York entre 9h45 et 10h45 lorsque les deux explosions et l'effondrement de le World Trade Center s'est produit. À ce moment-là, j’étais en fait dans le métro en direction du World Trade Center, juste à côté de Franklin Street. Et après la première explosion, la station de métro a commencé à se remplir de fumée. Les wagons du métro ont commencé à se remplir de fumée et les métros se sont arrêtés. Ils nous ont ensuite fait contourner le World Trade Center jusqu'à Park Place, qui se trouve à un arrêt au-delà du World Trade Center. Nous sommes arrivés à cette gare vers 22h35, Peter, et c'était une scène comme je n'en avais jamais vue de toute ma vie. Alors que nous essayions de sortir de la station de métro et de remonter dans la rue, il faisait noir, minuit noir, il neigeait de la suie partout dans le centre-ville de Manhattan. C'était à environ deux pâtés de maisons du World Trade Center. À ce moment-là, vous ne pouviez pas voir un pied devant votre visage.

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  20. 2. Cynthia McFadden, ABC

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    17h56, Reportage narratif

    « On nous a dit que toutes les victimes qui sont désormais évacuées du site de l'explosion seront d'abord emmenées ici. . . . Une partie du problème au départ était que lorsque les premiers secouristes sont arrivés — et nous avons parlé à certains d'entre eux, certains membres de la deuxième vague de secouristes — la première vague de secouristes qui sont arrivés s'est retrouvée coincée, beaucoup d'entre eux ont été tués par la deuxième explosion. . . . Comme vous le constatez, des centaines de personnes ont été hospitalisées dans les hôpitaux de la région. Mais ils ne croient pas que l'ampleur de cette affaire ait encore été découverte, que des centaines et des milliers de personnes ont été blessées dans cette explosion, et que ce sont ces personnes qu'ils espèrent amener ici.»

    3. Harold Dow, CBS

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    10h05, témoignage oculaire

    « Oui, je suis arrivé sur les lieux il y a environ une heure et demie. Croyez-le ou non, il y a eu une autre explosion majeure. Le bâtiment lui-même, littéralement son sommet, s'est effondré, envoyant de la fumée et des débris partout. J'ai essayé de courir pour m'éloigner de tous les débris. Un certain nombre d'autres personnes sont coincées dans le métro, dans un magasin de chaussures, essayant de s'éloigner de la plupart des débris. C'est tout simplement un spectacle incroyable.

    4. Tom Flynn, CBS

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    11h03, témoignage oculaire

    « À ce moment-là, peut-être 45 minutes après le début de l’enregistrement, soit peut-être une demi-heure après, il y a eu… c’était une explosion. C'était très haut là où se trouvait le feu. Et à ce moment-là, tout le bâtiment a pris feu et tout le monde a couru.

    5. Mika Brzezinski, CBS

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    11h15, témoignage oculaire

    « Dan, nous sommes à trois pâtés de maisons de la scène et nous avons tout vu après les deux premiers hits. Nous avons vu l’explosion et aussi l’effondrement de la tour.

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  21. 6. Pat Dawson, NBC

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    11h55, Rapports basés sur la source

    "Il y a quelques instants, j'ai parlé au chef de la sécurité des pompiers de la ville de New York, qui était évidemment l'une des premières personnes présentes sur les lieux après que ces deux avions se sont écrasés sur le côté - nous supposons - des tours du World Trade Center. , qui était derrière moi là-bas. Le chef Albert Turi m'a dit qu'il était ici littéralement 10 ou 15 minutes après les événements de ce matin, c'est-à-dire le premier accident. . . . [Il] m'a dit que peu après 9 heures, il avait reçu une dizaine d'alarmes, environ 200 hommes dans le bâtiment tentaient de sauver certains des civils qui s'y trouvaient, et qu'en gros, il avait été informé de la possibilité d'un incident secondaire. dispositif – c’est-à-dire qu’une autre bombe explose. Il a essayé de faire sortir ses hommes le plus rapidement possible, mais il a déclaré qu'une autre explosion avait eu lieu. Et puis, une heure après le premier impact ici, le premier crash qui a eu lieu, il a dit qu'il y avait eu une autre explosion qui avait eu lieu dans l'une des tours ici. Alors évidemment, selon sa théorie, il pense qu’il y avait en fait des appareils qui étaient implantés dans le bâtiment. Il pense que l'un des dispositifs secondaires, qui a eu lieu après l'impact initial, pourrait avoir été sur l'avion qui s'est écrasé sur l'une des tours. Selon lui, le deuxième appareil, spécule-t-il, a probablement été implanté dans le bâtiment. C'est ce que nous a dit Albert Turi, chef de la sécurité des pompiers de la ville de New York. Il me l'a dit il y a quelques instants. . . . Mais l’essentiel est que, selon le chef de la sécurité des pompiers de la ville de New York, il a probablement perdu un grand nombre d’hommes dans ces explosions secondaires.

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    15h02, reportage narratif

    Dawson demande à un policier : « Comment décririez-vous vos efforts pour organiser les opérations de sauvetage maintenant, étant donné que nous avons assisté à une séquence d'événements ce matin ? Une séquence d’accidents, puis d’explosions, puis d’effondrements.

    7. Anne Thompson, NBC

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    12h43, témoignage oculaire

    « Et je marchais sur Broadway à Fulton, et tout à coup nous avons entendu une explosion. C'était la première tour à s'effondrer. Et sur Broadway, on pouvait voir ce mur de débris voler vers nous. . . . Cela ressemblait à une zone de guerre. Des débris, de la poussière jusqu'aux chevilles, des voitures en feu, des voitures retournées de travers lors de l'explosion. . . . Puis vers 10h30, tout semblait être clair. J'ai commencé à sortir. J'ai descendu Broadway en direction de Canal. Et nous avons entendu la deuxième explosion. . . . À ce moment-là, un pompier est entré dans le bâtiment et a dit que nous devions tous rester au même endroit. Il nous a ensuite dit à tous de sortir du bâtiment car ils pensaient que s'il y avait une troisième explosion, ce bâtiment serait en danger.

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  22. 8. Aaron Brown, CNN

    Remarque : Bien qu'Aaron Brown soit un présentateur de nouvelles, nous l'incluons parmi les journalistes de l'explosion car il était positionné à l'extérieur et a été témoin direct des événements, et sa perception directe a joué un rôle majeur dans son interprétation évolutive de l'événement.

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    9 h 59, témoignage oculaire

    "Ouah! Jamie. Jamie, j'ai besoin que tu t'arrêtes une seconde. Il vient d'y avoir une énorme explosion. Nous pouvons voir une fumée s’élever. Et je ne peux pas… je vais vous dire que je ne peux pas voir cette deuxième tour. Mais il y a eu une cascade d'étincelles et de feu et maintenant ça… ça ressemble presque à un champignon atomique, une explosion, cette énorme fumée qui s'élève dans la deuxième tour. Ce fut la deuxième des deux tours touchées. Et moi, vous savez, je ne peux évidemment pas voir derrière cette fumée, tout comme vous non plus. La première tour en face n'a pas changé. Et on voit derrière nous cette scène extraordinaire (sic) et effrayante de cette deuxième tour maintenant tout juste enveloppée de fumée. Qu’est-ce qu’il y a derrière… Je ne peux pas vous le dire. Mais regardez ça. C’est une scène à peu près aussi effrayante que vous n’en verrez jamais.

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    10h02, témoignage oculaire

    « Encore une fois, il y a eu une deuxième explosion ici à Manhattan, au Trade Center. On nous signale qu'une partie de la tour, la deuxième tour, celle un peu plus au sud de chez nous, s'est effondrée. Nous vérifions cela. . . . Ce que nous pouvons vous dire, c’est qu’au cours des dernières minutes ici – deux ou trois minutes – un deuxième ou un troisième, je suppose, techniquement, un événement extraordinaire s’est produit ici dans le Lower Manhattan. On peut voir cet extraordinaire panache de fumée qu’est, ou était du moins, la deuxième tour du World Trade Center.

    9. Rose Arce, CNN

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    10 h 29, témoignage oculaire

    «Je suis à environ un pâté de maisons. Et il y avait plusieurs personnes qui traînaient aux fenêtres juste en dessous de l'endroit où l'avion s'est écrasé, quand tout à coup on a vu le sommet du bâtiment commencer à trembler, et les gens ont commencé à sauter par les fenêtres du côté nord du bâtiment. Vous avez d’abord vu deux personnes s’effondrer, puis une troisième, puis tout le sommet du bâtiment a explosé et des éclats de débris sont tombés dans la rue.

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  23. 10h50, Reportage narratif

    « Il semble qu’une grande partie de ces débris ait touché un bâtiment très proche, à environ deux pâtés de maisons d’une école primaire, provoquant une autre explosion. . . . Alors que les gens remontent la rue en courant depuis le lieu de cette nouvelle explosion, vous pouvez les voir glisser sur les cendres et devoir littéralement se traîner les uns les autres dans la rue.

    Remarque : Nous incluons la déclaration de Rose Arce à 10h50 comme reportage narratif car elle indique qu'elle a d'abord perçu puis continué à interpréter la destruction des Twin Towers comme des explosions.

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    12h26, Reportage narratif

    "En marchant dans les cendres, vous pouvez voir des débris de l'intérieur du World Trade Center lui-même, une scène très inquiétante, des morceaux de papier provenant des bureaux des gens, des fournitures de bureau à de très nombreux pâtés de maisons du site de l'explosion réelle où ils craignent maintenant qu'il y ait il pourrait y avoir une énième explosion à cause de cette potentielle fuite de gaz.

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    22h43, témoignage oculaire

    « Les gens se précipitaient vers les fenêtres. Ils prenaient des vêtements – une chose ressemblait à une couverture qu'ils agitaient – ​​et puis tout d'un coup, il y en a eu une autre, une explosion, et on a vu des gens commencer à sauter par la fenêtre avant du bâtiment et à plonger. J'ai vu au moins six personnes faire ça. Les gens se poussaient. Certaines personnes criaient à l’aide, puis se disputaient.

    10. Patty Sabga, CNN

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    10 h 57, témoignage oculaire

    « Il y a environ une heure, j'étais au coin de Broadway et de Park Place, à environ mille mètres du World Trade Center, lorsque la première tour s'est effondrée. Ce fut une explosion massive. À l’époque, la police tentait désespérément d’évacuer les gens de la zone. Lorsque cette explosion s’est produite, c’était comme une scène d’un film d’horreur.

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    10h59, Reportage narratif

    « La scène ressemblait à une ville fantôme du quartier financier. Très étrange. Vous avez vu des gens être transportés sur des civières pour s'éloigner du lieu de l'explosion. . . . À ce moment-là, j'étais de retour au coin de Broadway et de Park Place. À ce moment-là, la police a commencé à courir vers nous en disant à tous ceux qui restaient dans la rue de bouger. J'ai levé les yeux et c'est là que j'ai entendu le... [toux] pardonnez-moi... c'est là que j'ai entendu l'explosion. C'est à ce moment-là que la deuxième tour s'est effondrée.

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  24. 11. Alan Dodds Frank, CNN

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    11 h 07, reportage narratif

    « Aaron, il y a à peine deux ou trois minutes, il y a eu un autre effondrement ou une autre explosion. . . . Mais à 11 heures moins le quart, il y a eu un autre effondrement ou une autre explosion après l'effondrement de la deuxième tour à 10 h 30. Et un pompier qui s'est précipité vers nous a estimé que 50 étages avaient été détruits. La rue remplie de fumée. C’était comme un feu de forêt dévalant un canyon.

    Remarque : Nous incluons la déclaration d'Alan Dodds Frank à 11 h 07 comme reportage narratif car elle indique qu'il a interprété la destruction des Twin Towers comme étant peut-être un événement basé sur une explosion.

    12. David Lee Miller, Fox News

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    10h01, témoignage oculaire

    « Jon, la scène est horrible. L'une des deux tours s'est littéralement effondrée. Je me dirigeais vers le pied du World Trade Center. Soudain, alors que je parlais à un officier qui m'interrogeait sur mes références de presse, nous avons entendu un bruit très fort, une explosion. Nous avons levé les yeux et le bâtiment a littéralement commencé à s’effondrer devant nous. . . . Et je me trouve maintenant dans un nuage noir de fumée. . . . Je suis actuellement sur un téléphone public dans la rue et je ne peux littéralement pas voir à plus d'un quart de pâté de maisons. Voilà à quel point la fumée est épaisse. Je suis sur Murray Street et West Broadway pour ceux qui connaissent Lower Manhattan. On ne sait pas encore pourquoi cette explosion a eu lieu. Était-ce à cause des avions, euh, deux avions, deux attaques ce matin, ou y avait-il une autre attaque dont on a parlé ici dans la rue.

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    10h32, témoignage oculaire

    " Jon, il y a quelques secondes à peine, il y a eu une énorme explosion, et il semble qu'à l'heure actuelle, la deuxième tour du commerce mondial vient de s'effondrer. "

    13. Rick Leventhal, Fox News

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    10h05, témoignage oculaire

    Il demande à un policier : « Savez-vous si c'était une explosion ou si c'était un effondrement d'un immeuble ?

    Puis il demande : « À votre avis, combien de personnes étaient au sol lorsque le bâtiment a explosé ou s’est effondré ? »

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  25. 10h06, témoignage oculaire

    «Lorsque le bâtiment s'est effondré – ou quoi que ce soit de ce qui s'est passé – il y a eu une énorme explosion, un énorme nuage de fumée et de feu a traversé Church Street et a commencé à se propager dans cette direction. . . Le FBI est là, comme vous pouvez le voir. Ils avaient bouclé cette zone. Ils prenaient des photos et sécurisaient cette zone juste avant cette énorme explosion que nous avons tous entendue et ressentie.

