Nouvelles demandes d’asile en Pologne de parents qui fuient avec leurs enfants les services sociaux de la Norvège
2 novembre 2017
L’ONG juridique Ordo Iuris prépare de nouvelles demandes d’asile en Pologne de Norvégiens qui fuient leur pays pour empêcher les services sociaux de leur enlever leurs enfants. Une deuxième demande d’asile vient d’être déposée par l’ONG polonaise après celle de Silje Garmo, la maman d’une fillette de neuf mois qui a trouvé refuge sur les bords de la Vistule. Silje Garmo a déjà eu trois entretiens à l’Office des étrangers polonais, mais la procédure d’asile pour cette ressortissante de Norvège pourrait durer plusieurs mois.
Les fonctionnaires polonais n’ont en effet pas encore commencé les auditions des témoins cités par la Norvégienne. Ordo Iuris, qui a déjà assisté par le passé de nombreux émigrés polonais victimes des pratiques de l’Office de protection des droits des enfants (Barnevernet) en Norvège, prépare un dossier avec des centaines de cas d’abus commis par ces services sociaux. Pour obtenir l’asile en Pologne – un statut distinct de celui de réfugié – il faut en effet prouver que l’on est menacé dans son pays. L’autre condition, c’est que l’octroi de l’asile soit dans l’intérêt de la Pologne et c’est pourquoi le ministre des Affaires étrangères polonais doit approuver toute décision d’asile. Afin de faire pression sur le gouvernement polonais, une pétition de soutien est en cours en Pologne ; elle a déjà recueilli plus de 12.000 signatures.
En Pologne, la demande d’asile de la Norvégienne Silje Garmo a le soutien des médias et de l’opinion publique
De même qu’au moment où le cas de cette Norvégienne avait été porté à la connaissance du public en septembre, c’est le journal catholique Nasz Dziennik qui, le premier a rendu compte de ces nouvelles demandes d’asile préparées par l’ONG Ordo Iuris. Après la précédente publication de ce journal le 19 septembre, la nouvelle avait fait le tour des médias polonais et Silje Garmo avait même été invitée dans une émission populaire de la télévision publique. Le gouvernement polonais sera donc sous pression pour lui accorder l’asile, d’autant plus que les pratiques totalitaires de la Norvège vis-à-vis des familles étaient déjà connues en Pologne du fait du grand nombre de familles polonaises victimes de ces services sociaux qui multiplient les procédures d’urgence pour enlever les enfants à leurs parents, sur simple dénonciation d’une école ou d’un voisin malveillant, et qui ne rendent quasiment jamais les enfants à leur famille, même en cas de décision de justice favorable aux parents.
Le combat contre les services sociaux de la Norvège d’un député tchèque au Parlement européen
Tomáš Zdechovský est un député tchèque au Parlement européen et, depuis l’affaire de la Tchèque Eva Michalakova à qui le Barnevernet a enlevé ses enfants, il cherche à contraindre la Norvège à mettre fin à ses pratiques totalitaires. Il est entré en contact avec Ordo Iuris dans l’affaire de Silje Garmo dont le dossier vient s’ajouter aux plus de 1.400 cas des plus révoltants qu’il a déjà recensés. Très actif sur les médias sociaux, Tomáš Zdechovský affirme avoir contre le Barnevenet le soutien de 70 autres députés au Parlement européen de différents groupes politiques et de différents pays.
Les droits de l’enfant ?
Ces voix viennent s’ajouter à celles, de plus en plus nombreuses, qui s’élèvent à Oslo contre les agissements du Barnevernet. S’ils ont été jusqu’ici peu sensibles au drame des familles et à la nécessité de mieux protéger les libertés individuelles, les cercles dirigeants en Norvège semblent en effet découvrir ces derniers temps que leur Office de protection des droits des enfants commence à nuire sérieusement à l’image de leur pays à l’étranger. Mais en attendant un changement qui tarde à venir, si Silje Garmo obtient l’asile, d’autres parents norvégiens pourront toujours aller chercher refuge avec leurs enfants en Pologne.
