- ENTREE de SECOURS -



mardi 12 septembre 2023

Nous avons besoin de plus de gaz carbonique dans l’atmosphère – la physique du gaz carbonique

 12 septembre 2023

par le Dr. Peter F. Mayer



Si vous écoutez les politiciens, les médias d’État et d’entreprise ainsi que les bureaucrates de l’ONU, de l’UE ou de l’OMS, vous pourriez avoir l’impression que le gaz carbonique est la pire chose au monde. À part peut-être Corona. Ce n’est pas le cas, car les plantes transforment le gaz carbonique et le H20 en sucre grâce à la lumière du soleil. Par exemple, le saccharose de formule moléculaire C12H22O11. Toute vie animale, y compris la nôtre, dépend de cette production de sucre par les plantes, qui ont besoin d'au moins 150 ppm de gaz carbonique dans l'air. Il n’y a aucune vie en dessous et plus il y a de gaz carbonique, plus notre planète devient verte.

Dans une interview vidéo ( voir ci-dessous), le physicien de Princeton, William Happer, explique les découvertes fondamentales de la biologie, de la chimie et de la physique. En commençant sa discussion sur les avantages de l'ajout de gaz carbonique à l'atmosphère pour la vie végétale, le physicien de Princton a souligné que doubler le gaz carbonique de 400 parties par million de volume (ppmv) à 800 ppmv réduirait l'effet de serre global de 1 % (en supposant que les concentrations des autres gaz à effet de serre restent les mêmes).

Lors du calcul de l'impact sur les températures terrestres pour compenser cette augmentation de l'effet de serre, il ne faut pas oublier que l'augmentation du rayonnement sortant est basée sur la température en degrés Kelvin à la puissance quatre. [Les chimistes utilisent ppm pour désigner les parties par million en poids. Le gaz carbonique dans l'atmosphère est mesuré en molécules de gaz carbonique par million de molécules d'air - ou moles de gaz carbonique par mole d'air - ce qui signifie à son tour parties par million de volume puisque chaque mole occupe le même volume].

Si l'on suppose une température terrestre de 300 Kelvin, cela entraîne, selon les calculs du « sous-bock » de Happer, une augmentation de température de 0,75°C. Vous ne pouvez pas sentir la différence.

On sait depuis Svante Arrhenius (prix Nobel de chimie en 1903), plusieurs décennies avant la découverte de la mécanique quantique, qu'il faut doubler la concentration de gaz carbonique (de 400 à 800 parties par million) pour obtenir environ 1 °C de plus . Une augmentation de 4°C nécessite donc une concentration de gaz carbonique de 6 400 parties par million. Même si cette concentration conviendrait parfaitement à toute vie biologique sur notre planète (l'expiration humaine en contient 40 000 ppm), l'humanité n'atteindra jamais 6 400 ppm même si nous brûlons tous les arbres existants. Svante Arrhenius, l'arrière-grand-père de Greta Thunberg, se retournerait probablement dans sa tombe s'il entendait parler du visionnaire Le gaz carbonique est visible à l'œil nu .

Notre planète est actuellement à un éternel minimum en concentration de gaz carbonique. Sans un effort humain concerté pour augmenter les niveaux de gaz carbonique, la planète Terre se transformera en désert au cours de l’évolution naturelle. Au cours des cent derniers millions d'années, le gaz carbonique atmosphérique a diminué régulièrement à mesure qu'il est consommé par la biologie marine et converti en carbonate de calcium (calcaire) . Sans l’activité humaine, les concentrations de gaz carbonique seraient tombées à 150 ppm en deux millions d’années environ. En dessous de ce seuil, les plantes et avec elles toute la vie animale de la planète s’effondrent.

Énergie thermique libérée dans l'espace par la planète Terre.

Sans gaz à effet de serre, la température sur Terre serait de -9°C, ce qui est dû à une intensité de rayonnement spectralement intégrée du corps noir de 394 W/m² (zone sous la ligne bleue). Grâce aux gaz à effet de serre, une partie de l’énergie rayonnée est absorbée dans l’atmosphère et restituée à la terre, réchauffant ainsi la terre à une température plus humaine de 16°C. Cette température est atteinte avec une intensité spectralement intégrée de 277 W/m² (zone en dessous de la ligne noire). Lorsque la concentration de gaz carbonique double pour atteindre 800 parties par million, l'intensité du rayonnement chute de 277 à 274 W/m² (zone sous la ligne rouge). Cela provoque une augmentation de la température mondiale de 3*(60-16)/(394-274)F = 1,1 F = 0,6°C.

La raison de cette augmentation ultra-faible de la température réside dans la saturation de l’absorption du gaz carbonique : à mesure que sa concentration augmente, le même rayonnement est absorbé dans une couche de plus en plus petite de l’atmosphère. La seule raison pour laquelle il y a une absorption excessive est due aux bandes latérales insaturées du gaz carbonique. Celles-ci ont été calculées par William Happer et publiées dans des revues spécialisées.

Ceci est cohérent avec les preuves physiques présentées par le géoscientifique Tom Gallagher sur les résultats des sédiments des grands fonds qui ont enregistré des changements de gaz carbonique et de températures de surface. Par exemple, dans la « Terre de Coolhouse », qui était plus chaude que la « Terre de Glace » d'aujourd'hui et a duré il y a environ 34 millions à 3,3 millions d'années. Les concentrations de gaz carbonique en surface variaient considérablement, de moins de 300 ppmv à plus de 800 ppmv, mais les fluctuations de température étaient faibles.

En discutant des éventuelles rétroactions positives d'une élévation de température, Happer invoque le principe de Le Chatelier, appliqué pour la première fois à la chimie : « Lorsqu'un équilibre dynamique est perturbé par un changement de conditions, la position de l'équilibre se déplace pour s'adapter au changement. » pour contrecarrer et rétablir l'équilibre ». Si cela n'avait pas été le cas des fluctuations de température atmosphérique, dit Happer, nous aurions assisté à des variations de température bien plus importantes tout au long de l'histoire de l'humanité.

Pour Happer, la plupart des changements de température de l’air à la surface depuis 1800 sont dus à la reprise après le Petit Âge Glaciaire et à l’effet d’îlot de chaleur urbain. Il estime que les efforts visant à éliminer le gaz carbonique de l’atmosphère sont comparables à ce qu’un dirigeant britannique a dit à propos de la conquête romaine : « Ils créent un désert et appellent cela la paix ».

A propos du verdissement de la Terre, Happer explique que la NASA utilise une technologie sophistiquée pour mesurer la quantité de chlorophylle provenant de l'espace. Lorsqu’elle est éclairée par le soleil, la chlorophylle émet une lumière proche infrarouge (fluorescence). Ceci est enregistré par les caméras satellite de la NASA et indique directement le verdissement de la Terre. Happer note que l’augmentation des niveaux de gaz carbonique profite à toutes les plantes, y compris les plantes C4 comme le maïs et la canne à sucre, mais plus probablement les plantes C3.

De plus, 1 500 ppmv peuvent être idéales pour les exploitants de serres, mais des concentrations encore plus élevées sont meilleures pour les plantes sur Terre. De plus, la plupart des retours sont négatifs et non positifs, et il n’y a jamais eu de réchauffement incontrôlé. Au cours du Petit Âge glaciaire et des périodes glaciaires, la désertification s'est produite dans les régions de haute altitude avec d'importantes tempêtes de poussière. 

En discutant de l’importante base de données HITRAN, ignorée par les modélisateurs climatiques, il souligne que cette énorme liste de données sur l’absorption des rayonnements par les gaz à effet de serre a été créée par l’Armée de l’Air pour étudier systématiquement comment les gaz à effet de serre perturbent l’énergie électromagnétique. Il s’agit d’une très bonne base de données pour les gaz à effet de serre les plus importants, mais pas vraiment pour les gaz à effet de serre rares comme les gaz halogènes.

Happer conclut en soulignant que les mesures gouvernementales visant à limiter les émissions de gaz à effet de serre causent d'énormes dommages. De plus, la plupart des phénomènes physiques sont linéaires, mais pour comprendre le changement climatique, il faut la mécanique des fluides, qui n’est pas linéaire. Selon le pionnier de la mécanique quantique Werner Heisenberg, la mécanique des fluides est plus difficile que la physique nucléaire ou la mécanique quantique.

- voir clip sur site :

https://tkp.at/2023/09/12/wir-brauchen-mehr-co2-in-der-atmosphaere-die-physik-des-kohlendioxids/

56 commentaires:

  1. « Passer directement » au lieu de « Grande réinitialisation » : une macro-analyse du mondialisme


    12 septembre 2023
    par Assoc. Prof. Dr. Stephan Sander Faes


    La « Grande Réinitialisation » du Forum économique mondial est sur toutes les lèvres, en particulier parmi les critiques du mondialisme, mais à y regarder de plus près, l'agenda prévu pour Klaus Schwab n'est guère plus qu'une campagne de relations publiques massive. Pour quoi? Pour le plan des banquiers centraux discuté devant le monde à Jackson Hole, Wyoming fin août 2019. C’est ce qu’on appelle le « Going Direct », qui détruit le mythe de leur « indépendance » – et représente la conclusion du coup d’État rampant de la haute finance contre le peuple.

    En août 2019, un certain nombre d’importants banquiers centraux et financiers se sont réunis comme d’habitude pour leur réunion d’été (creuse) dans la ville par ailleurs endormie de Jackson Hole, dans le Wyoming. La petite ville et ses quelque 10 000 habitants n'ont aucun rapport avec ce qui s'y est passé, car le paysage pittoresque du nord-ouest peu peuplé des États-Unis, au pied des montagnes Rocheuses, ne représente que la toile de fond de changements bien plus importants.

    Que s’est-il passé « avant Corona » ? Réponse : « Passer directement »
    Mais que s’est-il passé à la fin de l’été dernier avant que l’OMS ne déclare « pandémie » ?

    La réponse est : rien de moins que l’abolition de ce qui peut être considéré en toute sécurité comme la « méta-séparation des pouvoirs » des 40 à 50 dernières années.

    Sous le titre pas vraiment excitant « Faire face au prochain ralentissement : d’une politique monétaire non conventionnelle à une coordination politique sans précédent », les banquiers centraux et les financiers ont discuté de leur plan – tout comme BlackRock, l’un des plus grands gestionnaires d’actifs (avec Vanguard et State). Street, entre autres) – pour faire face au prochain krach financier attendu.

    La « solution » pour les banquiers centraux et les financiers était : « aller directement », et derrière ces deux mots se cache ce qui suit (p. 2 du document ci-dessus, ici et ci-dessous mes traductions et soulignements) :

    Il n’y a pas assez de marge de manœuvre en matière de politique monétaire pour faire face à la prochaine récession…

    La politique budgétaire devrait jouer un rôle plus important, mais il est peu probable qu’elle soit efficace à elle seule …

    Une forme prudente de coordination contribuerait à garantir que les politiques monétaires et budgétaires stimulent et n’agissent pas dans des directions opposées.

    Traduites du langage banquier, ces déclarations signifient : « La politique monétaire » (politique monétaire) fait référence aux tâches d'une banque centrale qui est « indépendante » de la politique, ce qui affecte principalement la quantité de monnaie en circulation (tant la monnaie liquide que la monnaie comptable en tant que monnaie). ainsi que la surveillance et la gestion du marché financier.

    La « politique budgétaire » comprend les aspects économiques déterminés par les parlements et mis en œuvre par les gouvernements et les fonctionnaires. Cela comprend avant tout la détermination des taux d'imposition via la souveraineté budgétaire parlementaire et les dépenses associées.

    D’ailleurs, nous avons vécu presque quotidiennement au cours des 150 dernières années ce que l’on appelle finalement une « forme prudente de coordination » : les gouvernements dépensent plus d’argent qu’ils n’en gagnent, ces dépenses étant principalement utilisées pour accroître la demande, « stimuler » ou « coordonner". Il existe un certain nombre de noms dans la science et la recherche pour désigner cette forme de politique – depuis les « dépenses déficitaires » selon JM Keynes jusqu'au « syndicalisme » selon George Sorel en passant par les variantes du « corporatisme » dans l'Italie de Mussolini. Ce que tous ces éléments ont en commun, quel que soit leur nom, ce sont les « interventions de pilotage » massives de l’État et des acteurs étatiques de facto tels que les banques centrales dans la vie économique.

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  2. Il convient également de mentionner « en passant » que le mantra de l’ère « néolibérale » du turbo-mondialisme est l’« indépendance de la banque centrale » souvent revendiquée par rapport aux politiciens perçus comme « irresponsables » (voir Carl Walsh, « Central Bank Independence », dans : Monetary Economics, édité par S. Durlauf et L. Blume, Londres 2010). Comme on le sait, ces derniers sont qualifiés d’« irresponsables » car ils suivaient les maximes de JM Keynes, surtout après 1945…

    Le plan de Black Rock : « Passer directement »

    Lorsque la politique monétaire est épuisée et que la politique budgétaire seule est insuffisante, une réponse sans précédent s’impose. La réponse sera probablement « aller directement » : l’action directe signifie que la banque centrale trouve des moyens de remettre l’argent de la banque centrale directement entre les mains des prêteurs publics et privés. La création monétaire directe, qui peut être organisée de différentes manières, fonctionne comme suit : 1) contourner le canal des taux d'intérêt lorsque la boîte à outils traditionnelle de la banque centrale est épuisée, et 2) renforcer la coordination des politiques afin que l'expansion budgétaire n'entraîne pas une contre-augmentation. ce qui conduit aux taux d’intérêt.

    Et ici, vous lisez noir sur blanc qu’en août 2019, les banquiers centraux et les financiers ont « anticipé » toutes les mesures présentées par la plupart des politiciens comme une « solution » aux distorsions de la « pandémie » déclarée par l’OMS. Il y a des coïncidences...

    Ce que les gens de BlackRock vous proposent, ce sont d'ailleurs deux changements massifs par rapport à l'approche législative et réglementaire existante : le « contournement du canal des taux d'intérêt » fait référence à l'expansion massive de la masse monétaire en circulation, avec le grand danger - pas mentionné ici - de la perte massive du pouvoir d'achat de l'unité monétaire ou de « l'inflation » – à travers « l'application d'une coordination politique » entre les banquiers centraux et les financiers d'une part et les acteurs politiques de l'autre.

    Une forme extrême d’action « directe » serait le financement monétaire explicite et permanent de l’expansion budgétaire , ce qu’on appelle la monnaie hélicoptère. Un financement monétaire explicite et à une échelle suffisante fera grimper l’inflation. Toutefois, sans limites explicites, cela nuirait à la crédibilité institutionnelle et pourrait conduire à des dépenses budgétaires incontrôlées .

    Le plan de BlackRock était « prophétique », comme on peut le constater : l'expansion inattendue des « aides », des « indemnisations », des « primes » diverses et bien d'autres encore, qui font encore rage notamment dans la zone euro, entrent dans la catégorie susmentionnée des « hélicoptères ». « l’argent » ou « l’expansion budgétaire ». Comme le disent clairement les gens de BlackRock, cela « fera augmenter l’inflation ».

    Donc, si des acteurs politiques ou des « médias de premier plan et de qualité » vous proposent des réponses simples comme « Poutine l'a fait » ou similaire, cela n'a aucun sens (pour un exemple particulièrement absurde, considérez les « Questions et réponses » sur Deutschlandfunk du 22 avril répertoriées ) . en 2023).

    « L’expansion budgétaire » ne signifie guère plus que : les dépenses publiques ; Dans la zone euro , le déficit budgétaire est de -3,7% en moyenne, le taux d'endettement est de 91,2% (c'est-à-dire que les 20 pays de la zone euro sont presque aussi endettés que leur production économique annuelle) et la probabilité de problèmes d'endettement massifs augmente rapidement. tous les jours – « plus » à ce sujet à la fin.

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  3. La signification de « Going Direct » et « Corona »

    Ce que les gens de BlackRock ont ​​présenté en août 2019 comme une « solution créative » dans Jackson décrit les actions des gouvernements, des banques centrales et de la Commission européenne depuis mars 2020. Une autre coïncidence, on a du mal à y croire...

    Les différentes « aides Corona » doivent donc fondamentalement être distinguées de la politique d’intervention massive des banques centrales sous le titre de « Quantitative Easing » mise en œuvre depuis la « crise financière de 2007/08 ». Cette dernière était de nature plus « traditionnelle » et, bien que sa portée soit presque sans précédent, cette intervention a au moins eu lieu dans les canaux bien connus de l’activisme capitaliste d’État.

    En bref : le « Quantitative Easing » décrit l’évaluation massive de la quantité de monnaie en circulation, notamment aux États-Unis, au Japon et dans la zone euro (au moyen de prêts conventionnels des banques centrales à des taux d’intérêt extrêmement bas ou négatifs accordés aux institutions financières). Le « Going Direct », à son tour, permet aux institutions financières d’obtenir des fonds directement auprès des banques centrales.