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    10h12, témoignage oculaire

    "Et nous étions ici lorsqu'il y a eu une sorte d'effondrement ou d'explosion et tout le monde a commencé à courir dans cette direction."

    14. Ashleigh Banfield, MSNBC

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    9 h 59, témoignage oculaire

    Chris Jansing (présentateur du journal télévisé) : « Il semble qu'il y ait eu une troisième explosion dans le quartier du World Trade Center. Il y a d’abord eu un avion qui a heurté l’une des Twin Towers. Un deuxième avion, chacun il y a environ une heure. Et maintenant une troisième explosion. Ashleigh Banfield est à Manhattan. Ashleigh, as-tu vu ou entendu quelque chose il y a quelques instants ?

    Ashleigh Banfield : « Dieu. Oh mon Dieu, Chris, c'est incroyable. Je le regarde bien.

    Jansing : "Qu'est-ce que tu vois, Ashleigh ?"

    Banfield : « Eh bien, j’ai vu l’explosion, pour commencer. »

    Jansing : « Pouvez-vous le sentir ?

    Banfield : « Je peux le sentir. Tout le monde autour a crié au moment où cela s'est produit. C'est tout simplement incroyable. Je ne vois pas que c'est un autre bâtiment. Elle semble presque dans la même position que la deuxième bombe, ou la deuxième explosion. C'est incroyable."

    Jansing : « Quelle est la scène autour de vous ? Que font les gens ?

    Banfield : « La plupart des gens, comme je l’ai dit plus tôt, sont absolument consternés.

    Jansing : « Est-ce qu’ils courent ? »

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  26. Banfield : « Personne ne se présente. Non, je ne suis pas assez proche à ce stade pour voir ça. Je ne serais pas inondé de débris depuis ma position ici. Je suis trop loin au nord. Mais j’ai une vue d’ensemble de ce qui se passe. L'itinéraire sur lequel je me trouve est actuellement l'itinéraire d'urgence, donc tous les véhicules d'urgence passent devant nous. Mais alors que je levais les yeux, j'ai vu toute l'explosion. Cela ressemblait exactement aux deux premiers. Incroyable. Et tous ceux qui regardaient ça autour de moi criaient. C'était juste un chœur de « oh mes dieux » de la part de tout le monde autour. Je marche, donc ce que j'entends, ce sont beaucoup de gens dont les voitures sont garées, qui ont leurs radios réglées sur les stations d'information locales et qui essaient de se tenir au courant de ce qui se passe exactement. Mais maintenant, je vois des gens courir. Mais je ne pense vraiment pas qu’ils fuient la zone. Nous sommes trop loin pour être en ligne directe avec des débris. Mais nous avions certainement le point de vue le plus parfait pour cette explosion. C'était incroyable. Et la fumée est maintenant si épaisse. C'est tout simplement incroyable.

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    10 h 54, reportage narratif

    "Eh bien, nous venons d'entendre une autre explosion il y a quelques minutes, Chris, et avons vu un groupe d'autres personnes courir dans cette direction. Une femme sur son vélo criait au moment où le véhicule explosait. Et il y avait un officier de la ville de New York en civil qui passait avec une radio. J'ai essayé de l'arrêter pour lui demander ce qui s'était passé. Et tout ce qu'il a dit, c'est « voiture piégée, voiture piégée ». Et puis je ne pouvais lui demander aucune information. Il a dit : « Je n'ai pas le temps pour ça. » Depuis, nous n'avons rien vu. Mais le nuage de fumée reste extrêmement épais aux abords directs du World Trade Center. Je suis maintenant à peu près, je dirais — qu'en dites-vous, nous sommes à environ cinq ou dix pâtés de maisons au nord maintenant ? À environ cinq ou dix pâtés de maisons au nord de là, et incroyablement, le soleil est sorti. Il y a du ciel bleu au-dessus de nous. Nous avons commencé dans le noir absolu. Quand ce nuage de débris et de fumée est sorti, Quand l'explosion s'est produite, nous ne pouvions rien voir, nous ne pouvions plus respirer. Nous avons essayé de nous frayer un chemin quelques pâtés de maisons et nous avons pris contact avec une autre équipe de NBC ici.

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    10h55, Reportage narratif

    « C'est terrifiant ici, Chris. Quand cette dernière bombe – ou quand ce dernier effondrement s’est produit et que le nuage est sorti, c’était comme quelque chose qui venait d’Hollywood. . . . C'est vraiment inquiétant de voir les gens qui ont été pris dans cette explosion, parce que tout le monde ressemble à un fantôme.

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    13h35, Reportage narratif

    « Qu'avez-vous vu à l'épicentre lorsque vous êtes sorti de cette explosion ? »

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  27. 13h36, Reportage narratif

    « Au tout début de la journée, lorsque cela s’est produit, nous étions juste à l’épicentre de l’explosion. En ce moment, je suis couvert de débris et de poussière provenant de l'explosion elle-même. J’ai été frappé par un nuage de débris et de fumée.

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    13h37, Reportage narratif

    «C'est le 7 World Trade Center. Apparemment, du côté sud, c'est le côté qui ne nous fait pas face, à peu près à mi-hauteur, il brûle encore assez gravement, car il a été secoué par une grande partie de l'explosion de la force des Twin World Trade Centers, lorsqu'ils sont tombés. Une grande préoccupation est de savoir ce qui va se passer avec ce bâtiment brun maintenant, et c'est pourquoi nous continuons à nous déplacer de plus en plus vers le nord. Vous pouvez voir des gens dans la rue se diriger vers nous. Même les médias qui, à l'origine, disposaient d'une plus grande liberté pour rapporter cette histoire, nous sommes également expulsés, car certains craignaient qu'il n'y ait d'autres explosions, peut-être d'autres bombes.»

    15. Rick Sánchez, MSNBC

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    10h52, Reportage narratif

    « Il faut comprendre que lorsque cela s'est produit pour la première fois, ils n'imaginaient certainement pas qu'il y aurait une deuxième ou une troisième explosion. Ils ont donc garé certains de leurs véhicules dans ces zones. Et beaucoup de ces véhicules – les gens à bord de ces véhicules ont perdu la vie.

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    11 h 26, reportage narratif

    « Eh bien, on nous a dit, en fait, il y a quelques instants, d'essayer de quitter cette zone, car ils expulsent tout le monde. Et la crainte, bien sûr, c'est qu'il y ait des fuites de gaz, du gaz naturel dans cette zone, qui alimente ou sort les bâtiments qui ont explosé. Et maintenant, ces lignes sont ouvertes et pourraient se rompre.

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  28. 12h07, Rapports basés sur la source

    «Eh bien, je suis dans ce quartier, si vous connaissez ce quartier où West Broadway et Hudson se rencontrent, juste à Chambers. Cela nous placerait à environ un pâté de maisons et demi du lieu de l'explosion. Cette zone vient d'être évacuée car la police a trouvé ce qu'elle décrit comme un engin suspect. Ils craignent que cela puisse conduire à une autre explosion. Il y a évidemment ici une réelle prudence de la part de la police. J'ai parlé avec des policiers il y a quelques instants, Chris. Et ils m'ont dit qu'ils avaient des raisons de croire que l'une des explosions du World Trade Center – outre celles qui auraient pu être causées par l'impact de l'avion avec le bâtiment – ​​aurait pu être provoquée par une camionnette garée dans le bâtiment qui pouvait contenir un certain type d'engin explosif. Ils craignent donc que des engins explosifs aient été placés soit dans le bâtiment, soit dans la zone adjacente. Et c’est pourquoi ils sont si prudents dans ce voisinage en ce moment.

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    12h09, reportage narratif

    « C'est pourquoi c'est si difficile pour eux dans cette région où nous sommes. Imaginez, ils sont venus ici à l’origine pour faire face à une crise. Ils ont installé des centres de commandement et ils avaient plusieurs de leurs chefs et plusieurs de leurs superviseurs dans la zone du bâtiment. Les deuxième et troisième explosions ont littéralement fait des ravages dans ces forces de terrain et dans ces centres de commandement. Ils ont donc dû faire marche arrière. Et maintenant, ils essaient de voir comment ils peuvent à nouveau aborder cette question.»

    16. John Bussey, collaborateur de CNBC, journaliste du Wall Street Journal

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    11 h 52, témoignage oculaire

    «Je m'apprêtais à parler avec Haines [inaudible], et l'incendie faisait rage dans les deux bâtiments. J'ai levé les yeux vers le bâtiment sud, le deuxième World Trade Center à être touché, et des explosions se produisaient dans le bâtiment. On aurait dit que des charges avaient été fixées à chaque étage et qu'elles s'éteignaient successivement. Or, ce n’est probablement pas ce qui se passait. Cela m'a juste semblé être ainsi. Le bâtiment a explosé étage après étage, et cela a probablement quelque chose à voir avec les dommages structurels causés par les avions qui l'ont frappé. Quand j’ai vu les explosions étage par étage, j’ai plongé hors du bureau où je me trouvais parce que les fenêtres donnaient directement sur le World Trade Center. Nous sommes situés dans le World Financial Center, juste en face des deux Trade Centers, de l'autre côté de West Street. Au moment où je sortais de dessous un bureau où je cherchais refuge, tout l'étage, toute la pièce où j'étais complètement dense de ciment et de fumée. Vous ne pouviez pas voir.

    Remarque : Ici, Bussey a commencé à interpréter les phénomènes dont il a été témoin comme un simple effondrement du bâtiment. Cependant, il ressort clairement de ce récit et de ses autres récits de l'événement (Source 1, Source 2) que son interprétation initiale était que des explosifs détruisaient le bâtiment.

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  29. 11h55, Reportage narratif

    « Nous étions si près du bâtiment qu’on pouvait le sentir frapper son épaule alors qu’il pleuvait. Mais nous étions du côté sûr du bâtiment – ​​beaucoup, beaucoup plus en sécurité que là où les pompiers se trouvaient de l’autre côté du bâtiment, directement exposés à l’explosion.

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    Remarque : Ici, Bussey a commencé à interpréter les phénomènes dont il a été témoin comme un simple effondrement du bâtiment. Cependant, il ressort clairement de ce récit et de ses autres récits de l'événement ( Source 1 , Source 2 ) que son interprétation initiale était que des explosifs détruisaient le bâtiment.

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    11h55, Reportage narratif

    « Nous étions si près du bâtiment qu'on pouvait le sentir heurter notre épaule.alors qu'il pleuvait. Mais nous étions du côté sûr du bâtiment – ​​beaucoup, beaucoup plus en sécurité que là où les pompiers se trouvaient de l’autre côté du bâtiment, directement exposés à l’explosion.

    17. Ron Insana, CNBC

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    12h41, témoignage oculaire

    "Eh bien, je descendais après que nous en ayons eu connaissance, vers 9h00 ou 8h55 ce matin, j'avais appelé pour voir si nous devions descendre et aider à la couverture. Et j'étais en train de descendre. Nous nous sommes approchés assez près du bâtiment et j'ai croisé un caméraman de MSNBC et nous essayions de traverser la ville en passant par le World Trade Center jusqu'à la Westside Highway, qui se trouve dans le coin inférieur sud-ouest de Manhattan, pour rencontrer nos collègues. de CNBC. Et alors que nous traversions l'une des zones réglementées, le bâtiment a commencé à exploser, je suppose que c'est la seule façon dont je pourrais le décrire. Il était difficile de dire s’il s’agissait d’une véritable explosion, mais le bâtiment a commencé à s’effondrer. . . . Nous avons entendu, nous avons entendu – je n’appellerais pas cela une explosion. Nous avons remarqué que le bâtiment commençait à exploser par le haut et que les matériaux commençaient à s'effondrer. . . . Et alors que nous nous tournions pour courir, le matériel a juste commencé à tomber. Et comme cette scène dansLe Jour de l'Indépendance , où le vent soufflait dans la rue à la suite d'une explosion, c'est exactement ce que nous avons vécu. Il descendait la rue, contournait les coins et soufflait avec une certaine intensité, encore une fois, Tyler, jusqu'à ce que le ciel soit complètement noir.

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    13h08, Eyewitness Reporting (apparaissant sur NBC)

    « Alors que nous nous dirigions vers le bâtiment, nous avons vu le sommet commencer à s'échapper dans un panache de fumée. Et nous avons entendu le bruit associé à une implosion.

    18. Bob Pisani, CNBC

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  30. 14h42, reportage narratif

    "Et la vraie panique,Je pense que dans mon esprit, Maria, j'étais dehors quand vous étiez quand la deuxième explosion s'est produite, parce que beaucoup de gens avaient été attirés par ce qui se passait. L'explosion a projeté des débris sur de nombreuses personnes. C’est à ce moment-là que la véritable panique a commencé.

    19. NJ Burkett, WABC

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    9 h 59 (heure d'antenne inconnue), témoignage oculaire

    « Et vous pouvez voir les deux tours – une énorme explosion qui fait pleuvoir des débris sur nous tous ! Nous ferions mieux de nous écarter !