Ayant rapporté un document divulgué pendant la nuit qui révélait la violence croissante dans les refuges pour réfugiés allemands, des nouvelles ce matin, via Die Welt, selon lesquelles plus de 30 000 migrants déportés ont disparu sous la surveillance de Merkel, ne font qu'ajouter à l'anxiété et à la division.
Et comme le rapporte Vijeta Uniyal de TruthRevolt, le gouvernement n'a aucune idée de l'endroit où ils se trouvent, rapportent les journaux allemands.
Faisant un tour d'horizon de la situation, un porte-parole du ministère de l'Intérieur a déclaré à la presse que certains de ces migrants pourraient s'être auto-déportés. En dépit de ce vœu pieux, il est plus probable que la plupart de ces immigrants illégaux sont toujours dans le pays et sont simplement allés sous terre.
Les nouvelles viennent alors que l'Allemagne fait face à une vague de criminalité importée. Cette année, la police a enregistré une augmentation de plus de 50 % des crimes commis par des immigrants. Compte tenu de la tendance dominante de la sous-déclaration de la criminalité des migrants en Allemagne, les chiffres réels peuvent être beaucoup plus élevés.
Pas seulement les forces de l'ordre, mais la justice allemande aussi a été bouchée par les demandeurs d'asile. Les tribunaux ont du mal à faire face à la vague de plaintes déposées par les migrants pour faire rejeter leur demande d'asile. "Le nombre de demandes d'asile traitées par les tribunaux allemands a augmenté de près de 500 % au cours de l'année dernière", a rapporté le radiodiffuseur public allemand Deutsche Welle.
Le journal allemand Die Welt a couvert l'histoire des 'disparus-migrants':
Plus de 30 000 réfugiés, dont les demandes d'asile ont échoué et devaient être expulsés, ont disparu sans en informer les autorités, selon les médias. Un porte-parole du ministère de l'Intérieur a déclaré à la Bild Zeitung:
"Il ne peut être exclu que certaines de ces personnes, en raison de leur expulsion selon le registre central des étrangers, aient quitté le pays ou soient entrées dans la clandestinité sans que le bureau de l'immigration ne remarque le changement de leur statut."
Le journal [Bild Zeitung] a trouvé le chiffre de 30 000 en calculant la différence entre le nombre de migrants qui doivent être expulsés et ceux qui perçoivent des prestations d'aide sociale. Selon les données extraites du registre central des étrangers maintenu par le gouvernement, 54 000 personnes ont été marquées pour l'expulsion à la fin de décembre 2016. L'Office statistique allemand ne pouvait en comptabiliser que 23 000, selon le rapport. [Traduction de l'auteur]
Les syndicats de la police et les personnes impliquées dans l'application de la loi se sont exprimés sur la détérioration de la loi et de l'ordre causée par les migrants, pour ensuite être réduits au silence par les politiciens allemands ou étiquetés comme bigots et racistes par les médias.
En décembre dernier, lorsque Rainer Wendt, chef de l'Union de police allemande, a averti que tous les demandeurs d'asile ne venaient pas dans le pays et qu'il y avait des criminels endurcis parmi les migrants, il a été critiqué par tous les grands partis politiques allemands.
Ralf Stegner, chef adjoint des sociaux-démocrates, partenaire de la coalition junior de Merkel, a qualifié les remarques de Wendt de "politiquement dégoûtantes et stupides comme on peut l'obtenir". Un éminent juge allemand a appelé Wendt «le Donald Trump de la politique intérieure» pour avoir osé faire le lien évident entre l'immigration clandestine et le crime. Appeler quelqu'un 'Trump' est apparemment la pire insulte qu'un libéral puisse faire de nos jours.
Pour Merkel et l'élite dirigeante de l'Allemagne, il est plus important d'écarter les voix dissidentes et de continuer avec leur signal de vertu que d'assurer la sécurité et le bien-être des Allemands ordinaires.
Quant aux migrants disparus de Merkel, ils ne manqueront pas longtemps. Ils vont bientôt refaire surface dans les registres criminels allemands.