    En fin de compte, BlackRock a expliqué aux banquiers centraux en août 2019 que ces derniers n’avaient plus aucune option pour contrôler la masse monétaire et l’économie. La « solution » de BlackRock était simple : les banques centrales devraient renoncer à leur indépendance lors de la prochaine crise et combiner politique monétaire et politique budgétaire. Pour y parvenir, BlackRock a proposé la création d’un « mécanisme budgétaire d’urgence permanent », qui serait activé en cas d’urgence et serait dirigé par un « expert indépendant » – issu à la fois de la banque centrale et des politiciens.

    Comme le montre John Titus dans une chronologie détaillée, cela a été mis en œuvre « avant le Corona », lorsque la Réserve fédérale de New York est intervenue massivement sur les marchés financiers à la mi-septembre 2019. Le tristement célèbre « exercice de pandémie » intitulé « Événement 201 » a eu lieu le 18 octobre 2019.

    Le reste, comme on dit, appartient à l'histoire.

    En parlant de BlackRock

    La « pandémie du coronavirus » a d’ailleurs offert l’occasion idéale pour mettre en œuvre le plan « Going Direct » aux États-Unis. Comme la vie l'a voulu, c'est BlackRock lui-même qui s'est vu confier la gestion du mécanisme permanent d'urgence budgétaire - en mars 2020, lorsque le gestionnaire d'actifs a obtenu le contrat dans le cadre de la « Loi CARES » (ou « Loi sur l'aide, le secours et la sécurité économique contre le coronavirus »). "), pour gérer un fonds de 454 milliards de dollars établi par le département du Trésor en collaboration avec la Réserve fédérale.

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  4. Ce fonds pourrait à son tour être utilisé pour émettre plus de 4 000 milliards de dollars de prêts de la Réserve fédérale (la différence s'explique par les exigences réglementaires selon lesquelles les établissements de crédit ne détiennent qu'environ 10 % des prêts en cours - au sens de « banque à réserve fractionnaire »).

    Alors que le public était distrait par les manifestations, les émeutes et les « confinements », BlackRock est soudainement sorti de l’ombre et est devenu le « quatrième pouvoir », exerçant le contrôle sur le papier-monnaie à la demande de la banque centrale.

    La « Grande Réinitialisation » n’est guère plus qu’un tonnerre théâtral…
    Des tendances similaires se manifestent ici en Europe. Il apparaît de plus en plus que les multiples bonus, allégements fiscaux et « aides corona » sont la même chose : des interventions massives, directes et concertées.

    Il apparaît de plus en plus que la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial est un stratagème de relations publiques sophistiqué visant à cacher les changements tectoniques qui se produisent « derrière », mais à la vue de tous.

    ...parce que le lien entre la politique monétaire et la politique budgétaire est le suivant : le fascisme
    Maintenant, je mentionne le fameux mot F, mais quels en sont les ingrédients ou comment peut-on définir le « fascisme » au 21e siècle ?

    En bref, le « fascisme » est une forme de société présentant les caractéristiques suivantes :

    Le gouvernement ne reconnaît aucune limite à son pouvoir.
    Le gouvernement, conseillé par des « experts », organise la vie économique à travers ce que Max Weber appelait un jour « l’État institutionnel » : un appareil administratif massif.
    La vie économique est réglementée et contenue par l'État, les activités économiques – qui continuent d'être exercées par des acteurs « privés » – suivent les directives de planification du gouvernement ou des « experts ».
    Le gouvernement, à son tour, grâce à la combinaison de la politique monétaire et budgétaire, contrôle la fortune globale de l’économie et de la société grâce à une manipulation ciblée des dépenses et de la dette nationale.
    Les deux seules caractéristiques qui distinguent cette forme de fascisme des manifestations du siècle précédent sont le militarisme et l’impérialisme. Si l’on examine les quatre aspects fondamentaux précédents à la lumière de l’agression menée par les États-Unis, de l’expansion de l’OTAN et de la guerre en Ukraine, cette différence devrait également devenir largement inutile.

    La même chose peut s’appliquer au « dirigeant unique » ou au dictateur – car en fin de compte, l’« expert » nommé par la banque centrale est responsable de la mise en œuvre de la « coordination » de la politique monétaire et fiscale de sa propre initiative et sans aucune responsabilité envers le peuple ou ses citoyens. représentants parlementaires.

    Avant de crier avec indignation : le « fascisme » n’est manifestement pas une honte « allemande » ou « italienne » ; Kemal Pacha en Turquie ou les dictatures militaires en Grèce, en Espagne ou au Portugal soulignent le caractère clairement non confessionnel et national du « fascisme » en tant que forme de société du passé et du présent.

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  5. Postface d'un historien

    En parlant du passé : les « idées » visant à réguler l’ensemble de la société et à planifier son destin n’étaient pas non plus des réalisations du XXe siècle. Vers 1800, les premières réflexions à ce sujet se trouvent dans les écrits de Johann Gottlieb Fichte, dont la « solution » à « l’anarchie commerciale » se trouve dans la planification sociale globale. Semblable à ses contemporains (en particulier Leopold von Ranke et GFW Hegel), Fichte considérait également « l’État » comme l’autorité décisionnelle finale sur le sort de l’économie et de la société. Bien avant les bouleversements du XXe siècle, il existait une conception explicitement matérialiste d’une communauté planifiée.

    En parlant du présent : si vous interrogez BlackRock sur les avantages de l'approche décrite ci-dessus, ces avantages sont clairement visibles. Il semble toujours que les institutions habituelles continuent de fonctionner « normalement », mais les pouvoirs des parlements, des gouvernements et des partis en particulier ont clairement pris du retard en raison de la « coordination minutieuse » des banquiers centraux et des financiers.

    Cela ne signifie guère plus que l’abolition du contrat social existant par les banquiers centraux et les financiers, qui n’auraient jamais obtenu une telle marge de manœuvre et une telle influence sans la protection massive de la caste politique.

    Sous le couvert de la « crise de la poly » (Klaus Schwab), une nouvelle forme d’organisation sociale est en train d’émerger, dont les contours se précisent de plus en plus.

    https://tkp.at/2023/09/12/going-direct-statt-great-reset-eine-makro-analyse-des-globalismus/

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  6. EU-Leyen appelle une fois de plus à une identité numérique mondiale pour tous


    12 septembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer


    La cheffe non élue de l’Union européenne, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a appelé les dirigeants du monde à introduire un « système d’identification numérique » mondial pour les citoyens. Le dirigeant européen a lancé cet appel dimanche dans un discours prononcé lors de la session « One Future » du sommet du G20 en Inde. La manie du « One Something » sévit partout – « Un gouvernement mondial » est l’objectif final.

    Leyen a cité comme excellent exemple l’infrastructure numérique que l’UE a créée pour les « passeports de vaccination ». Elle a ajouté que le même système créé pour les passeports vaccinaux est désormais mis à jour pour prendre en charge l'identification numérique mondiale.

    Tout en déclarant, selon le service de presse de l’UE , que « l’avenir sera numérique », Leyen a également appelé les institutions mondialistes, elles aussi non élues, à réglementer l’intelligence artificielle (IA) et la future identité numérique mondiale. « Aujourd'hui, je voudrais me concentrer sur l'IA et les infrastructures numériques », a déclaré l'ancien ministre allemand de la Défense.

    « Comme décrit, l’IA recèle des risques, mais offre également d’énormes opportunités. La question cruciale est de savoir comment exploiter une technologie en évolution rapide », déclare Leyen . Elle souhaite que l'UE et ses alliés développent un « cadre mondial pour les risques liés à l'IA ».

    Tout en faisant pression pour une réglementation de l’IA, l’eurocrate a également appelé au contrôle de la technologie par les institutions non élues de l’ONU.

    « Dans l’UE, nous avons présenté la toute première loi sur l’intelligence artificielle en 2020. Nous voulons faciliter l’innovation tout en créant de la confiance. Mais nous avons besoin de plus », a-t-elle souligné.

    « Nous avons besoin d'un organisme similaire à l'IPCC pour le climat, et ici nous avons besoin de contacts supplémentaires avec des scientifiques, des entrepreneurs et des innovateurs », a déclaré le président de la Commission européenne , plaidant en outre pour l'introduction d'« infrastructures publiques numériques ».

    Elle a évoqué le système tyrannique de passeport vaccinal que l’UE a introduit pendant la pandémie de Covid. Ce système empêchait l’entrée des personnes qui ne pouvaient pas prouver qu’elles avaient été vaccinées avec les vaccins Big Pharma.

    « Beaucoup d’entre vous connaissent le certificat numérique COVID-19 », a-t-elle déclaré. « L’UE l’a développé pour elle-même. Le modèle était si fonctionnel et fiable que 51 pays sur 4 continents l’ont adopté gratuitement », se réjouit-elle.

    « Aujourd’hui, l’OMS l’utilise comme norme mondiale pour faciliter la mobilité en période de menaces sanitaires. Je tiens à remercier le Dr. " Merci Tedros pour votre excellente coopération ", a-t-elle ajouté, faisant référence au directeur général non élu de l'OMS.

    Pendant ce temps, l’UE est déjà en train d’introduire une application « d’identité numérique ». L'ID-Austria est déjà obligatoirement introduit en Autriche. Les salariés du secteur des soins de santé complémentaires reçoivent uniquement les fiches de salaire via ID-Austria. Il n’y a pas de protestation de la part des syndicats.

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  7. L'application pour smartphone de l'UE contiendra un passeport citoyen, un permis de conduire, des antécédents médicaux et d'autres informations personnelles, ainsi qu'un portefeuille pour la prochaine monnaie numérique de la banque centrale (CBDC). Dans la vision du Forum économique mondial (WEF) d'un avenir numérique, ceux qui n'utilisent pas une telle application seront exclus de la société.

    De telles mesures sont déjà mises en avant aux États -Unis. Le mois dernier, Bill Gates a dévoilé un système d'identification numérique qui, selon lui, servira d'« outil efficace de lutte contre la pauvreté ».

    En annonçant le système, Gates a déclaré que son objectif était de garantir que chaque personne dans le monde puisse prouver son identité... et je dois le faire.

    https://tkp.at/2023/09/12/eu-leyen-fordert-neuerlich-weltweite-digitale-identitaet-fuer-alle-menschen/

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  8. La FDA autorise de nouveaux vaccins contre le COVID-19 dans le but de contrer la baisse d'efficacité


    Par Zachary Stieber
    Recherche mondiale,
    12 septembre 2023


    Le 11 septembre, les régulateurs américains des médicaments ont autorisé de nouveaux vaccins contre le COVID-19 pour tenter de contrer la faible efficacité fournie par les options actuelles.

    La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a autorisé les vaccins Moderna et Pfizer qui seront disponibles pour les Américains dès l'âge de 6 mois plus tard ce mois-ci.

    "La vaccination reste essentielle à la santé publique et à la protection continue contre les conséquences graves du COVID-19, notamment l'hospitalisation et la mort", a déclaré le Dr Peter Marks, un haut responsable de la FDA, dans un communiqué. « Nous encourageons vivement ceux qui sont éligibles à envisager de se faire vacciner. »

    La FDA a approuvé les vaccins Moderna et Pfizer pour les personnes âgées de 12 ans et plus. Les régulateurs ont accordé une autorisation d’urgence pour les injections destinées aux personnes âgées de 6 mois à 11 ans.

    Aucune mention n’a été faite de Novavax, dont le vaccin est également actuellement disponible aux États-Unis.

    Les tirs ciblent XBB.1.5, une sous-variante de la variante du virus Omicron. Cette sous-variante a déjà été largement remplacée par des souches plus récentes, notamment EG.5, selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis.

    Les autorisations sont intervenues malgré le manque de données issues des essais cliniques.

    Moderna a déclaré que lors d'un essai, sa nouvelle injection avait induit des réponses immunitaires contre EG.5, également connu sous le nom d'Eris, et d'autres variantes plus récentes.

    Pfizer a déclaré que les données précliniques ont montré que les anticorps générés par son nouveau vaccin « neutralisent efficacement » l’EG.5.

    Les nouvelles injections ont été autorisées sur la base d'études sur les niveaux d'anticorps neutralisants qui semblaient montrer « une ampleur similaire au degré de neutralisation observé avec les versions antérieures des vaccins contre les variantes antérieures correspondantes contre lesquelles ils avaient été développés pour fournir une protection », a déclaré la FDA. . « Cela suggère que les vaccins sont un bon moyen de protéger contre les variantes du COVID-19 actuellement en circulation. »

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  9. Le CDC prévoit de rencontrer ses conseillers le 12 septembre pour déterminer quelles populations il devrait recommander de recevoir les nouveaux vaccins. Si le comité recommande un vaccin, le gouvernement fédéral doit le payer.

    De nombreux pays ont suggéré que les personnes jeunes et en bonne santé ne soient pas vaccinées contre le COVID-19, la maladie étant en voie de disparition.

    Le Royaume-Uni, par exemple, a déclaré en août que la vaccination cet automne n’était recommandée que pour certains groupes, y compris les personnes désignées comme à risque.

    Le CDC a réduit ses recommandations plus tôt cette année pour certaines populations.

    La directrice du CDC, le Dr Mandy Cohen, a déclaré plus tôt cette année que le CDC était sur le point de recommander des injections annuelles contre le COVID-19.

    Pfizer et Moderna ont déclaré que les nouveaux vaccins coûteraient entre 110 et 130 dollars.

    Nombre de piqûres

    Les nouveaux vaccins sont autorisés pour un nombre variable de vaccins, en fonction du groupe d'âge et de la vaccination antérieure.

    Les personnes âgées de 5 ans et plus, qu'elles aient ou non reçu un vaccin, peuvent recevoir une dose unique de l'une des nouvelles injections.

    Les enfants âgés de 6 mois à 4 ans préalablement vaccinés peuvent recevoir une ou deux doses de l’un des nouveaux vaccins.

    Les enfants de ce groupe d’âge qui n’ont pas été vaccinés peuvent recevoir trois doses du nouveau vaccin Pfizer ou deux doses du nouveau vaccin Moderna.

    Un autre remplacement

    La FDA a autorisé et le CDC a recommandé la mise à jour des injections à l’automne 2022 dans un contexte de diminution de l’efficacité.

    Ces tirs étaient bivalents et contenaient des composants de la souche Wuhan et d’Omicron.

    Ces injections n'ont pas donné de bons résultats contre les infections ou les maladies graves , selon les données d'observation. Ils ont été autorisés et recommandés sur la base de tests sur les animaux.

    Seulement 17 % de la population américaine avait reçu une dose bivalente au 10 mai, date la plus récente pour laquelle le CDC répertorie les données. Certains médecins ont choisi de ne pas les recevoir.

    La FDA a déclaré qu’elle prévoyait de mettre à jour les vaccins sur une base annuelle, comme elle le fait pour les vaccins contre la grippe.

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  10. BIEN SE RAPPELER qu'il n'existe AUCUN 'vaccin' au monde susceptibles de contrer une POUSSIÈRE (appelée 'virus'). Il n'est proposé qu'une EXPÉRIMENTATION GÉNIQUE D'ESSAIS (comme elle faite sur les ANIMAUX) et non un vaccin qui n'est valable qu'après 10 ou 15 années de recherches !

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  11. 2023 mars 20 – Markus Martinez , 17 ans , ancienne star du football de Columbine High School, maintenant senior à Bear Creek High School, a subi une crise cardiaque majeure le 17 novembre 2022, a reçu une transplantation cardiaque le 26 janvier 2023 et a déjà eu des problèmes de coagulation. depuis. En mars 2023, ils ont retiré un caillot de sang de 9 pouces de son aine !

    - voir clip sur site -

    11 juin 2021 – Evanston, Illinois – Simone Scott, une étudiante de 19 ans, a eu une insuffisance cardiaque 2 semaines après son deuxième vaccin à ARNm Moderna COVID-19 qu'elle a reçu le 1er mai 2021, a subi une transplantation cardiaque le 23 mai 2021, puis est décédée des suites de complications. le 11 juin 2021.

    - voir photo sur site -

    Simone Scott, une étudiante en journalisme de 19 ans, a reçu sa première dose du vaccin à ARNm Moderna contre la COVID-19 le 3 avril 2021 et sa deuxième dose le 1er mai 2021 . Elle a commencé à se sentir mal presque immédiatement et, deux semaines plus tard, elle était incapable de marcher . (cliquez ici )

    Les médecins ont dit à sa mère que Simone souffrait d'insuffisance cardiaque due à une myocardite et qu'elle devait être opérée immédiatement. Simone a été placée sur un appareil d’oxygénation extracorporelle par membrane (ECMO) le lendemain. Simone a été transférée au Northwestern Memorial Hospital et a subi une transplantation cardiaque le 23 mai 2021 ( 3 semaines après sa 2e dose de Moderna ).

    Les médecins ont dit que le nouveau cœur fonctionnait bien. Mais les poumons de Simone ont subi de nombreux dommages dus aux médicaments et aux appareils respiratoires et elle est décédée le 11 juin 2021.

    Une transplantation cardiaque réussie

    20 mars 2023 – Cincinnati, OH – Ebonie Sherwood, 18 ans, athlète de haut niveau à la Stebbins High School, s'est effondrée lors d'un entraînement sur piste le 7 mars 2023, son cœur ne guérissait pas et elle a eu une transplantation cardiaque 2 semaines plus tard. Elle semble aller bien en ce moment.