    20. Michelle Charlesworth, WABC

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    10h10, Témoins oculaires et reportages narratifs

    «Je ne peux qu'espérer que les gens soient sortis de la zone par les trottoirs situés sous la tour sud avant qu'elle ne s'effondre. Mais ça a littéralement exploséet est tombé comme s'il avait été touché. Des panaches de fumée se dirigent vers le port. . . . Pour vous donner une idée de l'endroit où je me trouve, je me trouve à environ 20 ou 30 pâtés de maisons de l'endroit où cette dernière explosion vient de se produire.

    21. Nina Pineda, WABC

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    10h17, témoignage oculaire

    Bill Ritter : « Nina, je veux que tu décrives une fois de plus ce que tu as ressenti lorsque cette tour s'est effondrée. Qu’avez-vous ressenti sur le terrain ?

    Nina Pineda : « Nous nous trouvions probablement à environ trois pâtés de maisons, avançant vers les lieux pour essayer de rassembler des photos et des bandes vidéo. Et c’était comme si le sol tout entier tremblait. C'était comme ce que l'on ressent lors d'un tremblement de terre. Le sol tremblait, suivi de panaches et de panaches de fumée écrasante et de débris volants, de cendres et de morceaux de bâtiment. Alors que le sol tremblait. . .»

    Lori Stokes : « Y avait-il du son ?

    Pineda : « Il y a eu un énorme bruit de grondement, puis c'était juste comme un grondement. Mais cela ne ressemblait pas à une explosion. Cela ressemblait à un fort grondement. Et puis la prochaine chose que nous avons vue, ce sont les rues - l'apparence des rues était simplement envahie par la fumée, juste des panaches et des panaches de fumée comme une bombe avaient explosé, remontant la rue alors que les gens couraient pour se placer devant ces nuages. de fumée et ne fait pas un très bon travail.

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    10h18, Reportage narratif

    « Et ce que nous faisions lorsque l’explosion s’est produite, c’est tirer sur des morceaux de l’avion. Il y a des morceaux de l’avion sur Church Street.

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  31. 10h19, Reportage narratif

    «Quelques secondes avant l'explosion, il y avait un autre type d'intérêt renouvelé pour vraiment faire fuir les gens. Parce que, bien sûr, par curiosité, tout le monde essaie de prendre des photos du World Trade Center en feu. Ils ont commencé à crier : « Reculez ! Revenir! Il y a une autre explosion qui se produit. Je suppose qu'ils étaient avertis par leurs radios que le toit allait s'effondrer, car il a brûlé pendant près d'une demi-heure. Et ils ont crié pour que les gens reviennent. Ils ont commencé à crier : « Quittez Manhattan si possible. » Tout le monde quitte Manhattan si possible.

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    Heure inconnue, Narrative Reporting

    Pineda : « Les dames qui m'accompagnaient se trouvaient dans le premier bâtiment du World Trade Center et se sont enfuies par le hall où elles rapportent qu'elles croient qu'il y avait une bombe dans le hall. »

    Michelle Scott (témoin) : « Et même le tourniquet était brûlé et il collait. Et ils nous ont juste dit de fuir.

    Igarlow Sweezer (témoin) : « Et nous sortions, nous sommes passés devant le hall, il n'y avait pas de hall. Je crois donc que la bombe a touché le hall en premier, et quelques secondes plus tard, le premier avion a touché.

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    Heure inconnue, Narrative Reporting

    « Si vous pouvez voir derrière moi, il y a un instant, vous pouviez voir jusqu'au bout. Mais depuis la dernière explosion dont Jeff Rossen nous parlait, il fait à nouveau nuit. Ici, dans le quartier financier, c'était étrangement et sinistrement calme, car tout a été évacué.»

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    Heure inconnue, Narrative Reporting

    "La seule chose qui reste dans la rue, ce sont les chaussures des gens qui ont manqué de chaussures pour échapper aux bombes incendiaires et aux explosions."

    22. Cheryl Fiandaca, WABC


    10h38, témoignage oculaire

    « J'étais juste à côté de la Tour Sud. J'étais à environ deux pâtés de maisons. Ce n’était qu’une petite explosion, puis des roches, des débris et tout a commencé à tomber. »

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  32. Heure inconnue peu après 10 h 38, témoins oculaires et reportages narratifs

    « C'est vrai, nous étions à environ deux pâtés de maisons lorsque la deuxième explosion a eu lieu. Et tout ce que nous avons entendu, c'est juste une petite explosion. Et puisnous avons vu le rugissement d’une explosion et toutes sortes de fumées s’échapper, des débris tomber, des gens courir, les pompiers et la police criaient à tout le monde de courir alors que les débris tombaient et frappaient les gens.

    23. Joe Torres, WABC

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    Temps d'antenne inconnu, témoignage oculaire

    « À dix heures du matin, le photographe Glenn Mayrose et moi-même, ainsi que des agents du FBI, des policiers et des pompiers, nous pensions tous avec certitude qu'une bombe allait exploser sous nos pieds, à l'extérieur du 7 World Trade Center. Nous avons couru vers le nord, sur Church Street, pour sauver notre vie. Nous ne savions pas que le sommet d’une des Twin Towers venait d’exploser. . . . Alors que d'autres se retournaient avec choc et horreur, nous avons commencé une autre interview avec un ingénieur de l'autorité portuaire.qui a travaillé au World Trade Center et nous a parlé de la force et de l'intégrité des gratte-ciel. Puis, tout à coup, la deuxième tour a éclaté sous nos yeux.

    24. Carol Marin, journaliste de CBS apparaissant sur WCBS

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    10h59, Reportage narratif

    Carole Marin :«Après la chute de la deuxième tour, j'essayais de me frayer un chemin vers une équipe de CBS ou d'essayer d'aider les équipes de CBS si je le pouvais. Et puis, je ne sais pas ce que c'était, John. Mais une autre explosion, une explosion de feu roulante, une colonne de feu roulante vers nous. Mon respect pour les pompiers et la police ne connaissait déjà aucune limite étant donné le danger, il dépasse maintenant ce que je pensais pouvoir, car un pompier m'a jeté contre le mur d'un immeuble, m'a couvert de son corps alors que les flammes s'approchaient de nous. Et un autre policier de New York nommé Brendan Duke, où qu'il soit, m'a fait traverser la fumée qu'aucun de nous ne pouvait voir à plus d'un pied devant nous. Il y a encore du monde là-dedans. Excusez-moi, j'ai respiré pas mal de suie. Le personnel, la police et les pompiers qui travaillent là-bas le font contre des obstacles vraiment dangereux.

    John Slattery : « Où étiez-vous à ce moment-là ?

    Marin : « J'étais... n'étant pas new-yorkais, tu vas devoir m'aider ici. Je suis arrivé au lycée Stuyvesant et dans cette rue à l'extrémité nord. Et je suis venu et j'ai demandé si quelqu'un avait vu une équipe de CBS. Et j'ai été dirigé par un pompier qui m'a dit : « Marchez au milieu de la route, parce que vous ne savez pas ce qui va arriver ». À ce moment-là, nous avons entendu un grondement comme je n’en avais jamais entendu auparavant et un pompier a couru vers moi. Nous avons couru aussi vite que possible. J'ai perdu mes chaussures. Je suis tombé. Il m'a soulevé et m'a plaqué contre un mur et m'a couvert de lui jusqu'à ce que nous puissions nous mettre plus en sécurité.

    John Slattery : « Était-ce dû au premier souffle ou au second ?

    Carol Marin : « John, j'ai regardé ma montre. Il était environ 10h44, c'est ce qu'indiquait ma montre. C’était donc après la deuxième tour, je pense, l’explosion de la deuxième tour.

    Remarque : Le récit de Marin se concentre sur l'une des nombreuses explosions largement corroborées qui se sont produites entre 10 h 38 et 11 h 30 après la chute des deux tours. Cependant, les reportages de Marin la qualifient de journaliste sur les explosions des Twin Towers.parce qu'elle fait référence à « la deuxième explosion de la tour », et il est clair qu'elle interprète la destruction des tours comme un événement basé sur une explosion.

    25. John Slattery, WCBS

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  33. 11 h 44, reportage narratif

    « Il y a eu beaucoup de larmes. Il y avait énormément d’angoisse.Et puis, avec les explosions qui ont suivi, et lorsqu’une partie du World Trade 1 a touché le sol, il y a eu une énorme explosion, un nuage de fumée et de débris qui a commencé à se déplacer vers le nord.

    26. Marcella Palmer, WCBS

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    Heure inconnue, témoignage oculaire

    Marcella Palmer : « Nous avons entendu une autre explosion. Et je suppose que c'est celui qui venait du niveau inférieur, puisqu'il y en avait deux.

    Présentateur non identifié : « N’est-ce pas, parce que c’était à environ 18 minutes d’intervalle ? »

    Palmer : « Eh bien, c'est... non, la première explosion, puis il y a eu une deuxième explosion dans le même bâtiment. Il y a eu deux explosions.

    27. Vince DeMentri, WCBS

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    Heure inconnue, Narrative Reporting

    « Très difficile à respirer,mais regarde autour de toi. Cela devait être Ground Zero, là où cette chose a explosé. Voiture après voiture après voiture, bus, complètement brûlés et anéantis jusqu’à l’acier.

    28. Walter Pérez, WNBC

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    9 h 59, témoignage oculaire

    « Nous ne savons pas exactement ce qui s'est passé, mais il y a eu une autre explosion de l'autre côté de l'un des bâtiments d'où nous nous trouvons. La réverbération — et une autre explosion sur le côté droit ! Un autre bâtiment s'est élevé sur le côté droit de la route. Les gens courent désormais dans la rue. Nous ne savons pas s’il s’agissait d’une autre explosion ou s’il s’agissait de débris avancés.

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  34. 10h00, témoignage oculaire

    « À ce stade, comme vous pouvez le constater, c'est un véritable chaos dans cette région à cause de ce qui vient de se passer. Exactement quoi, je ne peux pas confirmer. Mais de l'autre côté du bâtiment, il semblait y avoir eu une autre explosion et, également, du côté droit, il y avait aussi une autre explosion. Nous ne savons pas s'il s'agit d'une réverbération supplémentaire de ce qui s'est passé au World Trade Center ou s'il s'agit d'une explosion supplémentaire. À ce stade, il y a beaucoup de fumée, d’énormes panaches de fumée qui tombent du bâtiment d’en face. Les gens qui couraient dans la rue ou marchaient s'enfuient maintenant. Nous n'avons aucune information sur les réverbérations les plus récentes. Mais à deux pâtés de maisons, on pouvait ressentir ce qui se passait.

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    10h27, témoignage oculaire

    « Comme vous pouvez l’imaginer, c’était une scène assez frénétique ici. Il y a quelques instants, je dirais il y a environ 20 minutes, nous ne savons pas exactement de quoi il s'agissait, nous ne l'avons pas confirmé.Mais quelque chose a explosé ou est tombé du côté du bâtiment attaqué, provoquant un énorme panache de fumée.»

    29. Kristen Shaughnessy, NY1

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    9 h 59, témoignage oculaire

    "Oh, ça vient juste de tomber, Pat. C'est juste en train de descendre. Ça explose. Cela gonfle. Pat, les débris volent. Je vais courir."

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    10h42, Reportage narratif

    «Bonjour encore, Pat. En fait, je suis juste en face de la mairie, je n'ai pas besoin de vous le dire. Avec cette deuxième explosion, la poussière ne semblait pas aussi grave.

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    10h43, Reportage narratif

    « C'est incroyable parce qu'on entend ces explosions. En fait, je viens d'en entendre un autre – je ne sais pas si c'était comme une séquelle ou autre – juste pendant que vous étiez au téléphone pour parler de la fermeture des écoles. Ce n'était évidemment pas aussi grand que les autres. Mais ça a quand même fait trembler tout le monde ici, et je suis évidemment de l'autre côté du World Trade Center, de l'autre côté de la ville. Et c'est tout simplement incroyable.

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    10h45, Reportage narratif

    Kristen Shaughnessy : « J'entends une autre explosion, juste pour que vous le sachiez. J'entends un autre grondement. Ce n'est pas aussi grave que les autres. Mais je ne sais pas si vous avez des photos.

    Sharon Dizenhuz : « Nous avons une photo et nous ne voyons rien au-delà des énormes volutes de fumée qui sont là. Mais pas de sursauts supplémentaires depuis notre point d’observation.

    Shaughnessy : « D'accord, je ne voulais pas vous interrompre, Sharon.Ce que vous pouvez ressentir lorsque ces tremblements surviennent, c’est qu’ils surgissent littéralement sous vos pieds. C'est ce que l'on ressent. C’est la meilleure façon que je connaisse de le décrire.

    30. Andrew Siff, NY1

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  35. 10h12, témoignage oculaire

    Sharon Dizenhuz : « Andrew, quand vous avez vu cela se produire, à quoi cela vous a-t-il semblé de près ? Parce que pour nous, cela ressemblait presque à des dominos, vous savez, allant étage après étage.

    Andrew Siff : « Au début, c'était un peu difficile de comprendre ce qui se passait. Nous avons entendu une explosion. Nous avons entendu soit une explosion, soit le bruit de quelque chose ayant un impact. Nous étions au milieu. J'étais avec l'assistant de presse Jason Post et nous marchions dans West Street. Et quand nous avons entendu le bruit, nous nous sommes retournés et n’avons vu qu’un simple flambement de la tour.Et on aurait dit qu'il s'était effondré sur lui-même. On pouvait juste voir le sommet de la tour s'effondrer. Nous ne pouvons pas dire d’ici ce qui est arrivé à la moitié inférieure de la tour.

    31. John Schiumo, NY1

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    10h18, Reportage narratif

    "Il y a une autre explosion au moment où nous parlons!"