La Banque nationale suisse détient désormais un record de 88 milliards de dollars en actions américaines
par Tyler Durden 3 novembre 2017 12:38
Au troisième trimestre 2017, l'économie mondiale était supposée connaître une «poussée de croissance coordonnée» sans précédent, et les banques centrales se préparaient à dévoiler leurs intentions de réduction de l'assouplissement quantitatif, dans le cas de la BCE, ou à augmenter les taux, à la Fed, ce qui se passait réellement était une autre frénésie d'achat de banque centrale destinée à renforcer la confiance que les choses sont maintenant revenues à la normale, utilisant de l'argent fraîchement imprimé à partir de rien et dépensé pour soutenir les actifs à risque dans le monde acheter des actions sans égard au prix ou au coût.
Nulle part cela n'a été aussi évident que dans le dernier 13F, sorti du gigantesque hedge fund connu sous le nom de «Banque nationale suisse». Ce qu'il a montré, c'est que, tout comme au trimestre précédent et au trimestre précédent, la banque centrale suisse avait encore fait des achats agressifs et suite à ses achats record au premier trimestre, la banque centrale a stimulé ses avoirs totaux en actions américaines ont atteint un sommet historique de 87,8 milliards de dollars, en hausse de 4,2% ou de 3,5 milliards de dollars par rapport aux 84,3 milliards de dollars à la fin du deuxième trimestre.
- voir graphique sur site -
Comme rapporté plus tôt cette semaine, au 30 septembre, la banque centrale suisse avait accumulé des devises étrangères valant 760 milliards de francs (à peu près le même en USD) en raison de ses interventions implacables sur le marché pour déprimer le franc suisse, et a "investi" fonds créés à partir de rien dans les stocks et les obligations. À la fin du deuxième trimestre, il détenait 20 % d'actions, dont la majeure partie était en actions américaines.
Alors que nous sommes loin de débattre de l'intervention de la banque centrale sur les marchés d'actions (nous rappelons que jusqu'à il y a quelques années, on parlait même de «fausses nouvelles» et de ceux qui accusaient les banquiers centraux de manipuler les marchés boursiers Nous voulons souligner que contrairement à la BOJ, qui maintient au moins sa distorsion sur les marchés de capitaux, la BNS, qui crée également de l'argent à partir de rien (puis le vend pour des dollars dans une tentative maintenir le franc suisse déprimé) cause activement d'importantes distorsions de prix aux États-Unis.
Bien que nous doutons que cela fasse l'objet d'une enquête et que les stocks atteignent des sommets, nous attendons avec impatience les audiences du Congrès après le krach, où le bouc émissaire et le dénouement commencent toujours, et tout le monde est "stupéfait" d'apprendre que les banques centrales en soufflant la plus grande bulle d'actifs que le monde ait jamais vue en achetant directement des actions.
Quoi d'autre a révélé la BNS dans son 13F ? Deux choses principales.
Premièrement, ses 20 principales positions sont indiquées dans le tableau suivant. La banque centrale n'était clairement pas timide en ajoutant à ses positions supérieures.
- voir graphique sur site -
Et même si nous ne savons pas encore si Warren Buffett a encore une fois activement contrecarré la BNS au cours du trimestre, en achetant encore plus d'actions AAPL, les avoirs d'AAPL de la BNS ont légèrement augmenté pour atteindre 19,2 millions d'actions, ce qui en fait un Les actions de AAPL détenues par Schwab et Franklin Resources (avec respectivement 18,3 et 17,0 millions d'actions), et juste derrière Janus avec 20 millions d'actions, sont l'une des principales raisons pour lesquelles le Nasdaq atteignait encore récemment de nouveaux sommets historiques. .
- voir graphique sur site -
Le tableau ci-dessus explique également pourquoi Goldman, malgré les inquiétudes croissantes des clients concernant une volatilité record et des valorisations record, reste optimiste sur le Nasdaq 100: après tout, quand une banque centrale peut créer de l'argent à partir de rien, elle fait des folies. la poignée d'entreprises technologiques qui ont le plus d'impact sur le marché en général, poussant le Nasdaq et tous les indices à la hausse, à quoi bon même parler de «risque»?