    Mon avis…
    Les vaccins à ARNm contre la COVID-19 détruisent le cœur des jeunes adultes et des enfants et nous n’avons pas encore commencé à mesurer toute l’étendue de ces blessures.

    J'ai documenté des DOUZAINES de tels cas sur ma sous-pile.

    Une chose que vous remarquerez dans ces cas est la rapidité avec laquelle la détérioration cardiaque est. Ces enfants ont souvent besoin d’une transplantation cardiaque en quelques semaines pour survivre.

    Il ne s’agit pas d’une « myocardite légère » ou d’une « cardiomyopathie légère ». Dans le cas d'Ebonie Sherwood, 18 ans, qui a eu un arrêt cardiaque lors d'un entraînement sur piste, son cœur ne guérissait pas et elle avait besoin d'une transplantation cardiaque qu'elle a reçue 2 semaines plus tard.

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  12. Dans le cas de Cash Addy, un garçon de Los Angeles de 12 ans, il a eu des douleurs à la poitrine, a été transporté à l'hôpital où il a failli mourir, a été mis sous assistance respiratoire et a reçu un nouveau cœur en un mois.

    Je peux rédiger un article entièrement distinct sur le nombre d’adolescents auparavant en bonne santé qui ont été vaccinés contre le COVID-19 et qui attendent maintenant une transplantation cardiaque ou en auront besoin dans un avenir très proche ; voici juste quelques exemples :

    - voir photo sur site -

    17 ans Evan Bartholomew
    Rhys Boser, 16 ans

    - voir photo sur site -

    16 ans Justus Danielli
    Maddox McCubbin, 16 ans

    - voir photo sur site -

    Carter Mills, 17 ans

    Une transplantation cardiaque ne résout cependant pas le problème sous-jacent. Ces enfants reçoivent un nouveau cœur qui contient presque certainement la protéine de pointe du vaccin COVID-19 – ce qui peut provoquer de nouvelles réactions immunitaires, tout en continuant à souffrir de lésions liées à la protéine de pointe du vaccin COVID-19 qui ont détruit leur cœur d'origine en premier lieu, en raison de leur greffe inutile. L’équipe n’a jamais pris aucune mesure pour les désintoxiquer de la protéine de pointe.

    Cela inclut les caillots sanguins, les anévrismes, les processus immunitaires anormaux et bien plus encore.

    Aperçu rapide de la littérature :

    Février 2023 – Poglajen et al – Sécurité et efficacité à long terme de la vaccination Mrna Sars-Cov2 chez les receveurs de transplantation cardiaque
    6 % des patients transplantés cardiaques ont présenté une AGGRAVATION de la fonction cardiaque dans le mois suivant la 2e dose de vaccin à ARNm.
    Conclusion : « La vaccination par ARNm SARS-CoV2 peut être associée à une aggravation de la fonction de l'allogreffe »
    2022 octobre – Goda et al – Efficacité et sécurité du vaccin à ARNm du SRAS-CoV-2 chez les receveurs de transplantation pulmonaire : un déclencheur possible de rejet
    les auteurs ont examiné 18 patients transplantés pulmonaires qui avaient reçu 2 doses de vaccin à ARNm.

    2/18 (11 %) ont développé un dysfonctionnement ou un rejet de transplantation pulmonaire.
    Février 2022 – Bau et al – Rejet aigu d’une allogreffe rénale après une vaccination par ARNm contre le coronavirus : un rapport de cas
    Un homme de 53 ans a reçu son deuxième vaccin à ARNm Moderna et a commencé à présenter des signes de rejet de greffe rénale 24 heures plus tard.
    2022 avril – Hume et al – Une série de cas de patients présentant un rejet aigu d'allogreffe hépatique après une vaccination contre l'ARNm anti-SARS-CoV-2
    3 patients ont présenté un rejet modéré à sévère de leur greffe du foie dans les 2 semaines suivant leur vaccin à ARNm

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  13. Conclusion : « Cette série de cas suggère qu'il pourrait y avoir un lien de causalité entre le vaccin Pfizer-BioNTech et le rejet d'allogreffe chez les receveurs sensibles d'une greffe de foie . La relation temporelle entre la réception du vaccin, l’apparition des symptômes et le dérangement ultérieur de la biochimie hépatique suggère fortement que le vaccin était au moins partiellement responsable de l’apparition du rejet.

    Décembre 2022 – Zeidenweber et al – Rejet aigu d’une allogreffe endothéliale après inoculation avec les nouveaux vaccins à ARN messager contre le SRAS-CoV-2
    Trois patients ont présenté un rejet endothélial cornéen 3 semaines après la deuxième dose d'un vaccin à ARNm du SRAS-CoV-2

    Conclusion : « le rejet de l'endothélium cornéen associé aux vaccins contre la COVID-19 peut être suffisamment grave pour entraîner un échec irréversible du greffon »
    2022 janvier – Shah et al – 4 cas de rejet de greffe de cornée après Moderna
    2022 Mai – Molero-Senosiain et al – 5 cas de rejet de greffe de cornée après vaccin COVID-19 (dont 3 Pfizer)
    Août 2022 – Marziali et al – Un garçon de 15 ans a eu un rejet de greffe de cornée 12 jours après le vaccin Pfizer à ARNm

    Conclusion

    Je pense que nous assisterons à un désastre dans le domaine de la médecine de transplantation, car un nombre important de receveurs de greffe vaccinés à ARNm contre le COVID-19 finiront par rejeter leur greffe en raison de complications découlant de la protéine de pointe du vaccin à ARNm contre le COVID-19.

    Dans les cas où une personne est obligée de prendre des vaccins à ARNm contre la COVID-19 avant d’être éligible à une greffe, je pense qu’il s’agit d’une faute professionnelle médicale qui entraînera de très importantes poursuites judiciaires à l’avenir.

    À l’heure actuelle, la médecine de transplantation est embourbée par la même corruption, la même incompétence flagrante et la même négligence que celles que nous constatons dans d’autres spécialités médicales qui ont tout fait pour se vendre aux actionnaires de Pfizer et Moderna.

    https://www.globalresearch.ca/children-hearts-destroyed-covid-19-mrna-vaccines-heart-transplants-not-going-well/5832228

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  14. La théorie du virus échoue également lamentablement avec la troisième condition classique : un agent pathogène doit déclencher la maladie s’il est introduit chez un animal de laboratoire ou chez un sujet humain. Même avec la grippe espagnole, des tentatives d’infection contraires à l’éthique ne pourraient pas déclencher une seule grippe. Comme on le sait, les patients symptomatiques du Covid 19 ont parfois eu des centaines de contacts, dont aucun n’est tombé malade.

    Le rhume et la grippe ont d'autres causes qui ont peu à voir avec une structure étrangère transmissible et beaucoup à voir avec l'état de la personne touchée. Les infections respiratoires causées par des courants d'air sans contact personnel s'expliquent mieux par le fait que lorsque la circulation sanguine est localement réduite, l'équilibre avec les microbes du corps est modifié de manière à ce qu'ils puissent nous pénétrer à travers les muqueuses. Un foulard offre une protection contre cela, mais jamais un masque et une distanciation sociale.

    Si les maladies respiratoires doivent désormais être codifiées comme une « urgence sanitaire » avec des mesures coercitives, il ne s’agit pas d’une protection sociale de l’État. Outre le fait que ni la civilisation ni les catastrophes naturelles, l’air empoisonné, l’eau empoisonnée ou la nourriture ne sont mentionnés comme des risques sanitaires d’égale importance. Quiconque offre une protection contre les infections respiratoires joue toujours avec les mauvaises cartes. Il aspire à la liberté et à l’autodétermination des peuples.

    Univ.-Doz.(Vienne) Dr. méd. Gerd Reuther est médecin et historien de la médecine ainsi que l'auteur de plusieurs ouvrages non romanesques critiques sur la médecine, tels que « The Betrayed Patient ». En 2023, il a publié « The Main Thing : Panic – A New Look at Pandemics in Europe » et « Last Days – Unrecognized and Cover-Up Causes of Death of Famous People ».

    Les opinions exprimées dans cet article ne reflètent pas nécessairement les opinions des auteurs fixes de TKP. Les droits et la responsabilité du contenu incombent à l'auteur.

    Gerd Reuther est spécialiste en radiologie et historien médical. En 2005, il a reçu le prix Eugénie et Felix Wachsmann de la Société allemande Roentgen pour ses réalisations. Il a publié une centaine d'articles dans des revues et livres spécialisés nationaux et internationaux ainsi que cinq livres qui examinent de manière critique la médecine d'hier et d'aujourd'hui. En 2023, « L’essentiel est la panique – Un nouveau regard sur les pandémies en Europe » et « Derniers jours – Causes incomprises et dissimulées de la mort de personnes célèbres » ont été publiés.

    https://tkp.at/2023/09/10/das-verschweigen-von-zahlen-in-der-medizin/

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  15. Examen des dangers de la plateforme de vaccins à ARNm


    JEUDI 7 SEPTEMBRE 2023


    50 % de ma famille a souffert d’effets indésirables graves dus au vaccin Moderna. Je n’ai reçu le vaccin que parce qu’on m’a menacé d’être licencié. Voir mon article ici : http://majiasblog.blogspot.com/2021/12/this-is-not-disinformation-lot-030b21a.html

    Les conséquences de notre obéissance à cette extorsion nous hantent aujourd’hui.

    De plus, nous connaissons de très nombreuses personnes qui ont souffert de maladies auto-immunes après avoir reçu des vaccins à ARNm. Nous connaissons également deux personnes qui sont mortes à cause de leurs « vaccins ». J'ai déjà examiné l'échec de l'analyse coûts-avantages sur ce blog.

    J'ai passé les 3 dernières années à essayer de comprendre ce qui s'est passé. J'ai appris qu'il existe au moins 4 problèmes connus avec la plateforme ARNm :

    La charge utile de la protéine Spike
    Le système de délivrance de « nanoparticules » lipidiques
    L'ARNm synthétique - N1-méthylpseudouridine utilisé dans l'ARNm
    Contaminants/adultères
    La protéine Spike est dangereuse en soi. Les instructions enveloppées de nanoparticules lipidiques pour le pic d'ingénierie de votre corps peuvent persister pendant une durée inconnue et se distribuer dans tout votre corps et se bioaccumuler dans les organes ! Pire encore, les nanoparticules lipidiques sont elles-mêmes hautement toxiques !

    SYSTÈME D'ADMINISTRATION DE NANOPARTICULES LIPIDIQUES

    Je recommande fortement la vidéo informative ici concernant la nature et les dangers des nanoparticules lipidiques utilisées dans les vaccinations à ARNm du Dr Robert Malone, dont les travaux sur l'ARNm font de lui une autorité très légitime sur ce sujet :

    https://open.substack.com/pub/rwmalonemd/p/lipid-nanoparticles-a-regulatory?r=q89bo&utm_campaign=post&utm_medium=web

    RECHERCHE CONNEXE

    Parhiz, H. et al., (2022). Ajoutées à l’inflammation préexistante, les nanoparticules d’ARNm-lipides induisent une exacerbation de l’inflammation (IE). Journal de libération contrôlée, 344, 50-61.

    La technologie actuelle des nanoparticules lipidiques d’ARN modifiées par nucléoside (modmRNA-LNP) a ouvert la voie aux données d’efficacité clinique les plus élevées provenant des vaccinations de nouvelle génération contre le SRAS-CoV-2 pendant la pandémie de COVID-19.

    Cependant, une telle technologie modmRNA-LNP n’a pas été caractérisée dans les conditions inflammatoires ou immunitaires préexistantes courantes, ce qui augmente le risque d’effets cliniques indésirables lors de l’administration de modmRNA-LNP dans de tels cas.

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  16. Ici, nous induisons un modèle d'inflammation aiguë chez des souris avec du lipopolysaccharide (LPS) par voie intratrachéale (IT), 1 mg kg-1, ou par voie intraveineuse (IV), 2 mg kg-1, puis administrons par voie IV du modmRNA-LNP, 0,32 mg kg- 1, après 4 h, et recherchez des marqueurs inflammatoires, tels que des cytokines pro-inflammatoires. ModmRNA-LNP à cette dose n’a provoqué aucune élévation significative des taux de cytokines chez les souris naïves.

    En revanche, peu de temps après la stimulation immunitaire par le LPS, le modmRNA-LNP a amélioré de manière significative les réponses des cytokines inflammatoires, l'interleukine-6 (IL-6) dans le sérum et la protéine inflammatoire des macrophages 2 (MIP-2) dans le foie.

    Notre rapport identifie ce phénomène comme une exacerbation de l'inflammation (IE), qui s'est avérée spécifique au LNP, agissant indépendamment de la cargaison d'ARNm, et qui s'est avérée dépendante du temps et de la dose. L'épuisement des macrophages ainsi que les études sur les souris knock-out TLR3 -/- et TLR4-/- ont révélé que les macrophages étaient les cellules immunitaires impliquées ou responsables de l'IE. Enfin, nous montrons qu'un prétraitement avec des médicaments anti-inflammatoires, tels que les corticostéroïdes, peut atténuer partiellement la réponse à l'IE chez la souris. Nos résultats caractérisent l'importance des phénomènes d'IE médiés par le LNP dans l'inflammation bactérienne à Gram négatif. Cependant, la généralisabilité du modmRNA LNP dans d'autres formes de contextes inflammatoires et immunitaires chroniques ou aigus doit être abordée.

    ARNm SYNTHÉTIQUE

    Selon une étude de 2020 (doi.org/10.1105/tpc.19.00639), la pertinence biologique de la pseudouridine dans l'ARNm reste floue, les effets en aval ne sont donc pas encore cartographiés :

    Mingjia Chen, Claus-Peter Witte, Une kinase et une glycosylase catabolisent la pseudouridine dans le peroxysome pour empêcher l'accumulation toxique de monophosphate de pseudouridine, The Plant Cell, Volume 32, Numéro 3, mars 2020, pages 722-739, https://doi.org /10.1105/tpc.19.00639

    Cette même étude observe un risque de toxicité de la pseurdouridine : une compromission du catabolisme de la pseudouridine entraîne une forte accumulation de pseudouridine et une augmentation de la teneur en ΨMP. Le ΨMP est toxique, provoquant un retard de germination et une inhibition de la croissance. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour garantir la sécurité, en particulier en ce qui concerne les expositions cumulatives.

    PROBLÈMES DE CHARGE UTILE DES PROTÉINES SPIKE

    Des scientifiques de l'institut Salk qui ont découvert que la protéine Spike seule, en l'absence du reste du virus, peut endommager les cellules endothéliales ? Voici la citation et le lien vers le communiqué de presse pour votre référence

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  17. La protéine Spike du SRAS-CoV-2 altère la fonction endothéliale via une régulation négative de l'ACE 2
    Yuyang Lei , Jiao Zhang , Cara R. Schiavon, Ming He, Lili Chen, Hui Shen, Yichi Zhang, Qian Yin , Yoshitake Cho , Leonardo Andrade , Gerald S. Shadel , Mark Hepokoski, Ting Lei, Hongliang Wang, Jin Hang, Jason X.-J. Yuan, Atul Malhotra, Uri Manor, Shengpeng Wang, Zu-Yi Yuan, John YJ. Shyy Publié initialement le 31 mars 2021https://doi.org/10.1161/CIRCRESAHA.121.318902Recherche sur la circulation. 2021 ; 128 : 1323-1326

    Une autre étude révèle que la protéine Spike, détachée du reste du virus, déclenche une signalisation cellulaire dans les cellules humaines, ce qui « peut favoriser le remodelage vaculaire pulmonaire et l'HTAP [hypertension artérielle pulmonaire] ainsi que d'autres complications cardiovasculaires » :

    Yuichiro J. Suzuki1,* et Sergiy G. Gychka La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 déclenche la signalisation cellulaire dans les cellules hôtes humaines : implications sur les conséquences possibles des vaccins contre la COVID-19. Vaccins 2021, 9(1), 36 ; https://doi.org/10.3390/vaccines9010036

    CONTAMINANTS

    Le Dr Malone, dans la vidéo liée ci-dessus, explique comment les échecs dans la fabrication des vaccins à ARNm entraînent une contamination préoccupante de l'ADN. Le processus de production n'est pas « propre », comme le montre un exemple du Japon.

    28 août 20213:38 Deux morts au Japon après des injections de vaccins Moderna suspendus - Gouvernement japonais Reuters https://www.reuters.com/business/healthcare-pharmaceuticals/two-die-japan-after-shots-suspended-moderna- vaccins-japon-govt-2021-08-28/

    TOKYO, 28 août (Reuters) – Deux personnes sont décédées après avoir reçu des vaccins contre le COVID-19 de Moderna Inc (MRNA.O), qui ont été parmi les lots suspendus par la suite suite à la découverte de contaminants, a annoncé samedi le ministère japonais de la Santé.