    Remarque : Bien que le phénomène décrit par Schiumo se produise entre la destruction des deux tours, ce qui est arrivé à la tour sud à 9h59 et à la tour nord à 10h28, nous le classons comme journaliste d'explosion car il y fait référence comme " une autre explosion »- suggérant ainsi qu'il avait compris la destruction de la tour sudêtre un événement basé sur une explosion – et parce que l’explosion qu’il décrit pourrait provenir de la tour Nord et être liée à sa destruction éventuelle 11 minutes plus tard.

    32. Andrew Kirtzman, NY1

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    11 h 11, reportage narratif

    « Le maire Giuliani est apparu il y a environ 45 minutes sur Chambers Street, près de Church Street. Nous avons commencé à remonter Church Street lorsque le deuxième bâtiment s'est effondré et qu'un énorme panache de fumée s'est envolé dans les airs, et le maire et son groupe ont commencé à courir sur la 6e Avenue. Un détective en civil a passé son bras autour du maire Giuliani alors que nous décollions, ne sachant pas quelles seraient les répercussions d'une deuxième explosion.

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    11 h 12, reportage narratif

    « Et pendant environ 10 minutes, ils ont tenté de s'introduire par effraction dans la caserne des pompiers alors que le maire et le commissaire de police attendaient pour mettre en place un centre d'opérations.C'est... je voulais en quelque sorte dresser un tableau de l'opération du siège du pantalon qu'ils ont été obligés de construire ici à cause de l'explosion du centre-ville.

    33. Jack Kelley, USA aujourd'hui

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    Heure inconnue apparemment vers 17h30, rapport basé sur la source

    Jack Kelley : « Apparemment, ce qui semble s'être produit, c'est qu'au même moment deux avions ont frappé le bâtiment, que le FBI pense très probablement qu'il y avait une voiture ou un camion rempli d'explosifs sous le bâtiment qui a également explosé au même moment et les a fait tomber tous les deux.

    Présentateur de USA Today : « C'est la première fois que nous entendons cela. Donc deux avions et des explosifs qui se trouvaient dans le bâtiment, c’est exact ?

    Kelley : « C’est la théorie de travail à ce stade. Cela n’est pas encore confirmé, mais c’est ce que fait le FBI à ce stade. »

    34. Premier journaliste non identifié à la conférence de presse de Giuliani et Pataki

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  36. 14h43, Reportage narratif

    « Savez-vous déjà quelque chose sur la cause des explosions qui ont fait tomber les deux bâtiments ? Est-ce que c'est dû aux avions ou à autre chose ? Ces secondes explosions.

    35. Marcia Kramer, WCBS, à la conférence de presse de Giuliani et Pataki

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    14h44, Reportage narratif

    "M. Maire, pourriez-vous nous dire si vous vous attendez à de nouvelles attaques sur New York ? Y a-t-il quelque chose qui indique qu’il pourrait y avoir plus de bombes, plus d’avions ? Je sais qu'à l'origine, il y avait un rapport selon lequel huit avions avaient été détournés. Quatre seulement ont été recensés. Et les quatre restants ? Et y a-t-il une possibilité qu’il y ait des bombes au sol posées par quelqu’un ?

    Remarque : Kramer était en studio lorsque la destruction des Twin Towers a eu lieu, mais s'est ensuite rendu sur le terrain pour réaliser des reportages, notamment pour assister à la conférence de presse de l'après-midi avec le maire Giuliani et le gouverneur Pataki. En regardant la destruction de la première tour depuis le studio le matin, Kramer a émis l'hypothèse qu'elle avait été causée par une explosion ou une bombe, ce qui explique la raison de ses questions lors de la conférence de presse.

    À 10 h 02, trois minutes après la destruction de la première tour, elle a déclaré : « À l'heure actuelle, la police doit déterminer si cette explosion a été provoquée par l'impact initial de l'avion ou si c'est quelque chose qui a explosé au sol. . D'une manière générale, qu'un bâtiment s'effondre ainsi sur lui-même, cela semble indiquer — évidemment, ce ne sont que des spéculations préliminaires — mais cela semble indiquer qu'il aurait pu y avoir une explosion, une bombe posée au sol, que ferait s’effondrer le bâtiment en lui-même. Puis, à 10 h 14, elle a déclaré : « Eh bien, nous avons un certain nombre de mises à jour. Numéro un : CNN rapporte maintenant qu'il y a eu une troisième explosion au World Trade Center, probablement une explosion venue du sol qui a provoqué l'effondrement du World Trade Center 1 sur lui-même. Encore une fois, il y a eu une troisième explosion. On ne sait pas exactement ce qui l'a causé, s'il s'agissait d'une bombe ou si le premier avion qui s'est écrasé sur la tour avait été piégé avec une bombe qui avait été programmée pour exploser plus tard après l'accident. Mais CNN rapporte qu'il y a eu une troisième explosion qui a provoqué l'effondrement du World Trade Center 1 sur lui-même, puis sur d'autres bâtiments environnants.

    Ceci est un bref aperçu de la façon dont CNN et l’un des présentateurs du WCBS ont interprété la destruction des Twin Towers. Dans notre prochain article, nous approfondirons la manière dont les présentateurs de chacun des réseaux ont interprété la destruction des Twin Towers.

    36. Deuxième journaliste non identifié à la conférence de presse de Giuliani et Pataki

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    14h54, reportage narratif

    « Donc, la seule Garde nationale que nous verrons sera dans le Lower Manhattan, dans la zone du site de la bombe, et elle ne patrouillera pas dans le reste de Manhattan ? »

    Annexe B : Déclarations de quatre journalistes non spécialisés dans les explosions
    1. Don Dahler, ABC

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  37. 10:00 DU MATIN

    Peter Jennings : « [Don] Dahler de Good Morning America sur ABC est dans les environs. [Don], peux-tu nous dire ce qui vient de se passer ?

    Don Dahler : « Oui, Peter. C'est Don Dahler ici. Je suis à quatre pâtés de maisons au nord du World Trade Center. Le deuxième bâtiment touché par l’avion vient de s’effondrer complètement. Le bâtiment tout entier vient de s’effondrer, comme si une équipe de démolition était partie – quand on voit les anciennes démolitions de ces vieux bâtiments. Il s’est replié sur lui-même et il n’est plus là.

    Jennings : "Merci beaucoup, [Don]."

    Dahler : « Il s’est complètement effondré. »

    Jennings : « Tout le camp s’est effondré ? »

    Dahler : « Tout le bâtiment s’est effondré ! »

    Jennings : « Tout le bâtiment s'est effondré ? »

    Dahler : « Le bâtiment s’est effondré. »

    Jennings : « C'est de la tour sud dont vous parlez ? »

    Dahler : « Exactement. Le deuxième bâtiment dans lequel nous avons vu l'avion entrer était celui-ci : la moitié supérieure avait été entièrement impliquée dans les flammes. Il vient de s'effondrer. C'est la panique dans les rues. Des milliers de personnes courent dans Church Street, ce que je regarde, essayant de s'enfuir. Mais l'ensemble - du moins d'après ce que je peux voir, la moitié supérieure du bâtiment - au moins la moitié, je ne peux pas voir en dessous - la moitié a juste commencé avec un gigantesque grondement, replié sur lui-même, et effondré dans un énorme panache de fumée et de poussière.

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    10h02

    Jennings : « La tour sud, à 10h00, heure de l'Est ce matin, s'effondre sur elle-même. C'est un endroit où travaillent des milliers de personnes. Nous n'avons aucune idée de la cause de cela. Quiconque a déjà assisté à la démolition volontaire d'un bâtiment sait que si vous voulez le faire, vous devez vous attaquer aux infrastructures souterraines d'un bâtiment et le démolir.»

    Dahler : « Pierre ? »

    Jennings : "Oui, Dan."

    Dahler : « Ce qui semblait se produire depuis mon point d'observation, c'est que la partie supérieure du bâtiment était totalement impliquée dans un incendie, et il ne semblait y avoir aucun effort possible pour éteindre cet incendie. Il semblait que la partie supérieure du bâtiment avait été tellement affaiblie par l'incendie que son poids avait fait s'effondrer le reste du bâtiment. C'est ce qui semble se produire. Je n'ai rien vu se passer au pied du bâtiment. Tout semblait commencer par le sommet, puis le reste du bâtiment s'effondrait sous le simple poids de celui-ci. Il n’y a eu aucune explosion ou quoi que ce soit à la base. Mais j’ai vu que la partie supérieure commençait à s’effondrer. Les murs ont commencé à se gonfler, des objets en verre sont sortis. Et puis il s’est effondré sur lui-même. Et puis il a semblé se replier à partir de là, tout en haut.

    Jennings : « Merci, Don, beaucoup. »

    2. Drew Millhon, ABC

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  38. 11h09

    «J'étais au coin de Varick et Canal, à environ 10 à 12 pâtés de maisons au nord du World Trade Center, où environ 300 à 400 personnes étaient rassemblées pour regarder les flammes et la fumée des deux World Trade Center se propager dans les airs. Et j'ai commencé à traverser la rue et j'ai entendu un cri collectif venant de ce groupe de personnes. Et j'ai levé les yeux et le premier World Trade Center qui s'est effondré était en train de s'effondrer. Le cri dura assez longtemps. Et puis beaucoup de ces gens sont tombés en larmes, pleurant et sanglotant. «Je ne sais pas où est ma mère. Je ne sais pas où sont mes amis. Ce genre de chose a été entendu partout dans cette foule.

    3. Bob Bazell, NBC

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    10h08

    « En fait, j’étais debout et j’ai vu cet effondrement. Et tout le monde ici [à l'hôpital St. Vincent, sur la 12e rue Ouest ] a eu le souffle coupé. Même les travailleurs médicaux et les ambulanciers, quand ils ont vu cela, des gens habitués à la tragédie, se sont saisis et se sont serrés dans les bras. Et certains ont commencé à pleurer.

    4. John Zito, MSNBC

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    10h36

    Chris Jansing : « Avez-vous pu ressentir l'effondrement de cette deuxième tour ? »

    John Zito : « La deuxième tour, non. Mais la première tour qui s'est effondrée, j'étais très proche, je dirais à environ cinq pâtés de maisons. Et Ron Insana de CNBC et moi essayions de nous connecter à un camion ou de trouver un contact NBC là-bas. Et nous étions très près du moment où cette tour s’est effondrée. Et des débris sont tombés en pluie, et Ron et moi avons tous deux couru nous mettre à l'abri. J'ai réussi à pénétrer dans une alcôve de bâtiments. Et tous les échafaudages autour se sont effondrés devant moi et ont cassé la vitre à côté de moi. Et je suis monté à l’intérieur et j’y suis resté environ 10 minutes. Je ne pouvais pas sortir de là. Il faisait noir dehors. »

    Annexe C : Cas limites
    Cette annexe contient trois cas limites qui, selon nous, ne pouvaient pas être clairement classés comme déclarant une explosion ou une non-explosion.

    1. Minah Kathuria, NBC
    Kathuria est un cas limite car il n'est pas clair si elle soupçonne la destruction de la tour sud d'être une démolition ou si elle compare simplement la destruction à une démolition dans son apparence. Dans le cas de Don Dahler, qui figure à l'Annexe B en tant que journaliste non-explosion, il est clair qu'il a finalement interprété la destruction comme un effondrement provoqué par un incendie, même s'il a comparé la destruction à une démolition dans son apparence.

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  39. 10h11

    « Nous sommes au coin de Duane et de West Broadway, en direction des Twin Towers, et elles viennent de s'effondrer. Cela ressemblait à un... cela ressemblait un peu au bâtiment qui venait d'être démoli. De la fumée, des nuages ​​– je veux dire, des nuages ​​de fumée partout.

    2. Brian Palmer, CNN
    Palmer est un cas limite car Aaron Brown de CNN lui demande si cela ressemblait à une explosion ou simplement au bruit de l'effondrement lui-même, et il ne privilégie pas une interprétation par rapport à l'autre, et il décrit le son comme un « boum ». ce qui n'était pas, à notre avis, suffisamment fort pour le classer parmi les journalistes d'explosions. Nous considérons Palmer comme étant distinct d'Alan Dodds Frank, qui, bien qu'il ne se soit pas prononcé sur une interprétation plutôt que sur une autre, a volontiers affirmé la possibilité que la destruction des tours était un événement basé sur une explosion.

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    10h41

    Aaron Brown : « Brian, est-ce qu'on aurait dit qu'il y avait eu une explosion avant le deuxième effondrement, ou le bruit était-il l'effondrement lui-même ?

    Brian Palmer : « Eh bien, de notre distance, je n'étais pas capable de faire la distinction entre une explosion et l'effondrement. Nous étions à plusieurs centaines de mètres. Mais nous avons clairement vu le bâtiment s'effondrer. J'ai entendu votre rapport faisant état d'une quatrième explosion : je ne peux pas le confirmer. Mais nous avons entendu un 'boum' et le bâtiment s'est replié sur lui-même.»

    3. Maria Bartiromo, CNBC
    Bartiromo est un cas limite car elle utilise à plusieurs reprises le mot « explosion » et sa description de ce dont elle a été témoin corrobore l'hypothèse de l'explosion, mais bien qu'elle utilise le mot « explosion » pour décrire ce dont elle a été témoin, elle l'attribue au bruit des bâtiments. s'effondrer.