Nouvelles demandes d’asile en Pologne de parents qui fuient avec leurs enfants les services sociaux de la Norvège
RépondreSupprimer2 novembre 2017
L’ONG juridique Ordo Iuris prépare de nouvelles demandes d’asile en Pologne de Norvégiens qui fuient leur pays pour empêcher les services sociaux de leur enlever leurs enfants. Une deuxième demande d’asile vient d’être déposée par l’ONG polonaise après celle de Silje Garmo, la maman d’une fillette de neuf mois qui a trouvé refuge sur les bords de la Vistule. Silje Garmo a déjà eu trois entretiens à l’Office des étrangers polonais, mais la procédure d’asile pour cette ressortissante de Norvège pourrait durer plusieurs mois.
Les fonctionnaires polonais n’ont en effet pas encore commencé les auditions des témoins cités par la Norvégienne. Ordo Iuris, qui a déjà assisté par le passé de nombreux émigrés polonais victimes des pratiques de l’Office de protection des droits des enfants (Barnevernet) en Norvège, prépare un dossier avec des centaines de cas d’abus commis par ces services sociaux. Pour obtenir l’asile en Pologne – un statut distinct de celui de réfugié – il faut en effet prouver que l’on est menacé dans son pays. L’autre condition, c’est que l’octroi de l’asile soit dans l’intérêt de la Pologne et c’est pourquoi le ministre des Affaires étrangères polonais doit approuver toute décision d’asile. Afin de faire pression sur le gouvernement polonais, une pétition de soutien est en cours en Pologne ; elle a déjà recueilli plus de 12.000 signatures.
En Pologne, la demande d’asile de la Norvégienne Silje Garmo a le soutien des médias et de l’opinion publique
De même qu’au moment où le cas de cette Norvégienne avait été porté à la connaissance du public en septembre, c’est le journal catholique Nasz Dziennik qui, le premier a rendu compte de ces nouvelles demandes d’asile préparées par l’ONG Ordo Iuris. Après la précédente publication de ce journal le 19 septembre, la nouvelle avait fait le tour des médias polonais et Silje Garmo avait même été invitée dans une émission populaire de la télévision publique. Le gouvernement polonais sera donc sous pression pour lui accorder l’asile, d’autant plus que les pratiques totalitaires de la Norvège vis-à-vis des familles étaient déjà connues en Pologne du fait du grand nombre de familles polonaises victimes de ces services sociaux qui multiplient les procédures d’urgence pour enlever les enfants à leurs parents, sur simple dénonciation d’une école ou d’un voisin malveillant, et qui ne rendent quasiment jamais les enfants à leur famille, même en cas de décision de justice favorable aux parents.
Le combat contre les services sociaux de la Norvège d’un député tchèque au Parlement européen
Tomáš Zdechovský est un député tchèque au Parlement européen et, depuis l’affaire de la Tchèque Eva Michalakova à qui le Barnevernet a enlevé ses enfants, il cherche à contraindre la Norvège à mettre fin à ses pratiques totalitaires. Il est entré en contact avec Ordo Iuris dans l’affaire de Silje Garmo dont le dossier vient s’ajouter aux plus de 1.400 cas des plus révoltants qu’il a déjà recensés. Très actif sur les médias sociaux, Tomáš Zdechovský affirme avoir contre le Barnevenet le soutien de 70 autres députés au Parlement européen de différents groupes politiques et de différents pays.
RépondreSupprimerLes droits de l’enfant ?
Ces voix viennent s’ajouter à celles, de plus en plus nombreuses, qui s’élèvent à Oslo contre les agissements du Barnevernet. S’ils ont été jusqu’ici peu sensibles au drame des familles et à la nécessité de mieux protéger les libertés individuelles, les cercles dirigeants en Norvège semblent en effet découvrir ces derniers temps que leur Office de protection des droits des enfants commence à nuire sérieusement à l’image de leur pays à l’étranger. Mais en attendant un changement qui tarde à venir, si Silje Garmo obtient l’asile, d’autres parents norvégiens pourront toujours aller chercher refuge avec leurs enfants en Pologne.
Olivier Bault
http://reinformation.tv/pologne-asile-enfants-services-sociaux-norvege-bault-76628-2/
L'Allemagne perd 30 000 demandeurs d'asile déboutés
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
3 novembre 2017 12:54
Ayant rapporté un document divulgué pendant la nuit qui révélait la violence croissante dans les refuges pour réfugiés allemands, des nouvelles ce matin, via Die Welt, selon lesquelles plus de 30 000 migrants déportés ont disparu sous la surveillance de Merkel, ne font qu'ajouter à l'anxiété et à la division.