    RELATED POSTS

    http://majiasblog.blogspot.com/2022/05/mrna-vaccines-linked-to-higher-cardio.html

    http://majiasblog.blogspot.com/2022/04/fda-shuts-out-its-own-experts-in.html

    http://majiasblog.blogspot.com/2022/03/thanatopolitics-and-vaccine-apartheid.html

    http://majiasblog.blogspot.com/2021/08/what-is-going-on-no-public-health.html

    http://majiasblog.blogspot.com/2021/06/spike-protein-blues.html

    http://majiasblog.blogspot.com/2021/06/approval-mandatory-vaccine-mandates-for.html

    http://majiasblog.blogspot.com/2023/09/hazards-of-mrna-vaccine-platform.html

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  18. Il faut informer nos concitoyens et faire preuve de bon sens.

    Q uel est l’impact du « vaccin » contre le Covid-19 à l’échelle de la planète entière ?
    Comment cela affecte-t-il la population humaine de 8 milliards de personnes, y compris les nouveau-nés et les enfants à naître ?

    J'ai examiné les données au niveau mondial. Cela laisse perplexe.

    Sur une période de deux ans commençant à la mi-décembre 2020, plus de 12,9 milliards de doses de vaccin ont été administrées dans 184 pays (Bloomberg, 21 septembre 2022 , voir graphique ci-dessous).

    - voir sur site -

    Enregistré le 21 septembre 2022 : 12,9 millions de doses administrées (mi-décembre 2020-21 septembre 2022)

    Au moment de la rédaction de cet article (1er juillet 2023), près de 13,5 milliards de doses de vaccin ont été administrées à une population mondiale de 8 milliards de personnes , soit une moyenne de 1,7 dose par personne.

    Les données compilées par l'OMS (27 juin 2023) sont les suivantes ( voir tableau OMS) :

    13 461 751 619 doses de vaccin administrées
    5 579 548 776 personnes vaccinées avec au moins une dose
    5 137 861 772 personnes vaccinées avec une primo-série complète (CPS)
    Les chiffres ci-dessus confirment qu'environ 70 % (5,138 milliards de personnes) de la population mondiale a été vaccinée avec « une série primaire complète » qui comprend normalement au moins deux doses de vaccin.

    La carte de l’OMS ci-dessous doit être soigneusement analysée. 13,5 milliards de doses ont été administrées.

    Dans la plupart des pays, y compris les pays les plus peuplés de la planète, le nombre total de doses de vaccin administrées pour 100 habitants dépasse largement 100 (vert foncé sur la carte ci-dessous).

    La seule région du monde qui a jusqu’à présent échappé au « vaccin tueur » est l’Afrique, avec à peine 25 % de ses 1,4 milliard d’habitants entièrement vaccinés ( Africa CDC ) (voir carte ci-dessous). Récemment, l'Union africaine et le CDC Afrique, en liaison avec l'OMS, vont établir des installations locales de fabrication de vaccins en Afrique. Cet objectif est de vacciner entièrement 70 % de la population pauvre d’Afrique. Nous appelons les peuples d’Afrique, qui sont déjà victimes d’une crise alimentaire sans précédent , à s’opposer fermement à ce programme insidieux qui, ironiquement, est pleinement soutenu par le FMI , dans le cadre de ses réformes « choc et crainte » qui, au fil des années, années ont contribué à appauvrir tout un continent.

    - voir carte sur site -

    Alors que les gouvernements nationaux et l'OMS publient de fausses statistiques sur la mortalité présumée liée au SRAS-CoV2 (voir le chapitre III du livre de Michel Chossudovsky), ils omettent d'informer le public sur les impacts mortels du vaccin Covid-19 (c'est-à-dire le tableau des pays (mortalité et morbidité liées au vaccin Covid-19).

    Désinformation médiatique et « fausse science » : campagne de peur. « Le virus est plus dangereux que le vaccin »
    Un reportage sensationnaliste de la BBC sous le titre : Pourquoi le virus est-il une telle menace » … Citant « l'opinion scientifique », le virus a une « tactique évolutive meurtrière » pour propager l'infection Covid-19 partout.

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  19. « Encore une mort inutile », dit Emanuel Garcia. Imaginez ce que cela représente au niveau de 8 milliards de personnes.

    Nous devons également reconnaître l’impensable :

    Il y a une « marée de dépopulation » mondiale . Cette tendance peut-elle être inversée ?
    La réponse passe par le développement urgent de procédures de santé et/ou de médicaments efficaces qui contribuent à inverser les effets dévastateurs sur la santé (par exemple, la protéine de pointe) du vaccin Covid-19.

    Des recherches préliminaires sont en cours : Voir l'article du Dr William Makis intitulé :

    « Traitement des blessures causées par le vaccin Covid : le jeûne pendant 48 à 72 heures crée une autophagie »

    L'accent est mis sur « Le processus de désintoxication du corps qui tue les cellules endommagées par les protéines de pointe du vaccin COVID-19 et redémarre le système immunitaire »

    https://www.globalresearch.ca/covid-19-vaccine-applied-at-the-level-of-the-entire-planet-how-many-deaths-its-a-criminal-undertaking/5823739

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  20. Non, le calvaire des personnels soignants suspendus n'est pas fini : "La réintégration, c’est pire que la suspension, moi je l’appelle la désintégration". Entretien avec Jean-Louis, du collectif "Les Essentiels"


    le 09 septembre 2023 - 11:15
    Gilles Gianni


    Avril dernier. Les nouvelles paraissent alors favorables. La Haute autorité de santé (HAS) laisse enfin entrevoir la réintégration du personnel soignant, après plus de 500 jours de suspension. Ces catégories de personnels, qui ont refusé dès septembre 2021 de se soumettre à l'obligation vaccinale contre la Covid-19 avec un produit expérimental non éprouvé, l'ont payé durement.

    Ni salaire, ni accès au chômage, ni autres ressources. Une véritable mise au ban de la société sous une impulsion bien plus politique que scientifique ou médicale. Nous avions interrogé Jean-Louis, photographe, engagé au sein du collectif Les Essentiels, dont le but a été, et demeure, de venir en aide à ces soignants abandonnés, maltraités, démunis. Si nous nous interrogions à l'époque sur la nature et les conditions de ce revirement, Jean-Louis a préféré immédiatement rester plus prudent : "Au risque de jouer les trouble-fêtes, je ne considère pas encore, à ce stade, que la réintégration des soignants soit vraiment une victoire". Sa méfiance s'est-elle avérée être justifiée ?

    Gilles Gianni, France-Soir - En avril dernier, de nombreuses personnes se réjouissent de la fin de la suspension des soignants qui ont refusé le vaccin expérimental anti-Covid-19. Pas vous. Lors d'un entretien à France-Soir, vous exprimez même une prudence, voire une méfiance envers cet apparent relâchement. Avez-vous eu raison de rester sur la défensive ?

    Jean-Louis, les Essentiels - C'est bien l'une des rares fois où je regrette d'avoir vu juste, car comme je le pressentais, ce sont les conditions dans lesquelles s'opère la réintégration qui sont déterminantes. Pour quelques cas isolés, elle s'est bien passée, elle leur a permis de souffler, de revivre un peu, mais pour beaucoup le calvaire est loin d'être terminé, il est même plus douloureux que jamais. Il l'est d'autant plus que leur problème est aujourd'hui réglé dans l'esprit de tous, alors que c'est bien souvent le coup de grâce, la mise à mort finale. L'une de ces soignantes exprime bien un sentiment assez partagé :

    "La réintégration c'est pire que la suspension, moi je l'appelle la désintégration."

    Privés de leurs droits les plus élémentaires, dont celui au travail inscrit dans la Constitution, ils sont exsangues et criblés de dettes après 20 mois sans ressources ; pour manger ou nourrir leur famille, certains ont dû vendre leurs meubles, leur voiture, leur maison, ils n'ont plus rien ! Comment se reconstruit-on au sortir d'une telle épreuve ? On n'en sort pas indemne, on ne s'en relève pas du jour au lendemain et les séquelles psychologiques vous marquent à jamais. Axelle, par exemple, l'exprime ainsi :

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  21. "Je mesure comme ma blessure est grande et comme elle sera longue à refermer. Même si je rebondis je resterai une suspendue."

    Cet été, pendant que la France était en vacances, des personnels "réintégrés" se battaient pour leur survie, plus démunis que jamais, sans ressources, sans revenus. Mais pourquoi, puisqu'ils pouvaient reprendre le travail ? Parce que souvent le retour n'est plus possible. Ils espéraient une certaine reconnaissance de leur souffrance, ils ont rencontré l'indifférence, quand ce n'est pas l'hostilité :

    "Nous ne sommes plus rien, même plus suspendus finalement. On s'est entendu dire - Je ne veux pas avoir d'ennuis, je comprends ta colère mais bon, il faut passer à autre chose - Tout le monde veut mettre un couvercle dessus, le gouvernement n'a même plus besoin de nous faire taire ou de nous invisibiliser, ce sont les gens, notre entourage, nos collègues qui ne veulent pas nous entendre, ils veulent oublier".

    À l'instar d'une victime dont on ne reconnaît pas le préjudice, ils ne peuvent même pas faire le deuil de ces 20 mois de bannissement. Psychologiquement affaiblis, beaucoup craquent, ils sont déclarés en incapacité d'exercer par la médecine du travail et se retrouvent en arrêt maladie après quelques jours. Mais la surprise qui les attend, c'est la double peine. N'ayant pas cotisé pendant plus d'un an, ils n'ont droit à aucune indemnité, et leur contrat de travail étant rétabli, ils ne peuvent bénéficier d'aucune aide.

    Pour d'autres "réintégrés", c'est l'établissement qui ferme pour un mois d'été. Même punition, ils n'ont cumulé aucun droit à congé pendant la suspension, ils se retrouvent sans ressources, mais étant titulaire d'un contrat de travail, ils n'ont même pas droit au RSA.

    Le pire malgré tout c'est le harcèlement plus ou moins affiché/assumé qui les attend. Poste supprimé, reclassement à un poste inadapté, ou géographiquement éloigné, brimades diverses, acharnement de petits chefs revanchards, licenciement abusif, etc, la liste n'est pas exhaustive. Voilà le lot de ces personnels (et il n'y a pas que des soignants) que l'on achève à l'occasion de leur réintégration.

    France-Soir - Vos propos laissent entendre, au-delà de la multiplicité des cas, que la machine administrative a gardé dans son ADN mêlé à la gestion de la crise sanitaire une volonté de découragement, de discrimination, voire d'exclusion du personnel de santé qui n'a pas voulu recevoir le vaccin expérimental anti-Covid-19. Comment expliquer cela en ce qui concerne des administrations, des agences de santé ?

    Je ne crois pas que ce soit spécifique à la gestion de la crise sanitaire. L'administration n'a pas d'états d'âme, c'est une machine qui peut s'avérer lourde et inopérante, ou, comme on l'a vu ici, redoutablement efficace lorsqu'il s'agit d'exécuter des ordres. Se poser la question de leur finalité n'est pas son rôle et ce sont les circonstances qui ont rendu possible l'inconcevable. C'est l'expérience de Milgram et le concept de la banalité du mal, théorisé par Hannah Arendt, que nous avons vus à l'œuvre tout au long de cette crise.

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  22. Le traitement réservé aux personnels suspendus est indigne de toute société humaine. Il a pourtant suivi un plan implacable, relayé à chaque échelon par des agents zélés et déresponsabilisés, qui sont l'apanage de tout service administratif. Un agent refusant d'obéir est un grain de sable qui menace d'enrayer la machine bien huilée de l'administration, il n'y a pas sa place. La discrimination, le découragement et l'exclusion répondent alors à cette stratégie d'élimination des "moutons noirs" et les agences de santé ne sont qu'un des relais de cette froide mécanique.

    Le drame, c'est que l'hôpital, autrefois havre de bienveillance, suit aujourd'hui cette même tendance, l'empathie s'effaçant devant les directives administratives, comme nous l'explique cette infirmière :

    "Mon retour n'est absolument pas souhaité, tout est mis en œuvre pour me pousser vers la sortie. Je me retrouve désemparée face à une hiérarchie dénuée d'empathie et d'humanité. Ma réintégration est impossible. Je me rends compte que je n'ai plus ma place à l'hôpital."

    Cette autre soignante dresse un constat similaire :

    "Notre fonction est d'être disponible psychiquement, d'accueillir la différence, la liberté de choix. L'hôpital veut m'imposer l'inverse de ces valeurs fondamentales que je défends depuis 10 ans auprès des patients. J'ai la sensation de jouer une partie d'un jeu dont les autres ont les règles, mais pas moi..."

    Nul n'ignore que de nombreux soignants ont eu recours à un faux certificat de vaccination, mais l'administration a su fermer les yeux. Sous des prétextes de gestion sanitaire, l'objectif visé est donc bien la soumission avant tout. Rien d'étonnant alors au traitement réservé aux dissidents qui n'ont pas accepté l'injection expérimentale. Certains chefs d'établissements ont pourtant refusé ce dictat de l'absurde, employant des soignants non vaccinés testés négatifs à la seule condition que les collègues n'en sachent rien. Se soumettre n'était donc pas une fatalité, mais de tels cas restent très isolés. Comme dans l'expérience de Milgram il appartient à chaque individu de se positionner en écoutant sa conscience, mais si dire non est toujours possible, ce n'est pas dans l'ADN de l'administration.

    C'est bien la participation de tous les agents de l'administration, à chaque niveau hiérarchique et dans une immense chaîne de déresponsabilisation collective qui a permis l'infamie de ce régime de suspension. Mais le plus effrayant, c'est que l'administration n'est pas le seul corps d'état à avoir appliqué à la lettre ces instructions déshumanisées. Dans toutes les strates de la société civile, la même tendance à pu être observée. Pour exemple, l'agence d'Intérim qui employait Patricia avant la suspension lui déclare aujourd'hui :

    "Vous ne trouverez plus de missions, vous êtes marquée d'une pastille rouge."

    Et même si la comparaison heurte certains esprits résolument aveuglés, on ne peut nier que ces dérives sont une répétition de notre histoire pas si ancienne.

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  23. La véritable originalité réside dans l'ampleur du phénomène, car jamais les médias n'ont eu un tel pouvoir d'influence. Aux mains d'une poignée de milliardaires proches des hautes sphères de l'État, ils ont perdu leur rôle de quatrième pouvoir, ils ont mis une chape de plomb posée sur les mensonges d'état et se font l'écho de la propagande gouvernementale. Avec leur concours, on assiste à une manipulation de l'opinion publique et celle-ci a fonctionné à merveille, la peur anesthésiant tout esprit critique. Cette soumission a gangréné la société toute entière et le peuple, en acceptant sa servitude, a renoncé à son libre arbitre, allant jusqu'à bannir ceux qu'on lui faisait applaudir hier comme ses héros.
    La maltraitance des personnels suspendus par l'administration aurait pu être le déclencheur d'une prise de conscience, mais si quelques-uns ont ouvert les yeux, le grand réveil n'a hélas pas eu lieu.
    France-Soir - La suspension des soignants a entraîné la mort sociale de certains, comme vous le décrivez, mais aussi la mort par suicide, comme par exemple Mme Sylvie Desarménien. Cette aide-soignante en service de réanimation, particulièrement engagée dans son travail, n'a pas supporté de voir son métier aussi dénaturé et déshumanisé. Avec de tels drames, comment jugez-vous aujourd'hui le maintien de choix politiques dont on sait qu'ils n'ont servi à rien contre l'épidémie ? En effet, le vaccin expérimental anti-Covid-19 n'arrête pas la transmission du Sars-Cov-2, comme le fabricant l'a lui-même rappelé. Le statisticien Pierre Chaillot explique cette politique par la volonté de "faire obéir aux ordres du chef". Vous parlez vous-même de "soumission". Pourquoi un tel entêtement alors que la France est en manque de soignants ?

    Les élus représentent leurs électeurs et leurs actions devraient en principe n'être inspirées que par cet engagement, mais depuis longtemps déjà les choix politiques sont davantage orientés par les lobbies des grandes entreprises que par le bien-être du peuple. Sous la pression d'une normalisation mondiale destinée à servir les grands acteurs économiques, la société tend vers une uniformisation dans tous les domaines (y compris culturel), l'individu et la vie privée s'estompant peu à peu face à un intérêt que l'on dit collectif, mais qui sert avant tout ceux du sommet de la pyramide sociale. C'est semble-t-il la préoccupation première du gouvernement actuel.

    Dans ce contexte, les drames individuels ont très peu de poids face aux énormes intérêts économiques et aux enjeux de pouvoir.

    La population vieillit et en 20 ans 100.000 lits ont été supprimés, dont 5.700 pendant la crise du Covid. À aucun moment, il n'y a eu remise en cause de cette désastreuse politique de santé. Cherchez l'erreur ! Des personnels ayant fait le choix de consacrer leur vie au service des autres sont conduits à une mort sociale, allant parfois jusqu'au suicide, pendant que des milliers de patients ne sont pas pris en charge faute de personnel soignant. Tout cela correspond bien à une volonté politique délibérée orchestrée depuis des décennies. La rentabilité prévaut désormais sur la qualité des soins et comme le dit Barbara, aide-soignante :

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  24. "Cette crise a permis de faire accepter aux citoyens le renoncement à une qualité de soins et de prise en charge."