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    10h14

    Maria Bartiromo : « Maintenant, je me trouve sur le parquet de la bourse. Mais je viens de rentrer de dehors et je suis couvert de suie. En gros, j'étais dehors lorsque cette troisième explosion s'est produite. . . . La zone entière est devenue noire lorsque cette troisième explosion s’est produite. . . . Je ne sais pas si vous pouvez voir ma veste et mes chaussures, mais je suis complètement recouvert de fumée blanche provenant de cette troisième explosion.

    Ancre non identifiée : « Maria, sais-tu quelle était cette explosion ? »

    Bartiromo : "C'était environ 10 heures, je dirais il y a 15 minutes."

    Ancre non identifiée : « Mais savez-vous quelle est la cause ? »

    Bartiromo : "Non, je ne le fais pas."

    Mark Haines : « En ce moment, Maria – et pour les personnes qui vous accompagnent – ​​en ce moment, il y a des témoins oculaires qui pensent qu'il y a un autre avion, un troisième avion. . .»

    Bartiromo : « Oui, certaines personnes disent ça. . .»

    Haines : « . . . a frappé la base de la tour sud.

    Bartiromo : « J’avais l’impression qu’il s’agissait simplement de l’effondrement du bâtiment. Mais certaines personnes le spéculent. Je ne voulais pas dire ça parce que. . . .»

    Haines : « Au moment où cela s'est produit, nous avions le signal de MSNBC et nous pouvions entendre les gens crier « un troisième avion, un troisième avion ». Et puis il y a eu une explosion – « un autre avion, un autre avion », et il y a eu une explosion.

    Bartiromo : « C'est vrai. Et j’étais dehors lors de cette explosion.

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  40. 10h49

    « La deuxième explosion dont j'ai été témoin a eu lieu vers 10 heures du matin et, rétrospectivement, c'était l'effondrement de cette tour. Et encore une fois, des débris sont tombés sur nous. Toute la zone est devenue noire. Tout ce que nous pouvions voir, c'était de la fumée. Nous ne pouvions même pas respirer pratiquement. Nous fermions les yeux. En fait, je suis passé sous le bâtiment de la Bourse de New York.

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    12h24

    «Je suis sorti il ​​y a peu de temps. Il y a de la poussière, de la poussière blanche, aussi épaisse sur le sol. Des débris et de la fumée se sont déposés après les explosions. Je vous ai mentionné plus tôt dans le reportage que j'avais moi-même été témoin de deux de ces explosions. Le premier dont j’ai été témoin a eu lieu lorsque le deuxième avion est entré dans la deuxième tour. Et vraiment, c’était tout droit sorti d’un film. Cet avion entre directement et fait un trou dans la deuxième tour. La deuxième chose dont j'ai moi-même été témoin, c'est l'effondrement ultérieur de l'une des tours. Et cette énorme détonation à Wall Street. Tout le monde a couru pour sauver sa vie.

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    13h01

    «J'étais dehors il y a peu de temps. On dirait presque qu'il y a de la neige au sol. Il y a des tas, et en réalité juste une épaisse couche de poussière – de la poussière blanche et blanche – provenant de l’explosion. . . . Puis environ 15 minutes plus tard, je suis retourné dehors, pensant que c'était à nouveau en sécurité. Et voilà, j'ai été témoin de la troisième explosion, qui bien sûr était le bruit de l'effondrement de la tour. Et à ce moment-là, quand j’ai entendu la tour s’effondrer, encore une fois, c’était un énorme, énorme bruit sourd et d’explosion. Vous regardez la scène en ce moment. Et c'est ce que nous regardions tous. Le bâtiment s'est effondré. Nous avons tous couru pour sauver notre vie. Du métal, des papiers et des débris nous volaient au visage.

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    13h37

    «Puis, 10 ou 15 minutes plus tard, je suis ressorti là-bas en pensant que, vous savez, nous avions vu le pire. Et bien sûr, il y a eu une troisième explosion. Et cette troisième explosion était le bruit de l’effondrement de la deuxième tour.

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    14h42

    " Bob et moi avons fait une promenade ensemble dehors et nous sommes revenus vraiment, vraiment couverts de tout cela plus tôt, lorsque j'ai été témoin de cette troisième explosion, la troisième explosion étant l'effondrement d'une des tours."

    *

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  41. Ted Walter est le directeur de la stratégie et du développement d'AE911Truth. Il est l'auteur de la publication 2015 d'AE911Truth Beyond Misinformation: What Science Says About the Destruction of World Trade Center Buildings 1, 2, and 7 et de sa publication 2016 World Trade Center Physics: Why Constant Acceleration Disproves Progressive Collapse et co-auteur de AE911Truth 2017. évaluation préliminaire de l'effondrement du bâtiment Plasco à Téhéran . Il est titulaire d'une maîtrise en politiques publiques de l'Université de Californie à Berkeley.

    Graeme MacQueen a obtenu son doctorat. en études bouddhistes de l'Université Harvard et a enseigné au département d'études religieuses de l'Université McMaster pendant 30 ans. À McMaster, il est devenu directeur fondateur du Centre d'études sur la paix à McMaster, après quoi il a contribué au développement du programme de baccalauréat en études sur la paix et a supervisé le développement de projets de consolidation de la paix au Sri Lanka, à Gaza, en Croatie et en Afghanistan. D'autres travaux dans le corpus de recherche historique de MacQueen sur le 11 septembre comprennent : 118 Témoins : le témoignage des pompiers sur les explosions dans les tours jumelles ; En attendant sept : avertissements concernant l'effondrement du WTC 7 dans les histoires orales du FDNY ; La terre a-t-elle tremblé avant que la tour sud ne touche le sol ? ;Témoignage oculaire de la destruction explosive des tours jumelles ; et connaissance préalable de l'effondrement du bâtiment 7 .

    https://www.globalresearch.ca/how-36-reporters-brought-us-twin-towers-explosive-demolition-911/5718119

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  42. Le nucléaire durable de quatrième génération : une nécessité morale

    Le nucléaire durable de quatrième génération est une solution éthique et écologique pour l’avenir.


    le 6 avril 2023
    Michel Gay


    Cet article s’inspire de points saillants du livre de Claire Kerboul L’urgence du nucléaire durable à mettre entre les mains du plus grand nombre.

    Le nucléaire actuel n’est pas durable. Le développement du nucléaire durable de quatrième génération pour fournir à la France l’énergie dont elle a besoin, en économisant la ressource, reste à mettre en œuvre. Et bien que les échéances paraissent encore lointaines à certains décideurs, c’est une nécessité morale urgente au regard des futures générations pour ne pas épuiser, au cours de ce siècle, le seul élément fissile sur Terre, l’uranium 235.

    Durable ?

    Le nucléaire actuel est une source d’énergie peu émettrice de gaz à effet de serre pour produire de la chaleur et de l’électricité mais il utilise très mal la ressource : 1 % de l’uranium naturel. Ce dernier est composé de 99,3 % d’uranium 238 (U238), et de 0,7 % d’uranium 235 (U235).

    Et l’U235 est le seul élément terrestre, un don de Dieu (?), qui permet d’initier et d’entretenir une réaction nucléaire en chaîne dans les réacteurs. Sans lui, il ne serait plus possible de démarrer et d’entretenir une réaction nucléaire en chaîne, y compris avec du thorium, nulle part dans le monde.

    De plus, le nucléaire actuel produit des déchets radioactifs de haute activité à vie longue (transuraniens) qui pourraient être fissionnés dans un réacteur durable pour produire de l’électricité. Les seuls déchets ultimes à vie beaucoup plus courte (quelques dizaines d’années) seraient les produits de fission.

    Le nucléaire actuel n’est donc pas durable…

    Or, celui-ci existe et son développement doit se préparer maintenant afin de ne pas « brûler » définitivement au cours de ce siècle la seule matière fissile naturelle sur Terre à l’origine de toutes les réactions nucléaires, l’U235.

    Cette exigence de durabilité implique, comme pour toute filière de production industrielle, d’utiliser avec parcimonie la ressource naturelle et de minimiser les déchets ultimes produits.

    Voici un conte horrible

    Un jeune fermier hérite d’une belle ferme dotée de meubles, de charrettes et d’outils. Étant imprévoyant et adepte de la facilité, pour se chauffer il décide de brûler dans sa cheminée les meubles, les charrettes et les manches d’outils ainsi que tous les objets en bois de la ferme parce que c’est plus simple et moins cher que d’aller le scier dans l’immense forêt pourtant proche.

    Il décide aussi d’aller vendre à bas prix ce petit bois sur le marché extérieur (à l’export). Les affaires sont prospères car les autres vendeurs des fermes environnantes utilisent le bois de forêt qu’il faut extraire avec peine. Aussi décident-ils tous de briser les meubles, les manches d’outils, les charrettes et même les charpentes de leur ferme parce que c’est effectivement plus simple et qu’ils deviennent ainsi concurrentiels.

    Vendeurs et clients, cherchant toujours les prix les plus bas, sont satisfaits durant « un certain temps » de ce commerce de bon bois sec qui brûle bien.

    Soudain, les fermiers s’aperçoivent tous ensemble que la ressource s’est tarie dans leur ferme. Mais il ne reste plus d’outil ni de charrette pour extraire le bois de l’immense forêt et il n’y a plus aucun bois de chauffe à acheter nulle part.

    Au milieu de leur ferme détruite et vide, dans le froid de l’hiver et sous la pluie, il ne reste plus aux fermiers qu’à gémir sur leur imprévoyance, et aux clients à maudire leur avidité qui les a rendus aveugles.

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  43. Ce conte désespérant représente exactement la situation de l’énergie nucléaire actuelle en France et dans le monde.

    Les fermiers sont les décideurs politiques de la stratégie énergétique des fermes-États.

    Le bois « de ferme » est l’uranium 235 (U235).

    L’immense forêt est l’uranium 238 (U238) dont la gigantesque énergie durable ne peut être extraite que grâce à l’outil U235… tant qu’il existe.

    Les clients sont les États qui achètent des centrales nucléaires de troisième génération bon marché consommant l’U235, rare dans la nature au regard de l’U238 cent fois plus abondant.

    La morale de cette histoire : arrêtons de brûler les meubles (l’U235) de la maison Terre pour se chauffer et allons utiliser le bois de chauffe disponible (U238) dans l’immense forêt proche !

    Des neutrons « lents » et « rapides »

    Les réacteurs nucléaires dits « à neutrons lents » (RNL) de deuxième génération (REP) et troisième génération (EPR) actuellement en exploitation ont l’avantage de produire aujourd’hui l’électricité pilotable décarbonée (4 grammes de gaz carbonique par kilowattheure (gCO2/kWh) en France et 12 gCO2/kWh dans le monde) la moins chère, avec celle issue de l’hydraulique des barrages.

    L’électricité nucléaire produit deux fois moins de gaz carbonique que l’éolien (10 gCO2/kWh), 12 fois moins que le photovoltaïque (30 g), 100 fois moins que le gaz (418 g), 200 fois moins que le pétrole (730 g), et 250 fois moins que le charbon (1058 g). Et l’occupation au sol du nucléaire est 50 à 300 fois moindre que celle des autres sources d’énergie bas carbone pour une même production d’électricité.

    Mais les réserves de l’uranium naturel (contenant seulement 0,7 % d’U235) actuellement consommé par ces réacteurs « RNL » sont estimées à environ un siècle à peine pour le parc mondial actuel appelé à croître de 45 % d’ici à 2040 (chiffres 2020 de l’Agence Internationale de l’Énergie).

    Cet immense gaspillage des RNL depuis une cinquantaine d’années n’est pas « durable » car ces réacteurs utilisent moins de 1 % de l’uranium naturel, alors que 100 % (100 fois plus !) pourraient être utilisés dans la quatrième génération de réacteurs dits « à neutrons rapide » (RNR) qui, elle, est durable.

    Dans le nucléaire, 238 vaut 100 fois plus que 235 !

    Le mot durable doit s’entendre dans la définition que lui donne l’ONU pour la première fois, en 1987, afin de définir le développement durable : « développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs ».

    Attention : Un RNR est « durable » non pas uniquement parce qu’il est « durable dans le temps », mais aussi parce qu’il économise beaucoup la ressource et réduit sensiblement la production de déchets, selon la définition première de l’ONU en 1987.

    Le renouvelable n’est pas nécessairement durable

    Les centaines de milliards d’euros engloutis en Allemagne et en France dans le développement à marche forcée des énergies renouvelables éoliennes et photovoltaïques par nature intermittentes et aléatoires (EnRI), ainsi que la prévision, insuffisante pour le moment, de lancement de la construction d’une douzaine de RNL « EPR2 » risquent de conduire la France à manquer d’énergie et notamment d’électricité dans quelques dizaines d’années.

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  44. Elle dispose pourtant sur son sol d’une énorme quantité de matière énergétique pour des RNR (plus de 400 000 tonnes d’uranium, soit deux fois les réserves mondiales en équivalent pétrole) qui permettrait d’assurer ses besoins en électricité pendant des milliers d’années.

    L’impact important des panneaux photovoltaïques et éoliennes, dites « énergies renouvelables », sur les ressources en terres rares, leurs conséquences environnementales et leur bilan carbone global qui n’est pas favorable au climat avec leurs externalités (batteries, centrales de compensation au gaz et au charbon) illustrent la différence de sens entre renouvelable et durable.

    Ces EnRI ne peuvent pas suivre les variations de la demande et doivent être complétées le plus souvent par des moyens thermiques alimentés en énergie fossile, ce qui dégrade significativement le bilan carbone du système complet. Leurs productions ingérables nécessitent d’immenses stockages (inexistants) d’électricité, et ne sont donc pas « durables ».