Et comme le rapporte Vijeta Uniyal de TruthRevolt, le gouvernement n'a aucune idée de l'endroit où ils se trouvent, rapportent les journaux allemands.
Faisant un tour d'horizon de la situation, un porte-parole du ministère de l'Intérieur a déclaré à la presse que certains de ces migrants pourraient s'être auto-déportés. En dépit de ce vœu pieux, il est plus probable que la plupart de ces immigrants illégaux sont toujours dans le pays et sont simplement allés sous terre.
Les nouvelles viennent alors que l'Allemagne fait face à une vague de criminalité importée. Cette année, la police a enregistré une augmentation de plus de 50 % des crimes commis par des immigrants. Compte tenu de la tendance dominante de la sous-déclaration de la criminalité des migrants en Allemagne, les chiffres réels peuvent être beaucoup plus élevés.
Pas seulement les forces de l'ordre, mais la justice allemande aussi a été bouchée par les demandeurs d'asile. Les tribunaux ont du mal à faire face à la vague de plaintes déposées par les migrants pour faire rejeter leur demande d'asile. "Le nombre de demandes d'asile traitées par les tribunaux allemands a augmenté de près de 500 % au cours de l'année dernière", a rapporté le radiodiffuseur public allemand Deutsche Welle.
Le journal allemand Die Welt a couvert l'histoire des 'disparus-migrants':
Plus de 30 000 réfugiés, dont les demandes d'asile ont échoué et devaient être expulsés, ont disparu sans en informer les autorités, selon les médias. Un porte-parole du ministère de l'Intérieur a déclaré à la Bild Zeitung:
"Il ne peut être exclu que certaines de ces personnes, en raison de leur expulsion selon le registre central des étrangers, aient quitté le pays ou soient entrées dans la clandestinité sans que le bureau de l'immigration ne remarque le changement de leur statut."
Le journal [Bild Zeitung] a trouvé le chiffre de 30 000 en calculant la différence entre le nombre de migrants qui doivent être expulsés et ceux qui perçoivent des prestations d'aide sociale. Selon les données extraites du registre central des étrangers maintenu par le gouvernement, 54 000 personnes ont été marquées pour l'expulsion à la fin de décembre 2016. L'Office statistique allemand ne pouvait en comptabiliser que 23 000, selon le rapport. [Traduction de l'auteur]
RépondreSupprimerLes syndicats de la police et les personnes impliquées dans l'application de la loi se sont exprimés sur la détérioration de la loi et de l'ordre causée par les migrants, pour ensuite être réduits au silence par les politiciens allemands ou étiquetés comme bigots et racistes par les médias.
En décembre dernier, lorsque Rainer Wendt, chef de l'Union de police allemande, a averti que tous les demandeurs d'asile ne venaient pas dans le pays et qu'il y avait des criminels endurcis parmi les migrants, il a été critiqué par tous les grands partis politiques allemands.
Ralf Stegner, chef adjoint des sociaux-démocrates, partenaire de la coalition junior de Merkel, a qualifié les remarques de Wendt de "politiquement dégoûtantes et stupides comme on peut l'obtenir". Un éminent juge allemand a appelé Wendt «le Donald Trump de la politique intérieure» pour avoir osé faire le lien évident entre l'immigration clandestine et le crime. Appeler quelqu'un 'Trump' est apparemment la pire insulte qu'un libéral puisse faire de nos jours.
Pour Merkel et l'élite dirigeante de l'Allemagne, il est plus important d'écarter les voix dissidentes et de continuer avec leur signal de vertu que d'assurer la sécurité et le bien-être des Allemands ordinaires.