    Pour l'administration, un bon fonctionnaire est un agent docile, celui qui réfléchit est un caillou dans la chaussure, mais pour les politiques, c'est carrément un danger. Ces soignants qui n'ont pas adhéré à une injonction vaccinale expérimentale sont les mêmes qui dénoncent depuis longtemps la casse de l'hôpital public et la destruction de notre système de santé pour y substituer un modèle à l'américaine. C'est pour cela que Macron veut à tout prix "emmerder les non-vaccinés", ils dérangent le plan. Dès lors, il faut à tout prix éjecter les récalcitrants.

    Mais surtout, si au sein du parti macroniste et de ses sympathisants, il y a bien la nécessité d'obéir au chef, au-delà de la figure de Jupiter, l'entêtement est devenu inéluctable à tous les niveaux de décision et dans tous les corps de la société. C'est "la boîte de Pandore" dont je parlais au mois d'avril. Reconnaître ses erreurs, ses mensonges, c'est implicitement admettre que les mesures et les contraintes imposées à tous n'avaient aucun fondement scientifique. Au regard des dizaines de milliers de morts consécutifs au refus de traiter dès les premiers jours de la crise et à tous les effets indésirables graves et à l'augmentation de la mortalité liés à la vaccination de masse, le dicton "responsable, mais pas coupable" n'a plus cours. Il s'agit bien là de culpabilité et elle est collective, car tous ont appuyé ces choix et s'en sont rendus complices, les politiciens en premier lieu, les députés et sénateurs représentants du peuple, l'administration comme on l'a vu ci-dessus, nombre de scientifiques et de médecins, les syndicats, la justice et jusqu'à la population qui s'est pliée sans contestation à ce régime ubuesque.

    C'est la "corruption systémique". Et c'est ce qui fait que l'entêtement semble pour l'instant la seule issue possible, mais c'est une fuite en avant qui à terme pourrait s'avérer explosive.

    France-Soir : Les soignants délaissés, toujours attachés à leurs métiers et pourtant non réintégrés, demeurent dans des situations de détresse sociale complète. Votre collectif Les Essentiels les aide depuis septembre 2021. Comment s'organise votre assistance aujourd'hui et de quoi avez-vous besoin pour maintenir celle-ci ?

    Oui, ces professionnels sont attachés à leur métier, et c'est bien cela l'absurdité de la suspension, avoir réussi à décourager des soignants passionnés et dévoués alors que partout, on peine à en recruter. Le chirurgien Eric Loridan décrit bien ce paradoxe :

    "Ceux-là sont les premières victimes de ce système qui broie les plus belles âmes soignantes."

    Le collectif Les Essentiels s'est créé en septembre 2021 avec pour mission de mettre en lumière les suspendus, "Leur donner un visage, les écouter, les aider". Des portraits, des récits et un appel aux dons ouvert à la page "Les Aider/Faire un don" de notre site, c'est le cœur de notre projet, avec plus tard un livre et des expositions.

    En deux ans, nous avons ainsi été confrontés aux situations les plus dramatiques. Nous avons contribué à sortir de leurs difficultés des familles ou des personnes isolées, parfois même de façon définitive, et nous continuons à suivre ceux que nous avons aidés.

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  25. Couvrant l'ensemble du territoire national, notre collectif compte à ce jour plus de 140 photographes et la particularité de notre organisation est qu'elle s'articule autour d'un partenariat étroit avec quelques associations. Cette synergie nous confère une grande liberté tout en nous permettant d'être à la fois très réactifs et de pouvoir intervenir partout, en France métropolitaine et jusqu'en Outre-Mer.

    Très prochainement, nous allons pouvoir disposer des droits d'auteur du livre "Les Apprentis Sorciers", qu'Alexandra Henrion-Caude a choisi de céder aux suspendus en confiant à notre collectif la charge de leur distribuer. Mais cela ne suffira pas, car nous recevons quotidiennement des appels à l'aide et les besoins se chiffrent en plusieurs centaines de milliers d'euros.

    Il y a urgence, c'est pourquoi nous lançons ici un nouvel appel aux dons pour venir en aide à ces suspendus, certains d'entre eux étant aujourd'hui à l'agonie. Leur détresse est plus profonde que jamais, ces quelques paroles de "réintégrés" en donnent la mesure :

    Adèle :

    "Écartée telle une pestiférée et d'un jour à l'autre redevenue indispensable. Je n'imaginais pas pouvoir être déçue d'être réintégrée. Ce moment tant espéré et à la fois tellement illusoire, oui, je l'attendais désespérément, mais une réintégration sans considération me laisse amère. Je voulais reprendre mon métier aimé, mais après bientôt deux mois de reprise à mon poste d'infirmière, je me sens éteinte."

    Véronique :

    "Il est difficile de refermer la page, de digérer cette épreuve étant donné qu'il n'y a pas vraiment de fin à cette suspension ! Une 'suspension de suspension' et non une abrogation de cette loi nous laisse fragiles dans notre parcours professionnel. J'aimerais poursuivre dans le domaine du soin, mais nous restons sur un siège éjectable !"

    Delphine :

    "Il y a une cassure, une blessure géante qui me rappelle que je suis jetable. J'ai perdu toute confiance dans l'institution, je vis au jour le jour, je ne peux plus me projeter dans l'avenir."

    Et que dire des libéraux, dont certains ont tout perdu, leur cabinet, leur maison, lorsqu'ils ne sont pas en plus poursuivis par le conseil de l'Ordre ?

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  26. Ou comment ne pas s'indigner du cas d'Olga, suspendue en septembre 2021. Elle n'a pas été réintégrée au 15 mai 2023, son employeur refusant de lui restituer son poste au motif qu'elle est remplacée par un agent de la fonction publique. Aucun autre poste ne lui est proposé et l'employeur a engagé une procédure de licenciement. L'entretien préalable au licenciement a eu lieu mi-juillet et son licenciement est soumis au passage en commission des contractuels, qui se tiendra... courant septembre !

    En attendant elle est empêchée de reprendre son poste et l'employeur refuse de la payer au motif qu'elle n'a pas effectué son service... Victime d'un abus de droits manifeste, elle est sans salaire depuis bientôt 4 mois, sans pouvoir s'inscrire à Pôle Emploi ni percevoir aucune aide puisqu'elle n'est encore pas licenciée. Pendant la suspension elle pouvait toucher le RSA, là elle n'y a même plus droit ! L'employeur sait qu'après 20 mois de suspension elle n'a pas les ressources financières pour engager un avocat et il cherche ainsi à la pousser à la démission.

    Que vous décidiez ou pas de répondre à notre appel aux dons, visitez notre site, cliquez sur les photos, lisez les témoignages et surtout n'hésitez pas à les partager pour rappeler à tous que ces suspendus souffrent encore et pour tenter de briser le mur de cette indifférence générale qui est, pour eux, la pire des sentences. Ne pas oublier, ne pas LES oublier ! C'est notre premier devoir de citoyen, c'est aussi un devoir d'humain à humain, tout simplement.

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/calvaire-soignants-suspendus-reintegration-les-essentiels

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  27. Le British Medical Journal sur les projets dangereux de l'OMS et des États-Unis visant à rechercher des virus chez les animaux sauvages


    11 septembre 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Depuis plus d’une décennie, le gouvernement américain finance des projets internationaux visant à identifier les virus de la faune exotique qui pourraient un jour infecter les humains. Bien que les critiques aient exprimé des inquiétudes quant aux risques potentiellement catastrophiques d’une telle chasse au virus, l’engagement en faveur de cet effort a été démontré par des centaines de millions de dollars de financement constant.

    Les États-Unis mettent désormais discrètement fin à un programme controversé de chasse aux virus sauvages de 125 millions de dollars pour des raisons de sécurité. L'USAID a décrit ici ce programme imprudent et dangereux . Mais la recherche de futurs virus pandémiques est également exactement ce que le projet de traité de l’OMS (dans sa dernière version) exige de ses États membres. L'OMS vient d'appeler à la poursuite de ces expérimentations dangereuses dans une déclaration du sommet du G20 .

    D'autres programmes similaires se poursuivront donc . Ils doivent tous être abolis , avec un contrôle efficace garantissant qu’ils ne continuent pas en secret.

    La proposition de l'OMS appelle à des agents « open source » pour les armes biologiques. On dit qu’ils sont « partagés à l’échelle mondiale ». L'article 12 du traité propose deux options, mais toutes deux exigent que les nations partagent des agents pathogènes pandémiques potentiellement mortels.

    À partir de l'option A à la page 19 :

    1. Les parties conviennent que la prévention, la préparation, la riposte et le rétablissement du système de santé en cas de pandémie incluent l'échange rapide, systématique et opportun de matériel biologique présentant un potentiel épidémique et pandémique et de [données sur les séquences génétiques et informations pertinentes]/[informations sur les séquences numériques] ( Matériel biologique OMS CA+) est requis.

    De l’option B, à droite à la page 20 du projet de contrat pandémie. « Devrait » signifie « doit » en langage juridique.

    5. Partage de matériel biologique :

    a) Chaque Partie fournit, par l'intermédiaire de ses autorités sanitaires compétentes et de ses laboratoires agréés, de manière rapide, systématique et en temps utile

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  28. (i) mettre à disposition les agents pathogènes à potentiel pandémique provenant d’infections précoces par des agents pathogènes à potentiel pandémique ou de variantes ultérieures à un laboratoire reconnu ou désigné comme faisant partie d’un réseau de laboratoires coordonné établi par l’OMS ; et

    (ii) télécharger la séquence génomique de ces agents pathogènes à potentiel pandémique dans une ou plusieurs bases de données accessibles au public de son choix.

    Vous trouverez ci-dessous l' article du 7 septembre 2023 de David Willmann The B MJ Article sur la fin du programme de recherche d'agents pandémiques de l'USAID. Regardez la vidéo du rédacteur en chef et éditeur du BMJ ici .

    Les États-Unis mettent discrètement fin à un programme controversé de chasse aux virus sauvages de 125 millions de dollars, en raison de craintes pour la sécurité.
    Deux ans après avoir lancé un projet phare de cinq ans visant à chasser les virus dans la faune sauvage afin de prévenir les pandémies chez l'homme, l'Agence américaine pour le développement international met fin au projet. David Willman rapporte

    Un projet phare sur la pratique controversée de chasse aux virus parmi la faune sauvage en Asie du Sud-Est, en Afrique et en Amérique latine pour prévenir les épidémies de maladies humaines et les pandémies est en train d'être discrètement interrompu par l'Agence américaine pour le développement international (USAID) après des critiques privées et bipartites sur la sécurité. de telles recherches, comme l’a découvert le BMJ.

    Depuis plus d’une décennie, le gouvernement américain finance des projets internationaux dédiés à l’identification de virus exotiques de la faune sauvage qui pourraient un jour infecter les humains. Bien que les critiques aient exprimé des inquiétudes quant aux risques potentiellement catastrophiques d’une telle chasse au virus,1 des centaines de millions de dollars de financement non diminué ont symbolisé l’engagement en faveur de ces efforts.

    L'annulation du projet, comme décrit dans un nouveau document budgétaire du Congrès et dans des entretiens avec des scientifiques et des politiciens fédéraux, marque un retrait brutal du gouvernement américain de la chasse aux virus sauvages, une activité également soutenue par le ministère de la Défense et les National Institutes of Health. . Cette volte-face fait suite aux premiers avertissements des sceptiques – y compris des responsables de la Maison Blanche de Biden – selon lesquels le programme « DEEP VZN » de 125 millions de dollars (99 millions de livres sterling ; 115 millions d’euros) pourrait déclencher par inadvertance une pandémie. Les inquiétudes restent vives car la cause de la pandémie de SRAS-CoV-2, la pandémie la plus meurtrière au monde depuis un siècle, n'a toujours pas été prouvée.

    Lorsque l’USAID, une branche du Département d’État américain, a lancé DEEP VZN (prononcé « vision profonde ») en octobre 2021, l’agence l’a présenté comme « une prochaine étape cruciale… pour comprendre et faire face aux risques posés par les maladies zoonotiques qui peuvent être transmises ». des animaux aux humains. « 2 DEEP VZN, abréviation de « Discovery & Exploration of Emerging Pathogens-Viral Zoonoses », était le successeur d'un précédent programme de l'USAID appelé PREDICT et visait à identifier des agents pathogènes jusqu'alors inconnus de trois familles de virus : les coronavirus, les filovirus, tels que Ebola et paramyxovirus, dont le virus Nipah. L’objectif était d’aider le monde à « être mieux préparé à anticiper les futures menaces biologiques », pour les prévenir et y répondre. "2

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  29. Des responsables de l'Université de l'État de Washington, qui a été engagée par l'USAID pour gérer le DEEP VZN, ont déclaré dans un document soumis à l'agence que l'objectif de l'université était de collecter environ 480 000 échantillons d'animaux sauvages et de rechercher des virus « jusqu'alors inconnus » pour « identifier un sous-groupe qui constitue une menace pandémique importante. L'université a déclaré que le projet visait à découvrir et à caractériser jusqu'à 12 000 nouveaux virus au cours des cinq années du programme.3 En juillet de cette année, les responsables de l'USAID ont informé les conseillers des membres démocrates et républicains de deux comités sénatoriaux responsables du DEEP VZN. fait que le programme est interrompu.

    La décision de l'USAID, jusqu'alors non divulguée, de mettre fin au DEEP VZN intervient à un moment d'inquiétude accrue quant aux nombreux risques liés au travail avec des virus exotiques - y compris la question non résolue de savoir si la pandémie du SRAS-CoV-2 a été causée par un accident de recherche ou par une propagation naturelle. du virus d'une espèce animale à l'homme.4 En Chine, où un projet distinct de catalogage des virus est en cours depuis des années, des scientifiques ont décrit avoir été mordus ou griffés par des chauves-souris ou avoir été exposés à de l'urine de chauve-souris ou à du sang pulvérisé dans les yeux et le visage. .567

    La fermeture de DEEP VZN a été communiquée en privé au personnel du Sénat par le bureau d'Atul Gawande, l'administrateur adjoint de l'USAID pour la santé mondiale, selon des responsables proches du dossier. Gawande, nommé par le président Biden, était chirurgien général et hormonal et auteur à succès avant de rejoindre l’administration en janvier 2022.

    Peser les risques et les avantages potentiels

    L'échec du DEEP VZN, bien que soutenu par les partisans de l'USAID et les bénéficiaires du projet, confirme les inquiétudes des sceptiques, y compris la poignée de responsables de la Maison Blanche qui ont remis en question le projet.

    En décembre 2021, deux hauts responsables de la Maison Blanche spécialisés dans la biosécurité – Jason Matheny, assistant de Biden pour la technologie et la sécurité nationale, et Daniel Gastfriend, directeur du Conseil national de sécurité pour la défense biologique et la préparation aux pandémies – ont échangé pour la première fois en privé leurs points de vue avec l'USAID. -L'administrateur Samantha Power et lui a conseillé d'embaucher DEEP VZN. Un autre responsable de la Maison Blanche, T. Gregory McKelvey Jr., médecin et directeur associé pour la biosécurité au Bureau de la politique scientifique et technologique, a également fait part en privé de ses inquiétudes concernant le personnel de l'USAID, selon des personnes proches du dossier.

    Les commentaires des responsables de la Maison Blanche à Power fin 2021 et d'autres détails liés au DEEP VZN ont été rapportés pour la première fois par le Washington Post le 10 avril de cette année.5 Power, un avocat nommé par le président et formé à Harvard, a finalement partagé avec Matheny et Gastfriend a déclaré elle lancerait un examen du projet pour s'assurer que DEEP VZN pourrait être mis en œuvre d'une manière qui gère de manière appropriée les risques, selon les personnes informées de l'appel. En mars et novembre 2022, l’USAID a demandé à ses bénéficiaires de ne pas collecter d’échantillons de virus tant que les protocoles de sécurité n’auraient pas été réexaminés. Cependant, les archives fédérales montrent que l'USAID a continué à financer la recherche jusqu'au printemps de cette année,

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  30. La décision finale de mettre fin à DEEP VZN reflète l’engagement de l’administration Biden à peser plus rigoureusement les risques et les avantages potentiels des projets de recherche, ont révélé des entretiens avec des responsables actuels et anciens de la Maison Blanche. Ils ont souligné une recommandation publiée en mars par le Conseil consultatif scientifique national pour la biosécurité, selon laquelle de tels travaux ne devraient être approuvés que s'"il n'existe pas de méthodes alternatives viables permettant d'obtenir les avantages appropriés de la recherche proposée qui impliquent moins de risques". et après que « les risques inutiles aient été éliminés et que les risques restants soient justifiés par les avantages potentiels ».8

    En réponse à des questions écrites, un porte-parole de l'USAID a confirmé mercredi 6 septembre que l'agence avait décidé de fermer DEEP VZN.