    L’hydroélectricité serait une bonne solution partielle de stockage mais son potentiel est limité par le nombre de sites disponibles.

    Les EnRi sont des solutions malhonnêtes qui brouillent parfois les esprits en France et en Europe.

    Dans ces conditions, le nucléaire durable des RNR apparaît alors comme LA seule solution pour fournir sur le long terme une électricité décarbonée, massive, propre, largement pilotable et disponible à toute heure, jour et nuit, afin de prendre le relais des actuels réacteurs RNL (REP et EPR).

    Pourtant, dans certains cercles de pouvoir, dans de nombreux grands médias, et y compris au sein même d’institutions d’enseignement, il est littéralement impensable que le nucléaire puisse être une ressource énergétique vertueuse ! L’opinion et les croyances y surpassent le savoir.

    Pourquoi ce gâchis ?

    Au début de l’aventure électronucléaire, économiser la ressource qui était bon marché et réduire les déchets n’était pas la priorité.

    Le seul argument qui va prévaloir pendant des décennies, et encore aujourd’hui, sera économique. Seule une augmentation excessive du coût de l’uranium aurait pu justifier la construction de RNR, ce qui ne sera pas le cas. L’uranium naturel est aujourd’hui toujours bon marché et ne compte quasiment pour rien (environ 5 %) dans le coût de production, et 2 % dans le prix de vente aux particuliers. Le déni de la finitude des ressources naturelles et son gaspillage continuent.

    La recherche du prix le plus bas a conduit EDF à privilégier les RNL pour être compétitif face au gaz bon marché à l’époque, et surtout au charbon toujours très bon marché.

    Le CEA indique dans son étude de décembre 2012 :

    « Le développement des systèmes de quatrième génération, basés sur le recyclage dans des RNR, de l’uranium et du plutonium contenus dans les combustibles usés, constitue une perspective de production d’une électricité sans émission de gaz à effet de serre, sûre et économiquement compétitive répondant aux objectifs d’une gestion durable des matières nucléaires ».

    Or, le nucléaire est encore exploité aujourd’hui avec les premières technologies RNL conçues pour fissionner l’U235, et quasiment rien d’autre (12 % de Pu239 au mieux).

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  45. Seuls les RNR peuvent fissionner tous les noyaux (uranium, plutonium et transuraniens) disponibles, fissiles ou pas.

    Aujourd’hui, la ressource naturelle d’uranium doit être préservée car, comme toutes les ressources issues de la Terre, elle est limitée, surtout par sa faible teneur en U235. Cette ressource doit être utilisée le plus efficacement possible et avec parcimonie dans des RNR alors qu’elle est aujourd’hui gaspillée dans des RNL. Sinon l’humanité répètera l’erreur qui a consisté à brûler en à peine plus de deux siècles les réserves d’énergies fossiles accumulées pendant des centaines de millions d’années.

    En résumé, l’U235 est à consommer avec modération… si l’humanité veut pouvoir utiliser l’U238 sans modération pour les générations à venir… bien au-delà de ce siècle !

    Pourtant, depuis 30 ans, cette notion de gaspillage de la ressource ne choque personne au sein de cette filière industrielle.

    Les RNR surgénérateurs

    Par le phénomène remarquable de « surgénération », les RNR sont durablement « autonomes » en produisant leur propre matière fissile qui leur servira de combustible, le plutonium (Pu239), formé à partir de l’U238. C’est le meilleur exemple possible d’économie circulaire dans le domaine nucléaire.

    Puisque le combustible U238 pour les RNR est déjà présent en France en grande quantité, l’énergie ainsi produite n’a plus à intégrer les coûts et les dégâts environnementaux actuels de l’amont du cycle (extraction minière et enrichissement).

    De plus, ces RNR recyclent en les « brûlant » la partie des déchets à vie longue produits par les RNL, les « transuraniens ». Au final, il ne reste donc plus que des produits de fission à vie nettement plus courte ce qui réduit considérablement la durée du stockage géologique en la ramenant à 500 ans.

    Outre l’avantage principal de préservation des ressources pour les futures générations, les coûts globaux de production d’électricité des RNR doivent tenir compte de ces économies substantielles en amont et en aval de cette industrie.

    Enfin, les RNR, notamment ceux refroidis au sodium, ont un meilleur rendement thermodynamique en produisant de la vapeur à plus haute température que les RNL (43 % à comparer à environ 33 % pour un RNL à eau pressurisée), ce qui permet de produire encore davantage d’électricité avec une même quantité d’uranium.

    Voilà les raisons profondes et fortes qui militent pour un développement urgent du nucléaire durable avec des RNR de quatrième génération, dont la montée en puissance en France et dans le monde se déroulera en parallèle avec des RNL qui fourniront le Pu239 indispensable à leur démarrage… pour économiser l’U235.

    Les fausses solutions

    Certains préconisent la mise au point de réacteurs au thorium alors qu’on dispose de quantités considérables d’uranium, le multirecyclage en RNL qui revient à transmuter le plutonium en déchet, ou encore d’attendre une lointaine et peut-être chimérique fusion nucléaire pour la production d’électricité.

    Il faut se méfier des idées fausses et des diversions qui détournent l’attention des véritables solutions, dispersent les finances et les talents et empêchent d’avancer efficacement dans la bonne direction. La magie utilise aussi le détournement d’attention qui est une technique essentielle à la base de toute illusion… pour tromper les sens.

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  46. Attention : par manque d’anticipation sur ce futur de la filière « surgénératrice », les matières stratégiques Pu239 et U238 pourraient être perdues si rien n’est fait pour montrer leur future utilité, car l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) serait alors en droit d’exiger leur classification définitive en déchets.

    Le besoin d’une vision large

    Aujourd’hui, la France n’a plus de vision globale et à long terme de politique énergétique. Elle semble davantage gouvernée par l’idéologie que par les faits depuis plusieurs décennies. Le divorce semble prononcé entre l’action politique et la raison. Est-ce définitif ?

    Les véritables experts (et non les pseudo-experts autoproclamés) regardent consternés l’incohérence des lois et des plans successifs censés poser le cadre d’une « transition écologique » sur laquelle personne ne s’accorde vraiment. Abandon de l’électronucléaire ? Déploiement tous azimuts d’énergies renouvelables intermittentes sous perfusion de charbon et de gaz ? Les deux « en même temps » ? Selon quel dosage ?

    Ce plaidoyer pour le développement urgent d’un nucléaire durable fondé sur des RNR de quatrième génération constitue un appel aux présidents de la République française actuel et futurs en faveur d’une vision stratégique à long terme impliquant un changement de cap radical.

    Il s’agit de refonder la filière nucléaire pour l’engager dès maintenant sur la voie du nucléaire durable avec des RNR surgénérateurs, en s’appuyant au début sur le trésor stratégique (Pu239 produit par les REP et EPR actuels et stocks d’uranium naturel appauvri) pour que le nucléaire devienne l’énergie durable de la France, comme elle est en train de le devenir dans le monde (cf. Rapport AIE 2020).

    La compréhension de cette réalité par nos gouvernants leur permettra d’aboutir à une vision claire de la politique énergétique indispensable à la prospérité de la France. Ensuite, une ferme volonté conditionnera sa mise en œuvre dans la durée.

    Un homme courageux et clairvoyant viendra-t-il un jour prochain, (sans tarder) aux portes de la Cité pour donner à la France l’énergie de son futur ?

    https://www.contrepoints.org/2023/04/06/453924-le-nucleaire-durable-de-quatrieme-generation-une-necessite-morale

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    Réponses
    1. (...) la France à manquer d’énergie et notamment d’électricité dans quelques dizaines d’années.

      Elle dispose pourtant sur son sol d’une énorme quantité de matière énergétique pour des RNR (plus de 400 000 tonnes d’uranium, soit deux fois les réserves mondiales en équivalent pétrole) qui permettrait d’assurer ses besoins en électricité pendant des milliers d’années. (...)

      !!!

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  47. Ulez n'ajoutera que 13 minutes à l'espérance de vie à Londres, mais le maire l'impose quand même


    Par Jo Nova
    September 9th, 2023


    Ce n’est pas maintenant et cela n’a jamais été le cas, à propos de votre santé

    Sadiq Khan, le maire de Londres, oblige les travailleurs à débourser des milliers de livres pour acheter de nouvelles voitures ou à remplir ses caisses fiscales avec les frais journaliers de 12,50 £ pour conduire des modèles légèrement plus anciens. Certains devront abandonner complètement leur voiture – et pour beaucoup, cela signifie un profond changement de mode de vie. Mais à quoi ça sert ?

    L’équipe du maire montre qu’elle n’aboutira à presque rien, mais il le fait quand même. Il ne s’agit pas maintenant, et n’a jamais été, de « science ». Les résultats de la recherche sont apparemment totalement facultatifs :

    L’extension ULEZ détestée de SADIQ Khan n’ajoutera que 13 minutes à l’espérance de vie moyenne, a-t-il été révélé aujourd’hui.
    Noa Hoffman, Le Soleil

    Les recherches menées par l’équipe du maire en collaboration avec Transport for London ont révélé que l’impact du projet sera « mineur » et « négligeable ».

    On prévoit que cela n’entraînera qu’une réduction de 1,3 % de l’exposition du Londonien moyen au dioxyde d’azote (NO2).

    Et cela n’ajouterait que 13 minutes à l’espérance de vie d’un Londonien en 2023, selon le service Channel Four News Fact Check.

    M. Khan, provocant, insiste sur le fait que cette politique est essentielle à l’amélioration de la qualité de l’air.

    13 minutes supplémentaires sont « transformatrices » ?

    Un porte-parole du maire a déclaré : « Les données scientifiques sont claires : l'impact de l'expansion d'ULEZ sera transformateur.

    - voir sur site -

    Tableau d'amélioration de l'air d'Ulez.

    Ulez ne devrait faire pratiquement aucune différence sur la qualité de l’air à Londres. Cliquez pour agrandir. Voir Stop Ulez.com pour plus de détails.

    Les redevances ULEZ (zone à très faibles émissions) devraient rapporter 2,5 millions de livres sterling par jour à la mairie. C’est un avantage appréciable pour M. Khan d’être utilisé pour toutes sortes de projets favoris visant à « se faire des amis et influencer les gens ». Ulez installera également près de 3 000 nouvelles caméras dans les rues de Londres et permettra à la racaille de quitter la route et de monter dans les bus auxquels elle appartient.

    Apparemment, il y a deux convois qui manifestent contre Ulez dimanche à Londres – les PetrolHeads en voitures anciennes et hot rods arrivent.

    https://joannenova.com.au/2023/09/ulez-will-add-just-13-minutes-to-life-expectancy-in-london-but-the-mayor-is-forcing-it-anyway/

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  48. Beverly Hills, autrefois chic, est désormais jonchée de magasins FERMÉS au milieu d'une vague de criminalité en Californie


    08/09/2023
    Ramon Tomey


    La ville autrefois chic de Beverly Hills, rendue populaire par la série télévisée "Beverly Hills 90210", est en train de mourir – des espaces commerciaux stériles remplaçant les détaillants de luxe.
    Le New York Post a fait état du déclin de la ville, citant des images publiées par l'utilisateur « Nostalgic Angelino » sur TikTok. Les vidéos de l'utilisateur montraient plus d'une douzaine d'établissements de Beverly Hills qui fermaient définitivement leurs portes. Il ne restait que des vitrines vides avec des pancartes annonçant leurs postes vacants, des coquilles d'entreprises autrefois prospères.

    Certaines des entreprises publiées par Nostalgic Angelino incluent les produits de luxe Barneys New York et Escada, les deux ayant déposé leur bilan ces dernières années. L'ancien magasin Escada sur Wilshire Boulevard reste vacant après le dépôt du bilan de l'entreprise en 2022.

    D'autres grands magasins tels que Chanel, Rite Aid et Niketown ont également quitté le Garden Spot of the World.

    Le magasin Chanel de North Robertson Boulevard a fermé définitivement ses portes après avoir été victime de deux cambriolages en 2022. Un immeuble de North Bedford Drive reste fermé après le déménagement de son principal locataire, Rite Aid, début 2023. L'ancien emplacement de Niketown dans la ville, un autrefois un arrêt populaire auprès des acheteurs, est désormais vide.

    Les magasins de détail n'ont pas été les seuls à fermer leurs portes, puisque des restaurants comme Chipotle et Starbucks ont également quitté Beverly Hills.

    "Les magasins déserts contrastent fortement avec la réputation de glamour et d'opulence de la ville et avec son statut de lieu où les célébrités, les fashionistas et les magnats des affaires sont régulièrement photographiés par les paparazzi", a fait remarquer le Post.

    Pendant ce temps, les entreprises qui ont survécu à la lente disparition de la ville autrefois chic – Saks Fifth Avenue, Hermes, Gucci et bien d'autres – ont figuré dans la compilation « Best of Beverly Hills » de Nostalgic Angelino.

    Le comté de Los Angeles confronté à des vagues de vols flagrants dans les commerces de détail
    Les magasins qui ont survécu à la pandémie du coronavirus de Wuhan (COVID-19) et au ralentissement économique qui a suivi sont désormais confrontés à une nouvelle menace : le vol au détail. Les gangs destructeurs menacent les entreprises de Beverly Hills et du comté de Los Angeles dans son ensemble.