Quant aux migrants disparus de Merkel, ils ne manqueront pas longtemps. Ils vont bientôt refaire surface dans les registres criminels allemands.
http://www.zerohedge.com/news/2017-11-03/germany-loses-track-30000-failed-asylum-seekers
La Banque nationale suisse détient désormais un record de 88 milliards de dollars en actions américaines
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
3 novembre 2017 12:38
Au troisième trimestre 2017, l'économie mondiale était supposée connaître une «poussée de croissance coordonnée» sans précédent, et les banques centrales se préparaient à dévoiler leurs intentions de réduction de l'assouplissement quantitatif, dans le cas de la BCE, ou à augmenter les taux, à la Fed, ce qui se passait réellement était une autre frénésie d'achat de banque centrale destinée à renforcer la confiance que les choses sont maintenant revenues à la normale, utilisant de l'argent fraîchement imprimé à partir de rien et dépensé pour soutenir les actifs à risque dans le monde acheter des actions sans égard au prix ou au coût.
Nulle part cela n'a été aussi évident que dans le dernier 13F, sorti du gigantesque hedge fund connu sous le nom de «Banque nationale suisse». Ce qu'il a montré, c'est que, tout comme au trimestre précédent et au trimestre précédent, la banque centrale suisse avait encore fait des achats agressifs et suite à ses achats record au premier trimestre, la banque centrale a stimulé ses avoirs totaux en actions américaines ont atteint un sommet historique de 87,8 milliards de dollars, en hausse de 4,2% ou de 3,5 milliards de dollars par rapport aux 84,3 milliards de dollars à la fin du deuxième trimestre.
- voir graphique sur site -
Comme rapporté plus tôt cette semaine, au 30 septembre, la banque centrale suisse avait accumulé des devises étrangères valant 760 milliards de francs (à peu près le même en USD) en raison de ses interventions implacables sur le marché pour déprimer le franc suisse, et a "investi" fonds créés à partir de rien dans les stocks et les obligations. À la fin du deuxième trimestre, il détenait 20 % d'actions, dont la majeure partie était en actions américaines.
Alors que nous sommes loin de débattre de l'intervention de la banque centrale sur les marchés d'actions (nous rappelons que jusqu'à il y a quelques années, on parlait même de «fausses nouvelles» et de ceux qui accusaient les banquiers centraux de manipuler les marchés boursiers Nous voulons souligner que contrairement à la BOJ, qui maintient au moins sa distorsion sur les marchés de capitaux, la BNS, qui crée également de l'argent à partir de rien (puis le vend pour des dollars dans une tentative maintenir le franc suisse déprimé) cause activement d'importantes distorsions de prix aux États-Unis.
Bien que nous doutons que cela fasse l'objet d'une enquête et que les stocks atteignent des sommets, nous attendons avec impatience les audiences du Congrès après le krach, où le bouc émissaire et le dénouement commencent toujours, et tout le monde est "stupéfait" d'apprendre que les banques centrales en soufflant la plus grande bulle d'actifs que le monde ait jamais vue en achetant directement des actions.
RépondreSupprimerQuoi d'autre a révélé la BNS dans son 13F ? Deux choses principales.
Premièrement, ses 20 principales positions sont indiquées dans le tableau suivant. La banque centrale n'était clairement pas timide en ajoutant à ses positions supérieures.
- voir graphique sur site -
Et même si nous ne savons pas encore si Warren Buffett a encore une fois activement contrecarré la BNS au cours du trimestre, en achetant encore plus d'actions AAPL, les avoirs d'AAPL de la BNS ont légèrement augmenté pour atteindre 19,2 millions d'actions, ce qui en fait un Les actions de AAPL détenues par Schwab et Franklin Resources (avec respectivement 18,3 et 17,0 millions d'actions), et juste derrière Janus avec 20 millions d'actions, sont l'une des principales raisons pour lesquelles le Nasdaq atteignait encore récemment de nouveaux sommets historiques. .
- voir graphique sur site -
Le tableau ci-dessus explique également pourquoi Goldman, malgré les inquiétudes croissantes des clients concernant une volatilité record et des valorisations record, reste optimiste sur le Nasdaq 100: après tout, quand une banque centrale peut créer de l'argent à partir de rien, elle fait des folies. la poignée d'entreprises technologiques qui ont le plus d'impact sur le marché en général, poussant le Nasdaq et tous les indices à la hausse, à quoi bon même parler de «risque»?
Source: BNS 13-F
http://www.zerohedge.com/news/2017-11-03/swiss-national-bank-now-owns-record-88-billion-us-stocks