    « L’USAID a déterminé que les investissements axés sur la recherche et la caractérisation de virus inconnus avant qu’ils ne se propagent à l’homme ne constituent actuellement pas une priorité mondiale en matière de sécurité sanitaire pour l’agence. En conséquence, nous cesserons de financer des projets ayant cet objectif spécifique », a indiqué l’agence dans son communiqué.

    Lorsqu'on lui a demandé dans quelle mesure la décision des dirigeants de l'USAID d'interrompre DEEP VZN était liée à des préoccupations concernant les risques, l'agence a répondu que la décision reflétait « les risques et impacts relatifs de notre programmation ».

    Plutôt que de collecter des virus qui circulent exclusivement parmi la faune sauvage, l'USAID a déclaré que "le changement de priorités de l'agence" donnerait la priorité aux actions visant à améliorer au niveau mondial "la capacité des laboratoires, la surveillance des maladies, les ressources humaines, la biosûreté et la biosécurité, ainsi que la communication sur les risques et l'engagement communautaire". L'agence a déclaré avoir informé l'Université de l'État de Washington et d'autres parties prenantes début juillet de la décision de l'USAID de mettre fin au projet DEEP VZN.

    Power n'a pas répondu à une enquête sur ses motivations au DEEP VZN. Gawande a été décrit par un assistant, Enam Hussain, comme étant indisponible pour commenter.

    Matheny, qui a quitté la Maison Blanche à la mi-2022 pour devenir président-directeur général de la RAND Corporation, a déclaré au BMJ qu'il pensait que la volte-face de l'USAID concernant DEEP VZN était due à une nouvelle attention médiatique et à de sérieuses considérations de sécurité.

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  31. « Il semble probable que l’agence ait privilégié les risques par rapport aux avantages du programme », a déclaré Matheny, soulignant que l’abandon de DEEP VZN viole le soutien de l’USAID à cette recherche, qui a duré trois administrations présidentielles et plus et comprenait un financement de 300 millions de dollars. « L’USAID a toujours considéré ce travail de découverte du virus comme « faisant partie de notre mission ».

    Bien que l’agence soutienne la chasse aux virus sauvages depuis 2009, son objectif historique et principal a été de soulager les souffrances causées par la maladie, la famine et d’autres catastrophes naturelles dans les régions pauvres en ressources.

    Les bénéficiaires des subventions DEEP VZN comprenaient l'Université de l'État de Washington, l'Université de Washington, l'Université de Washington à St. Louis, PATH (anciennement le Programme pour une technologie appropriée en santé) et FHI 360, un entrepreneur basé à Durham, en Caroline du Nord.9 Le 1er octobre , 2021, l'USAID a attribué à l'Université de l'État de Washington un contrat pour soutenir DEEP VZN avec 124,7 millions de dollars. L'Université de Washington a été sous-traitée pour fournir l'expertise de cinq de ses laboratoires afin de « renforcer les capacités d'autres pays pour pouvoir trouver et caractériser de nouveaux virus », comme l'indique l'un des communiqués de presse publiés par l'Université.10 En juillet 2022, L'USAID a accordé 1,1 million de dollars supplémentaires à FHI 360,

    Matheny et Gastfriend avaient contacté Power à l'USAID lorsqu'ils avaient appris que Kevin Esvelt, un éminent biotechnologue du Massachusetts Institute of Technology, avertirait publiquement devant la commission des affaires étrangères de la Chambre le 8 décembre 2021 que la recherche de nouveaux virus transmis par les animaux pourrait être exploitée par des terroristes et conduire à une pandémie. Le même jour, le directeur du Bureau de la politique scientifique et technologique de la Maison Blanche, Eric S. Lander, a publiquement nié les avantages de la chasse aux virus de la faune sauvage - une position qui contraste fortement avec celle des partisans de longue date d'un tel travail par l'USAID, le ministère de la Défense. et le chef des National Institutes of Health se tient debout.

    "OK, je pourrais m'attirer des ennuis", a répondu Lander, expert en séquençage et en interprétation du génome humain. « Je ne suis tout simplement pas optimiste sur cette question, car la nature est immense. Il existe des virus qui peuvent sauter d'une espèce à l'autre - et nous ne savons pas comment extraire un virus du règne animal et savoir quand il est prêt à sauter d'une espèce à l'autre. « 11

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  32. Une recherche à l’histoire controversée

    Bien avant la pandémie de SRAS-CoV-2, d’autres sceptiques en matière de chasse aux virus de la faune sauvage avaient rejeté de tels projets comme étant peu susceptibles de fournir des médicaments vitaux ou de prévenir des pandémies. Les biologistes Edward Holmes, Andrew Rambaut et Kristian Andersen ont écrit dans la revue Nature en juin 2018 : « Les promesses concernant la prévention et le contrôle des maladies qui ne peuvent être tenues ne feront que miner davantage la confiance. » Ils ont qualifié de « malavisées » et d’« arrogantes » les suggestions selon lesquelles de tels projets de chasse aux virus pourraient réussir.12

    À la suite de la pandémie du SRAS-CoV-2, d’autres ont soulevé des préoccupations supplémentaires, soulignant que les risques liés à la collecte de virus transmis d’un animal à l’autre ne doivent pas être pris à la légère. Une telle recherche implique généralement de collecter des échantillons biologiques – tels que des excréments, du sang ou de la salive de chauves-souris vivant dans des grottes ou des bosquets d’arbres – puis de les envoyer à un ou plusieurs laboratoires pour analyse. Certains experts préviennent qu’un incident à n’importe quelle étape des travaux4 créerait un risque d’épidémie ou de pandémie.

    Questions non résolues sur l’origine du SRAS-CoV-2

    L’inquiétude quant aux risques liés à la recherche sur des virus exotiques s’est accrue à la suite des révélations sur la surveillance d’expériences en laboratoire financées par les National Institutes of Health (NIH) utilisant du matériel génétique collecté localement sur des chauves-souris.13

    À l'automne 2021, répondant aux questions de certains républicains au Congrès, Lawrence Tabak, alors directeur adjoint du NIH, a décrit un retard déraisonnable dans la prise en compte de ce qu'il a qualifié de résultats inattendus d'expériences menées pour le compte d'un bénéficiaire de subvention, EcoHealth Alliance, avait été réalisée. Les essais, menés par un sous-traitant, l’Institut de virologie de Wuhan, en Chine, ont utilisé plusieurs souches de coronavirus provenant de chauves-souris.14

    Le projet, intitulé « Comprendre le risque d’émergence du coronavirus des chauves-souris », a été approuvé après que les gestionnaires de subventions du NIH ont déterminé en interne qu’il n’impliquerait pas de recherche sur le « gain de fonction », c’est-à-dire des travaux qui augmenteraient la transmissibilité ou la létalité d’un agent pathogène.

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  33. Par mesure de protection, le NIH avait demandé à EcoHealth, basé à New York, « d’arrêter immédiatement toutes les expériences avec ces virus » et d’informer immédiatement l’agence si une croissance significative du virus était observée chez les souris infectées en laboratoire. Les conditions d’attribution des subventions fixées par le NIH stipulent qu’« aucun fonds ne peut être utilisé pour soutenir la recherche sur le gain de fonction ».

    Cependant, Tabak a déclaré dans des lettres datées du 10 octobre 2021 adressées à plusieurs représentants de la Chambre que les travaux financés par les NIH à Wuhan se poursuivaient malgré les preuves indiquant une croissance virale accrue.14

    "EcoHealth n'a pas communiqué rapidement cette découverte, comme l'exigent les termes de la subvention", a écrit Tabak, alors directeur adjoint du NIH. Selon Tabak, les résultats de Wuhan sont restés inconnus du NIH pendant environ deux ans, jusqu'en août 2021.15 (Le président d'EcoHealth, Peter Daszak, a nié dans des déclarations écrites à un inspecteur général du gouvernement que son entreprise était obligée d'informer immédiatement le NIH des préoccupations de l'agence. identifié, mais il a déclaré que l'entreprise avait « corrigé certaines procédures ».13)

    Interrogé sur ce qui aurait pu causer la pandémie, Tabak a noté que les coronavirus utilisés dans les travaux de laboratoire financés par le NIH étaient génétiquement distincts du SRAS-CoV-2.16 Les agences de renseignement américaines approchées à la demande du président Biden ont conclu que la pandémie était très probablement causée soit par par propagation de l’animal à l’homme ou par un accident de recherche.16

    En coulisses, les critiques s'étaient intensifiées

    En mai de cette année, trois hauts responsables du Comité de l'énergie et du commerce de la Chambre, contrôlé par les Républicains, ont appelé le Government Accountability Office à lancer une étude scientifique pour « évaluer les avantages et les risques de la conduite de programmes de travail prédictifs sur le terrain pour les virus. »17

    Les membres ont souligné la recherche financée au cours de la dernière décennie par l'USAID et l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, une branche du NIH. Bien que ces recherches, y compris le programme PREDICT de l'USAID (le prédécesseur du DEEP VZN), « aient identifié des milliers de nouveaux virus », ont écrit les députés, « certains chercheurs ont remis en question la faisabilité de la collecte et de la caractérisation des virus trouvés chez les animaux. prédire avec précision quels virus pourraient infecter les humains, ou quels effets ils auraient si les humains étaient ensuite infectés ».

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  34. La lettre poursuit : « D’autres ont souligné que ces types de programmes présentent un risque d’infection involontaire des travailleurs de terrain ou de laboratoire, ce qui pourrait conduire à une épidémie accidentelle. »

    Dans le cadre de l'examen récemment lancé par le Government Accountability Office, le biologiste en chef Michael Dickens a envoyé un courrier électronique à Thiravat Hemachudha, ancien directeur du programme PREDICT à Bangkok, en Thaïlande, le 22 juillet. Dans l'e-mail consulté par le BMJ, Dickens faisait référence au rapport d'avril du Washington Post qui révélait que Thiravat avait décidé de refuser tout financement supplémentaire du gouvernement américain pour de telles recherches après l'avoir jugé inacceptablement dangereux en raison de l'origine incertaine de la pandémie de SRAS-CoV-2. 5 Les fonds américains de Thiravat provenaient à la fois du programme PREDICT et du Pentagone. Il reste partisan de la surveillance des virus apparus chez l’homme.

    La scientifique en chef par intérim du Government Accountability Office, Karen Howard, a estimé dans un courriel adressé au BMJ que l'examen serait probablement achevé au printemps 2024 ; elle a refusé de parler des résultats préliminaires.

    Parallèlement, des entretiens et des documents montrent que le financement du programme DEEP VZN par l'USAID a fait l'objet d'un examen plus approfondi en coulisses par les membres et le personnel de la commission sénatoriale des relations étrangères et de la commission sénatoriale des crédits. Les sénateurs républicains Lindsey Graham de Caroline du Sud, membre du comité des crédits, et James Risch de l'Idaho, membre du comité des relations étrangères, ont écrit une lettre privée au Power de l'USAID le 23 novembre 2021 et ont commencé à poser des questions.

    "Nous sommes particulièrement préoccupés par (...) DEEP VZN', qui vise à découvrir et à étudier des virus inconnus dans des zones où il existe un risque élevé de transmission de l'animal à l'homme", écrivaient alors les sénateurs. "Compte tenu de toutes les questions restées sans réponse concernant les origines de la pandémie de Covid-19, il est essentiel que cette initiative soit dûment examinée."

    Gawande, l'administrateur adjoint de l'USAID, a finalement répondu. Dans une lettre de 11 pages datée du 18 juillet 2022, il a exposé les mesures spécifiques prévues, notamment des visites régulières sur place et dans les laboratoires partenaires, pour faire face aux risques.

    Dans une autre lettre envoyée en privé aux sénateurs le 24 avril 2023, Power a décrit plus en détail les précautions de sécurité prévues pour DEEP VZN. Cependant, dans une réponse qui lui a été adressée le 16 mai, Risch n'a pas été impressionné.

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  35. Il a écrit : « Je reste profondément préoccupé par le fait que l'USAID n'exerce pas encore le niveau de surveillance et de contrôle sur ses partenaires d'exécution principaux et subprimes que la recherche en sciences de la vie... exige certainement. Même si ce niveau de contrôle pouvait être atteint dans les jours, semaines, mois ou années à venir - ce qui est hautement improbable - je ne suis pas convaincu que la chasse aux nouveaux virus relèverait un jour des compétences de base de l'USAID.

    L'échange entre le Sénat et l'USAID a abouti à une brève mention de la résiliation non signalée de DEEP VZN dans le budget du Département d'État pour l'exercice 2024 en date du 20 juillet de cette année, qui déclarait : « Le Comité adopte la décision de l'USAID de mettre fin au financement de la recherche sur pathogènes inconnus. « 18

    https://tkp.at/2023/09/11/the-british-medical-journal-ueber-gefaehrliche-plaene-von-who-und-usa-mit-virensuche-in-wildtieren/

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  36. Déclaration de l'OMS au sommet du G20 : Au lieu de soutenir la santé, il faut accorder plus d'argent et de pouvoir aux produits pharmaceutiques


    11 septembre 2023
    du Dr. Peter F. Mayer


    Comme chaque année, l’OMS parvient à faire adopter au sommet du G20 une déclaration qui touche de moins en moins à la santé. Il devrait y avoir plus d'argent pour les produits pharmaceutiques et des réglementations contraignantes grâce auxquelles l'OMS peut imposer l'administration des vaccinations et des traitements médicamenteux.

    Il existe une déclaration à ce sujet, qui peut être lue dans son intégralité ici . Vous trouverez ci-dessous les extraits les plus importants en traduction allemande :

    Renforcer la santé mondiale et mettre en œuvre l’approche One Health

    28. Nous restons déterminés à renforcer l'architecture mondiale de la santé, avec l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en son cœur, et à construire des systèmes de santé plus résilients, équitables, durables et inclusifs pour parvenir à une couverture sanitaire universelle, mettre en œuvre l'approche One Health, améliorer la lutte contre la pandémie. préparation et renforcer les systèmes de surveillance des maladies infectieuses existants.

    Au cœur de l’OMS se trouve un système corrompu dont l’industrie pharmaceutique et des oligarques comme Rothschild et Gates déterminent le contenu.

    ii. Promouvoir l’approche One Health dans le cadre du Plan d’action conjoint quadripartite pour une seule santé (2022-2026).

    iv. Mettre en œuvre et donner la priorité à la lutte contre la résistance aux antimicrobiens (RAM) dans le cadre de l’approche One Health, notamment par des efforts de recherche et développement, de prévention et de contrôle des infections et de gestion des antimicrobiens dans le cadre des plans d’action nationaux respectifs à travers la surveillance de la RAM et la consommation d’antimicrobiens.

    One Health signifie simplement que l'OMS présume d'avoir des confinements climatiques, de pouvoir vacciner votre animal de compagnie et de déterminer ce qui peut être mangé ou par quelle viande doit être remplacée, par exemple .

    v. Faciliter l’accès équitable à des vaccins, produits thérapeutiques, diagnostics et autres contre-mesures médicales sûrs, efficaces, de qualité garantie et abordables, en particulier dans les pays à revenu faible et intermédiaire (PRFI), les PMA et les PEID.

    On ne parle que des produits pharmaceutiques, mais pas de la manière dont les gens peuvent maintenir et renforcer leur santé. Ce qui devrait arriver a été démontré à l’avance avec la campagne de vaccination contre le corona. Bien qu’il y ait eu plus de décès dans le groupe vacciné que dans le groupe témoin, la vaccination a été imposée dans le monde entier.

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  37. L'Afrique du Sud a récemment publié les contrats Pfizer non expurgés . Il est dit noir sur blanc sous le chapitre 5.5 :

    Efficacité = INCONNU
    Événements indésirables = INCONNU
    Effets secondaires à long terme = INCONNU

    vi. L’attente d’un résultat positif des négociations en cours au sein de l’Organe intergouvernemental de négociation (INB) sur une convention ambitieuse et juridiquement contraignante de l’OMS, un protocole d’accord ou d’autres instruments internationaux pour la préparation à une pandémie (OMS CA+) d’ici mai 2024, ainsi que des amendements pour mieux mettre en œuvre le Règlement sanitaire international (2005).

    viii. Soutenir le processus de consultation inclusif dirigé par l’OMS pour développer un mécanisme provisoire de coordination des contre-mesures médicales avec la participation efficace des PRFI et d’autres pays en développement, en tenant compte d’une approche en réseau qui exploite les capacités locales et régionales de R&D et de fabrication et renforce la livraison sur le dernier kilomètre. Cela peut être adapté en fonction du WHO CA+.

    L’objectif est de consolider la domination de l’industrie pharmaceutique dans les pays du Sud.

    Collaboration entre finance et santé

    29. Nous restons déterminés à renforcer l’architecture sanitaire mondiale pour la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies (PPR) grâce à une collaboration accrue entre les ministères des Finances et de la Santé par le biais du Groupe de travail conjoint sur les finances et la santé (JFHTF). Au sein du JFHTF, nous nous félicitons de la participation d’organisations régionales clés invitées aux réunions du groupe de travail, car elles renforcent la voix des pays à faible revenu.