    Les forces de l'ordre du sud de la Californie ont créé un groupe de travail uniquement axé sur la lutte contre la criminalité dans le commerce de détail. Le nouveau groupe de travail est composé du département de police de Los Angeles (LAPD) et du département du shérif du comté de Los Angeles au niveau local. Les forces de l'ordre fédérales – sous la forme du groupe de travail sur l'appréhension du Federal Bureau of Investigation et de son homologue du U.S. Marshals Service – se joignent également au groupe de travail.

    Le groupe, qui comprend 22 enquêteurs à plein temps, a été formé le même jour où un grand magasin Macy's à Los Angeles a été perquisitionné par un groupe de voleurs masqués portant des sweat-shirts à capuche. Pendant ce temps, les agents ont arrêté au moins neuf personnes, dont six voleurs qui ont cambriolé un magasin Nike à East Los Angeles. (Connexe : La police de Los Angeles promet de réprimer la criminalité à la suite de braquages ​​par des flash mobs.)

    Au niveau de l'État, le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, s'est engagé à aider le groupe de travail. Il a annoncé que le Golden State ferait appel aux ressources de la California Highway Patrol (CHP) pour éradiquer le vol à Los Angeles. Newsom a déclaré dans un communiqué de presse : « L'État investit des centaines de millions de dollars pour lutter contre le crime organisé – et lorsque nos partenaires locaux ont besoin d'une aide supplémentaire, nous sommes prêts à leur donner un coup de main. »

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  49. Selon le bureau du gouverneur, le groupe de travail sur la criminalité organisée dans le commerce de détail du CHP a arrêté plus de 1 250 personnes depuis sa création en 2019. Il a également récupéré plus de 30 millions de dollars de marchandises volées depuis sa création.

    Les données du LAPD montrent qu'au 26 août, il y a eu 9 455 cambriolages dans la Cité des Anges cette année. Ce nombre était inférieur de moins de 3 pour cent par rapport aux chiffres de 2022, mais toujours supérieur de plus de 14 pour cent par rapport à 2021.

    Visitez CaliforniaCollapse.news pour plus d’histoires sur l’effondrement de Beverly Hills et d’autres villes du Golden State.

    Regardez Glenn Beck donner son avis sur un vol « flash mob » le 12 août dans un magasin Nordstrom à Los Angeles.

    Cette vidéo provient de la chaîne High Hopes sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires connexes:

    Sondage Gallup : Los Angeles parmi cinq villes jugées dangereuses pour vivre ou visiter.

    Los Angeles est tellement en proie à la criminalité et dangereuse que le chef du syndicat de la police avertit les touristes de rester à l'écart.

    Des flash mobs volent effrontément des détaillants de luxe à Los Angeles alors que la ville ne parvient pas à demander des comptes aux voleurs.

    CHAOS SANS LOI : LAPD dit aux habitants de « se conformer » aux voleurs alors que la société s'effondre dans les villes bleues… échappez-vous tant que vous le pouvez encore.

    Les sources incluent :

    NYPost.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-09-08-beverly-hills-now-littered-with-closed-stores.html

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  50. L'ouragan Lee devient une tempête de catégorie 5 et pourrait frapper la côte Est ce week-end


    08/09/2023
    Olivia Cook

    L'ouragan Lee est devenu une tempête de catégorie 5 jeudi soir 7 septembre et devrait atteindre des vitesses de vent de 180 mph qui pourraient présenter des conditions de plage dangereuses sur la côte Est dès le dimanche 10 septembre.

    Les chasseurs d'ouragans de la Réserve de l'Air Force ont constaté que Lee était "monté en flèche jusqu'à la catégorie 5", a déclaré le National Hurricane Center (NHC) dans son communiqué de 23 heures. mise à jour jeudi.

    La tempête devrait basculer entre le statut de catégorie 4 et de catégorie 5 au cours des cinq prochains jours à mesure qu'elle se dirige vers le nord et l'ouest. (Connexe : Plus de 1 300 vols annulés et 6 000 retardés en raison d'ORAGES VIOLENTS qui ont frappé la côte Est.)

    Cependant, il est encore profond au-dessus de l'océan Atlantique et le NHC a averti qu'il était « bien trop tôt » pour savoir quel impact l'ouragan pourrait avoir sur la côte est des États-Unis, aux Bermudes ou au Canada.

    "L'ouragan devrait ralentir considérablement sur le sud-ouest de l'Atlantique. Quoi qu'il en soit, des vagues dangereuses et des courants de retour sont attendus le long de la majeure partie de la côte est des États-Unis à partir de dimanche", a indiqué le NHC. Il n’y a actuellement aucune surveillance ou avertissement en vigueur.

    L'ouragan Lee survient moins d'une semaine après que l'ouragan Idalia a frappé une grande partie du sud-est des États-Unis, endommageant des maisons et coupant l'électricité en Floride tout en inondant certaines parties de la Géorgie et des Carolines.

    Le NHC a averti à plusieurs reprises que Lee pourrait devenir très puissant dans un laps de temps exceptionnellement court. Ces prévisions sont maintenant devenues encore plus désastreuses, puisque le NHC a déclaré que de nombreux outils de prévision « appellent à des taux d'intensification remarquables, au-delà des taux normalement observés avec les prévisions des modèles ».

    Le centre des ouragans prévoit actuellement que Lee se dirigera vers le nord-nord-ouest, atteignant un point bien au nord de Porto Rico d'ici mardi matin 12 septembre.

    Pour l’instant, la tempête ne constitue pas une menace immédiate pour quiconque se trouve à terre. Mais les experts conseillent de garder un œil attentif sur la tempête.

    Tous les regards sont rivés sur le chemin de Lee

    Il est trop tôt pour dire avec certitude si Lee pourrait toucher terre quelque part ou s'il s'éloignerait sans danger de la côte atlantique des États-Unis et d'autres masses terrestres.

    Plusieurs modèles à longue portée font actuellement en sorte que Lee finisse par se courber vers le nord, manquant les Caraïbes et restant au large. Même si les modèles sont généralement précis, ils ne sont pas parfaits. En 2017, l'ouragan Irma était censé suivre une trajectoire similaire : au lieu de cela, il a frappé la côte du golfe de Floride.

    Même si Lee manque de terre, les prévisionnistes affirment que les houles générées par la tempête « devraient atteindre certaines parties des Petites Antilles le vendredi 8 septembre, ainsi que les îles Vierges britanniques et américaines et Porto Rico ce week-end. -des conditions de surf et de courant menaçantes."

    Le système a gagné en puissance à mesure qu'il passe au-dessus des "eaux chaudes record de près de [86 degrés Fahrenheit] à l'est des Petites Antilles", a déclaré le NHC. Il a ajouté que des eaux aussi chaudes sont plus attendues dans le golfe du Mexique que dans l’océan Atlantique.

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  51. "Le pic de la saison des ouragans est le 10 septembre, c'est donc un excellent moment sur toute la côte Est des États-Unis pour revérifier le plan de préparation de votre famille et savoir ce que vous pourriez faire si une tempête approchait de votre communauté", a déclaré Kelly Godsey, une a déclaré à Newsweek l'hydrologue et météorologue principal du service météorologique national (NWS) à Tallahassee, en Floride.

    Tempête tropicale Margot

    La tempête tropicale Margot s'est également formée jeudi après-midi sur l'Atlantique tropical oriental, avec des vents soufflant à 65 km/h et se déplaçant de l'ouest au nord-ouest à 27 km/h.

    Margot n'était encore qu'une dépression jeudi matin, mais elle devrait continuer à se renforcer car elle devrait se diriger vers le nord dans l'océan Atlantique central.

    "Un renforcement progressif est attendu au cours des prochains jours et la dépression devrait se transformer en tempête tropicale plus tard dans la journée ou ce soir", a déclaré David Zelinsky, spécialiste des ouragans.

    Un autre système situé à quelques centaines de kilomètres à l’ouest-nord-ouest de l’Espagne est associé aux restes de l’ouragan Franklin. Les prévisionnistes ont déclaré que le système n’est pas susceptible de se développer car il se dirige vers des conditions difficiles et ne constitue pas actuellement une menace pour le sud de la Floride.

    Visitez Disaster.news pour plus d’histoires comme celle-ci.

    Regardez la vidéo suivante sur la tempête tropicale Hilary sur la côte ouest qui frappe le sud de la Californie.

    Cette vidéo provient de la chaîne InfoWarsSideBand sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires connexes:
    Biden déclare l'état d'urgence en Floride à l'approche de la tempête tropicale Idalia.

    Le gouvernement fédéral a peut-être « utilisé » l’ouragan Ian comme une arme pour amplifier le discours sur le changement climatique.

    Le gouvernement américain a la capacité de manipuler les ouragans, comme le montre une documentation vieille de 50 ans.

    Sources include:

    UPI.com
    NHC.NOAA.gov
    NPR.org
    Newsweek.com
    NOLA.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-09-08-hurricane-lee-becomes-category-5-storm.html

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  52. OURAGAN IDALIA GÉO-INGÉNIERIE : Voici pourquoi la super tempête a été délibérément intensifiée et dirigée directement vers le comté de Taylor, en Floride.


    08/09/2023
    Rédacteurs en chef


    Note de l'éditeur SOTN : L'exposé suivant a été envoyé sur cette plateforme Alt Media par un chercheur en complot et enquêteur criminel expérimenté.
    (Article republié de StateOfTheNation.co)

    Pour les non-initiés, voici comment la guerre climatique et le géoterrorisme sont désormais systématiquement perpétrés contre le peuple américain à chaque saison de tempête de l’année, en fonction de l’endroit où il vit.

    Tout le monde sait que l’ensemble du sud-est des États-Unis est confronté à des ouragans pratiquement depuis toujours. Cependant, la hausse spectaculaire de l’incidence des ouragans de catégories 3, 4 et 5 est assez inhabituelle et désormais très évidente pour les résidents de longue date du Sud.

    En fait, la saison des ouragans n’a jamais été aussi chargée de ces super tempêtes que celle que le Grand Sud a connue au cours des 30 dernières années. C’est parce que les géo-ingénieurs du NWO créent délibérément ces tempêtes à partir de zéro ou détournent les tempêtes tropicales naturelles. Ensuite, ces géoterroristes les intensifient considérablement et les dirigent directement vers une cible présélectionnée.

    Les trois derniers méga-ouragans à avoir frappé la zone continentale des États-Unis, qui ont tous frappé la Floride, ont été fabriqués de cette façon. La dernière super tempête hautement destructrice a été l’ouragan Idalia, qui a été furtivement géo-ingénierie, initialement au large des côtes du Yucatan (voir la carte précédente), où se trouvent la technologie et l’équipement nécessaires pour générer des super tempêtes dès leur apparition. Cette technologie comprend, au minimum, un mélange spécifique de techniques de géo-ingénierie chimique, de stations radar Nexrad, d'émetteurs de fréquence de niveau HAARP et de vapeur d'eau générée par les centrales électriques.

    Les trois ouragans les plus dévastateurs qui ont frappé la Floride au cours des cinq dernières années ont été fabriqués de cette manière et ont initialement suivi un chemin similaire. Voici les trajectoires respectives de l’ouragan Idalia, de l’ouragan Ian et de l’ouragan Michael :

    - voir cartes sur site -

    SOURCE : TEMPÊTE TROPICALE IDALIA

    Quel est le point critique ici ?

    Les géoterroristes du NWO produisent désormais méthodiquement des super tempêtes à chaque saison des ouragans, puis ciblent des communautés, des villes et des États spécifiques afin de leur imposer un nouvel ordre, des règles ou un ensemble de lois de zonage ou des accaparements de terres à la suite de la catastrophe. destruction généralisée et profonde. Ce qui fait que la plupart de ces super-tempêtes cataclysmiques sont des opérations géoterroristes sous fausse bannière, où Mère Nature est blâmée pour ce qui est en réalité un événement d’origine humaine. Même les ouragans qui sont tout à fait naturels dès le départ peuvent être facilement détournés et dirigés vers une victime choisie. De cette façon, les criminels bien dissimulés bénéficient d’un déni plausible.

    Rappelez-vous le vieil adage « Ne laissez jamais une bonne crise se perdre ».

    Eh bien, c’est exactement ce que fait la cabale mondialiste du NOM à chaque saison des ouragans dans le sud des États-Unis, chrétien, conservateur et patriote. Ils utilisent ces saisons de tempêtes pour créer une crise bien plus importante dont ils profitent ensuite. Il est bien connu qu’un capitalisme de catastrophe hautement exploiteur est régulièrement utilisé par des capitalistes prédateurs du monde entier. Lisez maintenant ci-dessous comment l'un de ces prédateurs vient de s'emparer du comté de Taylor, en Floride, pour mettre en œuvre son plan auquel les habitants ont continuellement résisté.

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  53. État de la nation

    7 septembre 2023

    N.-B. Les photos publiées ci-dessous montrent les dégâts causés par l'ouragan Idalia et ont été prises à divers endroits dans ou très près du comté de Taylor, en Floride, la principale cible de l'ouragan Idalia. L’exposé susmentionné suit immédiatement.