    Il s’agit de redistribuer l’argent des impôts aux sociétés pharmaceutiques et à leurs propriétaires. Cette redistribution doit être permanente et automatisée.

    Nous saluons la discussion sur le cadre des vulnérabilités et des risques économiques (FEVR) et le premier rapport sur les vulnérabilités et les risques économiques pandémiques produits en collaboration entre l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la Banque mondiale, le FMI et la Banque européenne d'investissement (BEI).

    Nous appelons le groupe de travail à continuer d’affiner ce cadre au cours de son plan de travail pluriannuel afin d’évaluer régulièrement les vulnérabilités économiques et les risques liés à l’évolution des menaces de pandémie, en tenant compte des circonstances spécifiques à chaque pays.

    Nous saluons le rapport sur les meilleures pratiques des institutions financières et de santé pendant la Covid-19, qui contribuera à une préparation collective du secteur financier et de la santé pour soutenir notre réponse aux futures pandémies. Nous saluons le rapport préparé par l'OMS et la Banque mondiale sur la cartographie des options et des lacunes de financement en réponse à la pandémie et attendons avec intérêt de poursuivre les discussions sur la manière dont les mécanismes de financement pourraient être optimisés, mieux coordonnés et renforcés de manière appropriée si nécessaire afin de fournir les ressources nécessaires. financement rapide et efficace, en tenant dûment compte des discussions dans d’autres forums mondiaux.

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  38. Nous saluons l’achèvement du premier appel à propositions du Fonds pandémique et attendons avec impatience le deuxième appel à propositions d’ici la fin 2023, sur la base des enseignements tirés du premier appel à propositions. Nous soulignons l’importance d’attirer de nouveaux donateurs et co-investissements. Nous demandons au groupe de travail de rendre compte de ses progrès aux ministres des Finances et de la Santé en 2024.

    Et afin de pouvoir mettre en œuvre tout cela en continu et sans être perturbé par des objections et des résistances, il convient de doter les personnes d'une identité numérique leur permettant de vérifier à tout moment si les vaccinations et les médicaments ordonnés ont effectivement été effectués.

    Promouvoir les écosystèmes numériques

    60. Nous sommes résolus à utiliser tous les outils et technologies numériques disponibles et à ne ménager aucun effort pour promouvoir des écosystèmes numériques sûrs et résilients et garantir que tous les citoyens de notre planète soient financièrement inclus. Pour soutenir cela, nous allons :

    ii. Nous saluons la création de l'Initiative mondiale pour la santé numérique (GIDH) dans un cadre géré par l'OMS pour construire un écosystème complet de santé numérique conformément aux réglementations pertinentes en matière de protection des données.

    Pour résister à ces projets totalitaires, une journée d'action internationale aura lieu à Vienne le 1er octobre, à l'appel de l' Initiative scientifique pour la santé autrichienne et d'autres organisations.

    https://tkp.at/2023/09/11/who-erklaerung-bei-g20-gipfel-statt-unterstuetzung-der-gesundheit-mehr-geld-und-macht-fuer-pharma/

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  39. La réponse à la crise du COVID a entraîné une augmentation mondiale de la « pauvreté d’apprentissage »


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 11 SEPTEMBRE 2023 - 11H45


    La Journée internationale de l'alphabétisation, célébrée le 8 septembre de chaque année, est une célébration mondiale dédiée à la promotion de l'importance de l'alphabétisation en tant que droit humain et puissant moteur du développement durable.

    L'alphabétisation est un élément clé du développement personnel et du progrès social car elle permet aux individus d'accéder à l'éducation et à l'information, leur permettant ainsi de prendre des décisions éclairées et de participer pleinement à la société. Il joue également un rôle central dans la réduction de la pauvreté, l’amélioration des résultats en matière de santé et la promotion de l’égalité des sexes. La Journée internationale de l’alphabétisation nous rappelle que l’alphabétisation n’est pas seulement un droit humain fondamental mais aussi un catalyseur de changement positif, tant au niveau individuel que sociétal.

    Comme le note Felix Richter de Statista, depuis la première célébration de cette journée en 1967, des progrès constants ont été réalisés dans la lutte contre l'analphabétisme, mais le problème reste un obstacle au développement dans le monde, avec plus de 750 millions de personnes âgées de 15 ans et plus. manquent de compétences de base en lecture et en écriture en 2020.

    De plus, les progrès vers un monde plus alphabétisé se sont heurtés à un énorme obstacle en 2020, lorsque les politiques de confinement basées sur la Covid-19 ont perturbé les systèmes éducatifs du monde entier.

    - voir graph sur site -

    Infographie : La crise de Covid entraîne une augmentation mondiale de la pauvreté en matière d'apprentissage | Statiste
    Vous trouverez plus d'infographies sur Statista

    Avec plus d’un milliard d’enfants touchés par la fermeture des écoles et des centaines de millions de personnes privées des programmes d’apprentissage à distance, la réponse tyrannique et unique des responsables de la santé des gouvernements mondiaux à la pandémie a constitué un choc sans précédent pour l’éducation mondiale dont les conséquences se feront sentir. pendant des années.

    « L'état de la pauvreté mondiale en matière d'apprentissage : mise à jour 2022 », une publication conjointe de la Banque mondiale, de l'UNICEF, du FCDO, de l'USAID et de la Fondation Bill & Melinda Gates en partenariat avec l'UNESCO tente d'évaluer dans quelle mesure la Covid a affecté la capacité de lecture des enfants. , arrivant à la conclusion que la pandémie a aggravé une crise d’apprentissage préexistante. Le rapport révèle que le taux de pauvreté en matière d'apprentissage, c'est-à-dire la proportion d'enfants qui ne peuvent pas lire et comprendre un texte simple avant l'âge de 10 ans, a augmenté dans le monde entier entre 2019 et 2022, passant de 57 à 70 pour cent dans tous les pays à revenu faible et intermédiaire. des pays.

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  40. « Même avant le Covid-19, le monde était confronté à une crise de l’apprentissage, avec près de 6 enfants de dix ans sur 10 vivant dans des pays à revenu faible ou intermédiaire souffrant de pauvreté en matière d’apprentissage », constate le rapport, appelant à une action urgente pour être pris. « Il existe une fenêtre étroite pour agir de manière décisive afin de récupérer et d’accélérer l’apprentissage. La bonne nouvelle est que les politiques de base qui peuvent aider à récupérer l’apprentissage perdu à cause de la pandémie s’attaqueront également à la crise de l’apprentissage sous-jacente plus profonde qui a précédé la Covid-19, en accélérant l’apprentissage et en apportant des avantages à long terme aux économies et aux sociétés.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/covid-crisis-response-has-driven-global-increase-learning-poverty

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  41. Les Américains divisés alors que les mandats de masques font leur retour au milieu de la vague de COVID-19


    PAR TYLER DURDEN
    DIMANCHE 10 SEPTEMBRE 2023 - 03h30
    Rédigé par Joe Gomez via The Epoch Times


    Plusieurs écoles et entreprises privées ont rétabli l’obligation de porter un masque alors que les cas de COVID-19 et les hospitalisations continuent d’augmenter à travers le pays, provoquant des divisions au sein des communautés sur la manière de limiter la propagation du coronavirus.

    Les hospitalisations liées au COVID-19 ont augmenté de près de 16 % au cours de la seule semaine dernière, selon les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC).

    En Alabama, l'école secondaire Kinterbish a émis un mandat de masque fin août pour les étudiants, le personnel et les visiteurs en raison du COVID-19 et cette semaine encore, l'école primaire Rosemary Hills à Silver Spring, Maryland, a émis un mandat de masque pendant 10 jours, après trois personnes de l'école ont été testées positives pour le virus.

    « Cela commence toujours de la même manière, par un mandat temporaire de « 15 jours pour [slow the spread] », a déclaré à Epoch Times Kyle Wilkens, un parent de Silver Spring. "Je ne peux pas revivre ça, mon enfant ne porte pas de masque à l'école."

    Mme Wilkens estime que le mandat sera prolongé, même s'il devrait expirer le 15 septembre.

    « Les médias font déjà leur part pour semer la peur. Maintenant, ils essaient de nous adoucir avec des conseils et des exigences en matière de masques dispersés ici et là. Nous savons d’avance que cela va s’aggraver.

    D’autres personnes dans la région pensent que l’obligation temporaire de porter un masque est une bonne idée pour prévenir la transmission du coronavirus dans la communauté.

    « C’est mieux que de rester coincée à la maison pendant 10 jours ou de se sentir malheureuse et de rester coincée à la maison », a déclaré Marlene Tay du comté de Montgomery, Maryland, à Epoch Times.

    « Nous avons tous contracté le COVID l’année dernière après quelques cas scolaires. C'était horrible parce que bien sûr, notre fille allait bien alors que nous nous sentions malades. Je m'attends à tomber malade bientôt. Nos voisins viennent d'avoir leur troisième cas il y a quelques semaines. Tous les enfants ont de la fièvre et des maux de gorge, même si ce n'est généralement pas (encore) le COVID.

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  42. Dans d’autres régions du pays, des mandats de port du masque ont également été émis et levés. Le Morris Brown College d'Atlanta, en Géorgie, a mis fin à son mandat de masque après deux semaines. Tout comme les studios de cinéma Lionsgate et Kaiser Permanente en Californie après avoir brièvement mis en place un mandat.

    « Dieu merci, je vis en Floride », a déclaré Tammy Contreraz de Tampa Bay à Epoch Times. « Je n’ai pas à m’occuper de toutes ces règles confuses en matière de mandats. »

    Les responsables de la santé sont divisés sur le masquage

    Le CDC a émis des recommandations de masquage par comté en fonction des taux d'admission à l'hôpital, catégorisant les niveaux d'admission en vert, jaune et rouge (faible, moyen et élevé).

    Publicité - L'histoire continue ci-dessous

    Si les taux d'hospitalisation pour COVID sont au niveau jaune (moyen) ou rouge (élevé), lorsqu'il y a 10 à plus de 20 nouvelles admissions pour 100 000 habitants dans un comté, le CDC recommande de porter un masque à l'intérieur ou dans un espace public.

    "Je pense que c'est un conseil intelligent, les masques sont efficaces pour limiter tout agent pathogène aéroporté, mais seulement s'ils sont portés régulièrement, en particulier dans les espaces très fréquentés et les zones de contact étroites", a déclaré Santiago Mercado, infirmier des urgences à l'hôpital Elmhurst du Queens, New York, à The Epoch. Fois.

    « Je ne sais pas dans quelle mesure les gens se conformeront aux directives, mais cela peut absolument protéger le public et améliorer les décès évitables. »

    M. Mercado a travaillé dans des unités de soins intensifs dans des hôpitaux de la région de New York pendant la pandémie de 2020 et a constaté à quelle vitesse le COVID peut se propager, inondant les établissements de santé.

    « C’était comme un feu de brousse ; tant de gens mouraient chaque jour. Tout ce que nous pouvons faire pour empêcher que cela ne se reproduise, je le soutiens », a-t-il déclaré.

    Les professionnels de la santé de l’autre côté de la question ne sont pas d’accord et affirment que le masquage n’a aucun avantage significatif pour éviter l’infection par le coronavirus.

    « Les propres données du CDC révèlent que ceux qui portent des masques sont infectés par le COVID au même rythme que ceux qui n’en portent pas », selon une analyse d’Americas Frontline Doctors publiée sur leur site Internet.

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  43. « 85 % des personnes infectées par le COVID portaient des masques une partie ou la totalité du temps avant leur infection. Les innombrables juridictions qui ont rendu obligatoire le port du masque ont en fait constaté une augmentation des infections au cours du mandat. Une étude randomisée et contrôlée clé sur le masquage de masse pendant l’épidémie de COVID a conclu que le port d’un masque n’avait aucun effet significatif sur la propagation du virus.

    L’organisation poursuit en signalant que même si les masques étaient efficaces, le port continu du masque aurait des impacts négatifs, tels qu’une « diminution des niveaux d’apport en oxygène, des maux de tête, le syndrome d’épuisement induit par le masque (MIED), une réduction de la charge germinale immunitaire ». et des réactions cutanées.

    Gouverneurs sur les mandats de masque

    Jusqu'à présent, il n'y a pas d'obligation de porter des masques à l'échelle de l'État dans tout le pays, bien qu'à New York, la gouverneure Kathy Hochul (D) ait dévoilé un plan visant à distribuer des masques N-95 et KN-95 aux écoles cet automne, mais n'impose pas leur utilisation.

    « Grâce au travail acharné des écoles, des enseignants et des parents de New York, nous avons parcouru un long chemin pour garantir que les élèves puissent retourner en classe en toute sécurité », a déclaré Mme Hochul. « Des tests fréquents pour le COVID-19 sont un élément important pour assurer la sécurité de nos enfants et prévenir une épidémie, et je continuerai de travailler pour garantir que nos districts scolaires disposent des ressources dont ils ont besoin pour fournir un environnement d'apprentissage sûr et en personne à nos élèves. »

    Dans le Mississippi, le gouverneur Tate Reeves (à droite) a clairement exprimé son opposition au port du masque, déclarant qu'il n'y aura pas d'obligation de masque dans un avenir proche.

    « Il y en a à gauche qui veulent toujours des restrictions liées au COVID… Permettez-moi de le répéter : il n’y aura pas d’obligation de masque, d’obligation de vaccin contre la COVID ou de confinement dans le Mississippi », a publié Reeves sur Facebook.

    « Les habitants du Mississippi ne se soumettront pas et ne devraient plus se soumettre à la peur… Si vous souhaitez prendre des mesures extraordinaires pour vous protéger contre la maladie, que Dieu vous bénisse. C’est votre droit et vous devez faire ce que vous pensez être le mieux. Peut-être que tu es le plus intelligent de nous tous. Mais nous ne retournerons jamais en 2020. »

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  44. Lutte pour les mandats au Capitole

    La division sur les mandats de port du masque s'est répercutée sur la politique dans la capitale nationale, alors que certains républicains du Congrès ont présenté une législation interdisant tout mandat.

    Les sénateurs JD Vance (R-Ohio), Mike Braun (R-Ind.) et Josh Hawley (R-Mo.) ont coparrainé un projet de loi du Sénat appelé « Freedom to Breathe Act » qui interdirait les mandats fédéraux de masques aux États-Unis. .

    « Nous avons essayé une fois les masques obligatoires dans ce pays. Ils n’ont pas réussi à contrôler la propagation des virus respiratoires, ont violé les libertés physiques fondamentales et ont dressé nos concitoyens les uns contre les autres », a déclaré Vance.

    « Cette législation garantira qu’aucune bureaucratie fédérale, aucune compagnie aérienne commerciale et aucune école publique ne pourront imposer les politiques malavisées du passé. Les démocrates disent qu’ils ne rétabliront pas les mandats de port du masque – nous allons les tenir parole.

    La Maison Blanche a lancé un « Défi de masquage de 100 jours » en 2021, dans le cadre duquel le président Joe Biden a mis en œuvre un mandat de masque sur la propriété fédérale, mais l'administration n'a pas émis de nouveau mandat à l'échelle nationale depuis.

    https://www.zerohedge.com/political/americans-divided-mask-mandates-make-comeback-amid-covid-19-surge

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  45. Une autre étude publiée par Circulation a montré que certains enfants ayant souffert d’une inflammation cardiaque après la vaccination contre le COVID-19 avaient des cicatrices au cœur des mois plus tard.

    Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) continuent de recommander aux personnes de tous âges de recevoir un vaccin contre la COVID-19 malgré le risque d’inflammation cardiaque et d’autres effets secondaires.

    En outre, des documents montrent que la Food and Drug Administration (FDA) et le CDC ont caché des données montrant une augmentation des cas de COVID-19 parmi les vaccinés.

    L'ancien président Donald Trump a déclaré à l'ancien candidat au poste de gouverneur du Michigan, Tudor Dixon, lors d'une récente conversation sur son podcast, que les sociétés pharmaceutiques ont l'obligation d'être honnêtes sur les effets secondaires des vaccins et devraient divulguer toutes les données pertinentes sur les méfaits des vaccins.

    Le président Trump et Mme Dixon ont discuté d'une série de questions dans un épisode du podcast Tudor Dixon la semaine dernière. À un moment donné de la discussion, Mme Dixon a posé des questions sur l’annonce du président Biden de financer un nouveau vaccin contre la COVID-19.

    « Il veut que tout le monde reçoive ce vaccin », a déclaré Mme Dixon. « Et nous entendons beaucoup de plaintes de blessés vaccinés. En dire beaucoup est un euphémisme. »

    Elle a ensuite interrogé le président Trump sur la transparence des données sur les vaccins, citant des rapports faisant état de divers événements indésirables, notamment des inflammations cardiaques et des caillots sanguins.

    "De nombreuses sociétés pharmaceutiques ont refusé de divulguer leurs données sur les effets secondaires des vaccins", a-t-elle déclaré. "Mais nous avons vu des cas de myocardite, de caillots sanguins et de crises cardiaques ; ils sont tous en augmentation. Les recherches n'ont jamais été publiées."

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  46. Elle a demandé si le président Trump « exigerait que les sociétés de vaccins, que les sociétés pharmaceutiques publient leurs données sur les vaccins afin que nous puissions voir ce qu’elles voient réellement sur les effets secondaires de ce vaccin ?

    Le président Trump a répondu en disant que les sociétés pharmaceutiques « devraient faire cela », ajoutant que « nous sommes tous dans le même bateau, et elles devraient le faire ».

    Dans le contexte des remarques du président Biden sur le financement d'un nouveau vaccin contre le COVID-19, l'ancien président a déclaré que « tout ce qui est nouveau doit être examiné très attentivement ».

    Le président Trump a ensuite réitéré que les sociétés pharmaceutiques devraient divulguer toute donnée sur les effets secondaires des vaccins.

    "Ils devraient être rendus publics immédiatement. Les gens devraient comprendre cela et savoir ce que montrent les recherches", a déclaré le président Trump.

    Il a ajouté que les sociétés pharmaceutiques auraient tort de cacher toute information sur les dommages causés par les vaccins.

    « Ils doivent être honnêtes avec les chiffres, les faits, et ils ont l’obligation d’être honnêtes », a-t-il déclaré. « Et s’ils se retiennent, cela signifie qu’ils retiennent quelque chose qui n’est pas bon. »

    « Nous les défendrons de plusieurs manières », a déclaré le président Trump à propos des personnes ayant subi des blessures causées par le vaccin.

    Dans le même temps, la FDA a reçu l’ordre d’accélérer le rythme auquel elle rend publiques les données sur lesquelles elle s’est appuyée pour autoriser les vaccins contre le COVID-19.

    En mai, un juge fédéral du Texas a statué que la FDA devait s’empresser de divulguer les données qui sous-tendaient sa décision d’autoriser les vaccins contre le COVID-19, ordonnant que tous les documents soient rendus publics d’ici la mi-2025 plutôt que, comme le souhaitait la FDA, au cours de la même période. cours d'environ 23,5 ans.

    "La démocratie meurt à huis clos", c'est ainsi que le juge de district américain Mark Pittman a ouvert son ordonnance (pdf), qui oblige la FDA à produire les données sur les vaccins COVID-19 de Moderna et Pfizer à un rythme moyen d'au moins 180 000 pages par mois.

    https://www.zerohedge.com/medical/megyn-kelly-reveals-possible-vaccine-injury-regrets-getting-covid-shot

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  47. La « crise » du COVID-19 est de retour... jusqu'à ce qu'elle se transforme en autre chose


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 09 SEPTEMBRE 2023 - 19H30
    Rédigé par Jordan Schachtel via la sous-pile The Dossier,


    Le Covid-19 est-il de retour pour de vrai cette fois-ci ? La variante « Eris » est-elle la vraie affaire ?

    Ce genre de questions revient sans cesse, et tout cela est intentionnel.

    « L’objectif est une guerre sans fin, pas une guerre réussie », a dit un jour le fondateur de Wikileaks, Julian Assange, à propos de la longue guerre en Afghanistan.

    Ce commentaire capture également parfaitement le cycle de l’hystérie de Covid

    Afin de répondre à cette question, il est important de parvenir à un cadre compréhensible sur la façon dont nous définissons Covid et de parvenir à une prémisse sur laquelle s’appuyer.

    Quelle est cette chose que nous appelons tous Covid ou Covid-19 ?

    Tout d’abord, il est important de se débarrasser du bavardage pseudo-scientifique accumulé dans nos esprits et que nous avons accumulé à partir des informations par câble, des bureaucrates gouvernementaux de la santé et des médias traditionnels. Toutes ces forces ont été horriblement incompétentes et négligentes au cours des années d’hystérie du coronavirus, insistant systématiquement pour que vous vous injectiez du poison et détruisiez votre vie pour combattre « le virus ». Ces forces sont bien plus dangereuses pour la santé qu’une maladie respiratoire qu’elles ont si mal définie. Pour comprendre ce qu’est réellement le Covid, il faut d’abord s’engager à éteindre la télé.

    Ici, en réalité, en dehors du cadre accepté de la classe dirigeante, le Covid est mieux compris comme rien de plus qu’une fusion de ce que les gens appelaient communément avant 2020 le rhume et la grippe.

    Ces deux diagnostics étroitement liés ont ensuite été rebaptisés en une maladie effrayante appelée Covid-19.

    Plus personne n’attrape froid.

    Plus personne n’attrape la grippe.

    Parfois, les gens contractent désormais le VRS, mais c’est parce que Pfizer a un nouveau « vaccin » à vendre contre cela !

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  48. Essentiellement, après 2019, tout ce qui ressemble aux reniflements est désormais Covid.

    Et maintenant que nous avons éteint la télévision et changé nos esprits, il est temps de discuter brièvement des racines étymologiques des maladies respiratoires.

    Le nom « froid » remonte au XVIe siècle et était utilisé en raison des reniflements qui se produisaient à une époque où les gens étaient exposés au froid. Le rhume est un diagnostic fourre-tout pour les symptômes respiratoires légers.

    Le nom « grippe » est l'abréviation du mot italien influenza, qui vient du latin médiéval influentia, qui signifie « visite » ou « influence ». N'oubliez pas qu'avant l'ère Covid, la grippe était largement diagnostiquée par un diagnostic ponctuel, et rarement par un test de détection d'un virus grippal. Un diagnostic de grippe est aussi simple que de déterminer une maladie respiratoire pire qu'un rhume.

    Compte tenu de l’éventail de symptômes liés à la grippe et au rhume, nous avons déjà établi qu’il n’y a rien de particulièrement nouveau dans la maladie que nous appelons Covid-19. La seule caractéristique distinctive réside dans la théorie selon laquelle le virus qui est censé en être la cause est un nouveau virus. Pourtant, l’épidémiologie et la virologie sont des « sciences » pleines de jargon charabia, et il n’existe toujours aucune preuve réelle qu’il y ait jamais eu un nouveau virus engendré par une fuite de laboratoire ou un événement de contagion naturel.

    Et la déclaration susmentionnée, que vous soyez d'accord ou non, n'a pas vraiment d'importance de toute façon, parce que la maladie ne menace pas du tout notre civilisation, et qu'il n'existe aucun remède efficace contre la maladie, ni aucun moyen pratique de la combattre. atténuer sa propagation. Désolé, le gouvernement de la santé et la télévision vous ont menti. Il n’existe pas de remède magique contre les reniflements.

    Pense-y de cette façon:

    Verizon, la société de télécommunications populaire, est le résultat de la fusion de deux sociétés : Bell Atlantic Corp. et GTE Corp.

    Bell Atlantic, c'est le froid.

    GTE Corp, c'est la grippe.

    Verizon est Covid-19.

    Aujourd'hui, il n'y a que Verizon. Bell et GTE sont des reliques du passé.

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  49. Verizon restera avec nous jusqu'à ce que l'entreprise fasse faillite ou qu'elle fusionne et/ou change de nom. Il en va de même pour le Covid-19.

    La fusion rhume/grippe et le changement de nom appelé Covid-19 resteront avec nous jusqu'à ce que les personnes au pouvoir décident de lui donner un autre nom.

    Ce n’est pas une analogie parfaite, mais j’espère qu’elle donne un visuel compréhensible.

    Bienvenue dans le cycle perpétuel de l’hystérie.

    https://www.zerohedge.com/medical/covid-19-crisis-back-until-it-rebrands-something-else

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  50. Secrétaire à la Santé de Floride, Dr. Joseph Ladapo met en garde contre les rappels de vaccination


    11 septembre 2023
    par le Dr. Peter F. Mayer



    Le plus haut responsable de la santé de Floride, le médecin général Joseph Ladapo, a averti le public de la sécurité du rappel de Covid. Le secrétaire à la Santé, nommé par le gouverneur Ron DeSantis, a mis en garde contre le fait que le nouveau vaccin de rappel devrait être approuvé pour un usage public par l'administration du président Joe Biden dans les prochains jours.

    Ladapo a émis un autre avertissement lors d'une conférence de presse, affirmant qu'il n'y avait aucune preuve de la sécurité des injections d'ARNm. Les vaccinations mises à jour ciblent une sous-variante d’Omicron appelée BA.2.86.

    Ils devraient être approuvés par la Food and Drug Administration (FDA) de Biden. Les vaccins sont actuellement soumis à l’approbation de la FDA sur la base de normes de sécurité, d’efficacité et de qualité. Une fois approuvés, les « boosters » pourraient être mis à la disposition du public dès mardi. L’UE souhaite également relancer une campagne de vaccination. L’objectif est de persuader ceux qui ne sont pas encore vaccinés qu’ils n’ont besoin que de cette seule seringue pour la vaccination et non de trois pour la « vaccination de base » comme c’était le cas auparavant.

    Cependant, Ladapo a averti lors de sa conférence de presse que la FDA et le CDC sont devenus des armes et n'ont plus à cœur la sécurité du public. « Écoutez ce qui a du sens, ce qui semble juste, vous savez, ce qui semble être la vérité », a déclaré Lapado. " Nous le savons tous quand nous le ressentons à l'intérieur."

    Lapado a fait référence à des études mondiales récentes montrant que les personnes vaccinées sont plus susceptibles de contracter le Covid et d’autres virus. DeSantis a rejoint Lapado lors de l'événement pour soutenir l'avertissement du plus haut responsable de la santé concernant les « boosters ».

    Le gouverneur a qualifié les régulateurs fédéraux FDA et CDC de corrompus et a déclaré qu'ils étaient essentiellement devenus une organisation de lobbying et de vente de Big Pharma.

    Pfizer, Moderna et Novavax ont tous créé de nouvelles versions des vaccins pour les rendre accessibles au public.

    Ladapo a souligné qu'aucun essai ou étude n'a encore été réalisé sur le vaccin qui garantirait que les gens ne développeront pas de problèmes de santé plus tard.

    " Il n'existe aucune étude clinique chez l'homme qui montre que cela profite aux gens ", a-t-il poursuivi. "Il n'existe aucune étude clinique démontrant qu'il s'agit d'un produit sans danger pour les humains – et en plus, il existe un certain nombre de signes avant-coureurs."

    Il a averti que les nouveaux vaccins pourraient causer des lésions cardiaques chez de nombreuses personnes et a recommandé au gouvernement de ne pas imposer la vaccination.

    « Quand les gens essaient de vous convaincre de vous mettre à l'aise et d'accepter des choses qui ne vous semblent pas confortables, [qui] ne semblent pas être des choses que vous devriez accepter, c'est un signe, n'est-ce pas ? C'est un cadeau ", a-t-il ajouté.

    Comme alternative à la vaccination pour se protéger du COVID, Ladapo a suggéré aux gens d’adopter un mode de vie sain tel que : Par exemple, manger sainement et faire de l'exercice.

    https://tkp.at/2023/09/11/floridas-gesundheitsminister-dr-joseph-ladapo-warnt-vor-impf-booster/

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  51. La FDA n'est PAS un médecin : la cour d'appel se range du côté des médecins sur l'utilisation de l'ivermectine pour le COVID-19


    09/11/2023
    Ramon Tomey


    La Cour d'appel du cinquième circuit des États-Unis s'est rangée du côté de trois médecins qui ont poursuivi le gouvernement fédéral en justice pour l'utilisation de l'ivermectine contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).

    Dans sa décision du 8 septembre, le juge de circuit Don Willett et ses co-magistrats ont statué en faveur des plaignants – les Drs. Mary Talley Bowden, Robert Apter et Paul Marik. Le panel de trois membres de la cour d'appel comprenait également la juge de circuit Jennifer Walker Elrod et la juge de circuit principale Edith Brown Clement.

    "Les médecins ont allégué de manière plausible que les messages de la FDA se situaient du mauvais côté de la frontière entre parler de et dire à", indique la décision. "La FDA n'est pas un médecin. Elle a le pouvoir d'informer, d'annoncer et d'informer – mais pas d'approuver, de dénoncer ou de conseiller."

    Le message du régulateur qui salissait l'ivermectine a suscité la colère de Willett, qui a écrit : « Laissé non mentionné dans la plupart de ces messages : l'ivermectine existe également en version humaine. Bien que la version humaine de l'ivermectine ne soit pas approuvée par la FDA pour traiter le coronavirus, certaines personnes nous l'utilisions hors AMM à cette fin."

    Un tweet du 21 août 2021 de la FDA a appelé les Américains à cesser d'utiliser l'ivermectine car ils n'étaient ni des chevaux ni des vaches, faisant allusion à son utilisation comme vermifuge pour le bétail. Le tweet en question a été utilisé comme preuve contre le régulateur.

    La décision concluait que « même des doses de conseils médicaux personnalisés, de la taille d'un tweet, dépassent l'autorité statutaire de la FDA ». Compte tenu de la décision du 8 septembre, les trois plaignants peuvent désormais utiliser la loi sur la procédure administrative « pour faire valoir leurs allégations d'ultra vires » contre la FDA et sa société mère, le ministère de la Santé et des Services sociaux.

    Exactement un mois auparavant, un avocat du gouvernement représentant la FDA avait confirmé que les médecins comme les plaignants étaient libres de prescrire de l'ivermectine contre le COVID-19. Ashley Cheung Honold, du ministère de la Justice, a déclaré à la Cour d'appel du cinquième circuit lors d'une audience le 8 août : « [La] FDA reconnaît explicitement que les médecins ont le pouvoir de prescrire de l'ivermectine pour traiter le COVID-19. »

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  52. Bowden : la décision du tribunal ne signifie rien pour les pharmaciens refusant l’ivermectine
    Mais selon Bowden, les pharmaciens des États-Unis refusent toujours d’exécuter les ordonnances d’ivermectine destinée à lutter contre le COVID-19 – bien que la FDA affirme que les médecins peuvent la recommander. Elle a raconté ce fascisme médical à Epoch Times, ajoutant : « Je le constate chaque jour. Assez, c'est assez. »

    Elle a raconté le calvaire d’un de ses patients, à qui on avait refusé le médicament qui lui aurait sauvé la vie. Le patient âgé a dû se rendre dans plusieurs pharmacies qui dispensaient de l’ivermectine pour le COVID-19 avant d’en trouver une. Pendant qu’ils cherchaient une pharmacie, leur santé s’est détériorée. (Connexe : Dr Bowden : Les pharmaciens refusent toujours d’exécuter les ordonnances d’ivermectine pour le COVID-19 malgré le rétropédalage de la FDA.)

    "C'est difficile à croire, mais les pharmaciens bloquent toujours ce médicament qui pourrait sauver des vies. Le pharmacien n'a pas parlé au patient et ne saura pas s'il vit ou meurt - mais il contrôle [ses] soins", dit Bowden.

    "Cela doit prendre fin. En indiquant à mes patients à quels médicaments ils peuvent et ne peuvent pas avoir accès, nous avons effectivement un groupe important de pharmaciens qui exercent la médecine sans licence. Ils n'ont aucune responsabilité à cet égard, mais ils sont autorisés à dicter leurs décisions aux patients. se soucier."

    Selon Bowden, les pharmaciens individuels ne sont pas à blâmer dans la plupart des cas, car ils exécutent souvent les ordres des dirigeants de l'entreprise. Cependant, elle a déclaré qu'il existe des exemples de pharmaciens empêchant ses patients d'obtenir leurs médicaments en raison de leur propre « agenda personnel ».

    Le médecin a également averti que si l'on ne contrôle pas les pharmaciens, cela pourrait conduire à une pente glissante qui diminuerait les droits des patients à long terme.

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  53. "Avant la COVID, je n'avais jamais vu un pharmacien refuser une ordonnance. C'est un phénomène nouveau et il faut y mettre un terme. Cela dépasse leur rôle et c'est une tendance dangereuse", a-t-elle déclaré. "C'est un scandale. J'aurais pensé que nous étions au-delà de cela, mais cela continue de se produire."

    Rendez-vous sur IvermectinScience.com pour plus d’histoires sur les médecins prescrivant de l’ivermectine pour une infection au COVID-19.

    Regardez ce segment de « The HighWire with Del Bigtree », qui aborde le rétropédalage de la FDA sur l’ivermectine.

    Cette vidéo provient de la chaîne The HighWire avec Del Bigtree sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires connexes:

    La Cour fédérale se prononce contre la FDA, affirmant que la position anti-ivermectine de l'agence et les appels du public à « arrêter » d'utiliser le médicament sont inconstitutionnels.

    Malgré les réprimandes du 5e Circuit Court envers la FDA, les pharmaciens américains refusent TOUJOURS d’exécuter les ordonnances d’ivermectine.

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  54. Les agents de santé crient au scandale contre la FDA, affirmant qu'elle n'a pas interdit l'ivermectine pour le COVID-19.

    Oubliez le passé : la FDA affirme n’avoir jamais mis en garde contre l’ivermectine pour le COVID19.

    La FDA admet désormais que les médecins peuvent prescrire de l’IVERMECTINE pour traiter le COVID-19.

    Sources include:

    TheEpochTimes.com 1
    TheEpochTimes.com 2
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2023-09-11-appeals-court-favors-doctors-ivermectin-covid-19.html

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