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    Les débris des bâtiments détruits obstruent un canal à Horseshoe Beach, en Floride, juste au sud du comté de Taylor, après le passage de l'ouragan Idalia, le mercredi 30 août 2023. (AP Photo/Rebecca Blackwell)

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    Cette photo aérienne montre des maisons entourées par les eaux de crue à Steinhatchee, en Floride, le mercredi 30 août 2023, laissées derrière elles par l'ouragan Idalia. (Photo AP/Daniel Kozin)

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    Pour en savoir plus : StateOfTheNation.co

    https://www.naturalnews.com/2023-09-08-geoengineered-hurricane-idalia-superstorm-was-deliberately-intensified.html

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  54. Une étude révèle que 20 % des acheteurs de véhicules électriques REGRETTENT leur décision et REVIENNENT aux voitures à essence


    08/09/2023
    Arsenio Toledo


    Une étude a révélé que de nombreux premiers utilisateurs de véhicules électriques (VE) regrettent leur décision et reviennent à l'utilisation de véhicules à moteur à combustion interne.
    L'étude, publiée dans la revue Nature Energy, a porté sur 4 160 premiers utilisateurs de véhicules électriques en Californie entre 2012 et 2018. Elle a révélé qu'environ 20 % de ces premiers utilisateurs ont rapidement abandonné leurs véhicules électriques ou leurs hybrides rechargeables au profit de véhicules à moteur à combustion interne. tandis que 18 % des conducteurs de véhicules électriques sont revenus aux véhicules à essence lors de leurs prochains achats de voiture. (En relation : EV COLLAPSE : les concessionnaires automobiles rejettent désormais les livraisons de véhicules électriques en raison des faibles ventes.)

    Les auteurs de l’étude ont constaté que ceux qui étaient les moins susceptibles de s’en tenir à leur véhicule électrique étaient ceux qui dépendaient de leur voiture comme seul moyen de transport, essentiellement des personnes qui n’avaient qu’une seule voiture et aucune autre alternative.

    "Il ne faut pas présumer qu'une fois qu'un consommateur achète un PEV [véhicule électrique rechargeable], il continuera à en posséder un", ont écrit les co-auteurs de l'étude Scott Hardman et Gil Tal de l'Institute of Transportation Studies de l'Université de Californie. Davis. "Ce qui est clair, c'est que cela pourrait ralentir la croissance du marché des PEV et rendre plus difficile l'atteinte de 100 % de ventes de PEV."

    Hardman et Tal ont noté que les véhicules électriques ont parcouru un long chemin au cours de la dernière décennie de développement, apportant de plus grandes améliorations aux fonctionnalités technologiques, au confort, à la sécurité et à l'autonomie des véhicules électriques. Mais très peu de choses ont changé en termes de facturation.

    Le manque d’infrastructure dédiée aux véhicules électriques oblige de plus en plus de propriétaires à revenir au gaz
    Peut-être tout aussi intéressante que l'insatisfaction à l'égard des véhicules électriques, l'étude a également révélé que de nombreuses personnes sont moins susceptibles de s'en tenir aux véhicules électriques à long terme en raison du manque d'infrastructure de recharge dédiée, des coûts associés à la recharge des véhicules électriques et des difficultés liées à la tentative de recharge. Des véhicules électriques à la maison.

    Les premiers utilisateurs qui étaient plus susceptibles d’abandonner les véhicules électriques étaient généralement plus jeunes, plus susceptibles de louer leur espace de vie et moins susceptibles de vivre dans une maison indépendante. Cela rend très difficile, voire totalement impossible, d’assurer la recharge nécessaire pour maintenir les batteries des véhicules électriques pleines.

    Les prises domestiques standard fournissent généralement 120 volts, alimentant à un niveau que les experts en véhicules électriques appellent la recharge « niveau 1 », tandis que les connexions spécialisées de plus grande puissance, qui peuvent pomper jusqu'à 240 volts dans les voitures électriques, sont connues sous le nom de « niveau 2 ».

    La différence est le jour et la nuit, selon les chercheurs. Parmi ceux qui sont revenus des véhicules électriques aux voitures à essence, plus de 70 % n’avaient pas accès à une recharge de niveau 2 à la maison, et un peu moins n’avaient pas de connexions de niveau 2 sur leur lieu de travail.

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  55. "Si vous n'avez pas de niveau 2, il est presque impossible [de conserver un véhicule électrique]", a noté Kevin Tynan, analyste automobile pour Bloomberg. Tynan possédait une Ford Mustang Mach-E, un SUV multisegment électrique à batterie. Le brancher sur sa prise domestique pendant une heure pourrait donner au Mach-E seulement trois miles de portée.

    "Du jour au lendemain, nous envisageons une portée de 36 milles", a-t-il déclaré. "Avant de le rendre à Ford, parce que je voulais le rendre plein, je l'ai conduit au bureau et je l'ai branché sur le chargeur que nous avons là-bas."

    À titre de comparaison, il faut en moyenne trois minutes pour remplir le réservoir d’essence d’une Ford Mustang, qui a suffisamment d’autonomie pour parcourir environ 300 milles avant de devoir faire le plein.

    Même si l'infrastructure de recharge publique finissait par s'améliorer, l'étude a révélé que ces améliorations n'auraient pas d'importance, ce qui suggère que d'autres facteurs incitent les voyageurs à choisir d'autres types de véhicules pour leurs déplacements.

    Apprenez-en davantage sur l’utilisation des véhicules électriques aux États-Unis sur RoboCars.news.

    Regardez cet épisode du « Health Ranger Report » pendant que Mike Adams, le Health Ranger, explique comment les véhicules électriques sont spécifiquement conçus pour permettre aux constructeurs automobiles de désactiver à distance certaines fonctionnalités, notamment la possibilité de recharger la voiture.

    Cette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires connexes:

    7 raisons pour lesquelles le véhicule électrique n'est pas prêt pour la consommation de masse.

    Personne n’achète de voitures électriques, mais les constructeurs automobiles continuent de les fabriquer conformément au programme « vert ».

    CELA NE COMPTE PAS : Joe Biden donne aux constructeurs automobiles des MILLIARDS d'argent des contribuables tandis que les salaires des travailleurs de l'automobile sont réduits de moitié.

    Le programme EV de Biden s'aliène les alliés du syndicat United Auto Workers, qui craignent que cette poussée n'entraîne une diminution des emplois syndiqués bien rémunérés.

    Les constructeurs automobiles se lancent dans l’exploitation minière du lithium pour sécuriser leurs approvisionnements pour la fabrication de véhicules électriques.

    Les sources incluent :

    LePostMillennial.com
    TheDrive.com
    BusinessInsider.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-09-08-ev-owners-regret-decision-switch-gas-cars.html

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  56. Succès du Green Deal garanti : des températures plus basses grâce à un soleil plus froid


    10 septembre 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Ces dernières années, le Soleil a été à son état le plus faible depuis plus d'un siècle, les deux cycles solaires les plus récents (24 et 25) étant en passe de devenir la paire la plus faible depuis plus de 200 ans depuis le minimum de Dalton. Cela pourrait conduire à une réduction des températures d’ici 2030, qui serait alors presque certainement présentée par les médias d’État et d’entreprise comme un succès du Green Deal, même si cela n’a absolument rien à voir avec cela.

    La propagande menée actuellement par l'ONU, l'UE, le WEF et le complexe financier numérique suggère que 2030 sera exactement ce qu'ils prétendent , même si la baisse des températures n'a rien à voir avec plus ou moins de gaz carbonique. L'IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) prétend que le gaz carbonique est à lui seul responsable de la chaleur et du climat, le soleil et la vapeur d'eau, environ 30 fois plus efficaces, sont tout simplement ignorés et leur effet nié .

    Voici un exemple de la propagande qui se fait. Ed Hawkins, l'un des principaux auteurs du dernier rapport de l'Intergovernmental Panel on Climate Change, écrit sur Twitter/X :

    " RUPTURE : Les falaises blanches de Douvres ont été illuminées avec les « bandes thermiques » britanniques depuis la journée #ShowYourStripes ! Ces bandes représentent la température moyenne au Royaume-Uni de 1884 à 2022, avec des couleurs bleues pour les années les plus froides et des couleurs rouges pour les années les plus chaudes.

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  57. En fait, depuis les dernières petites périodes glaciaires vers 1700 et 1820, il y a eu un « réchauffement moderne » qui se rapproche lentement des températures de la période chaude médiévale. La différence entre le réchauffement moderne et la période chaude médiévale ou ancienne est gardée secrète, car cela démystifierait la désinformation sur le gaz carbonique.

    Le soleil plus froid

    Comme indiqué, les deux cycles solaires les plus récents (24 et 25) sont en passe de devenir la paire la plus faible depuis plus de 200 ans depuis le minimum de Dalton. Cela ressort clairement du nombre de taches solaires (voir ci-dessous) - un excellent baromètre de l'activité solaire :

    La puissance solaire fluctue selon un cycle d'environ 11 ans.

    - voir graph sur site -

    Comme on peut le voir sur la figure ci-dessus, le cycle solaire le plus récent (24) correspondait exactement à celui du « Minimum du Centenaire » (≈1880-1914) - la période multicyclique précédente de faible activité solaire, également connue sous le nom de « Grand Minimum Solaire" (GSM). Les grands minimums solaires peuvent également varier en profondeur et en longueur et, ce qui est crucial pour tous les Terriens, ces facteurs déterminent la gravité du « refroidissement global » qui les accompagne.

    Le minimum du début du siècle était un minimum solaire modéré .

    En revanche, le minimum de Maunder (1645-1715) était l'un des plus forts jamais enregistrés, et des documents de la NASA ont mis l'Europe et l'Amérique du Nord au « congélateur » :

    « De 1650 à 1710, les températures ont chuté dans une grande partie de l’hémisphère nord alors que le Soleil entrait dans une période de quiétude maintenant connue sous le nom de minimum de Maunder. Pendant cette période, très peu de taches solaires sont apparues à la surface du Soleil et la luminosité globale du Soleil a légèrement diminué. L'Europe et l'Amérique du Nord étaient déjà au milieu d'une période plus froide que la moyenne connue sous le nom de Petit Âge Glaciaire, glaciale : les glaciers alpins s'étendaient sur les terres agricoles des vallées, la glace de mer poussée vers le sud depuis l'Arctique et les célèbres canaux de l'Arctique. les Pays-Bas sont régulièrement gelés – un événement rare aujourd’hui.»

    Cependant, le système climatique est incroyablement complexe. Par exemple, même si la température globale de la Terre a tendance à se refroidir pendant les périodes prolongées de faible activité solaire, toutes les régions ne sont pas affectées par le refroidissement. Comme le montre la « carte de reconstruction minimale de Maunder » de la NASA (voir ci-dessous), des régions telles que l'Arctique, l'Alaska et l'Atlantique Nord se réchauffent en réalité pendant des périodes de refroidissement autrement « global ».

    - voir carte sur site -

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  58. Le Soleil connaît également des maxima solaires majeurs , des périodes d'activité solaire inhabituellement élevée. Le maximum le plus récent, le « maximum moderne », s’étendait de 1914 – la fin du minimum du centenaire – à 2007.

    Au cours de cette période, les températures mondiales ont augmenté (« réchauffement climatique ») et n’ont menacé de baisser que récemment, après un décalage de plusieurs années probablement dû à l’inertie des océans.

    En remontant aux Grands Minimums Solaires passés, le Minimum de Dalton était un autre minimum important.

    - voir graph sur site -

    Il a duré de 1790 à 1820. Comme le minimum de Maunder, plus profond, le minimum de Dalton a également connu une période de températures mondiales inférieures à la moyenne.

    Ed Hawkins commence ses rayures bleues après le minimum de Dalton et à la fin du minimum de cent ans. Il a donc de jolies rayures bleues au début. Cependant, le réchauffement d’environ un degré est excessivement exagéré avec le passage du bleu au rouge profond, ce qui est probablement le point central du problème.

    La mécanique de l'action

    De faibles niveaux d'activité solaire affectent le temps et le climat de la Terre par divers mécanismes. L'impact le plus immédiat est la réduction de l'énergie entrant dans les courants-jets, transformant le flux zonal fort et droit habituel en un flux méridional faible et ondulé.

    Selon le côté du courant-jet sur lequel vous vous trouvez, cela signifie se préparer soit à une période de temps inhabituellement froid ou chaud et/ou à une période de conditions inhabituellement sèches ou humides. Donc s’il pleut encore, cela n’a rien à voir avec le gaz carbonique.

    La diminution du nombre de taches solaires s’accompagne d’une diminution du rayonnement thermique frappant la Terre. Au minimum de Maunder, la photosphère du soleil, la couche la plus externe, était apparemment légèrement plus froide.

    La réduction du champ magnétique solaire, qui est actuellement deux fois moins puissant qu'il y a 30 ans, a également un impact majeur. L'effet est décrit par FLEMING, 2018 :

    « La cause de la période chaude médiévale et des changements climatiques du Petit Âge Glaciaire était le lien entre le champ magnétique solaire et le rayonnement cosmique. Lorsque le champ magnétique solaire est puissant, il agit comme une barrière contre les rayons cosmiques pénétrant dans l'atmosphère terrestre, les nuages ​​diminuent et la Terre se réchauffe. À l’inverse, lorsque le champ magnétique solaire est faible, il n’y a aucune barrière aux rayons cosmiques : ils agrandissent de vastes zones de nuages ​​bas, augmentent l’albédo de la Terre et refroidissent la planète. »

    Rien de tout cela n’a rien à voir avec le gaz carbonique et la propagande qui y est associée. C'est le soleil qui contrôle notre climat.

    Pour en savoir plus sur le Grand Minimum Solaire attendu, cliquez ici , ici , ici , ici ou ici .

    https://tkp.at/2023/09/10/erfolg-des-green-deal-garantiert-niedrigere-temperaturen-dank-kaelterer-sonne/

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  59. ENCORE UN ARTICLE CENSURÉ ! (60 - 1 = 59)

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